IDESETAUTRES.be

Téléchargements

Si vous êtes satisfait(e) de ce que vous avez téléchargé, ayez la gentillesse de verser ne fût-ce que 1 (un) EURO symbolique sur le compte bancaire de l'ONG humanitaire de votre choix, avec la communication www.idesetautres.be.

Nom : 105 DHAENENS VERLEDEN 10 MILJOEN BELGEN - Rajouté le 01/08/2011

Description : La S.V. belge ARTIS-HISTORIA S.C. a, parmi beaucoup d’autres publications de qualité, édité des « Bibliocassettes ». Celles, intitulées « Un passé pour 10 millions de Belges – Vies quotidiennes / Een verleden voor 10 miljoen Belgen – Dagelijks leven », conçues et dirigées par le Professeur Albert d’HAENENS (Directeur, en 1980, du Centre de Recherches sur la Communication en Histoire de l’UCL) contenaient notamment (à côté d’une fiche recto-verso de texte) une fiche en couleurs. L’illustration N°105, accompagnée d’une légende bilingue, était relative à : « Le pouvoir législatif / De wetgevende macht ».
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 04 PELSJAGERS 21A - Rajouté le 31/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een weinig later vliegt de barricade de lucht in » (« Un peu plus tard, la barricade vole en l’air »).
On y trouve notamment la forme verbale « vliegt … IN », provenant de l’infinitif « INvliegen », lui-même construit sur l’infinitif « VLIEGEN » (qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts »).
Le verbe « INvliegen » est dit « à particule séparable ». Quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « IN » (ancienne préposition), qui fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (ici « de barricade » et « de lucht »), à la fin de la phrase. On aurait pu imaginer la phrase : « Een weinig later vliegt de barricade IN de lucht ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Een weinig later »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de barricade ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « vliegt ») et passant donc derrière lui.
Au lieu de « Een weinig later », on aurait pu trouver (« Even later »).
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 21 dans « De pelsjagers », le volume N°4 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1963-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 04 PELSJAGERS 20A - Rajouté le 31/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een vruchtbare vallei geheel ingesloten door loodrechte rotswanden » (« Une vallée fertile complètement enfermée / enclavée par des parois rocheuses / falaises à pic »).
On y trouve notamment la forme verbale « INgesloten », participe passé provenant de l’infinitif « INsluiten », lui-même construit sur l’infinitif « SLUITEN », affecté par les « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Ce verbe « INsluiten » est aussi dit « à particule séparable » ; quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « IN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « inGEsloten ».
Ce participe passé « INgesloten » est, ici, utilisé comme adjectif « attribut », dans la mesure où on pourrait considérer qu’il aurait pu faire partie d’une phrase subordonnée (relative) à la voie passive : « (Dat is) een vruchtbare vallei, DIE geheel door loodrechte rotswanden WORDT ingesloten ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De pelsjagers », le volume N°4 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1963-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 04 PELSJAGERS 09A - Rajouté le 31/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een vruchtbare vallei geheel ingesloten door loodrechte rotswanden » (« Une vallée fertile complètement enfermée / enclavée par des parois rocheuses / falaises à pic »).
On y trouve notamment la forme verbale « INgesloten », participe passé provenant de l’infinitif « INsluiten », lui-même construit sur l’infinitif « SLUITEN », affecté par les « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Ce verbe « INsluiten » est aussi dit « à particule séparable » ; quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « IN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « inGEsloten ».
Ce participe passé « INgesloten » est, ici, utilisé comme adjectif « attribut », dans la mesure où on pourrait considérer qu’il aurait pu faire partie d’une phrase subordonnée (relative) à la voie passive : « (Dat is) een vruchtbare vallei, DIE geheel door loodrechte rotswanden WORDT ingesloten ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De pelsjagers », le volume N°4 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1963-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 04 PELSJAGERS 07A - Rajouté le 31/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij wordt onverhoeds neergeslagen » (« Il est assommé à l’improviste »).
On y trouve notamment la forme verbale « NEERgeslagen », provenant de l’infinitif « NEERslaan », lui-même construit sur l’infinitif « SLAAN », affecté par les « temps primitifs ». Ce verbe «NEERslaan » est aussi dit « à particule séparable » ; quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « NEER » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « neerGEslagen ».
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
Aux temps composés, « NEERgeslagen », équivalent d’un participe passé, fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « ONVERHOEDS »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que la forme verbale « wordT », troisième personne du singulier de l’O.T.T. ou indicatif présent, doit se terminer par « T » même si l’avant-dernière lettre est « D » (la seule véritable exception étant le « IS », dans « hij/zij/het//dit/dat/men/er/daar/hier is »).
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 7 dans « De pelsjagers », le volume N°4 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1963-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : GESCHIEDENIS WERELD SCHOONJANS FUNCKEN 216 - Rajouté le 31/07/2011

Description : Cette invitation à la découverte de l’« Histoire du Monde » (1955-1962) par Jean SCHOONJANS (1897-1976) pour les Editions du Lombard ne correspond peut-être plus aux critères actuels d’approche pédagogique de l’Histoire mais, grâce aux talents d’illustration de Fred et Liliane FUNCKEN, elle reste inoubliable pour ceux qui ont eu la chance de la connaître alors.
La version néerlandophone, « Geschiedenis van de Wereld », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
La planche N°216 est parue dans le N°48 de l’hebdomadaire « KUIFJE » du 3 décembre 1959. Elle concernait les Temps Modernes, s’intitulait « Het kan verkeren »(zei Bredero : 1585-1618) (« La chance peut tourner ») et se subdivisait en : « Wat niet veranderde » (« Ce qui ne changea(it) pas »), « Frederik II van Pruisen » (« Frédéric II de Prusse »), « De Marquiezin van Pompadour, Madame Quinze » (« La Marquise de Pompadour, Madame Quinze »), « Een ketterij » (« Une hérésie : le Mystère d’iniquité en 1756 ») et « Storm op komst » (« Tempête en vue»).
Jean SCHOONJANS se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer culturellement.
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : 104 DHAENENS VERLEDEN 10 MILJOEN BELGEN - Rajouté le 31/07/2011

Description : La S.V. belge ARTIS-HISTORIA S.C. a, parmi beaucoup d’autres publications de qualité, édité des « Bibliocassettes ». Celles, intitulées « Un passé pour 10 millions de Belges – Vies quotidiennes / Een verleden voor 10 miljoen Belgen – Dagelijks leven », conçues et dirigées par le Professeur Albert d’HAENENS (Directeur, en 1980, du Centre de Recherches sur la Communication en Histoire de l’UCL) contenaient notamment (à côté d’une fiche recto-verso de texte) une fiche en couleurs. L’illustration N°104, accompagnée d’une légende bilingue, était relative à : « Baudouin 1er / Boudewijn I (1930-1993) ».
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 15 WRAAK TECONTAS 09J - Rajouté le 30/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De Roodhuiden slaagden er niet in de cirkel te doorbreken » (« Les Peaux-rouges ne réussissaient pas à briser / percer le cercle »).
On y trouve notamment la forme verbale « slaagDEN » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant de l’infinitif « SLAGEN ». Ce verbe est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « G », on trouvera le « D » majoritaire au participe passé et la terminaison « -DE » au singulier du prétérit.
On y trouve donc l’expression « ERIN SLAGEN » (équivalent de l’expression « LUKKEN IN », qui aurait pu donner la phrase alternative : « Het lukte hen niet de cirkel te doorbreken »). L’expression (équivalent, en mauvais français, à « réussir DE ») engendre un « TE » quand il précède un infinitif comme, ici, « DOORBREKEN » (qui n’est donc PAS un verbe à « particule séparable » puisque le « TE » ne s’intercale PAS entre la particule « DOOR » et l’infinitif « BREKEN » proprement dit).
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De wraak der (van de) Tecontas », le volume N°15 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1957-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 15 WRAAK TECONTAS 09I - Rajouté le 30/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De wagens waren in een cirkel geplaatst en de pioniers verdedigden zich hardnekkig » (« Les chariots étaient placés en un cercle et les pionniers se défendaient avec acharnement »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEplaatst », participe passé (utilisé avec un plus-que-parfait) construit sur l’infinitif « PLAATSEN ».
Ce verbe est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « S », on trouvera au participe passé un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
On y trouve aussi la forme verbale « verdedigDEN zich » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant de l’infinitif « (zich) VERDEDIGEN ». Ce verbe est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « G », on trouvera le « D » majoritaire au participe passé et la terminaison « -DE » au singulier du prétérit.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De wraak der (van de) Tecontas », le volume N°15 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1957-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 15 WRAAK TECONTAS 09H - Rajouté le 30/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « (Geweerschoten weerklonken in de verte) en we wisten dat ook de karavaan nu aangevallen werd » (« … et nous sûmes que la caravane, (elle) aussi, était maintenant attaquée »).
On y trouve notamment la forme verbale « WISTEN », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « WETEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve aussi la forme verbale « AANgevallen », participe passé provenant de l’infinitif « AANvallen », lui-même construit sur l’infinitif « VALLEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « AANvallen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGEvallen ».
Il y a REJET de la forme verbale « AANgevallen » à la fin de la phrase, derrière le complément « NU ».
On y trouve encore la forme verbale « WERD », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « WORD », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » (ici « WERD ») au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De wraak der (van de) Tecontas », le volume N°15 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1957-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 15 WRAAK TECONTAS 09F - Rajouté le 30/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze waren gevangen genomen, want we vonden nergens hun lichamen » (« Ils étaient pris (= faits) prisonniers, car nous ne trouvâmes leurs corps nulle part »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEnomen », participe passé provenant de l’infinitif « NEMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve aussi la forme verbale « GEvangen », participe passé provenant de l’infinitif « VANGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce participe passé « GEvangen » est utilisé comme ADJECTIF ATTRIBUT, toujours INVARIABLE.
On y trouve enfin la forme verbale « VONDEN », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
N’oublions pas qu’il vaut mieux utiliser « WANT » que « OMDAT », parce que ce dernier modifie, en néerlandais, l’ordre des mots dans la phrase subordonnée, engendrant le REJET du verbe à la fin de la phrase. On aurait donc eu : « (…) OMDAT we nergens hun lichamen VONDEN » OU « « (…) OMDAT we hun lichamen nergens VONDEN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De wraak der (van de) Tecontas », le volume N°15 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1957-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : GESCHIEDENIS WERELD SCHOONJANS FUNCKEN 215 - Rajouté le 30/07/2011

Description : Cette invitation à la découverte de l’« Histoire du Monde » (1955-1962) par Jean SCHOONJANS (1897-1976) pour les Editions du Lombard ne correspond peut-être plus aux critères actuels d’approche pédagogique de l’Histoire mais, grâce aux talents d’illustration de Fred et Liliane FUNCKEN, elle reste inoubliable pour ceux qui ont eu la chance de la connaître alors.
La version néerlandophone, « Geschiedenis van de Wereld », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
La planche N°215 est parue dans le N°47 de l’hebdomadaire « KUIFJE » du 26 novembre 1959. Elle concernait les Temps Modernes, s’intitulait « In het land van de Maharadja’s » (« Au pays des Maharadjahs ») et se subdivisait en : « Het rijk van de grootmogol Aureng-Zeb tot 1707 » (« L’Empire du Grand Mogol Aureng-Zeb jusqu’en 1707 »), « Radja’s en Nabab’s » («Radjahs et Nababs »), « Dupleix, gouverneur van Indië » («Dupleix, gouverneur des Indes »), « Lord Robert Clive versloeg de Fransen in 1754 » (« Lord Robert Clive battit les Français en 1754 ») et « La Bourdonnais, een puike zeeman » (« La Bourdonnais, un marin magnifique »).
Jean SCHOONJANS se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer culturellement.
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : 103 DHAENENS VERLEDEN 10 MILJOEN BELGEN - Rajouté le 30/07/2011

Description : La S.V. belge ARTIS-HISTORIA S.C. a, parmi beaucoup d’autres publications de qualité, édité des « Bibliocassettes ». Celles, intitulées « Un passé pour 10 millions de Belges – Vies quotidiennes / Een verleden voor 10 miljoen Belgen – Dagelijks leven », conçues et dirigées par le Professeur Albert d’HAENENS (Directeur, en 1980, du Centre de Recherches sur la Communication en Histoire de l’UCL) contenaient notamment (à côté d’une fiche recto-verso de texte) une fiche en couleurs. L’illustration N°103, accompagnée d’une légende bilingue, était relative à : « Léopold III / Leopold III (1901-1983) ».
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 010 STORM OVER DAMME 06C - Rajouté le 29/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De paardensporen hielden voor uw ellendige hut halt » (« Les traces de chevaux faisaient halte (s’arrêtaient) devant votre misérable cabane »).
On y trouve notamment la forme verbale « HIELDEN », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « HOUDEN » et qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
« Halt houden » est une expression, où le nom commun « halt » se conduit comme une particule séparable mais ce n’est PAS un verbe à particule séparable …
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « Storm over Damme », le volume N°10 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 010 STORM OVER DAMME 06B - Rajouté le 29/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wij zagen ruiters in de duinen » (« Nous vîmes des cavaliers dans les dunes »).
On y trouve notamment la forme verbale « ZAGEN », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « ZIEN » et qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que, si l’on connaît la forme verbale au SINGULIER de l’O.V.T. (ou prétérit : « ZAG », qui est valable pour les TROIS personnes) d’un verbe irrégulier (= qui l’objet des « temps primitifs), il suffit en général d’ajouter la terminaison correspondant à la plupart des pluriels pour obtenir les TROIS personnes du PLURIEL de ce même verbe à l’O.V.T. (ou prétérit) : « ZAG » + « EN » = « ZAGEN ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 5 et 6 dans « Storm over Damme », le volume N°10 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 010 STORM OVER DAMME 06A - Rajouté le 29/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Enkele ruiters houden voor de hut van de visser halt en stijgen af » (« Quelques cavaliers font halte devant la cabane du pêcheur et descendent (de leurs chevaux) = mettent pied à terre »).
On y trouve notamment la forme verbale « stijgen AF », construite sur le verbe « AFstijgen, dit « à particule séparable », construit lui-même sur l’infinitif « STIJGEN » (ayant une autre signification) ; la particule « AF » est affectée par le phénomène du « REJET », à la fin de la phrase (derrière le complément éventuel, par exemple, « van hun paarden »).
On y trouve aussi « houden … halt », où le nom commun « halt » se conduit comme une particule séparable mais il n’existe PAS de verbe « halt houden » séparable : il s’agit d’une expression …
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « Storm over Damme », le volume N°10 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 010 STORM OVER DAMME 02D - Rajouté le 29/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Met vreselijk gekraak breekt het galjoen op een zandbank door » (« Avec un terrible craquement, le galion se brise sur un banc de sable »).
On y trouve le verbe « DOORbreken, dit « à particule séparable », construit sur le verbe « BREKEN » (ayant une autre signification), la particule « DOOR » étant affectée par le phénomène du « REJET », derrière le complément (« op een zandbank »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Met vreselijk gekraak »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « het galjoen ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « breekt ») et passant donc derrière lui.
Dans le groupe nominal « Met vreselijk gekraak », « vreselijk » utilisé comme adjectif épithète se place donc devant le nom « gekraak » (un « HET-woord » = « HET gekraak ») ; pour s’accorder, il aurait pu prendre la terminaison majoritaire « E » (ce qui est le cas devant les noms au PLURIEL ou au SINGULIER, précédés d’un déterminant défini, même « HET ») mais comme il s’agit d’un « HET-woord » et qu’il n’est précédé d’AUCUN déterminant, c’est une exception ne prenant pas« E ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 2 dans « Storm over Damme », le volume N°10 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : 102 DHAENENS VERLEDEN 10 MILJOEN BELGEN - Rajouté le 29/07/2011

Description : La S.V. belge ARTIS-HISTORIA S.C. a, parmi beaucoup d’autres publications de qualité, édité des « Bibliocassettes ». Celles, intitulées « Un passé pour 10 millions de Belges – Vies quotidiennes / Een verleden voor 10 miljoen Belgen – Dagelijks leven », conçues et dirigées par le Professeur Albert d’HAENENS (Directeur, en 1980, du Centre de Recherches sur la Communication en Histoire de l’UCL) contenaient notamment (à côté d’une fiche recto-verso de texte) une fiche en couleurs. L’illustration N°102, accompagnée d’une légende bilingue, était relative à : « Albert 1er / Albert I (1875-1934) ».
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 03 BERENJAGER 05A - Rajouté le 28/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een enkele beet en ik ben ten dode opgeschreven » (« Une seule morsure et je suis condamné à mort »).
On y trouve notamment la forme verbale « OPgeschreven », participe passé provenant de l’infinitif « OPschrijven », construit sur l’infinitif « SCHRIJVEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le verbe « OPschrijven » est dit « à particule séparable ». Quand il est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEschreven ».
Aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « TEN DODE »), à la fin de la phrase.
On trouve, dans le groupe nominal, le nom commun « BEET », qui fait référence au verbe « BIJTEN » (faisant l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts »). On fabrique très souvent le nom commun à partir de la première personne du singulier de l’indicatif présent (= radical) du verbe correspondant ; dans ce cas-ci, il dériverait plutôt du prétérit (ou O.V.T.) singulier : « ik BEET » (= « je mordais OU je mordis »).
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « De berenjager », le volume N°3 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 03 BERENJAGER 27A - Rajouté le 28/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Mogelijk snijdt de lavastroom hun de weg af » (« Possible(ment), la coulée de lave va leur couper le chemin»).
On y trouve notamment la forme verbale « snijdt … AF », provenant de l’infinitif « AFsnijden », construit sur l’infinitif « SNIJDEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le verbe « AFsnijden » est dit « à particule séparable ». Quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » faisant l’objet d’un REJET, derrière les compléments (ici « HUN » et « DE WEG »), à la fin de la phrase.
On trouve la forme verbale « snijdT », troisième personne du singulier de l’O.T.T. ou indicatif présent. Elle doit se terminer par « T » même si l’avant-dernière lettre est « D » (la seule véritable exception étant le « IS », dans « hij/zij/het//dit/dat/men/er/daar/hier is »).
N’oublions pas non plus que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (ici « MOGELIJK »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de lavastroom ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « snijdt ») et passant donc derrière lui.
Signalons enfin que, en néerlandais, les adjectifs se terminant par « -LIJK » peuvent, dans d’autres contextes, devenir des adverbes invariables. En français l’adjectif « possible » est un cas qui ne donne pas son équivalent adverbial se terminant par « -MENT », mais c’est une exception rare.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est un montage par nos soins extrait des page 22 et 27 dans « De berenjager », le volume N°3 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 03 BERENJAGER 06A - Rajouté le 28/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « In doodangst sloot moeder ons in hut » (« Dans une angoisse mortelle, mère nous enferma dans la cabane »).
On y trouve notamment la forme verbale « SLOOT », O.V.T. (ou prétérit), construit sur l’infinitif « SLUITEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (ici « In doodangst »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « MOEDER ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « sloot ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « De berenjager », le volume N°3 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 03 BERENJAGER 16A - Rajouté le 28/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Inmiddels heeft de beer de bergen verlaten » (« Entretemps l’ours a quitté les montagnes »).
On y trouve notamment la forme verbale « verlaten », participe passé provenant de l’infinitif homonyme « VERLATEN », construit sur l’infinitif « LATEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons également que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « DE BERGEN »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (ici « Inmiddels »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « DE BEER ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici l’auxiliaire « heeft ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « De berenjager », le volume N°3 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : GESCHIEDENIS WERELD SCHOONJANS FUNCKEN 213 - Rajouté le 28/07/2011

Description : Cette invitation à la découverte de l’« Histoire du Monde » (1955-1962) par Jean SCHOONJANS (1897-1976) pour les Editions du Lombard ne correspond peut-être plus aux critères actuels d’approche pédagogique de l’Histoire mais, grâce aux talents d’illustration de Fred et Liliane FUNCKEN, elle reste inoubliable pour ceux qui ont eu la chance de la connaître alors.
La version néerlandophone, « Geschiedenis van de Wereld », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
La planche N°213 est parue dans le N°45 de l’hebdomadaire « KUIFJE » du 12 novembre 1959. Elle concernait les Temps Modernes, s’intitulait « Ontdekkingsreizen » (« Voyages de découvertes ») et se subdivisait en : « Avonturenboeken van Defoe, Swift of Smollett » (« Livres d’aventures de Defoe, Swift ou Smollett »), « Het einde van de wereld » (« La fin du monde»), « James Cook, Engelse reiziger » (« James Cook, voyageur anglais »), « La Pérouse, Franse reiziger » (« La Pérouse, voyageur français ») et « Australië » (« Australie »).
Jean SCHOONJANS se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer culturellement.
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : 101 DHAENENS VERLEDEN 10 MILJOEN BELGEN - Rajouté le 28/07/2011

Description : La S.V. belge ARTIS-HISTORIA S.C. a, parmi beaucoup d’autres publications de qualité, édité des « Bibliocassettes ». Celles, intitulées « Un passé pour 10 millions de Belges – Vies quotidiennes / Een verleden voor 10 miljoen Belgen – Dagelijks leven », conçues et dirigées par le Professeur Albert d’HAENENS (Directeur, en 1980, du Centre de Recherches sur la Communication en Histoire de l’UCL) contenaient notamment (à côté d’une fiche recto-verso de texte) une fiche en couleurs. L’illustration N°101, accompagnée d’une légende bilingue, était relative à : « Léopold II / Leopold II (1835-1909) ».
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 15 WRAAK TECONTAS 09G - Rajouté le 27/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Op het ogenblik dat we om hun verdwijning zaten te huilen, weerklonken geweerschoten in de verte » (« Au moment où nous étions en train de pleurer au sujet de leur disparition, des coups de feu retentirent au loin »).
On y trouve notamment la forme verbale « ZATEN » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant de l’infinitif « ZITTEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Signalons que la tournure de phrase « we zitten TE huilen » correspond à « we zijn AAN HET huilen », le verbe de position « ZITTEN » remplaçant, une fois de plus, le verbe « ZIJN ».
On y trouve aussi la forme verbale « weerklonken » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant de l’infinitif « weerklinken », PAS « à particule séparable », construit sur le verbe « KLINKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve notamment la forme verbale « GEzwollen », participe passé provenant de l’infinitif « ZWELLEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce participe passé « GEzwollen » étant utilisé comme adjectif épithète et placé donc devant le nom « UITEINDE », pour s’accorder, devrait prendre la terminaison majoritaire « E » (devant noms masculin ou féminin ou NEUTRE au singulier ainsi que masculin, féminin ou NEUTRE au pluriel) précédé du déterminant DEFINI (par exemple, ici, « HET » pour un NEUTRE singulier).
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De wraak der (van de) Tecontas », le volume N°15 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1957-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 15 WRAAK TECONTAS 09E - Rajouté le 27/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het was duidelijk dat ze in een hinderlaag van de Roodhuiden (waren) gevallen waren » (« Il était évident qu’ils étaient tombés dans une embuscade des Peaux-rouges »).
On y trouve notamment forme verbale « GEvallen », participe passé provenant de l’infinitif « VALLEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La forme verbale « GEvallen fait d’autant plus l’objet d’un REJET à la fin de la phrase, qu’elle se trouve dans une phrase subordonnée.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De wraak der (van de) Tecontas », le volume N°15 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1957-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 15 WRAAK TECONTAS 09D - Rajouté le 27/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hoe groot was onze verbazing en ons verdriet, toen we enkele mijlen verder hun uitgebrande wagen vonden » (« (Comment = comme = combien) notre étonnement et notre chagrin fut grand, quand nous trouvâmes, quelques miles plus loin, leur chariot entièrement brûlé »).
On y trouve notamment la forme verbale « VONDEN » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant de l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve aussi la forme verbale « uitGEbrand », participe passé provenant de l’infinitif « UITbranden », lui-même construit sur l’infinitif « BRANDEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce participe passé « uitGEbrand » étant utilisé comme adjectif épithète et placé donc devant le nom « WAGEN », pour s’accorder, doit prendre la terminaison majoritaire « E » (devant noms masculin ou féminin ou NEUTRE au singulier ainsi que masculin, féminin ou NEUTRE au pluriel) précédé d’un déterminant (ici possessif : « HUN »).
Le verbe « BRANDEN » est donc considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) et ne fait PAS non plus partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « D », on trouvera le « D » majoritaire au prétérit (« brand » + DE = « brandDE) mais pas (une deuxième fois) au participe passé.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De wraak der (van de) Tecontas », le volume N°15 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1957-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 15 WRAAK TECONTAS 09B - Rajouté le 27/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Mijn ouders gingen het konvooi enkele kilometers vooraf » (« Mes parents précédaient le convoi de quelques kilomètres »).
On y trouve notamment la forme verbale « gingen … VOORAF » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant de l’infinitif « VOORAFgaan », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « GAAN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La « particule séparable » « VOORAF » fait, elle, l’objet d’un REJET derrière les compléments (« het konvooi » et « enkele kilometers ») à la fin de la phrase.
On aurait pu avoir une autre formulation : « Mijn ouders gingen enkele kilometers vóór het konvooi », avec des voyelles (« O ») portant exceptionnellement des accents en néerlandais.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De wraak der (van de) Tecontas », le volume N°15 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1957-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : GESCHIEDENIS WERELD SCHOONJANS FUNCKEN 212 - Rajouté le 27/07/2011

Description : Cette invitation à la découverte de l’« Histoire du Monde » (1955-1962) par Jean SCHOONJANS (1897-1976) pour les Editions du Lombard ne correspond peut-être plus aux critères actuels d’approche pédagogique de l’Histoire mais, grâce aux talents d’illustration de Fred et Liliane FUNCKEN, elle reste inoubliable pour ceux qui ont eu la chance de la connaître alors.
La version néerlandophone, « Geschiedenis van de Wereld », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
La planche N°212 est parue dans le N°44 de l’hebdomadaire « KUIFJE » du 5 novembre 1959. Elle concernait les Temps Modernes, s’intitulait « De Oostenrijkse successie-oorlog » («La guerre de succession d’Autriche ») et se subdivisait en : « Vier stukken » (« Quatre pièces »), «Tegen-offensief » (« Contre-offensive »), « Aan u de eer / Slag van Fontenoy, 1745 » (« A vous l’honneur / Bataille de Fontenoy, 1745 »), « Balilla, een kleine jongen van Genua » (« Balilla, un petit garçon de Gênes») et « De Vrede van Aken in 1748 » (« La Paix d’Aix-la-Chapelle en 1748 »).
Jean SCHOONJANS se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer culturellement.
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : 100 DHAENENS VERLEDEN 10 MILJOEN BELGEN - Rajouté le 27/07/2011

Description : La S.V. belge ARTIS-HISTORIA S.C. a, parmi beaucoup d’autres publications de qualité, édité des « Bibliocassettes ». Celles, intitulées « Un passé pour 10 millions de Belges – Vies quotidiennes / Een verleden voor 10 miljoen Belgen – Dagelijks leven », conçues et dirigées par le Professeur Albert d’HAENENS (Directeur, en 1980, du Centre de Recherches sur la Communication en Histoire de l’UCL) contenaient notamment (à côté d’une fiche recto-verso de texte) une fiche en couleurs. L’illustration N°100, accompagnée d’une légende bilingue, était relative à : « Léopold 1er / Leopold I (1790-1865) ».
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 010 STORM OVER DAMME 05A - Rajouté le 26/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Na de doden begraven te hebben, rijden de ruiters weer de duinen in » (« Après avoir enterré les morts, les cavaliers entrent à nouveau dans les dunes »).
On y trouve notamment, dans une phrase « infinitive » subordonnée, la forme verbale « BEGRAVEN », participe passé provenant du même infinitif, lui-même construit sur « GRAVEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». La construction de la phrase peut paraître bizarre aux francophones ; ils pourraient essayer de comprendre le « TE » en formulant littéralement la phrase, comme suit, en mauvais français : « Après les morts enterrés DE avoir ». On trouvera plus souvent en néerlandais l’alternative : « Nadat ze de doden begraven hebben », où le « TE » n’existe plus.
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « BE-», son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
On y trouve aussi, dans la phrase principale, la forme verbale « rijden … IN », provenant de l’infinitif « INrijden» (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur l’infinitif « RIJDEN » (ayant une signification différente).
Quand « INrijden» est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « IN » de son infinitif proprement dit et son REJET, derrière les compléments (« weer » et « de duinen »), à la fin de la phrase. Notez que la particule séparable « IN » provient bien de l’ancienne préposition et que la phrase aurait pu être formulée comme suit : « De ruiters rijden weer IN de duinen » (où le verbe n’est pas à particule séparable).
N’oublions pas que, la phrase (principale) commençant par une phrase subordonnée jouant le rôle de complément (« Na de doden begraven te hebben »), une INVERSION fait en sorte que le sujet « de ruiters » passe derrière le verbe « rijden ».
Rappelons enfin que le verbe rendant la notion de « se déplacer à cheval » est « paardRIJDEN », ce qui peut paraître cocasse quand on sait que « RIJDEN » signifie rouler (avec des roues) …
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 1 dans « Storm over Damme », le volume N°10 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 010 STORM OVER DAMME 02C - Rajouté le 26/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Doch de vermeende vuurbakens zijn slechts brandende pektonnen / pektoortsen door strandschuimers geplaatst » (« Néanmoins les balises supposées ne sont que des torches à poix placées par des naufrageurs »).
On y trouve notamment la forme verbale « geplaatst », participe passé construit sur l’infinitif « PLAATSEN ».
Ce verbe est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « S », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
La forme verbale « geplaatst » est un participe passé utilisé comme adjectif mais s’inscrit dans une phrase subordonnée (relative) à la voix passive, qui aurait été : « De pektonnen / pektoortsen die door strandschuimers werden geplaatst ». Cela justifie le REJET de « geplaatst » derrière le complément « door strandschuimers ». Mais il aurait pu être utilisé comme adjectif épithète : « De geplaatstE pektonnen / pektoortsen ».
La forme verbale « VERMEEND », est un participe passé utilisé comme adjectif épithète et construit sur l’infinitif « VERMENEN, lui-même construit sur l’infinitif « MENEN ».
Ce verbe « MENEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « N », on trouvera le « D » majoritaire.
Rappelons aussi que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux. C’est pourquoi, si l’on a bien « GEmeenD » pour « MENEN », on trouve ici « VERmeenD » pour « VERMENEN »
N’oublions enfin pas non plus que le participe présent en néerlandais se construit en ajoutant simplement un « D » à l’infinitif : « BRANDEN » => « brandenD ». Ici, ce participe présent est utilisé comme adjectif épithète, se place donc devant le nom et, pour s’accorder, prend la terminaison majoritaire « E » => « brandendE pektonnen / pektoortsen ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 2 dans « Storm over Damme », le volume N°10 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 010 STORM OVER DAMME 01D - Rajouté le 26/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het galjoen zwenkt scherp en stevent op de lichten af » (« Le galion vire de façon aiguë et cingle / fonce sur les lumières »).
On y trouve notamment la forme verbale « stevent … AF », provenant de l’infinitif « AFstevenen » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur l’infinitif « STEVENEN » (ayant une signification légèrement différente, la particule « AF » accentuant ici la vitesse du mouvement).
Quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit et son REJET, derrière le complément (« op de lichten »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 1 dans « Storm over Damme », le volume N°10 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 010 STORM OVER DAMME 01C - Rajouté le 26/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik hoop dat wij de vuurbakens van het Zwin zien eer de storm losbreekt ! » (« J’espère que nous verrons les balises du Zwin avant que la tempête se déchaîne ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « LOSbreekt », provenant de l’infinitif « LOSbreken » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « BREKEN » (ayant une signification différente). Quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « LOS » de son infinitif proprement dit. Si cela avait le cas à l’O.T.T., on aurait pu avoir : « De storm breekt sterk LOS », avec REJET de « LOS » à la fin de la phrase.
On y trouve aussi la forme verbale « ZIEN », qui fait l’objet d’un REJET (derrière les compléments « de vuurbakens » et « van het Zwin ») à la fin de la phrase subordonnée introduite par « DAT ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 1 dans « Storm over Damme », le volume N°10 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : GESCHIEDENIS WERELD SCHOONJANS FUNCKEN 211 - Rajouté le 26/07/2011

Description : Cette invitation à la découverte de l’« Histoire du Monde » (1955-1962) par Jean SCHOONJANS (1897-1976) pour les Editions du Lombard ne correspond peut-être plus aux critères actuels d’approche pédagogique de l’Histoire mais, grâce aux talents d’illustration de Fred et Liliane FUNCKEN, elle reste inoubliable pour ceux qui ont eu la chance de la connaître alors.
La version néerlandophone, « Geschiedenis van de Wereld », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
La planche N°211 est parue dans le N°43 de l’hebdomadaire « KUIFJE » du 29 octobre 1959. Elle concernait les Temps Modernes, s’intitulait « Schaakmaat in 1740 » (« Echec et mat en 1740 ») et se subdivisait en : « Vals spel » (« Faux jeu = tricher au jeu »), «De zet van de koning van Pruisen » (« La mise / le coup du roi de Prusse »), « De zet van de koning van Frankrijk » (« La mise / le coup du roi de France »), « De zet van de keurvorst van Beieren » (« La mise / le coup du prince-électeur de Bavière ») et « De tegenzet van Maria-Therezia » (« La riposte de Marie-Thérèse »).
Jean SCHOONJANS se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer culturellement.
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : 099 DHAENENS VERLEDEN 10 MILJOEN BELGEN - Rajouté le 26/07/2011

Description : La S.V. belge ARTIS-HISTORIA S.C. a, parmi beaucoup d’autres publications de qualité, édité des « Bibliocassettes ». Celles, intitulées « Un passé pour 10 millions de Belges – Vies quotidiennes / Een verleden voor 10 miljoen Belgen – Dagelijks leven », conçues et dirigées par le Professeur Albert d’HAENENS (Directeur, en 1980, du Centre de Recherches sur la Communication en Histoire de l’UCL) contenaient notamment (à côté d’une fiche recto-verso de texte) une fiche en couleurs. L’illustration N°99, accompagnée d’une légende bilingue, était relative à : « La monarchie constitutionnelle / De constitutionele monarchie ».
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 02 WINNETOU 30A - Rajouté le 25/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je kunt (kan) hen tegen elkaar uitwisselen » (« Tu peux les échanger l’un contre l’autre »).
On y trouve notamment l’infinitif « UITwisselen », dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « WISSELEN », rejeté à la fin de la phrase. Quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit. Si cela avait le cas à l’O.T.T., on aurait pu avoir : « Hij wisselt hen (de twee gevangenen) tegen elkaar uit », avec REJET de « UIT » à la fin de la phrase.
On y trouve aussi l’auxiliaire de mode « KUNNEN » (capacité), qui exige le REJET de l’infinitif à la fin de la phrase. On a tendance à utiliser « KAN » pour tout le singulier de l’O.T.T.
N’oublions pas que « ELKAAR » est un pronom RECIPROQUE.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite d’un montage par nos soins des pages 30 et 31 dans « Winnetou », le volume N°2 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1963-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 02 WINNETOU 21A - Rajouté le 25/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb gewonnen ! Zullen de Apachen hun woord houden ? » (« J’ai gagné ! Les Apaches vont-ils tenir (tiendront-ils) leur parole ? »).
On y trouve, d’une part, la forme verbale « GEWONNEN », V.T.T. du verbe « WINNEN », faisant partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve, d’autre part, une deuxième phrase qui est au futur simple. Les non-néerlandophones sont souvent déroutés par cet auxiliaire du futur « ZULLEN » qui, seul, n’a pas de signification. Les francophones peuvent retrouver un « terrain connu » s’ils le rendent par « ALLER » comme dans ce qu’ils appellent le « futur proche ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 21 dans « Winnetou », le volume N°2 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1963-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 02 WINNETOU 14A - Rajouté le 25/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Als hij (Winnetou) ineens wegrent, zijn we (nu) verloren » (« S’il part en courant tout d’un coup, nous sommes perdus »).
On y trouve, d’une part, l’infinitif « WEGrennen », dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « RENNEN ». Quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « WEG » de son infinitif proprement dit. Si cela avait le cas à l’O.T.T., on aurait pu avoir : « Hij rent ineens weg », avec REJET de « WEG » à la fin de la phrase.
On y trouve, d’autre part, la forme verbale « VERLOREN », participe passé construit sur le verbe « VERLIEZEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Nous avons rajouté le complément « NU » pour que l’on se rende bien compte que le participe passé fait l’objet d’un REJET à la fin de la phrase.
La phrase (principale) commençant par une phrase subordonnée jouant le rôle de complément (« Als hij ineens wegrent »), une INVERSION fait en sorte que le sujet « WE » passe derrière le verbe « ZIJN ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 14 dans « Winnetou », le volume N°2 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1963-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 02 WINNETOU 03A - Rajouté le 25/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een machtige stier valt hem (Sam) plots aan » (« Un puissant bison mâle (taureau) l’attaque brusquement »).
On y trouve notamment l’infinitif « AANvallen », dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « VALLEN ». Quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit et elle fait l’objet d’un REJET derrière les compléments (« hem » et « plots ») à la fin de la phrase.
Nous avons remplacé, dans la phrase d’origine, le nom propre (le prénom Sam) par le pronom complément (C.O.D.) « HEM ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 3 dans « Winnetou », le volume N°2 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1963-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : GESCHIEDENIS WERELD SCHOONJANS FUNCKEN 210 - Rajouté le 25/07/2011

Description : Cette invitation à la découverte de l’« Histoire du Monde » (1955-1962) par Jean SCHOONJANS (1897-1976) pour les Editions du Lombard ne correspond peut-être plus aux critères actuels d’approche pédagogique de l’Histoire mais, grâce aux talents d’illustration de Fred et Liliane FUNCKEN, elle reste inoubliable pour ceux qui ont eu la chance de la connaître alors.
La version néerlandophone, « Geschiedenis van de Wereld », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
La planche N°210 est parue dans le N°42 de l’hebdomadaire « KUIFJE » du 22 octobre 1959. Elle concernait les Temps Modernes, s’intitulait « God save the King ! » (« Que Dieu préserve le roi ! ») et se subdivisait en : « Het Huis van Hannover tussen 1714 en 1727 » (« La Maison d’Hanovre entre 1714 et 1727 »), « Walpole, eerste minister whig » («Walpole, premier ministre whig »), « God bescherme de Koning !, geschreven ter ere van George II in 1740 » (« Que Dieu préserve le roi !, écrit en l’honneur de George II en 1740»), « Karel-Edward Stuart, verslagen te Culloden in 1746 » (« Charles-Edouard Stuart, battu à Culloden en 1746 ») et « De tory Lord Chatham of William Pitt » (« Le tory Lord Chatham, alias William Pitt »).
Jean SCHOONJANS se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer culturellement.
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : 098 DHAENENS VERLEDEN 10 MILJOEN BELGEN - Rajouté le 25/07/2011

Description : La S.V. belge ARTIS-HISTORIA S.C. a, parmi beaucoup d’autres publications de qualité, édité des « Bibliocassettes ». Celles, intitulées « Un passé pour 10 millions de Belges – Vies quotidiennes / Een verleden voor 10 miljoen Belgen – Dagelijks leven », conçues et dirigées par le Professeur Albert d’HAENENS (Directeur, en 1980, du Centre de Recherches sur la Communication en Histoire de l’UCL) contenaient notamment (à côté d’une fiche recto-verso de texte) une fiche en couleurs. L’illustration N°98, accompagnée d’une légende bilingue, était relative à : « La Constitution belge / De Belgische grondwet ».
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 15 WRAAK TECONTAS 09C - Rajouté le 24/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Op zekere dag verlieten wij de karavaan om ons bij onze ouders te voegen » (« Un (certain) jour, nous quittâmes (avons quitté) la caravane pour nous joindre à nos parents »).
On y trouve, d’une part, la forme verbale « VERLIETEN », O.V.T. (ou prétérit), construite sur le verbe « VERLATEN », lui-même construit sur le verbe « LATEN », faisant partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Même si nous ne sommes pas ici confrontés à un temps composé en néerlandais (mais on pourrait le rendre en français par un passé composé), rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
On y trouve aussi le verbe « VOEGEN », dans une sorte de phrase subordonnée (introduite par « OM … TE », signifiant « POUR » devant les verbes), la particule « TE » se plaçant toujours juste devant l’infinitif et les compléments (« ons » et « bij onze ouders ») s’intercalant entre le « OM » et le « TE ».
Attention à « ONS » et « ONZE ». Si le deuxième (variable) est construit sur la racine du premier (ici invariable), ils sont de nature différente. Ce « ONS » est un pronom complément. « ONZE » est un déterminant possessif, qui s’accorde comme un adjectif avec la terminaison « E ». On peut ainsi dire, par exemple : « onS huiS » (NEUTRE singulier ») qui, au pluriel, donnera « onZe huiZen ». Rappelons qu’en général un « S » final auquel on rajoute un « E » devient « Z ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De wraak der (van de) Tecontas », le volume N°15 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1957-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 15 WRAAK TECONTAS 09A - Rajouté le 24/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We maakten deel uit van de karavaan » (« Nous faisions partie de la caravane »).
On y trouve notamment la forme verbale « maakten … UIT », provenant de l’infinitif « UITmaken » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « MAKEN ». Quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit.
Ce verbe « MAKEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire) au V.T.T. (« geMAAKt ») et un « E » sera rajouté à l’O.V.T. comme ici. Cela donne à l’O.V.T. : « maak » + « TE » + « -N » (pluriel) => « maakTEn ».
On a affaire ici à une expression : « deel UITmaken van » (« faire partie de »).
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De wraak der (van de) Tecontas », le volume N°15 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1957-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 15 WRAAK TECONTAS 08B - Rajouté le 24/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze ontdekt weldra de wagen, die tussen de bomen (staat) verborgen staat » (« Elle découvre bientôt le chariot, qui se trouve caché entre les arbres »).
On y trouve notamment la forme verbale « verborgen » (participe passé provenant de l’infinitif « VERBERGEN »), qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Elle est utilisée comme adjectif mais cela n’empêche pas le REJET habituel à la fin de la phrase derrière le complément « tussen de bomen », d’autant plus que l’on se trouve dans une proposition subordonnée. La forme verbale « STAAT » remplace « IS » et si l’on avait affaire à une phrase « normale » au passé composé, on pourrait, par exemple, avoir : « De wagen is tussen de bomen verborgen ».
Rappelons aussi que, si « ONTDEKT » est ici à l’O.T.T. (ou indicatif présent), il aurait été écrit de la même façon aux temps comme le V.T.T. En effet, les formes verbales de participes passés comme « ONTDEKT » (provenant de l’infinitif « ONTDEKKEN »), avec le préfixe « ONT- » ne commencent pas par le préfixe habituel « GE - » ; par ailleurs ce verbe est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 8 dans « De wraak der (van de) Tecontas », le volume N°15 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1957-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : GESCHIEDENIS WERELD SCHOONJANS FUNCKEN 209 - Rajouté le 24/07/2011

Description : Cette invitation à la découverte de l’« Histoire du Monde » (1955-1962) par Jean SCHOONJANS (1897-1976) pour les Editions du Lombard ne correspond peut-être plus aux critères actuels d’approche pédagogique de l’Histoire mais, grâce aux talents d’illustration de Fred et Liliane FUNCKEN, elle reste inoubliable pour ceux qui ont eu la chance de la connaître alors.
La version néerlandophone, « Geschiedenis van de Wereld », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
La planche N°209 est parue dans le N°41 de l’hebdomadaire « KUIFJE » du 15 octobre 1959. Elle concernait les Temps Modernes, s’intitulait « Frederik II van Pruisen vanaf 1740 » («Frédéric II de Prusse à partir de 1740 ») et se subdivisait en : « De opvoeding van de prins » (« L’éducation du prince »), «Een verlichte geest » (« Un esprit éclairé »), «Het kasteel Sans Souci te Potsdam » (« Le château Sans Souci à Potsdam»), « Cynisme » (« Cynisme ») et « In dienst van de Staat » (« Au service de l’Etat »).
Jean SCHOONJANS se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer culturellement.
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : 097 DHAENENS VERLEDEN 10 MILJOEN BELGEN - Rajouté le 24/07/2011

Description : La S.V. belge ARTIS-HISTORIA S.C. a, parmi beaucoup d’autres publications de qualité, édité des « Bibliocassettes ». Celles, intitulées « Un passé pour 10 millions de Belges – Vies quotidiennes / Een verleden voor 10 miljoen Belgen – Dagelijks leven », conçues et dirigées par le Professeur Albert d’HAENENS (Directeur, en 1980, du Centre de Recherches sur la Communication en Histoire de l’UCL) contenaient notamment (à côté d’une fiche recto-verso de texte) une fiche en couleurs. L’illustration N°97, accompagnée d’une légende bilingue, était relative à : « L’Orangisme / Het Orangisme ».
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 04 STALEN ROS 12E - Rajouté le 24/07/2011

Description : Cette double phrase est grammaticalement intéressante : « En wat gaan we nu doen ? (Gaan we) ze naar het kamp meenemen ?» (« Et qu’allons-nous faire maintenant ? (Allons-nous) les prendre avec = les emporter vers le camp ? »).
Dans la deuxième phrase, on ne répète pas le « Gaan we », forme verbale correspondant à un « futur proche », peut-être sous l’influence du français. L’alternative aurait été : « En wat ZULLEN we nu doen ? (ZULLEN we) ze naar het kamp meenemen ?».
N’oublions pas que « ZULLEN », auxiliaire utilisé pour indiquer que l’on se trouve au futur simple, exige le REJET de l’autre verbe, à l’infinitif, derrière le(s) complément(s) (ici « nu » ou « naar het kamp »), à la fin de la phrase.
Cet infinitif « meeNEMEN » (conjugué sur « NEMEN ») est dit « à particule séparable », la particule « MEE » provenant de la préposition « MET »
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 12 dans « Het stalen ros », le volume N°4 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1955-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 010 STORM OVER DAMME 02B - Rajouté le 23/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij (Degene) die het strand bereiken worden door de strandschuimers ongenadig afgemaakt » (« Ceux qui atteignent le rivage sont achevés sans pitié par les naufrageurs »).
On y trouve notamment la forme verbale « AFgemaakt », participe passé construit sur l’infinitif « AFmaken », lui-même construit sur le verbe « MAKEN » (ayant une signification différente).
Ce verbe est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Ce verbe « AFmaken » est aussi dit « à particule séparable » ; quand il est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « afGEmaakt ».
Cette phrase est aussi à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 2 dans « Storm over Damme », le volume N°10 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 010 STORM OVER DAMME 02A - Rajouté le 23/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De bemanning komt grotendeels in het wilde water om » (« L’équipage périt en grande partie dans l’eau sauvage »).
On y trouve le verbe « OMkomen, dit « à particule séparable », construit sur le verbe « KOMEN » (ayant une signification différente), la particule « OM » étant affectée par le phénomène du « REJET », à la fin de la phrase, derrière les compléments (« grotendeels » et « in het wilde water »).
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 2 dans « Storm over Damme », le volume N°10 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 010 STORM OVER DAMME 01B - Rajouté le 23/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We zijn te ver gevaren » (« Nous avons navigué trop loin »).
On y trouve notamment la forme verbale « geVAREN », participe passé provenant de l’infinitif « VAREN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« ici « te ver ») à la fin de la phrase.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 1 dans « Storm over Damme », le volume N°10 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 010 STORM OVER DAMME 01A - Rajouté le 23/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het Zwin, door overstroming ontstaan, vormde een bevaarbare geul en (het Zwin) verbond Brugge rechtstreeks met de zee » (« Le Zwin, né à la suite d’une inondation, formait un chenal navigable et reliait Bruges directement avec la mer »).
On y trouve notamment, dans la deuxième phrase principale, la forme verbale « VERBOND », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « VERBINDEN », lui-même construit sur « BINDEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve aussi, dans un complément (« door overstroming ontstaan ») qui ressemble à une subordonnée (« dat door overstroming is ontstaan »), la forme verbale « ONTSTAAN », participe passé (avec, en quelque sorte, REJET à la fin de la phrase), construit sur l’infinitif « ontSTAAN », lui-même construit sur l’infinitif « STAAN » qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons enfin que si un verbe commence par le préfixe « ONT- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 1 dans « Storm over Damme », le volume N°10 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : GESCHIEDENIS WERELD SCHOONJANS FUNCKEN 208 - Rajouté le 23/07/2011

Description : Cette invitation à la découverte de l’« Histoire du Monde » (1955-1962) par Jean SCHOONJANS (1897-1976) pour les Editions du Lombard ne correspond peut-être plus aux critères actuels d’approche pédagogique de l’Histoire mais, grâce aux talents d’illustration de Fred et Liliane FUNCKEN, elle reste inoubliable pour ceux qui ont eu la chance de la connaître alors.
La version néerlandophone, « Geschiedenis van de Wereld », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
La planche N°208 est parue dans le N°40 de l’hebdomadaire « KUIFJE » du 15 octobre 1959. Elle concernait les Temps Modernes, s’intitulait « Maria-Theresia van Oostenrijk » («Marie-Thérèse d’Autriche ») et se subdivisait en : « Ik ben slechts een arme koningin » (« Je ne suis qu’une pauvre reine »), « Ik wil me waardig tonen van de liefde die mijn volk mij schenkt » (« Je veux me montrer digne de l’amour que mon peuple me témoigne »), « De Staat » (« L’Etat »), «Gerechtigheid » (« Justice ») et « De keizerin in 1745 » (« L’impératrice en 1745 »).
Jean SCHOONJANS se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer culturellement.
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : 096 DHAENENS VERLEDEN 10 MILJOEN BELGEN - Rajouté le 23/07/2011

Description : La S.V. belge ARTIS-HISTORIA S.C. a, parmi beaucoup d’autres publications de qualité, édité des « Bibliocassettes ». Celles, intitulées « Un passé pour 10 millions de Belges – Vies quotidiennes / Een verleden voor 10 miljoen Belgen – Dagelijks leven », conçues et dirigées par le Professeur Albert d’HAENENS (Directeur, en 1980, du Centre de Recherches sur la Communication en Histoire de l’UCL) contenaient notamment (à côté d’une fiche recto-verso de texte) une fiche en couleurs. L’illustration N°96, accompagnée d’une légende bilingue, était relative à : « Les milieux favorables à la Révolution de 1830 / De revolutie van 1830 in de kringen die haar gunstig gezind waren ».
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 01 OLD SHATTERHAND 31A - Rajouté le 22/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De wijde vlakten die zijn leven uitmaken « (« Les larges plaines qui constituent sa vie »).
On y trouve notamment l’infinitif « UITmaken », dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « MAKEN ». Quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit.
Dans la mesure où on a affaire à une phrase subordonnée (relative introduite par « DIE »), il y a REJET de la forme verbale derrière le complément « zijn leven » à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 31 dans « Old Shatterhand », le volume N°1 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 01 OLD SHATTERHAND 29A - Rajouté le 22/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De achtervolgers wagen een sprong over een kloof en halen daardoor hun achterstand in » (« Les poursuivants osent un saut au-dessus d’un ravin et, de ce fait, comblent leur retard »).
On y trouve, dans la deuxième phrase à l’indicatif présent, la forme verbale « halen … IN », construite sur le verbe « INhalen » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « HALEN ». Quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « IN » de son infinitif proprement dit, les compléments (« daardoor » et « hun achterstand ») s’intercalant entre eux, et le REJET de la particule, derrière les compléments donc, à la fin de la phrase.
On y trouve, dans la première phrase, le nom commun « SPRONG », qui fait référence au verbe « SPRINGEN » (faisant l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts »). On fabrique très souvent le nom commun à partir de la première personne du singulier de l’indicatif présent (= radical) du verbe correspondant ; dans ce cas-ci, il dériverait plutôt du prétérit (ou O.V.T.) singulier : « ik SPRONG » (= je sautais ou je sautai »).
Si l’on revient à la deuxième phrase, on y trouve également l’adverbe pronominal « daarDOOR ». Pour bien comprendre son origine, reformulons la phrase : « De achtervolgers halen hun achterstand DOOR een sprong over een kloof in »
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 29 dans « Old Shatterhand », le volume N°1 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 01 OLD SHATTERHAND 24A - Rajouté le 22/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Door het hoge gras sluipen dreigende gestalten het kamp van de Comanchen binnen (« Des silhouettes menaçantes se faufilent à travers l’herbe haute à l’intérieur du (dans le) camp des Comanches »).
On y trouve, dans la première phrase, la forme verbale « sluipen … BINNEN », construite sur l’infinitif « BINNENsluipen » (verbe dit « à particule séparable »), lui-même construit sur l’infinitif « SLUIPEN ». La particule séparable « BINNEN » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« het kamp » et « van de Comanchen »), à la fin de la phrase.
Signalons que dans « bINnen », ex-préposition, il y a « IN » (tout comme d’ailleurs dans son contraire « bUITen », il y a « UIT »).
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Door het hoge gras »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « dreigende gestalten ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « sluipen ») et passant donc derrière lui.
N’oublions pas non plus que le participe présent en néerlandais se construit en ajoutant simplement un « D » à l’infinitif : « DREIGEN » => « dreigenD ». Ici, ce participe présent est utilisé comme adjectif épithète, se place donc devant le nom et, pour s’accorder, prend la terminaison majoritaire « E » => « dreigendE gestalten ».
Dans le complément « Door het hoge gras » commençant la phrase, « HOOG » est utilisé comme adjectif épithète, se place donc devant le nom et, pour s’accorder, prend la terminaison majoritaire « E » (devant noms masculin, féminin et neutre au singulier ainsi que masculin, féminin ou neutre au pluriel) même s’il s’agit d’un « HET woord » (« HET gras »). Attention à la modification orthographique : dans la mesure où on rajoute un « E » derrière une consonne finale unique (ici « G »), cela entraîne la disparition d’une des deux voyelles identiques (ici « O ») devant cette même consonne si l’on a affaire à une double voyelle. « HOOG » + « E » - « O » = « hOgE ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 24 dans « Old Shatterhand », le volume N°1 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 01 OLD SHATTERHAND 19A - Rajouté le 22/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij kreeg de tijd niet te ontkomen en bevindt zich tussen de belegeraars » (« Il ne reçut (= n’eut) pas le temps se s’échapper et se retrouve entre les assiégeants »).
On y trouve, d’une part, dans la première phrase, la forme verbale « KREEG », O.V.T. (ou prétérit) construit sur le verbe « KRIJGEN » et faisant partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve, d’autre part, l’infinitif « ontkomen », qui NE figure PAS dans les verbes dits « à particule séparable », le préfixe « ONT » ne l’étant pas ; s’il est donc lui-même construit sur le verbe « KOMEN » (faisant l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts »), son participe passé sera, par hasard (pas de « GE »), identique à l’infinitif ; on pourrait, par exemple, avoir : « Hij is niet ontkomen ».
Rappelons que, au niveau de la NEGATION située à proximité d’un nom commun, on aurait pu avoir : « Hij kreeg geen tijd (om) te ontkomen. »
On trouve, dans la deuxième phrase, la forme verbale « bevindT (zich) », troisième personne du singulier de l’O.T.T. ou indicatif présent. Elle doit se terminer par « T » même si l’avant-dernière lettre est « D » (la seule véritable exception étant le « IS », dans « hij/zij/het//dit/dat/men/er/daar/hier is »).
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 19 dans « Old Shatterhand », le volume N°1 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : GESCHIEDENIS WERELD SCHOONJANS FUNCKEN 207 - Rajouté le 22/07/2011

Description : Cette invitation à la découverte de l’« Histoire du Monde » (1955-1962) par Jean SCHOONJANS (1897-1976) pour les Editions du Lombard ne correspond peut-être plus aux critères actuels d’approche pédagogique de l’Histoire mais, grâce aux talents d’illustration de Fred et Liliane FUNCKEN, elle reste inoubliable pour ceux qui ont eu la chance de la connaître alors.
La version néerlandophone, « Geschiedenis van de Wereld », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
La planche N°207 est parue dans le N°39 de l’hebdomadaire « KUIFJE » du 1er octobre 1959. Elle concernait les Temps Modernes, s’intitulait « Verlichte despoten » (« Despotes éclairés ») et se subdivisait en : « Alles voor het volk » (« Tout pour le peuple »), « De uitvindingen » (« Les inventions »), « De aardappels en Parmentier » (« Les pommes de terre et Parmentier»), « Karel III van Spanje » (« Charles III d’Espagne») et « Uitwijzing van de Jezuiten » (« Expulsion des Jésuites »).
Jean SCHOONJANS se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer culturellement.
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : 095 DHAENENS VERLEDEN 10 MILJOEN BELGEN - Rajouté le 22/07/2011

Description : La S.V. belge ARTIS-HISTORIA S.C. a, parmi beaucoup d’autres publications de qualité, édité des « Bibliocassettes ». Celles, intitulées « Un passé pour 10 millions de Belges – Vies quotidiennes / Een verleden voor 10 miljoen Belgen – Dagelijks leven », conçues et dirigées par le Professeur Albert d’HAENENS (Directeur, en 1980, du Centre de Recherches sur la Communication en Histoire de l’UCL) contenaient notamment (à côté d’une fiche recto-verso de texte) une fiche en couleurs. L’illustration N°95, accompagnée d’une légende bilingue, était relative à : « Les journées révolutionnaires de 1830 à Bruxelles / De revolutiedagen van 1830 te Brussel ».
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : 094 DHAENENS VERLEDEN 10 MILJOEN BELGEN - Rajouté le 21/07/2011

Description : La S.V. belge ARTIS-HISTORIA S.C. a, parmi beaucoup d’autres publications de qualité, édité des « Bibliocassettes ». Celles, intitulées « Un passé pour 10 millions de Belges – Vies quotidiennes / Een verleden voor 10 miljoen Belgen – Dagelijks leven », conçues et dirigées par le Professeur Albert d’HAENENS (Directeur, en 1980, du Centre de Recherches sur la Communication en Histoire de l’UCL) contenaient notamment (à côté d’une fiche recto-verso de texte) une fiche en couleurs. L’illustration N°94, accompagnée d’une légende bilingue, était relative à : « L’insertion internationale de la Belgique en 1830 / Erkenning van België op het internationale vlak in 1830 ».
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 02 GEHEIM RAINY LAKE 20D - Rajouté le 21/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het gevaar niet vermoedend, verlaat de moeder zwaan haar nest vol eieren om voedsel te zoeken » (« Ne soupçonnant pas le danger, la mère cygne quitte son nid plein d’œufs pour chercher de la nourriture »).
Le complément « Het gevaar niet vermoedend », précédant la phrase principale, est une sorte de phrase subordonnée, ce qui explique le rejet de la forme verbale « vermoedend » à la fin de cette phrase.
Rappelons que, en néerlandais, le participe présent est construit en rajoutant simplement un « D » à la fin de l’infinitif : « vermoeden » + « D » => « vermoeden D ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (donc ici « Het gevaar niet vermoedend »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de moeder zwaan ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « verlaat ») et passant donc derrière lui.
Rappelons aussi que, en néerlandais, la logique du déterminant possessif, à la troisième personne du singulier « SON », « SA » ou « SES »), est radicalement différente de celle en français. A « la mère cygne quitte SON nid », correspond « de moeder zwaan verlaat HAAR nest » => « le nid DE ELLE » = « HAAR nest » ; si l’on avait eu « le père cygne quitte SON nid », on aurait eu « de vader zwaan verlaat ZIJN nest » => « le nid DE LUI » = « ZIJN nest ».
On trouve, par ailleurs, le pluriel irrégulier « (de) eiEREN » pour le nom commun « (het) EI ».
On trouve enfin, dans une deuxième sorte de phrase subordonnée introduite par « OM … TE » (signifiant « POUR » devant les verbes), le complément « voedsel » intercalé entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « ZOEKEN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 20 dans « Het geheim van Rainy Lake », le volume N°2 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1954-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 02 GEHEIM RAINY LAKE 20C - Rajouté le 21/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Elke dag keert zij (Bessy) terug om de mooie witte vogel gade te slaan » (« Chaque jour, elle revient pour observer le bel oiseau blanc »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « keert … TERUG » provenant de l’infinitif « TERUGkeren », verbe à « particule séparable ». Quand ce verbe est conjugué, la particule « TERUG » se sépare donc de l’infinitif « KEREN » proprement dit ; la phrase commençant par le complément « Elke dag », une INVERSION fait en sorte que le sujet « zij » passe derrière la forme verbale « keert » et la sépare donc ici de la particule « TERUG ». Cette particule « TERUG » est très fréquente en néerlandais puisqu’elle correspond au préfixe « RE- » (exemple : Revenir), rendant la notion de RETOUR.
On trouve aussi, dans une sorte de phrase subordonnée introduite par « OM … TE » (signifiant « POUR » devant les verbes), le complément « de mooie witte vogel » intercalé entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « SLAAN ».
Il est à noter que « gade … slaan » provient de l’infinitif « gadeSLAAN », verbe à « particule séparable », « gade » réagissant comme les « particules séparables » provenant de prépositions courantes (« IN », « OP », etc).
Signalons enfin que, dans un groupe nominal, si l’on a DEUX adjectifs épithètes (qui, en néerlandais, rappelons-le, se placent toujours DEVANT le nom commun) dont une couleur, on a tendance à placer la couleur en DEUXIEME position : « de mooie WITTE vogel ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 20 dans « Het geheim van Rainy Lake », le volume N°2 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1954-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 02 GEHEIM RAINY LAKE 06C - Rajouté le 21/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Verschillende uren bleef zij (Bessy) tevergeefs wachten » («Plusieurs heures (durant) elle restait à attendre en vain »).
On y trouve notamment la forme verbale « BLEEF » (O.V.T. ou « prétérit »), provenant de l’infinitif « BLIJVEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si nous avions eu cette phrase au pluriel, nous aurions eu la forme verbale « BLEVEN », ressemblant davantage à l’infinitif « BLIJVEN ». N’oublions pas que un « F » derrière lequel on rajoute un « E » (a fortiori la terminaison « EN » du pluriel) devient « V ».
Il est à noter que la phrase, commençant par le complément « Verschillende uren », ce dernier engendre une INVERSION : le sujet « zij » passant derrière le verbe « bleef ». On aurait ainsi pu dire : « Zij bleef verschillende uren tevergeefs wachten » OU « Zij bleef tevergeefs verschillende uren wachten.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « Het geheim van Rainy Lake », le volume N°2 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1954-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 02 GEHEIM RAINY LAKE 06B - Rajouté le 21/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De bever (Chikawa) had haar echter onbewust een dienst bewezen » (« Le castor lui avait vraiment rendu un service inconsciemment »).
On y trouve notamment la forme verbale « had … BEWEZEN » (V.V.T. ou « plus-que-parfait ») provenant de l’infinitif « BEWIJZEN », lui-même construit sur l’infinitif « WIJZEN » (ayant une autre signification), qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons également que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux. « BEWEZEN » est donc bien un participe passé même si sa forme verbale est identique au pluriel de l’O.V.T. (ou « prétérit »). Aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET (derrière les compléments « haar », « echter », « onbewust » et « een dienst») à la fin de la phrase.
Signalons que « BEWIJZEN » signifie d’abord « PROUVER » mais que, associés à certains noms communs pour constituer une « expression », les infinitifs, notamment néerlandais, peuvent changer de signification, comme ici.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « Het geheim van Rainy Lake », le volume N°2 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1954-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : GESCHIEDENIS WERELD SCHOONJANS FUNCKEN 206 - Rajouté le 21/07/2011

Description : Cette invitation à la découverte de l’« Histoire du Monde » (1955-1962) par Jean SCHOONJANS (1897-1976) pour les Editions du Lombard ne correspond peut-être plus aux critères actuels d’approche pédagogique de l’Histoire mais, grâce aux talents d’illustration de Fred et Liliane FUNCKEN, elle reste inoubliable pour ceux qui ont eu la chance de la connaître alors.
La version néerlandophone, « Geschiedenis van de Wereld », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
La planche N°206 est parue dans le N°38 de l’hebdomadaire « KUIFJE » du 24 septembre 1959. Elle concernait les Temps Modernes, s’intitulait « De lichten van de eeuw » (« Les lumières du siècle ») et se subdivisait en : « Het salon » (« Le salon de Madame Geoffrin, celui de Madame de Tencin et celui de Mademoiselle de Lespinasse »), « Men praatte » (« On parlait de Montesquieu, de Locke, de Diderot, de d’Alembert »), « Voltaire » (« Voltaire »), « Jean-Jacques Rousseau » (« Jean-Jacques Rousseau ») et « Figaro ? Beaumarchais ? Marivaux ?» (« Figaro ? Beaumarchais ? Marivaux ? »).
Jean SCHOONJANS se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer culturellement.
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 001 GEBROKEN ZWAARD 14A - Rajouté le 20/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Door de hefboom van het mechanisme naar zich toe te halen, gaat het paneel naar boven open » (« En actionnant le levier du mécanisme vers lui, le panneau va vers le haut = se relève »).
On y trouve notamment, dans une sorte de phrase subordonnée, la forme verbale « TOEhalen », construite sur « HALEN » (ayant une signification différente). Le verbe « TOEhalen » est un verbe « à particule séparable », ce qui explique que la « particule séparable » « TOE » est effectivement séparée de lui. Pour comprendre la présence du « TE » devant la partie « HALEN » de « TOEhalen », il faudrait se dire que l’on pourrait rendre le début de la phrase « Door » par « Du fait DE », ce qui donnerait en mauvais français pour « Door de hefboom (…) toe TE halen » : « Du fait DE actionner le levier ». On pourrait se dire que le « TE » néerlandais correspond à une sorte de «DE » français.
On y trouve aussi la forme verbale « OPEN … gaan », construite sur le verbe « GAAN ». Le verbe « OPENgaan » est un verbe « à particule séparable », ce qui explique que la « particule séparable » « OPEN » est effectivement séparée de lui et fait l’objet d’un REJET à la fin de la phrase, derrière les compléments « het paneel » et « naar boven ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Door de hefboom »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « het paneel ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « gaat ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 14 dans « Het gebroken zwaard », le volume N°1 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1959-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 001 GEBROKEN ZWAARD 12A - Rajouté le 20/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Intussen is er een gestalte nader geslopen die aandachtig luistert » (« Pendant ce temps-là, (il y a) une silhouette (qui) s’est faufilée plus près, qui écoute attentivement »).
On y trouve notamment la forme verbale « geslopen », participe passé construit sur le verbe « SLUIPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Intussen »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « een gestalte » ou « ER ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « IS ») et passant donc derrière lui.
Dans cette phrase au passé composé, le participe passé « geslopen » fait l’objet d’un REJET à la fin de la phrase principale, derrière le complément « nader ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 12 dans « Het gebroken zwaard », le volume N°1 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1959-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 001 GEBROKEN ZWAARD 05A - Rajouté le 20/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Stervend (…) riep (hij) uit : eens zal mijn mijn zwaard uit dit moeras oprijzen om mij te wreken » (« Mourant, il s’écria : un jour, mon épée émergera de ce marais pour me venger »).
On y trouve notamment, dans la phrase introduisant la déclaration, la forme verbale « riep … UIT », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « UITroepen », conjugué lui-même sur « ROEPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Ce verbe « UITroepen » est dit « à particule séparable » ce qui explique que la « particule séparable » « UIT » est effectivement séparée de lui quand il est conjugué et elle aurait fait l’objet d’un REJET à la fin de la phrase, derrière le complément, s’il y avait eu un complément ; par exemple : « hij riep luid uit » OU, à l’O.T.T., « hij roept luid uit ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Stervend »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « hij », sous-entendu) inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « riep ») et passant donc derrière lui. Rappelons aussi que, en néerlandais, le participe présent est construit en rajoutant simplement un « D » à la fin de l’infinitif : « sterven » + « D » => « stervenD ».
On trouve, dans la phrase déclarative, l’infinitif du verbe « OPrijzen », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « RIJZEN » (ayant une signification différente), qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve enfin, dans une sorte de phrase subordonnée introduite par « OM … TE » (signifiant « POUR » devant les verbes), le complément « MIJ » intercalé et la particule « TE » placée derrière ce complément et donc toujours juste devant l’infinitif (« WREKEN »).
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « Het gebroken zwaard », le volume N°1 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1959-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 001 GEBROKEN ZWAARD 01A - Rajouté le 20/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij gaat onverschrokken op de boom af » (« Il marche sans (avoir) peur sur l’arbre »).
On y trouve notamment la forme verbale « gaat … AF », provenant de l’infinitif « AFgaan », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « GAAN ». La « particule séparable » « AF » fait l’objet d’un REJET à la fin de la phrase derrière le complément « op de boom ».
On y trouve aussi la forme verbale « onVERschrokken », construite sur le verbe « VERschrikken » (PAS « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « SCHRIKKEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts » (mais est homonyme d’un autre verbe « SCHRIKKEN », qui ne l’est pas). Ce participe passé est, ici, en quelque sorte utilisé comme adjectif : « onVERschrokken »= « NON apeuré »
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite des pages 1 et 2 dans « Het gebroken zwaard », le volume N°1 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1959-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : KERSTMAN HEEFT PROBLEMEN ECRILIRE - Rajouté le 20/07/2011

Description : L’équipe du groupe ECRILIRE (édité au Centre technique de l’Enseignement de la Communauté française de Belgique, à Frameries) a notamment créé des livres-jeux en néerlandais, dès le début des années 1990. « DE KERSTMAN HEEFT PROBLEMEN » a été imaginé par les élèves de la classe de Nadine RAYMOND (EESPSCF de Châtelet) et adapté en néerlandais (pour le niveau : 2ème année L2) par Bernadette DAMIT et Véra VAN GILS.
Ces livres du groupe ECRILIRE, au moins en néerlandais, semblent épuisés. A un moment où de tels outils sont trop rares, certainement pour les professeurs de néerlandais à Bruxelles, nous pensons ne pas trahir la volonté de base de leurs concepteurs en les mettant à disposition des intéressés.
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : GESCHIEDENIS WERELD SCHOONJANS FUNCKEN 205 - Rajouté le 20/07/2011

Description : Cette invitation à la découverte de l’« Histoire du Monde » (1955-1962) par Jean SCHOONJANS (1897-1976) pour les Editions du Lombard ne correspond peut-être plus aux critères actuels d’approche pédagogique de l’Histoire mais, grâce aux talents d’illustration de Fred et Liliane FUNCKEN, elle reste inoubliable pour ceux qui ont eu la chance de la connaître alors.
La version néerlandophone, « Geschiedenis van de Wereld », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
La planche N°205 est parue dans le N°37 de l’hebdomadaire « KUIFJE » du 17 septembre 1959. Elle concernait les Temps Modernes, s’intitulait « Lodewijk XV, de welbeminde » (« Louis XV, le bien-aimé ») et se subdivisait en : « De koning in 1723 » (« Le roi en 1723 »), « Markiezin de Pompadour » (« Marquise de Pompadour »), « Zijn ministers » (« Ses ministres »), « De financiën vertrouwd aan Machault in 1749 » (« Les finances confiées à Machault en 1749 ») et « Pontoise » (« L’expression : Encore un qui revient de Pontoise »).
Jean SCHOONJANS se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer culturellement.
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : 093 DHAENENS VERLEDEN 10 MILJOEN BELGEN - Rajouté le 20/07/2011

Description : La S.V. belge ARTIS-HISTORIA S.C. a, parmi beaucoup d’autres publications de qualité, édité des « Bibliocassettes ». Celles, intitulées « Un passé pour 10 millions de Belges – Vies quotidiennes / Een verleden voor 10 miljoen Belgen – Dagelijks leven », conçues et dirigées par le Professeur Albert d’HAENENS (Directeur, en 1980, du Centre de Recherches sur la Communication en Histoire de l’UCL) contenaient notamment (à côté d’une fiche recto-verso de texte) une fiche en couleurs. L’illustration N°93, accompagnée d’une légende bilingue, était relative à : « La révolution belge : l’enjeu national et l’implication des couches sociales / De Belgische revolutie : nationale inzet en betrokkenheid van de verschillende lagen van de bevolking ».
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 01 OLD SHATTERHAND 17A - Rajouté le 19/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De ruiters slepen dekens achter zich aan om hun sporen en die van de gewonde uit te wissen » (« Les cavaliers traînent des couvertures derrière eux pour effacer leurs traces et celles du blessé »).
On y trouve, dans la phrase principale, la forme verbale « slepen … AAN », construite sur le verbe « AANslepen » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « SLEPEN ». Quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, faisant l’objet d’un REJET à la fin de la phrase, les compléments (« dekens » et « achter zich ») s’intercalant entre eux.
On y trouve également, dans une sorte de phrase subordonnée (introduite par « OM … TE », signifiant « POUR » devant les verbes), la particule « TE » intercalée entre l’infinitif proprement dit, « WISSEN », et sa « particule séparable » « UIT » du verbe « UITwissen » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « WISSEN ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « Old Shatterhand », le volume N°1 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 01 OLD SHATTERHAND 15A - Rajouté le 19/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Eenmaal in het struikgewas sluipt hij onhoorbaar terug (« Une fois dans les broussailles, il se faufile à nouveau inaudiblement = sans qu’on l’entende »).
On y trouve, dans la première phrase, la forme verbale « SLUIPT », construite sur le verbe « SLUIPEN », dont il n’existe officiellement pas de variante « à particule séparable ». En néerlandais, on a de plus en plus tendance à faire jouer ce rôle au mot « TERUG », qui rend une notion de RETOUR (« il se faufile dans l’autre sens ») ou de REPETITION de l’action (« il se RE-faufile »).
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Eenmaal in het struikgewas »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « hij ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici l’auxiliaire « sluipt ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « Old Shatterhand », le volume N°1 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 01 OLD SHATTERHAND 12A - Rajouté le 19/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De roodhuid stort als een blok neer » (« Le peau-rouge s’effondre comme un bloc / une masse »).
On y trouve la forme verbale « stort … NEER », construite sur le verbe « NEERstorten » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « STORTEN ». Quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « NEER » (qui fait l’objet d’un REJET à la fin de la phrase) de son infinitif proprement dit, le complément (« als een blok ») s’intercalant entre eux.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 12 dans « Old Shatterhand », le volume N°1 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 01 OLD SHATTERHAND 02A - Rajouté le 19/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maximiliaan van Oostenrijk die zich tot keizer van Mexico liet uitroepen (« Maximilien d’Autriche qui se laissa (= fit) proclamer empereur du Mexique »).
On y trouve, d’une part, la forme verbale « LIET », O.V.T. (ou prétérit) construit sur le verbe « LATEN » et faisant partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve, d’autre part, l’infinitif « UITroepen », dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « ROEPEN ». Quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit.
Dans la mesure où on a affaire à une phrase subordonnée (relative introduite par « DIE »), il y a REJET des formes verbales, derrière les compléments (« tot keizer » et « van Mexico »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 2 dans « Old Shatterhand », le volume N°1 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : GESCHIEDENIS WERELD SCHOONJANS FUNCKEN 204 - Rajouté le 19/07/2011

Description : Cette invitation à la découverte de l’« Histoire du Monde » (1955-1962) par Jean SCHOONJANS (1897-1976) pour les Editions du Lombard ne correspond peut-être plus aux critères actuels d’approche pédagogique de l’Histoire mais, grâce aux talents d’illustration de Fred et Liliane FUNCKEN, elle reste inoubliable pour ceux qui ont eu la chance de la connaître alors.
La version néerlandophone, « Geschiedenis van de Wereld », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
La planche N°204 est parue dans le N°36 de l’hebdomadaire « KUIFJE » du 10 septembre 1959. Elle concernait les Temps Modernes, s’intitulait « Karel VI van Oostenrijk » (« Charles VI d’Autriche ») et se subdivisait en : « Wie zal erven ? » (« Qui va hériter ? »), « De Pragmatische Sanktie van 1724 » (« La Pragmatique Sanction de 1724 »), « De Oostendse Compagnie» (« La Compagnie d’Ostende »), « In Polen » (« En Pologne ») et « De Turkse oorlog in 1736 » (« La guerre turque en 1736 »).
Jean SCHOONJANS se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer culturellement.
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : HOLD UP JE BENT DETECTIVE ECRILIRE - Rajouté le 19/07/2011

Description : L’équipe du groupe ECRILIRE (édité au Centre technique de l’Enseignement de la Communauté française de Belgique, à Frameries) a notamment créé des livres-jeux en néerlandais, dès le début des années 1990. « HOLD-UP JE BENT DETECTIVE » a été conçu par l’EPESCF de Bertrix avec la collaboration de Michel GRONEMBERGER et adapté en néerlandais (pour le niveau : 2ème année L2) par Gilbert DE SAMBLANC et P. HAEMERS.
Ces livres du groupe ECRILIRE, au moins en néerlandais, semblent épuisés. A un moment où de tels outils sont trop rares, certainement pour les professeurs de néerlandais à Bruxelles, nous pensons ne pas trahir la volonté de base de leurs concepteurs en les mettant à disposition des intéressés.
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : 092 DHAENENS VERLEDEN 10 MILJOEN BELGEN - Rajouté le 19/07/2011

Description : La S.V. belge ARTIS-HISTORIA S.C. a, parmi beaucoup d’autres publications de qualité, édité des « Bibliocassettes ». Celles, intitulées « Un passé pour 10 millions de Belges – Vies quotidiennes / Een verleden voor 10 miljoen Belgen – Dagelijks leven », conçues et dirigées par le Professeur Albert d’HAENENS (Directeur, en 1980, du Centre de Recherches sur la Communication en Histoire de l’UCL) contenaient notamment (à côté d’une fiche recto-verso de texte) une fiche en couleurs. L’illustration N°92, accompagnée d’une légende bilingue, était relative à : « Le royaume des Pays-Bas / Het koninkrijk van de Nederlanden ».
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 16 TEKEN GROTE GEEST 28B - Rajouté le 18/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De Indianen hebben vast een luchtspiegeling voor een teken van de Grote Geest gehouden » (« Les Indiens ont certainement tenu un mirage pour un signe du Grand Esprit »).
On y trouve notamment forme verbale « GEhouden », participe passé provenant de l’infinitif « HOUDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEhouden » fait, lui, l’objet d’un REJET à la fin de la phrase derrière les 3 (trois) compléments.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « Het teken van de Grote Geest », le volume N°16 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1957-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 16 TEKEN GROTE GEEST 28A - Rajouté le 18/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Tot zijn grote verbazing ziet hij (Andy) de kudde bisons, die kort tevoren op hem aanstormden, in de wolken zweven » (« A son grand étonnement, il voit le troupeau de bisons, qui peu auparavant déferlaient sur lui, planer dans les nuages »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « AANstormden », provenant de l’infinitif « AANstormen », dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « STORMEN » (ayant une signification légèrement différente = « se ruer sur »).
La forme verbale « AANstormden » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments « kort tevoren » et « op hem », parce que l’on se trouve dans une phrase subordonnée.
Cette phrase est à l’O.V.T. (ou prétérit) et on aurait pu trouver : « de bisons stormden kort tevoren op hem aan », où la particule séparable « AAN » se serait effectivement séparée.
Ce verbe « STORMEN » n’est PAS affecté par les « temps primitifs » et, considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais), NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « M », on trouvera le « D » majoritaire.
Si ce verbe « à particule séparable » avait été conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela aurait entraîné en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGEstormd ».
Etant donné que la phrase principale commence par un complément « Tot zijn grote verbazing », il y a aussi le phénomène d’INVERSION, passage du sujet « hij » derrière le verbe « ziet ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « Het teken van de Grote Geest », le volume N°16 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1957-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 16 TEKEN GROTE GEEST 20A - Rajouté le 18/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het schouwspel jaagt hun angst aan » (« Le spectacle attise leur angoisse »).
On y trouve la forme verbale « jaagt AAN », provenant de l’infinitif « AANJAGEN », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « JAGEN » (ayant une signification différente = « chasser »).
La « particule séparable » « AAN » fait l’objet d’un REJET à la fin de la phrase derrière le complément « hun angst ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite d’un montage des pages 20 et 21 dans « Het teken van de Grote Geest », le volume N°16 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1957-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 12 ZWIJGENDE GETUIGE 15B - Rajouté le 18/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het gezwollen uiteinde doet de steen springen » (« L’extrémité gonflée fait sauter (éclater) la pierre »).
On y trouve notamment forme verbale « GEzwollen », participe passé provenant de l’infinitif « ZWELLEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce participe passé « GEzwollen » étant utilisé comme adjectif épithète et placé donc devant le nom « UITEINDE », pour s’accorder, devrait prendre la terminaison majoritaire « E » (devant noms masculin ou féminin ou NEUTRE au singulier ainsi que masculin, féminin ou NEUTRE au pluriel) précédé du déterminant DEFINI (par exemple, ici, « HET » pour un NEUTRE singulier).
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 15 dans « De zwijgende getuige », le volume N°12 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1956-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 12 ZWIJGENDE GETUIGE 15A - Rajouté le 18/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De wortels groeien onder de grond om het water op te zuigen » (« Les racines grandissent sous le sol pour absorber l’eau »).
On y trouve une forme verbale de l’infinitif « OPzuigen », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « ZUIGEN » (ayant une signification différente = « sucer »). On la trouve dans une sorte de phrase subordonnée introduite par « OM … TE » (signifiant « POUR » devant les verbes), la particule « TE » s’intercalant entre l’infinitif proprement dit, « ZUIGEN », et sa « particule séparable » « UIT ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 15 dans « De zwijgende getuige », le volume N°12 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1956-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : SCHATTENJACHT ECRILIRE - Rajouté le 18/07/2011

Description : L’équipe du groupe ECRILIRE (édité au Centre technique de l’Enseignement de la Communauté française de Belgique, à Frameries) a notamment créé des livres-jeux en néerlandais, dès le début des années 1990. « SCHATTENJACHT » a été imaginé par les élèves de la classe de Pierre LUCAS (EPESCF de Mouscron) et adapté en néerlandais (pour le niveau : 2ème année L2) par Gilbert DE SAMBLANC et P. HAEMERS.
Ces livres du groupe ECRILIRE, au moins en néerlandais, semblent épuisés. A un moment où de tels outils sont trop rares, certainement pour les professeurs de néerlandais à Bruxelles, nous pensons ne pas trahir la volonté de base de leurs concepteurs en les mettant à disposition des intéressés.
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : GESCHIEDENIS WERELD SCHOONJANS FUNCKEN 203 - Rajouté le 18/07/2011

Description : Cette invitation à la découverte de l’« Histoire du Monde » (1955-1962) par Jean SCHOONJANS (1897-1976) pour les Editions du Lombard ne correspond peut-être plus aux critères actuels d’approche pédagogique de l’Histoire mais, grâce aux talents d’illustration de Fred et Liliane FUNCKEN, elle reste inoubliable pour ceux qui ont eu la chance de la connaître alors.
La version néerlandophone, « Geschiedenis van de Wereld », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
La planche N°203 est parue dans le N°35 de l’hebdomadaire « KUIFJE » du 3 septembre 1959. Elle concernait les Temps Modernes, s’intitulait « De apotheker en de koksjongen » (« Le pharmacien et le marmiton ») et se subdivisait en : « Kardinaal Alberoni » (« Le Cardinal Alberoni »), « De eerwaarde heer Dubois » (« L’abbé Dubois »), « Soepjes en gif » (« Potages et poisons »), « Komplot van Cellamare » (« Complot de Cellamare ») et « Een kleine koningin : Ana Maria Victoria van Spanje » (« Une petite reine : Ana Maria Victoria d’Espagne »).
Jean SCHOONJANS se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer culturellement.
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : 091 DHAENENS VERLEDEN 10 MILJOEN BELGEN - Rajouté le 18/07/2011

Description : La S.V. belge ARTIS-HISTORIA S.C. a, parmi beaucoup d’autres publications de qualité, édité des « Bibliocassettes ». Celles, intitulées « Un passé pour 10 millions de Belges – Vies quotidiennes / Een verleden voor 10 miljoen Belgen – Dagelijks leven », conçues et dirigées par le Professeur Albert d’HAENENS (Directeur, en 1980, du Centre de Recherches sur la Communication en Histoire de l’UCL) contenaient notamment (à côté d’une fiche recto-verso de texte) une fiche en couleurs. L’illustration N°91, accompagnée d’une légende bilingue, était relative à : « Le rattachement à la France : impact social et mental / De aanhechting bij Frankrijk : sociale en mentale weerslag ».
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 002 GOUDEN SPOREN 34A - Rajouté le 17/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De reigershoeve heeft het beleg doorstaan » (« La ferme du héron a soutenu le siège »).
On y trouve notamment la forme verbale « DOORSTAAN », participe passé (avec REJET à la fin de la phrase) construit sur l’infinitif « STAAN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Rappelons que le participe passé de ce dernier débute par le préfixe « GE- » (=> « GEstaan »), commun à la majorité d’entre eux. Si aucun « GE » ne s’est intercalé, ici, entre « DOOR » et « STAAN », cela signifie que « DOORSTAAN » n’est PAS un verbe « à particule séparable ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 34 dans « De gouden sporen », le volume N°2 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1960-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 002 GOUDEN SPOREN 32A - Rajouté le 17/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Als ze op de binnenkoer geraken, zijn we verloren ! » (« S’ils atteignent la cour intérieure, nous sommes perdus ! »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « verloren », participe passé provenant de l’infinitif « VERLIEZEN ». Ce verbe fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Rappelons par ailleurs que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (la phrase subordonnée joue ici ce rôle « Als ze op de binnenkoer geraken »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « we ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici l’auxiliaire « zijn » du passé composé) et passant donc derrière lui.

La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 32 dans « De gouden sporen », le volume N°2 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1960-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 002 GOUDEN SPOREN 31B - Rajouté le 17/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Tijdens een korte plechtigheid wordt het ontzielde lichaam bij de gesneuvelden gelegd » (« Pendant une courte cérémonie, le corps sans vie (sans âme) est étendu auprès de ceux qui sont tombés au champ d’honneur »).
On y trouve notamment le REJET à la fin de la phrase de la forme verbale « gelegd », participe passé construit sur l’infinitif « LEGGEN ». Ce verbe « LEGGEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « G », on trouvera, bien sûr, le « D » majoritaire.
Cette phrase est aussi à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Tijdens een korte plechtigheid»), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « het onzielde lichaam ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici l’auxiliaire « wordt ») et passant donc derrière lui.
On y trouve également le participe passé « ontzield », utilisé comme adjectif épithète dans « het ontzielde lichaam ». Ce participe passé est construit sur l’infinitif « ONTZIELEN » signifiant : « abattre, décourager, démoraliser ». Cet infinitif étant considéré comme « régulier » et le radical se terminant par la consonne « L », on trouvera, bien sûr, le « D » majoritaire (voir « LEGGEN », supra). Rappelons par ailleurs que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « ONT- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
On y trouve enfin le participe passé « gesneuveld », utilisé comme nom commun (au PLURIEL => « -EN ») dans « bij de gesneuvelden » et construit sur l’infinitif « SNEUVELEN »
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 31 dans « De gouden sporen », le volume N°2 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1960-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 002 GOUDEN SPOREN 31A - Rajouté le 17/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De mannen vochten als leeuwen » (« Les hommes luttèrent comme DES lions »).
On y trouve notamment la forme verbale « VOCHTEN » (O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « VECHTEN »), qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que, dans un groupe nominal en néerlandais, si le nom commun était précédé d’un déterminant indéfini « EEN » (équivalent de « UN » ou « UNE ») au SINGULIER, il NE sera PAS précédé au PLURIEL d’un déterminant indéfini équivalent du « DES » français. Si l’on avait eu : « De mannen vochten als DE leeuwen », cela aurait signifié : « Les hommes luttèrent comme LES lions »).
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite d’un montage que nous avons réalisé à partir des pages 28 et 31 dans « De gouden sporen », le volume N°2 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1960-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : GESCHIEDENIS WERELD SCHOONJANS FUNCKEN 202 - Rajouté le 17/07/2011

Description : Cette invitation à la découverte de l’« Histoire du Monde » (1955-1962) par Jean SCHOONJANS (1897-1976) pour les Editions du Lombard ne correspond peut-être plus aux critères actuels d’approche pédagogique de l’Histoire mais, grâce aux talents d’illustration de Fred et Liliane FUNCKEN, elle reste inoubliable pour ceux qui ont eu la chance de la connaître alors.
La version néerlandophone, « Geschiedenis van de Wereld », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
La planche N°202 est parue dans le N°34 de l’hebdomadaire « KUIFJE » du 27 août 1959. Elle concernait les Temps Modernes, s’intitulait « De Regent in 1715 » (« Le Régent en 1715 ») et se subdivisait en : « Philips van Orleans » («Philippe d’Orléans »), « De bank van John Law » (« La banque de John Law »), « Papieren geld » (« Argent-papier »), « Frankrijk op drift » (« La France à la dérive ») et « De Jacobieten in Schotland » (« Les Jacobites en Ecosse »).
Jean SCHOONJANS se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer culturellement.
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : 090 DHAENENS VERLEDEN 10 MILJOEN BELGEN - Rajouté le 17/07/2011

Description : La S.V. belge ARTIS-HISTORIA S.C. a, parmi beaucoup d’autres publications de qualité, édité des « Bibliocassettes ». Celles, intitulées « Un passé pour 10 millions de Belges – Vies quotidiennes / Een verleden voor 10 miljoen Belgen – Dagelijks leven », conçues et dirigées par le Professeur Albert d’HAENENS (Directeur, en 1980, du Centre de Recherches sur la Communication en Histoire de l’UCL) contenaient notamment (à côté d’une fiche recto-verso de texte) une fiche en couleurs. L’illustration N°90, accompagnée d’une légende bilingue, était relative à : « Le rattachement à la France : apport institutionnel et administratif / De aanhechting bij Frankrijk : institutionele en bestuurlijke inbreng ».
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 07 JENNIFER 31C - Rajouté le 16/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze (de wilde stier en zijn aanhangers) worden na een straf weer in de stam opgenomen » (« C’est comme s’il s’est évanoui en fumée »).
On y trouve notamment, le REJET de la forme verbale « OPgenomen » (provenant de l’infinitif « OPnemen ») à la fin de la phrase, derrière les compléments (ce qui est aussi le cas des participes passés aux temps composés). Le verbe « OPnemen », dit « à particule séparable », est construit sur le verbe « NEMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Quand il est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEnomen ».
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 31 dans « Jennifer en Phowi », le volume N°7 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 07 JENNIFER 31B - Rajouté le 16/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zonder verdere woorden sluiten een bruine en een blanke hand zich vast in elkaar » (« Sans plus de mots, une main brune et une (main) blanche se ferment solidement l’une dans l’autre »).
On y trouve une expression « zich VAST in elkaar SLUITEN », réagissant comme un verbe « VASTsluiten » (« à particule séparable ») qui n’existe apparemment pas.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 31 dans « Jennifer en Phowi », le volume N°7 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 07 JENNIFER 31A - Rajouté le 16/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Uren lang wordt op de kinderen kunstmatige ademhaling toegepast » (« De longues heures durant, la respiration artificielle est appliquée sur les enfants »).
On y trouve notamment, le REJET de la forme verbale « TOEgepast » (provenant de l’infinitif « TOEpassen ») à la fin de la phrase, derrière les compléments (ce qui est aussi le cas des participes passés aux temps composés). Le verbe « TOEpassen », dit « à particule séparable », est construit sur le verbe « PASSEN », ayant une signification différente.
Ce verbe « PASSEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « S », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Quand il est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TOE » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « toeGEpast ». Il est à noter que la particule « TOE » provient de la préposition « TOT »
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
Etant donné que la phrase commence par un complément « Uren lang », il y a le phénomène d’INVERSION, passage du sujet « kunstmatige ademhaling » derrière la forme verbale « wordt » (et derrière un deuxième complément : « op de kinderen »).
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 31 dans « Jennifer en Phowi », le volume N°7 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 007 JENNIFER 11A - Rajouté le 16/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het is alsof de bron in één nacht uitgedroogd is » (« C’est comme si la source s’est asséchée en une seule nuit »).
On y trouve la forme verbale « UITgedroogd », construite sur le verbe « UITdrogen » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « DROGEN ».
Ce verbe « DROGEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « G », on trouvera, bien sûr, le « D » majoritaire.
Quand le verbe « DROGEN » est conjugué comme participe passé au passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux. Il y a en outre REJET, aux temps composés, du participe passé « uitGEdroogd » à la fin de la phrase, derrière le complément « in één nacht », s’intercalant donc entre l’auxiliaire « IS » et ce même participe passé « uitGEdroogd ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « Jennifer en Phowi », le volume N°7 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : FANTASTISCHE LABYRINT ECRILIRE - Rajouté le 16/07/2011

Description : L’équipe du groupe ECRILIRE (édité au Centre technique de l’Enseignement de la Communauté française de Belgique, à Frameries) a notamment créé des livres-jeux en néerlandais, dès le début des années 1990. « HET FANTASTISCHE LABYRINT » a été conçu par Marie-Claude HUBERT et Willy PAQUET (EPESCF de Nalinnes) et adapté en néerlandais (pour le niveau : 2ème année L2) par Gilbert DE SAMBLANC et P. HAEMERS. Il nous a servi de base pour développer à notre tour d’autres livres-jeux basés sur des aventures de « Petzi » ou de « Bob et Bobette » avec nos classes.
Ces livres du groupe ECRILIRE, au moins en néerlandais, semblent épuisés. A un moment où de tels outils sont trop rares, certainement pour les professeurs de néerlandais à Bruxelles, nous pensons ne pas trahir la volonté de base de leurs concepteurs en les mettant à disposition des intéressés.
(Bernard GOORDEN, membre fondateur de la LIPEQ (1994), diffuseur du groupe ECRILIRE en région bruxelloise à partir de 1995, comme en témoigne au moins l’article du journal LE SOIR du 16/12/1995).
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : GESCHIEDENIS WERELD SCHOONJANS FUNCKEN 201 - Rajouté le 16/07/2011

Description : Cette invitation à la découverte de l’« Histoire du Monde » (1955-1962) par Jean SCHOONJANS (1897-1976) pour les Editions du Lombard ne correspond peut-être plus aux critères actuels d’approche pédagogique de l’Histoire mais, grâce aux talents d’illustration de Fred et Liliane FUNCKEN, elle reste inoubliable pour ceux qui ont eu la chance de la connaître alors.
La version néerlandophone, « Geschiedenis van de Wereld », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
La planche N°201 est parue dans le N°33 de l’hebdomadaire « KUIFJE » du 20 août 1959. Elle concernait les Temps Modernes, s’intitulait « Hij (Peter de Grote) maakte een venster» (« Pierre le Grand fabriqua une fenêtre ») et se subdivisait en : « De Zee van Azow in 1696» (« La mer d’Azov en 1696 »), « Karel XII van Zweden in » (« Charles XII de Suède en 1697»), « Stormwind » (« Vent de tempête »), « De slag van Poltawa in 1709 » (« La bataille de la Poltava en 1709 ») et « De Vrede van Nystad in 1721 » (« La Paix de Nystad en 1721 »).
Jean SCHOONJANS se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer culturellement.
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

First  Previous  1  2  3  4  5  6  7  8  9  10  11  12  13  14  15  16  17  18  19  20  21  22  23  24  25  26  27  28  29  30  31  32  33  34  35  36  37  38  39  40  41  42  43  44  45  46  47  48  49  50  51  52  53  54  55  56  57  58  59  60  61  62  63  64  65  66  67  68  69  70  71  72  73  74  75  76  77  78  79  80  81  82  83  84  85  86  87  88  89  90  91  92  93  94  95  96  97  98  99  100  101  102  103  104  105  106  107  108  109  110  111  112  113  114  115  116  117  118  119  Next  Last  

Sous-menu

Liens rapides

Recherche

Entrez un mot clé:

Image au hasard

Image au hasard
tiré de l'oeuvre de Franquin

Crédits