IDESETAUTRES.be

Téléchargements

Si vous êtes satisfait(e) de ce que vous avez téléchargé, ayez la gentillesse de verser ne fût-ce que 1 (un) EURO symbolique sur le compte bancaire de l'ONG humanitaire de votre choix, avec la communication www.idesetautres.be.

Nom : WIREL BESSY 41 PONY EXPRESS 05B - Rajouté le 29/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Andy) komt aangelopen » (« Il arrive en courant »).
On y trouve la forme verbale « AANgelopen », participe passé provenant du verbe « AANlopen » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur l’infinitif « LOPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « AANlopen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGElopen ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’infinitif. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Cette tournure de phrase n’est pas fréquente ; elle fait un peu penser à la « forme progressive » : « Hij komt AAN HET lopen», rendue en anglais par un participe PRESENT : « He comes running ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « De pony express », le volume N°41 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : GESCHIEDENIS WERELD SCHOONJANS FUNCKEN 245 - Rajouté le 29/08/2011

Description : Cette invitation à la découverte de l’« Histoire du Monde » (1955-1962) par Jean SCHOONJANS (1897-1976) pour les Editions du Lombard ne correspond peut-être plus aux critères actuels d’approche pédagogique de l’Histoire mais, grâce aux talents d’illustration de Fred et Liliane FUNCKEN, elle reste inoubliable pour ceux qui ont eu la chance de la connaître alors.
La version néerlandophone, « Geschiedenis van de Wereld », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
La planche N°245 est parue dans le N°25 de l’hebdomadaire « KUIFJE » du 23 juin 1960. Elle concernait les Temps Modernes, s’intitulait « Het Consulaat » (« Le Consulat »), et se subdivisait en : « De wetgevende macht » (« Le pouvoir législatif »), « De uitvoerende macht » (« Le pouvoir exécutif »), « De oorlog » (« La guerre »), « Zoals Hannibal trok Bonaparte de Alpen over in mei 1800 » (« Comme Hannibal, Bonaparte franchit les Alpes en mai 1800 ») et « De Vrede van Amiens op 25 maart 1802 » (« La Paix d’Amiens, le 25 mars 1802 »).
Jean SCHOONJANS se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer culturellement.
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : GESCHIEDENIS WERELD SCHOONJANS FUNCKEN 244 - Rajouté le 28/08/2011

Description : Cette invitation à la découverte de l’« Histoire du Monde » (1955-1962) par Jean SCHOONJANS (1897-1976) pour les Editions du Lombard ne correspond peut-être plus aux critères actuels d’approche pédagogique de l’Histoire mais, grâce aux talents d’illustration de Fred et Liliane FUNCKEN, elle reste inoubliable pour ceux qui ont eu la chance de la connaître alors.
La version néerlandophone, « Geschiedenis van de Wereld », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
La planche N°244 est parue dans le N°24 de l’hebdomadaire « KUIFJE » du 16 juin 1960. Elle concernait les Temps Modernes, s’intitulait « 18 Brumaire, jaar VIII ! » (« 18 Brumaire, an VIII ! »), et se subdivisait en : « Bonaparte in triomf naar Parijs gedragen » (« Bonaparte porté en triomphe vers Paris »), « De hinderlaag op 9 november 1799 » (« Le guet-apens, le 9 novembre 1799 »), « Te Saint-Cloud » (« A Saint-Cloud »), «Paniek » (« Panique ») et « De nieuwe Constitutie » (« La nouvelle Constitution »).
Jean SCHOONJANS se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer culturellement.
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 41 PONY EXPRESS 05A - Rajouté le 28/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het is een jong vosje dat Bessy heeft doen opspringen » (« C’est un jeune renard que Bessy a fait sursauter »).
On y trouve notamment, au passé composé, une tournure que l’on appelle le « double infinitif ».
« DOEN » aurait dû être au participe passé (cela aurait donné « GEDAAN ») mais, dans la mesure où il est suivi d’un infinitif, on le transforme, lui aussi, en infinitif.
Pour les élèves francophones, qui trouvent trop contraignant d’apprendre les « temps primitifs », voilà une solution qui peut leur simplifier l’apprentissage de cette facette de la langue néerlandaise.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « De pony express », le volume N°41 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 41 PONY EXPRESS 04A - Rajouté le 27/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het loopt over de waterspiegel van plassen en kreken zonder zijn pootjes nat te maken » (« Il / elle marche sur le miroir d’eau des mares et des criques sans mouiller ses pattes »).
On y trouve notamment la forme verbale « NAT… maken », provenant du verbe « NATmaken », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « MAKEN ».
Quand « natMAKEN » est « conjugué » (ici, ce n’est pas vraiment le cas, puisqu’il est à l’infinitif) après la préposition « ZONDER » qui engendre un « TE », cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « NAT » (provenant d’un adjectif) de sa forme verbale proprement dite.
En mauvais français, la proposition subordonnée infinitive, introduite par « ZONDER » ,pourrait être traduite littéralement : « sans ses pattes DE se faire mouillées ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 4 dans « De pony express », le volume N°41 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : GESCHIEDENIS WERELD SCHOONJANS FUNCKEN 243 - Rajouté le 27/08/2011

Description : Cette invitation à la découverte de l’« Histoire du Monde » (1955-1962) par Jean SCHOONJANS (1897-1976) pour les Editions du Lombard ne correspond peut-être plus aux critères actuels d’approche pédagogique de l’Histoire mais, grâce aux talents d’illustration de Fred et Liliane FUNCKEN, elle reste inoubliable pour ceux qui ont eu la chance de la connaître alors.
La version néerlandophone, « Geschiedenis van de Wereld », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
La planche N°243 est parue dans le N°23 de l’hebdomadaire « KUIFJE » du 9 juin 1960. Elle concernait les Temps Modernes, s’intitulait « De Egyptische veldtocht » («L’expédition d’Egypte »), et se subdivisait en : « Het vertrek op 19 mei 1798» (« Le départ, le 19 mai 1798 »), « Op 21 juni 1798 stond Bonaparte aan de voet van de pyramiden » (« Le 21 juni 1798, Bonaparte se trouvait aux pieds des pyramides »), « Engeland stuurde Horatio Nelson, zijn beste admiraal, op Bonaparte af » (« L’Angleterre envoya Horace Nelson, son meilleur amiral, contre Bonaparte »), « Grote dingen : bezoek aan de pestlijders van Jaffa » (« De grandes choses : visite aux pestiférés de Jaffa ») et « Nieuws uit Parijs » (« Nouvelles de Paris »).
Jean SCHOONJANS se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer culturellement.
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : GESCHIEDENIS WERELD SCHOONJANS FUNCKEN 242 - Rajouté le 26/08/2011

Description : Cette invitation à la découverte de l’« Histoire du Monde » (1955-1962) par Jean SCHOONJANS (1897-1976) pour les Editions du Lombard ne correspond peut-être plus aux critères actuels d’approche pédagogique de l’Histoire mais, grâce aux talents d’illustration de Fred et Liliane FUNCKEN, elle reste inoubliable pour ceux qui ont eu la chance de la connaître alors.
La version néerlandophone, « Geschiedenis van de Wereld », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
La planche N°242 est parue dans le N°22 de l’hebdomadaire « KUIFJE » du 2 juin 1960. Elle concernait les Temps Modernes, s’intitulait « Napoleon Bonaparte » (« Napoléon Bonaparte »), et se subdivisait en : « Bonaparte was 27 jaar in 1796 » (« Bonaparte avait 27 ans en 1796 »), « Het leger in Italië » (« L’armée en Italie »), « Wij gaan : de brug van Arcole» (« Nous (y) allons : le pont d’Arcole »), « De Vrede van Campoformio van 18 october 1797 » (« La Paix de Campo Formio du 18 octobre 1797 ») et « Engeland » («L’Angleterre»).
Jean SCHOONJANS se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer culturellement.
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 006 WAPEN RIHEI 34A - Rajouté le 26/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Met dankbaarheid begreep hij (Rihei) dat de Rode Ridder hem op zijn manier om zijn onwankelbare trouw (had) beloond had » (« Avec gratitude, il comprit que le Chevalier Rouge l’avait, à sa manière, récompensé pour sa loyauté indéfectible »).
On y trouve notamment la forme verbale « BEGREEP », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « BEGRIJPEN », lui-même construit sur le verbe « GRIJPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (ici « Met dankbaarheid »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « HIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « BEGREEP ») et passant donc derrière lui.
Notons que le verbe, correspondant en néerlandais à « comprendre avec son intelligence », devrait plutôt être « VERSTAAN » (en relation avec le nom commun « VERSTAND »). La phrase aurait été : « Met dankbaarheid VERSTOND hij dat de Rode Ridder hem op zijn manier om zijn onwankelbare trouw (had) beloond had ». « BEGRIJPEN » a plutôt le sens de « inclure » : « Een fles begrijpt water. »
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 33 et 34 dans « Het wapen van Rihei », le volume N°6 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1961-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 006 WAPEN RIHEI 09A - Rajouté le 25/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Als ooit iemand op tijd toesloeg, is het deze ruiter ! » (« Si jamais quelqu’un a frappé à temps, c’est ce cavalier ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « TOEsloeg », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « TOEslaan » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « SLAAN ». Si cette forme verbale « TOEsloeg » ne s’était pas trouvée dans une phrase subordonnée (« Als ooit iemand op tijd toesloeg »), on aurait pu, par exemple, avoir : « De ruiter sloeg op tijd TOE », où il y aurait REJET de la particule séparable « TOE », derrière le complément, à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (la subordonnée joue ici ce rôle « Als ooit iemand op tijd toesloeg »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « HET ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « IS ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « Het wapen van Rihei », le volume N°6 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1961-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : KLEREN MAX ECRILIRE - Rajouté le 25/08/2011

Description : L’équipe du groupe ECRILIRE (édité au Centre technique de l’Enseignement de la Communauté française de Belgique, à Frameries) a notamment créé des livres-jeux en néerlandais, dès le début des années 1990. « DE KLEREN MAKEN DE MAX » a été imaginé en 1998 par Bernadette DAMIT (Chargée de mission « Ecole de la Réussite ») et Véra VAN GILS (Chargée de mission L2). Les illustrations, pleines d’humour, de Henri DEFRESNE sont un atout majeur pour cet ouvrage permettant d’ « apprendre en s’amusant ».
Ces livres du groupe ECRILIRE, au moins en néerlandais, semblent épuisés. A un moment où de tels outils sont trop rares, certainement pour les professeurs de néerlandais à Bruxelles, nous pensons ne pas trahir la volonté de base de leurs concepteurs en les mettant à disposition des intéressés.
Nous avons ajouté une nouvelle dimension à l’ensemble des phrases : elles sont également transférables en format audio MP3, afin que les apprenants puissent les écouter, par exemple, lors du trajet entre la maison et l’école ou sur leur ordinateur.
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : GESCHIEDENIS WERELD SCHOONJANS FUNCKEN 241 - Rajouté le 25/08/2011

Description : Cette invitation à la découverte de l’« Histoire du Monde » (1955-1962) par Jean SCHOONJANS (1897-1976) pour les Editions du Lombard ne correspond peut-être plus aux critères actuels d’approche pédagogique de l’Histoire mais, grâce aux talents d’illustration de Fred et Liliane FUNCKEN, elle reste inoubliable pour ceux qui ont eu la chance de la connaître alors.
La version néerlandophone, « Geschiedenis van de Wereld », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
La planche N°241 est parue dans le N°21 de l’hebdomadaire « KUIFJE » du 26 mai 1960. Elle concernait les Temps Modernes, s’intitulait « Het Directoire » (« Le Directoire »), et se subdivisait en : « De Grondwet van het jaar III in 1795 » (« La Constitution de l’an III en 1795 »), « Rot ! » (« Pourriture ! »), « Louter dwaasheid » («Pure folie »), « De incroyables » («Les incroyables ») et « Opstanden van de lege buiken tegen de rotte buiken » (« Révoltes des ventres vides contre les ventres pourris »).
Jean SCHOONJANS se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer culturellement.
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 006 WAPEN RIHEI 01A - Rajouté le 24/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Deze wonderlijke tochten werden door Marco Polo later in een boek beschreven » (« Ces expéditions merveilleuses furent décrites plus tard par Marco Polo dans un livre »).
On y trouve notamment la forme verbale « BESCHREVEN », participe passé provenant de l’infinitif « BESCHRIJVEN, lui-même construit sur le verbe « SCHRIJVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Le participe passé « BESCHREVEN » ressemble par hasard au pluriel du prétérit. « GESCHREVEN », participe passé de « SCHRIJVEN, est construit sur le pluriel du prétérit, « SCHREVEN ». (Pour un complément d’informations, vous pouvez notamment télécharger à partir de ce site le tableau de « temps primitifs », où des couleurs aident à mieux comprendre sur quelle forme est souvent construit un participe passé.)
Rappelons aussi que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (ici « door Marco Polo », « later » et « in een boek »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 1 dans « Het wapen van Rihei », le volume N°6 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1961-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : GESCHIEDENIS WERELD SCHOONJANS FUNCKEN 240 - Rajouté le 24/08/2011

Description : Cette invitation à la découverte de l’« Histoire du Monde » (1955-1962) par Jean SCHOONJANS (1897-1976) pour les Editions du Lombard ne correspond peut-être plus aux critères actuels d’approche pédagogique de l’Histoire mais, grâce aux talents d’illustration de Fred et Liliane FUNCKEN, elle reste inoubliable pour ceux qui ont eu la chance de la connaître alors.
La version néerlandophone, « Geschiedenis van de Wereld », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
La planche N°240 est parue dans le N°20 de l’hebdomadaire « KUIFJE » du 19 mai 1960. Elle concernait les Temps Modernes, s’intitulait « Robespierre » (« Robespierre ») et se subdivisait en : « De onomkoopbare » (« L’incorruptible »), « De super-mens » (« Le surhomme »), « 9 Thermidor – 27 juli 1794 : aanhouding van Robespierre » (« 9 Thermidor – 27 juillet 1794 : arrestation de Robespierre »), « Het einde van het Schrikbewind op 26 october 1795 » (« La fin de la Terreur le 26 octobre 1795 ») et « De Conventie deed nog wat anders» (« La Convention fit encore quelque chose d’autre »).
Jean SCHOONJANS se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer culturellement.
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 006 WAPEN RIHEI 13A - Rajouté le 23/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Als het niet aanhoudt, is het zonder betekenis ! » (« Si cela ne continue pas, c’est sans signification = importance ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « AANhoudt » provenant de l’infinitif « AANhouden » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « HOUDEN ». Si cette forme verbale « AANhoudt » ne s’était pas trouvée dans une phrase subordonnée »), on aurait pu, par exemple, avoir : « De aardbeving houdt niet lang AAN », où il y aurait REJET de la particule séparable « AAN », derrière le complément, à la fin de la phrase. C’est d’ailleurs le cas d’une phrase dans la troisième image : « Doch het trillen houdt aan ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (la subordonnée joue ici ce rôle « Als het niet aanhoudt »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « HET ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « IS ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 12 et 13 dans « Het wapen van Rihei », le volume N°6 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1961-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : GESCHIEDENIS WERELD SCHOONJANS FUNCKEN 238 - Rajouté le 22/08/2011

Description : Cette invitation à la découverte de l’« Histoire du Monde » (1955-1962) par Jean SCHOONJANS (1897-1976) pour les Editions du Lombard ne correspond peut-être plus aux critères actuels d’approche pédagogique de l’Histoire mais, grâce aux talents d’illustration de Fred et Liliane FUNCKEN, elle reste inoubliable pour ceux qui ont eu la chance de la connaître alors.
La version néerlandophone, « Geschiedenis van de Wereld », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
La planche N°238 est parue dans le N°18 de l’hebdomadaire « KUIFJE » du 5 mai 1960. Elle concernait les Temps Modernes, s’intitulait « Het Schrikbewind » (« La Terreur ») et se subdivisait en : « Charlotte Corday doodde Marat op 13 juli 1793 » (« Charlotte Corday tua Marat le 13 juillet 1793 »), «Iedereen wordt verdacht met de Wet van de Verdachten van 17 september 1793 » (« Tout le monde devient suspect avec la Loi des Suspects du 17 septembre 1793 »), « De guillotine van dokter Guillotin » (« La guillotine du docteur Guillotin »), «Fouquier Tinville, openbare aanklager van de revolutionaire rechtbank » (« Fouquier Tinville, accusateur public du tribunal revolutionnaire ») et « Fabre D’Eglantine maakte een nieuwe kalender, de kalender van de Franse Revolutie » (« Fabre D’Eglantine fabriqua un nouveau calendrier, le calendrier de la Révolution Française »).
Jean SCHOONJANS se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer culturellement.
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 006 WAPEN RIHEI 05A - Rajouté le 22/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De lettertekens worden met penseel en inkt aangebracht » (« Les caractères sont appliqués avec un pinceau et de l’encre »).
On y trouve notamment la forme verbale « AANgebracht », participe passé provenant de l’infinitif « AANbrengen » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « AANbrengen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGEbracht ».
Rappelons aussi que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « met penseel en inkt »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « Het wapen van Rihei », le volume N°6 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1961-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 006 WAPEN RIHEI 25A - Rajouté le 21/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Onze kansen om te ontsnappen zijn verkeken ! » (« Nos chances d’en réchapper sont mal vues = minces ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERKEKEN », participe passé provenant de l’infinitif « VERKIJKEN », lui-même construit sur le verbe « KIJKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Rappelons aussi que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (imaginons ici « NU »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 25 et 26 dans « Het wapen van Rihei », le volume N°6 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1961-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : GESCHIEDENIS WERELD SCHOONJANS FUNCKEN 237 - Rajouté le 21/08/2011

Description : Cette invitation à la découverte de l’« Histoire du Monde » (1955-1962) par Jean SCHOONJANS (1897-1976) pour les Editions du Lombard ne correspond peut-être plus aux critères actuels d’approche pédagogique de l’Histoire mais, grâce aux talents d’illustration de Fred et Liliane FUNCKEN, elle reste inoubliable pour ceux qui ont eu la chance de la connaître alors.
La version néerlandophone, « Geschiedenis van de Wereld », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
La planche N°237 est parue dans le N°17 de l’hebdomadaire « KUIFJE » du 28 avril 1960. Elle concernait les Temps Modernes, s’intitulait « Op de tonen van de Marseillaise » («Sur les notes de la Marseillaise ») et se subdivisait en : « Doel : Brussel ! Intrede op 14 november 1792» (« Objectif : Bruxelles ! Entrée le 14 novembre 1792 »), « William Pitt in Engeland » (« William Pitt en Angleterre »), « Het hoofd van de koning viel op het schavot op 21 januari 1793 » (« La tête du roi tomba sur l’échafaud, le 21 janvier 1793 »), « De Chouans en de oorlog van de Witten tegen de Blauwen » (« Les Chouans et la guerre des Blancs contre les Bleus ») et « Het vaderland in gevaar » (« La patrie en danger »).
Jean SCHOONJANS se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer culturellement.
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : GESCHIEDENIS WERELD SCHOONJANS FUNCKEN 236 - Rajouté le 20/08/2011

Description : Cette invitation à la découverte de l’« Histoire du Monde » (1955-1962) par Jean SCHOONJANS (1897-1976) pour les Editions du Lombard ne correspond peut-être plus aux critères actuels d’approche pédagogique de l’Histoire mais, grâce aux talents d’illustration de Fred et Liliane FUNCKEN, elle reste inoubliable pour ceux qui ont eu la chance de la connaître alors.
La version néerlandophone, « Geschiedenis van de Wereld », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
La planche N°236 est parue dans le N°16 de l’hebdomadaire « KUIFJE » du 21 avril 1960. Elle concernait les Temps Modernes, s’intitulait « De Conventie » (« La Convention ») et se subdivisait en : « Algemeen stemrecht » (« Suffrage universel = Droit de vote général»), « De Commune van Parijs van 2 september 1792 af » (« La Commune de Paris à partir du 2 septembre 1792 »), « Valmy, op 20 september 1792, éérste overwinning van de Franse Revolutie » (« Valmy, le 20 septembre 1792, première victoire de la Révolution française»), « Op 25 september 1792 werd de Franse Republiek uitgeroepen » (« Le 20 septembre 1792, la République française est proclamée ») et « Danton, de ziel van het Comité du Salut Public » (« Danton, l’âme du Comité du Salut Public »).
Jean SCHOONJANS se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer culturellement.
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : GESCHIEDENIS WERELD SCHOONJANS FUNCKEN 235 - Rajouté le 19/08/2011

Description : Cette invitation à la découverte de l’« Histoire du Monde » (1955-1962) par Jean SCHOONJANS (1897-1976) pour les Editions du Lombard ne correspond peut-être plus aux critères actuels d’approche pédagogique de l’Histoire mais, grâce aux talents d’illustration de Fred et Liliane FUNCKEN, elle reste inoubliable pour ceux qui ont eu la chance de la connaître alors.
La version néerlandophone, « Geschiedenis van de Wereld », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
La planche N°235 est parue dans le N°15 de l’hebdomadaire « KUIFJE » du 14 avril 1960. Elle concernait les Temps Modernes, s’intitulait « De herinneringen van een edelman » («Les souvenirs d’un noble, François de la Rochefoucauld ») et se subdivisait en : « De Conventie van Pillnitz op 25 augustus 1791 » (« La Convention de Pillnitz le 25 août 1791 »), « Bij de minister Roland » (« Chez le ministre Roland »), « De Montagnards » (« Les Montagnards »), « De Marseillaise » («La Marseillaise ») et « Op 10 augustus » (« Le 10 août »).
Jean SCHOONJANS se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer culturellement.
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 11 VUURWATER 31A - Rajouté le 19/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De bezetting wordt vervangen » (« La garnison est remplacée »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERVANGEN », participe passé construit sur l’infinitif « VERVANGEN », lui-même construit sur le verbe « VANGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 31 dans « Vuurwater », le volume N°11 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 11 VUURWATER 29A - Rajouté le 19/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De geest van het vuur is naar de Cheyennes gekomen » (« L’esprit du feu est venu chez les Cheyennes »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEKOMEN », participe passé provenant de l’infinitif « KOMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Cette forme verbale est, comme on le voit, construite sur L’INFINIF. (Pour complément d’informations, consultez notamment notre tableau de synthèse « Temps primitifs » dans la partie « GRAMMATICA » de ce site.)
Ce participe passé « GEKOMEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« naar de Cheyennes »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 28 et 29 dans « Vuurwater », le volume N°11 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 11 VUURWATER 08A - Rajouté le 19/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De vaten (alcohol) worden stukgeslagen en overboord geworpen » (« Les tonneaux (d’alcool) sont fracassés et jetés par-dessus bord »).
On y trouve notamment la forme verbale « STUKgeslagen », participe passé construit sur l’infinitif « STUKslaan » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « SLAAN», qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « STUKslaan » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « STUK » (provenant d’un NOM ») de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « stukGEslagen ».
On y trouve notamment la forme verbale « geworpen », participe passé provenant de l’infinitif « WERPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEWORPEN » est affecté d’un REJET, derrière le complément (« overboord»), à la fin de la phrase.
Cette phrase est enfin à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 8 dans « Vuurwater », le volume N°11 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 11 VUURWATER 07A - Rajouté le 19/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Is hij (de Rode Bizon) gek geworden ? » (« Est-il devenu fou ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEWORDEN », participe passé provenant de l’infinitif « WORDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Cette forme verbale est, comme on le voit, construite sur L’INFINIF. (Pour complément d’informations, consultez notamment notre tableau de synthèse « Temps primitifs » dans la partie « GRAMMATICA » de ce site.)
Le participe passé « GEWORDEN » est affecté d’un REJET, derrière le « complément » (« GEK »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, dans une phrase INTERROGATIVE (= une QUESTION, se terminant par un point d’INTERROGATION = « ? » ou « vraagteken » en néerlandais), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de Rode Bizon ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « IS ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 7 dans « Vuurwater », le volume N°11 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 11 VUURWATER 06A - Rajouté le 19/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Twee boten, geladen met vaten alcohol, komen aan » (« deux bateaux, chargés de tonneaux d’alcool, arrivent »).
On y trouve notamment la forme verbale « GELADEN », participe passé provenant de l’infinitif « LADEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Cette forme verbale est, comme on le voit, construite sur L’INFINIF. (Pour complément d’informations, consultez notamment notre tableau de synthèse « Temps primitifs » dans la partie « GRAMMATICA » de ce site.)
Ce participe passé « GELADEN », reste invariable même s’il est ici utilisé comme adjectif … « attribut » (l’auxiliaire « zijn » étant sous-entendu dans une subordonnée, qui aurait pu être : « (…) die met vaten alcohol zijn (worden) geladen. »
On y trouve aussi la forme verbale « KOMEN … AAN », construite sur l’infinitif « AANkomen » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « KOMEN ».
La « particule séparable » « AAN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément « geladen met vaten», à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « Vuurwater », le volume N°11 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : GESCHIEDENIS WERELD SCHOONJANS FUNCKEN 234 - Rajouté le 18/08/2011

Description : Cette invitation à la découverte de l’« Histoire du Monde » (1955-1962) par Jean SCHOONJANS (1897-1976) pour les Editions du Lombard ne correspond peut-être plus aux critères actuels d’approche pédagogique de l’Histoire mais, grâce aux talents d’illustration de Fred et Liliane FUNCKEN, elle reste inoubliable pour ceux qui ont eu la chance de la connaître alors.
La version néerlandophone, « Geschiedenis van de Wereld », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
La planche N°234 est parue dans le N°14 de l’hebdomadaire « KUIFJE » du 7 avril 1960. Elle concernait les Temps Modernes, s’intitulait « De wetgevende macht » («Le pouvoir législatif ») et se subdivisait en : « De federaties op 14 juli 1790» (« Les fédérations le 14 juillet 1790»), « De vlucht naar Varennes op 20 juni 1791 » (« La fuite vers Varennes du 20 juin 1791»), « Arme koning » (« Pauvre roi »), « Een nieuw regime » (« Un nouveau régime ») et « Het nieuwe Frankrijk » (« La nouvelle France »).
Jean SCHOONJANS se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer culturellement.
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 34 STRIJDBIJL 25A - Rajouté le 18/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wanneer het machinegeweer neerstort, vallen wij aan » (« Quand la mitrailleuse tombe, nous attaquons »).
On y trouve notamment la forme verbale « vallen … AAN », provenant de l’infinitif « AANvallen », conjugué lui-même sur « VALLEN ».
Quand « AANvallen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « AAN » étant affectée par un REJET, derrière le complément (imaginons ici, « de Indianen»), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (la proposition subordonnée « Wanneer het machinegeweer neerstort » joue ici ce rôle), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « WIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « vallen ») et passant donc derrière lui.
On y trouve aussi la forme verbale « NEERstort », construite sur le verbe « NEERstorten » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « STORTEN ».
Quand il est conjugué dans un contexte normal (pas dans une phrase subordonnée où le verbe est rejeté à la fin), cela entraîne normalement en néerlandais une séparation de la particule « NEER » (qui fait l’objet d’un REJET à la fin de la phrase) de son infinitif proprement dit, le complément (imaginons « van de heuvel ») s’intercalant entre eux ; on aurait donc pu avoir : « Het machinegeweer stort van de heuvel NEER. »
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « De strijdbijl », le volume N°34 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 34 STRIJDBIJL 20A - Rajouté le 18/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Terwijl de ruiters het fort omsingelen, stellen andere krijgers het machinegeweer op » (« Pendant que les cavaliers encerclent le fer, d’autres guerriers disposent la mitrailleuse »).
On y trouve notamment la forme verbale « stellen … OP », provenant de l’infinitif « OPstellen », conjugué lui-même sur « STELLEN ».
Quand « OPstellen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « OP » étant affectée par un REJET, derrière le complément (ici, « het machinegeweer »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (la proposition subordonnée « Terwijl de ruiters het fort omsingelen » joue ici ce rôle), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « andere krijgers ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « stellen ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 20 dans « De strijdbijl », le volume N°34 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 34 STRIJDBIJL 19C - Rajouté le 18/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een zwaar spervuur drijft de soldaten naar de oever terug » (« Un tir nourri refoule les soldats vers la berge »).
On y trouve notamment la forme verbale « drijft … TERUG », provenant de l’infinitif « TERUGdrijven », conjugué lui-même sur « DRIJVEN » (qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts »).
Quand « TERUGdrijven » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERUG » de son infinitif proprement dit, la particule « TERUG » étant affectée par un REJET, derrière les compléments (ici, « de soldaten » et « naar de oever »), à la fin de la phrase.
La forme verbale « drijFt » provient donc de l’infinitif « drijVen ». N’oublions pas que si un « V » était suivi d’un « E » (ou la terminaison « EN » du pluriel), il devient « F » quand ce « E » disparaît, au radical (première personne du singulier de l’indicatif présent) du verbe, derrière une consonne unique. Cette règle est également valable dans le cas du passage du pluriel au singulier d’un nom commun ou dans le cas d’accord d’un adjectif épithète.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 19 dans « De strijdbijl », le volume N°34 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 34 STRIJDBIJL 19B - Rajouté le 18/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze voeren het machinegeweer mee » (« Ils emportent la mitrailleuse (avec eux) »).
On y trouve notamment la forme verbale « voeren … MEE », provenant de l’infinitif « MEEvoeren », conjugué lui-même sur « VOEREN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « MEEvoeren » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « MEE » de son infinitif proprement dit, la particule « MEE » étant affectée par un REJET, derrière le complément (ici « het machinegeweer »), à la fin de la phrase. Il est à noter que la particule « MEE » provient de la préposition « MET ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 19 et 20 dans « De strijdbijl », le volume N°34 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 007 VAL ANGKOR 34C - Rajouté le 17/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Angkor verdween onder het groene tapijt van het oerwoud en zijn bestaan werd met de tijd vergeten » (« Angkor disparut sous le tapis vert de la forêt vierge et son existence fut oubliée avec le temps »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERDWEEN », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « VERDWIJNEN »), qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve aussi la forme verbale « VERGETEN », participe passé provenant, par hasard, du même infinitif « VERGETEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Rappelons aussi que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « met de tijd »), à la fin de la phrase.
Cette deuxième phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 34 dans « De val van Angkor », le volume N°7 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1961-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 007 VAL ANGKOR 34B - Rajouté le 17/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De machtige wortels van bomen spleten de dikste muren » (« Les puissantes racines d’arbres fendirent les murs les plus épais »).
On y trouve notamment la forme verbale « SPLETEN », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « SPLIJTEN »), qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve aussi la forme superlative de l’adjectif « DIK ». Comme en anglais, le superlatif se forme en rajoutant la terminaison « ST » à la fin de l’adjectif ; en néerlandais, le cas échéant, l’adjectif épithète (même au superlatif) s’accorde en prenant la terminaison « E » (supplémentaire , dans le cas d’un superlatif) : « DIK » + « ST » + « E » = « DIKstE ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 34 dans « De val van Angkor », le volume N°7 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1961-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 007 VAL ANGKOR 34A - Rajouté le 17/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De ruïnes boden nog slechts de dieren van het oerwoud een schuilplaats » (« Les ruines n’offrirent plus un abri qu’aux animaux de la forêt vierge »).
On y trouve notamment la forme verbale « BODEN », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « BIEDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Notez l’usage particulier de la négation « SLECHTS » (= « NE … QUE »), NE commençant PAS par un « N » contrairement à la plupart des autres mots néerlandais rendant cette notion de négation (« NIET », (« NIEMAND », « NOOIT », « NERGENS », …)
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 34 dans « De val van Angkor », le volume N°7 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1961-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 007 VAL ANGKOR 28A - Rajouté le 17/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « In het oerwoud wordt het sein tot de opstand gegeven » (« Dans la forêt vierge, le signal de la révolte fut donné »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEGEVEN », participe passé provenant de l’infinitif « GEVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons aussi que, aux temps composés, le participe passé (ici « GEGEVEN ») fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « tot de opstand » mais qui dépend de « het sein » ; imaginons donc plutôt « tegen de vijand »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« In het oerwoud »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « het sein ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « wordt ») et passant donc derrière lui.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 25 et 28 dans « De val van Angkor », le volume N°7 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1961-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 007 VAL ANGKOR 23A - Rajouté le 17/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze (de Khmers) lieten de inkt in de letters drogen » (« Ils laissaient l’encre sécher dans les lettres »).
On y trouve notamment la forme verbale « LIETEN », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « LATEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On remarquera aussi, le REJET du verbe « DROGEN », derrière les compléments (« de inkt » et « in de letters »), à la fin de cette phrase. Même si « LATEN » joue le rôle d’un auxiliaire à la première personne du PLURIEL de l’IMPERATIF (« LATEN WE … » + REJET), il n’exige, en principe, pas un REJET systématique dans les autres cas.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 23 dans « De val van Angkor », le volume N°7 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1961-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : GESCHIEDENIS WERELD SCHOONJANS FUNCKEN 233 - Rajouté le 17/08/2011

Description : Cette invitation à la découverte de l’« Histoire du Monde » (1955-1962) par Jean SCHOONJANS (1897-1976) pour les Editions du Lombard ne correspond peut-être plus aux critères actuels d’approche pédagogique de l’Histoire mais, grâce aux talents d’illustration de Fred et Liliane FUNCKEN, elle reste inoubliable pour ceux qui ont eu la chance de la connaître alors.
La version néerlandophone, « Geschiedenis van de Wereld », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
La planche N°233 est parue dans le N°13 de l’hebdomadaire « KUIFJE » du 31 mars 1960. Elle concernait les Temps Modernes, s’intitulait « De Constitutie van 4 augustus 1789 » («La Constitution du 4 août 1789 ») et se subdivisait en : « Het begin » (« Le début »), « Op 5 october hadden de bakkers geen brood » (« Le 5 octobre les boulangers n’avaient pas de pain»), « De Tuilerieën » (« Les Tuileries »), « De clubs van de Cordeliers en de Jacobijnen » (« Les clubs des Cordeliers et des Jacobins ») et « De wetten » (« Les lois »).
Jean SCHOONJANS se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer culturellement.
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : GESCHIEDENIS WERELD SCHOONJANS FUNCKEN 232 - Rajouté le 16/08/2011

Description : Cette invitation à la découverte de l’« Histoire du Monde » (1955-1962) par Jean SCHOONJANS (1897-1976) pour les Editions du Lombard ne correspond peut-être plus aux critères actuels d’approche pédagogique de l’Histoire mais, grâce aux talents d’illustration de Fred et Liliane FUNCKEN, elle reste inoubliable pour ceux qui ont eu la chance de la connaître alors.
La version néerlandophone, « Geschiedenis van de Wereld », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
La planche N°232 est parue dans le N°12 de l’hebdomadaire « KUIFJE » du 24 mars 1960. Elle concernait les Temps Modernes, s’intitulait « De Constituante op 23 juni 1789 » (« La Constituante le 23 juin 1789 ») et se subdivisait en : « Te Parijs» (« A Paris »), « De Bastille werd door het volk op 14 juli 1789 veroverd » (« La Bastille est conquise par le peuple le 14 juillet 1789 »), « In het stadhuis » (« A l’hôtel de ville »), « Leve de Natie ! » (« Vive la Nation ! ») et « De nacht van 4 augustus 1789 » (« La nuit du 4 août 1789 »).
Jean SCHOONJANS se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer culturellement.
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : 120 DHAENENS VERLEDEN 10 MILJOEN BELGEN - Rajouté le 16/08/2011

Description : La S.V. belge ARTIS-HISTORIA S.C. a, parmi beaucoup d’autres publications de qualité, édité des « Bibliocassettes ». Celles, intitulées « Un passé pour 10 millions de Belges – Vies quotidiennes / Een verleden voor 10 miljoen Belgen – Dagelijks leven », conçues et dirigées par le Professeur Albert d’HAENENS (Directeur, en 1980, du Centre de Recherches sur la Communication en Histoire de l’UCL) contenaient notamment (à côté d’une fiche recto-verso de texte) une fiche en couleurs. L’illustration N°120, accompagnée d’une légende bilingue, était relative à : « L’insertion internationale de la Belgique après 1945 / De internationale rol van België na 1945 ».
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 10 DUIVELSKOP 30A - Rajouté le 16/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een gebroken man meldt het droevige nieuws » (« Un homme brisé communique la triste nouvelle »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEBROKEN », participe passé provenant de l’infinitif « BREKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEBROKEN » est ici utilisé comme adjectif épithète et placé devant le nom. Ils ont tendance à rester invariables comme les adjectifs attributs.
On trouve la forme verbale « meldT », troisième personne du singulier de l’O.T.T. ou indicatif présent. Elle doit se terminer par « T » même si l’avant-dernière lettre est « D » (la seule véritable exception étant le « IS », dans « hij/zij/het//dit/dat/men/er/daar/hier is »).
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 30 dans « De duivelskop », le volume N°10 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 10 DUIVELSKOP 21A - Rajouté le 16/08/2011

Description :
La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Waarom ben je niet bij jouw (je) stam gebleven ? » (« Pourquoi n’es-tu pas restée auprès de ta tribu ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEBLEVEN », participe passé provenant de l’infinitif « BLIJVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On a, en néerlandais, tendance à remplacer (certainement dans la langue orale) le déterminant possessif « JOUW » du tutoiement (SEUL mot correspondant aux trois mots français, respectivement pour le MASCULIN singulier « TON », le FEMININ singulier « TA » ou le PLURIEL « TES ») par « JE », qui dès lors ressemble comme deux gouttes d’eau au pronom personnel sujet « JE », correspondant à « TU ». Aucune objection, même à l’écrit, pour autant que l’on soit bien conscient que, en néerlandais, le SUJET est toujours juste A COTE de la forme verbale ou VERBE conjugués (même utilisés avec la négation « NIET ») et que, en principe, on ne peut dès lors pas les confondre …
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 21 dans « De duivelskop », le volume N°10 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 10 DUIVELSKOP 19A - Rajouté le 16/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maar hij (Winnetou) zwoer een dure eed » (« Mais il jura un serment coûteux = il avait juré quelque chose qui allait lui coûter cher »).
On y trouve notamment la forme verbale « ZWOER », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « ZWEREN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Dans le complément « een dure eed », « DUUR » est utilisé comme adjectif épithète, se place donc devant le nom et, pour s’accorder, prend la terminaison majoritaire « E » (devant noms masculin, féminin et neutre au singulier ainsi que masculin, féminin ou neutre au pluriel). Attention à la modification orthographique : dans la mesure où on rajoute un « E » derrière une consonne finale unique (ici « R »), cela entraîne la disparition d’une des deux voyelles identiques (ici « U ») devant cette même consonne si l’on a affaire à une double voyelle. « DUUR » + « E » - « U » = « dUrE ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 19 dans « De duivelskop », le volume N°10 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 10 DUIVELSKOP 18A - Rajouté le 16/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Old Shatterhand) is aan een wagenwiel gebonden en wordt door een schildwacht bewaakt » (« Il est attaché à une roue de chariot et est surveillé par une sentinelle »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEBONDEN », participe passé provenant de l’infinitif « BINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « aan een wagenwiel »), à la fin de la phrase.
La deuxième phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ». La nuance est parfois difficile à saisir pour, par exemple, les francophones. Si le complément est introduit par la préposition « DOOR », ce sera en général plutôt l’auxiliaire « WORDEN ».
On y trouve la forme verbale « BEWAAKT », participe passé provenant de l’infinitif « BEWAKEN », PAS affecté par les « temps primitifs ».
Ce verbe « BEWAKEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Rappelons encore une fois que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « door een schildwacht »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 18 dans « De duivelskop », le volume N°10 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 34 STRIJDBIJL 19A - Rajouté le 15/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « (…) onder de stam dreven Indianen (in het water) mee » (« sous le tronc, des Indiens se laissaient emporter par le courant »).
On y trouve notamment la forme verbale « dreven … MEE », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « MEEdrijven », conjugué lui-même sur « DRIJVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « MEEdrijven » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « MEE » de son infinitif proprement dit, la particule « MEE » étant affectée par un REJET, derrière le complément (ici, sous-entendu : « in het water »), à la fin de la phrase. Il est à noter que la particule « MEE » provient de la préposition « MET ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« onder de stam »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « Indianen ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « dreven ») et passant donc derrière lui.
N’oublions pas non plus que le participe présent en néerlandais se construit en ajoutant simplement un « D » à l’infinitif : « DRIJVEN » => « drijvenD ». Ici, ce participe présent est utilisé comme adjectif épithète (dans la première image), se place donc devant le nom et, pour s’accorder, prend la terminaison majoritaire « E » => « drijvendE boomstam ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 19 dans « De strijdbijl », le volume N°34 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 34 STRIJDBIJL 18A - Rajouté le 15/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Reeds wordt er geschoten » (« Il est déjà tiré = on tire déjà »).
On y trouve notamment la forme verbale « GESCHOTEN », participe passé provenant de l’infinitif « SCHIETEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« reeds »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « ER ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « wordt ») et passant donc derrière lui.
On aurait pu dire plus simplement : « Reeds schiet MEN » ou « MEN schiet reeds ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « De strijdbijl », le volume N°34 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 34 STRIJDBIJL 02B - Rajouté le 15/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Geen oorlog kan (worden) begonnen worden zonder dat, eerst, de heilige strijdbijl is opgegraven » (« Aucune guerre ne peut être commencée sans que, d’abord, la hache de guerre sacrée soit déterrée »).
On y trouve notamment la forme verbale « BEGONNEN », participe passé provenant de l’infinitif « BEGINNEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
On y trouve aussi la forme verbale « OPgeGRAVEN », participe passé provenant de l’infinitif « opGRAVEN », verbe dit « à particule séparable » lui-même construit sur « GRAVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « opGRAVEN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEgraven ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 2 dans « De strijdbijl », le volume N°34 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 34 STRIJDBIJL 02A - Rajouté le 15/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De twee stammen zijn handgemeen geraakt » (« Les deux tribus en sont venues aux mains »).
On y trouve notamment la forme verbale « GERAAKT », participe passé provenant de l’infinitif « RAKEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il y a aussi, dans la première image, la phrase : « Wij zien hier om te verhinderen dat ze nog slaags geraken » (« Nous sommes ici pour empêcher qu’ils en viennent encore aux mains ».) Attention : il ne s’agit ni du même verbe (ici à l’INDICATIF et certainement PAS au participe passé), ni de la même expression en néerlandais. Est-ce pour éviter une confusion que l’on ne trouve plus actuellement que « slaags RAKEN », où le « GE » a disparu ? …
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 2 dans « De strijdbijl », le volume N°34 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : GESCHIEDENIS WERELD SCHOONJANS FUNCKEN 231 - Rajouté le 15/08/2011

Description : Cette invitation à la découverte de l’« Histoire du Monde » (1955-1962) par Jean SCHOONJANS (1897-1976) pour les Editions du Lombard ne correspond peut-être plus aux critères actuels d’approche pédagogique de l’Histoire mais, grâce aux talents d’illustration de Fred et Liliane FUNCKEN, elle reste inoubliable pour ceux qui ont eu la chance de la connaître alors.
La version néerlandophone, « Geschiedenis van de Wereld », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
La planche N°231 est parue dans le N°11 de l’hebdomadaire « KUIFJE » du 17 mars 1960. Elle concernait les Temps Modernes, s’intitulait « De Staten-Generaal » (« Les Etats-Généraux ») et se subdivisait en : « De Derde Stand » (« Le Tiers-Etat »), « Een grondwet » (« Une constitution »), « Op 5 mei 1789 » (« Le 5 mai 1789 »), « In de zaal van het kaatsspel op 17 juni 1789 » (« Dans la salle du jeu de paume le 17 juin 1789 ») et « Mirabeau op 23 juni 1789 » (« Mirabeau le 23 juin 1789 »).
Jean SCHOONJANS se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer culturellement.
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : 119 DHAENENS VERLEDEN 10 MILJOEN BELGEN - Rajouté le 15/08/2011

Description : La S.V. belge ARTIS-HISTORIA S.C. a, parmi beaucoup d’autres publications de qualité, édité des « Bibliocassettes ». Celles, intitulées « Un passé pour 10 millions de Belges – Vies quotidiennes / Een verleden voor 10 miljoen Belgen – Dagelijks leven », conçues et dirigées par le Professeur Albert d’HAENENS (Directeur, en 1980, du Centre de Recherches sur la Communication en Histoire de l’UCL) contenaient notamment (à côté d’une fiche recto-verso de texte) une fiche en couleurs. L’illustration N°119, accompagnée d’une légende bilingue, était relative à : « L’insertion internationale de la Belgique de 1914 à 1945 / De internationale rol van België van 1914 tot 1945 ».
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : GESCHIEDENIS WERELD SCHOONJANS FUNCKEN 230 - Rajouté le 14/08/2011

Description : Cette invitation à la découverte de l’« Histoire du Monde » (1955-1962) par Jean SCHOONJANS (1897-1976) pour les Editions du Lombard ne correspond peut-être plus aux critères actuels d’approche pédagogique de l’Histoire mais, grâce aux talents d’illustration de Fred et Liliane FUNCKEN, elle reste inoubliable pour ceux qui ont eu la chance de la connaître alors.
La version néerlandophone, « Geschiedenis van de Wereld », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
La planche N°230 est parue dans le N°10 de l’hebdomadaire « KUIFJE » du 10 mars 1960. Elle concernait les Temps Modernes, s’intitulait « Lodewijk XVI of het einde van de wereld» (« Louis XVI ou la fin du monde ») et se subdivisait en : « De goedhartige koning » (« Le roi au bon coeur »), « De koningin » (« La reine »), « Het drama » (« Le drame »), «Madame Deficit » (« Madame Déficit ») et « De Staten-Generaal in 1789 » (« Les Etats-Généraux en 1789 »).
Jean SCHOONJANS se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer culturellement.
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : 118 DHAENENS VERLEDEN 10 MILJOEN BELGEN - Rajouté le 14/08/2011

Description : La S.V. belge ARTIS-HISTORIA S.C. a, parmi beaucoup d’autres publications de qualité, édité des « Bibliocassettes ». Celles, intitulées « Un passé pour 10 millions de Belges – Vies quotidiennes / Een verleden voor 10 miljoen Belgen – Dagelijks leven », conçues et dirigées par le Professeur Albert d’HAENENS (Directeur, en 1980, du Centre de Recherches sur la Communication en Histoire de l’UCL) contenaient notamment (à côté d’une fiche recto-verso de texte) une fiche en couleurs. L’illustration N°118, accompagnée d’une légende bilingue, était relative à : « L’insertion internationale de la Belgique jusqu’en 1914 / De internationale rol van België tot in 1914 ».
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 018 WITTE TEMPEL 30A - Rajouté le 14/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij (Chrysis) heeft nog niet gesproken » (« Elle n’a pas encore parlé »).
On y trouve notamment la forme verbale « GESPROKEN », participe passé provenant de l’infinitif « SPREKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « De witte tempel », le volume N°18 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Frank SELS, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 018 WITTE TEMPEL 15A - Rajouté le 14/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb trouw gezworen en zal mijn eed gestand blijven (« J’ai juré (d’être) fidèle (= j’ai juré fidélité) et reste « fidèle » à mon serment »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEZWOREN », participe passé provenant de l’infinitif « ZWEREN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la pages 15 dans « De witte tempel », le volume N°18 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Frank SELS, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 018 WITTE TEMPEL 09A - Rajouté le 14/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik kan je slechts mijn zwaard geven zo (zodra) de gevangenen de vrijheid (wordt) geschonken wordt » (« Je ne peux vous donner mon épée que dès que (lorsque) la liberté est (sera) offerte aux prisonniers »).
On y trouve notamment la forme verbale « GESCHONKEN », participe passé provenant de l’infinitif « SCHENKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Signalons également que la phrase subordonnée est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
Le nom commun « gevangenEN » est, lui, construit sur le participe passé « GEVANGEN », provenant de l’infinitif « VANGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve aussi, dans la deuxième illustration, l’infinitif « TOEvertrouwen », verbe dit « à particule séparable » construit sur l’infinitif « verTROUWEN », lui-même construit sur l’infinitif « TROUWEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « TOEvertrouwen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TOE » de son infinitif proprement dit. Si la phrase l’avait été au présent, on aurait pu avoir : « Il vertrouw dit zwaard aan jouw wijsheid TOE », avec REJET de la particule séparable « TOE », derrière les compléments (« dit zwaard » et « aan jouw wijsheid »), à la fin de la phrase.
Il est à noter que la particule « TOE » provient de la préposition « TOT ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 9 et 10 dans « De witte tempel », le volume N°18 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Frank SELS, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
Dans un contexte culturel plus large, attirons tout de même l’attention sur l’image de la page 10, dessinée comme sur les vases grecs. Consultez à ce sujet la critique incluse à la fin du chapitre 1 de l’admirable étude sous forme d’un "e-book", intitulée DE RODE RIDDER STORY et due à Ivo De Wispelaere, Bert Gevaert et David Steenhuyse. Une version néerlandophone est téléchargeable gratuitement à partir de l’adresse INTERNET suivante :
http://www.stripspeciaalzaak.be/Toppers/RodeRidder/RodeRidderStory.htm
Une version française devrait être progressivement accessible sur notre site à partir de septembre 2011.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 018 WITTE TEMPEL 06A - Rajouté le 14/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Midden in een uitgestrekt gewelf met lichtgevende wanden, prijkt een reusachtige witmarmeren tempel » (« Au milieu d’une caverne voûtée étendue avec des parois luminescentes (donnant de la lumière), trône un gigantesque temple en marbre blanc »).
On y trouve notamment la forme verbale « UITgestrekt », participe passé provenant de l’infinitif « UITSTREKKEN », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « STREKKEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « STREKKEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « k », on trouvera AU participe passé un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Quand « UITSTREKKEN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « uitGEstrekt ».
Dans ce contexte-ci, « uitGEstrekt » est utilisé comme adjectif épithète, donc placé devant le nom commun « gewelf » qui, étant NEUTRE (un « HET-woord ») et précédé du déterminant indéfini « EEN », n’engendre EXCEPTIONNELLEMENT PAS la terminaison « E » à la fin de l’adjectif.
N’oublions pas non plus que le participe présent en néerlandais se construit en ajoutant simplement un « D » à l’infinitif : « GEVEN » => « gevenD ». Ici, ce participe présent est utilisé comme adjectif épithète, se place donc devant le nom et, pour s’accorder, prend la terminaison majoritaire « E » => « (licht)gevendE wanden ».
Rappelons enfin que l’on peut aussi construire en néerlandais des sortes d’adjectifs épithètes (donc placés devant le nom commun) à partir de noms de MATIERE comme « marmer ». En français, on dira « EN marbre » ; le pur hasard en néerlandais fait que l’on ajoute « EN » à la fin du nouveau mot ainsi créé : « marmer » + « EN » => « marmerEN ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « De witte tempel », le volume N°18 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Frank SELS, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 09 OUTLAW 31A - Rajouté le 13/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Uit de kogelhulzen komen de gestolen diamanten te voorschijn » (« Sortant des cartouches (chambres à poudre), les diamants volés apparaissent »).
On y trouve notamment la forme verbale « GESTOLEN », participe passé provenant de l’infinitif « STELEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé est utilisé comme adjectif épithète, devant le nom commun, mais la plupart du temps, reste invariable.
Dans l’expression « tevoorschijn komen », « tevoorschijn » (en 1 ou 2 mots) réagit comme une particule séparable.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 29 et 31 dans « De outlaw », le volume N°9 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 09 OUTLAW 30A - Rajouté le 13/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het paard, dat door hem (Old Shatterhand) (wordt) bereden wordt, wordt onder hem gedood » (« Le cheval, qui est chevauché par lui, est tué sous lui »).
On y trouve notamment la forme verbale « BEREDEN », participe passé provenant de l’infinitif « BERIJDEN », lui-même construit sur le verbe « RIJDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux
Rappelons aussi que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« door hem »), à la fin de la phrase (subordonnée relative, introduite par DAT qui se réfère à « HET paard »).
Ces deux phrases sont à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 30 dans « De outlaw », le volume N°9 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 09 OUTLAW 26A - Rajouté le 13/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zijn meester (Old Shatterhand) is zonder hem vertrokken » (« Son maître est parti sans lui »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERTROKKEN », participe passé provenant de l’infinitif « VERTREKKEN », lui-même construit sur le verbe « TREKKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux
Rappelons aussi que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« zonder hem »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 26 dans « De outlaw », le volume N°9 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 09 OUTLAW 05A - Rajouté le 13/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Inmiddels zet de postkoets nog ongehinderd haar weg verder » (« Pendant ce temps, la diligence poursuit son chemin encore sans ennuis »).
On y trouve notamment la forme verbale « zet … VERDER », provenant d’un verbe « VERDERzetten » (n’existant pas officiellement mais construit sur « VERDERgaan »), réagissant comme ceux dits « à particule séparable » et construit sur le verbe « ZETTEN ».
Il y a REJET de la « particule séparable » « VERDER », derrière les compléments (« nog », « ongehinderd » et « haar weg »), à la fin de la phrase. Rappelons que « VERDER » est le comparatif de supériorité de « VER », construit sur le modèle de ceux des adjectifs.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « De outlaw », le volume N°9 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : GESCHIEDENIS WERELD SCHOONJANS FUNCKEN 229 - Rajouté le 13/08/2011

Description : Cette invitation à la découverte de l’« Histoire du Monde » (1955-1962) par Jean SCHOONJANS (1897-1976) pour les Editions du Lombard ne correspond peut-être plus aux critères actuels d’approche pédagogique de l’Histoire mais, grâce aux talents d’illustration de Fred et Liliane FUNCKEN, elle reste inoubliable pour ceux qui ont eu la chance de la connaître alors.
La version néerlandophone, « Geschiedenis van de Wereld », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
La planche N°229 est parue dans le N°9 de l’hebdomadaire « KUIFJE » du 3 mars 1960. Elle concernait les Temps Modernes, s’intitulait « De gekroonde filosoof » (« Le philosophe couronné ») et se subdivisait en : « Jozef II vanaf 1780 » (« Joseph II à partir de 1780 »), « De ronde van België » (« Le tour de Belgique »), « Hervormingen » (« Réformes »), «De Brabantse omwenteling in 1789 » (« La Révolution brabançonne en 1789 ») et « De dood van de filosoof in 1790 » (« La mort du philosophe en 1790 »).
Jean SCHOONJANS se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer culturellement.
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : 117 DHAENENS VERLEDEN 10 MILJOEN BELGEN - Rajouté le 13/08/2011

Description : La S.V. belge ARTIS-HISTORIA S.C. a, parmi beaucoup d’autres publications de qualité, édité des « Bibliocassettes ». Celles, intitulées « Un passé pour 10 millions de Belges – Vies quotidiennes / Een verleden voor 10 miljoen Belgen – Dagelijks leven », conçues et dirigées par le Professeur Albert d’HAENENS (Directeur, en 1980, du Centre de Recherches sur la Communication en Histoire de l’UCL) contenaient notamment (à côté d’une fiche recto-verso de texte) une fiche en couleurs. L’illustration N°117, accompagnée d’une légende bilingue, était relative à : « Les partis non traditionnels / De niet-traditionele partijen ».
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : GESCHIEDENIS WERELD SCHOONJANS FUNCKEN 228 - Rajouté le 12/08/2011

Description : Cette invitation à la découverte de l’« Histoire du Monde » (1955-1962) par Jean SCHOONJANS (1897-1976) pour les Editions du Lombard ne correspond peut-être plus aux critères actuels d’approche pédagogique de l’Histoire mais, grâce aux talents d’illustration de Fred et Liliane FUNCKEN, elle reste inoubliable pour ceux qui ont eu la chance de la connaître alors.
La version néerlandophone, « Geschiedenis van de Wereld », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
La planche N°228 est parue dans le N°8 de l’hebdomadaire « KUIFJE » du 25 février 1960. Elle concernait les Temps Modernes, s’intitulait « De terugkeer van Diogenes » (« Le retour de Diogène ») et se subdivisait en : « Met een lantaarn » (« Avec une lanterne »), « De rede : Berkeley, Fontenelle, …» (« La raison : Berkeley, Fontenelle, … »), « Emmanuel Kant » (« Emmanuel Kant »), « De pedagogen : l’abbé de L’Epée, … » (« Les pédagogues : l’abbé de L’Epée, … ») et « Eindelijk een wijze : Benedictus Labre » (« Enfin un sage : Benoît Labre »).
Jean SCHOONJANS se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer culturellement.
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : 116 DHAENENS VERLEDEN 10 MILJOEN BELGEN - Rajouté le 12/08/2011

Description : La S.V. belge ARTIS-HISTORIA S.C. a, parmi beaucoup d’autres publications de qualité, édité des « Bibliocassettes ». Celles, intitulées « Un passé pour 10 millions de Belges – Vies quotidiennes / Een verleden voor 10 miljoen Belgen – Dagelijks leven », conçues et dirigées par le Professeur Albert d’HAENENS (Directeur, en 1980, du Centre de Recherches sur la Communication en Histoire de l’UCL) contenaient notamment (à côté d’une fiche recto-verso de texte) une fiche en couleurs. L’illustration N°116, accompagnée d’une légende bilingue, était relative à : « Le socialisme en Belgique / Het socialisme in België ».
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 35 DRIE PIJLEN 29A - Rajouté le 11/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Door de schok worden alle opvarenden in zee geworpen » (« A cause du choc, tous les passagers sont jetés dans la mer »).
On y trouve notamment la forme verbale « geworpen », participe passé provenant de l’infinitif « WERPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « geworpen » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« in zee »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Door de schok »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « alle opvarenden ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « worden ») et passant donc derrière lui.
Cette phrase est aussi à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
N’oublions pas non plus qu’un participe présent en néerlandais se construit en ajoutant simplement un « D » à l’infinitif : « OPVAREN » => « opvarenD ». Ici, ce participe présent est utilisé comme nom commun et, pour s’accorder, prend au pluriel la terminaison majoritaire « EN » => « opvarendEN ». Au départ les passagers de ce canoë sont, étymologiquement, ceux qui « sont naviguant SUR » …
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 29 dans « De drie pijlen », le volume N°35 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 35 DRIE PIJLEN 28A - Rajouté le 11/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maak mijn voeten los ! » (« Détache mes pieds ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « Maak… LOS », impératif du verbe « LOSmaken », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « MAKEN ».
Quand « losMAKEN » est conjugué, comme au présent, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « LOS » de sa forme verbale proprement dite, la particule faisant l’objet d’un REJET (derrière le complément « mijn voeten ») à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « De drie pijlen », le volume N°35 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 35 DRIE PIJLEN 15A - Rajouté le 11/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Leg de hond (Bessy) vast ! » (« Attache le chien ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « Leg … VAST », impératif du verbe « VASTLEGGEN », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « LEGGEN ».
Quand « vastLEGGEN » est conjugué, comme au présent, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « VAST » de sa forme verbale proprement dite, la particule faisant l’objet d’un REJET (derrière le complément « de hond ») à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 15 dans « De drie pijlen », le volume N°35 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 35 DRIE PIJLEN 04A - Rajouté le 11/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De Indianen, die vroeger deze streek bewoonden, begroeven hun doden in kano’s » (« Les Indiens, qui habitaient jadis cette région, enterraient leurs morts dans des canoës »).
On y trouve notamment la forme verbale « BEGROEVEN », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « BEGRAVEN », lui-même construit sur le verbe « GRAVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 4 dans « De drie pijlen », le volume N°35 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : GESCHIEDENIS WERELD SCHOONJANS FUNCKEN 227 - Rajouté le 11/08/2011

Description : Cette invitation à la découverte de l’« Histoire du Monde » (1955-1962) par Jean SCHOONJANS (1897-1976) pour les Editions du Lombard ne correspond peut-être plus aux critères actuels d’approche pédagogique de l’Histoire mais, grâce aux talents d’illustration de Fred et Liliane FUNCKEN, elle reste inoubliable pour ceux qui ont eu la chance de la connaître alors.
La version néerlandophone, « Geschiedenis van de Wereld », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
La planche N°227 est parue dans le N°7 de l’hebdomadaire « KUIFJE » du 18 février 1960. Elle concernait les Temps Modernes, s’intitulait « Bij Mozart » (« Chez Mozart ») et se subdivisait en : « Hier is het, te Salzburg » (« C’est ici, à Salzbourg »), « Toen ik jong was » (« Quand j’étais jeune »), « Doorheen Europa » (« A travers l’Europe »), « Droom en nachtmerrie » (« Rêve et cauchemar ») et « Requiem » («Requiem »).
Jean SCHOONJANS se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer culturellement.
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : 115 DHAENENS VERLEDEN 10 MILJOEN BELGEN - Rajouté le 11/08/2011

Description : La S.V. belge ARTIS-HISTORIA S.C. a, parmi beaucoup d’autres publications de qualité, édité des « Bibliocassettes ». Celles, intitulées « Un passé pour 10 millions de Belges – Vies quotidiennes / Een verleden voor 10 miljoen Belgen – Dagelijks leven », conçues et dirigées par le Professeur Albert d’HAENENS (Directeur, en 1980, du Centre de Recherches sur la Communication en Histoire de l’UCL) contenaient notamment (à côté d’une fiche recto-verso de texte) une fiche en couleurs. L’illustration N°115, accompagnée d’une légende bilingue, était relative à : « Le parti catholique / De katholieke partij ».
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 012 HOORN HORAK 34A - Rajouté le 10/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij wordt tot koning uitgeroepen » (« Il est proclamé roi »).
On y trouve notamment la forme verbale « UITgeroepen », participe passé provenant de l’infinitif « UITroepen », lui-même construit sur l’infinitif « ROEPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « UITroepen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « uitGEroepen ».
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « tot koning »), à la fin de la phrase.
Signalons enfin que cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 34 dans « De hoorn van Horak », le volume N°12 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 012 HOORN HORAK 11A - Rajouté le 10/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik zal mijn recht op de troon verwerven zoals hij het beval » (« Je vais acquérir mon droit au trône comme il l’a ordonné »).
On y trouve notamment la forme verbale « BEVAL », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « BEVELEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
S’il y a ici REJET de la forme verbale « BEVAL », derrière le complément « HET », c’est parce qu’il s’agit d’une phrase subordonnée (introduite par « ZOALS »).
Dans la première phrase, on a la forme verbale « ZAL », provenant de l’infinitif « ZULLEN », auxiliaire utilisé pour indiquer que l’on se trouve au futur simple.
N’oublions pas que « ZULLEN », auxiliaire utilisé pour indiquer que l’on se trouve au futur simple, exige le REJET de l’autre verbe (« verwerven »), à l’infinitif, derrière les compléments (ici « mijn recht nu » ou « op de troon »), à la fin de la phrase.
Nous avons rendu en français cet auxiliaire par un « futur proche », moins déroutant pour les francophones.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « De hoorn van Horak », le volume N°12 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 012 HOORN HORAK 07A - Rajouté le 10/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Daarna wordt het schip in brand gestoken en aan de zee toevertrouwd » (« Ensuite le navire est mis en flammes et confié à la mer »).
On y trouve notamment la forme verbale « GESTOKEN », participe passé provenant de l’infinitif « STEKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve aussi la forme verbale « TOEvertrouwd », participe passé provenant de l’infinitif « TOEvertrouwen », construit sur l’infinitif « verTROUWEN », lui-même construit sur l’infinitif « TROUWEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « TOEvertrouwen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne normalement en néerlandais une séparation de la particule « TOE » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux. Mais rappelons par ailleurs que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- » (« VERtrouwen »), son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux. Il est à noter que la particule « TOE » provient de la préposition « TOT ».
Rappelons également que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « in brand » avant « GESTOKEN » et « aan de zee » avant « TOEVERTROUWD »), à la fin de la phrase.
Signalons enfin que cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 7 dans « De hoorn van Horak », le volume N°12 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
Dans un contexte culturel plus large, attirons tout de même l’attention sur le fait que les Vikings ne portaient - sauf découverte archéologique récente - pas de cornes sur leurs casques. Consultez à ce sujet la critique incluse au chapitre 3 de l’admirable étude sous forme d’un "e-book", intitulée DE RODE RIDDER STORY et due à Ivo De Wispelaere, Bert Gevaert et David Steenhuyse. Une version néerlandophone est téléchargeable gratuitement à partir de l’adresse INTERNET suivante :
http://www.stripspeciaalzaak.be/Toppers/RodeRidder/RodeRidderStory.htm
Une version française devrait être progressivement accessible sur notre site à partir de septembre 2011.

Nom : WIREL RODE RIDDER 012 HOORN HORAK 06A - Rajouté le 10/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een boom wordt door het neergutsende water ontworteld » (« Un arbre est déraciné par l’eau coulant à flots »).
On y trouve notamment la forme verbale « ONTworteld », participe passé provenant de l’infinitif « ONTwortelen », lui-même construit sur l’infinitif « WORTELEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe est donc considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « L », on trouvera le « D » majoritaire. Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « ONT- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « door het neergutsende water »), à la fin de la phrase.
Signalons enfin que cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « De hoorn van Horak », le volume N°12 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : GESCHIEDENIS WERELD SCHOONJANS FUNCKEN 226 - Rajouté le 10/08/2011

Description : Cette invitation à la découverte de l’« Histoire du Monde » (1955-1962) par Jean SCHOONJANS (1897-1976) pour les Editions du Lombard ne correspond peut-être plus aux critères actuels d’approche pédagogique de l’Histoire mais, grâce aux talents d’illustration de Fred et Liliane FUNCKEN, elle reste inoubliable pour ceux qui ont eu la chance de la connaître alors.
La version néerlandophone, « Geschiedenis van de Wereld », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
La planche N°226 est parue dans le N°6 de l’hebdomadaire « KUIFJE » du 11 février 1960. Elle concernait les Temps Modernes, s’intitulait « Rococo stijl » (« Le style Rococo ») et se subdivisait en : « Bonbonnieres » (« Bonbonnières »), « Lieflijke schilderijen » (« Gracieux tableaux »), « Carnavals » (« Carnavals »), « Kleine trianons » (« Petits trianons ») et «Alles Rococo » (« Tout Rococo »).
Jean SCHOONJANS se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer culturellement.
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : 114 DHAENENS VERLEDEN 10 MILJOEN BELGEN - Rajouté le 10/08/2011

Description : La S.V. belge ARTIS-HISTORIA S.C. a, parmi beaucoup d’autres publications de qualité, édité des « Bibliocassettes ». Celles, intitulées « Un passé pour 10 millions de Belges – Vies quotidiennes / Een verleden voor 10 miljoen Belgen – Dagelijks leven », conçues et dirigées par le Professeur Albert d’HAENENS (Directeur, en 1980, du Centre de Recherches sur la Communication en Histoire de l’UCL) contenaient notamment (à côté d’une fiche recto-verso de texte) une fiche en couleurs. L’illustration N°114, accompagnée d’une légende bilingue, était relative à : « Le parti libéral / De liberale partij ».
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 08 OLD SUREHAND 28A - Rajouté le 09/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een sachem wordt met al zijn persoonlijke bezittingen begraven. » (« Un sachem est enterré avec tous ses biens personnels »).
On y trouve notamment la forme verbale « BEGRAVEN », participe passé provenant de l’infinitif « BEGRAVEN », lui-même construit sur le verbe « GRAVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
Si les formes verbales du participe passé et de l’infinitif « BEGRAVEN » sont identiques, c’est un peu par hasard. Mais rappelons tout de même que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Le participe passé « BEGRAVEN » ressemble aussi au pluriel de l’indicatif présent. Voyez la phrase de la deuxième image, située en dessous de la première : « Jullie begraven de strijdbijl » (« Vous enterrez la hache de guerre « ). C’est normal puisque le PLURIEL de l’INDICATIF PRESENT = lNFINITIF.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 26 et 28 dans « Old Surehand », le volume N°8 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 08 OLD SUREHAND 19A - Rajouté le 09/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het paard slaat plots de achterpoten uit » (« Le cheval frappe brusquement avec les pattes de derrière = Le cheval étend brusquement les pattes de derrière vers l’arrière = Le cheval donne brusquement une ruade avec les pattes de derrière »).
On y trouve notamment la forme verbale « slaat … UIT », provenant de l’infinitif « UITslaan », lui-même construit sur l’infinitif « SLAAN » (qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts »).
Le verbe « UITslaan » est dit « à particule séparable ». Quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « IN » (ancienne préposition), qui fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (ici « plots » et « de achterpoten »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 19 dans « Old Surehand », le volume N°8 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 08 OLD SUREHAND 18A - Rajouté le 09/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wij zijn bedrogen ! » (« Nous sommes trompés ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « BEDROGEN », participe passé provenant de l’infinitif « BEDRIEGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 17 et 18 dans « Old Surehand », le volume N°8 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 08 OLD SUREHAND 06A - Rajouté le 09/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Enkele wolven zetten een achtervolging in » (« Quelques loups entament une poursuite »).
On y trouve notamment la forme verbale « zetten … IN », provenant de l’infinitif « INzetten », lui-même construit sur l’infinitif « ZETTEN » (qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts »).
Le verbe « INzetten » est dit « à particule séparable ». Quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « IN » (ancienne préposition), qui fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « een achtervolging »), à la fin de la phrase.
On y trouve aussi le nom commun « wolVen », PLURIEL provenant de « wolF ». N’oublions pas que si un « F » doit être suivi d’un « E » (ou de la terminaison « EN » du pluriel ou, dans le cas des adjectifs, de « ER » pour les comparatifs de supériorité), il devient « V ». Cette règle est également valable dans le cas du passage d’une forme verbale du singulier au pluriel ou dans le cas d’accord d’un adjectif épithète. (Pour complément d’informations, consultez notamment « Le pluriel des noms », dans la partie « GRAMMATICA » de ce site.)
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « Old Surehand », le volume N°8 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : GESCHIEDENIS WERELD SCHOONJANS FUNCKEN 225 - Rajouté le 09/08/2011

Description : Cette invitation à la découverte de l’« Histoire du Monde » (1955-1962) par Jean SCHOONJANS (1897-1976) pour les Editions du Lombard ne correspond peut-être plus aux critères actuels d’approche pédagogique de l’Histoire mais, grâce aux talents d’illustration de Fred et Liliane FUNCKEN, elle reste inoubliable pour ceux qui ont eu la chance de la connaître alors.
La version néerlandophone, « Geschiedenis van de Wereld », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
La planche N°225 est parue dans le N°5 de l’hebdomadaire « KUIFJE » du 4 février 1960. Elle concernait les Temps Modernes, s’intitulait « De onafhankelijke republiek » (« La république indépendante ») et se subdivisait en : « Benjamin Franklin » («Benjamin Franklin »), « De hulp van Frankrijk » (« L’aide de la France »), « Rochambeau landde in de Verenigde Staten => op 19 oktober 1781 was Cornwallis te Yorktown in Virginia verplicht te capituleren » (« Rochambeau débarque aux Etats-Unis => le 19 octobre 1781, Cornwallis était obligé de capituler à Yorktown en Virginie »), « De Vrede van Versailles op 19 april 1783 : Engeland besloot de onafhankelijkheid van de Verenigde Staten van Amerika te erkennen » (« La Paix de Versailles du 19 avril 1783 : l’Angleterre décida de reconnaître l’indépendance des Etats-Unis d’Amérique ») et « Het reusachtige vrijheidsstandbeeld in 1886 » (« La gigantesque statue de la liberté en 1886 »).
Jean SCHOONJANS se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer culturellement.
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : 113 DHAENENS VERLEDEN 10 MILJOEN BELGEN - Rajouté le 09/08/2011

Description : La S.V. belge ARTIS-HISTORIA S.C. a, parmi beaucoup d’autres publications de qualité, édité des « Bibliocassettes ». Celles, intitulées « Un passé pour 10 millions de Belges – Vies quotidiennes / Een verleden voor 10 miljoen Belgen – Dagelijks leven », conçues et dirigées par le Professeur Albert d’HAENENS (Directeur, en 1980, du Centre de Recherches sur la Communication en Histoire de l’UCL) contenaient notamment (à côté d’une fiche recto-verso de texte) une fiche en couleurs. L’illustration N°113, accompagnée d’une légende bilingue, était relative à : « La question scolaire / De schoolkwestie ».
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 39 NOODLOTTIGE TOCHT 18A - Rajouté le 08/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (de eekhoorn) graaft een schuilplaats onder de grond die hij met voorraden opvult » (« Il creuse une cachette sous le sol qu’il remplit avec des provisions »).
On y trouve notamment la forme verbale « OPvult » provenant de l’infinitif « OPvullen » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « VULLEN ». Si cette forme verbale « OPvult » ne s’était pas trouvée dans une phrase subordonnée »), on aurait pu, par exemple, avoir : « Hij vult een schuilplaats met voorraden OP », où il y aurait REJET de la particule séparable « OP », derrière le complément, à la fin de la phrase.
On y trouve aussi la forme verbale « graaFt » provenant de l’infinitif « graVen ». N’oublions pas que si un « V » était suivi d’un « E » (ou la terminaison « EN » du pluriel), il devient « F » quand ce « E » disparaît, au radical (première personne du singulier de l’indicatif présent) du verbe, derrière une consonne unique. Cette règle est également valable dans le cas du passage du pluriel au singulier d’un nom commun ou dans le cas d’accord d’un adjectif épithète.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 18 dans « De noodlottige tocht », le volume N°39 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 39 NOODLOTTIGE TOCHT 16B - Rajouté le 08/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het (= het bergkonijn) zorgt ervoor het (= het gras) tijdig binnen te halen » (« Il veille à la rentrer à temps »).
On y trouve notamment la forme verbale « BINNEN … halen » provenant de l’infinitif « BINNENhalen » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « HALEN » (qui a une autre signification).
Signalons que l’expression « ZORGEN voor » engendre un « TE » quand elle précède un infinitif comme, ici, « HALEN ».
On y trouve le verbe « BINNENhalen » qui évolue dans une sorte de phrase subordonnée (« … que l’herbe soit rentrée à temps ») « infinitive », introduite par « ZORGEN voor », engendrant une particule « TE » intercalée entre l’infinitif proprement dit, « HALEN », et sa « particule séparable » « BINNEN ».
On y trouve aussi un adverbe pronominal personnel : « ERVOOR ». On est parti de la phrase suivante : « Het bergkonijn zorgt voor het gras ». Si on rappelle que « ER » provient de « DAAR », on aurait pu trouver la variante suivante : « Het zorgt DAARvoor ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « De noodlottige tocht », le volume N°39 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 39 NOODLOTTIGE TOCHT 16A - Rajouté le 08/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het (= het bergkonijn) leeft in de rotsen en voedt zich met hooi en bloemen » (« Le lapin de montagne vit dans les rochers et se nourrit de foin et de fleurs »).
Notamment la langue néerlandaise connaît un genre autre que le masculin ou le féminin : c’est le NEUTRE qui, au SINGULIER, est facilement repérable quand il y a la présence d’un « HET ».
Il est moins évident, pour un non-néerlandophone, de savoir s’il a éventuellement affaire à un « HET-woord », c’est-à-dire à un nom commun au singulier qui est neutre, si le déterminant défini « HET » n’est pas présent. (Les diminutifs ou noms communs se terminant par un « JE » en néerlandais sont, par exemple, toujours neutres.)
En revanche, quand l’on sait qu’un nom commun est neutre (« konijn », par exemple) et que l’on doit inclure ce mot comme sujet à une troisième personne du singulier, le déterminant défini « HET » devient le pronom personnel sujet « HET ». C’est tout de même un avantage puisque c’est le même mot.
On y trouve aussi la forme verbale « leeFt » provenant de l’infinitif « leVen ». N’oublions pas que si un « V » était suivi d’un « E » (ou la terminaison « EN » du pluriel), il devient « F » quand ce « E » disparaît, au radical (première personne du singulier de l’indicatif présent) du verbe, derrière une consonne unique. Cette règle est également valable dans le cas du passage du pluriel au singulier d’un nom commun ou dans le cas d’accord d’un adjectif épithète.
N.d.T. : le pica est, au Canada, appelé « lapin des ROCHERS ».

La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « De noodlottige tocht », le volume N°39 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 39 NOODLOTTIGE TOCHT 15A - Rajouté le 08/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het vuur, dat zij (Wiato) bij het vertrek vergat te doven, stak het gras in brand » (« Le feu, qu’elle oublia d’éteindre lors du départ, mit l’herbe en flammes »).
On y trouve, d’une part, la forme verbale « VERGAT », O.V.T. (ou prétérit) construit sur le verbe « VERGETEN » et faisant partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve, d’autre part, la forme verbale « STAK », O.V.T. (ou prétérit) construit sur le verbe « STEKEN » et faisant partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 15 dans « De noodlottige tocht », le volume N°39 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : GESCHIEDENIS WERELD SCHOONJANS FUNCKEN 224 - Rajouté le 08/08/2011

Description : Cette invitation à la découverte de l’« Histoire du Monde » (1955-1962) par Jean SCHOONJANS (1897-1976) pour les Editions du Lombard ne correspond peut-être plus aux critères actuels d’approche pédagogique de l’Histoire mais, grâce aux talents d’illustration de Fred et Liliane FUNCKEN, elle reste inoubliable pour ceux qui ont eu la chance de la connaître alors.
La version néerlandophone, « Geschiedenis van de Wereld », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
La planche N°224 est parue dans le N°4 de l’hebdomadaire « KUIFJE » du 28 janvier 1960. Elle concernait les Temps Modernes, s’intitulait « De geboorte van de Verenigde Staten » (« La naissance des Etats-Unis ») et se subdivisait en : « De kolonisten » (« Les colons »), « De thee in de haven van Boston in 1773 » (« Le thé dans le port de Boston en 1773 »), « De opstand tegen George III » (« La révolte contre George III»), « George Washington te Saratoga in 1777 » (« George Washington à Saratoga en 1777 »), et « Op 4 juli 1776 : onafhankelijkheid » (« Le 4 juillet 1776 : indépendance »).
Jean SCHOONJANS se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer culturellement.
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : 112 DHAENENS VERLEDEN 10 MILJOEN BELGEN - Rajouté le 08/08/2011

Description : La S.V. belge ARTIS-HISTORIA S.C. a, parmi beaucoup d’autres publications de qualité, édité des « Bibliocassettes ». Celles, intitulées « Un passé pour 10 millions de Belges – Vies quotidiennes / Een verleden voor 10 miljoen Belgen – Dagelijks leven », conçues et dirigées par le Professeur Albert d’HAENENS (Directeur, en 1980, du Centre de Recherches sur la Communication en Histoire de l’UCL) contenaient notamment (à côté d’une fiche recto-verso de texte) une fiche en couleurs. L’illustration N°112, accompagnée d’une légende bilingue, était relative à : « Les régions linguistiques / Het taalsysteem ».
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 005 VRIJSCHUTTERS 34A - Rajouté le 07/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Elke zenuw gespannen, richt hij (Johan) de pijl voor een wanhopig schot » (« Chaque nerf tendu, il dirige la flèche pour un tir désespéré »).
On y trouve notamment, comme complément introduisant la phrase principale, la forme verbale « gespannen », participe passé provenant de l’infinitif « SPANNEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (ici « Elke zenuw gespannen »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « HIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « RICHT ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 34 dans « De vrijschutter », le volume N°5 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1960-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 005 VRIJSCHUTTERS 33A - Rajouté le 07/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Onder leiding van de leenheer trachten ze (de vrijschutters) de valbrug neer te halen » (« Sous le commandement du suzerain, ils (les francs-tireurs) essaient d’abaisser le pont-levis »).
On y trouve notamment la forme verbale « NEER … halen » provenant de l’infinitif « NEERhalen » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « HALEN ». Si cette forme verbale ne s’était pas trouvée dans cette phrase, on aurait pu, par exemple, avoir : « Ze halen de valbrug NEER », où il y aurait REJET de la particule séparable « NEER », derrière le complément, à la fin de la phrase.
Le verbe « TRACHTEN » (équivalant à « essayer DE ») introduit ici une sorte de subordonnée et engendre un « TE » qui précède (comme en français) l’infinitif « HALEN » et s’intercale entre lui et particule séparable « NEER ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (ici « Onder leiding van de leenheer »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de vrijschutters ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « trachten ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 33 dans « De vrijschutter », le volume N°5 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1960-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 005 VRIJSCHUTTERS 13A - Rajouté le 07/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een mooi meisje vergezeld van witte duiven treedt de werkplaats binnen » (« Une jolie fille, accompagnée de blanches colombes, pénètre dans l’atelier »).
On y trouve notamment la forme verbale « treedt … BINNEN » provenant de l’infinitif « BINNENtreden » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « TREDEN » (qui signifie « marcher » et qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts »). Quand il est conjugué, ce verbe « BINNENtreden » entraîne le REJET de la particule séparable « BINNEN », derrière le complément (« de werkplaats »), à la fin de la phrase.
(Dans la phrase qui, sur l’image, précède celle que nous étudions – « Plots hoort hij lichte treden de torentrap afdalen » –, on trouve aussi le mot « TREDEN ». Il s’agit du nom commun, construit sur le radical du verbe (= singulier => « TREED ») et signifiant « pas » que, au PLURIEL, nous franchissons allègrement => « TREDEN ».)
On trouve la forme verbale « treedT », troisième personne du singulier de l’O.T.T. ou indicatif présent. Elle doit se terminer par « T » même si l’avant-dernière lettre est « D » (la seule véritable exception étant le « IS », dans « hij/zij/het//dit/dat/men/er/daar/hier is »).
On y trouve aussi le complément « vergezeld van witte duiven», avec le participe passé « vergezeld » provenant de l’infinitif « VERgezellen ». Ce dernier verbe est considéré comme « régulier » ; comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « L », on trouvera donc bien le « D » majoritaire. Rappelons par ailleurs que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 13 dans « De vrijschutter », le volume N°5 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1960-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 005 VRIJSCHUTTERS 05A - Rajouté le 07/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het stormachtige gejuich dat opgaat als Johans pijl (de pijl van Johan) die van zijn voorganger opensplijt » (« Le tonnerre des cris de joie qui s’élèvent quand la flèche de Johan fend celle de son prédécesseur »).
On y trouve notamment la forme verbale « OPENsplijt » provenant de l’infinitif « OPENsplijten » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « SPLIJTEN ». Si cette forme verbale « OPENsplijt» ne s’était pas trouvée dans une phrase subordonnée »), on aurait pu, par exemple, avoir : « De pijl van Johan splijt de pijl van zijn voorganger OPEN », où il y aurait REJET de la particule séparable « OPEN », derrière le complément, à la fin de la phrase.
On y trouve aussi la forme verbale « OPgaat » provenant de l’infinitif « OPgaan » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « GAAN ». Si cette forme verbale « OPgaat » ne s’était pas trouvée dans une (mini-) phrase subordonnée (relative, introduite par « DAT »), on aurait pu, par exemple, avoir : « Het stormachtige gejuich gaat in de lucht OP », où il y aurait REJET de la particule séparable « OP », derrière le complément, à la fin de la phrase.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « De vrijschutter », le volume N°5 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1960-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : GESCHIEDENIS WERELD SCHOONJANS FUNCKEN 223 - Rajouté le 07/08/2011

Description : Cette invitation à la découverte de l’« Histoire du Monde » (1955-1962) par Jean SCHOONJANS (1897-1976) pour les Editions du Lombard ne correspond peut-être plus aux critères actuels d’approche pédagogique de l’Histoire mais, grâce aux talents d’illustration de Fred et Liliane FUNCKEN, elle reste inoubliable pour ceux qui ont eu la chance de la connaître alors.
La version néerlandophone, « Geschiedenis van de Wereld », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
La planche N°223 est parue dans le N°3 de l’hebdomadaire « KUIFJE » du 21 janvier 1960. Elle concernait les Temps Modernes, s’intitulait « Finis Poloniae » (« La fin de la Pologne») et se subdivisait en : « De eetlust van Catharina » («L’appétit de Catherine »), « De eetlust van de anderen » (« L’appétit des autres »), « De tweede deling van Polen in 1793 » (« Le deuxième partage de la Pologne en 1793 »), « De opstand van Kosciusko in 1794 » (« La révolte de Kosciusko en 1794 »), et « De derde deling van Polen in 1795 » (« Le troisième partage de la Pologne en 1795 »).
Jean SCHOONJANS se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer culturellement.
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : 111 DHAENENS VERLEDEN 10 MILJOEN BELGEN - Rajouté le 07/08/2011

Description : La S.V. belge ARTIS-HISTORIA S.C. a, parmi beaucoup d’autres publications de qualité, édité des « Bibliocassettes ». Celles, intitulées « Un passé pour 10 millions de Belges – Vies quotidiennes / Een verleden voor 10 miljoen Belgen – Dagelijks leven », conçues et dirigées par le Professeur Albert d’HAENENS (Directeur, en 1980, du Centre de Recherches sur la Communication en Histoire de l’UCL) contenaient notamment (à côté d’une fiche recto-verso de texte) une fiche en couleurs. L’illustration N°111, accompagnée d’une légende bilingue, était relative à : « L’administration communale / Het gemeentebestuur ».
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 06 LLANO ESTACADO 27A - Rajouté le 06/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Gulzig, drinkt de gewonde de veldfles leeg » (« A grandes gorgées, le blessé vide la gourde »).
On y trouve notamment la forme verbale « drinkt … LEEG », provenant du verbe « LEEGdrinken », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « DRINKEN » (faisant l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts »). La « particule séparable » « LEEG » (provenant d’un ADJECTIF ») est affectée d’un REJET, derrière le complément (« de veldfles »), à la fin de la phrase.
Même si « GULZIG » est habituellement en néerlandais un adjectif, il joue ici le rôle d’un complément.
La phrase commençant donc par un complément, il doit y avoir INVERSION et le sujet (« de gewonde ») doit se trouver derrière le verbe (« drinkt »).
Le nom commun « gewondE » provient de la forme verbale « gewond », participe passé provenant lui-même de l’infinitif « WONDEN ». Ce verbe étant considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais constitue une exception dans la mesure où son radical (première personne du présent) se terminant déjà par la consonne « D », on ne trouvera pas un deuxième « D » au participe passé.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 27 dans « Llano estacado », le volume N°6 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 06 LLANO ESTACADO 16A - Rajouté le 06/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De ruiter stak een cactusveld in brand » (« Le cavalier mit un champ de cactus en flammes »).
On y trouve, d’une part, la forme verbale « STAK », O.V.T. (ou prétérit) construit sur le verbe « STEKEN » et faisant partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 14 et 16 dans « Llano estacado », le volume N°6 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 06 LLANO ESTACADO 13A - Rajouté le 06/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Verder viel een kleine groep soldaten inderdaad in de hinderlaag » (« Plus loin, un petit groupe de soldats tomba en effet dans l’embuscade »).
On y trouve la forme verbale « VIEL », O.V.T. (ou prétérit) construit sur le verbe « VALLEN » et faisant partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
« Verder » jouant le rôle d’un complément, il y a INVERSION et le sujet (« een kleine groep soldaten ») se trouve derrière le verbe (« VIEL »).
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 13 dans « Llano estacado », le volume N°6 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 06 LLANO ESTACADO 11A - Rajouté le 06/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De hutten zijn afgebrand en het vee (is) gestolen » (« Les cabanes sont détruites par le feu et le bétail est volé »).
On y trouve, d’une part, la forme verbale « afGEbrand », participe passé provenant de l’infinitif « AFbranden », lui-même construit sur l’infinitif « BRANDEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « BRANDEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais constitue une exception dans la mesure où son radical (première personne du présent) se terminant déjà par la consonne « D », on ne trouvera pas un deuxième « D » au participe passé.
On y trouve, d’autre part, la forme verbale « GESTOLEN », participe passé provenant de l’infinitif « STELEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (que vous pouvez imaginer : « door de bandieten » ou « door de Indianen »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « Llano estacado », le volume N°6 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 06 LLANO ESTACADO 07A - Rajouté le 06/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zo’n val kan hij niet (hebben) overleefd hebben » (« A une telle chute, il ne peut pas avoir survécu »).
On y trouve notamment la forme verbale « OVERleefD », participe passé provenant de l’infinitif « OVERleven », lui-même construit sur « LEVEN » (dont le participe passé est « GEleefD »).
« OVERleven » n’est donc PAS à « particule séparable » puisqu’aucun « GE » ne s’intercale entre le préfixe « OVER » et la forme verbale proprement dite.
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET à la fin de la phrase.
« Zo’n val » étant un complément, il y a INVERSION et le sujet (« HIJ ») se trouve derrière le verbe (« KAN »).
Signalons enfin que « ZO’N » est l’abréviation de « ZO EEN » (dont le pluriel est « ZULK », variable comme un adjectif).
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 6 et 7 dans « Llano estacado », le volume N°6 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : GESCHIEDENIS WERELD SCHOONJANS FUNCKEN 222 - Rajouté le 06/08/2011

Description : Cette invitation à la découverte de l’« Histoire du Monde » (1955-1962) par Jean SCHOONJANS (1897-1976) pour les Editions du Lombard ne correspond peut-être plus aux critères actuels d’approche pédagogique de l’Histoire mais, grâce aux talents d’illustration de Fred et Liliane FUNCKEN, elle reste inoubliable pour ceux qui ont eu la chance de la connaître alors.
La version néerlandophone, « Geschiedenis van de Wereld », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
La planche N°222 est parue dans le N°2 de l’hebdomadaire « KUIFJE » du 14 janvier 1960. Elle concernait les Temps Modernes, s’intitulait « De Valstrik van Polen » (« Le guet-apens de la Pologne ») et se subdivisait en : « Stanislas II van Polen » (« Stanislas II de Pologne »), « De confederatie van Bar in 1768 » (« La confédération de Bar en 1768 »), « De Turken » (« Les Turcs »), « De blinden tegen de eenogigen » («Les aveugles contre les borgnes »), et « De eerste deling van Polen in 1772 » (« Le premier partage de la Pologne en 1772»).
Jean SCHOONJANS se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer culturellement.
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : 110 DHAENENS VERLEDEN 10 MILJOEN BELGEN - Rajouté le 06/08/2011

Description : La S.V. belge ARTIS-HISTORIA S.C. a, parmi beaucoup d’autres publications de qualité, édité des « Bibliocassettes ». Celles, intitulées « Un passé pour 10 millions de Belges – Vies quotidiennes / Een verleden voor 10 miljoen Belgen – Dagelijks leven », conçues et dirigées par le Professeur Albert d’HAENENS (Directeur, en 1980, du Centre de Recherches sur la Communication en Histoire de l’UCL) contenaient notamment (à côté d’une fiche recto-verso de texte) une fiche en couleurs. L’illustration N°110, accompagnée d’une légende bilingue, était relative à : « L’administration provinciale / de provinciale administratie ».
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 39 NOODLOTTIGE TOCHT 31A - Rajouté le 05/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij heeft veel geleden » (« Il a beaucoup souffert »).
On y trouve la forme verbale « GELEDEN », participe passé provenant de l’infinitif « LIJDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« VEEL »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 31 dans « De noodlottige tocht », le volume N°39 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

First  Previous  1  2  3  4  5  6  7  8  9  10  11  12  13  14  15  16  17  18  19  20  21  22  23  24  25  26  27  28  29  30  31  32  33  34  35  36  37  38  39  40  41  42  43  44  45  46  47  48  49  50  51  52  53  54  55  56  57  58  59  60  61  62  63  64  65  66  67  68  69  70  71  72  73  74  75  76  77  78  79  80  81  82  83  84  85  86  87  88  89  90  91  92  93  94  95  96  97  98  99  100  101  102  103  104  105  106  107  108  109  110  111  112  113  114  115  116  117  Next  Last  

Sous-menu

Liens rapides

Recherche

Entrez un mot clé:

Image au hasard

Image au hasard
tiré de l'oeuvre de Goya

Crédits