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Willy Vandersteen

Avec l'aimable autorisation de WPG Uitgevers België (Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN), nous développons une base de données d'illustrations permettant aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d'accueil, de s'y intégrer linguistiquement. Grâce aux textes néerlandophones de ces illustrations de qualité, ces élèves « primo-arrivants » pourront notamment aborder les verbes irréguliers (« temps primitifs » ou autres) d'une autre façon. Willy VANDERSTEEN (1913-1990), dessinateur et scénariste, reste un des géants de la bande dessinée belge du vingtième siècle, comme en témoignent nombre de ses créations. Pour ce « fonds virtuel », nous puisons principalement dans cinq de ses séries de BD : « BESSY » (volumes 1 à 68), « KARL MAY » (volumes 1 à 76, inconnus des lecteurs francophones), « DE RODE RIDDER » (volumes 1 à 100, dont 19 titres furent édités en français entre 1984 et 1985, série qui se poursuit en 2012), « ROBERT EN BERTRAND » (98 volumes) et « SAFARI » (24 volumes).

Nom : BESTUDEERD VTT BESTUDEREN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/03/2024

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb de situatie grondig bestudeerd » (« J’ai étudié la situation à fond »).
Rappelons tout d’abord que, dans le cas des verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve ici, dans une tournure de phrase (peu fréquente) à structure de passé composé (mais rendant une notion de futur) la forme verbale « BESTUDEERD », participe passé provenant de l’infinitif « BESTUDEREN ». Ce verbe « BESTUDEREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik beSTUDEER ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés :
« BESTUDEER » + « D » = « BESTUDEERD ».
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« de situatie » et « grondig »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KAN KUNNEN REJET ONDERNEMEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/03/2024

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij kan tegen de Ravenhoek niets meer ondernemen » (« Il ne peut plus rien entreprendre contre le Ravenhoek »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« ondernemen »), derrière les compléments (« tegen de Ravenhoek » et « niets meer »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir plutôt l’auxiliaire de mode de la «POSSIBILITE », l’infinitif « MOGEN » (avec « MAG » au singulier) :
« Hij mag tegen de Ravenhoek niets meer ondernemen ».

Nom : GENAAID VTT NAAIEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/03/2024

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Men heeft er een papier in genaaid » (« on a cousu un papier dedans => on y a cousu un papier»).
On y trouve notamment la forme verbale « genaaid », participe passé provenant de l’infinitif « NAAIEN ». Ce verbe « NAAIEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik naai ») se terminant par la consonne « I », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés :
préfixe « GE » + « NAAI » + « D » = « GENAAID ».
Quand « NAAIEN » est conjugué au passé composé, il y a REJET, derrière le complément (« een papier »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KAN KUNNEN REJET VINDEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/03/2024

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Iemand die vogels opzet kan geen betere bergplaats vinden » (« Quelqu’un qui empaille des oiseaux ne peut pas trouver une meilleure cachette »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« vinden»), derrière le complément (« geen betere bergplaats»), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir plutôt l’auxiliaire de mode de la «POSSIBILITE », l’infinitif « MOGEN » (avec « MAG » au singulier) :
« Iemand die vogels opzet mag geen betere bergplaats vinden ».

Nom : DEED OVT DOEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/03/2024

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Jij deed Pieters raaf vallen » (« Tu fis => as fait tomber le corbeau de Pieter »).
On y trouve la forme verbale « DEED », O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « DOEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : ACHTERVOLGDE OVT ACHTERVOLGEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/03/2024

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Waarom achtervolgden zij hem dan ? » (« Pourquoi le poursuivaient-ils alors ? »).
On y trouve la forme verbale «achtervolgden », provenant de l’infinitif «ACHTERVOLGEN », qui NE fait PAS partie des verbes dits « à particule séparable », mais est construit sur « VOLGEN », considéré comme verbe « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik volg ») se terminant par la consonne « G », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit : « VOLG » + « DE » = « VOLGDE » ou
« ACHTERVOLG » + « DE » = « ACHTERVOLGDE ».

Nom : GEFAALD VTT FALEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/03/2024

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dan hebben we gefaald … » (« Alors nous avons failli … »).
On y trouve, dans cette phrase « subordonnée », la forme verbale « gefaald », participe passé provenant de l’infinitif « FALEN ». Ce verbe « FALEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik faal ») se terminant par la consonne « L », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés :
préfixe « GE » + « FAAL » + « D » = « GEFAALD ».
Quand « FALEN » est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « gefaald » derrière le complément (« Dan ») à la fin de la phrase, ce que l’on voit mieux dans la variante suivante : « we hebben dan gefaald ». Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs : https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un « complément » (« Dan »), cela engendre une INVERSION : le sujet « we » passe derrière le verbe « hebben ».

Nom : KAN KUNNEN REJET ONTRUIMEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/03/2024

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij kan nu de Ravenhoek doen ontruimen » (« Il peut maintenant faire évacuer le Ravenhoek »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« ontruimen »), derrière les compléments (« nu » et « de Ravenhoek »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir plutôt l’auxiliaire de mode de la «POSSIBILITE », l’infinitif « MOGEN » (avec « MAG » au singulier) :
« Hij mag nu de Ravenhoek doen ontruimen ».

Nom : GESTOLEN VTT STELEN 2 ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/03/2024

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dan is ze wel degelijk gestolen » (« Alors il est vraisemblablement bien volé »).
On y trouve la forme verbale « GESTOLEN », participe passé provenant de l’infinitif « STELEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« wel » et « degelijk »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse, également en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Dan »), cela engendre une INVERSION: le sujet « ze » passe derrière le verbe « is ».

Nom : KAN KUNNEN REJET ZIJN 3 ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/03/2024

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat kan de bergplaats van de akte zijn » (« Cela peut être la cachette de l’acte »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« zijn »), derrière le complément (« de bergplaats van de akte »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir plutôt l’auxiliaire de mode de la «POSSIBILITE », l’infinitif « MOGEN » (avec « MAG » au singulier) :
« Dat mag de bergplaats van de akte zijn ».

Nom : MOET REJET VREZEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/03/2024

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je moet niets vrezen » (« Tu ne dois rien craindre »).
L’auxiliaire de mode de l’OBLIGATION est l’infinitif « MOETEN». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« vrezen »), derrière le complément (« niets »), à la fin de la phrase et, bien sûr, à l’infinitif, Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZAL OTT ZULLEN REJET GAAN 2 ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/03/2024

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « als de raven sterven zal de Ravenhoek ten onder gaan » (« si les corbeaux meurent, le Ravenhoek va sombrer »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ». Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (« gaan ») à la fin de la phrase, derrière le complément (« ten onder »), à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs:
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase principale commençant par un complément (la phrase subordonnée « als de raven sterven » jouant ce rôle), cela engendre une INVERSION : le sujet « de Ravenhoek » passe derrière le verbe « zal ».

Nom : KWAMEN OVT KOMEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/03/2024

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Later kwamen andere raven » (« Plus tard vinrent d’autres corbeaux »).
On trouve, dans la phrase principale, notamment la forme verbale « KWAMEN », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « KOMEN ».
Le verbe « KOMEN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
La phrase commençant par un complément (« later »), cela engendre une INVERSION : le sujet « andere raven » passe derrière le verbe « kwamen ».

Nom : GEVONDEN VTT VINDEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/03/2024

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We hebben het schrift nooit gevonden » (« Nous n’avons jamais trouvé le cahier »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEVONDEN », participe passé provenant de l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « I », donne une voyelle « O » pour les temps du passé. Ce participe passé « GEVONDEN » est construit sur le PLURIEL du prétérit ou O.V.T. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GEVONDEN » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« het schrift » et « nooit »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KON OVT KUNNEN REJET ONTHULLEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/03/2024

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Vader stierf vóór hij de bergplaats kon onthullen » (« Père mourut avant qu’il pût révéler la cachette »).
La forme verbale « KON » est le prétérit (SINGULIER) du verbe « KUNNEN » faisant l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers, au moins à l’O.V.T. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé : https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE », « KUNNEN » (donnant, à l’O.T.T. ou indicatif présent, un singulier « KAN »), comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), exige normalement le REJET de l’autre forme verbale (ici « onthullen »), derrière le complément (« de bergplaats ») à la fin de la phrase et à l’infinitif . Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait pu avoir « MOCHT », de l’infinitif « MOGEN », l’auxiliaire de mode de la « POSSIBILITE » : « Vader stierf vóór hij de bergplaats mocht onthullen ».

Nom : STIERF OVT STERVEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/03/2024

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Vader stierf vóór hij de bergplaats kon onthullen » (« Père mourut avant qu’il pût révéler la cachette »).
On y trouve la forme verbale « STIERF », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « STERVEN » qui fait également l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre notamment ces trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : VERBORGEN VTT VERBERGEN HIELD OVT HOUDEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/03/2024

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « « Hij had alles in een schrift neergeschreven dat hij verborgen hield » (« Il avait tout consigné => écrit dans un cahier qu’il avait tenu caché »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER- GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve dans la phrase subordonnée (introduite par « DAT », dû à « het schrift ») e.a. la forme verbale « VERBORGEN », participe passé provenant de l’infinitif « VERBERGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre notamment ces trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
On y trouve la forme verbale « HIELD », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « HOUDEN » qui fait également l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.

Nom : NEERGESCHREVEN VTT NEERSCHRIJVEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/03/2024

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij had alles in een schrift neergeschreven » (« Il avait tout consigné => écrit dans un cahier »).
On y trouve la forme verbale « NEERgeschreven », participe passé provenant de l’infinitif « NEERschrijven », lui-même construit sur l’infinitif « SCHRIJVEN», qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre une des catégories importantes de verbes irréguliers, celle des « IJ » donnant des « E » aux temps du passé (O.V.T. et V.T.T.) :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « NEERgeschreven » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du plus-que-parfait, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « NEER » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « neerGEschreven ».
Il y a REJET de la forme verbale du participe passé « NEERgeschreven » à la fin de la phrase, derrière les compléments (« alles » et « in een schrift »). Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VERTROK VTT VERTREKKEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 29/02/2024

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Mijn broer vertrok naar Amerika » (« Mon frère partit pour l’Amérique »).
On y trouve la forme verbale « vertrok », provenant de l’infinitif « VERTREKKEN », lui-même construit sur « TREKKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » .
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : WIST OVT WETEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/02/2024

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Niemand wist waarom » (« Personne ne savait pourquoi »).
On y trouve notamment la forme verbale « WIST » (O.V.T. ou « prétérit »), provenant de l’infinitif « WETEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : GESLOTEN VTT SLUITEN 4 ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/02/2024

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Geheel onverwacht werd de mijn gesloten » (« De façon tout à fait inattendue, la mine fut fermée »).
On y trouve notamment la forme verbale « GESLOTEN », participe passé utilisé ici dans une phrase à la voix passive (utilisation de « WORDEN », au lieu de « ZIJN »,), provenant de l’infinitif « SLUITEN», qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Il est à noter que ce participe passé « GESLOTEN » se construit sur le PLURIEL du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GESLOTEN » fait l’objet d’un REJET à la fin de la phrase. On aurait pu avoir la variante suivante : « de mijn werd geheel onverwacht gesloten ». Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément («Geheel onverwacht »), cela engendre une INVERSION : le sujet « de mijn » passe derrière le verbe « werd ».

Nom : ONVERWACHT VTT VERWACHTEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/02/2024

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Geheel onverwacht werd de mijn gesloten » (« De façon tout à fait inattendue, la mine fut fermée »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER- GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On y trouve la forme verbale « onverwacht », participe passé provenant du contraire de l’infinitif « verwachten », lui-même construit sur l’infinitif « WACHTEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent : «ik wacht » ou « ik verwacht ») se terminant déjà par la consonne « T », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Le préfixe « ON- » (« UN- » en anglais) est souvent à nuance « négative » et constitue le contraire comme, ici, « onverwacht ».

Nom : MOEST OVT MOETEN REJET WERKEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/02/2024

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « ik was nog zeer jong toen ik al met mijn vader en met mijn broer in de mijn moest werken » (« j’étais encore très jeune lorsque, avec mon père et mon frère, je dus travailler dans la mine »).
L’auxiliaire de mode de l’OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN » (donnant MOEST au prétérit ou O.V.T.). Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« werken »), derrière les compléments (« met mijn vader en met mijn broer » et « in de mijn »), à la fin de la phrase et à l’infinitif, ce que l’on voit mieux dans la variante suivante : « ik moest met mijn vader en met mijn broer in de mijn werken ». Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZAL OTT ZULLEN REJET GAAN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/02/2024

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De Ravenhoek zal slechts ten onder gaan als de raven sterven » (« Le Ravenhoek va seulement sombrer / ne va sombrer que si les corbeaux meurent »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ». Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (« gaan ») à la fin de la phrase, derrière le complément (« ten onder »), à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs:
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : WIL REJET ZIEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/02/2024

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik wil de raven zien » (« je veux voir les corbeaux »).
L’auxiliaire de mode de la VOLONTE » est l’infinitif « WILLEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « MOGEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (ici « zien ») derrière le complément (« de raven »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KAN KUNNEN REJET VERRADEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/02/2024

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Niemand kan (de schuilplaats) verraden » (« Personne ne peut trahir »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« verraden »), derrière le complément éventuel (« de schuilplaats »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir plutôt l’auxiliaire de mode de la «POSSIBILITE », l’infinitif « MOGEN » (avec « MAG » au singulier) :
« Niemand mag (de schuilplaats) verraden ».

Nom : VERSTOPT VTT VERSTOPPEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/02/2024

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Waar heb je de akte verstopt ? » (« Où as-tu caché l’acte ? »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On y trouve notamment le verbe « VERSTOPPEN », qui est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au participe passé mais fait partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik verstop ») se terminant par la consonne « K », on trouvera le « T » minoritaire comme terminaison du participe passé :
« VERSTOP » + « T » = « VERSTOPT ».
Le participe passé « verstopt » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« de akte »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VERBORGEN VTT VERBERGEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/02/2024

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « hij heeft de akte goed verborgen » (« il a bien caché l’acte »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER- GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve dans cette phrase notamment la forme verbale « VERBORGEN », participe passé provenant de l’infinitif « VERBERGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre notamment ces trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « verborgen » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« de akte »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZOCHTEN OVT ZOEKEN 2 ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/02/2024

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « ze zochten de akte » (« ils cherchaient l’acte »).
On y trouve la forme verbale « ZOCHTEN », O.V.T. (ou « prétérit ») du verbe « ZOEKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : OVERVALLEN VTT OVERVALLEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/02/2024

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze hebben mij overvallen » (« Ils m’ont agressé »).
On y trouve la forme verbale « overvallen », participe passé provenant de l’infinitif « overvallen», lui-même construit sur l’infinitif « VALLEN », qui fait normalement l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « overvallen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, s’il s’était agi d’un verbe à particule séparable », cela aurait pu entraîner une séparation de la particule « OVER » de son infinitif proprement dit et la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) se serait intercalée entre eux.
Le participe passé « overvallen » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« mij »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VERWACHTTE OVT VERWACHTEN 2 ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/02/2024

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « lk verwachtte dieven » (« j’attendais des voleurs »).
On y trouve notamment l’infinitif « VERWACHTEN », construit sur le verbe « WACHTEN », qui est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), mais fait partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik verwacht ») se terminant déjà par la consonne « T », on y trouvera a fortiori le « TE » minoritaire comme terminaison du prétérit :
« VERWACHT » + « TE » = « VERWACHTTE ».

Nom : WEGKOMEN omte ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/02/2024

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We hebben nog een kans om weg te komen » (« Nous avons encore une chance pour nous en aller»).
On y trouve notamment la forme verbale « weg … komen », provenant de l’infinitif « WEGkomen », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « KOMEN ». Quand « WEGkomen » est « conjugué », cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « WEG » de sa forme verbale proprement dite.
Rappelons que « POUR » devant les verbes est rendu en langue néerlandaise par un double mot : « OM … TE ». La particule séparable (« weg ») s’intercale entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « komen ».

Nom : GEBEURD VTT GEBEUREN 2 ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/02/2024

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Vertel eens wat er (met de boeven) (is) gebeurd is » (« Raconte une fois ce qui est arrivé »).
On y trouve notamment (dans la phrase subordonnée introduite par « WAT ») la forme verbale « gebeurd », participe passé provenant de l’infinitif « GEBEUREN ». Ce verbe « GEBEUREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (si une première personne du présent avait existé, « gebeur ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés mais pas de préfixe « GE » puisque la forme verbale commence déjà par « GE » (comme pour les verbes commençant par les préfixes BE- ER-, HER-, ONT- et VER- ) : (pas de préfixe « GE ») + « GEBEUR » + « D » = « GEBEURD ».
Quand « GEBEUREN » est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « gebeurd » derrière le complément éventuel (« met de boeven ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VERBAASD VTT VERBAZEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/02/2024

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij kijkt plots verbaasd » (« il regarde soudain étonné »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER- GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
Ce verbe « VERBAZEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé, NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik verbaas ») se terminant par la consonne « S » (mais provenant d’un « Z »), on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison du participe passé (utilisé ici comme attribut) : « VERBAAS » + « D » = « VERBAASD ».

Nom : ZAL OTT ZULLEN REJET AANPAKKEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/02/2024

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik zal dit zelf aanpakken » (« Je vais m’y atteler moi-même »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ». Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (« aanpakken ») à la fin de la phrase, derrière le complément (« dit »), à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs:
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VERDACHT VTT VERDENKEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/02/2024

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressant : « Jullie kunnen (door Pieter) (worden) verdacht worden » (« Vous pouvez être soupçonnés »).
On y trouve la forme verbale « verdacht », participe passé (construit sur le prétérit « dacht ») provenant du verbe «VERDENKEN», lui-même construit sur l’infinitif « DENKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« door Pieter »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : GEZIEN VTT ZIEN 4 ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/02/2024

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « men heeft jullie gezien » (« on vous a vus »).
On y trouve notamment la forme verbale « geZIEN », participe passé provenant de l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’INFINITIF.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « jullie »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZULLEN REJET ONDERWERPEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/02/2024

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We zullen trouwens de hut van Pieter eens aan een grondig onderzoek onderwerpen » (« Nous allons d’ailleurs une fois soumettre la chaumière de Pieter à un examen approfondi »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (« onderwerpen»), derrière les compléments (« trouwens », « de hut van Pieter », « eens » et « aan een grondig onderzoek»), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs:
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VONDEN OVT VINDEN 2 ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/02/2024

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De boeven hebben hem toch achtervolgd waarschijnlijk omdat ze de akte niet vonden » (« Les scélérats l’ont tout de même poursuivi vraisemblablement parce qu’ils ne trouvaient pas l’acte »).
On y découvre, dans la phrase subordonnée (introduite par « OMDAT »), la forme verbale « VONDEN », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « I », donne une voyelle « O » pour les temps du passé. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : ACHTERVOLGD VTT ACHTERVOLGEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/02/2024

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De boeven hebben hem toch achtervolgd » (« Les scélérats l’ont tout de même poursuivi »).
On y trouve notamment la forme verbale « achtervolgd », participe passé provenant de « achterVOLGEN » (qui n’est pas « à particule séparable ») , lui-même construit sur l’infinitif « VOLGEN ». Ce verbe « VOLGEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik volg ») se terminant par la consonne « G », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés :
préfixe « GE » + « VOLG » + « D » = « GEVOLGD ».
Mais « achterVOLGEN » n’a pas besoin du préfixe « GE ».
Il y a REJET de ce participe passé « achtervolgd », derrière les compléments (« hem » et « toch ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : WOU WILDE OVT WILLEN REJET BRENGEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/02/2024

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Jullie zijn er dus van / ervan dus overtuigd dat hij op eigen houtje de akte in veiligheid wou / wilde brengen » (« Vous en êtes donc convaincus qu’il a voulu mettre l’acte en sûreté de sa propre initiative »).
On y trouve, dans la phrase subordonnée, la forme verbale «wou». L’auxiliaire de mode de la VOLONTE » est l’infinitif « WILLEN » (donnant actuellement WILDE – tendant à remplacer la forme plus ancienne WOU – au singulier du prétérit ou O.V.T.). Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « MOGEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (ici, « brengen ») derrière les compléments (« op eigen houtje », « de akte » et « in veiligheid »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : OVERTUIGD VTT OVERTUIGEN 2 ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/02/2024

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Jullie zijn er dus van / ervan dus overtuigd » (« Vous en êtes donc convaincus »).
On y trouve, dans la phrase principale, la forme verbale « overtuigd », participe passé provenant de l’infinitif « OVERTUIGEN ». Ce verbe « OVERTUIGEN » est considéré « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik overtuig ») se terminant par la consonne « G », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés mais pas la particule «GE-» (commune à la majorité des participes passés) car il ne s’agit pas d’un verbe « à particule séparable ». On construit donc son participe passé comme suit : « OVERTUIG » + « D » = « OVERTUIGD ». Quand « OVERTUIGEN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, s’il s’était agi d’un verbe « à particule séparable », cela aurait pu entraîner une séparation de la particule « OVER » de son infinitif proprement dit et le «GE-» se serait intercalé entre eux.
Le participe passé « overtuigd » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« ervan »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEBRACHT VTT BRENGEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/02/2024

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij wordt naar het huis van Geert gebracht » (« Il est porté vers la maison de Geert »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEBRACHT », participe passé provenant de l’infinitif « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Le participe passé « GEBRACHT » est construit sur le SINGULIER du prétérit, « BRACHT ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Il y a REJET du participe passé, derrière le complément (« naar het huis van Geert »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse, également en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : GEHOORD VTT HOREN 4 ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/02/2024

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ook in de Ravenhoek heeft men het schot gehoord » (« Egalement au Ravenhoek on a entendu le coup de feu »)
On y trouve la forme verbale « gehoord », participe passé provenant de l’infinitif « HOREN ». Ce verbe « HOREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik hoor ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés :
préfixe « GE » + « HOOR » + « D » = « GEHOORD ».
Quand « HOREN » est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « gehoord » derrière le complément (« het schot ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Ook in de Ravenhoek »), cela engendre une INVERSION : le sujet « men » passe derrière le verbe « heeft ».

Nom : HOORDE OVT HOREN 2 ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/02/2024

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « ik hoorde daarbinnen iemand kreunen » (« j’entendis => j’ai entendu quelqu’un gémir à l’intérieur »).
On y trouve notamment la forme verbale « hoorde », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « HOREN ».
Ce verbe « HOREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik hoor ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit :
« HOOR » + « DE » = « HOORDE ».

Nom : ONTSNAPT VTT ONTSNAPPEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/02/2024

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Die kerels zijn nu wel ontsnapt ! » (« Ces types se sont maintenant bien échappés ! »).
Rappelons tout d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve ici la forme verbale « ONTSNAPT », participe passé provenant de l’infinitif « ONTSNAPPEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T.) se terminant par la consonne « P », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Le participe passé « ONTSNAPT » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« nu » et « wel »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEWOND VTT WONDEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/02/2024

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ben je (erg) gewond ? » (« Es-tu blessé ? »).
On y trouve la forme verbale « gewond », participe passé provenant de l’infinitif « WONDEN ». Ce verbe « WONDEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik wond ») se terminant (déjà) par la consonne « D », on trouvera a fortiori le « D » majoritaire (qui ne sera pas doublé en fin de mot) comme terminaison des participes passés :
préfixe « GE » + « WON(D) » + « D » = « GEWOND ».
Quand « WONDEN » est conjugué à l’équivalent du passé composé, il y a habituellement REJET de son participe passé « gewond » derrière le complément éventuel (« erg ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KAN KUNNEN REJET UITSCHAKELEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 31/01/2024

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « die achtervolger kan ik gemakkelijk uitschakelen » (« je peux facilement éliminer ce poursuivant »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, sous-entendue (« uitschakelen »), derrière le complément (« gemakkelijk »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs : https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir plutôt l’auxiliaire de mode de la «POSSIBILITE », l’infinitif « MOGEN » (avec « MAG » au singulier) :
« die achtervolger kan ik gemakkelijk uitschakelen ».
La phrase commençant par un complément (« die achtervolger »), cela y engendre une INVERSION : le sujet « ik » passe derrière le verbe « kan ».

Nom : GA ACHTERNA OTT ACHTERNAGAAN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 30/01/2024

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Ik ga hen achterna ! » (« Je vais derrière eux => je me lance à leur poursuite ! »).
On y trouve la forme verbale « ga … ACHTERNA », provenant du verbe « ACHTERNAgaan », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « GAAN ».
Lorsque « ACHTERNAGAAN » est conjugué, cela entraîne le REJET de la « particule séparable » « ACHTERNA », derrière le complément (« hen »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZOCHTEN OVT ZOEKEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 29/01/2024

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Tracht UIT te maken wat ze hier zochten » (« Essaie de déterminer ce qu’ils cherchaient ici »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée introduite par « WAT »), la forme verbale « ZOCHTEN », O.V.T. (ou « prétérit ») du verbe « ZOEKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : UITMAKEN TRACHTEN TE ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/01/2024

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Tracht UIT te maken wat ze hier zochten » (« Essaie de déterminer ce qu’ils cherchaient ici »).
On y trouve la forme verbale « UIT … maken », provenant de l’infinitif « UITmaken », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « MAKEN ».
Quand « UITmaken » est conjugué (notamment comme participe passé « UITgemaakt »), cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit.
Par ailleurs le verbe « TRACHTEN » exige un « TE » (équivalant au « DE » français), s’intercalant ici entre la particule séparable « UIT » et son infinitif. Exemples à :
http://www.idesetautres.be/upload/CONSTRUCTIONS%20PHRASES%20NL%20ZC10%20TE+INFINITIF.zip

Nom : BEDOLVEN VTT BEDELVEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/01/2024

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het bruuske loslaten van de hefboom veroorzaakt een instorting waaronder Pieter (= hij) wordt bedolven » (« Le fait que la poutre de soutènement lâche brusquement provoque un effondrement sous lequel Pieter est enseveli »).
Rappelons tout d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER- GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais. On trouve, dans la phrase subordonnée (introduite par « WAARONDER ») la forme verbale « bedolven », participe passé provenant de l’infinitif « BEDELVEN », lui-même construit sur « DELVEN » qui fait l’objet des « temps primitifs ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « BEDELVEN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, il y a REJET de son participe passé « bedolven » derrière le complément (« onder een instorting ») à la fin de la variante de la phrase : « hij wordt onder een instorting bedolven». Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que cette phrase est à la voix passive puisque l’on y utilise l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de « ZIJN ».

Nom : ZAL OTT ZULLEN REJET SCHIETEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/01/2024

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zal ik (op hen) schieten ? » (« Vais-je tirer ? »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ». Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (« laten ») à la fin de la phrase, derrière le complément (« wel »), à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VERLOREN VTT VERLIEZEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/01/2024

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik ben (nu) verloren » (« Je suis perdu »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve donc la forme verbale « VERloren », participe passé provenant de l’infinitif « VERliezen », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « VERloren » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« nu »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZULLEN REJET MAKEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/01/2024

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We zullen met deze balk de toegang groter maken » (« Nous allons faire plus grande => agrandir l’entrée avec cette poutre »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (« maken »), derrière les compléments (« met deze balk », (« de toegang » et (« groter »,), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs:
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : INGEKROPEN VTT INKRUIPEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/01/2024

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Daar kan hij onmogelijk ingekropen zijn » (« il peut de façon pas possible => difficilement avoir grimpé dedans»).
On y trouve la forme verbale « INgekropen », participe passé construit et provenant de l’infinitif « INkruipen », lui-même construit sur l’infinitif « KRUIPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « INlopen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « IN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « inGEkropen ».
Il y a REJET de la forme verbale « INgekropen » derrière le complément («onmogelijk ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Daar »), cela engendre une INVERSION : le sujet « hij » passe derrière le verbe « kan ». On aurait pu avoir la variante : « hij kan onmogelijk daar ingekropen zijn ».

Nom : KNAPPEN OP VTT OPKNAPPEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/01/2024

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wij knappen het vuile werk voor hem op » (« nous faisons le sale boulot pour lui »).
On y trouve la forme verbale « knappen … op », provenant de l’infinitif « OPknappen », lui-même construit sur l’infinitif « KNAPPEN ».
Quand « OPknappen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit,.
Il y a REJET de la particule « OP » derrière les compléments (« het vuile werk » et « voor hem ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZAL OTT ZULLEN REJET LATEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/01/2024

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat zal hij wel laten » (« Il va bien laisser cela »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ». Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (« laten ») à la fin de la phrase, derrière le complément (« wel »), à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs:
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase principale commençant par un complément (« Dat »), cela y engendre une INVERSION : le sujet « hij » passe derrière le verbe « zal ».

Nom : STUURT UIT OTT UITSTUREN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/01/2024

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij stuurt ons de laan uit » (« Il nous renvoie »).
On y trouve la forme verbale « STUURT … UIT » du verbe « UITHALEN », dit à « particule séparable », construit sur l’infinitif « HALEN ».
Quand « UITSTUREN » est conjugué, il exige le REJET de la particule séparable « UIT », derrière les compléments (« ons » et « de laan »), à la fin de la phrase.
Voir phénomène du REJET, entre autres, à :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MOETEN REJET VINDEN 2 ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/01/2024

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We moeten hem vinden » (« Nous devons le trouver »).
L’auxiliaire de mode de l’« OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« vinden »), derrière le complément (« hem »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KAN KUNNEN REJET ZIJN 2 ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/01/2024

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ver kan hij (zeker) niet zijn » (« il ne peut pas être loin »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, sous-entendue (« zijn »), derrière le complément éventuel (« zeker »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs : https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir plutôt l’auxiliaire de mode de la «POSSIBILITE », l’infinitif « MOGEN » (avec « MAG » au singulier) :
« Ver mag hij (zeker) niet zijn ».
La phrase commençant par un complément (« Ver »), cela y engendre une INVERSION : le sujet « hij » passe derrière le verbe « kan »

Nom : KAN KUNNEN REJET VERBERGEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/01/2024

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « hier kan hij zich goed verbergen » (« ici, il peut bien se cacher »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, sous-entendue (« verbergen »), derrière le complément (« goed »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs : https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir plutôt l’auxiliaire de mode de la «POSSIBILITE », l’infinitif « MOGEN » (avec « MAG » au singulier) :
« hier mag hij zich goed verbergen ».
La phrase commençant par un complément (« hier »), cela y engendre une INVERSION : le sujet « hij » passe derrière le verbe « kan ».

Nom : ZULLEN REJET VINDEN 2 ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/01/2024

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « in deze oude luchtpijp zullen ze me nooit vinden » (« dans ce vieux tuyau à air => cette vieille galerie, ils ne me trouveront jamais »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ». Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (« vinden ») à la fin de la phrase, derrière les compléments (« me » et « nooit »), à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs:
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase principale commençant par un complément (« in deze oude luchtpijp »), cela y engendre une INVERSION : le sujet « ze » passe derrière le verbe « zullen ».

Nom : AFGENOMEN VTT AFNEMEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/01/2024

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zouden ze hem de akte (hebben) AFgenomen hebben ? » (« Lui auraient-ils pris l’acte ? »).
On trouve, dans cette phrase au CONDITIONNEL passé (auxiliaire « ZOUDEN ») notamment la forme verbale « AFgenomen », participe passé provenant de l’infinitif « AFNEMEN », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « NEMEN » qui fait l’objet des « temps primitifs ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « AFnemen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, le préfixe « GE- » (commun à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « AFGEnomen ».
Le participe passé « AFGEnomen » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« hem » et « de akte »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VERZET VTT VERZETTEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/01/2024

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij heeft zich heftig verzet » (« Il s’est vivement défendu »).
Rappelons que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER- GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve, dans la phrase principale, la forme verbale « verzet », participe passé provenant de l’infinitif « VERZETTEN », verbe « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), mais fait partie de la minorité des verbes irréguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik verzet mij ») se terminant déjà par la consonne « T », on trouvera à plus forte raison le « T » minoritaire comme terminaison du participe passé.
Le participe passé « verzet » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« heftig »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ONGEWENST GEWENST VTT WENSEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/01/2024

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Pieter) kreeg ongewenst bezoek » (« Il reçut => Il a reçu de la visite imprévue »).
On y trouve notamment la forme verbale « ongewenst », utilisé comme adjectif épithète ; s’il avait existé, un infinitif « ONWENSEN », lui-même construit sur « WENSEN », aurait eu un tel participe passé provenant, comme la grande majorité des verbes néerlandais, de ceux qui NE font PAS l’objet des « temps primitifs » mais font partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T.) se terminant par la consonne « S », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Le préfixe « ON- » (« UN- » en anglais) n’est PAS une « particule séparable » (même s’il réagit comme « OP ») et constitue en fait le contraire de « gewenst ».

Nom : KREEG OVT KRIJGEN 3 ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/01/2024

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Pieter) kreeg ongewenst bezoek » (« Il reçut => Il a reçu de la visite imprévue »).
On y trouve la forme verbale « KREEG », prétérit (ou O.V.T.) provenant de l’infinitif « KRIJGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « IJ », donne une voyelle « E » (double, au singulier). Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : MOET REJET BEREIKEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/01/2024

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « lk moet het huis van Geert bereiken » (« Je dois atteindre la maison de Geert »).
L’auxiliaire de mode de l’OBLIGATION est l’infinitif « MOETEN». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« bereiken »), derrière le complément (« het huis van Geert »), à la fin de la phrase et, bien sûr, à l’infinitif, Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs:
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : HALEN IN OTT INHALEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/01/2024

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We halen hem zo in » (« Nous le rattrapons tout de suite »).
On y trouve la forme verbale « halen … IN », provenant de l’infinitif « INhalen », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « HALEN ».
Quand « INhalen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « IN » de sa forme verbale proprement dite et cette particule séparable « IN », composante du verbe, fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« hem » et « zo »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe ou d’une de ses composante, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZOU CONDITIONNEL REJET LOKKEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/01/2024

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het schot zou de hele Ravenhoek hierheen lokken » (« Le coup de feu attirerait ici tout le Ravenhoek »).
L’auxiliaire du CONDITIONNEL présent » est l’infinitif « ZOUDEN », donnant un singulier « ZOU ».
Au CONDITIONNEL, il y a REJET de l’autre forme verbale («lokken ») à la fin de la phrase, derrière les compléments (« de hele Ravenhoek » et « hierheen »), à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs:
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZAL OTT ZULLEN REJET LOPEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/01/2024

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ver zal hij niet (nergens) lopen » (« Il ne va pas courir = aller loin »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ». Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (« lopen ») à la fin de la phrase, derrière le complément (« nergens »), à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs:
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase principale commençant par un complément (« Ver »), cela y engendre une INVERSION : le sujet « hij » passe derrière le verbe « zal ».

Nom : ZULLEN REJET VINDEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/01/2024

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Nooit zullen jullie de akte vinden » (« Jamais vous ne trouverez l’acte »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ». Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (« vinden ») à la fin de la phrase, derrière le complément (« nooit »), à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs:
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase principale commençant par un complément (« Nooit »), cela y engendre une INVERSION : le sujet « jullie » passe derrière le verbe « zullen ».

Nom : LET OP IMPERATIF OPLETTEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/01/2024

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Let (voor hem) op ! » (« Fais attention à lui ! »).
On y trouve la seule forme verbale « Let op ! », impératif de l’infinitif « OPletten», verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « LETTEN ».
il y a REJET de la « particule séparable » « OP », derrière le complément éventuel (« voor hem »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que le radical (première personne du présent) est la même forme verbale : « ik let op ».

Nom : PAS OP IMPERATIF OPPASSEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/01/2024

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Pas (voor hem) op ! » (« Fais attention à lui ! »).
On y trouve la seule forme verbale « Pas op ! », impératif de l’infinitif « OPpassen», verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « PASSEN ».
il y a REJET de la « particule séparable » « OP », derrière le complément éventuel (« voor hem »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que le radical (première personne du présent) est la même forme verbale : « ik pas op ».

Nom : MOETEN REJET VINDEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/01/2024

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We moeten de akte vinden » (« Nous devons trouver l’acte »).
L’auxiliaire de mode de l’« OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« vinden »), derrière le complément (« de akte »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KAN KUNNEN REJET INTERESSEREN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/01/2024

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Dat kan hem (Delpond) interesseren » (« Cela peut l’intéresser »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« interesseren »), derrière le complément (« hem »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir plutôt l’auxiliaire de mode de la «POSSIBILITE », l’infinitif « MOGEN » (avec « MAG » au singulier) : « Dat kan hem interesseren ».

Nom : NEEM MEE IMPERATIF MEENEMEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/01/2024

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Neem het (= het schrijfboek) mee ! » (« Prends-le avec = emmène-le ! »).
On trouve la forme verbale « NEEM … MEE », provenant de l’infinitif « MEENEMEN », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur « NEMEN ».
Lorsque « MEENEMEN » est conjugué, la particule « MEE » (venant de la préposition « MET ») fait l’objet d’un REJET derrière le complément (« het ») à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET (notamment du verbe ou de certaines de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VERGEELD VTT VERGELEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/01/2024

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « (het is) slechts een vergeeld schrijfboek » (« ce n’est qu’un cahier jauni »).
Rappelons tout d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve ici la forme verbale « VERGEELD », participe passé (utilisé ici comme adjectif) provenant de l’infinitif « VERGELEN », verbe « mixte » qui fait l’objet des « temps primitifs » mais fait partie, pour son participe passé, de la majorité « régulière » des verbes réguliers ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T. : « ik vergeel ») se terminant par la consonne « L », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire : « VERGEEL » + « D » = « VERGEELD ».

Nom : ZAL OTT ZULLEN REJET LUSTEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 31/12/2023

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Als we de akte niet vlug vinden, zal die vervloekte dwaas ervan lusten » (« Si nous ne trouvons pas vite l’acte, ce fou maudit va se prendre une raclée »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ». Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (« lusten ») à la fin de la phrase, derrière le complément (« ervan »), à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs:
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase principale commençant par une subordonnée jouant le rôle d’un complément (« Als we de akte niet vlug vinden »), cela y engendre une INVERSION : le sujet « die vervloekte dwaas » passe derrière le verbe « zal».

Nom : GEWAARSCHUWD VTT WAARSCHUWEN 2 ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 30/12/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « ik heb je gewaarschuwd » (« je t’ai prévenu / averti »).
On y trouve la forme verbale « gewaarschuwd », participe passé provenant de l’infinitif « WAARSCHUWEN ». Ce verbe « WAARSCHUWEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik waarschuw ») se terminant par la consonne « W », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés : préfixe « GE » + « WAARSCHUW » + « D » = « GEWAARSCHUWD ».
Quand « WAARSCHUWEN » est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « gewaarschuwd » derrière le complément (« je ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe ou d’une de ses composantes, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MOETEN REJET GEBRUIKEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 29/12/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Moeten we geweld gebruiken ? » (« Devons-nous utiliser la violence ? »).
L’auxiliaire de mode de l’OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« gebruiken »), derrière le complément (« geweld »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : OMte VERBERGEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/12/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Goede plaats om de akte te verbergen » (« Bon endroit pour cacher l’acte »).
Rappelons que « POUR » devant les verbes est rendu en langue néerlandaise par un double mot : « OM … TE ». Le complément (« de akte ») s’intercale entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « verbergen ».

Nom : VALLEN BINNEN OTT BINNENVALLEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/12/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We vallen (zijn hut) BINNEN » (« Nous pénétrons à l’intérieur => faisons irruption »).
On y trouve notamment la forme verbale « vallen … BINNEN » à l’O.T.T. (ou présent), provenant de l’infinitif « BINNENvallen », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « VALLEN ».
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « BINNENvallen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « BINNEN » de son infinitif proprement dit et il y a REJET de la particule « BINNEN », derrière le complément éventuel (« zijn hut »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : NAAIT TOE OTT TOENAAIEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/12/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij naait haar toe » (« il la recoud »).
On y trouve notamment la forme verbale « naait … toe », provenant de l’infinitif « TOENAAIEN », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur « NAAIEN ».
Quand « TOENAAIEN » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TOE » de son infinitif proprement dit et son REJET, derrière le complément (« haar »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes comme une « particule séparable »), lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : DOORZAG OVT DOORZIEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/12/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik doorzag het » (« je le voyais venir »).
On y trouve la forme verbale « DOORZAG », O.V.T. (ou prétérit) de « DOORZIEN », qui n’est PAS un verbe dit « à particule séparable », provenant lui-même de l’infinitif « ZIEN». « ZIEN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
ATTENTION : Beaucoup d’apprenants croient que la forme verbale « ZAG », provient de l’infinitif « ZEGGEN », également irrégulier à l’O.V.T. …

Nom : VIEL VOORVIEL OVT VOORVALLEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/12/2023

Description :
La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik gapte zijn sleutel voor het geval er iets voorviel » (« je chipai => j’ai chipé sa clé pour le cas où quelque chose se produirait »).
On y trouve, dans la phrase subordonnée (introduite par « voor het geval »), la forme verbale « VOORVIEL », O.V.T. (ou prétérit) de « VOORvallen », verbe dit « à particule séparable », provenant lui-même de l’infinitif « VALLEN ». « VALLEN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « VOORvallen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais habituellement une séparation de la particule « VOOR » de son infinitif proprement dit et son REJET, derrière le complément, à la fin de la phrase, comme dans la variante suivante : « er viel iets voor ». Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes comme une « particule séparable »), lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GAPTE OVT GAPPEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/12/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik gapte zijn sleutel » (« je chipai => j’ai chipé sa clé »).
On y trouve notamment le verbe « GAPPEN », qui est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), mais fait partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik gap ») se terminant par la consonne « P », on trouvera le « TE » minoritaire comme terminaison du prétérit :
« GAP » + « TE » = « GAPTE ».

Nom : VOORZIEN VTT VOORZIEN 2 ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/12/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante: « Ik had alles voorzien » (« J’avais tout prévu »).
On y trouve notamment la forme verbale « voorzien », participe passé provenant de l’infinitif « voorzien », lui-même construit sur l’infinitif « ZIEN », qui fait normalement l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « voorzien » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du plus-que-parfait, s’il s’était agi d’un verbe « à particule séparable », cela aurait pu entraîner une séparation de la particule « voor » de son infinitif proprement dit et la particule «GE- » (commune à la majorité des participes passés) se serait intercalée entre eux.
Le participe passé « voorzien » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« alles »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : GERED VTT REDDEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/12/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij heeft de akte gered » (« Il a sauvé l’acte … »).
On y trouve notamment la forme verbale « gered », participe passé provenant de l’infinitif « REDDEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (« ik red », première personne du présent ou O.T.T.) se terminant a fortiori déjà par la consonne « D », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire.
Le participe passé « gered » fait l’objet d’un REJET derrière le complément (« de akte ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZAL OTT ZULLEN REJET OPKIJKEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/12/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Hij zal aardig opkijken » (« ll va être agréablement surpris »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ». Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (« opkijken ») à la fin de la phrase, derrière le complément (« aardig »), à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs:
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : TERUGGEKEERD VTT TERUGKEREN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/12/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij is inmiddels reeds naar zijn hut teruggekeerd » (« ll est entretemps déjà revenu à sa chaumière »).
On trouve ici la forme verbale « teruggekeerd », participe passé du verbe « TERUGKEREN », provenant lui-même de l’infinitif « KEREN ». Ce verbe «KEREN», comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la majorité « régulière » des verbes réguliers (et donc NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » de ces verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP ») ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T. : « ik keer ») se terminant par la consonne « R », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire :
préfixe « GE » + « KEER » + « D » = « GEKEERD ».
Quand « TERUGkeren » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERUG » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant donc alors entre eux => « terugGEkeerd ».
Le participe passé « teruggekeerd » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« inmiddels », « reeds » et « naar zijn hut »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VERLATEN VTT VERLATEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/12/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze begeven zich naar de ruïnes van de verlaten mijngebouwen » (« Ils se rendent aux ruines abandonnées des bâtiments miniers »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve donc dans cette phrase la forme verbale « VERlaten », participe passé (utilisé ici comme adjectif) provenant de l’infinitif « VERlaten », provenant de « LATEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts », et le participe passé est construit sur le PLURIEL du prétérit, lui étant même identique.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : LATEN WE REJET PRATEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/12/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Laten we eens met hem praten ! » (« Laissons-nous une fois parler avec lui => allons lui parler ! »).
N’oublions pas que la tournure « LATEN we » (littéralement « Laissons-nous ») de la première personne du pluriel de l’IMPERATIF présent exige un REJET de l’infinitif (« praten»), derrière les compléments (« eens » et « met hem »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZOU REJET KUNNEN GEJAT HEBBEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/12/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij zou de sleutel van de schrijftafel kunnen (gejat) hebben gejat » (« ll pourrait avoir chipé la clé du bureau »).
L’auxiliaire du CONDITIONNEL est l’infinitif « ZOUDEN », donnant un singulier « ZOU » ; il est, en quelque sorte, l’« imparfait » (O.V.T. ou prétérit) de l’auxiliaire du FUTUR, « ZULLEN ».
Au CONDITIONNEL, il y a REJET de l’autre forme verbale (« kunnen »), derrière le complément (« de sleutel van de schrijftafel»), et donc à l’INFINITIF, à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
On y trouve aussi la forme verbale « gejat », participe passé provenant de l’infinitif « JATTEN », considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.) mais partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik jat ») se terminant déjà par la consonne « T », on trouvera le « T » minoritaire comme terminaison de ce participe passé.

Nom : MOET REJET GEWEEST ZIJN 2 ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/12/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Pieter) moet hier geweest zijn » (« Il doit avoir été ici »).
L’auxiliaire de mode du « DEVOIR » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« zijn »), derrière le complément (« hier »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
On y trouve aussi la forme verbale « GEWEEST », participe passé provenant du même infinitif « ZIJN », qui constitue vraisemblablement le verbe le plus irrégulier de la langue néerlandaise. C’est logique : plus on utilise un mot, plus la prononciation le déforme au fil du temps … Le verbe « ZIJN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : OVERTUIGD VTT OVERTUIGEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/12/2023

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « ik ben ervan overtuigd dat hij hiervan meer weet » (« Je suis convaincu qu’il en sait davantage »).
On y trouve, dans la phrase principale, la forme verbale « overtuigd », participe passé provenant de l’infinitif « OVERTUIGEN ». Ce verbe « OVERTUIGEN » est considéré « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik overtuig ») se terminant par la consonne « G », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés mais pas la particule «GE-» (commune à la majorité des participes passés) car il ne s’agit pas d’un verbe « à particule séparable ». On construit donc son participe passé comme suit : « OVERTUIG » + « D » = « OVERTUIGD ». Quand « OVERTUIGEN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, s’il s’était agi d’un verbe « à particule séparable », cela aurait pu entraîner une séparation de la particule « OVER » de son infinitif proprement dit et le «GE-» se serait intercalé entre eux.
Le participe passé « overtuigd » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« ervan »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZULLEN REJET ZOEKEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/12/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We zullen bewijzen zoeken » (« Nous allons chercher / chercherons des preuves »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (« zoeken »), derrière le complément (« bewijzen »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZET OP IMPERATIF OPZETTEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/12/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « zet jouw muts weer op ! » (« mets à nouveau => remets ton bonnet ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « zet … op » à l’impératif), provenant de l’infinitif « OPZETTEN », verbe dit « à particule séparable) lui-même construit sur « ZETTEN ».
Quand « OPzetten » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit et le REJET de la particule « OP », derrière les compléments (« jouw muts » et « weer »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : NAM WEG WEGNAM OVT WEGNEMEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/12/2023

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij moet het ook geweest zijn die de akte vóór jullie neus wegnam » (« Ce doit aussi avoir été lui »). (« Pourquoi ne pris-je pas / n’ai-je pas pris plus de photos ? »).
On y trouve (dans la phrase subordonnée introduite par « DIE ») la forme verbale « wegnam », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « wegnemen », verbe « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « NEMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Si ce verbe « wegnemen » avait été utilisé dans une phrase autre que subordonnée, on aurait pu avoir la variante suivante : « Hij nam de akte vóór jullie neus weg ».
La « particule séparable » « WEG » aurait donc fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« de akte » et « vóór jullie neus »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MOET REJET GEWEEST ZIJN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/12/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij moet het ook geweest zijn » (« Ce doit aussi avoir été lui »).
L’auxiliaire de mode du « DEVOIR » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« zijn »), derrière les compléments (« het » et « ook »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
On y trouve aussi la forme verbale « GEWEEST », participe passé provenant du même infinitif « ZIJN », qui constitue vraisemblablement le verbe le plus irrégulier de la langue néerlandaise. C’est logique : plus on utilise un mot, plus la prononciation le déforme au fil du temps … Le verbe « ZIJN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : ZAG OVT ZIEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/12/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Mijn vrouw zag hem » (« Ma femme le vis => l’a vu »).
On y trouve notamment la forme verbale « ZAG », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
ATTENTION : Beaucoup d’apprenants croient que la forme verbale « ZAG », provient de l’infinitif « ZEGGEN », également irrégulier à l’O.V.T. …

Nom : BESPIED VTT BESPIEDEN 2 ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/12/2023

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik weet wie jullie heeft bespied » (« Je sais qui vous a espionnés »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On y trouve donc, dans la phrase subordonnée (introduite par « WIE »), la forme verbale « BEspied », participe passé provenant de l’infinitif « BEspieden», qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Le participe passé « BEspied » est identique à la première personne de l’indicatif présent (radical se terminant déjà par un D) et fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« jullie »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZAL OTT ZULLEN REJET ZIJN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/12/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je zal wel moe zijn » (« tu vas être / seras bien fatiguée »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (« zijn ») à la fin de la phrase, derrière les compléments (« wel » et « moe »), à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : HADDEN OVT HEBBEN 2 ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/12/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Hij had zijn opgezette raaf bij zich » (« il avait son corbeau empaillé avec lui »).
On y trouve notamment la forme verbale « HAD », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « HEBBEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
On y trouve aussi la forme verbale « OPgezet », participe passé (utilisé ici – et « accordé » – comme adjectif épithète) provenant de l’infinitif « OPzetten », lui-même construit sur l’infinitif « ZETTEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » (lui, au V.T.T.) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant déjà par la consonne « T », à plus forte raison, on trouvera à la fin du participe passé le « T ». Quand « OPzetten » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEzet ».

Nom : ZAT OVT ZITTEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/12/2023

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij liep, alsof de duivel hem op de hielen zat » (« Il courait comme si le diable était sur ses talons => à ses trousses »).
On y trouve notamment (dans la phrase subordonnée introduite par « ALSOF ») la forme verbale « ZAT » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant de l’infinitif « ZITTEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Voir notre tableau :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Comme c’est le cas dans toutes les phrases subordonnées, cette forme verbale « ZAT » n’est plus à côté de son sujet (« de duivel ») et fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (ici « hem » et « op de hielen ») à la fin de la phrase.

Nom : LIEP OVT LOPEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/12/2023

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij liep, alsof de duivel hem op de hielen zat» (« Il courait comme si le diable était sur ses talons => à ses trousses »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « LIEP » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant de l’infinitif « LOPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Voir notre tableau :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : WAS OVT ZIJN 2 ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/12/2023

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Heb je kunnen zien wie het was ? Ja het was » (« As-tu pu voir qui c’était …? Oui c’était … »).
On y trouve, par exemple dans la phrase subordonnée, la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIJN », qui constitue vraisemblablement le verbe le plus irrégulier de la langue néerlandaise.
C’est logique : plus on utilise un mot, plus la prononciation le déforme au fil du temps …
Le verbe « ZIJN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : DOUBLE INFINITIF VTT HEBBEN KUNNEN ZIEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/12/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Heb je (iemand) kunnen zien ? » (« As-tu pu voir …? »).
La phrase est au passé composé et la forme verbale de «kunnen » aurait donc dû être au participe passé mais on a ici affaire à ce que l’on appelle le « double infinitif », solution intéressante pour éviter les « temps primitifs » quand on ne les maîtrise pas.
Les deux infinitifs font l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« iemand »), à la fin de la phrase.

Nom : HOORDEN OVT HOREN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/12/2023

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante: « Dat waren de voetstappen die Hassels en Bogaerts hoorden … » (« C’étaient les bruits de pas qu’ils entendirent … »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée (introduite par « DIE »), la forme verbale « hoorden », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « HOREN ».
Ce verbe « HOREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik hoor ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit :
« HOOR » + « DE » + « N » (pluriel) = « HOORDEN ».

Nom : WAREN OVT ZIJN 2 ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 30/11/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat waren de voetstappen die Hassels en Bogaerts hoorden … » (« C’étaient les bruits de pas qu’ils entendirent … »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « WAREN » (pluriel irrégulier de « WAS »), O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : MOEST OVT MOETEN REJET REMMEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 29/11/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De chauffeur moest bruusk remmen » (« le chauffeur dut brusquement freiner »).
L’auxiliaire de mode de l’OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN » (donnant MOEST au prétérit ou O.V.T.). Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« remmen »), derrière le complément (« bruusk »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VLUCHTTE OVT VLUCHTEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/11/2023

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « In de buurt van Geerts huis dook er plots een gestalte op die in de struiken vluchtte » (« Aux environs de la maison de Geert, une silhouette jaillit soudain, qui fuit dans les buissons »)
On trouve, dans la phrase subordonnée (introduite par « DIE »), le verbe « VLUCHTEN », qui est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), mais fait partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik vlucht ») se terminant par la consonne « T », on trouvera le « TE » minoritaire comme terminaison du prétérit :
« VLUCHT » + « TE » = « VLUCHTTE ».
Comme c’est le cas dans toutes les phrases subordonnées, cette forme verbale « vluchtte » n’est plus à côté de son sujet (« die » pour « een gestalte ») et fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « in de struiken ») à la fin de la phrase.

Nom : DOOK OP OVT OPDUIKEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/11/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « In de buurt van Geerts huis dook er plots een gestalte op » (« Aux environs de la maison de Geert, une silhouette jaillit soudain »).
On y trouve la forme verbale « DOOK », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant du verbe à particule séparable « OPDUIKEN », construit sur l’infinitif « DUIKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers et fait partie d’une catégorie importante de verbes irréguliers au prétérit, celle des « UI », donnant «O» aux temps du passé. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
La particule séparable « OP » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « op het eiland Ouessant ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Dans Ia mesure où la phrase commence par un complément (« In de buurt van Geerts huis »), ce dernier engendre une INVERSION : le sujet « een gestalte » passant derrière le verbe « dook ».

Nom : HADDEN OVT HEBBEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/11/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Op de terugweg hadden we bijna een ongeval » (« Sur le chemin du retour, nous avions presque un accident »).
On y trouve notamment la forme verbale « HADDEN », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « HEBBEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Dans Ia mesure où la phrase commence par un complément (« Op de terugweg »), ce dernier engendre une INVERSION : le sujet « we » passant derrière le verbe « hadden ». On aurait en effet aussi pu dire : « we hadden bijna een ongeval op de terugweg ».

Nom : GEBLUST VTT BLUSSEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/11/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het volk van Geert heeft zelf de brand geblust » (« Les gens de Geert ont eux-mêmes étouffé l’incendie »).
On y trouve notamment la forme verbale « geblust », participe passé provenant de l’infinitif « BLUSSEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T. : « ik blus ») se terminant par la consonne « S », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Quand « BLUSSEN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, il y a REJET de son participe passé «geblust» derrière le complément (« de brand ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : UITGEBRAND VTT UITBRANDEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/11/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Er is een schuur (« na een brand ») uitGEbrand » (« Il y a une grange complètement brûlée »).
On y trouve la forme verbale « UITgebrand », participe passé provenant de l’infinitif « UITbranden », lui-même construit sur l’infinitif « BRANDEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant déjà par la consonne « D », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire.
Quand « UITbranden » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « uitGEbrand ».
Il y aurait REJET de la forme verbale du participe passé « uitGEbrand », derrière le complément éventuel (« na een brand »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs : https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : TERUGGEKOMEN VTT TERUGKOMEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/11/2023

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Toen ik onderweg van de brand in de Ravenhok hoorde, ben ik dadelijk teruggekomen » (« Quand, en chemin, j’entendis / j’ai entendu parler de l’incendie au Ravenhok, je suis revenue »).
On y trouve la forme verbale « TERUGgekomen », participe passé provenant de l’infinitif «TERUGkomen», lui-même construit sur l’infinitif « KOMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et est construit sur l’INFINITIF. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « TERUGkomen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERUG » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « terugGEkomen ». Il y a REJET de la forme verbale du participe passé « TERUGgekomen », derrière le complément (« dadelijk »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs : https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : HOORDE OVT HOREN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/11/2023

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante: « Toen ik onderweg van de brand in de Ravenhok hoorde … » (« Quand, en chemin, j’entendis / j’ai entendu parler de l’incendie au Ravenhok … »).
On trouve notamment, dans la phrase subordonnée (introduite par « TOEN »), la forme verbale « hoorde », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « HOREN ».
Ce verbe « HOREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik hoor ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit : « HOOR » + « DE » = « HOORDE ».

Nom : WOU WILDE OVT WILLEN REJET OVERNACHTEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/11/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je wou = wilde toch bij jouw moeder overnachten » (« tu voulais tout de même passer la nuit chez ta mère »).
L’auxiliaire de mode de la VOLONTE » est l’infinitif « WILLEN » (donnant actuellement WILDE – tendant à remplacer la forme plus ancienne WOU – au singulier du prétérit ou O.V.T.). Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « MOGEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (ici, « overnachten ») derrière les compléments (« toch » et « bij jouw moeder »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VERWACHTTE OVT VERWACHTEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/11/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « lk verwachtte je niet zo vlug » (« je ne t’attendais pas si vite »).
On y trouve notamment l’infinitif « VERWACHTEN », construit sur le verbe « WACHTEN », qui est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), mais fait partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik verwacht ») se terminant déjà par la consonne « T », on y trouvera a fortiori le « TE » minoritaire comme terminaison du prétérit :
« VERWACHT » + « TE » = « VERWACHTTE ».

Nom : GEVLUCHT VTT VLUCHTEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/11/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We zijn naar buiten gevlucht » (« Nous avons fui à l’extérieur »).
On y trouve notamment le verbe « VLUCHTEN », qui est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), mais fait partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik vlucht ») se terminant déjà par la consonne « T », on trouvera d’autant plus le « T » minoritaire comme terminaison du participe passé :
« GE » + « VLUCHT » (+ « T ») = « GEVLUCHT ».
Le participe passé « gevlucht » fait l’objet d’un REJET derrière le complément (« naar buiten »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : WAS OVT ZIJN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/11/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wie was daar in de buurt ? » (« Qui était dans les environs ? »).
On y trouve la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIJN », qui constitue vraisemblablement le verbe le plus irrégulier de la langue néerlandaise.
C’est logique : plus on utilise un mot, plus la prononciation le déforme au fil du temps …
Le verbe « ZIJN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : GEHOORD VTT HOREN 3 ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/11/2023

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Toen we in het huis van Geert waren, hebben we voetstappen gehoord » (« Lorsque nous étions dans la maison de Geert, nous avons entendu des pas »)
On y trouve la forme verbale « gehoord », participe passé provenant de l’infinitif « HOREN ». Ce verbe « HOREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik hoor ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés :
préfixe « GE » + « HOOR » + « D » = « GEHOORD ».
Quand « HOREN » est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « gehoord » derrière le complément (« voetstappen ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : WAREN OVT ZIJN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/11/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Toen we in het huis van Geert waren … » (« Lorsque nous étions dans la maison de Geert … »).
On y trouve notamment, dans cette phrase subordonnée (introduite par « TOEN »), la forme verbale « WAREN » (pluriel irrégulier de « WAS »), O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : GEZIEN VTT ZIEN 3 ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/11/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wie heb je gezien ? We hebben niemand gezien » (« Qui as-tu vu ? Nous n’avons vu personne »).
On y trouve notamment la forme verbale « geZIEN », participe passé provenant de l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’INFINITIF.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « niemand »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
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Nom : LIET OVT LATEN 2 ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/11/2023

Description : La triple phrase suivante est grammaticalement intéressante: « Het is duidelijk dat iemand de diefstal (heeft) voorzien heeft en jullie erin liet lopen » (« Il est clair que quelqu’un a prévu le vol et vous a fait courir => tomber dans un piège »).
On y trouve notamment, dans la (deuxième) phrase subordonnée (introduite par « DAT »), la forme verbale « liet », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « LATEN ». Ce verbe « LATEN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : VOORZIEN VTT VOORZIEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/11/2023

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante: « Het is duidelijk dat iemand de diefstal (heeft) voorzien heeft » (« Il est clair que quelqu’un a prévu le vol »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée (introduite par « DAT »), la forme verbale « voorzien », participe passé provenant de l’infinitif « voorzien », lui-même construit sur l’infinitif « ZIEN », qui fait normalement l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « voorzien » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, s’il s’était agi d’un verbe « à particule séparable », cela aurait pu entraîner une séparation de la particule « voor » de son infinitif proprement dit et la particule «GE- » (commune à la majorité des participes passés) se serait intercalée entre eux.
Le participe passé « voorzien » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« lang geleden »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : DOUBLE INFINITIF VTT MOETEN DOEN NADENKEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/11/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Die niet gesloten schrijftafel had jullie moeten doen nadenken » (« Cette table de bureau non fermée aurait dû vous faire réfléchir »).
La phrase est au plus-que-parfait et la forme verbale de «moeten » aurait donc dû être au participe passé mais on a ici affaire à ce que l’on appelle le « double infinitif », solution intéressante pour éviter les « temps primitifs » quand on ne les maîtrise pas.
Les deux (et, dans ce cas-ci, même trois) infinitifs font l’objet d’un REJET, derrière le complément («jullie »), à la fin de la phrase.

Nom : GESLOTEN VTT SLUITEN 3 ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/11/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Die niet gesloten schrijftafel had jullie moeten doen nadenken » (« Cette table de bureau non fermée aurait dû vous faire réfléchir »).
On y trouve notamment la forme verbale « GESLOTEN », participe passé (utilisé ici comme adjectif) provenant de l’infinitif « SLUITEN», qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Il est à noter que ce participe passé « GESLOTEN » se construit sur le PLURIEL du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : LEG AF IMPERATIF AFLEGGEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/11/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Leg jouw masker maar af ! » (« Retire ton masque ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « leg … AF », provenant de l’infinitif « AFleggen », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « LEGGEN ».
Quand « AFleggen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de sa forme verbale proprement dite et cette particule séparable « AF », composante du verbe, fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« jouw masker »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : OPGEKNAPT VTT OPKNAPPEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/11/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat hebben we netjes opgeknapt » (« Cela nous l’avons mené à bien »).
On y trouve la forme verbale « opgeknapt », participe passé provenant de l’infinitif « OPknappen », lui-même construit sur l’infinitif « KNAPPEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (ou première personne du présent : « ik knap op ») se terminant par la consonne « P », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Quand « OPknappen » est conjugué comme participe passé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opgeknapt ».
Il y a REJET de la forme verbale « opgeknapt » derrière le complément (« netjes ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZULLEN REJET BEKIJKEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/11/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We zullen de buit erin bekijken » (« Nous allons regarder le butin à l’intérieur »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale («bekijken») à la fin de la phrase, derrière le complément (« de buit erin »), à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZAL OTT ZULLEN REJET MOETEN ZINGEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/11/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Geert) zal een toontje lager moeten zingen » (« il va devoir chanter un ton plus bas »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale («moeten ») à la fin de la phrase, derrière le complément (« een toontje lager »), à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GELUKT VTT LUKKEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/11/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Is het (jullie) gelukt ? » (« Cela vous a-t-il réussi ? »).
On y trouve la forme verbale « gelukt », participe passé provenant de l’infinitif « LUKKEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T. : « ik luk ») se terminant par la consonne « K », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire : préfixe « GE » + « LUK » + « T » = « GELUKT ».
Quand « LUKKEN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, il y a REJET de son participe passé « gelukt » derrière le complément éventuel (« jullie ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : BINNENGELATEN VTT BINNENLATEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/11/2023

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « de twee gemaskerden rennen naar het huis waar zij via een achterdeur worden BINNENgelaten » (« ll pénètre dans la maison par l’arrière »).
On trouve, dans la phrase subordonnée (introduite par (« waar »), la forme verbale « BINNENgelaten », participe passé (utilisé à la voix passive) provenant de l’infinitif « BINNENlaten », lui-même construit sur l’infinitif « LATEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et est construit sur le PLURIEL du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
Il y a REJET de la particule séparable « BINNEN », derrière le complément (« via een achterdeur »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Rappelons que, dans la préposition « BINNEN », ancienne préposition, il y a l’autre préposition « IN ».

Nom : GEZIEN VTT ZIEN 2 ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/11/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « ik heb de brand gezien » (« j’ai vu l’incendie »).
On y trouve notamment la forme verbale « geZIEN », participe passé provenant de l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’INFINITIF.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « de brand »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZAL OTT ZULLEN REJET BEHEERSENEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/11/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « ik zal me beheersen » (« je vais me maîtriser / je me maîtriserai »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale («beheersen ») à la fin de la phrase, derrière le complément (« me »), à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : LATEN WE REJET INSTELLEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/11/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «laten we een onderzoek instellen ! » (« mettons une enquête sur pied ! »).
La tournure « LATEN we » (littéralement « Laissons-nous »), de la première personne du pluriel de l’IMPERATIF présent, « LATEN » exige souvent un REJET de l’infinitif (ici « instellen »), derrière le complément (« een onderzoek »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : HAAL UIT IMPERATIF UITHALEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/11/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « haal geen dwaasheden uit ! » (« Ne fais pas de bêtises ! »).
On y trouve la forme verbale « HAAL … UIT » du verbe « UITHALEN », dit à « particule séparable », construit sur l’infinitif « HALEN ».
Quand « UITHALEN » est conjugué, il exige le REJET de la particule séparable « UIT », derrière le complément (« geen dwaasheden »), à la fin de la phrase.
Voir phénomène du REJET, entre autres, à :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
N’oubliez pas que la langue néerlandaise abandonne, à la forme interrogative, l’habituelle terminaison « T » de la deuxième personne du singulier de l’O.T.T. (ou indicatif présent). Dans une phrase « normale » (à la forme affirmative avec ordre sujet puis verbe), on aurait eu : « Je haalt geen dwaasheden uit ».
N.B. : les apprenants francophones – qui apprennent donc le néerlandais après le français – et oubliant cette terminaison (équivalant au « S » après « TU » en français), se rappelleront que le « T » vient après le « S » dans l’alphabet …

Nom : KAN KUNNEN REJET STEKEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 31/10/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « daar(achter) kan maar een man achter steken » (« seul un homme peut être là derrière »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, sous-entendue (« steken »), derrière le complément (« achter »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs : https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir plutôt l’auxiliaire de mode de la «POSSIBILITE », l’infinitif « MOGEN » (avec « MAG » au singulier) :
« daar(achter) mag maar een man achter steken ».
La phrase commençant par un complément (« daar », moitié d’un adverbe pronominal), cela y engendre une INVERSION : le sujet « een man » passe derrière le verbe « kan ».

Nom : GEKOMEN VTT KOMEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 30/10/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maar hoe is men aan jouw sleutel gekomen ? » (« Mais comment en est-on arrivé : a-t-on pu accéder à ta clé ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEKOMEN », participe passé provenant de l’infinitif « KOMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Cette forme verbale est, comme on le voit, construite sur L’INFINITIF. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Il y a REJET de ce participe passé « gekomen », derrière le complément (« aan jouw sleutel ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe ou d’une de ses composantes, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GESTOLEN VTT STELEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/10/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De omslag met de eigendomsakte is (tijdens de brand) gestolen (worden) » (« L’enveloppe avec l’acte de propriété a été volé »).
On y trouve la forme verbale « GESTOLEN », participe passé provenant de l’infinitif « STELEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« tijdens de brand »), à la fin de la phrase.. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse, également en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KREEG OVT KRIJGEN 2 ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/10/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik kreeg angst » (« Je reçus de la peur => je pris peur »).
On y trouve la forme verbale « KREEG », prétérit (ou O.V.T.) provenant de l’infinitif « KRIJGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « IJ », donne une voyelle « E » (double, au singulier). Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : STELDE VAST OVT VASTSTELLEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/10/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Na de brand stelde ik plots vast ... » (« Après l’incendie, je constatai soudain … »).
On y trouve la forme verbale « stellen … VAST », provenant de l’infinitif « VASTstellen», verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « STELLEN ».
Ce verbe « STELLEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik stel ») se terminant par la consonne « L », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit : « STEL » + « DE » = « STELDE ».
Quand « VASTstellen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « VAST » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET derrière le complément (« plots »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET, lisez :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Na de brand »), cela engendre une INVERSION : le sujet « ik » passe derrière le verbe « stelde ».

Nom : VERDWENEN VTT VERDWIJNEN 2 ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/10/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Na de brand was de sleutel van mijn schrijftafel uit mijn zak verdwenen » (« Après l’incendie, la clé de mon bureau avait disparu de ma poche »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER- GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On y trouve la forme verbale « VERDWENEN », participe passé provenant de l’infinitif « VERDWIJNEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers et, parmi eux, d’une catégorie importante de verbes irréguliers, celle des « IJ » donnant des « E » aux temps du passé (O.V.T. et V.T.T.). Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre notamment ces trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
ll y a REJET du participe passé, derrière le complément (« uit mijn zak »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs:
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Dans Ia mesure où la phrase commence par un complément (« Na de brand »), ce dernier engendre une INVERSION : le sujet « de sleutel van mijn schrijftafel » passe derrière le verbe « was ».

Nom : VERDWENEN VTT VERDWIJNEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/10/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De eigendomsakte is (nu) verdwenen » (« L’acte de propriété a disparu »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER- GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On y trouve la forme verbale « VERDWENEN », participe passé provenant de l’infinitif « VERDWIJNEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers et, parmi eux, d’une catégorie importante de verbes irréguliers, celle des « IJ » donnant des « E » aux temps du passé (O.V.T. et V.T.T.). Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre notamment ces trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
ll y a REJET du participe passé, derrière le complément éventuel (« nu »), à la fin de la phrase et, bien sûr, à l’infinitif, Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs:
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KREEG OVT KRIJGEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/10/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij kreeg plots een naar voorgevoel » (« Il reçut => eut un désagréable pressentiment »).
On y trouve la forme verbale « KREEG », prétérit (ou O.V.T.) provenant de l’infinitif « KRIJGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « IJ », donne une voyelle « E » (double, au singulier). Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : BESTOLEN VTT BESTELEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/10/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We zijn (tijdens de brand) bestolen (worden) » (« Nous avons été volés »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais. On trouve donc la forme verbale « BEstolen », O.V.T. ou prétérit provenant de l’infinitif « BEstelen », lui-même construit sur « STELEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Il y a REJET de la forme verbale « BEstolen » derrière le complément éventuel (« tijdens de brand ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : UITGEWOED VTT UITWOEDEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/10/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « de brand is (nu) uitgewoed » (« l’incendie s’est apaisé => a pris fin »).
On y trouve la forme verbale « uitgewoed », participe passé provenant de l’infinitif « UITwoeden », lui-même construit sur l’infinitif « WOEDEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent : « ik woed ») se terminant déjà par la consonne « D », on trouvera à la fin du participe passé a fortiori le « D » majoritaire. Quand « UITwoeden » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « uitGEwoed ». Il y a REJET de la forme verbale « uitGEwoed » derrière le complément éventuel (« nu ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MAG OTT MOGEN REJET VINDEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/10/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Men mag ons hier in geen geval vinden » (« On ne peut en aucun cas nous trouver ici »).
L’auxiliaire de mode de la POSSIBILITE est l’infinitif « MOGEN », donnant un singulier « MAG ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« vinden »), derrière les compléments (« ons », « hier » et « in geen geval »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEHOORD VTT HOREN 2 ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/10/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb iets gehoord » (« J’ai entendu quelque chose »)
On y trouve la forme verbale « gehoord », participe passé provenant de l’infinitif « HOREN ». Ce verbe « HOREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik hoor ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés :
préfixe « GE » + « HOOR » + « D » = « GEHOORD ».
Quand « HOREN » est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « gehoord » derrière le complément (« iets ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MOET REJET ZIJN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/10/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dit moet de eigendomsakte zijn » (« Ce doit être l’acte de propriété »).
L’auxiliaire de mode de l’OBLIGATION est l’infinitif « MOETEN». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« zijn »), derrière le complément (« de eigendomsakte »), à la fin de la phrase et, bien sûr, à l’infinitif, Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs:
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MOET REJET ZITTEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/10/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Daarin moet de akte (vermoedelijk) zitten » (« Là-dedans l’acte doit se trouver »).
L’auxiliaire de mode de l’OBLIGATION est l’infinitif « MOETEN». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« zitten »), derrière le complément éventuel («vermoedelijk »), à la fin de la phrase et, bien sûr, à l’infinitif, Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs:
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Daarin ») cela engendre une INVERSION : le sujet « de akte » passe derrière le verbe « moet ».

Nom : AANGEWEZEN VTT AANWIJZEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/10/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat lijkt me de meest aangewezen plaats … » (« Cela me semble être la place la plus indiquée »).
On y trouve la forme verbale « AANGEWEZEN », provenant de l’infinitif «AANWIJZEN », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur «WIJZEN » qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers et, parmi eux, d’une catégorie importante de verbes irréguliers, celle des « IJ » donnant des « E » aux temps du passé. Le participe passé est construit sur le PLURIEL du prétérit :
WEZEN => « GEWEZEN ».
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « AANwijzen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGEwezen ».

Nom : MAG OTT MOGEN REJET DOEN DENKEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/10/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Niets mag aan een inbraak doen denken » (« Rien ne peut faire penser à un cambriolage »).
L’auxiliaire de mode de la POSSIBILITE est l’infinitif « MOGEN », donnant un singulier « MAG ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« doen »), derrière le complément (« aan een inbraak »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ONTSTAAN VTT ONTSTAAN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/10/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hoe is die brand ontstaan ? » (« Comment cet incendie a-t-il éclaté ? »)
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On y trouve la forme verbale « ONTSTAAN », participe passé provenant de l’infinitif « ONTSTAAN » (et identique à lui), lui-même construit sur « STAAN » qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : MOCHT OVT MOGEN REJET BATEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/10/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Jammer dat het (eindelijk) niet mocht baten » (« Dommage que cela ne put pas se terminer positivement »)
La forme verbale « MOCHT » est le prétérit (SINGULIER) du verbe « MOGEN» faisant ici l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers, au moins à l’O.V.T. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
L’auxiliaire de mode de la « POSSIBILITE » ou de la « PERMISSION » est l’infinitif « MOGEN » (donnant, à l’O.T.T. ou indicatif présent, un singulier « MAG »). Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière le complément éventuel (« eindelijk »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KONDEN OVT KUNNEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/10/2023

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We hebben gedaan wat we (in deze omstandigheden) konden doen » (« Nous avons fait ce que nous pouvions »)
L’auxiliaire de mode de la CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN » et un O.V.T. (ou prétérit) « KON » (PLURIEL irrégulier « KONDEN »). Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (ici « doen », sous-entendue), derrière le complément éventuel (« in deze omstandigheden »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Le verbe « KUNNEN » fait l’objet (au seul prétérit ou O.V.T.) des « temps primitifs ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : AFGELOPEN VTT AFLOPEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/10/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het is goed AFgelopen » (« Cela s’est bien terminé »).
On y trouve notamment la forme verbale « AFGELOPEN », participe passé provenant de l’infinitif « AFLOPEN », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « LOPEN » qui fait l’objet des « temps primitifs ». Il est à noter que le participe passé « GELOPEN » se construit sur l’INFINITIF. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « AFlopen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, le préfixe « GE- » (commun à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « AFGElopen ».

Nom : GEDAAN VTT DOEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/10/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We hebben (alles) gedaan ... » (« Nous avons fait ... »).
On y trouve la forme verbale « gedaan ». », participe passé provenant de l’infinitif « DOEN » qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « gedaan » fait l'objet d'un REJET, derrière le complément éventuel (« alles »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : TREK TERUG IMPERATIF TERUGTREKKEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/10/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Trek jouw mensen terug ! » (« Retire tes gens ! »).
On y trouve la forme verbale « trek … TERUG », provenant de l’infinitif « TERUGtrekken », verbe dit « à particule séparable ».
Quand « TERUGtrekken » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERUG » de son infinitif proprement dit, la particule « TERUG » étant affectée par un REJET, derrière le complément (« jouw mensen »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe ou d’une de ses composantes, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GAAT OP OTT OPGAAN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/10/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ondanks de inspanningen van al de bewoners gaat de schuur geheel in vlammen op » (« Malgré les efforts de tous les habitants, la grange est entièrement détruite par les flammes »).
On y trouve la forme verbale « gaat … OP », provenant de l’infinitif « OPgaan », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « GAAN ».
Quand « OPgaan » est conjugué, il y a REJET de la particule « OP » derrière les compléments (« geheel » et « in vlammen») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou de certaines de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Ondanks de inspanningen van al de bewoners »), cela engendre une INVERSION: le sujet « de schuur » passe derrière le verbe « gaat ».

Nom : DRINGEN BINNEN OTT BINNENDRINGEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/10/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Inmiddels dringen twee gemaskerde mannen het huis van Geert binnen » (« Entretemps deux hommes masqués pénètrent dans la maison de Geert »).
On y trouve la forme verbale « dringen … BINNEN », présent (ou O.T.T.) provenant du verbe « BINNENdringen », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « DRINGEN ».
Il y a REJET de la particule séparable « BINNEN », composante du verbe, derrière le complément (« het huis van Geert »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe ou d’une de ses composantes, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Inmiddels »), cela engendre une INVERSION : le sujet « twee gemaskerde mannen » passe derrière le verbe « dringen ».

Nom : GEEF DOOR IMPERATIF DOORGEVEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/10/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Geef de emmers door ! » (« donne les seaux au travers => fais passer les seaux ! »).
On y trouve la forme verbale « geef … DOOR », provenant du verbe « DOORgeven », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « GEVEN ».
Il y a REJET de la particule séparable « DOOR », composante du verbe, derrière le complément (« de emmers »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe ou d’une de ses composantes, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : STA OP IMPERATIF OPSTAAN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/10/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « sta (dadelijk) op ! » (« mets-toi debout sur tes jambes => lève-toi ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « staat … OP », provenant de l’infinitif « OPstaan » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « STAAN ».
Quand « OPstaan » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, et son REJET, derrière le complément éventuel (« dadelijk »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET, lisez notre synthèse, également en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : OPGESCHRIKT VTT OPSCHRIKKEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/10/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « die nacht wordt het gehucht door het luiden van de noodklok opgeschrikt » (« cette nuit-là le hameau est éveillé en sursaut par la sonnerie du tocsin »).
On y trouve la forme verbale « OPgeschrikt », participe passé provenant de l’infinitif « OPschrikken », lui-même construit sur l’infinitif « SCHRIKKEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire. Quand « OPschrikken » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEschrikt ».
Il y a REJET de la forme verbale « OPgeschrikt » derrière le complément (« door het luiden van de noodklok ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : ZAL OTT ZULLEN REJET GAAN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/10/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zo ver zal hij (Delpond) wel niet gaan » (« Aussi loin, il n’ira pas »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ». Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale ou (« gaan ») à la fin de la phrase, derrière le complément (« wel »), à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs:
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Zo ver »), cela engendre une INVERSION : le sujet « hij » passe derrière le verbe « zal ».

Nom : LATEN WE REJET HOUDEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/10/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Laten we allen een oogje in het zeil houden ! » (« Laissons-nous tous tenir un œil dans la voile => gardons tous un œil vigilant ! »).
N’oublions pas que la tournure « LATEN we » (littéralement « Laissons-nous ») de la première personne du pluriel de l’IMPERATIF présent exige un REJET de l’infinitif (« maken»), derrière les compléments (« een oogje » et « in het zeil »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZULLEN REJET ZIJN 2 ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/10/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze zullen enige tijd onze gasten zijn » (« Ils vont être / ils seront nos hôtes pendant quelque temps »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (« zijn »), derrière les compléments (« enige tijd » et « onze gasten »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KAN KUNNEN REJET DOEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 30/09/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« hij (Delpond) kan ons niets doen » (« il ne peut rien nous faire »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« doen »), derrière les compléments (« ons » et « niets »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir plutôt l’auxiliaire de mode de la «POSSIBILITE », l’infinitif « MOGEN » (avec « MAG » au singulier) : « Hij mag ons niets doen ».

Nom : ZULLEN REJET ZIJN 1 ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 29/09/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We zullen op onze hoed zijn » (« Nous allons être / serons sur nos gardes »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (« zijn »), derrière le complément (« op onze hoed »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez l’expression « op onze hoed zijn ».

Nom : KUNNEN REJET BETWISTEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/09/2023

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Als die akte bestaat, kunnen we ze betwisten » (« Si cet acte existe, nous pouvons le contester »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière le complément (« ze = « die akte »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
C’est dans Ia mesure où la phrase subordonnée (« Als die akte bestaat») joue le rôle d’un complément que cela engendre une INVERSION : le sujet « we » passe derrière le verbe « kunnen ».
Notez que l’on aurait dû avoir plutôt l’auxiliaire de mode de la «POSSIBILITE» ou de la « PERMISSION », l’infinitif « MOGEN » :
« Als die akte bestaat, mogen we ze betwisten ».

Nom : ZAL OTT ZULLEN REJET AFREKENEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/09/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Binnen een paar dagen zal ik ongenadig met jullie afrekenen » (« Dans quelques jours, je vais régler impitoyablement mes comptes avec vous »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ». Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (« afrekenen ») à la fin de la phrase, derrière les compléments (« ongenadig » et « met jullie »), à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs:
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Binnen een paar dagen »), cela engendre une INVERSION : le sujet « ik » passe derrière le verbe « zal ».

Nom : BESCHERMD VTT BESCHERMEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/09/2023

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze zijn onze gasten omdat zij hem (Pieter) tegen jouw brutaliteit (hebben) beschermd hebben » (« Ils sont nos hôtes parce qu’ils l’ont protégé contre ta brutalité »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve la forme verbale « beschermd », participe passé provenant de l’infinitif « BESCHERMEN », considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik bescherm ») se terminant par la consonne « M », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés :
(PAS de préfixe « GE ») + « BESCHERM » + « D » = « BESCHERMD ».
Quand « BESCHERMEN » est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « beschermd » derrière le complément (« tegen jouw brutaliteit ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VERNIELD VTT VERNIELEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/09/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Die vagebond, die mijn strohoed (heeft) vernield heeft… » (« Ce vagabond qui a détruit mon chapeau de paille … »).
Rappelons tout d’abord que, au participe passé, les verbes commençant par les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER-, NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve ici la forme verbale « vernield », participe passé provenant de l’infinitif « VERNIELEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T.) se terminant par la consonne « L », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire.
Il y a REJET du participe passé « vernield », derrière le complément (« mijn strohoed »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZAL OTT ZULLEN REJET STRAFFEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/09/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dan zal ik (hem) zelf straffen » (« Alors, je vais le punir moi-même »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ». Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (« straffen ») à la fin de la phrase, derrière le complément (« hem »), à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs:
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Dan »), cela engendre une INVERSION : le sujet « ik » passe derrière le verbe « zal ».

Nom : WIL REJET VERJAGEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/09/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij wil ons uit de Ravenhoek verjagen » (« Il veut nous chasser du coin aux corbeaux »).
L’auxiliaire de mode de la VOLONTE » est l’infinitif « WILLEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « MOGEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (ici « verjagen ») derrière les compléments (« ons » et « uit de Ravenhoek »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KAN KUNNEN REJET GEBEUREN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/09/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Indien nodig kan er veel gebeuren » (« Si nécessaire, il peut se passer beaucoup de choses »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant plutôt un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« gebeuren »), derrière le complément («veel»), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir « MAG », singulier de l’infinitif « MOGEN», l’auxiliaire de mode de la « POSSIBILITE » :
«Indien nodig mag er veel gebeuren ».

Nom : LAAT OVER IMPERATIF OVERLATEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/09/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Laat dat aan mij over ! » (« Laisse-moi cela ! »).
On y trouve la forme verbale « laat … OVER », qui pourrait provenir du verbe « OVERlaten », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « LATEN ». Il y aurait alors REJET de la particule séparable « OVER », derrière les compléments (« dat » et « aan mij »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MOET REJET WORDEN BEWEZEN VTT BEWIJZEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/09/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat moet nog (worden) bewezen worden » (« Cela doit encore être prouvé »).
Rappelons tout d’abord que, dans le cas des verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve ici, à la fin de la phrase subordonnée, la forme verbale « BEWEZEN », participe passé (utilisé avec l’équivalent d’un passé composé) provenant de l’infinitif « BEWIJZEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé « BEWEZEN » se construit sur le PLURIEL du prétérit (et, dans ce cas-ci, est identique). Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé (la plus nombreuse étant précisément celle des « IJ ») :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« nog »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est à la voix passive (avec une structure comme un passé composé) puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : GEHOORD VTT HOREN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/09/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb daar nooit van gehoord » (« Je ne l’ai jamais entendu => Je n’en ai jamais entendu parler »)
On y trouve la forme verbale « gehoord », participe passé provenant de l’infinitif « HOREN ». Ce verbe « HOREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik hoor ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés :
préfixe « GE » + « HOOR » + « D » = « GEHOORD ».
Quand « HOREN » est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « gehoord » derrière le complément (« nooit ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
On y trouve aussi un « adverbe pronominal » et on aurait pu avoir les variantes suivantes : « Ik heb ervan / daarvan nooit gehoord ».

Nom : GEWAARSCHUWD VTT WAARSCHUWEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/09/2023

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De heren zijn getuigen dat ik jullie heb gewaarschuwd » (« Les messieurs sont témoins que je vous ai prévenus / avertis »).
On y trouve la forme verbale « gewaarschuwd », participe passé provenant de l’infinitif « WAARSCHUWEN ». Ce verbe « WAARSCHUWEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik waarschuw ») se terminant par la consonne « W », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés : préfixe « GE » + « WAARSCHUW » + « D » = « GEWAARSCHUWD ».
Quand « WAARSCHUWEN » est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « gewaarschuwd » derrière le complément («jullie ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe ou d’une de ses composantes, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KUN KAN KUNNEN REJET BEWIJZEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/09/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Kan / kun je dat bewijzen ? » (« Peux-tu prouver cela ? »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant plutôt un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« bewijzen »), derrière le complément («dat»), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir « MAG », singulier de l’infinitif « MOGEN», l’auxiliaire de mode de la « POSSIBILITE » :
« Mag je dat bewijzen ?... ».

Nom : GESCHONKEN VTT SCHENKEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/09/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Even vóór haar dood heeft de barones ons een eigendomsakte geschonken » (« Peu avant sa mort, la baronne nous a offert un acte de propriété »).
On y trouve la forme verbale « GESCHONKEN », participe passé provenant de l’infinitif « SCHENKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et est construit sur le PLURIEL du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Il y a REJET de la forme verbale « geschonken », derrière les compléments (« ons » et « een eigendomsakte »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (l), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de barones ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « heeft ») et passant donc derrière lui.

Nom : MOET REJET TELEURSTELLEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/09/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « ik moet je teleurstellen » (« je dois te décevoir »).
L’auxiliaire de mode de l’OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« teleurstellen »), derrière le complément (« je »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : OMte UITBREIDEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/09/2023

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De gemeenteraad heeft mijn project goedgekeurd om de fabriek uit te breiden » (« Le conseil communal a approuvé mon projet pour étendre l’usine »).
Rappelons que « POUR » devant les verbes est rendu en langue néerlandaise par un double mot : « OM … TE ». Le complément (« onze redders ») s’intercale entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « (uit)breiden ».
« (uit)breiden » étant un verbe dit « à particule séparable », le « TE » s’intercale en plus entre la « particule séparable » « uit » et l’infinitif « breiden » proprement dit.

Nom : GOEDGEKEURD VTT GOEDKEUREN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/09/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De gemeenteraad heeft mijn project goedgekeurd » (« Le conseil communal a approuvé mon projet »).
On y trouve la forme verbale « goedgekeurd », participe passé provenant de l’infinitif « GOEDKEUREN » lui-même construit sur « KEUREN ». Ce verbe « KEUREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik keur ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés : préfixe « GE » + « KEUR » + « D » = « GEKEURD ».
Quand « KEUREN » ou son composé est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « gekeurd » derrière le complément (« mijn project ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
« GOED » réagit comme une « particule séparable ».

Nom : ZULLEN REJET ONTRUIMEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/09/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Jullie zullen de ravenhoek moeten ontruimen » (« Vous devrez / vous allez devoir évacuer le coin aux corbeaux »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale («ontruimen») à la fin de la phrase, derrière le complément (« de ravenhoek »), et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEDOMPELD VTT DOMPELEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/09/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We werden allen in armoede gedompeld » (« Nous fûmes tous plongés dans la misère »).
On y trouve, dans une phrase à la voix passive (utilisation de « WORDEN », au lieu de « ZIJN »), la forme verbale « GEDOMPELD » provenant de l’infinitif « DOMPELEN », verbe considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik DOMPEL ») se terminant par la consonne « L », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés :
préfixe « GE » « DOMPEL » + « D » = « GEDOMPELD ».
Le participe passé « GEDOMPELD » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« allen » et « in armoede »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GESLOTEN VTT SLUITEN 2 ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/09/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Kort daarop werden de mijnen gesloten » (« peu après, les mines furent fermées »).
On y trouve notamment la forme verbale « GESLOTEN », participe passé utilisé ici dans une phrase à la voix passive (utilisation de « WORDEN », au lieu de « ZIJN »,), provenant de l’infinitif « SLUITEN», qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Il est à noter que ce participe passé « GESLOTEN » se construit sur le PLURIEL du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GESLOTEN » fait l’objet d’un REJET à la fin de la phrase. On aurait pu avoir la variante suivante : « de mijnen werden kort daarop gesloten ». Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Kort daarop »), cela engendre une INVERSION : le sujet « de mijnen » passe derrière le verbe « werden ».

Nom : GESTORVEN VTT STERVEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/09/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « in mijn jeugd zijn er veel door een ongekende oorzaak gestorven » (« Dans ma jeunesse beaucoup sont morts par / en raison d’une cause inconnue »).
On y trouve la forme verbale « GESTORVEN », participe passé provenant de l’infinitif « STERVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« door een ongekende oorzaak »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse, également en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Dans Ia mesure où la phrase commence par un complément (« in mijn jeugd »), ce dernier engendre une INVERSION : le sujet « veel » passant derrière le verbe « zijn ». On aurait en effet aussi pu dire : « veel zijn door een ongekende oorzaak gestorven ».

Nom : VERWOESTTE OVT VERWOESTEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/09/2023

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Kort daarop kwam de slotvoogd in de brand, die zijn kasteel verwoestte, om het leven » (« Peu après, le châtelain perdit la vie dans l’incendie qui dévasta son château »).
On y trouve, dans la phrase subordonnée (introduite par « DIE »), la forme verbale « VERWOESTTE », O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « VERWOESTEN », qui est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), mais fait partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik verwoest ») se terminant déjà par la consonne « T », on trouvera a fortiori le « TE » minoritaire comme terminaison du prétérit :
« VERWOEST » + « TE » = « VERWOESTTE ».

Nom : KWAM OVT KOMEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/09/2023

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Kort daarop kwam de slotvoogd in de brand, die zijn kasteel verwoestte, om het leven » (« Peu après, le châtelain perdit la vie dans l’incendie qui dévasta son château »).
On trouve, dans la phrase principale, notamment la forme verbale « KWAM », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « KOMEN ». Le verbe « KOMEN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
La phrase commençant par un complément (« Kort daarop »), cela engendre une INVERSION : le sujet « de slotvoogd » passe derrière le verbe « kwam ».
Notez l’expression « om het leven KOMEN ».

Nom : KWAMEN OVT KOMEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/09/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « de raven kwamen weer » (« les corbeaux vinrent à nouveau => revinrent »).
On y trouve notamment la forme verbale « KWAMEN », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « KOMEN ». Le verbe « KOMEN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : HAD OVT HEBBEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/09/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« had die vloek gevolgen ? » (« cette malédiction avait-elle / eut-elle des conséquences ?»).
On y trouve notamment la forme verbale « HAD », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « HEBBEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : GETEISTERD VTT TEISTEREN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/09/2023

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Telkens zij gedood worden, zal de Ravenhoek door vreselijke rampen geteisterd worden » (« Chaque fois qu’ils sont tués, le coin des corbeaux sera touché par des catastrophes épouvantables »).
On y trouve la forme verbale « geteisterd », participe passé provenant de l’infinitif « TEISTEREN ». Ce verbe « TEISTEREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik teister ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés :
préfixe « GE » + « TEISTER » + « D » = « GETEISTERD ».
Cette phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : GEDOOD VTT DODEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/09/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Telkens zij gedood worden …» (« Chaque fois qu’ils sont tués … »).
On y trouve la forme verbale « gedood », participe passé provenant de l’infinitif « DODEN ». Ce verbe « DODEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik dood ») se terminant déjà par la consonne « D », on trouvera a fortiori le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés :
préfixe « GE » + « DOOD » (un « D » étant déjà présent) = « GEDOOD ».
Cette phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : ZULLEN REJET WEERKEREN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/09/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De raven zullen (eens) weerkeren » (« Les corbeaux reviendront / vont revenir »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN » (donnant un singulier « ZAL »). Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale («weerkeren») à la fin de la phrase, derrière le complément éventuel (« eens »), et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : SPRAK UIT OVT UITSPREKEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 31/08/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij sprak een vloek uit » (« Il proféra une malédiction »).
On y trouve la forme verbale « sprak », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « SPREKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
On y trouve plus précisément la forme verbale « sprak … uit », provenant de l’infinitif « UITspreken », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « SPREKEN ».
Il y a REJET de sa particule séparable « UIT » derrière le complément (« een vloek ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEBEURD VTT GEBEUREN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 30/08/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wat is er met de kluizenaar gebeurd ? » (« Qu’est-ce qui est arrivé avec => à l’ermite ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « gebeurd », participe passé provenant de l’infinitif « GEBEUREN ». Ce verbe « GEBEUREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (si une première personne du présent avait existé, « gebeur ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés mais pas de préfixe « GE » puisque la forme verbale commence déjà par « GE » (comme pour les verbes commençant par les préfixes BE- ER-, HER-, ONT- et VER- ) : (pas de préfixe « GE ») + « GEBEUR » + « D » = « GEBEURD ».
Quand « GEBEUREN » est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « gebeurd » derrière le complément (« met de kluizenaar ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : LIET OVT LATEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 29/08/2023

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maar een barse slotvoogd, die het gekras van de raven vervelend vond, liet hen door zijn jagers ruitroeien … » (« Mais un châtelain bourru, qui trouvait les croassements des corbeaux ennuyeux, les laissa => les fit exterminer par ses chasseurs »).
On y trouve la forme verbale « liet », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « LATEN ». Ce verbe « LATEN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : VONDEN OVT VINDEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/08/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maar een barse slotvoogd, die het gekras van de raven vervelend vond … » (« Mais un châtelain bourru, qui trouvait les croassements des corbeaux ennuyants … »).
On y découvre, dans la phrase subordonnée (introduite par « DIE »), la forme verbale « VOND », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « I », donne une voyelle « O » pour les temps du passé. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : LEERDEN OVT LEREN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/08/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij genas mensen met wat de raven hem leerden over de geheimen van de natuur » (« Il guérissait des gens avec ce que les corbeaux lui apprirent des secrets de la nature »).
Ce verbe « LEREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik leer ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit :
« LEER » + « DE » + « N » = « LEERDEN ».

Nom : GENAS OVT GENEZEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/08/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij genas mensen » (« Il guérissait des gens »).
On y trouve notamment la forme verbale « GENAS », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « GENEZEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que si la dernière lettre du radical du verbe à l’indicatif présent (ou O.T.T.) est un « Z » (GENEZEN – EN = normalement GENEZ), elle se transforme en « S » – c’est aussi le cas à l’O.V.T. ou « prétérit » – et le son « é » de l’infinitif est rendu au SINGULIER en doublant la voyelle : GENEES.
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=radVerbes

Nom : GEZIEN VTT ZIEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/08/2023

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « de legende vertelt dat hij door de dorpelingen graag (werd) gezien werd » (« la légende raconte qu’il était volontiers vu par les villageois => que les villageois l’aimaient bien »).
On y trouve notamment, dans la phrase (subordonnée introduite par « DAT »), la forme verbale « geZIEN », participe passé provenant de l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’INFINITIF.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Cette phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » (ici à l’O.V.T. ou prétérit) est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : LEEFDE OVT LEVEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/08/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « In de middeleeuwen leefde hier een kluizenaar » (« Au moyen âge vivait ici un ermite »).
Ce verbe « LEVEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik leef ») se terminant par la consonne « F » - mais provenant d’un « V » -, on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit :
« LEEF » + « DE » = « LEEFDE ».
La phrase commençant par un complément (« In de middeleeuwen »), cela y engendre une INVERSION : le sujet « een kluizenaar » passe derrière le verbe « leefde ».

Nom : ZAL OTT ZULLEN REJET VERTELLEN 2 ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/08/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik zal je vertellen » (« Je te raconterai / vais te raconter »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale («vertellen») à la fin de la phrase, derrière le complément (« je »), et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZULLEN REJET LACHEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/08/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Jullie zullen niet meer lachen » (« Vous ne rirez plus / vous n’allez plus rire »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale («lachen») à la fin de la phrase, derrière le complément (« niet meer»), et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GELEERD VTT LEREN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/08/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « veel goede manieren hebt u daar niet geleerd » (« Vous n’avez pas appris beaucoup de bonnes manières là-bas »).
On y trouve la forme verbale « geleerd », participe passé provenant de l’infinitif « LEREN ». Ce verbe « LEREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik leer ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés :
préfixe « GE » + « LEER » + « D » = « GELEERD ».
Quand « LEREN » est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « geleerd » derrière le complément (« daar ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

La phrase commençant par un complément (« veel goede manieren »), cela y engendre une INVERSION : le sujet « u » passe derrière le verbe « hebt ».

Nom : ZAL OTT ZULLEN REJET VERTELLEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/08/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik zal u de legende van de dode raven vertellen » (« Je vous raconterai / vais vous raconter la légende des corbeaux morts »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale («vertellen») à la fin de la phrase, derrière les compléments (« u » et « de legende van de dode raven »), et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : OPGEZET VTT OPZETTEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/08/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij verkoopt nu opgezette raven » (« Il vend maintenant des corbeaux empaillés »).
On y trouve la forme verbale « OPgezet », participe passé (utilisé ici – et « accordé » - comme adjectif épithète) provenant de l’infinitif « OPzetten», lui-même construit sur l’infinitif « ZETTEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » (lui, au V.T.T.) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant déjà par la consonne « T », à plus forte raison, on trouvera à la fin du participe passé le « T ».
Quand « OPzetten » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEzet ».

Nom : MAAKTE OVT MAKEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/08/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een ongeval in de mijn maakte hem een beetje zonderling » (« Un accident dans la mine le fit / le rendit un peu bizarre »).
On y trouve notamment le verbe « MAKEN », qui est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), mais fait partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik maak ») se terminant par la consonne « K », on trouvera le « TE » minoritaire comme terminaison du prétérit : « MAAK » + « TE » = « MAAKTE ».

Nom : SLAGEN ERIN OTT ERIN SLAGEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/08/2023

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Slagen ze erin in hun onderhoud te voorzien ? » (« Ont-ils réussi à pourvoir à leur entretien ? »).
On y trouve l’expression « ERIN SLAGEN », avec une forme verbale « slagen … ERIN » (< « DAARIN ») engendrant un «TE», devant l’infinitif (« voorzien ») de la deuxième phrase.
L’adverbe pronominal « ERIN » remplace l’équivalent d’un complément, comme on le voit mieux dans la variante suivante :
« Ze slagen in hun onderhoud ».

Nom : STICHTTE OVT STICHTEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/08/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een groep werklozen stichtte er / daar een gemeenschap van ambachtslieden » (« Un groupe de chômeurs y fonda une communauté d’artisans »).
On y trouve notamment la forme verbale « stichtte », prétérit (ou O.V.T.) provenant de « STICHTEN », qui est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik sticht ») se terminant déjà par la consonne « T », on trouvera le « TE » minoritaire comme terminaison du prétérit :
« STICHT » + « TE » = « STICHTTE ».

Nom : OVERLEDEN VTT OVERLIJDEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/08/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Een groep werklozen huurde het (het gehucht) van de inmiddels overleden barones » (« Un groupe de chômeurs le loua de / à la baronne décédée entretemps »).
On y trouve la forme verbale « overleden », participe passé provenant de l’infinitif « overlijden », lui-même construit sur l’infinitif « LIJDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers et qui, comme presque tous les verbes en « IJ », donne une voyelle « E » pour les temps du passé. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : HUURDE OVT HUREN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/08/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Een groep werklozen huurde het (het gehucht) van de inmiddels overleden barones » (« Un groupe de chômeurs le loua de / à la baronne décédée entretemps »).
Ce verbe « HOREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik huur ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit :
« HUUR » + « DE » = « HUURDE ».

Nom : GESLOTEN VTT SLUITEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/08/2023

Description : La triple phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat is de Ravenhoek, dat lang onbewoond bleef, nadat de mijnen werden gesloten » (« C’est le coin des corbeaux, qui resta longtemps inhabité, après que les mines furent fermées »).
On y trouve notamment la forme verbale « GESLOTEN », participe passé utilisé ici dans une phrase à la voix passive (utilisation de « WORDEN », au lieu de « ZIJN »,), provenant de l’infinitif « SLUITEN», qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé « GESLOTEN » se construit sur le PLURIEL du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GESLOTEN » fait l’objet d’un REJET à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : BLEEF OVT BLIJVEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/08/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat is de Ravenhoek, dat lang onbewoond bleef » (« C’est le coin des corbeaux, qui resta longtemps inhabité »).
On trouve donc ici notamment la forme verbale « BLEEF », prétérit (ou O.V.T.) provenant de l’infinitif « BLIJVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers et, parmi eux, d’une catégorie importante de verbes irréguliers, celle des « IJ » donnant des « E » aux temps du passé (O.V.T. et V.T.T.).
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : ONBEWOOND BEWOOND VTT BEWONEN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/08/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat is de Ravenhoek, dat lang onbewoond bleef » (« C’est le coin des corbeaux, qui resta longtemps inhabité »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER- GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
Ce verbe « BEWONEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik bewoon ») se terminant par la consonne « N », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison du participe passé.
« onbewoond » est le contraire de « bewoond ».

Nom : GEEXPLOITEERD VTT EXPLOITEREN ROBERT EN BERTRAND 48 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/08/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een streek waar vroeger steenkoolmijnen werden geëxploiteerd » (« Une contrée où des mines de charbon / de houille furent exploitées »).
On y trouve la forme verbale « geëxploiteerd », participe passé (utilisé dans une phrase à la voix passive) provenant de l’infinitif « EXPLOITEREN ». Ce verbe « EXPLOITEREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik exploiteer ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés :
préfixe « GE » + « EXPLOITEER » + « D » = « GEEXPLOITEERD ».
Quand « EXPLOITEREN » est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « geëxploiteerd » derrière le complément (« vroeger ») à la fin de la phrase, ce que l’on voit mieux dans la variante suivante : « steenkoolmijnen werden in deze streek vroeger geëxploiteerd ». Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KAN KUN KUNNEN REJET ZEGGEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/08/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Kan / kun je ons zeggen hoe die plaats daar heet ? » (« Peux-tu nous dire comment cet endroit-là s’appelle ? »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant plutôt un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« serveren »), derrière le complément («ons»), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir « MAG », singulier de l’infinitif « MOGEN», l’auxiliaire de mode de la « POSSIBILITE » :
« Mag je ons zeggen ?... ».

Nom : WAREN OVT ZIJN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/08/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij waren het grootste echtpaar ter wereld » (« Ils étaient le plus grand couple au monde »).
On y trouve notamment la forme verbale « WAREN » (pluriel irrégulier de « WAS »), O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Rappelons que le superlatif est construit en ajoutant la terminaison « ST » à la fin de l’adjectif :
« GROOT » + « ST » + « E » (terminaison adjectif) => « GROOTSTE ».

Nom : TROUWDE OVT TROUWEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/08/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij trouwde in Londen … » (« Elle épousa à Londres … »).
Le verbe « TROUWEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé, NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik trouw ») se terminant par la consonne « W », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit :
« TROUW » + « DE » = « TROUWDE ».

Nom : STAPT MEE OTT MEESTAPPEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/08/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « de reus Huon (hij) stapt in de optocht mee » (« le géant Huon marche avec dans le cortège »).
On y trouve la forme verbale « STAPT … MEE », provenant de l’infinitif « MEESTAPPEN », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur « STAPPEN ».
Lorsque « MEESTAPPEN » est conjugué, la particule « MEE » (venant de la préposition « MET ») fait l’objet d’un REJET derrière le complément (« in de optocht ») à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET (notamment du verbe ou de certaines de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VERBROKEN VTT VERBREKEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/08/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Alle diplomatische betrekkingen met Moldavië zijn (nu) verbroken» (« Toutes les relations diplomatiques avec la Moldavie sont suspendues »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve donc ici notamment la forme verbale « VERBROKEN », participe passé provenant de l’infinitif « VERBREKEN », lui-même construit sur « BREKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers aux temps du passé (O.V.T. et V.T.T.). Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre notamment ces trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Il y a REJET du participe passé, derrière le complément éventuel (« nu »), à la fin de la phrase : « De vloek wordt eens in de zeven jaren verbroken ». Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs : https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEWEKEN VTT WIJKEN 2 ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/08/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Voor jou is het gevaar geweken » (« Pour toi, le danger est écarté »).
On y trouve notamment la forme verbale « geweken », participe passé provenant de l’infinitif « WIJKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Il est à noter que ce verbe « WIJKEN » fait partie de la catégorie la plus importante (en nombre) de verbes irréguliers au passé, celle des « IJ » (donnant des « E », prononcés « é »). Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Dans la variante suivante de la phrase sans inversion (ne commençant pas par le complément), on voit mieux que le participe passé « geweken » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« voor jou »), à la fin de la phrase : « het gevaar is voor jou geweken ». Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZAL OTT ZULLEN REJET TERUGKEREN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/08/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressant : « Zij zal later terugkeren » (« Elle reviendra plus tard / elle va revenir plus tard »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale («terugkeren») à la fin de la phrase, derrière le complément (« later »), et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VREESDE VTT VREZEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/08/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij vreesde de massa » (« Elle craignait la masse »).
Le verbe « VREZEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé, NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik vrees ») se terminant par la consonne « S » (mais provenant d’un « Z »), on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit :
« VREES » + « DE » = « VREESDE ».

Nom : LIET ACHTER OVT ACHTERLATEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/08/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij liet een brief voor Josette achter = achter haar » (« Elle laissa derrière elle une lettre pour Josette »).
On y trouve notamment la forme verbale « LIET … ACHTER », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ACHTERlaten », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur « LATEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « ACHTERlaten » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « ACHTER » de la forme verbale proprement dite et il y a REJET de cette composante « ACHTER », derrière les compléments («een brief » et «voor Josette ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe ou d’une de ses composantes, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VERTROKKEN VTT VERTREKKEN 3 ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 31/07/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij (Anna) is (al) vertrokken » (« Elle s’est tirée loin => elle est partie »). (Nota bene : « VER » signifie « LOIN »)
Rappelons tout d’abord que, au participe passé, les verbes commençant par les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER-, NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve ici (dans la phrase subordonnée introduite par « TOTdat ») notamment la forme verbale « verTROKKEN », participe passé provenant de l’infinitif «verTREKKEN », lui-même construit sur « TREKKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Il est à noter que ce participe passé se construit sur le pluriel du prétérit (et est, ici, même identique) ou O.V.T. Voir notre tableau :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Il y a REJET du participe passé « verTROKKEN » derrière le complément éventuel (« al »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZAL OTT ZULLEN REJET HALEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 30/07/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressant : « Ik zal haar halen » (« J’irai la chercher / je vais aller la chercher »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (« halen ») à la fin de la phrase, derrière le complément (« haar »), et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZOU REJET WILLEN DANKEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 29/07/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik zou haar wel voor onze redding willen danken » (« Je voudrais bien la remercier pour notre sauvetage »).
On y trouve, dans la phrase principale, L’auxiliaire du CONDITIONNEL est l’infinitif « ZOUDEN » ; il est, en quelque sorte, l’« imparfait » (O.V.T. ou prétérit) de l’auxiliaire du FUTUR, « ZULLEN ».
Au CONDITIONNEL, il y a REJET de l’autre forme verbale (« willen », à la fin de la phrase, derrière les compléments («haar», « wel » et « voor onze redding »), et donc à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : OPGEBOUWD VTT OPBOUWEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/07/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Jouw huis zal terug opgebouwd worden » (« Ta maison sera reconstruite => va être reconstruite »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER- GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve, dans cette phrase, notamment la forme verbale « opgebouwd », participe passé provenant de l’infinitif « OPgebouwen », lui-même construit sur l’infinitif « BOUWEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et fait partie de la majorité « régulière » des verbes réguliers ; en effet le radical (ou première personne du présent : « ik bouw op ») se terminant par la consonne « W », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire. Quand « OPbouwen » est conjugué comme participe passé, cela entraîne habituellement en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opgebouwd». Il y a REJET de la forme verbale « opgebouwd » derrière le complément (« terug ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».

Nom : ZAL OTT ZULLEN REJET AFZEGGEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/07/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressant : « Ik zal een verklaring afleggen » (« Je déposerai une déclaration / je vais faire une déclaration »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale («afleggen») à la fin de la phrase, derrière le complément (« verklaring »), et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VERBAASD VTT VERBAZEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/07/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Roerloos staart zij (Anna) naar de verbaasde gezichten van de massa » (« Paralysée, elle regarde les visages étonnés de la masse »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER- GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
Ce verbe « VERBAZEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé, NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik verbaas ») se terminant par la consonne « S » (mais provenant d’un « Z »), on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison du participe passé (utilisé ici comme adjectif) : « VERBAAS » + « D » = « VERBAASD » + « E » (terminaison de l’adjectif).
Dans Ia mesure où la phrase commence par un complément (« Roerloos »), ce dernier engendre une INVERSION : le sujet « zij » passe derrière le verbe « staart ».

Nom : ZAL OTT ZULLEN REJET VERTELLEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/07/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressant : « Ze zal je zelf vertellen » (« Elle te racontera elle-même / elle va te raconter elle-même »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale («vertellen») à la fin de la phrase, derrière les compléments (« je » et « zelf »), et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : HIELD OVT HOUDEN VERBORGEN VTT VERBERGEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/07/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik hield haar op het domein verborgen » (« Je la tenais cachée dans le domaine »).
On y trouve la forme verbale « HIELD », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « HOUDEN » qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Rappelons par ailleurs que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER- GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais. On trouve aussi dans cette phrase la forme verbale « VERBORGEN », participe passé (utilisé comme adjectif) provenant de l’infinitif « VERBERGEN », qui fait également l’objet des « temps primitifs ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : GEWOND VTT WONDEN 3 ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/07/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « je bent (erg) gewond » (« tu es blessée »).
On y trouve la forme verbale « gewond », participe passé provenant de l’infinitif « WONDEN ». Ce verbe « WONDEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik wond ») se terminant (déjà) par la consonne « D », on trouvera a fortiori le « D » majoritaire (qui ne sera pas doublé en fin de mot) comme terminaison des participes passés :
préfixe « GE » + « WON(D) » + « D » = « GEWOND ».
Quand « WONDEN » est conjugué à l’équivalent du passé composé, il y a habituellement REJET de son participe passé « gewond » derrière le complément éventuel (« erg ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : TOEGELOPEN VTT TOELOPEN 2 ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/07/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Met de burgemeester voorop komt een massa volk toeGElopen » (« Avec le bourgmestre devant => Précédée du bourgmestre, une masse de gens arrive en courant »).
On y trouve notamment la forme verbale « TOEGELOPEN », participe passé provenant de l’infinitif « TOELOPEN », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « LOPEN » qui fait l’objet des « temps primitifs ». Il est à noter que le participe passé « GELOPEN » se construit sur l’INFINITIF. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « TOElopen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TOE » (provenant de la préposition « TOT ») de son infinitif proprement dit, le préfixe « GE- » (commun à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « toeGElopen ».
Dans Ia mesure où la phrase commence par un complément (« Met de burgemeester voorop »), ce dernier engendre une INVERSION : le sujet « een massa volk » passe derrière le verbe « komt ». On aurait en effet aussi pu dire : « een massa volk komt met de burgemeester voorop TOEgelopen ».

Nom : GEBEURD VTT GEBEUREN 3 ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/07/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wat is er met jouw huis gebeurd ? » (« Qu’est-ce qui s’est passé avec ta maison ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « gebeurd », participe passé provenant de l’infinitif « GEBEUREN ». Ce verbe « GEBEUREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (si une première personne du présent avait existé, « gebeur ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés mais pas de préfixe « GE » puisque la forme verbale commence déjà par « GE » (comme pour les verbes commençant par les préfixes BE- ER-, HER-, ONT- et VER- ) : (pas de préfixe « GE ») + « GEBEUR » + « D » = « GEBEURD ».
Quand « GEBEUREN » est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « gebeurd » derrière le complément (« met je huis ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEBRACHT VTT BRENGEN 3 ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/07/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De ontploffing heeft de gehele bevolking op de been gebracht » (« L’explosion a mis debout / sur pied toute la population »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEBRACHT », participe passé provenant de l’infinitif « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Le participe passé « GEBRACHT » est construit sur le SINGULIER du prétérit, « BRACHT ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Il y a REJET du participe passé, derrière les compléments (« de gehele bevolking » et « op de been »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse, également en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : BEHOED VTT BEHOEDEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/07/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Jouw ingrijpen heeft Rochamp voor een grote ramp behoed » (« Ton intervention a préservé Rochamp d’une grande catastrophe »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER- GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
Ce verbe « BEHOEDEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik behoed ») se terminant déjà par la consonne « D », on trouvera a fortiori le « D » majoritaire comme terminaison du participe passé.

Nom : GEWEKEN VTT WIJKEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/07/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hiermee is het gevaar voorlopig geweken » (« Avec ceci, le danger est provisoirement écarté »).
On y trouve notamment la forme verbale « geweken », participe passé provenant de l’infinitif « WIJKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Il est à noter que ce verbe « WIJKEN » fait partie de la catégorie la plus importante (en nombre) de verbes irréguliers au passé, celle des « IJ » (donnant des « E », prononcés « é »). Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « geweken » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« voorlopig »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KUNT KAN KUNNEN REJET HOUDEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/07/2023

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Als die laag stenen weg is, kan ik het niet houden » (« Si cette couche de pierres part, je ne peux pas tenir »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« houden »), derrière le complément («het»), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
On aurait pu mieux le voir dans la variante suivante que dans la phrase subordonnée (introduite par « ALS », où le verbe n’est plus à côté de son sujet) : « ik kan het niet houden ».
Notez que l’on aurait pu avoir « MOGEN », l’auxiliaire de mode de la «POSSIBILITE », donnant « MAG » au singulier :
« ik mag het niet houden ».

Nom : OMte STUTTEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/07/2023

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Haal daarbeneden die boomstammen en gebruik ze om het blok te stutten … » (« Va chercher ces troncs d’arbres et utilise-les pour soutenir le bloc … »).
Rappelons que « POUR » devant les verbes est rendu en langue néerlandaise par un double mot : « OM … TE ». Le complément « het blok» s’intercale entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « stutten ».

Nom : MOETEN REJET DOEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/07/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « we moeten iets doen » (« nous devons faire quelque chose »).
L’auxiliaire de mode de l’OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« doen »), derrière le complément (« iets »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : RUSTTE OVT RUSTEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/07/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « de steenlaag waarop het rotsblok rustte » (« la couche de pierre sur laquelle / le tablier rocheux sur lequel le bloc de rocher reposait »).
On y trouve notamment la forme verbale « rustte » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant de l’infinitif « RUSTEN », qui est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), mais fait partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik rust ») se terminant déjà par la consonne « T », on trouvera a fortiori le « TE » minoritaire comme terminaison du prétérit :
« RUST » + « TE » = « RUSTTE ».

Nom : DEED OVT DOEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/07/2023

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De schok der ontploffing deed de steenlaag, waarop het rotsblok rustte, wegglijden » (« le choc de l’explosion, fit glisser la couche de pierre sur laquelle / le tablier rocheux sur lequel le bloc de rocher reposait »).
On y trouve, dans la phrase principale, la forme verbale « DEED », O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « DOEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : ZULLEN REJET KOMEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/07/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressant : « Zullen we nog op tijd komen ? » (« Arriverons-nous / allons-nous encore arriver à temps ? »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL » (anciennement « ZULT »). Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale («komen») à la fin de la phrase, derrière les compléments (« nog » et « op tijd »), et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ONGEDEERD VTT DEREN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/07/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze zijn (gelukkig) ongedeerd » (« Elles ne sont pas blessées => elles sont indemnes »).
On y trouve la forme verbale « ongedeerd », participe passé (utilisé ici comme adjectif attribut) provenant de l’infinitif « DEREN ». Ce verbe « DEREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik deer ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés : préfixe « GE » « DEER » + « D » = « GEDEERD ».
Le préfixe « ON- » (« UN- » en anglais) est souvent à nuance « négative » et constitue le contraire : ici « ongedeerd ».
On pourrait considérer qu’il y a REJET du participe passé « ongedeerd » derrière le complément (« gelukkig »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ONDERMIJND VTT ONDERMIJNEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/07/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Swolska) heeft het huis ondermijnd » (« Il a miné la maison »).
On y trouve notamment la forme verbale « ondermijnd », participe passé provenant de l’infinitif « ONDERMIJNEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (« ik ondermijn », première personne du présent ou O.T.T.) se terminant par la consonne « N », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire.
Le participe passé « ondermijnd » fait l’objet d’un REJET derrière le complément (« het huis ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs:
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : STORTTE OVT STORTEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/07/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij stortte in het ravijn » (« Il bascula dans le ravin »).
On y trouve notamment la forme verbale « stortte » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant de l’infinitif « STORTEN », qui est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), mais fait partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik stort ») se terminant déjà par la consonne « T », on trouvera a fortiori le « TE » minoritaire comme terminaison du prétérit :
« STORT » + « TE » = « STORTTE ».

Nom : HOUD TEGEN IMPERATIF TEGENHOUDEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/07/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Houd ze tegen ! » (« Retiens-les ! »).
On y trouve la forme verbale « houd … TEGEN », provenant du verbe « TEGENhouden », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « HOUDEN ».
Lorsque « TEGENHOUDEN » est conjugué, cela entraîne le REJET de la « particule séparable » « TEGEN » (ancienne préposition), derrière le complément (« ze »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : WAS OVT ZIJN 6 ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/07/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat was net op tijd = op het nippertje » (« C’était juste à temps »).
On trouve la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIJN », qui constitue vraisemblablement le verbe le plus irrégulier de la langue néerlandaise.
C’est logique : plus on utilise un mot, plus la prononciation le déforme au fil du temps …
Le verbe « ZIJN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : GEKEERD VTT KEREN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/07/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De boeven hebben zich tegen hem (Bertrand) gekeerd » (« Les scélérats se sont retournés contre lui »).
On y trouve notamment la forme verbale « gekeerd », participe passé provenant de l’infinitif « KEREN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (« ik keer », première personne du présent ou O.T.T.) se terminant par la consonne « R », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire.
Le participe passé « gekeerd » fait l’objet d’un REJET derrière le complément (« tegen hem ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs:
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GERED VTT REDDEN 4 ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/07/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je hebt me gered » (« Tu m’as sauvé »).
On y trouve notamment la forme verbale « gered », participe passé provenant de l’infinitif « REDDEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (« ik red », première personne du présent ou O.T.T.) se terminant a fortiori déjà par la consonne « D », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire.
Le participe passé « gered » fait l’objet d’un REJET derrière le complément (« me ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs:
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GLIJDT UIT OTT UITGLIJDEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/07/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Swolska) glijdt (van de rots) uit » (« Il glisse du rocher »).
On y trouve la forme verbale « glijdt … UIT », provenant de l’infinitif « UITglijden », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « GLIJDEN ».
Quand « UITglijden » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de sa forme verbale proprement dite et cette particule séparable « UIT », composante du verbe, fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« van de rots »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Rappelons que cette particule séparable « UIT » est une ancienne préposition. On aurait donc pu avoir la variante suivante de la phrase : « Hij glijdt uit de rots ».

Nom : DUIKT WEG OTT WEGDUIKEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/07/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Swolska) duikt (in het ravijn) WEG » (« Il plonge et disparaît »).
On y trouve la forme verbale « duikt … WEG », provenant de l’infinitif « WEGduiken », lui-même construit sur l’infinitif « DUIKEN ».
Quand « WEGduiken » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « WEG » de son infinitif proprement dit et il y a REJET de la particule « WEG » derrière le complément éventuel (« in het ravijn ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEDREVEN VTT DRIJVEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/07/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « hij wordt bij een ravijn in het nauw gedrEven » (« ll est acculé près d’un ravin »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEDREVEN », participe passé provenant de l’infinitif « DRIJVEN » qui, comme presque tous les verbes en « IJ », donne aux temps du passé une voyelle « E ». Il est à noter que le participe passé « GEDREVEN» se construit sur le PLURIEL du prétérit ou O.V.T. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « gedrEven » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« bij een ravijn » et « in het nauw »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est à la voix passive puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : ONTWAPEND VTT ONTWAPENEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/07/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « hij wordt bij een poging om stand te houden ontwapend » (« ll est désarmé lors d’une tentative pour ne pas perdre l’équilibre »).
Rappelons tout d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On y trouve la forme verbale « ontwapend », participe passé provenant de l’infinitif « WAPENEN ». Ce verbe « WAPENEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik ontwapen ») se terminant par la consonne « N », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés :
(pas de préfixe « GE ») + « ONTWAPEN » + « D » = « ONTWAPEND ».
Le participe passé « GEWAPEND » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« bij een poging »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est à la voix passive puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : OPGEWASSEN VTT OPWASSEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 30/06/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik ben tegen hem niet opgewassen » (« Je ne suis pas conçu => de taille contre lui »).
On y trouve la forme verbale « OPgewassen », participe passé provenant de l’infinitif « OPwassen », lui-même construit sur l’infinitif « WASSEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « OPwassen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEwassen ».
Il y a REJET de la forme verbale « OPgewassen » derrière le complément (« tegen hem ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : VALT AAN OTT AANVALLEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 29/06/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Robert) valt onstuimig aan » (« il attaque impétueusement »).
On y trouve notamment la forme verbale « valt … AAN » provenant de l’infinitif « AANvallen », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « VALLEN ».
Quand « AANvallen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, et il y a REJET de la particule « AAN », derrière le complément éventuel (« onstuimig »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZET NA IMPERATIF NAZETTEN 3 ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/06/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « zet ze na ! » (« lance-toi à leur poursuite ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « zet … na » à l’impératif), provenant de l’infinitif « NAZETTEN », verbe dit « à particule séparable) lui-même construit sur « ZETTEN ».
Quand « NAzetten » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « NA » de son infinitif proprement dit et REJET de la particule « NA », derrière le complément (« ze »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GESCHOTEN VTT SCHIETEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/06/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze hebben de banden stuk geschoten » (« Ils ont mis les pneus en morceaux en tirant dessus »).
On y trouve notamment la forme verbale « GESCHOTEN », participe passé provenant de l’infinitif « SCHIETEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « IE », donne une voyelle « O ».
Il faut noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GESCHOTEN » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« banden » et « stuk »), à la fin de la phrase. Voir phénomène du REJET, entre autres :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : WILLEN REJET GAAN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/06/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze willen ervandoor gaan » (« Ils veulent se tirer »).
L’auxiliaire de mode de la VOLONTE » est l’infinitif « WILLEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « MOGEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière le complément (« ervandoor »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : HOUDEN OP OTT OPHOUDEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/06/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wij houden hen hier op (« Nous les retenons ici »).
On y trouve la forme verbale « houden … op », provenant du verbe « OPhouden », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « HOUDEN ».
Quand « OPhouden » est conjugué, cela entraîne normalement en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit et son REJET, derrière les compléments (« hen » et « hier »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : LIEP VOOROP OVT VOOROPLOPEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/06/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Joeki), die voorop liep, bemerkte de auto » (« Lui, qui marchait devant, remarqua la voiture »).
On y trouve notamment (dans la phrase subordonnée introduite par « DIE ») la forme verbale « LIEP » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant de l’infinitif « LOPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Voir notre tableau :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Si on ne s’était pas trouvé dans une phrase subordonnée (« Hij liep de anderen voorop »), on aurait en fait eu la forme verbale « liep … VOOROP », provenant de l’infinitif « VOOROPlopen », verbe dit « à particule séparable ». Quand « VOOROPlopen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « VOOROP » de sa forme verbale proprement dite et cette particule séparable « VOOROP », composante du verbe, fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« de anderen »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : BEMERKTE OVT BEMERKEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/06/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Joeki) bemerkte de auto » (« Il remarqua la voiture »).
On y trouve notamment le verbe « BEMERKEN », qui est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), mais fait partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik bemerk ») se terminant par la consonne « K », on trouvera le « TE » minoritaire comme terminaison du prétérit : « BEMERK » + « TE » = « BEMERKTE ».

Nom : OPGEPAST VTT OPPASSEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/06/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Opgepast ! » (« Faites attention ! »).
On y trouve la seule forme verbale « OPgepast », participe passé provenant de l’infinitif « OPpassen», verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « PASSEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent : « ik pas op ») se terminant par la consonne « S », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Quand « OPpassen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEpast ».

Nom : PRATEN MEE OTT MEEPRATEN ADVERBE PRONOMINAL ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/06/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Daar praten jullie alles goed mee » (« Vous en parlez bien »).
On pourrait croire que l’on a affaire à la forme verbale « praten … mee », provenant de l’infinitif « MEEPRATEN », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur « PRATEN ». Lorsque « MEEPRATEN » est conjugué, la particule « MEE » (venant de la préposition « MET ») ferait l’objet d’un REJET derrière les compléments (« alles » et «goed ») à la fin de la phrase.
Mais on a ici affaire à un « adverbe pronominal » scindé ; on aurait en effet pu avoir la variante suivante : « jullie praten alles goed daarmee ».
La phrase commençant par un complément (« Daar »), ce dernier engendre une INVERSION : le sujet « jullie » passe derrière le verbe « praten ».

Nom : VOER UIT OTT UITVOEREN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/06/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik voer slechts bevelen uit » (« J’exécute seulement des ordres / Je ne fais qu’exécuter des ordres »).
On y trouve la forme verbale « voer … UIT », provenant de l’infinitif « UITvoeren », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « VOEREN ».
Quand « UITvoeren » est conjugué, la particule séparable « UIT » fait l’objet d’un REJET derrière les compléments («slechts » et « bevelen ») à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe ou d’une de ses composantes, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : HERKEND VTT HERKENNEN 3 ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/06/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze hebben jullie herkend » (« lls vous ont reconnus »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve donc la forme verbale « HERkend », participe passé provenant de l’infinitif « HERkennen », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « HERkend » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« JULLIE »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GAAN IN OTT INGAAN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/06/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Alle getuigen gaan met een klap de lucht in » (« Tous les témoins vont d’un coup en l’air => être volatilisés / pulvérisés »).
On trouve la forme verbale « GAAN … IN », provenant de l’infinitif « INGAAN », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur « GAAN ».
Lorsque « INGAAN » est conjugué, la particule « IN » fait l’objet d’un REJET derrière les compléments (« met een klap » et « de lucht ») à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe ou d’une de ses composantes, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : BEREKEND VTT BEREKENEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/06/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « met een goed berekende lont … » (« avec une mèche bien calculée … »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
Le verbe « BEREKENEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik bereken ») se terminant par la consonne « N », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison du participe passé (accordé ici comme adjectif => terminaison « E ») :
« BEREKEN » + « D » = « BEREKEND ».

Nom : GESTOORD VTT STOREN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/06/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Thans kan zij zich ongestoord uitleven in haar beeldhouwwerken uitleven » (« Elle peut se consacrer à ses sculptures sans être dérangée »).
On y trouve « ongestoord », contraire du participe passé « gestoord », provenant de l’infinitif « STOREN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais, est considéré comme « régulier » aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik stoor ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés :
préfixe « GE » + « STOOR » + « D » = « GESTOORD ».

Nom : VERLOST VTT VERLOSSEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/06/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze is van journalisten verlost » (« Elle est libérée des journalistes … »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On y trouve notamment le verbe « VERLOSSEN », qui est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au participe passé mais fait partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik verlos ») se terminant par la consonne « S », on trouvera le « T » minoritaire comme terminaison du participe passé :
« VERLOS » + « T » = « VERLOST ».
Le participe passé « verlost » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« van journalisten »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : WAS OVT ZIJN 5 ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/06/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat was een verrassende ontmoeting » (« C’était une rencontre surprenante »).
On y trouve la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIJN », qui constitue vraisemblablement le verbe le plus irrégulier de la langue néerlandaise.
C’est logique : plus on utilise un mot, plus la prononciation le déforme au fil du temps …
Le verbe « ZIJN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : AANGEBODEN VTT AANBIEDEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/06/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij heeft mij deze schuilplaats aangeboden » (« Elle m’a offert cette cachette »).
On y trouve la forme verbale « aangeboden », participe passé provenant de l’infinitif « AANbieden », lui-même construit sur l’infinitif « BIEDEN » qui, comme presque tous les verbes en « I », donne une voyelle « O » pour les temps du passé. Ce participe passé « GEBODEN » est construit sur le PLURIEL du prétérit (ou O.V.T.) Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « AANbrengen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aangeboden ».
Il y a REJET du participe passé « aangeboden » derrière les compléments (« mij » et « deze schuilplaats »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ONTMOETTE OVT ONTMOETEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/06/2023

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik wist geen raad tot(dat) ik haar (Josette) ontmoette » (« J’étais indécise jusqu’à ce que je la rencontrai »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée (introduite par « TOT »), la forme verbale « ontmoette », provenant de l’infinitif « ONTMOETEN », qui est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), mais fait partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik ontmoet ») se terminant déjà par la consonne « T », on trouvera le « TE » minoritaire comme terminaison du prétérit :
« ONTMOET » + « TE » = « ONTMOETTE ».
Comme c’est le cas dans toutes les phrases subordonnées, cette forme verbale « ontmoette » n’est plus à côté de son sujet (« ik ») et, ici, se trouve derrière le complément (« haar »), à la fin de cette phrase.

Nom : WIST OVT WETEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/06/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik wist geen raad » (« Je ne savais pas un / aucun conseil => j’étais indécise »).
On y trouve notamment la forme verbale « WIST » (O.V.T. ou « prétérit »), provenant de l’infinitif « WETEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : SCHUWDE OVT SCHUWEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/06/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik schuwde de mensen » (« J’évitais les gens »).
Ce verbe « HOREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik schuw ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit : « SCHUW » + « DE » = « SCHUWDE ».

Nom : GEBROKEN VTT BREKEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/06/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het anders zijn heeft mijn moraal gebroken » (« Le fait d’être différente a brisé mon moral »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEBROKEN », participe passé provenant de l’infinitif « BREKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Il y a REJET du participe passé, derrière le complément (« mijn moraal »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse, également en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : NAGEKEKEN VTT NAKIJKEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/06/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wij (reuzen) worden in een menigte nagekeken » (« nous les géants sommes regardés par la foule »).
On y trouve notamment la forme verbale « NAGEKEKEN », participe passé utilisé avec un passé composé, provenant de l’infinitif « NAKIJKEN », lui-même construit sur « KIJKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé « GEKEKEN » se construit sur le PLURIEL du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé (la plus nombreuse étant celle des « IJ ») :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « NAKIJKEN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « NA » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « nagekeken ». Il y a REJET de ce participe passé, derrière le complément (« in een menigte »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est à la voix passive puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : AANGEGAAPT VTT AANGAPEN 2 ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/06/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wij (reuzen) worden in een menigte aangegaapt » (« nous les géants sommes regardés bouche bée par la foule»).
On y trouve la forme verbale « aangegaapt », participe passé provenant de l’infinitif « AANGAPEN », dit « à particule séparable », construit sur « GAPEN ». Ce verbe est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik gaap ») se terminant par la consonne « P », on trouvera le « T » minoritaire comme terminaison des participes passés : préfixe « GE » + « GAAP » + « T » = « GEGAAPT ».
Quand « AANGAPEN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aangegaapt ».
Il y a REJET de ce participe passé, derrière le complément (« in een menigte »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est à la voix passive puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : BEZORGDE OVT BEZORGEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/06/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat bezorgde mij een inzinking » (« Cela m’a fourni => occasionné une dépression »).
Rappelons que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER- GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve, dans la phrase principale, la forme verbale « bezorgde », prétérit (ou O.V.T.) provenant de l’infinitif « BEZORGEN », lui-même construit sur « ZORGEN », verbe « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik bezorg ») se terminant par la consonne « G », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit :
« BEZORG » + « DE » = « BEZORGDE ».

Nom : GEREISD VTT REIZEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/06/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « ik heb veel gereisd » (« j’ai beaucoup voyagé »).
On y trouve la forme verbale « gereisd », participe passé provenant de l’infinitif « REIZEN ». Ce verbe « REIZEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik reis ») se terminant par la consonne « S » (mais la deuxième syllabe commençant par un « Z »), on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés :
préfixe « GE » + « REIS » + « D » = « GEREISD ».
Quand « REIZEN » est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « gereisd » derrière le complément (« veel ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : AANGEGAAPT VTT AANGAPEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/06/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « ik werd overal steeds door de menigte als een curiosum aangegaapt » (« je fus partout toujours regardée bouche bée par la foule comme une curiosité »).
On y trouve la forme verbale « aangegaapt », participe passé provenant de l’infinitif « AANGAPEN », dit « à particule séparable », construit sur « GAPEN ». Ce verbe est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik gaap ») se terminant par la consonne « P », on trouvera le « T » minoritaire comme terminaison des participes passés : préfixe « GE » + « GAAP » + « T » = « GEGAAPT ».
Quand « AANGAPEN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aangegaapt ».
Il y a REJET de ce participe passé, derrière les compléments (« overal », « steeds», « door de menigte » et « als een curiosum »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est à la voix passive puisque l’auxiliaire « WORDEN » (ici à l’O.V.T.) est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : VOORGESTELD VTT VOORSTELLEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/06/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « ik werd zelfs in 1869 aan koningin Victoria van Engeland voorgesteld » (« je fus même présentée en 1869 à la reine Victoria d’Angleterre »).
On y trouve la forme verbale « voorgesteld », participe passé provenant de l’infinitif « VOORSTELLEN », dit « à particule séparable ». Ce verbe « STELLEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik stel ») se terminant par la consonne « L », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés : préfixe « GE » + « STEL » + « D » = « GESTELD ».
Quand « VOORSTELLEN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « VOOR » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « voorgesteld ».
Il y a REJET de ce participe passé, derrière les compléments (« in 1869 » et « aan koningin Victoria van Engeland »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est à la voix passive puisque l’auxiliaire « WORDEN » (ici à l’O.V.T.) est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : MOEST OVT MOETEN REJET GERED VTT REDDEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/06/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « ik moest met een takel uit de vlammen (worden) gered worden » (« je dus être sauvée hors des flammes avec un treuil »).
On y trouve notamment la forme verbale « gered », participe passé provenant de l’infinitif « REDDEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (« ik red », première personne du présent ou O.T.T.) se terminant a fortiori déjà par la consonne « D », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire.
L’auxiliaire de mode de l’OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN » (donnant MOEST au prétérit ou O.V.T.). Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« worden »), derrière les compléments (« met een takel » et « uit de vlammen »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est à la voix passive puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : LOKTE OVT LOKKEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/06/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik lokte veel toeschouwers » (« J’attirais beaucoup de spectateurs »).
On y trouve notamment la forme verbale « lokte » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant de l’infinitif « LOKKEN » qui est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), mais fait partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik lok ») se terminant par la consonne « K », on trouvera le « TE » minoritaire comme terminaison du prétérit :
« LOK » + « TE » = « LOKTE ».

Nom : GEDWONGEN VTT DWINGEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 31/05/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Financiële zorgen hebben mij gedwongen … » (« Des ennuis financiers m’ont contraint … »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEDWONGEN », participe passé provenant de l’infinitif « DWINGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « I », donne une voyelle « O » pour les temps du passé.
Ce participe passé « GEDWONGEN » est construit sur le PLURIEL du prétérit (ou O.V.T.) Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Il y a REJET du participe passé « GEDWONGEN » derrière le complément (« mij ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : WOU WILDE OVT WILLEN REJET WORDEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 30/05/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik wou = wilde beeldhouwster / beeldhouwer worden » (« je voulais devenir sculpteur »).
L’auxiliaire de mode de la VOLONTE » est l’infinitif « WILLEN » (donnant actuellement WILDE – tendant à remplacer la forme plus ancienne WOU – au singulier du prétérit ou O.V.T.). Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « MOGEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (ici, « worden ») derrière le complément (« beeldhouwster »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez la façon dont le nom du métier est construit à partir de l’infinitif : on remplace la terminaison « -EN » de l’infinitif « BEELDHOUWEN » par « -ER » pour obtenir le métier masculin « BEELDHOUWER » ; par « -STER » pour obtenir le métier féminin « BEELDHOUWSTER », chaque femme étant une «STER » (« star » en anglais).

Nom : BEINVLOED VTT BEINVLOEDEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 29/05/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Mijn gestalte heeft mijn leven sterk beïnvloed » (« Ma taille a fortement influencé ma vie / influé sur ma vie »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER- GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
Ce verbe « BEÏNVLOEDEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik beïnvloed ») se terminant déjà par la consonne « D », on trouvera, à plus forte raison, le « D » majoritaire comme terminaison du participe passé.
Il y a REJET du participe passé, derrière les compléments (« mijn leven » et « sterk »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MAG OTT MOGEN REJET VOORSTELLEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/05/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Mag ik haar (Anna) je voorstellen ? » (« Puis-je vous la présenter ? »).
L’auxiliaire de mode de la POSSIBILITE est l’infinitif « MOGEN », donnant un singulier « MAG ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« voorstellen »), derrière les compléments (« haar » et « je »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEBODEN VTT BIEDEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/05/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb haar hier een schuilplaats geboden » (« Je lui ai offert ici une cachette »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEBODEN », participe passé provenant de l’infinitif « BIEDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « I », donne une voyelle « O » pour les temps du passé.
Ce participe passé « GEBODEN » est construit sur le PLURIEL du prétérit (ou O.V.T.) Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Il y a REJET du participe passé « GEBODEN » derrière les compléments (« haar », « hier » et « een schuilplaats »,) à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GERED VTT REDDEN 3 ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/05/2023

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Was het die vrouw die mij (heeft) gered heeft ? » (« Est-ce que c’était cette femme qui m’a sauvé ? »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée relative (introduite par « DIE »), la forme verbale « gered », participe passé provenant de l’infinitif « REDDEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (« ik red », première personne du présent ou O.T.T.) se terminant a fortiori déjà par la consonne « D », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire.
Le participe passé « gered » fait l’objet d’un REJET derrière le complément (« mij ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs:
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VERZORGD VTT VERZORGEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/05/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wie heeft je verzorgd ? » (« Qui t’a soignée ? »).
Rappelons que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER- GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve, dans la phrase principale, la forme verbale « verzorgd », participe passé provenant de l’infinitif « VERZORGEN », verbe « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik verzorg ») se terminant par la consonne « G », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés :
(pas de préfixe « GE » +) « VERZORG » + « D » = « VERZORGD ».
Le participe passé « verzorgd » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« je »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GAAN REJET UITSCHAKELEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/05/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We gaan / zullen het hele stel met één klap uitschakelen » (« Nous allons éliminer toute la bande d’un seul coup »).
Sous l’infuence de la langue française, l’auxiliaire du FUTUR « simple » néerlandais, « ZULLEN » (donnant un singulier « ZAL ») est ici remplacé par « GAAN ». Cela permet de rappeler que, afin d’être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple pour le francophone de le comparer au « futur proche » français et de remplacer précisément les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Ici, comme au FUTUR néerlandais, il y a REJET de l’autre forme verbale (« uischakelen ») à la fin de la phrase, derrière les compléments (« het hele stel » et « met één klap »), et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : HERKEND VTT HERKENNEN 2 ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/05/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze (Josette) heeft jullie herkend » (« Elle vous a reconnus »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve donc la forme verbale « HERkend », participe passé provenant de l’infinitif « HERkennen », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « HERkend » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« jullie »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : WILLEN REJET MAKEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/05/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Jullie willen je falen met een verhaaltje goed maken » (« Vous voulez justifier vos manquements avec un conte »).
L’auxiliaire de mode de la VOLONTE » est l’infinitif « WILLEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « MOGEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière les compléments (« je falen» et « met een verhaaltje »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEHOORD VTT HOREN 3 ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/05/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb alles gehoord » (« J’ai tout entendu »).
On y trouve la forme verbale « gehoord », participe passé provenant de l’infinitif « HOREN ». Ce verbe « HOREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik hoor ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés :
préfixe « GE » « HOOR » + « D » = « GEHOORD ».
Quand « HOREN » est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « gehoord » derrière le complément (« alles ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : HOORDE OVT HOREN 2 ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/05/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « ik hoorde iets » (« j’entendis => j’ai entendu quelque chose »).
On y trouve notamment la forme verbale « hoorde », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « HOREN ».
Ce verbe « HOREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik hoor ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit : « HOOR » + « DE » = « HOORDE ».

Nom : GELADEN VTT LADEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/05/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « de pistolen zijn (nu) geladen » (« les pistolets sont chargés »).
On y trouve notamment la forme verbale « GELADEN », participe passé provenant de l’infinitif « LADEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Voyez :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GELADEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« nu »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GERED VTT REDDEN 2 ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/05/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik werd door een reusachtige vrouw gered » (« Je fus / J’ai été sauvé par une femme géante »).
On y trouve notamment la forme verbale « gered », participe passé provenant de l’infinitif « REDDEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (« ik red », première personne du présent ou O.T.T.) se terminant a fortiori déjà par la consonne « D », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire.
Le participe passé « gered » fait l’objet d’un REJET derrière le complément («door een reusachtige vrouw ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs:
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est à la voix passive puisque l’auxiliaire « WORDEN » (ici à l’O.V.T.) est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : ACHTERVOLGD VTT ACHTERVOLGEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/05/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik werd (door iemand) achtervolgd » (« Je fus / j’étais suivi »).
On y trouve notamment la forme verbale « achtervolgd », participe passé provenant de « achterVOLGEN » (qui n’est pas « à particule séparable ») , lui-même construit sur l’infinitif « VOLGEN ». Ce verbe « VOLGEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik volg ») se terminant par la consonne « G », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés :
préfixe « GE » + « VOLG » + « D » = « GEVOLGD ».
Mais « achterVOLGEN » n’a pas besoin du préfixe « GE ».
Il y a REJET de ce participe passé « achtervolgd », derrière le complément éventuel (« door iemand») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est à la voix passive puisque l’auxiliaire « WORDEN » (ici à l’O.V.T.) est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : GEBEURD VTT GEBEUREN 2 ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/05/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wat is er (straks) gebeurd ? » (« Qu’est-ce qui s’est passé ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « gebeurd », participe passé provenant de l’infinitif « GEBEUREN ». Ce verbe « GEBEUREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (si une première personne du présent avait existé, « gebeur ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés mais pas de préfixe « GE » puisque la forme verbale commence déjà par « GE » (comme pour les verbes commençant par les préfixes BE- ER-, HER-, ONT- et VER- ) :
(pas de préfixe « GE ») + « GEBEUR » + « D » = « GEBEURD ».
Quand « GEBEUREN » est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « gebeurd » derrière le complément éventuel (« straks ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZAL OTT ZULLEN REJET VERKLAREN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/05/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik zal jullie alles verklaren) » (« Je vous expliquerai / vais vous expliquer tout »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale («verklaren») à la fin de la phrase, derrière les compléments (« jullie » et « alles »), et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : HAAL HIERHEEN IMPERATIF HIERHEEN HALEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/05/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Haal Robert en Bertrand hierheen ! » (« Fais venir Robert et Bertrand ici => va chercher Robert en Bertrand ! »).
Contrairement aux apparences, nous n’avons pas ici affaire à un verbe dit « à particule séparable », même si « hierheen » réagit comme une « particule séparable » (« mee », « toe », « uit », …), faisant l’objet d’un REJET, derrière le complément (« Robert en Bertrand »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : WILDE OVT WILLEN REJET BEWAREN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/05/2023

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Is dat het geheim dat je wilde bewaren ? » (« Est-ce là le secret que tu voulais préserver ? »).
On trouve, dans la phrase subordonnée relative (introduite par « DAT »), WILDE (au prétérit ou O.V.T.) provenant de l’auxiliaire de mode « WILLEN » (donnant actuellement WILDE – tendant à remplacer la forme plus ancienne WOU – au singulier du prétérit ou O.V.T.). Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « MOGEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (ici, « bewaren ») derrière le complément éventuel (« tegen ons »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GERED VTT REDDEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/05/2023

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wie is die reuzin die mij (heeft) gered heeft ? » (« Quelle est cette géante qui m’a sauvé ? »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée relative (introduite par « DIE »), la forme verbale « gered », participe passé provenant de l’infinitif « REDDEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (« ik red », première personne du présent ou O.T.T.) se terminant a fortiori déjà par la consonne « D », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire.
Le participe passé « gered » fait l’objet d’un REJET derrière le complément (« mij ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs:
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEWOND VTT WONDEN 2 ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/05/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ben je erg gewond ? » (« Es-tu gravement blessée ? »).
On y trouve la forme verbale « gewond », participe passé provenant de l’infinitif « WONDEN ». Ce verbe « WONDEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik wond ») se terminant (déjà) par la consonne « D », on trouvera a fortiori le « D » majoritaire (qui ne sera pas doublé en fin de mot) comme terminaison des participes passés :
préfixe « GE » + « WON(D) » + « D » = « GEWOND ».
Quand « WONDEN » est conjugué à l’équivalent du passé composé, il y a habituellement REJET de son participe passé « gewond » derrière le complément (« erg ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Le verbe « être » à l’O.T.T. donne normalement : « je bent ». N’oubliez pas que, à la forme interrogative, cette terminaison « T » n’est plus exigée.

Nom : VERJAAGD VTT VERJAGEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/05/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een reusachtige grote vrouw heeft hen verjaagd » (« Une femme géante les a chassés »).
Rappelons tout d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve ici la forme verbale « VERJAAGD », participe passé provenant de l’infinitif « VERJAGEN », lui-même construit sur « JAGEN », verbe « mixte » qui fait l’objet des « temps primitifs » mais fait partie, pour son participe passé, de la majorité « régulière » des verbes réguliers ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T.) se terminant par la consonne « G », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire.
Le participe passé « VERJAAGD » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« hen »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KAN KUNNEN REJET GAAN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/05/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik kan naar Josette gaan » (« Je peux aller vers Josette »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« zijn »), derrière le complément (« naar Josette »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir plutôt l’auxiliaire de mode de la «POSSIBILITE », l’infinitif « MOGEN » (avec « MAG » au singulier) :
« Ik mag naar Josette gaan ».

Nom : ONTSNAPT VTT ONTSNAPPEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/05/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hoe ben je hen ontsnapt ? » (« Comment leur as-tu échappé ? »).
Rappelons tout d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve ici la forme verbale « ONTSNAPT », participe passé provenant de l’infinitif « ONTSNAPPEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T.) se terminant par la consonne « P », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Le participe passé « ONTSNAPT » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« hen »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : SCHEER WEG IMPERATIF WEGSCHEREN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/05/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Scheer jullie weg ! » (« Fichez le camp ! / Tirez-vous ! »).
On y trouve la forme verbale « breng … WEG », provenant du verbe « WEGSCHEREN », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « SCHEREN ».
Lorsque « WEGSCHEREN » est conjugué, cela entraîne le REJET de la « particule séparable » « WEG », derrière le complément (« jullie »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GAAT AAN OTT AANGAAN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/05/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat gaat jullie niets aan » (« Cela ne vous regarde en rien »).
On y trouve la forme verbale « gaat … AAN », provenant du verbe « AANgaan», dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « GAAN ».
Lorsque « AANGAAN » est conjugué, cela entraîne le REJET de la « particule séparable » « AAN », derrière les compléments (« jullie » et « niets »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GENAGELD VTT NAGELEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/05/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Als aan de grond genageld …» (« Comme cloués au sol … »).
On y trouve, dans la phrase subordonnée (introduite par « ALS »), la forme verbale « genageld », participe passé provenant de l’infinitif « NAGELEN ». Ce verbe « NAGELEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik nagel ») se terminant par la consonne « L », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés :
préfixe « GE » « NAGEL » + « D » = « GENAGELD ».
Quand « NAGELEN » est conjugué au passé composé, il y a normalement REJET de son participe passé « genageld » derrière le complément («aan de grond ») à la fin de la phrase. On le voit mieux dans la variante suivante : « Ze zijn aan de grond genageld …». Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : IK HEB HEM TE PAKKEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/05/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Ik heb hem te pakken ! = Ik zal hem mogen pakken ! » (« Je vais pouvoir l’attraper => le coffrer ! »).
Notez la structure de la phrase dans cette expression, traduisant une notion de possibilité : elle ressemble à une phrase au passé composé (« Ik heb hem eindelijk gepakt ! ») avec REJET de la forme verbale (« pakken »), derrière le complément (« hem »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MOET REJET VERBERGEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/05/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Toch moet hij (Joeki) zich hier ergens verbergen » (« il doit pourtant se cacher ici quelque part »).
L’auxiliaire de mode de l’OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« verbergen »), derrière les compléments (« hier » et « ergens »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Toch »), cela engendre une INVERSION : le sujet « hij » passe derrière le verbe « moet ».

Nom : HOORDE OVT HOREN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/05/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « de boef hoorde takken in het struikgewas kraken » (« la canaille entendit des branches craquer dans les buissons »).
On y trouve notamment la forme verbale « hoorde », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « HOREN ».
Ce verbe « HOREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik hoor ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit : « HOOR » + « DE » = « HOORDE ».

Nom : GEHOORD VTT HOREN 2 ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/05/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Heb je dat gehoord ? » (« As-tu entendu cela ? »).
On y trouve la forme verbale « gehoord », participe passé provenant de l’infinitif « HOREN ». Ce verbe « HOREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik hoor ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés :
préfixe « GE » « HOOR » + « D » = « GEHOORD ».
Quand « HOREN » est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « gehoord » derrière le complément (« dat ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZOUDEN REJET HEBBEN GEZIEN VTT ZIEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 30/04/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressant: « Zouden ze mij (hebben) gezien hebben ? » (« M’auraient-ils vu ? »).
L’auxiliaire du CONDITIONNEL est l’infinitif « ZOUDEN » ; il est, en quelque sorte, l’« imparfait » (O.V.T. ou prétérit) de l’auxiliaire du FUTUR, « ZULLEN ».
Au CONDITIONNEL, il y a REJET de l’autre forme verbale, ici « hebben », derrière le complément (« mij »), à la fin de la phrase, et donc à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
On y trouve également la forme verbale « gezien », participe passé provenant de l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’INFINITIF.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : KAN KUNNEN REJET ZIJN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 29/04/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij kan niet ver zijn » (« Il ne peut pas être loin »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« zijn »), derrière le complément (« niet ver »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir plutôt l’auxiliaire de mode de la «POSSIBILITE », l’infinitif « MOGEN » (avec « MAG » au singulier) :
« Hij mag niet ver zijn ».

Nom : VERSTOPT VTT VERSTOPPEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/04/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij heeft zich (ergens) verstopt » (« il s’est caché »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On y trouve notamment le verbe « VERSTOPPEN », qui est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au participe passé mais fait partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik verstop ») se terminant par la consonne « K », on trouvera le « T » minoritaire comme terminaison du participe passé :
« VERSTOP » + « T » = « VERSTOPT ».
Le participe passé « verstopt » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« ergens »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZULLEN REJET INHALEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/04/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze zullen me inhalen » (« Ils vont me rattraper => ils me rattraperont »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale («inhalen»), à la fin de la phrase, derrière les complément (« me »), et donc à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VERSTUIKT VTT VERSTUIKEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/04/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb mijn voet verstuikt » (« J’ai tordu mon pied => Je me suis foulé le pied »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On y trouve notamment le verbe « VERSTUIKEN », qui est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au participe passé mais fait partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik verstuik ») se terminant par la consonne « K », on trouvera le « T » minoritaire comme terminaison du participe passé :
« VERSTUIK » + « T » = « VERSTUIKT ».
Le participe passé « verstuikt » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« mijn voet »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEWOND VTT WONDEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/04/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik ben (door een kogel) gewond » (« Je suis blessée »).
On y trouve la forme verbale « gewond », participe passé provenant de l’infinitif « WONDEN ». Ce verbe « WONDEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik wond ») se terminant (déjà) par la consonne « D », on trouvera a fortiori le « D » majoritaire (qui ne sera pas doublé en fin de mot) comme terminaison des participes passés :
préfixe « GE » + « WON(D) » + « D » = « GEWOND ».
Quand « WONDEN » est conjugué à l’équivalent du passé composé, il y a habituellement REJET de son participe passé « gewond » derrière le complément éventuel (« door een kogel ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VOORZIEN VTT VOORZIEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/04/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze hebben het op jou voorzien » (« Ils l’ont prévu sur toi => ils en ont après toi »).
On y trouve notamment la forme verbale « voorzien », participe passé provenant de l’infinitif « voorzien », lui-même construit sur l’infinitif « ZIEN », qui fait normalement l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « voorzien » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, s’il s’était agi d’un verbe « à particule séparable », cela aurait pu entraîner une séparation de la particule « voor » de son infinitif proprement dit et la particule «GE- » (commune à la majorité des participes passés) se serait intercalée entre eux.
Le participe passé « voorzien » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« het » et « op jou »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : HERKEND VTT HERKENNEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/04/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze heeft ons herkend » (« Elle nous a reconnus »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve donc la forme verbale « HERkend », participe passé provenant de l’infinitif « HERkennen », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « HERkend » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« ONS »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZAL OTT ZULLEN REJET KRIJGEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/04/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je zal geen woord uit haar krijgen » (« Tu ne vas recevoir / tirer => tu ne tireras aucun mot d’elle »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale («krijgen»), à la fin de la phrase, derrière les compléments (« geen woord » et « uit haar »), et donc à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZOU REJET ZEGGEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/04/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik zou het jullie nooit zeggen » (« Je ne vous le dirais jamais »).
On y trouve, dans la phrase principale, L’auxiliaire du CONDITIONNEL est l’infinitif « ZOUDEN » ; il est, en quelque sorte, l’« imparfait » (O.V.T. ou prétérit) de l’auxiliaire du FUTUR, « ZULLEN ».
Au CONDITIONNEL, il y a REJET de l’autre forme verbale (« zeggen », à la fin de la phrase, derrière les compléments (« het », « jullie », et « nooit »,), et donc à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : WIL REJET PRATEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/04/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Als je (met ons) wil praten … » (« Si tu veux parler … »).
L’auxiliaire de mode de la VOLONTE » est l’infinitif « WILLEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « MOGEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (ici « praten ») derrière le complément éventuel (« met ons »), à la fin de la phrase et à l’infinitif, ce que l’on voit mieux dans la variante suivante :
« je wil met ons praten ».
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MOETEN REJET ZIJN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/04/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Dat moeten (inderdaad) de ketellappers zijn » (« Ce doivent être les chaudronniers »).
L’auxiliaire de mode de l’« OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (ici « zijn »), derrière le complément éventuel (« inderdaad »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez par exemple notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : WERP WEG IMPERATIF WEGWERPEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/04/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Werp dat pistool weg ! » (« Jette ce revolver ! »).
On y trouve notamment, à l'impératif, la forme verbale « werp … WEG » (comme à l’O.T.T. : « ik werp WEG »), provenant de l’infinitif « WEGwerpen » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « WERPEN ».
Quand « WEGwerpen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « WEG » de son infinitif proprement dit, et son REJET, derrière le complément (« dat pistool »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET, lisez notre synthèse, également en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : WEET AF OTT AFWETEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/04/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze weet dus van deze schuilplaats af » (« Elle est donc au courant de cette cachette »).
On y trouve la forme verbale « weet … AF », participe passé provenant de l’infinitif « AFwerpen », lui-même construit sur l’infinitif « WETEN ».
Quand « AFweten » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit.
Il y a REJET de la forme verbale, derrière les compléments (« dus » et « deze schuilplaats »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEMAAKT VTT MAKEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/04/2023

Description : La quadruple phrase suivante est grammaticalement intéressante : « « Het is duidelijk dat degene die hier verblijft de beeldhouwer is dat die beelden in de vallei heeft gemaakt » (« ll est clair que celui qui séjourne ici est le sculpteur qui a fait ces statues dans la vallée »).
On y trouve notamment, dans la troisième phrase subordonnée (introduite par « DAT », où le verbe est séparé de son sujet), la forme verbale « gemaakt », participe passé provenant de l’infinitif «MAKEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T. : « ik maak ») se terminant par la consonne « K », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire :
préfixe « GE » + « MAAK » + « T » = « GEMAAKT ».
Quand « MAKEN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, il y a REJET de son participe passé « gemaakt » derrière le complément (« die beelden in de vallei ») à la fin de la phrase, ce que l’on voit mieux dans la variante suivante : « de beeldhouwer heeft die beelden in de vallei gemaakt ». Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs : https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEBRACHT VTT BRENGEN 2 ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/04/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wie heeft mij naar hier gebracht ?» (« Qui m’a amené ici ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEBRACHT », participe passé provenant de l’infinitif « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Le participe passé « GEBRACHT » est construit sur le SINGULIER du prétérit, « BRACHT ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Il y a REJET du participe passé, derrière les compléments («mij» et « naar hier »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse, également en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEVOLGD VTT VOLGEN 2 ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/04/2023

Description : La triple phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wanneer ze de vallei bereikt beseft ze niet dat ze door de ketellappers wordt gevolgd » (« Lorsqu’elle atteint la vallée, elle n’imagine pas qu’elle est suivie par les chaudronniers »).
On y trouve, dans la phrase subordonnée (introduite par « DAT ») notamment la forme verbale « gevolgd », participe passé provenant de l’infinitif « VOLGEN ». Ce verbe « VOLGEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik volg ») se terminant par la consonne « G », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés :
préfixe « GE » + « VOLG » + « D » = « GEVOLGD ».
Il y a REJET de ce participe passé, derrière le complément (« door de ketellappers ») à la fin de la phrase comme on le verra mieux dans la variante suivante : « ze wordt door de ketellappers gevolgd ». Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est à la voix passive puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : ZULLEN REJET VOLGEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/04/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wij zullen haar (Josette) volgen » (« Nous la suivrons / nous allons la suivre »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale («volgen») à la fin de la phrase, derrière le complément (« haar »), et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Rappelons que si la personne suivie avait été du genre masculin, on aurait eu la variante suivante : « Wij zullen hem volgen ».

Nom : GELEGEN VTT LIGGEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/04/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij (Josette) gaat in de daarachter gelegen vallei naar Joeki zoeken » (« Elle va chercher Joeki dans la vallée située là derrière »).
On y trouve notamment la forme verbale « GELEGEN», participe passé (utilisé ici comme adjectif épithète) provenant de l’infinitif « LIGGEN ». qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : AFGESLUISTERD VTT AFLUISTEREN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/04/2023

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Niemand weet dat hun gesprek (door iemand) werd afgeluisterd » (« Personne ne sait que leur conversation fut écoutée »).
On y trouve, dans la phrase subordonnée (introduite par « DAT »), la forme verbale « AFgeluisterd », participe passé provenant de l’infinitif « AFluisteren », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « LUISTEREN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « R » (« ik luister »), on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire.
Quand « AFluisteren » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, le préfixe « GE- » (commun à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « afGEluisterd ».
Il y a REJET de la forme verbale « AFgeluisterd » derrière le complément éventuel («door iemand ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase subordonnée est à la voix passive puisque l’auxiliaire « WORDEN » (ici à l’O.V.T.) est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : GERUSTGESTELD VTT GERUSTSTELLEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/04/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Over een uur zijn jullie (helemaal) gerustgesteld ... » (« Dans une heure, vous êtes rassurés »).
On y trouve la forme verbale « gerustgesteld », participe passé provenant de l’infinitif « GERUSTstellen », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « STELLEN ».
Ce verbe « STELLEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik stel ») se terminant par la consonne « L », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés :
préfixe « GE » + « STEL » + « D » = « GESTELD ».
Quand « GERUSTstellen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « GERUST » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « gerustgesteld ».
Dans Ia mesure où la phrase commence par un complément (« Over een uur »), ce dernier engendre une INVERSION : le sujet « jullie » passe derrière le verbe « zijn ».

Nom : ZULLEN REJET EERBIEDIGEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/04/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wij zullen jouw geheim eerbiedigen) » (« Nous respecterons / allons respecter ton secret »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale («eerbiedigen») à la fin de la phrase, derrière le complément (« jouw geheim »), et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KAN KUNNEN REJET ZEGGEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/04/2023

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Over een uur kan ik jullie zeggen of Joeki daar is of niet » (« Dans une heure, je peux vous dire si Joeki est là ou pas »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, sous-entendue (« zeggen »), derrière le complément (« jullie »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs : https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir plutôt l’auxiliaire de mode de la «POSSIBILITE », l’infinitif « MOGEN » (avec « MAG » au singulier) :
« Over een uur mag ik jullie zeggen ».
La phrase commençant par un complément (« Over een uur »), cela y engendre une INVERSION : le sujet « ik » passe derrière le verbe « kan ».

Nom : MOETEN REJET WETEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/04/2023

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « we moeten (nu) weten waar hij is » (« nous devons savoir où il est »).
L’auxiliaire de mode de l’OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« weten »), derrière le complément éventuel (« nu »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VERBORGEN VTT VERBERGEN 2 ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/04/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De tunnel komt uit op een verborgen vallei » (« Le tunnel débouche sur une vallée cachée »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER- GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve dans cette phrase notamment la forme verbale « VERBORGEN », participe passé (utilisé ici comme adjectif) provenant de l’infinitif « VERBERGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre notamment ces trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : VERDWENEN VTT VERDWIJNEN 3 ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/04/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Als hij (Joeki) door die tunnel (is) verdwenen is » (« S’il a disparu par ce tunnel »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER- GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve donc ici notamment la forme verbale « VERDWENEN », participe passé provenant de l’infinitif « VERDWIJNEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers et, parmi eux, d’une catégorie importante de verbes irréguliers, celle des « IJ » donnant des « E » aux temps du passé (O.V.T. et V.T.T.). Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre notamment ces trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Il y a REJET du participe passé derrière le complément (« door die tunnel »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MOET REJET BESCHERMEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/04/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « ik moet een geheim beschermen » (« je dois protéger un secret »).
L’auxiliaire de mode de l’OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« beschermen »), derrière le complément (« een geheim »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VONDEN OVT VINDEN 2 ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/04/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wij vonden een spoor van Joeki » (« Nous trouvâmes / avons trouvé une trace de Joeki »).
On y découvre la forme verbale « VONDen », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « I », donne une voyelle «O» pour les temps du passé. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : BEGREPEN VTT BEGRIJPEN 3 ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/04/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « (Hebben jullie mij) begrepen ? » (« compris ? »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER- GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve la forme verbale « begrepen », participe passé provenant du verbe provenant de l’infinitif « BEGRIJPEN », construit sur « GRIJPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers et, parmi eux, d’une catégorie importante de verbes irréguliers, celle des « IJ » donnant des « E » aux temps du passé (O.V.T. et V.T.T.). Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « BEGRIJPEN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, il y a REJET de son participe passé « begrepen » derrière le complément (« mij ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VERDWEEN OVT VERDWIJNEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 31/03/2023

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat verklaart hoe de vrouw, die ik volgde, verdween » (« Cela explique comment la femme que je suivais disparut »).
On trouve ici notamment la forme verbale « VERDWEEN », prétérit (ou O.V.T.) provenant de l’infinitif « VERDWIJNEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers et, parmi eux, d’une catégorie importante de verbes irréguliers, celle des « IJ » donnant des « E » aux temps du passé (O.V.T. et V.T.T.).
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre notamment ces trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : VOLGDE OVT VOLGEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 31/03/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De vrouw, die ik volgde » (« La femme que je suivis = j’ai suivi »).
Ce verbe « VOLGEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik volg ») se terminant par la consonne « G », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit : « VOLG » + « DE » = « VOLGDE ».

Nom : MAG OTT MOGEN REJET ZIJN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 29/03/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Waar mag hij (wel) (zijn) gebleven zijn ? » (« Où peut-il être resté ? »).
L’auxiliaire de mode de la POSSIBILITE est l’infinitif « MOGEN », donnant un singulier « MAG ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« zijn »), derrière le complément éventuel (« wel »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VONDEN OVT VINDEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/03/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « de vagebonden die bij de waterval het spoor van Joeki vonden» (« les vagabonds qui trouvèrent / ont trouvé la trace de Joeki près de la cascade »).
On découvre, dans cette phrase subordonnée relative (introduite par « DIE »), la forme verbale « VONDen », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « I », donne une voyelle «O» pour les temps du passé. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : SLUIPT NA OTT NASLUIPEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/03/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze (Josette) sluipt de vagebonden na » (« Elle se faufile derrière les vagabonds »).
On y trouve la forme verbale « sluipt … na », qui provient de l’infinitif « NASLUIPEN », verbe dit à « particule séparable », lui-même construit sur « SLUIPEN ».
Lorsque « NASLUIPEN » est conjugué, cela entraîne le REJET de la « particule séparable » « NA », derrière le complément (« de vagebonden »), à la fin de la phrase. Voir le phénomène du REJET, entre autres à :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GA MEE OTT MEEGAAN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/03/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik ga (met jullie) mee » (« Je vais avec vous / je vous accompagne »).
On trouve la forme verbale « GA … MEE », provenant de l’infinitif « MEEGAAN », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur « GAAN ».
Lorsque « MEEGAAN » est conjugué, la particule « MEE » (venant de la préposition « MET ») fait l’objet d’un REJET derrière le complément éventuel (« met jullie ») à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe ou d’une de ses composantes, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VERDWENEN VTT VERDWIJNEN 2 ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/03/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Joeki) is opnieuw verdwenen » (« Il a de nouveau disparu »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER- GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve donc ici notamment la forme verbale « VERDWENEN », participe passé provenant de l’infinitif « VERDWIJNEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers et, parmi eux, d’une catégorie importante de verbes irréguliers, celle des « IJ » donnant des « E » aux temps du passé (O.V.T. et V.T.T.). Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre notamment ces trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Il y a REJET du participe passé derrière le complément (« opnieuw »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs : https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : OVERKOMEN VTT OVERKOMEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/03/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wat is hem overkomen ? » (« Que lui est-il arrivé ? »).
On y trouve la forme verbale « overkomen », participe passé provenant de l’infinitif « overkomen», lui-même construit sur l’infinitif « KOMEN », qui fait normalement l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Quand « overkomen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, s’il s’était agi d’un verbe « à particule séparable », cela aurait pu entraîner une séparation de la particule « OVER » de son infinitif proprement dit et la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) se serait intercalée entre eux.
Le participe passé « overkomen » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« hem »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : VERBORGEN VTT VERBERGEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/03/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De bende daalt langs de rotswand in de verborgen vallei af » (« La bande descend le long de la paroi rocheuse dans la vallée cachée »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER- GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve dans cette phrase notamment la forme verbale « VERBORGEN », participe passé (utilisé comme adjectif) provenant de l’infinitif « VERBERGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre notamment ces trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : BEWOOND VTT BEWONEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/03/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De vallei is dus bewoond » (« La vallée est donc habitée »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER- GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
Ce verbe « BEWONEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik bewoon ») se terminant par la consonne « N », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison du participe passé.

Nom : DAALT AF OTT AFDALEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/03/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De bende daalt langs de rotswand in de verborgen vallei af » (« La bande descend le long de la paroi rocheuse dans la vallée cachée »).
On y trouve la forme verbale « daalt … AF », qui provient de l’infinitif « AFdalen », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « DALEN ».
Quand « AFdalen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de sa forme verbale proprement dite et cette particule séparable « AF », composante du verbe, fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments («langs de rotswand » et « in de verborgen vallei »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe ou d’une de ses composantes, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : HOUDT STIL OTT STILHOUDEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/03/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Op dat ogenblik, houdt de wagen van de ketellappers bij het verboden terrein stil » (« à ce moment, la roulotte des chaudronniers s’arrête près du terrain interdit »).
On y trouve la forme verbale « houdt … STIL », à l’O.T.T. (indicatif présent), verbe dit « à particule séparable », provenant de l’infinitif « STILhouden », lui-même construit sur l’infinitif « HOUDEN ».
Quand « STILhouden » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « STIL » de son infinitif proprement dit et son REJET, derrière le complément (« bij het verboden terrein »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes comme une « particule séparable »), lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Dans Ia mesure où la phrase commence par un complément (« Op dat ogenblik »), ce dernier engendre une INVERSION : le sujet « de wagen » passe derrière le verbe « houdt ».

Nom : VERBODEN VTT VERBIEDEN 2 ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/03/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Op dat ogenblik, houdt de wagen van de ketellappers bij het verboden terrein stil » (« à ce moment, la roulotte des chaudronniers s’arrête près du terrain interdit »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER- GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve la forme verbale « verboden », participe passé (utilisé ici comme adjectif) provenant du verbe provenant de l’infinitif « VERBIEDEN », construit sur « BIEDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers et, parmi eux, d’une catégorie importante de verbes irréguliers, celle des « IE » donnant des « O » aux temps du passé (O.V.T. et V.T.T.). Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : UITGESTOKEN VTT UITSTEKEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/03/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Twee grote handen worden naar hem uitgestoken » (« Deux grandes mains sont tendues vers elle »).
On y trouve notamment la forme verbale « UITgestoken », participe passé provenant de l’infinitif «UITsteken», lui-même construit sur l’infinitif « STEKEN » qui fait l’objet des « temps primitifs » des « verbes forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « UITsteken » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « uitGEstoken ». Il y a REJET de la forme verbale « UITgestoken » derrière le complément (« naar hem ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : VERSUFT VTT VERSUFFEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/03/2023

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Nog versuft van de val, hoort hij (Joeki) plots voetstappen » (« Encore étourdi par la chute, il entend soudain des pas »).
Rappelons tout d’abord que, au participe passé, les verbes commençant par les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER-, NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
Ce verbe « VERSUFFEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik versuf ») se terminant par la consonne « F », on trouvera le « T » minoritaire comme terminaison du participe passé.

Nom : VERDOOFD VTT VERDOVEN 2 ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/03/2023

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij stort in het ravijn waar hij verdoofd blijft liggen » (« Il tombe dans le ravin où il reste gisant, étourdi / inanimé »).
Rappelons tout d’abord que, au participe passé, les verbes commençant par les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER-, NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
Ce verbe « VERDOVEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik verdoof ») se terminant par la consonne « V » à l’infinitif, on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison du participe passé.

Nom : KAN KUNNEN REJET SPRINGEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/03/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « hier kan ik over de kloof (springen) » (« ici je peux sauter par-dessus la crevasse »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, sous-entendue (« springen »), derrière le complément (« over de kloof»), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs : https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir plutôt l’auxiliaire de mode de la «POSSIBILITE », l’infinitif « MOGEN » (avec « MAG » au singulier) :
«hier mag ik over de kloof (springen) ».
La phrase commençant par un complément (« hier »), cela y engendre une INVERSION : le sujet « ik » passe derrière le verbe « kan ».

Nom : GEWEEST VTT ZIJN 2 ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/03/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wie is hier aan het werk geweest ? » (« Qui a été ici au travail ? => à l’oeuvre ? »).
On y trouve la forme verbale « GEWEEST », participe passé provenant du même infinitif « ZIJN », qui constitue vraisemblablement le verbe le plus irrégulier de la langue néerlandaise. C’est logique : plus on utilise un mot, plus la prononciation le déforme au fil du temps … Le verbe « ZIJN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GEWEEST » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« hier » et « aan het werk »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : OMte KOMEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/03/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « om erbij te komen, moet ik over dat ravijn (springen) » (« pour y accéder, je dois sauter par-dessus ce ravin »).
On trouve dans cette phrase notamment « gehouwen », provenant de l’infinitif « HOUWEN », qui semble faire l’objet des « temps primitifs », comme des verbes dits « forts », se construisant apparemment sur cet infinitif.
Rappelons que « POUR » devant les verbes est rendu en langue néerlandaise par un double mot : « OM … TE ». Le complément (« erbij ») s’intercale entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « komen ».
La phrase commençant par l’équivalent d’un complément («Om erbij te komen »), cela engendre y une INVERSION : le sujet « ik » passe derrière le verbe « moet ».

Nom : GEHOUWEN VTT HOUWEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/03/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een beeld van een hert uit een rots gehouwen » (« Une statue de cerf sculptée à partir d’un rocher »).
On trouve dans cette phrase notamment « gehouwen », provenant de l’infinitif « HOUWEN », qui semble faire l’objet des « temps primitifs », comme des verbes dits « forts », se construisant apparemment sur cet infinitif.

Nom : OMGEVEN VTT OMGEVEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/03/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij komt in een door rotsmuren omgeven vallei terecht » (« Il parvient dans une vallée entourée de murs de rocher => de parois rocheuses »).
On trouve notamment « OMgeven » dans cette phrase, participe passé (utilisé ici comme adjectif), provenant de l’infinitif « OMgeven», lui-même construit sur « GEVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts », lui étant même identique, exceptionnellement.

Nom : KOMT TERECHT OTT TERECHTKOMEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/03/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij komt in een vallei terecht » (« Il parvient dans une vallée »).
On y trouve la forme verbale « komt … terecht », provenant du verbe « TERECHTkomen », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « KOMEN ».
Quand « TERECHTkomen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERECHT » de son infinitif proprement dit et son REJET, derrière le complément (« in een vallei »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MAG OTT MOGEN REJET UITMONDEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/03/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Waar mag die tunnel uitmonden ? » (« Où peut déboucher ce tunnel ? »).
L’auxiliaire de mode de la POSSIBILITE est l’infinitif « MOGEN », donnant un singulier « MAG ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« uitmonden »), derrière le complément (« die tunnel »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VERDWENEN VTT VERDWIJNEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/03/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze is plots verdwenen » (« Elle a soudainement disparu »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER- GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve donc ici notamment la forme verbale « VERDWENEN », participe passé provenant de l’infinitif « VERDWIJNEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers et, parmi eux, d’une catégorie importante de verbes irréguliers, celle des « IJ » donnant des « E » aux temps du passé (O.V.T. et V.T.T.). Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre notamment ces trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Il y a REJET du participe passé derrière le complément (« splots »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs : https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MAG OTT MOGEN REJET HALEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/03/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Mag ik mijn hengelspullen bij de rivier halen ? » (« Puis-je aller chercher mon matériel de pêche près de la rivière ? »).
L’auxiliaire de mode de la POSSIBILITE est l’infinitif « MOGEN », donnant un singulier « MAG ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« halen »), derrière les compléments (« mijn hengelspullen» et « bij de rivier »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : PAKKEN IN OTT INPAKKEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/03/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wij pakken dadelijk in » (« Nous faisons immédiatement nos paquets »).
On y trouve la forme verbale « pakken … IN », provenant de l’infinitif « INpakken », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « PAKKEN ».
Quand « INpakken » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « IN » de sa forme verbale proprement dite et cette particule séparable « IN », composante du verbe, fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« dadelijk »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZAL OTT ZULLEN REJET BEZORGEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/03/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij zal jullie onderdak bezorgen) » (« Elle vous fournira / va vous fournir un toit => un abri, un gîte »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale («bezorgen») à la fin de la phrase, derrière les compléments (« jullie » et « onderdak »), et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZAL OTT ZULLEN REJET MEEGEVEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/03/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik zal jullie een brief meegeven » (« Je vous donnerai / vais vous donner une lettre à prendre avec => à emporter »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (ici «meegeven») à la fin de la phrase, derrière les compléments (« jullie » et « een brief »), et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MOETEN REJET ZOEKEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/03/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We moeten een andere schuilplaats zoeken » (« Nous devons chercher une autre cachette »).
L’auxiliaire de mode de l’« OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (ici « zoeken »), derrière le complément (« een andere schuilplaats »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez par exemple notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MOETEN REJET WEGGAAN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/03/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We moeten hier weg(gaan) » (« Nous devons partir d’ici »).
L’auxiliaire de mode de l’« OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« weggaan »), derrière les complément (« hier »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez par exemple notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Rappelons que le verbe (« GAAN ») est, en langue néerlandaise, souvent sous-entendu, notamment après les auxiliaires de mode « KUNNEN », « MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »

Nom : WIL REJET BEKIJKEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/02/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat wil ik wel eens van dichterbij bekijken » (« Cela, je veux le regarder une fois de plus près »).
L’auxiliaire de mode de la VOLONTE » est l’infinitif « WILLEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « MOGEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (ici « bekijken ») derrière les compléments (« wel », (« eens » et « van dichterbij »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Dat »), cela engendre une INVERSION : le sujet « ik » passe derrière le verbe « wil ».

Nom : KOM TERUG IMPERATIF TERUGKOMEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/02/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Kom direct terug ! » (« Reviens directement ! »).
On y trouve la forme verbale « kom … TERUG », impératif de « TERUGkomen », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « KOMEN ».
Quand « TERUGkomen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERUG » de la forme verbale proprement dite et il y a REJET de cette composante « TERUG », derrière le complément (« direct ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VERRADEN VTT VERRADEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/02/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat krantenbericht heeft ons verraden » (« Cette information du journal nous a trahis »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve dans cette phrase la forme verbale « VERraden », participe passé provenant de l’infinitif « VERraden », provenant de « RADEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts », et le participe passé est construit sur l’INFINITIF, lui étant même identique. Consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé : https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « VERraden » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, il y a REJET de son participe passé « VERraden » derrière le complément (« ONS ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : REIZEND PARTICIPE PRESENT REIZEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/02/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressant : « De gebroeders, reizende ketellapers » (« Les frères, chaudronniers voyageant => itinérants »).
La construction du participe présent en langue néerlandaise est on ne peut plus simple : on ajoute un « D » à la fin de l’infinitif.
« reizen » + « d » = « reizend ».
Un participe présent, utilisé comme adjectif, rajoute un « E » comme terminaison :
« reizend » + « e » = reizende ».

Nom : ZOCHT OVT ZOEKEN 2 ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/02/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De kolonel zocht hier in de buurt contact » (« Le colonel cherchait contact ici dans les environs »).
On y trouve la forme verbale « ZOCHT », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZOEKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : ONTDEKT VTT ONTDEKKEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/02/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De speurders hebben iets ontdekt » (« Les enquêteurs ont découvert quelque chose »).
Rappelons tout d’abord que, au participe passé, les verbes commençant par les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER-, NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On y trouve ici notamment « ontdekt », participe passé provenant de l’infinitif « ONTDEKKEN », lui-même construit sur « DEKKEN », qui est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), mais fait partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik ontdek ») se terminant par la consonne « K », on trouvera le « T » minoritaire comme terminaison du participe passé : « ONTDEK » + « T » = « ONTDEKT ».
Il y a REJET du participe passé « ontdekt » derrière le complément éventuel (« iets »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : BESLIJKT VTT BESLIJKEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/02/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Daar stonden een paar beslijkte schoenen » (« Là se trouvaient une paire de chaussures couvertes de boue »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER- GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve la forme verbale « beslijkt », participe passé (utilisé ici comme adjectif) provenant d’un ancien infinitif « BESLIJKEN », considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik beslijk») se terminant par la consonne « K », on trouvera le « T » minoritaire comme terminaison des participes passés :
(PAS de préfixe « GE ») + « BESLIJK » + « T » = « BESLIJKT ».
Quand il s’accorde, l’adjectif prend souvent une terminaison « E ».

Nom : STONDEN OVT STAAN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/02/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Daar stonden een paar beslijkte schoenen » (« Là se trouvaient une paire de chaussures couvertes de boue »).
On y trouve la forme verbale « STONDEN », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « STAAN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
La phrase commençant par un (autre) complément (« Daar»), cela entraîne une INVERSION du sujet « een paar beslijkte schoenen » qui passe derrière son verbe « stonden ».

Nom : GEBLUNDERD VTT BLUNDEREN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/02/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We hebben (nogal) geblunderd » (« Nous avons gaffé »).
On y trouve, la forme verbale « geblunderd », participe passé provenant de l’infinitif « BLUNDEREN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « R », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire.
Il y a REJET de la forme verbale « geblunderd » derrière le complément éventuel (« nogal ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KEEK OVT KIJKEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/02/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik keek onder haar bed » (« Je regardai => j’ai regardé sous son lit »).
On y découvre la forme verbale « KEEK », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « KIJKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « IJ », donne une voyelle « E » (doublée au singulier) pour les temps du passé. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Notez que si le lit avait appartenu à quelqu’un de masculin, on aurait eu : « Ik keek onder zijn bed »

Nom : BEGREPEN VTT BEGRIJPEN 2 ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/02/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « (Hebben jullie mij) begrepen ? » (« compris ? »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER- GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve la forme verbale « begrepen », participe passé provenant du verbe provenant de l’infinitif « BEGRIJPEN », construit sur « GRIJPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers et, parmi eux, d’une catégorie importante de verbes irréguliers, celle des « IJ » donnant des « E » aux temps du passé (O.V.T. et V.T.T.). Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « BEGRIJPEN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, il y a REJET de son participe passé « begrepen » derrière le complément (« mij ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : DACHTEN OVT DENKEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/02/2023

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « en jullie dachten dat ik dat was » (« et vous pensiez que c’était moi »).
On y trouve la forme verbale « DACHTEN », à l’O.V.T. ou prétérit, provenant de l’infinitif « DENKEN » qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
On y trouve (dans la phrase subordonnée introduite par « DAT ») la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIJN », qui constitue vraisemblablement le verbe le plus irrégulier de la langue néerlandaise. C’est logique : plus on utilise un mot, plus la prononciation le déforme au fil du temps …
Le verbe « ZIJN » fait, lui aussi, l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.

Nom : LATEN WE REJET GAAN KIJKEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/02/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Laten we op haar kamer gaan kijken ! » (« Laissons-nous => allons voir dans sa chambre ! »).
N’oublions pas que la tournure « LATEN we » (littéralement « Laissons-nous ») de la première personne du pluriel de l’IMPERATIF présent exige un REJET de l’infinitif (« gaan»), derrière le complément (« op haar kamer »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KAN KUNNEN REJET ZIJN GEWEEST VTT ZIJN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/02/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het kan haar (Josette) alleen (zijn) geweest zijn » (« Ce ne peut avoir été qu’elle »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« zijn »), derrière les compléments (« haar » et « alleen »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir « MAG », singulier de l’infinitif « MOGEN», l’auxiliaire de mode de la « POSSIBILITE » : « Het mag haar alleen geweest zijn ».
On y trouve aussi la forme verbale « GEWEEST », participe passé provenant du même infinitif « ZIJN », qui constitue vraisemblablement le verbe le plus irrégulier de la langue néerlandaise. C’est logique : plus on utilise un mot, plus la prononciation le déforme au fil du temps … Le verbe « ZIJN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : MOET REJET WAARSCHUWEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/02/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik moet hem (Robert) dadelijk waarschuwen » (« Je dois l’avertir tout de suite »).
L’auxiliaire de mode de l’« OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« waarschuwen »), derrière les compléments (« hem » et « dadelijk »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez par exemple notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEBLEVEN VTT BLIJVEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/02/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Waar is ze (nu) gebleven ? » (« Où est-elle restée ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEBLEVEN », participe passé utilisé avec un passé composé, provenant de l’infinitif « BLIJVEN», qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé « GEBLEVEN » se construit sur le PLURIEL du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé (la plus nombreuse étant celle des « IJ ») :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GEBLEVEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« nu »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KON OVT KUNNEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/02/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hier kon ze in elk geval niet verder (gaan) » (« Ici elle ne pouvait dans tous les cas pas aller plus loin »).
La forme verbale « KON » est le prétérit (SINGULIER) du verbe « KUNNEN » faisant l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers, au moins à l’O.V.T. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE », « KUNNEN » (donnant, à l’O.T.T. ou indicatif présent, un singulier « KAN »), comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), exige le REJET de l’autre forme verbale (sous-entendue, « gaan »), derrière les compléments (« in elk geval » et « verder »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Hier »), cela engendre une INVERSION : le sujet « ze » passe derrière le verbe « kon ».

Nom : MAG OTT MOGEN REJET BETEKENEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/02/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wat mag dat (gedrag) betekenen ? » (« Qu’est-ce cela peut signifier ? »).
L’auxiliaire de mode de la POSSIBILITE est l’infinitif « MOGEN », donnant un singulier « MAG ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« betekenen »), derrière le complément (« dat »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZAL OTT ZULLEN REJET UITKIJKEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/02/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressant : « Ik zal goed uitkijken » (« Je regarderai bien / vais bien regarder à la ronde »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale («uitkijken») à la fin de la phrase, derrière le complément (« goed »), et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZAL OTT ZULLEN REJET AFDOEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/02/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressant : « Ik zal dat schort maar afdoen » (« Je retirerai / vais retirer ce tablier »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale («afdoen») à la fin de la phrase, derrière le complément (« dat schort»), et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZAL OTT ZULLEN REJET TREKKEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/02/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressant : « Ik zal niet te vlug conclusies trekken » (« Je ne tirerai pas / je ne vais pas tirer des conclusions trop vite »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale («trekken») à la fin de la phrase, derrière les compléments (« te vlug », et « conclusies »), et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MAG OTT MOGEN REJET BEHOREN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/02/2023

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « als ik terugkom, mag hij (Joeki) niet meer tot de levenden behoren » (« quand je reviens, il ne doit plus appartenir aux vivants / au monde des vivants »).
L’auxiliaire de mode de la POSSIBILITE est l’infinitif « MOGEN », donnant un singulier « MAG ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« behoren »), derrière le complément (« tot de levenden »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase subordonnée (introduite par « ALS ») jouant le rôle d’un complément commençant la phrase principale, cela y engendre une INVERSION : le sujet « hij » passe derrière le verbe « mag ».

Nom : MOET REJET WEGGAAN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/02/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik moet nu enkele dagen weg(gaan) » (« Je dois maintenant m’en aller pendant quelques jours »).
L’auxiliaire de mode de l’« OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« weggaan »), derrière les compléments (« nu » et « enkele dagen »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez par exemple notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Rappelons que le verbe (« GAAN ») est, en langue néerlandaise, souvent sous-entendu, notamment après les auxiliaires de mode « KUNNEN », « MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »

Nom : UITGEVOERD VTT UITVOEREN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/02/2023

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De andere helft krijg je als de opdracht (door jou) (is) uitgevoerd is » (« Tu reçois l’autre moitié lorsque la mission est exécutée »).
On y trouve, dans la phrase subordonnée (introduite par « ALS »), la forme verbale « UITgevoerd », participe passé provenant de l’infinitif « UITvoeren », lui-même construit sur l’infinitif « VOEREN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « R », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire.
Quand « UITvoeren » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « uitGEvoerd ».
Il y a REJET de la forme verbale « UITgevoerd » derrière le complément éventuel («door jou ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : BELOOFD VTT BELOVEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/02/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hier is de helft van de beloofde som » (« Voici la moitié de la somme promise »).
Rappelons tout d’abord que, au participe passé, les verbes commençant par les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER-, NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais. Ce verbe « BELOVEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik beloof ») se terminant par la consonne « F », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison du participe passé.
Un participe passé, utilisé comme adjectif, rajoute un « E » comme terminaison.

Nom : VERDOMD VTT VERDOMMEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/02/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Verdomd ! » (« Sapristi ! »).
Rappelons tout d’abord que, au participe passé, les verbes commençant par les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER-, NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
Ce verbe « VERDOMMEN », disparu, peut être considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik verdom ») se terminant par la consonne « M », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison du participe passé.
Notez que l’on trouve aussi « Verdomme ! ».

Nom : MISLUKT VTT MISLUKKEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/02/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een eerste aanslag is echter mislukt » (« Un premier attentat a été en fait manqué »).
Rappelons tout d’abord que, au participe passé, les verbes commençant par les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER-, NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais. C’est aussi le cas du préfixe MIS-. On trouve ici la forme verbale « mislukt », participe passé (utilisé comme adjectif) provenant de l’infinitif « MISLUKKEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T. : « ik misluk ») se terminant par la consonne « K », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire :
(ici sans le préfixe « GE ») + « MISLUK » + « T » = « MISLUKT ».
Quand «MISLUKKEN» est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, il y a REJET de son participe passé « mislukt » derrière le complément (« echter ») à la fin de la phrase.

Nom : GELEZEN VTT LEZEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/02/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We hebben in de krant gelezen » (« Nous avons lu dans le journal »).
On y trouve notamment la forme verbale « gelezen », participe passé provenant de l’infinitif « LEZEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Cette forme verbale est, comme on le voit, construite sur l’INFINITIF. Pour complément d’informations, consultez notamment notre tableau de synthèse « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « LEZEN » est conjugué à un temps du passé, il y a REJET de son participe passé « gelezen » derrière le complément (« in de krant») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VERDACHT VTT VERDENKEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 31/01/2023

Description : Plaat nummer 242 van de « Geschiedenis van de Wereld » werd uitgegeven in nummer 22 van het weekblad « KUIFJE » op 2 juin 1960. De titel daarvan was « Napoleon Bonaparte » (« Napoléon Bonaparte ») en met 5 deeltjes : « Bonaparte was 27 jaar in 1796 » (« Bonaparte avait 27 ans en 1796 »), « Het leger in Italië » (« L’armée en Italie »), « Wij gaan : de brug van Arcole» (« Nous (y) allons : le pont d’Arcole »), « De Vrede van Campoformio van 18 october 1797 » (« La Paix de Campo Formio du 18 octobre 1797 ») en « Engeland » (« L’Angleterre »).
De autor van de « Geschiedenis van de Wereld » (1955-1962) was Jean SCHOONJANS (1897-1976).
De dochter van de illustrators laat ons NIET meer toe de illustraties te reproduceren, wat tussen december 2010 en december 2020 het geval was.
Op dezelfde datum vindt U ook de Franstalige versie daarvan : « Histoire du Monde ».

Nom : RONDREIZEND PARTICIPE PRESENT RONDREIZEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 30/01/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressant : « De gebroeders, rondreizende ketellapers van verdacht alloi » (« Les frères, chaudronniers voyageant à la ronde => itinérants, d’aloi suspect »).
La construction du participe présent en langue néerlandaise est on ne peut plus simple : on ajoute un « D » à la fin de l’infinitif.
« rondreizen » + « d » = « rondreizend ».
Un participe présent, utilisé comme adjectif, rajoute un « E » comme terminaison :
« rondreizend » + « e » = rondreizende ».

Nom : ZAL OTT ZULLEN REJET GEBEUREN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 29/01/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressant : « Dat zal hier wel meer gebeuren » (« Cela se produira bien / va bien se produire ici davantage »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL » (anciennement « ZULT »). Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale («gebeuren») à la fin de la phrase, derrière les compléments (« hier », « wel » et « meer »), et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KEERT TERUG OTT TERUGKEREN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/01/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij keert van zijn ronde terug ! » (« Il revient de sa ronde »).
On y trouve la forme verbale « keert … TERUG », provenant de l’infinitif « TERUGkeren », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « KEREN ».
Quand « TERUGkeren » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERUG » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET derrière le complément éventuel (« van zijn ronde»), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET, lisez :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : STORTEN NEER OTT NEERSTORTEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/01/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Met donderend geraas storten rotsblokken van de helling neer » (« Avec un bruit de tonnerre, des blocs de rochers dévalent de la colline »).
On y trouve notamment la forme verbale « stort … NEER » à l’O.T.T. (ou présent), provenant de l’infinitif « NEERstorten », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « STORTEN ».
Quand « NEERstorten » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « NEER » de son infinitif proprement dit, et il y a REJET de la particule « NEER », derrière le complément (« van de helling »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Dans Ia mesure où la phrase commence par un complément (« Met donderend geraas »), ce dernier engendre une INVERSION, le sujet « rotsblokken » passant derrière le verbe « storten ». On aurait en effet aussi pu dire :
« rotsblokken storten met donderend geraas van de helling neer ».

Nom : PAS OP IMPERATIF OPPASSEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/01/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Pas (voor de rotsblokken) op ! » (« Fais attention ! »).
On y trouve la seule forme verbale « Pas op ! », impératif de l’infinitif « OPpassen», verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « PASSEN ».
il y a REJET de la « particule séparable » « OP », derrière le complément éventuel (« voor de rotsblokken »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que le radical (première personne du présent) est la même forme verbale : « ik pas op ».

Nom : ZOU REJET WILLEN WETEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/01/2023

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik zou toch willen weten waar hij zich nu bevindt » (« Je voudrais pourtant savoir où il se trouve à présent »).
On y trouve, dans la phrase principale, L’auxiliaire du CONDITIONNEL est l’infinitif « ZOUDEN » ; il est, en quelque sorte, l’« imparfait » (O.V.T. ou prétérit) de l’auxiliaire du FUTUR, « ZULLEN ».
Au CONDITIONNEL, il y a REJET de l’autre forme verbale (« willen », à la fin de la phrase, derrière le complément («toch»), et donc à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : LOSGEWRIKT VTT LOSWRIKKEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/01/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « die rotsblokken kunnen met die tak (zijn) losGEwrikt zijn » (« ces blocs de rochers peuvent avoir été soulevés »).
On y trouve notamment la forme verbale « losGEwrikt », participe passé provenant de l’infinitif « LOSWRIKKEN », lui-même construit sur « WRIKKEN ». Le verbe « WRIKKEN » NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers et est donc régulier.
Quand « LOSwrikken » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « LOS » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « losGEwrikt ».

Nom : LOSGERAAKT VTT LOSRAKEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/01/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « die rotsblokken kunnen gewoon (zijn) losGEraakt zijn » (« ces blocs de rochers peuvent simplement s’être détachés »).
On y trouve notamment la forme verbale « losGEraakt », participe passé provenant de l’infinitif « LOSRAKEN », lui-même construit sur « RAKEN ». Le verbe « RAKEN » NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers et est donc régulier.
Quand « LOSraken » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « LOS » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « losGEraakt ».

Nom : KWAMEN LOS OVT LOSKOMEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/01/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hoe kwamen die rotsblokken (van de helling) los ? » (« Comment ces blocs de rochers se détachèrent-ils ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « KWAMEN », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « KOMEN ». Le verbe « KOMEN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
On y trouve plus particulièrement la forme verbale « KWAMEN … LOS » provenant du verbe « LOSKOMEN », dit à « particule séparable ». Quand ce verbe est conjugué, il y a REJET de la particule séparable « LOS », derrière le complément éventuel (« van de helling ») à la fin de la phrase, ce que l’on peut constater dans la variante suivante : « het vuurgevecht breekt (dadelijk) los ». Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : WAS OVT ZIJN 4 ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/01/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat was op het nippertje » (« C’était juste à temps »).
On trouve la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIJN », qui constitue vraisemblablement le verbe le plus irrégulier de la langue néerlandaise.
C’est logique : plus on utilise un mot, plus la prononciation le déforme au fil du temps …
Le verbe « ZIJN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : STORTEN NEER OTT NEERSTORTEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/01/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Met donderend geraas storten rotsblokken van de helling neer » (« Avec un bruit de tonnerre, des blocs de rochers dévalent de la colline »).
On y trouve notamment la forme verbale « stort … NEER » à l’O.T.T. (ou présent), provenant de l’infinitif « NEERstorten », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « STORTEN ».
Quand « NEERstorten » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « NEER » de son infinitif proprement dit, et il y a REJET de la particule « NEER », derrière le complément (« van de helling »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Dans Ia mesure où la phrase commence par un complément (« Met donderend geraas »), ce dernier engendre une INVERSION, le sujet « rotsblokken » passant derrière le verbe « storten ». On aurait en effet aussi pu dire :
« rotsblokken storten met donderend geraas van de helling neer ».

Nom : PAS OP IMPERATIF OPPASSEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/01/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Pas (voor de rotsblokken) op ! » (« Fais attention ! »).
On y trouve la seule forme verbale « Pas op ! », impératif de l’infinitif « OPpassen», verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « PASSEN ».
il y a REJET de la « particule séparable » « OP », derrière le complément éventuel (« voor de rotsblokken »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que le radical (première personne du présent) est la même forme verbale : « ik pas op ».

Nom : GEZIEN VTT ZIEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/01/2023

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Bij de rivier, die het verboden terrein begrenst, kan ik door niemand (worden) gezien worden » (« près de la rivière, qui limite le terrain interdit, je ne peux être vu par personne »).
On y trouve notamment la forme verbale « geZIEN », participe passé provenant de l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’INFINITIF.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
La phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » (ici à l’O.V.T. ou prétérit) est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : VERBODEN VTT VERBIEDEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/01/2023

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Bij de rivier, die het verboden terrein begrenst, kan ik door niemand (worden) gezien worden » (« près de la rivière, qui limite le terrain interdit, je ne peux être vu par personne »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER- GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve la forme verbale « verboden », participe passé (utilisé ici comme adjectif) provenant du verbe provenant de l’infinitif « VERBIEDEN », construit sur « BIEDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers et, parmi eux, d’une catégorie importante de verbes irréguliers, celle des « IE » donnant des « O » aux temps du passé (O.V.T. et V.T.T.). Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : BEGREPEN VTT BEGRIJPEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/01/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « (Heb je mij) begrepen ? » (« compris ? »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER- GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve la forme verbale « begrepen », participe passé provenant du verbe provenant de l’infinitif « BEGRIJPEN », construit sur « GRIJPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers et, parmi eux, d’une catégorie importante de verbes irréguliers, celle des « IJ » donnant des « E » aux temps du passé (O.V.T. et V.T.T.). Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « BEGRIJPEN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, il y a REJET de son participe passé « begrepen » derrière le complément (« mij ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZAG OVT ZIEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/01/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « ik zag binnen hengelspullen » (« je vis / j’ai vu à l’intérieur du matériel de pêche »).
On y trouve notamment la forme verbale « ZAG », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
ATTENTION : Beaucoup d’apprenants croient que la forme verbale « ZAG », provient de l’infinitif « ZEGGEN », également irrégulier à l’O.V.T.

Nom : MAG OTT MOGEN REJET GAAN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/01/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Jij mag wel in / naar de tuin gaan » (« Tu peux bien aller dans le jardin »).
L’auxiliaire de mode de la POSSIBILITE est l’infinitif « MOGEN », donnant un singulier « MAG ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« gaan », sous-entendue dans l’image), derrière les compléments (« wel » et « in de tuin »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KAN KUNNEN REJET HELPEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/01/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Dan kan jij me met de vaat helpen » (« Alors tu peux m’aider avec la vaisselle »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« helpen »), derrière les compléments («me» et « met de vaat »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir plutôt l’auxiliaire de mode de la «POSSIBILITE », l’infinitif « MOGEN » (avec « MAG » au singulier) :
« Dan mag jij me met de vaat helpen ».
La phrase commençant par un complément (« Dan »), cela engendre une INVERSION : le sujet « jij » passe derrière le verbe « kan ».

Nom : ZULLEN REJET HOUDEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/01/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Toch zullen we de wacht houden » (« Néanmoins, nous allons tenir => monter la garde »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ». Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (« houden ») à la fin de la phrase, derrière le complément (« de wacht »), à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs:
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Toch »), cela engendre une INVERSION : le sujet « we » passe derrière le verbe « zullen ».

Nom : KAN KUNNEN REJET DOEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/01/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Wat kan hij (tegen ons) doen ? » (« Que peut-il faire ? »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« doen »), derrière le complément éventuel (« tegen ons »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir plutôt l’auxiliaire de mode de la «POSSIBILITE », l’infinitif « MOGEN » (avec « MAG » au singulier) : « Wat mag hij (tegen ons) doen ? ».

Nom : LATEN WE REJET MAKEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/01/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Laten we ons niet te ongerust maken ! » (« Ne nous faisons => rendons pas trop inquiets => Ne nous en faisons pas trop ! »).
N’oublions pas que la tournure « LATEN we » (littéralement « Laissons-nous ») de la première personne du pluriel de l’IMPERATIF présent exige un REJET de l’infinitif (« maken»), derrière les compléments (« ons » et « te ongerust »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZOU REJET KUNNEN BEVINDEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/01/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Waar zou hij (Swolska) zich thans kunnen bevinden ? » (« Où pourrait-il se trouver à présent ? »).
On y trouve, dans la phrase principale, L’auxiliaire du CONDITIONNEL est l’infinitif « ZOUDEN » ; il est, en quelque sorte, l’« imparfait » (O.V.T. ou prétérit) de l’auxiliaire du FUTUR, « ZULLEN ».
Au CONDITIONNEL, il y a REJET de l’autre forme verbale (« bevinden », à la fin de la phrase, derrière le complément («thans»), et donc à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait pu avoir « MOGEN », l’auxiliaire de mode de la «POSSIBILITE » : « Waar zou hij zich thans mogen bevinden ? »

Nom : BEDOT VTT BEDOTTEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/01/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Jij hebt jaren lang de mensen met waarzeggerij bedot » (« Tu as trompé les gens pendant des années avec de la cartomancie »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER- GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On y trouve notamment la participe passé « bedot » provenant d’un verbe « BEDOTTEN », qui est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), mais fait partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (la première personne du présent « Ik bedot ») se terminant déjà par la consonne « T », on trouvera le « T » minoritaire comme terminaison du participe passé: (« BE » +) « BEDOT » (+ « T ») = « BEDOT ».
Le participe passé « bedot » fait l’objet d’un REJET derrière les compléments («jaren lang», « de mensen » et « met waarzeggerij »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZAGEN OVT ZIEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/01/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « wij zagen duidelijk die reusachtige gestalte » (« nous vîmes / avons vu nettement cette silhouette géante »).
On y trouve notamment la forme verbale « ZAGEN », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
ATTENTION : Beaucoup d’apprenants croient que la forme verbale « ZAGEN », provient de l’infinitif « ZEGGEN », également irrégulier à l’O.V.T.

Nom : ZOU REJET DENKEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/01/2023

Description : La triple phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zelfs als de geest van de reus hier was, zou ik eerder denken dat hij je onder die tak (heeft) uitgehaald heeft » (« Même si l’esprit du géant était ici, je penserais plutôt qu’il t’a retiré de sous cette branche »).
On y trouve, dans la phrase principale, L’auxiliaire du CONDITIONNEL est l’infinitif « ZOUDEN » ; il est, en quelque sorte, l’« imparfait » (O.V.T. ou prétérit) de l’auxiliaire du FUTUR, « ZULLEN ».
Au CONDITIONNEL, il y a REJET de l’autre forme verbale (« denken », à la fin de la phrase, derrière le complément (« eerder »), et donc à l’INFINITIF, ce que l’on aurait mieux vu dans la phrase suivante : « ik zou eerder denken ». Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase principale commençant par une phrase subordonnée (introduite par « ALS ») jouant le rôle d’un complément, cela y engendre une INVERSION : le sujet « ik » passe derrière le verbe « zou ».

Nom : BLIJF IMPERATIF WEGBLIJVEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/01/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Blijf van het terrein weg ! » (« Reste loin du terrain ! »).
On y trouve la forme verbale « blijf … WEG », impératif présent provenant du verbe « WEGblijven », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « BLIJVEN ».
Quand « WEGblijven » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « WEG » de son infinitif proprement dit et il y a normalement REJET de cette particule séparable «WEG» (rendant une notion d’éloignement), derrière le complément (« van het terrein »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes comme une « particule séparable »), lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Pour comprendre pourquoi « BLIJVEN » donne « BLIJF » (tant à l’O.T.T. qu’au présent), jetez un coup d’œil à notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=radVerbes

Nom : WAS OVT ZIJN 3 ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/01/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het was gewoon een ongeval » (« C’était simplement un accident »).
On trouve la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIJN », qui constitue vraisemblablement le verbe le plus irrégulier de la langue néerlandaise.
C’est logique : plus on utilise un mot, plus la prononciation le déforme au fil du temps …
Le verbe « ZIJN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : UITGEHAALD VTT UITHALEN 2 ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/01/2023

Description : La triple phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zelfs als de geest van de reus hier was, zou ik eerder denken dat hij je onder die tak (heeft) uitgehaald heeft » (« Même si l’esprit du géant était ici, je penserais plutôt qu’il t’a retiré de sous cette branche »).
On y trouve, dans la phrase subordonnée (introduite par « DAT »), la forme verbale « UITgehaald », participe passé provenant de l’infinitif « UIThalen », lui-même construit sur l’infinitif « VOEREN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « L », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire.
Quand « UIThalen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « uitGEhaald ».
Il y a REJET de la forme verbale « UITgehaald » derrière le complément («onder die tak ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : AFGEBROKEN VTT AFBREKEN 2 ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/01/2023

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het komt mij voor dat die tak door de wind (werd) afgebroken werd » (« Il me semble que cette branche a été brisée par le vent »).
On y trouve, dans la phrase subordonnée (introduite par « DAT » et à la voix passive), la forme verbale « AFgebroken », participe passé provenant de l’infinitif « AFbreken », verbe dit « à particule séparable » lui-même construit sur l’infinitif « BREKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « AFbreken » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « afGEbroken ».
Il y a REJET du participe passé « AFgebroken», derrière le complément (« door de wind »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KOMT VOOR OTT VOORKOMEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/01/2023

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het komt mij voor dat die tak door de wind (werd) afgebroken werd » (« Il me semble que cette branche a été brisée par le vent »).
On y trouve, dans la phrase principale, la forme verbale « komt … VOOR », provenant de l’infinitif « VOORkomen », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « KOMEN ».
Quand « VOORkomen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « VOOR » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET derrière le complément (« mij »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET, lisez :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GERAAKT VTT RAKEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/01/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De reus heeft me met die tak geraakt » (« Le géant m’a touché avec cette branche »).
On y trouve la forme verbale « geraakt », participe passé provenant de l’infinitif « RAKEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais, NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T. : « ik raak ») se terminant par la consonne « K », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire :
préfixe « GE » + « RAAK » + « T » = « GERAAKT ».
Il y a REJET de ce participe passé « geraakt » derrière les compléments (« nme » et « met die tak ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VERDOOFD VTT VERDOVEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/01/2023

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik was (door de tak) verdoofd » (« J’étais étourdi »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER- GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
Ce verbe « VERDOVEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé, NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik verdoof ») se terminant par la consonne « F », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison du participe passé (utilisé ici comme adjectif attribut) : « VERDOOF » + « D » = « VERDOOFD ».
Il y a REJET de la forme verbale « verdoofd » derrière le complément éventuel («door de tak ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : UITGEHAALD VTT UITHALEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 31/12/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wie heeft je onder die tak uitgehaald ? » (« Qui t’a retiré de sous cette branche ? »).
On y trouve la forme verbale « UITgehaald », participe passé provenant de l’infinitif « UIThalen », lui-même construit sur l’infinitif « VOEREN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « L », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire.
Quand « UIThalen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « uitGEhaald ».
Il y a REJET de la forme verbale « UITgehaald » derrière le complément («onder die tak ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : TOEGESLAGEN VTT TOESLAAN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 29/12/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De reus heeft (opnieuw) toeGEslagen » (« Le géant a frappé »).
On y trouve la forme verbale « toeGEslagen », participe passé provenant de l’infinitif « TOEslaan », lui-même construit sur l’infinitif « SLAAN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « TOEslaan » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TOE » (provenant de la préposition « tot ») de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « toeGEslagen ».
Il y a REJET du participe passé « toeGEslagen, derrière le complément éventuel («opnieuw »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs:
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEVLUCHT VTT VLUCHTEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/12/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik ben (vóór de reusachtige gedaante) gevlucht » (« J’ai fui »).
On y trouve notamment le verbe « VLUCHTEN », qui est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), mais fait partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik vlucht ») se terminant déjà par la consonne « T », on trouvera d’autant plus le « T » minoritaire comme terminaison du participe passé :
« GE » + « VLUCHT » (+ « T ») = « GEVLUCHT ».
Le participe passé « gevlucht » fait l’objet d’un REJET derrière le complément éventuel (« vóór de reusachtige gedaante »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : NADERDE OVT NADEREN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/12/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « de gedaante naderde » (« la silhouette approchait »).
On y trouve la forme verbale « NADERDE », prétérit ou O.V.T. du verbe « NADEREN », qui NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik nader ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit : « NADER » + « DE » = « NADERDE ».

Nom : BEKNELD VTT BEKNELLEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/12/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Mijn man raakte eronder bekneld » (« Mon mari se retrouva coincé en-dessous »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER- GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On y trouve notamment la participe passé « bekneld » (utilisé ici comme adjectif attribut) provenant d’un ancien verbe « BEKNELLEN », qui est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), mais fait partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (la première personne du présent aurait pu être « Ik beknel ») se terminant par la consonne « L », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison du participe passé: « BEKNEL » + « D » = « BEKNELD ».

Nom : RAAKTE OVT RAKEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/12/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Mijn man raakte eronder bekneld » (« Mon mari se retrouva coincé en-dessous »).
On y trouve notamment le verbe « RAKEN », qui est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), mais fait partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik raak ») se terminant par la consonne « K », on trouvera le « TE » minoritaire comme terminaison du prétérit :
« RAAK » + « TE » = « RAAKTE ».

Nom : SLINGERDE OVT SLINGEREN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/12/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Plots slingerde een zware tak in onze richting » (« Soudain, une lourde branche zigzagua dans notre direction »).
On y trouve la forme verbale « SLINGERDE », prétérit ou O.V.T. du verbe « SLINGEREN », qui NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik daag ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit :
« SLINGER » + « DE » = « SLINGERDE ».
La phrase commençant par un complément (« plots »), cela entraîne une INVERSION du sujet « een zware tak » qui passe derrière son verbe « slingerde ». On aurait en effet aussi pu dire : « Een zware tak slingerde plots in onze richting ». Voir phénomène du REJET, entre autres :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : DAAGDE OP OVT OPDAGEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/12/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Plots daagde een reusachtige gedaante op » (« Soudain, une silhouette géante apparut »).
On y trouve la forme verbale « DAAGDE … OP », prétérit ou O.V.T. du verbe « OPDAGEN », dit à « particule séparable », construit sur l’infinitif « DAGEN », qui NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik daag ») se terminant par la consonne « G », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit : « DAAG » + « DE » = « DAAGDE ».
Quand il est conjugué, il exige le REJET de la particule séparable « OP », normalement derrière le complément (« plots »), à la fin de la phrase, comme la variante infra.
La phrase commence par un complément (« plots ») et cela entraîne une INVERSION du sujet « een reusachtige gedaante » qui passe derrière son verbe « daagde ». Mais on aurait en effet aussi pu dire : « Een reusachtige gedaante daagde plots op ». Voir phénomène du REJET, entre autres :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VASTGERAAKT VTT VASTRAKEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/12/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Onze kruiwagen is in het slijk vastgeraakt » (« Notre brouette est restée empêtrée dans le fossé »).
On y trouve la forme verbale « vastgeraakt », participe passé provenant de l’infinitif « VASTRAKEN », lui-même construit sur « RAKEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T. : « ik raak ») se terminant par la consonne « K », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire :
préfixe « GE » + « RAAK » + « T » = « GERAAKT ».
Quand « VASTraken » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « VAST » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « vastgeraakt ». Il y a REJET de ce participe passé « vastgeraakt » derrière le complément (« in het slijk ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VERRAST VTT VERRASSEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/12/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Mijn man en ik werden door het noodweer verrast » (« Mon mari et moi avons été surpris par le vent violent »).
On y trouve la forme verbale « verrast », participe passé provenant de l’infinitif « VERRASSEN », considéré comme « régulier » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP ». Rappelons que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER- GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
Il y a REJET du participe passé « verrast », derrière le complément («door het noodweer »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » (ici à l’O.V.T. ou prétérit) est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : TOEGELOPEN VTT TOELOPEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/12/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Plots komt een vrouw gillend naar het huis TOEgelopen » (« Soudain, une femme criant arrive en courant vers la maison »).
On y trouve notamment la forme verbale « TOEGELOPEN », participe passé provenant de l’infinitif « TOERIJDEN », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « LOPEN » qui fait l’objet des « temps primitifs ». Il est à noter que le participe passé « GELOPEN » se construit sur l’INFINITIF. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « TOElopen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TOE » (provenant de la préposition « TOT ») de son infinitif proprement dit, le préfixe « GE- » (commun à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « toeGElopen ».
Dans Ia mesure où la phrase commence par un complément (« Plots»), ce dernier engendre une INVERSION : le sujet « een vrouw » passe derrière le verbe « komt ». On aurait en effet aussi pu dire : « een vrouw komt plots gillend naar het huis TOEgelopen ».

Nom : STAAT OP OTT OPSTAAN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/12/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Bij noodweer staat de reus uit zijn graf op » (« En cas de temps urgent => violente tempête, le géant se lève => sort de sa tombe »).
On y trouve notamment la forme verbale « staat … OP », provenant de l’infinitif « OPstaan » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « STAAN ».
Quand « OPstaan » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, et son REJET, derrière le complément (« uit zijn graf »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET, lisez notre synthèse, également en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Dans Ia mesure où la phrase commence par un complément (« Bij noodweer »), ce dernier engendre une INVERSION : le sujet « de reus » passe derrière le verbe « staat ». On aurait en effet aussi pu dire : « de reus staat bij noodweer uit zijn graf OP ».

Nom : MOETEN REJET OPPASSEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/12/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dan moeten we (zeker) oppassen » (« Alors nous devons certainement faire attention »).
L’auxiliaire de mode de l’OBLIGATION est l’infinitif « MOETEN». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« oppassen »), derrière le complément éventuel («zeker »), à la fin de la phrase et, bien sûr, à l’infinitif, Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs:
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Dan ») cela engendre une INVERSION : le sujet « we » passe derrière le verbe « moeten ».

Nom : GEBEURD VTT GEBEUREN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/12/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Er zijn zulke vreemde dingen gebeurd » (« Il s’est passé de telles choses étranges »).
On y trouve notamment la forme verbale « gebeurd », participe passé provenant de l’infinitif « GEBEUREN ». Ce verbe « GEBEUREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (si une première personne du présent avait existé, « gebeur ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés mais pas de préfixe « GE » puisque la forme verbale commence déjà par « GE » (comme pour les verbes commençant par les préfixes BE- ER-, HER-, ONT- et VER- ) :
(pas de préfixe « GE ») + « GEBEUR » + « D » = « GEBEURD ».
Quand « GEBEUREN » est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « gebeurd » derrière le complément (« zulke vreemde dingen ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VERSCHOLEN VTT VERSCHUILEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/12/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Vroeger VERscholen stropers en rabauwen zich daar wel eens » (« Jadis des braconniers et des vauriens se cachaient volontiers là-bas à l’occasion »).
On trouve donc dans cette phrase la forme verbale « VERscholen », O.V.T. ou prétérit provenant de l’infinitif « VERschuilen », provenant de « SCHUILEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « UI », donne une voyelle « O » aux temps du passé. Notez que le participe passé sera construit sur le PLURIEL du prétérit, lui étant même identique, comme dans la variante suivante : « Vroeger hebben stropers en rabauwen zich daar wel eens VERscholen ».
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
La phrase commençant par un complément (« Vroeger »), cela engendre une INVERSION : le sujet « stropers en rabauwen » passe derrière le verbe « VERscholen ».

Nom : BEGRAVEN VTT BEGRAVEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/12/2022

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Men beweert dat de reus Huon daar (ligt = is, werd) begraven ligt » (« On prétend que le géant Huon y est enterré »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve donc dans la phrase subordonnée (introduite par « DAT ») la forme verbale « BEgraven », participe passé (utilisé ici comme « adjectif ») de l’infinitif « BEgraven », provenant de « GRAVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ; le participe passé est construit sur l’INFINITIF, lui étant même identique.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : LIGT ERBIJ OTT BIJLIGGEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/12/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het terrein ligt er al jaren verlaten bij » (« Le terrain y est déjà abandonné => laissé à l’abandon depuis des années »).
On y trouve, à première vue, la forme verbale « ligt … BIJ », qui aurait pu provenir d’un infinitif « BIJliggen » à « particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « LIGGEN ».
« BIJliggen » étant conjugué, cela aurait entraîné en néerlandais une séparation de la particule « BIJ » de son infinitif proprement dit, et il y aurait pu y avoir un REJET de la particule « BIJ » derrière le complément (« al jaren»), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Nous avons plus vraisemblablement affaire à un « adverbe pronominal », « DAARbij » pour « ERbij ». On aurait en effet pu avoir les variantes suivantes de la phrase : « « Het terrein ligt erbij al jaren verlaten » ou « Het terrein ligt al jaren verlaten erbij ».

Nom : VERLATEN VTT VERLATEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/12/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het terrein ligt er al jaren verlaten bij » (« Le terrain y est déjà abandonné => laissé à l’abandon depuis des années »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve donc dans cette phrase la forme verbale « VERlaten », participe passé (utilisé ici comme adjectif) provenant de l’infinitif « VERlaten », provenant de « LATEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts », et le participe passé est construit sur l’INFINITIF, lui étant même identique.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : VERSLAGEN VTT VERSLAAN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/12/2022

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De reus teisterde eeuwen geleden het dorp tot(dat) hij door een ridder (werd) verslagen werd » (« ll y a des siècles, le géant ravagea le village jusqu’à ce qu’il fût vaincu par un chevalier »).
Rappelons tout d’abord que, au participe passé, les verbes commençant par les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER-, NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve, dans la phrase subordonnée (introduite par « TOT » et à la voix passive), notamment la forme verbale « verslagen », participe passé provenant de l’infinitif « VERSLAAN », lui-même construit sur « SLAAN ».
L’infinitif « SLAAN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Il y a, dans la phrase subordonnée, REJET du participe passé derrière le complément (« door een ridder »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : TEISTERDE OVT TEISTEREN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/12/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De reus teisterde eeuwen geleden het dorp » (« ll y a des siècles, le géant ravageait le village »).
Ce verbe « TEISTEREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik teister ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit :
« TEISTER » + « DE » = « TEISTERDE ».

Nom : ZAL OTT ZULLEN REJET VOORSPELLEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/12/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressant : « Zal ik jouw toekomst voorspellen ? » (« Prédirai-je / Vais-je prédire ton avenir ? »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL » (anciennement « ZULT »). Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale («voorspellen») à la fin de la phrase, derrière le complément (« jouw toekomst »), et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZULT ZAL OTT ZULLEN REJET REGEREN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/12/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressant : « Jij zult / zal later over Moldavië regeren » (« Tu régneras / vas régner un jour sur la Moldavie »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL » (anciennement « ZULT »). Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale («regeren») à la fin de la phrase, derrière les compléments (« later » et « over Moldavië »), et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ONDERGEDOKEN VTT ONDERDUIKEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/12/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Swolska) is (ergens) ondergedoken » (« Il est planqué quelque part »).
On y trouve la forme verbale « ondergedoken », participe passé provenant du verbe à particule séparable « ONDERDUIKEN », construit sur l’infinitif « DUIKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers et fait partie d’une catégorie importante de verbes irréguliers au prétérit, celle des « UI », donnant «O» aux temps du passé. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « ondergedoken » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« ergens »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : HEBBEN REJET LATEN CONTROLEREN DOUBLE INFINITIF ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/12/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb alle grensposten laten controleren » (« J’ai fait contrôler tous les postes frontières »).
La phrase est, en fait, au passé composé et la forme verbale de « LATEN » aurait dû être au participe passé mais on a ici affaire à ce que l’on appelle le « double infinitif », solution intéressante pour éviter les « temps primitifs » quand on ne les maîtrise pas.
Les deux infinitifs font l’objet d’un REJET, derrière le complément (« alle grensposten »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VERTROKKEN VTT VERTREKKEN 2 ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/12/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De buitenlandse militairen zijn (opnieuw) vertrokken » (« Les militaires étrangers se sont tirés loin => sont partis »). (Nota bene : « VER » signifie « LOIN »)
Rappelons tout d’abord que, au participe passé, les verbes commençant par les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER-, NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve ici (dans la phrase subordonnée introduite par « TOTdat ») notamment la forme verbale « verTROKKEN », participe passé provenant de l’infinitif «verTREKKEN », lui-même construit sur « TREKKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Il est à noter que ce participe passé se construit sur le pluriel du prétérit (et est, ici, même identique) ou O.V.T. Voir notre tableau :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Il y a REJET du participe passé « verTROKKEN » derrière le complément éventuel (« opnieuw »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : AFGEBROKEN VTT AFBREKEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/12/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De maneuvers werden vroegtijdig AFgebroken » (« Les manœuvres ont été interrompues prématurément »).
On y trouve, dans cette phrase à la voix passive, la forme verbale « AFgebroken », participe passé provenant du verbe « AFbreken » à particule séparable, lui-même construit sur l’infinitif « BREKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « AFspreken » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « AFGEbroken ».
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé : https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « AFgebroken » fait l’objet d’un REJET derrière le complément (« vroegtijdig »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET, lisez : https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZIET ERUIT OTT ERUIT ZIEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/12/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wat zie je er gek uit ! » (« Comme tu as l’air drôle ! »).
A première vue, on pourrait croire que l’on a affaire au verbe « uitzien », avec « uit », réagissant comme une « particule séparable », qui ferait l’objet d’un REJET derrière le complément (« gek »), à la fin de la phrase.
On a en fait ici l’expression « eruit zien ». On aurait en effet pu avoir les variantes suivantes de la phrase :
« Wat zie je gek eruit ! ».
N’oublions pas que la forme verbale qui se termine habituellement en langue néerlandaise par « T » à la deuxième personne du singulier de l’indicatif présent ou O.T.T. (« je ziet »), ne prendra exceptionnellement pas cette termination « T » à la forme interrogative ou à une forme « impérative » comme dans ce cas-ci.

Nom : ZOU REJET WORDEN VERVOLGD ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/12/2022

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb mij vermomd voor het geval ik (door iemand) (zou worden) vervolgd » (« Je me suis déguisé pour le cas / au cas où je serais suivi »).
On y trouve la forme verbale « vervolgd », participe passé (utilisé au conditionnel et à la voix passive) provenant de l’infinitif « VERVOLGEN ». Ce verbe « VERVOLGEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « ik vervolg ») se terminant par la consonne « G », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés mais pas de préfixe « GE » puisque la forme verbale commence par le préfixe « VER » (c’est aussi le cas pour les verbes commençant par les préfixes BE-, ER-, GE,- HER- et ONT-) :
(GE) + « VERVOLG » + « D » = « VERVOLGD ».
Le participe passé « vervolgd » fait l’objet d’un REJET derrière le complément éventuel (« door iemand »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET, lisez : https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VERMOMD VTT VERMOMMEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/12/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb mij vermomd » (« Je me suis déguisé »).
On y trouve la forme verbale « vermomd », participe passé provenant de l’infinitif « VERMOMMEN ». Ce verbe « VERMOMMEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « vermom ») se terminant par la consonne « M », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés mais pas de préfixe « GE » puisque la forme verbale commence par le préfixe « VER » (c’est aussi le cas pour les verbes commençant par les préfixes BE-, ER-, GE,- HER- et ONT-) : (GE) + « VERMOM » + « D » = « VERMOMD ».
Le participe passé « vermomd » fait l’objet d’un REJET derrière le complément (« mij »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET, lisez :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEHOORD VTT HOREN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/12/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « (ik heb) nooit van hen gehoord » (« je n’ai jamais entendu parler d’eux »).
On y trouve la forme verbale « gehoord », participe passé provenant de l’infinitif « HOREN ». Ce verbe « HOREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik hoor ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés :
préfixe « GE » « HOOR » + « D » = « GEHOORD ».
Quand « HOREN » est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « gehoord » derrière les compléments (« nooit » et « van hen ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : AANGEKOMEN VTT AANKOMEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/12/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zijn ze al aangekomen ? » (« Sont-ils déjà arrivés ? »).
On y trouve la forme verbale « AANgekomen », participe passé provenant de l’infinitif « AANkomen », lui-même construit sur l’infinitif « KOMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « AANkomen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGEkomen ».
Il y a REJET de la forme verbale « AANgekomen » derrière le complément (« al ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : HEBBEN REJET LEREN KENNEN DOUBLE INFINITIF ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 30/11/2022

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb haar leren kennen toen ze jong en romantisch was » (« J’ai appris à la connaître quand elle était jeune et romantique »).
La phrase est, en fait, au passé composé et la forme verbale de « KENNEN » aurait dû être au participe passé mais on a ici affaire à ce que l’on appelle le « double infinitif », solution intéressante pour éviter les « temps primitifs » quand on ne les maîtrise pas.
Les deux infinitifs font l’objet d’un REJET, derrière le complément (« haar »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZAL OTT ZULLEN REJET ONTVANGEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 29/11/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik zal haar ontvangen » (« Je vais la recevoir »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ». Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (« ontvangen ») à la fin de la phrase, derrière le complément (« haar »), à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs:
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VERTROKKEN VTT VERTREKKEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/11/2022

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Daarom verbergen we ons tot(dat) deze vijand (Swolska) (naar het buitenland) (is) vertrokken (is) » (« C’est pourquoi nous nous cachons ici jusqu’à ce que cet ennemi soit parti »).
Rappelons tout d’abord que, au participe passé, les verbes commençant par les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER-, NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve ici (dans la phrase subordonnée introduite par « TOTdat ») notamment la forme verbale « verTROKKEN », participe passé provenant de l’infinitif «verTREKKEN », lui-même construit sur « TREKKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Il est à noter que ce participe passé se construit sur le pluriel du prétérit (et est, ici, même identique) ou O.V.T. Voir notre tableau :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Il y a REJET du participe passé « verTROKKEN » derrière le complément éventuel (« naar het buitenland »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : BIJGEWOOND VTT BIJWONEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/11/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De legermaneuvers worden door buitenlandse militairen bijgewoond » (« Les manœuvres de l’armée sont assistées par des militaires étrangers => des militaires étrangers assistent aux manœuvres de l’armée »).
On y trouve, dans une phrase à la voix passive (l’auxiliaire « worden » est utilisé au lieu de « zijn »), la forme verbale « BIJGEWOOND », participe passé provenant de l’infinitif « BIJWONEN », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur « WONEN », verbe considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), qui NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik woon») se terminant par la consonne « N », on trouvera le suffixe « D » majoritaire comme terminaison du participe passé :
« BIJ » + « GE » + WOON » + « D » = « BIJGEWOOND ».
Il y a REJET du participe passé, derrière le complément («door buitenlandse militairen »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KUNNEN REJET BRENGEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/11/2022

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Nu we ter bestemming zijn, kunnen we je op de hoogte brengen » (« Maintenant que nous sommes à destination, nous pouvons te mettre au courant »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« brengen »), derrière les compléments (« je» et (« op de hoogte »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait pu avoir « MOGEN », l’auxiliaire de mode de la «POSSIBILITE » : « Nu we ter bestemming zijn, mogen we je op de hoogte brengen ».
La phrase subordonnée jouant le rôle d’un complément commençant la phrase principale, cela y engendre une INVERSION : le sujet « we » passe derrière le verbe « kunnen ».
Notez l’expression “op de hoogte brengen ».

Nom : ZOCHT OVT ZOEKEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/11/2022

Description : La triple phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Haar man vroeg mij jullie een tijd te herbergen want hij zocht een schuilplaats voor Joeki / omdat hij een schuilplaats voor Joeki zocht » (« Son mari me demanda de vous héberger un temps parce que / car il cherchait une cachette pour Joeki »).
On y trouve, dans la phrase subordonnée introduite par « WANT »), la forme verbale « ZOCHT », prétérit (ou O.V.T.) provenant de l’infinitif « ZOEKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Notez que la construction de la phrase subordonnée est plus simple avec « WANT » qu’avec « OMDAT » (qui exige le rejet du verbe « ZOCHT » à la fin de la phrase).

Nom : VROEG OVT VRAGEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/11/2022

Description : La (double) phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Haar man vroeg mij jullie een tijd te herbergen » (« Son mari me demanda de vous héberger un temps »).
On y trouve la forme verbale « VROEG », prétérit (ou O.V.T.) provenant de l’infinitif « VRAGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : BEWEZEN VTT BEWIJZEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/11/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze heeft me toen een grote dienst bewezen » (« Elle m’a alors rendu un grand service »).
Rappelons tout d’abord que, dans le cas des verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve ici la forme verbale « BEWEZEN », participe passé (utilisé avec l’équivalent d’un passé composé) provenant de l’infinitif « BEWIJZEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé « BEWEZEN » se construit sur le PLURIEL du prétérit (et, dans ce cas-ci, est identique). Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé (la plus nombreuse étant précisément celle des « IJ ») :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« me », « toen » et « een grote dienst»), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : AFREISDE REISDE AF OVT AFREIZEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/11/2022

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb haar leren kennen toen ik als waarzegster de kermissen afreisde » (« J’ai appris à la connaître quand je parcourais les foires comme diseuse de bonne aventure »).
On y trouve (dans la phrase subordonnée introduite, au passé, par « TOEN ») la forme verbale « afreisde », prétérit (ou O.V.T.) provenant de l’infinitif « AFREIZEN » à « particule séparable », lui-même construit sur « REIZEN ».
Ce verbe « REIZEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik reis ») se terminant par la consonne « S », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit : « REIS » + « DE » = « REISDE ».
Notez que si « AFREIZEN » n’avait pas été dans une phrase subordonnée (introduite au passé par « TOEN »), on aurait mieux vu la particule « AF » se séparer de son infinitif « REIZEN » comme dans la variante suivante : « ik reisde als waarzegster de kermissen af ».

Nom : WAS OVT ZIJN 2 ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/11/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb haar leren kennen toen ze jong en romantisch was » (« J’ai appris à la connaître quand elle était jeune et romantique »).
On trouve, dans la phrase subordonnée (introduite par « TOEN », au passé), la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIJN », qui constitue vraisemblablement le verbe le plus irrégulier de la langue néerlandaise.
C’est logique : plus on utilise un mot, plus la prononciation le déforme au fil du temps …
Le verbe « ZIJN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
La forme verbale « WAS » fait ici l’objet d’un REJET, derrière le complément (« jong en romantisch »), à la fin de la phrase, parce que la phrase est subordonnée. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KREEG OVT KRIJGEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/11/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik kreeg een brief van mevrouw Mangin » (« Je reçus => j’ai reçu une lettre de madame Mangin »).
On y trouve la forme verbale « KREEG », prétérit (ou O.V.T.) provenant de l’infinitif « KRIJGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « IJ », donne une voyelle « E » (double, au singulier). Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : VERWACHTTE OVT VERWACHTEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/11/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « ik verwachtte jullie » (« je vous attendais »).
On y trouve la forme verbale « VERWACHTTE », O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « VERWACHTEN », qui est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), mais fait partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik verwacht ») se terminant par la consonne « T », on trouvera le « TE » minoritaire comme terminaison du prétérit :
« VERWACHT » + « TE » = « VERWACHTTE ».
Une variante aurait pu être : « ik wachtte op jullie ».

Nom : KOM MEE IMPERATIF MEEKOMEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/11/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Kom (met mij) mee ! » (« Viens avec moi ! »).
On y trouve la forme verbale « kom … mee », impératif provenant du verbe « MEEkomen », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « KOMEN ».
Quand « MEEkomen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « MEE » de son infinitif proprement dit et son REJET, derrière le complément éventuel (« met mij »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Rappelons que la particule « MEE » provient de la préposition « MET ».
La variante de la phrase aurait pu être : « Kom met mij ! »

Nom : KUNT KAN KUNNEN REJET WIJZEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/11/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Kunt (= kan) U me dit adres wijzen ? » (« Pouvez-vous m’indiquer cette adresse ? »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« wijzen »), derrière les compléments (« me » et « dit adres»), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir plutôt l’auxiliaire de mode de la «POSSIBILITE », l’infinitif « MOGEN » (avec « MAG » au singulier) :
« Mag U me dit adres wijzen ? ».

Nom : MAAKTE OVT MAKEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/11/2022

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Toen ik jonger was, maakte men mij op een zachtere wijze het hof » (« Lorsque j’étais plus jeune, on me faisait la cour d’une manière plus douce »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, le verbe « MAKEN », qui est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), mais fait partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik maak ») se terminant par la consonne « K », on trouvera le « TE » minoritaire comme terminaison du prétérit : « MAAK » + « TE » = « MAAKTE ».
C’est dans Ia mesure où la phrase subordonnée (« Toen ik jonger was») joue le rôle d’un complément commençant la phrase principale que cela engendre une INVERSION dans cette phrase principale : le sujet « men » passe derrière le verbe « maakte ».

Nom : WAS OVT ZIJN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/11/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Toen ik jonger was … » (« Quand j’étais plus jeune … »).
On trouve, dans cette phrase subordonnée (introduite par « TOEN », au passé), la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIJN », qui constitue vraisemblablement le verbe le plus irrégulier de la langue néerlandaise.
C’est logique : plus on utilise un mot, plus la prononciation le déforme au fil du temps …
Le verbe « ZIJN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
La forme verbale « WAS » fait ici l’objet d’un REJET, derrière le complément (« jonger »), à la fin de la phrase, parce que la phrase est subordonnée. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VERSCHRIKT VTT VERSCHRIKKEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/11/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Verschrikt door het knallen van de voetzoekers ... » (« Effrayés par la pétarade »…).
On y trouve la forme verbale « verschrikt », participe passé provenant de l’infinitif « verschrikken », lui-même construit sur l’infinitif « SCHRIKKEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Rappelons que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.

Nom : WILLEN REJET OPLUISTEREN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/11/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een paar bengels willen de optocht met voetzoekers opluisteren ... » (« Quelques polissons veulent égayer le cortège avec des pétards »).
L’auxiliaire de mode de la VOLONTE » est l’infinitif « WILLEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « MOGEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière les compléments (« de optocht » et « met voetzoekers »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : LEG UIT REJET UITLEGGEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/11/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat leg ik je straks uit » (« Cela, je te l’explique tantôt »).
On y trouve la forme verbale « leg … UIT », provenant du verbe « UITleggen », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « LEGGEN ».
Quand « UITleggen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, qui fait l’objet d’un REJET derrière les compléments (« je » et « straks ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Dat »), cela engendre une INVERSION : le sujet « ik » passe derrière le verbe « leg ».

Nom : GEBRACHT VTT BRENGEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/11/2022

Description : La triple phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Jullie hebben mij opgepikt toen ik van mijn kostschool in Delft kwam en jullie hebben mij hierheen zonder de minste uitleg gebracht » (« Vous m’avez emporté lorsque j’arrivais de mon internat à Delft et m’avez amené ici sans la moindre explication »).
On trouve, dans la deuxième phrase principale, notamment la forme verbale « GEBRACHT », participe passé provenant de l’infinitif « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Le participe passé « GEBRACHT » est construit sur le SINGULIER du prétérit, « BRACHT ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Il y a REJET du participe passé, derrière les compléments (« mij », « hierheen » et « zonder de minste uitleg »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse, également en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KWAM OVT KOMEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/11/2022

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Jullie hebben mij opgepikt toen ik van mijn kostschool in Delft kwam » (« Vous m’avez emporté lorsque je venais / arrivais de ma pension / mon internat à Delft »).
On trouve, dans la phrase subordonnée (introduite, au passé, par « TOEN »), notamment la forme verbale « KWAM », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « KOMEN ». Le verbe « KOMEN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : OPGEPIKT VTT OPPIKKEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/11/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Jullie hebben mij opgepikt » (« Vous m’avez emporté »).
On y trouve la forme verbale « OPgepikt », participe passé provenant de l’infinitif « OPpikken », lui-même construit sur l’infinitif « PIKKEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Quand « OPpikken » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEpikt ».
Il y a REJET de la forme verbale « OPgepikt » derrière le complément («mij») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEVONDEN VTT VINDEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/11/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Men heeft wel mensenbeenderen van enorme afmetingen gevonden » (« On a bien trouvé des ossements humains de tailles énormes »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEVONDEN », participe passé provenant de l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « I », donne une voyelle « O » pour les temps du passé. Ce participe passé « GEVONDEN » est construit sur le PLURIEL du prétérit ou O.V.T. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GEVONDEN » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« wel » et « mensenbeenderen van enorme afmetingen »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEWEEST VTT ZIJN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/11/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zijn er ooit echt reuzen geweest ? » (« Est-ce que des géants sont jamais vraiment été / ont jamais vraiment existé ? => Y a-t-il jamais eu vraiment des géants ? »).
On y trouve la forme verbale « GEWEEST », participe passé provenant du même infinitif « ZIJN », qui constitue vraisemblablement le verbe le plus irrégulier de la langue néerlandaise. C’est logique : plus on utilise un mot, plus la prononciation le déforme au fil du temps … Le verbe « ZIJN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GEWEEST » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« ooit », « echt » et « reuzen »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GELEDEN VTT LIJDEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/11/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Volgens een oude sage terroriseerde hij (de reus Huon) eeuwen geleden het dorp Rochamp » (« D’après une vieille légende, il terrorisait le village de Rochamp il y a des siècles »).
On y trouve notamment la forme verbale « GELEDEN », participe passé provenant à l’origine de l’infinitif « LIJDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers et qui, comme presque tous les verbes en « IJ », donne une voyelle « E » pour les temps du passé. Voyez :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GELEDEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« eeuwen »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La variante suivante de la phrase sera peut-être plus édifiante : « het / er zijn eeuwen geleden dat de reus Huon het dorp Rochamp terroriseerde ».

Nom : TERRORISEREN OVT TERRORISEREN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/11/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Volgens een oude sage terroriseerde hij (de reus Huon) eeuwen geleden het dorp Rochamp » (« D’après une vieille légende, il terrorisait le village de Rochamp il y a des siècles »).
Ce verbe « TERRORISEREN » (inspiré de l’infinitif français) est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik terroriseer ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit :
« TERRORISEER » + « DE » = « TERRORISEERDE ».
La phrase commençant par un complément (« Volgens een oude sage»), cela engendre une INVERSION : le sujet « hij » passe derrière le verbe « terroriseerde ».

Nom : STELT VOOR OTT VOORSTELLEN ROBERT EN BERTRAND 55 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/11/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wat stelt die (vlecht)rieten pop (in deze optocht) voor ? » (« Que représente cette poupée en osier ? »).
On y trouve la forme verbale « stelt … VOOR », provenant de l’infinitif « VOORstellen », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « STELLEN ».
Quand « VOORstellen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « VOOR » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET derrière le complément éventuel (« in deze optocht »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET, lisez :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VOORZIEN VTT VOORZIEN 3 ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/11/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Al was het zeker niet voorzien … » (« Même si ce n’était certainement pas prévu … »).
On y trouve notamment la forme verbale « voorzien », participe passé provenant de l’infinitif « voorzien », lui-même construit sur l’infinitif « ZIEN », qui fait normalement l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « voorzien » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, s’il s’était agi d’un verbe « à particule séparable », cela aurait pu entraîner une séparation de la particule « voor » de son infinitif proprement dit et la particule «GE- » (commune à la majorité des participes passés) se serait intercalée entre eux.
Le participe passé « voorzien » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« zeker »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : KREEG OVT KRIJGEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/11/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wie kreeg de fles weer op zijn kop ? » (« Qui reçut à nouveau la bouteille sur sa tête ? »).
On y trouve la forme verbale « KREEG », prétérit (ou O.V.T.) provenant de l’infinitif « KRIJGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « IJ », donne une voyelle « E » (double, au singulier). Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : WAS OVT ZIJN 10 ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/11/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat afscheidsfeest was op en top » (« Cette fête d’adieu était du tonnerre »).
On y trouve la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIJN », qui constitue vraisemblablement le verbe le plus irrégulier de la langue néerlandaise.
C’est logique : plus on utilise un mot, plus la prononciation le déforme au fil du temps …
Le verbe « ZIJN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : MOET REJET GEWEEST ZIJN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 30/10/2022

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zo’n helm dragen moet geen pleziertje geweest zijn » (« Porter un tel casque n’a pas dû être un petit plaisir => une partie de plaisir »).
L’auxiliaire de mode du « DEVOIR » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« zijn »), derrière le complément éventuel (« geen pleziertje »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
On y trouve aussi la forme verbale « GEWEEST », participe passé provenant du même infinitif « ZIJN », qui constitue vraisemblablement le verbe le plus irrégulier de la langue néerlandaise. C’est logique : plus on utilise un mot, plus la prononciation le déforme au fil du temps … Le verbe « ZIJN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : HIELPEN OVT HELPEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 29/10/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze (Robert en Bertrand) hielpen haar bij de verwikkelingen » (« Ils l’aidèrent lors des complications »).
On y trouve, dans la phrase principale, la forme verbale « HIELPEN », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « HELPEN » qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Notez que si la personne aidée avait été du genre masculin, on aurait eu « HEM » : « Ze hielpen hem bij de verwikkelingen ».

Nom : SLOEG DOORHEEN OVT DOORHEEN SLAAN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/10/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij (Triphine) sloeg er zich dapper mee doorheen alle moeilijkheden (doorheen) » (« Elle se tira courageusement de toutes les difficultés »).
On y trouve notamment la forme verbale « sloeg … DOORheen », O.V.T. qui aurait pu provenir d’un infinitif « DOORheenslaan », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « SLAAN », verbe irrégulier qui fait l’objet des « temps primitifs ».
Quand « DOORheenslaan » est conjugué, cela entraînerait en néerlandais une séparation de la particule « DOORheen » de sa forme verbale proprement dite et cette particule séparable « DOORheen », composante du verbe, ferait alors l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« dapper » et « alle moeilijkheden »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Mais la particule « DOORheen » serait ici tout simplement l’équivalent de la préposition « DOOR ».

Nom : MAG OTT MOGEN REJET BEHOUDEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/10/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «mag ik de ijzeren helm als aandenken behouden ? » (« puis-je garder le casque de fer comme souvenir ? »).
L’auxiliaire de mode de la POSSIBILITE est l’infinitif « MOGEN », donnant un singulier « MAG ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« behouden »), derrière les compléments (« de ijzeren helm » et « als aandenken »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MAG OTT MOGEN REJET VRAGEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/10/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «mag ik echter nog een gunst vragen ? » (« puis-je pourtant encore demander une faveur ? »).
L’auxiliaire de mode de la POSSIBILITE est l’infinitif « MOGEN », donnant un singulier « MAG ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« vragen »), derrière les compléments (« echter » et « nog een gunst »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEPRESTEERD VTT PRESTEREN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/10/2022

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wat jouw vrouw en Triphine hebben gepresteerd had niets te maken met onze overeenkomst » (« Ce que ta femme et Triphine ont presté n’a rien à voir avec notre convention »).
On trouve dans la première phrase la forme verbale « gepresteerd », participe passé provenant de l’infinitif « PRESTEREN ». Ce verbe « PRESTEREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent = « ik presteer ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés : « PRESTEER » + « D » = « GEPRESTEERD ».
Quand « PRESTEREN » est conjugué au passé composé, il y a normalement REJET de son participe passé « gepresteerd » derrière le complément éventuel (« dat ») à la fin de la phrase comme dans la variante suivante : « Ze hebben dat gepresteerd ». Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEVIERD VTT VIEREN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/10/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat moet (door ons) worden gevierd » (« Cela doit être fêté »).
On y trouve notamment la forme verbale « gevierd », participe passé provenant de l’infinitif « VIEREN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent = « ik VIER ») se terminant par la consonne « R », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire :
préfixe « GE » + « VIER » + « D » = « GEVIERD ».
Il y a REJET de la forme verbale « gevierd » derrière le complément éventuel («door ons ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs:
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : GEWIJZIGD VTT WIJZIGEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/10/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De gebeurtenissen hebben alles gewijzigd » (« Les événements ont tout changé »).
On trouve dans cette phrase la forme verbale « gewijzigd », participe passé provenant de l’infinitif « WIJZIGEN ». Ce verbe « WIJZIGEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent = « ik wijzig ») se terminant par la consonne « G », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés : « WIJZIG » + « D » = « GEWIJZIGD ».
Quand « WIJZIGEN » est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « gewijzigd » derrière les complément (« alles ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : AFGESPROKEN VTT AFSPREKEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/10/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik stort morgen het AFgesproken bedrag » (« Je vous verse demain le montant convenu »).
On y trouve la forme verbale « AFgesproken », participe passé (utilisé ici comme adjectif) provenant du verbe « AFspreken » à particule séparable, lui-même construit sur l’infinitif « SPREKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « AFspreken » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « AFGEsproken ».
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : GEWONNEN VTT WINNEN 3 ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/10/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « ik geef me gewonnen » (« je me donne gagné => / je m’avoue vaincu »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEWONNEN », participe passé construit sur le PLURIEL du prétérit et provenant de l’infinitif « WINNEN», qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il y a REJET de la forme verbale « GEWONNEN » derrière le complément (« me ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : STOND OVT STAAN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/10/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hun inzet stond torenhoog boven de dwaze weddenschap... » (« Leur implication se situait bien plus haut que le pari fou ... »).
On y trouve la forme verbale « stond », prétérit (ou O.V.T.) provenant de l’infinitif « STAAN » qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : ZAL ZULLEN REJET MOETEN HERZIEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/10/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik zal mijn oordeel over vrouwen grondig moeten herzien » (« Je vais devoir revoir en profondeur mon jugement à propos des femmes »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (« moeten »), derrière les compléments (« mijn oordeel over vrouwen » et « grondig »), à la fin de la phrase,
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : WILLEN REJET WETEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/10/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maar we willen eerst weten ... » (« Mais nous devons d'abord savoir ... »).
L’auxiliaire de mode de la VOLONTE » est l’infinitif « WILLEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « MOGEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière le complément (« eerst »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MOETEN REJET AANZITTEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/10/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Moet ik nu echt weer achter jullie aanzitten ?» (« Dois-je maintenant vraiment à nouveau être derrière vous ? »).
L’auxiliaire de mode de l’OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière les compléments (« nu », « echt », « weer » et « achter jullie »,), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEDAAN VTT DOEN 2 ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/10/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij (Triphine) heeft meer gedaan ... » (« Elle a fait plus ... »).
On y trouve la forme verbale « gedaan ». », participe passé provenant de l’infinitif « DOEN » qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « gedaan » fait l'objet d'un REJET, derrière le complément (« meer »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : AANGINGEN GINGEN AAN OVT AANGAAN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/10/2022

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hun inzet stond torenhoog boven de dwaze weddenschap die wij aangingen » (« Leur implication se situait bien plus haut que le pari fou que nous fîmes / avons fait »).
On y trouve, dans la phrase subordonnée (introduite par "DIE"), la forme verbale « aangingen », prétérit (ou O.V.T.) provenant du verbe « AANGAAN », verbe dit "à particule séparable", provenant lui-même de l’infinitif « GAAN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Si on ne s'était pas trouvé dans une phrase subordonnée, on aurait mieux vu que la "particule séparable" faisait l'objet d'un REJET à la fin de la phrase, comme dans la variante suivante : « wij gingen een dwaze weddenschap aan ».

Nom : VOEREN OVT VAREN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/10/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We voeren nog vóór jullie hierheen » (« Nous sommes venus en bateau jusqu’ici encore avant vous »).
On y trouve la forme verbale « voeren », prétérit (ou O.V.T.) provenant de l’infinitif « VAREN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : VIELEN OVT VALLEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/10/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « wij zagen hoe jullie bij de brandende molen in hun handen vielen » (« nous vîmes / avons vu comment vous tombiez dans leurs mains près du moulin brûlant => en flammes »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée (introduite par « HOE »), la forme verbale « vielen », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « VALLEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : UITGELEVERD VTT UITLEVEREN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/10/2022

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik zorg er wel voor dat die kerels aan de plaatselijke overheid worden uitgeleverd » (« Je veille à ce que ces types soient livrés à l’autorité locale »).
On y trouve, dans la phrase subordonnée (introduite par « DAT »), la forme verbale « uitgeleverd », participe passé provenant de l’infinitif « UITleveren », lui-même construit sur l’infinitif « LEVEREN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent : « ik lever ») se terminant par la consonne « R », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire. Quand « UITleveren » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « uitGEleverd ». Il y a REJET de la forme verbale « uitGEleverd » derrière le complément (« aan de plaatselijke overheid ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : ROBERT LOOPT AF OTT AFLOPEN EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/10/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Maar hoe loopt het nu met jouw weddenschap af ? » (« Mais comment cela se termine-t-il maintenant pour ton pari ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « loopt … AF », provenant de l’infinitif « AFlopen », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « LOPEN ».
Quand « AFlopen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de sa forme verbale proprement dite et cette particule séparable « AF », composante du verbe, fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« nu » et « met jouw weddenschap »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/10/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «laat iedereen vrijuit gaan ! » (« laisse tout le monde aller => partir librement ! »).
« LATEN » exige souvent (surtout à l’impératif) un REJET de l’infinitif (ici « gaan »), derrière les compléments («iedereen» et « vrijuit »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZAGEN OVT ZIEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/10/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « wij zagen hoe jullie bij de brandende molen in hun handen vielen » (« nous vîmes / avons vu comment vous tombiez dans leurs mains près du moulin brûlant => en flammes »).
On y trouve notamment la forme verbale « ZAGEN », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
ATTENTION : Beaucoup d’apprenants croient que la forme verbale « ZAGEN », provient de l’infinitif « ZEGGEN », également irrégulier à l’O.V.T.

Nom : VERZOCHT VTT VERZOEKEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/10/2022

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Daar hij vrij was, verzocht ik hem om jullie samen te volgen » (« Etant donné qu’il était libre, je le priai de vous suivre ensemble »).
On y trouve la forme verbale « verzocht », O.V.T. ou prétérit provenant du verbe « VERZOEKEN », lui-même construit sur l’infinitif «ZOEKEN», qui fait l’objet des « temps primitifs ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
La phrase subordonnée (« « Daar hij vrij was ») jouant le rôle d’un complément commençant la phrase principale, cela y engendre une INVERSION : le sujet « ik » passe derrière le verbe « verzocht ».
Rappelons que « POUR » devant les verbes est rendu en langue néerlandaise par un double mot : « OM … TE ». Les compléments (« jullie » et « samen ») s’intercalent entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « volgen ».

Nom : BIECHTTE OP OVT OPBIECHTEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/10/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik biechtte alles op » (« J’avouai tout »).
On y trouve notamment la forme verbale « biechtte … alles op » provenant du verbe « OPBIECHTEN » (dit « à particule séparable »), construit lui-même sur « BIECHTEN », qui est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), mais fait partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik BIECHT ») se terminant par la consonne « T », on trouvera le « TE » minoritaire comme terminaison du prétérit :
« BIECHT » + « TE » = « BIECHTTE ».
Rappelons, lorsqu’un tel verbe est conjugué, que sa particule séparable (ici « OP ») fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« alles »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZOU REJET LOPEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/10/2022

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Nummer 17) wees me op de gevaren die zij (tijdens de reis) zou lopen » (« Il attira mon attention sur les dangers qu’elle courrait »).
L’auxiliaire du CONDITIONNEL, dans la phrase subordonnée relative (introduite par « DIE » et où le verbe n’est plus à côté de son sujet « ZIJ »), est l’infinitif « ZOUDEN » ; il est, en quelque sorte, l’« imparfait » (O.V.T. ou prétérit) de l’auxiliaire du FUTUR, « ZULLEN ».
Au CONDITIONNEL, il y a REJET de l’autre forme verbale, ici « lopen », derrière le complément éventuel (« tijdens de reis »), à la fin de la phrase, et donc à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : WEES OVT WIJZEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/10/2022

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Nummer 17) wees me op de gevaren die zij (tijdens de reis) zou lopen » (« Il attira mon attention sur les dangers qu’elle courrait »).
On trouve, dans la première phrase, la forme verbale « wees », provenant de l’infinitif « WIJZEN » qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers et, parmi eux, d’une catégorie importante de verbes irréguliers, celle des « IJ » donnant des « E » aux temps du passé (O.V.T. et V.T.T.).
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : VERTROK VTT VERTREKKEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/10/2022

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Nummer 17) ontdekte dat zij (Triphine) in mijn plaats vertrok» (« Il découvrit qu’elle partit à ma place »).
Rappelons tout d’abord que, au participe passé, les verbes commençant par les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER-, NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve notamment, dans la deuxième phrase, la forme verbale « VERTROK », O.V.T. (ou « prétérit ») du verbe « VERTREKKEN », lui-même construit sur l’infinitif « TREKKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : ONTDEKTE OVT ONTDEKKEN 2 ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/10/2022

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Nummer 17) ontdekte dat zij (Triphine) in mijn plaats vertrok» (« Il découvrit qu’elle partit à ma place »).
On y trouve notamment, dans la première phrase, le verbe « ONTDEKKEN », lui-même construit sur « DEKKEN », qui est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), mais fait partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik ontdek ») se terminant par la consonne « K », on trouvera le « TE » minoritaire comme terminaison du prétérit :
« ONTDEK » + « TE » = « ONTDEKTE ».

Nom : OMte KENNEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/10/2022

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik brand van nieuwsgierigheid om onze redders te kennen » (« Je brûle de curiosité pour / de connaître nos sauveurs »).
Rappelons que « POUR » devant les verbes est rendu en langue néerlandaise par un double mot : « OM … TE ». Le complément (« onze redders ») s’intercale entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « kennen ».

Nom : VOORZIEN VTT VOORZIEN 2 ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/10/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het was (lang geleden) voorzien » (« C’était prévu depuis longtemps »).
On y trouve notamment la forme verbale « voorzien », participe passé provenant de l’infinitif « voorzien », lui-même construit sur l’infinitif « ZIEN », qui fait normalement l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « voorzien » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, s’il s’était agi d’un verbe « à particule séparable », cela aurait pu entraîner une séparation de la particule « voor » de son infinitif proprement dit et la particule «GE- » (commune à la majorité des participes passés) se serait intercalée entre eux.
Le participe passé « voorzien » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« lang geleden »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : GREEP IN OVT INGRIJPEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/10/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Robert) greep echter te vroeg in » (« Il est intervenu vraiment trop tôt »).
On y découvre la forme verbale « GREEP », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « GRIJPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « IJ », donne une voyelle « E » (doublée au singulier) pour les temps du passé. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
On y trouve même la forme verbale « greep … IN », provenant du verbe «INgrijpen », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « GRIJPEN ». Lorsque « INGRIJPEN » est conjugué, cela entraîne le REJET de la « particule séparable » « IN », derrière les compléments (« echter » et « te vroeg »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEWROKEN VTT WREKEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 30/09/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Mike) moet (door ons) (worden) gewroken worden » (« ll doit être vengé »).
On trouve, dans cette phrase, la forme verbale « gewroken », participe passé provenant du verbe provenant de l’infinitif « WREKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
L’auxiliaire de mode de l’OBLIGATION est l’infinitif « MOETEN». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« worden »), à la fin de la phrase et, bien sûr, à l’infinitif,
Quand « WREKEN » est conjugué à l’équivalent du passé composé, il y a REJET de son participe passé « gewroken » derrière le complément éventuel (« door ons ») à la fin de la phrase, d’autant plus que c’est exigé par « MOETEN ». Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase est à la voix passive, l’auxiliaire « WORDEN » étant utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : ZAL OTT ZULLEN REJET OVERLEVEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/09/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Niemand zal zijn dood overleven » (« Personne ne va survivre à sa mort »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ». Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (« geven ») à la fin de la phrase, derrière le complément (« zijn dood »), à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs:
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que si la personne morte avait été féminine, on aurait eu un autre « possessif » :
«Niemand zal haar dood overleven ».

Nom : PAS OP IMPERATIF OPPASSEN 2 ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/09/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Pas (voor de andere man) op ! » (« Fais attention à l’autre homme ! »).
On y trouve la seule forme verbale « Pas op ! », impératif de l’infinitif « OPpassen», verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « PASSEN ».
il y a REJET de la « particule séparable » « OP », derrière le complément éventuel (« voor de andere man »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que le radical (première personne du présent) est la même forme verbale : « ik pas op ».

Nom : GETROFFEN VTT TREFFEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/09/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « (Hij werd) in volle borst getroffen » (« ll fut touché en pleine poitrine »).
On y trouve notamment la forme verbale « geTROFFEN », participe passé provenant du PLURIEL du prétérit de « TREFFEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Il y a normalement REJET du participe passé « getroffen », derrière le complément (« in volle borst »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase serait à la voix passive, l’auxiliaire « WORDEN » étant utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : GAAT AF OTT AFGAAN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/09/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Tijdens de worsteling gaat een schot plots af » (« Pendant la lutte, un coup de feu éclate »).
On y trouve la forme verbale « gaat … AF », provenant de l’infinitif « AFgaan », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « GAAN ».
Quand « AFgaan » est conjugué, il y a REJET de la particule « AF » derrière le complément (« plots ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou de certaines de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Tijdens de worsteling »), cela engendre une INVERSION : le sujet « een schot » passe derrière le verbe « gaat ».

Nom : VERTWIJFELD VTT VERTWIJFELEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/09/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Vertwijfeld werpt hij (Robert) zich op Mike » (« Désespéré, il se jette sur Mike »).
Rappelons tout d’abord que, au participe passé, les verbes commençant par les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER-, NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve ici la forme verbale « vertwijfeld », participe passé provenant de l’infinitif « VERTWIJFELEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T.) se terminant par la consonne « L », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire.
La phrase commençant par un complément («Vertwijfeld »), cela engendre une INVERSION : le sujet « hij » passe derrière le verbe « werpt ».

Nom : ZAL OTT ZULLEN REJET GEVEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/09/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik zal je de stalen geven » (« Je vais te donner les pousses »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ». Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (« geven ») à la fin de la phrase, derrière les compléments (« je » et « de stalen »), à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs:
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : LAAT REJET GAAN 2 ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/09/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «laat hen eerst vrijuit gaan ! » (« laisse-les d’abord aller => partir librement ! »).
« LATEN » exige souvent (surtout à l’impératif) un REJET de l’infinitif (ici « gaan »), derrière les compléments (« hen », « eerst » et « vrijuit »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : BEZORGD VTT BEZORGEN 2 ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/09/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je hebt ons last bezorgd » (« Tu nous as procuré => causé du souci »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve donc ici notamment la forme verbale « BEzorgd », participe passé (utilisé ici comme adjectif attribut) provenant de l’infinitif « BEzorgen ». Le participe passé est, lui, construit sur la première personne de l’indicatif présent (« ik BEzorg mij »), NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts », est donc considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé, NE fait PAS partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical se terminant par la consonne « G », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison du prétérit :
« BEZORG » + « D » = « BEZORGD ».
Il y a REJET du participe passé, derrière les compléments (« ons » et « last »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KON OVT KUNNEN REJET HANDELEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/09/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik kon niet anders handelen » (« Je ne pouvais pas agir autrement »).
La forme verbale « KON » est le prétérit (SINGULIER) du verbe « KUNNEN » faisant l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers, au moins à l’O.V.T. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé : https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE », « KUNNEN » (donnant, à l’O.T.T. ou indicatif présent, un singulier « KAN »), comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), exige normalement le REJET de l’autre forme verbale (ici « handelen »), derrière le complément (« anders ») à la fin de la phrase et à l’infinitif . Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait pu avoir « MOCHT », de l’infinitif « MOGEN », l’auxiliaire de mode de la « POSSIBILITE » : « Ik mocht niet anders handelen ».

Nom : MOET REJET BEKOPEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/09/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Bij het minste verzet moet jouw vrouw het bekopen » (« A la moindre résistance ta femme doit le payer »).
L’auxiliaire de mode de l’OBLIGATION est l’infinitif « MOETEN». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« bekopen »), derrière le complément (« het »), à la fin de la phrase et, bien sûr, à l’infinitif, Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs:
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Bij het minste verzet ») cela engendre une INVERSION : le sujet « jouw vrouw » passe derrière le verbe « moet ».

Nom : ONGEWAPEND VTT WAPENEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/09/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Kom ongewapend naar buiten ! » (« Viens désarmé à l’extérieur ! »).
On y trouve la forme verbale « ongewapend », participe passé (utilisé ici comme adjectif attribut) provenant de l’infinitif « WAPENEN ». Ce verbe « WAPENEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik wapen ») se terminant par la consonne « N », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés : préfixe « GE » + « WAPEN » + « D » = « GEWAPEND ».
Le préfixe « ON- » (« UN- » en anglais) est souvent à nuance « négative » et constitue le contraire : ici « ongewapend ».

Nom : ONTDEKT VTT ONTDEKKEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/09/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We hebben je ontdekt » (« Nous t’avons découvert »).
Rappelons tout d’abord que, au participe passé, les verbes commençant par les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER-, NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On y trouve ici notamment « ontdekt », participe passé provenant de l’infinitif « ONTDEKKEN », lui-même construit sur « DEKKEN », qui est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), mais fait partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik ontdek ») se terminant par la consonne « K », on trouvera le « T » minoritaire comme terminaison du participe passé : « ONTDEK » + « T » = « ONTDEKT ».
Il y a REJET du participe passé « ontdekt » derrière le complément (« je »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MOETEN REJET ZIJN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/09/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Eerst moeten wij in het bezit van de bamboestalen zijn » (« Nous devons d’abord être en possession des pousses de bambou »).
L’auxiliaire de mode de l’OBLIGATION est l’infinitif « MOETEN». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« zijn »), derrière le complément (« in het bezit van de bamboestalen »), à la fin de la phrase et, bien sûr, à l’infinitif, Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs:
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément cela engendre une INVERSION : le sujet « wij » passe derrière le verbe « moeten ».

Nom : LAAT REJET GAAN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/09/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «laat Robert en Bertrand nu gaan ! » (« laisse maintenant aller => partir Robert en Bertrand ! »).
« LATEN » exige souvent (surtout à l’impératif) un REJET de l’infinitif (ici « gaan »), derrière les compléments (« Robert en Bertrand » et « nu »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEGAAN VTT GAAN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/09/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Op het strand van Ouessant wordt er aan wal gegaan » (« il est débarqué => on débarque sur le rivage d’Ouessant »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEGAAN », participe passé provenant de l’infinitif « GAAN ». Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’INFINITIF. Le verbe « GAAN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
La phrase, à la voix passive (emploi de « WORDEN » au lieu de « ZIJN »), commençant par un complément (« Op het strand van Ouessant »), cela engendre une INVERSION : le sujet (sous-entendu) « er » passe derrière le verbe « wordt ». On aurait pu avoir la variante suivante : « er wordt op het strand van Ouessant aan wal gegaan ».

Nom : TOEGESNELD VTT TOESNELLEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/09/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «toeGEsnelde dorpelingen zien de boot naar het eiland varen » (« des villageois accourus voient le bateau naviguer vers l’île »).
On y trouve notamment la forme verbale « toeGEsnelde », participe passé (utilisé ici comme adjectif, d’où la terminaison « E ») provenant de l’infinitif « TOESNELLEN », verbe dit « à particule séparable » lui-même construit sur « SNELLEN ».
Quand « TOEsnellen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TOE » (provenant de la préposition « TOT ») de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « toeGEsnelde ».

Nom : KUNNEN REJET DIENEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/09/2022

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Als we last met de plaatselijke bevolking krijgen, kunnen zij als gijzelaars dienen » (« Si nous avons des problèmes avec la population locale, ils peuvent servir d’otages »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« dienen »), derrière les complément (« als gijzelaars »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait pu avoir « MOGEN », l’auxiliaire de mode de la «POSSIBILITE » : « Als we last met de plaatselijke bevolking krijgen, mogen zij als gijzelaars dienen».
La phrase subordonnée jouant le rôle d’un complément commençant la phrase principale, cela y engendre une INVERSION : le sujet « zij » passe derrière le verbe « kunnen ».

Nom : SCHAKEL UIT OTT UITSCHAKELEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/09/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « « Schakel ik hem meteen uit ?... » (« Est-ce que je l’élimine tout de suite ?... »).
On y trouve la forme verbale « schakel … uit », provenant de l’infinitif « UITschakelen », lui-même construit sur « SCHAKELEN ».
Quand « UITschakelen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, et il y a REJET de la cette particule « UIT » derrière les compléments (« hem » et « meteen ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : OVERTUIGD VTT OVERTUIGEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/09/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Daar ben ik van overtuigd = Daarvan ben ik overtuigd » (« J’en suis convaincue »).
On y trouve la forme verbale « overtuigd », participe passé provenant de l’infinitif « OVERTUIGEN ». Ce verbe « OVERTUIGEN » est considéré « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik overtuig ») se terminant par la consonne « G », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés mais pas la particule «GE-» (commune à la majorité des participes passés) car il ne s’agit pas d’un verbe « à particule séparable ». On construit donc son participe passé comme suit : « OVERTUIG » + « D » = « OVERTUIGD ». Quand « OVERTUIGEN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, s’il s’était agi d’un verbe « à particule séparable », cela aurait pu entraîner une séparation de la particule « OVER » de son infinitif proprement dit et le «GE-» se serait intercalé entre eux.
Le participe passé « overtuigd » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« daarvan »), à la fin de la phrase, ce que l’on constate mieux dans la variante suivante : « ik ben daarvan overtuigd ». Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Daar »), cela engendre une INVERSION: le sujet « ik » passe derrière le verbe « ben ».

Nom : MOET REJET TOEGEVEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/09/2022

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Eer het zover is moet zij (Triphine) (iets) toegeven » (« Avant que l’on en soit là, elle doit révéler quelque chose »).
L’auxiliaire de mode de l’OBLIGATION est l’infinitif « MOETEN». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« toegeven »), derrière le complément éventuel («iets»), à la fin de la phrase et, bien sûr, à l’infinitif, Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs:
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase principale commençant par la phrase subordonnée (introduite par « Eer »), qui joue le rôle d’un complément, cela engendre une INVERSION: le sujet « zij » passe derrière le verbe « moet ».

Nom : ZOU REJET VERRADEN WEDDEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/09/2022

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dacht je werkelijk dat ik mijn man zou verraden ? » (« Pensais-tu vraiment que je trahirais mon mari ? »).
Dans la phrase subordonnée (introduite par « DAT »), l’auxiliaire du CONDITIONNEL est l’infinitif « ZOUDEN » ; il est, en quelque sorte, l’« imparfait » (O.V.T. ou prétérit) de l’auxiliaire du FUTUR, « ZULLEN ».
Au CONDITIONNEL, il y a REJET de l’autre forme verbale, ici « verraden », derrière le complément (« mijn man »), à la fin de la phrase, et donc à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
N’oublions pas que dans une phrase subordonnée le verbe n’est plus à côté de son sujet (ici « ik »).

Nom : DACHT OVT DENKEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/09/2022

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dacht je werkelijk dat ik mijn man zou verraden ? » (« Pensais-tu vraiment que je trahirais mon mari ? »).
On y trouve la forme verbale « DACHT », à l’O.V.T. ou prétérit, provenant de l’infinitif « DENKEN » qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : HOUDT SCHUIL OTT SCHUILHOUDEN 2 ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/09/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Waar houdt hij (Erwan) zich met de bamboestalen schuil? » (« Où se cache-t-il avec les pousses de bambou ? »)
On y trouve la forme verbale « houdt … schuil », qui provient de l’infinitif « SCHUILHOUDEN », verbe dit à « particule séparable », lui-même construit sur « HOUDEN ».
Lorsque « SCHUILHOUDEN » est conjugué, cela entraîne le REJET de la particule séparable « UIT », derrière le complément (« met de bamboestalen »), à la fin de la phrase. Voir le phénomène du REJET, entre autres à
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que si cette forme verbale se présente différemment dans l’extrait de BD ci-dessous, c’est parce qu’elle se trouve dans une phrase subordonnée (introduite par « DAT »), où verbe et « particule séparable » sont « fusionnés », à la fin de la phrase.

Nom : ZAL OTT ZULLEN REJET PRATEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/09/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Nu zal je (daarover) praten » (« Maintenant, tu vas parler »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ». Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (« praten ») à la fin de la phrase, derrière le complément éventuel (« daarover »), à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs:
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Nu »), cela engendre une INVERSION : le sujet « je » passe derrière le verbe « zal ».

Nom : GEROOSTERD VTT ROOSTEREN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/09/2022

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « « Kom naar beneden tenzij je liever levend (wordt) geroosterd wordt ! » (« Descends à moins que tu préfères être rôti vivant ! »)
On trouve dans la phrase subordonnée (introduite par « tenzij ») la forme verbale geroosterd », participe passé provenant de l’infinitif « ROOSTEREN ». Ce verbe « ROOSTEREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « ik rooster ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés:
« GE » + « ROOSTER » + « D » = « GEROOSTERD ».
Quand « ROOSTEREN » est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « geroosterd » derrière les compléments (« liever » et « levend ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : WERP WEG IMPERATIF WEGWERPEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/09/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Werp jouw pistolen weg ! » (« Jetez vos revolvers ! »).
On y trouve notamment, à l'impératif, la forme verbale « werp … WEG » (comme à l’O.T.T. : « ik werp WEG »), provenant de l’infinitif « WEGwerpen » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « WERPEN ».
Quand « WEGwerpen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « WEG » de son infinitif proprement dit, et son REJET, derrière le complément (« jouw pistolen »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET, lisez notre synthèse, également en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : HOUD WEG IMPERATIF WEGHOUDEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/09/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Houd hem van de deur weg ! » (« Tiens-le à l’écart de la porte ! »).
On y trouve notamment, à l'impératif, la forme verbale « houd … WEG » (comme à l’O.T.T. : « ik houd WEG »), provenant de l’infinitif « WEGhouden » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « HOUDEN ».
Quand « WEGhouden » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « WEG » de son infinitif proprement dit, et son REJET, derrière les compléments (« hem» et « van de deur »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET, lisez notre synthèse, également en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZULLEN REJET DWINGEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/09/2022

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We zullen hen dwingen naar buiten te komen » (« Nous allons les forcer à / obliger à venir à l’extérieur => à sortir »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ». Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (« dwingen ») à la fin de la phrase, derrière le complément (« hen »), à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : HOEPEL OP IMPERATIF OPHOEPELEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 30/08/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hoepel (van hier) op ! » (« Fichez le camp ! »).
On y trouve la forme verbale « hoepel … OP », impératif présent provenant du verbe « OPhoepelen », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « HOEPELEN ».
Quand « OPhoepelen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit et il y a REJET de cette particule séparable « OP » derrière le complément éventuel (« van hier »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes comme une « particule séparable »), lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : LIETEN OVT LATEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 29/08/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We lieten nog nooit een vrouw in nood in de steek » (« Nous ne laissâmes jamais / n’avons jamais laissé dans le pétrin une femme dans le besoin => en détresse »).
On y trouve la forme verbale « lieten », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « LATEN ». Ce verbe « LATEN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Notez l’expression « in de steek laten ».

Nom : GEVANGEN VTT VANGEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/08/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij (Triphine) geeft zich (dadelijk) gevangen ! » (« Elle se donne prise = prisonnière => Elle se rend ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEVANGEN » (utilisée ici comme ADJECTIF ATTRIBUT, toujours INVARIABLE en langue néerlandaise), participe passé provenant de l’infinitif « VANGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Ce participe passé est construit sur l’INFINITIF « VANGEN ».
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
On y trouve la forme verbale « GEVANGEN », derrière le complément éventuel (« dadelijk ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : HOUDT SCHUIL OTT SCHUILHOUDEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/08/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij houdt zich op het eiland schuil » (« il se cache sur l’île »)
On y trouve la forme verbale « houdt … schuil », qui provient de l’infinitif « SCHUILHOUDEN », verbe dit à « particule séparable », lui-même construit sur « HOUDEN ».
Lorsque « SCHUILHOUDEN » est conjugué, cela entraîne le REJET de la particule séparable « UIT », derrière le complément (« op het eiland »), à la fin de la phrase. Voir le phénomène du REJET, entre autres à
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que si cette forme verbale se présente différemment dans l’extrait de BD ci-dessous, c’est parce qu’elle se trouve dans une phrase subordonnée (introduite par « DAT »), où verbe et « particule séparable » sont « fusionnés », à la fin de la phrase.

Nom : KWAMEN OVT KOMEN 2 ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/08/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Op één of andere manier kwamen de speurders erachter » (« De l’une ou l’autre façon les détectives l’apprirent »).
On trouve, dans la phrase principale, notamment la forme verbale « KWAMEN », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « KOMEN ».
Le verbe « KOMEN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
La phrase commençant par un complément (« Op één of andere manier »), cela engendre une INVERSION : le sujet « de speurders » passe derrière le verbe « kwamen ».

Nom : LIET OVT LATEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/08/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij (Chantal) liet mij in haar plaats vertrekken » (« Elle me laissa partir à sa place »).
On y trouve la forme verbale « liet », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « LATEN ». Ce verbe « LATEN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Notez le REJET de la forme verbale « vertrekken » derrière les compléments (« mij » et « in haar plaats »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : BRACHT OP OVT OPBRENGEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/08/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij (Chantal) bracht begrip voor mijn situatie op » (« Elle témoigna de la compréhension envers ma situation »).
On y trouve la forme verbale « bracht … OP », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « OPbrengen », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « BRENGEN ».
Le verbe « BRENGEN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « OPbrengen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de la forme verbale proprement dite et il y a REJET de cette composante « OP », derrière les compléments (« begrip » et « voor mijn situatie ») à la fin de la phrase :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ONGEMERKT VTT MERKEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/08/2022

Description : La (quadruple) phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Toen zij (Chantal) de weddenschap aanvaardde, kwam ik op het idee, vermomd met de ijzeren helm ongemerkt weg te komen … » (« Lorsqu’elle accepta le pari, j’eus l’idée, déguisée avec le casque de fer de partir sans être remarquée … »).
On y trouve notamment la forme verbale « ongemerkt », utilisé comme adjectif épithète ; s’il avait existé, un infinitif « ONMERKEN », lui-même construit sur « MERKEN », aurait eu un tel participe passé provenant, comme la grande majorité des verbes néerlandais, de ceux qui NE font PAS l’objet des « temps primitifs » mais font partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T.) se terminant par la consonne « K », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Le préfixe « ON- » (« UN- » en anglais) n’est PAS une « particule séparable » (même s’il réagit comme « OP ») et constitue en fait le contraire de « gemerkt ».

Nom : VERMOMD VTT VERMOMMEN 2 ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/08/2022

Description : La (triple) phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Toen zij (Chantal) de weddenschap aanvaardde, kwam ik op het idee, vermomd met de ijzeren helm … » (« Lorsqu’elle accepta le pari, j’eus l’idée, déguisée avec le casque de fer… »).
On y trouve notamment la forme verbale « vermomd », participe passé provenant de l’infinitif « VERMOMMEN ». Ce verbe « VERMOMMEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « vermom ») se terminant par la consonne « M », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés mais pas de préfixe « GE » puisque la forme verbale commence par le préfixe « VER » (c’est aussi le cas pour les verbes commençant par les préfixes BE-, ER-, GE,- HER- et ONT-) : (« GE ») + « VERMOM » + « D » = « VERMOMD »

Nom : KWAM OVT KOMEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/08/2022

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Toen zij (Chantal) de weddenschap aanvaardde, kwam ik op het idee … » (« Lorsqu’elle accepta le pari, j’eus l’idée … »).
On trouve, dans la phrase principale, notamment la forme verbale « KWAM », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « KOMEN ».
Le verbe « KOMEN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
La phrase commençant par l’équivalent d’un complément (la phrase subordonnée introduite par « Toen » joue ici ce rôle), cela engendre une INVERSION : le sujet « ik » passe derrière le verbe « kwam »

Nom : AANVAARDDE OVT AANVAARDEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/08/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Toen zij (Chantal) zij de weddenschap aanvaardde … » (« Lorsqu’elle accepta le pari … »).
Ce verbe « AANVAARDEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik AANVAARD ») se terminant par la consonne « D », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit :
« AANVAARD » + « DE » = « AANVAARDDE ».
Notez que si l’on ne s’était pas trouvé dans une phrase subordonnée (introduite ici par « Toen »), il n’y aurait pas eu un REJET du verbe derrière le complément (« de weddenschap »).

Nom : HOOPTEN OVT HOPEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/08/2022

Description : La triple phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Van toen af hoopten zij hem (Erwan) te vinden door mij te volgen » (« Dès lors ils espéraient / espérèrent retrouver Erwan en me suivant »).
Le verbe « HOPEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), mais fait partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik hoop») se terminant par la consonne « P », on trouvera le « TE » minoritaire comme terminaison du prétérit :
« HOOP » + « TE » + « N » (pluriel) = « HOOPTEN ».
La phrase commençant par un complément (« Van toen af »), cela engendre une INVERSION : le sujet « zij » passe derrière le verbe « hoopten ».

Nom : ONTDEKTE OVT ONTDEKKEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/08/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij ontdekte mijn verblijf in Brussel » (« Il découvrit ma résidence à Bruxelles »).
On y trouve notamment le verbe « ONTDEKKEN », lui-même construit sur « DEKKEN », qui est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), mais fait partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik ontdek ») se terminant par la consonne « K », on trouvera le « TE » minoritaire comme terminaison du prétérit :
« ONTDEK » + « TE » = « ONTDEKTE ».

Nom : TRAPTE IN OVT INTRAPPEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/08/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Thornton) trapte er niet in » (« Il ne tomba pas dedans < dans le piège »).
On y trouve, à première vue, la forme verbale « trapte … IN », provenant de l’infinitif « INtrappen », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « TRAPPEN ».
Le verbe « TRAPPEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), mais fait partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik trap») se terminant par la consonne « P », on trouvera le « TE » minoritaire comme terminaison du prétérit : « TRAP » + « TE » = « TRAPTE ».
Quand « INtrappen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « IN » de sa forme verbale proprement dite et cette particule séparable « IN », composante du verbe, fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« er »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Nous avons plus vraisemblablement affaire à un « adverbe pronominal », « DAARin » pour « ERin ». On aurait en effet pu avoir les variantes suivantes de la phrase : « Hij trapte niet daarin ! » ou « Hij trapte niet erin ».

Nom : WAS OVT ZIJN 8 OMTE ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/08/2022

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het was een opzet om de achtervolgers te misleiden » (« C’était une manoeuvre pour semer les poursuivants »).
On y trouve la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIJN », qui constitue vraisemblablement le verbe le plus irrégulier de la langue néerlandaise.
C’est logique : plus on utilise un mot, plus la prononciation le déforme au fil du temps …
Le verbe « ZIJN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que « POUR » devant les verbes est rendu en langue néerlandaise par un double mot : « OM … TE ». Le complément (ici «de achtervolgers ») s’intercalent entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « vertrekken ».

© 2022, Bernard GOORDEN, voor de grammatica. Autres exemples à https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=vandersteen

Nom : STELDE GERUST OVT GERUSTSTELLEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/08/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een brief stelde mij gerust ... » (« Une lettre m’a rassuré »).
On y trouve la forme verbale « stelde … GERUST », provenant de l’infinitif « GERUSTstellen », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « STELLEN ».
Ce verbe « STELLEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik stel ») se terminant par la consonne « L », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit : « STEL » + « DE » = « STELDE ».
Quand « GERUSTstellen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « GERUST » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET derrière le complément (« mij »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET, lisez :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : SCHROK OVT SCHRIKKEN 2 ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/08/2022

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Toen juffrouw Stippenlift hem als drenkeling beschreef, schrok ik geweldig » (« Lorsque mademoiselle Stippenlift le décrivit comme noyé, … »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « SCHROK », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « SCHRIKKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers » et qui, comme presque tous les verbes en « I », donne une voyelle « O » aux temps du passé (O.V.T. et V.T.T.).
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
C’est dans Ia mesure où l’autre phrase joue le rôle d’un complément que cela engendre une INVERSION : le sujet « ik » passe derrière le verbe «schrok».

Nom : BESCHREEF OVT BESCHRIJVEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/08/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Toen juffrouw Stippenlift hem als drenkeling beschreef … » (« Lorsque mademoiselle Stippenlift le décrivit comme noyé … »).
On y trouve la forme verbale « BESCHREEF », prétérit (ou O.V.T.) provenant de l’infinitif « BESCHRIJVEN », lui-même construit sur « SCHRIJVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers et, parmi eux, d’une catégorie importante de verbes irréguliers, celle des « IJ » donnant des « E » aux temps du passé (O.V.T. et V.T.T.).
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé (la plus nombreuse étant celle des « IJ ») :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Notez que si l’on ne s’était pas trouvé dans une phrase subordonnée (introduite par « Toen »), il n’y aurait pas eu un REJET du verbe derrière les compléments (« hem » et « als drenkeling »).

Nom : VERTREKKEN OMTE ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/08/2022

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij wacht daar op mij om samen naar Amerika te vertrekken » (« Il m’attend là-bas pour / afin de partir ensemble pour l’Amérique »).
Rappelons que « POUR » devant les verbes est rendu en langue néerlandaise par un double mot : « OM … TE ». Les compléments (ici «samen » et « naar Amerika ») s’intercalent entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « vertrekken ».
Notez l’expression « OP iemand wachten ».

Nom : DOOK ONDER OVT ONDERDUIKEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/08/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij dook op het eiland Ouessant onder » (« Il se planqua sur l’île d’Ouessant »).
On y trouve la forme verbale « DOOK », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant du verbe à particule séparable « ONDERDUIKEN », construit sur l’infinitif « DUIKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers et fait partie d’une catégorie importante de verbes irréguliers au prétérit, celle des « UI », donnant «O» aux temps du passé. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Notez que la particule séparable « ONDER » devrait normalement faire l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « op het eiland Ouessant ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MAAKTE OVT MAKEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/08/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Erwan) maakte een omweg over Europa om hen kwijt te spelen » (« Il fit un détour par l’Europe pour les semer »).
On y trouve notamment le verbe « MAKEN », qui est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), mais fait partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik maak ») se terminant par la consonne « K », on trouvera le « TE » minoritaire comme terminaison du prétérit : « MAAK » + « TE » = « MAAKTE ».
Rappelons que « POUR » devant les verbes est rendu en langue néerlandaise par un double mot : « OM … TE ». Le complément (ici «hen») s’intercale entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « spelen ». Notez que la particule séparable « kwijt » (de l’expression kwijtspelen ») se place juste devant le « TE ».

Nom : AFPERSEN OMTE ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/08/2022

Description : La (double) phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De detectives gingen voor eigen rekening werken om de uitvinder (Edison) ermee af te persen » (« Les détectives allèrent => roulèrent pour leur propre compte pour avoir / afin d’avoir en mains les pousses de bambou »).
On y trouve notamment la forme verbale « GINGen » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant de l’infinitif « GAAN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que « POUR » devant les verbes est rendu en langue néerlandaise par un double mot : « OM … TE ». Les compléments (ici «de uitvinder » et « ermee ») s’intercalent entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « persen ». Notez que la particule séparable « AF » (du verbe afpersen ») se place juste devant le « TE ».

Nom : VOELDEN OVT VOELEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/08/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De vorderingen van het elektrisch licht waardoor ze zich (voelden) bedreigd voelden … » (« Les progressions / progrès de la lumière électrique par laquelle elles se sentent menacées … »).
On trouve, dans la phrase subordonnée (introduite par «waardoor »), la forme verbale « voelden » (O.V.T. ou prétérit) de « VOELEN ».
N’oubliez pas que, dans une phrase subordonnée, la forme verbale (ici « voelden ») n’est plus à côté de son sujet (« ze ») et fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« bedreigd »), à la fin de la phrase, comme dans la variante suivante : « ze voelden zich bedreigd »). Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : BEDREIGD VTT BEDREIGEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/08/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De vorderingen van het elektrisch licht waardoor ze zich (voelden) bedreigd voelden » (« Les progressions / progrès de la lumière électrique par laquelle elles se sentent menacées »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais. On trouve donc la forme verbale « BEdreigd », participe passé provenant de l’infinitif « BEdreigen » (construit sur la première personne de l’indicatif présent : « ik BEdreig ») et NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « BEdreigd » fait normalement l’objet d’un REJET, comme au passé composé (avec l’auxiliaire « ZIJN ») ou à la voix passive (avec l’auxiliaire « WORDEN »), derrière le complément, à la fin de la phrase, ce que l’on constate dans la variante suivante : « ze voelden zich door de vorderingen van het elektrisch licht bedreigd ». Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : NAMEN OVT NEMEN 2 ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/08/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De Amerikaanse gasmaatschappijen namen Kimperton in dienst om op de hoogte te blijven» (« Les compagnies américaines de gaz prirent Kimperton en service => engagèrent Kimperton pour rester au courant »).
On y trouve notamment la forme verbale « namen », prétérit (ou O.V.T.) provenant de l’infinitif « NEMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que « POUR » devant les verbes est rendu en langue néerlandaise par un double mot : « OM … TE ». Le complément (ici « op de hoogte ») s’intercale entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « blijven ».

Nom : BESPIED VTT BESPIEDEN 2 ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/08/2022

Description : La quadruple phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Nog vóór het schip afvoer merkte hij (Erwan) dat hij (door iemand) gevolgd en bespied werd » (« Encore avant => avant même que le bateau partît, il remarqua qu’il était suivi et espionné »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On y trouve donc la forme verbale « BEspied », participe passé provenant de l’infinitif « BEspieden », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Le participe passé « BEspied » est identique à la première personne de l’indicatif présent (radical se terminant déjà par un D) et fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« door iemand »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est à la voix passive puisque l’auxiliaire « WORDEN » (ici à l’O.V.T.) est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : GEVOLGD VTT VOLGEN 3 ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/08/2022

Description : La quadruple phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Nog vóór het schip afvoer merkte hij (Erwan) dat hij (door iemand) gevolgd en bespied werd » (« Encore avant => avant même que le bateau partît, il remarqua qu’il était suivi et espionné »).
On y trouve notamment la forme verbale « gevolgd », participe passé provenant de l’infinitif « VOLGEN ». Ce verbe « VOLGEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik volg ») se terminant par la consonne « G », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés : préfixe « GE » + « VOLG » + « D » = « GEVOLGD ».
Il y a REJET de ce participe passé, derrière le complément éventuel (« door iemand») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est à la voix passive puisque l’auxiliaire « WORDEN » (ici à l’O.V.T.) est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : AFVOER VTT AFVAREN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/08/2022

Description : La quadruple phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Nog vóór het schip afvoer merkte hij (Erwan) dat hij gevolgd en bespied werd » (« Encore avant => avant même que le bateau partît, il remarqua qu’il était suivi et espionné »).
On y trouve (dans la phrase subordonnée introduite par « vóór » pour « VOORDAT ») la forme verbale «afvoer », prétérit (ou O.V.T.) provenant de l’infinitif « AFVAREN » à « particule séparable », lui-même construit sur « VAREN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Notez que si « AFVAREN » n’avait pas été dans une phrase subordonnée, on aurait mieux vu la particule « AF » se séparer de son infinitif « VAREN » comme dans la variante suivante :
« het schip voer af ».

Nom : MERKTE OVT MERKEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/08/2022

Description : La quadruple phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Nog vóór het schip afvoer merkte hij (Erwan) dat hij gevolgd en bespied werd » (« Encore avant => avant même que le bateau partît, il remarqua qu’il était suivi et espionné »).
On y trouve (dans la phrase principale) la forme verbale « MERKTE », O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « MERKEN », qui est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), mais fait partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik merk ») se terminant par la consonne « K », on trouvera le « TE » minoritaire comme terminaison du prétérit : « MERK » + « TE » = « MERKTE ».

Nom : WACHTTE OVT WACHTEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 31/07/2022

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij zond mijn man met de bamboestalen naar Amerika waar Edison ongeduldig wachtte » (« Il envoya mon mari avec les tiges de bambou en Amérique où Edison attendait impatiemment »).
On y trouve (dans la phrase subordonnée introduite par « WAAR ») la forme verbale « WACHTTE », O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « WACHTEN », qui est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), mais fait partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik wacht ») se terminant par la consonne « T », on trouvera le « TE » minoritaire comme terminaison du prétérit : « WACHT » + « TE » = « WACHTTE ».

Nom : WILDEN OVT WILLEN REJET AANVATTEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 30/07/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Toen zij de terugreis wilden aanvatten … » (« Lorsqu’ils voulurent / voulaient entreprendre le voyage du retour … »).
On trouve, dans la phrase principale, WILDEN (au prétérit ou O.V.T.) provenant de l’auxiliaire de mode « WILLEN » (donnant actuellement WILDE – tendant à remplacer la forme plus ancienne WOU – au singulier du prétérit ou O.V.T.). Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « MOGEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (ici, « aanvatten ») derrière le complément (« de terugreis »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. On le voit encore mieux dans la variante suivante : « zij wilden de terugreis aanvatten ».
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEGEVEN VTT GEVEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 29/07/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Edison) had hen opdracht gegeven … » (« Il leur avait donné pour mission … »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEGEVEN », participe passé provenant de l’infinitif « GEVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Cette forme verbale est, comme on le voit, construite sur l’INFINITIF. Pour complément d’informations, consultez notamment notre tableau de synthèse « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « GEVEN » est conjugué à un temps du passé (ici plus-que-parfait), il y a REJET de son participe passé « gegeven » derrière les compléments (« hen » et « opdracht ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : AANGEWORVEN VTT AANWERVEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/07/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Mijn man (Erwan) werd door een ontdekkingsreiziger aangeworven » (« Mon mari fut embauché par un voyageur de découverte => explorateur »).
On y trouve la forme verbale « AANgeworven », participe passé provenant de l’infinitif « AANwerven », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « WERVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « AANwerven » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGEworven ».
Il y a REJET de la forme verbale « AANgeworven » derrière le complément («door een ontdekkingsreiziger ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » (ici « WERD ») est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ». Il fait l’objet des « temps primitifs ».

Nom : ZOND OVT ZENDEN 2 ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/07/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De uitvinder zond expedities over de hele wereld » (« L’inventeur envoya des expéditions dans le monde entier »).
On y trouve la forme verbale « ZOND », O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « ZENDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : ZOND OVT ZENDEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/07/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij zond mijn man met de bamboestalen naar Amerika » (« Il envoya mon mari avec les tiges de bambou en Amérique »).
On y trouve la forme verbale « ZOND », O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « ZENDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : GESCHIKT VTT SCHIKKEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/07/2022

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een toeval deed hem ontdekken dat draden van bamboe het meest geschikt zijn » (« Un hasard lui fit découvrir que des fils de / en bambou sont le plus adéquats »).
On y trouve, dans la phrase subordonnée (introduite par « DAT »), la forme verbale « geschikt », participe passé provenant de l’infinitif « SCHIKKEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T.) se terminant par la consonne « K », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Quand « SCHIKKEN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, il y a REJET de son participe passé «geschikt» derrière le complément (« het meest ») à la fin de la phrase, comme on le voit mieux dans la variante suivante : « draden van bamboe zijn het meest geschikt ». Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : DEED OVT DOEN 2 ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/07/2022

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een toeval deed hem ontdekken dat draden van bamboe het meest geschikt zijn » (« Un hasard lui fit découvrir que des fils de / en bambou sont le plus adéquats »).
On y trouve la forme verbale « DEED », O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « DOEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : VERWIKKELD VTT VERWIKKELEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/07/2022

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We zijn ergens in verwikkeld waar we geen weet van hebben » (« Nous sommes mêlés quelque part / à quelque chose dont nous n’avons pas idée »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve donc la forme verbale « VERwikkeld », participe passé provenant de l’infinitif « VERwikkelen », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « VERwikkeld » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« ergens »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : DEED OVT DOEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/07/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Thomas EDISON) deed duizenden proeven » (« Il fit => a fait des milliers d’essais »).
On y trouve la forme verbale « DEED », O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « DOEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : BETROKKEN VTT BETREKKEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/07/2022

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het is een lang verhaal waar mijn man (is) bij betrokken is » (« C’est un long récit dans lequel mon mari est impliqué »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER- GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve (dans la phrase subordonnée introduite par « WAAR ») notamment la forme verbale « betrokken », participe passé provenant de l’infinitif « BEtrekken », lui-même construit sur l’infinitif « TREKKEN » qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « betrokken » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« bij een lang verhaal »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : WAS OVT ZIJN 7 ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/07/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De weddenschap was mijn enige kans » (« Le pari était ma seule chance »).
On y trouve la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIJN », qui constitue vraisemblablement le verbe le plus irrégulier de la langue néerlandaise.
C’est logique : plus on utilise un mot, plus la prononciation le déforme au fil du temps …
Le verbe « ZIJN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : WAS OVT ZIJN 6 ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/07/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ons vermoeden was juist » (« Notre supposition était juste => exacte »).
On y trouve la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIJN », qui constitue vraisemblablement le verbe le plus irrégulier de la langue néerlandaise.
C’est logique : plus on utilise un mot, plus la prononciation le déforme au fil du temps …
Le verbe « ZIJN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : GEHOUDEN VTT HOUDEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/07/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Men heeft ons voor de gek gehouden » (« On nous a tenus => pris pour le fou => des imbéciles»).
On y trouve la forme verbale « gehouden », participe passé provenant de l’infinitif « HOUDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Ce participe passé « gehouden » est construit sur l’infinitif. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « gehouden » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« ons » et « voor de gek »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : DOORGEDREVEN VTT DOORDRIJVEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/07/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Daarna wordt operatie Bamboe hardhandig doorgedreven » (« Ensuite l’opération bambou est => sera poursuivie rudement »).
On y trouve la forme verbale « DOORgedreven », participe passé provenant de l’infinitif « DOORdrijven », lui-même construit sur l’infinitif « DRIJVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et, parmi eux, d’une catégorie importante de verbes irréguliers, celle des « IJ » donnant des « E » aux temps du passé (O.V.T. et V.T.T. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre notamment trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « DOORdrijven » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « DOOR » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « doorGEdreven ».
Il y a REJET de la forme verbale du participe passé « DOORgedreven » derrière le complément (« hardhandig »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément, cela y engendre une INVERSION : le sujet « operatie Bamboe » passe derrière le verbe « wordt ». La phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : LEVER UIT IMPERATIF UITLEVEREN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/07/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Lever ons haar (Triphine) uit ! » (« Livre-la-nous ! »).
On y trouve la forme verbale « lever … UIT », provenant du verbe « UITleveren », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « LEVEREN ».
Quand « UITleveren » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, qui fait l’objet d’un REJET derrière les compléments (« ons » et « haar ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : OPGEBRUIKT VTT OPGEBRUIKEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/07/2022

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hier houden we het uit tot onze munitie totaal is opgebruikt » (« Ici nous tenons => tiendrons jusqu’à ce que nos munitions seront utilisées au bout => épuisées »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER- GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On y trouve, dans la phrase subordonnée (introduite par « TOT »), la forme verbale « opgebruikt », participe passé provenant de l’infinitif « OPgebruiken », lui-même construit sur l’infinitif « GEBRUIKEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (ou première personne du présent : « ik gebruik op », si elle existe) se terminant par la consonne « K », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Quand « OPgebruiken » est conjugué comme participe passé, cela entraîne habituellement en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opgebruikt ».
Il y a REJET de la forme verbale « opgebruikt » derrière le complément éventuel (« totaal ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VERDWAALD VTT VERDWALEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/07/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een verdwaalde kogel treft de ijzeren helm » (« Une balle perdue touche => atteint le casque de fer »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER- GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
Ce verbe « VERDWALEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé, NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik verdwaal ») se terminant par la consonne « L », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison du participe passé (utilisé ici comme adjectif) : « VERDWAAL » + « D » = « VERDWAALD ».

Nom : VERLATEN VTT VERLATEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/07/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ginds, een verlaten molen » (« Là-bas, un moulin abandonné »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve donc dans cette phrase la forme verbale « VERlaten », participe passé (utilisé ici comme adjectif) provenant de l’infinitif « VERlaten », provenant de « LATEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts », et le participe passé est construit sur le PLURIEL du prétérit, lui étant même identique.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : KUNNEN REJET WEG GAAN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/07/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze kunnen niet meer weg(gaan) » (« Ils ne peuvent plus s’en aller »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« weggaan », dont l’infinitif « GAAN », est alors souvent sous-entendu et non écrit), derrière le complément (« niet meer»), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs:
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir « MOGEN », pluriel de l’infinitif « MOGEN», l’auxiliaire de mode de la « POSSIBILITE » :
« Ze mogen niet meer weg(gaan) ».

Nom : PAS OP IMPERATIF OPPASSEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/07/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Pas (« voor de brandbom ») op ! » (« Fais attention à la bombe incendiaire ! »).
On y trouve la seule forme verbale « Pas op ! », impératif de l’infinitif « OPpassen», verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « PASSEN ».
il y a REJET de la « particule séparable » « OP », derrière le complément éventuel (« voor de brandbom »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que le radical (première personne du présent) est la même forme verbale : « ik pas op ».

Nom : HAAL AF IMPERATIF AFHALEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/07/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Haal hem daar af ! » (« Retire-la de là ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « haal … AF », provenant de l’infinitif « AFhalen », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « HALEN ».
Quand « AFhalen » est conjugué, cela entraîne habituellement en néerlandais une séparation de la particule « AF » de sa forme verbale proprement dite et cette particule séparable « AF », composante du verbe, fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« hem » et « daar »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Si le nom commun « voiture » avait été féminin, comme en français, on aurait pu avoir la variante suivante de la phrase :
« Haal haar daar af ! »

Nom : WIL REJET KOMEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/07/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik wil als eerste bij HAAR wagen komen » (« Je veux venir => arriver le premier près de sa voiture »).
L’auxiliaire de mode de la VOLONTE » est l’infinitif « WILLEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « MOGEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (ici « komen ») derrière les compléments (« als eerste» et « bij haar wagen »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Rappelons que si le propriétaire de la voiture avait été masculin, le possessif aurait été « ZIJN » :
« Ik wil als eerste bij ZIJN wagen komen ».

Nom : SCHOTEN LEK OTT LEK SCHIETEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/07/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze schoten de benzinetank lek » (« Ils ont tiré sur le réservoir d’essence à l’en crever => Ils ont crevé le réservoir d’essence »).
On y découvre la forme verbale « SCHOTEN », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « SCHIETEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « IE », donne notamment une voyelle « O » pour les temps du passé. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
On y trouve la forme verbale « schoten … LEK », à l’O.V.T. (ou prétérit), expression réagissant comme un verbe dit « à particule séparable ».
Quand « LEK schieten » est conjuguée, cela entraîne en néerlandais un REJET de « LEK », derrière le complément (« de benzinetank »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes comme une « particule séparable »), lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KIJK NA IMPERATIF NAKIJKEN 2 ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/07/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Kijk vlug de motor na ! » (« Examine rapidement le moteur ! »).
On y trouve la forme verbale « kijk … NA », provenant de l’infinitif « NAkijken », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « KIJKEN ».
Quand « NAkijken » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « NA » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET derrière les compléments (« vlug » et « de motor »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET, lisez :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VALT STIL OTT STILVALLEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/07/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De motor valt (nu) stil » (« Le moteur tombe silencieux => s’arrête »).
On y trouve la forme verbale « valt … STIL », à l’O.T.T. (indicatif présent), verbe dit « à particule séparable », provenant de l’infinitif « STILvallen », lui-même construit sur l’infinitif « VALLEN ».
Quand « STILvallen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « STIL » de son infinitif proprement dit et son REJET, derrière le complément éventuel (« nu ), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes comme une « particule séparable »), lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZULLEN REJET VOLGEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/07/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Ze zullen snel volgen » (« Ils vont vite suivre / suivront vite »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ». Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (« volgen ») à la fin de la phrase, derrière le complément («snel »), à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : WAS OVT ZIJN 5 ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/07/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zonder jullie was mijn reis ten einde » (« Sans vous mon voyage était fini »).
On y trouve la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIJN », qui constitue vraisemblablement le verbe le plus irrégulier de la langue néerlandaise.
C’est logique : plus on utilise un mot, plus la prononciation le déforme au fil du temps …
Le verbe « ZIJN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
La phrase commençant par un complément (« Zonder jullie »), cela engendre une INVERSION : le sujet « mijn reis » passe derrière le verbe « was ».

Nom : VERSUFT VTT VERSUFFEN 2 ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/07/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij liggen alle drie versuft van de schok » (« Ils gisent tous trois étourdis par le choc»).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER- GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On y trouve la forme verbale « versuft », participe passé (utilisé ici comme adjectif) provenant de l’infinitif « VERSUFFEN », considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), qui fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik versuf») se terminant par la consonne « F », on trouvera le « T » majoritaire comme terminaison des participes passés mais, exceptionnellement, PAS le préfixe « GE » : « VERSUF » + « T » = « VERSUFT ».

Nom : GEWOND VTT WONDEN WERD OVT WORDEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/07/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « (Werd je in het ongeval) gewond ? » (« As-tu été blessée dans l’accident ? »).
On y trouve la forme verbale « gewond », participe passé provenant de l’infinitif « WONDEN ». Ce verbe « WONDEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik wond ») se terminant (déjà) par la consonne « D », on trouvera a fortiori le « D » majoritaire (qui ne sera pas doublé en fin de mot) comme terminaison des participes passés :
préfixe « GE » + « WON(D) » + « D » = « GEWOND ».
Quand « WONDEN » est conjugué à l’équivalent du passé composé, il y a habituellement REJET de son participe passé « gewond » derrière le complément éventuel (« in het ongeval ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » (ici « WERD ») serait utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ». Il fait l’objet des « temps primitifs ».

Nom : WAS OVT ZIJN 4 ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/07/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat was de bedoeling niet » (« Ce n’était pas l’intention => le but »).
On y trouve la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIJN », qui constitue vraisemblablement le verbe le plus irrégulier de la langue néerlandaise.
C’est logique : plus on utilise un mot, plus la prononciation le déforme au fil du temps …
Le verbe « ZIJN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : WILLEN REJET AFSNIJDEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 30/06/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze willen ons de weg afsnijden » (« Ils veulent nous couper la route »).
L’auxiliaire de mode de la VOLONTE » est l’infinitif « WILLEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « MOGEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (ici, « afsnijden ») derrière les compléments (« ons » et « de weg »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : RIJD AF IMPERATIF AFRIJDEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 29/06/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Rij(d) de helling af !» (« Roule en bas de la colline / dévale la colline ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « rij(d) … AF », provenant de l’infinitif « AFrijden », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « RIJDEN ».
Quand « AFrijden » est conjugué, cela entraîne habituellement en néerlandais une séparation de la particule « AF » de sa forme verbale proprement dite et cette particule séparable « AF », composante du verbe, fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« de helling »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : RAZEN WEG OTT WEGRAZEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/06/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Eens de vrouw aan boord, razen de boeven met hun gevangene weg » (« La femme une fois à bord, les canailles détalent avec leur prisonnière »).
On y trouve la forme verbale « razen … WEG », provenant du verbe « WEGrazen», dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « RAZEN ».
Lorsque « WEGRAZEN » est conjugué, cela entraîne le REJET de la « particule séparable » « WEG », derrière le complément (« met hun gevangene »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Eens de vrouw aan boord »), cela y engendre une INVERSION : le sujet « de boeven » passe derrière le verbe « razen ».

Nom : ZAL OTT ZULLEN REJET WETEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/06/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Van mij zal je niets te weten komen » (« De moi / de mon côté, tu ne vas rien parvenir à savoir »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ». Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (« komen ») à la fin de la phrase, derrière les compléments (« niets » et « te weten »), à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs:
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Van mij »), cela engendre une INVERSION : le sujet « je » passe derrière le verbe « zal ».

Nom : ONTWAPEND VTT ONTWAPENEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/06/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze is (nu) ontwapend » (« Elle est désarmée »).
Rappelons tout d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On y trouve la forme verbale « ontwapend », participe passé provenant de l’infinitif « WAPENEN ». Ce verbe « WAPENEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik ontwapen ») se terminant par la consonne « N », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés :
(pas de préfixe « GE ») + « ONTWAPEN » + « D » = « ONTWAPEND ».
Le participe passé « GEWAPEND » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« NU »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GESPEELD VTT SPELEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/06/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « (Je hebt dat spelletje) goed gespeeld ! » (« Bien joué ! »).
On trouve dans cette phrase la forme verbale « gespeeld », participe passé provenant de l’infinitif « SPELEN ». Ce verbe « SPELEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent : « ik speel ») se terminant par la consonne « L », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés :
préfixe « GE » + « SPEEL » + « D » = « GESPEELD ».
Quand « SPELEN » est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « gespeeld » derrière le complément (« goed ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : BESLOTEN VTT BESLUITEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/06/2022

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Deze zaak is zo belangrijk dat we besloten voor eigen rekening te werken » (« Cette affaire est tellement importante que nous avons décidé de travailler pour notre propre compte »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais. On trouve donc la forme verbale « BEsloten », O.V.T. ou prétérit provenant de l’infinitif « BEsluiten », lui-même construit sur « SLUITEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : NAMEN OVT NEMEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/06/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wij namen ontslag » (« Nous donnâmes / avons donné notre démission »).
On y trouve notamment la forme verbale « namen », prétérit (ou O.V.T.) provenant de l’infinitif « NEMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : ZOU REJET WERKEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/06/2022

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressant: « Ik vermoedde niet dat het agentschap Kimperton met een stelletje boeven zou werken » (« Je ne supposais pas que l’agence Kimperton travaillerait avec une petite bande de malfrats »).
L’auxiliaire du CONDITIONNEL est l’infinitif « ZOUDEN » ; il est, en quelque sorte, l’« imparfait » (O.V.T. ou prétérit) de l’auxiliaire du FUTUR, « ZULLEN ».
Au CONDITIONNEL, il y a REJET de l’autre forme verbale, ici « werken », derrière le complément (« met een stelletje boeven »), à la fin de la phrase, et donc à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
On aurait pu avoir la variante suivante, hors du contexte d’une phrase subordonnée : « het agentschap Kimperton zou met een stelletje boeven werken ».

Nom : VERMOEDDE OVT VERMOEDEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/06/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik vermoedde niet … » (« Je ne supposais pas … »).
Le verbe « VERMOEDEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik vermoed ») se terminant déjà par la consonne « D », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit :
« VERMOED » + « DE » = « VERMOEDDE ».

Nom : MOETEN REJET VANGEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/06/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «We moeten haar levend vangen » (« Nous devons la capturer vivante »).
L’auxiliaire de mode de l’« OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« vangen »), derrière les compléments (« haar » et « levend »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : LET OP OTT OPLETTEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/06/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze let op ons niet op » (« Elle ne fait pas attention à nous »).
On y trouve la forme verbale « let … OP », provenant du verbe « OPLETTEN », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « LETTEN ».
Lorsque « OPLETTEN » est conjugué, cela entraîne le REJET de la « particule séparable » « OP », derrière le complément (« op ons »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : HOUDT BEZIG OTT BEZIGHOUDEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/06/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Hij houdt haar bezig » (« Il la tient occupée »).
On y trouve la forme verbale « houdt … BEZIG », provenant du verbe « BEZIGHOUDEN », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « HOUDEN ».
Lorsque « BEZIGHOUDEN » est conjugué, cela entraîne le REJET de la « particule séparable » « BEZIG », derrière le complément (« haar »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : SCHEER WEG IMPERATIF WEGSCHEREN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/06/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Scheer je weg ! » (« Fiche le camp ! / Tire-toi ! »).
On y trouve la forme verbale « breng … WEG », provenant du verbe « WEGSCHEREN », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « SCHEREN ».
Lorsque « WEGSCHEREN » est conjugué, cela entraîne le REJET de la « particule séparable » « WEG », derrière le complément (« je »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEWONNEN VTT WINNEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/06/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zo vlug geef ik me niet gewonnen => Zo vlug ben ik niet gewonnen » (« Aussi vite, je ne me donne pas gagnée => / je ne m’avoue pas vaincue »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEWONNEN », participe passé construit sur le PLURIEL du prétérit et provenant de l’infinitif « WINNEN», qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il y a REJET de la forme verbale « GEWONNEN » derrière le complément (« me ») à la fin de la phrase mais cela aurait été plus évident dans la variante suivante : « ik geef me zo vlug niet gewonnen ». Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
La phrase commençant par un complément (« Zo vlug »), cela engendre une INVERSION : le sujet « ik » passe derrière le verbe « geef ».

Nom : KAN KUNNEN REJET BEREIKEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/06/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Als ik die huizen kan bereiken …» (« Si je peux atteindre ces maisons … »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« bereiken »), derrière le complément (« die huizen »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
On aurait pu mieux le voir dans la variante suivante que dans la phrase subordonnée (introduite par « ALS », où le verbe n’est plus à côté de son sujet) :
« ik kan die huizen bereiken ».
Notez que l’on aurait pu avoir « MOGEN », l’auxiliaire de mode de la «POSSIBILITE », donnant « MAG » au singulier :
« ik mag die huizen bereiken ».

Nom : KUNNEN REJET VOLGEN 2 ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/06/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Tussen de rotsen kunnen ze mij met de wagen niet volgen » (« Parmi les rochers, ils ne peuvent pas me suivre avec la voiture »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« volgen »), derrière les compléments (« mij » et « met de wagen »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait pu avoir « MOGEN », l’auxiliaire de mode de la «POSSIBILITE » :
« Tussen de rotsen mogen ze mij met de wagen niet volgen ».
La phrase commençant par un complément («Tussen de rotsen »), cela engendre une INVERSION : le sujet « ze » passe derrière le verbe « kunnen ».

Nom : RIJDT KLEM OTT KLEMRIJDEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/06/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De vrouw rijdt zich tussen de rotsen klem » (« La femme s’encastre en roulant parmi les rochers »).
On y trouve notamment la forme verbale « rijdt … KLEM », provenant de l’infinitif « KLEMrijden », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « RIJDEN ».
Quand « KLEMrijden » est conjugué, cela entraîne une séparation de la particule « KLEM » de sa forme verbale proprement dite et cette particule séparable « KLEM », composante du verbe, fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« tussen de rotsen »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MOETEN REJET SLAAN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/06/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Dan moeten haar autobanden stuk (worden) = Dan moeten wij haar autobanden aan stukken slaan » (« Alors nous devons mettre ses pneus en pièces »).
L’auxiliaire de mode de l’« OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« slaan »), derrière les compléments («haar autobanden » et « aan stukken »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez par exemple notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Dan »), cela engendre une INVERSION : le sujet « haar autobanden » (ou « wij ») passe derrière le verbe « moeten ».

Nom : GAAN AAN OTT AANGAAN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/06/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Daar gaan ze achter haar (Chantal) aan » (« Les voilà qui se lancent à sa poursuite »).
On y trouve la forme verbale « gaan … AAN », provenant du verbe « AANgaan», dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « GAAN ».
Lorsque « AANGAAN » est conjugué, cela entraîne le REJET de la « particule séparable » « AAN », derrière le complément (« achter haar »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Daar »), cela engendre une INVERSION : le sujet « ze » passe derrière le verbe « gaan ».

Nom : ZOU REJET GEVEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/06/2022

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressant: « Als dat waar is zou dat nogal een klap geven » (« Si c’est vrai, cela donnerait une gifle / serait un coup dur => de théâtre »).
L’auxiliaire du CONDITIONNEL est l’infinitif « ZOUDEN » ; il est, en quelque sorte, l’« imparfait » (O.V.T. ou prétérit) de l’auxiliaire du FUTUR, « ZULLEN ».
Au CONDITIONNEL, il y a REJET de l’autre forme verbale, ici « geven », derrière les compléments (« nogal » et « een klap »), à la fin de la phrase, et donc à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
On aurait pu avoir la variante suivante, hors du contexte d’une phrase subordonnée : « dat zou nogal een klap geven ».

Nom : ZOUDEN REJET TOESLAAN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/06/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressant: « Waar zouden ze (wel) toeslaan ? » (« Où frapperaient-ils ? »).
L’auxiliaire du CONDITIONNEL est l’infinitif « ZOUDEN » ; il est, en quelque sorte, l’« imparfait » (O.V.T. ou prétérit) de l’auxiliaire du FUTUR, « ZULLEN ».
Au CONDITIONNEL, il y a REJET de l’autre forme verbale, ici « toeslaan », derrière le complément (« wel »), à la fin de la phrase, et donc à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : LOS OP OTT OPLOSSEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/06/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat los ik met kraaienpoten op » (« Cela, je le résous avec des clous-étoiles / triangulaires crève-pneus »).
On y trouve la forme verbale « los … op », provenant de l’infinitif «OPLOSSEN », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur « LOSSEN ».
Rappelons, lorsqu’un tel verbe est conjugué, que la particule séparable fait l’objet d’un REJET de la « particule séparable » « OP », derrière le complément (« met kraaienpoten »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Dat »), cela engendre une INVERSION : le sujet « ik » passe derrière le verbe « los ».

Nom : RIJDT DOOR OTT DOORRIJDEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/06/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De vrouw rijdt naar Bretagne door » (« La femme poursuit sa route vers la Bretagne »).
On y trouve notamment la forme verbale « rijdt … DOOR », provenant de l’infinitif « DOORrijden », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « RIJDEN ».
Quand « DOORrijden » est conjugué, cela entraîne habituellement en néerlandais une séparation de la particule « DOOR » de sa forme verbale proprement dite et cette particule séparable « DOOR », composante du verbe, fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« naar Bretagne »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : SLAAT DOORHEEN OTT DOORHEEN SLAAN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/06/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De vrouw slaat zich doorheen alle moeilijkheden (doorheen) » (« La femme se tire de toutes les difficultés »).
On y trouve notamment la forme verbale « slaat … DOORheen », qui aurair pu provenir d’un infinitif « DOORheenslaan », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « SLAAN ».
Quand « DOORheenslaan » est conjugué, cela entraînerait en néerlandais une séparation de la particule « DOORheen » de sa forme verbale proprement dite et cette particule séparable « DOORheen », composante du verbe, ferait alors l’objet d’un REJET, derrière le complément (« alle moeilijkheden »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Mais la particule « DOORheen » serait ici tout simplement l’équivalent de la préposition « DOOR ».

Nom : VAL LASTIG IMPERATIF LASTIG VALLEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/06/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Val me niet verder met vragen lastig ! » (« Ne m’importune pas plus loin => davantage avec des questions ! »).
On y trouve la forme verbale « val … LASTIG », provenant de l’expression « LASTIG vallen ».
Quand l’expression « LASTIG vallen » est conjuguée, il y a REJET de « LASTIG » (réagissant comme une « particule séparable ») derrière les compléments (« me », « verder » et « met vragen ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GAAT AAN OTT AANGAAN 2 ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/06/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het gaat je niet aan » (« Cela ne te regarde pas »).
On y trouve la forme verbale « gaat … AAN », provenant du verbe « AANgaan», dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « GAAN ».
Lorsque « AANGAAN » est conjugué, cela entraîne le REJET de la « particule séparable » « AAN », derrière les compléments (« je » et « niet »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MOGEN REJET CONTROLEREN 2 ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/06/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Jullie mogen alleen het dragen van de helm controleren» (« Vous ne pouvez contrôler que le fait de porter le casque => le port du casque »).
L’auxiliaire de mode de la POSSIBILITE est l’infinitif « MOGEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« controleren »), derrière les compléments (« alleen » et « het dragen van de helm»), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez la transformation, en langue néerlandaise, de l’infinitif (« dragen ») en nom commun neutre (« het »).

Nom : GAAT AAN OTT AANGAAN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/06/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat gaat jullie niets aan » (« Cela ne vous regarde en rien »).
On y trouve la forme verbale « gaat … AAN », provenant du verbe « AANgaan», dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « GAAN ».
Lorsque « AANGAAN » est conjugué, cela entraîne le REJET de la « particule séparable » « AAN », derrière les compléments (« jullie » et « niets »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZIJN KWIJT OTT KWIJT ZIJN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/06/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Die zijn we kwijt » (« Ceux-là, nous en sommes débarrassés »).
On y trouve, dans Ia phrase principale, la forme verbale « zijn … KWIJT», provenant plutôt d’une expression que de l’infinitif « KWIJT zijn », qui aurait alors été un verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « ZIJN ». Quand « KWIJT zijn » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « KWIJT » de sa forme verbale proprement dite et cette particule séparable « KWIJT », composante du verbe, faisant normalement l’objet d’un REJET, derrière le complément (« die »), à la fin de la phrase. On le voit mieux dans la variante suivante : « we zijn die kwijt». Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Die »), ce dernier engendre une INVERSION, le sujet « we » passant derrière le verbe « zijn ».

Nom : HOUD VAST IMPERATIF VASTHOUDEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 31/05/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Houd je goed vast ! » (« Accroche-toi bien ! »).
On y trouve la forme verbale « houd … VAST », provenant de l’infinitif « VASThouden », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « HOUDEN ».
Quand « VASTphouden » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « VAST » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET derrière le complément (« goed »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET, lisez :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : OPGEEIST VTT OPEISEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 30/05/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Jullie worden (door een officier) opgeëist ! » (« Vous êtes réquisitionnés ! »).
On y trouve la forme verbale « opgeëist », participe passé (utilisé ici avec la voix passive) provenant de l’infinitif « OPeisen », lui-même construit sur l’infinitif « EISEN », qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent : « ik eis op ») se terminant par la consonne « S », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Quand « OPeisen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opgeëist ».
Il y a REJET du participe passé, derrière le complément éventuel (« door een officier »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse, également en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEBROKEN VTT BREKEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 29/05/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een vrouw met een ijzeren helm op is door de wacht gebroken » (« Une femme avec un casque en fer sur la tête a cassé / franchi le corps de garde »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEBROKEN », participe passé provenant de l’infinitif « BREKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Il y a REJET du participe passé, derrière le complément (« door de wacht »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse, également en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : BEDOELDE OVT BEDOELEN 2 ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/05/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik bedoelde de banden van HAAR auto » (« Je voulais dire les pneus de son auto à ELLE »).
On y trouve la forme verbale « bedoelde », O.V.T. ou prétérit provenant de l’infinitif « BEDOELEN ». Ce verbe « BEDOELEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « bedoel ») se terminant par la consonne « L », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du singulier de l’ O.V.T. ou prétérit :
« BEDOEL » + « DE » = « BEDOELDE ».
Rappelons que s’il s’était agi d’une personne masculine, le possessif aurait été « ZIJN » :
« Ik bedoelde de banden van ZIJN auto ».

Nom : KAN KUNNEN REJET LAPPEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/05/2022

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Laat jouw brigadier die slagboom maar al wegnemen dan kan ik jouw bevel aan mijn laars lappen » (« Laisse ton brigadier déjà retirer cette barrière, alors je peux ressemeler ma botte avec ton ordre »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« afzetten »), derrière les compléments («jouw bevel » et « aan mijn laars »), à la fin de la deuxième phrase et à l’infinitif. On l’aurait mieux vu dans la variante suivante : « Ik kan de helm afzetten ». Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir « MAG », singulier de l’infinitif « MOGEN», l’auxiliaire de mode de la « POSSIBILITE » :
« Ik mag jouw bevel aan mijn laars lappen ».

Nom : MAG OTT MOGEN REJET TONEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/05/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik mag mijn gelaat niet tonen » (« Je ne peux pas laisser voir mon visage »).
L’auxiliaire de mode de la POSSIBILITE est l’infinitif « MOGEN », donnant un singulier « MAG ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« tonen »), derrière le complément (« mijn gelaat »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : BEREIKT VTT BEREIKEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/05/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Inmiddels heeft de vrouw de Franse grens bereikt » (« Entretemps, la femme a atteint la frontière française »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
Dans la phrase subordonnée, on trouve la forme verbale « bereikt », participe passé provenant de l’infinitif « BEREIKEN », considéré comme verbe « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik bereik ») se terminant par la consonne « K », on trouvera le « T » minoritaire comme terminaison des participes passés : « BEREIK » + « T » = « BEREIKT ».
Quand « BEREIKEN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, il y a REJET de son participe passé « bereikt» derrière le complément (« de Franse grens ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs : https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« inmiddels »), cela a entraîné une INVERSION du sujet « de vrouw » passant derrière son verbe « heeft ».

Nom : GEBEURD VTT GEBEUREN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/05/2022

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wat mag er inmiddels met haar (Chantal) (zijn) gebeurd zijn ? » (« Que peut-il s’être passé entretemps avec elle ? »).
On trouve dans cette phrase la forme verbale « gebeurd », participe passé provenant de l’infinitif « GEBEUREN ». Ce verbe « GEBEUREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (si une première personne du présent avait existé, « gebeur ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés mais pas de préfixe « GE » puisque la forme verbale commence déjà par « GE » (comme pour les verbes commençant par les préfixes BE- ER-, HER-, ONT- et VER- ) :
(pas de préfixe « GE ») + « GEBEUR » + « D » = « GEBEURD ».
Quand « GEBEUREN » est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « gebeurd » derrière les compléments (« inmiddels » et «met haar») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : OVERGESTOKEN VTT OVERSTEKEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/05/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Met het primitieve vlot wordt de rivier overgestoken » (« la rivière est traversée avec le radeau primitif »).
On y trouve la forme verbale « OVERgestoken », participe passé (utilisé ici avec la voix passive) provenant de l’infinitif « OVERsteken », lui-même construit sur l’infinitif « STEKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « OVERsteken » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OVER » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « overGEstoken ».
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Si la phrase n’avait pas commencé par ce complément (« Met het primitieve vlot »), engendrant une inversion (le sujet « de rivier » passant derrière la forme verbale « wordt ») il y aurait normalement eu un REJET, derrière le complément (« Met het primitieve vlot ») de la forme verbale « OVERgestoken » à la fin de la phrase, comme dans la variante suivante : « de rivier wordt met het primitieve vlot overgestoken ». Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZAL OTT ZULLEN ZULT REJET VERKOPEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/05/2022

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Laat mij toch hopen dat je die huiden aan ons zal / zult verkopen » (« Laisse-moi espérer que tu vas vendre / vendras ces peaux à nous »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL » (anciennement « ZULT »). Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET (mais pas dans cette phrase subordonnée introduite par « DAT ») de l’autre forme verbale («verkopen») à la fin de la phrase, derrière les compléments (« die huiden » et « aan ons »), et à l’INFINITIF. On le voit mieux dans la variante suivante : « je zal / zult die huiden aan ons verkopen ». Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : OPGEBLAZEN VTT OPBLAZEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/05/2022

Description : La (double) phrase suivante est grammaticalement intéressante : « (Deze huiden worden) opgeblazen om (in de lucht) te drogen» (« Ces peaux sont gonflées pour sécher à l’air »).
On y trouve la forme verbale « OPgeblazen », participe passé (utilisé ici avec la voix passive) provenant de l’infinitif « OPblazen », lui-même construit sur l’infinitif « BLAZEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « OPblazen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEblazen ».
Il y a normalement REJET de la forme verbale « OPgeblazen » derrière le complément éventuel (« in de lucht ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : DOUBLE INFINITIF VTT HEBBEN LATEN ZINKEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/05/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze hebben de veerpont laten zinken / tot zinken gebracht » (« Ils ont laissé couler / envoyé par le fond le débarcadère / le ponton »).
La phrase est, en fait, au passé composé et la forme verbale de « LATEN » aurait dû être au participe passé mais on a ici affaire à ce que l’on appelle le « double infinitif », solution intéressante pour éviter les « temps primitifs » quand on ne les maîtrise pas.
Les deux infinitifs font l’objet d’un REJET, derrière le complément (« de veerpont »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEVOLGD VTT VOLGEN 2 ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/05/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik word (door iemand) gevolgd » (« Je suis suivie »).
On y trouve notamment la forme verbale « gevolgd », participe passé provenant de l’infinitif « VOLGEN ». Ce verbe « VOLGEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik volg ») se terminant par la consonne « G », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés : préfixe « GE » + « VOLG » + « D » = « GEVOLGD ».
Il y a REJET de ce participe passé, derrière le complément éventuel (« door iemand») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est à la voix passive puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : SLAAN TOE OTT TOESLAAN 2 ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/05/2022

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We slaan toe als ze over de grens is » (« Nous frappons lorsqu’elle est au-delà de la frontière / lorsqu’elle aura franchi la frontière »).
On y trouve notamment la forme verbale « slaan … toe » à l’O.T.T. (ou présent), provenant de l’infinitif « TOESLAAN », verbe dit « à particule séparable) lui-même construit sur « SLAAN ».
Quand « TOEslaan » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TOE » (provenant de la préposition « tot ») de son infinitif proprement dit et REJET de la particule « TOE », derrière le complément (« over de grens »), à la fin de la phrase, ce que l’on constate mieux dans la variante suivante : « We slaan over de grens toe ».
Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEBRACHT VTT BRENGEN 2 ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/05/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De veerpont werd
met bijlslagen tot zinken gebracht » (« Le débarcadère / le ponton fut coulé / envoyé par le fond à coup de hache »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEBRACHT », participe passé provenant de l’infinitif « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Le participe passé « GEBRACHT » est construit sur le SINGULIER du prétérit, « BRACHT ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Il y a REJET du participe passé, derrière les compléments (« met bijlslagen» et « tot zinken »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse, également en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » (ici à l’OV.T.) est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : NEERGESLAGEN VTT NEERSLAAN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/05/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De arme veerman werd ongenadig neergeslagen » (« Le pauvre passeur fut impitoyablement assommé »).
On y trouve la forme verbale « NEERgeslagen », participe passé provenant de l’infinitif « NEERslaan », lui-même construit sur l’infinitif « SLAAN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « NEERgeslagen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé (ici à la voix passive, avec WORDEN), cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « NEER » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « neerGEslagen ».
Il y a REJET de la forme verbale du participe passé « NEERgeslagen » à la fin de la phrase, derrière le complément (« ongenadig »). Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KOMT TERUG OTT TERUGKOMEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/05/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Die veerpont komt (in de termijnen) niet terug » (« Ce bac ne revient pas dans les délais »).
On y trouve la forme verbale « komt … TERUG », O.T.T. ou indicatif présent provenant de l’infinitif « TERUGkomen », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « KOMEN ».
Quand « TERUGkomen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERUG » de la forme verbale proprement dite et il y a REJET de cette composante « TERUG », derrière le complément éventuel («in de termijnen ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MOCHTEN OVT MOGEN REJET LATEN OVERVAREN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/05/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We mochten haar (Chantal) niet eerst laten overvaren » (« Nous ne pouvions pas la laisser traverser la première => Nous n’aurions pas dû … »).
La forme verbale « MOCHTEN » est le prétérit (SINGULIER) du verbe « MOGEN» faisant ici l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers, au moins à l’O.V.T. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
L’auxiliaire de mode de la « POSSIBILITE » ou de la « PERMISSION » est l’infinitif « MOGEN » (donnant, à l’O.T.T. ou indicatif présent, un singulier « MAG »). Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière les compléments (« haar » et « eerst »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MOEST REJET LATEN VERZORGEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/05/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een vrouw als jij moest haar lever laten verzorgen » (« Une femme comme toi devrait laisser soigner son foie »).
L’auxiliaire de mode de l’OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN » (donnant MOEST au prétérit ou O.V.T.). Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« laten »), derrière le complément (« haar lever »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Rappelons le cas particulier du possessif en langue néerlandaise (comme en langue anglaise. Au masculin, on aurait eu :
« Een man als jij moest zijn lever laten verzorgen »

Nom : STEEKT OVER OTT OVERSTEKEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/05/2022

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zoals verwacht, steekt de vrouw het eerst de rivier over » (« Comme attendu, la femme traverse d’abord la rivière »).
On y trouve la forme verbale « steekt … OVER », provenant du verbe « OVERsteken », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « STEKEN ».
Il y a REJET de la particule séparable « OVER », composante du verbe, derrière les compléments (« het eerst » et « de rivier »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe ou d’une de ses composantes, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Dat »), cela engendre une INVERSION : le sujet « de vrouw » passe derrière le verbe « steekt».

Nom : VERWACHT VTT VERWACHTEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/05/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zoals (het) verwacht (werd) … » (« Comme on s’y attendait … »).
Rappelons que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER- GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve dans cette phrase notamment un participe passé provenant de l’infinitif « VERWACHTEN », construit sur le verbe « WACHTEN », qui est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais), mais fait partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik verwacht ») se terminant déjà par la consonne « T », on y trouvera a fortiori le « T » minoritaire comme terminaison du participe passé.
Cette phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » (ici « WERD ») est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : ZAL OTT ZULLEN REJET ZIEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/05/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Dat zal je wel zien » (« Cela, tu vas bien le voir »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ». Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (« zien ») à la fin de la phrase, derrière le complément (« wel »), à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs:
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Dat »), cela engendre une INVERSION : le sujet « je » passe derrière le verbe « zal ».

Nom : ZAL OTT ZULLEN REJET AANKOMEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/05/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De ijzeren helm zal eerst aankomen » (« Le casque de fer va arriver d’abord = la première »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ». Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (« aankomen ») à la fin de la phrase, derrière le complément (« eerst »), à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs:
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KAN KUNNEN REJET OVERBRENGEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/05/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «De pont kan maar één auto per keer overbrengen » (« Le bac ne peut transférer qu’une auto à la fois »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant plutôt un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« overbrengen »), derrière les compléments («maar », « één auto » et « per keer »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait pu avoir « MAG », singulier de l’infinitif « MOGEN», l’auxiliaire de mode de la « POSSIBILITE » :
«De pont mag maar één auto per keer overbrengen ».

Nom : LATEN REJET OVERZETTEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/05/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Wij laten ons eerst overzetten » (« Nous nous laissons d’abord transborder »).
Comme la tournure « LATEN we » (littéralement « Laissons-nous »), de la première personne du pluriel de l’IMPERATIF présent, « LATEN » exige souvent un REJET de l’infinitif (ici « overzetten »), derrière les compléments (« ons » et « eerst »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MOETEN REJET SCHEIDEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/05/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Daar moeten wij de ijzeren helm van de vagebonden scheiden » («Là, nous devons séparer le casque de fer des vagabonds »).
L’auxiliaire de mode de l’« OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« scheiden »), derrière les compléments (« de ijzeren helm » et « van de vagebonden »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez par exemple notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Daar »), cela engendre une INVERSION : le sujet « wij » passe derrière le verbe « moeten ».

Nom : MOETEN REJET OVERSTEKEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/05/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Wat verder moeten wij de rivier met een veerpont oversteken » («Un peu plus loin, nous devons traverser la rivière avec un bac »).
L’auxiliaire de mode de l’« OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« oversteken »), derrière les compléments (« de rivier » et « met een veerpont »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez par exemple notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Wat verder »), cela engendre une INVERSION : le sujet « wij » passe derrière le verbe « moeten ».

Nom : OMte KWIJT SPELEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/05/2022

Description : La (double) phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wat kunnen we nu doen om hen kwijt te spelen ? » (« Que pouvons-nous faire à présent pour les mettre hors jeu ? »).
On y trouve, dans Ia phrase infinitive (introduite par « OM »), la forme verbale « kwijt … spelen », provenant plutôt d’une expression que d’un infinitif, qui aurait alors été un verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « SPELEN ». Quand « KWIJT SPELEN» est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « KWIJT » de sa forme verbale proprement dite et cette particule séparable « KWIJT », composante du verbe, fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« hen »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Rappelons que « POUR » devant les verbes est rendu en langue néerlandaise par un double mot : « OM … TE ». Le complément (ici « hen ») et cette particule séparable « KWIJT » s’intercalent entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « spelen ».

Nom : KUNNEN REJET DOEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/05/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Wat kunnen we nu doen ? » (« Que pouvons-nous faire maintenant / à présent ? »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant plutôt un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« doen »), derrière le complément (« nu »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait pu avoir « MOGEN », l’auxiliaire de mode de la «POSSIBILITE » :
« Wat mogen we nu doen ? ».

Nom : ONTSNAPT VTT ONTSNAPPEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/05/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Die kerels zijn (uit de put) ontsnapt ! » (« Ces types se sont échappés ! »).
Rappelons tout d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve ici la forme verbale « ONTSNAPT », participe passé provenant de l’infinitif « ONTSNAPPEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T.) se terminant par la consonne « P », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Le participe passé « ONTSNAPT » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« uit de put »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MOESTEN REJET BESCHERMEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/05/2022

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Gered door de vrouw die we moesten beschermen » (« Sauvés par la femme que nous devions protéger »).
L’auxiliaire de mode de l’OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN» (donnant MOEST au prétérit ou O.V.T.). Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il aurait exigé le REJET de l’autre forme verbale (« beschermen »), derrière le complément (« de vrouw »), à la fin de la phrase et à l’infinitif, si on ne s’était pas trouvé dans une phrase subordonnée relative (introduite par « DIE ») ; on le voit bien dans la variante suivante : « « we moesten die vrouw beschermen ». Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MOESTEN REJET BESCHERMEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/05/2022

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Gered door de vrouw die we moesten beschermen » (« Sauvés par la femme que nous devions protéger »).
L’auxiliaire de mode de l’OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN» (donnant MOEST au prétérit ou O.V.T.). Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il aurait exigé le REJET de l’autre forme verbale (« beschermen »), derrière le complément (« de vrouw »), à la fin de la phrase et à l’infinitif, si on ne s’était pas trouvé dans une phrase subordonnée relative (introduite par « DIE ») ; on le voit bien dans la variante suivante : « « we moesten die vrouw beschermen ». Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GERED VTT REDDEN 3 ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 30/04/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We werden door de vrouw gered » (« Nous avons été sauvés par la femme … »).
On y trouve notamment la forme verbale « gered », participe passé provenant de l’infinitif « REDDEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (« ik red », première personne du présent ou O.T.T.) se terminant a fortiori déjà par la consonne « D », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire.
Le participe passé « gered » fait l’objet d’un REJET derrière le complément (« door de vrouw ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase serait à la voix passive puisque l’auxiliaire « WORDEN » serait utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : BEVRIJD VTT BEVRIJDEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 29/04/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De vagebonden zijn vlug bevrijd » (« Les vagabonds sont vite libérés »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve donc la forme verbale « BEvrijd », participe passé provenant de l’infinitif « BEvrijden », qui est identique à la première personne de l’indicatif présent, ce verbe NE faisant PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « BEvrijd » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« vlug »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KAN KUNNEN REJET HEFFEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/04/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het deksel kan ik niet heffen » (« Le couvercle, je ne peux pas le soulever »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« heffen »), derrière le complément (« het deksel »), à la fin de la phrase et à l’infinitif, ce que l’on aurait mieux vu s’il n’avait débuté la phrase : « ik kan het deksel niet heffen ». Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait pu avoir « MAG », singulier de l’infinitif « MOGEN», l’auxiliaire de mode de la « POSSIBILITE » :
« Het deksel mag ik niet heffen ».
La phrase commençant par un complément (« Het deksel »), cela engendre une INVERSION : le sujet « ik » passe derrière le verbe « kan ».

Nom : GESLOTEN VTT SLUITEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/04/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb de kraan gesloten » (« J’ai fermé le robinet »).
On y trouve notamment la forme verbale « GESLOTEN », participe passé utilisé avec un passé composé, provenant de l’infinitif « SLUITEN», qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé « GESLOTEN » se construit sur le PLURIEL du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GESLOTEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« de kraan »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZAG OVT ZIEN 2 ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/04/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik zag alles vanuit mijn raam » (« Je vis / j’ai vu tout depuis ma fenêtre »).
On y trouve notamment la forme verbale « ZAG », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
ATTENTION : Beaucoup d’apprenants croient que la forme verbale « ZAG », provient de l’infinitif « ZEGGEN », également irrégulier à l’O.V.T. …

Nom : ZULLEN REJET VERDRINKEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/04/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «We zullen als ratten verdrinken » (« Nous serons / allons nous noyer => être noyés comme des rats »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ». Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (« verdrinken ») à la fin de la phrase, derrière le complément (« als ratten »), à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : WACHTEN OP OTT OPWACHTEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/04/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« We wachten haar op » (« Nous l’attendons »).
On y trouve la forme verbale « wachten … op », provenant de l’infinitif « OPwachten», verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « WACHTEN ».
Quand le verbe est conjugué, il y a REJET de la « particule séparable » « OP », derrière le complément (« haar »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notons que si le complément avait été masculin, nous aurions eu la phrase suivante (presque comme en langue anglaise) :
« We wachten hem op ».

Nom : ZOU REJET OPENDRAAIEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/04/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Waarom zou ik die kraan niet opendraaien ? » (« Pourquoi n’ouvrirais-je pas ce robinet ? »).
L’auxiliaire du CONDITIONNEL est l’infinitif « ZOUDEN », donnant un singulier « ZOU » ; il est, en quelque sorte, l’« imparfait » (O.V.T. ou prétérit) de l’auxiliaire du FUTUR, « ZULLEN ».
Au CONDITIONNEL, il y a REJET de l’autre forme verbale (« opendraaien »), derrière le complément (« die kraan »), et donc à l’INFINITIF, à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEDEKT VTT DEKKEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/04/2022

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De vagebonden worden in een put geworpen die met een zware rooster wordt gedekt » (« Les vagabonds sont jetés dans un puits qui est couvert par une lourde grille »).
On y trouve, dans la phrase subordonnée (introduite par « DIE »), la forme verbale « gedekt », participe passé provenant de l’infinitif « DEKKEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T.) se terminant par la consonne « K », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Quand « DEKKEN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, il y a REJET de son participe passé «gedekt» derrière le complément («met een zware rooster ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est à la voix passive puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : GEWORPEN VTT WERPEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/04/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De vagebonden worden in een put geworpen » (« Les vagabonds sont jetés dans un puits »).
On y trouve la forme verbale « GEWORPEN », participe passé provenant de l’infinitif « WERPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« in een put »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse, également en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est à la voix passive puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : GEKNEVELD VTT KNEVELEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/04/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De vagebonden worden (door de drietal detectives) gekneveld » (« Les vagabonds sont bâillonnés »).
On y trouve la forme verbale « GEKNEVELD » provenant de l’infinitif « KNEVELEN », verbe considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik KNEVEL») se terminant par la consonne « L », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés :
préfixe « GE » « KNEVEL » + « D » = « GEKNEVELD ».
Le participe passé « GEKNEVELD » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« door de drietal detectives »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est à la voix passive puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : VERWACHTTE OVT VERWACHTEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/04/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat verwachtte ik al » (« Cela, je m’y attendais déjà »).
On y trouve notamment l’infinitif « VERWACHTEN », construit sur le verbe « WACHTEN », qui est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), mais fait partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik verwacht ») se terminant déjà par la consonne « T », on y trouvera a fortiori le « TE » minoritaire comme terminaison du prétérit : « VERWACHT » + « TE » = « VERWACHTTE ».
La phrase commençant par un complément (« Dat »), cela engendre une INVERSION : le sujet « ik » passe derrière le verbe « verwachtte ».

Nom : GA MEE OTT MEEGAAN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/04/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik ga met je mee » (« Je vais avec toi / je t’accompagne »).
On trouve la forme verbale « GA … MEE », provenant de l’infinitif « MEEGAAN », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur « GAAN ».
Lorsque « MEEGAAN » est conjugué, la particule « MEE » (venant de la préposition « MET ») fait l’objet d’un REJET derrière le complément (« met je ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET (notamment du verbe ou de certaines de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs :
Pour le phénomène du REJET (notamment du verbe ou de certaines de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZOUDEN REJET WILLEN HELPEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/04/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Zouden jullie een oude dame willen helpen ? » (« Voudriez-vous aider une vieille dame ? »).
L’auxiliaire du CONDITIONNEL est l’infinitif « ZOUDEN » ; il est, en quelque sorte, l’« imparfait » (O.V.T. ou prétérit) de l’auxiliaire du FUTUR, « ZULLEN ».
Au CONDITIONNEL, il y a REJET de l’autre forme verbale (« willen ») à la fin de la phrase, derrière le complément (ici « een oude dame »), et donc à l’INFINITIF.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GESUKKELD VTT SUKKELEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/04/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Mijn hondekar * is in de gracht gesukkeld » (« Ma charrette à chien * s’est traînée / a versé dans le fossé »).
On y trouve la forme verbale « gesukkeld », participe passé provenant de l’infinitif « SUKKELEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » mais bien d’un REJET. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
« SUKKELEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik sukkel ») se terminant par la consonne « L », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés : préfixe « GE » + « SUKKEL » + « D » = « GESUKKELD ».

Nom : MOETEN REJET UITSCHAKELEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/04/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Die twee vagebonden moeten we hier uitschakelen » (« Ces deux vagabonds, nous devons les mettre hors jeu ici »).
L’auxiliaire de mode de l’« OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« uitschakelen »), derrière le complément (« hier »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez par exemple notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Die twee vagebonden »), cela engendre une INVERSION : le sujet « we » passe derrière le verbe « moeten ».

Nom : ZOUDEN REJET LATEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/04/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wij zouden haar toch met rust laten » (« Nous devrions tout de même la laisser en repos => tranquille »).
L’auxiliaire du CONDITIONNEL est l’infinitif « ZOUDEN » ; il est, en quelque sorte, l’« imparfait » (O.V.T. ou prétérit) de l’auxiliaire du FUTUR, « ZULLEN ».
Au CONDITIONNEL, il y a REJET de l’autre forme verbale (« laten ») à la fin de la phrase, derrière les compléments (ici « haar », « toch » et « met rust »), et donc à l’INFINITIF.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : SLAAN TOE OTT TOESLAAN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/04/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hier slaan we een eerste maal toe » (« Ici nous frappons une première fois »).
On y trouve notamment la forme verbale « slaan … toe » à l’O.T.T. (ou présent), provenant de l’infinitif « TOESLAAN », verbe dit « à particule séparable) lui-même construit sur « SLAAN ».
Quand « TOEslaan » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TOE » (provenant de la préposition « tot ») de son infinitif proprement dit et REJET de la particule « TOE », derrière le complément (« een eerste maal »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Hier »), cela engendre une INVERSION : le sujet « we » passe derrière le verbe « slaan ».

Nom : VOORBEREID VTT VOORBEREIDEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/04/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze is op het ergste voorbereid » (« Elle est préparée au pire »).
On y trouve la forme verbale « voorbereid », participe passé provenant de l’infinitif « VOORBEREIDEN », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur « BEREIDEN ». Ce verbe « BEREIDEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « bereid ») se terminant déjà par la consonne « D », on trouvera a fortiori (mais pas doublé) le « D » majoritaire comme terminaison de ce participe passé mais pas de préfixe « GE » puisque la forme verbale commence par le préfixe VOOR- (c’est aussi le cas pour BE-, ER-, GE,- HER-, ONT- et VER) : (GE) + « VOORBEREID » + (« D ») = « VOORBEREID ».
Le participe passé « voorbereid » fait l’objet d’un REJET derrière le complément (« op het ergste »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET, lisez :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : DOUBLE INFINITIF VTT HEBBEN KUNNEN OVERTUIGEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/04/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We hebben haar niet kunnen overtuigen » (« Nous n’avons pu la convaincre »).
La phrase est, en fait, au passé composé et la forme verbale de « KUNNEN » aurait dû être au participe passé mais on a ici affaire à ce que l’on appelle le « double infinitif », solution intéressante pour éviter les « temps primitifs » quand on ne les maîtrise pas.
Les deux infinitifs font l’objet d’un REJET, derrière le complément (« haar »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait pu avoir plutôt l’auxiliaire de mode de la «POSSIBILITE», l’infinitif « MOGEN » :
« We hebben haar niet mogen overtuigen. »

Nom : AFGESLOTEN VTT AFSLUITEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/04/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Mijn man heeft contracten AFgesloten » (« Mon mari a conclu des contrats »).
On y trouve la forme verbale « AFgesloten », participe passé provenant de l’infinitif « AFsluiten », lui-même construit sur l’infinitif « SLUITEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « UI », donne une voyelle « O ». Il faut noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit.
Quand « AFsluiten » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « AFGEsloten ».
Il y a REJET de la forme verbale « AFgesloten » derrière le complément («contracten ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : GESCHADUWD VTT SCHADUWEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/04/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Jij en jouw man worden door een drietal detectives geschaduwd » (« Toi et ton mari êtes suivis comme votre ombre par un trio de détectives »).
On y trouve la forme verbale « geschaduwd », participe passé provenant de l’infinitif « SCHADUWEN ». Ce verbe « SCHADUWEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik schaduw ») se terminant par la consonne « W », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés :
préfixe « GE » + « SCHADUW » + « D » = « GESCHADUWD ».
Quand « SCHADUWEN » est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « geschaduwd » derrière le complément (« door een drietal detectives ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe ou d’une de ses composantes, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est à la voix passive puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : GEWAARSCHUWD VTT WAARSCHUWEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/04/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een speurder heeft ons gewaarschuwd » (« Un détective nous a prévenus / avertis »).
On y trouve la forme verbale « gewaarschuwd », participe passé provenant de l’infinitif « WAARSCHUWEN ». Ce verbe « WAARSCHUWEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik waarschuw ») se terminant par la consonne « W », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés : préfixe « GE » + « WAARSCHUW » + « D » = « GEWAARSCHUWD ».
Quand « WAARSCHUWEN » est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « gewaarschuwd » derrière le complément («ons ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe ou d’une de ses composantes, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : BEGREPEN OVT BEGRIJPEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/04/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « (Hebben jullie wel) begrepen ? » (« compris ? »).
On trouve la forme verbale « begrepen », participe passé provenant du verbe provenant de l’infinitif « BEGRIJPEN », construit sur « GRIJPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers et, parmi eux, d’une catégorie importante de verbes irréguliers, celle des « IJ » donnant des « E » aux temps du passé (O.V.T. et V.T.T.). Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : MOGEN REJET CONTROLEREN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/04/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Jullie mogen mij controleren » (« Vous pouvez me controler »).
L’auxiliaire de mode de la POSSIBILITE est l’infinitif « MOGEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« ontvangen »), derrière le complément (« mij »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KWAMEN OVT KOMEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/04/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Goed dat wij ter hulp kwamen» (« C’était bien que nous venions en aide »).
On y trouve notamment la forme verbale « KWAMEN », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « KOMEN ».
Le verbe « KOMEN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : MOETEN REJET LUISTEREN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/04/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Nu moeten jullie eens goed luisteren » (« Maintenant, vous devez bien écouter, une fois »).
L’auxiliaire de mode de l’« OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« luisteren »), derrière le compléments (« een » et « goed »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez par exemple notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Nu »), cela engendre une INVERSION : le sujet « jullie » passe derrière le verbe « moeten ».

Nom : KON OVT KUNNEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/04/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Ik kon hem de baas = Ik kon hem overmeesteren » (« Je pouvais me rendre maître de lui / le maîtriser »).
La forme verbale « KON » est le prétérit (SINGULIER) du verbe « KUNNEN » faisant l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers, au moins à l’O.V.T. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE », « KUNNEN » (donnant, à l’O.T.T. ou indicatif présent, un singulier « KAN »), comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), exige le REJET de l’autre forme verbale (dans la variante, « overmeesteren »), derrière le complément (« hem »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : DRUIPT AF OTT AFDRUIPEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/04/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De kastelein druipt haastig af » (« L’aubergiste s’en va, hâtivement, la tête basse»).
On y trouve la forme verbale « druipt … AF », qui provient de l’infinitif « AFdruipen », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « DRUIPEN ».
Quand « AFdruipen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de sa forme verbale proprement dite et cette particule séparable « AF », composante du verbe, fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« haastig »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe ou d’une de ses composantes, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : BETAALD VTT BETALEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/04/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb (u) betaald » (« Je vous ai payé ») / « Dat zet ik je nog betaald ! » (« Cela, je te le ferai payer ! »).
Rappelons tout d’abord que, dans le cas des verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve ici, dans une tournure de phrase (peu fréquente) à structure de passé composé (mais rendant une notion de futur) la forme verbale « BETAALD », participe passé provenant de l’infinitif « BETALEN ». Ce verbe « BETALEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik betaal ») se terminant par la consonne « L », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés : « BETAAL » + « D » = « BETAALD ».
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« u » ou « je »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez l’expression : « iemand betaald zetten ».

Nom : KUNNEN REJET OPHOEPELEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 31/03/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Jullie kunnen (nu) ophoepelen ! » (« Vous pouvez ficher le camp ! »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant plutôt un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« ophoepelen »), derrière le complément éventuel (« nu »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait pu avoir « MOGEN », l’auxiliaire de mode de la «POSSIBILITE » :
« Jullie mogen (nu) ophoepelen ! ».

Nom : KAN KUNNEN REJET BEDWINGEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 30/03/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «De kastelein kan zijn nieuwsgierigheid niet bedwingen » (« L’aubergiste ne peut réprimer sa curiosité »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant plutôt un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« bedwingen »), derrière le complément («zijn nieuwsgierigheid »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait pu avoir « MAG », singulier de l’infinitif « MOGEN», l’auxiliaire de mode de la « POSSIBILITE » :
« De kastelein mag zijn nieuwsgierigheid niet bedwingen ».

Nom : WIL REJET AFNEMEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 29/03/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Eens op de kamer wil de vrouw de helm afnemen » («Une fois dans la chambre, la femme veut retirer le casque »).
L’auxiliaire de mode de la VOLONTE » est l’infinitif « WILLEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « MOGEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (ici, « afnemen ») derrière le complément (« de helm »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Eens op de kamer »), cela engendre une INVERSION : le sujet « de vrouw » passe derrière le verbe « wil ».

Nom : KAN KUNNEN REJET AFZETTEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/03/2022

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Ik eet op een kamer waar ik de helm kan afzetten » (« Je mange dans une chambre où je peux retirer le casque »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« afzetten »), derrière le complément (« de helm »), à la fin de la phrase (subordonnée, introduite par « WAAR ») et à l’infinitif. On l’aurait mieux vu dans la variante suivante : « Ik kan de helm afzetten ». Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir « MAG », singulier de l’infinitif « MOGEN», l’auxiliaire de mode de la « POSSIBILITE » :
« Ik mag de helm afzetten ».

Nom : GEMASKERDE GEMASKERD VTT MASKEREN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/03/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Een gemaskerde vrouw ! » (« Une femme masquée ! »).
On y trouve la forme verbale « gemaskerd », participe passé pouvant provenir d’un infinitif « MASKEREN », dont la première personne du présent ne serait pas « Ik maskeer ». Ce verbe « MASKEREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik masker ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés :
préfixe « GE » + « MASKER » + « D » = « GEMASKERD ».
Le participe passé « gemaskerd » est ici devenu (comme en langue française) un adjectif : « GEMASKERD » + « E » (terminaison des adjectifs accordés) = « GEMASKERDE ».

Nom : KAN KUNNEN REJET SERVEREN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/03/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Kan / kun je mij een maaltijd serveren ? » (« Peux-tu me servir un repas ? »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant plutôt un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« serveren »), derrière les compléments («mij » et « een maaltijd »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir « MAG », singulier de l’infinitif « MOGEN», l’auxiliaire de mode de la « POSSIBILITE » :
« Mag je mij een maaltijd serveren ? ».

Nom : BESLIST VTT BESLISSEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/03/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat (kranig) is ze, beslist » (« Cela, elle l’est, décidément / décidée »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve la forme verbale « beslist », participe passé (utilisé ici comme adverbe) provenant de l’infinitif « BESLISSEN », considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik beslis ») se terminant par la consonne « S », on trouvera le « T » minoritaire comme terminaison des participes passés :
(PAS de préfixe « GE ») + « BESLIS » + « T » = « BESLIST ».
La phrase commençant par un complément (« Dat »), cela engendre une INVERSION : le sujet « ze » passe derrière le verbe « is ».

Nom : UITGEDOST VTT UITDOSSEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/03/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een chique dame was zo uitgedost » (« Une dame chic était attifée ainsi »).
On y trouve la forme verbale « UITgedost », participe passé provenant de l’infinitif « UITdossen », verbe dit à « particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « DOSSEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « S » (« ik dos »), on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Quand « UITdossen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « uitGEdost ».
Il y a REJET de la forme verbale « UITgedost » derrière le complément (« zo») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZAG OVT ZIEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/03/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik zag net een chique dame » (« Je vis juste => je viens de voir une dame chic »).
On y trouve notamment la forme verbale « ZAG », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
ATTENTION : Beaucoup d’apprenants croient que la forme verbale « ZAG », provient de l’infinitif « ZEGGEN », également irrégulier à l’O.V.T. …

Nom : GEVOLGD VTT VOLGEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/03/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij wordt door hen (Robert en Bertrand) gevolgd » (« Elle est suivie par eux »).
On y trouve notamment la forme verbale « gevolgd », participe passé provenant de l’infinitif « VOLGEN ». Ce verbe « VOLGEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik volg ») se terminant par la consonne « G », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés : préfixe « GE » + « VOLG » + « D » = « GEVOLGD ».
Il y a REJET de ce participe passé, derrière le complément (« door hen ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est à la voix passive puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : OMte DOEN HERZIEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/03/2022

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Ik zal (die weddenschap voor jou) winnen om lord Dumbridge zijn mening over vrouwen te doen herzien » (« Je vais gagner pour faire revoir à Lord Dumbridge son opinion au sujet des femmes »).
Rappelons que « POUR » devant les verbes est rendu en langue néerlandaise par un double mot : « OM … TE ». Les compléments (ici « lord Dumbridge » et « zijn mening over vrouwen ») s’intercalent entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « doen ».

Nom : ZAL OTT ZULLEN REJET WINNEN 2 ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/03/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik zal (die weddenschap voor jou) winnen » (« Je vais gagner ce pari pour toi »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ». Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (« winnen ») à la fin de la phrase, derrière les compléments éventuels (« die weddenschap » et « voor jou »), à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs:
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : HEEFT PLAATS VTT PLAATS HEBBEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/03/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « « De volgende dag heeft het vertrek onder grote belangstelling plaats » (« Le jour suivant => le lendemain, le départ a lieu sous => avec un grand intérêt »).
On y trouve notamment la forme verbale « HEEFT … PLAATS », provenant de « PLAATS HEBBEN », équivalent de « PLAATSVINDEN », verbe dit « à particule séparable ».
ll y a REJET de la « particule séparable » « PLAATS », derrière le complément («onder grote belangstelling »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs:
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« De volgende dag »), cela entraîne une INVERSION du sujet « het vertrek » qui passe derrière son verbe « heeft ».

Nom : ZULLEN REJET ZIJN 2 ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/03/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «We zullen op onze hoede zijn » (« Nous serons / allons être sur nos gardes »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ». Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (« zijn ») à la fin de la phrase, derrière le complément (« op onze hoede »), à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs:
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : UITGESLOTEN VTT UITSLUITEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/03/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een ontvoering is helemaal niet UITgesloten » (« Un enlèvement n’est pas du tout exclu »).
On y trouve la forme verbale « UITgesloten », participe passé provenant de l’infinitif « UITsluiten », lui-même construit sur l’infinitif « SLUITEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « UI », donne une voyelle « O ». Il faut noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit.
Quand « UITsluiten » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « UITGEsloten ».
Il y a REJET de la forme verbale « UITgesloten » derrière le complément éventuel («helemaal ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : KAN KUNNEN REJET BEWIJZEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/03/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik kan niets bewijzen » (« Je ne peux rien prouver »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« bewijzen »), derrière le complément (« niets »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir « MAG », singulier de l’infinitif « MOGEN», l’auxiliaire de mode de la « POSSIBILITE » :
« Ik mag niets bewijzen ».

Nom : VERDWENEN VTT VERDWIJNEN 2 ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/03/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De Amerikaanse detectives zijn (voorlopig) verdwenen » (« Les détectives américains ont disparu »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER- GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve, dans la phrase subordonnée (introduite par « DIE »), notamment la forme verbale « VERDWENEN », participe passé provenant de l’infinitif « VERDWIJNEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers et, parmi eux, d’une catégorie importante de verbes irréguliers, celle des « IJ » donnant des « E » aux temps du passé (O.V.T. et V.T.T.). Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre notamment ces trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
ll y a REJET du participe passé, derrière le complément éventuel (« voorlopig »), à la fin de la phrase et, bien sûr, à l’infinitif, Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs:
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : AANGEZIEN VTT AANZIEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/03/2022

Description : La phrase suivante (à la voix passive) est grammaticalement intéressante : « De snelle opgang wordt in het buitenland met lede ogen aangezien »
(« L’essor rapide est vu à l’étranger avec des yeux courroucés »)
On y trouve notamment la forme verbale « aangezien », participe passé provenant de l’infinitif « AANZIEN », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’INFINITIF. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « AANZIEN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGEzien ».
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KAN KUNNEN REJET SPREKEN 2 ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/03/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Kan ik jullie even spreken ? (« Puis-je vous parler un moment ? »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« spreken »), derrière les compléments (« jullie » et «even »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir « MAG », singulier de l’infinitif « MOGEN», l’auxiliaire de mode de la « POSSIBILITE » :
« Mag ik jullie even spreken ? ».

Nom : ONVERWACHT VTT VERWACHTEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/03/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Steeds kom jij onverwacht » (« Tu viens toujours inattendu => de manière inattendue => à l’improviste »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER- GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On y trouve la forme verbale « onverwacht », participe passé provenant du contraire de l’infinitif « verwachten », lui-même construit sur l’infinitif « WACHTEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent : «ik wacht » ou « ik verwacht ») se terminant déjà par la consonne « T », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Le préfixe « ON- » (« UN- » en anglais) est souvent à nuance « négative » et constitue le contraire comme, ici, « onverwacht ».
La phrase commençant par un complément (« Steeds »), cela engendre une INVERSION : le sujet « jij » passe derrière le verbe « kom ».

Nom : ZAL OTT ZULLEN REJET BIJWONEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/03/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik zal zelfs het vertrek niet bijwonen » (« Je ne vais même pas assister au départ »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ». Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (« bijwonen ») à la fin de la phrase, derrière les compléments (« zelfs » et « het vertrek »), à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs:
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MAG OTT MOGEN REJET MEEKOMEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/03/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Mag je echt (met ons) niet meekomen ? » (« Ne peux-tu vraiment pas venir avec ? »).
L’auxiliaire de mode de la POSSIBILITE est l’infinitif « MOGEN », donnant un singulier « MAG ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« meekomen »), derrière le complément (« echt »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que, en langue néerlandaise, lorsqu’ils font notamment l’objet d’un REJET, des verbes comme « KOMEN » ou « GAAN » sont régulièrement sous-entendus.

Nom : ZAL OTT ZULLEN REJET WINNEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/03/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik zal die weddenschap voor jou winnen » (« Je vais gagner ce pari pour toi »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ». Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (« winnen ») à la fin de la phrase, derrière les compléments (« die weddenschap » et « voor jou »), à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs:
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : WEES IMPERATIF ZIJN GERUST VTT RUSTEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/03/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Wees gerust ! » (« Sois tranquille ! »).
On y trouve la forme verbale « WEES », impératif provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » pour donner le participe passé « GEWEEST ».
Pour complément d’informations, consultez notamment notre tableau de synthèse « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre notamment trois autres grandes catégories de verbes irréguliers au passé : https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
On y trouve aussi la forme verbale « gerust », participe passé provenant de l’infinitif « RUSTEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T.) se terminant déjà par la consonne « T », a fortiori on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.

Nom : ZAL OTT ZULLEN REJET ZIJN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/03/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Het zal geen pretje zijn » (« Cela ne sera pas une partie de plaisir »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ». Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (« zijn ») à la fin de la phrase, derrière le complément (« geen pretje »), à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs:
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : SCHRIKT AF OTT AFSCHRIKKEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/03/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Schrikt het je niet af ? » (« Cela ne t’effraie-t-il pas ? »).
On y trouve la forme verbale « schrikt … AF », qui provient de l’infinitif « AFschrikken », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « SCHRIKKEN ».
Quand « AFschrikken » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de sa forme verbale proprement dite et cette particule séparable « AF », composante du verbe, fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« je »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe ou d’une de ses composantes, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MAG OTT MOGEN REJET ZIEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/03/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Niemand mag tijdens de tocht jouw gelaat zien » («Personne ne peut voir ton visage pendant ton voyage »).
L’auxiliaire de mode de la POSSIBILITE est l’infinitif « MOGEN », donnant un singulier « MAG ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« zien »), derrière les compléments (« tijdens de tocht » et « jouw gelaat »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MAG OTT MOGEN REJET AFZETTEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/03/2022

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je mag de helm slechts afzetten als je alleen bent » (« Tu ne peux retirer le casque que lorsque tu es seule »).
L’auxiliaire de mode de la POSSIBILITE est l’infinitif « MOGEN », donnant un singulier « MAG ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« afzetten »), derrière les compléments (« de helm » et « slechts »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZOU REJET KUNNEN LOPEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/03/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij (Chantal) zou wel eens gevaar kunnen lopen » (« Elle pourrait bien une fois courir un danger »).
L’auxiliaire du CONDITIONNEL est l’infinitif « ZOUDEN », donnant un singulier « ZOU » ; il est, en quelque sorte, l’« imparfait » (O.V.T. ou prétérit) de l’auxiliaire du FUTUR, « ZULLEN ».
Au CONDITIONNEL, il y a REJET de l’autre forme verbale (« kunnen »), derrière les compléments (« wel », « eens » et « een gevaar »), et donc à l’INFINITIF, à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VOORZIEN VTT VOORZIEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/03/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij hadden het op Bellemans voorzien » (« Ils l’avaient prévu pour Bellemans => Ils en avaient après Bellemans»).
On y trouve notamment la forme verbale « voorzien », participe passé provenant de l’infinitif « voorzien », lui-même construit sur l’infinitif « ZIEN », qui fait normalement l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « voorzien » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, s’il s’était agi d’un verbe « à particule séparable », cela aurait pu entraîner une séparation de la particule « voor » de son infinitif proprement dit et la particule «GE- » (commune à la majorité des participes passés) se serait intercalée entre eux.
Le participe passé « voorzien » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« het » et « op Bellemans »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : HADDEN OVT HEBBEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/02/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij hadden het op Bellemans voorzien » (« Ils l’avaient prévu sur Bellemans => Ils en avaient après Bellemans»).
On y trouve notamment la forme verbale « HADDEN », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « HEBBEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : GEVLOGEN VTT VLIEGEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/02/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De vogels zijn natuurlijk gevlogen » (« Les oiseaux se sont naturellement envolés »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEVLOGEN », participe passé provenant de l’infinitif « VLIEGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « IE », donne une voyelle « O ». Il faut noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GEVLOGEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« natuurlijk »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VERSUFT VTT VERSUFFEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/02/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « « Nummer 17 blijft geruime tijd versuft op de zolder liggen» (« Numéro 17 reste un bon bout de temps couché dans le grenier, abruti »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER- GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On y trouve la forme verbale « versuft », participe passé (utilisé ici comme adjectif) provenant de l’infinitif « VERSUFFEN », considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), qui fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik versuf») se terminant par la consonne « F », on trouvera le « T » majoritaire comme terminaison des participes passés mais, exceptionnellement, PAS le préfixe « GE » : « VERSUF » + « T » = « VERSUFT ».

Nom : MAG OTT MOGEN REJET BEMOEIEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/02/2022

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wij krijgen in ons vak de gekste opdrachten waarmee niemand zich mag bemoeien » (« Nous recevons dans notre secteur les missions les plus folles avec lesquelles => dont personne ne doit se mêler »).
L’auxiliaire de mode de la POSSIBILITE est l’infinitif « MOGEN », donnant un singulier « MAG ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« bemoeien »), derrière le complément éventuel (« de gekste opdrachten »), à la fin de la phrase et à l’infinitif, ce que l’on voit mieux dans la variante suivante : « niemand mag zich met de / deze / onze gekste opdrachten bemoeien ».
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : RAAK KWIJT OTT KWIJT RAKEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/02/2022

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hoe raak ik hem kwijt ? » (« Comment est-ce que je parviens à me débarrasser de lui ? »).
On y trouve, dans Ia phrase principale, la forme verbale « raak … KWIJT», provenant plutôt d’une expression que d’un infinitif « KWIJT raken », qui aurait alors été un verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « RAKEN ». Quand « KWIJT RAKEN » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « KWIJT » de sa forme verbale proprement dite et cette particule séparable « KWIJT », composante du verbe, fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« hem »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : WIL REJET WETEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/02/2022

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik wil (nu) weten wat jullie hier uitvoeren » (« Je veux savoir ce que vous exécutez ici »).
L’auxiliaire de mode de la VOLONTE » est l’infinitif « WILLEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « MOGEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (ici, « weten ») derrière le complément éventuel (« nu »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
N’oubliez pas que, dans une phrase subordonnée néerlandaise (introduite ici par « WAT »), le verbe (« uitvoeren ») ne se trouve pas à côté de son sujet (« jullie »).

Nom : GLIJDT UIT OTT UITGLIJDEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/02/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij glijdt (van het dak) uit » (« Il glisse du toit »).
On y trouve la forme verbale « glijdt … UIT », provenant de l’infinitif « UITglijden », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « GLIJDEN ».
Quand « UITglijden » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de sa forme verbale proprement dite et cette particule séparable « UIT », composante du verbe, fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« van het dak »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Rappelons que cette particule séparable « UIT » est une ancienne préposition. On aurait donc pu avoir la variante suivante de la phrase : « Hij glijdt uit het dak ».

Nom : BESPIED VTT BESPIEDEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/02/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Bij zijn terugkeer wordt de man echter door speurder nummer 17 bespied » (« Lors de son retour, l’homme est épié par l’enquêteur numéro 17 »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On y trouve donc la forme verbale « BEspied », participe passé provenant de l’infinitif « BEspieden », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Le participe passé « BEspied » est identique à la première personne de l’indicatif présent (radical se terminant déjà par un D) et fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« echter » et « door speurder nummer 17 »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Bij zijn terugkeer »), cela engendre une INVERSION : le sujet « de man » passe derrière le verbe « wordt ». Cette phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : VERZEKERD VTT VERZEKEREN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/02/2022

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Als hij dat hoort is het succes van operatie Bamboe (absoluut) verzekerd » (« S’il entend cela, le succès de l’opération Bambou est assuré »).
Rappelons que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER- GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve, dans la phrase principale, la forme verbale « verzekerd », participe passé provenant de l’infinitif « VERZEKEREN », verbe « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik verzeker ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés :
(pas de préfixe « GE » +) « VERZEKER » + « D » = « VERZEKERD ».
Le participe passé « verzekerd » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« absoluut »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase subordonnée (« Als hij dat hoort ») jouant le rôle d’un complément commençant la phrase principale, cela y engendre une INVERSION : le sujet « het succes van operatie Bamboe » passe derrière le verbe « is ».

Nom : KAN KUNNEN REJET SPREKEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/02/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Kan ik u even vertrouwelijk spreken ? (« Puis-je vous parler un moment en confidence ? »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« spreken »), derrière les compléments (« u », « even » et (« vertrouwelijk »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir « MAG », singulier de l’infinitif « MOGEN», l’auxiliaire de mode de la « POSSIBILITE » :
« Mag ik u even vertrouwelijk spreken ? ».

Nom : DRINGT BINNEN OTT BINNENDRINGEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/02/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij dringt het hotel binnen » (« Il pénètre dans l’hôtel »).
On y trouve la forme verbale « dringen … BINNEN », présent (ou O.T.T.) provenant du verbe « BINNENdringen », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « DRINGEN ».
Il y a REJET de la particule séparable « BINNEN », composante du verbe, derrière le complément (« het hotel»), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe ou d’une de ses composantes, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MOET REJET SLAGEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/02/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Operatie Bamboe moet (absoluut) slagen » (« L’Opération Bambou doit réussir »).
L’auxiliaire de mode de l’OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« slagen »), derrière le complément éventuel (« absoluut »), à la fin de la phrase et, bien sûr, à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs:
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KAN KUNNEN REJET AFLUISTEREN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/02/2022

Description : La (double) phrase suivante est grammaticalement intéressante : « vermomd als werkvrouw kan ik het een en ander afluisteren » (« déguisé en femme de chambre, je peux entendre l’une et /ou l’autre chose »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« afluisteren »), derrière le complément (« het een en ander»), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir « MAG », singulier de l’infinitif « MOGEN», l’auxiliaire de mode de la « POSSIBILITE » :
« vermomd als werkvrouw mag ik het een en ander afluisteren ».
La phrase commençant par un complément («vermomd als werkvrouw»), cela engendre une INVERSION : le sujet « ik » passe derrière le verbe « kan ».

Nom : VERMOMD VTT VERMOMMEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/02/2022

Description : La (double) phrase suivante est grammaticalement intéressante : « vermomd als werkvrouw kan ik het een en ander afluisteren » (« déguisé comme / en ouvrière => femme de chambre, je peux entendre l’une et /ou l’autre chose »).
On y trouve la forme verbale « vermomd », participe passé provenant de l’infinitif « VERMOMMEN ». Ce verbe « VERMOMMEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « vermom ») se terminant par la consonne « M », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés mais pas de préfixe « GE » puisque la forme verbale commence par le préfixe « VER » (c’est aussi le cas pour les verbes commençant par les préfixes BE-, ER-, GE,- HER- et ONT-) : (« GE ») + « VERMOM » + « D » = « VERMOMD ».
Quand « VERMOMMEN » est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « vermomd » derrière le complément éventuel (« als werkvrouw ») à la fin de la phrase, comme on le voit dans la variante suivante : « ik kan als werkvrouw vermomd zijn ».
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs : https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : WIL REJET DOEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/02/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wat wil je doen ? » (« Que veux-tu faire ? »).
L’auxiliaire de mode de la « VOLONTE » est l’infinitif « WILLEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « MOGEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (ici « doen ») derrière le complément (« je »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZAL OTT ZULLEN REJET WEZEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/02/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Het agentschap zal mij een zorg wezen » (« L’agence va être le moindre de mes soucis »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ». Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (« wezen ») à la fin de la phrase, derrière les compléments (« mij » et « een zorg »), à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs:
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MOEST REJET VLUCHTEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/02/2022

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « (Het is) jammer dat je moest vluchten » (« Il est dommage que tu devais / dus => aies dû fuir »).
L’auxiliaire de mode de l’OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN » (donnant MOEST au prétérit ou O.V.T.). Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige normalement le REJET de l’autre forme verbale (« vluchten »), derrière le complément (« jammer »), à la fin de la phrase et à l’infinitif, comme on le voit mieux dans la variante suivante : « je moest jammer vluchten ». Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEDAAN VTT DOEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/02/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « (Zijn) de boodschappen (al) gedaan ? » (« Les commissions sont-elles faites ? »).
On y trouve la forme verbale « GEDAAN », participe passé provenant de l’infinitif « DOEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GEDAAN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« al »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : OPGEKNAPT VTT OPKNAPPEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/02/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij (Triphine) is al opgeknapt » (« Elle est déjà rétablie »).
On y trouve, dans la phrase subordonnée (introduite par « DAT »), la forme verbale « opgeknapt », participe passé provenant de l’infinitif « OPknappen », lui-même construit sur l’infinitif « KNAPPEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (ou première personne du présent : « ik knap op ») se terminant par la consonne « P », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Quand « OPknappen » est conjugué comme participe passé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opgeknapt ».
Il y a REJET de la forme verbale « opgeknapt » derrière le complément (« al ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZOU REJET ZIJN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/02/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressant : « Zou het één van haar verwanten zijn ? » (« Serait-ce un de ses parents ? »).
L’auxiliaire du CONDITIONNEL est l’infinitif « ZOUDEN » ; il est, en quelque sorte, l’« imparfait » (O.V.T. ou prétérit) de l’auxiliaire du FUTUR, « ZULLEN ».
Au CONDITIONNEL, il y a REJET de l’autre forme verbale, ici « zijn », à la fin de la phrase, derrière le complément (ici «één van haar verwanten »), et donc à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : HOORDE OVT HOREN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/02/2022

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante: « Zij (Triphine) schrok geweldig toen ze de naam Pierre Holias hoorde » (« Elle s’est effrayée quand elle entendit / a entendu le nom Pierre Holias »).
On trouve notamment, dans la phrase subordonnée (introduite par « TOEN »), la forme verbale « hoorde », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « HOREN ».
Ce verbe « HOREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik hoor ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit : « HOOR » + « DE » = « HOORDE ».

Nom : SCHROK OVT SCHRIKKEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/02/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij (Triphine) schrok geweldig toen ze de naam Pierre Holias hoorde » (« Elle s’est effrayée quand elle entendit / a entendu le nom Pierre Holias »).
On y trouve notamment la forme verbale « SCHROK », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « SCHRIKKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers » et qui, comme presque tous les verbes en « I », donne une voyelle « O » aux temps du passé (O.V.T. et V.T.T.).
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : VERLOREN VTT VERLIEZEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/02/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze heeft het bewustzijn verloren » (« Elle a perdu conscience »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve donc la forme verbale « VERloren », participe passé provenant de l’infinitif « VERliezen », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « VERloren » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« het bewustzijn »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GENAAMD VTT NAMEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/02/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het ritueel Broella was voor een drenkeling Pierre Holias genaamd / genoemd » (« Le rituel Broella était pour un noyé appelé Pierre Holias »).
On y trouve le participe passé « GENAAMD », qui vient de l’infinitif « NAMEN ». Ce verbe « NAMEN » ou « NOEMEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé, NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik naam » ou « Ik noem ») se terminant par la consonne « M », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison du participe passé :
« GE » + « NAAM » + « D » = « GENAAMD ».
« GE » + « NOEM » + « D » = « GENOEMD ».

Nom : WAS OVT ZIJN 3 ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/02/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het ritueel Broella was voor een drenkeling Pierre Holias genaamd » (« Le rituel Broella était pour un noyé appelé Pierre Holias »).
On y trouve la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIJN », qui constitue vraisemblablement le verbe le plus irrégulier de la langue néerlandaise.
C’est logique : plus on utilise un mot, plus la prononciation le déforme au fil du temps …
Le verbe « ZIJN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : MEEMAAKTE MAAKTE MEE OVT MEEMAKEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/02/2022

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het ritueel Broella, die ik meemaakte, was voor een drenkeling » (« Le rituel Broella, auquel j’assistai, était pour un noyé »).
On y trouve notamment le verbe « MAKEN », qui est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), mais fait partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik maak ») se terminant par la consonne « K », on trouvera le « TE » minoritaire comme terminaison du prétérit : « MAAK » + « TE » = « MAAKTE ».
Si on n’avait pas eu affaire à une phrase subordonnée (introduite par « DIE »), on aurait eu la forme verbale « MAAKTE … MEE », provenant de l’infinitif « MEEMAKEN », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur « MAKEN ». Lorsque « MEEMAKEN » est conjugué, la particule « MEE » (venant de la préposition « MET ») fait en effet l’objet d’un REJET derrière le complément éventuel (« het ritueel ») à la fin de la phrase, comme dans la variante suivante : « ik maakte het ritueel mee ».
Pour le phénomène du REJET (notamment du verbe ou de certaines de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEBRACHT VTT BRENGEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/02/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Begeleid door het hele dorp wordt dit kruis naar het kerkhof gebracht » (« Accompagnée par tout le village, cette croix est portée vers le cimetière »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEBRACHT », participe passé provenant de l’infinitif « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Le participe passé « GEBRACHT » est construit sur le SINGULIER du prétérit, « BRACHT ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Il y a REJET du participe passé, derrière le complément (« naar het kerkhof»), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse, également en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Begeleid door het hele dorp»), cela entraîne une INVERSION du sujet « dit kruis » qui passe derrière son verbe « wordt ». Cette phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : VOORGESTELD VTT VOORSTELLEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/02/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Tijdens de dodenwake van de familie wordt de dode door een wit kruis van was voorgesteld » (« Pendant la veillée funèbre de la famille, le mort est représenté par une croix blanche de / en cire »).
On y trouve la forme verbale « voorgesteld », participe passé provenant de l’infinitif « VOORSTELLEN », dit « à particule séparable ». Ce verbe « STELLEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik stel ») se terminant par la consonne « L », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés : préfixe « GE » + « STEL » + « D » = « GESTELD ».
Quand « VOORSTELLEN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « VOOR » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « voorgesteld ».
La phrase commençant par un complément (« Tijdens de dodenwake van de familie »), cela entraîne une INVERSION du sujet « de dode » qui passe derrière son verbe « wordt ». Cette phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : VERDRONKEN VTT VERDRINKEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 31/01/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « … om de verdronken visser de vreugden van het paradijs te bezorgen …» (« … pour fournir les joies du paradis au pêcheur noyé »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER- GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve donc ici notamment la forme verbale « VERDRONKEN », participe passé (utilisé ici comme adjectif attribut) provenant de l’infinitif « VERDRINKEN », lui-même construit sur « DRINKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers et, parmi eux, d’une catégorie importante de verbes irréguliers, celle des « I » donnant des « O » aux temps du passé (O.V.T. et V.T.T.).
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que « POUR » devant les verbes est rendu en langue néerlandaise par un double mot : « OM … TE ». Les compléments (ici « de verdronken visser » et « de vreugden van het paradijs ») s’intercalent entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « bezorgen ».

Nom : GESIMULEERD VTT SIMULEREN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 30/01/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het ritueel Broella is een gesimuleerde begrafenis » (« Le rituel Broella est un enterrement simulé »).
On y trouve la forme verbale « gesimuleerd », participe passé (utilisé ici comme adjectif) provenant de l’infinitif « SIMULEREN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
« SIMULEREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik simuleer ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés :
préfixe « GE » + « SIMULEER » + « D » = « GESIMULEERD ».

Nom : ZAL OTT ZULLEN REJET WEERVINDEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/01/2022

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Gebeurt dit niet, dan zal men hem nooit weervinden » (« Si cela ne se produit pas, alors on ne le retrouvera jamais »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ». Au FUTUR, il y a (dans la deuxième phrase) REJET de l’autre forme verbale (« weervinden ») à la fin de la phrase, derrière les compléments (« hem » et « nooit »), à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs:
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« dan »), cela engendre une INVERSION : le sujet « men » passe derrière le verbe « zal ».

Nom : ZAL OTT ZULLEN REJET AANSPOELEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/01/2022

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Volgens overleveringen moet de geest van de drenkeling de plaats aanduiden waar zijn lijk zal (uit de zee) aanspoelen » (« D’après des traditions, l’esprit => le spectre du noyé doit indiquer l’endroit où son cadavre va être jeté sur le rivage »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ». Au FUTUR, il y a (dans la phrase subordonnée introduite par « WAAR ») REJET de l’autre forme verbale ou des autres formes verbales («aanspoelen») à la fin de la phrase, derrière le complément éventuel (« uit de zee »), à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs:
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Volgens overleveringen »), cela engendre une INVERSION : le sujet « de geest van de drenkeling » passe derrière le verbe « moet ».

Nom : MOET REJET VERSCHIJNEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/01/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Volgens overleveringen moet de geest van de drenkeling binnen X dagen verschijnen » (« D’après des traditions, l’esprit => le spectre du noyé doit apparaître à la veuve dans les X=> jours »).
L’auxiliaire de mode de l’OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« verschijnen »), derrière les compléments («binnen X dagen » et « aan de weduwe »), à la fin de la phrase et, bien sûr, à l’infinitif, Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs:
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Volgens overleveringen »), cela engendre une INVERSION: le sujet « de geest van de drenkeling » passe derrière le verbe « moet ».

Nom : MOET REJET AANDUIDEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/01/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Volgens overleveringen moet de geest van de drenkeling de plaats aanduiden waar zijn lijk zal (opnieuw) aanspoelen » (« D’après des traditions, l’esprit => le spectre du noyé doit indiquer l’endroit où son cadavre va être jeté sur le rivage »).
L’auxiliaire de mode de l’OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« aanduiden »), derrière le complément (« de plaats »), à la fin de la phrase et, bien sûr, à l’infinitif, Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs:
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Volgens overleveringen »), cela engendre une INVERSION: le sujet « de geest van de drenkeling » passe derrière le verbe « moet ».

Nom : VERDWENEN VTT VERDWIJNEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/01/2022

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het betreft vissers die op zee (zijn) verdwenen zijn » (« Cela concerne des pêcheurs qui ont disparu sur la mer => en mer »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER- GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve, dans la phrase subordonnée (introduite par « DIE »), notamment la forme verbale « VERDWENEN », participe passé provenant de l’infinitif « VERDWIJNEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers et, parmi eux, d’une catégorie importante de verbes irréguliers, celle des « IJ » donnant des « E » aux temps du passé (O.V.T. et V.T.T.). Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre notamment ces trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
ll y a, dans la phrase subordonnée, REJET du participe passé, derrière le complément (« op zee »), à la fin de la phrase et, bien sûr, à l’infinitif, Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs:
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEFOTOGRAFEERD VTT FOTOGRAFEREN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/01/2022

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « « Ik heb er (= daar) een ritueel gefotografeerd » (« J’y ai photographié un rituel »).
On y trouve notamment la forme verbale « gefotografeerd », participe passé provenant de l’infinitif « FOTOGRAFEREN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T. : « ik fotografeer ») se terminant par la consonne « R », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire :
préfixe « GE » + « FOTOGRAFEER » + « D » = « GEFOTOGRAFEERD ».
Quand « FOTOGRAFEREN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, il y a REJET de son participe passé « gefotografeerd » derrière le compléments (« er » et « een ritueel ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEMAAKT VTT MAKEN 2 ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/01/2022

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « « Ik kom net uit Bretagne terug waar ik een reportage heb gemaakt » (« Je reviens juste de Bretagne où j’ai fait un reportage »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée (introduite par « WAAR », où le verbe est séparé de son sujet), la forme verbale « gemaakt », participe passé provenant de l’infinitif «MAKEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T. : « ik maak ») se terminant par la consonne « K », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire :
préfixe « GE » + « MAAK » + « T » = « GEMAAKT ».
Quand « MAKEN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, il y a REJET de son participe passé « gemaakt » derrière le complément (« een reportage ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KOM TERUG OTT TERUGKOMEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/01/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Ik kom net uit Bretagne terug » (« Je reviens juste de Bretagne »).
On y trouve la forme verbale « kom … TERUG », O.T.T. ou indicatif présent provenant de l’infinitif « TERUGkomen », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « KOMEN ».
Quand « TERUGkomen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERUG » de la forme verbale proprement dite et il y a REJET de cette composante « TERUG », derrière les compléments (« net » et « uit Bretagne ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZULLEN REJET INTERESSEREN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/01/2022

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dan zullen mijn foto’s u interesseren » (« Alors mes photos vont vous intéresser »)
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (« interesseren»), derrière le complément (« u »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Dan ») la phrase principale, cela y engendre une INVERSION : le sujet « mijn foto’s » passe derrière le verbe « zullen ».

Nom : STEL VOOR OTT VOORSTELLEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/01/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Stel je me niet voor ? » (« Ne me présentes-tu pas ? »).
On y trouve la forme verbale « stellen … VOOR », provenant de l’infinitif « VOORstellen », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « STELLEN ».
Quand « VOORstellen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « VOOR » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET derrière le complément (« me »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET, lisez :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : WAS OVT ZIJN 2 ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/01/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Dat was … een Amerikaan » (« C’était un Américain »).
On y trouve la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIJN », qui constitue vraisemblablement le verbe le plus irrégulier de la langue néerlandaise.
C’est logique : plus on utilise un mot, plus la prononciation le déforme au fil du temps …
Le verbe « ZIJN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : ZOU REJET KENNEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/01/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressant : «Zou iemand van de receptie hem niet kennen ? » (« Quelqu’un de la réception ne le connaîtrait-il pas ? »).
L’auxiliaire du CONDITIONNEL est l’infinitif « ZOUDEN » ; il est, en quelque sorte, l’« imparfait » (O.V.T. ou prétérit) de l’auxiliaire du FUTUR, « ZULLEN ».
Au CONDITIONNEL, il y a REJET de l’autre forme verbale, ici « kennen », derrière le complément (« hem »), à la fin de la phrase, et donc à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : RENT OM OTT OMRENNEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/01/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij rent net de hoek om » (« Il court juste derrière le coin => il vient de tourner derrière le coin en courant »).
On y trouve la forme verbale « rent … OM », provenant du verbe «OMrennen », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « RENNEN ».
Lorsque « OMRENNEN » est conjugué, cela entraîne le REJET de la « particule séparable » « OM » (ancienne préposition), derrière les compléments (« net » et « de hoek»), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : IK MOET HEM TE PAKKEN KRIJGEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/01/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Die (hem) moet ik (dadelijk) te pakken krijgen ! » (« Celui-là, je dois l’attraper ! »).
L’auxiliaire de mode de l’« OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« krijgen »), derrière le complément éventuel (« dadelijk »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Die »), cela engendre une INVERSION : le sujet « ik » passe derrière le verbe « moet ».

Nom : WAS OVT ZIJN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/01/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik was een man aan het achtervolgen » (« J’étais en train de poursuivre un homme »).
On y trouve la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIJN », qui constitue vraisemblablement le verbe le plus irrégulier de la langue néerlandaise.
C’est logique : plus on utilise un mot, plus la prononciation le déforme au fil du temps …
Le verbe « ZIJN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : GEKREGEN VTT KRIJGEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/01/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze heeft het in de gaten gekregen » (« Elle l’a reçu dans les trous / orbites des yeux => elle m’a vu venir avec mes gros sabots => elle s’en est rendu compte »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEKREGEN », participe passé utilisé avec un passé composé, provenant de l’infinitif « KRIJGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé « GEKREGEN » se construit sur le PLURIEL du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé (la plus nombreuse étant celle des « IJ ») :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« het » et « in de gaten»), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse, également en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KAN KUNNEN REJET SPREKEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/01/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Kan ik u even spreken ? (« Puis-je vous parler un moment ? »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« spreken »), derrière les compléments (« u » et « even »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir « MAG », singulier de l’infinitif « MOGEN», l’auxiliaire de mode de la « POSSIBILITE » :
« Mag ik u even spreken ? ».

Nom : BEZORGD VTT BEZORGEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/01/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je lijkt plots zo bezorgd » (« Tu sembles soudain tellement préoccupée »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve donc ici notamment la forme verbale « BEzorgd », participe passé (utilisé ici comme adjectif attribut) provenant de l’infinitif « BEzorgen ». Le participe passé est, lui, construit sur la première personne de l’indicatif présent (« ik BEzorg mij »), NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts », est donc considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé, NE fait PAS partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical se terminant par la consonne « G », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison du prétérit :
« BEZORG » + « D » = « BEZORGD ».
Il y a, normalement REJET du participe passé, derrière le complément (« plots »), à la fin de la phrase : « Je bent plots zo bezorgd ». Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MOET REJET BEHEREN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/01/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik moet het domein beheren » (« Je dois gérer le domaine »).
L’auxiliaire de mode de l’OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« beheren »), derrière le complément (« het domein »), à la fin de la phrase et, bien sûr, à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs:
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GAAT MEE MEEGAAT OTT MEEGAAN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/01/2022

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : «(Het is) jammer dat je (« met ons ») niet meegaat » (« C’est dommage que tu ne vien(ne)s pas avec / que tu ne nous accompagne pas »).
Si on n’avait pas eu affaire à une phrase subordonnée (introduite par « DAT »), on aurait eu la forme verbale « GAAT … MEE », provenant de l’infinitif « MEEGAAN », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur « GAAN ».
Lorsque « MEEGAAN » est conjugué, la particule « MEE » (venant de la préposition « MET ») fait l’objet d’un REJET derrière le complément éventuel (« met ons ») à la fin de la phrase, comme dans la variante suivante : « je gaat (met ons) niet mee ».
Pour le phénomène du REJET (notamment du verbe ou de certaines de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : LAAT REJET INSCHRIJVEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/01/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «In afwachting laat je hen in het hotel inschrijven » (« Dans l’attente, laisse / fais-les inscrire à l’hôtel »).
« LATEN » exige souvent (surtout à l’impératif) un REJET de l’infinitif (ici « inschrijven »), derrière les compléments (« hen » et « in het hotel »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« In afwachting»), cela engendre une INVERSION : le sujet « je » passe derrière le verbe « laat ».

Nom : BEGINNEN VOOR TE BEREIDEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/01/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij (Chantal Bellemans) begint zich dadelijk op de gekke weddenschap voor te bereiden » (« Elle commence de se préparer immédiatement au pari fou »).
On y trouve notamment le verbe « BEGINNEN », qui exige un « TE » (équivalant au « DE » français) devant l’infinitif. Exemples à :
http://www.idesetautres.be/upload/CONSTRUCTIONS%20PHRASES%20NL%20ZC10%20TE+INFINITIF.zip
On y trouve également la forme verbale « VOOR … bereiden», provenant de l’infinitif « VOORbereiden », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « BEREIDEN ».
Quand « VOORbereiden » est conjugué (c’est plus ou moins le cas ici), cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « VOOR » de sa forme verbale proprement dite d’un REJET, derrière les compléments (« dadelijk » et « op de gekke weddenschap »), à la fin de la phrase.

Nom : LUISTERT AF OTT AFLUISTEREN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/01/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « In de kamer ernaast luistert hij (Thornton) elk woord via een luchtrooster af » (« Dans la chambre d’à-côté, il écoute chaque parole via une bouche d’aération »).
On y trouve la forme verbale « luistert … AF », qui provient de l’infinitif « AFluisteren », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « LUISTEREN ».
Quand « AFluisteren » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de sa forme verbale proprement dite et cette particule séparable « AF », composante du verbe, fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments («elk woord » et « via een luchtrooster »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe ou d’une de ses composantes, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément («In de kamer ernaast»), cela engendre une INVERSION : le sujet « hij » passe derrière le verbe « luistert ».

Nom : KUNNEN REJET VERZAKEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/01/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Aan zo’n gek idee kunnen we (helemaal) niet verzaken » (« Nous ne pouvons renoncer / déclarer forfait à une idée aussi folle »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige, dans la phrase subordonnée (introduite par « DAT »), le REJET de l’autre forme verbale (« verzaken »), derrière le complément éventuel (« helemaal »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait pu avoir « MOGEN », l’auxiliaire de mode de la «POSSIBILITE » : « Aan zo’n gek idee mogen we niet verzaken ».
La phrase commençant par un complément («Om hun succes of tegenslag te verbergen »), cela engendre une INVERSION : le sujet « we » passe derrière le verbe « kunnen ».

Nom : KUNNEN REJET VOLGEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/01/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Kunnen jullie haar de hele weg volgen ? » (« Pouvez-vous la suivre tout le chemin ? »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige, dans la phrase subordonnée (introduite par « DAT »), le REJET de l’autre forme verbale (« volgen »), derrière les compléments (« haar » et « de hele weg »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait pu avoir « MOGEN », l’auxiliaire de mode de la «POSSIBILITE » :
« Mogen jullie haar de hele weg volgen ? »

Nom : AANGENOMEN VTT AANNEMEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/01/2022

Description : La phrase suivante (avec beaucoup de mots sous-entendus) est grammaticalement intéressante : « (Jouw voorstel wordt door mij) aangenomen » (« Ta proposition est acceptée par moi »). (N.B. : WORDEN serait alors l’auxiliaire de la voix passive)
On y trouve la forme verbale « AANgenomen », participe passé provenant de l’infinitif « AANnemen », lui-même construit sur l’infinitif « NEMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « AANnemen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGEnomen ».
Il y a REJET de la forme verbale « AANgenomen » derrière le complément éventuel (« door mij ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : ZONDER TE TONEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/01/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Met een ijzeren helm op en zonder haar gelaat (gezicht) aan wie dan ook te tonen » (« Avec un / Coiffée d’un casque en fer et sans laisser voir son visage à qui que ce soit »).
La préposition « ZONDER » introduit une phrase subordonnée « infinitive », où un « TE » (équivalant à un « DE » en mauvais français) exige le REJET des autres formes verbales (« tonen »), derrière les compléments (« mijn gelaat » et « aan wie dan ook »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Rappelons que s’il s’était agi d’une personne masculine, le possessif aurait été « ZIJN » : « Met een ijzeren helm op en zonder zijn gelaat (gezicht) aan wie dan ook te tonen ».

Nom : ZAL OTT ZULLEN REJET DURVEN WEDDEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/01/2022

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maar zal de lord (nu) durven wedden ? » (« Mais le lord va-t-il oser / osera-t-il parier ? »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale ou des autres formes verbales (« durven » et « wedden ») à la fin de la phrase, derrière le complément éventuel (« nu »), à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZOU REJET AANKUNNEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 31/12/2021

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressant: « Maar ik geloof dat zij (Chantal) het zou aankunnen »
(« Mais je pense qu’elle pourrait le faire »).
L’auxiliaire du CONDITIONNEL est l’infinitif « ZOUDEN » ; il est, en quelque sorte, l’« imparfait » (O.V.T. ou prétérit) de l’auxiliaire du FUTUR, « ZULLEN ».
Au CONDITIONNEL, il y a REJET de l’autre forme verbale, ici « aankunnen », derrière le complément (« het »), à la fin de la phrase, et donc à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
On aurait pu avoir la variante suivante, hors du contexte d’une phrase subordonnée : « zij zou het aankunnen ».

Nom : ZOU REJET DURVEN WEDDEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 30/12/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressant : «Zou je daar tienduizend pond op durven wedden ? » («Oserais-tu parier dix mille livres là-dessus ? »).
L’auxiliaire du CONDITIONNEL est l’infinitif « ZOUDEN » ; il est, en quelque sorte, l’« imparfait » (O.V.T. ou prétérit) de l’auxiliaire du FUTUR, « ZULLEN ».
Au CONDITIONNEL, il y a REJET de l’autre forme verbale, ici « durven », derrière le complément (« tienduizend »), à la fin de la phrase, et donc à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez qu’un deuxième complément, un adverbe pronominal « scindé », précède également cette forme verbale. On aurait pu avoir : « Zou je daarop durven wedden ? »

Nom : WIL REJET AFREIZEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 29/12/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik wil heel Europa afreizen » (« Je veux parcourir toute l’Europe »).
L’auxiliaire de mode de la « VOLONTE » est l’infinitif « WILLEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « MOGEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (ici « afreizen ») derrière le complément (« heel Europa »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : NADOET DOET NA OTT NADOEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/12/2021

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik ben zeker dat zij (Chantal) jouw stunt glansrijk nadoet » (« Je suis certain qu’elle exécute(ra) / réalise ton exploit brillamment »).
On y trouve la forme verbale « nadoet », parce qu’elle est située dans une phrase subordonnée, mais elle aurait pu être « doet … NA », provenant de l’infinitif « NAdoen », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « DOEN », comme dans la variante suivante : « zij doet (Chantal) jouw stunt glansrijk na ».
Quand « NAdoen » est conjugué, cela entraîne donc normalement en néerlandais une séparation de la particule « NA » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET derrière les compléments (« jouw stunt » et « glansrijk »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET, lisez :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KAN KUNNEN REJET UITVOEREN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/12/2021

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Denk je dat een vrouw een dergelijke stunt kan uitvoeren ? » (« Penses-tu qu’une femme peut exécuter / réaliser un tel exploit ? »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige, dans la phrase subordonnée (introduite par « DAT »), le REJET de l’autre forme verbale (« uitvoeren »), derrière le complément (« een dergelijke stunt »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir « MAG », singulier de l’infinitif « MOGEN», l’auxiliaire de mode de la « POSSIBILITE » :
«Denk je dat een vrouw een dergelijke stunt mag uitvoeren ? »

Nom : GEMAAKT VTT MAKEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/12/2021

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Met een ijzeren helm op het hoofd, heb ik de reis gemaakt » (« Avec un casque en fer sur la tête, j’ai fait le voyage »).
On y trouve notamment, dans la deuxième phrase, la forme verbale « gemaakt », participe passé provenant de l’infinitif «MAKEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T. : « ik maak ») se terminant par la consonne « K », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire :
préfixe « GE » + « MAAK » + « T » = « GEMAAKT ».
Quand « MAKEN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, il y a REJET de son participe passé « gemaakt » derrière le complément (« de reis ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Il y a, dans la deuxième phrase, une INVERSION (le sujet « ik » passe derrière le verbe « heb ») parce que la première (« Met een ijzeren helm op het hoofd ») joue le rôle d’un complément la commençant.

Nom : OPGEWASSEN VTT OPWASSEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/12/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een vrouw is toch niet tegen de taak van een man opgewassen » (« Une femme n’est tout de même pas conçue pour accomplir la tâche d’un homme »).
On y trouve la forme verbale « OPgewassen », participe passé provenant de l’infinitif « OPwassen », lui-même construit sur l’infinitif « WASSEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « OPwassen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEwassen ».
Il y a REJET de la forme verbale « OPgewassen » derrière le complément (« tegen de taak van een man ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : MOETEN REJET BEMOEIEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/12/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Vrouwen moeten zich niet met politiek bemoeien » (« Les femmes ne doivent pas se mêter de politique »).
L’auxiliaire de mode de l’« OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« bemoeien »), derrière le complément (« met politiek »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MOETEN REJET BLIJVEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/12/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Vrouwen moeten bij hun kookpot blijven » (« Les femmes doivent rester près de leur casserole »).
L’auxiliaire de mode de l’« OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« blijven »), derrière le complément (« bij hun kookpot »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZONDER TE LATEN ZIEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/12/2021

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik moest een week door Engeland reizen … zonder mijn gelaat / gezicht te laten zien » (« Je devais voyager une semaine à travers l’Angleterre sans laisser voir mon visage »).
La préposition « ZONDER » introduit une phrase subordonnée « infinitive », où un « TE » (équivalant à un « DE » en mauvais français) exige le REJET des autres formes verbales (« laten » et « zien »), derrière le complément (« mijn gelaat »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MOEST REJET REIZEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/12/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik moest een week door Engeland reizen … » (« Je devais voyager une semaine à travers l’Angleterre … »).
L’auxiliaire de mode de l’OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN » (donnant MOEST au prétérit ou O.V.T.). Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« reizen »), derrière les compléments (« een week » et (« door Engeland »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEWONNEN VTT WINNEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/12/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « In mijn jeugd heb ik een weddenschap gewonnen » (« Dans ma jeunesse j’ai gagné un pari »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEWONNEN », participe passé construit sur le PLURIEL du prétérit et provenant de l’infinitif « WINNEN», qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il y a REJET de la forme verbale « GEWONNEN » derrière le complément («een weddenschap ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
La phrase commençant par un complément (« In mijn jeugd »), cela engendre une INVERSION : le sujet « ik » passe derrière le verbe « heb ».

Nom : TREEDT OP OTT OPTREDEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/12/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De politie in Engeland treedt hard tegen de suffragettes op » (« La police en Angleterre intervient rudement contre les suffragettes »).
On y trouve la forme verbale « treedt op », provenant de l’infinitif « OPtreden», verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « TREDEN ».
Quand le verbe est conjugué, il y a REJET de la « particule séparable » « OP », derrière les compléments (« hard » et « tegen de suffragettes »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KAN KUNNEN REJET BESCHIKKEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/12/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Kan ik even over de kamer naast die van de lord beschikken ? » (« Puis-je disposer de la chambre à côté de celle du lord ? »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« beschikken »), derrière les compléments (« even » et «over de kamer naast die van de lord »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir « MAG », singulier de l’infinitif « MOGEN», l’auxiliaire de mode de la « POSSIBILITE » :
« Mag ik even over de kamer naast die van de lord beschikken? ».

Nom : MOET REJET WETEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/12/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik moet er meer van weten » (« Je dois en savoir plus »).
L’auxiliaire de mode de l’OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« weten »), derrière le complément (« meer »), à la fin de la phrase et, bien sûr, à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Le « er » est la première partie de l’adverbe pronominal «erVAN», qui est séparable.

Nom : OPGEDIEND VTT OPDIENEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/12/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Terwijl het diner (= middagmaal) in de kamer van lord Dumbridge wordt OPgediend … » (« Pendant que le dîner est servi dans la chambre de lord Dumbridge … »).
On y trouve, dans cette phrase subordonnée (introduite par « terwijl », la forme verbale «OPgediend », participe passé provenant de l’infinitif « OPDIENEN », verbe dit à particule séparable, construit sur « DIENEN ». Ce verbe « DIENEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik dien ») se terminant par la consonne « N », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés : particule « OP » + préfixe « GE » + « DIEN » + « D » = « OPGEDIEND ».
Quand « OPDIENEN » est conjugué à l’équivalent du passé composé, il y a REJET de son participe passé « OPgediend » derrière le complément (« in de kamer van lord Dumbridge ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
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Cette phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : MAG OTT MOGEN REJET BEGELEIDEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/12/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Wie van ons beiden mag u naar de tafel begeleiden ? » (« Qui de nous deux peut vous accompagner vers la table ? »).
L’auxiliaire de mode de la POSSIBILITE est l’infinitif « MOGEN », donnant un singulier « MAG ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« begeleiden »), derrière les compléments (« u » et « naar de tafel »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que le complément « naar de tafel » est introduit par la préposition « naar » parce qu’il y a un mouvement.

Nom : ZULLEN REJET ETEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/12/2021

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Gezien hun kledij zullen we op mijn kamer eten » (« Vu leur habillement, nous allons manger dans ma chambre »)
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (« eten »), derrière le complément (« op mijn kamer »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase subordonnée (« Gezien hun kledij ») jouant le rôle d’un complément commençant la phrase principale, cela y engendre une INVERSION : le sujet « we » passe derrière le verbe « zullen ».

Nom : GEZIEN VTT ZIEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/12/2021

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Gezien hun kledij zullen we op mijn kamer eten » (« Vu leur habillement, nous allons manger dans ma chambre »)
On y trouve notamment la forme verbale « geZIEN », participe passé provenant de l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’INFINITIF.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait normalement l’objet d’un REJET, derrière le complément à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
On peut le constater dans la variante suivante : « Jullie hebben hun kledij gezien »

Nom : ZULLEN REJET VIEREN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/12/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wij zullen dat vieren » (« Nous allons fêter cela »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (« vieren »), derrière le complément (« dat »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GERED VTT REDDEN 2 ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/12/2021

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zijn dat de dapperen die je van de stier (hebben) gered hebben ? » (« Sont-ce là / Est-ce que ce sont ceux qui t’ont sauvé du taureau ? »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée relative (introduite par « DIE »), la forme verbale « gered », participe passé provenant de l’infinitif « REDDEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (« ik red », première personne du présent ou O.T.T.) se terminant a fortiori déjà par la consonne « D », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire.
Le participe passé « gered » fait l’objet d’un REJET derrière les compléments (« je » et « van de stier ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs:
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Nom : GEHOORD VTT HOREN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/12/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « ik heb van jouw koetsier jouw wedervaren gehoord » (« j’ai entendu => appris par ton cocher l’heureux dénouement de ta mésaventure »).
On y trouve la forme verbale « gehoord », participe passé provenant de l’infinitif « HOREN ». Ce verbe « HOREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik hoor ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés :
préfixe « GE » « HOOR » + « D » = « GEHOORD ».
Quand « HOREN » est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « gehoord » derrière les compléments («van jouw koetsier» et « jouw wedervaren ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KIJK NA IMPERATIF NAKIJKEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/12/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Kijk meteen jouw handboek over beheersing en beleefdheid na ! » (« Revois ton manuel sur la maîtrise de soi et la politesse ! »).
On y trouve la forme verbale « kijk … NA », provenant de l’infinitif « NAkijken », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « KIJKEN ».
Quand « NAkijken » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « NA » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET derrière les compléments (« meteen » et « jouw handboek… »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET, lisez :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : BEDOELDE OVT BEDOELEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/12/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zo bedoelde ik het niet » (« Ce n’est pas ainsi que je le voulais »).
On y trouve la forme verbale « bedoelde », O.V.T. ou prétérit provenant de l’infinitif « BEDOELEN ». Ce verbe « BEDOELEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « bedoel ») se terminant par la consonne « L », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du singulier de l’ O.V.T. ou prétérit :
« BEDOEL » + « DE » = « BEDOELDE ».
La phrase commençant par un complément (« Zo »), cela engendre une INVERSION : le sujet « ik » passe derrière le verbe « bedoelde ».

Nom : KRIJGEN TE DOEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/12/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je krijgt met mij te doen » (« Tu reçois avec moi à faire => tu auras affaire à moi »).
On y trouve l’expression « te doen krijgen » (« avoir affaire à ») et un REJET, derrière le complément (« met mij»), à la fin de la phrase.

Nom : WIL REJET STAAN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/12/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Verder wil ik jullie daarover niet te woord staan » (« Plus loin => par ailleurs je ne veux pas vous recevoir = vous offrir une tribune »).
L’auxiliaire de mode de la VOLONTE » est l’infinitif « WILLEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « MOGEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (ici, « staan ») derrière les compléments (« jullie », « daarover » et « te woord »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Verder »), cela engendre une INVERSION : le sujet « ik » passe derrière le verbe « wil ».
Notez l’expression « te woord staan ».

Nom : DRINGEN BINNEN OTT BINNENDRINGEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/12/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De dames dringen het hotel binnen » (« Les dames pénètrent dans l’hôtel »).
On y trouve la forme verbale « dringen … BINNEN », présent (ou O.T.T.) provenant du verbe « BINNENdringen », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « DRINGEN ».
Il y a REJET de la particule séparable « BINNEN », composante du verbe, derrière le complément (« het hotel»), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe ou d’une de ses composantes, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : DUWEN OPZIJ OTT OPZIJDUWEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/12/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De verbolgen dames duwen de portier opzij » (« Les dames furieuses poussent le portier sur le côté »).
On y trouve la forme verbale « duwen … OPZIJ », présent (ou O.T.T.) provenant du verbe « OPZIJduwen », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « DUWEN ».
Il y a REJET de la particule séparable « OPZIJ », composante du verbe, derrière le complément (« de portier»), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe ou d’une de ses composantes, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VERBOLGEN VTT VERBELGEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/12/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De verbolgen dames duwen de portier opzij » (« Les dames furieuses poussent le portier sur le côté »).
On trouve dans cette phrase notamment la forme verbale « VERBOLGEN », participe passé (utilisé ici comme adjectif) provenant d’un ancien infinitif « VERBELGEN », qui (comme « VERBERGEN ) faisait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre notamment ces trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER- GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.

Nom : KOMEN ERIN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/12/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Jullie komen er niet in ! » (« Vous n’y venez pas => Vous n’y entrez pas ! »).
A première vue, on pense trouver dans cette phrase la forme verbale « komen … IN », présent (ou O.T.T.) qui pourrait provenir du verbe « INkomen », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « KOMEN ». Dans ce cas, il aurait pu y avoir REJET de la particule séparable « IN », composante du verbe, derrière le complément (« ER »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe ou d’une de ses composantes, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Mais il s’agit en fait ici de l’adverbe pronominal « ERIN ».

Nom : WILLEN REJET OVERHANDIGEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/12/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wij willen hem een protestbrief overhandigen » (« Nous voulons lui transmettre une lettre de protestation »).
L’auxiliaire de mode de la VOLONTE » est l’infinitif « WILLEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « MOGEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (ici, « overhandigen ») derrière les compléments (« hem » et « een protestbrief »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEKEND VTT KENNEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 30/11/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij is een gekende tegenstander van het vrouwenkiesrecht » (« ll est un opposant connu du droit de vote pour les femmes »).
On y trouve notamment la forme verbale « gekend », participe passé provenant de l’infinitif « KENNEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (« ik ken », première personne du présent ou O.T.T.) se terminant par la consonne « N », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire.
Le participe passé « gekend » étant ici utilisé comme adjectif, aurait dû être accordé et se terminer, dès lors, par « E.
Comme participe passé, « gekend » aurait, au passé composé, pu faire l’objet d’un REJET derrière le complément à la fin de la phrase comme dans la variante suivante :
« Hij is als tegenstander van het vrouwenkiesrecht gekend ».

Nom : WILLEN REJET SPREKEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 29/11/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Waarom willen jullie hem (lord Dumbridge) spreken ? » (« Pourquoi voulez-vous lui parler ? »).
L’auxiliaire de mode de la VOLONTE » est l’infinitif « WILLEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « MOGEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (ici, « spreken ») derrière le complément (« hem »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZULLEN REJET ZIJN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/11/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Er zullen nog een paar landgenoten van jullie zijn » (« Il y aura encore une paire de compatriotes de vous => quelques-uns de vos compatriotes »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (« zijn »), derrière les compléments (« nog » et « een paar landgenoten van jullie »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Soulignons le fait que, en langue néerlandaise, l’équivalent de « IL Y A » est « ER IS » (si le sujet est au SINGULIER) et varie au PLURIEL pour donner « ER ZIJN ».

Nom : GERED VTT REDDEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/11/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Jullie hebben mij gered » (« Vous m’avez sauvé »).
On y trouve notamment la forme verbale « gered », participe passé provenant de l’infinitif « REDDEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (« ik red », première personne du présent ou O.T.T.) se terminant a fortiori déjà par la consonne « D », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire.
Le participe passé « gered » fait l’objet d’un REJET derrière le complément (« mij ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : OVERKOMEN VTT OVERKOMEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/11/2021

Description : La triple phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Weg wezen eer hij (de stier) beseft wat hem overkomen is » (« Déguerpissons avant qu’il se rende compte de ce qui lui est arrivé »).
On trouve, dans la deuxième phrase subordonnée (introduite par « WAT »), la forme verbale « overkomen », participe passé provenant de l’infinitif « overkomen», lui-même construit sur l’infinitif « KOMEN », qui fait normalement l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « overkomen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, s’il s’était agi d’un verbe « à particule séparable », cela aurait pu entraîner une séparation de la particule « OVER » de son infinitif proprement dit et la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) se serait intercalée entre eux.
Le participe passé « overkomen » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« hem »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : WEGWEZEN WEZEN OVT WIJZEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/11/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Wegwezen ! » (« Que le chemin de la sortie nous soit indiqué => Déguerpissons ! »).
On trouve, dans cette expression, la forme verbale « WEZEN », provenant de l’infinitif « WIJZEN » qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers et, parmi eux, d’une catégorie importante de verbes irréguliers, celle des « IJ » donnant des « E » aux temps du passé (O.V.T. et V.T.T. : participe passé = « GEWEZEN »).
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Notez que l’évolution de la langue néerlandaise tend à « comprimer » les mots et les phrases.

Nom : MOET REJET DICHTDOEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/11/2021

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : «(Men moet) zijn ogen dichtdoen (en men moet de stier) doen struikelen » (« On doit fermer ses yeux et le faire trébucher »).
L’auxiliaire de mode de l’OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »). Il exige le REJET de l’autre forme verbale («dichtdoen »), derrière le complément (« zijn ogen »), à la fin de la première phrase et, bien sûr, à l’infinitif. Il exige le REJET des autres formes verbales (« doen struikelen »), derrière le complément éventuel (« de stier »), à la fin de la deuxième phrase et, bien sûr, à l’infinitif.Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs:
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : OPGEPAST VTT OPPASSEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/11/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Opgepast ! » (« Faites attention ! »).
On y trouve la seule forme verbale « OPgepast », participe passé provenant de l’infinitif « OPpassen», verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « PASSEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent : « ik pas op ») se terminant par la consonne « S », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Quand « OPpassen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEpast ».

Nom : MOET REJET BEKIJKEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/11/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Die moet ik eens beter bekijken » (« Celui-là, je dois une fois mieux l’examiner => je ferais mieux de l’examiner »).
L’auxiliaire de mode de l’OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« bekijken »), derrière les compléments (« eens » et « beter »), à la fin de la phrase et, bien sûr, à l’infinitif, Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs:
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Die »), cela engendre une INVERSION : le sujet « ik » passe derrière le verbe « moet ».

Nom : ZOU REJET STOPPEN ROBERT EN BERTRAND 47 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/11/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressant : «Waarom zou die koets hier stoppen ? » (« Pourquoi cette calèche s’arrêterait ici = peut-elle bien s’arrêter ici ? »).
L’auxiliaire du CONDITIONNEL est l’infinitif « ZOUDEN » ; il est, en quelque sorte, l’« imparfait » (O.V.T. ou prétérit) de l’auxiliaire du FUTUR, « ZULLEN ».
Au CONDITIONNEL, il y a REJET de l’autre forme verbale, ici « stoppen », derrière le complément (« hier »), à la fin de la phrase, et donc à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : LOOPT AF OTT AFLOPEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/11/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Voor de eerste keer loopt het goed af » (« Pour la première fois, cela se termine bien »).
On y trouve notamment la forme verbale « loopt … AF », provenant de l’infinitif « AFlopen », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « LOPEN ».
Quand « AFlopen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de sa forme verbale proprement dite et cette particule séparable « AF », composante du verbe, fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« goed »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Voor de eerste keer »), la phrase principale, cela y engendre une INVERSION : le sujet « het » passe derrière le verbe « loopt ».

Nom : WEG LATEN WEGLATEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/11/2021

Description : La (double) phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik verzuim mijn plicht niet met dit detail weg te laten » (« Je ne néglige pas mon devoir en laissant de côté => en omettant ce détail »).
On y trouve, dans une sorte de phrase subordonnée « infinitive » (introduite par « met »), la forme verbale « WEG … laten », provenant du verbe « WEGlaten », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « LATEN ».
Lorsque « WEGGLATEN » est conjugué, cela entraîne normalement le REJET de la « particule séparable » « WEG », derrière le complément (« dit detail »), à la fin de la phrase, comme on peut le constater dans la phrase suivante : « Ik laat dit detail weg ».
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : BEGREPEN OVT BEGRIJPEN 2 ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/11/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « (ik heb wel) begrepen !» (« compris ! »).
On trouve la forme verbale « begrepen », participe passé provenant du verbe provenant de l’infinitif « BEGRIJPEN », construit sur « GRIJPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers et, parmi eux, d’une catégorie importante de verbes irréguliers, celle des « IJ » donnant des « E » aux temps du passé (O.V.T. et V.T.T.). Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : KAN KUNNEN REJET WEGLATEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/11/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Kan je mijn naam niet weglaten ? » (« Ne peux-tu pas ne pas mentionner mon nom => omettre mon nom ? »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« weglaten »), derrière le complément (« mijn naam »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir « MAG », singulier de l’infinitif « MOGEN», l’auxiliaire de mode de la « POSSIBILITE » :
« Mag je mijn naam niet weglaten ? ».

Nom : RIEP OVT ROEPEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/11/2021

Description : La triple phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik hield zoveel van die arme Agatha dat ik mijn man trotseerde en (dat ik) Robert en Bertrand te hulp riep » (« J’aimais tellement cette pauvre Agatha que je défiai mon mari => je passai au-dessus de la tête de mon mari et que j’appelai R. & B. à l’aide »).
On y trouve, dans la deuxième phrase subordonnée (introduite par « DAT », sous-entendu), la forme verbale « riep », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ROEPEN » qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que, dans une phrase subordonnée néerlandaise, le verbe (ici « riep ») n’est plus à côté de son sujet (« ik ») et fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments, à la fin de la phrase.

Nom : TROTSEERDE OVT TROTSEREN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/11/2021

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik hield zoveel van die arme Agatha dat ik mijn man trotseerde» (« J’aimais tellement cette pauvre Agatha que je défiai mon mari => je suis passée au-dessus de la tête de mon mari »).
Ce verbe « TROTSEREN », dans la phrase subordonnée (introduite par « DAT »), est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik trotseer ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit :
« TROTSEER » + « DE » = « TROTSEERDE ».
Rappelons que, dans une phrase subordonnée néerlandaise, le verbe (« trotseerde ») n’est plus à côté de son sujet (« ik »).

Nom : HIELD OVT HOUDEN 2 ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/11/2021

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik hield zoveel van die arme Agatha dat ik mijn man trotseerde» (« J’aimais tellement cette pauvre Agatha que je défiai mon mari => je suis passée au-dessus de la tête de mon mari »).
On y trouve, dans la phrase principale, la forme verbale « HIELD », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « HOUDEN » qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que « HOUDEN van », correspondant à « tenir à (quelqu’un) », signifie donc « AIMER ».

Nom : MOET REJET INLEVEREN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/11/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik moet mijn rapport / verslag nog inleveren » (« Je dois encore livrer mon rapport »).
L’auxiliaire de mode de l’OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« inleveren »), derrière les compléments (« mijn rapport » et « nog »), à la fin de la phrase et, bien sûr, à l’infinitif, Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZET AF IMPERATIF AFZETTEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/11/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zet mij aan het bureau af ! » (« Déposez-moi à mon bureau ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « zet … AF », provenant de l’infinitif « AFzetten », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « ZETTEN ».
Quand « AFzetten » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de sa forme verbale proprement dite et cette particule séparable « AF », composante du verbe, fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« mij » et « aan het bureau »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZAL OTT ZULLEN REJET BLIJVEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/11/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het wild zal buiten jouw netten blijven » (« Le gibier va rester hors de tes filets »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (« blijven »), derrière le complément (« buiten jouw netten »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : HOUD OP IMPERATIF OPHOUDEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/11/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hou(d) met kijven op ! (« Arrête de nous chercher querelle ! »).
On y trouve la forme verbale « hou(d) … op », impératif provenant du verbe « OPhouden », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « HOUDEN ».
Quand « OPhouden » est conjugué, cela entraîne normalement en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit et son REJET, derrière le complément (« met kijven »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KAN KUNNEN REJET HEENBRENGEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/11/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Waar kan ik jullie heenbrengen ?» (« Où puis-je vous amener ? »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« heenbrengen »), derrière le complément (« jullie »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir « MAG », singulier de l’infinitif « MOGEN», l’auxiliaire de mode de la « POSSIBILITE » :
« Waar mag ik jullie heenbrengen ? ».

Nom : MAG OTT MOGEN REJET KOMEN AFHALEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/11/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Mag ik jullie komen afhalen ? » (« Puis-je venir vous chercher … ? »).
L’auxiliaire de mode de la POSSIBILITE est l’infinitif « MOGEN », donnant un singulier « MAG ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « WILLEN »), il exige le REJET des autres formes verbales (« komen afhalen »), derrière le complément (« jullie »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : OPGEKNAPT VTT OPKNAPPEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/11/2021

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik zie dat jullie al flink opgeknapt zijn » (« Je vois que vous êtes déjà bien rétablis »).
On y trouve, dans la phrase subordonnée (introduite par « DAT »), la forme verbale « opgeknapt », participe passé provenant de l’infinitif « OPknappen », lui-même construit sur l’infinitif « KNAPPEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (ou première personne du présent : « ik knap op ») se terminant par la consonne « P », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Quand « OPknappen » est conjugué comme participe passé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opgeknapt ».
Il y a REJET de la forme verbale « opgeknapt » derrière les compléments (« al » et « flink ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VOELDEN OVT VOELEN BEDROGEN VTT BEDRIEGEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/11/2021

Description : La triple phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maar hij (Malbin) ruimde hem uit de weg zoals hij trouwens ook deed met leden die zich bedrogen voelden » (« Mais il l’ôta de son chemin, comme il le fit par ailleurs aussi avec des membres / affiliés qui se sentaient menacés »).
On y trouve, dans une phrase subordonnée, VOELDEN (au prétérit ou O.V.T.) provenant de « VOELEN ». N’oubliez pas que, dans une phrase subordonnée, la forme verbale (ici «voelden») n’est plus à côté de son sujet et fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« bedrogen »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
On trouve dans cette même phrase la forme verbale « bedrogen », participe passé provenant de l’infinitif « BEdriegen », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et dont le participe passé est construit sur le PLURIEL du prétérit, au point de lui être identique. Les infinitifs en « IE » constituent en effet une des trois grandes catégories de verbes irréguliers et donnent des « O » aux temps du passé (O.V.T ou V.T.T). Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que, au participe passé des verbes commençant par les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER-, ceux-ci NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.

Nom : DEED OVT DOEN 4 ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/11/2021

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maar hij (Malbin) ruimde hem uit de weg zoals hij trouwens ook deed … » (« Mais il le nettoya / l’ôta du / de son chemin, comme il le fit par ailleurs aussi … »).
On y trouve, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « DEED », O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « DOEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
N’oubliez pas que, dans une phrase subordonnée, la forme verbale (ici «deed») n’est plus à côté de son sujet (ici « hij ») et fait l’objet d’un REJET derrière les compléments (ici « trouwens » et « ook »). Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : RUIMDE OVT RUIMEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/11/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maar hij (Malbin) ruimde hem uit de weg » (« Mais il le nettoya / l’ôta du / de son chemin »).
Ce verbe « RUIMEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik ruim ») se terminant par la consonne « M », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit :
« RUIM » + « DE » = « RUIMDE ».

Nom : WILDE OVT WILLEN REJET VLUCHTEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/11/2021

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Toen ik hem op het spoor kwam wilde hij (zo vlug mogelijk) vluchten » (« Lorsque je découvris sa piste, il voulut fuir »).
On trouve, dans la phrase principale, WILDE (au prétérit ou O.V.T.) provenant de l’auxiliaire de mode « WILLEN » (donnant actuellement WILDE – tendant à remplacer la forme plus ancienne WOU – au singulier du prétérit ou O.V.T.). Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « MOGEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (ici, « vluchten ») derrière le complément éventuel (« zo vlug mogelijk »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KWAM OVT KOMEN 8 ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 31/10/2021

Description : La triple phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Toen ik hem op het spoor kwam … » (« Lorsque je vins sur sa piste … »).
On y trouve notamment la forme verbale « KWAM », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « KOMEN ».
Le verbe « KOMEN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
N’oubliez pas que, dans une phrase subordonnée, la forme verbale (ici «kwam») n’est plus à côté de son sujet (ici « ik ») et fait l’objet d’un REJET derrière les compléments (ici « hem » et « op het spoor »). Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : BLEVEN OVT BLIJVEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 30/10/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze (de Malbins) bleven onbekend » (« Ils restaient inconnus »).
On y trouve notamment la forme verbale « BLEVEN » (O.V.T. ou « prétérit »), provenant de l’infinitif « BLIJVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers et qui, comme presque tous les verbes en « IJ », donne une voyelle « E » (double, au singulier). Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : RONSELDE OVT RONSELEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 29/10/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Grosjean) ronselde de leden in het restaurant » (« Il recrutait / racolait les membres dans le restaurant »).
Ce verbe « RONSELEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik ronsel ») se terminant par la consonne « L », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit :
« RONSEL » + « DE » = « RONSELDE ».

Nom : BEKEND VTT BEKENNEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/10/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij (Mevrouw Malbin) heeft alles bekend » (« Elle a tout reconnu »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On y trouve la forme verbale « bekend », participe passé provenant de l’infinitif « BEKENNEN », considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik beken ») se terminant par la consonne « N », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés :
(PAS de préfixe « GE ») + « BEKEN » + « D » = « BEKEND ».
Quand « BEKENNEN » est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « bekend » derrière le complément (« alles ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : LEVERT OP OTT OPLEVEREN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/10/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « « Een ontmoeting met juffrouw Stippenlift levert altijd actie op » (« Une rencontre avec mademoiselle Stippenlift livre => engendre toujours de l’action »).
On y trouve la forme verbale « levert … OP », provenant du verbe « OPleveren », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « LEVEREN ».
Quand « OPleveren » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, qui fait l’objet d’un REJET derrière les compléments (« altijd » et « actie ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GING OVT GAAN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/10/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zo ging dat » (« C’est ainsi que cela allait / fonctionnait »).
On y trouve notamment la forme verbale « GING » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant de l’infinitif « GAAN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
La phrase commençant par un complément (« Zo »), cela engendre une INVERSION : le sujet « dat » passe derrière le verbe « ging ».
On aurait pu avoir la variante suivante : « Dat ging zo ».

Nom : VERDRONKEN VTT VERDRINKEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/10/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij is (in het kanaal) verdronken » (« Il (s’) est noyé »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER- GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve donc ici notamment la forme verbale « VERDRONKEN », participe passé (utilisé ici comme adjectif attribut) provenant de l’infinitif « VERDRINKEN », lui-même construit sur « DRINKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers et, parmi eux, d’une catégorie importante de verbes irréguliers, celle des « I » donnant des « O » aux temps du passé (O.V.T. et V.T.T.).
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « VERDRONKEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« in het kanaal »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MOCHT OVT MOGEN REJET BATEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/10/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het mocht (vast en zeker) niet baten » (« Cela ne pouvait pas rater »).
La forme verbale « MOCHT » est le prétérit (SINGULIER) du verbe « MOGEN» faisant ici l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers, au moins à l’O.V.T. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
L’auxiliaire de mode de la « POSSIBILITE » ou de la « PERMISSION » est l’infinitif « MOGEN » (donnant, à l’O.T.T. ou indicatif présent, un singulier « MAG »). Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière le complément éventuel (« vast en zeker »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KON OVT KUNNEN 4 ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/10/2021

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « « Je hebt (wel) gedaan wat je (in het kanaal) kon (doen) » (« Tu as fait ce que tu pouvais »).
La forme verbale « KON » est à l’O.V.T. (prétérit SINGULIER) du verbe « KUNNEN » faisant l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers, au moins à l’O.V.T. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE », « KUNNEN » (donnant, à l’O.T.T. ou indicatif présent, un singulier « KAN »), comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), exige, le cas échéant, le REJET d’une autre forme verbale (par exemple « doen »), derrière le complément éventuel (« in het kanaal ») à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEDAAN VTT DOEN 2 ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/10/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je hebt (wel) gedaan wat je kon » (« Tu as fait … »).
On y trouve la forme verbale « GEDAAN », participe passé provenant de l’infinitif « DOEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GEDAAN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« wel »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GRIJPT IN OTT INGRIJPEN 2 ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/10/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De brandweer grijpt (zo vlug mogelijk) in » (« Le service incendie intervient => les pompiers interviennent »).
On y trouve la forme verbale « grijpt … IN », provenant du verbe «INgrijpen », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « GRIJPEN ».
Lorsque « INGRIJPEN » est conjugué, cela entraîne le REJET de la « particule séparable » « IN », derrière le complément éventuel (« zo vlug mogelijk »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEKLEMD VTT KLEMMEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/10/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij zit / is (in de verdronken wagen) geklemd » (« Il est coincé »).
On y trouve la forme verbale « geklemd », participe passé provenant de l’infinitif « KLEMMEN ». Ce verbe « KLEMMEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik klem ») se terminant par la consonne « M », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés :
préfixe « GE » + « KLEM » + « D » = « GEKLEMD ».
Quand « KLEMMEN » est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « geklemd » derrière le complément éventuel (« in de verdronken wagen ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https ://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : SLAAGT ERIN OTT ERIN SLAGEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/10/2021

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij slaagt er niet in hem boven te halen » (« Il ne réussit pas à le tirer en haut => à le remonter à la surface »).
On y trouve, sous-entendue, l’expression « ERIN SLAGEN », avec une forme verbale « slaagt … ERIN » (< « DAARIN ») engendrant un « TE », devant l’infinitif (« halen ») de la deuxième phrase.
Le « IN », réagissant comme une sorte de particule séparable, fait l’objet d’un REJET, derrière la négation (« niet »), à la fin de la première phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https ://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
L’adverbe pronominal « ERIN » remplace l’équivalent d’un complément, comme on le voit mieux dans la variante suivante : « Hij slaagt in de redding niet ».

Nom : DUIKT NA OTT NADUIKEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/10/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ondanks zijn gewonde arm duikt hij (Bertrand) de drenkeling na » (« Malgré son bras blessé, il plonge derrière le noyé »).
On y trouve la forme verbale « duikt … NA », provenant de l’infinitif « NAduiken », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « DUIKEN ».
Quand « NAduiken » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « NA » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET derrière le complément (« de drenkeling »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET, lisez :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Ondanks zijn gewonde arm »), cela engendre une INVERSION : le sujet « hij » passe derrière le verbe « duikt ».

Nom : GEZONKEN VTT ZINKEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/10/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij is (in het kanaal) gezonken » (« Il a coulé »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEZONKEN », participe passé provenant de l’infinitif « ZINKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Il faut aussi noter que presque tous les verbes en « I » donnent, aux temps du passé, une voyelle « O » (« ZONK » au singulier du prétérit => « ZONKEN » au PLURIEL). Il est donc à noter que le participe passé « GEZONKEN » se construit sur le PLURIEL du prétérit.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé : https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « gezonken » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« in het kanaal »), à la fin de la phrase. Voyez :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : RIJDT IN OTT INRIJDEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/10/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij rijdt het kanaal in » (« Il roule => plonge dans le canal »).
On y trouve la forme verbale « rijdt … IN », provenant de l’infinitif « INrijden », lui-même construit sur l’infinitif « RIJDEN ».
Quand « INrijden » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « IN » de son infinitif proprement dit et il y a REJET de la particule « IN » derrière le complément (« het kanaal ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Rappelons que cette particule séparable « IN » est une ancienne préposition. On aurait donc pu avoir la variante suivante de la phrase : « Hij rijdt in het kanaal ».

Nom : KLAMP VAST IMPERATIF VASTKLAMPEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/10/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Klamp je (in de wagen) vast ! » (« Accroche-toi ! »).
On y trouve la forme verbale « klampen … VAST », provenant de l’infinitif « VASTklampen », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « KLAMPEN ».
Quand « VASTklampen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « VAST » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET derrière le complément éventuel (« in de wagen »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET, lisez :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZAL OTT ZULLEN REJET ONTSNAPPEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/10/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij zal ons op de grote baan ontsnappen » (« Il va nous échapper sur la grand’route »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (« ontsnappen »), derrière les compléments (« ons » et « op de grote baan »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KAN KUNNEN REJET AFSCHUDDEN 2 ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/10/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Daar kan ik hen wel afschudden » (« Là je peux bien les semer »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« afschudden »), derrière le complément (« hen » »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Daar »), cela engendre une INVERSION : le sujet « ik » passe derrière le verbe « kan ».
Notez que l’on aurait dû avoir « MAG », singulier de l’infinitif « MOGEN», l’auxiliaire de mode de la « POSSIBILITE » :
« Daar mag ik hen wel afschudden ».

Nom : UITGEVONDEN VTT UITVINDEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/10/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat is nog niet uitgevonden » (« Cela n’a pas encore été inventé »).
On y trouve la forme verbale « UITgevonden », participe passé provenant de l’infinitif « UITvinden », lui-même construit sur l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « UITvinden » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « uitGEvonden ».
Il y a REJET de la forme verbale « UITgevonden » derrière le complément éventuel (« nog ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Pour complément d’informations concernant les « temps primitifs », consultez par exemple notre tableau de synthèse sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : MOETEN REJET AFNEMEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/10/2021

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Eer hij me ontsnapt moeten ze mijn rijbewijs afnemen) … » (« Avant qu’il m’échappe, ils doivent => devront me retirer mon permis de conduire »).
L’auxiliaire de mode de l’OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’infinitif (ici « nemen »), derrière le complément (« mijn rijbewijs »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Il y a, dans la deuxième phrase, une INVERSION (le sujet « ze » passe derrière le verbe « moeten ») parce que la première (« Eer hij me ontsnapt ») joue le rôle d’un complément la commençant.

Nom : PAS OP IMPERATIF OPPASSEN 3 ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/10/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Pas (« voor de voetgangers ») op ! » (« Faites attention aux piétons ! »).
On y trouve la seule forme verbale « Pas op ! », impératif de l’infinitif « OPpassen», verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « PASSEN ».
il y a REJET de la « particule séparable » « OP », derrière le complément éventuel (« voor de voetgangers »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que le radical (première personne du présent) est la même forme verbale : « ik pas op ».

Nom : ZAL OTT ZULLEN REJET RIJDEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/10/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik zal (met de wagen) rijden » (« Je roulerai / vais rouler => vais conduire »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (« rijden ») à la fin de la phrase, derrière le complément éventuel (« met de wagen »), et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : STAP IN IMPERATIF INSTAPPEN 2 ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/10/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Stap (de wagen) in ! » (« Entre / monte dans la voiture ! »).
On y trouve la forme verbale « stap … IN » à l’impératif, provenant de l’infinitif « INstappen », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « STAPPEN ».
Quand « INstappen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « IN » de sa forme verbale proprement dite et cette particule séparable « IN », composante du verbe, fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« de wagen »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Rappelons que cette particule séparable « IN » est une ancienne préposition. On aurait donc pu avoir la variante suivante de la phrase : « Stap in de wagen ! ».

Nom : GEWOND VTT WONDEN 5 ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/10/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je bent (aan de rechter schouder) gewond (Tu es blessé à l’épaule droite) ».
On y trouve la forme verbale « gewond », participe passé provenant de l’infinitif « WONDEN ». Ce verbe « WONDEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik wond ») se terminant (déjà) par la consonne « D », on trouvera a fortiori le « D » majoritaire (qui ne sera pas doublé en fin de mot) comme terminaison des participes passés :
préfixe « GE » + « WON(D) » + « D » = « GEWOND ».
Quand « WONDEN » est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « gewond » derrière le complément éventuel (« aan de rechterschouder ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MAG OTT MOGEN REJET ONTSNAPPEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/10/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Die man mag (« ons ») niet ontsnappen » (« Cet homme ne peut pas nous échapper »).
L’auxiliaire de mode de la POSSIBILITE est l’infinitif « MOGEN », donnant un singulier « MAG ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« ontsnappen »), derrière le complément éventuel (« ons »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZAL OTT ZULLEN REJET BOETEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/10/2021

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het heeft je tot misdrijven geleid waarvoor je zal boeten » (« Cela t’a conduit à => t’a amené à perpétrer des méfaits, pour lesquels tu vas être mis à l’amende => ce pourquoi tu vas payer »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il devrait y avoir REJET de l’autre forme verbale («boeten ») à la fin de la phrase, derrière le complément éventuel (« daarvoor »), et à l’INFINITIF, ce que l’on voit mieux dans la variante suivante : « je zal daarvoor boeten ». Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GELEID VTT LEIDEN 2 ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/10/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het heeft je tot misdrijven geleid » (« Cela t’a conduit à => t’a amené à perpétrer des méfaits »).
On y trouve notamment la forme verbale « geleid », participe passé provenant de l’infinitif « LEIDEN ». Ce verbe « LEIDEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik leid ») se terminant par la consonne « D », on trouvera a fortiori le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés :
préfixe « GE » + « LEID » + (pas de deuxième « D » au V.T.T.) = « GELEID ».
Il y a REJET de ce participe passé « geleid », derrière les compléments (« je » et « tot misdrijven ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : OMte LATEN LOPEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/10/2021

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het was toch knap van me om die naïeve geldwolven erin (< daarin) te laten lopen … » (« C’était tout de même futé de ma part de faire courir ces naïfs loups assoiffés d’argent => / d’attirer ces rapaces dans ce piège »).
Rappelons que « POUR » devant les verbes est rendu en langue néerlandaise par un double mot : « OM … TE ». Les compléments (ici « die naïeve geldwolven » et « erin ») s’intercalent entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « laten ».

Nom : WAS OVT ZIJN 12 ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/10/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Het was toch knap van me … » (« C’était tout de même futé de ma part … »).
On y trouve la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIJN », qui constitue vraisemblablement le verbe le plus irrégulier de la langue néerlandaise.
C’est logique : plus on utilise un mot, plus la prononciation le déforme au fil du temps …
Le verbe « ZIJN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : GEWOND VTT WONDEN WERD OVT WORDEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/10/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik werd bij de ontploffing gewond » (« Je fus blessé lors de l’explosion »).
On y trouve la forme verbale « gewond », participe passé provenant de l’infinitif « WONDEN ». Ce verbe « WONDEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik wond ») se terminant (déjà) par la consonne « D », on trouvera a fortiori le « D » majoritaire (qui ne sera pas doublé en fin de mot) comme terminaison des participes passés :
préfixe « GE » + « WON(D) » + « D » = « GEWOND ».
Quand « WONDEN » est conjugué au passé composé, il y a habituellement REJET de son participe passé « gewond » derrière le complément (« bij de ontploffing ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » (ici « WERD ») est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ». Il fait aussi l’objet des « temps primitifs ».

Nom : GEVONDEN VTT VINDEN 4 ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 30/09/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hoe heb je me gevonden ? » (« Comment m’as-tu trouvé ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEVONDEN », participe passé provenant de l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « I », donne une voyelle « O » pour les temps du passé. Ce participe passé « GEVONDEN » est construit sur le PLURIEL du prétérit ou O.V.T. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GEVONDEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« me »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MAAKT LEEG OTT REJET LEEGMAKEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 29/09/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij maakt zijn brandkas LEEG » (« Il vide son armoire à l’épreuve de l’incendie / du feu => son coffre-fort »).
On y trouve la forme verbale « MAAKT … LEEG », provenant de « LEEGMAKEN », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « MAKEN ».
Quand « LEEGMAKEN » est conjuguée, il y a REJET de « LEEG » (ancien adjectif, réagissant comme une « particule séparable ») derrière le complément (« zijn brandkas ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs:
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : WIL REJET VERTREKKEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/09/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij wil (zo vlug mogelijk) vertrekken » (« Il veut partir aussi vite que possible »).
L’auxiliaire de mode de la « VOLONTE » est l’infinitif « WILLEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « MOGEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (ici « vertrekken ») derrière le complément éventuel (« zo vlug mogelijk »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KAN KUNNEN REJET WORDEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/09/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Het kan gevaarlijk worden » (« Cela peut devenir dangereux »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« worden »), derrière le complément (« gevaarlijk » »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir « MAG », singulier de l’infinitif « MOGEN», l’auxiliaire de mode de la « POSSIBILITE » :
« Het mag gevaarlijk worden ».

Nom : OP DE HOOGTE BRENGEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/09/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Tijdens de rit brengt hij (Bertrand) mevrouw Mangin op de hoogte » (« Pendant le trajet, il met madame Mangin au courant »).
On y trouve la forme verbale « brengt … op de hoogte », provenant de l’expression « op de hoogte brengen ».
Le complément « op de hoogte » y réagit comme une particule séparable et fait l’objet d’un REJET, à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément («Tijdens de rit »), cela engendre une INVERSION : le sujet « hij » passe derrière le verbe « brengt ».

Nom : STAP IN IMPERATIF INSTAPPEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/09/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Stap (de wagen) in ! » (« Montez dans la voiture ! »).
On y trouve la forme verbale « stap … IN » à l’impératif, provenant de l’infinitif « INstappen », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « STAPPEN ».
Quand « INstappen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « IN » de sa forme verbale proprement dite et cette particule séparable « IN », composante du verbe, fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« de wagen »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Rappelons que cette particule séparable « IN » est une ancienne préposition. On aurait donc pu avoir la variante suivante de la phrase : « Stap in de wagen ! ».

Nom : NAM OVT NEMEN 2 ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/09/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Waarom nam ik niet meer foto’s ? » (« Pourquoi ne pris-je pas / n’ai-je pas pris plus de photos ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « nam », prétérit (ou O.V.T.) provenant de l’infinitif « NEMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : MAG OTT MOGEN REJET MEERIJDEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/09/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Mag ik (met u) meerijden ? » (« Puis-je rouler avec vous ? => vous accompagner en voiture ? »).
L’auxiliaire de mode de la POSSIBILITE est l’infinitif « MOGEN », donnant un singulier « MAG ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« meerijden »), derrière le complément éventuel (« met u»), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : WAS OVT ZIJN 11 ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/09/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Hij was de grootmeester van de sekte » (« Il était le grand-maître de la secte »).
On y trouve la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIJN », qui constitue vraisemblablement le verbe le plus irrégulier de la langue néerlandaise.
C’est logique : plus on utilise un mot, plus la prononciation le déforme au fil du temps …
Le verbe « ZIJN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : WAS OVT ZIJN 10 ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/09/2021

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « En Grosjean die daar chauffeur was » (« Et Grosjean qui était chauffeur là-bas … »).
On y trouve, dans la phrase subordonnée (introduite par « DIE »), la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIJN », qui constitue vraisemblablement le verbe le plus irrégulier de la langue néerlandaise.
C’est logique : plus on utilise un mot, plus la prononciation le déforme au fil du temps …
Le verbe « ZIJN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
La forme verbale « WAS » fait ici l’objet d’un REJET, derrière le complément (« daar »), à la fin de la phrase, parce que la phrase est subordonnée. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KENDE OVT KENNEN 2 ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/09/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Als Agatha dat kende … » (« Si Agatha savait cela … »).
Le verbe « KENNEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik ken ») se terminant par la consonne « N », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit :
« KEN » + « DE » = « KENDE ».

Nom : LAG OVT LIGGEN 2 ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/09/2021

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Tussen de bankbiljetten lag iets dat op een spijskaart lijkt » (« Parmi les billets de banque se trouvait quelque chose qui ressemble à un menu »).
On y trouve notamment la forme verbale « LAG », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « LIGGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
La phrase commençant par un complément («Tussen de bankbiljetten »), cela engendre une INVERSION : le sujet « iets » passe derrière le verbe « lag ».
Notez, dans la deuxième phrase, la préposition : « lijken op » = « ressembler à ».

Nom : GEMAAKT VTT MAKEN 2 ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/09/2021

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « « Van de foto’s die ik nam, heb ik vergrotingen van sommige bijzonderheden gemaakt » (« Des photos que j’ai prises / que je pris, j’ai fait des agrandissements de quelques particularités »).
On y trouve notamment, dans la deuxième phrase, la forme verbale « gemaakt », participe passé provenant de l’infinitif «MAKEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T. : « ik maak ») se terminant par la consonne « K », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire :
préfixe « GE » + « MAAK » + « T » = « GEMAAKT ».
Quand « MAKEN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, il y a REJET de son participe passé « gemaakt » derrière le complément (« vergrotingen van sommige bijzonderheden ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Il y a, dans la deuxième phrase, une INVERSION (le sujet « ik » passe derrière le verbe « heb ») parce que la première (« Van de foto’s die ik nam ») joue le rôle d’un complément la commençant.

Nom : NAM OVT NEMEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/09/2021

Description : La (double) phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Van de foto’s die ik nam … » (« De les => des photos que j’ai prises / que je pris … »).
On y trouve, dans la phrase subordonnée (introduite par « DIE »), la forme verbale « nam », prétérit (ou O.V.T.) provenant de l’infinitif « NEMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : VOND OVT VINDEN 3 ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/09/2021

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik was met jullie in de kuil toen je die arme Agatha vond » (« J’étais avec vous dans la fosse lorsque tu trouvas / tu as trouvé cette pauvre Agatha »).
On y découvre, dans la phrase subordonnée (introduite par « TOEN »), la forme verbale « VOND », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « I », donne une voyelle « O » pour les temps du passé. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
N’oubliez pas que, dans une phrase subordonnée néerlandaise, la forme verbale (ici « vond ») n’est plus à côté de son sujet (ici « je »). Ils sont séparés par le complément (« die arme Agatha »).

Nom : WAS OVT ZIJN 9 ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/09/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Ik was met jullie in de kuil » (« J’étais avec vous dans la fosse »).
On y trouve la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIJN », qui constitue vraisemblablement le verbe le plus irrégulier de la langue néerlandaise.
C’est logique : plus on utilise un mot, plus la prononciation le déforme au fil du temps …
Le verbe « ZIJN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : KAN KUNNEN REJET HELPEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/09/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik kan je misschien helpen » (« Je peux peut-être t’aider »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« helpen »), derrière les compléments (« je » et «misschien »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir « MAG », singulier de l’infinitif « MOGEN», l’auxiliaire de mode de la « POSSIBILITE » :
« Ik mag je misschien helpen ».

Nom : LAS OVT LEZEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/09/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik las het allemaal in de krant » (« Je lus tout = ai tout lu dans le journal »).
On y trouve notamment la forme verbale « LAS », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « LEZEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que si la dernière lettre du radical du verbe à l’indicatif présent (ou O.T.T.) est un « Z » (LEZEN – EN = LEZ), elle se transforme en « S » – c’est aussi le cas à l’O.V.T. ou « prétérit » – et le son « é » de l’infinitif est rendu au SINGULIER en doublant la voyelle : LEES.
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=radVerbes

Nom : VOND OVT VINDEN 2 ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/09/2021

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wat een geluk dat ik je vond ! » (« Quelle chance que je te trouvai / je t’ai trouvé ! »).
On y découvre, dans la phrase subordonnée (introduite par « DAT »), la forme verbale « VOND », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « I », donne une voyelle « O » pour les temps du passé. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
N’oubliez pas que, dans une phrase subordonnée néerlandaise, la forme verbale (ici « vond ») n’est plus à côté de son sujet (ici « ik »). Ils sont séparés par le complément (« je »).

Nom : HOUDT SCHUIL OTT SCHUILHOUDEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/09/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Waar houdt zich (nu) schuil ? » (« Où se cache-t-il ? »)
On y trouve la forme verbale « houdt … schuil », qui provient de l’infinitif « SCHUILHOUDEN », verbe dit à « particule séparable », lui-même construit sur « HOUDEN ».
Lorsque « SCHUILHOUDEN » est conjugué, cela entraîne le REJET de la particule séparable « SCHUIL », derrière le complément éventuel (« nu »), à la fin de la phrase. Voir le phénomène du REJET, entre autres à
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KONDEN OVT KUNNEN REJET IDENTIFICEREN 2 ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/09/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Tot op heden konden we nog niemand identificeren » (« Jusqu’à ce jour, nous ne pouvions / pûmes = n’avons pu encore identifier personne »).
L’auxiliaire de mode de la CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN » et un O.V.T. (ou prétérit) « KON » (PLURIEL irrégulier « KONDEN »). Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (ici « identificeren »), derrière les compléments (« nog » et « niemand »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Le verbe « KUNNEN » fait l’objet (au seul prétérit ou O.V.T.) des « temps primitifs ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
La phrase commençant par un complément (« Tot op heden »), cela engendre une INVERSION : le sujet « we » passe derrière le verbe « konden ».

Nom : KENDEN OVT KENNEN 2 ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/09/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De burgers kenden de gemaskerden niet » (« Les bourgeois ne connaissaient pas les masqués »).
Le verbe « KENNEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik ken ») se terminant par la consonne « N », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit :
« KEN » + « DE » + « N » (PLURIEL) = « KENDEN ».

Nom : GEWOND VTT WONDEN 2 ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/09/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De burgers zijn (na de ontploffing) gewond (Les bourgeois sont blessés) ».
On y trouve la forme verbale « gewond », participe passé provenant de l’infinitif « WONDEN ». Ce verbe « WONDEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik wond ») se terminant (déjà) par la consonne « D », on trouvera a fortiori le « D » majoritaire (qui ne sera pas doublé en fin de mot) comme terminaison des participes passés :
préfixe « GE » + « WON(D) » + « D » = « GEWOND ».
Quand « WONDEN » est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « gewond » derrière le complément éventuel («de ontploffing ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEMASKERDEN GEMASKERD VTT MASKEREN 2 ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/09/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Met de gemaskerden is het erger » (« Avec les masqués, c’est plus grave »).
On y trouve la forme verbale « gemaskerd », participe passé pouvant provenir d’un infinitif « MASKEREN », dont la première personne du présent ne serait pas « Ik maskeer ». Ce verbe « MASKEREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik masker ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés :
préfixe « GE » + « MASKER » + « D » = « GEMASKERD ».
Le participe passé « gemaskerd » est ici devenu (comme en langue française) un nom commun :
« GEMASKERD » + « EN » (terminaison de pluriels) = « GEMASKERDEN ».

Nom : MOGEN REJET ONTVANGEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/09/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze mogen nog geen bezoek ontvangen » (« Ils ne peuvent encore recevoir pas une => aucune visite »).
L’auxiliaire de mode de la POSSIBILITE est l’infinitif « MOGEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« ontvangen »), derrière les compléments (« nog » et « geen bezoek »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEVONDEN VTT VINDEN 3 ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/09/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We hebben deze vermomming in het park gevonden » (« Nous avons trouvé ce déguisement dans le parc »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEVONDEN », participe passé provenant de l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « I », donne une voyelle « O » pour les temps du passé. Ce participe passé « GEVONDEN » est construit sur le PLURIEL du prétérit ou O.V.T. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GEVONDEN » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« deze vermomming » et « in het park »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : LAAT REJET BRENGEN 2 ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/09/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Daarna laat ik je naar het hospitaal brengen » (« Ensuite je te laisse / te fais transporter à l’hôpital »).
« LATEN » exige souvent (surtout à l’impératif) un REJET de l’infinitif (ici « brengen »), derrière les compléments (« je » et « naar het hospitaal »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Daarna »), cela engendre une INVERSION : le sujet « ik » passe derrière le verbe « laat ».

Nom : OMte AFLEGGEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/09/2021

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je moet (naar het kommissariaat) mee(komen) om een verklaring af te leggen » (« Tu dois venir avec = accompagner pour déposer => faire une déclaration »).
On y trouve une phrase subordonnée « infinitive », introduite par « POUR » qui, devant les verbes, est rendu en langue néerlandaise par un double mot : « OM … TE ».
On y trouve aussi la forme verbale « af … leggen », provenant de l’infinitif «AFLEGGEN », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur « LEGGEN ».
Le complément (« een verklaring ») et la « particule séparable » « AF » s’intercalent entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « leggen ».

Nom : MOETEN REJET MEEKOMEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 31/08/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je moet (naar het kommissariaat) mee(komen) … » (« Tu dois venir avec = accompagner »).
L’auxiliaire de mode de l’OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’infinitif (ici « komen »), derrière le complément éventuel (« naar het kommissariaat »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Il faut signaler que, souvent, dans ces phrases avec auxiliaires de mode, les verbes « KOMEN » et « GAAN » ne sont plus écrits, sont sous-entendus, allant de soi dans le contexte.
Par ailleurs, n’oublions pas que la « particule séparable » « MEE » provient de l’ancienne préposition « MET ».

Nom : GEHAALD VTT HALEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 30/08/2021

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De hele buurt staat in rep en roer als de slachtoffers boven worden gehaald » (« Tout le quartier est en émoi quand les victimes sont amenées en haut => à la surface »).
On y trouve, dans la phrase subordonnée (introduite par « ALS »), la forme verbale « gehaald », participe passé provenant de l’infinitif « HALEN ». Ce verbe « HALEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik haal ») se terminant par la consonne « L », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés :
préfixe « GE » « HAAL » + « D » = « GEHAALD ».
Quand « HALEN » est conjugué au passé composé (ou, ici, à la voix passive), il y a normalement REJET de son participe passé « gehaald » derrière le complément («boven ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VERSLAGEN VTT VERSLAAN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 29/08/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « (Ik ben na zo’n ontploffing) verslagen » (« Je suis, après une telle explosion, vaincu »).
Rappelons tout d’abord que, au participe passé, les verbes commençant par les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER-, NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve ici notamment la forme verbale « verslagen », participe passé provenant de l’infinitif « VERSLAAN », lui-même construit sur « SLAAN ».
L’infinitif « SLAAN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Il y a REJET du participe passé derrière le complément éventuel (« na zo’n ontploffing »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : BINNENVIEL VIEL BINNEN OVT BINNENVALLEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/08/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maar even voor de politie (in de geheime gang) BINNENviel … » => « De politie viel (in de geheime gang) BINNEN » (« Mais un peu avant que la police fît irruption … »).
Si on n’avait pas été dans une phrase subordonnée (introduite ici par « voor » pour « voordat »), on y aurait trouvé notamment (comme nous le proposons dans la variante supra) la forme verbale « viel … BINNEN » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant de l’infinitif « BINNENvallen », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « VALLEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Voir notre tableau :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « BINNENvallen » est conjugué, cela entraîne normalement en néerlandais une séparation de la particule « BINNEN » de son infinitif proprement dit et il y a REJET de la particule « BINNEN », derrière le complément éventuel («in de geheime gang »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : KONDEN OVT KUNNEN REJET IDENTIFICEREN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/08/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We konden nog niemand identificeren » (« Nous ne pouvions / pûmes = n’avons pu encore identifier personne »).
L’auxiliaire de mode de la CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN » et un O.V.T. (ou prétérit) « KON » (PLURIEL irrégulier « KONDEN »). Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (ici « identificeren »), derrière les compléments (« nog » et « niemand »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Le verbe « KUNNEN » fait l’objet (au seul prétérit ou O.V.T.) des « temps primitifs ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : GEWONDEN GEWOND VTT WONDEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/08/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «lk laat hem met je (= jouw) vriend (…) en de andere gewonden naar het hospitaal brengen » (« Je le laisse / le fais transporter avec ton ami à l’hôpital »).
On y trouve la forme verbale « gewond », participe passé provenant de l’infinitif « WONDEN ». Ce verbe « WONDEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik wond ») se terminant (déjà) par la consonne « D », on trouvera a fortiori le « D » majoritaire (qui ne sera pas doublé en fin de mot) comme terminaison des participes passés :
préfixe « GE » + « WON(D) » + « D » = « GEWOND ».
Le participe passé « gewond » est ici devenu (comme en langue française) un nom commun : « GEWOND » + « EN » (terminaison de pluriels) = « GEWONDEN ».

Nom : LAAT REJET BRENGEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/08/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «lk laat hem met je (= jouw) vriend (…) naar het hospitaal brengen » (« Je le laisse / le fais transporter avec ton ami à l’hôpital »).
« LATEN » exige souvent (surtout à l’impératif) un REJET de l’infinitif (ici « brengen »), derrière les compléments (« hem», « met jouw vriend » et « naar het hospitaal »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEKWETST VTT KWETSEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/08/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij leeft maar is erg gekwetst » (« Il vit mais est gravement blessé »).
On y trouve notamment la forme verbale « gekwetst », participe passé provenant de l’infinitif «KWETSEN » qui, est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), mais fait partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik kwets ») se terminant par la consonne « S », on trouvera le « T » minoritaire comme terminaison du participe passé :
« GE » + « KWETS » + « T » = « GEKWETST ».
Le participe passé « gekwetst » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel («na de ontploffing »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VONDEN OVT VINDEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/08/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wij vonden hem bij de deur » (« Nous le trouvâmes / l’avons trouvé près de la porte »).
On y découvre la forme verbale « VONDen », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « I », donne une voyelle « O » pour les temps du passé. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : ONTPLOFTE OVT ONTPLOFFEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/08/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Toen ontplofte de ketel » (« Alors la chaudière explosa »).
On y trouve notamment le verbe « ONTPLOFFEN », lui-même construit sur « PLOFFEN », qui est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), mais fait partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik ontPLOF ») se terminant par la consonne « F », on trouvera le « TE » minoritaire comme terminaison du prétérit :
« ONTPLOF » + « TE » = « ONTPLOFTE ».
La phrase commençant par un complément (« Toen »), cela engendre une INVERSION : le sujet « de ketel » passe derrière le verbe « ontplofte ».

Nom : KREEG OVT KRIJGEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/08/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik kreeg een schampschot » (« Je reçus / J’ai reçu un ricochet de balle => j’ai été blessé par une balle qui a ricoché »).
On y trouve la forme verbale « KREEG », prétérit (ou O.V.T.) provenant de l’infinitif « KRIJGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « IJ », donne une voyelle « E » (double, au singulier). Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : ONTSTOND OVT ONTSTAAN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/08/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Er ontstond vuurgevecht » (« Un combat de feu naquit => des coups de feu naquirent => éclatèrent »)
On y trouve la forme verbale « ONTSTOND », O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « ONTSTAAN », lui-même construit sur « STAAN » qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : VIEL BINNEN OVT BINNENVALLEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/08/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De speur viel (hier) BINNEN » (« L’enquêteur tomba à l’intérieur => fit irruption »).
On y trouve notamment la forme verbale « viel … BINNEN » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant de l’infinitif « BINNENvallen », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « VALLEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Voir notre tableau :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « BINNENvallen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « BINNEN » de son infinitif proprement dit, et il y a REJET de la particule « BINNEN », derrière le complément éventuel (« hier »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : GEBEURD VTT GEBEUREN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/08/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wat is er (hier) gebeurd ? » (« Que s’est-il passé ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « gebeurd », participe passé provenant de l’infinitif « GEBEUREN ». Ce verbe « GEBEUREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (si une première personne du présent avait existé, « gebeur ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés mais pas de préfixe « GE » puisque la forme verbale commence déjà par « GE » (comme pour les verbes commençant par les préfixes BE- ER-, HER-, ONT- et VER- ) :
(pas de préfixe « GE ») + « GEBEUR » + « D » = « GEBEURD ».
Quand « GEBEUREN » est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « gebeurd » derrière le complément éventuel (« hier ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEWOND VTT WONDEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/08/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ben je (ergens) gewond ? (Es-tu blessé ?) ».
On y trouve la forme verbale « gewond », participe passé provenant de l’infinitif « WONDEN ». Ce verbe « WONDEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik wond ») se terminant (déjà) par la consonne « D », on trouvera a fortiori le « D » majoritaire (qui ne sera pas doublé en fin de mot) comme terminaison des participes passés :
préfixe « GE » + « WON(D) » + « D » = « GEWOND ».
Quand « WONDEN » est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « gewond » derrière le complément éventuel (« ergens ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : OMTE BERGEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/08/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De brandweer wordt te hulp geroepen om doden en gewonden te bergen» (« Les pompiers sont appelés à l’aide pour dégager morts et blessés »).
Rappelons que « POUR » devant les verbes est rendu en langue néerlandaise par un double mot : « OM … TE ». Le complément (ici «doden en gewonden ») s’intercale entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « bergen ».

Nom : GEROEPEN VTT ROEPEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/08/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De brandweer wordt te hulp geroepen » (« Les pompiers sont appelés à l’aide »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEROEPEN », participe passé provenant de l’infinitif « ROEPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Cette forme verbale est, comme on le voit, construite sur l’INFINITIF. Pour complément d’informations, consultez notamment notre tableau de synthèse « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « ROEPEN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, il y a REJET de son participe passé « geroepen » derrière le complément (« te hulp ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que cette phrase est à la voix passive puisque l’on y utilise l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de « ZIJN ».

Nom : BEDOLVEN VTT BEDELVEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/08/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De burgers worden onder de instortende gewelf bedolven » (« Les bourgeois sont ensevelis sous la voûte s’écroulant »).
Rappelons tout d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER- GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve dans cette phrase la forme verbale « bedolven », participe passé provenant de l’infinitif « BEDELVEN », lui-même construit sur « DELVEN » qui fait l’objet des « temps primitifs ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « BEDELVEN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, il y a REJET de son participe passé « bedolven » derrière le complément (« onder de instortende gewelf ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que cette phrase est à la voix passive puisque l’on y utilise l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de « ZIJN ».

Nom : GERAAKT VTT RAKEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/08/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De burgers werden (door rondvliegende brokstukken) niet geraakt » (« Les bourgeois ne furent pas touchés / atteints »).
On y trouve la forme verbale « geraakt », participe passé provenant de l’infinitif « RAKEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T. : « ik raak ») se terminant par la consonne « K », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire : préfixe « GE » + « RAAK » + « T » = « GERAAKT ».
Quand « RAKEN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, il y a REJET de son participe passé « geraakt» derrière le complément éventuel («door rondvliegende brokstukken») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que cette phrase est à la voix passive puisque l’on y utilise l’auxiliaire « WORDEN » (« WERD » au prétérit) au lieu de « ZIJN ».

Nom : VLOOG OVT VLIEGEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/08/2021

Description : La (double) phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De deur die uit haar hengsels vloog » (« La porte qui vola hors de ses gonds »).
On y trouve, dans la phrase subordonnée relative (introduite par « DIE »), la forme verbale « VLOOG », prétérit (ou O.V.T.) provenant de l’infinitif « VLIEGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « IE », donne une voyelle « O » aux temps du passé. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : VERHIT VTT VERHITTEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/08/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De ketel is (nu) oververhit / over verhit » (« La chaudière est surchauffée »).
On y trouve la forme verbale « oververhit », participe passé qui aurait pu provenir de l’infinitif « oververhitten», lui-même construit sur l’infinitif « VERHITTEN ».
Quand « oververhit » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, s’il s’était agi d’un verbe « à particule séparable », cela aurait pu entraîner une séparation de la particule « OVER » de son infinitif proprement dit et la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) se serait intercalée entre eux. « OVER » correspond ici en fait plutôt au préfixe français « SUR- ».
Quoi qu’il en soit, rappelons que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER- GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
Le participe passé « oververhit » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« nu »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : NEMEN AF OTT AFNEMEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/08/2021

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij voelt hoe zijn krachten afnemen » (« Il sent comme => combien ses forces déclinent »).
Si nous avions été dans un autre contexte que celui d’une phrase subordonnée (introduite par « HOE »), on aurait trouvé la forme verbale « nemen … af », provenant de l’infinitif « AFNEMEN », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur « NEMEN », comme dans la variante suivante : « zijn krachten nemen (tegen de anderen) af ».
Rappelons en effet que la particule séparable (ici « AF »), lorsque le verbe est conjugué, fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« tegen de anderen »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : TRACHT TE SLUITEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/08/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De speurder tracht de deur te sluiten » (« L’enquêteur essaie de fermer la porte »).
On y trouve la forme verbale « TRACHT », qui exige un «TE» (équivalant au « DE » français) devant l’infinitif.
Exemples à :
http://www.idesetautres.be/upload/CONSTRUCTIONS%20PHRASES%20NL%20ZC10%20TE+INFINITIF.zip
Il y a REJET de l’autre forme verbale (« sluiten »), derrière le complément (« de deur »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : VAL AAN IMPERATIF AANVALLEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/08/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Val(t) nu) aan ! » (« Attaquez ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « val … AAN » provenant de l’infinitif « AANvallen », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « VALLEN ».
Quand « AANvallen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, et il y a REJET de la particule « AAN », derrière le complément éventuel (« nu »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : VALT NEER OTT NEERVALLEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/08/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Robert) valt bewusteloos neer » (« Il s’écroule sans connaissance »).
On y trouve notamment la forme verbale « valt … NEER » provenant de l’infinitif « NEERvallen », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « VALLEN ».
Quand « NEERvallen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « NEER » de son infinitif proprement dit, et il y a REJET de la particule « NEER », derrière le complément (« bewusteloos »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : GETROFFEN VTT TREFFEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/08/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Robert) wordt door een schampschot getroffen » (« ll est touché par une balle ricochant »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « geTROFFEN », participe passé provenant du PLURIEL du prétérit de « TREFFEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Il y a REJET de la forme verbale du participe passé « getroffen », derrière le complément éventuel (« door een kogel »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase subordonnée est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : ONGEDEERD VTT DEREN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/08/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (nummer 17) kan ongedeerd de deur bereiken » (« Il peut atteindre la porte indemne »).
La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je bent (gelukkig) ongedeerd » (« Tu n’es pas blessée => tu es indemne »).
On y trouve la forme verbale « ongedeerd », participe passé (utilisé ici comme adjectif attribut) provenant de l’infinitif « DEREN ». Ce verbe « DEREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik deer ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés : préfixe « GE » « DEER » + « D » = « GEDEERD ».
Le préfixe « ON- » (« UN- » en anglais) est souvent à nuance « négative » et constitue le contraire : ici « ongedeerd ».

Nom : KAN KUNNEN REJET BEREIKEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/08/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (nummer 17) kan ongedeerd de deur bereiken » (« Il peut atteindre la porte indemne »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« bereiken »), derrière les compléments (« ongedeerd » et « de deur »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZAL ZULLEN REJET DEKKEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/08/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik zal je dekken » (« Je vais te couvrir »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale («dekken») à la fin de la phrase, derrière le complément (« je »), et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : BELETTEN TE BEREIKEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/08/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Belet hen de deur te bereiken ! » (« Empêchez-les d’ (= de) atteindre la porte ! »).
On y trouve le verbe « BELETTEN », qui exige un « TE » (équivalant au « DE » français) devant l’infinitif. Exemples à :
http://www.idesetautres.be/upload/CONSTRUCTIONS%20PHRASES%20NL%20ZC10%20TE+INFINITIF.zip
Il y a REJET de l’autre forme verbale (« bereiken »), derrière les compléments (« hen » et « de deur »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MOETEN REJET HOUDEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 31/07/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We moeten ze hier houden » (« Nous devons les retenir ici »).
L’auxiliaire de mode de l’« OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« houden »), derrière les compléments (« ze » et « hier »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KUNNEN REJET WEGGAAN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 30/07/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze kunnen alleen langs de geheime gang weggaan » (« Ils ne peuvent s’en aller que via le couloir secret »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« weggaan », dont l’infinitif est alors souvent sous-entendu et non écrit), derrière les compléments (« alleen » et «langs de geheime gang echt »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir « MOGEN », pluriel de l’infinitif « MOGEN», l’auxiliaire de mode de la « POSSIBILITE » :
« Ze mogen alleen langs de geheime gang weggaan ».

Nom : BREEKT LOS OTT LOSBREKEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 29/07/2021

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wanneer het vuurgevecht losbreekt, kruipen de ingewijden bevend in een hoek » (« Lorsque la fusillade éclate, les initiés, tremblant(s), rampent dans un coin »).
On y trouve, dans la phrase subordonnée (introduite par « WANNEER »), la forme verbale «LOSBREEKT », indificatif présent (ou O.T.T.), provenant du verbe, dit à « particule séparable », « LOSBREKEN »
Quand « LOSBREKEN » est conjugué, il y a normalement REJET de la particule séparable « LOS », derrière le complément éventuel (« dadelijk ») à la fin de la phrase, ce que l’on peut constater dans la variante suivante : « het vuurgevecht breekt (dadelijk) los ». Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : PAS OP IMPERATIF OPPASSEN 2 ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/07/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Pas (« nu ») op ! » (« Fais attention ! »).
On y trouve la seule forme verbale « Pas op ! », impératif de l’infinitif « OPpassen», verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « PASSEN ».
il y a REJET de la « particule séparable » « OP », derrière le complément éventuel (« nu »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que le radical (première personne du présent) est la même forme verbale : « ik pas op ».

Nom : ZAG OVT ZIEN 3 ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/07/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Mij zag hij niet » (« Moi, il ne me vit pas / il ne m’a pas vu »).
On y trouve notamment la forme verbale « ZAG », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
ATTENTION : Beaucoup d’apprenants croient que la forme verbale « ZAG », provient de l’infinitif « ZEGGEN », également irrégulier à l’O.V.T. …
La phrase commençant par un complément (« Mij »), cela engendre une INVERSION : le sujet « hij » passe derrière le verbe « zag ».

Nom : AF TE NEMEN AFNEMEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/07/2021

Description : La (double) phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het wordt tijd jullie maskers af te nemen » (« Il est temps de retirer vos masques »).
On y trouve la forme verbale « af … nemen », provenant de l’infinitif « AFNEMEN », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur « NEMEN ».
Rappelons, lorsque le verbe est conjugué, que la particule séparable fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « jullie maskers »), à la fin de la phrase. On le constate d’autant mieux dans la variante suivante :
« Jullie nemen jullie maskers af ».
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZULLEN REJET MOETEN GEVEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/07/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressant : « Jullie zullen een goede verklaring moeten geven » (« Vous allez devoir donner une bonne explication »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre (ou des autres) forme(s) verbale(s) (« moeten » et « geven ») à la fin de la phrase, derrière le complément (« een goede verklaring »), et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GENOMEN VTT NEMEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/07/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Jullie worden allen in arrest genomen » (« Vous êtes tous pris en arrêt => mis en état d’arrestation »).
On y trouve la forme verbale « GENOMEN », participe passé provenant de l’infinitif « NEMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GENOMEN » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« allen » et « in arrest »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : GEKOST VTT KOSTEN 2 ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/07/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het doorgronden der geheime tekens heeft mij veel tijd en geld gekost » (« L’approfondissement => le décodage des signes secrets m’a coûté beaucoup de temps et d’argent »).
On y trouve la forme verbale « gekost », participe passé provenant de l’infinitif « KOSTEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T.) se terminant déjà par la consonne « T », a fortiori on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Quand « KOSTEN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, il y a REJET de son participe passé « gekost » derrière les compléments (« mij » et « veel tijd en geld ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GESLAAGD VTT SLAGEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/07/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik ben (erin) geslaagd » (« J’ai réussi »).
On y trouve, sous-entendue, l’expression « ERIN SLAGEN ».
On y trouve la forme verbale « geslaagd », participe passé provenant de l’infinitif « SLAGEN ». Ce verbe « SLAGEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik slaag ») se terminant par la consonne « G », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés :
préfixe « GE » + « SLAAG » + « D » = « GESLAAGD ».
Le participe passé « geslaagd » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« erin »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse : https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : INGEMOFFELD VTT INMOFFELEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/07/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat (< het) goudklompje werd er (= daar) op voorhand ingemoffeld » (« Cette pépite d’or y fut emmitouflée => insérée à l’avance »).
On y trouve la forme verbale « ingemoffeld », participe passé provenant de l’infinitif « INmoffelen », verbe « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « MOFFELEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent : « ik moffel ») se terminant par la consonne « L », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire. Quand « INmoffellen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « IN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « inGEmoffeld ».
Il y a REJET de la forme verbale « ingemoffeld » derrière les compléments (« er » et « op voorhand ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est à la voix passive puisque l’auxiliaire « WORDEN » (ici à l’O.V.T. ou prétérit) est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : GEDAAN VTT DOEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/07/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « (Dat is) handig gedaan ! » (« C’est adroitement fait => c’est bien joué ! »).
On y trouve la forme verbale « GEDAAN », participe passé provenant de l’infinitif « DOEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GEDAAN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« handig »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : BEGREPEN OVT BEGRIJPEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/07/2021

Description : La triple phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Om hun succes of tegenslag te verbergen, vonden zij een geheimtaal uit die enkel ingewijden begrepen » (« Pour dissimuler leur succès ou leur échec, ils inventèrent une langue secrète que seuls des initiés comprenaient »).
On trouve, dans la phrase subordonnée (introduite par « DIE »), la forme verbale « begrepen », O.V.T. ou prétérit provenant du verbe provenant de l’infinitif « BEGRIJPEN », construit sur « GRIJPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers et, parmi eux, d’une catégorie importante de verbes irréguliers, celle des « IJ » donnant des « E » aux temps du passé (O.V.T. et V.T.T.). Notons que le participe passé, construit sur le pluriel de ce prétérit, sera donc identique : « enkel ingewijden hebben deze geheimtaal begrepen ».
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Notez que l’on aurait dû plutôt avoir « verstonden » (= « comprendre avec son intelligence »), provenant de l’infinitif « « VERSTAAN », construit sur « STAAN », faisant l’objet des « temps primitifs ». Variante : « die enkel ingewijden verstonden».

Nom : VONDEN UIT OVT UITVINDEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/07/2021

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Om hun succes of tegenslag te verbergen, vonden zij een geheimtaal uit » (« Pour dissimuler leur succès ou leur échec, ils inventèrent une langue secrète »).
On y découvre, dans la phrase principale, la forme verbale « VONDEN… UIT », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « UITvinden », verbe « à particule séparable », lui-même construit sur « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « I », donne une voyelle « O » pour les temps du passé. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Il y a REJET de la particule « UIT » derrière le complément (« een geheimtaal ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément («Om hun succes of tegenslag te verbergen »), cela engendre une INVERSION : le sujet « zij » passe derrière le verbe « vonden ».
Rappelons que « POUR » devant les verbes est rendu en langue néerlandaise par un double mot : « OM … TE ». Le complément (ici «hun succes of tegenslag ») s’intercale entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « verbergen ».

Nom : LEERDEN OVT LEREN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/07/2021

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij (de oude alchimisten) leerden ons hoe we stoffen kunnen mengen » (« Ils nous apprirent comment nous pouvons mélanger des substances »).
Ce verbe « LEREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik leer ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit :
« LEER » + « DE » + « N » (pluriel) = « LEERDEN ».

Nom : ZAL OTT ZULLEN REJET OVERTUIGEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/07/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressant : « De grootmeester zal u overtuigen » (« Le grand-maître va vous convaincre »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale («overtuigen») à la fin de la phrase, derrière le complément (« u »), et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : OPGEZET VTT OPZETTEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/07/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Groot opgezette zwendel om naïeve hebzuchtigen te plukken » (« Grande mystification mise en scène pour cueillir => plumer de naïfs cupides »).
On y trouve la forme verbale « OPgezet », participe passé (utilisé ici – et « accordé » - comme adjectif épithète) provenant de l’infinitif « OPzetten », lui-même construit sur l’infinitif « ZETTEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » (lui, au V.T.T.) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant déjà par la consonne « T », à plus forte raison, on trouvera à la fin du participe passé le « T ».
Quand « OPzetten » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEzet ». Il y a REJET de la forme verbale « OPgezet » derrière le complément (« zijn post ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Rappelons que « POUR » devant les verbes est rendu en langue néerlandaise par un double mot : « OM … TE ». Le complément (ici « naïeve hebzuchtigen ») s’intercale entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « plukken ».

Nom : ZULLEN REJET WORDEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/07/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressant : « Jullie zullen deelachtig aan onmetelijke rijkdom worden» (« Vous allez être parties prenantes à une richesse incommensurable »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (« worden») à la fin de la phrase, derrière les compléments (« deelachtig » et « aan onmetelijke rijkdom »), et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZET OM OTT OMZETTEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/07/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Thans in het fornuis onder stoomdruk zet ik meteen onedele metalen in goud om » (« Actuellement, dans le four sous pression, je transforme immédiatement des métaux non nobles en or »).
On y trouve la forme verbale « zet … OM », provenant de l’infinitif « OMzetten », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « ZETTEN ».
Quand « OMzetten » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OM » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET derrière les compléments (« meteen », « onedele metalen» et « in goud »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET, lisez :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Thans in het fornuis onder stoomdruk »), cela engendre une INVERSION : le sujet « ik » passe derrière le verbe « zet ».

Nom : HAD OVT HEBBEN OMTE ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/07/2021

Description : La (double) phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Vroeger had men zeven dagen nodig om goud te maken » (« Jadis on avait besoin de sept jours pour faire => fabriquer de l’or »).
On y trouve la forme verbale « HAD », à l’O.V.T. ou prétérit, provenant de l’infinitif « HEBBEN » qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
La phrase commençant par un complément (« Vroeger »), cela engendre une INVERSION : le sujet « men » passe derrière le verbe « had ».
Rappelons que « POUR » devant les verbes est rendu en langue néerlandaise par un double mot : « OM … TE ». Le complément (ici « goud ») s’intercale entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « maken ».

Nom : GEKOST VTT KOSTEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/07/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante, par sa construction particulière : « De opzoekingen hebben veel geld gekost » (« Les recherches ont coûté beaucoup d’argent »).
On y trouve la forme verbale « gekost », participe passé provenant de l’infinitif « KOSTEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T.) se terminant déjà par la consonne « T », a fortiori on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Quand « KOSTEN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, il y a REJET de son participe passé « gekost » derrière le complément (« veel geld ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : WEES IMPERATIF ZIJN GERUST VTT RUSTEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/07/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Wees gerust ! » (« Soyez tranquilles ! »).
On y trouve la forme verbale « WEES », impératif provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » pour donner le participe passé « GEWEEST ».
Pour complément d’informations, consultez notamment notre tableau de synthèse « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre notamment trois autres grandes catégories de verbes irréguliers au passé : https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
On y trouve aussi la forme verbale « gerust », participe passé provenant de l’infinitif « RUSTEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T.) se terminant déjà par la consonne « T », a fortiori on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.

Nom : KON OVT KUNNEN REJET VERKLIKKEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/07/2021

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « « Een verrader werd uitgeschakeld eer hij onze geheimen kon verklikken » (« Un traître fut éliminé avant de pouvoir / d’avoir pu dénoncer nos secrets »).
La forme verbale « KON », dans la phrase subordonnée (introduite par « EER »), est le prétérit (SINGULIER) du verbe « KUNNEN » faisant l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers, au moins à l’O.V.T. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé : https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE », « KUNNEN » (donnant, à l’O.T.T. ou indicatif présent, un singulier « KAN »), comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), exige normalement le REJET de l’autre forme verbale (ici « verklikken »), derrière le complément (« onze geheimen ») à la fin de la phrase et à l’infinitif ; on le constate mieux dans la variante : « hij kon onze geheimen verklikken ». Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : UITGESCHAKELD VTT UITSCHAKELEN 2 ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/07/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « « Een verrader werd (door ons) uitgeschakeld » (« Un traître fut éliminé »).
On y trouve la forme verbale « uitgeschakeld », participe passé provenant de l’infinitif « UITschakelen », lui-même construit sur l’infinitif « SCHAKELEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent : « ik schakel ») se terminant par la consonne « L », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire.
Quand « UITschakelen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « uitGEschakeld ».
Il y a REJET de la forme verbale « UITgeschakeld » derrière le complément éventuel (« door ons ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est à la voix passive puisque l’auxiliaire « WORDEN » (ici à l’O.V.T. ou prétérit) est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : GEMAAKT VTT MAKEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/07/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De dood van Grosjean heeft hen wantrouwig gemaakt » (« La mort de Grosjean les a fait / rendu méfiants »).
La forme verbale « gemaakt » est un participe passé provenant de l’infinitif «MAKEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T. : « ik maak ») se terminant par la consonne « K », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire : préfixe « GE » + « MAAK » + « T » = « GEMAAKT ».
Quand « MAKEN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, il y a REJET de son participe passé « gemaakt » derrière les compléments (« ondertussen » et « wantrouwig ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZAL OTT ZULLEN REJET HALEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/07/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik zal zelf de politie halen » (« Je vais moi-même aller chercher la police »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (« halen ») à la fin de la phrase, derrière le complément («de politie»), et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : LAAT REJET BINNENVALLEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/07/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Laat hem met een politiemacht binnenvallen » (« Laisse-le / Fais-le entrer avec une force de police »).
« LATEN » exige souvent un REJET de l’infinitif (ici « binnenvallen »), derrière les compléments (« hem » et «met een politiemacht »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KIKKER OP OTT OPKIKKEREN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/07/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Kikker hem op ! » (« Retape-le = Remets-le sur pieds! »).
On y trouve la forme verbale « kikker … OP », impératif provenant de l’infinitif « OPkikkeren », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « KIKKEREN ».
Quand « OPkikkeren » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de la forme verbale proprement dite et il y a REJET de cette composante « OP », derrière le complément (« hem ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : SLOEG NEER OVT NEERSLAAN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/07/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik sloeg buiten per vergissing nummer 17 neer » (« J’assommai = j’ai assommé dehors par erreur numéro 17 »).
On y trouve notamment la forme verbale « sloeg … NEER » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant de l’infinitif « NEERslaan », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « SLAAN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Voir notre tableau :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « NEERslaan » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « NEER » de son infinitif proprement dit, et il y a REJET de la particule « NEER », derrière les compléments (« buiten », « per vergissing », « nummer 17 »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : WIL REJET GEVEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/07/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De grootmeester wil een demonstratie geven » (« Le grand-maître veut donner => faire une démonstration »).
L’auxiliaire de mode de la « VOLONTE » est l’infinitif « WILLEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « MOGEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (ici, « geven ») derrière le complément (« een demonstratie »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : LATEN REJET BEDRIEGEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/07/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De ingewijden laten zich grandioos bedriegen » (« Les initiés se laissent tromper grandieusement / magistralement »).
Comme la tournure « LATEN we » (littéralement « Laissons-nous »), de la première personne du pluriel de l’IMPERATIF présent, « LATEN » exige souvent un REJET de l’infinitif (ici « bedriegen »), derrière le complément (« grandioos »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KON OVT KUNNEN REJET OPMAKEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 30/06/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Uit hun gesprekken kon ik opmaken dat … » (« D’après leurs conversations, je pus = j’ai pu déduire que … »).
La forme verbale « KON » est le prétérit (SINGULIER) du verbe « KUNNEN » faisant l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers, au moins à l’O.V.T. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé : https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE », « KUNNEN » (donnant, à l’O.T.T. ou indicatif présent, un singulier « KAN »), comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), exige le REJET de l’autre forme verbale (ici « opmaken »), derrière le complément (« Uit hun gesprekken»), (s’il ne l’avait pas commencée) à la fin de la phrase et à l’infinitif ; on le constate mieux dans la variante : « ik kon uit hun gesprekken opmaken dat … ». Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Uit hun gesprekken »), cela engendre une INVERSION : le sujet « ik » passe derrière le verbe « kon ».

Nom : MEEGEMAAKT VTT MEEMAKEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 29/06/2021

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Beiden vertellen ze (= elkaar) wat ze (ondertussen) hebben meegemaakt » (« Tous deux se racontent ce à quoi ils ont eu affaire »).
La forme verbale « gemaakt » est un participe passé provenant de l’infinitif «MAKEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T. : « ik maak ») se terminant par la consonne « K », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire : préfixe « GE » + « MAAK » + « T » = « GEMAAKT ». On trouve donc, dans la phrase subordonnée (introduite par « WAT ») notamment la forme verbale « meegemaakt », participe passé provenant de l’infinitif « MEEMAKEN », lui-même construit sur « MAKEN ». Quand « MEEMAKEN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « MEE » (provenant de la préposition « MET ») de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « meegemaakt ». Quand « MEEMAKEN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, il y a REJET de son participe passé « meegemaakt » derrière le complément éventuel (« ondertussen ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VINDT TERUG OTT TERUGVINDEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/06/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Tot zijn grote verbazing vindt hij (Robert) zijn vriend terug » (« A son grand étonnement, il retrouve son ami »).
On y trouve la forme verbale « vindt … TERUG », provenant de l’infinitif « TERUGvinden », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « VINDEN ».
Quand « TERUGvinden » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERUG » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET derrière le complément (« zijn vriend »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément («Tot zijn grote verbazing»), cela engendre une INVERSION : le sujet « hij » passe derrière le verbe « vindt ».

Nom : DRINGT BINNEN OTT BINNENDRINGEN 3 ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/06/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Op zijn beurt dringt hij (Robert) het labyrint van geheime gangen binnen » (« Il pénètre à son tour dans le labyrinthe des couloirs secrets »).
On y trouve la forme verbale « dringt … BINNEN », présent (ou O.T.T.) provenant du verbe « BINNENdringen », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « DRINGEN ».
Il y a REJET de la particule séparable « BINNEN », composante du verbe, derrière le complément (« het labyrint van geheime gangen »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe ou d’une de ses composantes, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Op zijn beurt »), cela engendre une INVERSION : le sujet « hij » passe derrière le verbe « dringt ».

Nom : MOET REJET SPEUREN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/06/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik moet verder speuren » (« Je dois chercher plus loin => poursuivre mes recherches / mon enquête »).
L’auxiliaire de mode de l’OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« speuren »), derrière le complément (« verder »), à la fin de la phrase et, bien sûr, à l’infinitif, Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : WAS OVT ZIJN 8 ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/06/2021

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hoe kon ik vermoeden dat ook jij op het spoor was ? » (« Comment pouvais-je supposer que toi aussi tu étais sur la piste ? »).
On y trouve, dans la phrase subordonnée (introduite par « DAT »), la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIJN », qui constitue vraisemblablement le verbe le plus irrégulier de la langue néerlandaise.
C’est logique : plus on utilise un mot, plus la prononciation le déforme au fil du temps …
Le verbe « ZIJN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
La forme verbale « WAS » fait ici l’objet d’un REJET, derrière le complément (« op het spoor »), à la fin de la phrase, parce que la phrase est subordonnée. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KON OVT KUNNEN REJET VERMOEDEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/06/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Hoe kon ik (dat) vermoeden … ? » (« Comment pouvais-je supposer … ? »).
La forme verbale « KON » est le prétérit (SINGULIER) du verbe « KUNNEN » faisant l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers, au moins à l’O.V.T. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE », « KUNNEN » (donnant, à l’O.T.T. ou indicatif présent, un singulier « KAN »), comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), exige le REJET de l’autre forme verbale (ici « vermoeden »), derrière le complément éventuel (« dat »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VOORZIEN VTT VOORZIEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/06/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij heeft het op mij voorzien » (« Il l’a prévu sur moi => il en a après moi »).
On y trouve notamment la forme verbale « voorzien », participe passé provenant de l’infinitif « voorzien », lui-même construit sur l’infinitif « ZIEN », qui fait normalement l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « voorzien » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, s’il s’était agi d’un verbe « à particule séparable », cela aurait pu entraîner une séparation de la particule « voor » de son infinitif proprement dit et la particule «GE- » (commune à la majorité des participes passés) se serait intercalée entre eux.
Le participe passé « voorzien » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« het » et « op mij »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : OPGELET VTT OPLETTEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/06/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Opgelet ! » (« Fais attention ! »).
On y trouve la seule forme verbale « OPgelet », participe passé provenant de l’infinitif « OPletten », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « LETTEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant déjà par la consonne « T », on trouvera d’autant plus à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Quand « OPletten » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGElet ».

Nom : VERDWENEN VTT VERDWIJNEN 3 ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/06/2021

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat is de plaats waar zij (Agatha) (langs één van deze poortjes) verdwenen is » (« C’est l’endroit où elle a disparu »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER- GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve, dans la phrase subordonnée (introduite par « WAAR »), notamment la forme verbale « VERDWENEN », participe passé provenant de l’infinitif « VERDWIJNEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers et, parmi eux, d’une catégorie importante de verbes irréguliers, celle des « IJ » donnant des « E » aux temps du passé (O.V.T. et V.T.T.). Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre notamment ces trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
ll y a REJET du participe passé, derrière le complément éventuel (« langs één van deze poortjes »), à la fin de la phrase et, bien sûr, à l’infinitif, Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs:
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MOET REJET VOLGEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/06/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Die moet ik (nu) volgen » (« Celui-là, je dois le suivre »).
L’auxiliaire de mode de l’OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« weggaan »), derrière le complément (« hier »), à la fin de la phrase et, bien sûr, à l’infinitif, Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs:
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Die »), cela engendre une INVERSION: le sujet « ik » passe derrière le verbe « moet ».

Nom : OVERKOMEN VTT OVERKOMEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/06/2021

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Die weet niet wat haar (Agatha) overkomen is » (« Celui-là ne sait pas ce qui lui est arrivé »).
On trouve, dans la phrase subordonnée (introduite par « WAT »), la forme verbale « overkomen », participe passé provenant de l’infinitif « overkomen», lui-même construit sur l’infinitif « KOMEN », qui fait normalement l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « overvallen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, s’il s’était agi d’un verbe « à particule séparable », cela aurait pu entraîner une séparation de la particule « OVER » de son infinitif proprement dit et la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) se serait intercalée entre eux.
Le participe passé « overkomen » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« haar »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : BELT AAN OTT AANBELLEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/06/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een deftig geklede heer belt tevergeefs aan =» (« Un monsieur habillé avec distinction sonne vainement »).
On y trouve la forme verbale « belt … AAN », provenant du verbe « AANbellen», dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « BELLEN ». Lorsque « AANBELLEN » est conjugué, cela entraîne le REJET de la « particule séparable » « AAN », derrière le complément (« tevergeefs »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
On y trouve aussi un adjectif (accordé) « geklede » dérivé de la forme verbale « gekleed », participe passé provenant de l’infinitif « KLEDEN », considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE faisant PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE faisant PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP ».

Nom : GEZIEN VTT ZIEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/06/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ook de hospita heeft hem (Bertrand) niet gezien » (« Même l’hôtesse ne l’a pas vu »)
On y trouve notamment la forme verbale « geZIEN », participe passé provenant de l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’INFINITIF.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « hem »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KAN KUNNEN REJET ZIJN GEWEEST VTT ZIJN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/06/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hier kan hij (Bertrand), (recent) niet geweest zijn » (« Il ne peut pas avoir été ici »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« zijn »), derrière le complément éventuel (« recent »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Hier »), cela engendre une INVERSION: le sujet « hij » passe derrière le verbe « kan ».
Notez que l’on aurait dû avoir « MAG », singulier de l’infinitif « MOGEN», l’auxiliaire de mode de la « POSSIBILITE » : « Hier mag hij niet geweest zijn ».
On y trouve aussi la forme verbale « GEWEEST », participe passé provenant du même infinitif « ZIJN », qui constitue vraisemblablement le verbe le plus irrégulier de la langue néerlandaise. C’est logique : plus on utilise un mot, plus la prononciation le déforme au fil du temps … Le verbe « ZIJN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : MAG OTT MOGEN REJET ZIJN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/06/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Waar mag hij (Bertrand) (nu) zijn ? » (« Où peut-il être ? »).
L’auxiliaire de mode de la POSSIBILITE est l’infinitif « MOGEN », donnant un singulier « MAG ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« zijn »), derrière le complément éventuel (« nu »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KUNNEN REJET HELPEN 2 ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/06/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Wij kunnen je helpen » (« Nous pouvons t’aider »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« helpen»), derrière le complément (« je »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait plutôt dû avoir « MOGEN », l’auxiliaire de mode de la «POSSIBILITE » :
« Wij mogen je helpen ».

Nom : KAN KUNNEN REJET ZEGGEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/06/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Meer kan ik (u) niet zeggen » (« Je ne peux pas vous en dire plus »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« zeggen »), derrière le complément éventuel (« u »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Meer »), cela engendre une INVERSION : le sujet « ik » passe derrière le verbe « kan ».
Notez que l’on aurait dû avoir « MAG », singulier de l’infinitif « MOGEN», l’auxiliaire de mode de la « POSSIBILITE » :
« Meer mag ik (u) niet zeggen ».

Nom : BRACHT OP OVT OPBRENGEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/06/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een gedeeltelijke ontcijfering bracht al gegevens over de sekte op » (« Un déchiffrage partiel livra déjà des données => informations sur la secte »).
On y trouve la forme verbale « bracht », provenant de l’infinitif « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
On y trouve en fait la forme verbale « bracht … OP » du verbe « OPBRENGEN », dit à « particule séparable », construit sur l’infinitif « BRENGEN ». Quand il est conjugué, il exige le REJET de la particule séparable « OP », derrière les compléments (« al », « gegevens » et « over de sekte »), à la fin de la phrase. Voir phénomène du REJET, entre autres :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : HOEPEL OP IMPERATIF OPHOEPELEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/06/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hoepel (van hier) op ! » (« Fiche le camp ! »).
On y trouve la forme verbale « hoepel … OP », impératif présent provenant du verbe « OPhoepelen », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « HOEPELEN ».
Quand « OPhoepelen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit et il y a REJET de cette particule séparable « OP » derrière le complément éventuel (« van hier »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes comme une « particule séparable »), lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEVONDEN VTT VINDEN 2 ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/06/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We hebben nota’s in een geheimschrift gevonden » (« Nous avons trouvé des notes dans un cahier secret »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEVONDEN », participe passé provenant de l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « I », donne une voyelle « O » pour les temps du passé. Ce participe passé « GEVONDEN » est construit sur le PLURIEL du prétérit ou O.V.T. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GEVONDEN » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« nota’s » et « in een geheimschrift »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZOU REJET VOLGEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/06/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressant : « Zou hij (Bertrand) ergens een spoor volgen ? » (« Suivrait-il quelque part une trace => piste ? »).
L’auxiliaire du CONDITIONNEL est l’infinitif « ZOUDEN » ; il est, en quelque sorte, l’« imparfait » (O.V.T. ou prétérit) de l’auxiliaire du FUTUR, « ZULLEN ».
Au CONDITIONNEL, il y a REJET de l’autre forme verbale, ici « volgen », derrière les compléments (ici « ergens » et « een spoor »), à la fin de la phrase, et donc à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : REDDE OVT REDDEN 2 ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/06/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De vrouw redde mij het leven » (« La femme me sauva la vie »).
On y trouve notamment la forme verbale « redde », prétérit (ou O.V.T.) provenant de l’infinitif « REDDEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (« ik red », première personne du présent ou O.T.T.) se terminant par la consonne « D », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit :
« RED » + « DE » = « REDDE ».

Nom : KENDEN OVT KENNEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/06/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij kenden het verleden van Grosjean » (« Ils connaissaient le passé de Grosjean »).
Le verbe « KENNEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik ken ») se terminant par la consonne « N », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit :
« KEN » + « DE » + « N » (PLURIEL) = « KENDEN ».

Nom : GEDROEGEN OVT GEDRAGEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/06/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hoe gedroegen zich de eigenaars ? » (« Comment se comportaient / comportèrent les propriétaires ? »).
On y trouve la forme verbale « gedroegen », prétérit (ou O.V.T.) provenant de l’infinitif « GEDRAGEN », lui-même construit sur « DRAGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : WAS OVT ZIJN 7 ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/06/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Jij was (aanwezig) bij de aanslag op Grosjean » (« Tu étais présent lors de l’attentat sur Grosjean »).
On y trouve la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIJN », qui constitue vraisemblablement le verbe le plus irrégulier de la langue néerlandaise.
C’est logique : plus on utilise un mot, plus la prononciation le déforme au fil du temps …
Le verbe « ZIJN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : VERTROK OVT VERTREKKEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/06/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Bertrand) vertrok … » (« Il partit »).
On y trouve la forme verbale « vertrok », provenant de l’infinitif « VERTREKKEN », lui-même construit sur « TREKKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » .
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : BRACHT OVT BRENGEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/06/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Bertrand) bracht mij hier … » (« Il m’apporta ici »).
On y trouve la forme verbale « bracht », provenant de l’infinitif « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : ZAL ZULLEN REJET DENKEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/06/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Wat zal hij (Robert) (over mij) denken ? » (« Que va-t-il penser ? »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale («denken») à la fin de la phrase, derrière le complément éventuel (« over mij »), et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : OMTE KUNNEN VOORBEREIDEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/06/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze hebben mij opgesloten om hun vertoning te kunnen voorbereiden » (« Ils m’ont enfermé pour / afin de pouvoir préparer leur spectacle »).
Rappelons que « POUR » devant les verbes est rendu en langue néerlandaise par un double mot : « OM … TE ». Le complément (ici «hun vertoning ») s’intercale entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif (ici, les infinitifs) « kunnen » et « voorbereiden ».
Il est à noter que s’il n’y avait eu que ce second infinitif, verbe dit « à particule séparable », le « TE » aurait été placé autrement : « … om hun vertoning voor te bereiden ».

Nom : OPGESLOTEN VTT OPSLUITEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 31/05/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze hebben mij opgesloten » (« Ils m’ont enfermé »).
On y trouve la forme verbale « OPgesloten », participe passé provenant de l’infinitif « OPsluiten », lui-même construit sur l’infinitif « SLUITEN ».
Quand « OPsluiten » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé (construit sur l’O.V.T. ou prétérit), cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEsloten ».
Pour complément d’informations concernant les « temps primitifs », consultez par exemple notre tableau de synthèse sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Notez que nombre de verbes en « UI » donnent un « O » aux temps du passé.
Il y a REJET de la forme verbale « OPgesloten » derrière le complément («mij ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : DEED OVT DOEN 3 ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 30/05/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik deed een zware val » (« Je fis => j’ai fait une lourde chute »).
On y trouve la forme verbale « DEED », O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « DOEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : VERLOREN VTT VERLIEZEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 29/05/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Ik ben (nu) verloren » (« Je suis perdu »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve donc la forme verbale « VERloren », participe passé provenant de l’infinitif « VERliezen », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « VERloren » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« nu »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KOM MEE IMPERATIF MEEKOMEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/05/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Kom (met mij) mee ! » (« Viens avec moi ! »).
On y trouve la forme verbale « kom … mee », impératif provenant du verbe « MEEkomen », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « KOMEN ».
Quand « MEEkomen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « MEE » de son infinitif proprement dit et son REJET, derrière le complément éventuel (« met mij »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Rappelons que la particule « MEE » provient de la préposition « MET ».
La variante de la phrase aurait pu être : « Kom met mij ! »

Nom : SLUIT OP OTT OPSLUITEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/05/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Sluit hem op ! » (« Enferme-le ! »).
On y trouve la forme verbale « sluit … OP », impératif provenant de l’infinitif « OPsluiten », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « SLUITEN ».
Quand « OPsluiten » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de la forme verbale proprement dite et il y a REJET de cette composante « OP », derrière le complément (« hem ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZAL OTT ZULLEN REJET UITSCHAKELEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/05/2021

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Jouw (=> je) openhartigheid doet me vermoeden dat je zal me uitschakelen » (« Ta franchise me laisse supposer que tu vas m’éliminer »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale («uitschakelen») à la fin de la phrase, derrière le complément (« me »), et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : STICHTTE OVT STICHTEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/05/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Na de revolutie keerde ik naar Brussel terug en stichtte (ik) er de sekte der Gouden Zeven » (« Après la révolution, je revenais à Bruxelles et y fondais la secte du Sept d’or »).
On y trouve notamment la forme verbale « stichtte », prétérit (ou O.V.T.) provenant de « STICHTEN », qui est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik sticht ») se terminant déjà par la consonne « T », on trouvera le « TE » minoritaire comme terminaison du prétérit : « STICHT » + « TE » = « STICHTTE ».
La phrase commençant par un complément (« Na de revolutie »), cela engendre une INVERSION : le sujet « ik » passe derrière le verbe « stichtte ».

Nom : KEERDE TERUG OVT TERUGKEREN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/05/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Na de revolutie keerde ik (naar Brussel) terug » (« Je retournais à la maison »).
On y trouve la forme verbale « keerde … TERUG », prétérit ou O.V.T. provenant de l’infinitif « TERUGkeren », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « KEREN ». Ce verbe « KEREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik keer ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit :
« KEER » + « DE » = « KEERDE ».
Quand « TERUGkeren » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERUG » de son infinitif proprement dit, la particule faisant normalement l’objet d’un REJET derrière le complément (« naar Brussel »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET, lisez :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Na de revolutie »), cela engendre une INVERSION : le sujet « ik » passe derrière le verbe « keerde ».

Nom : TERUGGEZIEN VTT TERUGZIEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/05/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Die onbekende heb ik nooit teruggezien » (« Cet inconnu, je ne l’ai jamais revu »).
On y trouve la forme verbale « TERUGgezien », participe passé provenant de l’infinitif « TERUGzien », lui-même construit sur l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et est construit sur l’INFINITIF. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « TERUGzien » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERUG » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « terugGEzien ».
Le participe passé « TERUGgezien » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« nooit »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Die onbekende »), cela y engendre une INVERSION : le sujet « ik » passe derrière le verbe « heb ».

Nom : LEERDE OVT LEREN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/05/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zo leerde ik het labyrint van geheime gangen kennen » (« C’est ainsi que j’appris à connaître le labyrinthe aux couloirs secrets »).
Ce verbe « LEREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik leer ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit :
« LEER » + « DE » = « LEERDE ».
La phrase commençant par un complément (« Zo »), cela y engendre une INVERSION : le sujet « ik » passe derrière le verbe « leerde ».
Notez le REJET de l’autre forme verbale (« kennen »), derrière le complément (« het labyrint van geheime gangen »), à la fin de la phrase.

Nom : GELEID VTT LEIDEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/05/2021

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Toen de toestand onhoudbaar werd, heeft een onbekende mij langs een geheime gang buiten de gevechtszone geleid » (« Lorsque la situation devint intenable, un inconnu m’a conduit le long d’un couloir secret hors de la zone des combats »).
On y trouve notamment la forme verbale « geleid », participe passé provenant de l’infinitif « LEIDEN ». Ce verbe « LEIDEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik leid ») se terminant par la consonne « D », on trouvera a fortiori le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés :
préfixe « GE » + « LEID » + (pas de deuxième « D » au V.T.T.) = « GELEID ».
Il y a REJET de ce participe passé « geleid », derrière les compléments (« mij », «langs een geheime gang » et « buiten de gevechtszone ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase subordonnée, précédant la phrase principale comme un complément la commençant («Toen de toestand onhoudbaar werd »), cela y engendre une INVERSION : le sujet « een onbekende » passe derrière le verbe « heeft ».

Nom : LAG OVT LIGGEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/05/2021

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « zodat het hotel waar ik verbleef midden in het strijdgewoel lag » (« …de telle sorte que l’hôtel où je séjournais se trouva au milieu des combats »).
On y trouve la forme verbale « LAG », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « LIGGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
N’oubliez pas que, dans une phrase subordonnée néerlandaise, le verbe (ici « lag ») ne se trouve plus à côté de son sujet (« het hotel »). Dans une autre configuration, on aurait pu avoir :
« het hotel lag midden in het strijdgewoel ».

Nom : VERBLEEF OVT VERBLIJVEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/05/2021

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « het hotel waar ik verbleef » (« L’hôtel où je séjournais »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERBLEEF » (O.V.T. ou « prétérit »), provenant de l’infinitif « VERBLIJVEN », venant lui-même de « BLIJVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers et, parmi eux, d’une catégorie importante de verbes irréguliers, celle des « IJ » donnant des « E » aux temps du passé (O.V.T. et V.T.T.).
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : MOESTEN REJET WIJKEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/05/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Langs alle zijden bestookt, moesten de Hollandse troepen (vóór het gevaar) wijken » (« Harcelées de tous côtés, les troupes hollandaises durent se replier »).
L’auxiliaire de mode de l’OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN» (donnant MOEST au prétérit ou O.V.T.). Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« wijken »), derrière le complément éventuel (« vóór het gevaar»), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase subordonnée, précédant la phrase principale comme un complément la commençant (« Langs alle zijden bestookt »), cela y engendre une INVERSION : le sujet « de Hollandse troepen » passe derrière le verbe « moesten ».

Nom : BESTOOKT VTT BESTOKEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/05/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « (« De Hollandse troepen werden) langs alle zijden bestookt » (« Elles étaient harcelées de tous côtés »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve la forme verbale « bestookt », participe passé provenant de l’infinitif « BESTOKEN », considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik bestook ») se terminant par la consonne « K », on trouvera le « T » minoritaire comme terminaison des participes passés :
(PAS de préfixe « GE ») + « BESTOOK » + « T » = « BESTOOKT ».
Il y a REJET de ce participe passé « bestookt », derrière le complément (« langs alle zijden ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe ou d’une de ses composantes, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » (ici au prétérit et sous-entendu) est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : VOORTGEZET VTT VOORTZETTEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/05/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De strijd werd in harde straatgevechten voortgezet » (« La lutte fut poursuivie dans de durs combats de rue »).
On y trouve la forme verbale « voortgezet », participe passé provenant de l’infinitif « VOORTzetten », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « ZETTEN », qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant déjà par la consonne « T », on trouvera, a fortiori, à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Quand « VOORTzetten » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « VOORT » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « voortGEzet ».
Il y a REJET de ce participe passé « voortgezet », derrière le complément (« in harde straatgevechten ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe ou d’une de ses composantes, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » (ici au prétérit) est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ». La particule « VOORT » est fort vraisemblablement une forme abrégée de la particule « VOORUIT ».

Nom : VERPLAATSTE OVT VERPLAATSEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/05/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De strijd verplaatste zich naar de binnenstad » (« Le combat se déplaçait vers l’intérieur de la ville »).
On y trouve notamment le verbe « VERPLAATSEN », qui est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), mais fait partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik verplaats ») se terminant par la consonne « S », on trouvera le « TE » minoritaire comme terminaison du prétérit :
« VERPLAATS » + « TE » = « VERPLAATSTE ».

Nom : HIELD OVT HOUDEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/05/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Als vreemdeling was ik ontpartijdig en hield (ik) mij schuil in een hotel» (« En tant qu’étranger, j’étais neutre et me tenais caché dans un hôtel »).
On y trouve également, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « HIELD », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « HOUDEN » qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Dans Ia mesure où la phrase commence par un complément (« Als vreemdeling »), ce dernier engendre une INVERSION, le sujet « ik » (sous-entendu) passant derrière le verbe « hield ». On aurait en effet aussi pu dire : « ik hield mij schuil in een hotel ».

Nom : WAS OVT ZIJN 6 ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/05/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Als vreemdeling was ik ontpartijdig » (« En tant qu’étranger, j’étais impartial => neutre »).
On y trouve la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIJN », qui constitue vraisemblablement le verbe le plus irrégulier de la langue néerlandaise.
C’est logique : plus on utilise un mot, plus la prononciation le déforme au fil du temps …
Le verbe « ZIJN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
La phrase commençant par un complément (« Als vreemdeling »), cela engendre une INVERSION : le sujet « ik » passe derrière le verbe « was ».

Nom : VOCHTEN OVT VECHTEN VERBETEN VTT VERBIJTEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/05/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hollandse troepen en patriotten vochten verbeten in het stadspark » (« Des troupes hollandaises et des patriotes se battaient avec acharnement dans le parc de la ville »).
On y trouve la forme verbale « vochten », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « UITbreken », lui-même construit sur l’infinitif « VECHTEN ».
Le verbe « VECHTEN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
On y trouve également « verbeten », participe passé (utilisé ici comme adjectif) provenant d’un infinitif « VERBIJTEN », lui-même construit sur l’infinitif « BIJTEN », qui fait aussi l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers et fait partie d’une catégorie importante de verbes irréguliers, celle des « IJ » donnant des « E » aux temps du passé (O.V.T. et V.T.T.).

Nom : BRAK UIT OVT UITBREKEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/05/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maar toen brak de omwenteling uit » (« Mais alors éclata la révolution »).
On y trouve la forme verbale « brak … UIT », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « UITbreken », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « BREKEN ».
Le verbe « BREKEN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « UITbreken » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de la forme verbale proprement dite et il y a REJET de cette composante « UIT », derrière le complément (« toen ») à la fin de la phrase, ce que l’on aurait mieux constaté dans la variante suivante : « de omwenteling brak toen uit ». Pour le phénomène du REJET du verbe ou d’une de ses composantes, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« toen »), cela engendre une INVERSION : le sujet « de omwenteling » passe derrière le verbe « brak ».

Nom : OMTE BESTUDEREN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/05/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik ben als vreemdeling naar Brussel gekomen om in oude archieven het werk der alchimisten te bestuderen» (« Je suis venu en tant qu’étranger à Bruxelles pour étudier dans de vieilles archives le travail / l’œuvre des alchimistes »).
Rappelons que « POUR » devant les verbes est rendu en langue néerlandaise par un double mot : « OM … TE ». Les compléments (ici « in oude archieven » et « het werk der alchimisten ») s’intercalent entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « bestuderen ».

Nom : GEKOMEN VTT KOMEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/05/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik ben als vreemdeling naar Brussel gekomen » (« Je suis venu en tant qu’étranger à Bruxelles »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEKOMEN », participe passé provenant de l’infinitif « KOMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Cette forme verbale est, comme on le voit, construite sur L’INFINITIF. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Il y a REJET de ce participe passé « gekomen », derrière les compléments (« als vreemdeling » et « naar Brussel ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe ou d’une de ses composantes, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KWAM OVT KOMEN 7 ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/05/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hoe kwam je aan deze schuilplaats ? » (« Comment vins-tu => es-tu venu à cette cachette ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « KWAM », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « KOMEN ».
Le verbe « KOMEN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : GESTRAFT VTT STRAFFEN 2 ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/05/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Verraad wordt met de dood gestraft » (« La trahison est punie de mort »).
On y trouve la forme verbale « gestraft », participe passé provenant de l’infinitif « STRAFFEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T. : « ik straf ») se terminant par la consonne « F », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire : préfixe « GE » + « STRAF » + « T » = « GESTRAFT ».
Il y a REJET de ce participe passé « gestraft », derrière le complément (« met de dood ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe ou d’une de ses composantes, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : ZETTEN VOORT OTT VOORTZETTEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/05/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wij zetten het werk der oude alchimisten voort » (« Nous poursuivons le travail / l’œuvre des anciens alchimistes »).
On y trouve la forme verbale « zetten … VOORT », provenant de l’infinitif « VOORTzetten », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « ZETTEN ».
Quand « VOORTzetten » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « VOORT » de la forme verbale proprement dite et il y a REJET de cette composante « VOORT », derrière le complément (« het werk der oude alchimisten ») à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe ou d’une de ses composantes, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La particule « VOORT » est fort vraisemblablement une forme abrégée de la particule « VOORUIT ».

Nom : STREEFDE NA OVT NASTREVEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/05/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Welk doel streefde jouw (je) sekte na ? » (« Quel but poursuivait ta secte ? »).
On y trouve la forme verbale « streefde … NA », provenant de l’infinitif « NAstreven », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « STREVEN ».
Ce verbe « STREVEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet l’infinitif contenant la consonne « V » avant sa terminaison, on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit :
« STREEF » + « DE » = « STREEFDE ».
Quand « NAstreven » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « NA » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET derrière le complément (« doel »), à la fin de la phrase, ce que l’on voit mieux dans la variante : « jouw sekte streefde een doel na ». Pour le phénomène du REJET, lisez :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KWAM OVT KOMEN 6 ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/05/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij kwam bij de instorting jammerlijk om het leven » (« Elle en vint malheureusement à perdre la vie lors de l’effondrement »).
On y trouve notamment la forme verbale « KWAM », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « KOMEN ».
Le verbe « KOMEN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : WAS OVT ZIJN 5 ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/05/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Zij (Agatha) was een ingewijde van onze sekte » (« Elle était une initiée de notre secte »).
On y trouve la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIJN », qui constitue vraisemblablement le verbe le plus irrégulier de la langue néerlandaise.
C’est logique : plus on utilise un mot, plus la prononciation le déforme au fil du temps …
Le verbe « ZIJN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : ONTDEKTE OVT ONTDEKKEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/05/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik ontdekte per toeval de geheime gang » (« Je découvris par hasard le couloir secret »).
On y trouve notamment le verbe « ONTDEKKEN », lui-même construit sur « DEKKEN », qui est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), mais fait partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik ontdek ») se terminant par la consonne « K », on trouvera le « TE » minoritaire comme terminaison du prétérit :
« ONTDEK » + « TE » = « ONTDEKTE ».

Nom : NA TE GAAN NAGAAN 2 ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/05/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Mijn vriend en ik kregen opdracht (om) de oorzaken van de dood … na te gaan » (« Mon ami et moi reçûmes => avons reçu pour mission de vérifier les causes de la mort … »).
On y trouve notamment la forme verbale « NA … gaan », qui provient de l’infinitif « NAgaan », verbe « à particule séparable », construit sur le verbe « GAAN ».
Lorsque ce verbe « NAgaan » est « conjugué », il y a séparation de la particule « NA » de sa forme verbale proprement dite.
On trouve ici une sorte de phrase subordonnée « infinitive », introduite par l’équivalent d’un « POUR » qui, devant les verbes, est normalement rendu en langue néerlandaise par un double mot : « OM (ici sous-entendu) ... TE », placé devant l’infinitif « gaan ».

Nom : KREGEN OVT KRIJGEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 30/04/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Mijn vriend en ik kregen opdracht de oorzaken van de dood … na te gaan » (« Mon ami et moi reçûmes => avons reçu pour mission de vérifier les causes de la mort … »).
On y trouve la forme verbale « KREGEN », prétérit (ou O.V.T.) provenant de l’infinitif « KRIJGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « IJ », donne une voyelle « E » (double, au singulier). Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : KWAM OVT KOMEN 5 ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 29/04/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hoe kwam je hier ? » (« Comment vins-tu => es-tu venu ici ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « KWAM », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « KOMEN ».
Le verbe « KOMEN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : SPREEK OP IMPERATIF OPSPREKEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/04/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Spreek (nu) op ! = antwoord op mijn vraag » (« Parle => Réponds ! »).
On y trouve la forme verbale « spreek … OP », provenant du verbe « OPspreken », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « SPREKEN ».
Lorsque « OPSPREKEN » est conjugué, cela entraîne le REJET de la « particule séparable » « OP » (ancienne préposition), derrière le complément éventuel (« nu »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ONTDEKT VTT ONTDEKKEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/04/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik ben (nu) ontdekt » (« Je suis découvert »).
Rappelons tout d’abord que, au participe passé, les verbes commençant par les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER-, NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On y trouve ici notamment « ontdekt », participe passé provenant de l’infinitif « ONTDEKKEN », lui-même construit sur « DEKKEN », qui est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), mais fait partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik ontdek ») se terminant par la consonne « K », on trouvera le « T » minoritaire comme terminaison du participe passé : « ONTDEK » + « T » = « ONTDEKT ».
Il y a REJET du participe passé « ontdekt » derrière le complément éventuel (« nu »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MOET REJET NEMEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/04/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Daar moet ik een kijkje nemen » (« Je dois y prendre => y jeter un coup d’oeil »).
L’auxiliaire de mode de l’« OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« nemen »), derrière le complément (« een kijkje »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez par exemple notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Daar »), cela engendre une INVERSION : le sujet « ik » passe derrière le verbe « moet ».

Nom : ZOU REJET ZIJN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/04/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressant : « Zou ik op spoor van de geheime sekte zijn ? » (« Serais-je sur la trace de la secte secrète ? »).
L’auxiliaire du CONDITIONNEL est l’infinitif « ZOUDEN » ; il est, en quelque sorte, l’« imparfait » (O.V.T. ou prétérit) de l’auxiliaire du FUTUR, « ZULLEN ».
Au CONDITIONNEL, il y a REJET de l’autre forme verbale, ici « zijn », à la fin de la phrase, derrière le complément (ici «op spoor van de geheime sekte »), et donc à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEBRUIKT VTT GEBRUIKEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/04/2021

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Trouwens vele / veel voetafdrukken bewijzen dat deze gang geregeld gebruikt wordt » (« Par ailleurs, de nombreuses traces de pas prouvent que ce couloir est régulièrement utilisé »).
On y trouve, dans la phrase subordonnée (introduite par « ALSOF »), la forme verbale « gebruikt », participe passé provenant de l’infinitif « GEBRUIKEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (« ik gebruik », première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire : (pas de « GE » +) « GEBRUIK » + « T » = « GEBRUIKT ».
Quand « GEBRUIKEN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, il y a REJET de son participe passé « gebruikt » derrière le complément (« geregeld ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase subordonnée est à la voix passive puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN » et le sujet n’est pas à côté de son verbe.

Nom : KWAM OVT KOMEN 4 ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/04/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dus kwam zij (Agatha) uit deze richting » (« Donc elle venait de cette direction »).
On y trouve notamment la forme verbale « KWAM », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « KOMEN ».
Le verbe « KOMEN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
La phrase commençant par un autre complément (« Dus »), cela engendre une INVERSION : le sujet « zij » passe derrière le verbe « kwam ».

Nom : DRINGT BINNEN OTT BINNENDRINGEN 2 ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/04/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Bertrand) dringt de geheime gang binnen » (« Il pénètre dans le couloir secret »).
On y trouve la forme verbale « dringt … BINNEN », présent (ou O.T.T.) provenant du verbe « BINNENdringen », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « DRINGEN ».
Il y a REJET de la particule séparable « BINNEN », composante du verbe, derrière le complément (« de geheime gang »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe ou d’une de ses composantes, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEDRUKT VTT DRUKKEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/04/2021

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De knop blinkt alsof er meermaals op gedrukt werd » (« Le bouton étincelle comme si il était souvent pressé => on appuyait souvent dessus < sur le bouton »).
On y trouve, dans la phrase subordonnée (introduite par « ALSOF »), la forme verbale « gedrukt », participe passé provenant de l’infinitif « DRUKKEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (« ik druk », première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire : « GE » + « DRUK » + « T » = « GEDRUKT ».
Quand « DRUKKEN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, il y a REJET de son participe passé « gedrukt » derrière le complément (« meermaals ») à la fin de la phrase, intercalé entre les deux parties de l’adverbe pronominal « erOP ». Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est à la voix passive puisque l’auxiliaire « WORDEN » (ici au prétérit) est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : GEWEEST VTT ZIJN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/04/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zeven is altijd een geheimzinnig getal geweest » (« Sept a toujours été un chiffre mystérieux »).
On y trouve la forme verbale « GEWEEST », participe passé provenant du même infinitif « ZIJN », qui constitue vraisemblablement le verbe le plus irrégulier de la langue néerlandaise. C’est logique : plus on utilise un mot, plus la prononciation le déforme au fil du temps … Le verbe « ZIJN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GEWEEST » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« altijd » et « een geheimzinnig getal »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ONDERZOCHT VTT ONDERZOEKEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/04/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat hebben wij niet
grondig genoeg onderzocht » (« Cela, nous ne l’avons pas examiné suffisamment en profondeur »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- mais aussi ONDER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve dans cette phrase la forme verbale « onderZOCHT », participe passé (donc exceptionnellement identique au « prétérit ») provenant de l’infinitif « onderZOEKEN », lui-même construit sur « ZOEKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « onderzocht » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« grondig » et « genoeg »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un autre complément (« Dat »), cela engendre une INVERSION : le sujet « wij » passe derrière le verbe « hebben ».

Nom : BRACHT WEG WEGBRACHT OVT WEGBRENGEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/04/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maar nadat hij (Bertrand) hem (nummer 17) wegbracht … » (« Mais après qu’il l’emmena => l’avoir emmené … »).
On y trouve, dans une phrase subordonnée, la forme verbale « wegbracht », provenant du verbe « WEGbrengen », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Lorsque « WEGBRENGEN » est conjugué, cela entraîne normalement le REJET de la « particule séparable » « WEG », derrière le complément (« hem »), à la fin de la phrase.
On le voit mieux dans une phrase qui n’est pas subordonnée : « hij bracht hem weg ». Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé : https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : VERDWEEN OVT VERDWIJNEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/04/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Bij die oude lantaarn verdween zij (Agatha) » (« Près de cette vieille lanterne, elle disparut »).
On trouve donc ici notamment la forme verbale « VERDWEEN », prétérit (ou O.V.T.) provenant de l’infinitif « VERDWIJNEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers et, parmi eux, d’une catégorie importante de verbes irréguliers, celle des « IJ » donnant des « E » aux temps du passé (O.V.T. et V.T.T.).
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre notamment ces trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
La phrase commençant par un complément (« Bij die oude lantaarn »), cela engendre une INVERSION : le sujet « zij » passe derrière le verbe « verdween ».

Nom : UITGESCHAKELD VTT UITSCHAKELEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/04/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « « Hij wordt zelf (door iemand) uitgeschakeld » (« ll est lui-même éliminé »).
On y trouve la forme verbale « UITgeschakeld », participe passé provenant de l’infinitif « UITschakelen », lui-même construit sur l’infinitif « SCHAKELEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent : « ik schakel ») se terminant par la consonne « L », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire.
Quand « UITschakelen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « uitGEschakeld ».
Il y a REJET de la forme verbale « UITgeschakeld » derrière le complément éventuel (« door iemand ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est à la voix passive puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : PLEEGDE OVT PLEGEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/04/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Grosjean) pleegde een aanslag » (« Il perpétra un attentat »).
On y trouve notamment la forme verbale « pleegde », O.V.T. ou prétérit provenant de l’infinitif « PLEGEN ». Ce verbe « PLEGEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik pleeg ») se terminant par la consonne « G », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison de l’ O.V.T. ou prétérit :
« PLEEG » + « DE » = « PLEEGDE ».

Nom : KWAMEN OVT KOMEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/04/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We kwamen uit de kuil » (« Nous venions de la fosse »).
On y trouve notamment la forme verbale « KWAMEN », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « KOMEN ».
Le verbe « KOMEN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : HEB OP TE LOSSEN VTT OPLOSSEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/04/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb met mijn vriend nog vele / veel geheimen (om) op te lossen » (« J’ai avec mon ami encore beaucoup de secrets => mystères pour / à résoudre »).
On y trouve la forme verbale « op … lossen », provenant de l’infinitif «OPLOSSEN », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur « LOSSEN ».
Rappelons, lorsqu’un tel verbe est conjugué, que la particule séparable fait l’objet d’un REJET. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
On trouve ici une sorte de phrase subordonnée « infinitive », introduite par l’équivalent d’un « POUR » qui, devant les verbes, est normalement rendu en langue néerlandaise par un double mot : « OM (ici sous-entendu) ... TE », placé devant l’infinitif « lossen ».

Nom : REDDE OVT REDDEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/04/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Mevrouw redde mij het leven » (« Madame me sauva la vie »).
On y trouve notamment la forme verbale « redde », prétérit (ou O.V.T.) provenant de l’infinitif « REDDEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (« ik red », première personne du présent ou O.T.T.) se terminant par la consonne « D », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit :
« RED » + « DE » = « REDDE ».

Nom : GEDROEG OVT GEDRAGEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/04/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Mevrouw gedroeg zich dapper » (« Madame se conduisit courageusement »).
On y trouve la forme verbale « gedroeg », prétérit (ou O.V.T.) provenant de l’infinitif « GEDRAGEN », lui-même construit sur « DRAGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : GEWEEST VTT ZIJN VERRAST VTT VERRASSEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/04/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Mijn vrouw moet totaal verrast geweest zijn » (« Ma femme doit avoir été totalement surprise »).
« MOETEN » comme les trois autres auxiliaires de mode exige le REJET de l’autre forme verbale (« zijn »), derrière le complément (« totaal »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
On y trouve aussi la forme verbale « GEWEEST », participe passé provenant de l’infinitif « ZIJN », qui constitue vraisemblablement le verbe le plus irrégulier de la langue néerlandaise. C’est logique : plus on utilise un mot, plus la prononciation le déforme au fil du temps … Le verbe « ZIJN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
On y trouve aussi la forme verbale « verrast », participe passé provenant de l’infinitif « VERRASSEN », considéré comme « régulier » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP ». Rappelons que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER- GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.

Nom : ONDERVONDEN VTT ONDERVINDEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/04/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wij hebben nooit iets ondervonden » (« Nous n’avons jamais expérimenté => soupçonné quelque chose »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- mais aussi ONDER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On y trouve notamment la forme verbale « ONDERVONDEN », participe passé provenant de l’infinitif « ONDERVINDEN », lui-même construit sur « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en «I», donne une voyelle « O » pour les temps du passé. Ce participe passé « ONDERVONDEN » est construit sur le PLURIEL du prétérit ou O.V.T. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « ONDERVONDEN » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« nooit » et « iets »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MAAKT KENNIS OTT REJET KENNISMAKEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/04/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Terwijl de politie het nodige doet maakt hij (Robert) met de eigenaars van het spijshuis kennis » (« Pendant que la police fait le nécessaire, il fait la connaissance des propriétaires de l’auberge »).
On y trouve la forme verbale « MAAKT … KENNIS », provenant de l’expression « KENNISMAKEN »
Quand l’expression « KENNISMAKEN » est conjuguée, il y a normalement REJET de « KENNIS » (réagissant comme une « particule séparable ») derrière le complément (« met de eigenaars van het spijshuis ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs:
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase principale étant précédée par une phrase subordonnée (introduite par « TERWIJL »), cela équivaut à une phrase commençant par un complément et entraîne une INVERSION du sujet « hij » qui passe derrière son verbe « maakt ».

Nom : OPLEGGEN OMTE ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/04/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Iemand saboteerde zijn wagen om hem het zwijgen op te leggen » (« Quelqu’un sabota sa voiture pour le réduire au silence »).
On y trouve la forme verbale « op … leggen », provenant de l’infinitif «OPLEGGEN », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur « LEGGEN ».
Rappelons, lorsque le verbe est conjugué, que la particule séparable fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (ici « hem » et « het zwijgen »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
On y trouve donc ici, une phrase subordonnée « infinitive », introduite par « POUR » qui, devant les verbes, est rendu en langue néerlandaise par un double mot : « OM … TE ». Les compléments (ici « hem » et «het zwijgen ») s’intercalent entre le « OM » et le « TE », placé devant l’infinitif « leggen ».

Nom : SABOTEERDE OVT SABOTEREN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/04/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Iemand saboteerde zijn wagen » (« Quelqu’un sabota sa voiture »).
Ce verbe « SABOTEREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik saboteer ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit :
« SABOTEER » + « DE » = « SABOTEERDE ».

Nom : ZAT OVT ZITTEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/04/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Ik zat hem (Grosjean) op de hielen » (« J’étais sur ses talons »).
On y trouve la forme verbale « ZAT », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZITTEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : WAS OVT ZIJN 4 ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/04/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Hij (Grosjean) was mijn chauffeur » (« ll était mon chauffeur»).
On y trouve la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIJN », qui constitue vraisemblablement le verbe le plus irrégulier de la langue néerlandaise.
C’est logique : plus on utilise un mot, plus la prononciation le déforme au fil du temps …
Le verbe « ZIJN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : GAAT VANDOOR OTT VANDOOR GAAN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/04/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij gaat er met een auto vandoor » (« Il se tire avec une voiture »).
On y trouve notamment la forme verbale « gaat … VANDOOR », qui aurait pu provenir d’un infinitif « VANDOORgaan », verbe qui aurait été « à particule séparable ». Mais on a plutôt affaire à un adverbe pronominal « er (daar) … VANDOOR », composé de deux anciennes prépositions « VAN » et « DOOR », correspondant à des notions de déplacement.
Toujours est-il que l’expression « VANDOOR gaan », quand elle est « conjuguée », engendre en néerlandais l’équivalent d’une séparation de « VANDOOR » de sa forme verbale proprement dite et cette sorte de particule séparable « VANDOOR », composante du verbe, fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« met een auto »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : HOUD TEGEN IMPERATIF TEGENHOUDEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/04/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Houd hem (de man) tegen ! » (« Retenez-le ! »).
On y trouve la forme verbale « houd … TEGEN », provenant du verbe « TEGENhouden », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « HOUDEN ».
Lorsque « TEGENHOUDEN » est conjugué, cela entraîne le REJET de la « particule séparable » « TEGEN » (ancienne préposition), derrière le complément (« hem »), à la fin de la phrase.
Notez que, au féminin, on aurait eu : « Houd haar (de vrouw) tegen ! » (« Retenez-la ! »).
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KAN KUNNEN REJET AFSCHUDDEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/04/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Deze (de man) kan hem van zich afschudden » (« Ce dernier peut se débarrasser de lui »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« afschudden »), derrière les compléments (« hem » et « van zich »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir « MAG », singulier de l’infinitif « MOGEN», l’auxiliaire de mode de la « POSSIBILITE » :
« Deze mag hem van zich afschudden ».

Nom : RENT OP OTT OPRENNEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 31/03/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Deze (de man) rent de straat op » (« Ce dernier se rue sur la rue »).
On y trouve la forme verbale « rent … OP », provenant du verbe «OPrennen », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « RENNEN ».
Lorsque « OPRENNEN » est conjugué, cela entraîne le REJET de la « particule séparable » « OP » (ancienne préposition), derrière le complément (« de straat »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEWILD VTT WILLEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 30/03/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je hebt het (dat OU dit) gewild » («Tu l’as voulu»).
On y trouve notamment la forme verbale « GEWILD », participe passé provenant de l’infinitif « WILLEN ». Ce verbe « WILLEN » évolue vers un verbe « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est PAS affecté par les « temps primitifs » (sauf, parfois, encore au prétérit : « WOU » au lieu de « WILDE ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent : WILLEN – EN – deuxième « L » => WIL) se terminant par la consonne « L », on trouvera comme terminaison du participe passé le « D » majoritaire, ce « D » étant d’ailleurs déjà présent au prétérit « WILDE ».
Pour la modification orthographique au niveau du radical d’autres verbes, moins simples, référez-vous à notre synthèse du « radical du verbe » néerlandais (point 2). Voir :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=radVerbes
Ce participe passé « GEWILD », fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« HET »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : DEED OVT DOEN 2 ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 29/03/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Wie ben je en wat deed je in de kuil op het Vossenplein ? » (« Qui es-tu et que faisais-tu dans la fosse de la place du jeu de balle ? »).
On y trouve la forme verbale « DEED », O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « DOEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : WERPT ACHTERUIT OTT ACHTERUITWERPEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/03/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De vrouw werpt zich plots achteruit » (« La femme se jette soudain en arrière »).
On y trouve la forme verbale « werpt … ACHTERUIT », provenant du verbe « ACHTERUITwerpen », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « WERPEN ».
Lorsque « ACHTERUITWERPEN » est conjugué, cela entraîne le REJET de la « particule séparable » « ACHTERUIT », derrière le complément (« plots »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GRIJPT IN OTT INGRIJPEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/03/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Robert) grijpt (dadelijk) in » (« Il intervient »).
On y trouve la forme verbale « grijpt … IN », provenant du verbe «INgrijpen », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « GRIJPEN ».
Lorsque « INGRIJPEN » est conjugué, cela entraîne le REJET de la « particule séparable » « IN », derrière le complément éventuel (« dadelijk »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GA WEG OTT WEGGAAN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/03/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Ik ga niet graag met lege handen weg » (« Je ne pars pas volontiers (avec) des => les mains vides »).
On y trouve la forme verbale « ga … WEG », provenant du verbe « WEGgaan », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « GAAN ».
Lorsque « WEGGAAN » est conjugué, cela entraîne le REJET de la « particule séparable » « WEG », derrière les compléments (« graag » et « met lege handen »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEPLEEGD VTT PLEGEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/03/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (de indringer) heeft hier een overval gepleegd » (« Il a perpétré ici un braquage »).
On y trouve notamment la forme verbale « gepleegd », participe passé provenant de l’infinitif « PLEGEN ». Ce verbe « PLEGEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik pleeg ») se terminant par la consonne « G », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés : préfixe « GE » + « PLEEG » + « D » = « GEPLEEGD ».
Il y a REJET de ce participe passé, derrière les compléments (« hier » et «een overval ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GESLAGEN VTT SLAAN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/03/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De ober is bewusteloos geslagen » (« Le majordome est inconsciemment frappé => a été assommé »).
On y trouve notamment la forme verbale « GESLAGEN », participe passé provenant de l’infinitif « SLAAN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GESLAGEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« bewusteloos »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Il ne faut pas confondre « SLAAN » avec le verbe « SLAGEN », considéré comme « régulier ».

Nom : DRINGT BINNEN OTT BINNENDRINGEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/03/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Robert) dringt (langs achter) binnen » (« Il pénètre par l’arrière »).
On y trouve la forme verbale « dringt … BINNEN », présent (ou O.T.T.) provenant du verbe « BINNENdringen », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « DRINGEN ».
Il y a REJET de la particule séparable « BINNEN », composante du verbe, derrière le complément éventuel (« langs achter »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe ou d’une de ses composantes, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : DRING BINNEN OTT BINNENDRINGEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/03/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik dring langs achter binnen » (« Je pénètre par l’arrière »).
On y trouve la forme verbale « dring … BINNEN », présent (ou O.T.T.) provenant du verbe « BINNENdringen », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « DRINGEN ».
Il y a REJET de la particule séparable « BINNEN », composante du verbe, derrière le complément (« langs achter »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe ou d’une de ses composantes, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEVOLGD VTT VOLGEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/03/2021

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De man vermoedt misschien dat hij (door iemand) (wordt) gevolgd wordt » (« L’homme suppose peut-être qu’il est suivi »).
On y trouve, dans la phrase subordonnée, notamment la forme verbale «gevolgd », participe passé provenant de l’infinitif « VOLGEN ». Ce verbe « VOLGEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik volg ») se terminant par la consonne « G », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés : préfixe « GE » + « VOLG » + « D » = « GEVOLGD ».
Il y a REJET de ce participe passé, derrière le complément éventuel («door iemand ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est à la voix passive puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : HADDEN OVT HEBBEN 2 ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/03/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Koningen en edelen hadden alchimisten in dienst » (« Des rois et des nobles avaient des alchimistes en service = à leur service »).
On y trouve notamment la forme verbale « HADDEN », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « HEBBEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : BEREIKT VTT BEREIKEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/03/2021

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « buiten de ingewijden wist niemand wat er (dan) (werd) bereikt werd » (« en dehors des initiés, personne ne savait ce qui était réalisé => visé »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
Dans la phrase subordonnée, on trouve la forme verbale « bereikt », participe passé provenant de l’infinitif « BEREIKEN », considéré comme verbe « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik bereik ») se terminant par la consonne « K », on trouvera le « T » minoritaire comme terminaison des participes passés : « BEREIK » + « T » = « BEREIKT ».
Quand « BEREIKEN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, il y a REJET de son participe passé « bereikt» derrière le complément éventuel (« dan ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs : https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : WIST OVT WETEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/03/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « buiten de ingewijden wist niemand … » (« en dehors des initiés, personne ne savait … »).
On y trouve notamment la forme verbale « WIST » (O.V.T. ou « prétérit »), provenant de l’infinitif « WETEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
La phrase commençant par un complément, cela engendre une INVERSION : le sujet « niemand » passe derrière le verbe « wist ».
On aurait pu avoir la variante suivante : « niemand wist buiten de ingewijden … ».

Nom : GEBEURDE OVT GEBEUREN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/03/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het gebeurde allemaal in het geheim » (« Cela eut lieu complètement dans le secret = tout cela eut lieu en secret »).
Ce verbe « GEBEUREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « gebeur ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit :
« GEBEUR » + « DE » = « GEBEURDE ».

Nom : KONDEN OVT KUNNEN REJET VERANDEREN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/03/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « de Steen der Wijzen waarmede ze onedelen metalen in goud konden veranderen » (« la Pierre philosophale avec laquelle ils pouvaient = auraient pu transformer des métaux non nobles en or »).
L’auxiliaire de mode de la CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN » et un O.V.T. (ou prétérit) « KON » (PLURIEL irrégulier « KONDEN »). Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (ici « veranderen »), derrière les compléments (« onedelen metalen » et « in goud »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Le verbe « KUNNEN » fait l’objet (au seul prétérit ou O.V.T.) des « temps primitifs ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
N’oubliez pas que, dans une phrase subordonnée néerlandaise, la forme verbale (ici « konden ») ne se trouve plus à côté de son sujet (ici « ZE »).

Nom : ZOCHTEN OVT ZOEKEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/03/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« De alchimisten zochten naar de Steen der Wijzen »
(« Les alchimistes cherchaient la Pierre philosophale »).
On y trouve notamment « ZOCHTEN », O.V.T. (ou « prétérit ») du verbe « ZOEKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Notez la préposition « naar » avec le verbe « ZOEKEN ».

Nom : KOMEN UIT OTT UITKOMEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/03/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Zeven straten komen op de Grote Markt uit » (« Sept rues donnent sur la Grand’Place »).
On y trouve la forme verbale « komen … UIT », provenant du verbe « UITkomen », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « KOMEN ».
Lorsque « UITKOMEN » est conjugué, cela entraîne le REJET de la « particule séparable » « UIT », derrière le complément (« op de Grote Markt »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEBOUWD VTT BOUWEN 2 ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/03/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Door zeven ingewijden werd de stad op zeven heuvelen / heuvels gebouwd » (« La ville fut construite par sept initiés sur sept collines »).
On y trouve la forme verbale « GEBOUWD » provenant de l’infinitif « BOUWEN », verbe considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik BOUW ») se terminant par la consonne « W », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés :
préfixe « GE » + « BOUW » + « D » = « GEBOUWD ».
Le participe passé « GEBOUWD » fait l’objet d’un REJET derrière le complément (« op zeven heuvelen ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » (ici « WERD ») est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ». Il fait aussi l’objet des « temps primitifs ».
La phrase commençant par un complément (« Door zeven ingewijden »), cela engendre une INVERSION : le sujet « de stad » passe derrière le verbe « werd ».

Nom : GEBOUWD VTT BOUWEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/03/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een geschiedkundige schreef in 1614 dat Brussel op basis van het cijfer zeven werd gebouwd » (« Un historien écrivit en 1614 que Bruxelles fut construite sur base du chiffre sept »).
On y trouve, dans la phrase subordonnée (introduite par « DAT »), la forme verbale « GEBOUWD » provenant de l’infinitif « BOUWEN », verbe considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik BOUW ») se terminant par la consonne « W », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés : préfixe « GE » + « BOUW » + « D » = « GEBOUWD ».
Le participe passé « GEBOUWD » fait l’objet d’un REJET derrière le complément («op basis van het cijfer zeven ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » (ici « WERD ») est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ». Il fait aussi l’objet des « temps primitifs ».

Nom : SCHREEF OVT SCHRIJVEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/03/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een geschiedkundige schreef in 1614 dat » (« Un historien écrivit en 1614 que »).
On trouve donc ici notamment la forme verbale « SCHREEF », prétérit (ou O.V.T.) provenant de l’infinitif « SCHRIJVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers et, parmi eux, d’une catégorie importante de verbes irréguliers, celle des « IJ » donnant des « E » aux temps du passé (O.V.T. et V.T.T.).
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé (la plus nombreuse étant celle des « IJ ») :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : LIET OVT LATEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/03/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Waarheen liet hij zich rijden ? » (« Où se laissa-t-il conduire ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « LIET », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « LATEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : GAF OVT GEVEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/03/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « (…) het adres dat hij aan mijn collega gaf » (« l’adresse qu’il donna à mon collègue »).
On y trouve, dans une phrase subordonnée (introduite par « DAT »), la forme verbale « GAF », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « GEVEN ». Le verbe « GEVEN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Notez que le « DAT » introduisant ici la phrase subordonnée est dû au déterminant défini (« het ») de « « HET adres », du genre neutre.
N’oubliez pas que, dans une phrase subordonnée, la forme verbale (ici «gaf») n’est plus à côté de son sujet (ici « hij ») et fait l’objet d’un REJET derrière le complément (ici « aan mijn collega »). Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GING VANDOOR OVT VANDOOR GAAN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/03/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij ging er in een taxi vandoor » (« Il se tira / s’est tiré en taxi »).
On y trouve notamment la forme verbale « GING » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant de l’infinitif « GAAN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
On y trouve plus particulièrement « ging … VANDOOR », qui aurait pu provenir d’un infinitif « VANDOORgaan », verbe qui aurait été « à particule séparable ». Mais on a plutôt affaire à un adverbe pronominal « er (daar) … VANDOOR », composé de deux anciennes prépositions « VAN » et « DOOR », correspondant à des notions de déplacement.
Toujours est-il que l’expression « VANDOOR gaan », quand elle est « conjuguée », engendre en néerlandais l’équivalent d’une séparation de « VANDOOR » de sa forme verbale proprement dite et cette sorte de particule séparable « VANDOOR », composante du verbe, fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« in een taxi »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GA ACHTERNA OTT ACHTERNAGAAN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/03/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Ik ga de man achterna ! » (« Je vais derrière l’homme => je me lance à la poursuite de l’homme ! »).
On y trouve la forme verbale « ga … ACHTERNA », provenant du verbe « ACHTERNAgaan », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « GAAN ».
Lorsque « ACHTERNAGAAN » est conjugué, cela entraîne le REJET de la « particule séparable » « ACHTERNA », derrière le complément (« de man »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : BRENG WEG IMPERATIF WEGBRENGEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/03/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Breng hem (nummer 17) weg ! » (« Emmène-le ! »).
On y trouve la forme verbale « breng … WEG », provenant du verbe « WEGbrengen », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « BRENGEN ».
Lorsque « WEGBRENGEN » est conjugué, cela entraîne le REJET de la « particule séparable » « WEG », derrière le complément (« hem »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VERSTUIKTE OVT VERSTUIKEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/03/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik verstuikte mijn voet » (« Je tordis / J’ai tordu mon pied => Je me suis foulé le pied »).
On y trouve notamment le verbe « VERSTUIKEN », qui est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), mais fait partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik verstuik ») se terminant par la consonne « K », on trouvera le « TE » minoritaire comme terminaison du prétérit :
« VERSTUIK » + « TE » = « VERSTUIKTE ».

Nom : HADDEN OVT HEBBEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/03/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De verdwenen personen hadden allen iets te maken met een sekte » (« Les personnes disparues avaient toutes à faire / affaire à une secte »).
On y trouve notamment la forme verbale « HADDEN », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « HEBBEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : VERDWENEN VTT VERDWIJNEN 2 ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/03/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De verdwenen personen » (« Les personnes disparues »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER- GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve donc ici notamment la forme verbale « VERDWENEN » (utilisée comme adjectif), participe passé provenant de l’infinitif « VERDWIJNEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers et, parmi eux, d’une catégorie importante de verbes irréguliers, celle des « IJ » donnant des « E » aux temps du passé (O.V.T. et V.T.T.). Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre notamment ces trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : WAS OVT ZIJN 3 ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/03/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Zij was lid van een geheime sekte » (« Elle était membre d’une secte => société secrète »).
On y trouve la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIJN », qui constitue vraisemblablement le verbe le plus irrégulier de la langue néerlandaise.
C’est logique : plus on utilise un mot, plus la prononciation le déforme au fil du temps …
Le verbe « ZIJN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : OMKWAM OVT OMKOMEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/03/2021

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wij proberen uit te maken hoe zij (Agatha Monest) omkwam » (« Nous tentons de déterminer comment elle succomba »).
On y trouve, dans la phrase subordonnée relative (introduite par « HOE »), la forme verbale « OMKWAM », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « OMKOMEN », lui-même construit sur « KOMEN ».
Le verbe « KOMEN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : PROBEREN UIT TE MAKEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/02/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wij proberen uit te maken hoe zij (Agatha Monest) omkwam » (« Nous tentons de déterminer comment elle succomba »).
On y trouve notamment le verbe « PROBEREN », qui exige un « TE » (équivalant au « DE » français) devant l’infinitif. Exemples à :
http://www.idesetautres.be/upload/CONSTRUCTIONS%20PHRASES%20NL%20ZC10%20TE+INFINITIF.zip
On y trouve également la forme verbale « UIT … maken », provenant de l’infinitif « UITmaken », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « MAKEN ».
Quand « UITmaken » est conjugué (c’est plus ou moins le cas ici), cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de sa forme verbale proprement dite.

Nom : TRACHTTE OVT TRACHTEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/02/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij trachtte ons te doden » (« il tenta de nous tuer »).
On y trouve notamment le verbe « TRACHTEN », qui est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), mais fait partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik tracht ») se terminant par la consonne « T », on trouvera le « TE » minoritaire comme terminaison du prétérit :
« TRACHT » + « TE » = « TRACHTTE ».
Notez que le verbe « TRACHTEN » exige un « TE » (équivalant au « DE » français) devant l’infinitif. Exemples à :
http://www.idesetautres.be/upload/CONSTRUCTIONS%20PHRASES%20NL%20ZC10%20TE+INFINITIF.zip

Nom : VOLGDE OVT VOLGEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/02/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Ik volgde hem » (« Je le suivis = je l’ai suivi »).
Ce verbe « VOLGEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik volg ») se terminant par la consonne « G », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit : « VOLG » + « DE » = « VOLGDE ».

Nom : GEZOCHT VTT ZOEKEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/02/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik zag toevallig (…) een gezochte boef » (« Je vis / j’ai vu par hasard un malfrat recherché »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEZOCHT », participe passé (utilisé comme adjectif épithète) provenant de l’infinitif « ZOEKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEZOCHT » est construit sur le SINGULIER du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Dans un autre contexte, le participe passé « GEZOCHT » fait normalement l’objet d’un REJET, derrière le complément, à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse, également en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZAG OVT ZIEN 2 ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/02/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik zag toevallig (…) een gezochte boef » (« Je vis / j’ai vu par hasard un malfrat recherché »).
On y trouve notamment la forme verbale « ZAG », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
ATTENTION : Beaucoup d’apprenants croient que la forme verbale « ZAG », provient de l’infinitif « ZEGGEN », également irrégulier à l’O.V.T. …

Nom : SCHOOT OVT SCHIETEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/02/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wie schoot op ons ? » (« Qui tira / a tiré sur nous ? »).
On y trouve la forme verbale « SCHOOT », prétérit (O.V.T.) provenant de l’infinitif « SCHIETEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « IE », donne une voyelle « O ». Il faut donc noter que son participe passé se construira sur le PLURIEL du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : KWAM OVT KOMEN 3 ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/02/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat kwam van de andere kant » (« Cela venait de l’autre côté »).
On y trouve notamment la forme verbale « KWAM », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « KOMEN ».
Le verbe « KOMEN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : ZAG OVT ZIEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/02/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik zag iets achter die schoorsteen bewegen » (« Je vis / j’ai vu bouger quelque chose derrière cette cheminée »).
On y trouve notamment la forme verbale « ZAG », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
ATTENTION : Beaucoup d’apprenants croient que la forme verbale « ZAG », provient de l’infinitif « ZEGGEN », également irrégulier à l’O.V.T. …

Nom : VIEL OVT VALLEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/02/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Die steen viel niet vanzelf » (« Cette pierre ne tombait pas d’elle-même => toute seule »).
On y trouve notamment la forme verbale « VIEL » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant de l’infinitif « VALLEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Voir notre tableau :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : PAS OP IMPERATIF OPGEPAST VTT OPPASSEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/02/2021

Description : Les deux phrases suivantes sont grammaticalement intéressantes: « Pas op ! » « Opgepast ! » (« Fais attention ! »).
On y trouve la seule forme verbale « Pas op ! », impératif, ou « OPgepast », participe passé provenant de l’infinitif « OPpassen», verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « PASSEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent : « ik pas op ») se terminant par la consonne « S », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Quand « OPpassen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEpast ».

Nom : BESPIED VTT BESPIEDEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/02/2021

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij (Robert en Bertrand) keren huiswaarts maar bemerken niet dat zij (door iemand) bespied worden » (« Ils retournent vers leur maison mais ne remarquent pas qu’ils sont épiés »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve donc la forme verbale « BEspied », participe passé provenant de l’infinitif « BEspieden », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Le participe passé « BEspied » est identique à la première personne de l’indicatif présent (radical se terminant déjà par un D) et fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« door iemand »), à la fin de la phrase subordonnée (introduite par « DAT »). Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : VERSPERD OVT VERSPERREN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/02/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De grondverzakking heeft de toegang totaal versperd » (« L’effondrement de terrain a totalement obstrué l’accès => le passage »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve donc la forme verbale « versperd », participe passé provenant de l’infinitif « VERsperren », considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), qui NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et qui NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik versper ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés :
(pas de préfixe « GE ») + « VERSPER » + « D » = « VERSPERD ».
Le participe passé « versperd » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« de toegang » et « totaal »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : DEED OVT DOEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/02/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Wat deed zij hier ? » (« Que faisait-elle ici ? »).
On y trouve la forme verbale « DEED », O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « DOEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : KWAM OVT KOMEN 2 ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/02/2021

Description : La triple phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Als we de geheime gang volgen kunnen we (gemakkelijker) uitmaken waar Agatha vandaan kwam » (« Si nous suivons le couloir secret, nous pouvons déterminer d’où Agatha venait »).
On y trouve notamment la forme verbale « KWAM », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « KOMEN ».
Le verbe « KOMEN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
N’oubliez pas que, dans une phrase subordonnée, la forme verbale (ici «kwam») n’est plus à côté de son sujet (ici « Agatha ») et fait l’objet d’un REJET derrière le complément (ici « vandaan »). Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KUNNEN REJET UITMAKEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/02/2021

Description : La triple phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Als we de geheime gang volgen kunnen we (gemakkelijker) uitmaken waar Agatha vandaan kwam » (« Si nous suivons le couloir secret, nous pouvons déterminer d’où Agatha venait »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre infinitif (« uitmaken ») derrière le complément éventuel (« gemakkelijker »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par l’équivalent d’un complément (la phrase « Als we de geheime gang volgen » joue ce rôle), cela engendre une INVERSION : le sujet « we » passe derrière le verbe « kunnen ».
Notez que l’on aurait dû avoir plutôt l’auxiliaire de mode de la «POSSIBILITE», l’infinitif « MOGEN » :
« … mogen we uitmaken. »

Nom : DOUBLE INFINITIF VTT HEBBEN KUNNEN VERSCHALKEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/02/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Die politieman hebben we (gemakkelijk) kunnen verschalken » (« Nous avons pu duper ce policier »).
La phrase est, en fait, au passé composé et la forme verbale de « KUNNEN » aurait dû être au participe passé mais on a ici affaire à ce que l’on appelle le « double infinitif », solution intéressante pour éviter les « temps primitifs » quand on ne les maîtrise pas.
Les deux infinitifs font l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« gemakkelijk »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Die politieman »), cela engendre une INVERSION : le sujet « we » passe derrière le verbe « hebben».
Notez que l’on aurait dû avoir plutôt l’auxiliaire de mode de la «POSSIBILITE», l’infinitif « MOGEN » :
« Die politieman hebben we (gemakkelijk) mogen verschalken. »

Nom : OMHEIND VTT OMHEINEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/02/2021

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Terug in Brussel stellen de vagebonden vast dat de kuil omheind is » (« De retour à Bruxelles, les vagabonds constatent que la fosse est entouré par une clôture »).
On y trouve, dans la phrase subordonnée (introduite par « DAT »), la forme verbale « OMheind », participe passé provenant de l’infinitif « OMheinen » (qui N’est PAS un verbe dit à « particule séparable »). Ce verbe est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik omhein ») se terminant par la consonne « N », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés.
Quand « OMheinen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela n’entraîne PAS en néerlandais une séparation de la particule « OM » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) NE s’intercalant (exceptionnellement) PAS entre eux => « omheind ».

Nom : STELLEN VAST OTT VASTSTELLEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/02/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Terug in Brussel stellen de vagebonden (daar) vast ... » (« De retour à Bruxelles, les vagabonds constatent que … »).
On y trouve la forme verbale « stellen … VAST », provenant de l’infinitif « VASTstellen », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « STELLEN ».
Quand « VASTstellen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « VAST » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET derrière le complément éventuel (« daar »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET, lisez :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Terug in Brussel »), cela engendre une INVERSION : le sujet « de vagebonden » passe derrière le verbe « stellen ».

Nom : KWAM TERECHT TERECHTKWAM OVT TERECHTKOMEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/02/2021

Description : La triple phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Keer (naar het Vossenplein) terug en zoek (in het Vossenplein) uit hoe en waarom zij daar terecht kwam » (« Retourne à la place du Jeu de Balle et cherche comment et pourquoi elle aboutit / a abouti là »).
On y trouve la forme verbale « kwam … terecht », O.V.T. (ou prétérit) provenant du verbe « TERECHTkomen », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « KOMEN ».
Quand « TERECHTkomen » est conjugué, cela entraîne normalement en néerlandais une séparation de la particule « TERECHT » de son infinitif proprement dit et son REJET, derrière le complément (« daar »), à la fin de la phrase, ce que l’on aurait pu mieux voir dans la variante suivante : « zij kwam daar terecht ». Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
N’oubliez pas que, dans une phrase subordonnée néerlandaise (introduite ici par « hoe en waarom »), la forme verbale (ici « kwam ») n’est plus à côté de son sujet (ici « zij »).

Nom : ZOEK UIT IMPERATIF UITZOEKEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/02/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zoek (in het Vossenplein) uit ! » (« Cherche sur la place du Jeu de balle ! »).
On y trouve la forme verbale « zoek … UIT », provenant de l’infinitif « UITzoeken », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « ZOEKEN ».
Quand « UITzoeken » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET derrière le complément éventuel (« in het Vossenplein »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET, lisez :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KEER TERUG IMPERATIF TERUGKEREN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/02/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Keer (naar het Vossenplein) terug ! » (« Retourne à la place du Jeu de balle ! »).
On y trouve la forme verbale « keer … TERUG », provenant de l’infinitif « TERUGkeren », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « KEREN ».
Quand « TERUGkeren » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERUG » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET derrière le complément éventuel (« naar het Vossenplein »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET, lisez :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : BEVONDEN VTT BEVINDEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/02/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij (Agatha) moet zich in die geheime gang tijdens de instorting (hebben) bevonden hebben » (« Elle doit s’être trouvée dans le couloir secret pendant l’effondrement »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On y trouve notamment la forme verbale « BEVONDEN », participe passé provenant de l’infinitif « BEVINDEN », lui-même construit sur « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en «I», donne une voyelle « O » pour les temps du passé. Ce participe passé « BEVONDEN » est construit sur le PLURIEL du prétérit ou O.V.T. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « BEVONDEN » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« in die geheime gang » et « tijdens de instorting »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
L’auxiliaire de mode de l’« OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (ici « hebben »), derrière les compléments, à la fin de la phrase et à l’infinitif.

Nom : BLOOTGELEGD OTT BLOOTLEGGEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/02/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Tijdens de bergingswerken op het Vosseplein werd een geheime gang blootgelegd » (« Pendant les travaux de sauvetage à la place du Jeu de balle, un couloir secret a été mis à nu »).
On y trouve la forme verbale « blootgelegd », participe passé provenant de l’infinitif « BLOOTLEGGEN », dit « à particule séparable ». Ce verbe « LEGGEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik leg ») se terminant par la consonne « G », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés : préfixe « GE » + « LEG » + « D » = « GELEGD ».
Quand « BLOOTLEGGEN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « BLOOT » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « blootgelegd ».
La phrase commençant par un complément (« Tijdens de bergingswerken op het Vosseplein »), cela entraîne une INVERSION du sujet « een geheime gang » qui passe derrière son verbe « werd ».

Nom : KWAM OVT KOMEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/02/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hoe kwam zij dan ? … » (« Comment arriva-t-elle alors ? … »).
On y trouve notamment la forme verbale « KWAM », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « KOMEN ».
Le verbe « KOMEN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : ZAGEN OVT ZIEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/02/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « wij zagen enkel de man en de vrouw in de kuil storten » (« nous vîmes / avons vu seulement disparaître dans la fosse l’homme et la femme = nous n’avons vu que l’homme et la femme disparaître dans la fosse »).
On y trouve notamment la forme verbale « ZAGEN », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
ATTENTION : Beaucoup d’apprenants croient que la forme verbale « ZAGEN », provient de l’infinitif « ZEGGEN », également irrégulier à l’O.V.T.

Nom : GRAVEN OP OTT OPGRAVEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/02/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze (Robert en Bertrand) graven het lichaam op » (« Ils déterrent le corps »).
On y trouve la forme verbale « graven … op », provenant de l’infinitif « OPGRAVEN », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur « GRAVEN ».
Rappelons, lorsque le verbe est conjugué, que la particule séparable fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « het lichaam »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : LAAT DOOR IMPERATIF DOORLATEN DOORGAAN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/02/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Laat mij door(gaan) ! » (« Laisse-moi passer ! »).
On y trouve la forme verbale « laat … DOOR », qui pourrait provenir du verbe « DOORlaten », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « LATEN ». Il y aurait alors REJET de la particule séparable « DOOR », derrière le complément (« mij »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Mais nous avons plutôt affaire au verbe « DOORgaan », certainement « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « GAAN ».

Nom : ZAL OTT ZULLEN REJET OVERLEVEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/02/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressant : « De vrouw zal het (= het ongeval) overleven » (« La femme va y survivre = à l’accident »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale («overleven») à la fin de la phrase, derrière le complément (« het »), et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : DALEN AF OTT AFDALEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 31/01/2021

Description : La (double) phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze (Robert en Bertrand) dalen als eersten in de kuil af om hulp te bieden » (« Ils descendent les premiers dans la fosse pour apporter de l’aide»).
On y trouve la forme verbale « dalen … af », provenant de l’infinitif «AFDALEN », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur « DALEN ».
Rappelons, lorsque le verbe est conjugué, que la particule séparable fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (ici « als eersten » et « in de kuil »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
On y trouve aussi, une phrase subordonnée « infinitive », introduite par « POUR » qui, devant les verbes, est rendu en langue néerlandaise par un double mot : « OM … TE ». Le complément (ici « hulp ») s’intercale entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « bieden ».

Nom : SLOKT OP OTT OPSLOKKEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 30/01/2021

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het lijkt alsof de aarde hem (Jean-Baptiste Dolo) en zijn moeder plots opslokt » (« C’est comme si la terre les engloutit soudain lui et sa mère »).
On y trouve, dans la phrase subordonnée (introduite par « ALSOF »), la forme verbale « opslokt », provenant de l’infinitif « OPSLOKKEN », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur «SLOKKEN ».
Rappelons que, dans la phrase subordonnée néerlandaise, le verbe ne se trouve plus à côté de son sujet et fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« hem en zijn moeder » » et « plots »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
« OPSLOKKEN » est bel et bien un verbe « à particule séparable », ce que l’on peut mieux constater si l’on se réfère à la variante suivante : «de aarde slokt hem en zijn moeder plots op ».

Nom : KEREN TERUG OTT TERUGKEREN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 29/01/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « de vagebonden keren langs het Vossenplein terug » (« les vagabonds retournent par la place du Jeu de balle »).
On y trouve la forme verbale « keren … TERUG », provenant de l’infinitif « TERUGkeren », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « KEREN ».
Quand « TERUGkeren » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERUG » de son infinitif proprement dit, la particule faisant normalement l’objet d’un REJET derrière le complément (« langs het Vossenplein »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET, lisez :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VERDWENEN VTT VERDWIJNEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/01/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze moet langs één van deze poortjes verdwenen zijn » (« Elle doit avoir disparu par une de ces petites portes »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER- GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve donc ici notamment la forme verbale « VERDWENEN », participe passé provenant de l’infinitif « VERDWIJNEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers et, parmi eux, d’une catégorie importante de verbes irréguliers, celle des « IJ » donnant des « E » aux temps du passé (O.V.T. et V.T.T.). Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre notamment ces trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : ZIT OP OTT OPZITTEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/01/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Er zit niets anders op ... » (« Il n’y a pas d’autre choix ... »).
On y trouve la forme verbale « zit … op », provenant du verbe « OPzitten », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « ZITTEN ».
Quand « OPzitten » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit et son REJET, derrière le complément (« niets anders »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
N’oubliez pas que tout adjectif suivant « niets » (ou « iets ») devra se terminer par « S » : « ander » + « S » = « anders ».

Nom : MOET REJET ZIJN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/01/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze moet langs één van deze poortjes verdwenen zijn » (« Elle doit avoir disparu par une de ces petites portes »).
L’auxiliaire de mode de l’« OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« zijn »), derrière le complément («langs één van deze poortjes »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : LATEN WE REJET VOLGEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/01/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Laten we haar volgen ! » (« Suivons-la ! »).
N’oublions pas que la tournure « LATEN we » (littéralement « Laissons-nous ») de la première personne du pluriel de l’IMPERATIF présent exige un REJET de l’infinitif (ici « volgen »), derrière le complément (« haar »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : WAREN OVT ZIJN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/01/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het waren beiden alleenstaande personen » (« C’étaient toutes les deux des personnes isolées »).
On y trouve notamment la forme verbale « WAREN » (pluriel irrégulier de « WAS »), O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
On y trouve également, utilisé comme adjectif, le participe présent « alleenstaand », construit sur l’infinitif « STAAN ».

Nom : GEVONDEN VTT VINDEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/01/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Volgens de krant werden twee vermisten in het kanaal gevonden » (« Suivant le journal, deux disparus furent = ont été trouvés dans le canal »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEVONDEN », participe passé provenant de l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en «I», donne une voyelle « O » pour les temps du passé. Ce participe passé « GEVONDEN » est construit sur le PLURIEL du prétérit ou O.V.T. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GEVONDEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« in het kanaal »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Volgens de krant »), cela engendre une INVERSION : le sujet « twee vermisten » passe derrière le verbe « werden ».
La phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » (ici à l’O.V.T.) est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
Notez que « vermisten » est le participe passé « substantivé » de « vermissen ».

Nom : GAAN IN OTT INGAAN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/01/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze (Robert en Bertrand) gaan op de aanbieding in = Ze nemen de aanbieding aan » (« Ils acceptent l’offre »).
On y trouve notamment la forme verbale « gaan … IN », qui provient de l’infinitif « INgaan », verbe « à particule séparable », construit sur le verbe « GAAN ».
Lorsque ce verbe « INgaan » est « conjugué », il y a séparation de la particule « IN » de sa forme verbale proprement dite et cette composante du verbe fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« op de aanbieding »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GA NA OTT NAGAAN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/01/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ga haar gedrag na » (« Surveille son comportement »).
On y trouve notamment la forme verbale « ga … NA », qui provient de l’infinitif « NAgaan », verbe « à particule séparable », construit sur le verbe « GAAN ».
Lorsque ce verbe « NAgaan » est « conjugué », il y a séparation de la particule « NA » de sa forme verbale proprement dite et cette composante du verbe fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« haar gedrag »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : HUURDE OVT HUREN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/01/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik huurde een huis tegenover de woonplaats van Agatha » (« Je louai = j’ai loué en face de la résidence d’Agatha »).
Ce verbe « HOREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik huur ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit : « HUUR » + « DE » = « HUURDE ».

Nom : WIL REJET BESCHERMEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/01/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik wil haar (Agatha) beschermen » (« Je veux la protéger »).
L’auxiliaire de mode de la « VOLONTE » est l’infinitif « WILLEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « MOGEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (ici, « beschermen ») derrière le complément (« haar »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KUNNEN REJET HELPEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/01/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Daar kunnen jullie mij helpen » (« Là => En cela vous pouvez m’aider »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« helpen»), derrière le complément (« mij »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait plutôt dû avoir « MOGEN », l’auxiliaire de mode de la «POSSIBILITE » :
« Daar mogen jullie mij helpen ».
La phrase commençant par un complément (« Daar »), cela engendre une INVERSION : le sujet « jullie » passe derrière le verbe « kunnen ».

Nom : GESTRAFT VTT STRAFFEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/01/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Verraad aan de sekte wordt met de dood gestraft » (« La trahison envers la secte est punie de la peine de mort »).
On y trouve la forme verbale « gestraft », participe passé provenant de l’infinitif « STRAFFEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T. : « ik straf ») se terminant par la consonne « F », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
La phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : VOND OVT VINDEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/01/2021

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Kijk, dit is een zonderlinge brief die ik bij haar vond » (« Regarde, c’est une lettre singulière que je trouvai / j’ai trouvée chez elle »).
On y découvre, dans la phrase subordonnée (introduite par « DIE »), la forme verbale « VOND », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « I », donne une voyelle « O » pour les temps du passé. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
N’oubliez pas que, dans une phrase subordonnée néerlandaise, la forme verbale (ici « vond ») n’est plus à côté de son sujet (ici « ik »). Ils sont séparés par le complément (« bij haar »).

Nom : WEIGEREN MEE TE DELEN MEEDELEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/01/2021

Description : La (double) phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij weigert halsstarrig mij haar zorgen mee te delen = met mij te delen » (« Elle refuse obstinément de partager ses soucis avec moi »).
On trouve ici, d’une part, le verbe « WEIGEREN » qui exige un « TE » devant l’infinitif (« delen »), correspondant à l’équivalent français « REFUSER DE ».
Voyez, par exemple :
https://www.idesetautres.be/upload/CONSTRUCTIONS%20PHRASES%20NL%20ZC10%20TE+INFINITIF.zip
On trouve, d’autre part, dans la subordonnée « infinitive », la forme verbale « MEE … delen », provenant de l’infinitif « MEEDELEN », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur « DELEN ».
Lorsque « MEEDELEN » est conjugué, la particule « MEE » (venant de la préposition « MET ») se sépare de son infinitif proprement dit. Dans ce cas-ci, c’est l’équivalent du français «de» qui les sépare.

Nom : BETROKKEN VTT BETREKKEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/01/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij is beslist bij iets geheimzinnigs betrokken » (« Elle est décidément impliquée dans quelque chose de mystérieux »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER- GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve ici notamment la forme verbale « betrokken », participe passé provenant de l’infinitif « BEtrekken », lui-même construit sur l’infinitif « TREKKEN » qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « betrokken » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« bij iets geheimzinnigs »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : BESLIST VTT BESLISSEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/01/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij is beslist bij iets geheimzinnigs betrokken » (« Elle est décidément impliquée dans quelque chose de mystérieux »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve la forme verbale « beslist », participe passé (utilisé ici comme adverbe) provenant de l’infinitif « BESLISSEN », considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik beslis ») se terminant par la consonne « S », on trouvera le « T » minoritaire comme terminaison des participes passés :
(PAS de préfixe « GE ») + « BESLIS » + « T » = « BESLIST ».
N’oublions pas qu’un adjectif suivant « IETS » se terminera exceptionnellement par un « S » : ( IETS) + « GEHEIMZINNIG » + « S » = « GEHEIMZINNIGS ».

Nom : NODIG HEBBEN REJET NODIG ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/01/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij heeft bescherming nodig » (« Elle a besoin de protection »).
On y trouve la forme verbale « heeft … nodig », provenant de l’expression à l’infinitif « nodig hebben ».
« nodig » réagit comme une « particule séparable » et fait l’objet d’un REJET derrière le complément (« bescherming»), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : WAS OVT ZIJN 2 ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/01/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Dat was geen verzinsel » (« Ce n’était pas une invention»).
On y trouve la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIJN », qui constitue vraisemblablement le verbe le plus irrégulier de la langue néerlandaise.
C’est logique : plus on utilise un mot, plus la prononciation le déforme au fil du temps …
Le verbe « ZIJN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Notez que la négation devant un nom est rendue, en néerlandais, par le mot «geen» correspondant à «pas un(e)».

Nom : ZAL ZULLEN REJET VERSCHAFFEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/01/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressant : « Mijn vriendin zal hen onderdak en loon verschaffen » (« Mon amie va leur fournir gîte et salaire »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL » (anciennement « ZULT »). Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale («verschaffen») à la fin de la phrase, derrière les compléments (« hen » et « onderdak en loon »), et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZOCHT OVT ZOEKEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/01/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik zocht hen » (« Je les cherchais »).
On y trouve la forme verbale « ZOCHT », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZOEKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : MAG OTT MOGEN REJET AANHOUDEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/01/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je mag die jongens niet aanhouden » (« Tu ne peux pas arrêter ces garçons »).
L’auxiliaire de mode de la POSSIBILITE est l’infinitif « MOGEN », donnant un singulier « MAG ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« aanhouden »), derrière le complément (« die jongens »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KAN KUNNEN REJET DOEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/01/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Wat kan ik voor u doen ? » (« Que puis-je faire pour vous ? »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« doen »), derrière le complément (« voor u » »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir « MAG », singulier de l’infinitif « MOGEN», l’auxiliaire de mode de la « POSSIBILITE » :
« Wat mag ik voor u doen ? »

Nom : WAS OVT ZIJN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/01/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Het was mijn schuld » (« C’était ma faute »).
On y trouve la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIJN », qui constitue vraisemblablement le verbe le plus irrégulier de la langue néerlandaise.
C’est logique : plus on utilise un mot, plus la prononciation le déforme au fil du temps …
Le verbe « ZIJN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : IK HEB HEN TE PAKKEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/01/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Ik heb hen te pakken ! = Ik zal hen mogen pakken ! » (« Je vais pouvoir les attraper => les coffrer ! »).
Notez la structure de la phrase dans cette expression, traduisant une notion de possibilité : elle ressemble à une phrase au passé composé (« Ik heb hen eindelijk gepakt ! ») avec REJET de la forme verbale (« pakken »), derrière le complément (« hen »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : WEGWEZEN WEZEN OVT WIJZEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/01/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Wegwezen ! » (« Que le chemin de la sortie nous soit indiqué => Déguerpissons ! »).
On trouve, dans cette expression, la forme verbale « WEZEN », provenant de l’infinitif « WIJZEN » qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers et, parmi eux, d’une catégorie importante de verbes irréguliers, celle des « IJ » donnant des « E » aux temps du passé (O.V.T. et V.T.T. : participe passé = « GEWEZEN »).
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Notez que l’évolution de la langue néerlandaise tend à « comprimer » les mots et les phrases.

Nom : ACHTERVOLGT OTT ACHTERVOLGEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/01/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Nummer 17 die de vagebonden altijd onverbiddelijk achtervolgt » (« N°17 qui poursuit => pourchasse toujours les vagabonds impitoyablement »).
On y trouve, dans la phrase subordonnée relative (introduite par « DIE »), la forme verbale « achtervolgt », provenant de l’infinitif «ACHTERVOLGEN » qui est considéré comme « régulier », comme la grande majorité des verbes néerlandais, et NE fait PAS partie des verbes dits « à particule séparable ».
Rappelons que, dans la phrase subordonnée néerlandaise, le verbe ne se trouve plus à côté de son sujet et fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments («de vagebonden », « altijd » et «onverbiddelijk»), à la fin de la phrase, ce que l’on peut mieux constater si l’on se réfère à la variante suivante : « Nummer 17 achtervolgt de vagebonden altijd onverbiddelijk ».
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEKRUIST VTT KRUISEN ROBERT EN BERTRAND 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/01/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Bij de Hallepoort wordt hun pad (door Nummer 17) gekruist » (« Près de la porte de Hal, leur chemin est croisé par N°17 »).
On y trouve notamment la forme verbale « gekruist », participe passé provenant de l’infinitif «KRUISEN » qui, est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), mais fait partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik kruis ») se terminant par la consonne « S », on trouvera le « T » minoritaire comme terminaison du participe passé :
« GE » + « KRUIS » + « T » = « GEKRUIST ».
Le participe passé « gekruist » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément («door Nummer 17 »), à la fin de la phrase, comme dans la variante : « Hun pad wordt door Nummer 17 bij de Hallepoort gekruist ». Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Bij de Hallepoort »), cela engendre une INVERSION : le sujet « hun pad » passe derrière le verbe « wordt ».
La phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : ZWERVEN ROND OTT RONDZWERVEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/01/2021

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « En terwijl hij (Nummer 17), verslagen maar gestand aan zijn woord, vóór een zware maaltijd staat, zwerven onze vrienden weer vrij rond » (« Et pendant que, vaincu mais tenu par sa parole, il se trouve devant un lourd repas, nos amis errent à nouveau librement »).
On y trouve la forme verbale « zwerven … ROND », provenant de l’infinitif « RONDzwerven », verbe dit « à particule séparable » lui-même construit sur l’infinitif « ZWERVEN ».
Quand « RONDzwerven » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « ROND » de son infinitif proprement dit et il y a son REJET derrière les compléments (« weer » et « vrij »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase subordonnée (« En terwijl hij vóór een zware maaltijd staat ») jouant le rôle d’un complément commençant la phrase principale, cela y engendre une INVERSION : le sujet « onze vrienden » passe derrière le verbe « zwerven ».

Nom : GESTAND VTT STANNEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 31/12/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « En terwijl hij (Nummer 17), verslagen maar gestand aan zijn woord, vóór een zware maaltijd staat … » (« Et pendant que, vaincu mais tenu par sa parole, il se trouve devant un lourd repas … »).
On trouve ici notamment la forme verbale « gestand », participe passé provenant d’un infinitif « STANNEN », qui n’existe plus.
Ce verbe « STANNEN » pouvait être considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE faisait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE faisait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik stan ») se terminant par la consonne « N », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés :
préfixe « GE » + « STAN » + « D » = « GESTAND ».

Nom : VERSLAGEN VTT VERSLAAN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 30/12/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « En terwijl hij (Nummer 17), verslagen maar gestand aan zijn woord, vóór een zware maaltijd staat … » (« Et pendant que, vaincu mais tenu par sa parole, il se trouve devant un lourd repas … »).
Rappelons tout d’abord que, au participe passé, les verbes commençant par les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER-, NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve ici notamment la forme verbale « verslagen », participe passé provenant de l’infinitif « VERSLAAN », lui-même construit sur « SLAAN ».
L’infinitif « SLAAN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : WAREN OVT ZIJN 4 ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 29/12/2020

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Nummer 17) geloofde dadelijk dat ze weg waren » (« Il a immédiatement cru qu’ils étaient partis => s’étaient échappés »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée (introduite par « DAT »), la forme verbale « WAREN » (pluriel irrégulier de « WAS »), O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : GELOOFDE OVT GELOVEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/12/2020

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Nummer 17) geloofde dadelijk dat ze weg waren » (« Il a immédiatement cru qu’ils étaient partis => s’étaient échappés »).
L’infinitif « GELOVEN » est considéré comme un verbe « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP ».
En effet le radical du verbe « GELOVEN » (première personne du présent, « Ik geloof ») se terminant par la consonne « F », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit :
« GELOOF » + « DE » = « GELOOFDE ».

Nom : HERSTELDE OVT HERSTELLEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/12/2020

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb de man omgekocht die de wagen herstelde » (« J’ai corrompu / soudoyé l’homme qui réparait la voiture … »).
L’infinitif « HERSTELLEN » (dans la phrase subordonnée introduite par « DIE ») est considéré comme un verbe « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP ».
En effet le radical du verbe « HERSTELLEN » (première personne du présent, « Ik herstel ») se terminant par la consonne « L », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit :
« HERSTEL » + « DE » = « HERSTELDE ».
Il y a, dans une phrase subordonnée, REJET de la forme verbale à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : OMGEKOCHT VTT OMKOPEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/12/2020

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb de man omgekocht die de wagen herstelde » (« J’ai corrompu / soudoyé l’homme qui réparait la voiture … » ).
On y trouve la forme verbale « omgekocht », participe passé provenant de l’infinitif « OMkopen », lui-même construit sur l’infinitif « KOPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et est construit sur le SINGULIER du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « OMkopen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OM » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « omGEkocht ».
Il y a REJET de la forme verbale du participe passé « omgekocht » derrière le complément (« de man »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KUNT KUNNEN REJET INHALEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/12/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je kunt (= kan) ze nog inhalen » (« Tu peux encore les rattraper »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« inhalen »), derrière les compléments (« ze » et « nog »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir plutôt l’auxiliaire de mode de la «POSSIBILITE », l’infinitif « MOGEN » (avec « MAG » au singulier) :
« Je kunt (= kan) ze nog inhalen ».

Nom : ZAG OVT ZIEN 5 ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/12/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik zag hen net achter de kerk lopen » (« Je les vis / je les ai vus courir derrière l’église il y a un instant »).
On y trouve notamment la forme verbale « ZAG », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
ATTENTION : Beaucoup d’apprenants croient que la forme verbale « ZAG », provient de l’infinitif « ZEGGEN », également irrégulier à l’O.V.T. …

Nom : VRIJGELATEN VTT VRIJLATEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/12/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb niemand vrijgelaten » (« Je n’ai libéré personne »).
On y trouve notamment la forme verbale « VRIJGELATEN », participe passé utilisé, provenant de l’infinitif « VRIJLATEN », lui-même construit sur « LATEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « VRIJlaten » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « VRIJ » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « vrijgelaten ».
Il y a REJET de la forme verbale « vrijgelaten » derrière le complément («niemand ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEMERKT VTT MERKEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/12/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb (iets) gemerkt » (« J’ai remarqué … » ).
On y trouve la forme verbale « gemerkt », participe passé provenant de l’infinitif « MERKEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T. : « ik merk ») se terminant par la consonne « K », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire : préfixe « GE » + « MERK » + « T » = « GEMERKT ».
Quand « MERKEN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, il y a REJET de son participe passé « gemerkt » derrière le complément éventuel (« iets ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GESLOTEN VTT SLUITEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/12/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De deur is (nu) gesloten » (« La porte est fermée »).
On y trouve notamment la forme verbale « GESLOTEN », participe passé utilisé avec un passé composé, provenant de l’infinitif « SLUITEN», qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé « GESLOTEN » se construit sur le PLURIEL du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GESLOTEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« NU »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GELATEN VTT LATEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/12/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We schikken ons gelaten in ons lot » (« Nous nous offrons résignés à notre sort »).
On y trouve notamment la forme verbale « GELATEN », participe passé utilisé ici comme adjectif attribut, provenant de l’infinitif « LATEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé « GELATEN » se construit sur l’INFINITIF. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : WEES IMPERATIF ZIJN GERUST VTT RUSTEN 2 ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/12/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Wees gerust ! » (« Sois tranquille / Soyez tranquille ! »).
On y trouve la forme verbale « WEES », impératif provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » pour donner le participe passé « GEWEEST ».
Pour complément d’informations, consultez notamment notre tableau de synthèse « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre notamment trois autres grandes catégories de verbes irréguliers au passé : https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
On y trouve aussi la forme verbale « gerust », participe passé provenant de l’infinitif « RUSTEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T.) se terminant déjà par la consonne « T », a fortiori on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.

Nom : ZULLEN REJET RIJDEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/12/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « we zullen even tot bij de gevangenis rijden » (« nous allons un peu rouler jusqu’à près de la prison »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Il y a ici au FUTUR un REJET de l’autre forme verbale (« rijden »), derrière les compléments (« even » et « tot bij de gevangenis »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KAN KUNNEN REJET ZIEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/12/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Kan ik ze (Robert en Bertrand) nog even zien ? » (« Puis-je encore les voir un peu ? »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« zien »), derrière les compléments (« ze », « nog » et «even »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir « MAG », singulier de l’infinitif « MOGEN», l’auxiliaire de mode de la « POSSIBILITE » :
« Mag ik ze nog even zien ? »

Nom : OPGEKNAPT VTT OPKNAPPEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/12/2020

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat was iemand die voor mij een karweitje heeft opgeknapt » (« C’était quelqu’un qui a effectué une tâche pour moi »).
On y trouve, dans la phrase subordonnée (introduite par « DIE »), la forme verbale « opgeknapt », participe passé provenant de l’infinitif « OPknappen », lui-même construit sur l’infinitif « KNAPPEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (ou première personne du présent : « ik knap op ») se terminant par la consonne « P », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Quand « OPknappen » est conjugué comme participe passé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opgeknapt ».
Il y a REJET de la forme verbale « opgeknapt » derrière le complément (« voor mij ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : WAS OVT ZIJN 8 ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/12/2020

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat was iemand die voor mij een karweitje heeft opgeknapt » (« C’était quelqu’un qui a effectué une tâche pour moi »).
On y trouve la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIJN », qui constitue vraisemblablement le verbe le plus irrégulier de la langue néerlandaise.
C’est logique : plus on utilise un mot, plus la prononciation le déforme au fil du temps …
Le verbe « ZIJN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : ZAG OVT ZIEN 4 ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/12/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik zag u met een man praten » (« Je vous vis / je vous ai vu parler avec un homme »).
On y trouve notamment la forme verbale « ZAG », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
ATTENTION : Beaucoup d’apprenants croient que la forme verbale « ZAG », provient de l’infinitif « ZEGGEN », également irrégulier à l’O.V.T. …

Nom : MAG OTT MOGEN REJET BETEKENEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/12/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wat mag dat betekenen ? » (« Que cela peut-il signifier ? = Qu’est-ce que cela peut signifier ? »).
L’auxiliaire de mode de la POSSIBILITE est l’infinitif « MOGEN », donnant un singulier « MAG ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« betekenen »), derrière le complément (« dat »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZOU REJET OPETEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/12/2020

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Als ze nu ontsnappen, zou ik van wanhoop mijn schoen opeten » (« S’ils s’échappent maintenant, je mangerais mon soulier de désespoir »).
L’auxiliaire du CONDITIONNEL est l’infinitif « ZOUDEN » ; il est, en quelque sorte, l’« imparfait » (O.V.T. ou prétérit) de l’auxiliaire du FUTUR, « ZULLEN ».
Au CONDITIONNEL, il y a REJET de l’autre forme verbale (« opeten »), à la fin de la phrase, derrière les compléments (« van wanhoop » et « mijn schoen »), et donc à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase subordonnée (« Als ze nu ontsnappen »), jouant le rôle d’un complément commençant la phrase principale, cela y engendre une INVERSION : le sujet « ik » passe derrière le verbe « zou ».

Nom : GEZEGEVIERD VTT ZEGEVIEREN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/12/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Eindelijk heb ik gezegevierd ! » (« Finalement, j’ai triomphé => j’ai fini par triompher ! »).
On y trouve la forme verbale « gezegevierd », participe passé provenant de l’infinitif « ZEGEVIEREN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent = « ik ZEGEVIER ») se terminant par la consonne « R », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire :
préfixe « GE » + « ZEGEVIER » + « D » = « GEZEGEVIERD ».
S’il n’y avait pas eu une INVERSION, on aurait mieux vu qu’il y a REJET de la forme verbale « gezegevierd » derrière le complément (« eindelijk ») à la fin de la phrase, comme dans la variante : « ik heb eindelijk gezegevierd ! ». Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs:
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Eindelijk »), cela engendre en effet une INVERSION : le sujet « ik » passe derrière le verbe « heb ».

Nom : ZAL ZULLEN REJET WEGVOEREN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/12/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik zal hen heel alleen wegvoeren »(« Je vais les emmener tout seul »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a, dans la phrase principale, REJET de l’autre forme verbale (« wegvoeren ») à la fin de la phrase, derrière les compléments (« hen » et « heel alleen »), et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs:
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : BRENGEN DOOR OTT DOORBRENGEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/12/2020

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « In afwachting dat de gevangeniswagen klaar is, brengen de vagebonden een paar dagen in een cel door » (« En attendant que le fourgon pénitentiaire soit prêt, les vagabonds passent quelques jours dans une cellule »).
On y trouve la forme verbale « brengen … DOOR », provenant de l’infinitif « DOORbrengen », verbe dit « à particule séparable » lui-même construit sur l’infinitif « BRENGEN ».
Quand « DOORbrengen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « DOOR » de son infinitif proprement dit et il y a son REJET derrière les compléments (« een paar dagen » et « in een cel »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase subordonnée (« In afwachting dat de gevangeniswagen klaar is »), jouant le rôle d’un complément commençant la phrase principale, cela y engendre une INVERSION : le sujet « de vagebonden » passe derrière le verbe « brengen ».

Nom : KAN KUNNEN REJET DOEN 2 ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/12/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Kan (Kun) je voor mijn vrienden niets doen ? » (« Ne peux-tu rien faire pour mes amis ? »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« doen »), derrière les compléments (« voor mijn vrienden » » et « niets »,), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir « MAG », singulier de l’infinitif « MOGEN», l’auxiliaire de mode de la « POSSIBILITE » :
« Mag je voor mijn vrienden niets doen ? »

Nom : GEVOERD VTT VOEREN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/12/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Robert en Bertrand sluit ik (in een gevangenis) op tot(dat) ze naar de hoofdstad kunnen worden gevoerd » (« Je les enferme jusqu’à ce qu’ils puissent être conduits à la capitale »).
On y trouve, dans la phrase subordonnée (introduite par « TOT » pour « TOTDAT »), la forme verbale « gevoerd », participe passé provenant de l’infinitif « VOEREN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent = « ik VOER ») se terminant par la consonne « R », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire :
préfixe « GE » + « VOER » + « D » = « GEVOERD ».
Il y a REJET de la forme verbale « gevoerd » derrière le complément (« naar de hoofdstad ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs:
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
Notez que l’on aurait dû avoir « MOGEN», l’auxiliaire de mode de la «POSSIBILITE» :
« … tot(dat) ze naar de hoofdstad mogen worden gevoerd ».

Nom : HERSTELD VTT HERSTELLEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/12/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Robert en Bertrand sluit ik (in een gevangenis) op tot de gevangeniswagen (volledig) (is) hersteld is » (« Je les enferme jusqu’à ce que la voiture de la prison => le fourgon pénitentiaire soit réparé »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve donc la forme verbale « HERsteld », participe passé provenant de l’infinitif « HERstellen », qui se construit sur la première personne de l’indicatif présent (« ik HERstel » ), ce verbe NE faisant PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « HERsteld » fait normalement l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« volledig »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : SLUIT OP OTT OPSLUITEN 3 ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/12/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Robert en Bertrand sluit ik (in een gevangenis) op » (« Je les enferme »).
On y trouve la forme verbale « sluit … OP », O.T.T. ou indicatif présent provenant de l’infinitif « OPsluiten », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « SLUITEN ».
Quand « OPsluiten » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de la forme verbale proprement dite et il y a REJET de cette composante « OP », derrière le complément éventuel (« in een gevangenis ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Robert en Bertrand »), cela engendre une INVERSION : le sujet « ik » passe derrière le verbe « sluit ».

Nom : UITGELEVERD VTT UITLEVEREN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/12/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Mudfinger) wordt dadelijk aan Engeland uitgeleverd » (« Il est immédiatement remis à l’Angleterre »).
On y trouve la forme verbale « uitgeleverd », participe passé provenant de l’infinitif « UITleveren », lui-même construit sur l’infinitif « LEVEREN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent : « ik lever ») se terminant par la consonne « R », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire.
Quand « UITleveren » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « uitGEleverd ».
Il y a REJET de la forme verbale « uitGEleverd » derrière les compléments (« dadelijk » et « aan Engeland ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : ZAL ZULLEN REJET BRENGEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/12/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik zal hem (Joeki) terug naar Delft brengen » = « Ik zal hem naar Delft terugbrengen » (« Je vais le ramener à Delft »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a, dans la phrase principale, REJET de l’autre forme verbale (« terugbrengen ») à la fin de la phrase, derrière les compléments (« hem » et « naar Delft »), et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs:
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : BEWEZEN VTT BEWIJZEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/12/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb eindelijk mijn superioriteit over jullie bewezen » (« J’ai enfin prouvé ma supériorité sur vous »).
Rappelons tout d’abord que, dans le cas des verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve ici la forme verbale « BEWEZEN », participe passé (utilisé avec l’équivalent d’un passé composé) provenant de l’infinitif « BEWIJZEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé « BEWEZEN » se construit sur le PLURIEL du prétérit (et, dans ce cas-ci, est identique). Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé (la plus nombreuse étant précisément celle des « IJ ») :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« eindelijk », « mijn superioriteit » et « over jullie »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEHAD VTT HEBBEN 2 ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/12/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je hebt dit maal geluk gehad » (« Tu as cette fois-ci eu de la chance »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEHAD », participe passé provenant de l’infinitif « HEBBEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Il faut aussi noter que ce participe passé se construit sur le SINGULIER du prétérit.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GEHAD » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« dit maal » et « geluk »), à la fin de la phrase. Voyez :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : BEVRIJD VTT BEVRIJDEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 30/11/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij (Mathilde) heeft me bevrijd » (« Elle m’a libéré »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve donc la forme verbale « BEvrijd », participe passé provenant de l’infinitif « BEvrijden », qui est identique à la première personne de l’indicatif présent, ce verbe NE faisant PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « BEvrijd » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« me »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : OPGESLOTEN VTT OPSLUITEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 29/11/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ruwe kerels hadden mij opgesloten » (« De rudes contrebandiers m’avaient enfermé »).
On y trouve la forme verbale « OPgesloten », participe passé provenant de l’infinitif « OPsluiten », lui-même construit sur l’infinitif « SLUITEN » avec, au plus-que-parfait, « HADDEN » (l’auxiliaire « HEBBEN » étant au prétérit ou O.V.T), qui font l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « OPsluiten » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEsloten ».
Pour complément d’informations concernant les « temps primitifs », consultez par exemple notre tableau de synthèse sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Il y a REJET de la forme verbale « OPgesloten » derrière le complément (« mij ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : BRACHT OVT BRENGEN 2 ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/11/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het toeval bracht de jager weer op het spoor van zijn wild » (« Le hasard amena le chasseur à nouveau sur la piste de son gibier »).
On y trouve notamment la forme verbale « BRACHT », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : WAS OVT ZIJN OMTE ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/11/2020

Description : La triple phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Het was mevrouw Mangin die mij bij u plaatste om u te beschermen » (« C’était madame Mangin qui me plaça chez vous pour vous protéger »).
On y trouve la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIJN », qui constitue vraisemblablement le verbe le plus irrégulier de la langue néerlandaise. C’est logique : plus on utilise un mot, plus la prononciation le déforme au fil du temps … Le verbe « ZIJN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que « POUR » devant les verbes est rendu en langue néerlandaise par un double mot : « OM … TE ». Le complément (ici « u ») s’intercale entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « beschermen ».

Nom : WILLEN REJET METEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/11/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Die kerels willen zich reeds lang met mij meten » (« Ces types veulent déjà depuis longtemps se mesurer avec moi »).
L’auxiliaire de mode de la VOLONTE » est l’infinitif « WILLEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « MOGEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (ici, « meten ») derrière les compléments (« reeds », « lang » et « met mij »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KUNT KUNNEN REJET AANHOUDEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/11/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « U kunt (= kan) die dapperen niet aanhouden » (« Vous ne pouvez arrêter ces courageux »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« aanhouden »), derrière le complément (« die dapperen »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir plutôt l’auxiliaire de mode de la «POSSIBILITE », l’infinitif « MOGEN » (avec « MAG » au singulier) :
« U mag die dapperen niet aanhouden ».

Nom : DROEG OVT DRAGEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/11/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij droeg zijn buit bij zich » (« Il portait son butin sur lui »).
On y trouve la forme verbale « droeg », prétérit (ou O.V.T.) provenant de l’infinitif « DRAGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : GEZET VTT ZETTEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/11/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat heb je hem flink betaald gezet » (« Tu le lui as fait solidement payer »).
On y trouve la forme verbale « gezet », participe passé provenant de l’infinitif « ZETTEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T. : « ik zet ») se terminant déjà par la consonne « T », a fortiori on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire. Le verbe « BETALEN » fait, lui, partie de la majorité des verbes réguliers ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T. : « ik betaal ») se terminant par la consonne « L », on trouvera à la fin du participe passé néerlandais le « D » majoritaire.
Il y a REJET du participe passé « gezet », derrière les compléments (« hem » et « flink ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Dat »), cela engendre une INVERSION : le sujet « je » passe derrière le verbe « heb ».

Nom : STORT NEER OTT NEERSTORTEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/11/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Mudfinger) stort bewustloos neer » (« Il s’effondre inconscient »).
On y trouve notamment la forme verbale « stort … NEER » à l’O.T.T. (ou présent), provenant de l’infinitif « NEERstorten », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « STORTEN ».
Quand « NEERstorten » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « NEER » de son infinitif proprement dit, et il y a REJET de la particule « NEER », derrière le complément (« bewustloos »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MOGE SUBJONCTIF MOGEN REJET WINNEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/11/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Moge de beste winnen ! » (« Puisse le meilleur gagner ! => Que le meilleur gagne ! »).
L’auxiliaire de mode de la POSSIBILITE est l’infinitif « MOGEN », donnant un singulier « MOGE », au subjonctif présent. Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « WILLEN »), il exige normalement le REJET de l’autre forme verbale («winnen»), derrière le complément (« de beste »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KAN KUNNEN REJET ONTDOEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/11/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik kan me meteen van die hinderlijke vermomming ontdoen » (« Je peux me débarrasser tout de suite de ce déguisement encombrant »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« ontdoen »), derrière les compléments (« me », «meteen» et « van die hinderlijke vermomming »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir « MAG », singulier de l’infinitif « MOGEN», l’auxiliaire de mode de la « POSSIBILITE » :
« Ik mag me meteen van die hinderlijke vermomming ontdoen ».

Nom : ZAL ZULT REJET VECHTEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/11/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressant : « Je zal / zult er moeten voor vechten = Je zal ervoor / daarvoor moeten vechten » (« Tu vas devoir te battre pour cela »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL » (anciennement « ZULT »). Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale («vechten») à la fin de la phrase, derrière le complément (« ervoor »), et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : LAAT REJET GAAN WANT ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/11/2020

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik laat jullie gaan want ik heb groter wild op het oog » (« Je vous laisse aller car j’ai du plus grand => gros gibier en vue »).
On y trouve notamment la forme verbale « LAAT » qui, à l’IMPERATIF jouerait le rôle d’un auxiliaire « de mode » et exigerait le REJET du verbe « GAAN », derrière le complément (« jullie »), à la fin de cette phrase. Voir phénomène du REJET, entre autres à l’impératif, via notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Beaucoup d’apprenants étant déroutés par la construction de phrase avec « OMDAT » (exigeant le REJET du verbe), devraient se donner la peine d’opter pour « WANT ». Variante avec ce premier :
« Ik laat jullie gaan omdat ik groter wild op het oog heb ».

Nom : MAAK LOS OTT IMPERATIF LOSMAKEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/11/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maak me los ! » (« Fais-moi libre => détache-moi ! »).
On y trouve la forme verbale « MAAK … LOS », impératif (ressemblant à la première personne du singulier de l’indificatif présent ou O.T.T.), provenant du verbe, dit à « particule séparable », « LOSMAKEN »
Quand « LOSMAKEN » est conjugué, il y a REJET de la particule séparable « LOS », derrière le complément (« me ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KAN KUNNEN REJET VERGEVEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/11/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Kun / kan je me vergeven ? » (« Peux-tu me pardonner ? »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« vergeven »), derrière le complément (« me »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait pu avoir « MAG », singulier de l’infinitif « MOGEN», l’auxiliaire de mode de la « POSSIBILITE » :
« Mag je me vergeven ? ».

Nom : DEED OVT DOEN OMTE ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/11/2020

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik deed het om vader te helpen» (« Je l’ai fait pour aider papa »).
On y trouve la forme verbale « DEED » (pluriel « DEDEN »), O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « DOEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que « POUR » devant les verbes est rendu en langue néerlandaise par un double mot : « OM … TE ». Le complément (ici « vader ») s’intercale entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « helpen ».

Nom : MOEST REJET DOEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/11/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik moest hetzelfde doen » (« Je devais faire => j’aurais dû faire la même chose »).
L’auxiliaire de mode de l’OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN » (donnant MOEST au prétérit ou O.V.T.). Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« doen »), derrière le complément (« hetzelfde »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KOMT REJET STEKEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/11/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Die komt nog wat de draak met me steken » (« Celle-là vient encore un peu se payer ma tête »).
On y trouve notamment Ie REJET de l’infinitif « STEKEN » derrière les compléments (« nog », « wat », « de draak » et « met me ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez l’expression « met iemand de draak steken ».

Nom : RIJ DOOR OTT DOORRIJDEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/11/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Rij(d) maar al door ! » (« Démarre déjà seulement ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « rij … DOOR », provenant de l’infinitif « DOORrijden », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « RIJDEN ».
Quand « DOORrijden » est conjugué, cela entraîne habituellement en néerlandais une séparation de la particule « DOOR » de sa forme verbale proprement dite et cette particule séparable « DOOR », composante du verbe, fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« maar » et « al »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEBONDEN VTT BINDEN 3 ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/11/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Die kerels hebben me stevig gebonden » (« Ces types m’ont attaché solidement »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEBONDEN », participe passé provenant de l’infinitif « BINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « I », donne une voyelle « O » pour les temps du passé.
Ce participe passé « GEBONDEN » est construit sur le PLURIEL du prétérit (ou O.V.T.) Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Il y a REJET du participe passé « GEBONDEN » derrière les compléments (« me » et « stevig ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MOET REJET TOEZIEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/11/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Ik moet machteloos toezien » (« Je dois voir => assister, impuissant »).
L’auxiliaire de mode de l’« OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« toezien »), derrière le complément (« machteloos »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GAAN VANDOOR OTT VANDOOR GAAN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/11/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Die gaan er (onder mijn neus) vandoor » (« Ils se tirent sous mon nez »).
On y trouve notamment la forme verbale « gaan … VANDOOR », qui aurait pu provenir d’un infinitif « VANDOORgaan », verbe qui aurait été « à particule séparable ». Mais on a plutôt affaire à un adverbe pronominal « er (daar) … VANDOOR », composé de deux anciennes prépositions « VAN » et « DOOR », correspondant à des notions de déplacement.
Toujours est-il que l’expression « VANDOOR gaan », quand elle est « conjuguée », engendre en néerlandais l’équivalent d’une séparation de « VANDOOR » de sa forme verbale proprement dite et cette sorte de particule séparable « VANDOOR », composante du verbe, fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« onder mijn neus »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : OMTE VOEREN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/11/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De stropers maken aanstalten om Sis en Mathilde over de grens te voeren … (« Les braconniers prennent des mesures pour conduire Sis et Mathilde au-delà de la frontière => pour leur faire traverser la frontière »).
Rappelons que « POUR » devant les verbes est rendu en langue néerlandaise par un double mot : « OM … TE ». Les compléments (ici « Sis en Mathilde » et « over de grens ») s’intercalent entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « voeren ».

Nom : GAAN REJET VASTBINDEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/11/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maar eerst ga / zal ik jou op die stoel vastbinden » (« Mais d’abord, je vais te ligoter sur cette chaise »).
Sous l’infuence de la langue française, l’auxiliaire du FUTUR « simple » néerlandais, « ZULLEN » (donnant un singulier « ZAL ») est ici remplacé par « GAAN ». Cela permet de rappeler que, afin d’être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple pour le francophone de le comparer au « futur proche » français et de remplacer précisément les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Il y a REJET de l’autre forme verbale (« vastbinden »), derrière les compléments (« jou » et « op die stoel »), à la fin de la phrase et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Maar eerst »), cela engendre une INVERSION : le sujet « ik » passe derrière le verbe « ga ».

Nom : GA VANDOOR OTT VANDOOR GAAN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/11/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « ik ga er onder hun neus vandoor » (« je me tire sous leur nez »).
On y trouve notamment la forme verbale « ga … VANDOOR », qui aurait pu provenir d’un infinitif « VANDOORgaan », verbe qui aurait été « à particule séparable ». Mais on a plutôt affaire à un adverbe pronominal « er (daar) … VANDOOR », composé de deux anciennes prépositions « VAN » et « DOOR », correspondant à des notions de déplacement.
Toujours est-il que l’expression « VANDOOR gaan », quand elle est « conjuguée », engendre en néerlandais l’équivalent d’une séparation de « VANDOOR » de sa forme verbale proprement dite et cette sorte de particule séparable « VANDOOR », composante du verbe, fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« onder hun neus »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : LEG AF OTT AFLEGGEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/11/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Vóór jullie alarm kunnen slaan, leg ik mijn vermomming af » (« Avant que vous ne puissiez donner l’alerte, j’ôte mon déguisement »).
On y trouve notamment la forme verbale « leg … AF », provenant de l’infinitif « AFleggen », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « LEGGEN ».
Quand « AFleggen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de sa forme verbale proprement dite et cette particule séparable « AF », composante du verbe, fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« mijn vermomming »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase subordonnée («Vóór jullie alarm kunnen slaan »), jouant le rôle d’un complément commençant la phrase principale, cela y engendre une INVERSION : le sujet « ik » passe derrière le verbe « leg ».

Nom : WEGKOMEN PARTICULE SEPARABLE ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/11/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Denk je werkelijk zo gemakkelijk weg te komen ? » (« Penses-tu vraiment à t’en aller si facilement ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « weg … komen », provenant de l’infinitif « WEGkomen », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « KOMEN ».
Quand « WEGkomen » est « conjugué », cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « WEG » de sa forme verbale proprement dite et cette particule séparable « WEG », composante du verbe, pourrait, dans une variante, faire l’objet d’un REJET, derrière le complément (« zo gemakkelijk »), à la fin de la phrase : « Je komt zo gemakkelijk niet weg ».
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : SLINGERT AF OTT AFSLINGEREN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/11/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « hij (Mudfinger) slingert hem (Joeki) van zich af » (« il le balance d’un revers de main => il se débarrasse de lui »).
On y trouve notamment la forme verbale « slingert … AF », provenant de l’infinitif « AFslingeren », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « SLINGEREN ».
Quand « AFslingeren » est conjugué, cela entraîne habituellement en néerlandais une séparation de la particule « AF » de sa forme verbale proprement dite et cette particule séparable « AF », composante du verbe, fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« hem » et « van zich »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : NEERGESLAGEN VTT NEERSLAAN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/11/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Bertrand) wordt prompt neergeslagen » (« Il est promptement assommé »).
On y trouve la forme verbale « NEERgeslagen », participe passé provenant de l’infinitif « NEERslaan », lui-même construit sur l’infinitif « SLAAN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « NEERgeslagen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé (ici à la voix passive, avec WORDEN), cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « NEER » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « neerGEslagen ».
Il y a REJET de la forme verbale du participe passé « NEERgeslagen » à la fin de la phrase, derrière le complément (« prompt »). Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KLEMT VAST VASTKLEMT OTT VASTKLEMMEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/11/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « … waarop hij (Joeki) zich aan zijn arm vastklemt » (« sur quoi il s’agrippe à son bras »).
Si on ne s’était pas trouvé dans une phrase subordonnée (introduite par « WAAROP »), on aurait notamment eu droit à la forme verbale « klemt … VAST », provenant de l’infinitif « VASTklemmen », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « KLEMMEN ». On aurait en effet pu avoir la variante suivante : « hij klemt zich aan zijn arm vast »
Quand « VASTklemmen » est conjugué, cela entraîne habituellement en néerlandais une séparation de la particule « VAST » de sa forme verbale proprement dite et cette particule séparable « VAST », composante du verbe, fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« aan zijn arm »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Rappelons que, dans une phrase subordonnée néerlandaise, la forme verbale ne se trouve plus à côté de son sujet (ici « hij »).

Nom : VALT UIT OTT UITVALLEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 31/10/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Bertrand) valt (de kolonel) uit » (« Il se précipite sur / attaque le colonel »).
On y trouve notamment la forme verbale « valt … UIT », provenant de l’infinitif « UITvallen », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « VALLEN ».
Quand « UITvallen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de sa forme verbale proprement dite et cette particule séparable « UIT », composante du verbe, fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« de kolonel »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZOUDEN REJET TOEGESLAGEN VTT TOESLAAN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 29/10/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « ik zou al vroeger (hebben) toeGEslagen hebben » (« j’aurais déjà frappé plus tôt »).
On y trouve la forme verbale « toeGEslagen », participe passé provenant de l’infinitif « TOEslaan », lui-même construit sur l’infinitif « SLAAN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « TOEslaan » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TOE » (provenant de la préposition « tot ») de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « toeGEslagen ».
L’auxiliaire du CONDITIONNEL est l’infinitif « ZOUDEN » ; il est, en quelque sorte, l’« imparfait » (O.V.T. ou prétérit) de l’auxiliaire du FUTUR, « ZULLEN ». Au CONDITIONNEL, il y a REJET de l’autre forme verbale (« toeGEslagen hebben »), à la fin de la phrase, derrière les compléments (« al » et « vroeger »), et donc à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs:
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KON OVT KUNNEN REJET NEMEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/10/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « … zodat ik, degelijk vermomd, mijn intrek in het Grand Hotel kon nemen » (« … de sorte que, soigneusement déguisé, je pus faire ma rentrée au Grand Hotel »).
L’auxiliaire de mode de la CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN » et un O.V.T. (ou prétérit) « KON » (PLURIEL irrégulier « KONDEN »). Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige normalement le REJET de l’autre forme verbale (ici « nemen »), derrière les compléments (« mijn intrek » et « in het Grand Hotel »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Le verbe « KUNNEN » fait l’objet (au seul prétérit ou O.V.T.) des « temps primitifs ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Dans Ia mesure où nous nous trouvons dans une phrase subordonnée (introduite par « ZODAT »), le verbe « kon » n’est plus à côté de son sujet « ik ».

Nom : VERMOMD VTT VERMOMMEN 3 ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/10/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « … zodat ik, degelijk vermomd, mijn intrek in het Grand Hotel kon nemen » (« … de sorte que, soigneusement déguisé, je pus faire ma rentrée au Grand Hotel »).
On trouve, dans cette phrase subordonnée (introduite par « ZODAT »), la forme verbale « vermomd », participe passé (utilisé ici comme adjectif), provenant de l’infinitif « VERMOMMEN ». Ce verbe « VERMOMMEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « vermom ») se terminant par la consonne « M », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés mais pas de préfixe « GE » puisque la forme verbale commence par le préfixe « VER » (c’est aussi le cas pour les verbes commençant par les préfixes BE-, ER-, GE,- HER- et ONT-) : (GE) + « VERMOM » + « D » = « VERMOMD ».

Nom : SPEELDE OVT SPELEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/10/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Sis) speelde voor spook » (« Il joua au fantôme »).
Ce verbe « SPELEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik speel ») se terminant par la consonne « L », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit : « SPEEL » + « DE » = « SPEELDE ».

Nom : VERBORG OVT VERBERGEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/10/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Sis) verborg mij » (« Il me cacha »).
On y trouve la forme verbale « verborg », O.V.T. (ou prétérit) qui provient de l’infinitif « VERBERGEN » faisant l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : KWAM AAN AANKWAM OVT AANKOMEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/10/2020

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maar nog vóór zij (de lady) (in het hotel) aankwam, moest ik op de vlucht » (« Mais avant même que la lady n’arrive, je dus prendre la fuite »).
On y trouve la forme verbale « aankwam …», qui provient de l’infinitif « AANKOMEN », verbe dit à « particule séparable », lui-même construit sur « KOMEN » qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Si nous n’avions pas été dans une phrase subordonnée, on aurait dû avoir « kwam … aan » car, lorsque « AANKOMEN » est conjugué, cela entraîne le REJET de la « particule séparable » « AAN », derrière le complément (« in het hotel »), à la fin de la phrase comme dans la variante suivante : « zij kwam in het hotel aan ». Voir le phénomène du REJET, entre autres à :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : LIET OVT LATEN 2 ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/10/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De timmerman liet zich omkopen om het karweitje van het luik op te knappen … (« Le menuisier se laissa corrompre pour exécuter la tâche du panneau »).
On y trouve notamment la forme verbale « LIET » (O.V.T. ou « prétérit »), provenant de l’infinitif « LATEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que « POUR » devant les verbes est rendu en langue néerlandaise par un double mot : « OM … TE ». Le complément (ici «het karweitje van het luik ») et la « particule séparable » « OP » (du verbe « OPknappen »), s’intercalent entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « knappen ».

Nom : ZOU REJET BETREKKEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/10/2020

Description : La triple phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Lang vóór zij (lady Shirehamp) Engeland verliet, wist ik (…) welke kamer zij zou betrekken »
(« Bien avant qu’elle quitte l’Angleterre, je savais quelle chambre elle occuperait »).
L’auxiliaire du CONDITIONNEL est l’infinitif « ZOUDEN » ; il est, en quelque sorte, l’« imparfait » (O.V.T. ou prétérit) de l’auxiliaire du FUTUR, « ZULLEN ».
Au CONDITIONNEL, il y a REJET de l’autre forme verbale (« betrekken », à la fin de la phrase, derrière le complément (« welke kamer »), et donc à l’INFINITIF, ce que l’on aurait mieux vu dans la phrase suivante : « zij zou een kamer betrekken ». Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEBOEKT VTT BOEKEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/10/2020

Description : La triple phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Lang vóór zij (lady Shirehamp) Engeland verliet, wist ik in welk hotel zij een kamer (had) geboekt had» (« Bien avant qu’elle quitte l’Angleterre, je savais dans quel hôtel elle avait réservé une chambre »).
On y trouve la forme verbale « geboekt », participe passé provenant de l’infinitif « BOEKEN ». Ce verbe « BOEKEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») mais il fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik boek ») se terminant par la consonne « K », on trouvera le « T » minoritaire comme terminaison des participes passés :
préfixe « GE » + « BOEK » + « T » = « GEBOEKT ».
Dans la variante suivante de la phrase, on aurait mieux vu que le participe passé fait l’objet d’un REJET après le(s) complément(s) : « zij had in een hotel een kamer geboekt ». Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
On y trouve aussi la forme verbale « HAD », à l’O.V.T. ou prétérit, provenant de l’infinitif « HEBBEN » qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : WIST OVT WETEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/10/2020

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Lang vóór zij (lady Shirehamp) Engeland verliet, wist ik … » (« Bien avant qu’elle quitte l’Angleterre, je savais … »).
On y trouve notamment la forme verbale « WIST » (O.V.T. ou « prétérit »), provenant de l’infinitif « WETEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
La phrase subordonnée (« Lang vóór zij Engeland verliet ») jouant le rôle d’un complément commençant la phrase principale, cela y engendre une INVERSION : le sujet « ik » passe derrière le verbe « wist ». On aurait pu avoir la variante suivante : « ik wist lang vóór zij Engeland verliet … ».

Nom : VERLIET VTT VERLATEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/10/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Lang vóór zij (lady Shirehamp) Engeland verliet … (« Bien avant qu’elle quitte l’Angleterre … »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERLIET » (O.V.T. ou « prétérit »), provenant de l’infinitif « VERLATEN », lui-même construit sur « LATEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : MOEST REJET UITSTELLEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/10/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Alleen moest ik mijn opzet uitstellen » (« Je devais seulement postposer mon projet »).
L’auxiliaire de mode de l’OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN » (donnant MOEST au prétérit ou O.V.T.). Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« vluchten »), derrière le complément éventuel (« uit de schuur »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Alleen »), cela engendre une INVERSION : le sujet « ik » passe derrière le verbe « moest ». On aurait pu avoir la variante suivante : « ik moest alleen mijn opzet uitstellen ».

Nom : ZAL ZULLEN REJET STAAN KOMEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/10/2020

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het zal jullie duur te staan komen » (« Cela va vous coûter cher »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre ou des autres forme(s) verbale(s) (ici « staan » et « komen »), derrière le(s) complément(s) (ici « jullie » et « duur »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez l’expression « duur te staan komen » = « payer cher »).

Nom : UITGEKIEND VTT UITKIENEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/10/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat hebben jullie fijn uitgekiend » (« Cela, vous l’avez superbement imaginé => élucidé »).
On y trouve la forme verbale « uitgekiend », participe passé provenant de l’infinitif « UITkienen », lui-même construit sur l’infinitif « KIENEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « N », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire.
Quand « UITkienen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « uitGEkiend ».
Il y a REJET de la forme verbale « uitGEkiend » derrière le complément (« fijn ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Dat »), cela engendre une INVERSION : le sujet « jullie » passe derrière le verbe « hebben ».

Nom : BEWAARDE OVT BEWAREN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/10/2020

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het luik geeft toegang tot de kast waar de dame het halssnoer bewaarde » (« Le panneau donne accès à l’armoire où la dame conservait le collier »).
On y trouve, dans la phrase subordonnée (introduite par « WAAR »), la forme verbale « bewaarde », O.V.T. ou prétérit provenant de l’infinitif « BEWAREN ». Ce verbe « BEWAREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « bewaar ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du singulier de l’O.V.T. ou prétérit :
« BEWAAR » + « DE » = « BEWAARDE ».
Notez l’expression « toegang geven tot » = « donne accès à »).

Nom : BEDOELDE OVT BEDOELEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/10/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat bedoelde hij (Sis) dus » (« C’est cela qu’il voulait dire »).
On y trouve la forme verbale « bedoelde », O.V.T. ou prétérit provenant de l’infinitif « BEDOELEN ». Ce verbe « BEDOELEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « bedoel ») se terminant par la consonne « L », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du singulier de l’ O.V.T. ou prétérit :
« BEDOEL » + « DE » = « BEDOELDE ».
La phrase commençant par un complément (« Dat »), cela engendre une INVERSION : le sujet « hij » passe derrière le verbe « bedoelde ».

Nom : ZOCHTEN OVT ZOEKEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/10/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Daar zochten we naar ! » (« C’est ce que nous recherchions ! »).
On y trouve notamment « ZOCHTEN », O.V.T. (ou « prétérit ») du verbe « ZOEKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
La phrase commençant par un complément (« Daar », partie de l’adverbe pronominal « Daarnaar »), cela engendre une INVERSION : le sujet « we » passe derrière le verbe « zochten ».
« Daarnaar » provient de « naar DAT ».
On aurait pu avoir la variante suivante de la phrase :
« We zochten daarnaar ! »

Nom : WAREN OVT ZIJN 3 ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/10/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zijn papieren waren trouwens ook in orde » (« Ses papiers étaient par ailleurs également en règle »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée (introduite par « DAT »), la forme verbale « WAREN » (pluriel irrégulier de « WAS »), O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : BETROKKEN VTT BETREKKEN 2 ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/10/2020

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Als hij hierbij (was) betrokken was, zou hij al lang de plaats (hebben) gepoetst hebben » (« S’il avait été impliqué, il aurait depuis longtemps nettoyé la place => débarrassé le plancher »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais. On trouve donc la forme verbale « BEtrokken », participe passé provenant de l’infinitif « BEtrekken », lui-même construit sur l’infinitif « TREKKEN » qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « BEtrokken » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« al lang » et « de plaats »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase subordonnée jouant le rôle d’un complément commençant la phrase principale, cela y engendre une INVERSION : le sujet « hij » passe derrière le verbe « zou ». On aurait pu avoir la variante suivante :
« hij zou al lang de plaats hebben gepoetst ».

Nom : KUNNEN REJET SPREKEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/10/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Kunnen wij kolonel Schwarz spreken ? » (« Pouvons-nous parler au colonel ?... »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« spreken »), derrière le complément (« kolonel Schwarz »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait plutôt dû avoir « MOGEN », l’auxiliaire de mode de la « POSSIBILITE » :
« Mogen wij kolonel Schwarz spreken ? ».

Nom : ZOUDEN REJET VRAGEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/10/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zouden we het hem niet eens vragen ? » (« Ne le lui demanderions-nous pas ? »).
L’auxiliaire du CONDITIONNEL est l’infinitif « ZOUDEN » ; il est, en quelque sorte, l’« imparfait » (O.V.T. ou prétérit) de l’auxiliaire du FUTUR, « ZULLEN ».
Au CONDITIONNEL, il y a REJET de l’autre forme verbale (« zijn ») à la fin de la phrase, derrière les compléments (ici « het », « hem » et « eens »), et donc à l’INFINITIF.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEZIEN VTT ZIEN 3 ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/10/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Misschien heeft die man iets gezien ? » (« Peut-être cet homme a-t-il vu quelque chose ? »)
On y trouve notamment la forme verbale « geZIEN », participe passé provenant de l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’INFINITIF.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « iets »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Misschien »), cela engendre une INVERSION : le sujet « die man » passe derrière le verbe « heeft ».

Nom : GEHOORD VTT HOREN 2 ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/10/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Misschien heeft die man iets gehoord ? » (« Peut-être cet homme a-t-il entendu quelque chose? »).
On y trouve la forme verbale « gehoord », participe passé provenant de l’infinitif « HOREN ». Ce verbe « HOREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik hoor ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés :
préfixe « GE » « HOOR » + « D » = « GEHOORD ».
Quand « HOREN » est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « gehoord » derrière le complément (« iets ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Misschien »), cela engendre une INVERSION : le sujet « die man » passe derrière le verbe « heeft ».

Nom : CONTROLEERDE OVT CONTROLEREN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/10/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Nummer 17) controleerde de identiteit » (« Il contrôla l’identité »).
Ce verbe « CONTROLEREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik controleer ») se terminant par la consonne « R », on trouvingera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit, aux 3 (trois) personnes du singulier :
« CONTROLEER » + « DE » = « CONTROLEERDE ».

Nom : DACHTEN OVT DENKEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/10/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Daar dachten we ook al aan » (« Nous y avions déjà aussi pensé »).
On y trouve la forme verbale « DACHTEN », à l’O.V.T. ou prétérit, provenant de l’infinitif « DENKEN » qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
La phrase commençant par un complément (« Daar », partie de l’adverbe pronominal « daarAAN »), cela engendre une INVERSION : le sujet « we » passe derrière le verbe « dachten ».
En ce qui concerne l’adverbe pronominal, on aurait donc pu avoir la variante suivante de la phrase :
« Daaraan dachten we ook al ».

Nom : HAD OVT HEBBEN 2 ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/10/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij (de lady) had de sleutel van de kast » (« Elle avait la clé de l’armoire »).
On y trouve la forme verbale « HAD », à l’O.V.T. ou prétérit, provenant de l’infinitif « HEBBEN » qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : WAS OVT ZIJN 7 ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/10/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Hij (Nummer 17) was permanent in de kamer » (« ll était en permanence dans la pièce »).
On y trouve la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIJN », qui constitue vraisemblablement le verbe le plus irrégulier de la langue néerlandaise.
C’est logique : plus on utilise un mot, plus la prononciation le déforme au fil du temps …
Le verbe « ZIJN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : ZOCHT DOOR DOORZOCHT OVT DOORZOEKEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/10/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Terwijl alles (in de kamer) (wordt) doorzocht wordt … » (« Pendant que tout est fouillé … »).
On y trouve notamment, dans une phrase subordonnée introduite par (« TERWIJL »), la forme verbale « doorZOCHT », ressemblant à l’O.V.T. (ou « prétérit ») mais il s’agit bien d’un participe passé provenant d’un verbe « doorZOEKEN » dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « ZOEKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Si l’on n’avait pas été dans une phrase subordonnée, on aurait pu avoir la variante suivante à l’O.V.T. (ou « prétérit ») :
« Ze zochten alles in de kamer door ». On y aurait vu que « door », se séparant de la forme verbale, fait l’objet d’un rejet à la fin de la phrase.
La phrase figurant dans la BD est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : KOMEN BINNEN OTT BINNENKOMEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/10/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ongemerkt komen ze in de kamer binnen » (« Sans être remarqués, ils pénètrent dans la chambre »).
On y trouve la forme verbale « dringen … BINNEN », présent (ou O.T.T.) provenant du verbe « BINNENdringen », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « DRINGEN ».
Il y a REJET de la particule séparable « BINNEN », composante du verbe, derrière le complément (« in de kamer »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe ou d’une de ses composantes, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément («Ongemerkt»), cela engendre une INVERSION : le sujet « ze » passe derrière le verbe « komen ».

Nom : ONGEMERKT VTT ONMERKEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 30/09/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ongemerkt komen ze in de kamer binnen » (« Sans être remarqués, ils pénètrent dans la chambre »).
On y trouve la forme verbale « ongemerkt », utilisé comme adjectif épithète ; s’il avait existé, un infinitif « ONMERKEN », lui-même construit sur « MERKEN », aurait eu un tel participe passé provenant, comme la grande majorité des verbes néerlandais, de ceux qui NE font PAS l’objet des « temps primitifs » mais font partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T.) se terminant par la consonne « K », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Le préfixe « ON- » (« UN- » en anglais) n’est PAS une « particule séparable » (même s’il réagit comme « OP ») et constitue en fait le contraire de « gemerkt ».

Nom : OPGEPAST VTT OPPASSEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 29/09/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Opgepast ! » (« Fais attention ! »).
On y trouve la seule forme verbale « OPgepast », participe passé provenant de l’infinitif « OPpassen », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « PASSEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « S », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Quand « OPpassen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEpast ».

Nom : WIL REJET DOORZOEKEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/09/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik wil de kamer doorzoeken » (« Je veux fouiller la chambre »).
L’auxiliaire de mode de la VOLONTE » est l’infinitif « WILLEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « MOGEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (ici, « doorzoeken ») derrière le complément (« de kamer »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEBEURD VTT GEBEUREN 2 ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/09/2020

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik vernam wat er (hier) (is) gebeurd is » (« J’ai appris ce qui s’est passé »).
On trouve, dans la phrase subordonnée (introduite par « wat »), la forme verbale « gebeurd », participe passé provenant de l’infinitif « GEBEUREN ». Ce verbe « GEBEUREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (si une première personne du présent avait existé, « gebeur ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés mais pas de préfixe « GE » puisque la forme verbale commence déjà par « GE » (comme pour les verbes commençant par les préfixes BE- ER-, HER-, ONT- et VER- ) :
(pas de préfixe « GE ») + « GEBEUR » + « D » = « GEBEURD ».
Quand « GEBEUREN » est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « gebeurd » derrière le complément éventuel (« hier ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VERNAM OVT VERNEMEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/09/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik vernam wat er is gebeurd » (« J’ai appris ce qui s’est passé »).
On y trouve la forme verbale « vernam », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « vernemen», lui-même construit sur l’infinitif « NEMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : ZOU REJET AANKOMEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/09/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressant : « Hij zou vandaag met de trein aankomen » (« Il arriverait aujourd’hui avec le train »).
L’auxiliaire du CONDITIONNEL est l’infinitif « ZOUDEN » ; il est, en quelque sorte, l’« imparfait » (O.V.T. ou prétérit) de l’auxiliaire du FUTUR, « ZULLEN ».
Au CONDITIONNEL, il y a REJET de l’autre forme verbale (« aankomen », à la fin de la phrase, derrière les compléments (« vandaag » et « met de trein »), et donc à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : WAREN OVT ZIJN 2 ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/09/2020

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je schreef hem dat we hier waren » (« Tu lui as écrit que nous étions ici »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée (introduite par « DAT »), la forme verbale « WAREN » (pluriel irrégulier de « WAS »), O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que, dans la phrase subordonnée néerlandaise, le verbe n’est plus à côté de son sujet.

Nom : SCHREEF OVT SCHRIJVEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/09/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je schreef hem dat we hier waren » (« Tu lui as écrit que nous étions ici »).
On trouve donc ici notamment la forme verbale « SCHREEF », prétérit (ou O.V.T.) provenant de l’infinitif « SCHRIJVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers et, parmi eux, d’une catégorie importante de verbes irréguliers, celle des « IJ » donnant des « E » aux temps du passé (O.V.T. et V.T.T.).
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé (la plus nombreuse étant celle des « IJ ») :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : GEKREGEN VTT KRIJGEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/09/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb een brief van hem (= Joeki) gekregen » (« J’ai reçu une lettre de lui »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEKREGEN », participe passé utilisé avec un passé composé, provenant de l’infinitif « KRIJGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé « GEKREGEN » se construit sur le PLURIEL du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé (la plus nombreuse étant celle des « IJ ») :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« een brief van hem »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse, également en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VERGETEN VTT VERGETEN 2 ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/09/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik ben iets vergeten » (« J’ai oublié quelque chose »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER- HER- GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve ici notamment la forme verbale « VERGETEN », participe passé provenant, du même infinitif « VERGETEN », qui fait l’objet des «temps primitifs » des verbes dits « forts ». Signalons dès lors que, si « VERGETEN» est ici au V.T.T. (ou passé composé), il aurait été écrit de la même façon au pluriel de l’O.T.T. (ou indicatif présent), qui équivaut, rappelons-le, à l’INFINITIF. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « VERGETEN » fait l’objet d’un REJET derrière le complément (« iets ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEKNEVELD VTT KNEVELEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/09/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Van de regen in de drop geraakt, ligt hij (Nummer 17) in het hok gebonden en gekneveld » (« Tombé de Charybde en Scylla, il gît, dans la remise, ligoté et bâillonné »). (Nota bene : notez l’expression.)
On y trouve la forme verbale « GEKNEVELD » provenant de l’infinitif « KNEVELEN », verbe considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik KNEVEL ») se terminant par la consonne « L », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés : préfixe « GE » « KNEVEL » + « D » = « GEKNEVELD ».
Le participe passé « GEKNEVELD » fait l’objet d’un REJET derrière le complément (« in het hok ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEBONDEN VTT BINDEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/09/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Van de regen in de drop geraakt, ligt hij (Nummer 17) in het hok gebonden en gekneveld » (« Tombé de Charybde en Scylla, il gît, dans la remise, ligoté et bâillonné »). (Nota bene : notez l’expression.)
On y trouve notamment la forme verbale « GEBONDEN », participe passé provenant de l’infinitif « BINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « I », donne une voyelle « O » pour les temps du passé.
Ce participe passé « GEBONDEN » est construit sur le PLURIEL du prétérit (ou O.V.T.) Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Il y a REJET du participe passé « GEBONDEN » derrière le complément (« in het hok ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GERAAKT VTT RAKEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/09/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Van de regen in de drop geraakt, ligt hij (Nummer 17) in het hok gebonden en gekneveld » (« Tombé de Charybde en Scylla, il gît, dans la remise, ligoté et bâillonné »). (Nota bene : notez l’expression.)
On y trouve la forme verbale « geraakt », participe passé provenant de l’infinitif « RAKEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T. : « ik raak ») se terminant par la consonne « K », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire : préfixe « GE » + « RAAK » + « T » = « GERAAKT ».
Quand « RAKEN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, il y a REJET de son participe passé « geraakt » derrière le complément (« van de regen in de drop ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs : https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KOM TERUG OTT TERUGKOMEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/09/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Ik kom met een wagen terug » (« Je reviens avec une voiture »).
On y trouve la forme verbale « kom … TERUG », O.T.T. ou indicatif présent provenant de l’infinitif « TERUGkomen », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « KOMEN ».
Quand « TERUGkomen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERUG » de la forme verbale proprement dite et il y a REJET de cette composante « TERUG », derrière le complément (« met een wagen ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : SLUIT OP OTT OPSLUITEN 2 ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/09/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Ik sluit hem in het berghok op » (« Je l’enferme dans la remise »).
On y trouve la forme verbale « sluit … OP », O.T.T. ou indicatif présent provenant de l’infinitif « OPsluiten », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « SLUITEN ».
Quand « OPsluiten » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de la forme verbale proprement dite et il y a REJET de cette composante « OP », derrière les compléments (« hem » et « in het berghok ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MOETEN REJET WEGGAAN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/09/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Jullie moeten hier weggaan » (« Vous devez partir d’ici »).
L’auxiliaire de mode de l’OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« weggaan »), derrière le complément (« hier »), à la fin de la phrase et, bien sûr, à l’infinitif, Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs:
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
En langue néerlandaise, notamment après les auxiliaires de mode, on a tendance à sous-entendre l’infinitif des verbes dits « à particule séparable » comme « weggaan ».

Nom : ZAG OVT ZIEN 3 ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/09/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik zag zijn foto in de krant » (« J’ai vu sa photo dans le journal»).
On y trouve notamment la forme verbale « ZAG », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
ATTENTION : Beaucoup d’apprenants croient que la forme verbale « ZAG », provient de l’infinitif « ZEGGEN », également irrégulier à l’O.V.T. …

Nom : MOETEN REJET ZIJN 3 ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/09/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Daar moeten ze wel zijn » (« Ils doivent bien être là »).
L’auxiliaire de mode de l’OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« zijn »), derrière le complément éventuel (« wel »), à la fin de la phrase et, bien sûr, à l’infinitif, Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs:
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Daar »), cela engendre une INVERSION : le sujet « ze » passe derrière le verbe « moeten ».

Nom : GEVOLGD VTT VOLGEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/09/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Nummer 17) heeft hun spoor in het zand gevolgd … »
(« Il a suivi leur trace dans le sable »).
On y trouve notamment la forme verbale « gevolgd », participe passé provenant de l’infinitif « VOLGEN ». Ce verbe « VOLGEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik volg ») se terminant par la consonne « G », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés : préfixe « GE » + « VOLG » + « D » = « GEVOLGD ».
Il y a REJET de ce participe passé, derrière les compléments (« hun spoor » et « in het zand ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : DOUBLE INFINITIF VTT KUNNEN BEVRIJDEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/09/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Nummer 17) heeft zich (van zijn koorden) kunnen bevrijden » (« Il a pu se libérer de ses liens »).
La phrase est, en fait, au passé composé et la forme verbale de « KUNNEN » aurait dû être au participe passé mais on a ici affaire à ce que l’on appelle le « double infinitif », solution intéressante pour éviter les « temps primitifs » quand on ne les maîtrise pas.
Les deux infinitifs font l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« van zijn koorden »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir plutôt l’auxiliaire de mode de la «POSSIBILITE», l’infinitif « MOGEN » : « Hij heeft zich mogen bevrijden. »

Nom : GAAN REJET UITZOEKEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/09/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat gaan / zullen we uitzoeken » (« Nous allons enquêter à ce sujet »).
Sous l’infuence de la langue française, l’auxiliaire du FUTUR « simple » néerlandais, « ZULLEN » (donnant un singulier « ZAL ») est ici remplacé par « GAAN ». Cela permet de rappeler que, afin d’être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple pour le francophone de le comparer au « futur proche » français et de remplacer précisément les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
La phrase commençant par un complément (« Dat »), cela engendre une INVERSION : le sujet « we » passe derrière le verbe « moeten ».
Si ce n’avait pas été le cas, on aurait mieux que, comme au FUTUR néerlandais, il y a REJET de l’autre forme verbale (« uitzoeken ») à la fin de la phrase, derrière le complément (« dat »), et à l’INFINITIF :
«we gaan dat uitzoeken ». Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : BEDOELD VTT BEDOELEN 2 ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/09/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wat mag hij (Sis) toch (hebben) bedoeld hebben ? » (« Qu’a-t-il tout de même avoir pu vouloir dire => évoqué ? »).
On y trouve la forme verbale « bedoeld », participe passé provenant de l’infinitif « BEDOELEN ». Ce verbe « BEDOELEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « bedoel ») se terminant par la consonne « L », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés mais pas de préfixe « GE » puisque la forme verbale commence par le préfixe « VER » (c’est aussi le cas pour les verbes commençant par les préfixes BE-, ER-, GE,- HER- et ONT-) : (GE) + « BEDOEL » + « D » = « BEDOELD ».
Le participe passé « bedoeld » fait l’objet d’un REJET derrière le complément (« toch ») à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET, lisez :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : REKEN OP REKENEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/09/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Reken maar daar op ! » (« Compte là-dessus ! »).
A première vue, on pourrait croire que l’on a affaire au verbe « oprekenen », avec « op », réagissant comme une « particule séparable », qui ferait l’objet d’un REJET derrière un complément éventuel, à la fin de la phrase. Mais ce verbe n’existe pas.
On a en fait ici affaire à un adverbe pronominal « daarop » ou « erop », la préposition « OP » y étant intégrée.
On aurait pu avoir comme explication complémentaire :
« Hij rekent voor de diefstal op zijn pruiken ».

Nom : GESCHOREN VTT SCHEREN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/09/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « (Hij ziet er) glad geschoren (uit) » (« Il a l’air rasé de près »).
On y trouve notamment la forme verbale « GESCHOREN », participe passé provenant de l’infinitif « SCHEREN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Il faut noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :

https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : BEZAT OVT BEZITTEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/09/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij bezat een hele koffer vol pruiken » (« Il possédait toute une valise pleine de perruques »).
On y trouve la forme verbale « beZAT », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « beZITTEN », lui-même construit sur le verbe « ZITTEN ».
Le verbe « ZITTEN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : ZAG ERUIT OVT ERUIT ZIEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/09/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hoe zag hij (die Mudfinger) er uit ? » (« A quoi ressemblait ce Mudfinger ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « ZAG », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
ATTENTION : Beaucoup d’apprenants croient que la forme verbale « ZAG », provient de l’infinitif « ZEGGEN », également irrégulier à l’O.V.T. …
A première vue, on pourrait croire que l’on a ici affaire au verbe « uitzien », avec « uit », réagissant comme une « particule séparable », qui ferait l’objet d’un REJET derrière un complément éventuel, à la fin de la phrase.
On a en fait ici l’expression « eruit zien ». On aurait pu avoir comme réponse à la question :
« Hij zag groot (« ongeveer jouw gestalte ») eruit ».

Nom : ZAL ZULLEN REJET OPKNAPPEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/09/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Sis) zal vlug opknappen » (« Il va rapidement se retaper => se rétablir »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (« opknappen »), derrière le complément (« vlug »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : BEDOELD VTT BEDOELEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/09/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wat mag hij toch (hebben) bedoeld hebben ? » (« Qu’a-t-il tout de même avoir pu vouloir dire => évoqué ? »).
On y trouve la forme verbale « bedoeld », participe passé provenant de l’infinitif « BEDOELEN ». Ce verbe « BEDOELEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « bedoel ») se terminant par la consonne « L », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés mais pas de préfixe « GE » puisque la forme verbale commence par le préfixe « VER » (c’est aussi le cas pour les verbes commençant par les préfixes BE-, ER-, GE,- HER- et ONT-) : (GE) + « BEDOEL » + « D » = « BEDOELD ».
Le participe passé « bedoeld » fait l’objet d’un REJET derrière le complément (« toch ») à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET, lisez :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VERHUISD VTT VERHUIZEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/09/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij is onlangs naar Nederland verhuisd » (« Il a entretemps déménagé aux Pays-Bas »).
On y trouve la forme verbale « verhuisd », participe passé provenant de l’infinitif « VERHUIZEN ». Ce verbe « VERHUIZEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « verhuis ») se terminant par la consonne « S », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés mais pas de préfixe « GE » puisque la forme verbale commence par le préfixe « VER » (c’est aussi le cas pour les verbes commençant par les préfixes BE-, ER-, GE,- HER- et ONT-) : (GE) + « VERHUIS » + « D » = « VERHUISD ».
Le participe passé « verhuisd » fait l’objet d’un REJET derrière les compléments (« onlangs » et « naar Nederland ») à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET, lisez :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEWERKT VTT WERKEN 2 ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 31/08/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij heeft nog in het Grand Hotel gewerkt » (« Il a encore travaillé dans le Grand Hôtel »).
On y trouve la forme verbale « gewerkt », participe passé provenant de l’infinitif « WERKEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T. : « ik werk ») se terminant par la consonne « K », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Il y a REJET du participe passé « gewerkt », derrière les compléments (« nog » et « in het Grand Hotel ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZAL ZULLEN REJET ZEGGEN 3 ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 30/08/2020

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressant : « Ik zal (jullie) zeggen wie Mudfinger is » (« Je vais vous dire qui est Mudfinger »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a, dans la phrase principale, REJET de l’autre forme verbale (« zeggen ») à la fin de la phrase, derrière le complément éventuel (« jullie »), et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs:
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VOORBEREID VTT VOORBEREIDEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 29/08/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De diefstal is goed voorbereid » (« Le vol est bien préparé »).
On y trouve la forme verbale « voorbereid », participe passé provenant de l’infinitif « VOORBEREIDEN », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur « BEREIDEN ». Ce verbe « BEREIDEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « bereid ») se terminant déjà par la consonne « D », on trouvera a fortiori (mais pas doublé) le « D » majoritaire comme terminaison de ce participe passé mais pas de préfixe « GE » puisque la forme verbale commence par le préfixe BE- (c’est aussi le cas pour ER-, GE,- HER-, ONT- et VER) : (GE) + « VOORBEREID » + (« D ») = « VOORBEREID ».
Le participe passé « voorbereid » fait l’objet d’un REJET derrière le complément (« goed »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET, lisez :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VERLOOR OVT VERLIEZEN 2 ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/08/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij verloor het bewustzijn » (« il perdit / a perdu conscience »).
On y découvre la forme verbale « VERLOOR », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « VERLIEZEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « IE », donne notamment une voyelle « O » pour les temps du passé. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : VERMOMD VTT VERMOMMEN 2 ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/08/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Mudfinger) is (met konijnenvellen) vermomd » (« Il est déguisé avec des peaux de lapins »).
On y trouve la forme verbale « vermomd », participe passé provenant de l’infinitif « VERMOMMEN ». Ce verbe « VERMOMMEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « vermom ») se terminant par la consonne « M », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés mais pas de préfixe « GE » puisque la forme verbale commence par le préfixe « VER » (c’est aussi le cas pour les verbes commençant par les préfixes BE-, ER-, GE,- HER- et ONT-) : (GE) + « VERMOM » + « D » = « VERMOMD ».
Le participe passé « vermomd » fait l’objet d’un REJET derrière le complément éventuel, à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET, lisez :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VERTELDE OVT VERTELLEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/08/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « (ik) vertelde jullie niet alles » (« Je ne vous racontai pas tout »).
On y trouve la forme verbale « vertelde », prétérit ou O.V.T. provenant de l’infinitif « VERTELLEN », qui est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik vertel ») se terminant par la consonne « L », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit :
« VERTEL » + « DE » = « VERTELDE ».

Nom : KEERDE TERUG OVT TERUGKEREN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/08/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « (ik) keerde (naar huis) terug » (« Je retournais à la maison »).
On y trouve la forme verbale « keerde … TERUG », prétérit ou O.V.T. provenant de l’infinitif « TERUGkeren », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « KEREN ». Ce verbe « KEREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik keer ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit :
« KEER » + « DE » = « KEERDE ».
Quand « TERUGkeren » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERUG » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET derrière le complément éventuel (« naar huis »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET, lisez :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEDAAN VTT DOEN 2 ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/08/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « (Het) is met mij gedaan » (« Cela en est fait de moi => c’en est fini avec moi »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEDAAN », participe passé provenant de l’infinitif « DOEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GEDAAN » fait l’objet normalement d’un REJET, derrière le complément (« met mij »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VIEL NEER OVT NEERVALLEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/08/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij viel hier uitgeput neer » (« Il s’écroula ici épuisé »).
On y trouve notamment la forme verbale « viel … NEER » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant de l’infinitif « NEERvallen », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « VALLEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Voir notre tableau :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « NEERvallen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « NEER » de son infinitif proprement dit, et il y a REJET de la particule « NEER », derrière les compléments (« hier » et « uitgeput »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : VERLOOR OVT VERLIEZEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/08/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij verloor veel bloed » (« il perdit / a perdu beaucoup de sang »).
On y découvre la forme verbale « VERLOOR », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « VERLIEZEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « IE », donne notamment une voyelle « O » pour les temps du passé. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : GEWOND VTT WONDEN WERD OVT WORDEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/08/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij werd bij zijn sprong uit het raam gewond » (« Il fut blessé lors de son saut par la fenêtre »).
On y trouve la forme verbale « gewond », participe passé provenant de l’infinitif « WONDEN ». Ce verbe « WONDEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik wond ») se terminant (déjà) par la consonne « D », on trouvera a fortiori le « D » majoritaire (qui ne sera pas doublé en fin de mot) comme terminaison des participes passés :
préfixe « GE » + « WON(D) » + « D » = « GEWOND ».
Quand « WONDEN » est conjugué au passé composé, il y a habituellement REJET de son participe passé « gewond » derrière le complément (« bij zijn sprong uit het raam ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » (ici « WERD ») est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ». Il fait aussi l’objet des « temps primitifs ».

Nom : VOND OVT VINDEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/08/2020

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « lk vond vader toen ik door de duinen over de grens wou gaan » (« Je trouvai / j’ai trouvé père lorsque je voulais aller au-delà de la frontière à travers les dunes »).
On y découvre la forme verbale « VOND », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « I », donne une voyelle « O » pour les temps du passé. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
N’oubliez pas que l’équivalent du français « QUAND » est, au passé, « TOEN » en langue néerlandaise pour introduire, par exemple, une phrase subordonnée. N’oubliez pas non plus que, dans une phrase subordonnée néerlandaise, la forme verbale (ici « wou ») n’est plus à côté de son sujet (ici « ik »). Ils sont séparés par les compléments.

Nom : VIEL WEG OVT WEGVALLEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/08/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De jager viel (als een worst) weg » (« Le chasseur tomba hors circuit => fut mis hors course / hors d’état de nuire »).
On y trouve notamment la forme verbale « VIEL … WEG » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant de l’infinitif « WEGvallen », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « VALLEN ».
Quand « WEGvallen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « WEG » de sa forme verbale proprement dite et cette particule séparable « WEG », composante du verbe, fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« als een worst »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : PAKT IN OTT INPAKKEN 22 ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/08/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het wild pakt hem (= de jager) net als een worst in » (« Le gibier l’emballe comme une saucisse »).
On y trouve la forme verbale « pakt … IN », provenant de l’infinitif « INpakken », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « PAKKEN ».
Quand « INpakken » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « IN » de sa forme verbale proprement dite et cette particule séparable « IN », composante du verbe, fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« hem » et « net als een worst »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GESPROKEN VTT SPREKEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/08/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dan is het laatste woord nog niet gesproken » (« Alors le dernier mot n’est pas encore parlé => dit »).
On trouve, dans cette phrase, la forme verbale « gesproken », participe passé provenant du verbe provenant de l’infinitif « SPREKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « SPREKEN » est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « gesproken » derrière le complément (« nog ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Dan »), cela engendre une INVERSION : le sujet « het laatste woord » passe derrière le verbe « is ».

Nom : LAAT REJET UITKOMEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/08/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Laat jouw wild dan maar onder de wrakstukken uitkomen » (« Laisse alors ton gibier sortir de dessous les débris => s’extirper des débris »).
On y trouve notamment la forme verbale « LAAT » qui, à l’IMPERATIF joue le rôle d’un auxiliaire « de mode » et exige le REJET du verbe « UITKOMEN », derrière les compléments (« jouw wild », « dan », « maar » et « onder de wrakstukken »), à la fin de cette phrase. Voir phénomène du REJET, entre autres, à l’impératif :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : BEGREPEN VTT BEGRIJPEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/08/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « (We hebben u) begrepen, edele jager » (« Nous vous avons compris, noble chasseur »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER- GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve, dans cette phrase, la forme verbale « begrepen », participe passé provenant du verbe provenant de l’infinitif « BEGRIJPEN », construit sur « GRIJPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers et, parmi eux, d’une catégorie importante de verbes irréguliers, celle des « IJ » donnant des « E » aux temps du passé (O.V.T. et V.T.T.), le participe passé étant construit sur le pluriel du prétérit, « begrepen », et étant même identique).
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Notez que l’on aurait dû plutôt avoir « verstaan » (= « comprendre avec son intelligence »), participe passé construit sur son infinitif « « VERSTAAN » (provenant de « STAAN ») et étant même identique.

Nom : MOETEN REJET UITKIJKEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/08/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Nu moet je wel uitkijken » (« Maintenant, tu dois bien regarder autour de toi »).
L’auxiliaire de mode de l’OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« uitkijken »), derrière le complément (« wel »), à la fin de la phrase et, bien sûr, à l’infinitif, Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Nu »), cela engendre une INVERSION : le sujet « je » passe derrière le verbe « moet ».

Nom : HAALT OP OTT BOVENHALEN 22 ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/08/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (nummer 17) haalt zijn pistool boven » (« Il dégage vers le haut => dégaine son pistolet »).
On y trouve notamment la forme verbale « haalt … boven », provenant de l’infinitif « BOVENHALEN », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur « HALEN ».
Quand « BOVENHALEN » est conjugué, il y a alors REJET de la « particule séparable » (« BOVEN »), derrière le complément (« zijn pistool ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que cette structure, due à la tendance de la langue néerlandaise à évoluer vers la simplication, provient à l’origine d’une phrase où « BOVEN » était associée à une autre préposition : « Hij haalt zijn pistool naar boven ».

Nom : LET OP IMPERATIF OPLETTEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/08/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Let op het hoofd van de voerder (op) ! » (« Fais attention à la gouverne pour la tête ! »).
Nous y trouvons « OPLETTEN », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur « LETTEN ».
Quand « OPLETTEN » est conjugué, il y a REJET de la « particule séparable » (« OP »), derrière le complément (« op het hoofd van de voerder ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
L’utilisateur est souvent mal à l’aise avec ce verbe et, dès lors, il a tendance à laisser tomber un des deux « OP ».
Comparez avec : «« Let op de voerder voor het hoofd op ! ».

Nom : MOETEN REJET OPLETTEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/08/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Niets waar je op moet (op)letten » (« Rien auquel tu doives faire attention »).
Rappelons d’abord que l’infinitif est normalement « OPLETTEN », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur « LETTEN ».
Quand « OPLETTEN » est conjugué, il y a alors REJET de la « particule séparable » (« OP »), derrière le complément («iets») à la fin de la phrase comme dans la phrase suivante : « ik let op iets op ». Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
L’utilisateur est souvent mal à l’aise quand, dans une phrase (comme ici), on trouve en plus l’adverbe pronominal « waarOP » et, dès lors, il a tendance à laisser tomber un des deux « OP ».
Comparez avec : « Waarop moet je opletten ? ».

Nom : HAAL OP OTT OPHALEN 22 ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/08/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Als ik het zeil ophaal kunnen (mogen) we weg(gaan) ? » (« Si je hisse la voile, nous pouvons partir ? »).
Si on ne s’était pas trouvé, comme ici, dans une phrase subordonnée (introduite, ici, par « ALS »), on aurait trouvé la forme verbale « haal … op », provenant de l’infinitif « OPHALEN », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur « HALEN ».
Quand « OPHALEN » est conjugué, il y a alors REJET de la « particule séparable » (« OP »), derrière le complément (« het zeil ») à la fin de la phrase comme dans la variante suivante : « ik haal het zeil op ». Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
N’oublions pas que si la phrase subordonnée joue le rôle d’un complément commençant la phrase principhale, cela y engendre une INVERSION : le sujet « we » passe derrière le verbe « kunnen ».
Notez que l’on aurait dû avoir plutôt « MOGEN », l’auxiliaire de mode de la «POSSIBILITE » que « KUNNEN », celui de la « CAPACITE » :
« Als ik het zeil ophaal, mogen we weg(gaan) ? »

Nom : ZAL ZULLEN REJET SMAKEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/08/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zijn soep zal (hem) niet smaken » (« Sa soupe ne va pas lui goûter => ne va pas être à son goût »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ». Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (« smaken »), derrière le complément éventuel (« hem »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : BEPAALD VTT BEPALEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/08/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Toch is ons lot nog niet drastisch bepaald » (« Notre sort n’est pas encore déterminé de façon drastique »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve donc ici notamment la forme verbale « BEpaald », participe passé provenant de l’infinitif « BEpalen ». Le participe passé est, lui, construit sur la première personne de l’indicatif présent (« ik BEpaal »), NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts », est donc considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé, NE fait PAS partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical se terminant par la consonne « L », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison du prétérit : « BEPAAL » + « D » = « BEPAALD ».
Quand « BEPALEN » est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « bepaald » derrière les compléments (« nog niet » et « drastisch ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Toch »), cela engendre une INVERSION : le sujet « ons lot » passe derrière le verbe « is ». On aurait pu avoir la variante : « ons lot is toch nog niet drastisch bepaald ».

Nom : GEFAALD VTT FALEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/08/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Al hebben we schromelijk gefaald … » (« Même si nous avons lourdement failli … »).
On y trouve, dans cette phrase « subordonnée », la forme verbale « gefaald », participe passé provenant de l’infinitif « FALEN ». Ce verbe « FALEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik faal ») se terminant par la consonne « L », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés :
préfixe « GE » + « FAAL » + « D » = « GEFAALD ».
Quand « FALEN » est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « gefaald » derrière le complément (« schromelijk ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un « complément » (« Al »), cela engendre une INVERSION : le sujet « we » passe derrière le verbe « hebben ».

Nom : VOEL VOOR OTT VOORVOELEN OMTE GAAN BROMMEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/08/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik voel er weinig voor om enkele jaartjes te gaan brommen» (« Je sens peu pour aller ronfler quelques petites années => je suis peu enthousiaste à l’idée d’aller ronfler quelques années en prison »).
On peut considérer que l’on a ici affaire à la forme verbale « voel … VOOR », provenant de l’infinitif « VOORvoelen », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « VOELEN ».
Quand « VOORvoelen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « VOOR » de la forme verbale proprement dite et il y a REJET de cette composante « VOOR », derrière les compléments (« er » et « weinig ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
On peut aussi considérer que l’on a ici affaire à l’adverbe pronominal « ervoor ». On pourrait dès lors avoir la variante suivante de la phrase : « Ik voel weinig ervoor ».
Rappelons que « POUR » devant les verbes est rendu en langue néerlandaise par un double mot : « OM … TE ». Le complément (ici « enkele jaartjes ») s’intercale entre le « OM » et le « TE », placé juste devant les infinitifs « gaan » et « brommen ».

Nom : OPGEHELDERD VTT OPHELDEREN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/08/2020

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik sluit jullie voorlopig op tot(dat) ik deze diefstal (heb) opgehelderd » (« Je vous enferme jusqu’à ce que j’aie éclairci / élucidé ce vol »).
On y trouve, dans la phrase subordonnée (introduite par « totdat »), la forme verbale « opgehelderd », participe passé provenant de l’infinitif «OPhelderen», lui-même construit sur l’infinitif « HELDEREN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (ou première personne du présent : « ik helder op ») se terminant par la consonne « R », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire. Quand « OPhelderen » est conjugué comme participe passé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opgehelderd ».
Il y a REJET de la forme verbale « opgehelderd » derrière le complément («deze diefstal ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : SLUIT OP OTT OPSLUITEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/08/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Ik sluit jullie voorlopig op » (« Je vous enferme provisoirement »).
On y trouve la forme verbale « sluit … OP », O.T.T. ou indicatif présent provenant de l’infinitif « OPsluiten », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « SLUITEN ».
Quand « OPsluiten » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de la forme verbale proprement dite et il y a REJET de cette composante « OP », derrière les compléments (« jullie » et « voorlopig ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : INGELOPEN VTT INLOPEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/08/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Daar zijn we nog lelijk ingelopen » (« Nous avons salement couru dedans => Nous sommes méchamment tombés dedans »).
On y trouve la forme verbale « INgelopen », participe passé construit et provenant de l’infinitif « INlopen », lui-même construit sur l’infinitif « LOPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « INlopen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « IN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « inGElopen ».
Il y a REJET de la forme verbale « INgelopen » derrière les compléments (« nog » et « lelijk ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse : https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Daar »), cela engendre une INVERSION : le sujet « we » passe derrière le verbe « zijn ». On aurait pu avoir la variante : « we zijn daar(in) nog lelijk ingelopen ».

Nom : GEHOUDEN VTT HOUDEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/08/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb jullie al die tijd flink voor het lapje gehouden » (« Je vous ai fameusement mené en bateau tout ce temps »).
On y trouve la forme verbale « gehouden », participe passé provenant de l’infinitif « HOUDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Ce participe passé « gehouden » est construit sur l’infinitif. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « gehouden » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« jullie », « al die tijd », « flink » et « voor het lapje »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : BELETTE OVT BELETTEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 31/07/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Mijn opdracht belette mij jullie eerder in te rekenen » (« Ma mission m’empêchait de vous régler votre compte plus tôt »).
On y trouve notamment le verbe « BELETTEN » (exigeant une préposition « TE »), qui est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), mais fait partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik belet ») se terminant déjà par la consonne « T », on trouvera le « TE » minoritaire comme terminaison du prétérit :
« BELET » + « TE » = « BELETTE ».
On trouve dans cette phrase aussi « INREKENEN », verbe dit à « particule séparable » (lui-même construit sur « REKENEN »). Lorsque « INREKENEN » est « conjugué », la « particule séparable » « IN » se sépare de la forme verbale proprement dite (« REKENEN »).

Nom : ZAL ZULLEN REJET MAKEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 30/07/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat zal ik je snel duidelijk maken » (« Cela, je vais rapidement te le faire plus clair => te l’expliquer »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ». Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (« maken »), derrière les compléments (« je », « snel » et « duidelijk»), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Dat »), cela engendre une INVERSION : le sujet « ik » passe derrière le verbe « zal ». On aurait pu avoir la variante : « ik zal je dat snel duidelijk maken ».

Nom : MOETEN REJET BEDWINGEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 29/07/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Alleen heb ik me erg moeten bedwingen om jullie niet eerder achter de tralies te zetten » (« Seulement, j’ai dû fort me réfréner pour ne pas vous mettre plus tôt derrière les barreaux »).
L’auxiliaire de mode de l’OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« bedwingen »), derrière les compléments (« me » et « erg »), à la fin de la phrase et à l’infinitif, ce que l’on aurait mieux vu, dans la variante suivante (à l’O.T.T. ou présent), si la phrase au passé composé (avec double infinitif) n’avait pas commencé par un autre complément (« Alleen ») : « ik moet me erg bedwingen ». Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Rappelons que « POUR » devant les verbes est rendu en langue néerlandaise par un double mot : « OM … TE ». Les compléments (ici « jullie », « niet eerder » et « achter de tralies ») s’intercalent entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « zetten ».

Nom : ZOUDEN REJET ZIJN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/07/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Waarom zouden jullie geen handlangers van Mudfinger zijn ? » (« Pourquoi ne seriez-vous pas des complices ? »).
L’auxiliaire du CONDITIONNEL est l’infinitif « ZOUDEN » ; il est, en quelque sorte, l’« imparfait » (O.V.T. ou prétérit) de l’auxiliaire du FUTUR, « ZULLEN ».
Au CONDITIONNEL, il y a REJET de l’autre forme verbale (« zijn ») à la fin de la phrase, derrière le complément (ici «geen handlangers »), et donc à l’INFINITIF.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MOETEN REJET OPSPOREN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/07/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We moeten haar dadelijk opsporen » (« Nous devons immédiatement la suivre à la trace »).
L’auxiliaire de mode de l’OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« opsporen »), derrière les compléments (« haar » et « dadelijk »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : FLIRTTE OVT FLIRTEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/07/2020

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Omdat zij wat met je flirtte / want zij flirtte wat met je, liet je haar gaan ? » (« Parce qu’elle flirtait un peu avec toi, tu la laissas = tu l’ai laissée aller »).
On y trouve, dans la phrase subordonnée (introduite par « OMDAT »), le verbe « FLIRTEN » (emprunté à l’anglais), qui est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), mais fait partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik flirt ») se terminant déjà par la consonne « T », on trouvera le « TE » minoritaire comme terminaison du prétérit : « FLIRT » + « TE » = « FLIRTTE ».
On y trouve, dans la phrase principale, la forme verbale « LIET », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « LATEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : LIET OVT LATEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/07/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik liet haar vertrekken » (« Je la laissai = je l’ai laissée partir »).
On y trouve notamment la forme verbale « LIET », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « LATEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
On remarquera aussi, le REJET du verbe « VERTREKKEN », derrière le complément (« haar »), à la fin de cette phrase. Même si « LATEN » joue le rôle d’un auxiliaire à la première personne du PLURIEL de l’IMPERATIF (« LATEN WE … » + REJET), il n’exige, en principe, pas un REJET systématique dans les autres cas. Voir phénomène du REJET, entre autres, à l’impératif :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KAN KUNNEN REJET STAAN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/07/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik kan borg voor haar staan » (« Je peux être = me porter garant pour elle »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« staan »), derrière les compléments (« borg », « voor haar »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir « MAG », singulier de l’infinitif « MOGEN», l’auxiliaire de mode de la « POSSIBILITE » :
« Ik mag borg voor haar staan ».

Nom : WAS OVT ZIJN 6 ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/07/2020

Description : Les phrases suivantes sont grammaticalement intéressantes:
« Maar hij (Mudfinger) was nergens te bespeuren » (« Mais il n’était nulle part à apercevoir => visible, trouvable »).
« Was zij (Mathilde) soms zijn handlangster ? » (« Mathilde n’était-elle par hasard pas sa complice ? »).
On y trouve la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIJN », qui constitue vraisemblablement le verbe le plus irrégulier de la langue néerlandaise.
C’est logique : plus on utilise un mot, plus la prononciation le déforme au fil du temps …
Le verbe « ZIJN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : SPOOKTE ROND OVT RONDSPOKEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/07/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De garnaalvisser spookte (in de duinen) rond » (« Le pêcheur de crevettes jouait au fantôme »)
On y trouve notamment le verbe « SPOKEN », qui est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), mais fait partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik spook ») se terminant par la consonne « K », on trouvera le « TE » minoritaire comme terminaison du prétérit :
« SPOOK » + « TE » = « SPOOKTE ».
On y trouve plus particulièrement la forme verbale « spookte … rond », qui provient de l’infinitif « RONDSPOKEN », verbe dit à « particule séparable », lui-même construit sur « SPOKEN ». Lorsque « RONDSPOKEN » est conjugué, cela entraîne le REJET de la « particule séparable » « ROND », derrière le complément éventuel (« in de duinen »), à la fin de la phrase. Voir le phénomène du REJET, entre autres à :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEBLEVEN VTT BLIJVEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/07/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik ben hier altijd gebleven » (« Je suis toujours resté ici »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEBLEVEN », participe passé utilisé avec un passé composé, provenant de l’infinitif « BLIJVEN», qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé « GEBLEVEN » se construit sur le PLURIEL du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé (la plus nombreuse étant celle des « IJ ») :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GEBLEVEN » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« HIER » et « ALTIJD »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEDAAN VTT DOEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/07/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wie kan dit gedaan hebben ? » (« Qui peut avoir fait ceci ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEDAAN », participe passé provenant de l’infinitif « DOEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GEDAAN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« DIT »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« hebben »), derrière le complément (« dit»), à la fin de la phrase et à l’infinitif.

Nom : GEWEEST VTT ZIJN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/07/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wie is hier geweest ? » (« Qui a été ici = qui est venu ici ? »).
On y trouve la forme verbale « GEWEEST », participe passé provenant du même infinitif « ZIJN », qui constitue vraisemblablement le verbe le plus irrégulier de la langue néerlandaise. C’est logique : plus on utilise un mot, plus la prononciation le déforme au fil du temps … Le verbe « ZIJN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GEWEEST » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« HIER »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZAL ZULLEN REJET TONEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/07/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik zal het je tonen » (« Je vais te le montrer »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a, dans la phrase principale, REJET de l’autre forme verbale (« tonen ») à la fin de la phrase, derrière les compléments (« het » et « je »), et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs:
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEHAD VTT HEBBEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/07/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb het (= het halssnoer ») een uurtje geleden nog in handen gehad » (« Je l’ai encore eu dans les mains il y a une petite heure »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEHAD », participe passé provenant de l’infinitif « HEBBEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Il faut aussi noter que ce participe passé se construit sur le SINGULIER du prétérit.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GEHAD » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« het », « een uurtje geleden », « nog » et « in handen»), à la fin de la phrase. Voyez :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : BLEEF OVT BLIJVEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/07/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Bleef hij (James) al die tijd op wacht ? » (« Resta-t-il tout ce temps de garde ? »).
On trouve donc ici notamment la forme verbale « BLEEF », prétérit (ou O.V.T.) provenant de l’infinitif « BLIJVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers et, parmi eux, d’une catégorie importante de verbes irréguliers, celle des « IJ » donnant des « E » aux temps du passé (O.V.T. et V.T.T.).
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : WAREN OVT ZIJN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/07/2020

Description : Waren op speurtocht » (« Nous étions en jeu de piste => en mission de reconnaissance »).
On y trouve notamment la forme verbale « WAREN » (pluriel irrégulier de « WAS »), O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : GEZIEN VTT ZIEN 2 ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/07/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We hebben hem niet weer gezien » (« Nous ne l’avons pas revu »).
On y trouve notamment la forme verbale « geZIEN », participe passé provenant de l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’INFINITIF.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le(s) complément(s) (ici « hem » et « weer »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MISDAAN VTT MISDOEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/07/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb echt niets misdaan » (« Je n’ai vraiment rien fait de mal »).
Rappelons tout d’abord que, au participe passé, les verbes commençant par les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER-, NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais. C’est aussi le cas du préfixe MIS-. On trouve ici la forme verbale « misdaan », participe passé provenant de l’infinitif « MISDOEN », lui-même construit sur « DOEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». (Il est à noter que ce participe passé de « DOEN » est normalement « GEdaan ».) Voir notre tableau au lien :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Il y a REJET du participe passé « misdaan » derrière les compléments (« echt » et « niets »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VERTROKKEN VTT VERTREKKEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/07/2020

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hou je ziek tot(dat) de lady (naar het buitenland) (is) vertrokken (is) » (« Tiens-toi malade => fais-toi porter malade jusqu’à ce que la lady soit partie »).
Rappelons tout d’abord que, au participe passé, les verbes commençant par les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER-, NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve ici (dans la phrase subordonnée introduite par « TOTdat ») notamment la forme verbale « verTROKKEN », participe passé provenant de l’infinitif «verTREKKEN », lui-même construit sur « TREKKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Il est à noter que ce participe passé se construit sur le pluriel du prétérit (et est, ici, même identique) ou O.V.T. Voir notre tableau :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Il y a REJET du participe passé « verTROKKEN » derrière le complément éventuel (« naar het buitenland »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEWEIGERD VTT WEIGEREN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/07/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat heeft vader geweigerd » (« Cela, père l’a refusé »).
On y trouve la forme verbale « geweigerd », participe passé provenant de l’infinitif « WEIGEREN ». Ce verbe « WEIGEREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik hoor ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés :
préfixe « GE » + « WEIGER » + « D » = « GEWEIGERD ».
Quand « WEIGEREN » est conjugué au passé composé, il y a normalement REJET de son participe passé « geweigerd » derrière le complément («dat») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Dat »), cela engendre une INVERSION : le sujet « vader » passe derrière le verbe « heeft ». On aurait pu avoir la variante suivante : « vader heeft dat geweigerd ».

Nom : MOET REJET DOEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/07/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Wat moet je voor Mudfinger doen ? » (« Que dois-tu faire pour Mudfinger ? »).
L’auxiliaire de mode de l’« OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« doen »), derrière le complément (« voor Mudfinger »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VERMOEDDE VTT VERMOEDEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/07/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat vermoedde ik al » (« Cela, je le supposais déjà »).
Le verbe « VERMOEDEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik vermoed ») se terminant déjà par la consonne « D », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit :
« VERMOED » + « DE » = « VERMOEDDE ».
La phrase commençant par un complément (« Dat »), cela engendre une INVERSION : le sujet « ik » passe derrière le verbe « vermoedde ». On aurait pu avoir la variante suivante :
« ik vermoedde dat al ».

Nom : KREEG OVT KRIJGEN 2 ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/07/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij kreeg geld om een fictief graf te graven » (« Il reçut de l’argent pour creuser une tombe fictive »).
On y trouve la forme verbale « KREEG », prétérit (ou O.V.T.) provenant de l’infinitif « KRIJGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « IJ », donne une voyelle « E » (double, au singulier). Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que « POUR » devant les verbes est rendu en langue néerlandaise par un double mot : « OM … TE ». Le complément («een fictief graf ») s’intercale entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « graven ».

Nom : HAD OVT HEBBEN GERED VTT REDDEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/07/2020

Description : La phrase subordonnée suivante est grammaticalement intéressante : « … nadat hij hem (had) gered had» (« … après qu’il l’ait sauvé »).
On trouve, dans cette phrase subordonnée (introduite par « NADAT »), la forme verbale « gered », participe passé provenant de l’infinitif « REDDEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (« ik red », première personne du présent ou O.T.T.) se terminant a fortiori déjà par la consonne « D », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire.
Le participe passé « gered » fait l’objet d’un REJET derrière le complément (« hem ») à la fin de la phrase subordonnée. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
On y trouve aussi la forme verbale « HAD », au prétérit (ce qui nous donne au phrase au plus-que-parfait), provenant de l’infinitif « HEBBEN » qui, lui, fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : GEHOLPEN VTT HELPEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/07/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Daarom heeft hij hem (Mudfinger) geholpen » (« C’est pourquoi il l’a aidé »).
On y trouve la forme verbale « GEHOLPEN », participe passé provenant de l’infinitif « HELPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« hem »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse, également en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Daarom »), cela engendre une INVERSION : le sujet « hij » passe derrière le verbe « heeft ».

Nom : WILDE OVT WILLEN WEGKWAM OVT WEGKOMEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/07/2020

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Vader wilde dat ik uit de miserie « WEGkwam » (« Père voulait que je sorte de la misère »).
On trouve, dans la phrase principale, WILDE (au prétérit ou O.V.T.) provenant de l’auxiliaire de mode de la VOLONTE », « WILLEN ».
« KWAM », dans la phrase subordonnée (introduite par « DAT »), O.V.T. (ou « prétérit »), provient de l’infinitif « KOMEN ». Le verbe « KOMEN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
La forme verbale « WEGkwam » qui, dans un autre contexte, aurait été « kwam … WEG », prétérit provenant du verbe « WEGkomen », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « KOMEN ». Quand « WEGkomen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « WEG » de son infinitif proprement dit et il y a normalement REJET de cette particule séparable «WEG» (rendant une notion d’éloignement), derrière le complément (« uit de miserie »), à la fin de la phrase : « ik kwam uit de miserie « WEG ». Pour le REJET, lisez :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GESTOLEN VTT STELEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/07/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb nooit meer gestolen » (« Je n’ai plus jamais volé »).
On y trouve la forme verbale « GESTOLEN », participe passé provenant de l’infinitif « STELEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« nooit meer »), à la fin de la phrase.. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse, également en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEZETEN VTT ZITTEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/07/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je hebt in de gevangenis voor diefstal gezeten » (« Tu as été en prison pour vol »).
On y trouve la forme verbale « GEZETEN », participe passé provenant de l’infinitif « ZITTEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« in de gevangenis » et « voor diefstal »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse, également en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : STELDE IN OVT INSTELLEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/07/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik stelde een onderzoek in » (« Je menai / j’ai mené une enquête»).
Ce verbe « STELLEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik stel ») se terminant par la consonne « L », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit : « STEL » + « DE » = « STELDE ».
On trouve donc dans cette phrase la forme verbale « stelde … in », qui provient de l’infinitif « INSTELLEN », verbe dit à « particule séparable », lui-même construit sur « STELLEN ».
Lorsque « INSTELLEN » est conjugué, cela entraîne le REJET de la « particule séparable » « IN », derrière le complément (« een onderzoek »), à la fin de la phrase. Voir le phénomène du REJET, entre autres à :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VERDACHT VTT VERDENKEN GEVONDEN VTT VINDEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/07/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat heb ik altijd verdacht gevonden » (« J’ai toujours trouvé cela suspect »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEVONDEN », participe passé provenant de l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en «I», donne une voyelle « O » pour les temps du passé. Ce participe passé « GEVONDEN » est construit sur le PLURIEL du prétérit ou O.V.T. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GEVONDEN » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« altijd » et « verdacht »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
On y trouve la forme verbale « verdacht », participe passé (construit sur le prétérit « dacht » et utilisé ici comme attribut) provenant du verbe «VERDENKEN», lui-même construit sur l’infinitif « DENKEN », qui fait également l’objet des « temps primitifs ».
La phrase commençant par un complément (« Nu »), cela engendre une INVERSION : le sujet « ik » passe derrière le verbe « heb ».

Nom : WOU WILDE OVT WILLEN REJET WINNEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 30/06/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « je wou = wilde op die manier mijn vertrouwen winnen » (« tu voulais de cette façon gagner ma confiance »).
L’auxiliaire de mode de la VOLONTE » est l’infinitif « WILLEN » (donnant actuellement WILDE – tendant à remplacer la forme plus ancienne WOU – au singulier du prétérit ou O.V.T.). Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « MOGEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (ici, « winnen ») derrière les compléments (« op die manier » et « mijn vertrouwen »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Dans la phrase subordonnée de l’image, la forme verbale « wou » n’est plus, comme d’habitude, à côté de son sujet « je ».

Nom : MOET REJET ZIJN 2 INVERSION ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 29/06/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Nu moet het uit zijn » (« Maintenant cela doit être terminé »).
L’auxiliaire de mode de l’« OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« zijn »), derrière le complément (« uit »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Nu »), cela engendre une INVERSION : le sujet « het » passe derrière le verbe « moet ».

Nom : HADDEN OVT HEBBEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/06/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We hadden het hier samen gezellig kunnen (mogen) maken » (« Nous aurions pu faire en sorte que ce soit ici agréable ensemble => pour nous »).
On y trouve notamment la forme verbale « HADDEN », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « HEBBEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Notez la construction de la phrase : il y a REJET des formes verbales (kunnen maken), derrière les compléments (« het », « hier », «samen » et « gezellig ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : BERG OP OTT OPBERGEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/06/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik berg het (het halssnoer) nu weer op » (« Je le range maintenant à nouveau = je le remets à présent à sa place »).
On y trouve la forme verbale « berg … op », qui provient de l’infinitif « OPBERGEN », verbe dit à « particule séparable », lui-même construit sur « BERGEN ».
Lorsque « OPBERGEN » est conjugué, cela entraîne le REJET de la « particule séparable » « OP », derrière les compléments (« het », « nu » et « weer »), à la fin de la phrase. Voir le phénomène du REJET, entre autres à :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZAL ZULLEN REJET DRAGEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/06/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik zal mijn halssnoer dragen » (« Je vais porter mon collier »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a, dans la phrase principale, REJET de l’autre forme verbale (« dragen ») à la fin de la phrase, derrière le complément (« mijn halssnoer »), et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs:
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : WIL REJET ZIEN INVERSION ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/06/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Eerst wil ik (mijn halsnoer bij mijn avondjurk) zien » (« D’abord je veux voir mon collier sur ma robe de soirée »).
L’auxiliaire de mode de la « VOLONTE » est l’infinitif « WILLEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « MOGEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« zien »), derrière les compléments éventuels (« mijn halsnoer » et « bij mijn avondjurk »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Eerst »), cela engendre une INVERSION : le sujet « ik » passe derrière le verbe « wil ».

Nom : MOET REJET VERGEZELLEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/06/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je moet me (naar het kursaal in Oostende) vergezellen » (« Tu dois m’accompagner »).
L’auxiliaire de mode de l’« OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« zijn »), derrière le complément (« me »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Dans ce cas, cela semble être similaire à la construction de la phrase similaire en français. En y ajoutant l’autre complément sous-entendu (naar het kursaal in Oostende), on comprend mieux le REJET. Pour ce phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : SLAAT WEG OTT WEGSLAAN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/06/2020

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Eer iemand erop bedacht is, slaat hij (Sis) het pistool weg » (« Avant que quelqu’un réagisse, il écarte le revolver »).
On y trouve la forme verbale « slaat … WEG », provenant du verbe « WEGslaan», dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « SLAAN ».
Lorsque « WEGSLAAN » est conjugué, cela entraîne le REJET de la « particule séparable » « WEG », derrière le complément (« het pistool »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase subordonnée (« Eer iemand erop bedacht is ») jouant le rôle d’un complément commençant la phrase principale, cela y engendre une INVERSION : le sujet « hij » passe derrière le verbe « slaat ».

Nom : BEDACHT VTT BEDENKEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/06/2020

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Eer iemand erop bedacht is, slaat hij (Sis) het pistool weg » (« Avant que quelqu’un s’y attende, il écarte le revolver »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER- GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « bedacht », participe passé (construit sur le prétérit « dacht») provenant du verbe « BEDENKEN», lui-même construit sur l’infinitif « DENKEN », qui fait également l’objet des « temps primitifs ».
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : DAAROP ADVERBE PRONOMINAL ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/06/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Daar weiger ik op te antwoorden = ik weiger daarop te antwoorden » (« Je refuse de répondre à cela »).
La phrase commençant par un complément (« Daar », partie de l’adverbe pronominal « daarOP», cela entraîne une INVERSION du sujet « ik » qui passe derrière son verbe « weiger ».

Nom : LEVER UIT IMPERATIF UITLEVEREN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/06/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Lever mij niet uit ! » (« Ne me livrez pas ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « lever … uit » à l’impératif, provenant de l’infinitif « UITLEVEREN », lui-même construit sur « LEVEREN ».
Quand « UITLEVEREN » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit et le REJET de cette particule « UIT », derrière le complément («mij»), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VLUCHTTE OVT VLUCHTEN 2 ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/06/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Vermoedelijk vluchtte hij weer naar Engeland » (« Vraisemblablement a-t-il à nouveau fui vers l’Angleterre »).
On y trouve notamment le verbe « VLUCHTEN », qui est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), mais fait partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik vlucht ») se terminant par la consonne « T », on trouvera le « TE » minoritaire comme terminaison du prétérit : « VLUCHT » + « TE » = « VLUCHTTE ».
La phrase commençant par un complément (« Vermoedelijk »), cela engendre une INVERSION : le sujet « hij » passe derrière le verbe « vluchtte ». On aurait pu avoir la variante suivante : « hij vluchtte vermoedelijk weer naar Engeland ».

Nom : GAF OVT GEVEN 3 ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/06/2020

Description : La double (ou triple) phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Alvorens te vertrekken gaf Mudfinger mij opdracht voor spook te spelen » (« Avant de partir, Mudfinger me donna / m’a donné comme mission de jouer au fantôme »).
On y trouve, dans la phrase principale, la forme verbale « GAF », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « GEVEN ». Le verbe « GEVEN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
La phrase subordonnée (« Alvorens te vertrekken ») jouant le rôle d’un complément commençant la phrase principale, cela y engendre une INVERSION : le sujet « Mudfinger » passe derrière le verbe « gaf ».

Nom : VERGENOEGD VTT VERGENOEGEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/06/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De gendarmen (…) hebben er zich mee vergenoegd … » (« Les gendarmes se sont contentés de … »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER- GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On y trouve la forme verbale « vergenoegd », participe passé provenant de l’infinitif « VERGENOEGEN ». Ce verbe est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik vergenoeg ») se terminant par la consonne « G », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés :
préfixe « VER » (au lieu de « GE ») + « GENOEG » + « D » = « VERGENOEGD ».
Quand « VERGENOEGEN » est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « vergenoegd » derrière le complément (« mee », partie de «ermee») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GING OVT GAAN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/06/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik ging zijn dood melden » (« J’allai annoncer sa mort »).
On y trouve notamment la forme verbale « GING » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant de l’infinitif « GAAN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Notez que l’infinitif (« melden »), en langue néerlandaise, fait l’objet d’un REJET derrière le complément (« zijn dood »), à la fin de la phrase.

Nom : MAAKTE OVT MAKEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/06/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik maakte een fictief graf » (« Je fis / j’ai fait une tombe fictive »).
On y trouve notamment le verbe « MAKEN », qui est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), mais fait partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik maak ») se terminant par la consonne « K », on trouvera le « TE » minoritaire comme terminaison du prétérit : « MAAK » + « TE » = « MAAKTE ».

Nom : WAS OVT ZIJN 5 OMTE ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/06/2020

Description : La double (ou triple) phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij gaf mij veel geld om rond te bazuinen dat hij dood was » (« ll me donna / m’a donné beaucoup d’argent pour claironner à la ronde / faire courir le bruit qu’il était mort »).
On y trouve la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIJN ». Le verbe « ZIJN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que « POUR » devant les verbes est rendu en langue néerlandaise par un double mot : « OM … TE ». Le complément (« rond ») s’intercale entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « bazuinen ».

Nom : GAF OVT GEVEN 2 ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/06/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij gaf mij veel geld om hem hier te verbergen » (« ll me donna / m’a donné beaucoup d’argent pour le cacher ici »).
On y trouve la forme verbale « GAF », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « GEVEN ». Le verbe « GEVEN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que « POUR » devant les verbes est rendu en langue néerlandaise par un double mot : « OM … TE ». Les compléments (« hem » et « hier ») s’intercalent entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « verbergen ».

Nom : GERED VTT REDDEN 2 ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/06/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Toen Mudfinger (…) haast verdronk, heb ik hem gered » (« Alors que Mudfinger se noyait presque, je l’ai sauvé »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « gered », participe passé provenant de l’infinitif « REDDEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (« ik red », première personne du présent ou O.T.T.) se terminant a fortiori déjà par la consonne « D », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire. Le participe passé « gered » fait l’objet d’un REJET derrière le complément (« hem ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase subordonnée (introduite par « toen ») jouant le rôle d’un complément commençant la phrase principale, cela y engendre une INVERSION : le sujet « ik » passe derrière le verbe « heb ».

Nom : VERDRONK OVT VERDRINKEN 2 ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/06/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Toen Mudfinger (…) haast verdronk … » (« Alors que Mudfinger se noyait presque … »).
On trouve, dans cette phrase subordonnée (introduite par « toen »), la forme verbale « VERDRONK », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « VERDRINKEN », lui-même construit sur « DRINKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « I », donne une voyelle « O » pour les temps du passé. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Comme c’est le cas dans toutes les phrases subordonnées, cette forme verbale « verdronk » n’est plus à côté de son sujet (« Mudfinger »).

Nom : VLUCHTTE OVT VLUCHTEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/06/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Toen Mudfinger vóór de gendarmen vluchtte … » (« Alors que Mudfinger fuyait devant les gendarmes … »).
On trouve, dans cette phrase subordonnée (introduite par « toen »), le verbe « VLUCHTEN », qui est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), mais fait partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik vlucht ») se terminant par la consonne « T », on trouvera le « TE » minoritaire comme terminaison du prétérit :
« VLUCHT » + « TE » = « VLUCHTTE ».
Comme c’est le cas dans toutes les phrases subordonnées, cette forme verbale « vluchtte » n’est plus à côté de son sujet (« Mudfinger »).

Nom : GEBEURD VTT GEBEUREN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/06/2020

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik zal je (jullie) zeggen wat er (dan) (is) gebeurd is » (« Je vais vous dire ce qui s’est passé »).
On trouve, dans la phrase subordonnée (introduite par « wat »), la forme verbale « gebeurd », participe passé provenant de l’infinitif « GEBEUREN ». Ce verbe « GEBEUREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (si une première personne du présent avait existé, « gebeur ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés mais pas de préfixe « GE » puisque la forme verbale commence déjà par « GE » (comme pour les verbes commençant par les préfixes BE- ER-, HER-, ONT- et VER- ) :
(pas de préfixe « GE ») + « GEBEUR » + « D » = « GEBEURD ».
Quand « GEBEUREN » est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « gebeurd » derrière le complément éventuel (« dan ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZAL OTT ZULLEN REJET ZEGGEN 2 ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/06/2020

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressant : « Ik zal je (jullie) zeggen wat er gebeurd is » (« Je vais vous dire ce qui s’est passé »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a, dans la phrase principale, REJET de l’autre forme verbale (« zeggen ») à la fin de la phrase, derrière le complément (« je »), et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KAN KUNNEN REJET ZIJN 2 ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/06/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Kan dat van Mudfinger zijn ? » (« Cela peut-il être de Mudfinger ? »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« zijn »), derrière le complément (« van Mudfinger »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir « MAG », singulier de l’infinitif « MOGEN», l’auxiliaire de mode de la « POSSIBILITE » :
« Mag dat van Mudfinger zijn ? »

Nom : VERGETEN VTT VERGETEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/06/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik ben vergeten wat » (« J’ai oublié quoi »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER- HER- GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve ici notamment la forme verbale « VERGETEN », participe passé provenant, du même infinitif « VERGETEN », qui fait l’objet des «temps primitifs » des verbes dits « forts ». Signalons dès lors que, si « VERGETEN» est ici au V.T.T. (ou passé composé), il aurait été écrit de la même façon au pluriel de l’O.T.T. (ou indicatif présent), qui équivaut, rappelons-le, à l’INFINITIF. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : KAN KUNNEN REJET DOEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/06/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Kan (Kun) je nu echt niets doen ? » (« Ne peux-tu vraiment rien faire maintenant ? »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« doen »), derrière les compléments (« nu », « echt » et «niets»,), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir « MAG », singulier de l’infinitif « MOGEN», l’auxiliaire de mode de la « POSSIBILITE » :
« Mag je nu echt niets doen ? »

Nom : MOET REJET UITSCHAKELEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/06/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik moet hem meteen uitschakelen » (« Je dois le mettre en échec => hors d’état de nuire tout de suite »).
L’auxiliaire de mode de l’« OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (ici « uitschakelen »), derrière les compléments (« hem » et « meteen »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KAN KUNNEN REJET SLAAN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/06/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik kan jullie zonder getuigen rustig tot moes slaan » (« Je peux tranquillement vous frapper en compote => réduire en bouillie sans témoins »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« doen »), derrière les compléments (« jullie », « zonder getuigen », « rustig » et « tot moes »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir « MAG », singulier de l’infinitif « MOGEN», l’auxiliaire de mode de la « POSSIBILITE » :
« Ik mag jullie zonder getuigen rustig tot moes slaan »

Nom : ZIET ERUIT OTT ERUIT ZIEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/06/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Die kerel ziet er potig uit » (« Ce type a l’air costaud »).
A première vue, on pourrait croire que l’on a affaire au verbe « uitzien », avec « uit », réagissant comme une « particule séparable », qui ferait l’objet d’un REJET derrière les complément (« potig »), à la fin de la phrase.
On a en fait ici l’expression « eruit zien ». On aurait pu avoir aussi la variante suivante de la phrase :
« Die kerel ziet potig eruit ».

Nom : ONTMOETTE OVT ONTMOETEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/06/2020

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ben jij soms de garnaalvisser die Mathilde op het strand van Knocke ontmoette ? » (« Es-tu par hasard le pêcheur de crevettes que Mathilde rencontrait sur la plage de Knokke ? »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée relative (introduite par « DIE »), la forme verbale « ontmoette », provenant de l’infinitif « ONTMOETEN », qui est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), mais fait partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik ontmoet ») se terminant déjà par la consonne « T », on trouvera le « TE » minoritaire comme terminaison du prétérit :
« ONTMOET » + « TE » = « ONTMOETTE ».
Comme c’est le cas dans toutes les phrases subordonnées, cette forme verbale « ontmoette » n’est plus à côté de son sujet (« Mathilde »).

Nom : ZOU REJET WILLEN WETEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 31/05/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Verder zou ik nog willen weten … » (« Je voudrais plus loin => par ailleurs savoir … »).
L’auxiliaire du CONDITIONNEL est l’infinitif « ZOUDEN » ; il est, en quelque sorte, l’« imparfait » (O.V.T. ou prétérit) de l’auxiliaire du FUTUR, « ZULLEN ».
Au CONDITIONNEL, il y a REJET de l’autre forme verbale (ou des autres formes verbales), ici « willen » et « weten », à la fin de la phrase, derrière le(s) complément(s) (ici « nog »), et donc à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Verder »), cela entraîne une INVERSION du sujet « ik » qui passe derrière son verbe « zou ».

Nom : AANGEKNIPT VTT AANKNIPPEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 30/05/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het licht wordt (in het huis) AANgeknipt » (« La lumière est actionnée »).
On y trouve notamment la forme verbale « AANGEKNIPT », participe passé provenant de l’infinitif « AANKNIPPEN », lui-même construit sur l’infinitif « KNIPPEN » qui, est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), mais fait partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik knip ») se terminant par la consonne « K », on trouvera le « T » minoritaire comme terminaison du participe passé : « GE » + « KNIP » + « T » = « GEKNIPT ».
Quand « AANKNIPPEN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGEknipt ».
Le participe passé « AANgeknipt » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« in het huis »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : MAG OTT MOGEN REJET ONTSNAPPEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 29/05/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het (= het spook) mag ons niet ontsnappen » (« Il ne peut pas nous échapper »).
L’auxiliaire de mode de la POSSIBILITE » est l’infinitif « MOGEN », donnant un singulier « MAG ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« ontsnappen »), derrière le complément (« ons »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VERDWENEN VTT VERDWIJNEN 2 ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/05/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Daarin is ons listig spook verdwenen » (« C’est là-dedans que notre rusé fantôme a disparu »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER- GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve donc ici notamment la forme verbale « VERDWENEN », participe passé provenant de l’infinitif « VERDWIJNEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers et, parmi eux, d’une catégorie importante de verbes irréguliers, celle des « IJ » donnant des « E » aux temps du passé (O.V.T. et V.T.T.). Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre notamment ces trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
La phrase commençant par un complément (« Daarin »), cela engendre une INVERSION : le sujet « ons listig spook » passe derrière le verbe « is ». S’il n’y avait pas eu d’INVERSION, le participe passé « VERDWENEN » aurait plus visiblement fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« Daarin »), à la fin de la phrase :
« ons listig spook is daarin verdwenen ».
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : SLUIPEN NA OTT NASLUIPEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/05/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze (Robert en Bertrand) sluipen het spook na » (« Ils se faufilent derrière le fantôme »).
On y trouve la forme verbale « sluipen … na », qui provient de l’infinitif « NASLUIPEN », verbe dit à « particule séparable », lui-même construit sur « SLUIPEN ».
Lorsque « NASLUIPEN » est conjugué, cela entraîne le REJET de la « particule séparable » « NA », derrière le complément (« het spook »), à la fin de la phrase. Voir le phénomène du REJET, entre autres à :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEZIEN VTT ZIEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/05/2020

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze denken dat ik hen niet (heb) gezien heb » (« Ils croient que je ne les ai pas vus »).
On y trouve notamment, dans une phrase subordonnée relative (introduite par « DAT »), la forme verbale « geZIEN », participe passé provenant de l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’INFINITIF.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « hen »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : TREKKEN AAN OTT AANTREKKEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/05/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze (Robert en Bertrand) trekken hun oude plunje aan » (« Ils mettent / enfilent leurs vieilles fringues »).
On y trouve la forme verbale « trekken … aan », qui provient de l’infinitif « AANTREKKEN », verbe dit à « particule séparable », lui-même construit sur « TREKKEN ».
Lorsque « AANTREKKEN » est conjugué, cela entraîne le REJET de la « particule séparable » « AAN », derrière le complément (« hun oude plunje »), à la fin de la phrase. Voir le phénomène du REJET, entre autres à :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZOU REJET OVERNEMEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/05/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressant : « Zou jij onze wacht willen overnemen ? » (« Voudrais-tu prendre la relève de notre garde ? »).
L’auxiliaire du CONDITIONNEL est l’infinitif « ZOUDEN » ; il est, en quelque sorte, l’« imparfait » (O.V.T. ou prétérit) de l’auxiliaire du FUTUR, « ZULLEN ».
Au CONDITIONNEL, il y a REJET des autres formes verbales, ici « willen » et « overnemen », à la fin de la phrase, derrière le complément (« onze wacht »), et donc à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VERDRONKEN VTT VERDRINKEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/05/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Die is (een week geleden tijdens een storm) verdronken » (« Celui-ci (s’) est noyé il y a une semaine pendant une tempête »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER- GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve donc ici notamment la forme verbale « VERDRONKEN », participe passé (utilisé ici comme adjectif attribut) provenant de l’infinitif « VERDRINKEN », lui-même construit sur « DRINKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers et, parmi eux, d’une catégorie importante de verbes irréguliers, celle des « I » donnant des « O » aux temps du passé (O.V.T. et V.T.T.).
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « VERDRONKEN » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments éventuels (« een week geleden » et « tijdens een storm »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : WAS OVT ZIJN 4 ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/05/2020

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : «De enige, die te vrezen was, is Mudfinger » (« Le seul, qui était à craindre, est Mudfinger »).
On y trouve, dans la phrase subordonnée relative (introduite par « DIE »), la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIJN », qui constitue vraisemblablement le verbe le plus irrégulier de la langue néerlandaise.
C’est logique : plus on utilise un mot, plus la prononciation le déforme au fil du temps …
Le verbe « ZIJN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : GEVONDEN VTT VINDEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/05/2020

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Zeg maar dat je hem (= de portefeuille) (hebt) gevonden hebt » (« Dis seulement que tu l’as trouvé »).
Y figure, dans la phrase subordonnée (introduite par « DAT »), la forme verbale « GEVONDEN », participe passé provenant de l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en «I», donne une voyelle « O » pour les temps du passé. Ce participe passé « GEVONDEN » est construit sur le PLURIEL du prétérit ou O.V.T. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GEVONDEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« hem »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : BRENG TERUG IMPERATIF TERUGBRENGEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/05/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Breng de kolonel zijn portefeuille terug » (« Reporte au colonel son portefeuille »).
On y trouve la forme verbale « breng … TERUG », provenant de l’infinitif « TERUGbrengen », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « BRENGEN ».
Quand « TERUGbrengen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERUG » (notion de retour) de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET derrière les compléments (« de kolonel » et « zijn portefeuille »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET, lisez :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KUNNEN REJET ZIJN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/05/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We kunnen gerust zijn » (« Nous pouvons être tranquilles »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« zijn »), derrière le complément (« gerust »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait plutôt dû avoir « MOGEN », l’auxiliaire de mode de la « POSSIBILITE » : « We mogen gerust zijn ».

Nom : LAAT REJET KIJKEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/05/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Laat zijn portefeuille kijken » (« Laisse voir son portefeuille / Fais voir son portefeuille »).
On y trouve notamment la forme verbale « LAAT » qui, à l’IMPERATIF joue le rôle d’un auxiliaire « de mode » et exige le REJET du verbe « KIJKEN », derrière le complément éventuel (« zijn portefeuille »), à la fin de cette phrase. Voir phénomène du REJET, entre autres à l’impératif, via notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZAL OTT ZULLEN REJET WETEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/05/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressant : « Ik zal vlug weten » (« Je vais vite savoir »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (« weten ») à la fin de la phrase, derrière le complément (« vlug »), et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : DEELT UIT OTT UITDELEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/05/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De kolonel deelt mild fooien uit » (« Le colonel distribue de généreux pourboires »).
Si, on n’avait pas eu affaire (sur l’illustration) à une phrase subordonnée relative (introduite par « DIE »), on aurait trouvé la forme verbale « deelt … UIT », provenant de l’infinitif « UITdelen », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « DELEN ».
Quand « UITdelen » est conjugué, cela entraîne normalement en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de sa forme verbale proprement dite et cette particule séparable « UIT », composante du verbe, fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« mild fooien»), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Sur l’illustration, la double phrase (« De kolonel is een deftige gast die mild fooien uitdeelt ») appelle deux remarques : 1°) la particule « UIT » reste accrochée devant la forme verbale comme à l’infinitif ; 2°) cette forme verbale n’est plus à côté de son sujet (comme c’est le cas dans toutes les phrases subordonnées).

Nom : BETROKKEN VTT BETREKKEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/05/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « En verder heeft een Zwitserse kolonel de kamer naast die van de lady betrokken » (« Et, plus loin => bien plus, un colonel suisse a occupé la chambre à côté de celle de la lady »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais. On trouve donc la forme verbale « BEtrokken », participe passé provenant de l’infinitif « BEtrekken », lui-même construit sur l’infinitif « TREKKEN » qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « BEtrokken » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« de kamer naast die van de lady »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« verder »), cela engendre une INVERSION : le sujet « een Zwitserse kolonel » passe derrière le verbe « heeft ». On aurait pu avoir la variante suivante : « een Zwitserse kolonel heeft de kamer naast die van de lady betrokken ».

Nom : BESCHERMD VTT BESCHERMEN 3 ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/05/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het spook wordt door de stropers beschermd » (« Le fantôme est protégé par les maraudeurs »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve la forme verbale « beschermd », participe passé provenant de l’infinitif « BESCHERMEN », considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik bescherm ») se terminant par la consonne « M », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés :
(PAS de préfixe « GE ») + « BESCHERM » + « D » = « BESCHERMD ».
Quand « BESCHERMEN » est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « beschermd » derrière le complément (« door de stropers ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : LOOP VOORUIT IMPERATIF VOORUITLOPEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/05/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Loop de dingen niet vooruit ! » (« Ne précipite pas les choses ! »).
On y trouve la forme verbale « loop … VOORUIT » à l’impératif, provenant de l’infinitif « VOORUITlopen », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « LOPEN ».
Quand « VOORUITlopen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « VOORUIT » de sa forme verbale proprement dite et cette particule séparable « VOORUIT », composante du verbe, fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« de dingen»), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KREEG OVT KRIJGEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/05/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik kreeg een fooi » (« Je reçus un pourboire »).
On y trouve la forme verbale « KREEG », prétérit (ou O.V.T.) provenant de l’infinitif « KRIJGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « IJ », donne une voyelle « E » (double, au singulier). Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : RENDE OVT RENNEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/05/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Daarna rende ze naar de garnaalvisser » (« Ensuite elle courut vers le pêcheur de crevettes »).
On y trouve notamment, la forme verbale « rende », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « RENNEN ». Ce verbe « RENNEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik ren ») se terminant par la consonne « N », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit : « REN » + « DE » = « RENDE ».
La phrase commençant par un complément (« Daarna »), cela engendre une INVERSION : le sujet « ze » passe derrière le verbe « rende ». On aurait pu avoir la variante suivante : « ze rende daarna naar de garnaalvisser ».

Nom : ZAGEN OVT ZIEN STOPTE OVT STOPPEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/05/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik zag hoe een gast iets in haar hand stopte » (« J’ai vu comment un client lui a glissé / mis quelque chose dans la main »).
On y trouve notamment la forme verbale « ZAG », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
ATTENTION : Beaucoup d’apprenants croient que la forme verbale « ZAG », provient de l’infinitif « ZEGGEN », également irrégulier à l’O.V.T. …
On y trouve également, dans la phrase subordonnée (introduite par « HOE »), la forme verbale « stopte », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « STOPPEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.

Nom : MOETEN REJET ZIJN 2 ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/05/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We moeten voorzichtig zijn » (« Nous devons être prudents »).
L’auxiliaire de mode de l’OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« zijn »), derrière le complément (« voorzichtig »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VALT LASTIG OTT LASTIGVALLEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/05/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Met welk recht val jij Mathilde lastig ? » (« De quel droit importunes-tu Mathilde ? »).
On y trouve la forme verbale « val … LASTIG », provenant de l’expression « LASTIGvallen ».
Quand l’expression « LASTIGvallen » est conjuguée, il y a REJET de « LASTIG » (réagissant comme une « particule séparable ») derrière le complément (« Mathilde ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Met welk recht »), cela entraîne une INVERSION du sujet « jij » qui passe derrière son verbe « val ».
Notez que c’est, exceptionnellement, dans une phrase interrogative, que la forme verbale conjuguée du verbe « vallen », à la deuxième personne du singulier de l’indicatif présent (ou O.T.T.), NE se termine PAS par « T ». Normalement, c’est « je valT ».

Nom : HOEPEL OP IMPERATIF OPHOEPELEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/05/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hoepel (van hier) op ! » (« Fiche le camp ! »).
On y trouve la forme verbale « hoepel … OP », impératif présent provenant du verbe « OPhoepelen », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « HOEPELEN ».
Quand « OPhoepelen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit et il y a REJET de cette particule séparable « OP » derrière le complément éventuel (« van hier »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes comme une « particule séparable »), lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MOFFELT WEG OTT WEGMOFFELEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/05/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je moffelt briefjes weg » (« Tu dissimules des petits mots »).
On y trouve la forme verbale « moffelt … WEG », provenant du verbe « WEGmoffelen», dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « MOFFELEN ».
Lorsque « WEGMOFFELEN » est conjugué, cela entraîne le REJET de la « particule séparable » « WEG », derrière le complément (« briefjes »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GAAT AAN OTT AANGAAN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/05/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat gaat jou geen zier aan =» (« Cela ne te regarde pas du tout »).
On y trouve la forme verbale « gaat … AAN », provenant du verbe « AANgaan», dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « GAAN ».
Lorsque « AANGAAN » est conjugué, cela entraîne le REJET de la « particule séparable » « AAN », derrière les compléments (« jou » et « geen zier »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : BEKOKSTOOFD VTT BEKOKSTOVEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/05/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wat heb je met die visser bekokstoofd ? » (« Qu’as-tu manigancé avec ce pêcheur ? »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve la forme verbale « bekokstoofd », participe passé provenant de l’infinitif « BEKOKSTOVEN », considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik bekokstoof ») se terminant par la consonne « F », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés :
(PAS de préfixe « GE ») + « BEKOKSTOOF » + « D » = « BEKOKSTOOFD ».
Quand « BEKOKSTOVEN » est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « bekokstoofd » derrière le complément (« met die visser ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MOET REJET WETEN 2 ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/05/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Daar moet ik meer van weten = ik moet meer daarvan weten =» (« Je dois en savoir plus »).
L’auxiliaire de mode de l’OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« weten »), derrière le complément («meer»), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Daar », partie de l’adverbe pronominal « daarvan »), cela entraîne une INVERSION du sujet « ik » qui passe derrière son verbe « moet ».

Nom : RENT TERUG OTT TERUGRENNEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/05/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij rent dan naar het hotel terug » (« Elle retourne alors rapidement à l’hôtel »).
On y trouve la forme verbale « rent … TERUG », provenant de l’infinitif « TERUGrennen », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « RENNEN ».
Quand « TERUGrennen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERUG » de son infinitif proprement dit, la particule faisant normalement l’objet d’un REJET derrière les compléments (« dan » et « naar het hotel »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZOU REJET CONCENTREREN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/05/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressant : « Ik zou me ook al op de mooie baadsters concentreren » («Je ferais mieux de me concentrer sur les jolies baigneuses »).
L’auxiliaire du CONDITIONNEL est l’infinitif « ZOUDEN » ; il est, en quelque sorte, l’« imparfait » (O.V.T. ou prétérit) de l’auxiliaire du FUTUR, « ZULLEN ».
Au CONDITIONNEL, il y a REJET de l’autre forme verbale, ici « concentreren », à la fin de la phrase, derrière les compléments (« ook », « al » et « op de mooie baadsters »), et donc à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : WAS OVT ZIJN 3 ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 30/04/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het was een fooi natuurlijk ! » (« C’était un pourboire, bien sûr ! »).
On y trouve la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIJN », qui constitue vraisemblablement le verbe le plus irrégulier de la langue néerlandaise.
C’est logique : plus on utilise un mot, plus la prononciation le déforme au fil du temps …
Le verbe « ZIJN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : ZOU REJET ZIJN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 29/04/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressant : « Zou het een briefje zijn ? » (« Serait-ce un billet ? »).
L’auxiliaire du CONDITIONNEL est l’infinitif « ZOUDEN » ; il est, en quelque sorte, l’« imparfait » (O.V.T. ou prétérit) de l’auxiliaire du FUTUR, « ZULLEN ».
Au CONDITIONNEL, il y a REJET de l’autre forme verbale, ici « zijn », à la fin de la phrase, derrière le complément (ici « een briefje »), et donc à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MOET REJET WETEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/04/2020

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik moet (nu) weten wie die kolonel is » (« Je dois savoir qui est ce colonel »).
L’auxiliaire de mode de l’OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière le complément éventuel (« nu »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEWERKT VTT WERKEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/04/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb nog voor de geheime diensten gewerkt » (« J’ai encore travaillé pour les services secrets »).
On y trouve la forme verbale « gewerkt », participe passé provenant de l’infinitif « WERKEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T. : « ik werk ») se terminant par la consonne « K », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Il y a REJET du participe passé « gewerkt », derrière les compléments (« nog » et « voor de geheime diensten ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : WEES IMPERATIF ZIJN GERUST VTT RUSTEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/04/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Wees gerust ! » (« Sois tranquille / Soyez tranquilles ! »).
On y trouve la forme verbale « WEES », impératif provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » pour donner le participe passé « GEWEEST ».
Pour complément d’informations, consultez notamment notre tableau de synthèse « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre notamment trois autres grandes catégories de verbes irréguliers au passé : https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
On y trouve aussi la forme verbale « gerust », participe passé provenant de l’infinitif « RUSTEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T.) se terminant déjà par la consonne « T », a fortiori on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.

Nom : MAKEN KENNIS OTT REJET KENNISMAKEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/04/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« De volgende dag maken ze (Robert en Bertrand) met James kennis » (« Le lendemain, ils font la connaissance de James »).
On y trouve la forme verbale « MAKEN … KENNIS », provenant de l’expression « KENNISMAKEN »
Quand l’expression « KENNISMAKEN » est conjuguée, il y a normalement REJET de « KENNIS » (réagissant comme une « particule séparable ») derrière le complément (« met James ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« De volgende dag »), cela entraîne une INVERSION du sujet « ze » qui passe derrière son verbe « maken ».

Nom : BESCHERMD VTT BESCHERMEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/04/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het spook wordt goed beschermd » (« Le fantôme est bien protégé »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve la forme verbale « beschermd », participe passé provenant de l’infinitif « BESCHERMEN », considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik bescherm ») se terminant par la consonne « M », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés :
(PAS de préfixe « GE ») + « BESCHERM » + « D » = « BESCHERMD ».
Quand « BESCHERMEN » est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « beschermd » derrière le complément (« goed ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : GENOMEN VTT NEMEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/04/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (= James) wordt nogmaals onder vuur genomen » (« Il est encore une fois pris sous le feu => On lui tire une nouvelle fois dessus »).
On y trouve la forme verbale « GENOMEN », participe passé provenant de l’infinitif « NEMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GENOMEN » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« nogmaals » et « onder vuur »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : GEWAPEND VTT WAPENEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/04/2020

Description : La (double) phrase suivante est grammaticalement intéressante : « (Het is) spijtig dat ik (nu) niet (ben) gewapend ben » (« C’est dommage que je ne sois pas armé »).
On y trouve, dans la phrase subordonnée (introduite par « DAT ») la forme verbale « gewapend », participe passé provenant de l’infinitif « WAPENEN ». Ce verbe « WAPENEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik wapen») se terminant par la consonne « N », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés :
préfixe « GE » + « WAPEN » + « D » = « GEWAPEND ».
Le participe passé « GEWAPEND » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« nu »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEMIST VTT MISSEN 2 ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/04/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb hem gemist » (« Je l’ai raté »).
On y trouve la forme verbale « gemist », participe passé provenant de l’infinitif « MISSEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T. : « ik mis ») se terminant par la consonne « S », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire :
préfixe « GE » + « MIS » + « T » = « GEMIST ».
Il y a REJET du participe passé « gemist » derrière le complément (« hem ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KAN KUNNEN REJET ONTKOMEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/04/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « In de vlakte van het Zwin kan het (= het spook) mij niet ontkomen » (« Dans la plaine du Zwin, il ne peut pas m’échapper »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« ontkomen »), derrière le complément (« mij »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un (autre) complément (« In de vlakte van het Zwin »), cela entraîne une INVERSION du sujet « het » qui passe derrière son verbe « kan ».
Notez que l’on aurait dû avoir « MAG », singulier de l’infinitif « MOGEN», l’auxiliaire de mode de la « POSSIBILITE » :
« In de vlakte van het Zwin mag het (= het spook) mij niet ontkomen ».

Nom : ZOU REJET WILLEN ONTMOETEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/04/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik zou beslist het spook willen ontmoeten » (« Je voudrais précisément rencontrer le fantôme »).
L’auxiliaire du CONDITIONNEL est l’infinitif « ZOUDEN » ; il est, en quelque sorte, l’« imparfait » (O.V.T. ou prétérit) de l’auxiliaire du FUTUR, « ZULLEN ».
Au CONDITIONNEL, il y a REJET de l’autre forme verbale (ou des autres formes verbales), ici « willen » et « ontmoeten », à la fin de la phrase, derrière le(s) complément(s) (ici « beslist » et « het spook »), et donc à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MOET REJET ZIJN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/04/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dit moet het graf (…) zijn » (« Ce doit être la tombe »).
L’auxiliaire de mode de l’OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière le complément (« het graf »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZOUDEN REJET KUNNEN PLEGEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/04/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zouden wij met James overleg kunnen plegen ? » (« Pourrions-nous nous concerter avec James ? »).
L’auxiliaire du CONDITIONNEL est l’infinitif « ZOUDEN » ; il est, en quelque sorte, l’« imparfait » (O.V.T. ou prétérit) de l’auxiliaire du FUTUR, « ZULLEN ».
Au CONDITIONNEL, il y a REJET de l’autre forme verbale (ou des autres formes verbales), ici « kunnen » et « plegen », à la fin de la phrase, derrière le(s) complément(s) (ici « met James » et « overleg »), et donc à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir plutôt l’infinitif « MOGEN», l’auxiliaire de mode de la « POSSIBILITE » :
« Zouden wij met James overleg mogen plegen ? »

Nom : GAF OVT GEVEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/04/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik gaf hem deze avond vrijaf » (« Je lui donnai / ai donné ce soir quartier libre => congé »).
On y trouve la forme verbale « GAF », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « GEVEN ». Le verbe « GEVEN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : HOORDE OVT HOREN 3 ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/04/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik hoorde onwillekeurig uw gesprek » (« J’entendis = j’ai entendu sans le vouloir votre conversation »).
Ce verbe « HOREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik hoor ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit : « HOOR » + « DE » = « HOORDE ».

Nom : BRACHT OVT BRENGEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/04/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik bracht handdoeken » (« J’apportais des essuie-mains »).
On y trouve notamment la forme verbale « BRACHT », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : LUISTERDE AF OVT AFLUISTEREN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/04/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je luisterde ons af » (« Tu nous écoutais »).
On y trouve la forme verbale « luisterde … AF », à l’O.V.T. (ou prétérit) qui provient de l’infinitif « AFluisteren », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « LUISTEREN ».
Ce verbe « LUISTEREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik luister ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit : « LUISTER » + « DE » = « LUISTERDE ».
Quand « AFluisteren » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de sa forme verbale proprement dite et cette particule séparable « AF », composante du verbe, fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« ons »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe ou d’une de ses composantes, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : HOORDE OVT HOREN 2 ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/04/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik hoorde iets aan de deur » (« J’entendis = j’ai entendu quelque chose à la porte »).
Ce verbe « HOREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik hoor ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit : « HOOR » + « DE » = « HOORDE ».

Nom : LUISTERT AF OTT AFLUISTEREN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/04/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De kamermeid luistert gespannen het gesprek af » (« La femme de chambre écoute, tendue, la conversation »).
On y trouve la forme verbale « luistert … AF », qui provient de l’infinitif « AFluisteren », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « LUISTEREN ».
Quand « AFluisteren » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de sa forme verbale proprement dite et cette particule séparable « AF », composante du verbe, fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« gespannen » et « het gesprek »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe ou d’une de ses composantes, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
On y trouve aussi la forme verbale « gespannen », participe passé provenant de l’infinitif « SPANNEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : MOET REJET BLIJVEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/04/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Een van jullie moet permanent in deze kamer blijven »
(« Un de vous doit rester en permanence dans cette pièce »).
L’auxiliaire de mode de l’« OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« blijven »), derrière les compléments (« permanent » et « in deze kamer »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KAN KUNNEN REJET ZIJN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/04/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij kan niet overal zijn » (« Il ne peut pas être partout »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« zijn »), derrière le complément (« overal »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir « MAG », singulier de l’infinitif « MOGEN», l’auxiliaire de mode de la « POSSIBILITE » :
« Hij mag niet overal zijn ».K

Nom : ENGAGEERDE OVT ENGAGEREN WORF AAN OVT AANWERVEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/04/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Daarom engageerde ik hem (James) » (« C’est pourquoi je l’engageai »).
Ce verbe « ENGAGEREN » (utilisé par la lady, ne connaissant pas bien la langue néerlandaise) sera considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik engageer ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit :
« ENGAGEER » + « DE » = « ENGAGEERDE ».
La phrase commençant par un complément (« Daarom »), cela entraîne une INVERSION du sujet « ik » qui passe derrière son verbe « engageerde ».
Notez que si on veut montrer que l’on connaît mieux la langue néerlandaise, on devrait plutôt utiliser « AANwerven », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « WERVEN » et qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Cela donnerait alors : « Daarom worf ik hem aan » … plus compliqué.

Nom : KOCHT OVT KOPEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/04/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dit halssnoer kocht ik in Amsterdam » (« Ce collier, je l’achetai à Amsterdam / J’achetai ce collier à Amsterdam »).
On y trouve notamment la forme verbale « KOCHT », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « KOPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
La phrase commençant par un complément (« Dit halssnoer »), cela entraîne une INVERSION du sujet « ik » qui passe derrière son verbe « kocht ».

Nom : MEENEMEN MEE TE NEMEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/04/2020

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik kan (werkelijk) niet nalaten ze op reis mee te nemen » (« Je ne peux vraiment pas m’empêcher de les prendre avec / de les emporter en voyage »).
On y trouve, dans la subordonnée « infinitive », la forme verbale « MEE … nemen », provenant de l’infinitif « MEENEMEN », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur « NEMEN ».
Lorsque « MEENEMEN » est conjugué, la particule « MEE » (venant de la préposition « MET ») se sépare de son infinitif proprement dit. Dans ce cas-ci, c’est l’équivalent du français «de» qui les sépare.

Nom : KAN KUNNEN REJET NALATEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/04/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik kan (werkelijk) niet nalaten ze op reis mee te nemen » (« Je ne peux vraiment pas m’empêcher de les prendre avec / emporter en voyage »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« ondernemen »), derrière les compléments (« voorlopig » et « niets »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZAL ZULLEN REJET TONEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/04/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressant : « Ik zal het jullie tonen » (« Je vais vous le montrer »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a, dans la phrase principale, REJET de l’autre forme verbale (« tonen ») à la fin de la phrase, derrière les compléments (« het » et « jullie »), et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : BESCHERMD VTT BESCHERMEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/04/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Waarom moet u zo speciaal (worden) beschermd worden ? » (« Pourquoi devez-vous si spécialement être protégée ? »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve la forme verbale « beschermd », participe passé provenant de l’infinitif « BESCHERMEN », considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik bescherm ») se terminant par la consonne « M », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés :
(PAS de préfixe « GE ») + « BESCHERM » + « D » = « BESCHERMD ».
Quand « BESCHERMEN » est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « beschermd » derrière le complément (« zo speciaal ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : AANBEVOLEN VTT AANBEVELEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/04/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een vriendin heeft mij James aanbevolen … » (« Une amie m’a recommandé James »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve la forme verbale « AANbevolen », participe passé provenant de l’infinitif « AANbevelen », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « BEVELEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé : https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « AANbevelen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne normalement en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux (par exemple « AANgeworven ») mais donc pas ici => « aanbevolen ».
Il y a REJET de la forme verbale « AANbevolen » derrière les compléments («mij » et « James ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : TREKT AAN OTT AANTREKKEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/04/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Knocke trekt rijke bezoekers aan » (« Knokke attire de riches visiteurs »).
On y trouve la forme verbale « trekt … aan », qui provient de l’infinitif « AANTREKKEN », verbe dit à « particule séparable », lui-même construit sur « TREKKEN ».
Lorsque « AANTREKKEN » est conjugué, cela entraîne le REJET de la « particule séparable » « AAN », derrière le complément (« rijke bezoekers »), à la fin de la phrase. Voir le phénomène du REJET, entre autres à :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : BEKEND VTT BEKENNEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 31/03/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het is internationaal bekend » (« Il est internationalement connu »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On y trouve la forme verbale « bekend », participe passé provenant de l’infinitif « BEKENNEN », considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik beken ») se terminant par la consonne « N », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés :
(PAS de préfixe « GE ») + « BEKEN » + « D » = « BEKEND ».
Quand « BEKENNEN » est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « bekend » derrière le complément (« internationaal ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : WIL REJET DOEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 30/03/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wil je nog iets voor mij doen ? » (« Veux-tu encore faire quelque chose pour moi ? »).
L’auxiliaire de mode de la VOLONTE » est l’infinitif « WILLEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « MOGEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (ici, « doen ») derrière les compléments (« nog » « iets » et « voor mij »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZOUDEN REJET KUNNEN BEGINNEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 29/03/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Nu zouden de moeilijkheden wel eens kunnen beginnen » (« A présent les difficultés pourraient bien une fois commencer »).
La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We
L’auxiliaire du CONDITIONNEL est l’infinitif « ZOUDEN » ; il est, en quelque sorte, l’« imparfait » (O.V.T. ou prétérit) de l’auxiliaire du FUTUR, « ZULLEN ».
Au CONDITIONNEL, il y a REJET de l’autre forme verbale (ou des autres formes verbales), ici « kunnen » et « beginnen », à la fin de la phrase, derrière le(s) complément(s) (ici « wel » et « eens »), et donc à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbesLa La phrase commençant par un (autre) complément (« Nu »), cela entraîne une INVERSION du sujet « de moeilijkheden » qui passe derrière son verbe « zouden ».

Nom : GEBONDEN VTT BINDEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/03/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik ben hier gebonden » (« Je suis lié ici »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEBONDEN », participe passé provenant de l’infinitif « BINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « I », donne une voyelle « O » pour les temps du passé.
Ce participe passé « GEBONDEN » est construit sur le PLURIEL du prétérit (ou O.V.T.) Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Il y a REJET du participe passé « GEBONDEN » derrière le complément éventuel (« hier ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KUNNEN REJET VINDEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/03/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wij kunnen het toch best met elkaar vinden » (« Nous pouvons tout de même mieux le trouver l’un avec l’autre => trouver du bon temps à deux »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« vinden»), derrière les compléments (« het », « toch », « best » et « met elkaar »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs:
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir « MOGEN», l’auxiliaire de mode de la «POSSIBILITE » :
« Wij mogen het toch best met elkaar vinden ».

Nom : KAN KUNNEN REJET WEGZENDEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/03/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Kan je ze echt niet wegzenden ? » (« Ne peux-tu vraiment pas les renvoyer ? »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« wegzenden »), derrière les compléments (« ze » et « echt »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir « MAG », singulier de l’infinitif « MOGEN», l’auxiliaire de mode de la « POSSIBILITE » :
« Mag je ze echt niet wegzenden ? »

Nom : KAN KUNNEN REJET ONDERNEMEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/03/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik kan voorlopig niets ondernemen » (« Je ne peux provisoirement rien entreprendre »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« ondernemen »), derrière les compléments (« voorlopig » et « niets »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir « MAG », singulier de l’infinitif « MOGEN», l’auxiliaire de mode de la « POSSIBILITE » :
« Ik mag voorlopig niets ondernemen ».

Nom : VERDACHT VTT VERDENKEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/03/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « En vind jij die kerels niet verdacht ? » (« Et ne trouves-tu pas ces types suspects ? »).
On y trouve la forme verbale « verdacht », participe passé (construit sur le prétérit « dacht » et utilisé ici comme attribut) provenant du verbe «VERDENKEN», lui-même construit sur l’infinitif « DENKEN », qui fait également l’objet des « temps primitifs ».
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : AANGEWORVEN VTT AANWERVEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/03/2020

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je weet dat ik speciaal ben aangeworven … » (« Tu sais que je suis spécialement embauché … »).
On y trouve, dans la phrase subordonnée (introduite par « DAT ») la forme verbale « AANgeworven », participe passé provenant de l’infinitif « AANwerven », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « WERVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « AANwerven » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGEworven ».
Il y a REJET de la forme verbale « AANgeworven » derrière le complément («speciaal ») à la fin de la phrase. On l’aurait mieux constaté dans la variante suivante : « ik ben speciaal aangeworven … » Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GAAN REJET DULDEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/03/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je gaat / zal toch niet dulden … » (« Tu ne vas tout de même pas tolérer … »).
Sous l’infuence de la langue française, l’auxiliaire du FUTUR « simple » néerlandais, « ZULLEN » (donnant un singulier « ZAL ») est ici remplacé par « GAAN ». Cela permet de rappeler que, afin d’être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple pour le francophone de le comparer au « futur proche » français et de remplacer précisément les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Ici, comme au FUTUR néerlandais, il y a REJET de l’autre forme verbale (« dulden ») à la fin de la phrase, derrière le complément (« toch »), et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZAL ZULLEN REJET ZEGGEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/03/2020

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressant : « Ik zal je (jullie) zeggen waarom ik jullie nodig heb » (« Je vais vous dire pourquoi j’ai besoin de vous »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a, dans la phrase principale, REJET de l’autre forme verbale (« zeggen ») à la fin de la phrase, derrière le complément (« je »), et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZIEN ERUIT OTT ERUIT ZIEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/03/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Jullie zien er schitterend uit » (« Vous avez l’air magnifiques »).
A première vue, on pourrait croire que l’on a affaire au verbe « uitzien », avec « uit », réagissant comme une « particule séparable », qui ferait l’objet d’un REJET derrière les complément (« schitterend »), à la fin de la phrase.
On a en fait ici l’expression « eruit zien ». On aurait pu avoir aussi la variante suivante de la phrase :
« Jullie zien schitterend eruit ».

Nom : VAN ZIN ZIJN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/03/2020

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Bent U werkelijk van zin die onbekenden in dienst te nemen ? » (« Avez-vous vraiment l’intention de prendre ces inconnus en service / à votre service ? »).
On y trouve, dans la phrase principale, la forme verbale « bent … van zin », provenant de l’expression à l’infinitif « van zin zijn ».
« van zin » réagit comme une « particule séparable » et fait l’objet d’un REJET derrière le complément (« werkelijk »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : NEMEN AAN OTT AANNEMEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/03/2020

Description :
La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Ze (Robert en Bertrand) nemen het voorstel aan »
(« Ils acceptent la proposition »).
On y trouve la forme verbale « nemen … aan », qui provient de l’infinitif « AANNEMEN », verbe dit à « particule séparable », lui-même construit sur « NEMEN ».
Lorsque « AANNEMEN » est conjugué, cela entraîne le REJET de la « particule séparable » « AAN », derrière le complément (« het voorstel »), à la fin de la phrase. Voir phénomène du REJET, entre autres à :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : NODIG HEBBEN REJET NODIG ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/03/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb bescherming nodig » (« J’ai besoin de protection »).
On y trouve la forme verbale « heb … nodig », provenant de l’expression à l’infinitif « nodig hebben ».
« nodig » réagit comme une « particule séparable » et fait l’objet d’un REJET derrière le complément (« bescherming»), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : WIL REJET TREDEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/03/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Als je (jullie) wil (willen) bij mij in dienst treden … » (« Si tu veux entrer en service chez moi => entrer à mon service … »).
L’auxiliaire de mode de la VOLONTE est l’infinitif «WILLEN». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « MOGEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (ici, « treden ») derrière les compléments (« bij mij » et « in dienst »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : WAS OVT ZIJN 2 ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/03/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het was een koud kunstje » (« C’était un petit art froid => un jeu d’enfant »).
On y trouve la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIJN », qui constitue vraisemblablement le verbe le plus irrégulier de la langue néerlandaise.
C’est logique : plus on utilise un mot, plus la prononciation le déforme au fil du temps …
Le verbe « ZIJN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Notez l’expression « een koud kunstje zijn » (« être un jeu d’enfant »).

Nom : WIL REJET BELONEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/03/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik wil jullie belonen » (« Je veux vous récompenser »).
L’auxiliaire de mode de la VOLONTE » est l’infinitif « WILLEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « MOGEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (ici, « belonen ») derrière le complément (« jullie »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GERED VTT REDDEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/03/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Jullie hebben mijn leven gered » (« Vous avez sauvé ma vie »).
On y trouve notamment la forme verbale « gered », participe passé provenant de l’infinitif « REDDEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (« ik red », première personne du présent ou O.T.T.) se terminant a fortiori déjà par la consonne « D », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire.
Le participe passé « gered » fait l’objet d’un REJET derrière le complément (« mijn leven ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GLIJDT UIT OTT UITGLIJDEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/03/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij / ze glijdt (van de golfbreker) uit » (« Elle glisse du brise-lames »).
On y trouve la forme verbale « glijdt … UIT », provenant de l’infinitif « UITglijden », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « GLIJDEN ».
Quand « UITglijden » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de sa forme verbale proprement dite et cette particule séparable « UIT », composante du verbe, fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« van de golfbreker »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Rappelons que cette particule séparable « UIT » est une ancienne préposition. On aurait donc pu avoir la variante suivante de la phrase : « Zij / ze glijdt uit de golfbreker ».

Nom : OMTE HOUDEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/03/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Om nieuwsgierigen op afstand te houden … » (« Pour maintenir les curieux à distance … »).
Rappelons que « POUR » devant les verbes est rendu en langue néerlandaise par un double mot : « OM … TE ». Les compléments (« nieuwsgierigen » et « op afstand ») s’intercalent entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « houden ».

Nom : MAAKTEN OVT MAKEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/03/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De gendarmen maakten een rapport / verslag » (« Les gendarmes firent un rapport »).
On y trouve notamment le verbe « MAKEN », qui est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), mais fait partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik maak ») se terminant par la consonne « K », on trouvera le « TE » minoritaire comme terminaison du prétérit : « MAAK » + « TE » + « N » (pluriel) = « MAAKTEN ».

Nom : VERHOORD VTT VERHOREN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/03/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De strandjutters werden (over het lijk) verhoord » (« Les pilleurs d’épaves furent auditionnés au sujet du cadavre »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER- GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On y trouve la forme verbale « verhoord », participe passé provenant de l’infinitif « VERHOREN », lui-même construit sur « HOREN ». Ce verbe est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik verhoor ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés :
préfixe « VER » (au lieu de « GE ») + « HOOR » + « D » = « VERHOORD ».
Quand « VERHOREN » est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « verhoord » derrière le complément éventuel (« over het lijk ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » (ici « WERDEN ») est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : BEGROEVEN OVT BEGRAVEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/03/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze (De strandjutters) begroeven hem in de duinen » (« Les pilleurs d’épaves l’enterrèrent dans les dunes »).
On y découvre la forme verbale « BEGROEVEN », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « BEGRAVEN », lui-même construit sur « GRAVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : AANGESPOELD VTT AANSPOELEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/03/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De volgende dag vonden strandjutters zijn aangespoeld lijk » (« Le lendemain, des pilleurs d’épaves trouvèrent / ont trouvé sa dépouille mortelle rejetée sur le rivage »).
On y trouve la forme verbale « aangespoeld », participe passé (utilisé comme adjectif) provenant de l’infinitif « AANSPOELEN », verbe dit à particule séparable, construit sur « SPOELEN ». Ce verbe « SPOELEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik spoel ») se terminant par la consonne « L », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés :
particule « AAN » + préfixe « GE » + « SPOEL » + « D » = « AANGESPOELD ».
Quand « AANSPOELEN » est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « aangespoeld » derrière le complément éventuel (« op het strand ») à la fin de la phrase, comme dans la variante suivante : « zijn lijk werd op het strand aangespoeld ». Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VONDEN OVT VINDEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/03/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De volgende dag vonden strandjutters zijn aangespoeld lijk » (« Le lendemain, des pilleurs d’épaves trouvèrent / ont trouvé sa dépouille mortelle rejetée sur le rivage »).
On y découvre la forme verbale « VONDen », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « I », donne une voyelle « O » pour les temps du passé. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
La phrase commençant par un complément (« De volgende dag »), cela entraîne une INVERSION du sujet « strandjutters » qui passe derrière son verbe « vonden ».

Nom : VERDRONK OVT VERDRINKEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/03/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij verdronk jammerlijk » (« Il se noya malheureusement »).
On y découvre la forme verbale « VERDRONK », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « VERDRINKEN », lui-même construit sur « DRINKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « I », donne une voyelle « O » pour les temps du passé. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : TRACHTTE OVT TRACHTEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/03/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « OPgejaagd door de gendarmen trachtte hij tijdens een storm met een sloep te ontkomen » (« Pourchassé par les gendarmes, il tenta de fuir pendant une tempête à bord d’une chaloupe »).
On y trouve notamment le verbe « TRACHTEN », qui est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), mais fait partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik tracht ») se terminant par la consonne « T », on trouvera le « TE » minoritaire comme terminaison du prétérit :
« TRACHT » + « TE » = « TRACHTTE ».
La phrase commençant par un complément (« OPgejaagd door de gendarmen »), cela entraîne une INVERSION du sujet « hij » qui passe derrière son verbe « trachtte ».
Notez que le verbe « TRACHTEN » exige un « TE » (équivalant au « DE » français) devant l’infinitif. Exemples à :
http://www.idesetautres.be/upload/CONSTRUCTIONS%20PHRASES%20NL%20ZC10%20TE+INFINITIF.zip

Nom : OPGEJAAGD VTT OPJAGEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/03/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « (Hij werd) in de duinen door de gendarmen OPgejaagd » (« Il fut pourchassé dans les dunes par les gendarmes »).
On y trouve la forme verbale «OPgejaagd », participe passé provenant de l’infinitif « OPJAGEN », verbe dit à particule séparable, construit sur « JAGEN ». Ce verbe « JAGEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik jaag ») se terminant par la consonne « G », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés :
particule « OP » + préfixe « GE » + « JAAG » + « D » = « OPGEJAAGD ».
Quand « OPJAGEN » est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « OPgejaagd » derrière les compléments (« in de duinen » et « door de gendarmen ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » (ici « WERD ») est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : KON OVT KUNNEN REJET ONTSNAPPEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/03/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Mudfinger) kon (uit het hotel) ontsnappen » (« Il put / a pu s’échapper de l’hôtel »).
L’auxiliaire de mode de la CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN », un O.V.T. (ou prétérit) « KON » (et un PLURIEL irrégulier « KONDEN »). Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière le complément éventuel (« uit het hotel »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Le verbe « KUNNEN » fait l’objet (au seul prétérit ou O.V.T.) des « temps primitifs ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Notez que l’on aurait pu avoir « MOCHT », de l’infinitif « MOGEN », l’auxiliaire de mode de la « POSSIBILITE » :
« Hij mocht (uit het hotel) ontsnappen ».

Nom : DEDEN OVT DOEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/03/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Gendarmen deden een inval in een hotel te Knokke » (« Des gendarmes firent une incursion dans un hôtel à Knokke »)
On y trouve la forme verbale « DEDEN » (pluriel de « DEED »), O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « DOEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que, notamment en langue néerlandaise, il n’y a PAS d’article indéfini au pluriel, équivalant au français « DES ».

Nom : OPGESPOORD VTT OPSPOREN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 29/02/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij werd ijverig OPgespoord » (« Il fut recherché avec zèle »).
On y trouve la forme verbale «OPgespoord », participe passé provenant de l’infinitif « OPSPOREN », verbe dit à particule séparable, construit sur « SPOREN ». Ce verbe « SPOREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik spoor ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés :
particule « OP » + préfixe « GE » + « SPOOR » + « D » = « OPGESPOORD ».
Quand « OPSPOREN » est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « OPgespoord » derrière le complément (« ijverig ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » (ici « WERD ») est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : GESIGNALEERD VTT SIGNALEREN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/02/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij werd aan onze kust gesignaleerd » (« Il fut signalé sur notre côte »).
On y trouve la forme verbale «gesignaleerd », participe passé provenant de l’infinitif « SIGNALEREN », considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik signaleer ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés :
préfixe « GE » « SIGNALEER » + « D » = « GESIGNALEERD ».
Quand « SIGNALEREN » est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « gesignaleerd » derrière le complément (« aan onze kust ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » (ici « WERD ») est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : WAS OVT ZIJN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/02/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wie is of was sir Mudfinger ? » (« Qui est ou était sir Mudfinger ? »).
On y trouve la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIJN », qui constitue vraisemblablement le verbe le plus irrégulier de la langue néerlandaise.
C’est logique : plus on utilise un mot, plus la prononciation le déforme au fil du temps …
Le verbe « ZIJN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : ZAGEN OVT ZIEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/02/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « wij zagen een authenthiek spook » (« nous vîmes / avons vu un authentique fantôme »).
On y trouve notamment la forme verbale « ZAGEN », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
ATTENTION : Beaucoup d’apprenants croient que la forme verbale « ZAGEN », provient de l’infinitif « ZEGGEN », également irrégulier à l’O.V.T.
Notez que « spook » est un nom neutre (en « HET »), ce que l’on peut déduire parce qu’il n’y a pas de terminaison « E » à l’adjectif (« authenthiek »).

Nom : MISLUKT VTT MISLUKKEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/02/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een mislukte overval … » (« Une agression manquée … »).
Rappelons tout d’abord que, au participe passé, les verbes commençant par les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER-, NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais. C’est aussi le cas du préfixe MIS-. On trouve ici la forme verbale « mislukt », participe passé (utilisé comme adjectif) provenant de l’infinitif « MISLUKKEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T. : « ik misluk ») se terminant par la consonne « K », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire : (ici sans le préfixe « GE ») + « MISLUK » + « T » = « MISLUKT ». Quand «MISLUKKEN» est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, il y a normalement REJET de son participe passé « mislukt » derrière le complément éventuel à la fin de la phrase, comme dans la variante : « de overval is deze nacht mislukt … »

Nom : HOORDE OVT HOREN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/02/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik hoorde deze nacht schieten » (« j’entendis cette nuit tirer »).
Ce verbe « HOREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik hoor ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit : « HOOR » + « DE » = « HOORDE ».

Nom : GEHOORD VTT HOREN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/02/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Waar heb ik die naam nog gehoord ? » (« Où ai-je encore entendu ce nom ? »).
On y trouve la forme verbale « gehoord », participe passé provenant de l’infinitif « HOREN ». Ce verbe « HOREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik hoor ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés :
préfixe « GE » « HOOR » + « D » = « GEHOORD ».
Quand « HOREN » est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « gehoord » derrière les compléments (« die naam » et « nog ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZOU REJET AFSCHRIKKEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/02/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « U zou zelfs het spook (Sir Mudfinger) afschrikken » (« Vous effrayeriez même le fantôme »).
L’auxiliaire du CONDITIONNEL est l’infinitif « ZOUDEN » ; il est, en quelque sorte, l’« imparfait » (O.V.T. ou prétérit) de l’auxiliaire du FUTUR, « ZULLEN ».
Au CONDITIONNEL, il y a REJET de l’autre forme verbale (« afschrikken ») à la fin de la phrase, derrière le(s) complément(s) (ici « zelfs » et « het spook »), et donc à l’INFINITIF.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEMIST VTT MISSEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/02/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «De kennismaking met een gedistingeerd spook hebben we gemist » (« Nous avons raté l’occasion de faire la connaissance d’un fantôme distingué »).
On y trouve la forme verbale « gemist », participe passé provenant de l’infinitif « MISSEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T. : « ik mis ») se terminant par la consonne « S », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire :
préfixe « GE » + « MIS » + « T » = « GEMIST ».
La phrase commençant par un complément (« de kennismaking »), cela entraîne une INVERSION du sujet « we » passant derrière son verbe « hebben ». Quand « MISSEN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, il y a normalement REJET de son participe passé « gemist » derrière le complément (« de kennismaking met een gedistingeerd spook ») à la fin de la phrase. On aurait en effet pu avoir la variante suivante : « we hebben de kennismaking met een gedistingeerd spook gemist ».
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MOESTEN REJET INGRIJPEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/02/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «We moesten niet eens ingrijpen » (« Nous ne devions même pas / n’avons même pas dû intervenir »).
L’auxiliaire de mode de l’« OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN » (ici, à l’O.V.T. ou prétérit, « MOESTEN »). Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« ingrijpen »), derrière le complément (« niet eens »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GAAN REJET ONTLASTEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/02/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Wij gaan / zullen die dame van geld en juwelen ontlasten » (« Nous allons délester la dame de son argent et de ses bijoux »).
Sous l’infuence de la langue française, l’auxiliaire du FUTUR « simple » néerlandais, « ZULLEN » (donnant un singulier « ZAL ») est ici remplacé par « GAAN ». Cela permet de rappeler que, afin d’être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple pour le francophone de le comparer au « futur proche » français et de remplacer précisément les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Ici, comme au FUTUR néerlandais, il y a REJET de l’autre forme verbale (« ontlasten ») à la fin de la phrase, derrière les compléments (« die dame » et « van geld en juwelen »), et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MOET REJET ZIJN DAAR ER ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/02/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Daar (=> ER) moet buit te halen zijn » (« Il doit y avoir là du butin à glaner »).
L’auxiliaire de mode de l’« OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« zijn »), derrière le complément éventuel (« te halen »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Une interprétation est que la phrase, commençant par un complément (« Daar »), cela entraîne une INVERSION du sujet « buit » (= nummer 17) passant derrière son verbe « moet ». On trouve ici un cas d’évolution du « Daar » vers « ER », sujet de « il y a ».

Nom : GADEGESLAGEN VTT GADESLAAN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/02/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Twee stropers (…) hebben eveneens het toneel gadegeslagen » (« Deux maraudeurs ont également observé la scène »).
On trouve donc ici notamment la forme verbale « gadegeslagen », participe passé provenant de l’infinitif « gadeslaan », lui-même construit sur l’infinitif « SLAAN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre notamment ces trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « gadeslaan » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « gade » de son infinitif proprement dit et il y a REJET de la particule « gade » derrière les compléments («eveneens» et « het toneel ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VERMOMD VTT VERMOMMEN OMTE ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/02/2020

Description : La (double) phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Twee stropers, vermomd met konijnenvellen om het wild te misleiden … » (« Deux maraudeurs, déguisés avec des peaux de lapins pour tromper le gibier … »).
On y trouve la forme verbale « vermomd », participe passé (utilisé ici comme adjectif) provenant de l’infinitif « VERMOMMEN ». Ce verbe « VERMOMMEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « vermom ») se terminant par la consonne « M », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés mais pas de préfixe « GE » puisque la forme verbale commence par le préfixe « VER » (c’est aussi le cas pour les verbes commençant par les préfixes BE-, ER-, GE,- HER- et ONT-) : (« GE ») + « VERMOM » + « D » = « VERMOMD ». Quand « VERMOMMEN » est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « vermomd » derrière le complément (« als Hendrik ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse : https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Rappelons que « POUR » devant les verbes est rendu en langue néerlandaise par un double mot : « OM … TE ». Le complément (« het wild ») s’intercale entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « misleiden ».

Nom : STAP UIT IMPERATIF UITSTAPPEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/02/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Stap (de wagen) uit ! » (« Sors / descends de la voiture ! »).
On y trouve la forme verbale « stap … UIT » à l’impératif, provenant de l’infinitif « UITstappen », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « STAPPEN ».
Quand « UITstappen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de sa forme verbale proprement dite et cette particule séparable « UIT », composante du verbe, fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« de wagen »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Rappelons que cette particule séparable « UIT » est une ancienne préposition. On aurait donc pu avoir la variante suivante de la phrase : « Stap uit de wagen ! ».

Nom : VERDWAALD VTT VERDWALEN 2 ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/02/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We zijn (nu) verdwaald » (« Nous sommes égarés »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER- GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
Ce verbe « VERDWALEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé, NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik verdwaal ») se terminant par la consonne « L », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison du participe passé : « VERDWAAL » + « D » = « VERDWAALD ».
Le participe passé « VERDWAALD » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« NU »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VERDWENEN VTT VERDWIJNEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/02/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « (De gestalte is) in de mist verdwenen » (« La silhouette a disparu dans le brouillard »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER- GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve donc ici notamment la forme verbale « VERDWENEN », participe passé provenant de l’infinitif « VERDWIJNEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers et, parmi eux, d’une catégorie importante de verbes irréguliers, celle des « IJ » donnant des « E » aux temps du passé (O.V.T. et V.T.T.).
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre notamment ces trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « VERDWENEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« in de mist »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : DAALT AF OTT AFDALEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/02/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een gestalte (…) daalt het duin af » (« Une silhouette descend de la dune »).
On y trouve la forme verbale « daalt … AF », qui provient de l’infinitif « AFdalen », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « DALEN ».
Quand « AFdalen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de sa forme verbale proprement dite et cette particule séparable « AF », composante du verbe, fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« het duin »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe ou d’une de ses composantes, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VERDWAALD VTT VERDWALEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/02/2020

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Verder beweert men dat (…) geesten verdwaalde reizigers belagen » (« Bien plus, on prétend que des esprits s’en prennent à des voyageurs égarés »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER- GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
Ce verbe « VERDWALEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé, NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik verdwaal ») se terminant par la consonne « L », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison du participe passé (utilisé ici comme adjectif) : « VERDWAAL » + « D » = « VERDWAALD ».

Nom : GEMEDEN VTT MIJDEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/02/2020

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « In het Zoute (…) huist ruw volk dat door de Knockenaars (wordt) gemeden wordt » (« Au Zoute vivent des gens rudes, qui sont évités par les habitants de Knokke »).
On trouve donc ici notamment la forme verbale « GEMEDEN », participe passé provenant de l’infinitif « MIJDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers et, parmi eux, d’une catégorie importante de verbes irréguliers, celle des « IJ » donnant des « E » aux temps du passé (O.V.T. et V.T.T.).
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre notamment ces trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Cette phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » (ici est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
Le participe passé « GEMEDEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« door de Knockenaars »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GENAAMD GENOEMD VTT NAMEN NOEMEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/02/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « In het Zoute, genaamd / genoemd naar de Zoute Polders … » (« Au Zoute, appelé / baptisé d’après les Zoute Polders … »).
On y trouve le participe passé « GENAAMD », qui vient de l’infinitif « NAMEN ». Ce verbe « NAMEN » ou « NOEMEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé, NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik naam » ou « Ik noem ») se terminant par la consonne « M », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison du participe passé :
« GE » + « NAAM » + « D » = « GENAAMD ».
« GE » + « NOEM » + « D » = « GENOEMD ».

Nom : ZOU CONDITIONNEL REJET AANRADEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/02/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik zou het jullie niet aanraden » (« Je ne vous le recommanderais pas »).
L’auxiliaire du CONDITIONNEL est l’infinitif « ZOUDEN » ; il est, en quelque sorte, l’« imparfait » (O.V.T. ou prétérit) de l’auxiliaire du FUTUR, « ZULLEN ».
Au CONDITIONNEL, il y a REJET de l’autre forme verbale (« aanraden ») à la fin de la phrase, derrière le(s) complément(s) (ici « het » et « jullie »), et donc à l’INFINITIF.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : LEVERDEN OVT LEVEREN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/02/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Waar eens duizenden galjoenen slag leverden … » (« A l’endroit où, un jour, des milliers de galions livrèrent bataille … »).
Ce verbe « LEVEREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik verover ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit :
« LEVER » + « DE » + « N » (PLURIEL) = « LEVERDEN ».
Rappelons que dans la phrase subordonnée néerlandaise (introduite par « WAAR ») la forme verbale ne se trouve plus à côté de son sujet (« duizenden galjoenen »).

Nom : VERZAND VTT VERZANDEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/02/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « (De zeeboezem is) helaas verzand » (« Le golfe de mer est hélas ensablé »)
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER- GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On y trouve la forme verbale « verzand », participe passé provenant de l’infinitif « VERZANDEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T.) se terminant déjà par la consonne « D », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire.
Il y a REJET du participe passé « verzand » derrière le complément («helaas »), à la fin de la phrase.
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : WERD OVT WORDEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/02/2020

Description : La (double) phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een zeeboezem bevaarbaar voor grote schepen, waardoor Brugge de grootste haven van Europa werd » (« Un golfe de mer navigable pour les grands navires, grâce auquel Bruges devint le plus grand port d’Europe »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée (introduite par « waardoor »), la forme verbale « WERD », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « WORDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Cette phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » (ici « WERD ») est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
Rappelons que dans la phrase subordonnée néerlandaise la forme verbale ne se trouve plus à côté de son sujet (« Brugge »).

Nom : UITGESTREKT VTT UITSTREKKEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/02/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze trekken door de uitgestrekte vlakte van het Zwin » (« Ils parcourent la plaine étendue => la vaste étendue du Zwin »)
On y trouve la forme verbale « UITgestrekt », participe passé (utilisé ici comme adjectif) provenant de l’infinitif « UITstrekken », lui-même construit sur l’infinitif « STREKKEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Quand « UITstrekken » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « uitGEstrekt ».

Nom : BRACHTEN OVT BRENGEN ROBERT EN BERTRAND 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/02/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze brachten hun beschermeling naar de kostschool » (« Ils portèrent => amenèrent / conduisirent leur protégé au pensionnat »).
On y trouve notamment la forme verbale « BRACHT », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : VEROVERDE OVT VEROVEREN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 30/01/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zo veroverde de mens het luchtruim » (« C’est ainsi que l’homme conquit l’espace »).
Ce verbe « VEROVEREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik verover ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit :
« VEROVER » + « DE » = « VEROVERDE ».
La phrase commençant par un complément, cela engendre une INVERSION : le sujet « de mens » passe derrière le verbe « veroverde ». On aurait pu avoir la variante suivante : « de mens veroverde het luchtruim zo ».

Nom : AANGEDREVEN VTT AANDRIJVEN 2 ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 29/01/2020

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « …(het) vliegtuig dat door een 16 PK-motor werd AANgedrEven » (« … l’avion qui était actionné par un moteur … »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée (introduite par « DAT », engendré par le « HET »), la forme verbale « AANGEDREVEN », participe passé provenant de l’infinitif « AANDRIJVEN », lui-même construit sur l’infinitif « DRIJVEN » qui, comme presque tous les verbes en « IJ », donne aux temps du passé une voyelle « E ». Il est à noter que le participe passé « GEDREVEN » se construit sur le PLURIEL du prétérit ou O.V.T. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « AANDRIJVEN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGEdreven ».
Le participe passé « AANgedreven » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« door een motor »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est à la voix passive (avec une structure comme un passé composé) puisque l’auxiliaire « WORDEN » (« werd » au prétérit) est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : MAAKTEN OVT MAKEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/01/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Pas op 17 december 1903 maakten de gebroeders Wright een eerste vlucht » (« Ce n’est que le 17 december 1903 que les frères Wright faisaient un premier vol »).
On y trouve notamment le verbe « MAKEN », qui est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), mais fait partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik maak ») se terminant par la consonne « K », on trouvera le « TE » minoritaire comme terminaison du prétérit : « MAAK » + « TE » + « N » (pluriel) = « MAAKTEN ».
La phrase commençant par un complément, cela engendre une INVERSION : le sujet « de gebroeders Wright » passe derrière le verbe « maakten ». On aurait pu avoir la variante suivante : « de gebroeders Wright maakten een eerste vlucht pas op 17 december 1903 ».

Nom : RAAKTE OVT RAKEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/01/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Na de mislukte poging raakte het idee in het vergeetboek » (« Après la tentative avortée, l’idée toucha au fond du livre de l’oublié => sombra dans l’oubli »).
On y trouve notamment le verbe « RAKEN », qui est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), mais fait partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik raak ») se terminant par la consonne « K », on trouvera le « TE » minoritaire comme terminaison du prétérit : « RAAK » + « TE » = « RAAKTE ».
La phrase commençant par un complément, cela engendre une INVERSION : le sujet « het idee » passe derrière le verbe « raakte ». On aurait pu avoir la variante suivante :
« het idee raakte in het vergeetboek na de mislukte poging ».

Nom : MISLUKT VTT MISLUKKEN 2 ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/01/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Na de mislukte poging … » (« Après la tentative avortée … »).
Rappelons tout d’abord que, au participe passé, les verbes commençant par les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER-, NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais. C’est aussi le cas du préfixe MIS-. On trouve ici la forme verbale « mislukt », participe passé (utilisé comme adjectif épithète) provenant de l’infinitif « MISLUKKEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T. : « ik misluk ») se terminant par la consonne « K », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire : (ici sans le préfixe « GE ») + « MISLUK » + « T » = « MISLUKT ». Quand «MISLUKKEN» est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, il y a normalement REJET de son participe passé « mislukt » derrière le complément éventuel à la fin de la phrase, comme dans la variante : « de poging is vandaag mislukt … »

Nom : ZAG OVT ZIEN 3 ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/01/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Op de plaats waar hij de Vliegende Hollander zag … » (« A l’endroit où il vit le Hollandais Volant … »).
On y trouve la forme verbale « ZAG », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
ATTENTION : Beaucoup d’apprenants croient que la forme verbale « ZAG », provient de l’infinitif « ZEGGEN », également irrégulier à l’O.V.T. …
Dans la phrase subordonnée néerlandaise, la forme verbale (« zag ») est, comme d’habitude, séparée de son sujet (elle ne se trouve plus à côté de lui), ici « hij » ; il y a REJET, derrière le complément (« de Vliegende Hollander »), à la fin de la phrase.

Nom : DROOMDE OVT DROMEN 2 ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/01/2020

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het is mogelijk dat ik (daarvan) droomde » (« Il est possible que je rêvais »).
On y trouve, dans la phrase subordonnée (introduite par « DAT »), la forme verbale « droomde », prétérit (ou O.V.T.) provenant de l’infinitif « DROMEN ». Ce verbe « DROMEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik droom») se terminant par la consonne « M », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit : « DROOM » + « DE » = « DROOMDE ».
Dans la phrase subordonnée néerlandaise, la forme verbale (« droomde ») est, comme d’habitude, séparée de son sujet (elle ne se trouve plus à côté de lui) ; il y a REJET, derrière le complément éventuel (ici « daarvan »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEDROOMD VTT DROMEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/01/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je hebt (daarvan) gedroomd » (« Tu as rêvé »).
On y trouve la forme verbale « gedroomd », participe passé provenant de l’infinitif « DROMEN ». Ce verbe « DROMEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik droom») se terminant par la consonne « M », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés :
préfixe « GE » + « DROOM » + « D » = « GEDROOMD ».
Il y a REJET du participe passé « gedroomd », derrière le complément éventuel (ici « daarvan »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : DROEGEN OVT DRAGEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/01/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zeemannen droegen toen klompen » (« Des marins portaient alors des sabots »).
On y trouve la forme verbale «droegen », prétérit (ou O.V.T.) provenant de l’infinitif « DRAGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Notez que l’article indéfini pluriel « DES » français, n’est rendu par aucun mot néerlandais. Si on avait eu « LES », on aurait pu avoir la variante suivante :
« De zeemannen droegen toen klompen » (« Les marins portaient alors des sabots »).

Nom : SCHEI UIT OTT UITSCHEIDEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/01/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Schei / scheid (met dat => daarmee) uit ! » (« Arrête avec cela ! »)
On y trouve la forme verbale « schei(d) … uit », qui provient de l’infinitif « UITSCHEIDEN », verbe dit à « particule séparable », lui-même construit sur « SCHEIDEN ».
Lorsque « UITSCHEIDEN est conjugué, cela entraîne le REJET de la particule séparable « UIT », derrière le complément éventuel (« daarmee »), à la fin de la phrase. Voir le phénomène du REJET, entre autres à
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KWAM OVT KOMEN 2 ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/01/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hier kwam de Vliegende Hollander aan wal » (« Ici débarqua le Hollandais Volant »).
On y trouve notamment la forme verbale « KWAM », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « KOMEN ».
Le verbe « KOMEN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
La phrase commençant par un complément, cela engendre une INVERSION : le sujet « de Vliegende Hollander » passe derrière le verbe « kwam ». On aurait pu avoir la variante suivante : « de Vliegende Hollander kwam hier aan wal »

Nom : ZAG OVT ZIEN 2 ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/01/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hier zag ik de Amsterdam aan de horizon » (« Ici je vis l’Amsterdam à l’horizon »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée (introduite par « DAT »), la forme verbale « ZAG », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
La phrase commençant par un complément, cela engendre une INVERSION : le sujet « ik » passe derrière le verbe « zag ». On aurait pu avoir la variante suivante : « ik zag hier de Amsterdam aan de horizon »
ATTENTION : Beaucoup d’apprenants croient que la forme verbale « ZAG », provient de l’infinitif « ZEGGEN », également irrégulier à l’O.V.T. …

Nom : OMTE HINDEREN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/01/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Om de gelukkige vaders bij de voorbereidingen van het huwelijk niet te hinderen … » (« Pour ne pas gêner les heureux pères lors des préparatifs du mariage … »).
Rappelons que « POUR » devant les verbes est rendu en langue néerlandaise par un double mot : « OM … TE ». Les compléments (« de gelukkige vaders » et « bij de voorbereidingen van het huwelijk ») s’intercalent entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « hinderen ».

Nom : BEREIKT VTT BEREIKEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/01/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wat de Vliegende Hollander niet kon (voor hem) bereiken, heeft hij (Hendrik) (voor zich zelf) bereikt » (« Ce que le Hollandais Volant ne pouvait atteindre, Hendrik l’a atteint »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
Dans la phrase principale, on trouve la forme verbale « bereikt », participe passé provenant de l’infinitif « BEREIKEN », considéré comme verbe « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik bereik ») se terminant par la consonne « K », on trouvera le « T » minoritaire comme terminaison des participes passés : « BEREIK » + « T » = « BEREIKT ».
Quand « BEREIKEN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, il y a REJET de son participe passé « bereikt» derrière le complément éventuel (« voor zich zelf ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs : https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase subordonnée jouant le rôle d’un complément commençant la phrase principale, cela engendre dans cette dernière une INVERSION, le sujet « hij » passant derrière le verbe « heeft». On aurait en effet pu avoir la variante : « hij heeft (dat voor zich zelf) bereikt »

Nom : HERSTELDE OVT HERSTELLEN BEVESTIGDE OVT BEVESTIGEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/01/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Kaufmann) herstelde en bevestigde Hendriks onschuld » (« Il se rétablit et confirma l’innocence d’Hendrik »).
Tant le verbe « HERSTELLEN » que le verbe « BEVESTIGEN » sont considérés comme « réguliers » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE font PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE font PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP ».
En effet le radical du verbe « HERSTELLEN » (première personne du présent, « Ik herstel ») se terminant par la consonne « L », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit :
« HERSTEL » + « DE » = « HERSTELDE ».
Et le radical du verbe « BEVESTIGEN » (première personne du présent, « Ik bevestig ») se terminant par la consonne « G », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit :
« BEVESTIG » + « DE » = « BEVESTIGDE ».

Nom : WAS OVT ZIJN 11 ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/01/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De liefde van Aletta en Hendrik was sterker dan mijn voorspelling » (« L’amour était plus fort que ma prédiction »).
On y trouve la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIJN », qui constitue vraisemblablement le verbe le plus irrégulier de la langue néerlandaise.
C’est logique : plus on utilise un mot, plus la prononciation le déforme au fil du temps …
Le verbe « ZIJN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
On rend la comparaison (et, notamment, son degré de supériorité) en langue néerlandaise (comme en langue anglaise) en construisant l’adjectif (suivi de « DAN ») de la façon suivante : « STERK » + « ER » => « STERKER ».

Nom : DOUBLE INFINITIF VTT WILLEN OFFEREN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/01/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een vrouw heeft voor hem haar leven willen offeren » (« Une femme a voulu offrir sa vie pour lui »).
La phrase est, en fait, au passé composé et la forme verbale de « WILLEN » aurait dû être au participe passé mais on a ici affaire à ce que l’on appelle le « double infinitif », solution intéressante pour éviter les « temps primitifs » quand on ne les maîtrise pas.
Les deux infinitifs font l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« voor hem » et « haar leven »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KON OVT KUNNEN REJET BEREIKEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/01/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wat de Vliegende Hollander niet kon (voor hem) bereiken, heeft hij (Hendrik) (voor zich zelf) bereikt » (« Ce que le Hollandais Volant ne pouvait atteindre, Hendrik l’a atteint »).
Dans la phrase subordonnée (introduite par « WAT »), la forme verbale « KON » est le prétérit (SINGULIER) du verbe « KUNNEN » faisant ici l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers, au moins à l’O.V.T. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE », « KUNNEN » (donnant, à l’O.T.T. ou indicatif présent, un singulier « KAN »), comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), exige le REJET de l’autre forme verbale (« bereiken »), derrière le complément éventuel (« voor hem »), à la fin de la phrase (subordonnée) et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KWAM OVT KOMEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/01/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij kwam aan wal » (« Il débarquait / abordait le rivage »).
On y trouve notamment la forme verbale « KWAM », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « KOMEN ».
Le verbe « KOMEN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : GEZIEN VTT ZIEN 7 ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/01/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb de Vliegende Hollander en het spookschip echt gezien » (« J’ai vraiment vu le Hollandais Volant et le vaisseau fantôme »).
On y trouve notamment, dans une phrase subordonnée relative (introduite par « DIE »), la forme verbale « geZIEN », participe passé provenant de l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’INFINITIF.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« de Vliegende Hollander », « het spookschip » et « echt »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZEI OVT ZEGGEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/01/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik zei (het) je toch ! » (« Je te l’ai tout de même dit ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « ZEI » (donnant « ZEIDEN » au pluriel), O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZEGGEN ».
Le verbe « ZEGGEN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers, du moins au « prétérit ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : ZAL ZULLEN REJET HERNEMEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/01/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressant : « Eens zal ik de jacht hernemen » (« Un jour je reprendrai la chasse »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (« hernemen ») à la fin de la phrase, derrière le complément (« de jacht »), et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Eens »), cela engendre une INVERSION, le sujet « ik » passant derrière le verbe « zal ». On aurait en effet pu avoir la variante : « ik zal eens de jacht hernemen »

Nom : DOUBLE INFINITIF VTT KUNNEN VOORKOMEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/01/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wij hebben een drama niet kunnen voorkomen » (« Nous n’avons pas pu prévenir un drame »).
La phrase est, en fait, au passé composé et la forme verbale de « KUNNEN » aurait dû être au participe passé mais on a ici affaire à ce que l’on appelle le « double infinitif », solution intéressante pour éviter les « temps primitifs » quand on ne les maîtrise pas.
Les deux infinitifs font l’objet d’un REJET, derrière le complément (« een drama »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir plutôt l’auxiliaire de mode de la «POSSIBILITE », l’infinitif « MOGEN » :
« Wij hebben een drama niet mogen voorkomen ».

Nom : INGEZET VTT INZETTEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/01/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Jager (speurder Nummer 17) en wild (Robert en Bertrand) hebben zich samen ingezet » (« Le chasseur et le gibier se sont interposés / impliqués ensemble »).
On y trouve la forme verbale « INgezet », participe passé provenant de l’infinitif « INzetten », lui-même construit sur l’infinitif « ZETTEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant déjà par la consonne « T », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Quand « INzetten » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « IN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « inGEzet ».
Il y a REJET de la forme verbale « INgezet » derrière le complément (« samen ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : BEWEZEN VTT BEWIJZEN 2 ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/01/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hendriks onschuld is (na de verzekerde bewaring van de gevangene) bewezen » (« L’innocence d’Hendrik est prouvée »).
Rappelons tout d’abord que, dans le cas des verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve ici, à la fin de la phrase subordonnée, la forme verbale « BEWEZEN », participe passé (utilisé avec l’équivalent d’un passé composé) provenant de l’infinitif « BEWIJZEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé « BEWEZEN » se construit sur le PLURIEL du prétérit (et, dans ce cas-ci, est identique). Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé (la plus nombreuse étant précisément celle des « IJ ») :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« na de verzekerde bewaring van de gevangene »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VOORSPELD VTT VOORSPELLEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/01/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « « Zij (Knier) heeft het voorspeld » (« Elle l’a prédit »).
On y trouve la forme verbale « voorspeld », participe passé provenant de l’infinitif « VOORSPELLEN ». Ce verbe « VOORSPELLEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik voorspel ») se terminant par la consonne « L », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés mais, exceptionnellement, PAS le préfixe « GE » (c’est le cas pour certains verbes commençant par « VOOR ») : « VOORSPEL » + « D » = « VOORSPELD ».
Quand « VOORSPELLEN » est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « voorspeld » derrière le complément (« HET ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZAL ZULLEN REJET OVERLEVEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/01/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zal hij zijn poging overleven ? » (« Va-t-il survivre à son essai ? »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (« overleven ») à la fin de la phrase, derrière le complément (« zijn poging »), et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEFAALD VTT FALEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/01/2020

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb (in mijn poging) gefaald » (« J’ai échoué dans ma tentative »).
On y trouve la forme verbale « gefaald », participe passé provenant de l’infinitif « FALEN ». Ce verbe « FALEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik faal ») se terminant par la consonne « L », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés :
préfixe « GE » + « FAAL » + « D » = « GEFAALD ».
Quand « FALEN » est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « gefaald » derrière le complément éventuel (« in mijn poging ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZAL ZULLEN REJET VLIEGEN 4 ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 31/12/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressant : « Eindelijk zal ik vliegen » (« Enfin je vais pouvoir voler »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (« vliegen ») à la fin de la phrase, derrière le complément (« eindelijk »), et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Eindelijk »), cela engendre une INVERSION, le sujet « ik » passant derrière le verbe « zal ». On aurait en effet pu avoir la variante :
« ik zal eindelijk vliegen »

Nom : GEBEURD VTT GEBEUREN 2 ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 30/12/2019

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Die weet niet eens wat (hier) gebeurd is » (« Celui-là = il ne sait pas une fois => ne sait même pas ce qui est arrivé »).
On y trouve, dans la phrase subordonnée (introduite par « WAT »), la forme verbale « gebeurd », participe passé provenant de l’infinitif « GEBEUREN ». Ce verbe « GEBEUREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (si une première personne du présent avait existé, « gebeur ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés mais pas de préfixe « GE » puisque la forme verbale commence déjà par « GE » (comme pour les verbes commençant par les préfixes BE- ER-, HER-, ONT- et VER- ) : (« GE ») + « GEBEUR » + « D » = « GEBEURD ».
Quand « GEBEUREN » est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « gebeurd » derrière le complément éventuel (« hier ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VERMOMD VTT VERMOMMEN OMTE 2 ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 29/12/2019

Description : La (double) phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij heeft zich (als Hendrik) vermomd om de aandacht af te leiden » (« Elle s’est déguisée en Hendrik pour détourner l’attention »). On y trouve la forme verbale « vermomd », participe passé provenant de l’infinitif « VERMOMMEN ». Ce verbe « VERMOMMEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « vermom ») se terminant par la consonne « M », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés mais pas de préfixe « GE » puisque la forme verbale commence par le préfixe « VER » (c’est aussi le cas pour les verbes commençant par les préfixes BE-, ER-, GE,- HER- et ONT-) : (« GE ») + « VERMOM » + « D » = « VERMOMD ». Quand « VERMOMMEN » est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « vermomd » derrière le complément (« als Hendrik ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse : https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Rappelons que « POUR » devant les verbes est rendu en langue néerlandaise par un double mot : « OM … TE ». Le complément (« de aandacht ») et la particule séparable (« af » du verbe « afleiden ») s’intercalent entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « leiden ».

Nom : SCHOOT OVT SCHIETEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/12/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij schoot op hem (Hendrik) » (« Il tira / a tiré sur lui »).
On y trouve la forme verbale « SCHOOT », prétérit (O.V.T.) provenant de l’infinitif « SCHIETEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « IE », donne une voyelle « O ». Il faut donc noter que son participe passé se construira sur le PLURIEL du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : VERMOMD VTT VERMOMMEN OMTE ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/12/2019

Description : La (double) phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij heeft zich (als speurder) vermomd om zo Hendrik te laten verdwijnen » (« Il s’est déguisé en détective pour ainsi faire disparaître Hendrik »).
On y trouve la forme verbale « vermomd », participe passé provenant de l’infinitif « VERMOMMEN ». Ce verbe « VERMOMMEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « vermom ») se terminant par la consonne « M », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés mais pas de préfixe « GE » puisque la forme verbale commence par le préfixe « VER » (c’est aussi le cas pour les verbes commençant par les préfixes BE-, ER-, GE,- HER- et ONT-) : (« GE ») + « VERMOM » + « D » = « VERMOMD ».
Quand « VERMOMMEN » est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « vermomd » derrière le complément éventuel (« als speurder ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs : https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Rappelons que « POUR » devant les verbes est rendu en langue néerlandaise par un double mot : « OM … TE ». Les compléments (« zo » et « Hendrik) s’intercalent entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « laten ».

Nom : GESTOLEN VTT STELEN 4 ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/12/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij heeft de plannen gestolen » (« Il a volé les plans »).
On y trouve la forme verbale « GESTOLEN », participe passé provenant de l’infinitif « STELEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« de plannen »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse, également en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEBEURD VTT GEBEUREN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/12/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wat is er (daar) gebeurd ? » (« Qu’est-il arrivé ? »).
On y trouve la forme verbale « gebeurd », participe passé provenant de l’infinitif « GEBEUREN ». Ce verbe « GEBEUREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (si une première personne du présent avait existé, « gebeur ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés mais pas de préfixe « GE » puisque la forme verbale commence déjà par « GE » (comme pour les verbes commençant par les préfixes BE- ER-, HER-, ONT- et VER- ) : (« GE ») + « GEBEUR » + « D » = « GEBEURD ».
Quand « GEBEUREN » est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « gebeurd » derrière le complément éventuel (« daar ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : HOORDE OVT HOREN 2 ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/12/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik hoorde een schot » (« j’entendis un coup de feu »).
Ce verbe « HOREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik hoor ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit : « HOOR » + « DE » = « HOORDE ».

Nom : BIJGEKOMEN VTT BIJKOMEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/12/2019

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Joeki, die van zijn verdoving bijgekomen is, heeft alles gehoord » (« Joeki, qui est revenu de / a repris conscience après son étourdissement, a tout entendu »).
On y trouve, dans la phrase subordonnée (introduite par « DIE »), la forme verbale « BIJgekomen », participe passé provenant de l’infinitif « BIJkomen », lui-même construit sur l’infinitif « KOMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « BIJkomen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « BIJ » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « bijGEkomen ».
Il y a REJET de la forme verbale « BIJgekomen » derrière le complément (« van zijn verdoving ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
N’oubliez pas que dans une phrase subordonnée néerlandaise, le verbe (ici « is ») n’est plus à côté de son sujet (ici « Joeki »).

Nom : GEHOORD VTT HOREN 2 ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/12/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Joeki) heeft alles gehoord » (« Il a tout entendu »).
On y trouve la forme verbale « gehoord », participe passé provenant de l’infinitif « HOREN ». Ce verbe « HOREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik hoor ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés : préfixe « GE » « HOOR » + « D » = « GEHOORD ».
Quand « HOREN » est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « gehoord » derrière le complément (« alles ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZULT ZAL ZULLEN REJET HINDEREN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/12/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je zal = Je zult me niet meer hinderen » (« Tu ne vas plus me gêner »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Il y a REJET de l’autre forme verbale (« hinderen ») derrière les compléments (« me plannen » et « niet meer »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MOET REJET VERDWIJNEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/12/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Hendrik) moet (nu) verdwijnen » (« Il doit disparaître »).
L’auxiliaire de mode de l’« OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« verdwijnen »), derrière le complément éventuel (« nu »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZAL ZULLEN REJET VERKOPEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/12/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik zal de plannen verkopen » (« Je vais vendre les plans »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Il y a REJET de l’autre forme verbale (« verkopen ») derrière le complément (« de plannen »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEZORGD VTT ZORGEN KREEG VTT KRIJGEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/12/2019

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb (ervoor = voor de diefstal) gezorgd dat hij de fout kreeg » (« J’ai fait en sorte que = j’ai perpétré le vol de telle sorte qu’il reçut la faute => qu’il fût déclaré fautif / coupable »).
On trouve ici notamment la forme verbale « GEzorgd », participe passé provenant de l’infinitif « ZORGEN ». Le participe passé est, lui, construit sur la première personne de l’indicatif présent (« ik zorg »), NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts », est donc considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé, NE fait PAS partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical se terminant par la consonne « G », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison du prétérit : « ZORG » + « D » = « GEZORGD ». Il y a, normalement REJET du participe passé, derrière le complément (« ervoor »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs : https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
On y trouve la forme verbale « KREEG », prétérit (ou O.V.T.) provenant de l’infinitif « KRIJGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « IJ », donne une voyelle « E » (double, au singulier). Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : GESTOLEN VTT STELEN 3 ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/12/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb de plannen gestolen » (« J’ai volé les plans »).
On y trouve la forme verbale « GESTOLEN », participe passé provenant de l’infinitif « STELEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« de plannen »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse, également en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : DACHT OVT DENKEN WAS OVT ZIJN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/12/2019

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Men dacht dat ik in het buitenland was » (« On pensait que j’étais à l’étranger »).
On y trouve, dans la phrase principale, la forme verbale « dacht », O.V.T (prétérit) provenant du verbe « DENKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
On y trouve aussi, dans la phrase subordonnée (introduite par « DAT »), la forme verbale « was », prétérit provenant du verbe « ZIJN », qui fait également l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Parce que l’on a affaire à une phrase subordonnée (le verbe n’est plus à côté de son sujet), il y a REJET de cette forme verbale, derrière le complément (« in het buitenland »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KWAM OM OVT OMKOMEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/12/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Mijn handlanger kwam in de vlammen om » (« Mon acolyte périt / mon complice mourut dans les flammes »).
On y trouve notamment la forme verbale « KWAM … OM », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « OMKOMEN », verbe dit à « particule séparable », lui-même construit sur « KOMEN ».
Le verbe « KOMEN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé : https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Il y a REJET de la « particule séparable » « OM », derrière le complément (« in de vlammen ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs:
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEMIST VTT MISSEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/12/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Mijn handlanger heeft je gemist » (« Mon acolyte t’a raté »).
On y trouve la forme verbale « gemist », participe passé provenant de l’infinitif « MISSEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T. : « ik mis ») se terminant par la consonne « S », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire : préfixe « GE » + « MIS » + « T » = « GEMIST ».
Quand « MISSEN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, il y a REJET de son participe passé « gemist » derrière le complément (« je ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : DOUBLE INFINITIF VTT LATEN BEETNEMEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/12/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je hebt je laten beetnemen » (« Tu t’es laissé = tu t’es fait berner / induire en erreur »).
La phrase est, en fait, au passé composé et la forme verbale de « LATEN » aurait dû être au participe passé mais on a ici affaire à ce que l’on appelle le « double infinitif », solution intéressante pour éviter les « temps primitifs » quand on ne les maîtrise pas.
Ce qui aurait pu être un participe passé, « LATEN », fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« JE »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEDAAN VTT DOEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/12/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wat heb je (nu) gedaan ? » (« Qu’as-tu fait ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEDAAN », participe passé provenant de l’infinitif « DOEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GEDAAN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« NU »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KAN KUNNEN REJET ONTSNAPPEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/12/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Misschien kan hij (Hendrik) zo ontsnappen » (« Peut-être peut-il ainsi s’échapper»).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« ontsnappen »), derrière le complément (« zo »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un (autre) complément (« Misschien »), cela entraîne une INVERSION du sujet «hij» qui passe derrière son verbe « kan ».
Notez que l’on aurait dû avoir « MAG », singulier de l’infinitif « MOGEN», l’auxiliaire de mode de la « PERMISSION » :
« Misschien mag hij (Hendrik) zo ontsnappen ».

Nom : ZAL OTT ZULLEN REJET MISLEIDEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/12/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik zal hen misleiden » (« Je vais les conduire sur une fausse piste => je vais les duper »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Il y a REJET de l’autre forme verbale (« misleiden ») derrière le complément (« hen »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : TREKT AAN OTT AANTREKKEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/12/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Snel trekt zij (Aletta) een kostuum van hem (Hendrik) aan » (« Rapidement, elle met un costume de Pieter = lui »).
On y trouve la forme verbale « trekt … aan », qui provient de l’infinitif « AANTREKKEN », verbe dit à « particule séparable », lui-même construit sur « TREKKEN ».
Lorsque « AANTREKKEN » est conjugué, cela entraîne le REJET de la « particule séparable » « AAN », derrière le complément (« een kostuum van hem »), à la fin de la phrase. Voir phénomène du REJET, entre autres à :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Snel »), il y a une INVERSION, le sujet « zij » passant derrière le verbe « trekt ». On aurait en effet pu avoir :
« Zij trekt een kostuum van hem snel aan ».

Nom : KAN KUNNEN REJET HELPEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/12/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Hoe kan ik hem helpen ? » (« Comment puis-je l’aider ? »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« helpen »), derrière le complément (« hem »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MOET REJET VLIEGEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/12/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik moet (nu) vliegen » (« Je dois voler »).
L’auxiliaire de mode de l’« OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« vliegen »), derrière le complément éventuel (« nu »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : BEZETEN VTT BEZITTEN 2 ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/12/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij is (van zijn vliegmachine) bezeten » (« Il est possédé / obsédé par la machine volante »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER- GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve donc ici notamment la forme verbale « BEZETEN », participe passé provenant de l’infinitif « BEZITTEN », lui-même construit sur « ZITTEN » qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers aux temps du passé (O.V.T. et V.T.T.) et dont le participe passé est « GEZETEN ».
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre notamment ces trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« van zijn vliegmachine »), à la fin de la phrase. Voir le phénomène du REJET, entre autres à :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : WIL REJET WEERHOUDEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/12/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je wil(t) me weerhouden » (« Tu veux me retenir »).
L’auxiliaire de mode de la VOLONTE » est l’infinitif « WILLEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « MOGEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (ici, « weerhouden ») derrière le complément (« me »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MEENDE OVT MENEN 2 ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/12/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik meende de speurders in de duinen te zien » (« Je pensais = j’ai pensé (d’) avoir vu les enquêteurs dans les dunes »).
Ce verbe « MENEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik meen ») se terminant par la consonne « N », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit :
« MEEN » + « DE » = « MEENDE ».

Nom : GEOPEND VTT OPENEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/12/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De poort van de schuur wordt (door iemand) geopend » (« La porte de la grange est en train d’être ouverte »).
On y trouve aussi la forme verbale « geopend », participe passé provenant de l’infinitif « OPENEN ». Ce verbe « OPENEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik open ») se terminant par la consonne « N », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés :
préfixe « GE » + « OPEN » + « D » = « GEOPEND ».
Il y a REJET du participe passé (« geopend »), derrière le complément éventuel (« door iemand »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est à la voix passive (avec une structure comme un passé composé) puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : ZAL ZULLEN REJET GAAN 2 ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/12/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Mijn droom zal eindelijk in vervulling gaan » (« Mon rêve va enfin se réaliser »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Il y a REJET de l’autre forme verbale (« gaan ») derrière les compléments (« eindelijk » et « in vervulling »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KAN KUNNEN REJET WACHTEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 30/11/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik kan niet langer wachten » (« Je ne peux pas attendre plus longtemps »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« wachten »), derrière le complément (« langer »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait pu avoir « MAG », singulier de l’infinitif « MOGEN», l’auxiliaire de mode de la « POSSIBILITE » :
« Ik mag niet langer wachten ».

Nom : KUNNEN REJET OPDAGEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 29/11/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De speurders kunnen trouwens opdagen » (« Les enquêteurs peuvent par ailleurs apparaître »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« opdagen »), derrière le complément (« trouwens »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait pu avoir « MOGEN », l’auxiliaire de mode de la « POSSIBILITE » : « De speurders mogen trouwens opdagen ».

Nom : MAAK OPEN OTT IMPERATIF OPENMAKEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/11/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maak de poort open ! » (« Fais en sorte d’ouvrir la porte ! »).
On y trouve notamment, à l'impératif, la forme verbale « maak … OPEN » (comme à l’O.T.T.), provenant de l’infinitif « OPENmaken » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « MAKEN ».
Quand « OPENmaken » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OPEN » de son infinitif proprement dit, et son REJET, derrière le complément (« de poort »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET, lisez notre synthèse, également en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
On utilise « poort », au lieu de « deur » (réservée à la porte d’une maison), quand elle est plus massive et souvent à double battant.

Nom : WIL REJET TESTEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/11/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Nu wil ik mijn uitvinding testen » (« Maintenant je veux tester mon invention »).
L’auxiliaire de mode de la VOLONTE » est l’infinitif « WILLEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « MOGEN »), il exige normalement le REJET de l’autre forme verbale (ici, « testen ») derrière le complément (« mijn uitvinding »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Nu »), cela engendre une INVERSION : le sujet « ik » y passe donc derrière le verbe « wil ».

Nom : STAAT KLAAR OTT KLAARSTAAN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/11/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De vliegende stoommachine staat (nu) klaar » (« La machine volante à vapeur est prête »).
On y trouve notamment la forme verbale « staat … KLAAR », provenant de l’infinitif « KLAARstaan » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « STAAN ».
Quand « KLAARstaan » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « KLAAR » (ancien adjectif) de son infinitif proprement dit, et son REJET, derrière le complément éventuel (« nu »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET, lisez notre synthèse, également en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
On aurait aussi pu considérer que l’on avait ici affaire à une phrase où « KLAAR » était encore un adjectif.

Nom : MOET REJET WAARSCHUWEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/11/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik moet mijn vrienden (Robert en Bertrand) waarschuwen »
(« Je dois avertir mes amis »).
L’auxiliaire de mode de l’« OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« waarschuwen »), derrière le complément (« mijn vrienden »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez par exemple notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZAL ZULLEN REJET VINDEN 2 ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/11/2019

Description : La triple phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik zoek de vrouw die haar leven voor mij wil offeren zodat ik eindelijk de rust zal vinden » (« Je cherche la femme qui veut offrir sa vie pour moi »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Il y a normalement le REJET de l’autre forme verbale (ici, « vinden ») derrière les compléments (« eindelijk » et « de rust »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. On l’aurait vu, si on n’avait pas été dans une (deuxième) phrase subordonnée (introduite par « ZODAT »), comme dans la variante suivante : « ik zal eindelijk de rust vinden ».
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
N’oubliez pas que dans une phrase subordonnée néerlandaise, le verbe (ici « zal ») n’est plus à côté de son sujet (ici « ik »).

Nom : WIL REJET OFFEREN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/11/2019

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik zoek de vrouw die haar leven voor mij wil offeren » (« Je cherche la femme qui veut offrir sa vie pour moi »).
L’auxiliaire de mode de la VOLONTE » est l’infinitif « WILLEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « MOGEN »), il exige normalement le REJET de l’autre forme verbale (ici, « offeren ») derrière les compléments (« haar leven » et « voor mij »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. On l’aurait vu, si on n’avait pas été dans une phrase subordonnée (introduite par « DIE »), comme dans la variante suivante : « die vrouw wil haar leven voor mij offeren »
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
N’oubliez pas que dans une phrase subordonnée néerlandaise, le verbe (ici « wil ») n’est plus à côté de son sujet (ici « de vrouw »).

Nom : MOET REJET VAREN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/11/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « lk moet eeuwig (« altijd alleen ») blijven varen » (« Je dois pour des siècles continuer à naviguer »).
L’auxiliaire de mode de l’« OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET des autres formes verbales (« blijven » et « varen »), derrière le complément (« eeuwig »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez par exemple notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’expression française « continuer à » est rendue en néerlandais par le seul verbe « rester », qui n’est suivi d’aucune préposition.

Nom : KREEG OVT KRIJGEN 3 ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/11/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Joeki) kreeg opdracht het strand te bewaken » (« Il reçut pour mission de surveiller la plage »).
On y trouve la forme verbale « KREEG », prétérit (ou O.V.T.) provenant de l’infinitif « KRIJGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « IJ », donne une voyelle « E » (double, au singulier). Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : GEHOORD VTT HOREN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/11/2019

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Rep geen woord over wat je (hier) (hebt) gehoord hebt » (« Ne souffle pas un mot à propos de ce que tu as entendu »).
On y trouve la forme verbale « gehoord », participe passé provenant de l’infinitif « HOREN ». Ce verbe « HOREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik hoor ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés : préfixe « GE » « HOOR » + « D » = « GEHOORD ». Quand « HOREN » est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « gehoord » derrière le complément éventuel (« hier ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
N’oubliez pas que dans une phrase subordonnée néerlandaise, le verbe (ici « hebt ») n’est plus à côté de son sujet (ici « je »).

Nom : HOUD OP OTT OPHOUDEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/11/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hou(d) met die onzin op ! (« Arrête avec cette absurdité !»).
On y trouve la forme verbale « hou(d) … op », impératif provenant du verbe « OPhouden », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « HOUDEN ».
Quand « OPhouden » est conjugué, cela entraîne normalement en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit et son REJET, derrière le complément (« met die onzin »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MOET REJET NEMEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/11/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij moet hun bevelen in acht nemen » (« Il doit prendre en compte leurs ordres »).
L’auxiliaire de mode de l’« OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« nemen »), derrière les compléments (« hun bevelen » et « in acht »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez par exemple notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : BLIJF WEG OTT WEGBLIJVEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/11/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Blijf van de schuur weg ! » (« Reste loin de la grange ! »).
On y trouve la forme verbale « blijf … WEG », impératif présent provenant du verbe « WEGblijven », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « BLIJVEN ».
Quand « WEGblijven » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « WEG » de son infinitif proprement dit et il y a normalement REJET de cette particule séparable «WEG» (rendant une notion d’éloignement), derrière le complément (« van de schuur »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes comme une « particule séparable »), lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Pour comprendre pourquoi « BLIJVEN » donne « BLIJF » (tant à l’O.T.T. qu’au présent), jetez un coup d’œil à notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=radVerbes

Nom : WIL REJET MAKEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/11/2019

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Als de schroef draait, wil ik een proefvlucht maken » (« Si l’hélice tourne, je veux faire un vol d’essai »).
L’auxiliaire de mode de la VOLONTE » est l’infinitif « WILLEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « MOGEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (ici, « maken ») derrière le complément (« een proefvlucht »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Dans Ia mesure où la phrase subordonnée (introduite par « ALS ») joue le rôle d’un complément, cela engendre une INVERSION dans la phrase principale comme si elle commençait par un complément : le sujet « ik » y passe donc derrière le verbe « wil ».

Nom : ZAL ZULLEN REJET VLIEGEN 3 ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/11/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Weldra zal ik vliegen » (« Bientôt, je pourrai voler »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
La phrase commençant par un complément (« Weldra »), cela engendre une INVERSION, le sujet « ik » passant derrière le verbe « zal ». On aurait pu avoir la variante : « ik zal weldra vliegen »
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (« vliegen ») à la fin de la phrase, derrière le complément (« weldra »), et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : HAD OVT HEBBEN 3 ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/11/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je had de plannen niet nodig » (« Tu n’avais pas besoin des plans »).
On y trouve notamment la forme verbale « HAD », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « HEBBEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Notez que dans le cas de l’expression « nodig hebben », il y a REJET de « nodig », comme pour certaines formes verbales, derrière le complément (« de plannen ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Dans la phrase subordonnée de l’image (introduite par « DAT »), la forme verbale (« had ») est, comme d’habitude, séparée de son sujet (elle ne se trouve plus à côté de lui).

Nom : GEMONTEERD VTT MONTEREN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/11/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De schroef is (nu) gemonteerd » (« L’hélice est montée »).
On y trouve la forme verbale « gemonteerd », participe passé provenant de l’infinitif « MONTEREN ». Ce verbe « MONTEREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik monteer ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés : préfixe « GE » + « MONTEER » + « D » = « GEMONTEERD ».
Quand « MONTEREN » est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « gemonteerd » derrière le complément éventuel (« nu ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : STAAN VAST OTT VASTSTAAN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/11/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De draagvlakken staan (nu) vast » (« Les surfaces portantes sont fixées »).
On y trouve la forme verbale « STAAN … VAST » du verbe « VASTSTAAN », dit à « particule séparable », construit sur l’infinitif « STAAN ».
Quand il est conjugué, « VASTSTAAN » exige le REJET de la particule séparable « VAST », derrière le complément éventuel (« nu »), à la fin de la phrase.
Voir phénomène du REJET, entre autres :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : UITGEWERKT VTT UITWERKEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/11/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb mijn opvattingen uitgewerkt » (« J’ai concrétisé mes idées »).
On y trouve la forme verbale « UITgewerkt », participe passé provenant de l’infinitif « UITwerken », verbe dit à « particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « WERKEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K » (« ik werk »), on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Quand « UITwerken » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « uitGEwerkt ».
Il y a REJET de la forme verbale « UITgewerkt » derrière le complément (« mijn opvattingen ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZAL ZULLEN REJET DUREN VLIEGEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/11/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hoelang zal deze spanning (voor mij) nog duren ? » («Combien de temps cette tension va-t-elle encore durer ? »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Il y a au FUTUR un REJET de l’autre forme verbale (« duren»), derrière le complément éventuel (« voor mij »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KON OVT KUNNEN REJET UITHOUDEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/11/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik kon het niet meer uithouden » (« Je ne pouvais plus y tenir »).
La forme verbale « KON » est le prétérit (SINGULIER) du verbe « KUNNEN » faisant ici l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers, au moins à l’O.V.T. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE », « KUNNEN » (donnant, à l’O.T.T. ou indicatif présent, un singulier « KAN »), comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), exige le REJET de l’autre forme verbale (« uithouden »), derrière le complément (« het »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEVOLGD VTT VOLGEN 4 ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/11/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Indien de speurders je hebben gevolgd … » (« Si les enquêteurs t’ont suivie … »).
On y trouve notamment la forme verbale « gevolgd », participe passé provenant de l’infinitif « VOLGEN ». Ce verbe « VOLGEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik volg ») se terminant par la consonne « G », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés : préfixe « GE » + « VOLG » + « D » = « GEVOLGD ».
Il y a REJET de ce participe passé, derrière le complément (« je ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que, comme dans toutes les phrases subordonnées néerlandaises, le verbe (« hebben ») n’est plus à côté de son sujet (ici « de speurders »).

Nom : ZAL OTT ZULLEN REJET GAAN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/11/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het zal hard tegen hard gaan » (« cela va s’envenimer »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Il y a au FUTUR un REJET de l’autre forme verbale (« gaan»), derrière le complément (« hard tegen hard »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEWAPEND VTT WAPENEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/11/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « (Wij zullen met revolvers) flink gewapend (zijn) » (« Nous serons bien armés »).
On y trouve la forme verbale « gewapend », participe passé provenant de l’infinitif « WAPENEN ». Ce verbe « WAPENEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik wapen ») se terminant par la consonne « N », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés : préfixe « GE » « WAPEN » + « D » = « GEWAPEND ».
Le participe passé « GEWAPEND » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« flink »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MOETEN REJET LOKKEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/11/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We moeten hen uit hun domein lokken) » (« Nous devons les attirer hors de leur domaine »).
L’auxiliaire de mode de l’« OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« lokken »), derrière les compléments (« hen » et « uit hun domein »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KAN KUNNEN REJET LEIDEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/11/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Een bezetenheid kan ver leiden » (« Une possession => idée fixe peut mener loin »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« leiden »), derrière le complément (« ver »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait pu avoir « MAG », singulier de l’infinitif « MOGEN», l’auxiliaire de mode de la « POSSIBILITE » :
« Een bezetenheid mag ver leiden ».

Nom : BETAALD VTT BETALEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/11/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Die verkoudheid zet ik Pieter (= hem) nog betaald » (« Ce refroidissement, je le mets encore à payer pour lui => sur son compte »).
Rappelons tout d’abord que, dans le cas des verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve ici, dans une tournure de phrase (peu fréquente) à structure de passé composé (mais rendant une notion de futur) la forme verbale « BEWEZEN », participe passé provenant de l’infinitif « BETALEN ». Ce verbe « BETALEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik betaal ») se terminant par la consonne « L », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés : « BETAAL » + « D » = « BETAALD ».
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« hem »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Die verkoudheid »), cela engendre une INVERSION, le sujet « ik » passant derrière le verbe « zet ». On aurait pu avoir la variante : « ik zet die verkoudheid hem nog betaald ».

Nom : ZULLEN REJET WEREN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/11/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Vanaf nu zullen we elke indringer hardhandig weren » (« A partir de maintenant, nous allons repousser fermement chaque / tout intrus »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Il y a au FUTUR un REJET de l’autre forme verbale (« weren »), derrière les compléments (« elke indringer » et « hardhandig »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Vanaf nu »), cela engendre une INVERSION, le sujet « we » passant derrière le verbe « zullen ». On aurait pu avoir la variante : « we zullen elke indringer hardhandig vanaf nu weren ».

Nom : ZULLEN REJET HOUDEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 31/10/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Vanaf nu zullen we de wacht houden » (« A partir de maintenant, nous allons tenir => monter la garde »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Il y a au FUTUR un REJET de l’autre forme verbale (« houden »), derrière le complément (« de wacht »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Vanaf nu »), cela engendre une INVERSION, le sujet « we » passant derrière le verbe « zullen ». On aurait pu avoir la variante : « we zullen de wacht vanaf nu houden ».

Nom : BEWEZEN VTT BEWIJZEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 30/10/2019

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Als zijn onschuld (na het onderzoek) (wordt) bewezen wordt, zullen we triomferen » (« Si son innocence est prouvée, nous triompherons »).
Rappelons tout d’abord que, dans le cas des verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve ici, à la fin de la phrase subordonnée, la forme verbale « BEWEZEN », participe passé (utilisé avec l’équivalent d’un passé composé) provenant de l’infinitif « BEWIJZEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé « BEWEZEN » se construit sur le PLURIEL du prétérit (et, dans ce cas-ci, est identique). Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé (la plus nombreuse étant précisément celle des « IJ ») :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« na het onderzoek »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est à la voix passive (avec une structure comme un passé composé) puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : JOEG OVT JAGEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 29/10/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik begrijp echter niet waarom je hen over dat muurtje joeg » (« Je ne comprends vraiment pas pourquoi tu les as chassés => envoyés par-dessus / au-delà / de l’autre côté de ce petit mur »).
On y trouve, dans la phrase subordonnée (introduite par « WAAROM »), la forme verbale « JOEG », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « JAGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
C’est parce que le verbe « JOEG » évolue dans le contexte d’une phrase subordonnée, qu’il n’est plus à côté de son sujet « je ».

Nom : WAS OVT ZIJN 10 ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/10/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat was op tijd » (« C’était à temps »).
On y trouve la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIJN », qui constitue vraisemblablement le verbe le plus irrégulier de la langue néerlandaise.
C’est logique : plus on utilise un mot, plus la prononciation le déforme au fil du temps …
Le verbe « ZIJN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : HOEPEL OP IMPERATIF OPHOEPELEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/10/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hoepel (van hier) op ! » (« Fichez le camp ! »).
On y trouve la forme verbale « hoepel … OP », impératif présent provenant du verbe « OPhoepelen », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « HOEPELEN ».
Quand « OPhoepelen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit et il y a REJET de cette particule séparable « OP » derrière le complément éventuel (« van hier »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes comme une « particule séparable »), lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : DOE WEG IMPERATIF WEGDOEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/10/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Doe dat pistool weg ! » (« Jette ce pistolet ! »).
On y trouve la forme verbale « doe … WEG », impératif présent provenant du verbe « WEGdoen », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « DOEN ».
Quand « WEGdoen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « WEG » de son infinitif proprement dit et il y a REJET de cette particule séparable «WEG» (rendant une notion d’éloignement), derrière le complément (« dat pistool»), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes comme une « particule séparable »), lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que « pistool » est du genre neutre, son déterminant défini (« dat ») se terminant par « T » parce que dérivant de « HET ».

Nom : KAN KUNNEN REJET DOEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/10/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat kan je (met jouw pistool) niet doen » (« Comment peux-tu voir / es-tu capable de voir à une telle distance aussi nettement ? »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« doen »), derrière le complément éventuel (« met jouw pistool »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un (autre) complément (« Dat »), cela entraîne une INVERSION du sujet « je » qui passe derrière son verbe « kan ».
Notez que l’on aurait dû avoir « MAG », singulier de l’infinitif « MOGEN», l’auxiliaire de mode de la « PERMISSION » :
« Dat mag je (met jouw pistool) niet doen ».

Nom : MOETEN REJET OPHOEPELEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/10/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « je moet als de bliksem ophoepelen » (« tu dois déguerpir comme l’éclair => disparaître à la vitesse de l’éclair »).
L’auxiliaire de mode de l’« OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« ophoepelen »), derrière le complément (« als de bliksem »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Dans l’image INFRA, le verbe « MOETEN » se trouve dans le contexte d’une phrase subordonnée (introduite par « DAT ») et, pour cette raison, n’est plus à côté de son sujet « je ».

Nom : GEPLEEGD VTT PLEGEN 2 ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/10/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Er werden aanslagen op mij gepleegd = Aanslagen werden op mij gepleegd » (« On a perpétré / Il y a des attentats qui ont été perpétrés contre moi »).
On y trouve notamment la forme verbale « gepleegd », participe passé provenant de l’infinitif « PLEGEN ». Ce verbe « PLEGEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik pleeg ») se terminant par la consonne « G », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés : préfixe « GE » + « PLEEG » + « D » = « GEPLEEGD ».
Il y a REJET de ce participe passé, derrière le complément (« op mij ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est à la voix passive puisque l’auxiliaire « WORDEN » (ici, au prétérit ou O.V.T.) est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : ZULLEN REJET BEZORGEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/10/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wij zullen de speurders wat afleiding bezorgen » (« Nous allons fournir aux enquêteurs un peu de distractions / de quoi se distraire »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Il y a au FUTUR un REJET de l’autre forme verbale (« bezorgen »), derrière les compléments (« de speurders » et « wat afleiding »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : REN TERUG IMPERATIF TERUGRENNEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/10/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ren langs de holle weg naar huis terug » (« Retourne rapidement à la maison / chez toi le longs du chemin creux »).
On y trouve la forme verbale « ren … TERUG », provenant de l’infinitif « TERUGrennen », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « RENNEN ».
Quand « TERUGrennen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERUG » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET derrière les compléments (« langs de holle weg » et « naar huis »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET, lisez :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : AANGEKOMEN VTT AANKOMEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/10/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze (Nummer 17 en een Schotse speurder ) zijn (in het havenkwartier) aangekomen » (« Ils sont arrivés »).
On y trouve la forme verbale « AANgekomen », participe passé provenant de l’infinitif « AANkomen », lui-même construit sur l’infinitif « KOMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « AANkomen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGEkomen ».
Il y a REJET de la forme verbale « AANgekomen » derrière le complément éventuel (« in het havenkwartier ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : INGEWONNEN VTT INWINNEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/10/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We hebben in het havenkwartier inlichtingen ingewonnen » (« Nous avons glané des informations dans le quartier du port »).
On y trouve la forme verbale « INgewonnen », participe passé construit sur le pluriel du prétérit ou O.V.T. (« we wonnen ») et provenant de l’infinitif « INwinnen », lui-même construit sur l’infinitif « WINNEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « INwinnen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « IN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « inGEwonnen ».
Il y a REJET de la forme verbale « INgewonnen » derrière les compléments (« in het havenkwartier » et « inlichtingen ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : GEVOLGD VTT VOLGEN 3 ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/10/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je wordt (door iemand) gevolgd » (« Tu es suivie »).
On y trouve notamment la forme verbale « gevolgd », participe passé provenant de l’infinitif « VOLGEN ». Ce verbe « VOLGEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik volg ») se terminant par la consonne « G », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés : préfixe « GE » + « VOLG » + « D » = « GEVOLGD ».
Il y a REJET de ce participe passé, derrière le complément éventuel (« door iemand ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est à la voix passive puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : GEVOLGD VTT VOLGEN 2 ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/10/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik word (door iemand) gevolgd » (« Je suis suivie »).
On y trouve notamment la forme verbale « gevolgd », participe passé provenant de l’infinitif « VOLGEN ». Ce verbe « VOLGEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik volg ») se terminant par la consonne « G », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés : préfixe « GE » + « VOLG » + « D » = « GEVOLGD ».
Il y a REJET de ce participe passé, derrière le complément éventuel (« door iemand ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est à la voix passive puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : ZAL ZULLEN REJET LEIDEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/10/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij zal ons naar hem (Hendrik) leiden » (« elle va nous conduire vers lui »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Il y a au FUTUR un REJET de l’autre forme verbale (« leiden »), derrière les compléments (« ons » et « naar hem »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : LATEN WE REJET SCHADUWEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/10/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Laten we haar (Aletta) schaduwen ! » (« Surveillons-la dans l’ombre ! »).
N’oublions pas que la tournure « LATEN we » (littéralement « Laissons-nous ») de la première personne du pluriel de l’IMPERATIF présent exige un REJET de l’infinitif (« plegen»), derrière le complément (« haar »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEPLEEGD VTT PLEGEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/10/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Misschien hebben zij die aanslagen op jou wel gepleegd » (« Peut-être ont-ils perpétré ces attentats contre toi »).
On y trouve notamment la forme verbale « gepleegd », participe passé provenant de l’infinitif « PLEGEN ». Ce verbe « PLEGEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik pleeg ») se terminant par la consonne « G », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés : préfixe « GE » + « PLEEG » + « D » = « GEPLEEGD ».
Il y a REJET de ce participe passé, derrières les compléments (« die aanslagen », « op jou » et « wel ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément, cela engendre une INVERSION : le sujet « zij » passe derrière le verbe « hebben ».

Nom : KUNNEN REJET KRIJGEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/10/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Jullie kunnen deze avond geen soep krijgen » (« Vous ne pouvez pas recevoir une => pas de soupe ce soir »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« krijgen»), derrière les compléments (« deze avond » et « geen soep »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait pu avoir « MOGEN », l’auxiliaire de mode de la « POSSIBILITE » : « Jullie mogen deze avond geen soep krijgen ».
N’oubliez pas que la négation, devant un nom néerlandais, est rendue par « geen », équivalent de « pas un(e) ».

Nom : GENOMEN VTT NEMEN 2 ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/10/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij heeft twee vagebonden in dienst genomen » (« Il a pris deux vagabonds en service => à son service »).
On y trouve la forme verbale « GENOMEN », participe passé provenant de l’infinitif « NEMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GENOMEN » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« twee vagebonden » et « in dienst »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET, lisez notre synthèse, également en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : WEES IMPERATIF ZIJN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/10/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Wees voorzichtig ! » (« Sois prudent ! »).
On y trouve la forme verbale « WEES », impératif provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » pour donner le participe passé « GEWEEST ».
Pour complément d’informations, consultez notamment notre tableau de synthèse « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre notamment trois autres grandes catégories de verbes irréguliers au passé : https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : HOORDE OVT HOREN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/10/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik hoorde jullie toevallig praten » (« je vous entendais par hasard parler »).
Ce verbe « HOREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik hoor ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit : « HOOR » + « DE » = « HOORDE ».

Nom : AFGELUISTERD VTT AFLUISTEREN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/10/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We worden (door iemand) afgeluisterd » (« Nous sommes écoutés »).
On y trouve la forme verbale « AFgeluisterd », participe passé provenant de l’infinitif « AFluisteren », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « LUISTEREN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « R » (« ik luister »), on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire.
Quand « AFluisteren » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, le préfixe « GE- » (commun à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « afGEluisterd ».
Il y a REJET de la forme verbale « AFgeluisterd » derrière le complément éventuel («door iemand ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase subordonnée est à la voix passive puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : MOETEN REJET SCHADUWEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/10/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We moeten de herberg schaduwen) » (« Nous devons surveiller l’auberge dans l’ombre »).
L’auxiliaire de mode de l’« OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« schaduwen »), derrière le complément (« de herberg »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : WAS OVT ZIJN 9 ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/10/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maar blijkbaar was het niet zonder gevaar » (« Ce n’était vraisemblablement pas sans danger »).
On y trouve la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIJN », qui constitue vraisemblablement le verbe le plus irrégulier de la langue néerlandaise.
C’est logique : plus on utilise un mot, plus la prononciation le déforme au fil du temps …
Le verbe « ZIJN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
La phrase commençant par un complément (« Maar blijkbaar »), cela engendre une INVERSION, le sujet « het » passant derrière le verbe « was ». On aurait pu avoir la variante : « Het was blijkbaar niet zonder gevaar ».

Nom : GELEVERD VTT LEVEREN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/10/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je hebt al goed werk geleverd » (« Tu as déjà livré => fourni du bon travail »).
On y trouve la forme verbale « geleverd », participe passé provenant de l’infinitif « LEVEREN ». Ce verbe « LEVEREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik lever ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés :
préfixe « GE » + « LEVER » + « D » = « GELEVERD ».
Quand « HOREN » est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « geleverd » derrière les compléments (« al » et « goed werk ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : DEINZEN TERUG OTT TERUGDEINZEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/10/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze deinzen voor niets terug » (« Ils ne reculent devant rien »).
On y trouve la forme verbale « deinzen … TERUG », provenant de l’infinitif « TERUGdeinzen », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « DEINZEN ».
Quand « TERUGdeinzen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERUG » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET derrière le complément (« voor niets »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET, lisez :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MOETEN REJET DELEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/10/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «anders moeten we de premie delen » (« autrement nous devons partager la prime »).
L’auxiliaire de mode de l’« OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« delen »), derrière le complément («de premie »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Dans Ia mesure où la phrase commence par un autre complément (« anders »), il y a une INVERSION : le sujet « we » passe derrière le verbe « moeten ». On aurait en effet aussi pu dire : « we moeten de premie anders delen ».

Nom : KAN KUNNEN REJET SPRINGEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/10/2019

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Nummer 17 die nog net op tijd opzij kan springen » (« Numéro 17 qui, juste à temps, peut sauter sur le côté »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« springen »), derrière les compléments (« nog net op tijd » et « opzij »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait pu avoir « MAG », singulier de l’infinitif « MOGEN», l’auxiliaire de mode de la « POSSIBILITE » :
« Hij mag nog net op tijd opzij springen ».

Nom : KOMT AF OTT AFKOMEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/10/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Plots komt een automobiel in volle snelheid recht op nummer 17 af » (« Soudain une automobile arrive à pleine vitesse / à toute allure droit / directement sur numéro 17 »).
On y trouve la forme verbale « komt … AF », qui provient de l’infinitif « AFkomen », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « KOMEN ».
Quand « AFkomen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de sa forme verbale proprement dite et cette particule séparable « AF », composante du verbe, fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments, à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe ou d’une de ses composantes, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Dans Ia mesure où la phrase commence par un complément (« Plots »), il y a une INVERSION : le sujet « een automobiel » passe derrière le verbe « komt ». On aurait en effet aussi pu dire : « een automobiel komt plots in volle snelheid recht op nummer 17 af ».

Nom : ZULLEN REJET KOMEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/10/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Net als hij zullen zij slechts door het offer van een mensenleven tot rust komen » (« Tout comme lui, ils ne trouveront le repos que par le sacrifice d’une vie humaine »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Il y a au FUTUR un REJET de l’autre forme verbale (« komen »), derrière les compléments (« door het offer van een mensenleven » et « tot rust »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Net als hij »), cela engendre une INVERSION, le sujet « zij » passant derrière le verbe « zullen ». On aurait pu avoir la variante : « Zij zullen net als hij slechts door het offer van een mensenleven tot rust komen ».

Nom : GEZIEN VTT ZIEN 6 ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 30/09/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb de geest gezien » (« J’ai vu l’esprit / le revenant »).
On y trouve notamment, dans une phrase subordonnée relative (introduite par « DIE »), la forme verbale « geZIEN », participe passé provenant de l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’INFINITIF.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « de geest »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZAL ZULLEN REJET VLIEGEN 2 ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 29/09/2019

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « (Ik geloof wel ») dat de mens eens zal vliegen » (« je crois bien que l’homme va pouvoir / pourra voler un jour »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Dans la phrase subordonnée (introduite par « DAT »), il y a ici au FUTUR un REJET de l’autre forme verbale (« vliegen»), derrière le complément (« eens »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Rappelons que, dans une phrase subordonnée néerlandaise, le verbe n’est plus à côté de son sujet (« de mens »). On aurait pu avoir : « de mens zal eens vliegen ».

Nom : BEZETEN VTT BEZITTEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/09/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Hendrik) is van de stoomvliegmachine bezeten » (« Il est possédé / obsédé par la machine volante à vapeur »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER- GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve donc ici notamment la forme verbale « BEZETEN », participe passé provenant de l’infinitif « BEZITTEN », lui-même construit sur « ZITTEN » qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers aux temps du passé (O.V.T. et V.T.T.) et dont le participe passé est « GEZETEN ».
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre notamment ces trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« van de stoomvliegmachine »), à la fin de la phrase. Voir le phénomène du REJET, entre autres à :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VERDWENEN VTT VERDWIJNEN 4 ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/09/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij (Aletta) is verliefd op de verdwenen Hendrik » (« Elle est amoureuse du Hendrik qui a disparu »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER- GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve donc ici notamment la forme verbale « VERDWENEN », participe passé (utilisé ici comme adjectif épithète) provenant de l’infinitif « VERDWIJNEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers et, parmi eux, d’une catégorie importante de verbes irréguliers, celle des « IJ » donnant des « E » aux temps du passé (O.V.T. et V.T.T.).
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre notamment ces trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : KAN KUNNEN REJET KRIJGEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/09/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Nummer 17) kan haar (Knier) aan het praten krijgen » (« Il la reçoit à parler => il parvient à la faire parler »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« krijgen »), derrière les compléments (« haar » et « aan het praten »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait pu avoir « MAG », singulier de l’infinitif « MOGEN», l’auxiliaire de mode de la « POSSIBILITE » :
« Hij mag haar aan het praten krijgen ».

Nom : MOETEN REJET VOELEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/09/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Die moet ik even aan de tand voelen » (« Celle-là, je dois la sentir avec ma dent => lui tirer les vers du nez »).
L’auxiliaire de mode de l’« OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« voelen »), derrière les compléments (« even » et « aan de tand »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Die »), cela engendre une INVERSION, le sujet « ik » passant derrière le verbe « moet ». On aurait en effet aussi pu avoir la variante : « ik moet die even aan de tand voelen ».

Nom : SPOOKT ROND OTT RONDSPOKEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/09/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Rond de herberg spookt de gedaante … (regelmatig) rond » (« Le spectre erre régulièrement autour de l’auberge »)
On y trouve la forme verbale « spookt … rond », qui provient de l’infinitif « RONDSPOKEN », verbe dit à « particule séparable », lui-même construit sur « SPOKEN ».
Lorsque « RONDSPOKEN » est conjugué, cela entraîne le REJET de la « particule séparable » « ROND », derrière le complément éventuel (« regelmatig »), à la fin de la phrase. Voir le phénomène du REJET, entre autres à :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Rond de herberg»), cela engendre une INVERSION, le sujet « de gedaante » passant derrière le verbe « spookt ». On aurait en effet aussi pu avoir la variante : « de gedaante spookt rond de herberg (regelmatig) rond ».

Nom : HOUDT SCHUIL OTT SCHUILHOUDEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/09/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij houdt zich daar schuil » (« il se cache là »)
On y trouve la forme verbale « houdt … schuil », qui provient de l’infinitif « SCHUILHOUDEN », verbe dit à « particule séparable », lui-même construit sur « HOUDEN ».
Lorsque « SCHUILHOUDEN » est conjugué, cela entraîne le REJET de la particule séparable « UIT », derrière le complément (« daar »), à la fin de la phrase. Voir le phénomène du REJET, entre autres à
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que si cette forme verbale se présente différemment dans l’extrait de BD ci-dessous, c’est parce qu’elle se trouve dans une phrase subordonnée (introduite par « DAT »), où verbe et « particule séparable » sont « fusionnés », à la fin de la phrase.

Nom : BAAT UIT OTT UITBATEN 2 ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/09/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De vader baat een herberg in de duinen uit » (« le père de Hendrik exploite une auberge dans les dunes »)
On y trouve la forme verbale « baat … uit », qui provient de l’infinitif « UITBATEN », verbe dit à « particule séparable », lui-même construit sur « BATEN ».
Lorsque « UITBATEN » est conjugué, cela entraîne le REJET de la particule séparable « UIT », derrière les compléments (« een herberg » et « in de duinen »), à la fin de la phrase. Voir le phénomène du REJET, entre autres à
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que le complément d’objet direct (« een herberg ») devrait précéder celui introduit par une préposition (« in de duinen »).

Nom : KIJKT DOOR OTT DOORKIJKEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/09/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Enkele dagen later kijkt hij de verzamelde informatie door » (« Quelques jours plus tard, il parcourt l’information collectée »).
On y trouve la forme verbale « kijkt … DOOR », provenant de l’infinitif « DOORkijken », verbe dit « à particule séparable » lui-même construit sur l’infinitif « KIJKEN ».
Quand « DOORkijken » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « DOOR » de son infinitif proprement dit et il y a son REJET derrière le complément (« de verzamelde informatie »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Enkele dagen later »), cela a entraîné une INVERSION du sujet « hij » passant derrière son verbe « kijkt ». On aurait en effet pu avoir la variante suivante : « Hij kijkt de verzamelde informatie enkele dagen later door »

Nom : WAS OVT ZIJN 8 ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/09/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat was een opvallende verwelkoming » (« C’était un accueil marquant »).
On y trouve la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIJN », qui constitue vraisemblablement le verbe le plus irrégulier de la langue néerlandaise.
C’est logique : plus on utilise un mot, plus la prononciation le déforme au fil du temps …
Le verbe « ZIJN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Notez la construction, à partir d’un infinitif néerlandais, d’un participe présent (devenant ici un adjectif) : « OPVALLEN » + « D » + « E » => « opvallende ».

Nom : OPGEKLAUTERD VTT OPKLAUTEREN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/09/2019

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Eer de speurder de dijk weer is opgeklauterd, zijn de aanvallers weg ! » (« Avant que le détective ait gravi à nouveau la digue, les agresseurs sont partis »).
On y trouve, dans la phrase subordonnée (introduite par « Eer »), la forme verbale « opgeklauterd », participe passé provenant de l’infinitif « OPklauteren », lui-même construit sur l’infinitif « KLAUTEREN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (ou première personne du présent : « ik klauter op ») se terminant par la consonne « R », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire. Quand « OPklauteren » est conjugué comme participe passé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opgeklauterd ».
Il y a REJET de la forme verbale « opgeklauterd » derrière les compléments (« de dijk » et « weer ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MISLUKT VTT MISLUKKEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/09/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het is (voor ons) mislukt ! » (« C’est échoué => raté ! »).
Rappelons tout d’abord que, au participe passé, les verbes commençant par les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER-, NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais. C’est aussi le cas du préfixe MIS-. On trouve ici la forme verbale « mislukt », participe passé provenant de l’infinitif « MISLUKKEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T. : « ik misluk ») se terminant par la consonne « K », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire : (ici sans le préfixe « GE ») + « MISLUK » + « T » = « MISLUKT ». Quand «MISLUKKEN» est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, il y a REJET de son participe passé « mislukt » derrière le complément éventuel (« voor ons ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEWOND VTT WONDEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/09/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik ben nu gewond » (« Je suis maintenant blessé »).
On y trouve la forme verbale « gewond », participe passé provenant de l’infinitif « WONDEN ». Ce verbe « WONDEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik wond ») se terminant (déjà) par la consonne « D », on trouvera a fortiori le « D » majoritaire (qui ne sera pas doublé en fin de mot) comme terminaison des participes passés :
préfixe « GE » + « WON(D) » + « D » = « GEWOND ».
Quand « WONDEN » est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « gewond » derrière le complément éventuel (« nu ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZAG OVT ZIEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/09/2019

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik geloof dat ik hem nog zag bewegen » (« Je pense que je le vis = l’ai vu encore bouger »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée (introduite par « DAT »), la forme verbale « ZAG », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé : http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
ATTENTION : Beaucoup d’apprenants croient que la forme verbale « ZAG », provient de l’infinitif « ZEGGEN », également irrégulier à l’O.V.T. …
N’oubliez pas que, dans une phrase subordonnée néerlandaise, la forme verbale n’est plus à côté de son sujet et fait l’objet d’un REJET, au moins derrière le complément (« hem »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GERICHT VTT RICHTEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/09/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Vanuit de automobiel wordt een pistool op de speurder gericht » (« De l’automobile, un pistolet est pointé sur le détective »).
On y trouve la forme verbale « gericht », participe passé provenant de l’infinitif « RICHTEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T. : « ik richt ») se terminant déjà par la consonne « T », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire : préfixe « GE » + « RICHT = « GERICHT ».
Quand « RICHTEN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, il y a REJET de son participe passé « gericht » derrière le complément (« op de speurder ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément, il engendre une INVERSION : le sujet « een pistool » passe derrière le verbe « wordt ». On aurait en effet aussi pu dire : « Een pistool wordt op de speurder vanuit de automobiel gericht ».
La phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : STOMDRONKEN GEDRONKEN VTT DRINKEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/09/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Die zijn zeker stomdronken = hebben zeker stom gedronken »
(« Ces types sont certainement tout à fait saouls = ont certainement bu comme des trous »)
Le verbe « DRINKEN », comme d’autres verbes irréguliers néerlandais, fait l’objet des « temps primitifs » aux temps du passé. Presque tous ces verbes en « I » donnent, aux temps du passé, une voyelle « O » (« DRONK » au singulier du prétérit => « DRONKEN » au PLURIEL). Il est à noter que le participe passé « GEDRONKEN » se construit normalement sur le PLURIEL du prétérit ou O.V.T. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
L’adjectif attribut « stomdronken » a été construit en s’inspirant du participe passé, « stom » réagissant comme la particule de verbes dits « à particule », mais ici non séparable et donc il n’y a pas le préfixe « GE » de la majorité des participes passés.

Nom : JAGEN OP OTT OPJAGEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/09/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze jagen me de dijk op » (« Ils me refoulent vers la digue »)
On y trouve la forme verbale « jagen … op », qui provient de l’infinitif « OPJAGEN », verbe dit à « particule séparable », lui-même construit sur « JAGEN ».
Lorsque « OPJAGEN » est conjugué, cela entraîne le REJET de la « particule séparable » « OP », derrière les compléments (« me » et « de dijk »), à la fin de la phrase. Voir le phénomène du REJET, entre autres à :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : SLAAN TOE OTT TOESLAAN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/09/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Slaan we nu toe ? » (« Frappons-nous maintenant ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « slaan … toe » à l’O.T.T. (ou présent), provenant de l’infinitif « TOESLAAN », verbe dit « à particule séparable) lui-même construit sur « SLAAN ».
Quand « TOEslaan » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TOE » (provenant de la préposition « tot ») de son infinitif proprement dit et REJET de la particule « TOE », derrière le complément (« nu »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEVOLGD VTT VOLGEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/09/2019

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij merkt niet dat hij door een auto (wordt) gevolgd wordt » (« Il ne remarque pas qu’il est suivi par une auto »).
On y trouve, dans la phrase subordonnée (introduite par « DAT »), la forme verbale « gevolgd », participe passé provenant de l’infinitif « VOLGEN ». Ce verbe « VOLGEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik volg ») se terminant par la consonne « G », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés : préfixe « GE » + « VOLG » + « D » = « GEVOLGD ».
Il y a REJET de ce participe passé, derrière le complément (« door een auto ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase subordonnée est à la voix passive puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ». Notez que, comme dans toutes les phrases subordonnées néerlandaises, le verbe (« wordt ») n’est plus à côté de son sujet (ici « hij »).

Nom : GEMAAKT VTT MAKEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/09/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Om de aandacht niet te trekken, heb ik (Hendrik’s vader) een afspraak … in een herberg in de haven) gemaakt » (« Pour ne pas attirer l’attention, j’ai fixé un rendez-vous … dans une auberge du port »).
On y trouve la forme verbale « gemaakt », participe passé provenant de l’infinitif « MAKEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (« ik maak », première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire : « GE » + « MAAK » + « T » = « GEMAAKT ».
Quand « MAKEN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, il y a REJET de son participe passé « gemaakt» derrière les compléments (« een afspraak » et « in een herberg ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
C’est dans Ia mesure où l’autre phrase joue le rôle d’un complément que cela engendre une INVERSION dans la phrase principale : le sujet « ik » passe derrière le verbe « heb ».

Nom : OMTE TREKKEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/09/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Om de aandacht niet te trekken … » (« Pour ne pas attirer l’attention … »).
Rappelons que « POUR » devant les verbes est rendu en langue néerlandaise par un double mot : « OM … TE ». Le complément « de aandacht » s’intercale entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « trekken ».

Nom : BAAT UIT OTT UITBATEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/09/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Volgens mijn informatie baat hij (Hendrik’s vader) een herberg (in de duinen) uit » (« D’après mes informations, le père de Hendrik exploite une auberge dans les dunes »)
On y trouve la forme verbale « baat … uit », qui provient de l’infinitif « UITBATEN », verbe dit à « particule séparable », lui-même construit sur « BATEN ».
Lorsque « UITBATEN » est conjugué, cela entraîne le REJET de la « particule séparable » « UIT », derrière le complément (« een herberg »), à la fin de la phrase. Voir le phénomène du REJET, entre autres à :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément, cela engendre une INVERSION, le sujet « hij » passant derrière le verbe « baat ». On aurait en effet aussi pu avoir la variante : « Hij baat een herberg volgens mijn informatie uit ».

Nom : KOMT AAN OTT AANKOMEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/09/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Die avond komt hij (nummer 17) in het nabije havenstadje aan » (« Ce soir-là, il arrive dans la petite ville portuaire proche »)
On y trouve la forme verbale « komt … aan », qui provient de l’infinitif « AANKOMEN », verbe dit à « particule séparable », lui-même construit sur « KOMEN ».
Lorsque « AANKOMEN » est conjugué, cela entraîne le REJET de la « particule séparable » « AAN », derrière le complément (« in het nabije havenstadje »), à la fin de la phrase. Voir le phénomène du REJET, entre autres à :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément, cela engendre une INVERSION, le sujet « hij » passant derrière le verbe « komt ». On aurait en effet aussi pu avoir la variante : « Hij komt die avond in het nabije havenstadje aan ».

Nom : ZOU REJET STERVEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/09/2019

Description : La (double) phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Indien hij (na de diefstal) zou sterven, is dat een ramp voor jou » (« S’il mourait, c’est / ce serait une catastrophe pour toi »).
L’auxiliaire du CONDITIONNEL est l’infinitif « ZOUDEN », donnant un singulier « ZOU » ; il est, en quelque sorte, l’« imparfait » (O.V.T. ou prétérit) de l’auxiliaire du FUTUR, « ZULLEN ».
Au CONDITIONNEL, il y a normalement REJET de l’autre forme verbale (« sterven »), derrière le complément (« na de diefstal »), et donc à l’INFINITIF, à la fin de la phrase : « Hij zou na de diefstal sterven ». Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
C’est dans Ia mesure où la phrase subordonnée joue le rôle d’un complément que cela engendre une INVERSION dans la phrase principale, le sujet « dat » y passant derrière le verbe « is ». On aurait en effet aussi pu avoir la variante : « dat is een ramp voor jou ».

Nom : ZULLEN REJET BESCHERMEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/09/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wij zullen je beschermen » (« Nous allons te protéger »)
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale à la fin de la phrase, derrière le complément (« je »), et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : AANGEDREVEN VTT AANDVRIJVEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/09/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De schroef wordt door stoomkracht AANgedrEven » (« L’hélice est actionnée par la force de la vapeur »).
On y trouve notamment la forme verbale « AANGEDREVEN », participe passé provenant de l’infinitif « AANDRIJVEN », lui-même construit sur l’infinitif « DRIJVEN » qui, comme presque tous les verbes en « IJ », donne aux temps du passé une voyelle « E ». Il est à noter que le participe passé « GEDREVEN » se construit sur le PLURIEL du prétérit ou O.V.T. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « AANDRIJVEN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGEdreven ».
Le participe passé « AANgedreven » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« door de stoomkracht »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : UITEENZETTEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/09/2019

Description : La (double) phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik ben bijna klaar (om) met mijn theorie over het vliegen uiteen te zetten » (« Je suis presque prêt pour / à mettre un point final à ma théorie concernant le vol »)
On y trouve notamment la forme verbale « UITEEN … zetten », provenant de l’infinitif « UITEENzetten », verbe dit à « particule séparable », lui-même construit sur le verbe « ZETTEN ». Quand ce verbe « UITEENzetten » est « conjugué », la particule « UITEEN » se sépare de l’infinitif « ZETTEN ». Nous avons ici affaire à une tournure de phrase comme celle où est utilisé « POUR » devant les verbes, rendu en langue néerlandaise par un double mot : « OM … TE ». Comme un complément, le « TE » s’intercale entre la particule « UITEEN » et l’infinitif « ZETTEN ». Dans la variante suivante, on voit bien qu’il pourrait y avoir REJET de la particule « UITEEN », derrière le complément, à la fin de la phrase : « Ik zet mijn theorie over het vliegen uiteen ». Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZAL ZULLEN REJET KUNNEN VLIEGEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/09/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De mens zal zelfs eens kunnen vliegen » (« L’être humain pourra même voler un jour »)
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme (ici double) verbale (« kunnen vliegen ») à la fin de la phrase, derrière le complément (« eens »), et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZAL OTT ZULLEN REJET WORDEN VERVANGEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/09/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat alles zal door de motoren worden vervangen » (« Tout cela sera remplacé par les moteurs »)
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre / des autres forme(s) verbale(s) à la fin de la phrase, derrière le complément (« door de motoren »), et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : ZET DOOR OTT DOORZETTEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 31/08/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maar inmiddels zet ik (mijn werk) door » (« Mais, entretemps, je poursuis mon travail »).
On y trouve la forme verbale « zet … DOOR », provenant de l’infinitif « DOORzetten », verbe dit « à particule séparable » lui-même construit sur l’infinitif « ZETTEN ».
Quand « DOORzetten » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « DOOR » de son infinitif proprement dit et il y a son REJET derrière le complément éventuel (« mijn werk »), à la fin de la phrase, ce que l’on voit mieux dans cette variante : « Ik zet inmiddels mijn werk door »
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« inmiddels »), cela a entraîné une INVERSION du sujet « ik » passant derrière son verbe « zet ».

Nom : ZAL OTT ZULLEN REJET BEVESTIGEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 30/08/2019

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Als hij tot bewustzijn komt, zal hij mijn onschuld bevestigen » (« S’il reprend conscience, il confirmera mon innocence »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ». Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (« bevestigen »), derrière le complément (« mijn onschuld»), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase subordonnée (« Als hij tot bewustzijn komt ») jouant le rôle d’un complément commençant la phrase principale, cela entraîne dans cette dernière une INVERSION du sujet (« hij ») passant derrière son verbe « zal ».

Nom : HEEFT KUNNEN ZIEN DOUBLE INFINITIF ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 29/08/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij heeft zijn aanvaller kunnen zien » (« Il a pu voir son agresseur »).
La phrase est, en fait, au passé composé et la forme verbale de « KUNNEN » aurait dû être au participe passé mais on a ici affaire à ce que l’on appelle le « double infinitif », solution intéressante pour éviter les « temps primitifs » quand on ne les maîtrise pas.
Les deux infinitifs font l’objet d’un REJET, derrière le complément (« zijn aanvaller »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir plutôt l’auxiliaire de mode de la «POSSIBILITE », l’infinitif « MOGEN » :
« Hij heeft zijn aanvaller mogen zien ».

Nom : NEERGESLAGEN VTT NEERSLAAN 2 ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/08/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij werd niet langs achter neergeslagen » (« Il ne fut pas assommé par derrière »).
On y trouve la forme verbale « NEERgeslagen », participe passé provenant de l’infinitif « NEERslaan », lui-même construit sur l’infinitif « SLAAN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « NEERgeslagen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé (ici à la voix passive, avec WORDEN, au prétérit), cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « NEER » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « neerGEslagen ».
Il y a REJET de la forme verbale du participe passé « NEERgeslagen » à la fin de la phrase, derrière le complément (« langs achter »). Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VERTREKKEN VTT VERTROKKEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/08/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij was al naar het buitenland vertrokken » (« Il était déjà parti à l’étranger »).
Rappelons tout d’abord que, au participe passé, les verbes commençant par les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER-, NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve ici notamment la forme verbale « verTROKKEN », participe passé provenant de l’infinitif «verTREKKEN », lui-même construit sur « TREKKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Il est à noter que ce participe passé se construit sur le pluriel du prétérit (et est, ici, même identique) ou O.V.T. Voir notre tableau :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Il y a REJET du participe passé « verTREKKEN » derrière les compléments (« al » et « naar het buitenland »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZOU REJET KUNNEN ZIJN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/08/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wie zou de dief wel kunnen zijn ? » (« Qui pourrait bien être le voleur ? »).
L’auxiliaire du CONDITIONNEL est l’infinitif « ZOUDEN », donnant un singulier « ZOU » ; il est, en quelque sorte, l’« imparfait » (O.V.T. ou prétérit) de l’auxiliaire du FUTUR, « ZULLEN ».
Au CONDITIONNEL, il y a REJET de l’autre forme verbale (« kunnen »), derrière le complément (« wel »), et donc à l’INFINITIF, à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GESTOLEN VTT STELEN 2 ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/08/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De plannen werden (in zijn kantoor) gestolen » (« Les plans furent volés »).
On y trouve la forme verbale « GESTOLEN », participe passé provenant de l’infinitif « STELEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« in zijn kantoor »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse, également en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
On est ici à la voix passive, puisque l’auxiliaire est WORDEN (au prétérit) au lieu de « ZIJN ».
N’oubliez pas que, en langue néerlandaise, les participes passés sont invariables.

Nom : NEERGESLAGEN VTT NEERSLAAN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/08/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij werd daar neergeslagen » (« Il fut assommé là »).
On y trouve la forme verbale « NEERgeslagen », participe passé provenant de l’infinitif « NEERslaan », lui-même construit sur l’infinitif « SLAAN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « NEERgeslagen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé (ici à la voix passive, avec WORDEN, au prétérit), cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « NEER » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « neerGEslagen ».
Il y a REJET de la forme verbale du participe passé « NEERgeslagen » à la fin de la phrase, derrière le complément (« daar »). Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GING OVT GAAN TELEURGESTELD VTT TELEURSTELLEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/08/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Teleurgesteld ging hij naar zijn kantoor » (« Déçu il alla à son bureau »).
On y trouve la forme verbale « teleurgesteld », participe passé provenant de l’infinitif « TELEURSTELLEN », dit « à particule séparable ». Ce verbe « STELLEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik stel ») se terminant par la consonne « L », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés : préfixe « GE » + « STEL » + « D » = « GESTELD ».
Quand « TELEURSTELLEN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TELEUR » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « teleurgesteld ».
On y trouve aussi la forme verbale « GING » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant de l’infinitif « GAAN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Voir : http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
La phrase commençant par un complément (« Teleurgesteld »), cela entraîne une INVERSION du sujet « hij » qui passe derrière son verbe « ging ».

Nom : KANTELDE OVT KANTELEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/08/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Gedurende de eerste proefvlucht kantelde het vliegtuig» (« Pendant le premier vol d’essai, l’avion se renversa »).
Ce verbe « KANTELEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « gebeur ») se terminant par la consonne « L », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit : « KANTEL » + « DE » = « KANTELDE ».
La phrase commençant par un complément (« Gedurende de eerste proefvlucht »), cela entraîne une INVERSION du sujet « het vliegtuig» qui passe derrière son verbe « kantelde ».

Nom : MOETEN REJET NABOOTSEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/08/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We moeten de vlucht van de vogels niet nabootsen) » (« Nous ne devons pas simuler le vol des oiseaux »).
L’auxiliaire de mode de l’« OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« nabootsen »), derrière le complément (« de vlucht van de vogels »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEKREGEN VTT KRIJGEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/08/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb gelijk gekregen = ik had gelijk » (« J’ai reçu / eu = j’avais raison »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEKREGEN », participe passé utilisé avec un passé composé, provenant de l’infinitif « KRIJGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé « GEKREGEN » se construit sur le PLURIEL du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé (la plus nombreuse étant celle des « IJ ») :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« gelijk »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse, également en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : WAS OVT ZIJN 7 ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/08/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik was het niet eens » (« Je n’étais pas d’accord »).
On y trouve la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIJN », qui constitue vraisemblablement le verbe le plus irrégulier de la langue néerlandaise.
C’est logique : plus on utilise un mot, plus la prononciation le déforme au fil du temps …
Le verbe « ZIJN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Notez l’expression « Het eens zijn ».

Nom : GEBEURDE OVT GEBEUREN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/08/2019

Description : A phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hoe gebeurde de diefstal van de plannen ? » (« Comment eut lieu le vol des plans ? »).
Ce verbe « GEBEUREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « gebeur ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit :
« GEBEUR » + « DE » = « GEBEURDE ».

Nom : KAN OTT KUNNEN REJET VERTROUWEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/08/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik kan jullie vertrouwen » (« Je peux vous faire confiance »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« vertrouwen »), derrière le complément (« jullie »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir plutôt l’auxiliaire de mode de la «POSSIBILITE », l’infinitif « MOGEN » (avec « MAG » au singulier) :
« Ik mag jullie vertrouwen ».

Nom : OVERTUIGD VTT OVERTUIGEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/08/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik ben van Hendriks onschuld overtuigd » (« Je suis convaincu de l’innocence de Hendrik »).
On y trouve la forme verbale « overtuigd », participe passé provenant de l’infinitif « OVERTUIGEN ».
Ce verbe « OVERTUIGEN » est considéré « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik overtuig ») se terminant par la consonne « G », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés mais pas la particule «GE-» (commune à la majorité des participes passés) car il ne s’agit pas d’un verbe « à particule séparable ». On construit donc son participe passé comme suit : « OVERTUIG » + « D » = « OVERTUIGD ». Quand « OVERTUIGEN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, s’il s’était agi d’un verbe « à particule séparable », cela aurait pu entraîner une séparation de la particule « OVER » de son infinitif proprement dit et le «GE-» se serait intercalé entre eux.
Le participe passé « overtuigd » fait normalement l’objet d’un REJET, derrière le complément (« van Hendriks onschuld »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEBRUIK MAKEN OM TE ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/08/2019

Description : La (double) phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je maakt gebruik van de legende om de nieuwsgierigen op afstand te houden » (« Tu fais usage / tu utilises la légende pour tenir les curieux à distance => à l’écart »).
Rappelons que « POUR » devant les verbes est rendu en langue néerlandaise par un double mot : « OM … TE ». Dans la phrase subordonnée « infinitive », les compléments (« de nieuwsgierigen» et « op afstand ») s’intercalent entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « HOUDEN ».

Nom : VERTELD VTT VERTELLEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/08/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Joeki) heeft ons zijn ontdekking verteld » (« Il nous a raconté sa découverte »).
Rappelons tout d’abord que, au participe passé, les verbes commençant par les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER-, NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve ici la forme verbale « verteld », participe passé provenant de l’infinitif « VERTELLEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T.) se terminant par la consonne « L », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire.
Il y a REJET du participe passé «verteld » derrière les compléments (« ons » et « zijn ontdekking »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KONDEN OVT KUNNEN REJET VERMOEDEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/08/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat konden we wel vermoeden » (« Cela, nous pouvions le supposer »).
L’auxiliaire de mode de la CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN » et un O.V.T. (ou prétérit) « KON » (PLURIEL irrégulier « KONDEN »). Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (ici « vermoeden »), derrière le complément (« wel »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Le verbe « KUNNEN » fait l’objet (au seul prétérit ou O.V.T.) des « temps primitifs ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Dans Ia mesure où la phrase commence par un autre complément (« Dat »), ce dernier engendre une INVERSION : le sujet « we » passant derrière le verbe « konden ». On aurait en effet aussi pu dire : « We konden dat wel vermoeden ».

Nom : ONTDEKT VTT ONTDEKKEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/08/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Jullie hebben ons geheim ontdekt » (« Vous avez découvert notre secret »).
Rappelons tout d’abord que, au participe passé, les verbes commençant par les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER-, NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On y trouve ici notamment « ontdekt », participe passé provenant de l’infinitif « ONTDEKKEN », lui-même construit sur « DEKKEN », qui est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), mais fait partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik ontdek ») se terminant par la consonne « K », on trouvera le « T » minoritaire comme terminaison du participe passé : « ONTDEK » + « T » = « ONTDEKT ».
Il y a REJET du participe passé « ontdekt » derrière le complément (« ons geheim »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZAL OTT ZULLEN REJET LATEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/08/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik zal jullie niet langer in onzekerheid laten » (« Je ne vais pas vous laisser plus longtemps dans l’incertitude »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (« laten »), derrière le(s) complément(s) (« jullie », « niet langer » et « in onzekerheid »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs:
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez la construction du nom commun « onzekerheid » : adjectif « onzeker » + terminaison « heid »

Nom : MAG OTT MOGEN REJET ZIJN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/08/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wie mag hij (wel) zijn ? » (« Qui peut-il bien être ? »).
L’auxiliaire de mode de la POSSIBILITE » est l’infinitif « MOGEN », donnant un singulier « MAG ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« zijn »), derrière le complément éventuel (« wel »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : DOET AAN OTT AANDOEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/08/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij doet zijn geslacht eer aan » (« Il fait honneur à sa famille »).
On y trouve la forme verbale « DOET … AAN », provenant de l’infinitif « AANDOEN », verbe dit à « particule séparable », lui-même construit sur « DOEN ».
Quand « AANDOEN » est conjugué, cela entraîne le REJET de la particule séparable « AAN », derrière les compléments (« zijn geslacht » et « eer ») à la fin de la phrase.
Voir phénomène du REJET, entre autres :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez l’expression « zijn geslacht eer aandoen ».

Nom : GERED VTT REDDEN HAD OVT HEBBEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/08/2019

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik zou verdronken zijn als hij (de Vliegende Hollander) me niet (had) gered had» (« Je serais noyé s’il ne m’avait sauvé »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée (introduite par « ALS »), la forme verbale « gered », participe passé provenant de l’infinitif « REDDEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (« ik red », première personne du présent ou O.T.T.) se terminant a fortiori déjà par la consonne « D », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire.
Le participe passé « gered » fait l’objet d’un REJET derrière le complément (« me ») à la fin de la phrase subordonnée. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
On y trouve aussi la forme verbale « HAD », au plus-que-parfait, provenant de l’infinitif « HEBBEN », qui fait également l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.

Nom : VERDRONKEN VTT VERDRINKEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/08/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik zou (in de poel) verdronken zijn » (« Je serais noyé dans la mare »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER- GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve donc ici notamment la forme verbale « VERDRONKEN », participe passé (utilisé ici comme adjectif attribut) provenant de l’infinitif « VERDRINKEN », lui-même construit sur « DRINKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers et, parmi eux, d’une catégorie importante de verbes irréguliers, celle des « I » donnant des « O » aux temps du passé (O.V.T. et V.T.T.).
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre notamment ces trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
L’auxiliaire du CONDITIONNEL est l’infinitif « ZOUDEN », donnant un singulier « ZOU » ; il est, en quelque sorte, l’« imparfait » (O.V.T. ou prétérit) de l’auxiliaire du FUTUR, « ZULLEN ». Au CONDITIONNEL, il y a REJET de l’autre forme verbale (« zijn »), derrière le complément éventuel (« in de poel »), et donc à l’INFINITIF, à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MOEST OVT MOETEN REJET VLUCHTEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/08/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik moest (uit de schuur) vluchten » (« Je devais fuir »).
L’auxiliaire de mode de l’OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN » (donnant MOEST au prétérit ou O.V.T.). Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« vluchten »), derrière le complément éventuel (« uit de schuur »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ONTDEKTE OVT ONTDEKKEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/08/2019

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Toen ik ontdekte … moest ik vluchten » (« Lorsque je découvris … , je dus fuir »).
La phrase subordonnée est introduite par «TOEN » parce qu’elle est à un temps du passé. On y trouve notamment le verbe « ONTDEKKEN », lui-même construit sur « DEKKEN », qui est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), mais fait partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik ontdek ») se terminant par la consonne « K », on trouvera le « TE » minoritaire comme terminaison du prétérit : « ONTDEK » + « TE » = « ONTDEKTE ».
C’est dans la mesure où la phrase subordonnée joue le rôle d’un complément commençant la phrase principale que le sujet « ik » et le verbe « moest » ont leurs positions inversées, faisant l’objet de ce que l’on appelle une INVERSION.

Nom : VERDWENEN VTT VERDWIJNEN 3 ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/08/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij is natuurlijk verdwenen » (« Il a bien sûr disparu »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER- GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve donc ici notamment la forme verbale « VERDWENEN », participe passé provenant de l’infinitif « VERDWIJNEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers et, parmi eux, d’une catégorie importante de verbes irréguliers, celle des « IJ » donnant des « E » aux temps du passé (O.V.T. et V.T.T.).
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre notamment ces trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « VERDWENEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« natuurlijk »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GENOMEN VTT NEMEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/08/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Die (= « de vluchteling ») heeft me te grazen genomen » (« Il m’a pris / roulé dans l’herbe »).
On y trouve la forme verbale « GENOMEN », participe passé provenant de l’infinitif « NEMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GENOMEN » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« me » et « te grazen »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET, lisez notre synthèse, également en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : NAM OVT NEMEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/08/2019

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij ervaart dat deze (= « de vluchteling ») zijn voorzorgen nam » (« Il apprend à ses dépens que ce dernier = le fugitif a pris / prit ses précautions »).
On y trouve, dans la phrase subordonnée (introduite par « DAT »), la forme verbale « nam », prétérit (ou O.V.T.) provenant de l’infinitif « NEMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Notez que, comme dans toutes les phrases subordonnées néerlandaises, le sujet (ici « deze ») n’est plus à côté du verbe (« nam »).

Nom : ZET NA OTT NAZETTEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 31/07/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Bertrand) zet de vluchteling na » (« ll se met / se lance à la poursuite du fugitif »).
On y trouve notamment la forme verbale « zet … na » à l’O.T.T. (ou présent), provenant de l’infinitif « NAZETTEN », verbe dit « à particule séparable) lui-même construit sur « ZETTEN ».
Quand « NAzetten » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « NA » de son infinitif proprement dit et REJET de la particule « NA », derrière le complément (« de vluchteling »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : HAD OVT HEBBEN 2 ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 30/07/2019

Description : La (double) phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je had gelijk ongerust te zijn » (« Tu avais raison d’être inquiet »).
On y trouve notamment la forme verbale « HAD », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « HEBBEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Dans la « deuxième » phrase, le verbe fait l’objet d’un REJET, derrière le « complément » (« ongerust ») et un « TE », à la fin de la phrase. On aurait pu avoir la variante suivante :
« Je had gelijk wanneer / toen je ongerust was ».

Nom : SNELT TOE OTT TOESNELLEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 29/07/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De man snelt (op het brugje) toe » (« l’homme se précipite »).
On y trouve notamment la forme verbale « snelt … toe » à l’O.T.T. (ou présent), provenant de l’infinitif « TOESNELLEN », verbe dit « à particule séparable) lui-même construit sur « SNELLEN ».
Quand « TOEsnellen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TOE » (provenant de la préposition « tot ») de son infinitif proprement dit et REJET de la particule « TOE », derrière le complément éventuel (« op het brugje »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : WAS OVT ZIJN 6 ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/07/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De zonderlinge man die het spoor bijster was » (« L’homme bizarre, qui avait perdu la piste »).
On y trouve la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIJN », qui constitue vraisemblablement le verbe le plus irrégulier de la langue néerlandaise.
C’est logique : plus on utilise un mot, plus la prononciation le déforme au fil du temps …
Le verbe « ZIJN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Notez qu’il ne pourrait, en aucun cas, s’agir d’une forme verbale à l’O.T.T. (ou « présent ») provenant de l’infinitif « WASSEN », un sujet à la troisième personne du singulier (« de man ») exigeant une terminaison « T ».
Notez aussi que, comme dans toutes les phrases subordonnées néerlandaises, le sujet n’est plus à côté du verbe. On aurait pu (ou dû) avoir :
« De zonderlinge man was het spoor bijster ».

Nom : HOE MEER HOE COMPARATIF SUPERIORITE ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/07/2019

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hoe meer de knaap spartelt, hoe dieper hij wegzinkt » (« Plus le garçonnet se débat, plus profondément il coule / s’enfonce »).
On rend la comparaison (et, notamment, son degré de supériorité) en langue néerlandaise par une symétrie dans la phrase, avec « deux plateaux d’une balance », introduits ici par « hoe », suivi d’un adjectif construit de la façon suivante : « DIEP » + « ER » => « DIEPER ».
La deuxième phrase réagit comme une phrase subordonnée. Dans une variante, on aurait eu : « de knaap zinkt in de poel weg ».
« WEGzinken » est en effet un verbe dit « à particule séparable » et il y a normalement REJET de la particule séparable « WEG » (rendant une notion d’éloignement), derrière le complément éventuel (« in de poel »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KOMT TERECHT OTT TERECHTKOMEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/07/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij komt in een moerassige poel terecht » (« Il échoue / est précipité dans une mare vaseuse »).
On y trouve la forme verbale « komt … terecht », provenant du verbe « TERECHTkomen », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « KOMEN ».
Quand « TERECHTkomen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERECHT » de son infinitif proprement dit et son REJET, derrière le complément (« in een moerassige poel »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : DAAGT OP OTT OPDAGEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/07/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Plots daagt vóór Joeki de gestalte van de Vliegende Hollander op » (« Soudain, la silhouette du Hollandais Volant apparaît devant Joeki »).
On y trouve la forme verbale « DAAGT … OP » du verbe « OPDAGEN », dit à « particule séparable », construit sur l’infinitif « DAGEN ». Quand il est conjugué, il exige le REJET de la particule séparable « OP », derrière le complément («vóór Joeki »), à la fin de la phrase.
Voir phénomène du REJET, entre autres :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« plots »), cela entraîne une INVERSION du sujet « de gestalte » qui passe derrière son verbe « daagt ». On aurait en effet aussi pu dire : « De gestalte daagt plots vóór Joeki op ».

Nom : GA REJET WAARSCHUWEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/07/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik ga = Ik zal snel mijn vrienden (Robert en Bertrand) waarschuwen » (« Je vais vite avertir mes amis »).
Au lieu de la forme verbale « GA », on aurait pu ou dû avoir l’auxiliaire du FUTUR « simple », « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Le francophone, pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, peut habituellement le comparer au « futur proche » français et donc remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Comme au FUTUR, il y a ici REJET de l’autre forme verbale (« waarschuwen »), derrière les compléments (« snel » et « mijn vrienden »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs:
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : WAS OVT ZIJN 5 ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/07/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik was op tijd buiten » (« J’étais à temps dehors »).
On y trouve la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIJN », qui constitue vraisemblablement le verbe le plus irrégulier de la langue néerlandaise.
C’est logique : plus on utilise un mot, plus la prononciation le déforme au fil du temps …
Le verbe « ZIJN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Notez qu’il ne pourrait ici, en aucun cas, s’agir d’une forme verbale à l’O.T.T. (ou « présent ») provenant de l’infinitif « WASSEN ».

Nom : ZAL ZULLEN REJET ZIJN VTT GEWEEST ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/07/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het zal een rat geweest zijn » (« Cela aura été un rat = cela a dû être un rat »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (« zijn »), derrière le complément (« een rat »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
On y trouve aussi la forme verbale « GEWEEST », participe passé provenant du même infinitif « ZIJN », qui constitue vraisemblablement le verbe le plus irrégulier de la langue néerlandaise. C’est logique : plus on utilise un mot, plus la prononciation le déforme au fil du temps … Le verbe « ZIJN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : BESPIED VTT BESPIEDEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/07/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Worden wij (door iemand) bespied ? » (« Sommes-nous espionné … par quelqu’un ? »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve donc la forme verbale « BEspied », participe passé provenant de l’infinitif « BEspieden », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « BEspied » est identique à la première personne de l’indicatif présent (radical se terminant déjà par un D) et fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« door iemand »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : WAS OVT ZIJN 4 ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/07/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wat was dat ? »
« Qu’était-ce que cela ? »).
On y trouve la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIJN », qui constitue vraisemblablement le verbe le plus irrégulier de la langue néerlandaise.
C’est logique : plus on utilise un mot, plus la prononciation le déforme au fil du temps …
Le verbe « ZIJN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Notez qu’il ne pourrait, en aucun cas, s’agir d’une forme verbale à l’O.T.T. (ou « présent ») provenant de l’infinitif « WASSEN », un sujet à la troisième personne du singulier (« DAT ») exigeant une terminaison « T ».

Nom : STOOTTE OVT STOTEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/07/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik stootte tegen die riek » (« J’ai cogné contre cette fourche »).
On y trouve notamment le verbe « STOTEN », qui est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), mais fait partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik stoot ») se terminant par la consonne « T », on trouvera le « TE » minoritaire comme terminaison du prétérit :
« STOOT » + « TE » = « STOOTTE ».

Nom : TREK UIT OTT UITTREKKEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/07/2019

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik trek er op uit om mijn onschuld te bewijzen» (« Je me tire aussitôt pour prouver mon innocence »).
On y trouve la forme verbale « trek … UIT », provenant de l’infinitif « UITtrekken », verbe dit « à particule séparable ». Quand « UITtrekken » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « UIT » étant affectée par un REJET, derrière le complément (« in hun schuilplaats»), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe ou d’une de ses composantes, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Rappelons que « POUR » devant les verbes est rendu en langue néerlandaise par un double mot : « OM … TE ». Dans une sorte de phrase subordonnée « infinitive », le complément « mijn onschuld » s’intercale entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « BEWIJZEN ».

Nom : GEZOCHT VTT ZOEKEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/07/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zolang je (door de politie) gezocht wordt … » (« Aussi longtemps que tu seras recherché … »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEZOCHT », participe passé provenant de l’infinitif « ZOEKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEZOCHT » est construit sur le SINGULIER du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GEZOCHT » fait normalement l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« door de politie »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse, également en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que, comme dans toutes les phrases subordonnées néerlandaises, le sujet (ici « je ») n’est plus à côté du verbe (« wordt »).

Nom : ZAL ZULLEN REJET KOMEN ZOEKEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/07/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Niemand zal mij hier komen zoeken » (« Personne ne va venir me chercher ici »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (« komen »), derrière les compléments (« mij » et « hier »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VOLTOOID VTT VOLTOOIEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/07/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Mijn werk is weldra voltooid » (« Mon travail est bientôt terminé »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER- GE-, ONT- et VER- mais aussi, parfois, VOL- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On y trouve la forme verbale «voltooid », participe passé provenant de l’infinitif « VOLTOOIEN », qui est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik voltooi ») se terminant par la voyelle « I », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés :
« VOLTOOI » + « D » = « VOLTOOID ».
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « weldra »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZOU REJET VERBERGEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/07/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zou de oude schuur een geheim verbergen ? » (« La vieille grange cacherait-elle un secret ? »).
L’auxiliaire du CONDITIONNEL est l’infinitif « ZOUDEN », donnant un singulier « ZOU » ; il est, en quelque sorte, l’« imparfait » (O.V.T. ou prétérit) de l’auxiliaire du FUTUR, « ZULLEN ».
Au CONDITIONNEL, il y a REJET de l’autre forme verbale (« verbergen »), derrière le(s) complément(s) (« een geheim »), et donc à l’INFINITIF, à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VERSCHEEN OVT VERSCHIJNEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/07/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «… omdat de Vliegende Hollander er (= daar) verscheen = … want de Vliegende Hollander verscheen er » (« parce que le Hollandais Volant y apparaissait »).
On trouve donc ici notamment la forme verbale « VERCHEEN », prétérit (ou O.V.T.) provenant de l’infinitif « VERSCHIJNEN », lui-même construit sur « SCHIJNEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers et, parmi eux, d’une catégorie importante de verbes irréguliers, celle des « IJ » donnant des « E » aux temps du passé (O.V.T. et V.T.T.).
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre notamment ces trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons aux francophones que s’ils ne veulent pas être déroutés par la construction de phase engendrée par « OMDAT », ils peuvent lui préférer « WANT », qui leur ira « comme un gant », l’ordre des mots (sujet, verbe, complément) n’étant pas bouleversé …

Nom : DICHTGESPIJKERD VTT DICHTSPIJKEREN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/07/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Volgens Pieter werd ze (= de oude schuur) dichtgespijkerd » (« Suivant / Selon / D’après Pieter, elle (la porte) a été clouée => la vieille grange a été condamnée »).
On trouve ici la forme verbale « dichtgespijkerd », participe passé du verbe « DICHTSPIJKEREN », verbe dit « à particule séparable », provenant lui-même de l’infinitif « SPIJKEREN ». Ce verbe, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la majorité « régulière » des verbes réguliers (et donc NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » de ces verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP ») ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T. : « ik spijker ») se terminant par la consonne « R », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire : particule séparable « DICHT » + préfixe « GE » + « SPIJKER » + « D » = « DICHTGESPIJKERD ».
La phrase commençant par un complément (« Volgens Pieter »), il y a une INVERSION, le sujet « ze » passant derrière le verbe « werd ». On aurait en effet pu avoir : « Ze werd volgens Pieter dichtgespijkerd ».

Nom : GEZIEN VTT ZIEN 5 ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/07/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De man die we in de duinen hebben gezien » (« L’homme que nous avons vu dans les dunes »).
On y trouve notamment, dans une phrase subordonnée relative (introduite par « DIE »), la forme verbale « geZIEN », participe passé provenant de l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’INFINITIF.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le(s) complément(s) (ici « in de duinen »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que, comme dans toutes les phrases subordonnées néerlandaises, le sujet (ici « we ») n’est plus à côté du verbe (« hebben »).

Nom : VERGETEN VTT VERGETEN 2 ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/07/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze zijn de zonderlinge man vergeten » (« Ils ont oublié l’homme bizarre »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER- GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve ici notamment la forme verbale « VERGETEN », participe passé provenant, du même infinitif « VERGETEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Signalons dès lors que, si « VERGETEN» est ici au V.T.T. (ou passé composé), il aurait été écrit de la même façon au pluriel de l’O.T.T. (ou indicatif présent), qui équivaut, rappelons-le, à l’INFINITIF. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« de zonderlinge man »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KUNNEN REJET OVERTUIGEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/07/2019

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze (Robert en Bertrand) kunnen haar (Knier) overtuigen (om) terug naar de herberg te gaan » (« Ils peuvent la convaincre de retourner à l’auberge »).
Dans la première phrase, l’auxiliaire de mode de la «CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« overtuigen »), derrière le(s) complément(s) (ici « haar »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La deuxième phrase, sorte de subordonnée « infinitive », est introduite par l’équivalent de « POUR » qui, devant les verbes, est rendu en langue néerlandaise par un double mot « OM … TE » ; le « OM » étant ici sous-entendu, le complément « naar de herberg » s’intercale entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « GAAN » et, en outre, entre ce dernier infinitif et sa particule séparable « TERUG » du verbe « TERUGGAAN ».
Notez que l’on aurait pu avoir la variante suivante :
« Ze kunnen haar overtuigen (om) naar de herberg terug te gaan ».

Nom : ZAL ZULLEN REJET KOMEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/07/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De Vliegende Hollander zal aan wal komen » (« Le Hollandais Volant va débarquer / aborder »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (« komen »), derrière le complément (« aan wal »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEZIEN VTT ZIEN 4 ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/07/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb hem al meer (dan eens) gezien » (« Je l’ai déjà vu plus d’une fois »).
On y trouve notamment la forme verbale « geZIEN », participe passé provenant de l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’INFINITIF.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le(s) complément(s) (ici « hem » et « al meer »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KAN KUNNEN REJET ZIEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/07/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hoe kan je van op een afstand zo scherp zien ? » (« Comment peux-tu voir / es-tu capable de voir à une telle distance aussi nettement ? »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« zien »), derrière les compléments (« van op een afstand» et « zo scherp »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : SMEEKTE OVT SMEKEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/07/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij smeekte klagend om erbarmen » (« Il suppliait, plaintif / geignant, pour de la pitié »).
On y trouve notamment le verbe « SMEKEN », qui est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), mais fait partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik smeek ») se terminant par la consonne « K », on trouvera le « TE » minoritaire comme terminaison du prétérit :
« SMEEK » + « TE » = « SMEEKTE ».

Nom : STOND OVT STAAN 3 ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/07/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij stond tegen de grote mast geleund » (« Il était appuyé contre le grand mât »).
On y trouve la forme verbale « STOND », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « STAAN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
On y trouve aussi la forme verbale « geleund » participe passé provenant de l’infinitif « LEUNEN ». Ce verbe « LEUNEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik leun ») se terminant par la consonne « N », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés :
préfixe « GE » + « LEUN » + « D » = « GELEUND ».

Nom : WAS REJET ZIJN 3 ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/07/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Alleen de kapitein was op het schip » (« Seul le capitaine était sur le navire »).
On y trouve la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIJN », qui constitue vraisemblablement le verbe le plus irrégulier de la langue néerlandaise.
C’est logique : plus on utilise un mot, plus la prononciation le déforme au fil du temps …
Le verbe « ZIJN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Notez qu’il ne pourrait, en aucun cas, s’agir d’une forme verbale à l’O.T.T. (ou « présent ») provenant de l’infinitif « WASSEN », un sujet à la troisième personne du singulier exigeant une terminaison « T ».

Nom : STONDEN OVT STAAN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/07/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zijn zeilen stonden bol tegen de wind » (« Ses voiles étaient déployées contre le vent => il naviguait toutes voiles dehors »).
On y trouve la forme verbale « STONDEN », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « STAAN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : VERDWEEN OVT VERDWIJNEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/07/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het (schip) verdween aan de horizon » (« Le navire disparaissait à l’horizon »).
On trouve donc ici notamment la forme verbale « VERDWEEN », prétérit (ou O.V.T.) provenant de l’infinitif « VERDWIJNEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers et, parmi eux, d’une catégorie importante de verbes irréguliers, celle des « IJ » donnant des « E » aux temps du passé (O.V.T. et V.T.T.).
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre notamment ces trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : GEZIEN VTT ZIEN 3 ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 30/06/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb het schip gezien » (« J’ai vu le navire / bateau »).
On y trouve notamment la forme verbale « geZIEN », participe passé provenant de l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’INFINITIF.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le(s) complément(s) (ici « het schip »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VERSTEEND VTT VERSTENEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 29/06/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze (= De vagebonden) zien plots de vrouw (= Knier) als versteend naar de zee staren » (« Ils voient soudain la femme, comme pétrifiée, regardant la mer »)
Rappelons tout d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve ici la forme verbale « VERSTEEND », participe passé (utilisé ici comme adjectif) provenant de l’infinitif « VERSTENEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T. : « ik versteen ») se terminant par la consonne « N », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire.

Nom : KEREN TERUG OTT TERUGKEREN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/06/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Rond dit tijdstip, keren de vagebonden naar de herberg terug » (« Vers le même moment, les vagabonds retournent à l’auberge »).
On y trouve la forme verbale « keren … TERUG », provenant de l’infinitif « TERUGkeren », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « KEREN ».
Quand « TERUGkeren » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERUG » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET derrière le complément (« naar de herberg »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET, lisez :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Dans Ia mesure où la phrase commence par un autre complément, cela engendre une INVERSION : le sujet « de vagebonden » passe derrière le verbe « keren ». On aurait en effet pu avoir la variante suivante : « De vagebonden keren rond dit tijdstip naar de herberg terug ».

Nom : KOM TERUG IMPERATIF TERUGKOMEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/06/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Kom met de dief (= die Cocks) terug ! » (« Reviens avec le voleur ! »).
On y trouve la forme verbale « kom … TERUG », provenant de l’infinitif « TERUGkomen », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « KOMEN ».
Quand « TERUGkomen » est conjugué (ici à l’impératif, où on perd la terminaison « T »à la deuxième personne du singulier, comme à la forme interrogative de l’O.T.T. ou indicatif présent), cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERUG » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET derrière le complément (« met die Cocks »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET, lisez :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ONTSLAGEN VTT ONTSLAAN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/06/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je bent (anders) ontslagen » (« Tu es démis de tes fonctions / renvoyé / licencié »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On y trouve la forme verbale « ONTslagen », participe passé provenant de l’infinitif « ONTslaan », lui-même construit sur l’infinitif « SLAAN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Il y a normalement REJET de la forme verbale du participe passé « ONTslagen » à la fin de la phrase, derrière le complément éventuel (« anders »). Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : WILDE OVT WILLEN REJET TONEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/06/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik wilde enkel tonen … » (« Je voulais seulement montrer / faire voir … »).
L’auxiliaire de mode de la VOLONTE » est l’infinitif « WILLEN » (donnant WILDE, au singulier du prétérit ou O.V.T.). Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « MOGEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (ici « tonen »), derrière le complément (« enkel »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : AANHIELD OVT AANHOUDEN GAF OVT GEVEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/06/2019

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Toen ik hem aanhield, gaf hij me plots zo’n opstopper » (« Alors que je l’arrêtais, il me donna soudain un tel marron / un tel gnon »).
On y trouve, dans la phrase subordonnée (introduite par «TOEN »), la forme verbale « AANhield », prétérit (ou O.V.T.) provenant de l’infinitif « AANhouden », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « HOUDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Notez que si nous n’avions pas été dans une phrase subordonnée, on aurait constaté que la particule « aan » faisait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« hem »), à la fin de la phrase : « ik hield hem aan ». Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
On trouve, dans la phrase principale, la forme verbale « GAF », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « GEVEN », qui fait également l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
C’est dans la mesure où la phrase subordonnée joue le rôle d’un complément commençant la phrase principale que le sujet « hij » et le verbe « gaf » ont leurs positions inversées, faisant l’objet de ce que l’on appelle une INVERSION.

Nom : DRONG BINNEN OVT BINNENDRINGEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/06/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij drong hier binnen » (« Il pénétra ici »).
On y trouve la forme verbale « drong … BINNEN », prétérit (ou O.V.T.) provenant du verbe « BINNENdringen », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « DRINGEN » qui, comme beaucoup de verbes comprenant un « I » dans leur première syllabe, donne un « O » aux temps du passé, faisant donc l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Il y a REJET de la particule séparable « BINNEN », composante du verbe, derrière le complément (« hier »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe ou d’une de ses composantes, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : LIET OVT LATEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/06/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Waarom liet je je zo stomweg verrassen ? » (« Pourquoi te laissas-tu = t’es-tu laissé surprendre aussi bêtement ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « LIET », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « LATEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
On remarquera aussi, le REJET du verbe « VERRASSEN », derrière les compléments (« je », « zo » et « stomweg »,), à la fin de cette phrase. Même si « LATEN » joue le rôle d’un auxiliaire à la première personne du PLURIEL de l’IMPERATIF (« LATEN WE … » + REJET), il n’exige, en principe, pas un REJET systématique dans les autres cas. Voir phénomène du REJET, entre autres, à l’impératif :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEZIEN VTT ZIEN HAD OVT HEBBEN WAS OVT ZIJN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/06/2019

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik had natuurlijk dadelijk gezien dat het een speurder was » (« J’avais bien sûr tout de suite vu que c’était un détective / enquêteur »).
On y trouve, dans la phrase principale, la forme verbale « had », prétérit (ou O.V.T.) provenant de l’infinitif « HEBBEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
On y trouve également la forme verbale « geZIEN », participe passé provenant de l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’INFINITIF.
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le(s) complément(s) (ici « natuurlijk » et « dadelijk »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
On y trouve enfin, dans la phrase subordonnée (introduite par « DAT »), la forme verbale « was », prétérit (ou O.V.T.) provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : LATEN WE REJET PLEGEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/06/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Laten we even overleg plegen ! » (« Concertons-nous un peu ! »).
N’oublions pas que la tournure « LATEN we » (littéralement « Laissons-nous ») de la première personne du pluriel de l’IMPERATIF présent exige un REJET de l’infinitif (« plegen»), derrière les compléments (« even » et « overleg »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KUNNEN REJET WERKEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/06/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Jullie kunnen samen werken » (« Vous êtes capable de / pouvez travailler ensemble »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN » (donnant un singulier « KAN »). Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« werken »), derrière le(s) complément(s) (« samen »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait pu avoir l’auxiliaire de mode de la «POSSIBILITE », l’infinitif « MOGEN » (avec « MAG » au singulier) :
« Jullie mogen samen werken ».

Nom : GESTOLEN VTT STELEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/06/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Het gaat om de gestolen plannen » (« Il s’agit des plans volés »).
On y trouve la forme verbale « GESTOLEN », participe passé provenant de l’infinitif « STELEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
N’oubliez pas que, en langue néerlandaise, les participes passés sont invariables.

Nom : GAF OVT GEVEN 2 ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/06/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je gaf je / jouw collega (…) een opstopper » (« Tu donnas / as donné à ton collègue un marron / un gnon »).
On y trouve la forme verbale « GAF », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « GEVEN ». Le verbe « GEVEN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Notez que, en langue néerlandaise (comme en langue anglaise), on dit : “donner quelqu’un quelque chose ».

Nom : WILDE OVT WILLEN REJET BENADEREN ONGEMERKT ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/06/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik wilde u ongemerkt benaderen » (« Je voulais vous approcher discrètement »).
L’auxiliaire de mode de la VOLONTE » est l’infinitif « WILLEN » (donnant WILDE, au singulier du prétérit ou O.V.T.). Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « MOGEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (ici « benaderen »), derrière les compléments (« u » et « ongemerkt »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
On y trouve aussi la forme verbale « ongemerkt », utilisé comme adjectif épithète ; s’il avait existé un infinitif « ONMERKEN », lui-même construit sur « MERKEN », il aurait eu un tel participe passé provenant, comme la grande majorité des verbes néerlandais, de ceux qui NE font PAS l’objet des « temps primitifs » mais font partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T.) se terminant par la consonne « K », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Le préfixe « ON- » (« UN- » en anglais) n’est PAS une « particule séparable » (même s’il réagit comme « OP ») et constitue en fait le contraire de « gemerkt ».

Nom : KAN KUNNEN REJET AANVALLEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/06/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik kan hem in de rug aanvallen » (« Je peux l’attaquer dans le dos = par derrière »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« aanvallen »), derrière le(s) complément(s) (« hem » et « in de rug »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir plutôt l’auxiliaire de mode de la «POSSIBILITE », l’infinitif « MOGEN » (avec « MAG » au singulier) :
« Ik mag hem in de rug aanvallen ».

Nom : KAN KUNNEN REJET KOMEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/06/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik kan via het raam in de gang komen » (« Je peux via la fenêtre arriver dans le couloir »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« komen »), derrière le(s) complément(s) (« via het raam » et « in de gang »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir plutôt l’auxiliaire de mode de la «POSSIBILITE », l’infinitif « MOGEN » (avec « MAG » au singulier) :
« Ik mag via het raam in de gang komen ».

Nom : MEENDE OVT MENEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/06/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik meende iemand aan de deur te horen » (« Je pensais = j’ai pensé (d’) avoir entendu quelqu’un à la porte »).
Ce verbe « MENEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik meen ») se terminant par la consonne « N », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit :
« MEEN » + « DE » = « MEENDE ».

Nom : VERDWENEN VTT VERDWIJNEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/06/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij is met de plannen van Kaufmann uit Glasgow verdwenen » (« Il a disparu de Glasgow avec les plans de Kaufmann »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER- GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve donc ici notamment la forme verbale « VERDWENEN », participe passé provenant de l’infinitif « VERDWIJNEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers et, parmi eux, d’une catégorie importante de verbes irréguliers, celle des « IJ » donnant des « E » aux temps du passé (O.V.T. et V.T.T.).
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre notamment ces trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « VERDWENEN » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« met de plannen van Kaufmann » et « uit Glasgow »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEZIEN VTT ZIEN WERD OVT WORDEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/06/2019

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik vernam dat hij thans in Nederland (werd) gezien werd » in Nederland gezien werd » (« J’appris = j’ai appris qu’il a été récemment vu aux Pays-Bas »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée (introduite par « DAT »), la forme verbale « geZIEN », participe passé provenant de l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’INFINITIF.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le(s) complément(s) (ici « thans » et « in Nederland »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » (ici « WERD ») est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ». Il fait aussi l’objet des « temps primitifs ».

Nom : VERNAM OVT VERNEMEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/06/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik vernam dat hij thans in Nederland (werd) gezien werd » (« J’appris = j’ai appris qu’il a été récemment vu aux Pays-Bas »).
On y trouve la forme verbale « vernam », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « vernemen», lui-même construit sur l’infinitif « NEMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : LAAT REJET KOMEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/06/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Laat nummer 17 binnen komen » (« Laisse venir numéro 17 à l’intérieur / Fais entrer numéro 17 »).
On y trouve notamment la forme verbale « LAAT » qui, à l’IMPERATIF joue le rôle d’un auxiliaire « de mode » et exige le REJET du verbe « KOMEN », derrière les compléments (« nummer 17 » et « binnen »), à la fin de cette phrase. Voir phénomène du REJET, entre autres, à l’impératif :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZAL ZULLEN REJET VINDEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/06/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Net als Willem (…), zal Hendriks geest slechts rust vinden (…) » (« Tout comme Willem (…), l’esprit de Hendrik ne va trouver / ne trouvera le repos (…) »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ». Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (« vinden »), derrière le complément (« rust »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Net als Willem »), il y a une INVERSION, le sujet (« Hendriks geest ») passant derrière le verbe « zal ». On aurait en effet pu avoir : « Hendriks geest zal, net als Willem (…), slechts rust vinden (…) ».

Nom : ZULLEN REJET MISLUKKEN ROBERT EREJEN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/06/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Al(le) zijn pogingen zullen (altijd) mislukken » (« Toutes ses tentatives vont échouer / échoueront »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ». Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (« mislukken »), derrière le complément éventuel (« altijd »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZULLEN REJET VLIEGEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/06/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De mensen zullen nooit (in de hemel) vliegen » (« Les êtres humains ne vont jamais voler / ne voleront jamais »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ». Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (« vliegen »), derrière le complément éventuel (« in de hemel »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VERVLOEKT VTT VERVLOEKEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/06/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij is zoals de Vliegende Hollander vervloekt » (« Il est, comme le Hollandais volant, maudit »).
On y trouve la forme verbale « vervloekt », participe passé provenant de l’infinitif « verVLOEKEN », lui-même construit sur « VLOEKEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T.) se terminant par la consonne « K », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Rappelons que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.

Nom : ZAL ZULLEN REJET VOORSPELLEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/06/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik zal je voorspellen wat hem te wachten staat » (« Je vais te prédire / je te prédirai ce qui l’attend »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ». Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (« voorspellen »), derrière le complément (« je »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez l’expression « te wachten staan ».

Nom : GEHAD VTT HEBBEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 31/05/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb een visioen gehad » (« J’ai eu une vision »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEHAD », participe passé provenant de l’infinitif « HEBBEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Il faut aussi noter que ce participe passé se construit sur le SINGULIER du prétérit.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GEHAD » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« een visioen »), à la fin de la phrase. Voyez :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZAL ZULLEN REJET VEROORZAKEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 30/05/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het zal rampen veroorzaken» (« Cela va provoquer / provoquera des catastrophes »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ». Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (« veroorzaken »), derrière le complément (« rampen »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GESCHAPEN VTT SCHEPPEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 29/05/2019

Description : La (double) phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De mens is niet (daarvoor) geschapen = geschept OM (in de hemel) TE vliegen » (« L’être humain n’est pas créé pour voler dans le ciel »).
On y trouve notamment la forme verbale « GESCHAPEN », ancienne forme du participe passé de l’infinitif « SCHEPPEN », qui ne fait plus l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il y a REJET du participe passé, derrière le complément éventuel (« daarvoor »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse, également en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Rappelons que « POUR » devant les verbes est rendu en langue néerlandaise par un double mot : « OM … TE ». Le complément éventuel (« in de hemel ») s’intercale entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « VLIEGEN ».

Nom : DROOMDE OVT DROMEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/05/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij droomde ervan dat de mens eens zou kunnen vliegen » (« Il (en) rêvait que l’être humain serait => soit capable de voler un jour »).
On y trouve, dans la phrase principale, la forme verbale « droomde », prétérit (ou O.V.T.) provenant de l’infinitif « DROMEN ». Ce verbe « DROMEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik droom ») se terminant par la consonne « M », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit : « DROOM » + « DE » = « DROOMDE ».
Dans la phrase subordonnée (introduite par « DAT »), la forme verbale (« zou ») est, comme d’habitude, séparée de son sujet (elle ne se trouve plus à côté de lui). On aurait pu avoir la variante : « De mens zou eens kunnen vliegen ».
Rapelons que, au CONDITIONNEL, il y a REJET de l’autre (des autres) forme(s) verbales (ici « kunnen » et « vliegen ») à la fin de la phrase, derrière le complément (ici « eens »), et donc à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEBRACHT VTT BRENGEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/05/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zijn droom (…) heeft hem ongewild in moeilijkheden gebracht » (« Son rêve l’a amené => mis involontairement dans des difficultés »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEBRACHT », participe passé provenant de l’infinitif « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Le participe passé « GEBRACHT » est construit sur le SINGULIER du prétérit, « BRACHT ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Il y a REJET du participe passé, derrière les compléments (« hem », « ongewild », et « in moeilijkheden »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse, également en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : BEZORGD VTT BEZORGEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/05/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wij zijn enkel (om hem = om Hendrik) bezorgd om Hendrik » (« Nous sommes seulement préoccupés pour Hendrik »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve donc ici notamment la forme verbale « BEzorgd », participe passé provenant de l’infinitif « BEzorgen ». Le participe passé est, lui, construit sur la première personne de l’indicatif présent (« ik BEzorg mij »), NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts », est donc considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé, NE fait PAS partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical se terminant par la consonne « G », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison du prétérit :
« BEZORG » + « D » = « BEZORGD ».
Il y a, normalement REJET du participe passé, derrière le complément (« om Hendrik »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KOMT TERUG OTT TERUGKOMEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/05/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij (Aletta) komt (bij ons) terug » (« Elle revient »).
On y trouve la forme verbale « komt … TERUG », provenant de l’infinitif « TERUGkomen », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « KOMEN ».
Quand « TERUGkomen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERUG » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET derrière le complément éventuel (« bij ons »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET, lisez :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZIET ERUIT OTT ERUIT ZIEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/05/2019

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Indien die man sterft, ziet het er voor Hendrik beroerd uit » (« Si cet homme meurt, cela a l’air mal engagé / mal barré pour Hendrik »).
A première vue, on pourrait croire que l’on a affaire, dans la phrase principale, au verbe « uitzien », avec « uit », réagissant comme une « particule séparable », qui ferait l’objet d’un REJET derrière les compléments (« voor Hendrik » et « beroerd »), à la fin de la phrase.
On a en fait ici l’expression « eruit zien ». On aurait en effet pu avoir les variantes suivantes de la phrase :
« Het ziet voor Hendrik beroerd eruit indien die man sterft »
OU « Het ziet eruit beroerd voor Hendrik indien die man sterft »
OU « Het ziet er beroerd uit voor Hendrik indien die man sterft ».

Nom : GERAAKTE OVT GERAKEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/05/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij geraakte vermoedelijk in paniek » (« Il fut probablement pris de panique »).
On y trouve la forme verbale « geraakte », prétérit (ou O.V.T.) provenant de l’infinitif « GERAKEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T. : « ik geraak ») se terminant par la consonne « K », on trouvera à la fin du prétérit le « TE » minoritaire :
« GERAAK » + « TE » = « GERAAKTE ».

Nom : WAREN OVT ZIJN VERSLINGERD VTT VERSLINGEREN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/05/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze (Hendrik en Aletta) waren erg op elkaar verslingerd » (« Ils étaient très liés l’un à l’autre »).
On y trouve notamment la forme verbale « WAREN » (pluriel irrégulier de « WAS »), O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
On y trouve également la forme verbale « verslingerd », participe passé du verbe « VERSLINGEREN », provenant de l’infinitif « SLINGEREN ». Ce verbe « SLINGEREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au participe passé et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés. Rappelons que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER- GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
Quand « VERSLINGEREN » est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « verslingerd » derrière les compléments (« erg » et « op elkaar ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZAL REJET VERTONEN BEWEZEN VTT BEWIJZEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/05/2019

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij zal zich niet (weer) vertonen (vooral)eer zijn onschuld (door de justitie) bewezen is » (« Il ne se remontrera pas avant que son innocence soit prouvée »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ». Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (« vertonen »), derrière le complément éventuel (« weer »), à la fin de la phrase (principale) et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
On y trouve aussi, dans la phrase subordonnée (introduite par « EER »), la forme verbale « BEWEZEN », participe passé utilisé avec un passé composé, provenant de l’infinitif « BEWIJZEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé « BEWEZEN » se construit sur le PLURIEL du prétérit (et, dans ce cas-ci, est identique). Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé (la plus nombreuse étant celle des « IJ ») :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons aussi que, aux temps composés, le participe passé fait également l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« door de justitie »), à la fin de la phrase.

Nom : KREEG OVT KRIJGEN 2 ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/05/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik kreeg een brief uit België » (« Je reçus = j’ai reçu une lettre de Belgique »).
On y trouve la forme verbale « KREEG », prétérit (ou O.V.T.) provenant de l’infinitif « KRIJGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « IJ », donne une voyelle « E » (double, au singulier). Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : VERZOCHT VTT VERZOEKEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/05/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De Schotse politie heeft om zijn opsporing verzocht » (« La police écossaise a demandé / diligenté une enquête à son sujet »).
On y trouve la forme verbale « verzocht », participe passé construit sur le prétérit « zocht » provenant du verbe « VERZOEKEN », lui-même construit sur l’infinitif « ZOEKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « verzocht » fait l’objet d’un REJET derrière le complément (« om zijn opsporing »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEVLUCHT VTT VLUCHTEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/05/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De dader is vermoedelijk naar België gevlucht » (« Le malfaiteur / l’agresseur / le prévenu a probablement fui en Belgique »).
On y trouve notamment le verbe « VLUCHTEN », qui est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), mais fait partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik vlucht ») se terminant déjà par la consonne « T », on trouvera d’autant plus le « T » minoritaire comme terminaison du participe passé :
« GE » + « VLUCHT » (+ « T ») = « GEVLUCHT ».
Le participe passé « gevlucht » fait l’objet d’un REJET derrière les compléments (« vermoedelijk » et « naar België »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VERDACHT VTT VERDENKEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/05/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De Nederlander (…) verdacht van de overval (…) » (« Le Néerlandais (…) suspecté / soupçonné de l’agression (…) »).
On y trouve la forme verbale « verdacht », participe passé (construit sur le prétérit « dacht » et utilisé ici comme attribut provenant du verbe «VERDENKEN», lui-même construit sur l’infinitif « DENKEN », qui fait également l’objet des « temps primitifs ».
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : WIST OVT WETEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/05/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De dader wist te ontsnappen. » (« Le malfaiteur / l’agresseur / le prévenu sut / a pu s’échapper »).
On y trouve notamment la forme verbale « WIST » (O.V.T. ou « prétérit »), provenant de l’infinitif « WETEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Notez la construction « WETEN + TE ».

Nom : VERBLEEF OVT VERBLIJVEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/05/2019

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De assistent (…) die tijdens de overval in het buitenland verbleef »
(« L’assistant qui, pendant l’agression, séjournait à l’étranger »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERBLEEF » (O.V.T. ou « prétérit »), provenant de l’infinitif « VERBLIJVEN », venant lui-même de « BLIJVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Dans la mesure où nous avons affaire ici à une phrase subordonnée (introduite par « DIE »), il y a ici REJET du verbe (« verbleef »), derrière les compléments («tijdens de overval» et « in het buitenland»), à la fin de la phrase et il n’est donc pas à côté de son sujet sous-entendu (« de assistent »). On aurait pu avoir la phrase :
« De assistent verbleef tijdens de overval in het buitenland ».

Nom : BESCHULDIGD VTT BESCHULDIGEN GESTOLEN VTT STELEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/05/2019

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Hendrik) wordt ervan beschuldigd Kaufmanns plannen gestolen te hebben » (« Il est accusé d’avoir volé les plans de Kaufmann »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve donc ici notamment la forme verbale « BEchuldigd », participe passé provenant de l’infinitif « BEschuldigen ». Le participe passé est, lui, construit sur la première personne de l’indicatif présent (« ik BEschuldig »), NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts », est donc considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé, NE fait PAS partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical se terminant par la consonne « G », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison du prétérit :
« BESCHULDIG » + « D » = « BESCHULDIGD ».
La phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
On y trouve aussi la forme verbale « GESTOLEN », participe passé provenant de l’infinitif « STELEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : OVERVALLEN VTT OVERVALLEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/05/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij werd in zijn bureau overvallen » (« Il a été agressé dans son bureau »).
On y trouve la forme verbale « overvallen », participe passé provenant de l’infinitif « overvallen», lui-même construit sur l’infinitif « VALLEN », qui fait normalement l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « overvallen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, s’il s’était agi d’un verbe à particule séparable », cela aurait pu entraîner une séparation de la particule « OVER » de son infinitif proprement dit et la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) se serait intercalée entre eux.
Le participe passé « overvallen » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« in zijn bureau »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
On y trouve aussi la forme verbale « WERD », O.V.T. ou prétérit de « WORDEN », qui fait également l’objet aux temps du passé des « temps primitifs ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
La phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : GENOEMD VTT NOEMEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/05/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij heeft mijn zoon een dief genoemd » (« Il a appelé mon fils un voleur = il a traité mon fils de voleur »).
Ce verbe « NOEMEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé, NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik noem ») se terminant par la consonne « M », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison du participe passé :
« GE » + « NOEM » + « D » = « GENOEMD ».

Nom : WERKT MEE OTT MEEWERKEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/05/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij werkt in Schotland (aan een stoomvliegtuig) mee » (« Il collabore en Ecosse à un aéroplane / avion à vapeur »).
On trouve la forme verbale « werkt … MEE », provenant de l’infinitif « MEEWERKEN », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur « WERKEN ».
Lorsque « MEEWERKEN » est conjugué, la particule « MEE » (venant de la préposition « MET ») fait l’objet d’un REJET derrière le complément (« in Schotland ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET (notamment du verbe ou de certaines de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KOMT AAN OTT AANKOMEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/05/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Daar komt hij (Pieter) aan » (« Là arrive Pieter = voilà qu’arrive … »).
On y trouve la forme verbale « komt … aan », qui provient de l’infinitif « AANKOMEN », verbe dit à « particule séparable », lui-même construit sur « KOMEN ».
Lorsque « AANKOMEN » est conjugué, cela entraîne le REJET de la « particule séparable » « AAN », derrière le complément (« daar » *), à la fin de la phrase. Voir phénomène du REJET, entre autres à :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Daar »), il y a une INVERSION, le sujet « hij » passant derrière le verbe « komt ». On aurait en effet pu avoir * : « « Hij komt daar aan ».

Nom : VERBOOD OVT VERBIEDEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/05/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik verbood je hier te komen » (« Je t’interdis / t’ai interdit de venir ici »).
On y trouve la forme verbale « VERBOOD », prétérit (O.V.T.) provenant de l’infinitif « VERBIEDEN », verbe dit à « particule séparable », lui-même construit sur « BIEDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « IE », donne une voyelle « O », doublée au singulier.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : KOMT HIERHEEN OVT KOMEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/05/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Er komt een charmante bezoekSTER hierheen » (« Il y a une charmante visiteuse qui vient par ici => il vient par ici une charmante visiteuse »).
Contrairement aux apparences, nous n’avons pas ici affaire à un verbe dit « à particule séparable », même si « hierheen » réagit comme une « particule séparable » (« mee », « toe », « uit », …), faisant l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« naar het huis »), à la fin de la phrase : « Een charmante bezoekSTER komt naar het huis hierheen ». Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Rappelons qu’un nom (notamment de métier) peut être construit sur base du radical du verbe (« bezoek » < « BEZOEKEN ») en y ajoutant une terminaison « ER » pour le masculin (=> « bezoekER ») et « STER » pour le féminin, toutes les femmes étant des étoiles (« STAR » en anglais).

Nom : WIL OTT WILLEN REJET BEWEREN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/05/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wil je toch niet beweren ? … » (« Tu ne veux tout de même pas prétendre ? … »).
L’auxiliaire de mode de la VOLONTE » est l’infinitif « WILLEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « MOGEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (ici, « beweren ») derrière le complément (« toch »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZAGEN OVT ZIEN 2 ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/05/2019

Description : La (double) phrase suivante est grammaticalement intéressante : « (…) de man die wij in de duinen zagen » (« l’homme que nous vîmes / avons vu dans les dunes »).
On y trouve notamment la forme verbale « ZAGEN », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Dans la mesure où nous avons affaire à une phrase subordonnée (introduite par « DIE »), il y a ici REJET du verbe (« zagen »), derrière le complément (« in de duinen »), à la fin de la phrase et il n’est donc pas à côté de son sujet (« wij »). On aurait pu avoir : « Wij zagen de man in de duinen ».
ATTENTION : Beaucoup d’apprenants croient que la forme verbale « ZAGEN », provient de l’infinitif « ZEGGEN », également irrégulier à l’O.V.T.

Nom : WOU WILDE OVT WILLEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/05/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wou = wilde je (zoiets) beweren ? … » (« Voulais-tu prétendre ? … »).
L’auxiliaire de mode de la VOLONTE » est l’infinitif « WILLEN » (donnant actuellement WILDE – tendant à remplacer la forme plus ancienne WOU – au singulier du prétérit ou O.V.T.). Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « MOGEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (ici, « beweren ») derrière le complément éventuel (« zoiets »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZAL OTT ZULLEN REJET VINDEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/05/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dan eerst zal hij rust vinden » (« Seulement alors, il trouvera / va trouver le repos »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (« vinden »), derrière le complément (« rust »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un (double) complément (« dan » et « eerst»), il y a une INVERSION, le sujet « hij » passant derrière la forme verbale « zal ».
On aurait en effet pu avoir : « Hij zal eerst dan rust vinden ».

Nom : MOET REJET ONTMOETEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 30/04/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maar hiervoor moet hij een vrouw ontmoeten » (« Mais pour cela, il doit rencontrer une femme »).
L’auxiliaire de mode de l’« OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« gaan »), derrière le complément (« een vrouw »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« hiervoor »), il y a une INVERSION, le sujet « hij » passant derrière la forme verbale « moet ». On aurait en effet pu avoir : « Maar hij moet hiervoor een vrouw ontmoeten ».

Nom : MAG OTT MOGEN REJET GAAN OMTE ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 29/04/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dan mag de kapitein aan wal gaan om een nieuw leven te beginnen » (« Alors le capitaine peut débarquer pour commencer une nouvelle vie »).
L’auxiliaire de mode de la POSSIBILITE » est l’infinitif « MOGEN », donnant un singulier « MAG ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« gaan »), derrière le complément (« aan wal »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Dan »), il y a une INVERSION, le sujet « de kapitein » passant derrière le verbe « mag ». On aurait en effet pu avoir : « De kapitein mag dan aan wal gaan ».
Rappelons que « POUR » devant les verbes est rendu en langue néerlandaise par un double mot : « OM … TE ». Le complément « een nieuw leven » s’intercale entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « BEGINNEN ».

Nom : VERBROKEN VTT VERBREKEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/04/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Eens in de zeven jaren, wordt de vloek verbroken»(« Une fois en sept ans => Tous les sept ans, la malédiction est suspendue»).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve donc ici notamment la forme verbale « VERBROKEN », participe passé provenant de l’infinitif « VERBREKEN », lui-même construit sur « BREKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers aux temps du passé (O.V.T. et V.T.T.). Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre notamment ces trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé : http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Si la phrase n’avait commencé par un complément (ce qui, ici, a engendré une INVERSION, le sujet « de vloek » passant derrière le verbe « wordt »), on aurait mieux vu qu’il y aurait REJET du participe passé, derrière les complément (« Eens » et « in de zeven jaren »), à la fin de la phrase : « De vloek wordt eens in de zeven jaren verbroken ». Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ». Il fait aussi l’objet des « temps primitifs ».

Nom : MOEST OVT MOETEN REJET RONDVAREN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/04/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij moest tot in de eeuwigheid rusteloos rondvaren » (« Il devait naviguer en rond => sillonner les mers jusqu’à l’éternité / la fin des temps, sans repos »).
L’auxiliaire de mode de l’OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN » (donnant MOEST au prétérit ou O.V.T.). Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière les compléments (« tot in de eeuwigheid » et « rustloos »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : STOND OVT STAAN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/04/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Bij de grote mast stond de kapitein » (« Près du grand mât, le capitaine était debout »).
On y trouve la forme verbale « STOND », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « STAAN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
La phrase commençant par un complément, il y a une INVERSION, le sujet « de kapitein » passant derrière le verbe « stond ». On aurait en effet pu avoir : « De kapitein stond bij de grote mast ».

Nom : TEGENKWAMEN OVT TEGENKOMEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/04/2019

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « (…) ongeluk voor hen die het (= het schip) op hun weg tegenkwamen » (« … du malheur pour tous ceux qui le rencontraient sur leur route »).
On y trouve la forme verbale « kwamen … tegen », provenant du verbe « TEGENkomen », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « KOMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations :
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Quand « TEGENkomen » est conjugué, cela entraîne normalement en néerlandais une séparation de la particule « TEGEN » de son infinitif proprement dit et son REJET, derrière le complément (« op hun weg »), à la fin de la phrase, comme dans cette variante : « (…) Ze kwamen het schip op hun weg tegen ». Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs:
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
C’est dans la mesure où nous avons affaire à une phrase subordonnée (introduite par « DIE ») qu’il n’y a PAS ici, exceptionnellement, REJET de la particule isolée de « tegenkwamen », derrière le complément (« op hun weg »), à la fin de la phrase.

Nom : BRACHT OVT BRENGEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/04/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het spookschip bracht ongeluk » (« Le vaisseau fantôme apporta du malheur »).
On y trouve notamment la forme verbale « BRACHT », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Signalons que le préfixe « ON » (comme « UN » en anglais) contribue à construire le contraire de certains noms ou adjectifs.

Nom : VLOOG IN OVT INVLIEGEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/04/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zonder bemanning vloog het (= het schip) met bolle zeilen in » (« Sans équipage, il volait => naviguait toutes voiles gonflées => dehors »).
On y trouve la forme verbale « VLOOG … IN », prétérit (ou O.V.T.) provenant de l’infinitif « INVLIEGEN », verbe dit à « particule séparable », lui-même construit sur « VLIEGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « IE », donne une voyelle « O » aux temps du passé.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « INVLIEGEN » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « IN » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET, derrière le complément (« met bolle zeilen »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément, il y a une INVERSION, le sujet « het » passant derrière le verbe « vloog ». On aurait en effet pu avoir : « Het vloog zonder bemanning met bolle zeilen in ».

Nom : NOEMDEN OVT NOEMEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/04/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De Engelse zeelieden noemden het (= het schip) de Flying Dutchman » (« Les marins anglais l’appelèrent le Hollandais volant »). (N.B. : lisez Le Vaisseau fantôme / F. MARRYAT, célèbre roman de 1839 ; IEA62)
Ce verbe « NOEMEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik noem ») se terminant par la consonne « M », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit :
« NOEM » + « DE » + « N » (pluriel) = « NOEMDEN ».
Notez le pluriel irrégulier de « zeeman » => « zeelieden ».

Nom : ZAGEN OVT ZIEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/04/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Later zagen Engelse zeelieden het schip De Amsterdam » (« Plus tard des marins anglais virent le bateau De Amsterdam »).
On y trouve notamment la forme verbale « ZAGEN », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
La phrase commençant par un complément, il y a une INVERSION, le sujet « Engelse zeelieden » passant derrière le verbe « zagen ». On aurait en effet pu avoir : « Engelse zeelieden zagen het schip later ».
ATTENTION : Beaucoup d’apprenants croient que la forme verbale « ZAG », provient de l’infinitif « ZEGGEN », également irrégulier à l’O.V.T. …

Nom : KLONK OVT KLINKEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/04/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Toen klonk een stem » (« Alors retentit une voix »).
On y trouve la forme verbale « KLONK », prétérit (ou O.V.T.) provenant de l’infinitif « KLINKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « I », donne une voyelle « O ».
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
La phrase commençant par un complément (« Toen »), il y a une INVERSION, le sujet « een stem » passant derrière le verbe « klonk». On aurait en effet pu avoir : « Een stem klonk toen ».

Nom : VERDRONK OVT VERDRINKEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/04/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij verdronk jammerlijk » (« ll se noya malheureusement »).
On y trouve la forme verbale « VERDRONK », prétérit (ou O.V.T.) provenant de l’infinitif « VERDRINKEN », venant de « DRINKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « I », donne une voyelle « O ».
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : SLINGERDE OVT SLINGEREN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/04/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De kapitein slingerde hem overboord » (« Le capitaine le balança par-dessus bord »).
Ce verbe « SLINGEREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik slinger ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit :
« SLINGER » + « DE » = « SLINGERDE ».

Nom : ONTSTAK OVT ONTSTEKEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/04/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De kapitein ontstak in woede » (« Le capitaine éclata en fureur »).
On y trouve la forme verbale « ONTSTAK », prétérit (ou O.V.T.) provenant de l’infinitif « ONTSTEKEN », venant de « STEKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : WILDE OVT WILLEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/04/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De stuurman wilde (naar de haven) terugkeren » (« Le pilote voulait retourner »).
L’auxiliaire de mode de la VOLONTE » est l’infinitif « WILLEN » (donnant WILDE, au singulier du prétérit ou O.V.T.). Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « MOGEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière le complément éventuel (« naar de haven »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KREEG OVT KRIJGEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/04/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Nauwelijks van wal kreeg de stuurman berouw » (« A peine embarqué, le pilote reçut / eut du remords »).
On y trouve la forme verbale « KREEG », prétérit (ou O.V.T.) provenant de l’infinitif « KRIJGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « IJ », donne une voyelle « E » (double, au singulier). Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
La phrase commençant par un complément, il y a une INVERSION, le sujet « de stuurman » passant derrière le verbe « kreeg ». On aurait en effet pu avoir : « De stuurman kreeg berouw nauwelijks van wal ».

Nom : SMEEKTE OVT SMEKEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/04/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zijn vrouw smeekte hem » (« Sa femme le supplia »).
On y trouve notamment le verbe « SMEKEN », qui est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), mais fait partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik smeek ») se terminant par la consonne « K », on trouvera le « TE » minoritaire comme terminaison du prétérit :
« SMEEK » + « TE » = « SMEEKTE ».

Nom : WAS OVT ZIJN 2 ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/04/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het was echter Paasmorgen » (« C’était en fait le matin de Pâques »).
On y trouve la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIJN », qui constitue vraisemblablement le verbe le plus irrégulier de la langue néerlandaise.
C’est logique : plus on utilise un mot, plus la prononciation le déforme au fil du temps …
Le verbe « ZIJN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Notez qu’il ne pourrait, en aucun cas, s’agir d’une forme verbale à l’O.T.T. (ou « présent ») provenant de l’infinitif « WASSEN », « DAT » (sujet) exigeant une terminaison « T » d’une troisième personne du singulier.

Nom : OPKLAARDE OVT OPKLAREN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/04/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Toen het weer OPklaarde … » (« Quand le temps s’éclaircit … »).
On y trouve la forme verbale « OPklaarde », O.V.T. (ou prétérit), provenant de l’infinitif « OPklaren », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « KLAREN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (éventuelle première personne du présent : « ik klaar ») se terminant par la consonne « R », on trouvera à la fin du participe passé le « DE » majoritaire : « KLAAR » + « DE » = « KLAARDE ».
Le temps du passé fait que la phrase subordonnée est introduite par « TOEN » au lieu de « wanneer » au présent. Quand « OPklaren » est conjugué, cela entraîne normalement en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, mais pas dans les phrases subordonnées. On aurait en effet dû avoir : « Het weer klaarde OP ».

Nom : BELETTEN OVT BELETTEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/04/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Voorjaarsstormen beletten hem te vertrekken » (« Des tempêtes de printemps l’empêchaient / l’empêchent de partir »).
On y trouve notamment le verbe « BELETTEN », qui est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), mais fait partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik belet ») se terminant par la consonne « T », on trouvera le « TE » minoritaire comme terminaison du prétérit : « BELET » + « TE » + « N » (pluriel) = « BELETTEN ».
La forme verbale au pluriel du prétérit (ou O.V.T.) est, par hasard, identique à celle de la forme verbale au présent, le contexte seul permettant de se rendre compte que l’on se trouve au passé.

Nom : LAG OVT LIGGEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/04/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « In 1644 lag … het schip … in de haven » (« En 1644, le navire se trouvait dans le port … »).
On y trouve la forme verbale « LAG », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « LIGGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
La phrase commençant par un complément, il y a une INVERSION, le sujet « het schip » passant derrière le verbe « lag ». On aurait en effet pu avoir : « Het schip lag in 1644 in de haven … ».

Nom : GEZIEN VTT ZIEN 2 ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/04/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hebben jullie hem al gezien ? » (« L’avez-vous déjà vu ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « geZIEN », participe passé provenant de l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’INFINITIF.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le(s) complément(s) (ici « hem » et « al »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEMERKT VTT MERKEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/04/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat hebben we al gemerkt » (« Cela, nous l’avons déjà remarqué »).
On y trouve la forme verbale « gemerkt », participe passé provenant de l’infinitif « MERKEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T. : « ik merk ») se terminant par la consonne « K », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire : préfixe « GE » + « MERK » + « T » = « GEMERKT ».
Quand « MERKEN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, il y a REJET de son participe passé « gemerkt » derrière le complément (« al ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément, il y a une INVERSION, le sujet « we » passant derrière le verbe « hebben ». On aurait en effet pu avoir : « We hebben dat al gemerkt ».

Nom : GEVLECHT VTT VLECHTEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/04/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « In de duinen moeten zandweerders (worden) gevlecht worden » (« Dans les dunes, des palissades pour retenir le sable doivent être tressées »).
On y trouve la forme verbale « gevlecht », participe passé provenant de l’infinitif « VLECHTEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T. : « ik vlecht ») se terminant déjà par la consonne « T », on trouvera bien sûr à la fin du participe passé le « T » minoritaire : préfixe « GE » + « VLECHT » (+ « T ») = « GEVLECHT ».
Quand « VLECHTEN » est conjugué à l’équivalent du passé composé, il y a normalement REJET de son participe passé « gevlecht » derrière le complément (« in de duinen ») à la fin de la phrase : « Zandweerders moeten in de duinen gevlecht worden ». Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : ZOUDEN REJET BLIJVEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/04/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We zouden graag wat in de streek blijven » (« Nous aimerions bien rester un peu dans la région »).
L’auxiliaire du CONDITIONNEL est l’infinitif « ZOUDEN » ; il est, en quelque sorte, l’« imparfait » (O.V.T. ou prétérit) de l’auxiliaire du FUTUR, « ZULLEN ».
Au CONDITIONNEL, il y a REJET de l’autre forme verbale (« blijven ») à la fin de la phrase, derrière le(s) complément(s) (ici « graag », « wat » et « in de streek »), et donc à l’INFINITIF.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : WILLEN REJET JAGEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/04/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik wil jullie met zo’n weer niet buiten jagen » (« Je ne veux pas vous chasser dehors / mettre à la porte avec un tel temps »).
L’auxiliaire de mode de la « VOLONTE » est l’infinitif « WILLEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN », et « MOGEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« maken »), derrière le(s) complément(s) (ici « jullie », « met zo’n weer » et « buiten »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que « zo’n » est la contraction de « zo een ».

Nom : DOORWEEKT VTT DOORWEKEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/04/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We zijn (door deze regen) doorweekt » (« Nous sommes trempés »).
On y trouve la forme verbale « DOORweekt », provenant de l’infinitif « DOORweken », qui N’est PAS un verbe dit « à particule séparable » même si « DOOR » est souvent une « particule séparable ». Ce participe passé, comme ceux de la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T. : « doorweek ») se terminant par la consonne « K », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire :
(PAS de préfixe « GE » +) « DOORWEEK » + « T » = « DOORWEEKT ».
Quand « DOORweken » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, il y a REJET de « doorweekt » derrière le complément éventuel (« door deze regen ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEZIEN VTT ZIEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/04/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb achter de duinen een herberg gezien » (« J’ai vu derrière les dunes une auberge »).
On y trouve notamment la forme verbale « geZIEN », participe passé provenant de l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’INFINITIF.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le(s) complément(s) (ici « achter de duinen » et « een herberg »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : UITGEWIST VTT UITWISSEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/04/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De wind heeft zijn spoor uitgewist » (« Le vent a effacé sa trace »).
On y trouve la forme verbale « UITgewist », participe passé provenant de l’infinitif « UITwissen », verbe dit à « particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « WISSEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « S » (« ik wis »), on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Quand « UITwissen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « uitGEwist ».
Il y a REJET de la forme verbale « UITgewist » derrière le complément (« zijn spoor ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VERDWENEN VTT VERDWIJNEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 31/03/2019

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Eer de vagebonden de man kunnen bereiken, is hij verdwenen » (« Avant que les vagabonds puissent rejoindre l’homme, il a disparu »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve donc ici notamment la forme verbale « VERDWENEN », participe passé provenant de l’infinitif « VERDWIJNEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers et, parmi eux, d’une catégorie importante de verbes irréguliers, celle des « IJ » donnant des « E » aux temps du passé (O.V.T. et V.T.T.).
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre notamment ces trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Dans Ia mesure où la phrase subordonnée joue le rôle d’un complément commençant la phrase principale, celui-ci y engendre une INVERSION, le sujet « hij » passant derrière le verbe « is ». On aurait en effet pu avoir : « Hij (= de man) is verdwenen ».

Nom : ZULLEN REJET WETEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 30/03/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We zullen het vlug weten » (« Nous allons le savoir = nous le saurons vite »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (« weten »), derrière les compléments (« het » et « vlug »), à la fin de la phrase et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KAN KUNNEN REJET BETEKENEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 29/03/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Wat kan dat betekenen ? » (« Qu’est-ce que cela peut signifier / Qu’est-ce que cela veut dire ? »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« betekenen »), derrière le complément (« dat »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir plutôt l’auxiliaire de mode de la «POSSIBILITE », l’infinitif « MOGEN » (avec « MAG » au singulier) :
« Wat mag dat betekenen ? »

Nom : GEVONDEN VTT VINDEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/03/2019

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Als de avond valt hebben de vagebonden een kampeerplaats gevonden » (« Quand le soir tombe, les vagabonds ont trouvé un endroit pour camper »).
Y figure notamment la forme verbale « GEVONDEN », participe passé provenant de l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « I », donne une voyelle « O » pour les temps du passé.
Ce participe passé « GEVONDEN » est construit sur le PLURIEL du prétérit ou O.V.T. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GEVONDEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« een kampeerplaats »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase subordonnée (« Als de avond valt ») jouant le rôle d’un complément commençant la phrase principale, cela y entraîne une INVERSION du sujet « de vagebonden » qui passe derrière son verbe « hebben ».

Nom : HAD OVT HEBBEN GEKUST VTT KUSSEN GERUST VTT RUSTEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/03/2019

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante, par sa construction particulière : « Had je dat meisje niet gekust, had je nu niet in de duinen gerust » (« Si tu n’avais pas embrassé cette fille, tu n’aurais pas à te reposer maintenant dans les dunes »).
On y trouve notamment la forme verbale « HAD » (ici auxiliaire du plus-que-parfait), O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « HEBBEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé : http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
On y trouve la forme verbale « gekust », participe passé provenant de l’infinitif « KUSSEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T., « ik kus ») se terminant par la consonne « S », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
On y trouve aussi la forme verbale « gerust », participe passé provenant de l’infinitif « RUSTEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T.) se terminant déjà par la consonne « T », a fortiori on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.

Nom : WAS OVT ZIJN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/03/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat was een abuis» (« C’était un abus »).
On y trouve la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIJN », qui constitue vraisemblablement le verbe le plus irrégulier de la langue néerlandaise.
C’est logique : plus on utilise un mot, plus la prononciation le déforme au fil du temps …
Le verbe « ZIJN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Notez qu’il ne pourrait, en aucun cas, s’agir d’une forme verbale à l’O.T.T. (ou « présent ») provenant de l’infinitif « WASSEN », « DAT » (sujet) exigeant une terminaison « T » d’une troisième personne du singulier.

Nom : FLIRTTE OVT FLIRTEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/03/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je flirtte » (« Tu flirtais »).
On y trouve le verbe « FLIRTEN » (emprunté à l’anglais), qui est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), mais fait partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik flirt ») se terminant par la consonne « T », on trouvera le « TE » minoritaire comme terminaison du prétérit :
« FLIRT » + « TE » = « FLIRTTE ».

Nom : LATEN WE REJET RUSTEN ROBERT EN BERTRAND 40 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/03/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Laten we (« in een herberg aan de haven ») wat rusten » (« Reposons-nous un peu ! »).
N’oublions pas que la tournure « LATEN we » (littéralement « Laissons-nous ») de la première personne du pluriel de l’IMPERATIF présent exige un REJET de l’infinitif (« rusten»), derrière le complément (« wat »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : BEPAALD VTT BEPALEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/03/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De speurder lijkt me niet bepaald een fotoliefhebber » (« L’inspecteur ne me semble pas précisément être un amateur de photo »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve donc ici notamment la forme verbale « BEpaald », (ancien) participe passé provenant de l’infinitif « BEpalen ». Le participe passé est, lui, construit sur la première personne de l’indicatif présent (« ik BEpaal »), NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts », est donc considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé, NE fait PAS partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical se terminant par la consonne « L », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison du prétérit :
« BEPAAL » + « D » = « BEPAALD ».
Notez que « liefhebber » est construit sur l’expression « lief hebben » et que, en langue néerlandaise, on peut construire un nom masculin en remplaçant la terminaison « N » de l’infinitif par un « R ».

Nom : OPGEPAST VTT OPPASSEN 2 ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/03/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Opgepast ! » (« Attention ! »).
On y trouve aussi la forme verbale « OPgepast », participe passé provenant de l’infinitif « OPpassen », lui-même construit sur l’infinitif « PASSEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « S », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Quand « OPpassen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEpast ».

Nom : MAG MOGEN REJET MAKEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/03/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Mag ik een foto van jullie maken ? » (« Puis-je faire une photo de vous ? »).
L’auxiliaire de mode de la POSSIBILITE » est l’infinitif « MOGEN », donnant un singulier « MAG ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« maken »), derrière les compléments (« een foto » et « van jullie »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : WAREN OVT ZIJN 2 ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/03/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :
« Jullie waren geweldig ! » (« Vous étiez formidables ! »)
On y trouve notamment la forme verbale « WAREN » (pluriel irrégulier de « WAS »), O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : DRINGEN BINNEN OTT BINNENDRINGEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/03/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Na een hevige beschieting dringen de gendarmen (het huis) binnen » (« Après un feu nourri, les gendarmes pénètrent à l’intérieur »).
On y trouve la forme verbale « dringen … BINNEN », provenant du verbe « BINNENdringen », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « DRINGEN ». Il y a REJET de la particule séparable « BINNEN », composante du verbe, derrière le complément éventuel (« het huis »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe ou d’une de ses composantes, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Rappelons que, dans la préposition « BINNEN », ancienne préposition, il y a la préposition « IN ». On aurait donc pu dire :
« De gendarmen dringen in het huis ».
La phrase commençant par un (autre) complément (« Na een hevige beschieting »), cela entraîne une INVERSION du sujet « de gendarmen » qui passe derrière son verbe « dringen ».
On aurait en effet pu avoir la variante suivante de la phrase :
« De gendarmen dringen na een hevige beschieting binnen ».

Nom : GEEF OVER OTT OVERGEVEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/03/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Geef je (nu) over ! » (« Rends-toi ! »).
On y trouve la forme verbale « geef … OVER », provenant du verbe « OVERgeven », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « GEVEN ».
Il y a REJET de la particule séparable « OVER », composante du verbe, derrière le complément éventuel (« nu »,), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe ou d’une de ses composantes, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MAAKT GEBRUIK OTT GEBRUIK MAKEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/03/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hiervan maakt hij (nu) gebruik OM met hem TE ontsnappen » (« Il en fait ici usage / Il le met à profit pour s’échapper avec lui »).
On y trouve la forme verbale « maakt … GEBRUIK », provenant de l’expression « GEBRUIK maken », qui réagit comme un verbe dit « à particule séparable » lui-même construit sur l’infinitif « MAKEN ».
Quand « GEBRUIK maken » est conjugué, cela entraîne en néerlandais, comme dans le cas d’une « à particule séparable », la séparation de « GEBRUIK » du verbe et il y a son REJET derrière le complément (soit «NU », soit « HIERVAN »), à la fin de la phrase, ce que l’on voit mieux dans cette variante :
« Hij maakt hiervan / nu gebruik ».
Pour le phénomène du REJET, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« HIERVAN »), cela a entraîné une INVERSION du sujet « hij » passant derrière son verbe « maakt ».
Rappelons que « POUR » devant les verbes est rendu en langue néerlandaise par un double mot : « OM … TE ». Le complément « met hem » s’intercale entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « ONTSNAPPEN ».

Nom : LEIDEN AF OTT AFLEIDEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/03/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De gendarmen leiden zo de aandacht van Muilders af » (« Les gendarmes détournent ainsi l’attention de Muilders »).
On y trouve la forme verbale « leiden … AF », provenant de l’infinitif « AFleiden », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « LEIDEN ».
Quand « AFleiden » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit et il y a son REJET derrière les compléments (« zo » et « de aandacht van Muilders »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VALLEN AAN OTT AANVALLEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/03/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De gendarmen vallen de voorkant van het huis aan » (« Les gendarmes attaquent le côté avant de la maison »).
On y trouve la forme verbale « vallen … AAN », provenant de l’infinitif « AANvallen », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « VALLEN ».
Quand « AANvallen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit et il y a son REJET derrière le complément («de voorkant van het huis »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KOM DOOR OTT DOORKOMEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/03/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Daar kom ik niet door » (« Je ne viens pas / ne passe pas à travers cela »).
On y trouve la forme verbale « kom … DOOR », provenant de l’infinitif « DOORkomen », verbe dit « à particule séparable » lui-même construit sur l’infinitif « KOMEN ».
Quand « DOORkomen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « DOOR » de son infinitif proprement dit et il y a son REJET derrière le complément (« DAAR »), à la fin de la phrase, ce que l’on voit mieux dans cette variante : « Ik kom daar niet door »
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« DAAR »), cela a entraîné une INVERSION du sujet « ik » passant derrière son verbe « kom ».

Nom : ZAL ZULLEN REJET BELETTEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/03/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het spervuur zal hem (Muilders) beletten bij het kind (Joeki) te komen » (« Le tir de barrage va l’empêcher d’aller près de l’enfant »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (« beletten »), derrière le complément (« hem »), à la fin de la phrase et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ONAFGEBROKEN VTT AFBREKEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/03/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Laat je manschappen ONafgebroken door de deur vuren » (« Laissez / Faites tirer vos hommes sans interruption à travers la porte »).
On y trouve la forme verbale « ONAFgebroken », contraire du participe passé « AFgebroken » provenant de l’infinitif « AFbreken », lui-même construit sur l’infinitif « BREKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « AFbreken » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « afGEbroken ».
Dans Ia variante suivante, on assisterait au REJET du participe passé « AFgebroken», derrière le complément (« door de deur »), à la fin de la phrase : « Het vuur van de gendarmen door de deur was niet afgebroken ».
Il y a aussi REJET de la forme verbale « vuren », derrière le complément (« door de deur »), à la fin de la phrase
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MOET MOETEN REJET VERTREKKEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/03/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij moet door de gang (vertrekken) » (« Il doit partir par le couloir »).
L’auxiliaire de mode de l’« OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (par exemple « vertrekken », ici sous-entendue), derrière le complément (« door de gang»), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KUNNEN REJET DOEN 2 ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/03/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We kunnen niets doen » (« Nous ne pouvons rien faire »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« doen »), derrière le complément (« niets »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir plutôt l’auxiliaire de mode de la «POSSIBILITE », l’infinitif « MOGEN » :
« We mogen niets doen ».

© 2019, Bernard GOORDEN, voor de grammatica. Autres exemples à https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=vandersteen

Nom : GAAN REJET GEVEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/03/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We gaan hem zijn zin geven » (« Nous allons lui donner satisfaction / faire selon sa volonté / aller dans son sens »).
On y trouve un REJET du verbe « geven » derrière les compléments (« hem » et « zijn zin ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GAAN REJET DOEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/03/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wat gaan jullie (nu) doen ? » (« Qu’allez-vous faire ? »).
On y trouve un REJET du verbe « doen » derrière le complément éventuel (« nu ») à la fin de la phrase (ici, par hasard, comme en français). Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : HOORDE OVT HOREN 5 ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/03/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik hoorde schieten »(« J’entendis = j’ai entendu tirer »).
Ce verbe « HOREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik hoor ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit : « HOOR » + « DE » = « HOORDE ».

Nom : GAAT ERAAN GAAN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/03/2019

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zo jullie mij hinderen gaat de knaap (dadelijk) eraan ! » (« Si vous me faites obstacle, le gamin y passe ! »).
On y trouve notamment une forme verbale « gaat … ERAAN » qui pourrait laisser supposer que l’on a affaire à un verbe dit « à particule séparable ». Il s’agit d’une expression où « ERAAN », « adverbe pronominal » semble faire l’objet, comme une « particule séparable » d’un REJET, derrière le complément éventuel » (« dadelijk »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET, lisez notre synthèse, également en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase subordonnée (introduite par « ZO ») jouant pour la phrase principale le rôle d’un complément, cela entraîne dans cette dernière une INVERSION du sujet « de knaap » passant derrière son verbe « gaat ».

Nom : ZET KLAAR OTT KLAARZETTEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/03/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zet een automobiel (vóór het huis) klaar ! » (« Préparez une automobile ! »).
On y trouve notamment, à l'impératif, la forme verbale « zet … KLAAR » (comme à l’O.T.T.), provenant de l’infinitif « KLAARzetten » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « ZETTEN ».
Quand « KLAARzetten » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « KLAAR » (ancien adjectif) de son infinitif proprement dit, et son REJET, derrière le(s) complément(s) (« een automobiel » et « vóór het huis »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET, lisez notre synthèse, également en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GENOMEN VTT NEMEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/03/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De gendarmen worden door hem (Muilders) onder vuur genomen » (« Les gendarmes sont pris par lui sous le feu »).
On y trouve notamment la forme verbale « GENOMEN », participe passé provenant de l’infinitif « NEMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GENOMEN » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« door Muilders » et « onder vuur »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET, lisez notre synthèse, également en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : ZAL ZULLEN REJET VERKOPEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/03/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik zal mijn huid duur verkopen » (« Je vais vendre chèrement ma peau »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (« verkopen »), derrière les compléments (« mijn huid » et « duur »), à la fin de la phrase et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

© 2019, Bernard GOORDEN, voor de grammatica. Autres exemples à https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=vandersteen

Nom : ZAL ZULLEN REJET OVERHANDIGEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/03/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik zal ze (de foto’s) haar wel overhandigen » (« Je vais bien les lui transmettre »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (« overhandigen »), derrière les compléments (« ze », « haar » et « wel »), à la fin de la phrase et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEZONDEN VTT ZENDEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/03/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb hem (Joeki) naar zijn huis gezonden » (« J’ai envoyé Joeki à sa maison »).
Y figure notamment la forme verbale « GEZONDEN », participe passé provenant de l’infinitif « ZENDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Ce participe passé « GEZONDEN » est construit sur le PLURIEL du prétérit ou O.V.T. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GEZONDEN » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« Joeki » et « naar zijn huis »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
N’oubliez pas non plus que, dès qu’il y a une notion de mouvement, on serait tenté d’utiliser la préposition « NAAR ».

Nom : VERGAT OVT VERGETEN 2 ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/02/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik vergat iets » (« J’ai oublié quelque chose »).
On y trouve la forme verbale « VERGAT » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant de l’infinitif « VERGETEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Voir notre tableau :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : GAF OVT GEVEN 5 ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/02/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De voorschriften die hij mij gaf … » (« Les prescriptions qu’il me donna / m’a données … »).
On y trouve, dans la phrase subordonnée relative (introduite par « DIE »), la forme verbale « GAF », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « GEVEN ». Le verbe « GEVEN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : WAS OVT ZIJN 6 ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/02/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het handschrift was hetzelfde als op de voorschriften » (« L’écriture était la même que sur les prescriptions »).
On y trouve la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIJN » et qui constitue vraisemblablement le verbe le plus irrégulier de la langue néerlandaise.
C’est logique : plus on utilise un mot, plus la prononciation le déforme au fil du temps …
Le verbe « ZIJN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Notez qu’il ne pourrait, en aucun cas, s’agir d’une forme verbale à l’O.T.T. (ou « présent ») provenant de l’infinitif « WASSEN », « HIJ » (sujet) exigeant une terminaison « T » d’une troisième personne du singulier.
Par ailleurs, rappelons que le mot « schrift » provient de « SCHRIJVEN ».

Nom : DIENDEN OVT DIENEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/02/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De brieven dienden om ons te misleiden » (« Les lettres servirent à nous mettre sur une fausse piste »).
Ce verbe « DIENEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik dien ») se terminant par la consonne « N », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit : « DIEN » + « DE » + « -N » (PLURIEL) = « DIENDEN ».
Rappelons que « POUR » devant les verbes est rendu en langue néerlandaise par un double mot : « OM … TE ». Le complément «ONS» s’intercale entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « MISLEIDEN » (dont « MIS » N’est donc PAS une particule « séparable »).

Nom : ONTVING OVT ONTVANGEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/02/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De brandbrieven die hij zogezegd ontving » (« Les lettres de menace qu’il recevait soit-disant »).
On y trouve notamment la forme verbale « ONTVING » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant de l’infinitif « ONTVANGEN », lui-même construit sur le verbe « VANGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve également, dans la phrase subordonnée relative (introduite par « DIE »), la forme verbale « zogezegd », participe passé (pour un participe présent français) provenant de l’infinitif « ZEGGEN », qui fait partiellement (uniquement parfois encore à l’O.V.T.) l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : KON OVT KUNNEN REJET VERZORGEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/02/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Een chirurgijn die hun gewonden kon verzorgen » (« Un chirurgien qui pouvait soigner leurs blessures »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN » (« KON » à l’OV.T. ou prétérit). Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« verzorgen »), derrière le complément (« hun gewonden »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. On l’aurait mieux vu si on n’avait pas eu affaire à une phrase subordonnée relative (introduite par « DIE »), comme dans la variante suivante :
« Een chirurgijn kon hun gewonden verzorgen ».
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : AANGEVOERD VTT AANVOEREN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/02/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De bokkerijders werden bij voorkeur (door een chirurgijn) aangevoerd » (« Les chevaucheurs de boucs étaient de préférence dirigés par un chirurgien »).
On y trouve la forme verbale « AANgevoerd », participe passé provenant de l’infinitif « AANvoeren », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « VOEREN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent = « ik VOER ») se terminant par la consonne « R », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire : préfixe « GE » + « VOER » + « D » = « GEVOERD ».
Quand « AANvoeren » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGEvoerd ».
Il y a REJET de la forme verbale « AANgevoerd » derrière les compléments (« bij voorkeur » et « door een chirurgijn ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs:
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » (« WERDEN » à l’O.V.T. ou prétérit) est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : VERTRAAGD VTT VERTRAGEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/02/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het ontvreemden van het dossier heeft mijn opzoekingen vertraagd » (« Le vol du dossier a ralenti mes recherches »)
Rappelons tout d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve ici la forme verbale « VERTRAAGD », participe passé provenant de l’infinitif « VERTRAGEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T. : « ik vertraag ») se terminant par la consonne « G », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire. Le participe passé « VERTRAAGD » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« mijn opzoekingen »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KAN KUNNEN REJET ZIJN 2 ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/02/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Dat kan toch niet (waar) (zijn) » (« Cela ne peut tout de même pas être vrai »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« zijn », ici sous-entendue), derrière les compléments (« toch » et « niet waar », partiellement sous-entendu), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir plutôt l’auxiliaire de mode de la «POSSIBILITE », l’infinitif « MOGEN » (avec « MAG » au singulier) :
« Dat mag toch niet (waar) (zijn) ».

Nom : GAF OVT GEVEN 4 ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/02/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Welk voorwerp gaf je die helderziende ? » (« Quel objet donnas-tu / as-tu donné à cette voyante extra-lucide ? »).
On y trouve la forme verbale « GAF », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « GEVEN ». Le verbe « GEVEN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : GAF OVT GEVEN 3 ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/02/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Het voorwerp dat ik haar gaf … » (« L’objet que je lui donnai / ai donné … »).
On y trouve, dans la phrase subordonnée relative (introduite par « DAT »), la forme verbale « GAF », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « GEVEN ». Le verbe « GEVEN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : MOET MOETEN REJET GAAN 2 ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/02/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik moet dadelijk naar nummer 17 (gaan) » (« Je dois aller tout de suite chez numéro 17 »).
L’auxiliaire de mode de l’« OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« gaan », ici sous-entendue), derrière les compléments (« dadelijk » et « naar nummer 17 »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Rappelons que la préposition, après les verbes de mouvement, est habituellement « NAAR ».

Nom : SLAAN TOE OTT TOESLAAN 2 ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/02/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Overal slaan zij ongenadig toe » (« Partout, ils frappent sans pitié »).
On y trouve notamment la forme verbale « slaan … toe » à l’O.T.T. (ou présent), provenant de l’infinitif « TOESLAAN », verbe dit « à particule séparable) lui-même construit sur « SLAAN ».
Quand « TOEslaan » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TOE » (provenant de la préposition « tot ») de son infinitif proprement dit et REJET de la particule « TOE », derrière le complément (« ongenadig »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un autre complément (« Overal »), cela entraîne une INVERSION du sujet « zij » qui passe derrière son verbe « slaan ».

Nom : OMRINGD VTT OMRINGEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/02/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik zie een geacht man omringd door dronken boeren » (« Je vois un homme estimé entouré de paysans ivres »).
On y trouve la forme verbale « OMringd », participe passé provenant de l’infinitif « OMringen » (qui N’est PAS un verbe dit à « particule séparable »), lui-même construit sur l’infinitif «RINGEN». Ce verbe est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik ring ») se terminant par la consonne « G », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés.
Quand « OMringen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela n’entraîne PAS en néerlandais une séparation de la particule « OM » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) NE s’intercalant (exceptionnellement) PAS entre eux => « omringd ».

Nom : GEGEVEN VTT GEVEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/02/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wat heb je haar gegeven ? » (« Que lui as-tu donné ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEGEVEN », participe passé provenant de l’infinitif « GEVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Cette forme verbale est, comme on le voit, construite sur l’INFINITIF. Pour complément d’informations, consultez notamment notre tableau de synthèse « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « GEVEN » est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « gegeven » derrière le complément (« haar ») à la fin de la phrase (ici, par hasard, comme en français). Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEBEURD VTT GEBEUREN 3 ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/02/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat is nooit gebeurd » (« Cela n’est jamais arrivé »).
On y trouve la forme verbale « gebeurd », participe passé provenant de l’infinitif « GEBEUREN ». Ce verbe « GEBEUREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (si une première personne du présent avait existé, « gebeur ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés mais pas de préfixe « GE » puisque la forme verbale commence déjà par « GE » :
(« GE ») + « GEBEUR » + « D » = « GEBEURD ».
Quand « GEBEUREN » est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « gebeurd » derrière le complément (« nooit ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VEERT OTT VEREN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/02/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Na een tijd veert ze plots met een kreet recht » (« Après un temps / Au bout d’un moment, elle se redresse / se met debout sur ses jambes soudain avec un cri / en poussant un cri »).
On y trouve la forme verbale « veert », provenant de l’infinitif « VEREN ».
Notez qu’il y a REJET de « recht », réagissant comme une particule séparable, derrière les compléments (« plots » et « met een kreet »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un autre complément (« Na een tijd »), cela entraîne une INVERSION du sujet « ze » qui passe derrière son verbe « veert ».

Nom : GAF OVT GEVEN 2 ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/02/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Het voorwerp dat zij (Rozemarijn) haar gaf » (« L’objet qu’elle lui donna / a donné »).
On y trouve, dans la phrase subordonnée relative (introduite par « DAT »), la forme verbale « GAF », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « GEVEN ». Le verbe « GEVEN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : KAN KUNNEN REJET WORDEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/02/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Dat kan grappig worden » (« Cela peut devenir amusant »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« worden »), derrière le complément (« grappig »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir plutôt l’auxiliaire de mode de la «POSSIBILITE », l’infinitif « MOGEN » (avec « MAG » au singulier) :
« Dat mag grappig worden ».

Nom : ZAL ZULLEN REJET WAGEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/02/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik zal de proef eens wagen » (« Je vais risquer l’épreuve une fois »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (« wagen »), derrière les compléments (« de proef » et « eens »), à la fin de la phrase et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GELOOFD VTT GELOVEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/02/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb daar nooit in geloofd » (« Je n’y ai jamais cru »).
On y trouve la forme verbale « geloofd », participe passé provenant de l’infinitif « GELOVEN ». Ce verbe « GELOVEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik geloof ») se terminant par la consonne « F », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés mais pas de préfixe « GE » puisque la forme verbale commence déjà par « GE » :
(« GE ») + « GEOOF » + « D » = « GELOOFD ».
Quand « GELOVEN » est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « geloofd » derrière le complément (« nooit ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait pu avoir une variante de la phrase sans séparation de l’adverbe pronominal :
« Ik heb daarin nooit geloofd ».

Nom : OMKWAM OVT OMKOMEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/02/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Mijn man die op zee omkwam » (« Mon mari qui a péri en mer »).
On y trouve, dans la phrase subordonnée relative (introduite par « DIE »), la forme verbale « OMKWAM », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « OMKOMEN », lui-même construit sur « KOMEN ».
Le verbe « KOMEN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : GAF OVT GEVEN OVERLEDEN VTT OVERLIJDEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/02/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik gaf haar de ring van mijn overleden man » (« Je lui donnai / ai donné la bague de mon mari décédé »).
On y trouve la forme verbale « GAF », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « GEVEN ». Le verbe « GEVEN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
On y trouve également la forme verbale « overleden », participe passé (utilisé ici comme adjectif) provenant de l’infinitif « OVERLIJDEN », construit sur « LIJDEN » qui fait aussi l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « IJ », donne une voyelle «E» aux temps du passé.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : SPOELT AAN OTT AANSPOELEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/02/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een drenkeling spoelt (op het strand) aan » (« Un naufragé est rejeté sur le rivage »).
On trouve la forme verbale « spoelt … AAN », provenant de l’infinitif « AANSPOELEN », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur « SPOELEN ».
Lorsque « AANSPOELEN » est conjugué, la particule « AAN » fait l’objet d’un REJET derrière le complément éventuel (« op het strand ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET (notamment du verbe ou de certaines de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GAAN MEE OTT MEEGAAN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/02/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We gaan (met u) mee » (« Nous allons avec vous / nous vous accompagnons »).
On trouve la forme verbale « GAAN … MEE », provenant de l’infinitif « MEEGAAN », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur « GAAN ».
Lorsque « MEEGAAN » est conjugué, la particule « MEE » (venant de la préposition « MET ») fait l’objet d’un REJET derrière le complément éventuel (« met u ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET (notamment du verbe ou de certaines de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : TOESLAAN PARTICULE SEPARABLE ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/02/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik hoop weldra toe te slaan » (« J’espère bientôt frapper »).
On y trouve notamment la forme verbale « toe … slaan », provenant de l’infinitif « TOESLAAN », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur « SLAAN ».
Quand « TOEslaan » est conjugué (même dans ce cas insolite), cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TOE » (provenant de la préposition « tot ») de son infinitif proprement dit, par exemple après « HOPEN », qui engendre un « TE », s’intercalant entre la particule séparable « TOE » et l’infinitif « SLAAN ».
Vous trouverez d’autres verbes réagissant comme « HOPEN » (phrases MP3 à écouter) au lien suivant :
https://www.idesetautres.be/upload/CONSTRUCTIONS%20PHRASES%20NL%20ZC10%20TE+INFINITIF.zip

Nom : LEERDEN OVT LEREN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/02/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De dossiers leerden mij ook heel wat over de bewoners » (« Les dossiers m’ont aussi appris pas mal de choses au sujet des habitants »).
Ce verbe « LEREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik leer ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit :
« LEER » + « DE » + « -N » (PLURIEL) = « LEERDEN ».

Nom : BESTUDEERD VTT BESTUDEREN 2 ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/02/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb de gewoonten van de vroegere bokkerijders bestudeerd » (« J’ai étudié les habitudes des anciens chevaucheurs de boucs »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais. On trouve donc la forme verbale « BEstudeerd », participe passé provenant de l’infinitif « BEstuderen », construit sur « STUDEREN ». Le participe passé est, lui, construit sur la première personne de l’indicatif présent («ik BEstudeer»), NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts », est donc considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé, NE fait PAS partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison du prétérit : « BESTUDEER » + « D » = « BESTUDEERD ».
Le participe passé « BEstudeerd » fait l’objet ici d’un REJET, derrière le complément (« de gewoonten van de vroegere bokkerijders »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : RUIMT OP OTT OPRUIMEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 31/01/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « (De man) ruimt zijn medeplichten op » (« L’homme fait le nettoyage / se débarrasse de ses complices »).
On y trouve la forme verbale « ruimt … op », présent (ou O.T.T.) provenant de l’infinitif « OPRUIMEN », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur « RUIMEN ».
Quand « OPRUIMEN » est conjugué, il y a REJET de la « particule séparable » (« OP »), derrière le complément (« zijn medeplichten ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : BEDREIGD VTT BEDREIGEN 2 ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 30/01/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De man voelt zich bedreigd » (« L’homme se sent menacé »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais. On trouve donc la forme verbale « BEdreigd », participe passé provenant de l’infinitif « BEdreigen » (construit sur la première personne de l’indicatif présent) et NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « BEdreigd » fait l’objet ici d’un REJET, comme au passé composé (avec l’auxiliaire « ZIJN ») ou à la voix passive (avec l’auxiliaire « WORDEN »), derrière le complément (« zich »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : BEZAT OVT BEZITTEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 29/01/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Alleen de kapitein bezat het (de zilveren bok) » (« Seul le capitaine le possédait »).
On y trouve la forme verbale « beZAT », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « beZITTEN », lui-même construit sur le verbe « ZITTEN ».
Le verbe « ZITTEN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : WAS OVT ZIJN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/01/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De zilveren bok was het symbool van de bokkerijders » (« Le bouc en argent était le symbole des chevaucheurs de boucs »).
On y trouve la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIJN » et qui constitue vraisemblablement le verbe le plus irrégulier de la langue néerlandaise.
C’est logique : plus on utilise un mot, plus la prononciation le déforme au fil du temps …
Le verbe « ZIJN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Notez qu’il ne pourrait, en aucun cas, s’agir d’une forme verbale à l’O.T.T. (ou « présent ») provenant de l’infinitif « WASSEN », « HIJ » (sujet) exigeant une terminaison « T » d’une troisième personne du singulier.

Nom : HAAL OP OTT OPHALEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/01/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Haal die zigeuners op ! » (« Va chercher ces tsiganes ! »).
On y trouve la forme verbale « haal … op », impératif provenant de l’infinitif « OPHALEN », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur « HALEN », qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP », le radical (première personne du présent ou O.T.T.) se terminant par la consonne « L ».
Quand « OPHALEN » est conjugué, il y a REJET de la « particule séparable » (« OP »), derrière le complément (« die zigeuners ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VROEG OVT VRAGEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/01/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij vroeg mij het beeldje aan de politie te bezorgen » (« Il m’a demandé de fournir la statuette à la police »).
On y trouve notamment la forme verbale « VROEG », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « VRAGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Notez que « VRAGEN » gère ici ses compléments de la façon suivante : « demander quelqu’un (« mij ») de faire quelque chose.
« VRAGEN » est, par ailleurs, suivi d’un « TE » pour rendre l’équivalent français avec « demander », c’est-à-dire un « DE ».

Nom : WILDE OVT WILLEN BETROKKEN VTT BETREKKEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/01/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij wilde bij niets betrokken zijn » (« Il ne voulait être impliqué en rien »).
L’auxiliaire de mode de la VOLONTE » est l’infinitif « WILLEN » (donnant WILDE, au singulier du prétérit ou O.V.T.). Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « MOGEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière le complément (« bij niets »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Rappelons par ailleurs que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais. On trouve donc la forme verbale « BEtrokken », participe passé provenant de l’infinitif « BEtrekken », lui-même construit sur l’infinitif « TREKKEN » qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : VOND OVT VINDEN 2 VERDACHT VTT VERDENKEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/01/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij vond het verdacht » (« Il le trouva suspect »).
On y découvre la forme verbale « VOND », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « I », donne une voyelle « O » pour les temps du passé.
On y trouve aussi la forme verbale « verdacht », participe passé (construit sur le prétérit « dacht » et utilisé ici comme attribut provenant de l’infinitif «VERDENKEN», lui-même construit sur l’infinitif «DENKEN» qui fait également l’objet des « temps primitifs ».
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : VISTE OP OVT OPVISSEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/01/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De vader viste de zilveren bok op » (« Le père a sorti de l’eau / pêché le bouc en argent »).
On y trouve la forme verbale « viste … op », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « OPVISSEN », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur « VISSEN », qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T.) se terminant par la consonne « S », on trouvera à la fin du prétérit la terminaison « TE » minoritaire : « VIS » + « TE » = « VISTE ».
Quand « OPVISSEN » est conjugué, il y a REJET de la « particule séparable » (« OP »), derrière le complément (« de zilveren bok ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GING OVT GAAN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/01/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik ging buiten het dorp » (« J’allai hors du village »).
On y trouve la forme verbale « GING » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant de l’infinitif « GAAN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Voir notre tableau :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : VOND OVT VINDEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/01/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Waar vond je die (= de zilveren bok) ? » (« Où le trouvas-tu ? »).
On y découvre la forme verbale « VOND », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « I », donne une voyelle « O » pour les temps du passé.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : OPGEDIEPT VTT OPDIEPEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/01/2019

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Kijk wat ik opgediept heb » (« Regarde ce que j’ai exhumé / retiré du fond … »).
On y trouve la forme verbale « opgediept », participe passé provenant de l’infinitif « OPDIEPEN », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur « DIEPEN », qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T.) se terminant par la consonne « P », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Quand « OPDIEPEN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE-» (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEdiept ».
Quand « OPDIEPEN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, il y a REJET de son participe passé « opgediept », derrière le complément éventuel (« dat ») à la fin de la phrase (« Ik heb dat opgediept »). Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : REED OVERHOOP OVT OVERHOOPRIJDEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/01/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je reed ons bijna overhoop » (« Tu nous roulas / as roulé presque dessus »).
On y trouve la forme verbale « REED … overhoop », prétérit (ou O.V.T.) provenant plus d’une expression que d’un infinitif « overhoopRIJDEN » (qui serait « à particule séparable »), lui-même construit sur l’infinitif « RIJDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « IJ », donne une voyelle « E » (double, au singulier). Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « overhoopRIJDEN » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de « overhoop », réagissant comme une particule, de son infinitif proprement dit et il y a REJET de « overhoop », derrière les compléments (« ons » et « bijna »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEMUNT VTT MUNTEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/01/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Die auto heeft het op ons gemunt » (« Cette voiture nous a pris en point de mire / pour cible »).
On y trouve la forme verbale « gemunt », participe passé provenant de l’infinitif « MUNTEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T. : « ik munt ») se terminant déjà par la consonne « K », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire : préfixe « GE » + « MUNT » = « GEMUNT ».
Quand « MUNTEN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, il y a REJET de son participe passé « gemunt » derrière les compléments (« het » et « op ons ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MOETEN REJET BRENGEN 2 ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/01/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Eerst moet ik voor juffrouw Stippenlift deze foto’s naar dokter Minten brengen » (« Les voleurs doivent avoir un blessé»).
L’auxiliaire de mode de l’« OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« brengen »), derrière les compléments (« voor juffrouw Stippenlift », « deze foto’s » et « naar dokter Minten »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Eerst »), il y a une INVERSION et le sujet (« ik ») passe derrière le verbe « moet ».
On aurait en effet aussi pu dire :
« Ik moet eerst (…) deze foto’s (…) brengen ».

Nom : MOETEN REJET BRENGEN 1 ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/01/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We moeten dadelijk nummer 17 op de hoogte brengen » (« Nous devons immédiatement mettre numéro 17 au courant »).
L’auxiliaire de mode de l’« OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« brengen »), derrière les compléments (« dadelijk », « nummer 17 » et « op de hoogte »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez l’expression « op de hoogte brengen », équivalant à « mettre à la hauteur » et contenant la préposition « OP » rendant, souvent en langue néerlandaise, la préposition française « à ».

Nom : VERGIFTIGD VTT VERGIFTIGEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/01/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij werden (door iemand) vergiftigd » (« Ils ont été empoisonnés … »)
Rappelons tout d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve ici la forme verbale « VERGIFTIGD », participe passé provenant de l’infinitif « VERGIFTIGEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T. : « ik vergiftig ») se terminant par la consonne « G », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire. Le participe passé « VERGIFTIGD » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« door iemand »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » (ici « WERDEN ») est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ». Il fait l’objet des « temps primitifs ». Pour complément d’informations concernant les « temps primitifs », consultez par exemple notre tableau de synthèse sur ce même site :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : GEBEURD VTT GEBEUREN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/01/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wat is hier gebeurd ? … » (« Que s’est-il passé ici ? … »)
Rappelons tout d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve ici la forme verbale « GEBEURD », participe passé provenant de l’infinitif « GEBEUREN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T.) se terminant par la consonne « R », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire.
Le participe passé « GEBEURD » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément («hier»), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEDAAN VTT DOEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/01/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wie heeft dat gedaan ? » (« Qui a fait cela ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEDAAN », participe passé provenant de l’infinitif « DOEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GEDAAN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« DAT »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : STORTTE NEER OVT NEERSTORTEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/01/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij stortte als een blok neer » (« Il s’est effondré comme un bloc => une masse »).
On y trouve notamment la forme verbale « stortte … NEER » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant de l’infinitif « NEERstorten », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « STORTEN », qui est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), mais fait partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik stort ») se terminant déjà par la consonne « T », on trouvera le « TE » minoritaire comme terminaison du prétérit : « STORT » + « TE » = « STORTTE ». Quand « NEERstorten » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « NEER » de son infinitif proprement dit, et il y a REJET de la particule « NEER », derrière le complément (« als een blok »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZULLEN REJET HINDEREN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/01/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Jullie zullen ons niet meer hinderen » (« Vous ne nous gênerez plus / Vous n’allez plus nous gêner = mettre des bâtons dans les roues »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (« hinderen »), derrière les compléments (« ons » et « niet meer »), à la fin de la phrase et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : WERP WEG OTT WEGWERPEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/01/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Werp jullie pistolen weg ! » (« Jetez au loin vos pistolets ! »).
On y trouve la forme verbale « werp … WEG », impératif présent provenant du verbe « WEGwerpen », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « WERPEN ».
Quand « WEGwerpen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « WEG » de son infinitif proprement dit et il y a REJET de cette particule séparable «WEG» (rendant une notion d’éloignement), derrière le complément (« jullie pistolen »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes comme une « particule séparable »), lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZOUDEN REJET WAGEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/01/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zouden we een overval wagen ? » (« Oserions-nous risquer une attaque ? »).
L’auxiliaire du CONDITIONNEL est l’infinitif « ZOUDEN » ; il est, en quelque sorte, l’« imparfait » (O.V.T. ou prétérit) de l’auxiliaire du FUTUR, « ZULLEN ».
Au CONDITIONNEL, il y a REJET de l’autre forme verbale (« wagen ») à la fin de la phrase, derrière le complément, et donc à l’INFINITIF.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VERTROKKEN VTT VERTREKKEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/01/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De kapitein is reeds lang vertrokken … » (« Le capitaine est déjà longtemps parti … »).
Rappelons tout d’abord que, au participe passé, les verbes commençant par les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER-, NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve ici notamment la forme verbale « verTROKKEN », participe passé provenant de l’infinitif «verTREKKEN », lui-même construit sur « TREKKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Il est à noter que ce participe passé se construit sur le pluriel du prétérit (et est, ici, même identique) ou O.V.T. Voir notre tableau :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Il y a REJET du participe passé « verTREKKEN » derrière les compléments (« reeds » et (« lang »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZAL ZULLEN REJET BEZORGEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/01/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik zal jullie nieuwe opdrachten bezorgen » (« Je vais vous fournir => confier d’autres missions »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (« bezorgen »), derrière les compléments (« jullie » et « opdrachten »), à la fin de la phrase et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KUNNEN REJET VOLGEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/01/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De vagebonden kunnen hem ongemerkt volgen » (« Les vagabonds peuvent le suivre sans être remarqués / aperçus »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« helpen »), derrière le(s) complément(s) (« hem handje » et « ongemerkt »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir plutôt l’auxiliaire de mode de la «POSSIBILITE », l’infinitif « MOGEN » : « De vagebonden mogen hem ongemerkt volgen ».
On y trouve donc aussi la forme verbale « ongemerkt », ici sorte d’adjectif attribut ; s’il avait existé un infinitif « ONMERKEN », lui-même construit sur « MERKEN », il aurait eu un tel participe passé provenant, comme la grande majorité des verbes néerlandais, de ceux qui NE font PAS l’objet des « temps primitifs » mais font partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T.) se terminant par la consonne « K », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire. Le préfixe « ON- » (« UN- » en anglais) n’est PAS une « particule séparable » (même s’il réagit comme « OP ») et constitue donc en fait le contraire de « gemerkt ».

Nom : RIJDT WEG OTT WEGRIJDEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/01/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (de dokter) rijdt snel weg » (« Le docteur repart vite en roulant »).
On y trouve la forme verbale « rijdt … WEG », O.V.T (prétérit) provenant du verbe « WEGrijden », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « RIJDEN ».
Quand « WEGrijden » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « WEG » de son infinitif proprement dit et il y a REJET de cette particule séparable « WEG » (rendant une notion d’éloignement), derrière le complément (« snel »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes comme une « particule séparable »), lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : AANGEREDEN VTT AANRIJDEN 2 ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/01/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Daar komt dokter Minten AANgerEden » (« Voilà le docteur Minten arrivant en voiture »).
On y trouve notamment la forme verbale « AANGEREDEN », participe passé provenant de l’infinitif « AANRIJDEN », lui-même construit sur l’infinitif « RIJDEN » qui, comme presque tous les verbes en « IJ », donne aux temps du passé une voyelle « E ». Il est à noter que le participe passé « GEREDEN » se construit sur le PLURIEL du prétérit ou O.V.T.
Quand « AANRIJDEN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGEreden ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
La phrase commençant par un complément (« Daar »), il y a une INVERSION et le sujet (« dokter Minten ») passe derrière le verbe « komt ».
On aurait en effet aussi pu dire : « Dokter Minten komt daar AANgerEden ».

Nom : ZULLEN REJET LEGGEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/01/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We (Bertrand en ik) zullen een hinderlaag leggen » (« Nous allons tendre une embuscade »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (« leggen »), derrière le complément (« een hinderlaag »), à la fin de la phrase et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VALLEN OP OTT OPVALLEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/01/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De gendarmen vallen te veel op » (« Les gendarmes attirent trop l’attention »).
On y trouve la forme verbale « vallen … OP », à l’O.T.T. (indicatif présent), verbe dit « à particule séparable », provenant de l’infinitif « OPvallen », lui-même construit sur l’infinitif « VALLEN ».
Quand « OPvallen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit et son REJET, derrière le complément (« te veel »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes comme une « particule séparable »), lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MOETEN REJET HEBBEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/01/2019

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De rovers moeten een gewonde hebben » (« Les voleurs doivent avoir un blessé»).
L’auxiliaire de mode de l’« OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière le complément (« een gewonde »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KREEG OVT KRIJGEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 31/12/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik kreeg weer een dreigdbrief » (« Je reçus / j’ai reçu à nouveau une lettre de menace »).
On y trouve la forme verbale « KREEG », prétérit (ou O.V.T.) provenant de l’infinitif « KRIJGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « IJ », donne une voyelle « E » (double, au singulier). Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : TOESLAAN OM TE ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 30/12/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Het is nog te vroeg om toe te slaan » (« Il est encore trop tôt pour frapper »).
On y trouve notamment la forme verbale « toe … slaan », provenant de l’infinitif « TOESLAAN », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur « SLAAN ».
Quand « TOEslaan » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TOE » (provenant de la préposition « tot ») de son infinitif proprement dit.
Rappelons que « POUR » devant les verbes est rendu en langue néerlandaise par un double mot : « OM … TE ». La particule séparable « TOE » s’intercale entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « SLAAN ».

Nom : MOETEN REJET SCHUILHOUDEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 29/12/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij moet zich ergens onder een valse naam schuilhouden » (« Il doit se cacher quelque part sous un faux nom »).
L’auxiliaire de mode de l’« OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, un verbe dit « à particule séparable » * (« schuilhouden »), derrière les compléments (« ergens » et « onder een valse naam »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
On aurait pu avoir la variante suivante * de la phrase, où l’on aurait constaté le REJET de la composante de la forme verbale, en l’occurrence la « particule séparable » (« schuil »), derrière les compléments (« ergens » et « onder een valse naam »), également à la fin de la phrase :
« Hij houdt zich ergens onder een valse naam schuil ».

Nom : ACHTERHAALD VTT ACHTERHALEN OVERLEDEN VTT OVERLIJDEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/12/2018

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Toch heb ik (al) achterhaald dat de voortvluchtigen reeds zijn overleden » (« J’ai tout de même reconstitué le fait que les fugitifs sont déjà décédés »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER- GE-, ONT- et VER-, mais aussi souvent ACHTER- et OVER-, NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On y trouve, dans la phrase principale, la forme verbale « achterhaald », participe passé provenant de l’infinitif « ONTVREEMDEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T. : « ik achterhaal ») se terminant par la consonne « L », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire.
Il y a REJET du participe passé « achterhaald » derrière le complément éventuel (« al »), à la fin de la phrase principale. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase principale commençant par un complément (« Toch »), cela entraîne une INVERSION du sujet « ik » qui passe derrière son verbe « heb ».
On y trouve, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « overleden », participe passé provenant de l’infinitif « OVERLIJDEN », construit sur « LIJDEN » qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « IJ », donne une voyelle « E » (double, au singulier) aux temps du passé. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : BEZOCHT OVT BEZOEKEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/12/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Het dossier (…) bevatte concrete gegevens hierover » (« Le dossier contenait des données concrètes à propos de ceci »).
On y trouve notamment le verbe « BEVATTEN », qui est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), mais fait partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik bevat ») se terminant par la consonne « T », on trouvera le « TE » minoritaire comme terminaison du prétérit : « BEVAT » + « TE » = « BEVATTE ».

Nom : ONTVREEMD VTT ONTVREEMDEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/12/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het dossier dat jullie (in het gemeentehuis) hebben ontvreemd » (« Le dossier que vous avez dérobé »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER- GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On y trouve la forme verbale « ontvreemd », participe passé provenant de l’infinitif « ONTVREEMDEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T. : « ik ontvreemd ») se terminant déjà par la consonne « D », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire.
Il y a REJET du participe passé « ontvreemd » derrière le complément éventuel (« in het gemeentehuis »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : BESTUDEERD VTT BESTUDEREN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/12/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb ook de inwijkelingen bestudeerd » (« J’ai aussi étudié les nouveaux habitants »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais. On trouve donc la forme verbale « BEstudeerd », participe passé provenant de l’infinitif « BEstuderen », construit sur « STUDEREN ». Le participe passé est, lui, construit sur la première personne de l’indicatif présent (« ik BEstudeer »), NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts », est donc considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé, NE fait PAS partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison du prétérit :
« BESTUDEER » + « D » = « BESTUDEERD ».
Le participe passé « BEstudeerd » fait l’objet ici d’un REJET, derrière le complément (« de inwijkelingen »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MOETEN REJET AFDRUIPEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/12/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De boeven moeten met een gewonde afdruipen » (« Les rascals doivent décrocher avec un blessé »).
L’auxiliaire de mode de l’« OBLIGATION » (ici sous-entendu) est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« terugkrijgen »), derrière le complément (« met een gewonde »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Dans l’extrait de la BD, nous avons affaire à une phrase subordonnée (introduite par « DAT »). N’oublions pas que, dans une phrase subordonnée néerlandaise, le sujet reste à sa place habituelle mais n’est plus à côté de son verbe.

Nom : SLAAN TOE OTT TOESLAAN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/12/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De volgende nacht slaan de rovers weer in een afgelegen boerderij toe » (« La nuit suivante, les voleurs frappent à nouveau dans une ferme située à l’écart = isolée »).
On y trouve notamment la forme verbale « slaan … toe » à l’O.T.T. (ou présent), provenant de l’infinitif « TOESLAAN », lui-même construit sur « SLAAN ». http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « TOEslaan » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TOE » (provenant de la préposition « tot ») de son infinitif proprement dit et REJET de la particule « TOE », derrière les compléments (« weer » et « in een afgelegen boerderij »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un autre complément (« De volgende nacht »), cela entraîne une INVERSION du sujet « de rovers » qui passe derrière son verbe « slaan ».

Nom : ZOU ZOUDEN REJET SPREKEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/12/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij zou jullie graag spreken » (« Il vous parlerait volontiers »).
L’auxiliaire du CONDITIONNEL est l’infinitif « ZOUDEN », donnant un singulier « ZOU » ; il est, en quelque sorte, l’« imparfait » (O.V.T. ou prétérit) de l’auxiliaire du FUTUR, « ZULLEN ».
Au CONDITIONNEL, il y a REJET de l’autre forme verbale (« spreken »), derrière les compléments (« jullie » et «graag»), et donc à l’INFINITIF, à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : BEZOCHT OVT BEZOEKEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/12/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik bezocht nummer 17 » (« Je rendis / j’ai rendu visite à numéro 17 »).
On y trouve notamment la forme verbale « BEZOCHT », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « BEZOEKEN », lui-même construit sur « ZOEKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : BEDREIGD OVT BEDREIGEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/12/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Ik voel mij bedreigd» (« Je me sens menacée »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais. On trouve donc la forme verbale « BEdreigd », participe passé provenant de l’infinitif « BEdreigen » (construit sur la première personne de l’indicatif présent) et NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « BEdreigd » fait l’objet ici d’un REJET, comme au passé composé (avec l’auxiliaire « ZIJN ») ou à la voix passive (avec l’auxiliaire « WORDEN »), derrière le complément (« mij »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
N’oublions pas que, en langue néerlandaise, un participe passé reste toujours invariable.

Nom : GEWIJD VTT WIJDEN ROBERT ET BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/12/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Daarom heb ik mijn eerste reportage aan de overvallen hier gewijd » (« C’est pourquoi j’ai consacré mon premier reportage aux attaques ici »).
On y trouve la forme verbale « gewijd », participe passé provenant de l’infinitif « WIJDEN ». Ce verbe « WIJDEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik wijd ») se terminant déjà par la consonne « D », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés : préfixe « GE » + « WIJD » = « GEWIJD ».
Quand « WIJDEN » est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « gewijd » derrière les compléments (« mijn eerste reportage », « aan de overvallen » et « hier ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un autre complément (« Daarom »), cela entraîne une INVERSION du sujet « ik » qui passe derrière son verbe « heb ».

Nom : KONDEN OVT KUNNEN REJET ONTSNAPPEN 2 ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/12/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik vermoed dat sommige rovers konden (toch) ontsnappen » (« Je suppose que certains voleurs purent s’échapper »).
L’auxiliaire de mode de la CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN », un O.V.T. (ou prétérit) « KON » et un PLURIEL irrégulier « KONDEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière le complément éventuel (« toch »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Le verbe « KUNNEN » fait l’objet (au seul prétérit ou O.V.T.) des « temps primitifs ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : KWAM OVT KOMEN 2 ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/12/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij kwam bij de aanhouding van de laatste bokkerijder om het leven » (« ll perdit la vie lors de l’arrestation du dernier chevaucheur de boucs »).
On y trouve la forme verbale « KWAM », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « KOMEN ».
Le verbe « KOMEN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Notez l’expression « om het leven komen ».

Nom : WAS OVT ZIJN 4 ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/12/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij was mijn grootvader » (« ll était mon grand-père »).
On y trouve la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIJN » et qui constitue vraisemblablement le verbe le plus irrégulier de la langue néerlandaise.
C’est logique : plus on utilise un mot, plus la prononciation le déforme au fil du temps …
Le verbe « ZIJN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Notez qu’il ne pourrait, en aucun cas, s’agir d’une forme verbale à l’O.T.T. (ou « présent ») provenant de l’infinitif « WASSEN », « HIJ » (sujet) exigeant une terminaison « T » d’une troisième personne du singulier.

Nom : KWAM OVT KOMEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/12/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Hoe kwam je aan dit boek ? » (« Comment arrivas-tu / accédas-tu à ce livre ? »).
On y trouve la forme verbale « KWAM », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « KOMEN ».
Le verbe « KOMEN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : GEVORMD VTT VORMEN ROBERT ET BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/12/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een nieuwe bende heeft zich hier gevormd » (« Une nouvelle bande s’est formée ici »).
On y trouve la forme verbale « gevormd », participe passé provenant de l’infinitif « VORMEN ». Ce verbe « VORMEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik vorm ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés :
préfixe « GE » + « VORM » + « D » = « GEVORMD ».
Quand « VORMEN » est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « gevormd » derrière le complément (« hier ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KONDEN OVT KUNNEN REJET ONTSNAPPEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/12/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Slechts enkelen konden (toch) ontsnappen » (« Seuls quelques-uns purent s’échapper »).
L’auxiliaire de mode de la CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN », un O.V.T. (ou prétérit) « KON » et un PLURIEL irrégulier « KONDEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière le complément éventuel (« toch »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Le verbe « KUNNEN » fait l’objet (au seul prétérit ou O.V.T.) des « temps primitifs ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : LOKTEN UIT VTT UITLOKKEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/12/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Folteringen lokten bekentenissen uit » (« Des tortures arrachaient des aveux »).
On y trouve notamment la forme verbale « lokten … uit » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant de l’infinitif « UITLOKKEN », lui-même construit sur « LOKKEN » qui est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), mais fait partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik lok ») se terminant par la consonne « K », on trouvera le « TE » minoritaire comme terminaison du prétérit :
« LOK » + « TE » + « N » (pluriel) = « LOKTEN ».
Quand « UITLOKKEN » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit et le REJET de cette particule « UIT », derrière le complément (« bekentenissen »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez:
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : OPGEHANGEN VTT OPHANGEN 2 ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/12/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « In 1794 werd de laatste bokkerijder te Stiekemsheuvel opgehangen » (« (C’est) en 1794 (que) le dernier chevaucheur de boucs a été pendu »).
On y trouve la forme verbale « OPgehangen », participe passé provenant de l’infinitif « OPhangen », lui-même construit sur l’infinitif « HANGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Quand « OPhangen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE-» (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEgraven ».
Si la phrase n’avait pas commencé par le complément (« in 1794 »), on aurait constaté qu’il y aurait eu également REJET de la forme verbale derrière ce complément (comme derrière l’autre) à la fin de la phrase (« De laatste bokkerijder werd in 1794 te Stiekemsheuvel opgehangen »). Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par ce complément (« in 1794 »), cela entraîne une INVERSION du sujet « de laatste bokkerijder » qui passe derrière son verbe « werd ».
Cette phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » (ici « WERD ») est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ». Il fait aussi l’objet des « temps primitifs ». Pour complément d’informations concernant les « temps primitifs », consultez par exemple notre tableau de synthèse sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : SLOEGEN TOE OVT TOESLAAN UITROEIEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/12/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De drossaards sloegen hard toe om de benden uit te roeien » (« Les huissiers frappaient durement pour éradiquer les bandes »).
On y trouve notamment la forme verbale « sloegen … toe » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant de l’infinitif « TOESLAAN », lui-même construit sur « SLAAN » qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « TOEslaan » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TOE » (provenant de la préposition « tot ») de son infinitif proprement dit et REJET de la particule « TOE », derrière le complément (« hard »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez:
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Rappelons que « POUR » devant un verbe est rendu par « OM … TE », la particule séparable « UIT » se retrouvant (comme le complément «de benden ») entre les deux éléments.
Notez qu’il ne faut pas confondre « SLAAN » avec le verbe « SLAGEN », considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.).

Nom : LEGDEN AF OVT AFLEGGEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/12/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De benden legden de eed af » (« Les bandes déposaient => prêtaient serment »).
On y trouve la forme verbale « legden … AF », provenant de l’infinitif « AFleggen », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit donc sur l’infinitif « LEGGEN ».
Ce verbe « LEGGEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik leg ») se terminant par la consonne « G », on trouvera un suffixe « DE » (au singulier) majoritaire comme terminaison du prétérit :
« LEG » + « DE » + « N » (pluriel) = « LEGDEN ».
Quand « AFleggen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de sa forme verbale proprement dite et cette particule séparable «AF», composante du verbe, fait l’objet d’un REJET, derrière le complément («de eed»), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que le verbe « LEGGEN » est lié au verbe de position « LIGGEN » (irrégulier et faisant l’objet des temps primitifs), signifiant « être couché ».

Nom : KWAMEN BIJEEN OVT BIJEENKOMEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/12/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «De benden kwamen in het geheim bijeen » (« Les bandes se réunissaient en secret »).
On y trouve la forme verbale « kwamen … BIJEEN », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « BIJEENkomen », lui-même construit sur l’infinitif « KOMEN ».
Le verbe « KOMEN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « BIJEENkomen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « BIJEEN » (synonyme de « SAMEN » ou « bij elkaar ») de son infinitif proprement dit, et il y a REJET de la particule « BIJEEN » derrière le complément (« in het geheim »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : WAREN OVT ZIJN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/12/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «De aanvoerders waren meestal vooraanstaande personen » (« Les meneurs étaient la plupart du temps des personnes de premier plan »)
On y trouve notamment la forme verbale « WAREN » (pluriel irrégulier de « WAS »), O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : VERPLAATSTEN OVT VERPLAATSEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/12/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zo ontstond de legende dat zij zich op bokken door de lucht verplaatsten » (« C’est ainsi que naquit la légende qu’ils se déplaçaient sur des boucs à travers les airs »).
On y trouve, dans la phrase subordonnée (introduite par « DAT »), la forme verbale « VERPLAATSTEN », O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « VERPLAATSEN », qui est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), mais fait partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik verplaats ») se terminant par la consonne « S », on trouvera le « TE » minoritaire comme terminaison du prétérit : « VERPLAATS » + « TE » + « N » (pluriel) = « VERPLAATSTEN ».
N’oublions pas que, dans une phrase subordonnée, la forme verbale ne reste pas à côté de son sujet et fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (ici « op bokken » et « door de lucht »), à la fin de la phrase.

Nom : ONTSTOND OVT ONTSTAAN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/12/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zo ontstond de legende » (« C’est ainsi que naquit la légende »)
On y trouve la forme verbale « ONTSTOND », O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « ONTSTAAN », lui-même construit sur « STAAN » qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
La phrase commençant par un complément (« Zo »), cela entraîne une INVERSION du sujet « de legende » qui passe derrière son verbe « ontstond ».

Nom : SLOEGEN TOE OVT TOESLAAN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/12/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De rovers sloegen overal tegelijk toe » (« Les voleurs frappaient simultanément partout »).
On y trouve notamment la forme verbale « sloegen … toe » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant de l’infinitif « TOESLAAN », lui-même construit sur « SLAAN » qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « TOEslaan » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TOE » (provenant de la préposition « tot ») de son infinitif proprement dit et REJET de la particule « TOE », derrière les compléments (« overal » et « tegelijk »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez qu’il ne faut pas confondre « SLAAN » avec le verbe « SLAGEN », considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.).

Nom : DEDEN OVT DOEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/12/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij bestreed de grote roversbenden die toen Limburg en Overmaas in angst deden leven » (« Il combattit les grandes bandes de voleurs qui, alors, faisaient vivre le Limbourg et l’Outre-Meuse dans la peur / … semaient la terreur … »)
On y trouve, dans la phrase subordonnée (introduite par « TOEN », au passé »), la forme verbale « DEDEN » (pluriel de « DEED »), O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « DOEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : BESTREED OVT BESTRIJDEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/12/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij bestreed de grote roversbenden » (« Il combattit les grandes bandes de voleurs »)
On y trouve la forme verbale « bestreed », prétérit (O.V.T.) provenant de l’infinitif « BESTRIJDEN », lui-même construit sur le verbe « STRIJDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « IJ », donne une voyelle « E » (« ee » au singulier) au passé.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : WILDE OVT WILLEN REJET LATEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/12/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wat wilde je ons tonen / laten zien ? » (« Que voulais-tu nous montrer ? »).
L’auxiliaire de mode de la VOLONTE » est l’infinitif « WILLEN » (donnant WILDE, au singulier du prétérit ou O.V.T.). Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « MOGEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière le complément (« ons »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Ce verbe « WILLEN » évolue vers un verbe « régulier ». Comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs » sauf, parfois, encore au prétérit : « WOU » au lieu de « WILDE ». On aurait, en effet, pu trouver la variante suivante : « Wat wou je ons tonen / Wat wou je ons laten zien ? »

Nom : SLOOP OVT SLUIPEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 30/11/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik sloop dan naar buiten voor een unieke foto » (« Je me faufilai alors vers l’extérieur pour une photo unique »)
On y trouve la forme verbale « sloop », prétérit (O.V.T.) provenant de l’infinitif « SLUIPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « UI », donne une voyelle « O » (« oo » au singulier) au passé.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que dans « buiten », il y a « uit ».
On aurait pu avoir la variante suivante : « Ik sloop uit de herberg voor een unieke foto ».

Nom : LEGDE OVT LEGGEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 29/11/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik legde die (= de pop) in mijn bed » (« Je l’ai couché(e) dans mon lit »).
Ce verbe « LEGGEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik leg ») se terminant par la consonne « G », on trouvera un suffixe « DE » (au singulier) majoritaire comme terminaison du prétérit :
« LEG » + « DE » = « LEGDE ».
Notez que le verbe « LEGGEN » est lié au verbe de position « LIGGEN » (irrégulier et faisant l’objet des temps primitifs), signifiant « être couché ».

Nom : MAAKTE OVT MAKEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/11/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik maakte een pop » (« Je fis = j’ai fait une poupée => un mannequin»).
On y trouve notamment le verbe « MAKEN », qui est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), mais fait partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik maak ») se terminant par la consonne « K », on trouvera le « TE » minoritaire comme terminaison du prétérit : « MAAK » + « TE » = « MAAKTE ».

Nom : HOORDE OVT HOREN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/11/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik hoorde een wagen naderen » (« J’entendis = j’ai entendu approcher une voiture »).
Ce verbe « HOREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik hoor ») se terminant par la consonne « R », on trouvera une terminaison « DE » (au singulier) majoritaire comme terminaison du prétérit :
« HOOR » + « DE » = « HOORDE ».
Notez le REJET, derrière le complément (« een wagen »), de l’infinitif « NADEREN » à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KOM MEE IMPERATIF MEEKOMEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/11/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Kom (met mij) mee ! » (« Viens avec moi ! »).
On y trouve la forme verbale « kom … mee », impératif provenant du verbe « MEEkomen », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « KOMEN ».
Quand « MEEkomen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « MEE » de son infinitif proprement dit et son REJET, derrière le complément éventuel (« met mij »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Rappelons que la particule « MEE » provient de la préposition « MET ».
La variante de la phrase aurait pu être : « Kom met mij ! »

Nom : ONGEDEERD VTT DEREN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/11/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je bent (gelukkig) ongedeerd » (« Tu n’es pas blessée => tu es indemne »).
On y trouve la forme verbale « ongedeerd », participe passé (utilisé ici comme adjectif attribut) provenant de l’infinitif « DEREN ». Ce verbe « DEREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik deer ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés : préfixe « GE » « DEER » + « D » = « GEDEERD ».
Le préfixe « ON- » (« UN- » en anglais) est souvent à nuance « négative » et constitue le contraire : ici « ongedeerd ».
On pourrait considérer qu’il y a REJET du participe passé « ongedeerd » derrière le complément (« eindelijk »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : TERUGGEKEERD VTT TERUGKEREN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/11/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De rust is eindelijk teruggekeerd » (« Le calme est enfin revenu »).
On trouve ici la forme verbale « teruggekeerd », participe passé du verbe « TERUGKEREN », provenant lui-même de l’infinitif « KEREN ». Ce verbe «KEREN», comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la majorité « régulière » des verbes réguliers (et donc NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » de ces verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP ») ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T. : « ik keer ») se terminant par la consonne « R », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire :
préfixe « GE » + « KEER » + « D » = « GEKEERD ».
Quand « TERUGkeren » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERUG » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant donc alors entre eux => « terugGEkeerd ».
Le participe passé « teruggekeerd » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« eindelijk »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEZET VTT ZETTEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/11/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De schoten hebben de hele herberg in rep en roer gezet » (« Les coups de feu ont mis toute l’auberge en émoi / sens dessus-dessous »).
On trouve ici la forme verbale « GEZET », participe passé provenant de l’infinitif « ZETTEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T. : « ik zet ») se terminant déjà par la consonne « T », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire :
préfixe « GE » + « ZET » = « GEZET »
Le participe passé « GEZET » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« de hele herberg » et « in rep en roer »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez l’expression « in rep en roer zetten ».

Nom : ONTSNAPT VTT ONTSNAPPEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/11/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Door jouw schuld is die kerel ontsnapt ! » (« Par ta faute ce type s’est échappé ! »).
Rappelons tout d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve ici la forme verbale « ONTSNAPT », participe passé provenant de l’infinitif « ONTSNAPPEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T.) se terminant par la consonne « P », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Si la phrase n’avait pas commencé par le complément, on aurait mieux vu que le participe passé « ONTSNAPT » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément («door jouw schuld »), à la fin de la phrase. On aurait en effet eu la variante suivante : « Die kerel is door jouw schuld ontsnapt ! ». Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
N’oublions donc pas que, en langue néerlandaise, chaque fois qu’une phrase commence par un complément, il y a une INVERSION du sujet (« die kerel ») qui passe derrière sa forme verbale (« is »).

Nom : GEBEURD VTT GEBEUREN ROBERT ET BERTRAND 27 - Rajouté le 13/11/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wat is er (hier) gebeurd ? … » (« Que s’est-il passé ? … »)
Rappelons tout d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve ici la forme verbale « GEBEURD », participe passé provenant de l’infinitif « GEBEUREN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T.) se terminant par la consonne « R », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire.
Le participe passé « GEBEURD » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« hier »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez également que si, en langue néerlandaise, on trouve dans une phrase le pronom sujet « ER », suivi de n’importe quel verbe, c’est que l’on a affaire à l’équivalent de l’expression « IL Y A ».

Nom : KOMT TERECHT OTT TERECHTKOMEN ROBERT ET BERTRAND 27 - Rajouté le 13/11/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij komt tegen een boom terecht » (« Il vient contre un arbre »).
On y trouve la forme verbale « komt … terecht », provenant du verbe « TERECHTkomen », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « KOMEN ».
Quand « TERECHTkomen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERECHT » de son infinitif proprement dit et son REJET, derrière le complément (« tegen een boom »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : HOORDE OVT HOREN 3 ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/11/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik hoorde een schot » (« J’entendis = j’ai entendu un coup de feu »).
Ce verbe « HOREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik hoor ») se terminant par la consonne « R », on trouvera une terminaison « DE » (au singulier) majoritaire comme terminaison du prétérit :
« HOOR » + « DE » = « HOORDE ».

Nom : VERZONKEN VTT VERZINKEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/11/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « In de herberg is iedereen in een diepe rust verzonken » (« Dans l’auberge, tout le monde est coulé / enfoncé = plongé dans un profond sommeil »).
Rappelons tout d’abord que, au participe passé, les verbes commençant par les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER-, NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve ici notamment la forme verbale « verZONKEN », participe passé provenant de l’infinitif «verZINKEN », lui-même construit sur « ZINKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Il est à noter que ce participe passé se construit sur le pluriel du prétérit (et est, ici, même identique) ou O.V.T. Voir notre tableau :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Il y a REJET du participe passé «verZONKEN » derrière le complément (« in een diepe rust »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément, cela engendre une INVERSION : le sujet « iedereen » passe derrière le verbe « is ». On aurait en effet aussi pu dire : « Iedereen in de herberg is in een diepe rust verzonken ».

Nom : VERGAT OVT VERGETEN ROBERT EN BERTRAND 27 - Rajouté le 09/11/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik vergat iets » (« J’ai oublié quelque chose »).
On y trouve la forme verbale « VERGAT » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant de l’infinitif « VERGETEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Voir notre tableau :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : HOORDE OVT HOREN ROBERT EN BERTRAND 27 - Rajouté le 09/11/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik hoorde hen praten » (« Je les entendis parler = je les ai entendu parler »).
Ce verbe « HOREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik hoor ») se terminant par la consonne « R », on trouvera une terminaison « DE » (au singulier) majoritaire comme terminaison du prétérit :
« HOOR » + « DE » = « HOORDE ».

Nom : ZET OP IMPERATIF OPZETTEN ROBERT EN BERTRAND 27 - Rajouté le 09/11/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zet jouw (je) masker op ! » (« Mets ton masque ! »).
On y trouve la forme verbale « zet … op », provenant du verbe « OPzetten », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « ZETTEN ».
Quand « OPzetten » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit et son REJET, derrière le complément (« je masker »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VERTELD VTT VERTELLEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/11/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Joeki) heeft zijn wedervaren verteld » (« Il a raconté ce qu’il a enduré = ses mésaventures »).
Rappelons tout d’abord que, au participe passé, les verbes commençant par les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER-, NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve ici la forme verbale « verteld », participe passé provenant de l’infinitif « VERTELLEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T.) se terminant par la consonne « L », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire.
Il y a REJET du participe passé «verteld » derrière le complément (« zijn wedervaren »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MISLUKT VTT MISLUKKEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 31/10/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « (Het is) (voor ons) mislukt ! » (« C’est échoué => raté ! »).
Rappelons tout d’abord que, au participe passé, les verbes commençant par les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER-, NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais. C’est aussi le cas du préfixe MIS-. On trouve ici la forme verbale « mislukt », participe passé provenant de l’infinitif « MISLUKKEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T. : « ik misluk ») se terminant par la consonne « K », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire : (ici sans le préfixe « GE ») + « MISLUK » + « T » = « MISLUKT ». Quand « LUKKEN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, il y a REJET de son participe passé « mislukt » derrière le complément éventuel (« voor ons ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : PAS OP IMPERATIF OPPASSEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 30/10/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Pas (op de valstrik) op ! » (« Fais attention ! »).
On y trouve la forme verbale « pas … op », impératif provenant du verbe « OPpassen », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « PASSEN ».
Quand « OPpassen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit et son REJET, derrière le complément éventuel (« op de valstrik »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou d’une de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KUNNEN REJET HELPEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/09/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Kunnen jullie een handje helpen ? » (« Pouvez-vous aider (d’)une petite main = donner un coup de main ? »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« helpen »), derrière le complément (« een handje »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir plutôt l’auxiliaire de mode de la «POSSIBILITE », l’infinitif « MOGEN » :
« Mogen jullie een handje helpen ?

Nom : - Rajouté le 28/09/2018

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het is al avond als hij (Joeki) ongemerkt kan ontsnappen » (« C’est déjà le soir quand il peut s’échapper»).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige (dans la phrase, ici subordonnée introduite par « als ») le REJET de l’autre forme verbale (« ontsnappen »), derrière le complément (« ongemerkt »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. C’est plus clair dans la variante suivante : « Hij kan ongemerkt ontsnappen ».
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir plutôt l’auxiliaire de mode de la «POSSIBILITE », l’infinitif « MOGEN » (avec « MAG » au singulier) :
« Hij mag ongemerkt ontsnappen ».
On y trouve donc aussi la forme verbale « ongemerkt » ; s’il avait existé un infinitif « ONMERKEN », lui-même construit sur « MERKEN », il aurait eu un tel participe passé provenant, comme la grande majorité des verbes néerlandais, de ceux qui NE font PAS l’objet des « temps primitifs » mais font partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T.) se terminant par la consonne « K », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire. Le préfixe « ON- » (« UN- » en anglais) n’est PAS une « particule séparable » (même s’il réagit comme « OP ») et constitue en fait le contraire de «gemerkt ».

Nom : KAN KUNNEN REJET MAKEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/09/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Met mijn zakmes kan ik die (opening) groter maken » (« Avec mon couteau de poche, je peux faire l’ouverture plus grande = agrandir l’ouverture »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« maken »), derrière les compléments (« die » et «groter»), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir plutôt l’auxiliaire de mode de la «POSSIBILITE », l’infinitif « MOGEN » (avec « MAG » au singulier) :
« Met mijn zakmes mag ik die groter maken ».

Nom : GERAAK OTT GERAKEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/09/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hoe geraak ik hier uit (het hok) ? = Hoe mag ik hier buiten (het hok) ? » (« Comment est-ce que je réussis à sortir d’ici ? »).
On y trouve la forme verbale « geraak », O.T.T. provenant de l’infinitif « GERAKEN », qui n’est PAS un verbe dit « à particule séparable », même si « UIT », placé à la fin de la phrase, pourrait nous faire croire qu’il s’agit d’une « particule séparable », faisant l’objet d’un REJET.
Comme on le voit, il ne s’agit pas non plus de la forme verbale « geraakt », participe passé provenant de l’infinitif « RAKEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T. : « ik raak ») se terminant par la consonne « K », on trouverait dans ce cas à la fin du participe passé le « T » minoritaire : préfixe « GE » + « RAAK » + « T » = « GERAAKT ».

Nom : GEWORDEN VTT WORDEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/09/2018

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Daar we nummer 17 willen helpen, zijn we hinderlijk geworden » (« Dans la mesure où nous voulons aider numéro 17, nous sommes devenus gênants des obstacles »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEWORDEN », participe passé provenant de l’infinitif « WORDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Cette forme verbale est, comme on le voit, construite sur l’INFINITIF. Pour complément d’informations, consultez notamment notre tableau de synthèse « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « WORDEN » est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « geworden » derrière le complément («hinderlijk») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
C’est dans Ia mesure où la phrase subordonnée joue le rôle d’un complément que cela engendre une INVERSION dans Ia phrase principale : le sujet « we » passe derrière le verbe « zijn ». On aurait en effet aussi pu dire : « We zijn hinderlijk geworden ».

Nom : KAN KUNNEN REJET ROEPEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/09/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik kan niet om hulp roepen » (« Je ne peux pas appeler à l’aide »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« roepen »), derrière le complément (« om hulp »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir plutôt l’auxiliaire de mode de la «POSSIBILITE », l’infinitif « MOGEN » (avec « MAG » au singulier) :
« Ik mag niet om hulp roepen ».

© 2018, Bernard GOORDEN, voor de grammatica. Autres exemples à https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=vandersteen

Nom : GEGRENDELD VTT GRENDELEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/09/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij heeft de deur gegrendeld » (« Il a verrouillé la porte »).
On y trouve la forme verbale « gegrendeld », participe passé provenant de l’infinitif « GRENDELEN », considéré comme verbe « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), qui NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik grendel ») se terminant par la consonne « L », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés : préfixe « GE » + « GRENDEL » + « D » = « GEGRENDELD ».
Quand « GRENDELEN » est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « gegrendeld » derrière le complément (« de deur ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : WOU WILDE WILLEN REJET STELEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/09/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Die domme ketellapper wou = wilde de zilveren bok van de kapitein stelen » (« Ce bête chaudronnier voulait voler le bouc en argent du capitaine »).
L’auxiliaire de mode de la VOLONTE » est l’infinitif « WILLEN » (donnant WOU ou WILDE, au prétérit ou O.V.T.). Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « MOGEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« stelen »), derrière le(s) complément(s) (« de zilveren bok van de kapitein »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZOU ZOUDEN REJET HEBBEN VERDACHT ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/09/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Niemand zou ooit een bezembinder hebben verdacht » (« Personne n’aurait = n’irait jamais soupçonner un lieur de fagots pour balais »).
L’auxiliaire du CONDITIONNEL est l’infinitif « ZOUDEN », donnant un singulier « ZOU » ; il est, en quelque sorte, l’« imparfait » (O.V.T. ou prétérit) de l’auxiliaire du FUTUR, « ZULLEN ».
Au CONDITIONNEL, il y a REJET de l’autre forme verbale (« hebben »), derrière les compléments (« ooit » et « een bezembinder »), et donc à l’INFINITIF, à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
On y trouve donc aussi la forme verbale la forme verbale « verdacht », participe passé (construit sur le prétérit « dacht » et utilisé ici comme adjectif épithète) provenant de l’infinitif «VERDENKEN» (n’existant plus), lui-même construit sur l’infinitif « DENKEN » qui donc, comme une minorité de verbes néerlandais fait l’objet des « temps primitifs ».
Rappelons que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.

Nom : MOET OTT MOETEN REJET GAAN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/09/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je moet listig te werk gaan » (« Tu dois aller travail de façon rusée = exécuter la tâche en recourant à la ruse »).
L’auxiliaire de mode de l’« OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« gaan »), derrière les compléments (« listig » et « te werk »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MOET OTT MOETEN REJET OPRUIMEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/09/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De anderen moet je deze nacht opruimen » (« Tu dois nettoyer = liquider les autres cette nuit »).
L’auxiliaire de mode de l’« OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« opruimen »), derrière le complément (« deze nacht »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Dans la mesure où la phrase commence par un complément (« de anderen »), il y a une INVERSION du sujet « je » qui passe derrière sa forme verbale « moet ».

Nom : UITGESCHAKELD VTT UITSCHAKELEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/09/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « « De speurder is (wordt door de kapitein) uitgeschakeld » (« L’enquêteur est mis en échec / hors d’état de nuire »).
On y trouve la forme verbale « UITgeschakeld », participe passé provenant de l’infinitif « UITschakelen », lui-même construit sur l’infinitif « SCHAKELEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent : « ik schakel ») se terminant par la consonne « L », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire.
Quand « UITschakelen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « uitGEschakeld ».
Il y a REJET de la forme verbale « UITgeschakeld » derrière le complément éventuel (« door de kapitein ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VERBORGEN VTT VERBERGEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/09/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Joeki) heeft zich in een hok verborgen » (« Il s’est caché dans une remise »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER- GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve dans cette phrase notamment la forme verbale « VERBORGEN », participe passé provenant de l’infinitif « VERBERGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre notamment ces trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Il y a REJET du participe passé derrière le complément (« in een hok »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GA OTT GAAN REJET NEMEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/09/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik ga een kijkje nemen » (« Je vais prendre = jeter un petit coup d’oeil »).
Le verbe « GAAN » est ici presque utilisé comme un « futur proche » et aide mieux à comprendre comment fonctionne, en langue néerlandaise, l’auxiliaire du FUTUR « ZULLEN ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est en effet peut-être plus simple de le comparer à ce « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ». Variante possible : « Ik zal een kijkje nemen ».
Comme au FUTUR, il y a ici REJET de l’autre forme verbale (« nemen »), derrière le complément (« een kijkje »), à la fin de la phrase et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GA OTT GAAN REJET ZOEKEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/09/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik ga paddestoelen zoeken » (« Je vais chercher des champignons »).
Le verbe « GAAN » est ici presque utilisé comme un « futur proche » et aide mieux à comprendre comment fonctionne, en langue néerlandaise, l’auxiliaire du FUTUR « ZULLEN ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est en effet peut-être plus simple de le comparer à ce « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ». Variante possible : « Ik zal paddestoelen zoeken ».
Comme au FUTUR, il y a ici REJET de l’autre forme verbale (« zoeken »), derrière le complément (« paddestoelen »), à la fin de la phrase et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Signalons que « paddestoel » signifie, littéralement, « chaise à crapaud(s) » (à cause de l’odeur qu’il(s) laisse(nt) après s’être assis sur le champignon ? …). Il peut être amusant et très constructif de passer en revue quelques autres mots composés que nous avons improprement baptisés « REBUS ». Découvrez-en, avec vos enfants, une quarantaine à
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=ndlsEnfants&smod=rebus

Nom : WEES IMPERATIF ZIJN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/09/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Wees op jouw hoede ! » (« Sois sur tes gardes ! »).
On y trouve la forme verbale « WEES », impératif provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait aussi l’objet des « temps primitifs » pour donner le participe passé « GEWEEST ».
Pour complément d’informations, consultez notamment notre tableau de synthèse « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre notamment trois autres grandes catégories de verbes irréguliers au passé : https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Notez l’expression « op zijn hoede zijn » (« être sur ses gardes »).

Nom : AANGENOMEN VTT AANNEMEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/09/2018

Description : La phrase suivante (avec beaucoup de mots sous-entendus) est grammaticalement intéressante : « (Jouw voorstel wordt door mij) aangenomen » (« Ta proposition est acceptée par moi »). (N.B. : WORDEN serait alors l’auxiliaire de la voix passive)
On y trouve la forme verbale « AANgenomen », participe passé provenant de l’infinitif « AANnemen », lui-même construit sur l’infinitif « NEMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « AANnemen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGEnomen ».
Il y a REJET de la forme verbale « AANgenomen » derrière le complément éventuel (« door mij ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : ZAL ZULLEN REJET TONEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/09/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik zal je iets tonen » (« Je vais te montrer quelque chose »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (« tonen »), derrière les compléments (« je » et « iets »), à la fin de la phrase et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : LATEN WE REJET WERKEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/09/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Laten we samen werken » (« Laissons-nous travailler ensemble = travaillons ensemble »).
On y trouve notamment « LATEN » qui, à la première personne du PLURIEL de l’IMPERATIF (« LATEN WE … »), joue le rôle d’un auxiliaire « de mode » et exige le REJET du verbe « WERKEN », derrière le complément (« samen »), à la fin de cette phrase. Voir phénomène du REJET, entre autres, à l’impératif :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

L’apprenant(e) francophone sera moins dépaysé(e) s’il / si elle se dit que la tournure néerlandophone « LATEN WE … » équivaut à « LAISSONS-NOUS … ». Notez, qu’en langue anglaise, il y a un phénomène similaire avec « LET US … ».

Nom : WIL WILLEN REJET MAKEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/09/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik wil een goede reportage maken » (« Je veux faire un bon reportage »).
L’auxiliaire de mode de la « VOLONTE » est l’infinitif « WILLEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN », et « MOGEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« maken »), derrière le complément (« een goede reportage »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : WEGGEVOERD VTT WEGVOEREN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/09/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (nummer 17) wordt (naar het ziekenhuis) weggevoerd » (« Il est transféré à l’hôpital »).
On y trouve la forme verbale « WEGgevoerd », participe passé provenant de l’infinitif « WEGvoeren », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « VOEREN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent = « ik VOER ») se terminant par la consonne « R », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire : préfixe « GE » + « VOER » + « D » = « GEVOERD ».
Quand « WEGvoeren » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « WEG » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « wegGEvoerd ».
Il y aurait REJET de la forme verbale « WEGgevoerd » derrière le complément éventuel (« naar het ziekenhuis ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs:
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : MOET OTT MOETEN REJET WORDEN OPGETREDEN VTT OPTREDEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/09/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Er moet drastisch worden opgetreden » (« Il doit être agi / On doit agir drastiquement »).
L’auxiliaire de mode de l’OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière le complément (« drastisch »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
On y trouve aussi la forme verbale « OPgetreden », participe passé provenant de l’infinitif « OPtreden », lui-même construit sur l’infinitif « TREDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « OPtreden » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEtreden ».
Cette phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ». Le sujet en est « ER » de l’expression « IL Y A ».

Nom : SLOEG OVT SLAAN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/09/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik sloeg de bedreiging in de wind » (« Je frappai la menace dans le vent / Je négligeai la menace »).
On y trouve notamment la forme verbale « sloeg » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant de l’infinitif « SLAAN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Voir notre tableau :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Il ne faut pas confondre « SLAAN » avec le verbe « SLAGEN », considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), qui NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik slaag ») se terminant par la consonne « G », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit : « SLAAG » + « DE » = « SLAAGDE ».
« Hij slaagde niet erin de bedreiging in de wind te slaan » (« Il ne réussit pas à négliger la menace »).

Nom : MOEST OVT MOETEN REJET LEGGEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/09/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik moest deze nacht een som bij de wegwijzer leggen » (« Je devais déposer une somme cette nuit près du poteau indicateur »).
L’auxiliaire de mode de l’OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN » (donnant MOESTEN au PLURIEL du prétérit ou O.V.T.). Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière les compléments (« deze nacht », « een som » et « wegwijzer »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KREEG OVT KRIJGEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/09/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik kreeg een brandbrief » (« Je reçus / j’ai reçu une lettre d’incendie => incendiaire = de menace »).
On y trouve la forme verbale « KREEG », prétérit (ou O.V.T.) provenant de l’infinitif « KRIJGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « IJ », donne une voyelle « E » (double, au singulier). Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : HAD OVT HEBBEN 2 ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/09/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik had de waarschuwing niet in de wind mogen slaan » (« Je n’aurais pas pu frapper l’avertissement dans le vent / Je n’aurais pas dû négliger l’avertissement »).
On y trouve notamment la forme verbale « HAD », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « HEBBEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
La phrase est, en fait, au plus-que-parfait (rendu en français par un conditionnel passé) et la forme verbale de « MOGEN » aurait dû être au participe passé mais on a ici affaire à ce que l’on appelle le « double infinitif », solution intéressante pour éviter les « temps primitifs » quand on ne les maîtrise pas.
Les deux infinitifs font l’objet d’un REJET, derrière le complément (« in de wind »), à la fin de la phrase.

Nom : BAAS ZIJN UITDRUKKING EXPRESSION ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/09/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De mannen zijn de brand vlug de baas » (« Les hommes sont vite le patron de l’incendie = se rendent vite maître de l’incendie »).
Notez la construction de la phrase et l’expression.
A un niveau basique, lorsque l’on s’initie à l’apprentissage de la langue néerlandaise, afin de comprendre la différence de mentalité dans cette langue germanique, il peut être amusant et très constructif de passer en revue quelques mots composés que nous avons improprement baptisés « REBUS ». Voir, parmi une quarantaine d’autres, « TUINSLANG » ou « VINGERHOED » à
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=ndlsEnfants&smod=rebus

Nom : WAS OVT ZIJN 3 ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/09/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat was mijn huishoudster » (« C’était ma femme de ménage »).
On y trouve la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers et constitue vraisemblablement le verbe le plus irrégulier de la langue néerlandaise. C’est logique : plus on utilise un mot, plus la prononciation le déforme au fil du temps …
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Notez qu’il ne pourrait, en aucun cas, s’agir d’une forme verbale à l’O.T.T. (ou « présent ») provenant de l’infinitif « WASSEN », « DAT » (sujet) exigeant une terminaison « T » d’une troisième personne du singulier.
Rappelons qu’un nom de métier peut être construit sur base du radical du verbe (« HOUD » < « HOUDEN ») en y ajoutant une terminaison « ER » pour le masculin et « STER » pour le féminin, toutes les femmes étant des étoiles (« STAR » en anglais).

Nom : ZAL ZULLEN REJET ZETTEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/09/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik zal koffie (op het vuur) zetten » (« Je vais mettre du café sur le feu »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (« zetten »), derrière le complément (« koffie »), à la fin de la phrase et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZAL ZULLEN REJET OVERNEMEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 31/08/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het wild zal de taak van de jager overnemen » (« Le gibier va reprendre / reprendra la tâche du chasseur »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (« overnemen »), derrière le complément (« de taak van de jager »), à la fin de la phrase et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEREKRUTEERD VTT REKRUTEREN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 30/08/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De leden van de bende worden in de wijk gerekruteerd » (« Les membres de la bande sont recrutés dans les environs »).
On y trouve la forme verbale «gerekruteerd », participe passé provenant de l’infinitif « REKRUTEREN ». Ce verbe « REKRUTEREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik rekruteer ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés : préfixe « GE » + « REKRUTEER » + « D » = « GEREKRUTEERD ».
Quand « REKRUTEREN » est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « gerekruteerd » derrière le complément (« in de wijk ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : LIET OVT LATEN REJET BEGAAN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 29/08/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik liet jullie begaan » (« Je vous laissai(s) = ai laissé agir »).
On y trouve notamment la forme verbale « LIET », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « LATEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
On remarquera aussi, le REJET du verbe « BEGAAN », derrière le complément (« jullie »), à la fin de cette phrase. Même si « LATEN » joue le rôle d’un auxiliaire à la première personne du PLURIEL de l’IMPERATIF (« LATEN WE … » + REJET), il n’exige, en principe, pas un REJET systématique dans les autres cas. Voir phénomène du REJET, entre autres, à l’impératif :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : LAS OVT LEZEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/08/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik las de brief in jullie kamp » (« Je lus = ai lu la lettre dans votre camp »).
On y trouve notamment la forme verbale « LAS », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « LEZEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que si la dernière lettre du radical du verbe à l’indicatif présent (ou O.T.T.) est un « Z » (LEZEN – EN = LEZ), elle se transforme en « S » – c’est aussi le cas à l’O.V.T. ou « prétérit » – et le son « é » de l’infinitif est rendu au SINGULIER en doublant la voyelle : LEES.
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=radVerbes

Nom : ONTVOERDE OVT ONTVOEREN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/08/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij ontvoerde hem (Joeki)» (« Il l’enleva / l’a enlevé »).
On y trouve la forme verbale « ontvoerde », prétérit (ou O.V.T.) provenant de l’infinitif « ONTVOEREN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T.) se terminant par la consonne « R », on trouvera à la fin du prétérit le « DE » majoritaire.
Rappelons aussi que, au participe passé, les verbes commençant au moins par les préfixes BE- ER-, HER- GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
N’oublions pas non plus que si la personne enlevée avait été du genre féminin, le pronom complément aurait été « haar ».

Nom : WIL WILLEN REJET WORDEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/08/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik wil de eerste vrouwelijke persfotografe worden » (« Je veux devenir la première photographe de presse féminine »).
L’auxiliaire de mode de la « VOLONTE » est l’infinitif « WILLEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN », et « MOGEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« worden »), derrière le complément (« de eerste vrouwelijke persfotografe »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KEER TERUG OTT TERUGKEREN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/08/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Keer met hem (Joeki) naar ons kamp terug ! » (« Retourne avec lui à notre camp ! »).
On y trouve la forme verbale « keer … TERUG », provenant de l’infinitif « TERUGkeren », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « KEREN ».
Quand « TERUGkeren » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERUG » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET derrière les compléments (« met hem » et « naar ons kamp »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET, lisez :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEEFT UIT OTT UITGEVEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/08/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Mijn vader geeft een dagblad uit » (« Mon père publie une feuille du jour / quotidienne = un journal / un quotidien »).
On y trouve notamment la forme verbale « geeft … UIT », provenant de l’infinitif « UITgeven », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur « GEVEN ».
Quand « UITsnuffelen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de la forme verbale proprement dite et il y a REJET de celle-ci, derrière le complément (« een dagblad »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Rappelons que si la dernière lettre du radical du verbe à l’indicatif présent (ou O.T.T.) est un « V » (GEV – EN = GEV), elle se transforme en « F » et le son « é » de l’infinitif est rendu au singulier en doublant la voyelle : GEEF.
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=radVerbes

Nom : SNUFFELT ROND OTT RONDSNUFFELEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/08/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Waarom snuffelt u hier rond » (« Pourquoi fouinez-vous par ici ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « snuffelt … ROND », provenant de l’infinitif « RONDsnuffelen », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur « SNUFELEN ».
Quand « RONDsnuffelen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « ROND » de la forme verbale proprement dite et il y a REJET de celle-ci, derrière le complément (« hier »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEBLUNDERD VTT BLUNDEREN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/08/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dan heb ik helemaal geblunderd » (« J’ai gaffé »).
On y trouve la forme verbale « geblunderd », participe passé provenant de l’infinitif « WONDEN ». Ce verbe « BLUNDEREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik blunder ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés : préfixe « GE » + « BLUNDER » + « D » = « GEBLUNDERD ».
Quand « BLUNDEREN » est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « geblunderd » derrière le complément éventuel («helemaal») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Dans la mesure où la phrase commence par un complément (dan »»), il y a une INVERSION du sujet « ik » qui passe derrière sa forme verbale « heb ».

Nom : MAAKTEN OVT MAKEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/08/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een pruik en een kussen onder zijn jas maakten hem onherkenbaar » (« Une perruque et un coussin sous sa veste le faisaient => rendaient méconnaissable »).
On y trouve notamment le verbe « MAKEN », qui est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), mais fait partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik maak ») se terminant par la consonne « K », on trouvera le « TE » minoritaire comme terminaison du prétérit : « MAAK » + « TE » + « N » (pluriel) = « MAAKTEN ».
En langue néerlandaise, on peut construire certains adjectifs à partir du radical du verbe (première personne du singulier de l’indicatif présent) : HERKENNEN - EN + BAAR. « ON- » (« UN- » en anglais) constitue le contraire de « herkenbaar ».

Nom : SPOOKT ROND OTT RONDSPOKEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/08/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Sinds(dien) de overvallen en inbraken hier begonnen, spookt hij hier overal rond » (« Depuis que les attaques et cambriolages commencèrent ici, il rôde partout ici comme un fantôme»).
On y trouve notamment la forme verbale « spookt … ROND », provenant de l’infinitif « RONDspoken », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur « SPOKEN ».
Quand « RONDspoken » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « ROND » de la forme verbale proprement dite et il y a REJET de celle-ci derrière les compléments (« hier » et « overal »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Dans la mesure où la phrase principale commence par un « complément » (la phrase subordonnée introduite par « sinds » pour « sindsdien » joue ici ce rôle), il y a une INVERSION du sujet « hij » qui passe derrière sa forme verbale « spookt ».

Nom : BEGONNEN VTT BEGINNEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/08/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Sinds(dien) de overvallen en inbraken hier begonnen … » (« Depuis que les attaques et cambriolages commencèrent ici … »).
On trouve dans cette phrase la forme verbale « BEgonnen », prétérit provenant de l’infinitif « BEginnen », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et dont le participe passé est construit sur le PLURIEL du prétérit, au point de lui être identique. Les infinitifs en « I » constituent en effet une des trois grandes catégories de verbes irréguliers et donnent des « O » aux temps du passé (O.V.T ou V.T.T). Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
https://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons donc aussi que, au participe passé des verbes commençant par les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER-, ceux-ci NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
Dans la mesure où nous avons ici affaire à une phrase subordonnée (introduite par « sinds » pour « sindsdien »), il y a REJET de la forme verbale du participe passé « BEgonnen » à la fin de la phrase, derrière le complément « hier ». Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VERZORGD OVT VERZORGEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/08/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De arme kerel moet dringend worden verzorgd » (« Le pauvre diable doit être soigné d’urgence »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER- GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On y trouve la forme verbale « verzorgd », participe passé provenant de l’infinitif « VERZORGEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T.) se terminant par la consonne « G », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire.
Il y a REJET du participe passé « verzorgd » derrière le complément («dringend»), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEWOND VTT WONDEN 2 ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/08/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij is zwaar gewond » (« Il est lourdement blessé »).
On y trouve la forme verbale « gewond », participe passé provenant de l’infinitif « WONDEN ». Ce verbe « WONDEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik wond ») se terminant (déjà) par la consonne « D », on trouvera a fortiori le « D » majoritaire (qui ne sera pas doublé en fin de mot) comme terminaison des participes passés : préfixe « GE » + « WON(D) » + « D » = « GEWOND ».
Quand « WONDEN » est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « gewond » derrière le complément (« zwaar ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ONTVOERD VTT ONTVOEREN 2 ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/08/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Joeki) werd ervoor ontvoerd » (« Il fut enlevé / a été enlevé pour cela »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER- GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On y trouve la forme verbale « ontvoerd », participe passé provenant de l’infinitif « ONTVOEREN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T.) se terminant par la consonne « R », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire.
Il y a REJET du participe passé « ontvoerd » derrière le complément éventuel (« ervoor »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Rappelons que « ervoor » = « daarvoor » et qu’ils remplacent « voor dat ».

Nom : WAS OVT ZIJN 2 ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/08/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat was een belangrijk dossier » (« C’était un dossier important »).
On y trouve la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers et constitue vraisemblablement le verbe le plus irrégulier de la langue néerlandaise.
C’est logique : plus on utilise un mot, plus la prononciation le déforme au fil du temps …
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Notez qu’il ne pourrait, en aucun cas, s’agir d’une forme verbale à l’O.T.T. (ou « présent ») provenant de l’infinitif « WASSEN », « DAT » (sujet) exigeant une terminaison « T » d’une troisième personne du singulier.

Nom : VLUCHTTE OVT VLUCHTEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/08/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De gemaskerde vluchtte met een pakje » (« L’homme masqué fuyait avec un petit paquet »).
On y trouve notamment le verbe « VLUCHTEN », qui est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), mais fait partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik vlucht ») se terminant par la consonne « T », on trouvera le « TE » minoritaire comme terminaison du prétérit : « VLUCHT » + « TE » = « VLUCHTTE ».

Nom : GEREDEN VTT RIJDEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/08/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De leurder is ginds van de dijk gerEden » (« Le colporteur a roulé là-bas en dehors de la digue »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEREDEN », participe passé provenant de l’infinitif « RIJDEN » qui, comme presque tous les verbes en « IJ », donne aux temps du passé une voyelle « E ». Il est à noter que le participe passé « GEREDEN » se construit sur le PLURIEL du prétérit ou O.V.T. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « RIJDEN » est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « gerEden » derrière les compléments (« ginds et « van de dijk ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GESLINGERD VTT SLINGEREN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/08/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het dossier wordt uit de wagen geslingerd » (« Le dossier est éjecté de la voiture »).
On y trouve la forme verbale «geslingerd », participe passé provenant de l’infinitif « SLINGEREN ». Ce verbe « SLINGEREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au participe passé et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés.
Quand « SLINGEREN » est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « geslingerd » derrière le complément (« uit de wagen ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : GAAT VOORT OTT VOORTGAAN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/08/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Op de dijk gaat de achtervolging voort » (« Sur la digue, la poursuite suit son cours »).
On y trouve la forme verbale « gaat … VOORT », provenant de l’infinitif « VOORTgaan », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « GAAN ».
Quand « VOORTgaan » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « VOORT » de la forme verbale proprement dite et il devrait y avoir REJET de cette composante « VOORT », derrière le complément (« op de dijk ») à la fin de la phrase, ce qui apparaît plus clairement dans la variante suivante : « De achtervolging gaat op de dijk voort ». Pour le phénomène du REJET du verbe ou d’une de ses composantes, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Dans Ia mesure où la phrase commence par un complément (« op de dijk »), ce dernier engendre une INVERSION : le sujet « de achtervolging » passant derrière le verbe « gaat ».
La particule « VOORT » est fort vraisemblablement une forme abrégée de la particule « VOORUIT ».

Nom : SLOOT OP OVT OPSLUITEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/08/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij sloot me ergens in een hok op » (« Il m’enferma dans une remise »).
On y trouve la forme verbale « sloot … OP », prétérit ou O.V.T. provenant de l’infinitif « OPsluiten », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « SLUITEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « UI », donne une voyelle « O » (doublée au singulier).
Quand « OPsluiten » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de la forme verbale proprement dite et il y a REJET de cette composante « OP », derrière les compléments (« me », « ergens » et « in een hok ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Pour complément d’informations concernant les « temps primitifs », consultez par exemple notre tableau de synthèse sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : ZAG OVT ZIEN 2 ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/08/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik zag hem niet eens » (« Je ne le vis pas une fois = même pas »).
On y trouve notamment la forme verbale « ZAG », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
ATTENTION : Beaucoup d’apprenants croient que la forme verbale « ZAG », provient de l’infinitif « ZEGGEN », également irrégulier à l’O.V.T. …

Nom : TROK OVT TREKKEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/08/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Iemand trok een zak over mijn hoofd » (« Quelqu’un tira un sac par-dessus ma tête »).
On y trouve notamment la forme verbale « TROK », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « TREKKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : OVERVALLEN VTT OVERVALLEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/08/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik werd van achter overvallen » (« J’ai été agressé par derrière »).
On y trouve la forme verbale « overvallen », participe passé provenant de l’infinitif « overvallen», lui-même construit sur l’infinitif « VALLEN », qui fait normalement l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « overvallen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, s’il s’était agi d’un verbe à particule séparable », cela aurait pu entraîner une séparation de la particule « OVER » de son infinitif proprement dit et la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) se serait intercalée entre eux.
Le participe passé « overvallen » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« van achter »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
On y trouve aussi la forme verbale « WERDEN », O.V.T. ou prétérit de « WORDEN », qui fait également l’objet aux temps du passé des « temps primitifs ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
La phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : LEEK OVT LIJKEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/08/2018

Description : La (double) phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een pak dat sterk op hem (= Joeki) leek » (« Un paquet qui lui ressemblait fort »).
On y trouve notamment la forme verbale « LEEK », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « LIJKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers et qui, comme presque tous les verbes en « IJ », donne une voyelle « E » (doublée au singulier) pour les temps du passé. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Il y a REJET de la forme verbale « LEEK » derrière le complément (« op hem ») à la fin de la phrase subordonnée relative (introduite par « DAT » < « HET pak »). Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez la préposition (« à » français) dans l’expression « LIJKEN OP ».

Nom : LIET ACHTER OVT ACHTERLATEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/08/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De gemaskerde liet bij die knotwilg een pak achter = achter hem » (« L’homme masqué laissa près de ce saule taillé en têtard un paquet derrière lui »).
On y trouve notamment la forme verbale « LIET … ACHTER », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ACHTERlaten », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur « LATEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « ACHTERlaten » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « ACHTER » de la forme verbale proprement dite et il y a REJET de cette composante « ACHTER », derrière les compléments («bij die knotwilg » et «een pak ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe ou d’une de ses composantes, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : BEDORVEN VTT BEDERVEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/08/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij heeft alles bedorven ! » (« Elle a tout gâché = fait rater ! »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve donc dans cette phrase la forme verbale « BEdorven », provenant de l’infinitif « BEderven », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers, et est construit sur le PLURIEL du prétérit, lui étant même identique.. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Il y a, ici, REJET du participe passé « BEdorven » derrière le complément (« alles »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : HAD OVT HEBBEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/08/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik had hem bijna te pakken » (« Je l’avais presque attrapé / J’étais presque sur le point de le rattraper »).
On y trouve notamment la forme verbale « HAD », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « HEBBEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : LIET OVT LATEN REJET ONTSNAPPEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/08/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Waarom liet je hem ontsnappen ? » (« Pourquoi le laissas-tu / l’as-tu laissé s’échapper ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « LIET », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « LATEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Il y a, ici, REJET (comme, par exemple, au FUTUR,) de l’autre forme verbale (« ontsnappen »), derrière le complément (« hem »), à la fin de la phrase et, bien sûr, à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZAL ZULLEN REJET ONTSNAPPEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/08/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij zal me ontsnappen » (« Il va m’échapper »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (« ontsnappen »), derrière le complément (« me »), à la fin de la phrase et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GERAAKT VTT RAKEN 4 ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 31/07/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij heeft hem geraakt » (« Il l’a touché / atteint »).
On y trouve la forme verbale « geraakt », participe passé provenant de l’infinitif « RAKEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T. : « ik raak ») se terminant par la consonne « K », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire : préfixe « GE » + « RAAK » + « T » = « GERAAKT ».
Quand « RAKEN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, il y a REJET de son participe passé « geraakt » derrière le complément (« hem ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : RIJDT WEG OTT WEGRIJDEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 30/07/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De marskramer rijdt reeds weg » (« Le colporteur s’éloigne déjà en voiture »).
On y trouve la forme verbale « rijdt … WEG », provenant du verbe « WEGrijden », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « RIJDEN ».
Il y a REJET de la particule séparable « WEG » (rendant une notion d’éloignement), derrière le complément (« reeds »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : BEN KWIJT OTT KWIJT ZIJN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 29/07/2018

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Als mijn wagen direct start, ben ik ze kwijt » (« Si ma voiture démarre directement, je suis débarrassé d’eux »).
On y trouve, dans Ia phrase principale, la forme verbale «ben … KWIJT», provenant plutôt d’une expression que de l’infinitif « KWIJT zijn », qui aurait alors été un verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « ZIJN ». Quand « KWIJT zijn » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « KWIJT » de sa forme verbale proprement dite et cette particule séparable « KWIJT », composante du verbe, fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« ze »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
N’oublions pas que, dans Ia mesure où la phrase (principale) commence par un complément (la phrase subordonnée « Als mijn wagen direct start » joue ici ce rôle), ce dernier engendre une INVERSION, le sujet « ik » passant derrière le verbe « ben ».

Nom : HEB MEE OTT MEE HEBBEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/07/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Heb je geen zaken mee ! » (« Ne t’en préoccupe pas ! »).
On y trouve la forme verbale « heb… MEE », provenant de provenant plutôt d’une expression que de l’infinitif « MEE hebben », qui aurait alors été un verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « HEBBEN ».
Quand « MEE hebben » est conjugué, il y a REJET de la particule « MEE » derrière le complément (« geen zaken ») à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe (ou de certaines de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Rappelons que la particule « MEE » provient de la préposition « MET ».
La variante de la phrase aurait pu être : « Heb je geen zaken met mij ! »

Nom : KUNNEN REJET ONTSNAPPEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/07/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Hij kan (ons) niet ontsnappen » (« Il ne peut pas nous échapper »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN » (donnant « KAN » au singulier). Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« ontsnappen »), derrière le complément éventuel («ons»), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir plutôt l’auxiliaire de mode de la «POSSIBILITE », l’infinitif « MOGEN » :
«Hij mag (ons) niet ontsnappen ».

Nom : STAPT UIT OTT UITSTAPPEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/07/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij stapt (zijn wagen) uit » (« Il sort / descend de sa voiture »).
On y trouve la forme verbale « stapt … UIT », provenant de l’infinitif « UITstappen », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « STAPPEN ».
Quand « UITstappen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de sa forme verbale proprement dite et cette particule séparable « UIT », composante du verbe, fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« zijn wagen »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Rappelons que cette particule séparable « UIT » est une ancienne préposition. On aurait donc pu avoir la variante suivante de la phrase : « Hij stapt uit zijn wagen ».

Nom : VERDEKT VTT VERDEKKEN OPGESTELD VTT OPSTELLEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/07/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Verdekt OPgesteld wachten zij in spanning de gebeurtenissen af » (« Bien dissimulés, tendus, ils attendent les événements »).
On y trouve la forme verbale « wachten … AF », participe passé provenant du verbe « AFwachten », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « WACHTEN ».
Il y a REJET de la particule séparable « AF » derrière les compléments (« in spanning » et « de gebeurtenissen ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
On y trouve également la forme verbale « verdekt », participe passé provenant de l’infinitif « verDEKKEN » (n’existant plus) qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T.) se terminant par la consonne « K », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Rappelons que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On y trouve aussi la forme verbale « OPgesteld », participe passé provenant de l’infinitif « OPstellen », lui-même construit sur l’infinitif « STELLEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « L », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire.
Quand « OPstellen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEsteld ».
La phrase commençant par un (autre) complément (« Verdekt opgesteld »), cela entraîne une INVERSION du sujet « zij » qui passe derrière son verbe « wachten ».

Nom : ZULLEN REJET ZIJN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/07/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Toch zullen we in de buurt zijn » (« Nous allons toutefois être dans le voisinage »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (« zijn »), derrière le complément (« in de buurt »), à la fin de la phrase et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un (autre) complément (« Toch »), cela entraîne une INVERSION du sujet « we » qui passe derrière son verbe « zullen ».

Nom : KENDEN OVT KENNEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/07/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Als we de inhoud kenden … » (« Si nous connaissions le contenu … »).
Le verbe « KENNEN », dans la phrase subordonnée (introduite par « ALS »), est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik ken ») se terminant par la consonne « N », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit : « KEN » + « DE » + « N » (PLURIEL) = « KENDEN ».
Il y a REJET de la forme verbale « KENDEN » derrière le complément (« de inhoud ») à la fin de la phrase subordonnée. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MOETEN REJET TERUGKRIJGEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/07/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Nu (moeten we) Joeki nog terugkrijgen » (« Maintenant, nous devons encore récupérer Joeki »).
L’auxiliaire de mode de l’« OBLIGATION » (ici sous-entendu) est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« terugkrijgen »), derrière les compléments («Joeki» et « nog »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un (autre) complément (« NU »), cela entraîne une INVERSION du sujet « we » (ici sous-entendu) qui passe derrière son verbe « moeten ».

Nom : LIEP AF OVT AFLOPEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/07/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat liep goed af ! » (« Cela se passa bien = cela s’est bien passé ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « LIEP » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant de l’infinitif « LOPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Voir notre tableau :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
On y trouve en fait la forme verbale « liep … AF », provenant de l’infinitif « AFlopen », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit donc sur l’infinitif « LOPEN ».
Quand « AFlopen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de sa forme verbale proprement dite et cette particule séparable « AF », composante du verbe, fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« goed »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KAN KUNNEN REJET ANTWOORDEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/07/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Hoe kan hij dan antwoorden ? »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN » (donnant « KAN » au singulier). Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« antwoorden »), derrière le complément (« DAN »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir plutôt l’auxiliaire de mode de la «POSSIBILITE », l’infinitif « MOGEN » : « Hoe mag hij dan antwoorden ? »

Nom : TRAP IN OTT INTRAPPEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/07/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Daar trap ik (zeker) niet in ! » (« Je ne tomberai pas dedans < dans le piège ! »).
On y trouve, à première vue, la forme verbale « trap … IN », provenant de l’infinitif « INtrappen », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « TRAPPEN ».
Quand « INtrappen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « IN » de sa forme verbale proprement dite et cette particule séparable « IN », composante du verbe, fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« zeker »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un (autre) complément (« Daar »), cela entraîne une INVERSION du sujet « ik » qui passe derrière son verbe « trap ».
Nous avons plus vraisemblablement affaire à un « adverbe pronominal », « DAARin » pour « ERin ». On aurait en effet pu avoir les variantes suivantes de la phrase : « Ik trap (zeker) niet daarin ! » ou « Ik trap (zeker) niet erin ! ».

Nom : MEEN OVT MENEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/07/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik meende in de kelder van het gemeentehuis licht te zien » (« J’avais l’impression de voir de la lumière dans la cave de la maison communale »).
Le verbe « MENEN », dans la phrase principale, est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik meen ») se terminant par la consonne « N », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit : « MEEN » + « DE » = « MEENDE ».
Notez le REJET de la forme verbale (« zien »), derrière les compléments (« in de kelder van het gemeentehuis » et « licht »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KUNNEN REJET OPENEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/07/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Jammer dat we het niet kunnen openen » (« Il est dommage que nous ne pouvons pas l’ouvrir »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« openen »), derrière le complément (« HET »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. On le voit mieux dans la variante (non subordonnée) de la phrase : « We kunnen het niet openen ». Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir plutôt l’auxiliaire de mode de la «POSSIBILITE », l’infinitif « MOGEN » :
« Jammer dat we het niet mogen openen ».

Nom : MOET REJET ZIJN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/07/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Dat dossier moet voor onze geheimzinnige opdrachtgever van groot belang zijn » (« Ce dossier doit être de grande importance »).
L’auxiliaire de mode de l’« OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« zijn »), derrière les compléments (« voor onze geheimzinnige opdrachtgever » et « van groot belang »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : DRINGEN BINNEN OTT BINNENDRINGEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/07/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Die nacht dringen ze (Robert en Bertrand) zonder moeite langs een keldergat het gemeentehuis binnen » (« Cette nuit-là, ils pénètrent sans peine dans la maison communale par un trou de cave = soupirail »).
On y trouve la forme verbale « dringen … BINNEN », provenant du verbe « BINNENdringen », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « DRINGEN ». Il y a REJET de la particule séparable « BINNEN », composante du verbe, derrière les compléments (« zonder moeite », « langs een keldergat » et « het gemeentehuis »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe ou d’une de ses composantes, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Rappelons que, dans la préposition « BINNEN », ancienne préposition, il y a la préposition «IN». On aurait donc pu dire : « Ze dringen langs een keldergat in het gemeentehuis » ou «Ze dringen in het gemeentehuis langs een keldergat».
La phrase commençant par un (autre) complément (« Die nacht »), cela entraîne une INVERSION du sujet « ze » qui passe derrière son verbe « dringen ».

Nom : KUNNEN REJET DOEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/07/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Wat kunnen we (nu) doen ? » (« Que pouvons nous faire ? »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« doen »), derrière le complément éventuel (« NU »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir plutôt l’auxiliaire de mode de la «POSSIBILITE », l’infinitif « MOGEN » :
« Wat mogen we (nu) doen ? »

Nom : GAAN REJET INBREKEN ROBERT EN BERTRAND 2 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/07/2018

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zodra het duister wordt gaan we in opdracht inbreken » (« Dès qu’il fera plus sombre, nous allons commettre une infraction sur commande »).
Le verbe « GAAN » est ici presque utilisé comme un « futur proche » et aide mieux à comprendre comment fonctionne, en langue néerlandaise, l’auxiliaire du FUTUR « ZULLEN ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est en effet peut-être plus simple de le comparer à ce « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ». Variante possible : « We zullen in opdracht inbreken ».
Comme au FUTUR, il y a donc ici REJET de l’autre forme verbale (« inbreken »), derrière le complément (« in opdracht »), à la fin de la phrase et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
N’oublions pas que, dans Ia mesure où la phrase (principale) commence par un complément (la phrase subordonnée « Zodra het duister wordt » joue ici ce rôle), ce dernier engendre une INVERSION, le sujet « we » passant derrière le verbe « gaan ». On aurait en effet aussi pu dire : « We gaan in opdracht inbreken ».

Nom : VERZEILD VTT VERZEILEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/07/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Waarin zijn we (nu) verzeild ? » (« Dans quoi sommes-nous maintenant embarqués ? »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER- GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On y trouve la forme verbale « verzeild », participe passé provenant de l’infinitif « VERZEILEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T.) se terminant par la consonne « L », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire.
Il y a REJET du participe passé « verzeild » derrière le complément éventuel (« NU »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MOETEN REJET ZOEKEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/07/2018

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Verdere instructies waar we het dossier moeten zoeken » (« D’autres instructions sur l’endroit où nous devons chercher le dossier »).
L’auxiliaire de mode de l’« OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« zoeken »), normalement (mais sommes ici dans une phrase subordonnée introduite par « waar ») derrière le complément (« het dossier »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. On verra mieux le REJET dans la variante suivante : « We moeten het dossier zoeken ». Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MAG MOGEN REJET WORDEN GEOPEND VTT OPENEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/07/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het dossier mag (door jullie) niet worden geopend » (« Le dossier ne peut pas être ouvert »).
L’auxiliaire de mode de la POSSIBILITE » est l’infinitif « MOGEN », donnant un singulier « MAG ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« worden » / « geopend »), derrière le complément éventuel (« door jullie »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
On y trouve aussi la forme verbale « geopend », participe passé provenant de l’infinitif « OPENEN ». Ce verbe « OPENEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik open ») se terminant par la consonne « N », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés : préfixe « GE » + « OPEN » + « D » = « GEOPEND ».

Nom : WILLEN REJET TERUGZIEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/07/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Als jullie hem (Joeki) levend willen terugzien … » (« Si vous voulez le revoir vivant … »).
L’auxiliaire de mode de la « VOLONTE » est l’infinitif « WILLEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « MOGEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« terugzien »), normalement (mais sommes ici dans une phrase subordonnée introduite par « Als ») derrière les compléments (« hem » et «levend»), à la fin de la phrase et à l’infinitif. On verra mieux le REJET dans la variante suivante : « Jullie willen hem levend terugzien. »
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ONTVOERD VTT ONTVOEREN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/07/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij is / werd (door iemand) ontvoerd » (« Il est enlevé / a été enlevé par quelqu’un »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER- GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On y trouve la forme verbale « ontvoerd », participe passé provenant de l’infinitif « ONTVOEREN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T.) se terminant par la consonne « R », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire.
Il y a REJET du participe passé « ontvoerd » derrière le complément éventuel (« door iemand »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEVOCHTEN VTT VECHTEN WERD OVT WORDEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/07/2018

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het is net of er hier werd gevochten » (« C’est comme si on s’était battu ici »).
On y trouve, dans la phrase subordonnée (introduite par « OF »), la forme verbale « gevochten », participe passé provenant de l’infinitif « VECHTEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il y a REJET de la forme verbale derrière le complément (« HIER ») à la fin de la phrase. Notez que, dans toutes les phrases subordonnées néerlandaises, toutes les formes verbales font l’objet d’un REJET à la fin de la phrase. (L’ordre des mots dans une phrase NON subordonnée aurait été : « Er werd hier gevochten ».) Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » (ici « WERD ») est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ». Il fait aussi l’objet des « temps primitifs »
Pour complément d’informations concernant les « temps primitifs », consultez par exemple notre tableau de synthèse sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé : http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : RIJDT OVERHOOP OTT OVERHOOP RIJDEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/07/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De vent rijdt mij haast overhoop » (« Le type me roule presque dessus »).
On y trouve la forme verbale « rijdt … OVERHOOP », provenant plutôt d’une expression que d’un infinitif « OVERHOOP rijden » mais qui réagit comme un verbe dit « à particule séparable », construit sur l’infinitif « RIJDEN ».
Quand « OVERHOOP rijden » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OVERHOOP » de sa forme verbale proprement dite et cette particule séparable « OVERHOOP», composante du verbe, fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« mij » et « haast »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe ou d’une de ses composante, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : WIL WILLEN REJET FOTOGRAFEREN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/07/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Een fotografe wil een leurder fotograferen » (« Une photographe veut photographier un colporteur »).
L’auxiliaire de mode de la « VOLONTE » est l’infinitif « WILLEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN », et « MOGEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« fotograferen »), derrière le complément (« een leurder »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KAN KUNNEN REJET ONTKOMEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/07/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De marskramer kan vlug ontkomen » (« Le marchand ambulant peut rapidement s’échapper »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« ontkomen »), derrière le complément éventuel (« vlug »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir plutôt l’auxiliaire de mode de la «POSSIBILITE », l’infinitif « MOGEN » (avec « MAG » au singulier) :
« De marskramer mag vlug ontkomen ».

Nom : KOM AF OTT AFKOMEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/07/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zo kom je er niet af ! » (« Tu ne t’en tireras pas comme ça ! »).
On y trouve la forme verbale « kom … AF », qui pourrait provenir de l’infinitif « AFkomen », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « KOMEN ».
Quand « AFkomen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de sa forme verbale proprement dite et cette particule séparable « AF », composante du verbe, fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« ER »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe ou d’une de ses composante, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Une autre hypothèse de la construction de la phrase est que nous avons affaire à l’adverbe pronominal « erAF » (pour « daarAF »), ce qui ne la modifie pas.
Dans Ia mesure où la phrase commence par un complément (« Zo »), ce dernier engendre une INVERSION : le sujet « je » passe derrière le verbe « kom ». On aurait en effet aussi pu dire : « Je komT er niet zo af ! »

Nom : SPRINGT OPZIJ OTT OPZIJ SPRINGEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/07/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Robert) springt snel opzij » (« Il saute rapidement sur le côté = fait un bond rapide sur le côté »).
On y trouve la forme verbale « springt … OPZIJ », provenant plutôt d’une expression que d’un infinitif « OPZIJspringen » mais qui réagit comme un verbe dit « à particule séparable », construit sur l’infinitif « SPRINGEN ».
Quand « OPZIJspringen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OPZIJ » de sa forme verbale proprement dite et cette particule séparable « OPZIJ », composante du verbe, fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« snel »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe ou d’une de ses composante, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : HAALT IN OTT INHALEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/07/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij haalt haar in ! » (« Il la rattrape ! »).
On y trouve la forme verbale « haalt … IN », provenant de l’infinitif « INhalen », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « HALEN ».
Quand « INhalen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « IN » de sa forme verbale proprement dite et cette particule séparable « IN », composante du verbe, fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« haar »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe ou d’une de ses composante, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : TREKKEN TERUG OTT TERUGTREKKEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 30/06/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De vagebonden trekken zich in hun schuilplaats terug » (« Les vagabonds se retirent dans leur cachette »).
On y trouve la forme verbale « trekken … TERUG », provenant de l’infinitif « TERUGtrekken », verbe dit « à particule séparable ».
Quand « TERUGtrekken » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERUG » de son infinitif proprement dit, la particule « TERUG » étant affectée par un REJET, normalement derrière le complément (« in hun schuilplaats»), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe ou d’une de ses composantes, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : OPGEHANGEN VTT OPHANGEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 29/06/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De laatste bokkerijder werd in 1794 opgehangen » (« Le dernier chevaucheur de boucs a été pendu en 1794 »).
On y trouve la forme verbale « OPgehangen », participe passé provenant de l’infinitif « OPhangen », lui-même construit sur l’infinitif « HANGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « OPhangen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEgraven ».
Il y a REJET de la forme verbale derrière le complément (« in 1794 ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » (ici « WERD ») est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ». Il fait aussi l’objet des « temps primitifs »
Pour complément d’informations concernant les « temps primitifs », consultez par exemple notre tableau de synthèse sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé : http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : MAAKTE OVT MAKEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/06/2018

Description : La (double) phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een roversbende die vroeger Limburg onveilig maakte » (« Une bande de voleurs qui jadis rendait le Limbourg peu sûr »).
On y trouve notamment le verbe « MAKEN », qui est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), mais fait partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik maak ») se terminant par la consonne « K », on trouvera le « TE » minoritaire comme terminaison du prétérit : « MAAK » + « TE » = « MAAKTE ».
Rappelons que, dans les phrases subordonnées néerlandaises, la forme verbale fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments («vroeger», « Limburg » et « onveilig »), à la fin de la phrase. Voir phénomène du REJET, entre autres :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : WAS OVT ZIJN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/06/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een zilveren bok was het gildeteken van een roversbende » (« Un bouc en argent était le signe de ralliement d’une bande de voleurs »).
On y trouve la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers et constitue vraisemblablement le verbe le plus irrégulier de la langue néerlandaise.
C’est logique : plus on utilise un mot, plus la prononciation le déforme au fil du temps …
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Notez qu’il ne pourrait, en aucun cas, s’agir d’une forme verbale à l’O.T.T. (ou « présent ») provenant de l’infinitif « WASSEN », « DAT » (sujet) exigeant une terminaison « T » d’une troisième personne du singulier.

Nom : BETEKENDE OVT BETEKENEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/06/2018

Description : La (double) phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Enig idee wat die zilveren bok voor mensen betekende ? » (« Avez-vous la moindre idée de ce que ce bouc en argent signifiait = symbolisait ? »).
Ce verbe « BETEKENEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik beteken ») se terminant par la consonne « N », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit : « BETEKEN » + « DE » = « BETEKENDE ».
Rappelons que, dans les phrases subordonnées néerlandaises, la forme verbale fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« voor mensen »), à la fin de la phrase. Voir phénomène du REJET, entre autres :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : DOUBLE INFINITIF GAAN ZWERVEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/06/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wij zijn pas gaan zwerven » (« Nous avons juste erré = Nous venions d’errer = Nous émergions d’une errance »).
La phrase est, en fait, au passé composé et la forme verbale de « GAAN » aurait dû être au participe passé mais on a ici affaire à ce que l’on appelle le « double infinitif », solution intéressante pour éviter les « temps primitifs » quand on ne les maîtrise pas.
Les deux infinitifs font l’objet d’un REJET, derrière le complément (« PAS »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KUNNEN REJET DANKEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/06/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Hoe kunnen wij u danken ? » (« Comment pouvons-nous vous remercier ? »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« voorkomen »), derrière le complément (« U »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir plutôt l’auxiliaire de mode de la «POSSIBILITE », l’infinitif « MOGEN » : « Hoe mogen wij u danken ? ».

Nom : GERED VTT REDDEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/06/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « U hebt ons gered » (« Vous nous avez sauvés »).
On y trouve notamment la forme verbale « gered », participe passé provenant de l’infinitif « REDDEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (« ik red », première personne du présent ou O.T.T.) se terminant a fortiori déjà par la consonne « D », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire.
Le participe passé « gered » fait l’objet d’un REJET derrière le complément (« ons ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VERONTRUST VTT VERONTRUSTEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/06/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wij werden niet (door verdachte personen) verontrust » (« Nous n’avons pas été importunés »).
Rappelons que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On y trouve notamment la forme verbale « verontrust », participe passé provenant de l’infinitif « VERONTRUSTEN », lui-même construit sur l’infinitif « RUSTEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T.) se terminant a fortiori déjà par la consonne « T », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Le participe passé « verontrust » fait l’objet d’un REJET derrière le complément éventuel (« door verdachte personen ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : BEMERKT VTT BEMERKEN VERDACHT ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/06/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hebt u soms verdachte personen bemerkt ? » (« Avez-vous parfois => par hasard remarqué des personnes suspectes ? »).
Rappelons que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On y trouve notamment la forme verbale « bemerkt », participe passé provenant de l’infinitif « BEMERKEN », lui-même construit sur l’infinitif « MERKEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T.) se terminant par la consonne « K », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Le participe passé « bemerkt » fait l’objet d’un REJET derrière les compléments (« soms » et « verdachte personen ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
On y trouve donc aussi la forme verbale la forme verbale « verdacht », participe passé (construit sur le prétérit « dacht » et utilisé ici comme adjectif épithète) provenant de l’infinitif «VERDENKEN» (n’existant plus), lui-même construit sur l’infinitif « DENKEN » qui donc, comme une minorité de verbes néerlandais fait l’objet des « temps primitifs ».
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : KAN KUNNEN REJET DOEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/06/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Kan ik iets voor jullie doen ? » (« Puis-je faire quelque chose pour vous ? »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« voorkomen »), derrière les compléments (« gelijk »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir plutôt l’auxiliaire de mode de la «POSSIBILITE », l’infinitif « MOGEN » (avec « MAG » au singulier) :
« Mag ik iets voor jullie doen ? ».

Nom : VONDEN OVT VINDEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/06/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wij vonden zijn stoffelijk overschot » (« Nous trouvâmes / avons trouvé sa dépouille mortelle »).
On y découvre la forme verbale « VONDen », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « I », donne une voyelle « O » pour les temps du passé.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : KWAM OVT KOMEN 2 ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/06/2018

Description : La (double) phrase suivante est grammaticalement intéressante : «(…) Een rover die hier uit de buurt kwam » (« Un voleur qui venait des environs »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée introduite par
« DIE »), la forme verbale « KWAM », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant
de l’infinitif « KOMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des
verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Dans les phrases subordonnées néerlandaises, la forme verbale fait
l’objet d’un REJET, derrière les compléments (ici « hier » et « uit de buurt »), à la fin de la phrase. Voir phénomène du REJET, entre autres :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEMAAKT VTT MAKEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/06/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De streek wordt de laatste tijd onveilig gemaakt » (« La région est faite => devenue non sûre => peu sûre ces derniers temps »).
On y trouve la forme verbale « gemaakt », participe passé provenant de l’infinitif « MAKEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (« ik maak », première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Quand « MAKEN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, il y a REJET de son participe passé « gemaakt» derrière les compléments (« de laatste tijd » et « onveilig ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que cette phrase est à la voix passive puisque l’on y utilise l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de « ZIJN ».

Nom : ZAGEN OVT ZIEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/06/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We zagen nog licht » (« Nous vîmes / Voyions / avons vu encore de la lumière »).
On y trouve notamment la forme verbale « ZAGEN », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
ATTENTION : Beaucoup d’apprenants croient que la forme verbale « ZAG », provient de l’infinitif « ZEGGEN », également irrégulier à l’O.V.T. …

Nom : VERGAT OVT VERGETEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/06/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik vergat de dasspeld van de dokter terug te geven » (« J’ai oublié de rendre l’épingle à cravate du docteur »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERGETEN » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant de l’infinitif « VERGETEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Voir notre tableau :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
On y trouve aussi la forme verbale « terug te geven », provenant de l’infinitif « TERUGgeven », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur « GEVEN ». Quand « TERUGgeven » est conjugué, cela entraîne en néerlandais (c’est ici le « te », régi par « VERGETEN », qui engendre cette construction de phrase) une séparation de la particule « TERUG » de son infinitif proprement dit, la particule « TERUG » étant affectée (tout comme son infinitif) par un REJET, derrière le complément (« de dasspeld van de dokter »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GESLAAGD VTT SLAGEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/06/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik ben erin geslaagd » (« J’ai réussi »).
On y trouve, sous-entendue, l’expression « ERIN SLAGEN ».
On y trouve la forme verbale « geslaagd », participe passé provenant de l’infinitif « SLAGEN ». Ce verbe « SLAGEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik slaag ») se terminant par la consonne « G », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés : préfixe « GE » + « SLAAG » + « D » = « GESLAAGD ».
Le participe passé « geslaagd » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« erin »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GA VANDOOR OTT VANDOOR GAAN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/06/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik ga er vlug vandoor » (« Je m’en vais rapidement »).
On y trouve notamment « VANDOOR », qui réagit comme une « particule séparable », faisant l’objet d’un REJET, derrière le complément (« vlug »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
On peut donc éventuellement considérer que l’on a affaire au verbe « VANDOOR GAAN ».
Mais un indice, semé antérieureurement dans la phrase, « ER » placera « VANDOOR » plutôt dans les « adverbes pronominaux ». Quand les deux parties de ces derniers ne sont pas séparées, on pourrait trouver « erVANDOOR » ou « daarVANDOOR ».

Nom : WEES OVT ZIJN GERUST VTT RUSTEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/06/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wees gerust ! » (« Sois tranquille / Soyez tranquille ! »).
On y trouve la forme verbale « WEES », impératif provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait aussi l’objet des « temps primitifs » pour donner le participe passé « GEWEEST ».
Pour complément d’informations, consultez notamment notre tableau de synthèse « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre notamment trois autres grandes catégories de verbes irréguliers au passé : http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
On y trouve la forme verbale « gerust », participe passé provenant de l’infinitif « RUSTEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T.) se terminant déjà par la consonne « T », a fortiori on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.

Nom : AANGEVALLEN VTT AANVALLEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/06/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De juffrouw werd (door een man) aangevallen » (« La demoiselle fut = a été attaquée »).
On y trouve la forme verbale « AANgevallen », participe passé provenant de l’infinitif « AANvallen », lui-même construit sur l’infinitif « VALLEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « AANvallen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGEvallen ».
Le participe passé « aanGEvallen » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« door een man »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
On y trouve aussi la forme verbale « WERDEN », O.V.T. ou prétérit de « WORDEN », qui fait également l’objet aux temps du passé des « temps primitifs ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
La phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : BETROKKEN VTT BETREKKEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/06/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wij werden toevallig hierbij betrokken » (« Nous y avons été impliqués par hasard »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais. On trouve donc la forme verbale « BEtrokken », participe passé provenant de l’infinitif « BEtrekken », lui-même construit sur l’infinitif « TREKKEN » qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « BEtrokken » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« toevallig » et « hierbij »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
On y trouve aussi la forme verbale « WERDEN », O.V.T. ou prétérit de « WORDEN », qui fait également l’objet aux temps du passé des « temps primitifs ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
La phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : SCHROK OVT SCHRIKKEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/06/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Waarom schrok je zo ? » (« Pourquoi t’es-tu effrayée ainsi ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « SCHROK », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « SCHRIKKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers » et qui, comme presque tous les verbes en « I », donne une voyelle « O » aux temps du passé (O.V.T. et V.T.T.).
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : KAN KUNNEN REJET HEBBEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/06/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je kan gelijk hebben » (« Tu peux avoir raison »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« voorkomen »), derrière le complément (« gelijk »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir plutôt l’auxiliaire de mode de la «POSSIBILITE », l’infinitif « MOGEN » (avec « MAG » au singulier) : « Je mag gelijk hebben ».

Nom : KWAM OVT KOMEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/06/2018

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Joeki) ontmoet Robert die hem kwam halen » (« Il rencontre Robert qui
venait le chercher »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée introduite par
« DIE »), la forme verbale « KWAM », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant
de l’infinitif « KOMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des
verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau
des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à
mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au
passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Dans les phrases subordonnées néerlandaises, la forme verbale fait
l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « hem »), à la fin de la
phrase. Voir phénomène du REJET, entre autres :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GESCHOTEN VTT SCHIETEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/06/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wie heeft op hem geschoten ? » (« Qui a tiré sur lui ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « GESCHOTEN », participe passé provenant de l’infinitif « SCHIETEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « IE », donne une voyelle « O ». Il faut noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GESCHOTEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« op hem »), à la fin de la phrase. Voir phénomène du REJET, entre autres :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KUNT KAN KUNNEN REJET VOORKOMEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/06/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je kunt (= kan) misdaden voorkomen » (« Tu peux prévenir des méfaits »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« voorkomen »), derrière le complément (« misdaden »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir plutôt l’auxiliaire de mode de la «POSSIBILITE », l’infinitif « MOGEN » (avec « MAG » au singulier) :
« Je mag misdaden voorkomen ».

Nom : LATEN REJET BRENGEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/06/2018

Description :
La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Laat mij je liever naar een dokter brengen » (« Laisse-moi plutôt t’amener vers = chez un docteur »).
On y trouve notamment la forme verbale « LAAT » qui, à l’IMPERATIF joue le rôle d’un auxiliaire « de mode » et exige le REJET du verbe « BRENGEN », derrière les compléments (« mij », « je », « liever » et « naar een dokter »), à la fin de cette phrase. Voir phénomène du REJET, entre autres, à l’impératif :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

L’apprenant(e) francophone sera donc moins dépaysé(e) s’il / si elle se dit que la tournure néerlandophone à l’IMPERATIF (avec surtout « LATEN WE ») équivaut à « LAISSE / LAISSONS / LAISSEZ ».
Notez, qu’en langue anglaise, il y a un phénomène similaire avec « LET… ».
Rappelons que si une notion de mouvement est liée au verbe, on utilisera en néerlandais la préposition « NAAR ».

Nom : GETROFFEN VTT TREFFEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/06/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik ben (door een kogel) getroffen » (« Je suis touché»).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « geTROFFEN », participe passé provenant du PLURIEL du prétérit de « TREFFEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Il y a REJET de la forme verbale du participe passé « getroffen », derrière le complément éventuel (« door een kogel »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEWOND VTT MEEWONDEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/06/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij is zeker gewond » (« Il est certainement blessé »).
On y trouve la forme verbale « gewond », participe passé provenant de l’infinitif « WONDEN ». Ce verbe « WONDEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik wond ») se terminant (déjà) par la consonne « D », on trouvera a fortiori le « D » majoritaire (qui ne sera pas doublé en fin de mot) comme terminaison des participes passés : préfixe « GE » + « WON(D) » + « D » = « GEWOND ».
Quand « WONDEN » est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « gewond » derrière le complément (« zeker ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MEEGEVOERD VTT MEEVOEREN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/06/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Vermoedelijk is hij door de stroom meegevoerd » (« Probablement il tomba = est tombé dans l’eau »).
On y trouve notamment la forme verbale « meegevoerd », participe passé provenant de l’infinitif « MEEVOEREN », lui-même construit sur « VOEREN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « MEEVOEREN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « MEE » (provenant de la préposition « MET ») de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « meegevoerd ».
Dans Ia mesure où la double phrase commence par un complément («Vermoedelijk»), ce dernier engendre une (double) INVERSION : le sujet (de la seconde phrase sur l’image) « hij » passe derrière le verbe « is ». On aurait en effet aussi pu dire : « Hij is vermoedelijk door de stroom meegevoerd » ou « Hij is door de stroom vermoedelijk meegevoerd ».
Rappelons que si une notion de mouvement est liée au verbe, on utilisera en néerlandais plutôt l’auxiliaire « ZIJN » aux temps composés.

Nom : VIEL OVT VALLEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/06/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Vermoedelijk viel hij in het water » (« Probablement il tomba = est tombé dans l’eau »).
On y trouve notamment la forme verbale « VIEL » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant de l’infinitif « VALLEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Voir notre tableau :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Dans Ia mesure où la phrase commence par un complément («Vermoedelijk»), ce dernier engendre une INVERSION : le sujet « hij » passant derrière le verbe « viel ». On aurait en effet aussi pu dire : « Hij viel vermoedelijk in het water ».

Nom : GERAAKT VTT RAKEN 3 ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 31/05/2018

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik meen dat ik hem (heb) geraakt heb » (« Je pense que je l’ai touché / atteint »).
On y trouve, dans la phrase subordonnée (introduite par « DAT »), la forme verbale « geraakt », participe passé provenant de l’infinitif « RAKEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T.) se terminant par la consonne « K », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Quand « RAKEN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, il y a REJET de son participe passé « geraakt » derrière le complément (« HEM ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Rappelons que, dans une phrase subordonnée, toutes les formes verbales (même l’auxiliaire « HEB ») font l’objet de ce REJET. La phrase « normale » aurait été : « Ik heb hem geraakt ».

Nom : GERAAKT VTT RAKEN 2 ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 30/05/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (de rover) werd (door een kogel) geraakt » (« Il fut touché / atteint »).
On y trouve la forme verbale « geraakt », participe passé provenant de l’infinitif « RAKEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T.) se terminant par la consonne « K », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Quand « RAKEN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, il y a REJET de son participe passé « geraakt» derrière le complément éventuel (« door een kogel ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que cette phrase est à la voix passive puisque l’on y utilise l’auxiliaire « WORDEN » (« WERD » au prétérit) au lieu de « ZIJN ».

Nom : HOORDE OVT HOREN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 29/05/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik hoorde een gil » (« J’entendis = j’ai entendu un cri »).
Ce verbe « HOREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik hoor ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit : « HOOR » + « DE » = « HOORDE ».

Nom : SLOOP NA OVT NASLUIPEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/05/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij sloop hem na » (« Il se faufila derrière lui »)
On y trouve la forme verbale « NAsloop », prétérit (O.V.T.) provenant de l’infinitif « NAsluipen », lui-même construit sur l’infinitif « SLUIPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « UI », donne une voyelle « O ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « NAsluipen » est conjugué, il y a REJET de la particule « NA » derrière le complément (« hem ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou de certaines de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZAG OVT ZIEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/05/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Joeki) zag de rover voorbijgaan » (« Il vit = il a vu le voleur passer devant lui »).
On y trouve notamment la forme verbale « ZAG », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
ATTENTION : Beaucoup d’apprenants croient que la forme verbale « ZAG », provient de l’infinitif « ZEGGEN », également irrégulier à l’O.V.T. …

Nom : ZAL ZULLEN REJET BRENGEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/05/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik zal je naar een dokter brengen » (« Je vais te mener vers / à un docteur »)
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (ici « brengen »), derrière les compléments (« je » et « naar een dokter »), à la fin de la phrase et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Rappelons que si une notion de mouvement est liée au verbe, on utilisera en néerlandais la préposition « NAAR ».

Nom : GESCHOTEN VTT SCHIETEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/05/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De schurk heeft me in de bovenarm geschoten » (« La canaille m’a tiré dans la partie supérieure du bras = près de l’épaule »).
On y trouve notamment la forme verbale « GESCHOTEN », participe passé provenant de l’infinitif « SCHIETEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « IE », donne une voyelle « O ». Il faut noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GESCHOTEN » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« me » et « in de bovenarm »), à la fin de la phrase. Voir phénomène du REJET, entre autres :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KAN KUNNEN REJET KIEZEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/05/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De rover kan het hazepad kiezen » (« Le voleur peut prendre le chemin du lièvre = la clé des champs »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« kiezen »), derrière le complément (« het hazepad »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir plutôt l’auxiliaire de mode de la «POSSIBILITE », l’infinitif « MOGEN » (avec « MAG » au singulier) :
« De rover mag het hazepad kiezen ».

Nom : GERAAKT VTT RAKEN 1 ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/05/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Bertrand) werd (door een kogel) geraakt » (« Il fut touché / atteint »).
On y trouve la forme verbale « geraakt », participe passé provenant de l’infinitif « RAKEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T.) se terminant par la consonne « K », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Quand « RAKEN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, il y a REJET de son participe passé « geraakt» derrière le complément éventuel (« door een kogel ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que cette phrase est à la voix passive puisque l’on y utilise l’auxiliaire « WORDEN » (« WERD » au prétérit) au lieu de « ZIJN ».

Nom : RIJD MEE OTT MEERIJDEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/05/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik rijd (met u) mee » (« Je roule avec vous => je vous accompagne en voiture »).
On y trouve la forme verbale « rijd … MEE », provenant de l’infinitif « MEErijden », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « RIJDEN ».
Quand « MEErijden » est conjugué, il y a REJET de la particule « MEE » derrière le complément éventuel («met u») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou de certaines de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Rappelons que la particule « MEE » provient de la préposition « MET ».

Nom : GAAT AF OTT AFGAAN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/05/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dit pistool gaat (dadelijk) af » (« Ce pistolet se déclenche »).
On y trouve la forme verbale « gaat … AF », provenant de l’infinitif « AFgaan », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « GAAN ».
Quand « AFgaan » est conjugué, il y a REJET de la particule « AF » derrière le complément éventuel (« dadelijk ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe (ou de certaines de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : AANGEREDEN VTT AANRIJDEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/05/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Plots komt langs een aardeweg een auto AANgerEden » (« Soudain, une voiture arrive via un chemin de terre en roulant vite »).
On y trouve notamment la forme verbale « AANGEREDEN », participe passé provenant de l’infinitif « AANRIJDEN », lui-même construit sur l’infinitif « RIJDEN » qui, comme presque tous les verbes en « IJ », donne aux temps du passé une voyelle « E ». Il est à noter que le participe passé « GEREDEN » se construit sur le PLURIEL du prétérit ou O.V.T. Quand « AANRIJDEN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGEreden ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Dans Ia mesure où la phrase commence par un complément (« Plots »), ce dernier engendre une INVERSION : le sujet « een auto » passe derrière le verbe « komt ». On aurait en effet aussi pu dire : « Een auto komt plots langs een aardeweg aangereden ».

Nom : GEHOORD VTT HOREN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/05/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb schoten gehoord » (« J’ai entendu des coups de feu »).
On y trouve la forme verbale « gehoord », participe passé provenant de l’infinitif « HOREN ». Ce verbe « HOREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik hoor ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés : préfixe « GE » « HOOR » + « D » = « GEHOORD ».
Quand « HOREN » est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « gehoord » derrière le complément (« schoten ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEDEKT VTT DEKKEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/05/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze leggen zich te slapen met zakken gedekt » (« Ils se couchent pour dormir, couverts avec des sacs »).
On y trouve la forme verbale « gedekt », participe passé provenant de l’infinitif « DEKKEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T.) se terminant par la consonne « K », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Quand « DEKKEN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, il y a REJET de son participe passé «gedekt» derrière le complément (« met zakken ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KUNNEN REJET OVERNACHTEN 2 ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/05/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zelfs als ze daar niet voor ons staan, kunnen we maar beter buiten de gemeente overnachten » (« Même s’ils ne sont pas là pour nous, nous pouvons tout aussi bien passer la nuit hors de la commune »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière les compléments (« maar beter » et « buiten de gemeente »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
C’est dans Ia mesure où la phrase subordonnée (« Zelfs als ze daar niet voor ons staan ») joue le rôle d’un complément que cela engendre une INVERSION : le sujet « we » passe derrière le verbe « kunnen ».
Notez que l’on aurait dû avoir plutôt l’auxiliaire de mode de la «POSSIBILITE» ou de la « PERMISSION », l’infinitif « MOGEN » :
« We mogen maar beter buiten de gemeente overnachten ».

Nom : VERDEKT VTT VERDEKKEN OPGESTELD VTT OPSTELLEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/05/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Verdekt OPgestelde gendarmen houden overal scherp toezicht » (« Des gendarmes, disposés de façon à être dissimulés, exercent une stricte surveillance »).
On y trouve la forme verbale « verdekt », participe passé provenant de l’infinitif « verDEKKEN » (n’existant plus) qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T.) se terminant par la consonne « K », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Rappelons que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On y trouve aussi la forme verbale « OPgesteld », participe passé (utilisé comme adjectif épithète et s’accordant donc) provenant de l’infinitif « OPstellen », lui-même construit sur l’infinitif « STELLEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « L », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire.
Quand « OPstellen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEsteld ».

Nom : GEBLAZEN VTT BLAZEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/05/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat wordt (voor ons) oppassen geblazen ». (« Cela souffle de faire attention »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEBLAZEN », participe passé provenant de l’infinitif « BLAZEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Il y a REJET du participe passé, derrière le complément éventuel (« voor ons »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que cette phrase est à la voix passive puisque l’on y utilise l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de « ZIJN ».

Nom : KUNNEN REJET OVERNACHTEN 1 ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/05/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We kunnen beter in een herberg overnachten ». (« Nous pouvons mieux / nous ferions mieux de passer la nuit dans une auberge »).
L’auxiliaire de mode de la POSSIBILITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière les compléments (« beter » et « in een herberg »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir plutôt l’auxiliaire de mode de la «POSSIBILITE» ou de la « PERMISSION », l’infinitif « MOGEN » :
« We mogen beter in een herberg overnachten ».

Nom : GEJAAGD VTT JAGEN ROBERT EN BERTRAND 27 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/05/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Gejaagd door een gure wind … » (« Chassés par un vent rigoureux … »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEJAAGD », participe passé provenant de l’infinitif « JAGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers à l’OV.T. (ou « prétérit ») : « JOEG ».
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le radical (première personne du présent, « Ik jaag ») se terminant par la consonne « G », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés : préfixe « GE » + « JAAG » + « D » = « GEJAAGD ».
Notez que si cette phrase avait eu un verbe auxiliaire, cela aurait été « WORDEN » de la voix passive et elle aurait été : « Ze worden (ou werden, « prétérit ») door een gure wind gejaagd … »

Nom : KON OVT KUNNEN REJET LATEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/05/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De jager kon het niet laten » (« Le chasseur ne pouvait pas le laisser »).
La forme verbale « KON » est le prétérit (SINGULIER) du verbe « KUNNEN » faisant ici l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers, au moins à l’O.V.T. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN » (donnant, à l’O.T.T. ou indicatif présent, un singulier « KAN »). Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière le complément (« het »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait pu avoir plutôt l’auxiliaire de mode de la «POSSIBILITE» ou de la « PERMISSION », l’infinitif « MOGEN » :
« De jager mocht het niet laten ».

Nom : MOCHT OVT MOGEN REJET BATEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/05/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het mocht vast en zeker niet baten » (« Cela ne pouvait pas rater »).
La forme verbale « MOCHT » est le prétérit (SINGULIER) du verbe « MOGEN» faisant ici l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers, au moins à l’O.V.T. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
L’auxiliaire de mode de la « POSSIBILITE » ou de la « PERMISSION » est l’infinitif « MOGEN » (donnant, à l’O.T.T. ou indicatif présent, un singulier « MAG »). Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière le complément éventuel (« vast en zeker »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : BEMOEIEN WAARMEE ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/05/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Waar bemoei je je (in mijn zaken) mee ? » (« De quoi te mêles-tu ? »).
Contrairement à ce que l’on pourrait croire, on n’a pas affaire, ici, avec le verbe « BEMOEIEN » à un verbe dit « à particule séparable » (comme, par exemple, « MEEGAAN ») dont la particule séparable serait « MEE ».
Nous avons affaire à ce que l’on appelle un « adverbe pronominal » (mot pas indispensable à retenir) et relativement facile à repérer dans une phrase interrogative si l’on prête attention au mot interrogatif « WAAR ? ».
On ne peut en effet pas combiner une préposition, comme « MET », avec le mot interrogatif « WAT ? », « met wat » devient « WaarMEE ».
Dans ce cas-ci, « MEE » (issu de la préposition « MET ») réagit comme la particule « MEE » (par exemple, du verbe « MEEGAAN » : « Ga je naar de zee mee ? ») et il y a aussi REJET derrière le complément éventuel (« in mijn zaken ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET (notamment du verbe ou de certaines de ses composantes), lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZAL ZULLEN REJET GENEZEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/05/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Men zal haar van haar hallucinaties genezen » (« On va la guérir = on la guérira de ses hallucinations »)
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (ici « genezen »), derrière les compléments (« haar » et « van haar hallucinaties »), à la fin de la phrase et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Rappelons que si on avait eu affaire à un malade masculin, on aurait eu : « Men zal hem van zijn hallucinaties genezen ».
Si, dans l’image, on a aussi REJET de la forme verbale « ZAL », c’est parce que l’on se trouve dans une phrase subordonnée (introduite par « WAAR »).

Nom : KAN KUNNEN REJET STUREN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/05/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Met het geld, kan ik haar (Elsje) naar een instituut in Nederland sturen » (« Avec l’argent, je peux l’envoyer dans un institut aux Pays-Bas »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière les compléments (« haar » et «naar een instituut in Nederland »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
C’est dans Ia mesure où l’autre phrase joue le rôle d’un complément que cela engendre une INVERSION : le sujet « ik » passe derrière le verbe « kan ». On aurait en effet aussi pu dire : « Ik kan haar naar een instituut in Nederland sturen ».
Notez que l’on aurait dû avoir plutôt l’auxiliaire de mode de la «POSSIBILITE» ou de la « PERMISSION », l’infinitif « MOGEN » :
« Ik mag haar naar een instituut in Nederland sturen ».

Nom : STOND OVT STAAN 4 ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/05/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De premie … die op Bartwright’s hoofd (= het hoofd van Bartwright) stond » (« La prime qui se trouvait sur la tête de Bartwright »).
On y trouve la forme verbale « STOND », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « STAAN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Dans la mesure où nous avons affaire à une phrase subordonnée relative (introduite par « DIE »), il y a REJET de la forme verbale « STOND », derrière le complément («Bartwright’s hoofd »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que, en langue anglaise, on aurait eu : « Bartwright’s head ».

Nom : GESCHONKEN VTT SCHENKEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/05/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Omdat zij (Elsje) hem op het spoor van Bartwright bracht, heeft hij ons de premie geschonken » (« Parce qu’elle le mit / l’a mis sur la piste de Bartwright, il nous a offert la prime »).
On y trouve la forme verbale « GESCHONKEN », participe passé provenant de l’infinitif « SCHENKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et est construit sur le PLURIEL du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Il y a REJET de la forme verbale « geschonken », derrière les compléments (« ons » et « de premie »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (la phrase subordonnée « Omdat zij hem op het spoor van Bartwright bracht » jouant ici ce rôle), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « hij ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « heeft ») et passant donc derrière lui.

Nom : BRACHT OVT BRENGEN 2 ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/05/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Omdat zij (Elsje) hem op het spoor van Bartwright (= zijn spoor) bracht … » (« Parce qu’elle le mit / l’a mis sur la piste de Bartwright … »).
On y trouve notamment la forme verbale « BRACHT », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Dans la mesure où nous avons affaire à une phrase subordonnée (introduite par « OMDAT »), il y a REJET de la forme verbale « BRACHT », derrière les compléments (« hem » et « op het spoor van Bartwright »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que si l’on avait plutôt utilisé « WANT », la forme verbale « BRACHT » serait restée à sa place normale, à côté de son sujet : « Elsje bracht hem op het spoor van Bartwright. »

Nom : MOETEN REJET BAKKEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/05/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We moeten hem nog de traditionele poets bakken » (« Nous devons encore lui faire la blague traditionnelle » »).
L’auxiliaire de mode de l’OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière les compléments («hem», «nog» et « de traditionele poets »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez l’expression « iemand een poets bakken ».

Nom : KAN KUNNEN REJET SPREKEN 2 ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/05/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Kan ik je even alleen spreken ? » (« Puis-je un peu te parler seul à seul ? »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière les compléments (« je », « even » et (« alleen »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir plutôt l’auxiliaire de mode de la «POSSIBILITE» ou de la « PERMISSION », l’infinitif « MOGEN » :
« Mag ik je even alleen spreken ? »

Nom : ZOU ZOUDEN REJET VINDEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/05/2018

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik zou het jammer vinden de jacht weer te openen » (« Je trouverais dommage de rouvrir la chasse »).
L’auxiliaire du CONDITIONNEL est l’infinitif « ZOUDEN », donnant un singulier « ZOU » ; il est, en quelque sorte, l’« imparfait » (O.V.T. ou prétérit) de l’auxiliaire du FUTUR, « ZULLEN ».
Au CONDITIONNEL, il y a REJET de l’autre forme verbale (« vinden »), derrière les compléments (« het » et « jammer »), et donc à l’INFINITIF, à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que, si en français, l’expression « être dommage » exige un « de », en néerlandais « jammer zijn / vinden » exige un « te ».

Nom : KOMT BIJEEN OTT BIJEENKOMEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 30/04/2018

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Terwijl de brandweer poogt de brand onder controle te houden, komt het hele gezelschap in het huis van Bartwright bijeen » (« Tandis que les pompiers essaient de maintenir sous contrôle l’incendie, toute la société se rassemble dans la maison de Bartwright »).
On y trouve la forme verbale « komt … BIJEEN », provenant de l’infinitif « BIJEENkomen », lui-même construit sur l’infinitif « KOMEN ».
Quand « BIJEENkomen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « BIJEEN » (synonyme de « SAMEN » ou « bij elkaar ») de son infinitif proprement dit, et il y a REJET de la particule « BIJEEN » derrière le complément (« In het huis van Bartwright »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (la phrase subordonnée «Terwijl de brandweer poogt de brand onder controle te houden» jouant ici ce rôle), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « het hele gezelschap ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « komt ») et passant donc derrière lui.

Nom : VIEL OVT VALLEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 29/04/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij viel van het duin » (« Il tomba = est tombé de la dune »).
On y trouve notamment la forme verbale « VIEL » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant de l’infinitif « VALLEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Voir notre tableau :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : GING OVT GAAN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/04/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De pijl van het (stand)beeld ging hem door het hart » (« La flèche de la statue lui alla / lui est allée à travers le cœur »).
On y trouve notamment la forme verbale « GING » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant de l’infinitif « GAAN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Voir notre tableau :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : STRUIKELDE OVT STRUIKELEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/04/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij struikelde » (« Il trébucha / a trébuché »).
Ce verbe « STRUIKELEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik struikel ») se terminant par la consonne « L », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit : « STRUIKEL » + « DE » = « STRUIKELDE ».

Nom : HOORDE OVT HOREN 5 ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/04/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hoorde je die kreet ? » (« Entendis-tu / As-tu entendu ce cri ? »).
Ce verbe « HOREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik hoor ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit : « HOOR » + « DE » = « HOORDE ».

Nom : LOOP NA OTT NALOPEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/04/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Loop (Lopen jullie) hem na ! » (« Cours-lui après ! »).
On y trouve la forme verbale « loop … NA », provenant de l’infinitif « NAlopen », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « LOPEN ».
Quand « NAlopen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « NA » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET derrière le complément éventuel (« HEM »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET, lisez :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : SLOEG NEER OVT NEERSLAAN 2 ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/04/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Bartwright) sloeg de speurder (nummer 17) neer » (« Il assomma = a assommé l’enquêteur »).
On y trouve notamment la forme verbale « sloeg … NEER » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant de l’infinitif « NEERslaan », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « SLAAN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Voir notre tableau :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « NEERslaan » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « NEER » de son infinitif proprement dit, et il y a REJET de la particule « NEER », derrière le complément (« de speurder »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KEER OM OTT OMKEREN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/04/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Keer je nu om ! » (« Retourne-toi maintenant ! »).
On y trouve la forme verbale « keer … OM », provenant de l’infinitif « OMkeren », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « KEREN ».
Quand « OMkeren » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OM » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET derrière le complément éventuel (« NU »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET, lisez :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : NEEM OP OTT OPNEMEN UITLEVEREN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/04/2018

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « lk neem contact met Londen op om je uit te leveren » (« Je prends contact avec Londres pour te livrer »).
On y trouve la forme verbale « neem … OP », provenant de l’infinitif « OPnemen », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « NEMEN ».
Quand « OPnemen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit et il y a REJET de la particule « OP » derrière le(s) complément(s) (« contact » et « met Londen ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
On y trouve, par ailleurs, la forme verbale « UIT … leveren », provenant de l’infinitif « UITleveren », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « LEVEREN ».
Quand « UITleveren » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit.
Rappelons que « POUR » devant les VERBES est rendu par un double mot : « OM … TE ». Le complément « je » s’intercale entre le « OM » et le « TE », ce dernier étant placé juste devant l’infinitif (ici « LEVEREN »).
La particule « UIT » s’intercale également entre le « OM » et le « TE » mais juste devant le « TE ».

Nom : OPGERUIMD VTT OPRUIMEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/04/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « (Als het) opgeruimd (is), staat (het) netjes ! » (« Nettoyé, c’est plus propre ! »).
On y trouve la forme verbale « opgeruimd », participe passé provenant de l’infinitif « OPruimen », lui-même construit sur l’infinitif « RUIMEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (ou première personne du présent : « ik ruim op ») se terminant par la consonne « M », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire.
Quand « OPruimen » est conjugué comme participe passé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opgeruimd ».
Il y a REJET de la forme verbale « opgeruimd » derrière le complément éventuel (« het ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GRIJPT IN OTT INGRIJPEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/04/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Bertrand) grijpt hardhandig in » (« Il intervient énergiquement »).
On y trouve la forme verbale « grijpt … IN », provenant de l’infinitif « INgrijpen », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « GRIJPEN ».
Quand « INzetten » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « IN » de sa forme verbale proprement dite et il y a REJET de la particule « IN » derrière le complément (« hardhandig ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET de cette partie du verbe, lisez notre synthèse en couleurs:
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : WAS OVT ZIJN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/04/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat was haast raak ! » (« C’était tout juste ! »).
On y trouve la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers et constitue vraisemblablement le verbe le plus irrégulier de la langue néerlandaise.
C’est logique : plus on utilise un mot, plus la prononciation le déforme au fil du temps …
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Notez qu’il ne pourrait, en aucun cas, s’agir d’une forme verbale à l’O.T.T. (ou « présent ») provenant de l’infinitif « WASSEN », « DAT » (sujet) exigeant une terminaison « T » d’une troisième personne du singulier.

Nom : WILLEN REJET KOELEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/04/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Sam) wil zijn wraak koelen » (« Il veut refroidir => assouvir sa vengeance »).
L’auxiliaire de mode de la VOLONTE » est l’infinitif « WILLEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « MOGEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière le complément (« zijn wraak »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ONGEMERKT VTT MERKEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/04/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We moeten hen ongemerkt naderen » (« Nous devons les approcher, en restant inaperçus »).
On y trouve la forme verbale « ongemerkt » ; s’il avait existé un infinitif « ONMERKEN », lui-même construit sur « MERKEN », il aurait eu un tel participe passé provenant, comme la grande majorité des verbes néerlandais, de ceux qui NE font PAS l’objet des « temps primitifs » mais font partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T.) se terminant par la consonne « K », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire. Le préfixe « ON- » (« UN- » en anglais) n’est PAS une « particule séparable » (même s’il réagit comme « OP ») et constitue en fait le contraire de « gemerkt ».
Quand « ongemerkt » est utilisé comme participe passé, il y a REJET, derrière le complément (« hen ») à la fin de la phrase (si ce n’est que « moeten » exige ici le REJET de « naderen » encore plus à la fin). Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEWAPEND VTT WAPENEN OPGEPAST VTT OPPASSEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/04/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Opgepast, zij zijn (met revolvers) gewapend ! » (« Attention, ils sont armés ! »).
On y trouve la forme verbale « gewapend », participe passé provenant de l’infinitif « WAPENEN ». Ce verbe « WAPENEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik wapen ») se terminant par la consonne « N », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés : préfixe « GE » « WAPEN » + « D » = « GEWAPEND ». Le participe passé « GEWAPEND » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« met revolvers »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
On y trouve aussi la forme verbale « OPgepast », participe passé provenant de l’infinitif « OPpassen », lui-même construit sur l’infinitif « PASSEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « S », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Quand « OPpassen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEpast ».

Nom : GEHAD VTT HEBBEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/04/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze hebben een ongeval gehad » (« lls ont eu un accident »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEHAD », participe passé provenant de l’infinitif « HEBBEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Il faut aussi noter que ce participe passé se construit sur le SINGULIER du prétérit.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GEHAD » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« een ongeval »), à la fin de la phrase. Voyez :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GESLINGERD VTT SLINGEREN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/04/2018

Description : Si l’on ne tient pas compte du fait que la phrase grammaticalement intéressante est une subordonnée (introduite par « DAT »), on aurait pu avoir la variante suivante : « De inzittenden worden uit hun wagens geslingerd » (« Les occupants = ceux étant assis à l’intérieur sont projetés hors de leurs véhicules »).
On y trouve la forme verbale « geslingerd », participe passé provenant de l’infinitif « SLINGEREN », qui est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik slinger ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés : préfixe « GE » + « SLINGER » + « D » = « GESLINGERD ».
Il y a REJET de la forme verbale « geslingerd », derrière le complément (« uit hun wagens »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
Notez la façon dont on construit un nom à partir d’un infinitif : « INZITTEN » + « D » (terminaison participe présent) + « EN » (terminaison PLURIEL) = « INZITTENDEN ».

Nom : OPGEMERKT VTT OPMERKEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/04/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Vanop een duintop hebben de achtervolgers de vluchteling opgemerkt » (« Du sommet d’une dune, les poursuivants ont aperçu le fugitif »).
On y trouve la forme verbale « opgemerkt », participe passé provenant de l’infinitif « OPMERKEN », lui-même construit sur « MERKEN », qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T.) se terminant par la consonne « K », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Quand « OPMERKEN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, il y a REJET de son participe passé « opgemerkt », derrière le complément (« de vluchteling ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un (autre) complément (« Vanop een duintop »), cela entraîne une INVERSION du sujet « de achtervolgers » qui passe derrière son verbe « hebben ».

Nom : DOET REJET VERLIEZEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/04/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Motorpech doet hem (Bartwright) heel wat tijd verliezen » (« Des ennuis de moteur lui font perdre pas mal de temps »).
On y trouve le verbe « DOEN » qui réagit comme, par exemple, l’auxiliaire de mode de l’OBLIGATION « MOETEN », exigeant le REJET de l’autre forme verbale, derrière le complément (« heel wat tijd »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Vous constaterez que, en utilisant « MOETEN », on aura le même ordre des mots dans la variante suivante de la phrase :
« Motorpech moet hem heel wat tijd doen verliezen ».
Notez que, si cela avait été une conductrice, on aurait eu :
« Motorpech doet haar heel wat tijd verliezen ».

Nom : ZET IN OTT INZETTEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/04/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij zet met hen (Robert en Bertrand) de achtervolging van Bartwright in » (« Il mène avec eux la poursuite de Bartwright »).
On y trouve la forme verbale « zet … IN », provenant de l’infinitif « INzetten », lui-même construit sur l’infinitif « ZETTEN ».
Quand « INzetten » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « IN » de sa forme verbale proprement dite et il y a REJET de la particule « IN » derrière le complément (« de achtervolging …») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs:
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que s’il avait mené la poursuite avec une seule personne masculine (Robert ou Bertrand), au lieu d’avoir « HEN », on aurait eu « HEM » : « Hij zet met hem de achtervolging van B. in ».

Nom : EISTE OVT EISEN 2 ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/04/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De speurder eiste een automobiel » (« L’enquêteur exigea une automobile »).
On y trouve notamment le verbe « EISEN », qui est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), mais fait partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik eis ») se terminant par la consonne « S », on trouvera le « TE » minoritaire comme terminaison du prétérit : « EIS » + « TE » = « EISTE ».

Nom : VROEGEN OVT VRAGEN 2 ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/04/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze vroegen ons jullie te zoeken » (« Ils nous demandèrent / ils nous ont demandé de vous chercher »).
On y trouve notamment la forme verbale « VROEGEN », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « VRAGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Notez que « VRAGEN » gère ici ses compléments de la façon suivante : « demander quelqu’un (« ons ») quelque chose (même si « jullie » correspond ici à des personnes).
« VRAGEN » est, par ailleurs, suivi d’un « TE » pour rendre l’équivalent français avec « demander », c’est-à-dire un « DE ».

Nom : KONDEN OVT KUNNEN REJET BEVRIJDEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/04/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze konden zich echter (alleen) bevrijden » (« Ils purent = ont pu en fait se libérer seuls »).
L’auxiliaire de mode de la CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN » et un O.V.T. (ou prétérit) « KON » (PLURIEL irrégulier « KONDEN »). Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière le(s) complément(s) (« echter »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Le verbe « KUNNEN » fait l’objet (au seul prétérit ou O.V.T.) des « temps primitifs ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : WAREN OVT ZIJN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/04/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je = jouw vrienden (Robert en Bertrand) waren de gevangenen van Bartwright » (« Tes amis étaient les prisonniers de Barwright »).
On y trouve notamment la forme verbale « WAREN » (pluriel irrégulier de « WAS »), O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : KWAMEN OVT KOMEN 3 ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/04/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maar we kwamen hier niet toevallig » (« Mais nous ne vînmes = ne sommes pas venus par hasard »).
On y trouve notamment la forme verbale « KWAMEN », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « KOMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Notez que le « O » de l’infinitif « KOMEN » devient aussi un « A » dans le prétérit anglais (« CAME »).

Nom : INGEDIJKT VTT INDIJKEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/04/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Op de heide hebben wij de vuurhaard INgedijkT » (« Dans la bruyère, nous avons endigué le foyer »).
On y trouve notamment la forme verbale « INgedijkT », provenant du verbe «INDIJKEN», dit à « particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « DIJKEN », verbe (en « IJ » exceptionnellement) régulier.
Quand « INDIJKEN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « IN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « inGEdijkt ».
Le participe passé « INgedijkt » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« de vuurhaard »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un (autre) complément (« Op de heide »), cela entraîne une INVERSION du sujet « wij » qui passe derrière son verbe « hebben ». On aurait en effet aussi pu dire : « Wij hebben de vuurhaard op de heide INgedijkT ».

Nom : DAAGT OP OTT OPDAGEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/04/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Op dit ogenblik daagt de brandweer plots op » (« A ce moment, le service incendie se présente => intervient »).
On y trouve la forme verbale « DAAGT … OP » du verbe « OPDAGEN », dit à « particule séparable », construit sur l’infinitif « DAGEN ». Quand il est conjugué, il exige le REJET de la particule séparable « OP », derrière le complément éventuel (« plots »), à la fin de la phrase.
Voir phénomène du REJET, entre autres :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un (autre) complément (« Op dit ogenblik »), cela entraîne une INVERSION du sujet « de brandweer » qui passe derrière son verbe « daagt ». On aurait en effet aussi pu dire : « De brandweer daagt op dit ogenblik plots op ».

Nom : HAAL UIT OTT UITHALEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/04/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hoe haal je ons hier uit ? » (« Commment vas-tu nous sortir d’ici ? »).
On y trouve la forme verbale « HAAL … UIT » du verbe « UITHALEN », dit à « particule séparable », construit sur l’infinitif « HALEN ».
Quand « UITHALEN » est conjugué, il exige le REJET de la particule séparable « UIT », derrière les compléments (« ons » et « hier »), à la fin de la phrase.
Voir phénomène du REJET, entre autres, à :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEKNEVELD VTT KNEVELEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/04/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Misschien zijn ze (Hilde en Elsje) door de bandieten gekneveld » (« Peut-être sont-elles bâillonnées »).
On y trouve la forme verbale « GEKNEVELD » provenant de l’infinitif « KNEVELEN », verbe considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik KNEVEL ») se terminant par la consonne « L », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés : préfixe « GE » « KNEVEL » + « D » = « GEKNEVELD ».
Le participe passé « GEKNEVELD » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« door de bandieten »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Dans Ia mesure où la commence par un autre complément (« misschien »), cela engendre une INVERSION : le sujet « ze » passe derrière le verbe «zijn». On aurait en effet aussi pu dire : « Ze zijn misschien gekneveld ».

Nom : KUNNEN REJET ANTWOORDEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/04/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wij kunnen hem (= de jongen), niet antwoorden » (« Nous ne sommes pas capables de lui répondre »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« antwoorden »), derrière le complément éventuel («hem»), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZOUDEN REJET ZIJN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 31/03/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zouden ze wel in de (woon)wagen zijn ? » (« Seraient-elles bien dans la roulotte ? »).
L’auxiliaire du CONDITIONNEL est l’infinitif « ZOUDEN » ; il est, en quelque sorte, l’« imparfait » (O.V.T. ou prétérit) de l’auxiliaire du FUTUR, « ZULLEN ».
Au CONDITIONNEL, il y a REJET de l’autre forme verbale (« zijn ») à la fin de la phrase, derrière le complément, et donc à l’INFINITIF.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KAN KUNNEN REJET BEREIKEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 30/03/2018

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Als ik over deze vuurhaard geraak, kan ik de wagen nog bereiken » (« Si je parviens à passer au-dessus de ce foyer, je peux encore atteindre la roulotte »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière les compléments (« kan » et « nog»), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
C’est dans Ia mesure où l’autre phrase joue le rôle d’un complément que cela engendre une INVERSION : le sujet « ik » passe derrière le verbe « kan ». On aurait en effet aussi pu dire : « Ik kan de wagen nog bereiken ».

Nom : VERLOREN VTT VERLIEZEN 2 ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 29/03/2018

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Als er geen hulp opdaagt, zijn wij (vast en zeker) verloren » (« Si aucune aide ne survient, nous sommes perdues »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve donc la forme verbale « VERloren », participe passé provenant de l’infinitif « VERliezen », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « VERloren » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« vast en zeker »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
C’est dans Ia mesure où l’autre phrase joue le rôle d’un complément que cela engendre une INVERSION : le sujet « wij » passe derrière le verbe « zijn ». On aurait en effet aussi pu dire : « Wij zijn verloren ».

Nom : OMRINGD VTT OMRINGEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/03/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De woonwagen is reeds door brandend heidegras omringd » («La roulotte est déjà entourée par de la bruyère en flamme»).
On y trouve la forme verbale « OMringd », participe passé provenant de l’infinitif « OMringen » (qui N’est PAS un verbe dit à « particule séparable »), lui-même construit sur l’infinitif «RINGEN». Ce verbe est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik ring ») se terminant par la consonne « G », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés.
Quand « OMringen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela n’entraîne PAS en néerlandais une séparation de la particule « OM » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) NE s’intercalant (exceptionnellement) PAS entre eux => « omringd ».
Il y a REJET de la forme verbale du participe passé « OMringd » derrière les compléments (« reeds » et « door brandend heidegras »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : HOORDE OVT HOREN 4 ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/03/2018

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik hoorde nog dat zij ze (Hilde en Elsje) naar hun woonwagen zouden brengen » (« J’entendis encore = j’ai encore entendu qu’ils les emmèneraient à leur roulotte »).
Ce verbe « HOREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik hoor ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit : « HOOR » + « DE » = « HOORDE ».
L’auxiliaire du CONDITIONNEL est l’infinitif « ZOUDEN » ; il est, en quelque sorte, l’« imparfait » (O.V.T. ou prétérit) de l’auxiliaire du FUTUR, « ZULLEN ».
Au CONDITIONNEL, il y a REJET de l’autre forme verbale (« brengen ») à la fin de la phrase, derrière le(s) complément(s), et donc à l’INFINITIF. Cela aurait été plus évident dans la variante suivante de la phrase : « Zij zouden Hilde en Elsje naar hun woonwagen brengen »
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : LOOPT VAST OTT VASTLOPEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/03/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het voertuig loopt (wegens de sloot) vast » (« Le véhicule est bloqué par le fossé »).
On y trouve la forme verbale « LOOPT … VAST » du verbe « VASTLOPEN », dit à « particule séparable », construit sur l’infinitif « LOPEN ».
Quand il est conjugué, « VASTLOPEN » exige le REJET de la particule séparable « VAST », derrière le complément éventuel (« wegens de sloot »), à la fin de la phrase.
Voir phénomène du REJET, entre autres :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : INDIJKEN OMTE ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/03/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Vele / veel dorpelingen helpen de brandweer om de vuurzee IN te dijken » («Beaucoup de villageois aident les pompiers pour endiguer la mer de feu »).
On y trouve notamment la forme verbale « IN … DIJKEN », provenant du verbe « INDIJKEN », dit à « particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « DIJKEN ».
Quand « INDIJKEN » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « IN » de son infinitif proprement dit.
Rappelons, par ailleurs, que « POUR » devant les VERBES est rendu par un double mot : « OM … TE ». Le complément « de vuurzee » s’intercale entre le « OM » et le « TE », ce dernier étant placé juste devant l’infinitif (ici « DIJKEN »).
La particule « IN » s’intercale également entre le « OM » et le « TE » mais juste devant le « TE ».

Nom : AANGEPAKT VTT AANPAKKEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/03/2018

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Terwijl (…), wordt de strijd tegen het vuur (dadelijk) AANgepakt » («Pendant …, la lutte contre le feu est engagée »).
On y trouve notamment la forme verbale « AANGEPAKT », participe passé provenant de l’infinitif « AANPAKKEN », lui-même construit sur l’infinitif « PAKKEN » qui, est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), mais fait partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik pak ») se terminant par la consonne « K », on trouvera le « T » minoritaire comme terminaison du participe passé : « GE » + « PAK » + « T » = « GEPAKT ».
Quand « AANPAKKEN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGEpakt ».
C’est dans Ia mesure où l’autre phrase joue le rôle d’un complément que cela engendre une INVERSION : le sujet « de strijd » passe derrière le verbe « wordt ». On aurait en effet aussi pu dire : « De strijd tegen het vuur wordt (dadelijk) AANgepakt ».
Le participe passé « AANgepakt » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« dadelijk »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : TRACHTEN TE BEREIKEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/03/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Bartwright) tracht door de duinen de grens te bereiken » (« Il essaie d’ (= de) atteindre la frontière à travers les dunes »).
On y trouve le verbe « TRACHTEN », qui exige un « TE » (équivalant au « DE » français) devant l’infinitif. Exemples à :
http://www.idesetautres.be/upload/CONSTRUCTIONS%20PHRASES%20NL%20ZC10%20TE+INFINITIF.zip
Il y a REJET de l’autre forme verbale (« bereiken »), derrière les compléments (« door de duinen » et « de grens »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’ordre des compléments aurait dû être inversé : « Hij tracht de grens door de duinen te bereiken ».

Nom : LOPEN VAST OTT VASTLOPEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/03/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zo dadelijk lopen ze (« vóór een greppel ») vast » (« Bientôt, ils sont bloqués par un fossé »).
On y trouve la forme verbale « LOPEN … VAST » du verbe « VASTLOPEN », dit à « particule séparable », construit sur l’infinitif « LOPEN ». Quand il est conjugué, il exige le REJET de la particule séparable « VAST », derrière le complément éventuel (« vóór een greppel »), à la fin de la phrase.
Voir phénomène du REJET, entre autres :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un (autre) complément (« Zo dadelijk »), cela entraîne une INVERSION du sujet « ze » qui passe derrière son verbe « lopen ».

Nom : INGEDREVEN VTT INDRIJVEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/03/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze (Sam en Bill) worden door de vuurzee dieper de heide INgedrEven » (« Ils sont refoulés par la mer de feu plus profondément dans la bruyère »).
On y trouve notamment la forme verbale « INGEDREVEN », participe passé provenant de l’infinitif « INDRIJVEN », lui-même construit sur l’infinitif « DRIJVEN » qui, comme presque tous les verbes en « IJ », donne aux temps du passé une voyelle « E ». Il est à noter que le participe passé « GEDREVEN » se construit sur le PLURIEL du prétérit ou O.V.T. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « INDRIJVEN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « IN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « inGEdreven ».
Le participe passé « INgedreven » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« door de vuurzee », « dieper ») et « de heide »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Pour comprendre d’où vient la particule séparable, notez que l’on aurait pu avoir la variante suivante de la phrase : Ze worden door de vuurzee dieper IN de heide gedrEven ». La phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : RUKT UIT OTT UITRUKKEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/03/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Onmiddellijk rukt de brandweer (« in het dorp ») uit » (« Immédiatement, le service incendie s’arrache => se met en branle »).
On y trouve la forme verbale « RUKT … UIT » du verbe « UITRUKKEN », dit à « particule séparable », construit sur l’infinitif « RUKKEN ». Quand il est conjugué, il exige le REJET de la particule séparable « UIT », derrière le complément éventuel (« in het dorp »), à la fin de la phrase.
Voir phénomène du REJET, entre autres :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un (autre) complément (« Onmiddellijk »), cela entraîne une INVERSION du sujet « de brandweer » qui passe derrière son verbe « rukt ».

Nom : WAKKERT AAN OTT WAKKEREN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/03/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De wind wakkert het vuur aan » (« Le vent éveille => attise le feu »).
On y trouve la forme verbale « WAKKERT … AAN » du verbe « AANWAKKEREN », dit à « particule séparable », construit sur l’infinitif « WAKKEREN ». Quand il est conjugué, il exige le REJET de la particule séparable « AAN », derrière le complément (« het vuur »), à la fin de la phrase.
Voir phénomène du REJET, entre autres :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZULLEN REJET TRACHTEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/03/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze (Sam en Bill) zullen trachten mij in de heide te vangen » (« lls vont essayer / ils essaieront de m’attraper dans la bruyère »)
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il aurait pu y avoir REJET de l’autre forme verbale (« vangen »), derrière les compléments (« mij » et « in de heide »), à la fin de la phrase et à l’INFINITIF, dans la variante suivante : « Ze zullen mij in de heide vangen ». Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Par ailleurs le verbe « TRACHTEN » exige un « TE » précédant (comme son équivalent « DE » français) l’autre infinitif. Exemples à :
http://www.idesetautres.be/upload/CONSTRUCTIONS%20PHRASES%20NL%20ZC10%20TE+INFINITIF.zip

Nom : ONGEDEERD VTT DEREN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/03/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij slagen erin ongedeerd te ontkomen » (« Ils réussissent à en réchapper sans être blessés => indemnes »).
On y trouve la forme verbale « ongedeerd », participe passé (utilisé ici comme adjectif attribut) provenant de l’infinitif « DEREN ». Ce verbe « DEREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik deer ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés : préfixe « GE » « DEER » + « D » = « GEDEERD ».
Le préfixe « ON- » (« UN- » en anglais) est souvent à nuance « négative » et constitue le contraire : ici ongedeerd ».
On y trouve aussi l’expression « ERIN SLAGEN » équivalant, en mauvais français, à « réussir DE », et qui engendre un « TE » quand il précède un infinitif comme, ici, « ONTKOMEN ».

Nom : GEWAPEND VTT WAPENEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/03/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij zijn (met revolvers) gewapend » (« Ils sont armés »).
On y trouve la forme verbale « gewapend », participe passé provenant de l’infinitif « WAPENEN ». Ce verbe « WAPENEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik wapen ») se terminant par la consonne « N », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés : préfixe « GE » « WAPEN » + « D » = « GEWAPEND ».
Le participe passé « GEWAPEND » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« met revolvers »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZULLEN REJET STOPPEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/03/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Die (de gendarmen) zullen hen wel stoppen » (« Ceux-là vont bien les stopper / les stopperont bien »)
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (ici « stoppen »), derrière les compléments (« hen » et « wel »), à la fin de la phrase et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEVONDEN VTT VINDEN 2 ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/03/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij hebben mij gevonden » (« Ils m’ont trouvé »).
Y figure notamment la forme verbale « GEVONDEN », participe passé provenant de l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « I », donne une voyelle « O » pour les temps du passé.
Ce participe passé « GEVONDEN » est construit sur le PLURIEL du prétérit ou O.V.T. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GEVONDEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« MIJ »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : DOORBREKEN VTT DOORGEBROKEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/03/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze zijn (door de versperring van de gendarmen) doorgebroken » (« Ils ont passé le barrage des gendarmes »).
On y trouve la forme verbale « DOORgebroken », participe passé provenant de l’infinitif « DOORbreken », lui-même construit sur l’infinitif « BREKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « DOORbreken » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « DOOR » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « doorGEbroken ».
Il y a REJET de la forme verbale du participe passé « DOORgebroken » derrière le complément éventuel (door de versperring van de gendarmen), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : LOSMAKEN TRACHTEN TE ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/03/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Tracht mijn boeien los te maken » (« Essaie de défaire mes liens »).
On y trouve la forme verbale « los … maken », provenant de l’infinitif « LOSmaken », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « MAKEN ».
Quand « LOSmaken » est conjugué (notamment comme participe passé « LOSgemaakt »), cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « LOS » de son infinitif proprement dit.
Par ailleurs le verbe « TRACHTEN » exige un « TE » (équivalant au « DE » français), s’intercalant ici entre la particule séparable « LOS » et son infinitif. Exemples à :
http://www.idesetautres.be/upload/CONSTRUCTIONS%20PHRASES%20NL%20ZC10%20TE+INFINITIF.zip

Nom : BEVRIJD VTT BEVRIJDEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/03/2018

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Eer jullie jezelf / zich (van de koorden) bevrijd hebben, ben ik (over) de grens over(gegaan) » (« Avant que vous vous soyez libérés, je suis / serai au-delà de / j’aurai franchi la frontière »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve donc la forme verbale « BEvrijd », participe passé provenant de l’infinitif « BEvrijden », qui est identique à la première personne de l’indicatif présent, ce verbe NE faisant PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « BEvrijd » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« van de koorden »), à la fin de la phrase (tout comme « OVER » dans l’autre phrase). Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase subordonnée (introduite par « EER ») jouant pour la phrase principale le rôle d’un complément, cela entraîne dans cette dernière une INVERSION du sujet « IK » passant derrière son verbe « ben ».
Notez la façon dont la préposition « OVER » hésite à évoluer vers une « particule séparable » d’un verbe « OVERgaan ». On aurait en effet pu avoir les variantes de phrases suivantes : « Ik ben de grens overgegaan » ou « Ik ben over de grens gegaan ».

Nom : KRIJGT AAN OTT AANKRIJGEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/03/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Jij krijgt de handboeien van de speurder aan » (« Tu hérites des menottes de l’enquêteur »).
On y trouve un infinitif construit sur « KRIJGEN » et verbe dit à « particule séparable », « AANKRIJGEN », qui exige le REJET de la « particule séparable » « AAN », derrière le complément (« de handboeien van de speurder »), à la fin de la phrase.
Voir phénomène du REJET, entre autres :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : SCHOOT NEER OVT NEERSCHIETEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/03/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Bij het (stand)beeld van de elfenjager schoot ik hem neer » (« Près de la statue du chasseur d’elfes, je l’abattis = je l’ai abattu »).
On y trouve la forme verbale « SCHOOT … neer », prétérit (O.V.T.) provenant de l’infinitif « neerSCHIETEN », verbe dit à « particule séparable », lui-même construit sur « SCHIETEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « IE », donne une voyelle « O ». Il faut donc noter que son participe passé se construira sur le PLURIEL du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
La « particule séparable » (ici « neer ») fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« hem »), à la fin de la phrase. Voir phénomène du REJET, entre autres au lien :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Dans Ia mesure où la phrase commence par un complément (« Bij het (stand)beeld van de elfenjager »), ce dernier engendre une INVERSION, le sujet « IK » passant derrière le verbe « schoot ». On aurait en effet aussi pu dire : « Ik schoot hem bij het (stand)beeld van de elfenjager neer ».

Nom : EISTE OVT EISEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/03/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Toen eiste hij de volledige buit » (« Alors il exigea le butin complet »).
On y trouve notamment le verbe « EISEN », qui est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), mais fait partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik eis ») se terminant par la consonne « S », on trouvera le « TE » minoritaire comme terminaison du prétérit : « EIS » + « TE » = « EISTE ».
Dans Ia mesure où la phrase commence par un complément («Toen»), ce dernier engendre une INVERSION, le sujet « HIJ » passant derrière le verbe « eiste ». On aurait en effet aussi pu dire, par exemple : « Hij eiste toen de volledige buit / Hij eiste de volledige buit toen ».

Nom : ZWEEG OVT ZWIJGEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/03/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Peter) zweeg om mij af te persen » (« Il se tut pour me presser comme un citron = pour m’extorquer de l’argent »).
On y découvre la forme verbale « ZWEEG », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « ZWIJGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « IJ », donne une voyelle « E » (doublée au singulier) pour les temps du passé. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que « POUR » devant les verbes est rendu par un double mot : « OM … TE ». Le complément (« MIJ ») et la particule séparable « AF » du verbe « AFpersen » s’intercalent entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « PERSEN ».

Nom : VOND OVT VINDEN 3 ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/03/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Peter) vond mij eerst » (« Il me trouva le premier »).
On y découvre la forme verbale « VOND », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « I », donne une voyelle « O » pour les temps du passé.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : HIELDEN OVT HOUDEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/03/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Omwille van de taal hielden ze (Sam en Bill) zich doofstom » (« En raison de la langue, ils se tenaient muets => ils gardaient le silence »).
On y trouve également, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « HIELDEN », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « HOUDEN » qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Dans Ia mesure où la phrase commence par un complément (« Omwille van de taal »), ce dernier engendre une INVERSION, le sujet « ZE » passant derrière le verbe « hielden ». On aurait en effet aussi pu dire : « Ze hielden zich doofstom omwille van de taal ».

Nom : NAMEN OVT NEMEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/03/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « In de gevangenis, namen zij hem (Peter) in vertrouwen omdat hij de taal hier goed kende » (« En prison, ils le prirent en confiance parce qu’il connaissait bien la langue d’ici »).
On y trouve la forme verbale « nam », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « NEMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le verbe « KENNEN », dans la phrase subordonnée (introduite par « OMDAT »), est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik ken ») se terminant par la consonne « N », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit : « KEN » + « DE » = « KENDE ».
Il y a REJET de la forme verbale « KENDE » derrière les compléments (« de taal », « hier » et « goed ») à la fin de la phrase subordonnée. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
On aurait pu utiliser « WANT » au lieu de « OMDAT », ce qui aurait laissé les mots dans un ordre « normal » : « In de gevangenis, namen zij hem (Peter) in vertrouwen want hij kende de taal hier goed ». Dans Ia mesure où la phrase commence par un complément (« In de gevangenis »), ce dernier engendre une INVERSION, le sujet « ZIJ » passant derrière le verbe « namen ». On aurait en effet aussi pu dire, par exemple : « Zij namen Peter in de gevangenis in vertrouwen ».

Nom : LEERDEN OVT LEREN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/03/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « In de gevangenis, leerden zij Peter kennen » (« En prison, ils apprirent à connaître / firent la connaissance de Peter »).
Ce verbe « LEREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik leer ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit : « LEER » + « DE » + « N » (pluriel) = « LEERDEN ».
Dans Ia mesure où la phrase commence par un complément (« In de gevangenis »), ce dernier engendre une INVERSION, le sujet « ZIJ » passant derrière le verbe « leerden ». On aurait en effet aussi pu dire : « Zij leerden Peter in de gevangenis kennen ».
Notez la particularité du verbe « LEREN » qui, contrairement à d’autres verbes néerlandais, n’engendre pas un « TE » (équivalant au « à » français). Exemples à :
http://www.idesetautres.be/upload/CONSTRUCTIONS%20PHRASES%20NL%20ZC10%20TE+INFINITIF.zip

Nom : KWAMEN OVT KOMEN 2 ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/03/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Eens terug op vrije voeten, kwamen zij hiereen om de rekening te vereffenen » (« Une fois leurs pieds à nouveau libres / libérés de leurs chaînes, ils vinrent par ici pour régler le compte »).
On y trouve notamment la forme verbale « KWAMEN », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « KOMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Notez que le « O » de l’infinitif « KOMEN » devient aussi un « A » dans le prétérit anglais (« CAME »).
Dans Ia mesure où la phrase commence par un complément (« Eens terug op vrije voeten »), ce dernier engendre une INVERSION, le sujet « ZIJ » passant derrière le verbe « kwamen ». On aurait en effet aussi pu dire : « Zij kwamen hierheen ».
Rappelons que « POUR » devant les verbes est rendu par un double mot : « OM … TE ». Le complément (« de rekening ») s’intercale entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « VEREFFENEN ».

Nom : EINDIGDEN OVT EINDIGEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/03/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij eindigden in de gevangenis » (« Ils terminèrent / ont terminé en prison »).
Ce verbe « EINDIGEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik eindig ») se terminant par la consonne « G », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit : « EINDIG » + « DE » + « N » (pluriel) = « EINDIGDEN ».

Nom : SLOEG NEER OVT NEERSLAAN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/02/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Eens de buit in handen, sloeg ik mijn vrienden (Sam en Bill) neer » (« Une fois le butin en mains, j’assommai mes amis »).
On y trouve notamment la forme verbale « sloeg … NEER » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant de l’infinitif « NEERslaan », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « SLAAN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Voir notre tableau :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « NEERslaan » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « NEER » de son infinitif proprement dit, et il y a REJET de la particule « NEER », derrière le complément (« mijn vrienden »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Dans Ia mesure où la phrase commence par un complément (« Eens de buit in handen »), ce dernier engendre une INVERSION : le sujet « IK » passe derrière le verbe « sloeg ». On aurait en effet aussi pu dire : « Ik sloeg mijn vrienden neer ».

Nom : ONTVING OVT ONTVANGEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/02/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een afdeling van het leger ontving de arbeiders op een moorddadig vuur » (« Une section / un détachement de l’armée reçut les ouvriers sous un feu meurtrier »).
On y trouve notamment la forme verbale « ONTVING » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant de l’infinitif « ONTVANGEN », lui-même construit sur le verbe « VANGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Voir notre tableau :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : STEUNDE OVT STEUNEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/02/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De regering steunde de fabrikanten » (« Le gouvernement soutint / soutenait les fabriquants / les patrons des usines »).
Ce verbe « STEUNEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik steun ») se terminant par la consonne « N », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit : « STEUN » + « DE » = « STEUNDE ».

Nom : MAAKTEN OVT MAKEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/02/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wij maakten gebruik van de paniek om de brandkast te kraken » (« Nous avons fait usage => mis à profit la panique pour forcer le coffre-fort »).
On y trouve notamment le verbe « MAKEN », qui est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), mais fait partie de la minorité des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik maak ») se terminant par la consonne « K », on trouvera le « TE » minoritaire comme terminaison du prétérit : « MAAK » + « TE » + « N » (pluriel) = « MAAKTEN ».
Rappelons que « POUR » devant les verbes est rendu par un double mot : « OM … TE ». Le complément (« de brandkast ») s’intercale entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « KRAKEN ».

© 2018, Bernard GOORDEN, voor de grammatica. Autres exemples à http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=vandersteen

Nom : BEGAVEN OVT BEGEVEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/02/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Tijdens een overval op een grote fabriek begaven wij ons onder de arbeiders » (« Pendant un assaut sur une grande usine, nous nous rendîmes parmi les ouvriers »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais. On trouve donc la forme verbale « BEgaven », O.V.T. ou prétérit provenant de l’infinitif « BEgeven », lui-même construit sur « GEVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Dans Ia mesure où la phrase commence par un complément (« Tijdens een overval op een grote fabriek Samen met twee vrienden »), ce dernier engendre une INVERSION : le sujet « wij » passant derrière le verbe « begaven ». On aurait en effet aussi pu dire : « Wij begaven ons tijdens een overval op een grote fabriek onder de arbeiders ».

Nom : BESLOTEN OVT BESLUITEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/02/2018

Description : La (double) phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Samen met twee vrienden besloten wij van die toestand gebruik te maken » (« Ensemble avec deux amis, nous avons décidé de faire usage de cette situation / de mettre à profit cette situation »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais. On trouve donc la forme verbale « BEsloten », O.V.T. ou prétérit provenant de l’infinitif « BEsluiten », lui-même construit sur « SLUITEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Dans Ia mesure où la phrase commence par un complément (« Samen met twee vrienden »), ce dernier engendre une INVERSION : le sujet « wij » passant derrière le verbe « besloten ». On aurait en effet aussi pu dire : « Wij besloten samen met twee vrienden (…) ».

Nom : STOND OVT STAAN STILGELEGD VTT STILLEGGEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/02/2018

Description : La triple phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Anonieme brieven waarin stond dat, als de machines niet werden stilgelegd, de arbeiders ‘s nachts zouden binnendringen » (« Des lettres anonymes dans lesquelles se trouvait / figurait que si les machines n’étaient mises à l’arrêt, les ouvriers pénétreraient de nuit … »).
On trouve, dans la phrase principale, la forme verbale « STOND », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « STAAN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
On y trouve, dans la phrase subordonnée (introduite par « ALS »), la forme verbale « gelegd », participe passé provenant de l’infinitif « LEGGEN », verbe considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), qui NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik leg ») se terminant par la consonne « G », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés : préfixe « GE » « LEG » + « D » = « GELEGD ».
Quand « STILleggen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « STIL » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « stilGElegd ».

Nom : BEDREIGD VTT BEDREIGEN WERDEN OVT WORDEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/02/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij (de fabrikanten) werden met (door) anonieme brieven bedreigd » (« Ils furent menacés avec des lettres anonymes »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais. On trouve donc la forme verbale « BEdreigd », participe passé provenant de l’infinitif « BEdreigen » (construit sur la première personne de l’indicatif présent) et NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « BEdreigd » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« met anonieme brieven »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
On y trouve aussi la forme verbale « WERDEN », O.V.T. ou prétérit de « WORDEN », qui fait l’objet aux temps du passé des « temps primitifs ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
La phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : MOESTEN OVT MOETEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/02/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Door de uitvinding van de stoommachine en de nieuwe weefgetouwen moesten duizenden wevers in armoede en ellende leven » (« Par / à cause de l’invention de la machine à vapeur et des nouveaux métiers à tisser, des milliers de tisserands durent vivre dans la pauveté et le malheur »).
On y trouve la forme verbale « MOESTEN », O.V.T. ou prétérit de « MOETEN », qui fait l’objet aux temps du passé des « temps primitifs ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
« MOETEN » est l’auxiliaire de mode de l’OBLIGATION ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière le complément (« in armoede en ellende »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Dans Ia mesure où la phrase commence aussi par un complément (« Door de uitvinding van de stoommachine en de nieuwe weefgetouwen »), ce dernier engendre une INVERSION, le sujet « duizenden wevers » passant derrière le verbe « moesten ».

Nom : WERDEN OVT WORDEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/02/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Door de uitvinding van de stoommachine en de nieuwe weefgetouwen werden duizenden wevers werkloos » (« Par / à cause de l’invention de la machine à vapeur et des nouveaux métiers à tisser, des milliers de tisserands devenaient / devinrent sans travail => chômeurs »).
On y trouve la forme verbale « WERDEN », O.V.T. ou prétérit de « WORDEN », qui fait l’objet aux temps du passé des « temps primitifs ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
La phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
Dans Ia mesure où la phrase commence aussi par un complément (« Door de uitvinding van de stoommachine en de nieuwe weefgetouwen »), ce dernier engendre une INVERSION, le sujet « duizenden wevers » passant derrière le verbe « werden ».
Notez aussi que, en ajoutant le suffixe « -LOOS » (habituellement surtout à un adjectif), on construit son contraire : « werk » (« travail ») + « LOOS » => « werk(e)LOOS » (« SANS travail »).

Nom : WAS OVT ZIJN WOONDE OVT WONEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/02/2018

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Toen ik in Engeland woonde was ik een wever » (« Lorsque j’habitais encore en Angleterre, j’étais tisserand »).
On y trouve, dans la phrase principale, la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers et constitue vraisemblablement le verbe le plus irrégulier de la langue néerlandaise.
C’est logique : plus on utilise un mot, plus la prononciation le déforme au fil du temps …
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Dans Ia mesure où la phrase principale commence par un complément (la phrase subordonnée jouant ce rôle pour elle), ce dernier y engendre une INVERSION : le sujet (de la première phrase) « ik » passant derrière le verbe « was ».
On y trouve aussi, dans la phrase subordonnée relative (introduite par « TOEN », remplaçant « ALS » au passé), la forme verbale « WOONDE », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « WONEN », verbe considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), qui NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik woon ») se terminant par la consonne « N », on trouvera le suffixe « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit : « WOON » + « DE » = « WOONDE ».

Nom : LATEN ACHTER OTT ACHTERLATEN GEBONDEN VTT BINDEN GEKNEVELD VTT KNEVELEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDER - Rajouté le 17/02/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De mannen laten ze (Hilde en Elsje) gebonden en gekneveld achter » (« lls les laissent ligotées et bâillonnées derrière eux »).
On y trouve, d’une part, la forme verbale « laten … ACHTER », provenant du verbe « ACHTERlaten », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « LATEN ». Il y a REJET de la particule séparable « ACHTER », derrière les compléments (« ze », « gebonden » et « gekneveld »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
On y trouve, d’autre part, deux participes passés.
On y trouve notamment la forme verbale « GEBONDEN » provenant de l’infinitif « BINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers et, parmi eux, d’une catégorie importante de verbes irréguliers, celle des « I » donnant des « O » aux temps du passé (O.V.T. et V.T.T.). Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre notamment ces trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
On y trouve par ailleurs la forme verbale « GEKNEVELD » provenant de l’infinitif « KNEVELEN », verbe considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik KNEVEL ») se terminant par la consonne « L », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés : préfixe « GE » « KNEVEL » + « D » = « GEKNEVELD ».

Nom : VERRADEN VTT VERRADEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/02/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Peter) heeft ons verraden » (« Il nous a trahis »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve dans cette phrase la forme verbale « VERraden », participe passé provenant de l’infinitif « VERraden », provenant de « RADEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts », et le participe passé est construit sur l’INFINITIF, lui étant même identique. Consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé : http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « VERraden » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, il y a REJET de son participe passé « VERraden » derrière le complément (« ONS ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZOCHTEN OVT ZOEKEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/02/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We zochten hem (= Bartwright) om hem te straffen » (« Nous le cherchions pour le punir »).
On y trouve notamment la forme verbale « ZOCHTEN », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZOEKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que « POUR » devant les verbes est rendu par un double mot : « OM … TE ». Le complément (« HEM ») s’intercale entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « STRAFFEN ».
Rappelons que le pronom complément aurait été (comme en langue anglaise) différent au féminin : « We zochten haar (= Elsje) om haar te straffen ».

Nom : KWAMEN OVT KOMEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/02/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We kwamen met drie uit Engeland » (« Nous vînmes = sommes venus à trois d’Angleterre »).
On y trouve notamment la forme verbale « KWAMEN », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « KOMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Notez que le « O » de l’infinitif « KOMEN » devient aussi un « A » dans le prétérit anglais (« CAME »).

Nom : LATEN ACHTER OTT ACHTERLATEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/02/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze (Sam en Bill) laten hem (= Joeki) bewusteloos in huis achter » (« lls le laissent inconscient dans la maison derrière eux »).
On y trouve la forme verbale « laten … ACHTER », provenant du verbe « ACHTERlaten », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « LATEN »,
Il y a REJET de la particule séparable « ACHTER », derrière les compléments (« hem », « bewusteloos » et « in huis »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que si la personne à aider avait été féminine (= Elsje), on aurait eu, tout comme en langue anglaise, un autre pronom complément : « Ze laten haar (= Elsje) bewusteloos in huis achter ».
Notez aussi que, en ajoutant le suffixe « -LOOS » à un adjectif, on construit son contraire : « bewust » (« conscient ») + « LOOS » => « bewust(e)LOOS » (« INconscient »)

Nom : VOEREN MEE OTT MEEVOEREN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/02/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze (Sam en Bill) voeren de vrouw en het kind mee » (« Ils emmènent / amènent avec eux la femme et l’enfant »).
On y trouve la forme verbale « voeren … MEE », provenant de l’infinitif « MEEvoeren », lui-même construit sur l’infinitif « VOEREN ».
Quand « MEEvoeren » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « MEE » (issue de la préposition « MET ») de son infinitif proprement dit et il y a REJET de la particule « MEE » derrière le complément (« de vrouw en het kind ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : LAAT LATEN REJET HELPEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/02/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Laat mij hem (= Joeki) helpen » (« Laisse-moi l’aider (lui = un garçon = Joeki) »).
On y trouve notamment la forme verbale « LAAT » qui, à l’IMPERATIF joue le rôle d’un auxiliaire « de mode » et exige le REJET du verbe « HELPEN », derrière les compléments (« mij » et « hem »), à la fin de cette phrase. Voir phénomène du REJET, entre autres, à l’impératif :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

L’apprenant(e) francophone sera donc moins dépaysé(e) s’il / si elle se dit que la tournure néerlandophone à l’IMPERATIF (avec surtout « LATEN WE ») équivaut à « LAISSE / LAISSONS / LAISSEZ ».
Notez, qu’en langue anglaise, il y a un phénomène similaire avec « LET … ».
Notez que si la personne à aider avait été féminine (= Elsje), on aurait eu, tout comme en langue anglaise, un autre pronom complément : « Laat mij haar helpen ».

Nom : NEERGESLAGEN VTT NEERSLAAN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/02/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Joeki) wordt (zonder medelijden) neergeslagen » (« Il est assommé sans pitié »).
On y trouve la forme verbale « NEERgeslagen », participe passé provenant de l’infinitif « NEERslaan », lui-même construit sur l’infinitif « SLAAN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « NEERgeslagen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé (ici à la voix passive, avec WORDEN), cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « NEER » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « neerGEslagen ».
Il y a REJET de la forme verbale du participe passé « NEERgeslagen » à la fin de la phrase, derrière le complément éventuel (« zonder medelijden »). Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MOETEN REJET HEBBEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/02/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We moeten een zekerheid hebben » (« Nous devons avoir une certitude » »).
L’auxiliaire de mode de l’OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière le complément (« een zekerheid »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZOND OVT ZENDEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/02/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Peter) zond dreigbrieven om hem (meneer Bartwright) geld af te persen » (« Il envoyait des lettres de menace pour lui extorquer de l’argent »).
On y trouve la forme verbale « ZOND », O.V.T (prétérit) provenant du verbe « ZENDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que « POUR » devant les verbes est rendu par un double mot : « OM … TE ». Les compléments (« HEM » et « GELD ») et la particule séparable « AF » du verbe « AFpersen » s’intercalent entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « PERSEN ».

Nom : NEERSCHOOT OVT NEERSCHIETEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/02/2018

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het was meneer Bartwright die hem neerschoot » (« Ce fut monsieur Bartwright qui l’abattit »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée relative (introduite par « DIE »), la forme verbale « neerSCHOOT », prétérit (O.V.T.) provenant de l’infinitif « neerSCHIETEN », verbe dit à « particule séparable », lui-même construit sur « SCHIETEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « IE », donne une voyelle « O ». Il faut noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le prétérit « neerSCHOOT » fait, dans une phrase subordonnée, l’objet d’un REJET, derrière le complément (« hem »), à la fin de la phrase. Voir phénomène du REJET, entre autres :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Si la « particule séparable » (ici « neer ») s’était trouvée avec sa forme verbale conjuguée dans une phrase non subordonnée, on aurait également mieux vu son REJET à elle aussi : « Hij (meneer Bartwright) schoot hem (Peter) neer ».

Nom : ZAGEN OVT ZIEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/02/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We zagen het lijk van Peter » (« Nous vîmes = avons vu le cadavre de Peter »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « ZAGEN », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
ATTENTION : Beaucoup d’apprenants croient que la forme verbale « ZAG », provient de l’infinitif « ZEGGEN », également irrégulier à l’O.V.T. …

Nom : GA REJET KIJKEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/02/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik ga in de keuken kijken » (« Je vais aller voir dans la cuisine »).
Le verbe « GAAN » est ici presque utilisé comme un « futur proche » et aide mieux à comprendre comment fonctionne, en langue néerlandaise, l’auxiliaire du FUTUR « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est en effet peut-être plus simple de le comparer à ce « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ». Variante possible : « Ik zal in de keuken kijken ».
Comme au FUTUR, il y a donc ici REJET de l’autre forme verbale (« kijken »), derrière le complément (« in de keuken »), à la fin de la phrase et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : DACHT OVT DENKEN GESLOTEN VTT SLUITEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/02/2018

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik dacht nochtans dat ik ze (= de deur) (had) gesloten had » (« Je pensais pourtant que je l’avais fermée »).
On y trouve, dans la phrase principale, la forme verbale « dacht », O.V.T (prétérit) provenant du verbe « DENKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
On y trouve aussi, dans la phrase subordonnée (introduite par « DAT »), la forme verbale « gesloten », participe passé provenant du verbe «SLUITEN», qui fait également l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Il y a REJET du participe passé, derrière le complément (« ZE »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZAL ZULLEN REJET VERTELLEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/02/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zal ik je ( = jullie) mijn geschiedenis vertellen ? » (« Vous raconterai-je mon histoire ? = Vais-je vous raconter mon histoire ? »)
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (ici « vertellen »), derrière les compléments (« je » et « mijn geschiedenis »), à la fin de la phrase et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : AFGEHAALD VTT AFHALEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/02/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb mijn geld afgehaald » (« Je suis allé chercher => j’ai récupéré mon argent »).
On y trouve la forme verbale « AFgehaald », participe passé provenant de l’infinitif « AFhalen », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « HALEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « L » (« ik speel »), on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire.
Quand « AFhalen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, le préfixe « GE- » (commun à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « afGEhaald ».
Il y a REJET de la forme verbale « AFgehaald » derrière le complément («mijn geld») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KREEG OVT KRIJGEN 2 ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/02/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij kreeg dreigbrieven » (« Il recevait des lettres de menace »).
On y trouve la forme verbale « KREEG », prétérit (ou O.V.T.) provenant de l’infinitif « KRIJGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « IJ », donne une voyelle « E » (double, au singulier). Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : ZONDEN WEG OVT WEGZENDEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 31/01/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We zonden Margaret (= de huisbediende) weg » («Nous avons renvoyé la servante»).
On y trouve la forme verbale « zonden … WEG », O.V.T (prétérit) provenant du verbe « WEGzenden », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « ZENDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Il y a REJET de la particule séparable « WEG » (rendant une notion d’éloignement), derrière le complément (« de huisbediende »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : DRINGT BINNEN OTT BINNENDRINGEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 30/01/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Bartwright) dringt langs de achterzijde het huis binnen » (« ll pénètre dans la maison par l’arrière »).
On y trouve la forme verbale « dringt … BINNEN », provenant du verbe « BINNENdringen », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « DRINGEN »,
Il y a REJET de la particule séparable « BINNEN », derrière les compléments (« langs de achterzijde » et « het huis »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Rappelons que, dans la préposition « BINNEN », ancienne préposition, il y a la préposition «IN». On aurait donc pu dire : « Hij dringt (komt) langs de achterzijde in het huis » ou « Hij dringt (komt) in het huis langs de achterzijde».

Nom : LAAT ACHTER OTT ACHTERLATEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 29/01/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Bartwright) laat zijn auto op de baan achter » (« ll laisse sa voiture derrière sur la route »).
On y trouve la forme verbale « laat … ACHTER », provenant du verbe « ACHTERlaten », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « LATEN »,
Il y a REJET de la particule séparable « ACHTER », derrière les compléments (« zijn auto » et « op de baan »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MOETEN REJET ZIJN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/01/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik moet op mijn hoede zijn » (« Je dois être sur mes gardes » »).
L’auxiliaire de mode de l’OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière le complément (« op mijn hoede »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez l’expression « op zijn hoede zijn ».

Nom : AANGEREDEN VTT AANRIJDEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/01/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Tegen de morgen komt hij (Bartwright), AANgerEden » (« Le matin, il arrive en roulant »).
On y trouve notamment la forme verbale « AANGEREDEN », participe passé provenant de l’infinitif « AANRIJDEN », lui-même construit sur l’infinitif « RIJDEN » qui, comme presque tous les verbes en « IJ », donne aux temps du passé une voyelle « E ». Il est à noter que le participe passé « GEREDEN » se construit sur le PLURIEL du prétérit ou O.V.T. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Dans Ia mesure où la phrase commence par un complément (« Tegen de morgen »), ce dernier engendre une INVERSION : le sujet « hij » passe derrière le verbe « komt ». On aurait en effet aussi pu dire : « Hij komt tegen de morgen aangereden ».

Nom : GEBORGEN VTT BERGEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/01/2018

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik zorg dat het stoffelijk overschot van Peter (door onze diensten) (wordt) geborgen wordt » (« Je veille à ce que la dépouille mortelle de Peter soit mise en sécurité »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée (introduite par « DAT »), la forme verbale « GEBORGEN », participe passé provenant de l’infinitif « BERGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il faut noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GEBORGEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« door onze diensten »), à la fin de la phrase. Voir phénomène du REJET, entre autres :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ». La variante dans une phrase NON subordonnée aurait été :
« Het stoffelijk overschot van Peter wordt door onze diensten geborgen ».

Nom : LATEN REJET BRENGEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/01/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Laat ze (Joeki, Hilde en Elsje) naar huis brengen » (« Laissez-les reconduire à la maison = Faites-les reconduire à la maison »).
On y trouve notamment la forme verbale « LAAT » qui, à la première personne de l’IMPERATIF joue le rôle d’un auxiliaire « de mode » et exige le REJET du verbe « BRENGEN », derrière le complément (« naar de huis »), à la fin de cette phrase. Voir phénomène du REJET, entre autres, à l’impératif :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

L’apprenant(e) francophone sera donc moins dépaysé(e) s’il / si elle se dit que la tournure néerlandophone « LAAT » à l’IMPERATIF équivaut à « LAISSE ». Notez, qu’en langue anglaise, il y a un phénomène similaire avec « LET … ».

© 2018, Bernard GOORDEN, voor de grammatica. Autres exemples à http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=vandersteen

Nom : KAN KUNNEN REJET ZEGGEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/01/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Meer kan ik je (jullie) nog niet zeggen » (« Plus, je ne peux pas encore te dire »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière les compléments (« je » et « nog »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir plutôt l’auxiliaire de mode de la «POSSIBILITE» ou de la « PERMISSION », l’infinitif « MOGEN » :
« Meer mag ik je nog niet zeggen ».
Dans Ia mesure où la phrase commence par un complément («MEER », pour insister), ce dernier engendre une INVERSION : le sujet « ik » passant derrière le verbe « kan ». On aurait en effet aussi pu dire : « Ik kan (mag) je nog niet meer zeggen ».

Nom : ZAL ZULLEN REJET LEIDEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/01/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het getuigenis van Elsje zal me tot de ontknoping leiden » (« Le témoignage de Elsje va me conduire / m’amener au dénouement »)
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale (ici « leiden »), derrière les compléments (« me » et « tot de ontknoping »), à la fin de la phrase et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZOU ZOUDEN REJET KLOPPEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/01/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het zou met het onderzoek kloppen » (« Cela concorderait avec l’enquête »).
L’auxiliaire du CONDITIONNEL est l’infinitif « ZOUDEN », donnant un singulier « ZOU » ; il est, en quelque sorte, l’« imparfait » (O.V.T. ou prétérit) de l’auxiliaire du FUTUR, « ZULLEN ».
Au CONDITIONNEL, il y a normalement REJET de l’autre forme verbale (« kloppen ») à la fin de la phrase, derrière le complément («met het onderzoek »), et donc à l’INFINITIF. Ce n’est parfois pas le cas en langage parlé et il s’agit ici (dans la BD) d’un dialogue, rendu le plus vivant possible. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : WAS OVT ZIJN VUURDE OVT VUREN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/01/2018

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat was de man die vuurde » (« C’était l’homme qui fit feu»).
On y trouve, dans la phrase principale, la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers et constitue vraisemblablement le verbe le plus irrégulier de la langue néerlandaise.
C’est logique : plus on utilise un mot, plus la prononciation le déforme au fil du temps …
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Notez qu’il ne pourrait, en aucun cas, s’agir d’une forme verbale à l’O.T.T. (ou « présent ») provenant de l’infinitif « WASSEN », « DAT » (sujet) exigeant une terminaison « T » d’une deuxième personne du singulier.
On y trouve aussi, dans la phrase subordonnée relative (introduite par « DIE », car on a « DE man »), la forme verbale « VUURDE », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « VUREN », verbe considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), qui NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik vuur ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le suffixe « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit : « VUUR » + « DE » = « VUURDE ».

Nom : FRIST OP OTT OPFRISSEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/01/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Misschien frist dat je (jouw) geheugen op » (« Peut-être cela te rafraîchit-il / Peut-être cela te rafraîchira-t-il la mémoire »).
On y trouve la forme verbale « frist … OP », provenant de l’infinitif « OPfrissen », lui-même construit sur l’infinitif « FRISSEN ».
Quand « OPfrissen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit et il y a REJET de la particule « OP » derrière le(s) complément(s) (« jouw geheugen ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Dans Ia mesure où la phrase commence par un complément (« Misschien »), ce dernier engendre une INVERSION : le sujet « dat » passant derrière le verbe « frist ». On aurait en effet aussi pu dire : « Dat frist misschien je (jouw) geheugen op ».

Nom : KREEG OVT KRIJGEN TOEGESTUURD VTT TOESTUREN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/01/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik kreeg een foto (uit Engeland) toegestuurd uit Engeland » (« Je reçus = j’ai reçu d’Angleterre une photo »).
On y trouve la forme verbale « KREEG », prétérit (ou O.V.T.) provenant de l’infinitif « KRIJGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « IJ », donne une voyelle « E » (double, au singulier). Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
On y trouve aussi le participe passé « toegestuurd » (utilisé ici comme adjectif), provenant de l’infinitif « TOESTUREN », lui-même construit sur le verbe « STUREN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais, est considéré comme « régulier » aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik stuur ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés : préfixe « GE » « STUUR » + « D » = « GESTUURD ».
Quand « TOESTUREN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TOE » (provenant de la préposition « TOT ») de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « toegestuurd ».

Nom : GEDROOMD VTT DROMEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/01/2018

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het is alsof ik (alles) gedroomd heb » (« C’est comme si j’ai tout rêvé »).
On y trouve, dans la phrase subordonnée (introduite par « ALSOF »), la forme verbale « gedroomd », participe passé provenant de l’infinitif « DROMEN ». Ce verbe « DROMEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik droom ») se terminant par la consonne « M », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés : préfixe « GE » « DROOM » + « D » = « GEDROOMD ».
Quand « DROMEN » est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « gedroomd » derrière le complément éventuel (« alles ») à la fin de la phrase, tout comme l’auxiliaire dans une phrase subordonnée. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZOU ZOUDEN REJET HERKENNEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/01/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zou je hem herkennen ? » (« Le reconnaîtrais-tu ? »).
L’auxiliaire du CONDITIONNEL est l’infinitif « ZOUDEN », donnant un singulier « ZOU » ; il est, en quelque sorte, l’« imparfait » (O.V.T. ou prétérit) de l’auxiliaire du FUTUR, « ZULLEN ».
Au CONDITIONNEL, il y a REJET de l’autre forme verbale (« herkennen ») à la fin de la phrase, derrière le complément (« hem »), et donc à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Rappelons aussi que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
Pour l’infinitif « HERkennen », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts », on aurait donc eu, au participe passé, la forme verbale « HERkend » et celui-ci aurait, lui aussi, fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« HEM »), à la fin de la phrase.
Elsje aurait ainsi pu répondre : « Ik heb hem (niet) herkend ».

Nom : GEZIEN VTT ZIEN 3 ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/01/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zouden de elfjes de man met het pistool (hebben) gezien hebben ? » (« Les petits elfes auraient-ils vu l’homme avec le pistolet ? »).
L’auxiliaire du CONDITIONNEL est l’infinitif « ZOUDEN », donnant un singulier « ZOU » ; il est, en quelque sorte, l’« imparfait » (O.V.T. ou prétérit) de l’auxiliaire du FUTUR, « ZULLEN ».
Au CONDITIONNEL, il y a REJET de l’autre forme verbale (« hebben ») à la fin de la phrase, derrière le(s) complément(s) (« de man met het pistool »), et donc à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs:
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
On y trouve aussila forme verbale « geZIEN », participe passé provenant de l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’INFINITIF. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait donc, lui certainement, l’objet d’un REJET, derrière le complément (« de man met het pistool »), à la fin de la phrase.

Nom : SPEELT MEE OTT MEESPELEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/01/2018

Description : La (double) phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Iedereen speelt (het spel) mee om haar niet onnodig te kwellen » (« Tout le monde joue avec => joue le jeu pour ne pas la tourmenter inutilement »).
On y trouve la forme verbale « speelt … MEE », provenant de l’infinitif « MEEspelen », lui-même construit sur l’infinitif « SPELEN ».
Quand « MEEspelen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « MEE » (issue de la préposition « MET ») de son infinitif proprement dit et il y a REJET de la particule « MEE » derrière le complément éventuel (« het spel ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Rappelons que « POUR » devant les verbes est rendu par un double mot : « OM … TE ». Les compléments (« HAAR » et « onnodig ») de la deuxième phrase (subordonnée infinitive), s’intercalent entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « KWELLEN ».

Nom : GESCHOKT VTT SCHOKKEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/01/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De dood van haar vader heeft haar zodanig geschokt » (« La mort de son père l’a relativement choquée / perturbée »).
On y trouve la forme verbale « geschokt », participe passé provenant de l’infinitif « SCHOKKEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T.) se terminant par la consonne « K », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Quand « SCHOKKEN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, il y a REJET de son participe passé « geschokt derrière les compléments (« haar » et « zodanig ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KUNNEN KAN REJET SPREKEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/01/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Kan ik je even alleen spreken ? » (« Puis-je un peu te parler seul à seul ? »).
L’auxiliaire de mode de la « CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière les compléments (« je », « even » et (« alleen »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on aurait dû avoir plutôt l’auxiliaire de mode de la «POSSIBILITE» ou de la « PERMISSION », l’infinitif « MOGEN » : « Mag ik je even alleen spreken ? »

Nom : STOND OVT STAAN 3 ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/01/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Toen stond de elfenjager terug op zijn plaats » (« Alors le chasseur d’elfes se trouva de retour => se retrouva à sa place »).
On y trouve la forme verbale « STOND », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « STAAN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
On aurait pu avoir une variante de la phrase avec un verbe « TERUGSTAAN » à « particule séparable ». Dans ce cas, il y aurait REJET de la particule « TERUG », se séparant donc de son infinitif proprement dit, derrière les compléments (« toen » et « op zijn plaats »), à la fin de la phrase : « De elfenjager stond toen op zijn plaats terug ». Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Ne perdons pas de vue que, dans Ia mesure où la phrase de la BD commençait par le complément (« Toen »), ce dernier a engendré une INVERSION : le sujet « de elfenjager » passant derrière le verbe « stond ».

Nom : VERDWENEN VTT VERDWIJNEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/01/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Toen verdwenen de elfjes » (« Alors disparurent les elfes »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERDWENEN », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « VERDWIJNEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers et, parmi eux, d’une catégorie importante de verbes irréguliers, celle des « IJ » donnant des « E » aux temps du passé (O.V.T. et V.T.T.).
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre notamment ces trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Dans Ia mesure où la phrase commence par un complément (« Toen »), celui-ci engendre une INVERSION, le sujet « de elfjes » passant derrière le verbe « verdwenen ». On aurait en effet pu avoir : « De elfjes verdwenen toen ».

Nom : KLONK OVT KLINKEN 2 ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/01/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Toen klonk het schot » (« Alors retentit le coup de feu »).
On y trouve notamment la forme verbale « KLONK », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « KLINKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers et, parmi eux, d’une catégorie importante de verbes irréguliers, celle des « I » donnant des « O » aux temps du passé (O.V.T. et V.T.T.).
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre notamment ces trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Dans Ia mesure où la phrase commence par un complément (« Toen »), celui-ci engendre une INVERSION, le sujet « het schot » passant derrière le verbe « klonk ». On aurait en effet pu avoir : « Het schot klonk toen ».

Nom : AFGESPEELD VTT AFSPELEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/01/2018

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Els, als enige getuige, vertelt (zij = Els) wat er zich (daar) heeft afgespeeld » (« Els, en tant que seul témoin, raconte ce qui a été joué / quel drame a été joué => ce qui s’est passé »).
On y trouve, dans la phrase subordonnée (introduite par « WAT »), la forme verbale « AFgespeeld », participe passé provenant de l’infinitif « AFspelen », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « SPELEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « L » (« ik speel »), on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire.
Quand « AFspelen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « afGEspeeld ».
Il y a REJET de la forme verbale « AFgespeeld » derrière le complément éventuel (« daar ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que si, en langue néerlandaise, on trouve le pronom sujet « ER », suivi de n’importe quel verbe, c’est que l’on a affaire à l’expression « IL Y A ».
On trouve, en langue française, dans l’expression « IL Y A » le verbe « AVOIR ». En langues néerlandaise ET anglaise, on trouve habituellement le verbe « être » = « ZIJN »).

Nom : GEBEURD VTT GEBEUREN 2 ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/01/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wat is hier gebeurd ? » (« Qu’est-il arrivé ici ? »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve la forme verbale « GEBEURD », participe passé provenant de l’infinitif « GEBEUREN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et est construit sur le RADICAL ou première personne du singulier de l’indicatif présent.
Le participe passé « GEBEURD » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« hier »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : STOND OVT STAAN 2 ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/01/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een (man) stond daar bij het (stand)beeld van de elfenjager » (« Un homme se trouvait près de la statue du chasseur d’elfes »).
On y trouve la forme verbale « STOND », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « STAAN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Notez que « het beeld » est, en principe, « l’image ». On aurait dû (pu) trouver « het standbeeld » ; une statue, est donc une «image DEBOUT». Voyez nos « REBUS » (à télécharger gratuitement), mal nommés, aidant mieux les jeunes apprenants à s’imprégner de la façon de construire les mots composés en langue néerlandaise :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=ndlsEnfants&smod=rebus

Nom : ZULLEN ZAL REJET UITZOEKEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/01/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat zal ik (hier) uitzoeken » (« Je vais enquêter = j’enquêterai à ce sujet »)
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale à la fin de la phrase, derrière le complément éventuel (« hier »), et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Dans Ia mesure où la phrase commence par un complément (« DAT », pour insister), ce dernier engendre une INVERSION : le sujet « ik » passant derrière le verbe « zal ». On aurait en effet aussi pu dire : « Ik zal dat uitzoeken ».

Nom : DOODGESCHOTEN VTT DOODSCHIETEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/01/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij werd (door een schot) doodgeschoten » (« Il a été tué d’un coup de feu »).
On y trouve notamment la forme verbale « doodGESCHOTEN », participe passé provenant de l’infinitif « doodSCHIETEN », verbe dit à « particule séparable », lui-même construit sur « SCHIETEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « IE », donne une voyelle « O ». Il faut noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « doodGESCHOTEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« door een schot »), à la fin de la phrase. Voir phénomène du REJET, entre autres :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Si le sujet et le verbe n’avaient pas été sous-entendus ici, cette phrase aurait été à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » (ici « WERD ») devait être utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ». Si la « particule séparable » (ici « dood », un adjectif) s’était trouvée avec sa forme verbale conjuguée dans une phrase à un temps non composé (O.T.T. ou O.V.T.), on aurait mieux vu son REJET : « Een schot schoot hem dood » (O.V.T.) ou « Een schot schiet hem dood » (O.T.T.).

Nom : HERKEND VTT HERKENNEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/01/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Heb je hen (de twee mannen) herkend ? » (« Les as-tu reconnus ? »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve donc la forme verbale « HERkend », participe passé provenant de l’infinitif « HERkennen », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « HERkend » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« HEN »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KLONK OVT KLINKEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/01/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Er klonk een schot » (« Il retentit un coup de feu = un coup de feu retentit »).
On y trouve notamment la forme verbale « KLONK », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « KLINKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers et, parmi eux, d’une catégorie importante de verbes irréguliers, celle des « I » donnant des « O » aux temps du passé (O.V.T. et V.T.T.).
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre notamment ces trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Notez que si, en langue néerlandaise, on trouve le pronom sujet « ER », suivi de n’importe quel verbe, c’est que l’on a affaire à l’expression « IL Y A ».
On trouve, en langue française, dans l’expression « IL Y A » le verbe « AVOIR ». En langues néerlandaise ET anglaise, on trouve habituellement le verbe « être » = « ZIJN »).

Nom : ZAG OVT ZIEN 5 ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/01/2018

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Toen de elfenjager hen (de elfjes) achtervolgde, zag ik twee mannen » (« Quand le chasseur d’elfes les poursuivait, je vis deux hommes »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « ZAG », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
ATTENTION : Beaucoup d’apprenants croient que la forme verbale « ZAG », provient de l’infinitif « ZEGGEN », également irrégulier à l’O.V.T. …
Dans Ia mesure où la phrase subordonnée (« Toen de elfenjager hen achtervolgde ») joue le rôle d’un complément et que la phrase principale commence donc par un complément, ce dernier engendre une INVERSION (comme dans une phrase interrogative) et le sujet « ik » passe derrière le verbe « zag ». On aurait en effet aussi pu dire : « Ik zag twee mannen toen de elfenjager hen achtervolgde ».

Nom : GEWEKT VTT WEKKEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/01/2018

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het schot heeft haar (Hilde) gewekt » (« Le coup de feu l’a réveillée »).
On y trouve la forme verbale « gewekt », participe passé provenant de l’infinitif « WEKKEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T.) se terminant par la consonne « K », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Quand « WEKKEN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, il y a REJET de son participe passé « gewekt derrière le complément (« haar ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : INVERSION 02 ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 31/12/2017

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Als bij tover(stok)slag verdwijnen de elfjes en (als bij toverslag) staat de bosgeest terug op zijn sokkel » (« Comme par un coup de baguette magique = comme par magie, les petits elfes disparaissent et l’esprit des bois se retrouve sur son socle »).
Dans Ia mesure où la double phrase commence par un complément commun (« Als bij toverslag »), ce dernier engendre une (double) INVERSION : le sujet (de la première phrase) « de elfjes » passant derrière le verbe « verdwijnen ». On aurait en effet aussi pu dire : « De elfjes verdwijnen als bij toverslag ».
Le sujet (de la seconde phrase) « de bosgeest » passe, lui, derrière le verbe « staat ». On aurait en effet aussi pu dire : « De bosgeest staat terug op zijn sokkel als bij toverslag ».
Notez que si on considère que l’on a affaire au verbe « TERUGgaan », dit « à particule séparable », cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERUG » de son infinitif proprement dit mais la particule «TERUG» est affectée par un REJET, derrière les compléments (« op zijn sokkel » et «als bij toverslag »), à la fin de la phrase : « De bosgeest staat op zijn sokkel als bij toverslag terug ».

Nom : DUIKT OP OTT OPDUIKEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 30/12/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Vanuit de struiken duikt plots(eling)nog een man op » (« Des buissons émerge soudain encore un homme => un autre homme »).
On y trouve la forme verbale « duikt … OP », provenant de l’infinitif « OPduiken », lui-même construit sur l’infinitif « DUIKEN ».
Quand « OPduiken » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit et il y a REJET de la particule « OP » derrière les compléments (« plots » et «nog ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Dans Ia mesure où la phrase commence par un complément (« Vanuit de struiken »), ce dernier engendre une INVERSION : le sujet « een man » passant derrière le verbe « duikt ». On aurait en effet aussi pu dire : « Een man duikt plots(eling) nog vanuit de struiken op ».

Nom : INVERSION 01 ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 29/12/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Op dat ogenblik rent een man naar het duin » (« A ce moment, un homme court vers la dune »).
Dans Ia mesure où la phrase commence par un complément (« Op dat ogenblik »), ce dernier engendre une INVERSION : le sujet « een man » passant derrière le verbe « rent ». On aurait en effet aussi pu dire : « Een man rent op dat ogenblik naar het duin ».

Nom : KWAM OVT KOMEN 4 ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/12/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De bosgeest kwam van zijn sokkel » (« L’esprit des bois vint = est venu de son socle => a quitté son socle »).
On y trouve notamment la forme verbale « KWAM », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « KOMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Notez l’expression « jagen OP », pour sa préposition.
Dans le texte de la grande image, on trouve « hou OP », provenant de l’infinitif « OPhouden », où l’ancienne préposition « OP » est devenue une particule séparable.

Nom : VERZWEEG OVT VERZWIJGEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/12/2017

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij verzweeg ons dat hij (werd) afgeperst werd » (« Il s’est tu => nous a caché qu’il était pressuré => faisait l’objet d’un chantage »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERZWEEG » (O.V.T. ou « prétérit »), provenant de l’infinitif « VERZWIJGEN », venant lui-même de « ZWIJGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
On y trouve aussi, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « AFgeperst », participe passé provenant de l’infinitif « AFpersen », lui-même construit sur l’infinitif « PERSEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « S », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Quand « AFpersen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « afGEperst ».
Il y a REJET de la forme verbale « AFgeperst » derrière le complément éventuel (« door iemand ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » (ici au prétérit) est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : ZULLEN ZAL REJET VERJAGEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/12/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik zal ze (de ratten) verjagen » (« Je vais les chasser = je les chasserai »)
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale à la fin de la phrase, derrière le complément (« ZE »), et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZULLEN ZAL REJET ZIJN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/12/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik zal zeer laat terug zijn » (« Je vais être = je serai de retour très tard »)
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale à la fin de la phrase, derrière les compléments (« zeer laat » et « terug »), et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : BRAK OVT BREKEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/12/2017

Description : La (double) phrase suivante est grammaticalement intéressante : « In mijn haast om het raam te openen brak ik de ruit » (« Dans ma hâte pour ouvrir la fenêtre, j’ai brisé la vitre »).
On y trouve la forme verbale « BRAK », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « BREKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Dans Ia mesure où la phrase commence par un complément (« In mijn haast om het raam te openen »), ce dernier engendre une INVERSION (comme dans une phrase interrogative) le sujet « ik » passe derrière le verbe « brak ». On aurait en effet aussi pu dire : « Ik brak de ruit in mijn haast om het raam te openen».
Rappelons que « POUR » devant les verbes est rendu par un double mot : « OM … TE ». Le complément « HET RAAM » s’intercale entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif (« OPENEN »).

Nom : HOORDE OVT HOREN 3 ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/12/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik hoorde een schot »(« J’entendis = j’ai entendu un coup de fusil »).
Ce verbe « HOREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik hoor ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit : « HOOR » + « DE » = « HOORDE ».

Nom : GEHOORD VTT HOREN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/12/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wij hebben gerinkel gehoord » (« Nous avons entendu un cliquetis => un bruit de verre brisé »).
On y trouve la forme verbale « gehoord », participe passé provenant de l’infinitif « HOREN ». Ce verbe « HOREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) aux temps du passé (O.V.T. ou V.T.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik hoor ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés : préfixe « GE » « HOOR » + « D » = « GEHOORD ».
Quand « HOREN » est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « gehoord » derrière le complément (« gerinkel ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GESCHOTEN VTT SCHIETEN 3 ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/12/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Heb je daarom geschoten ? » (« As-tu tiré pour cela ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « GESCHOTEN », participe passé provenant de l’infinitif « SCHIETEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « IE », donne une voyelle « O ».
Il faut noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GESCHOTEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« daarom »), à la fin de la phrase. Voir phénomène du REJET, entre autres :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : HOORDE OVT HOREN 2 ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/12/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik hoorde gerinkel van glas achter het huis » (« J’entendis = j’ai entendu un cliquetis de verre derrière la maison »).
Ce verbe « HOREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik hoor ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit : « HOOR » + « DE » = « HOORDE ».

Nom : MOETEN REJET HOUDEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/12/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De reden moet ik voorlopig geheim houden » (« La raison, je dois provisoirement la tenir secrète » »).
L’auxiliaire de mode de l’OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière les compléments (« voorlopig » et « geheim »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« De reden », placé ici en évidence pour insister, comme en langue française), cela entraîne une INVERSION du sujet « ik » passant derrière son verbe « moet ».

Nom : KON OVT KUNNEN REJET WETEN SLOOP OVT SLUIPEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/12/2017

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hoe kon ik (dus) weten dat jij hier rondsloop ? » (« Comment pouvais-je savoir que tu rôdais ici autour ? »)
L’auxiliaire de mode de la CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN » et un O.V.T. (ou prétérit) « KON ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière le complément éventuel (« dus »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
« KUNNEN fait donc l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers, au moins à l’O.V.T. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Dans la phrase subordonnée (introduite par « DAT »), on trouve la forme verbale « RONDsloop », prétérit (O.V.T.) provenant de l’infinitif « RONDsluipen », lui-même construit sur l’infinitif « SLUIPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : ZULLEN ZAL REJET ZITTEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/12/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik zal de eerste dagen niet kunnen (mogen) zitten » (« Je ne vais pas pouvoir = je ne pourrai pas m’asseoir les premiers jours »)
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale à la fin de la phrase, derrière le complément (« de eerste dagen »), et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KREEG OVT KRIJGEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/12/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik kreeg een lading hagel in de billen » (« Je reçus / j’ai reçu un chargement de plombs = une décharge de chevrotines dans les fesses »).
On y trouve la forme verbale « KREEG », prétérit (ou O.V.T.) provenant de l’infinitif « KRIJGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « IJ », donne une voyelle « E » (double, au singulier). Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : VERWOND VTT VERWONDEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/12/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Heb ik je verwond ? (« Est-ce que je t’ai blessé ? = T’ai-je blessé ? »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve donc la forme verbale « VERwond », participe passé provenant de l’infinitif « VERwonden », qui est donc identique à son radical (première personne du présent) et NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « VERwond » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« JE »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GERAAKT VTT RAKEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/12/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb iemand geraakt » (« J’ai touché quelqu’un »).
On y trouve la forme verbale « geraakt », participe passé provenant de l’infinitif « RAKEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ou O.T.T.) se terminant par la consonne « K », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Quand « RAKEN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, il y a REJET de son participe passé « geraakt derrière le complément (« iemand ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : HOORDE OVT HOREN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/12/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik hoorde een kreet » (« J’entendis = j’ai entendu un cri »).
Ce verbe « HOREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au prétérit (ou O.V.T.), NE fait PAS partie de la minorité des verbes irréguliers (faisant l’objet des « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent, « Ik hoor ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « DE » majoritaire comme terminaison du prétérit : « HOOR » + « DE » = « HOORDE ».

Nom : GEBONDEN VTT BINDEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/12/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een steen waaraan een briefje (is) gebonden is » (« Une pierre à laquelle est attachée une petite lettre = Une pierre à laquelle est attaché un petit mot »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEBONDEN », participe passé provenant de l’infinitif « BINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « I », donne une voyelle « O » pour les temps du passé.
Ce participe passé « GEBONDEN » est construit sur le PLURIEL du prétérit (ou O.V.T.) Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Si on avait eu la variante suivante de la phrase, « Een briefje is aan een steen gebonden », on aurait mieux vu que le participe passé « GEBONDEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« aan een steen »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’adverbe pronominal « waaraan » provient de « aan wat ».

Nom : GEGOOID VTT GOOIEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/12/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Aan de achtergevel wordt een steen (…) naar het huis gegooid » (« A la façade arrière, une pierre est jetée vers la maison »).
On y trouve la forme verbale «gegooid », participe passé provenant de l’infinitif « GOOIEN ». Ce verbe « GOOIEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au participe passé et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la voyelle « I », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison des participes passés.
Quand « GOOIEN » est conjugué au passé composé, il y a REJET de son participe passé « gegooid » derrière le complément (« naar het huis ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Aan de achtergevel »), cela entraîne une INVERSION du sujet « een steen » passant derrière son verbe « wordt ».
Cette phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : TREKT OP OPTREKKEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/12/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Enkele dagen later trekt hij (Robert) ’s nachts (= vannacht / in de nacht) de wacht op ! » (« Quelques jours plus tard, il montait la garde de nuit »).
On y trouve la forme verbale « trekt … OP », provenant de l’infinitif « OPtrekken », lui-même construit sur l’infinitif « TREKKEN ».
Quand « OPtrekken » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit et il y a REJET de la particule « OP » derrière les compléments («’s nachts » et « de wacht ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Enkele dagen later »), cela entraîne une INVERSION du sujet « hij » (= Robert) passant derrière son verbe « trekt ».

Nom : SLAAT GADE GADESLAAN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/12/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « In het dorp slaat hij (nummer 17) aandachtig het gedrag (…) gade ! » (« Dans le village il observe attentivement le comportement … »).
On y trouve la forme verbale « slaat … gade », provenant de l’infinitif « gadeslaan », lui-même construit sur l’infinitif « SLAAN ».
Quand « gadeslaan » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « gade » de son infinitif proprement dit et il y a REJET de la particule « gade » derrière le complément («het gedrag») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« In het dorp »), cela entraîne une INVERSION du sujet « hij » (= nummer 17) passant derrière son verbe « slaat ».

Nom : HAD OVT HEBBEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/12/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We hadden een ongeval met speurder 17 » (« Nous eûmes = avons eu un accident avec l’enquêteur numéro 17 »).
On y trouve notamment la forme verbale « HADDEN », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « HEBBEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : GEZIEN VTT ZIEN 2 ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/12/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « (Hebben jullie) niemand gezien ? » (« N’avez-vous vu personne ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « geZIEN », participe passé provenant de l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’INFINITIF.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « niemand »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Notez que l’on construit le contraire de « iemand » (« quelqu’un » = « une personne ») en ajoutant au début du mot la lettre « N » de la négation (PAS « une personne ») => « niemand ».

Nom : RIJ IN INRIJDEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/12/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Rij(d) het bos in ! » (« Roule à l’intérieur du bois ! »).
On y trouve la forme verbale « Rij … IN », impératif provenant de l’infinitif « INrijden », lui-même construit sur l’infinitif « RIJDEN ».
Quand « INrijden » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « IN » de son infinitif proprement dit et il y a REJET de la particule « IN » derrière le complément (« het bos ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Signalons que le verbe « RIJDEN » (comme « HOUDEN ») a tendance à perdre la consonne terminale « D » au singulier (surtout première personne) tant de l’indicatif présent (O.T.T.) que de l’impératif (qui est construit sur lui).

Nom : MOETEN REJET ZIEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/12/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Jullie moeten de dader nog zien » (« Vous devez encore voir le malfaiteur »).
L’auxiliaire de mode de l’OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, « zien », derrière les compléments (« de dader » et « nog »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : BESPIED VTT BESPIEDEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/12/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik werd (door iemand) bespied » (« J’étais espionné … par quelqu’un »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve donc la forme verbale « BEspied », participe passé provenant de l’infinitif « BEspieden », qui lui est donc identique et NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « BEspied » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« door iemand »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
On y trouve encore la forme verbale « WERD », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « WORDEN », qui fait aussi l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Cette phrase est donc à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » (ici « WERD ») est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : GESCHOTEN VTT SCHIETEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/12/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Toen heb ik in de lucht geschoten » (« Alors j’ai tiré en l’air »).
On y trouve notamment la forme verbale « GESCHOTEN », participe passé provenant de l’infinitif « SCHIETEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « IE », donne une voyelle « O ».
Il faut noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GESCHOTEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« in de lucht »), à la fin de la phrase. Voir phénomène du REJET, entre autres :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément (« Toen »), cela entraîne une INVERSION du sujet « ik », passant derrière son verbe « heb ».

Nom : GEDAAN VTT DOEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/12/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb verkeerd gedaan » (« J’ai fait fausse route = j’ai mal agi »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEDAAN », participe passé provenant de l’infinitif « DOEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GEDAAN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« VERKEERD »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEROEPEN VTT ROEPEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/12/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb hem nog TERUGgeroepen » (« Je l’ai encore rappelé »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEROEPEN », participe passé provenant de l’infinitif « ROEPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Cette forme verbale est, comme on le voit, construite sur l’INFINITIF. Pour complément d’informations, consultez notamment notre tableau de synthèse « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « TERUGroepen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERUG » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « terugGEroepen ».
N’oublions pas que la forme verbale du participe passé fait, en principe, l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« hem » et « nog »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : REED OVT RIJDEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 30/11/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij reed naar het ven paard » (« Il roulait / partait à cheval vers le marais »).
On y trouve la forme verbale « REED … paard », participe passé provenant de l’infinitif « paardRIJDEN », lui-même construit sur l’infinitif « RIJDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « IJ », donne une voyelle « E » (double, au singulier). Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « paardRIJDEN » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « PAARD » (non écrite ici) de son infinitif proprement dit, et il y a REJET de la particule « PAARD », derrière le complément («naar het ven »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : STOND OVT STAAN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 29/11/2017

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Weet je wat op het briefje (=> erop) stond ? » (« Sais-tu ce qui se trouvait sur le petit mot ? »).
On trouve, dans la phrase subordonnée (introduite par « WAT »), la forme verbale « STOND », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « STAAN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que, dans une phrase subordonnée, la forme verbale fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« op het briefje » ou «erop»), à la fin de la phrase (subordonnée). Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : WILDE OVT WILLEN REJET BESPAREN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/11/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik wilde mijnheer die akelige grap besparen » (« Je voulais épargner cette sinistre farce à monsieur »).
L’auxiliaire de mode de la VOLONTE » est l’infinitif « WILLEN » (donnant WILDE, au prétérit ou O.V.T.). Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « MOGEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière les compléments (« mijnheer » et « die akelige grap »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Ce verbe « WILLEN » évolue vers un verbe « régulier ». Comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs » sauf, parfois, encore au prétérit : « WOU » au lieu de « WILDE ». On aurait, en effet, pu trouver la variante suivante : « Ik wou mijnheer die akelige grap besparen ».

Nom : NAM OVT NEMEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/11/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik nam het weg » (« Je le pris = l’ai pris / retiré »).
On y trouve la forme verbale « nam … WEG », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif «WEGnemen», lui-même construit sur l’infinitif « NEMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « WEGnemen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « WEG » de son infinitif proprement dit, et il y a REJET de la particule « WEG », derrière le complément («HET»), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEVONDEN VTT VINDEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/11/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Joeki) heeft dit in de vuilnisemmer gevonden » (« Il a trouvé ceci dans la poubelle »).
Y figure notamment la forme verbale « GEVONDEN », participe passé provenant de l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « I », donne une voyelle « O » pour les temps du passé.
Ce participe passé « GEVONDEN » est construit sur le PLURIEL du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GEVONDEN » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« dit » et (« in de vuilnisemmer »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VOND OVT VINDEN 2 ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/11/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Waar vond je dat ? » (« Où trouvas-tu = où as-tu trouvé cela ?»).
On y découvre la forme verbale « VOND », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « I », donne une voyelle « O » pour les temps du passé. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : ZULLEN ZAL REJET LEREN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/11/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat zal jullie leren mij er buiten te houden » (« Cela va vous apprendre à me laisser en dehors »)
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale à la fin de la phrase, derrière le complément (« jullie »), et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
On y trouve aussi « BUITENhouden » qui peut être un verbe dit à « particule séparable ». Quand il est « conjugué », cela entraîne alors en néerlandais une séparation de la particule « BUITEN » (qui provient de la préposition « BUITEN », venant elle-même de la préposition « UIT ») de son infinitif proprement dit. On le voit mieux dans la variante suivante : « Jullie wilden mij buitenhouden ».

Nom : KWAM OVT KOMEN 3 ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/11/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Toch kwam die kerel dat mes halen » (« Et pourtant ce type est venu rechercher ce couteau »).
On y trouve notamment la forme verbale « KWAM », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « KOMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
La phrase commençant par un complément (« toch »), cela entraîne une INVERSION du sujet « die kerel » passant derrière son verbe « kwam ».

Nom : KON OVT KUNNEN REJET TERUGKOMEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/11/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Jij kon elk ogenblik terugkomen » (« Tu pouvais revenir à tout moment »).
L’auxiliaire de mode de la CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN » et un O.V.T. (ou prétérit) « KON ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière le complément éventuel (« elk ogenblik »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
« KUNNEN fait donc l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers, au moins à l’O.V.T. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : ZAG OVT ZIEN 4 ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/11/2017

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij zag dat jullie de wacht hielden » (« Il vit = il a vu que vous teniez = montiez la garde »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « ZAG », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
On y trouve également, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « HIELDEN », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « HOUDEN » qui, lui aussi, fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
ATTENTION : Beaucoup d’apprenants croient que la forme verbale « ZAG », provient de l’infinitif « ZEGGEN », également irrégulier à l’O.V.T. …

Nom : WILLEN REJET MEEMAKEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/11/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Daar wil ik (als vreemdeling) liever niets met / mee te maken » (« En tant qu’étranger, je préfère n’avoir rien avoir à faire avec cela »).
L’auxiliaire de mode de la VOLONTE » est l’infinitif « WILLEN » (donnant WILDE, au prétérit ou O.V.T.). Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « MOGEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière le complément (« niets »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Rappelons que, dans le cas d’un verbe dit « à particule séparable » (ici « meemaken»), la particule est séparée de son infinitif et fait aussi l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « ons »), à la fin de la phrase. On le verra mieux dans cette variante de la phrase « Ik wil (als vreemdeling) daarmee liever niets meemaken » sans l’auxiliaire de mode « WILLEN » : « Ik maak (als vreemdeling) daarmee liever niets mee ».
Notez que « mee », apparaissant alors dans 2 rôles, provient de l’ancienne préposition « MET», dont le « T» est devenu un deuxième « E ». En tant que « adverbe pronominal », « MET dat » est lui devenu « daarmee ».

Nom : VOND OVT VINDEN 1 ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/11/2017

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Toen ik je niet vond, wekte ik iedereen » (« Lorsque je ne te trouvai pas, je réveillai chacun = tout le monde »).
On y découvre, dans la phrase subordonnée (introduite par « TOEN »), la forme verbale « VOND », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « I », donne une voyelle « O » pour les temps du passé. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé : http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Notez que les phrases subordonnées de TEMPS sont, au passé, introduites par « TOEN » au lieu de « ALS ».
La phrase subordonnée (introduite par « TOEN ») jouant pour la phrase principale le rôle d’un complément, cela entraîne dans cette dernière une INVERSION du sujet « IK » passant derrière son verbe « wekte ».
Il est à noter que, dans une phrase subordonnée, le verbe (« vond ») fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« JE »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KWAM OVT KOMEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/11/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Daarbij kwam die grappenmaker vermoedelijk zijn mes en het briefje terughalen» (« Cela dit, ce farceur vint = est venu probablement rechercher son couteau et la petite lettre = le petit mot »).
On y trouve notamment la forme verbale « KWAM », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « KOMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Rappelons qu’un nom de « métier » masculin se construit facilement sur l’infinitif, où l’on remplace tout simplement la terminaison « N » par un « R » : « makeN » => « makeR ».

Nom : OM TE WAARSCHUWEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/11/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het is tijd om de politie te waarschuwen » (« Il est temps de prévenir la police »).

On remarquera la façon de rendre « POUR » avec un infinitif, le complément (« de politie ») se plaçant au milieu des deux parties de « OM …TE » et le(s) verbe(s) faisant l’objet d’un REJET à la fin de la phase. Voir phénomène du REJET :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : LATEN WE REJET KIJKEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/11/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Laten we (naar de deur) kijken » (« Laissons-nous voir la porte = Allons voir la porte »).
On y trouve notamment « LATEN » qui, à la première personne du PLURIEL de l’IMPERATIF (« LATEN WE … »), joue le rôle d’un auxiliaire « de mode » et exige le REJET du verbe « GAAN », derrière le complément éventuel (« naar de deur »), à la fin de cette phrase. Voir phénomène du REJET, entre autres, à l’impératif :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

L’apprenant(e) francophone sera moins dépaysé(e) s’il / si elle se dit que la tournure néerlandophone « LATEN WE … » équivaut à « LAISSONS-NOUS … ». Notez, qu’en langue anglaise, il y a un phénomène similaire avec « LET US … ».

Nom : GEZIEN VTT ZIEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/11/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb niets gezien » (« Je n’ai rien vu »).
On y trouve notamment la forme verbale « geZIEN », participe passé provenant de l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’INFINITIF.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « niets »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Notez que l’on construit le contraire de « iets » (« quelque chose ») en ajoutant au début du mot la lettre « N » de la négation (PAS « quelque chose » = « rien ») => « niets ».

© 2017, Bernard GOORDEN, voor de grammatica. Autres exemples à http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=vandersteen

Nom : WAS OVT ZIJN 3 ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/11/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Jij was er vóór mij » (« Tu y étais avant moi »).
On y trouve la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers et constitue vraisemblablement le verbe le plus irrégulier de la langue néerlandaise.
C’est logique : plus on utilise un mot, plus la prononciation le déforme au fil du temps …
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Notez qu’il ne pourrait, en aucun cas, s’agir d’une forme verbale à l’O.T.T. (ou « présent ») provenant de l’infinitif « WASSEN », « DAT » (sujet) exigeant une terminaison « T » d’une deuxième personne du singulier.

Nom : SPRAK OVT SPREKEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/11/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij sprak van geen mes » (« Il ne parla pas = n’a pas parlé d’un couteau »).
On y trouve la forme verbale « SPRAK », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « SPREKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers et constitue vraisemblablement le verbe le plus irrégulier de la langue néerlandaise.
C’est logique : plus on utilise un mot, plus la prononciation le déforme au fil du temps …
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Rappelons aussi que la NEGATION devant un nom (« pas UN »), même au pluriel, est « GEEN », « niet » n’étant jamais utilisé devant un nom. Mais on aurait pu trouver la variante suivante de la phrase : « Hij sprak niet van een mes ».

Nom : WAS OVT ZIJN 2 ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/11/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Mister Bartwright) was net aan de voordeur » (« Il était précisément à la porte de devant »).
On y trouve la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers et constitue vraisemblablement le verbe le plus irrégulier de la langue néerlandaise.
C’est logique : plus on utilise un mot, plus la prononciation le déforme au fil du temps …
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Notez qu’il ne pourrait, en aucun cas, s’agir d’une forme verbale à l’O.T.T. (ou « présent ») provenant de l’infinitif « WASSEN », « DAT » (sujet) exigeant une terminaison « T » d’une troisième personne du singulier.

Nom : GEBEURD VTT GEBEUREN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/11/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Is er iets gebeurd ? … » (« Est-il arrivé quelque chose ? … »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve la forme verbale « GEBEURD », participe passé provenant de l’infinitif « GEBEUREN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et est construit sur le RADICAL ou première personne du singulier de l’indicatif présent.
Le participe passé « GEBEURD » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« iets »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Rappelons aussi que la tournure de phrase « IL Y A » est rendue en langues tant néerlandaise qu’anglaise par le verbe « être » (au lieu d’ « avoir »).

Nom : KOMT TEGEMOET OTT TEGEMOETKOMEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/11/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Bij het huis komt hij (Bertrand) zijn vriend (Robert) tegemoet » (« Près de la maison, il rencontre son ami »).
On y trouve la forme verbale « komt … TEGEMOET », provenant de l’infinitif « TEGEMOETkomen », verbe dit « à particule séparable ».
Quand « TEGEMOETkomen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TEGEMOET » de son infinitif proprement dit, la particule « TEGEMOET » étant affectée par un REJET, derrière le complément (« zijn vriend »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

La phrase commençant par un complément (« bij het huis »), cela entraîne une INVERSION du sujet « hij » passant derrière son verbe « komt ».

Nom : GA TERUG OTT TERUGGAAN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/11/2017

Description : On y trouve la forme verbale « ga … TERUG », provenant de l’infinitif « TERUGgaan », verbe dit « à particule séparable ».
Quand « TERUGgaan » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERUG » de son infinitif proprement dit, la particule « TERUG » étant affectée par un REJET, derrière le complément (« dan »), à la fin de la phrase.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MAG MOGEN REJET LOPEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/11/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je mag ’s nachts toch niet meer buiten lopen ? » (« Tu ne peux tout de même plus te balader la nuit à l’extérieur »).
L’auxiliaire de mode de la POSSIBILITE » est l’infinitif « MOGEN », donnant un singulier « MAG ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière les compléments (« ’s nachts » et « buiten »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que « ’s nachts », forme plus ancienne signifiant « tijdens de nacht », a tendance à être remplacé par « vannacht ».

Nom : VERLATEN VTT VERLATEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/11/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De heide was (door iedereen) verlaten » (« La bruyère était abandonnée = vide »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve donc dans cette phrase, d’une part, la forme verbale « VERlaten », participe passé provenant de l’infinitif « VERlaten », provenant de « LATEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts », et le participe passé est construit sur le PLURIEL du prétérit, lui étant même identique.
On y trouve d’autre part la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers et constitue vraisemblablement le verbe le plus irrégulier de la langue néerlandaise.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : ZAG OVT ZIEN 3 ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/11/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Nee, ik zag niemand » (« Non, je vis = je n’ai vu personne »).
On y trouve notamment la forme verbale « ZAG », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
ATTENTION : Beaucoup d’apprenants croient que cette forme verbale provient de l’infinitif « ZEGGEN », également irrégulier à l’O.V.T. …
Notez que l’on construit le contraire de « iemand » (« quelqu’un » = « une personne ») en ajoutant au début du mot la lettre « N » de la négation (PAS « une personne ») => « niemand ».

Nom : ZAG OVT ZIEN 2 ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/11/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zag je iemand anders ? » (« Vis-tu = As-tu vu quelqu’un d’autre ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « ZAG », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
ATTENTION : Beaucoup d’apprenants croient que cette forme verbale provient de l’infinitif « ZEGGEN », également irrégulier à l’O.V.T. …

Nom : ZAG OVT ZIEN 1 ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/11/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik zag alles door het raam » (« Je vis tout = j’ai tout vu par la fenêtre »).
On y trouve notamment la forme verbale « ZAG », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
ATTENTION : Beaucoup d’apprenants croient que cette forme verbale provient de l’infinitif « ZEGGEN », également irrégulier à l’O.V.T. …

© 2017, Bernard GOORDEN, voor de grammatica. Autres exemples à http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=vandersteen

Nom : KWAM OVT KOMEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/11/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik kwam naar de heide om de elfjes te zien dansen » (« Je venais dans la bruyère pour voir danser les petits elfes »).
On y trouve notamment la forme verbale « KWAM », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « KOMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
On remarquera aussi la façon de rendre « POUR » avec un infinitif, le complément (« de elfjes ») se plaçant au milieu des deux parties de « OM …TE » et le(s) verbe(s) faisant l’objet d’un REJET à la fin de la phase. Voir phénomène du REJET :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KON OVT KUNNEN REJET SLAPEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/11/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik kon (in mijn slaapkamer) niet slapen » (« Je ne pouvais pas dormir »).
L’auxiliaire de mode de la POSSIBILITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN » et un O.V.T. (ou prétérit) « KON ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière le complément éventuel (« in mijn slaapkamer »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
« KUNNEN fait donc l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers, au moins à l’O.V.T. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : KUNNEN KAN REJET ZIJN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/11/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij kan niet ver zijn » (« Il ne peut pas être loin »).
L’auxiliaire de mode de la POSSIBILITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière le complément (« niet ver »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEWIKKELD VTT WIKKELEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 31/10/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een mes in de deur met een briefje om het heft gewikkeld » (« Un couteau avec une petite lettre = un mot enroulé autour du manche »).
On y trouve la forme verbale « gewikkeld », participe passé provenant de l’infinitif « WIKKELEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « L », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire.
Dans la variante suivante de la phrase (« Een briefje wordt om het heft van de mes gewikkeld »), on voit mieux qu’il y a REJET de la forme verbale « gewikkeld » derrière le complément (« om het heft ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : WAS OVT ZIJN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 30/10/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wat was dat ? » (« Qu’était-ce ? »).
On y trouve la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers et constitue vraisemblablement le verbe le plus irrégulier de la langue néerlandaise.
C’est logique : plus on utilise un mot, plus la prononciation le déforme au fil du temps …
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Notez qu’il ne pourrait, en aucun cas, s’agir d’une forme verbale à l’O.T.T. (ou « présent ») provenant de l’infinitif « WASSEN », « DAT » (sujet) exigeant une terminaison « T » d’une troisième personne du singulier.

Nom : ZULLEN ZAL REJET SLAPEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 29/10/2017

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Als jullie om beurten ‘s nachts de wacht houden, zal ik rustig slapen » (« Si vous monter la garde la nuit, à tour de rôle, je vais tranquillement dormir »)
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale à la fin de la phrase, derrière le complément (« rustig »), et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase subordonnée (introduite par « ALS ») jouant pour la phrase principale le rôle d’un complément, cela entraîne dans cette dernière une INVERSION du sujet « IK » passant derrière son verbe « ZAL ».
Il est à noter que, dans une phrase subordonnée, le verbe (« houden ») fait, lui aussi, l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« om beurten », « ‘s nachts » et « de wacht »), à la fin de la phrase.

Nom : ZULLEN ZAL REJET VERGEVEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/10/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij zal je die afstraffing niet vergeven » (« Il ne va pas te pardonner = il ne te pardonnera pas cette leçon »)
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale à la fin de la phrase, derrière les compléments (« je » et « die afstraffing »), et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : LAAT AF IMPERATIF AFLATEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/10/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Laat (haar) af ! » (« Laisse-la = ôte tes mains d’elle ! »).
On y trouve un infinitif construit sur « LATEN » et verbe dit à « particule séparable », « AFLATEN » qui, à la deuxième personne de l’impératif (comme à la deuxième personne de l’indicatif présent : « Je laat (haar) af ! »), exige le REJET de la « particule séparable » « AF », derrière le complément éventuel (« haar »), à la fin de la phrase.
Voir phénomène du REJET, entre autres :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : DRING AAN IMPERATIF AANDRINGEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/10/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dring (met jouw voorstel) niet aan ! » (« N’insiste pas ! »).
On y trouve un infinitif construit sur « DRINGEN » et verbe dit à « particule séparable », « AANDRINGEN » qui, à la deuxième personne de l’impératif (comme à la première personne de l’indicatif présent : « Ik dring (met mijn voorstel) niet aan »), exige le REJET de la « particule séparable » « AAN », derrière le complément éventuel (« met jouw voorstel »), à la fin de la phrase.
Voir phénomène du REJET, entre autres :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KOMT AAN OTT AANKOMEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/10/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wie komt daar aan ? » (« Qui arrive là ? »).
On y trouve un infinitif construit sur « KOMEN » et verbe dit à « particule séparable », « AANKOMEN », qui, exige le REJET de la « particule séparable » « AAN », derrière le complément (« daar »), à la fin de la phrase.
Voir phénomène du REJET, entre autres :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GESCHOTEN VTT SCHIETEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/10/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Men heeft al tweemaal op u geschoten » (« On a déjà tiré deux fois sur vous »).
On y trouve notamment la forme verbale « GESCHOTEN », participe passé provenant de l’infinitif « SCHIETEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il faut noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GESCHOTEN » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« al tweemaal » et « op u »), à la fin de la phrase. Voir phénomène du REJET, entre autres :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEKOCHT VTT KOPEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/10/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb veel grond gekocht » (« J’ai acheté beaucoup de terrain »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEKOCHT », participe passé provenant de l’infinitif « KOPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il faut noter que ce participe passé se construit sur le SINGULIER du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GEKOCHT » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« veel grond »), à la fin de la phrase. Voir phénomène du REJET, entre autres :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : STAAN OP OTT OPSTAAN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/10/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Soms staan er ook bedreigingen op » (« Il s’y trouve parfois aussi des menaces »).
On pourrait envisager deux explications. D’une part, on y trouve la forme verbale « staan … OP », provenant de l’infinitif « OPstaan », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « STAAN ».
Quand « OPstaan » est conjugué, il y a REJET de la particule séparable « OP » (provenant de la préposition « OP ») derrière le complément (« bedreigingen ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La deuxième explication est que nous avons plus vraisemblablement et plus simplement affaire à ce que l’on appelle un « adverbe pronominal » : « erOP » pour daarOP. Dans ce cas, on pourrait avoir la variante suivante de la phrase (a fortiori si on ne la fait pas commencer par le complément « soms », ayant entraîné une INVERSION du sujet « ER » passant derrière son verbe) : « Bedreigingen staan soms ook erop ».

Nom : ZOUDEN ZOU REJET DOEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/10/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik zou graag op jullie (een) beroep doen » (« Je ferais volontiers = je voudrais faire appel à vous »)
L’auxiliaire du CONDITIONNEL est l’infinitif « ZOUDEN », donnant un singulier « ZOU » ; il est, en quelque sorte, l’« imparfait » (O.V.T. ou prétérit) de l’auxiliaire du FUTUR, « ZULLEN ».
Au CONDITIONNEL, il y a REJET de l’autre forme verbale à la fin de la phrase, derrière les compléments (« graag », « op jullie » et « een beroep »), et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs:
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : BRACHT OVT BRENGEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/10/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Inmiddels bracht zij (Hilde) de vagebonden naar de eigenaar (Mister Bartwright) » (« Entretemps, elle amena les vagabonds au propriétaire »).
On y trouve notamment la forme verbale « BRACHT », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : LATEN WE REJET GAAN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/10/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Laten we nu maar naar huis gaan » (« Laissons-nous maintenant seulement aller vers la maison = Allons maintenant à la maison »).
On y trouve notamment « LATEN » qui, à la première personne du PLURIEL de l’IMPERATIF (« LATEN WE … »), joue le rôle d’un auxiliaire « de mode » et exige le REJET du verbe « GAAN », derrière les compléments (« nu » et « naar huis »), à la fin de cette phrase. Voir phénomène du REJET, entre autres, à l’impératif :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

L’apprenant(e) francophone sera moins dépaysé(e) s’il / si elle se dit que la tournure néerlandophone « LATEN WE … » équivaut à « LAISSONS-NOUS … ». Notez, qu’en langue anglaise, il y a un phénomène similaire avec « LET US … ».

Nom : LIET OVT LATEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/10/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een vroegere eigenaar van het domein liet van de elfenjager een bronzen standbeeld maken » (« Un ancien propriétaire du domaine fit fabriquer une statue en bronze du chasseur d’elfes »).
On y trouve notamment la forme verbale « LIET », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « LATEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
On remarquera aussi, le REJET du verbe « MAKEN », derrière les compléments (« van de elfenjager » et « een bronzen standbeeld »), à la fin de cette phrase. Même si « LATEN » joue le rôle d’un auxiliaire à la première personne du PLURIEL de l’IMPERATIF (« LATEN WE … » + REJET), il n’exige, en principe, pas un REJET systématique dans les autres cas. Voir phénomène du REJET, entre autres, à l’impératif :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : JOEG OVT JAGEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/10/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een boze bosgeest, de elfenjager, joeg op hen » (« Un esprit des bois maléfique, le chasseur d’elfes, les chassait = chassait les elfes »).
On y trouve notamment la forme verbale « JOEG », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « JAGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Notez l’usage « JAGEN op » suivi d’une sorte de complément d’objet indirect, un accord en fait hérité des anciennes déclinaisons.

Nom : KUNNEN KAN REJET ZIEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/10/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Vanuit mijn raam kan ik soms de elfjes zien » (« De ma fenêtre, je peux parfois voir les petits elfes »).
L’auxiliaire de mode de la POSSIBILITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière les compléments (« soms » et « de elfjes »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez l’INVERSION, la phrase commençant par un complément (« vanuit mijn raam »).

Nom : OMDRAAIEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/10/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Die draait er ook geen doekjes om » (« Celui-là n’enroule aussi aucun petit mouchoir autour => Il ne tourne pas autour du pot / Il n’y va pas par quatre chemins / Il ne ménage pas la chèvre et le chou / Il dit les choses comme elles sont / Il va droit au but / Il est direct »).
Quand « OMdraaien » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OM » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET de la forme verbale du participe passé « OMgesmolten », derrière le complément (« geen doekjes »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET, lisez :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez l’expression « geen doekjes omdraaien ».
Rappelons aussi que la NEGATION devant un nom (« pas UN »), même au pluriel, est « GEEN », « niet » n’étant jamais utilisé devant un nom.

Nom : ZULLEN ZAL REJET TONEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/10/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik zal je de plek (= de plaats) tonen » (« Je vais te montrer l’endroit »)
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale à la fin de la phrase, derrière le complément (« de plek »), et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : OVERBLEEF OVT OVERBLIJVEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/10/2017

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Na de dood van mijn man was zij (Elsje) alles wat mij in het leven overbleef » (« Après la mort de mon mari, elle était tout ce qu’il me restait dans la vie »).
On y trouve notamment la forme verbale « OVERBLEEF » (O.V.T. ou « prétérit »), provenant de l’infinitif « OVERBLIJVEN », venant lui-même de « BLIJVEN », qui connaît les « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Il est à noter que la phrase, commençant par le complément « Na de dood van mijn man », ce dernier engendre une INVERSION : le sujet « zij » passant derrière le verbe « (over)bleef ». On aurait ainsi pu dire : « Zij bleef (voor) mij alles in het leven (over) ».

Rappelons que si nous avions eu cette phrase au pluriel, nous aurions eu la forme verbale « BLEVEN », ressemblant davantage à l’infinitif « BLIJVEN ». N’oublions pas que un « F » derrière lequel on rajoute un « E » (a fortiori la terminaison « EN » du pluriel) devient « V ».

Nom : GETROFFEN VTT TREFFEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/10/2017

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Onderweg vernemen de vagebonden hoe de echtgenoot van Hilde tijdens een onweer door de bliksem (werd) getroffen werd » (« En chemin, ils apprennent comment l’époux de Hilde a été touché par l’éclair pendant un orage »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « geTROFFEN », participe passé provenant du PLURIEL du prétérit de « TREFFEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Il y a REJET de la forme verbale du participe passé « getroffen », derrière les compléments (« tijdens een onweer » et « door de bliksem »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase subordonnée est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » (ici à l’O.V.T.) au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : MOGEN MAG REJET TONEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/10/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Mag ik hem (Joeki) de plaats tonen (= laten zien) ? » (« Est-ce que je peux lui montrer la place ? = Puis-je lui montrer la place ? »).
L’auxiliaire de mode de la POSSIBILITE » est l’infinitif « MOGEN », donnant un singulier « MAG ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière les compléments (« hem » et « de plaats »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VONDEN OVT VINDEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/10/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wij vonden de brieventas van … » (« Nous trouvâmes le portefeuille de … »).
On y découvre la forme verbale « VONDEN », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et qui, comme presque tous les verbes en « I », donne une voyelle « O » pour les temps du passé. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : VERLOREN VTT VERLIEZEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/10/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij heeft zijn brieventas verloren » (« Il a perdu son portefeuille »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve donc la forme verbale « VERloren », participe passé provenant de l’infinitif « VERliezen », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « VERloren » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« zijn brieventas »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : AFGEWORPEN VTT AFWERPEN ROBERT EN BERTRAND 32 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/10/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het (paard) heeft zeker zijn ruiter afgeworpen » (« Il a certainement rejeté = démonté son cavalier »).
On y trouve la forme verbale « AFgeworpen », participe passé provenant de l’infinitif « AFwerpen », lui-même construit sur l’infinitif « WERPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « AFwerpen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « afGEworpen ».
Il y a REJET de la forme verbale du participe passé « AFgeworpen », derrière les compléments (« zeker » et « zijn ruiter »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEZEGD VTT ZEGGEN BESSY 24 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/10/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wat heb ik (tegen jullie) gezegd ? » (« Qu’est-ce que j’ai dit ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEZEGD », participe passé provenant de l’infinitif « ZEGGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » pour son SEUL prétérit (O.V.T.). Ce participe passé est donc construit sur le radical (= première personne du présent) du verbe :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=radVerbes
Pour complément d’informations, consultez par ailleurs notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
On y trouve la forme verbale « GEVANGEN », derrière le complément éventuel (« tegen jullie ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEVANGEN VTT VANGEN RODE RIDDER 109 2 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/10/2017

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De enige man, die een goede krijgsheer zou zijn, werd door de Fransen in Bourges gevangen gezet » (« Le seul homme, qui serait un bon seigneur de guerre, a été mis = fait pris(onnier) par les Français à Bourges »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEVANGEN » (utilisée ici comme ADJECTIF ATTRIBUT, toujours INVARIABLE en langue néerlandaise), participe passé provenant de l’infinitif « VANGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Ce participe passé est construit sur l’INFINITIF.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
On y trouve la forme verbale « GEVANGEN », derrière les compléments (« door de Fransen» et « in Bourges ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : GEVANGEN VTT VANGEN RODE RIDDER 109 1 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/10/2017

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Er werd vernomen dat Pieter De Coninck in het Prinsenhof (zit / is) gevangen zit (is) » (« Il est appris = On apprit que Pieter De Coninck est saisi = prisonnier dans la Prinsenhof = Cour des Princes = le palais princier »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEVANGEN » (utilisée ici comme ADJECTIF ATTRIBUT, toujours INVARIABLE en langue néerlandaise), participe passé provenant de l’infinitif « VANGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Ce participe passé est construit sur l’INFINITIF.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
On y trouve la forme verbale « GEVANGEN », derrière le complément (« in het Prinsenhof ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
On y trouve aussi, dans la phrase principale, la forme verbale « VERNOMEN », participe passé provenant de l’infinitif « VERNEMEN » (PAS un verbe dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « NEMEN », qui fait également l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- » (qui n’est PAS une « particule séparable »), son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux. Cette phrase principale est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : GEVANGEN VTT VANGEN RODE RIDDER 38 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/10/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij houdt de ridder in een ijzeren greep gevangen » (« Il tient le chevalier pris = prisonnier dans une étreinte de fer »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEVANGEN » (utilisée ici comme ADJECTIF ATTRIBUT, toujours INVARIABLE en langue néerlandaise), participe passé provenant de l’infinitif « VANGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Ce participe passé est construit sur l’INFINITIF.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
On y trouve la forme verbale « GEVANGEN », derrière les compléments (« de ridder » et « in een ijzeren greep ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEVANGEN VTT VANGEN GEHOUDEN VTT HOUDEN BESSY 24 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/10/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze worden stevig geboeid gevangen gehouden » (« Ils sont tenus prisonniers, solidement ligotés »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEVANGEN » (utilisée ici comme ADJECTIF ATTRIBUT, toujours INVARIABLE), participe passé provenant de l’infinitif « VANGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Ce participe passé est construit sur l’INFINITIF.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
On y trouve aussi la forme verbale « GEHOUDEN », participe passé provenant de l’infinitif « HOUDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts », derrière le complément (« stevig geboeid ») et derrière le complément-attribut (« gevangen ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEVANGEN VTT VANGEN BESSY 54 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/10/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De rebellen laten zich (door de soldaten) gevangen nemen » (« Les rebelles se laissent prendre prisonniers »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEVANGEN » (utilisée ici comme ADJECTIF ATTRIBUT, toujours INVARIABLE en langue néerlandaise), participe passé provenant de l’infinitif « VANGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Ce participe passé est construit sur l’INFINITIF.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
On y trouve la forme verbale « GEVANGEN », derrière le complément éventuel (« door de soldaten ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VOORBIJGEGAAN VTT VOORBIJGAAN BESSY 54 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/10/2017

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zijn geoefend oog heeft de plaats ontdekt waar iemand pas moet voorbijgegaan zijn » (« Son œil exercé a trouvé la place où quelqu’un doit justement être passé = vient de passer »).
On y trouve notamment la forme verbale « VOORBIJGEGAAN », construit sur « GEGAAN », participe passé provenant de l’infinitif « VOORBIJGAAN », lui-même construit sur « GAAN ». Quand « VOORBIJgegaan » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « VOORBIJ » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « voorbijGEgaan ». Il est donc à noter que ce participe passé se construit sur l’INFINITIF. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « VOORBIJGEGAAN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« PAS »), à la fin de la phrase. Lisez notre synthèse, également en couleurs:
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : PLAATSGEHAD VTT PLAATSHEBBEN ROBERT EN BERTRAND 35 VANDERSTEEN - Rajouté le 30/09/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Er heeft reeds een treffen plaatsgehad » (« Il y a déjà eu (lieu) une rencontre = Une rencontre a déjà eu lieu »). On y trouve notamment la forme verbale « PLAATSGEHAD », participe passé provenant de l’infinitif « PLAATSHEBBEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Il faut aussi noter que ce participe passé se construit sur le SINGULIER du prétérit.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GEHAD » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« reeds » et « een treffen »), à la fin de la phrase :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : OVERGEHAD VTT OVERHEBBEN BESSY 59 VANDERSTEEN - Rajouté le 29/09/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je hebt nog geen blik voor jouw (je) nakomelingen overgehad » (« Tu n’as encore accordé aucun regard à tes rejetons »). On y trouve notamment la forme verbale « OVERGEHAD », participe passé provenant de l’infinitif « OVERHEBBEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Il faut aussi noter que ce participe passé se construit sur le SINGULIER du prétérit.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GEHAD » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« geen blik » et « voor jouw nakomelingen »), à la fin de la phrase :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEHAD VTT HEBBEN BESSY 24 3 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/09/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze hebben hun bekomst gehad ! » (« Ils ont eu leur compte ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEHAD », participe passé provenant de l’infinitif « HEBBEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Il faut aussi noter que ce participe passé se construit sur le SINGULIER du prétérit.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GEHAD » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« hun bekomst »), à la fin de la phrase. Voyez :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEHAD VTT HEBBEN SAFARI 1 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/09/2017

Description : La triple phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Mpongi) vond het (ge)raadzaam dat jullie wisten dat Dexter (hij) bezoek van een koerier van de Kyuna’s (heeft) gehad heeft » (« Il trouvait à propos = utile que vous saviez / sachiez que Dexter avait eu la visite d’un courrier des Kyunas »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEHAD », participe passé provenant de l’infinitif « HEBBEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Il faut aussi noter que ce participe passé se construit sur le SINGULIER du prétérit.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GEHAD » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément («bezoek van een koerier»), à la fin de la phrase. Voyez :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEHAD VTT HEBBEN BESSY 24 2 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/09/2017

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We zouden anders verliezen kunnen lijden die we nu niet hebben gehad » (« Nous pourrions autrement subir des pertes, que nous n’avons pas eues => subies maintenant »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEHAD », participe passé provenant de l’infinitif « HEBBEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Il faut aussi noter que ce participe passé se construit sur le SINGULIER du prétérit.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GEHAD » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« NU »), à la fin de la phrase. Voyez :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : AANGESCHREVEN VTT AANSCHRIJVEN RODE RIDDER 19 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/09/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik sta aan het Hof te goed aangeschreven » (« Je suis trop bien noté à la Cour »).
On y trouve la forme verbale « AANgeschreven », participe passé (utilisé ici comme adjectif épithète) provenant de l’infinitif « AANschrijven », lui-même construit sur l’infinitif « SCHRIJVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Pour complément d’informations concernant les « temps primitifs », consultez par exemple notre tableau de synthèse sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé : http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « AANschrijven » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGEschreven ».
Il y a REJET de la particule derrière le complément (« aan het Hof » et « te goed ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : AFGELEGEN VTT AFLIGGEN SAFARI 8 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/09/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maar het grootste deel van de kudde baant zich een weg naar de afgelegen shamba’s » (« Mais la plus grande partie du troupeau se fraie un chemin vers les shambas = plantations éloignées »).
On y trouve la forme verbale « AFgelegen », participe passé (utilisé ici comme adjectif épithète) provenant de l’infinitif « AFliggen », lui-même construit sur l’infinitif « LIGGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « AFliggen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « afGElegen ». Avec une variante de Ia phrase (« De shamba’s die verder zijn afgelegen … »), on verrait mieux qu’il y a REJET de la forme verbale du participe passé « AFgelegen », derrière le complément (« verder »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : AFGELEGEN VTT AFLIGGEN BESSY 59 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/09/2017

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Neem me niet kwalijk maar we wonen (zijn) hier zo afgelegen ! » («Ne m'en veuillez pas mais nous vivons ici tellement situés à l'écart = si retirés = si isolés»).
On y trouve la forme verbale « AFgelegen », participe passé provenant de l’infinitif « AFliggen », lui-même construit sur l’infinitif « LIGGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « AFliggen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « afGElegen ». Il y a REJET de la forme verbale du participe passé « AFgelegen », derrière le complément (« hier »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : AFGELEGEN VTT AFLIGGEN RODE RIDDER 63 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/09/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « In een afgelegen hoeve bij de kust … » (« Dans une ferme située à l’écart => retirée près de la côte … »).
On y trouve la forme verbale « AFgelegen », participe passé (utilisé ici comme adjectif épithète) provenant de l’infinitif « AFliggen », lui-même construit sur l’infinitif « LIGGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « AFliggen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « afGElegen ». Avec une variante de Ia phrase (« In een hoeve die bij de kust is afgelegen … »), on verrait mieux qu’il y a REJET de la forme verbale du participe passé « AFgelegen », derrière le complément (« bij de kust »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : AFGELEGEN VTT AFLIGGEN ROBERT EN BERTRAND 21 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/09/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij stopt bij die afgelegen hoeve » (« Il s’arrête près de cette ferme située à l’écart = isolée = retirée »).
On y trouve la forme verbale « AFgelegen », participe passé (utilisé ici comme adjectif épithète) provenant de l’infinitif « AFliggen », lui-même construit sur l’infinitif « LIGGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « AFliggen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « afGElegen ». Avec une variante de Ia phrase (« Die hoeve is in de polder afgelegen »), on verrait mieux qu’il y a REJET de la forme verbale du participe passé « AFgelegen », derrière le complément (« in de polder »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GELEGEN VTT LIGGEN ROBERT EN BERTRAND 35 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/09/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De vijand legert op hoger gelegen heuvels » (« L’ennemi campe sur des collines situées haut = haut perchées »).
On y trouve notamment la forme verbale « GELEGEN », participe passé (utilisé ici comme adjectif épithète) provenant de l’infinitif « LIGGEN ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Dans une variante de la phrase (« De vijand is op hoge heuvels gelegen »), on verrait mieux que le participe passé « GELEGEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément ou attribut (« op hoge heuvels »), à la fin de la phrase. Lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : DOORGEGEVEN VTT DOORGEVEN BESSY 54 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/09/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Van post tot post wordt het sein naar het fort doorgegeven » (« De poste en poste, le signal est transmis au fort »).
On y trouve la forme verbale « DOORgegeven », participe passé provenant de l’infinitif « DOORgeven », lui-même construit sur l’infinitif « GEVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « DOORgeven » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « DOOR » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « doorGEgeven ». Il y a REJET de la forme verbale du participe passé « DOORgegeven », derrière le complément (« het fort »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN ».

Nom : GEGEVEN VTT GEVEN KARL MAY 14 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/09/2017

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De geesten hebben (ons) te kennen gegeven dat U (Winnetou) het dorp (…) moet verlaten » (« Les esprits ont donné à connaître = ont fait savoir que vous devez quitter le village »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEGEVEN », participe passé provenant de l’infinitif « GEVEN ». Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’INFINITIF. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GEGEVEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« ONS »), à la fin de la phrase. Lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEGEVEN VTT GEVEN BESSY 54 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/09/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Khara / de sachem) heeft zijn woord aan de bleekgezichten gegeven » (« Le sachem a donné sa parole aux visages pâles »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEGEVEN », participe passé provenant de l’infinitif « GEVEN ». Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’INFINITIF. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GEGEVEN » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« zijn woord » et « aan de bleekgezichten »), à la fin de la phrase. Lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEGEVEN VTT GEVEN RODE RIDDER 7 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/09/2017

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « In het oerwoud wordt het sein tot de opstand gegeven » (« Dans la forêt vierge, le signal de la révolte fut donné »).
On y trouve notamment, la forme verbale « GEGEVEN », participe passé provenant de l’infinitif « GEVEN ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’INFINITIF. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GEGEVEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« tot de opstand »), à la fin de la phrase. Lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » (au lieu de l’auxiliaire « ZIJN »).
La phrase commençant par un complément (« In het oerwoud »), il y a INVERSION du sujet (« het vertreksein ») et du verbe (« wordt »).

Nom : GEGEVEN VTT GEVEN BESSY 59 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/09/2017

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Andy, aan wie Nancy een nauwkeurige beschrijving van de canyon der (van de) eekhoorns heeft gegeven, is veel vlugger de plaats genaderd » (« Andy, à qui Nancy a donné une description minutieuse du canyon des écureuils, s’est approché beaucoup plus vite de l’endroit »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée incise, la forme verbale « GEGEVEN », participe passé provenant de l’infinitif « GEVEN ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’INFINITIF. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GEGEVEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« een nauwkeurige beschrijving van de canyon van de eekhoorns »), à la fin de la phrase. Lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEGEVEN VTT GEVEN BESSY 24 2 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/09/2017

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Nadat de soldaten ontscheept zijn, wordt het vertreksein (dadelijk) gegeven » (« Après que les soldats ont débarqué, le signal du départ est donné »).
On y trouve notamment, la forme verbale « GEGEVEN », participe passé provenant de l’infinitif « GEVEN ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’INFINITIF. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GEGEVEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« dadelijk »), à la fin de la phrase. Lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que cette deuxième phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » (au lieu de l’auxiliaire « ZIJN »).
La phrase commençant par l’équivalent d’un complément (la phrase subordonnée « Nadat de soldaten ontscheept zijn » joue ici ce rôle), il y a INVERSION du sujet (« het vertreksein ») et du verbe (« wordt »).

Nom : GEWEEST VTT ZIJN SAFARI 2 2 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/09/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het is een ervaren jager geweest » (« Cela a été un chasseur expérimenté »).
On y trouve la forme verbale « GEWEEST », participe passé provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Nombre d’élèves ne le « retenant » pas, rappelons qu’une de ses formes à l’impératif est « WEES », comme dans l’expression « Wees niet bang » (« N’aie pas peur »).
Il est à noter que l’auxiliaire du passé composé est ici « ZIJN » au lieu de « HEBBEN ».
Pour complément d’informations, consultez notamment notre tableau de synthèse « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre notamment trois autres grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
N’oublions pas que la forme verbale du participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel ou attribut (« een ervaren jager »), à la fin de la phrase. Lisez notre synthèse colorée :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEWEEST VTT ZIJN RODE RIDDER 19 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/09/2017

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zonder zijn offer zou ik nooit op tijd (zijn) geweest zijn » (« Sans son sacrifice, je ne serais jamais arrivé à temps »).
On y trouve la forme verbale « GEWEEST », participe passé provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Nombre d’élèves ne le « retenant » pas, rappelons qu’une de ses formes à l’impératif est « WEES », comme dans l’expression « Wees niet bang » (« N’aie pas peur »). Il est à noter que l’auxiliaire du conditionnel du passé est ici « ZIJN » au lieu de « HEBBEN ».
Pour complément d’informations, consultez notamment notre tableau de synthèse « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre notamment trois autres grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
N’oublions pas que la forme verbale du participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments éventuel ou attributs (« nooit » et « op tijd »), à la fin de la phrase. Lisez notre synthèse colorée :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEWEEST VTT ZIJN BESSY 59 4 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/09/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat kan niemand anders dan Tim Parsons (zijn) geweest zijn » (« Cela ne peut pas avoir été quelqu’un d’autre que Tim Parsons »).
On y trouve la forme verbale « GEWEEST », participe passé provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Nombre d’élèves ne le « retenant » pas, rappelons qu’une de ses formes à l’impératif est « WEES », comme dans l’expression « Wees niet bang » (« N’aie pas peur »).
Il est à noter que l’auxiliaire du passé composé est ici « ZIJN » au lieu de « HEBBEN ».
Pour complément d’informations, consultez notamment notre tableau de synthèse « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre notamment trois autres grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
N’oublions pas que la forme verbale du participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément ou attribut (« niemand anders dan Tim Parsons »), à la fin de la phrase. Lisez notre synthèse colorée :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEWEEST VTT ZIJN BESSY 59 3 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/09/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Deze eekhoorn is lange tijd mijn enige vriend geweest » (« Cet écureuil a longtemps été mon seul ami »).
On y trouve la forme verbale « GEWEEST », participe passé provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Nombre d’élèves ne le « retenant » pas, rappelons qu’une de ses formes à l’impératif est « WEES », comme dans l’expression « Wees niet bang » (« N’aie pas peur »).
Il est à noter que l’auxiliaire du passé composé est ici « ZIJN » au lieu de « HEBBEN ».
Pour complément d’informations, consultez notamment notre tableau de synthèse « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre notamment trois autres grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
N’oublions pas que la forme verbale du participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments ou attributs (« lange tijd » et « mijn enige vriend »), à la fin de la phrase. Lisez notre synthèse colorée :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEWEEST VTT ZIJN BESSY 59 2 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/09/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Die liggende man is hier al vroeger geweest » (« Cet homme gisant a déjà été ici plus tôt = est déjà venu ici jadis »).
On y trouve la forme verbale « GEWEEST », participe passé provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Nombre d’élèves ne le « retenant » pas, rappelons qu’une de ses formes à l’impératif est « WEES », comme dans l’expression « Wees niet bang » (« N’aie pas peur »).
Il est à noter que l’auxiliaire du passé composé est ici « ZIJN » au lieu de « HEBBEN ».
Pour complément d’informations, consultez notamment notre tableau de synthèse « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre notamment trois autres grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
N’oublions pas que la forme verbale du participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments ou attributs (« hier », « al » et « vroeger »), à la fin de la phrase. Lisez notre synthèse colorée :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEWEEST VTT ZIJN BESSY 59 1 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/09/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij (Bessy) is (« door de omstandigheden ») gedwongen geweest zich op een boomstronk met de stroom te laten meedrijven» (« Elle a été obligée de se laisser dériver sur un tronc d’arbre avec le courant »).
On y trouve la forme verbale « GEWEEST », participe passé provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Nombre d’élèves ne le « retenant » pas, rappelons qu’une de ses formes à l’impératif est « WEES », comme dans l’expression « Wees niet bang » (« N’aie pas peur »).
Il est à noter que l’auxiliaire du passé composé est ici « ZIJN » au lieu de « HEBBEN ».
Pour complément d’informations, consultez notamment notre tableau de synthèse « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre notamment trois autres grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
N’oublions pas que la forme verbale du participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel ou attribut (« door de omstandigheden »), à la fin de la phrase. Lisez notre synthèse colorée :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEWEEST VTT ZIJN BESSY 54 2 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/09/2017

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Indien onze jachtvelden niet zo uitgestrekt waren geweest, hadden wij u reeds lang ontdekt en verjaagd » (« Si nos terrains de chasse n’étaient pas si étendus, nous vous aurions déjà (depuis) longtemps découverts et chassés »).
On y trouve la forme verbale « GEWEEST », participe passé provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Nombre d’élèves ne le « retenant » pas, rappelons qu’une de ses formes à l’impératif est « WEES », comme dans l’expression « Wees niet bang » (« N’aie pas peur »). Il est à noter que l’auxiliaire du plus-que-parfait est ici « ZIJN » au lieu de « HEBBEN ».
Pour complément d’informations, consultez notamment notre tableau de synthèse « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre notamment trois autres grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
N’oublions pas que la forme verbale du participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel ou attribut (« niet zo uitgestrekt »), à la fin de la phrase. Lisez notre synthèse colorée :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEWEEST VTT ZIJN BESSY 54 1 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/09/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat is altijd mijn droom geweest » (« Cela a toujours été mon rêve »).
On y trouve la forme verbale « GEWEEST », participe passé provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Nombre d’élèves ne le « retenant » pas, rappelons qu’une de ses formes à l’impératif est « WEES », comme dans l’expression « Wees niet bang » (« N’aie pas peur »).
Il est à noter que l’auxiliaire du passé composé est ici « ZIJN » au lieu de « HEBBEN ».
Pour complément d’informations, consultez notamment notre tableau de synthèse « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre notamment trois autres grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
N’oublions pas que la forme verbale du participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel ou attribut (« altijd »), à la fin de la phrase. Lisez notre synthèse colorée :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEWEEST VTT ZIJN BESSY 42 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/09/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De inspanning is haar te hevig geweest » (« L’effort a été trop intense pour elle »).
On y trouve la forme verbale « GEWEEST », participe passé provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Nombre d’élèves ne le « retenant » pas, rappelons qu’une de ses formes à l’impératif est « WEES », comme dans l’expression « Wees niet bang » (« N’aie pas peur »).
Il est à noter que l’auxiliaire du passé composé est ici « ZIJN » au lieu de « HEBBEN ».
Pour complément d’informations, consultez notamment notre tableau de synthèse « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre notamment trois autres grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
N’oublions pas que la forme verbale du participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments ou attributs (« haar » et « te hevig »), à la fin de la phrase. Lisez notre synthèse colorée :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEWEEST VTT ZIJN BESSY 24 2 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/09/2017

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het lijkt zelfs of de blanken hier niet (zijn) geweest zijn » (« Il semble même que les blancs n’ont pas été ici »).
On y trouve la forme verbale « GEWEEST », participe passé provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Nombre d’élèves ne le « retenant » pas, rappelons qu’une de ses formes à l’impératif est « WEES », comme dans l’expression « Wees niet bang » (« N’aie pas peur »). Il est à noter que l’auxiliaire du passé composé est ici « ZIJN » au lieu de « HEBBEN ».
Pour complément d’informations, consultez notamment notre tableau de synthèse « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre notamment trois autres grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
N’oublions pas que la forme verbale du participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel ou attribut (« hier »), à la fin de la phrase. Lisez notre synthèse colorée :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEZOCHT VTT ZOEKEN ROBERT EN BERTRAND 21 2 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/09/2017

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Jij bent een vriendje van die vagebonden die door speurder 17 (worden) gezocht worden » (« Tu es un petit ami de ces vagabonds qui sont recherchés par le détective N°17 »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEZOCHT », participe passé provenant de l’infinitif « ZOEKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEZOCHT » est construit sur le SINGULIER du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GEZOCHT » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« door speurder 17 »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse, également en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEWEEST VTT ZIJN ROBERT EN BERTRAND 21 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/09/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat kan een kar van de ontvoerders (zijn) geweest zijn » (« Cela peut avoir été une voiture des ravisseurs »).
On y trouve la forme verbale « GEWEEST », participe passé provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Nombre d’élèves ne le « retenant » pas, rappelons qu’une de ses formes à l’impératif est « WEES », comme dans l’expression « Wees niet bang » (« N’aie pas peur »).
Il est à noter que l’auxiliaire du passé composé est ici « ZIJN » au lieu de « HEBBEN ».
Pour complément d’informations, consultez notamment notre tableau de synthèse « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre notamment trois autres grandes catégories de verbes irréguliers au passé : http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
N’oublions pas que la forme verbale du participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément ou attribut (ici « een kar van de ontvoerders »), à la fin de la phrase. Lisez notre synthèse colorée :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEWEEST VTT ZIJN ROBERT EN BERTRAND 15 VANDERSTEEN - Rajouté le 31/08/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dan is alles tevergeefs geweest » (« Alors tout s'est passé en vain = tout a été fait pour rien »).
On y trouve la forme verbale « GEWEEST », participe passé provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Nombre d’élèves ne le « retenant » pas, rappelons qu’une de ses formes à l’impératif est « WEES », comme dans l’expression « Wees niet bang » (« N’aie pas peur »).
Il est à noter que l’auxiliaire du passé composé est ici « ZIJN » au lieu de « HEBBEN ».
Pour complément d’informations, consultez notamment notre tableau de synthèse « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre notamment trois autres grandes catégories de verbes irréguliers au passé : http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Si la phrase n’avait pas commencé par un complément (« DAN »), on aurait mieux vu (variante : « Alles is dan tevergeefs geweest ») que la forme verbale du participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments ou attributs (« DAN » et « tevergeefs »), à la fin de la phrase. Lisez notre synthèse colorée :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEBRACHT VTT BRENGEN KARL MAY 14 3 VANDERSTEEN - Rajouté le 30/08/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Honger en mishandeling hebben je niet aan het praten gebracht » (« La faim et les mauvais traitements ne t’ont pas amené à parler »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEBRACHT », participe passé provenant de l’infinitif « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEBRACHT » est construit sur le SINGULIER du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
N’oublions pas que la forme verbale du participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« aan het praten »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse, également en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEBRACHT VTT BRENGEN KARL MAY 14 2 VANDERSTEEN - Rajouté le 29/08/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Deze (Old Shatterhand) werd inmiddels naar het dorp gebracht » (« Celui-ci / ce dernier fut entretemps amené au village »). (N.B. : on est à la voix passive, l’auxiliaire étant « WORDEN », ici à l’O.V.T., au lieu de « zijn ».)
On y trouve notamment la forme verbale « GEBRACHT », participe passé provenant de l’infinitif « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEBRACHT » est construit sur le SINGULIER du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
N’oublions pas que la forme verbale du participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« inmiddels » et « naar het dorp »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse, également en couleurs : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEBRACHT VTT BRENGEN KARL MAY 14 1 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/08/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij wordt voor de sachem (Whonak) gebracht » (« Il est amené devant le sachem »). (N.B. : on est à la voix passive, l’auxiliaire étant « WORDEN » au lieu de « zijn ».)
On y trouve notamment la forme verbale « GEBRACHT », participe passé provenant de l’infinitif « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEBRACHT » est construit sur le SINGULIER du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
N’oublions pas que la forme verbale du participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« voor de sachem »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse, également en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEBRACHT VTT BRENGEN BESSY 54 2 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/08/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De aanwezigheid van de hond (Bessy) heeft de man nieuwe hoop gebracht » (« La présence du chien a apporté à l’homme un nouvel espoir »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEBRACHT », participe passé provenant de l’infinitif « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEBRACHT » est construit sur le SINGULIER du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
N’oublions pas que la forme verbale du participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« de man » et « nieuwe hoop »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse, également en couleurs : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEBRACHT VTT BRENGEN BESSY 59 1 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/08/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ondertussen is hij van de hele geschiedenis op de hoogte gebracht » (« Entretemps, il est mis au courant de toute l’histoire »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEBRACHT », participe passé provenant de l’infinitif « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEBRACHT » est construit sur le SINGULIER du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
N’oublions pas que la forme verbale du participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« van de hele geschiedenis » et « op de hoogte »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse, également en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Ondertussen »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « hij ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « is ») et passant donc derrière lui.

Nom : GEBRACHT VTT BRENGEN BESSY 54 2 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/08/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De springstof wordt langs een geitenpad naar een rotsspleet gebracht » (« L’explosif est apporté le long d’un sentier de chèvre vers une anfractuosité »). (N.B. : on est à la voix passive, l’auxiliaire étant « WORDEN » au lieu de « zijn ».)
On y trouve notamment la forme verbale « GEBRACHT », participe passé provenant de l’infinitif « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEBRACHT » est construit sur le SINGULIER du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
N’oublions pas que la forme verbale du participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« langs een geitenpad » et « naar een rotsspleet »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse, également en couleurs : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEBRACHT VTT BRENGEN BESSY 54 1 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/08/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Onder een strenge bewaking worden de ontwapende krijgers en hun familie buiten de omheining gebracht » (« Sous une stricte surveillance, les guerriers désarmés et leur famille sont emmenés hors de l’enceinte »). (N.B. : on est à la voix passive, l’auxiliaire étant « WORDEN » au lieu de « zijn ».)
On y trouve notamment la forme verbale « GEBRACHT », participe passé provenant de l’infinitif « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEBRACHT » est construit sur le SINGULIER du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
N’oublions pas que la forme verbale du participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« buiten de omheining »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse, également en couleurs : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Onder een strenge bewaking »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de ontwapende krijgers en hun familie ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « worden ») et passant donc derrière lui.

Nom : GEBRACHT VTT BRENGEN BESSY 42 2 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/08/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maar intussen heeft het rumoer iedereen op het been gebracht » (« Mais, entretemps, le tintamarre a apporté = mis tout le monde sur la jambe = sur pied»).
On y trouve notamment la forme verbale « GEBRACHT », participe passé provenant de l’infinitif « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEBRACHT » est construit sur le SINGULIER du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
N’oublions pas que la forme verbale du participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« iedereen » et « op het been »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse, également en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Maar intussen »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « het rumoer ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « heeft ») et passant donc derrière lui.

Nom : GEBRACHT VTT BRENGEN BESSY 24 2 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/08/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Even later worden de Indianen door de schildwacht op de hoogte van de vlucht gebracht » (« Un peu plus tard, les Indiens sont mis au courant de la fuite par la sentinelle »). (N.B. : on est à la voix passive, l’auxiliaire étant « WORDEN » au lieu de « zijn ».)
On y trouve notamment la forme verbale « GEBRACHT », participe passé provenant de l’infinitif « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEBRACHT » est construit sur le SINGULIER du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
N’oublions pas que la forme verbale du participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« door de schildwacht » et « op de hoogte van de vlucht »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse, également en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Even later »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de Indianen ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « worden ») et passant donc derrière lui.

Nom : GEBRACHT VTT BRENGEN BESSY 24 1 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/08/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De sachem wordt op de hoogte gebracht » (« Le sachem est mis au courant »). (N.B. : on est à la voix passive, l’auxiliaire étant « WORDEN » au lieu de « zijn ».)
On y trouve notamment la forme verbale « GEBRACHT », participe passé provenant de l’infinitif « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEBRACHT » est construit sur le SINGULIER du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
N’oublions pas que la forme verbale du participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« op de hoogte »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse, également en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEBRACHT VTT BRENGEN 3 RODE RIDDER 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/08/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De oude vrouw wordt dadelijk naar bed gebracht » (« La vieille femme est tout de suite amenée au lit »). (N.B. : on est à la voix passive, l’auxiliaire étant « WORDEN » au lieu de « zijn ».)
On y trouve notamment la forme verbale « GEBRACHT », participe passé provenant de l’infinitif « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEBRACHT » est construit sur le SINGULIER du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
N’oublions pas que la forme verbale du participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« dadelijk » et « naar bed »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse, également en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEBRACHT VTT BRENGEN KARL MAY 12 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/08/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « ‘s anderendaags (= op de andere dag) wordt hij (Winnetou) tijdens een grote plechtigheid voor de raad der (= van de) ouderen gebracht » (« Le lendemain, il est emmené devant le conseil des anciens lors d’une grande cérémonie »). (N.B. : on est à la voix passive, l’auxiliaire étant « WORDEN » au lieu de « zijn ».)
On y trouve notamment la forme verbale « GEBRACHT », participe passé provenant de l’infinitif « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEBRACHT » est construit sur le SINGULIER du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
N’oublions pas que la forme verbale du participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« tijdens een grote plechtigheid » et « voor de raad van de ouderen »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse, également en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément («‘s anderendaags »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « HIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « wordt ») et passant donc derrière lui.

Nom : GEBRACHT VTT BRENGEN BESSY 42 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/08/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De eland wordt aan boord gebracht » (« L’élan est porté à bord »). (N.B. : on est à la voix passive, l’auxiliaire étant « WORDEN » au lieu de « zijn ».)
On y trouve notamment la forme verbale « GEBRACHT », participe passé provenant de l’infinitif « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEBRACHT » est construit sur le SINGULIER du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
N’oublions pas que la forme verbale du participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« aan boord »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse, également en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEBRACHT VTT BRENGEN BESSY 15 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/08/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Met de twee bandieten op hun paard vastgebonden, wordt de kleine groep (…) naar het dorp (…) gebracht » (« Avec les deux bandits ligotés sur leur cheval, le petit groupe est amené vers le village »). (N.B. : on est à la voix passive, l’auxiliaire étant « WORDEN » au lieu de « zijn ».)
On y trouve notamment la forme verbale « GEBRACHT », participe passé provenant de l’infinitif « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEBRACHT » est construit sur le SINGULIER du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
N’oublions pas que la forme verbale du participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« naar het dorp »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse, également en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Met de twee bandieten op hun paard vastgebonden »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « HIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « wordt ») et passant donc derrière lui.

Nom : GEBRACHT VTT BRENGEN 2 SAFARI 2 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/08/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij (Ellen) wordt naar het kamp gebracht » (« Elle est portée = emmenée = conduite au camp »). (N.B. : on est à la voix passive, l’auxiliaire étant « WORDEN » au lieu de « zijn ».)
On y trouve notamment la forme verbale « GEBRACHT », participe passé provenant de l’infinitif « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEBRACHT » est construit sur le SINGULIER du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
N’oublions pas que la forme verbale du participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« naar het kamp »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse, également en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEBRACHT VTT BRENGEN 1 SAFARI 2 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/08/2017

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wanneer hij (Mgono) aankomt, wordt hij door hem (Sam) van de afspraak op de hoogte gebracht » (« Quand il arrive, il est mis au courant par lui du rendez-vous »). (N.B. : on est à la voix passive, l’auxiliaire étant « WORDEN » au lieu de « zijn ».)
On y trouve dans cette deuxième phrase notamment la forme verbale « GEBRACHT », participe passé provenant de l’infinitif « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEBRACHT » est construit sur le SINGULIER du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
N’oublions pas que la forme verbale du participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière tous les compléments (« door hem », « van de afspraak » et « op de hoogte »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse, également en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEBRACHT VTT BRENGEN 2 RODE RIDDER 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/08/2017

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Terwijl de gewonden naar een zaal (worden) gebracht worden, bestormen de Moren de tweede ring van kantelen » (« Tandis que les blessés sont portés dans une salle, les Maures se ruent sur le deuxième anneau de créneaux => la deuxième ligne d’enceinte »). (N.B. : on est à la voix passive, l’auxiliaire étant « WORDEN » au lieu de « zijn ».)
On y trouve dans cette deuxième phrase notamment la forme verbale « GEBRACHT », participe passé provenant de l’infinitif « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEBRACHT » est construit sur le SINGULIER du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
N’oublions pas que la forme verbale du participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« naar een zaal »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse, également en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEBRACHT VTT BRENGEN 1 RODE RIDDER 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/08/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (de rode ridder) wordt met geboeide handen voor het halfdronken gezelschap gebracht » (« Il est amené les mains entravées devant la société à moitié en état d’ébriété »). (N.B. : on est à la voix passive, l’auxiliaire étant « WORDEN » au lieu de « zijn ».)
On y trouve notamment la forme verbale « GEBRACHT », participe passé provenant de l’infinitif « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEBRACHT » est construit sur le SINGULIER du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
N’oublions pas que la forme verbale du participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« met geboeide handen naar het kamp » et « voor het halfdronken gezelschap »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse, également en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : OMGEBRACHT VTT OMBRENGEN RODE RIDDER 109 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/08/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij heeft hem (Leroux) omgebracht » (« Il l’a assassiné »).
On y trouve la forme verbale « OMgebracht », participe passé provenant de l’infinitif « OMbrengen », lui-même construit sur l’infinitif « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et est construit sur le SINGULIER du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « OMbrengen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OM » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « omGEbracht ».
Il y a REJET de la forme verbale du participe passé « OMgebracht » derrière le complément (« hem »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : DOORGEBRACHT VTT DOORBRENGEN ROBERT EN BERTRAND 37 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/08/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze hebben een stormachtige nacht in het bos doorgebracht » (« Ils ont passé une nuit d’orage dans le bois »).
On y trouve la forme verbale « DOORgebracht », participe passé provenant de l’infinitif « DOORbrengen », lui-même construit sur l’infinitif « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et est construit sur le SINGULIER du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « DOORbrengen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « DOOR » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « doorGEbracht ».
Il y a REJET de la forme verbale du participe passé « DOORgebracht » derrière les compléments (« een stormachtige nacht » et « in het bos »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

© 2017, Bernard GOORDEN, voor de grammatica. Autres exemples à http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=vandersteen

Nom : DOORGEBRACHT VTT DOORBRENGEN RODE RIDDER 109 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/08/2017

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De kapitein denkt dat ik de gehele reis aan boord van zijn schip doorgebracht » (« Le capitaine pense que j’ai passé tout le voyage sur son navire »).
On y trouve, dans la phrase subordonnée relative, la forme verbale « DOORgebracht », participe passé provenant de l’infinitif « DOORbrengen », lui-même construit sur l’infinitif « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et est construit sur le SINGULIER du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « DOORbrengen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « DOOR » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « doorGEbracht ».
Il y a REJET de la forme verbale du participe passé « DOORgebracht » derrière les compléments (« de gehele reis» et « aan boord van zijn schip »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : DOORGEBRACHT VTT DOORBRENGEN BESSY 59 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/08/2017

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Voor elk jaar dat ik in de gevangenis (heb) doorgebracht heb, krijg je een kogel in jouw huid » (« Pour chaque année que j’ai passée en prison, tu reçois une balle dans ta peau »).
On y trouve, dans la phrase subordonnée relative, la forme verbale « DOORgebracht », participe passé provenant de l’infinitif « DOORbrengen », lui-même construit sur l’infinitif « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et est construit sur le SINGULIER du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « DOORbrengen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « DOOR » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « doorGEbracht ».
Il y a REJET de la forme verbale du participe passé « DOORgebracht » derrière le complément (« in de gevangenis »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : BIJEENGEBRACHT VTT BIJEENBRENGEN BESSY 24 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/08/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « In het midden van een naburig bos zijn de vrouwen, kinderen en bejaarde mensen bijeengebracht » (« Au milieu d’un bois voisin, les femmes, enfants et personnes âgées sont rassemblés »).
On y trouve la forme verbale « BIJEENgebracht », participe passé provenant de l’infinitif « BIJEENbrengen », lui-même construit sur l’infinitif « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et est construit sur le SINGULIER du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « BIJEENbrengen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « BIJEEN » (synonyme de « SAMEN » ou « bij elkaar ») de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « bijeenGEbracht ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« In het midden van een naburig bos »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de vrouwen, kinderen en bejaarde mensen ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « ZIJN ») et passant donc derrière lui.
S’il n’y avait eu cette « INVERSION » dans une variante de la phrase (« De vrouwen, kinderen en bejaarde mensen zijn in het midden van een naburig bos bijeengebracht »), on aurait vu plus clairement qu’il y a REJET de la forme verbale du participe passé « BIJEENgebracht » derrière le complément (« In het midden van een naburig bos »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : AANGEBRACHT VTT AANBRENGEN RODE RIDDER 6 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/08/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De lettertekens worden met penseel en inkt aangebracht » (« Les caractères sont appliqués avec un pinceau et de l’encre »). (N.B. : la phrase est à la voix passive, l’auxiliaire étant « WORDEN »)
On y trouve la forme verbale « AANgebracht », participe passé provenant de l’infinitif « AANbrengen », lui-même construit sur l’infinitif « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et est construit sur le SINGULIER du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « AANbrengen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGEbracht ».
Il y a REJET de la forme verbale du participe passé « aangebracht » derrière le complément (« met penseel en inkt »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEBRACHT VTT BRENGEN ROBERT EN BERTRAND 21 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/08/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Duizenden kogels door de hitte tot ontploffing gebracht fluiten hen om de oren » (« Des milliers de balles, menées à l’explosion par la chaleur = explosant à cause de la chaleur, leur sifflent aux oreilles »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEBRACHT », participe passé (utilisé ici comme adjectif) provenant de l’infinitif « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEBRACHT » est construit sur le SINGULIER du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Si on avait une variante de la phrase (« De kogels worden door de hitte tot ontploffing gebracht »), on verrait plus clairement que la forme verbale du participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« door de hitte » et « tot ontploffing »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse, également en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : UITGENODIGD VTT UITNODIGEN DAG EN HEIDI 14 JEFF BROECKX STUDIO VANDERSTEEN - Rajouté le 05/08/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Iedereen is (op het feest) uitgenodigd » (« Chacun est invité à la fête »).
On y trouve la forme verbale « UITgenodigd », participe passé provenant de l’infinitif « UITnodigen », lui-même construit sur l’infinitif « NODIGEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « G », on trouvera à la fin du participe passé le « D ».
Quand « UITnodigen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « uitGEnodigd ».
Il y a REJET de la forme verbale « UITgenodigd » derrière le complément éventuel (« op het feest ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
N.B. : beaucoup de mes anciens élèves mémorisaient difficilement l’infinitif « UITnodigen ». Je leur ai proposé le moyen mnémotechnique suivant. L’expression « nodig hebben » signifie « avoir besoin ». Quand on (un salarié) a besoin (pour une augmentation) de quelqu‘un (son patron), on peut l’amener hors (« UIT ») de chez lui et donc on l’invite, par exemple, à partager un repas au restaurant ou chez soi.

© 2017, Bernard GOORDEN, voor de grammatica. Autres exemples à http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=vandersteen

Nom : OPGEZEGD VTT OPZEGGEN SAFARI 1 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/08/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Waarom heeft een beroemdE jachtopziener zijn post opgezegd ? » (« Pourquoi un célèbre garde-chasse a-t-il démissionné de son poste ? »).
On y trouve la forme verbale « OPgezegd », participe passé provenant de l’infinitif « OPzeggen », lui-même construit sur l’infinitif « ZEGGEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » (lui, au V.T.T.) et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « G », on trouvera à la fin du participe passé le « D ».
Quand « OPzeggen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEzegd ».
Il y a REJET de la forme verbale « OPgezegd » derrière le complément (« zijn post ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : OPGESTELD VTT OPSTELLEN RODE RIDDER 109 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/08/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het Vlaamse leger, hoofdzakelijk voetvolk, heeft zich achter de Groeningerbeek opgesteld » (« L’armée flamande, composée principalement de gens à pieds / fantassins, s’est mise / rangée en ordre de bataille derrière le ruisseau de Groeningen »).
On y trouve la forme verbale « OPgesteld », participe passé provenant de l’infinitif « OPstellen », lui-même construit sur l’infinitif « STELLEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « L », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire.
Quand « OPstellen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEsteld ».
Il y a REJET de la forme verbale « OPgesteld » derrière le complément (« achter de Groeningerbeek ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : OPGESTAPELD VTT OPSTAPELEN BESSY 4 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/08/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Deze takken worden weer bedekt met bizonvellen (bedekt) en dan worden de met vlees gevulde darmen in deze soort kelders opgestapeld » (« Ces branches sont à nouveau couvertes avec des peaux de bison et alors les intestins remplis de viande sont empilés dans ces sortes de caves »).
On y trouve la forme verbale « OPgestapeld », participe passé provenant de l’infinitif « OPstapelen », lui-même construit sur l’infinitif « STAPELEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « L », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire.
Quand « OPstapelen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEstapeld ».
Il y a REJET de la forme verbale « OPgestapeld » derrière le complément (« in deze soort kelders ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : OPGEJAAGD VTT OPJAGEN BESSY 15 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/08/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Opgejaagd door de zweepslagen en het geblaf, trekken de paarden uit alle macht » («Harcelés par les coups de fouet et les aboiements, les chevaux tirent de toutes leurs forces »).
On y trouve la forme verbale « OPgejaagd », participe passé provenant de l’infinitif « OPjagen », lui-même construit sur l’infinitif « JAGEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » (lui, au V.T.T.) et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « G », on trouvera à la fin du participe passé le « D ».
Quand « OPjagen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEjaagd ».
Si on avait une variante de la phrase (« De paarden worden door de zweepslagen en het geblaf opgejaagd »), on aurait mieux vu qu’il y a REJET de la forme verbale « OPgejaagd » derrière le complément (« door de zweepslagen en het geblaf ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : OPGEGRAVEN VTT OPGRAVEN BESSY 34 VANDERSTEEN - Rajouté le 31/07/2017

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Geen oorlog kan (worden) begonnen worden zonder dat, eerst, de heilige strijdbijl (uit aarde) is opgegraven » (« Aucune guerre ne peut être commencée sans que, d’abord, la hache de guerre sacrée soit déterrée »).
On y trouve la forme verbale « OPgegraven », participe passé provenant de l’infinitif « OPgraven », lui-même construit sur l’infinitif « GRAVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « OPgraven » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEgraven ».
Il y a REJET de la particule ou de la forme verbale derrière le complément éventuel (« uit aarde ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Pour complément d’informations concernant les « temps primitifs », consultez par exemple notre tableau de synthèse sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé : http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : OPGEWACHT VTT OPWACHTEN BESSY 24 VANDERSTEEN - Rajouté le 30/07/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Aan de voet van een boom worden ze door een Indiaan opgewacht » (« Au pied d’un arbre, ils sont attendus par un Indien »).
On y trouve la forme verbale « OPgewacht », participe passé provenant de l’infinitif « OPwachten », lui-même construit sur l’infinitif « WACHTEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant déjà par la consonne « T », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Quand « OPwachten » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEwacht ».
Il y a REJET de la forme verbale « OPgewacht » derrière le complément (« door een Indiaan ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : OPGERICHT VTT OPRICHTEN RODE RIDDER 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 29/07/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De eerste stormladders worden tegen de muren van Crowstone opgericht » (« Les premières échelles furent dressées contre les murs de Crowstone »).
On y trouve la forme verbale « OPgericht », participe passé provenant de l’infinitif « OPrichten », lui-même construit sur l’infinitif « RICHTEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant déjà par la consonne « T », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Quand « OPrichten » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEricht ».
Il y a REJET de la forme verbale « OPgericht » derrière le complément (« tegen de muren») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : OPGEPAST VTT OPPASSEN RODE RIDDER 109 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/07/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « (Er moet) opgepast (worden) ! Een tweede groep Franse ridders breekt door ! » (« On doit faire attention ! Un deuxième groupe de chevaliers français perce ! »).
On y trouve la forme verbale « OPgepast », participe passé provenant de l’infinitif « OPpassen », lui-même construit sur l’infinitif « PASSEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « S », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Quand « OPpassen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEpast ».
S’il y avait une variante de la phrase (« Er moet op de tweede groep Franse ridders worden opgepast ! »), on aurait un REJET de la forme verbale « OPgepast » derrière le complément («op de tweede groep Franse ridders ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Si l’on utilisait l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN », on serait à la voix passive.

Nom : OPGEHITST VTT OPHITSEN RODE RIDDER 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/07/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « (Door haar) opgehitst door haar (Marion), valt hij wild aan » (« Excité = incité par elle, il attaque sauvagement »).
On y trouve la forme verbale « OPgehitst », participe passé provenant de l’infinitif « OPhitsen », lui-même construit sur l’infinitif « HITSEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « S », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Quand « OPhitsen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEhitst ».
S’il y avait une variante de la phrase (« Hij wordt door haar opgehitst »), on aurait un REJET de la forme verbale « OPgehitst » derrière le complément («door haar ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : OPGEHITST VTT OPHITSEN ROBERT EN BERTRAND 15 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/07/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De gemoederen zijn (genoeg) opgehitst » (« Les esprits sont excités = échauffés »).
On y trouve la forme verbale « OPgehitst », participe passé provenant de l’infinitif « OPhitsen », lui-même construit sur l’infinitif « HITSEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « S », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Quand « OPhitsen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEhitst ».
Il y a REJET de la forme verbale « OPgehitst » derrière le complément éventuel (« genoeg ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : OPGEWONDEN VTT OPWINDEN SAFARI 2 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/07/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een opgewonden jongen (Tim) achtervolgt het diertje » (« Un garçon excité poursuit le petit animal »).
On y trouve la forme verbale « OPgewonden », participe passé (utilisé ici comme adjectif épithète) provenant de l’infinitif « OPwinden », lui-même construit sur l’infinitif « WINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « OPwinden » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEwonden ».
Si on avait une variante de la phrase (« De jongen is door het diertje opgewonden »), on aurait mieux vu qu’il y a REJET de la particule ou de la forme verbale complète derrière le complément (« door het diertje ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Pour complément d’informations concernant les « temps primitifs », consultez par exemple notre tableau de synthèse sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé : http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : OPGEWONDEN VTT OPWINDEN 2 SAFARI 8 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/07/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het oorverdovende lawaai schrikt de olifanten even af en de kudde wacht opgewonden de nacht af » (« Le vacarme assourdissant effraie les éléphants et le troupeau attend la nuit, surexcité »).
On y trouve la forme verbale « OPgewonden », participe passé (utilisé ici comme attribut) provenant de l’infinitif « OPwinden », lui-même construit sur l’infinitif « WINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « OPwinden » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEwonden ».
Si on avait une variante de la phrase (« De olifanten worden door het oorverdovende lawaai opgewonden »), on aurait mieux vu qu’il y a REJET de la particule ou de la forme verbale complète derrière le complément (« door het oorverdovende lawaai ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Pour complément d’informations concernant les « temps primitifs », consultez par exemple notre tableau de synthèse sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé : http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : OPGEWONDEN VTT OPWINDEN 1 SAFARI 8 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/07/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij springt gillend voor de opgewonden olifant » (« Il bondit en hurlant devant l’éléphant surexcité »).
On y trouve la forme verbale « OPgewonden », participe passé (utilisé ici comme adjectif épithète) provenant de l’infinitif « OPwinden », lui-même construit sur l’infinitif « WINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « OPwinden » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEwonden ».
Si on avait une variante de la phrase (« De olifant wordt door zijn geschreeuwen opgewonden »), on aurait mieux vu qu’il y a REJET de la particule ou de la forme verbale complète derrière le complément (« door zijn geschreeuwen ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Pour complément d’informations concernant les « temps primitifs », consultez par exemple notre tableau de synthèse sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé : http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : OPGEWONDEN VTT OPWINDEN RODE RIDDER 63 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/07/2017

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maar hij (Urias = de arend) krijst opgewonden wanneer zijn scherpe ogen voetafdrukken in de sneeuw waarnemen » (« Mais il pousse un cri excité = d’excitation quand ses yeux aigus = sa vue perçante aperçoivent des empreintes de pieds = des traces de pas dans la neige »).
On y trouve la forme verbale « OPgewonden », participe passé provenant de l’infinitif « OPwinden », lui-même construit sur l’infinitif « WINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « OPwinden » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEwonden ».
Si on avait une variante de la phrase (« Een kreet komt uit zijn snavel opgewonden »), on aurait mieux vu qu’il y a REJET de la particule ou de la forme verbale complète derrière le complément («uit zijn snavel ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Pour complément d’informations concernant les « temps primitifs », consultez par exemple notre tableau de synthèse sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé : http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : OPGEZOCHT VTT OPZOEKEN BESSY 42 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/07/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We hebben hen opgezocht » (« Nous les avons recherchés »).
On y trouve la forme verbale « OPgezocht », participe passé provenant de l’infinitif « OPzoeken », lui-même construit sur l’infinitif « ZOEKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « OPzoeken » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEzocht ».
Il y a REJET de la particule derrière le complément (« HEN ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Pour complément d’informations concernant les « temps primitifs », consultez par exemple notre tableau de synthèse sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé : http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : OPGEZOCHT VTT OPZOEKEN KARL MAY 13 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/07/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De stam heeft een nieuwe nederzetting opgezocht » (« La tribu a cherché une nouvelle implantation »).
On y trouve la forme verbale « OPgezocht », participe passé provenant de l’infinitif « OPzoeken », lui-même construit sur l’infinitif « ZOEKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « OPzoeken » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEzocht ».
Il y a REJET de la particule derrière le complément (« een nieuwe nederzetting ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Pour complément d’informations concernant les « temps primitifs », consultez par exemple notre tableau de synthèse sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé : http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : OPGEGAAN VTT OPGAAN KARL MAY 7 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/07/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het is alsof hij in rook (is) opgegaan is » (« C’est comme s’il s’est évanoui en fumée »).
On y trouve la forme verbale « OPgegaan », participe passé provenant de l’infinitif « OPgaan », lui-même construit sur l’infinitif « GAAN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « OPgaan » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEgaan ».
Il y a REJET de la particule ou de la forme verbale derrière le complément («in rook») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Pour complément d’informations concernant les « temps primitifs », consultez par exemple notre tableau de synthèse sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé : http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : OPGEBROKEN VTT OPBREKEN RODE RIDDER 10 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/07/2017

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wanneer de achtervolgers ter plaatse komen, heeft hij (Johan) de helft van het brugje opgebroken » (« Quand les poursuivants arrivent sur place, il a démonté la moitié du petit pont »).
On y trouve la forme verbale « OPgebroken », participe passé provenant de l’infinitif « OPbreken », lui-même construit sur l’infinitif « BREKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « OPbreken » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEbroken ».
Il y a REJET de la particule ou de la forme verbale derrière le complément (« de helft van het brugje ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Pour complément d’informations concernant les « temps primitifs », consultez par exemple notre tableau de synthèse sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé : http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : OPGEHEVEN VTT OPHIJVEN BESSY 54 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/07/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Moh-Wapi) heeft de hand tegen een zijner (= van zijn) broeders opgeheven » (« Il a levé la main contre = sur un de ses frères »).
On y trouve la forme verbale « OPgeheven », participe passé provenant de l’infinitif « OPhijven », lui-même construit sur l’infinitif « HIJVEN », qui n’existe plus mais aurait fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » comme ceux en « IJ ».
Quand « OPhijven » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEheven ».
Il y a REJET de la particule derrière les compléments (« de hand » et « tegen een zijner broeders ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Pour complément d’informations concernant les « temps primitifs », consultez par exemple notre tableau de synthèse sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé : http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : OPGEHEVEN VTT OPHIJVEN SAFARI 2 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/07/2017

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Thusk = de olifant) gaat wild tekeer en (hij) zoekt met opgeheven slurf naar de onzichtbare vijand » (« Il fulmine sauvagement et, la trompe dressée, il cherche l’ennemi invisible »).
On y trouve la forme verbale « OPgeheven », participe passé (utilisé ici comme adjectif épithète) provenant de l’infinitif « OPhijven », lui-même construit sur l’infinitif « HIJVEN », qui n’existe plus mais aurait fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » comme ceux en « IJ ».
Quand « OPhijven » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEheven ».
Si on avait une variante de la phrase (« De olifant hijft met zijn slurf naar de onzichtbare vijand op »), on aurait mieux vu qu’il y a REJET de la particule ou de la forme verbale derrière les compléments (« met hun slurf » et « naar de onzichtbare vijand ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Pour complément d’informations concernant les « temps primitifs », consultez par exemple notre tableau de synthèse sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
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Nom : OPGEHEVEN VTT OPHIJVEN SAFARI 1 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/07/2017

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « In de savannah staan enkele olifanten, die met opgeheven slurf zenuwachtig de omtrek afsnuiven » (« Dans la savane se trouvent quelques éléphants qui, la trompe dressée, reniflent nerveusement les environs »).
On y trouve la forme verbale « OPgeheven », participe passé (utilisé ici comme adjectif épithète) provenant de l’infinitif « OPhijven », lui-même construit sur l’infinitif « HIJVEN », qui n’existe plus mais aurait fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » comme ceux en « IJ ».
Quand « OPhijven » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEheven ».
Si on avait une variante de la phrase (« Enkele olifanten heven met hun slurf zenuwachtig op »), on aurait mieux vu qu’il y a REJET de la particule ou de la forme verbale derrière le complément (« met hun slurf ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Pour complément d’informations concernant les « temps primitifs », consultez par exemple notre tableau de synthèse sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
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Nom : OPGEHOUDEN VTT OPHOUDEN 1 ROBERT EN BERTRAND 15 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/07/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het konvooi werkwilligen, begeleid door soldaten, wordt door een jouwende menigte opgehouden » (« Le convoi de volontaires au travail = non-grévistes, accompagné de soldats, est arrêté par une foule vociférante »). (N.B. : WORDEN = auxiliaire voix passive)
On y trouve la forme verbale « OPgehouden », participe passé provenant de l’infinitif « OPhouden », lui-même construit sur l’infinitif « HOUDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « OPhouden » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEhouden ».
Il y a REJET de la forme verbale « OPgehouden » derrière le complément (« door een jouwende menigte») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Pour complément d’informations concernant les « temps primitifs », consultez par exemple notre tableau de synthèse sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé : http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : OPGETREDEN VTT OPTREDEN ROBERT EN BERTRAND 15 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/07/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Volgens dit rapport ben je nogal zelfstandig opgetreden » (« Suivant ce rapport, tu es intervenu de façon relativement indépendante »).
On y trouve la forme verbale « OPgetreden », participe passé provenant de l’infinitif « OPtreden », lui-même construit sur l’infinitif « TREDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « OPtreden » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEtreden ».
Il y a REJET de la forme verbale « OPgetreden » derrière le complément (« nogal zelfstandig ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Pour complément d’informations concernant les « temps primitifs », consultez par exemple notre tableau de synthèse sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
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Nom : OPGEWASSEN VTT OPWASSEN ROBERT EN BERTRAND 5 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/07/2017

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik wilde bewijzen dat ik tegen die boeven (ben) opgewassen ben » (« Je voulais prouver que je fais le poids contre ces malfaiteurs »).
On y trouve la forme verbale « OPgewassen », participe passé provenant de l’infinitif « OPwassen », lui-même construit sur l’infinitif « WASSEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « OPwassen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEwassen ».
Il y a REJET de la forme verbale « OPgewassen » derrière le complément (« tegen die boeven ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Pour complément d’informations concernant les « temps primitifs », consultez par exemple notre tableau de synthèse sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
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Nom : OPGEGEVEN VTT OPGEVEN ROBERT EN BERTRAND 21 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/07/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze zijn als vermist opgegeven » (« Ils sont donnés comme manquants = ils sont portés disparus »).
On y trouve la forme verbale « OPgegeven », participe passé provenant de l’infinitif « OPgeven », lui-même construit sur l’infinitif « SLAGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « OPgeven » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEgeven ».
Il y a REJET de la forme verbale « OPgegeven » derrière le complément (« Als vermist ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
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Pour complément d’informations concernant les « temps primitifs », consultez par exemple notre tableau de synthèse sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
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Nom : OPGESLAGEN VTT OPSLAAN 2 ROBERT EN BERTRAND 21 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/07/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het buskruit wordt weer in een ander gebouw opgeslagen » (« La poudre à canon est à nouveau entreposée dans un autre bâtiment »). (N.B. : WORDEN est l’auxiliaire de la voix passive)
On y trouve la forme verbale « OPgeslagen », participe passé provenant de l’infinitif « OPslaan », lui-même construit sur l’infinitif « SLAAN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « OPslagen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEslagen ».
Il y a REJET de la forme verbale « OPgeslagen » derrière les compléments (« weer » et « in een ander gebouw ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Pour complément d’informations concernant les « temps primitifs », consultez par exemple notre tableau de synthèse sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : OPGESLAGEN VTT OPSLAAN 1 ROBERT EN BERTRAND 21 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/07/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het buskruit wordt (in de fabriek) opgeslagen » (« La poudre à canon est entreposée »). (N.B. : WORDEN est l’auxiliaire de la voix passive)
On y trouve la forme verbale « OPgeslagen », participe passé provenant de l’infinitif « OPslaan », lui-même construit sur l’infinitif « SLAAN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « OPslagen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEslagen ».
Il y a REJET de la forme verbale « OPgeslagen » derrière le complément éventuel («in de fabriek ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Pour complément d’informations concernant les « temps primitifs », consultez par exemple notre tableau de synthèse sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : WEGGESLOPEN VTT WEGSLUIPEN SAFARI 2 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/07/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Inmiddels is hij (Mgono) ongemerkt van het kamp weggeslopen » (« Entretemps, il s’est glissé hors du camp sans se faire remarquer = il s’est éclipsé / il a filé en douce du camp »).
On y trouve la forme verbale « WEGgeslopen », participe passé provenant de l’infinitif «WEGsluipen», lui-même construit sur l’infinitif « SLUIPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé : http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « WEGsluipen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « WEG » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « wegGEslopen ».
Il y a REJET de la forme verbale du participe passé « WEGgeslopen », derrière les compléments (« ongemerkt » et « van het kamp »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : WEGGEWORPEN VTT WEGWERPEN KARL MAY 14 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/07/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je hebt de zilverbuks weggeworpen " (« Tu as jeté (au loin) la carabine en argent »).
On y trouve la forme verbale « WEGgeworpen », participe passé provenant de l’infinitif «WEGwerpen», lui-même construit sur l’infinitif « WERPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé : http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « WEGwerpen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « WEG » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « wegGEworpen ».
Il y a REJET de la forme verbale du participe passé « WEGgeworpen », derrière le complément (« de zilverbuks »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : WEGGEGAAN VTT WEGGAAN BESSY 59 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/07/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Vader is net weggegaan » (« Père s’en est juste allé = vient de partir »).
On y trouve la forme verbale « WEGgegaan », participe passé provenant de l’infinitif «WEGgegaan», lui-même construit sur l’infinitif « GAAN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « WEGgegaan » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « WEG » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « wegGEgegaan ».
Il y a REJET de la forme verbale du participe passé « WEGgegaan », derrière le complément (« NET »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : WEGGESTOKEN VTT WEGSTEKEN RODE RIDDER 38 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/07/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Mijn zwaard is niet (in mijn schede) weggestoken ! » (« Mon épée n’est pas rangée = rengainée ! »).
On y trouve la forme verbale « WEGgestoken », participe passé provenant de l’infinitif «WEGsteken», lui-même construit sur l’infinitif « STEKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « WEGsteken » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « WEG » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « wegGEstoken ».
Il y a REJET de la forme verbale du participe passé « WEGgestoken », derrière le complément éventuel (« in mijn schede »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : WEGGEDRAGEN VTT WEGDRAGEN RODE RIDDER 38 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/07/2017

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Johan) wordt stevig gebonden en (hij wordt) door de waterduivel weggedragen » (« Il est solidement attaché et emporté par le diable d’eau »).
On y trouve la forme verbale « WEGgedragen », participe passé provenant de l’infinitif «WEGdragen», lui-même construit sur l’infinitif « DRAGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « WEGdragen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « WEG » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « wegGEdragen ».
Il y a REJET de la forme verbale du participe passé « WEGgedragen », derrière le complément (« door de waterduivel »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : WEGGEVOERD VTT WEGVOEREN ROBERT EN BERTRAND 35 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/07/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ondanks het protest worden de drie mannen weggevoerd » (« Malgré la = leur protestation, les trois hommes sont emmenés »).
On y trouve la forme verbale « WEGgevoerd », participe passé provenant de l’infinitif « WEGvoeren », lui-même construit sur l’infinitif « VOEREN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « R », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire.
Quand « WEGvoeren » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « WEG » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « wegGEvoerd ».
S’il n’y avait pas eu INVERSION (la phrase commençant par le complément) on aurait vu qu’il y a REJET de la forme verbale « WEGgevoerd » derrière ce complément («ondanks het protest») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : WEGGEMAAID VTT WEGMAAIEN ROBERT EN BERTRAND 35 VANDERSTEEN - Rajouté le 30/06/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Gehele bataljons worden door het geschut weggemaaid » («Des bataillons entiers sont fauchés par l’artillerie»).
On y trouve la forme verbale « WEGgemaaid », participe passé provenant de l’infinitif « WEGmaaien », lui-même construit sur l’infinitif « MAAIEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la voyelle « I », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire.
Quand « WEGmaaien » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « WEG » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « wegGEmaaid ».
Il y a REJET de la forme verbale « WEGgemaaid » derrière le complément (« door het geschut ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : WEGGELOODST VTT WEGLOODSEN ROBERT EN BERTRAND 21 VANDERSTEEN - Rajouté le 29/06/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wij werden netjes weggeloodst » (« Nous étions soigneusement égarés = mis sur une fausse piste »).
On y trouve la forme verbale « WEGgeloodst », participe passé provenant de l’infinitif « WEGloodsen », lui-même construit sur l’infinitif « LOODSEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par une des consonnes présente dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « S », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Quand « WEGloodsen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « WEG » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « wegGEloodst ».
Il y a REJET de la forme verbale « WEGgeloodst » derrière le complément (« netjes ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé (ici à l’O.V.T. ou prétérit) au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : WEERGEKEERD VTT WEERKEREN RODE RIDDER 17 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/06/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (de Rode Ridder) is inmiddels naar zijn vriend (…) weergekeerd / teruggekeerd » (« Il est pendant ce temps retourné vers / chez son ami »).
On y trouve la forme verbale « WEERgekeerd », participe passé provenant de l’infinitif « WEERkeren », lui-même construit sur l’infinitif « KEREN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « L », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire.
Quand « WEERkeren » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « WEER » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « weerGEkeerd ».
Il y a REJET de la forme verbale « WEERgekeerd » derrière les compléments (« inmiddels » et «naar zijn vriend ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : TERUGGEZONDEN VTT TERUGZENDEN SAFARI 1 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/06/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Bwana Sam) heeft me teruggezonden » (« Il m’a renvoyé »).
On y trouve la forme verbale « TERUGgezonden », participe passé provenant de l’infinitif «TERUGzenden», lui-même construit sur l’infinitif « ZENDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et est construit sur le PLURIEL du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « TERUGzenden » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERUG » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « terugGEzonden ». Il y a REJET de la forme verbale du participe passé « TERUGgezonden », derrière le complément (« me »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : TERUGGEVONDEN VTT TERUGVINDEN BESSY 54 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/06/2017

Description : La triple phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Vooraleer ze de list ontdekt hebben en (vooraleer ze) hun makker teruggevonden (hebben), zal ik ver weg zijn » (« Avant qu’ils aient découvert la ruse et retrouvé leur camarade, je serai loin »).
On y trouve la forme verbale « TERUGgevonden », participe passé provenant de l’infinitif «TERUGvinden», lui-même construit sur l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et est construit sur le PLURIEL du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « TERUGvinden » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERUG » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « terugGEvonden ». Il y a REJET de la forme verbale du participe passé « TERUGgevonden », derrière le complément (« hun makker »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : TERUGGEVONDEN VTT TERUGVINDEN BESSY 15 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/06/2017

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « « Ik heb besloten niet terug naar de stad te gaan, alvorens hun spoor (te hebben) teruggevonden te hebben » (« J’ai décidé de ne pas retourner (= aller de retour) en ville, avant d’avoir retrouvé leur trace »).
On y trouve la forme verbale « TERUGgevonden », participe passé provenant de l’infinitif «TERUGvinden», lui-même construit sur l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et est construit sur le PLURIEL du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé : http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « TERUGvinden » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERUG » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « terugGEvonden ». Il y a REJET de la forme verbale du participe passé « TERUGgevonden », derrière le complément (« hun spoor »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : TERUGGEGEVEN VTT TERUGGEVEN KARL MAY 14 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/06/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De geesten hebben ze (= « de toverbuks ») hem teruggegeven ! » (« Les esprits la lui ont rendue ! »).
On y trouve la forme verbale « TERUGgegeven », participe passé provenant de l’infinitif «TERUGgeven», lui-même construit sur l’infinitif « GEVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « TERUGgeven » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERUG » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « terugGEgeven ». Il y a REJET de la forme verbale du participe passé « TERUGgegeven », derrière les compléments (« ze » et « hem »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : TERUGGESCHONKEN VTT TERUGSCHENKEN KARL MAY 14 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/06/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De toverbuks werd mij door de geesten teruggeschonken » (« La carabine magique me fut offerte en retour par les esprits »).
On y trouve la forme verbale « TERUGgeschonken », participe passé provenant de l’infinitif «TERUGschenken», lui-même construit sur l’infinitif « SCHENKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et est construit sur le PLURIEL du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « TERUGschenken » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERUG » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « terugGEschonken ». Il y a REJET de la forme verbale du participe passé « TERUGgeschonken », derrière les compléments (« mij » et « door de geesten »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : TERUGGEKOMEN VTT TERUGKOMEN RODE RIDDER 38 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/06/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij is (in de burcht) teruggekomen » (« Il est revenu »).
On y trouve la forme verbale « TERUGgekomen », participe passé provenant de l’infinitif «TERUGkomen», lui-même construit sur l’infinitif « KOMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et est construit sur l’INFINITIF. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « TERUGkomen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERUG » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « terugGEkomen ». Il y a REJET de la forme verbale du participe passé « TERUGgekomen », derrière le complément éventuel (« in de burcht »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : TERUGGETROKKEN VTT TERUGTREKKEN ROBERT EN BERTRAND 15 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/06/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « « De Engelsen zijn afgevaren en het leger werd (van de stad) teruggetrokken » (« Les Anglais ont appareillé et l'armée a été retirée »).
On y trouve la forme verbale « TERUGgetrokken », participe passé provenant de l’infinitif «TERUGtrekken», lui-même construit sur l’infinitif « TREKKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et est construit sur le PLURIEL du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « TERUGtrekken » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERUG » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « terugGEtrokken ». Il y a REJET de la forme verbale du participe passé « TERUGgetrokken », derrière le complément éventuel (« van de stad »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : TERUGGEWORPEN VTT TERUGWERPEN ROBERT EN BERTRAND 35 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/06/2017

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « « Op het moment dat de storm losbreekt, worden de Fransen en de Italianen door een spervuur van de Oostenrijkse batterijen teruggeworpen »
(«Au moment où l’orage éclate, les Français et les Italiens sont repoussés par un tir de barrage des batteries autrichiennes»).
On y trouve la forme verbale « TERUGgeworpen », participe passé provenant de l’infinitif «TERUGwerpen», lui-même construit sur l’infinitif « WERPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé : http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « TERUGwerpen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERUG » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « terugGEworpen ». Il y a REJET de la forme verbale du participe passé « TERUGgeworpen », derrière le complément (« door een spervuur van de Oostenrijkse batterijen »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : TERUGGETROKKEN VTT TERUGTREKKEN 2 ROBERT EN BERTRAND 35 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/06/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « « De Oostenrijkers hebben zich (in de omgeving van Solferino) teruggetrokken » (« Henri Dunant s’est retiré dans les environs de Solférino »).
On y trouve la forme verbale « TERUGgetrokken », participe passé provenant de l’infinitif «TERUGtrekken», lui-même construit sur l’infinitif « TREKKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et est construit sur le PLURIEL du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « TERUGtrekken » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERUG » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « terugGEtrokken ». Il y a REJET de la forme verbale du participe passé « TERUGgetrokken », derrière le complément éventuel (« in de omgeving van Solferino »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : TERUGGEDREVEN VTT TERUGDRIJVEN BESSY 54 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/06/2017

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Codha) is weldra ontwapend en (hij) wordt (weldra) teruggedreven » (« Il est désarmé et repoussé »).
On y trouve la forme verbale « TERUGgedreven », participe passé provenant de l’infinitif «TERUGdrijven», lui-même construit sur l’infinitif « DRIJVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et est construit sur le PLURIEL du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « TERUGdrijven » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERUG » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « terugGEdreven ». Il y a REJET de la forme verbale du participe passé « TERUGgedreven », derrière le complément éventuel (« weldra »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : UITGEROEID VTT UITROEIEN SAFARI 1 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/06/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Bavianen worden door hem (de luipaard) uitgeroeid » (« Les babouins sont exterminés par lui »).
On y trouve la forme verbale « UITgeroeid », participe passé provenant de l’infinitif « UITroeien », lui-même construit sur l’infinitif « ROEIEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la voyelle « I », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire.
Quand « UITroeien » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « uitGEroeid ».
Il y a REJET de la forme verbale « UITgeroeid » derrière le complément (« door hem ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : UITGEMOORD VTT UITMOORDEN RODE RIDDER 109 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/06/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Franse soldeniers hebben uw hele gezin uitgemoord ! » (« Des mercenaires français ont massacré toute votre famille ! »).
On y trouve la forme verbale « UITgemoord », participe passé provenant de l’infinitif « UITmoorden », lui-même construit sur l’infinitif « MOORDEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant déjà par la consonne « D », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire.
Quand « UITmoorden » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « uitGEmoord ».
Il y a REJET de la forme verbale « UITgemoord » derrière le complément (« uw hele gezin ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : UITGEWOED VTT UITWOEDEN ROBERT EN BERTRAND 21 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/06/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Bij dageraad is de brand uitgewoed » = « De brand is bij dageraad uitgewoed » (« A l’aurore, l’incendie s’est apaisé »).
On y trouve la forme verbale « UITgewoed », participe passé provenant de l’infinitif « UITwoeden », lui-même construit sur l’infinitif « WOEDEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant déjà par la consonne « D », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire.
Quand « UITwoeden » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « uitGEwoed ».
Dans la phrase où il n’y a pas inversion, on voit qu’il y a REJET de la forme verbale « UITgewoed » derrière le complément (« bij dageraad ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : UITGEMERGELD VTT UITMERGELLEN ROBERT EN BERTRAND 15 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/06/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « « Zij kwijnt weg / wordt (door de ellende) uitgemergeld » (« Elle dépérit, décharnée »).
On y trouve la forme verbale « UITgemergeld », participe passé provenant de l’infinitif « UITmergellen », lui-même construit sur l’infinitif « MERGELLEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « L », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire.
Quand « UITmergellen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « uitGEmergeld ».
Il y a REJET de la forme verbale « UITgemergeld » derrière le complément éventuel (« door de ellende ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : UITGEHONGERD VTT UITHONGEREN BESSY 59 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/06/2017

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Als hij (eindelijk) (is) uitgehongerd is, zal hij niet aarzelen een weerloze man aan te vallen » (« S’il est affamé, il ne va pas hésiter à attaquer un homme sans défense »).
On y trouve la forme verbale « UITgehongerd », participe passé provenant de l’infinitif « UIThongeren », lui-même construit sur l’infinitif « HONGEREN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « R », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire.
Quand « UIThongeren » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « uitGEhongerd ».
Il y a REJET de la forme verbale « UITgehongerd » derrière le complément éventuel (« eindelijk ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : UITGEDROOGD VTT UITDROGEN KARL MAY 7 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/06/2017

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het is alsof de bron in één nacht uitgedroogd is » (« C’est comme si la source s’est asséchée en une seule nuit »).
On y trouve la forme verbale « UITgedroogd », participe passé provenant de l’infinitif « UITdrogen », lui-même construit sur l’infinitif « DROGEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « G », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire.
Quand « UITdrogen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « uitGEdroogd ».
Il y a REJET de la forme verbale « UITgedroogd » derrière le complément (« in één nacht ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : UITGESTOTEN VTT UITSTUITEN RODE RIDDER 38 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/06/2017

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze hebben hem uitgelachen … Ze hebben hem uitgestoten » (« Ils se sont moqués de lui … Ils l’ont expulsé »).
On y trouve notamment la forme verbale « UITgestoten », participe passé provenant de l’infinitif «UITstuiten», lui-même construit sur l’infinitif « STUITEN » qui fait l’objet des « temps primitifs » et dont le participe passé se construit sur le PLURIEL de l’O.V.T. (ou prétérit), les « UI » donnant des « O ».
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « UITstuiten » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « uitGEstoten ». Le même processus de construction s’applique pour « UITlachen ».
Il y a REJET de la forme verbale « UITgestoten » derrière le complément (« hem ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : UITGEHAALD VTT UITHALEN ROBERT EN BERTRAND 35 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/06/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Onder dit slogan zijn er al veel beest(acht)igheden uitgehaald » (« Sous ce slogan, il y a déjà eu beaucoup d’actes bestiaux commis = On a déjà commis beaucoup d’actes bestiaux au nom de ce slogan ! »).
On y trouve la forme verbale « UITgehaald », participe passé provenant de l’infinitif « UIThalen », lui-même construit sur l’infinitif « VOEREN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « L », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire.
Quand « UIThalen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « uitGEhaald ».
Il y a REJET de la forme verbale « UITgehaald » derrière le complément (« AL ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase commençant par un complément, il y a INVERSION du sujet et du verbe. On aurait pu avoir la variante : « Veel beest(acht)igheden zijn onder dit slogan al uitgehaald »
Notons que l’on aurait aussi pu avoir une variante d’auxiliaire et cette phrase à la voix passive avec « WORDEN » (à l’O.V.T. ou prétérit) au lieu de l’auxiliaire « ZIJN » : « Onder dit slogan WERDEN er al veel beest(acht)igheden uitgehaald ! »
Rappelons enfin que les noms se terminant au singulier par le suffixe « -HEID », font un pluriel en « -HEDEN ».

Nom : UITGEWIST VTT UITWISSEN SAFARI 2 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/06/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « In het kamp is elk spoor grondig uitgewist » (« Dans le camp, chaque trace est minutieusement effacée »).
On y trouve la forme verbale « UITgewist », participe passé provenant de l’infinitif « UITwissen », lui-même construit sur l’infinitif « WISSEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « S », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Quand « UITwissen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « uitGEwist ».
Il y a REJET de la forme verbale « UITgewist » derrière le complément (« grondig ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : UITGEWIST VTT UITWISSEN BESSY 54 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/06/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb mijn sporen zo goed mogelijk uitgewist » (« J’ai effacé mes traces aussi bien que possible »).
On y trouve la forme verbale « UITgewist », participe passé provenant de l’infinitif « UITwissen », lui-même construit sur l’infinitif « WISSEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « S », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Quand « UITwissen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « uitGEwist ».
Il y a REJET de la forme verbale « UITgewist » derrière les compléments (« mijn sporen » et « zo goed mogelijk ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : UITGEWIST VTT UITWISSEN KARL MAY 13 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/06/2017

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij sleept een deken achter zich aan waarmee alle sporen zorgvuldig (worden) uitgewist worden » (« Il traîne une couverture derrière lui, avec laquelle toutes les traces sont effacées »). (N.B. : « waarmee » provient de « met wat »)
On y trouve, dans la phrase subordonnée (introduite par « waarmee ») la forme verbale « UITgewist », participe passé provenant de l’infinitif « UITwissen », lui-même construit sur l’infinitif « WISSEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « S », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Quand « UITwissen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « uitGEwist ».
Il y a REJET de la forme verbale « UITgewist » derrière le complément éventuel («zorgvuldig») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : UITGEBRAND VTT UITBRANDEN BESSY 15 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/06/2017

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hoe groot was onze verbazing en ons verdriet, toen we enkele mijlen verder hun uitgebrande wagen vonden ! » (« Comment (= comme = combien) notre étonnement et notre chagrin fut grand, quand nous trouvâmes, quelques miles plus loin, leur chariot entièrement brûlé ! »).
On y trouve la forme verbale « UITgebrand », participe passé (utilisé ici comme adjectif épithète) provenant de l’infinitif « UITbranden », lui-même construit sur l’infinitif « BRANDEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant déjà par la consonne « D », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire.
Quand « UITbranden » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « uitGEbrand ».
Dans la variante suivante de la phrase, « We vonden hun wagen die enkele mijlen verder was uitgebrand », on voit mieux Ie REJET de la forme verbale « UITgebrand » derrière le complément («enkele mijlen verder ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : UITGESTREKT VTT UITSTREKKEN RODE RIDDER 18 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/06/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Midden in een uitgestrekt gewelf met lichtgevende wanden, prijkt een reusachtige witmarmeren tempel » (« Au milieu d’une caverne voûtée étendue avec des parois luminescentes (donnant de la lumière), trône un gigantesque temple en marbre blanc »).
On y trouve la forme verbale « UITgestrekt », participe passé (utilisé ici comme adjectif épithète) provenant de l’infinitif « UITstrekken », lui-même construit sur l’infinitif « STREKKEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Quand « UITstrekken » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « uitGEstrekt ».
Si la phrase s’était présentée comme suit, « Een gewelf, dat met lichtgevende wanden wordt uitgestrekt », on aurait mieux vu qu’il y a REJET de la forme verbale « UITgestrekt » derrière le complément (« met lichtgevende wanden ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Dans ce cas, la phrase aurait été à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » serait utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : UITGESTREKT VTT UITSTREKKEN BESSY 59 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/06/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Hij ligt (= is) op de grond uitgestrekt» (« Il gît étendu sur le sol »)
On y trouve la forme verbale « UITgestrekt », participe passé provenant de l’infinitif « UITstrekken », lui-même construit sur l’infinitif « STREKKEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Quand « UITstrekken » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « uitGEstrekt ».
Il y a REJET de la forme verbale « UITgestrekt » derrière le complément (« op de grond ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : UITGEREIKT VTT UITREIKEN RODE RIDDER 19 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/06/2017

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Telkens worden nieuwe lansen uitgereikt en (telkens) wordt de strijd verbeten voortgezet » (« De nouvelles lances sont rompues à tous les coups et le combat est poursuivi acharné = avec acharnement »).
On y trouve la forme verbale « UITgereikt », participe passé (utilisé ici comme adjectif épithète) provenant de l’infinitif « UITreiken », lui-même construit sur l’infinitif « REIKEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Quand « UITreiken » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « uitGEreikt ».
S’il n’y avait pas eu INVERSION (phrase commençant par un complément, ici «telkens»), la phrase se serait présentée comme suit, « Nieuwe lansen worden telkens uitgereikt », on aurait mieux vu qu’il y a REJET de la forme verbale « UITgestrekt » derrière le complément (« telkens ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : UITGERUKT VTT UITRUKKEN BESSY 59 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/06/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Sid) heeft enkele droge grashalmen en twijgjes uitgerukt » (« Il a arraché quelques brindilles et brins d’herbe secs »).
On y trouve la forme verbale « UITgerukt », participe passé provenant de l’infinitif « UITrukken », lui-même construit sur l’infinitif « RUKKEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Quand « UITrukken » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « uitGErukt ».
Il y a REJET de la forme verbale « UITgerukt » derrière le complément (« enkele droge grashalmen en twijgjes ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

© 2017, Bernard GOORDEN, voor de grammatica. Autres exemples à http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=vandersteen

Nom : UITGERUKT VTT UITRUKKEN 1 ROBERT EN BERTRAND 37 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/06/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een hulpploeg is inderdaad uitgerukt » (« Une équipe d’aide = une expédition de secours est en effet détachée = dépêchée »).
On y trouve la forme verbale « UITgerukt », participe passé provenant de l’infinitif « UITrukken », lui-même construit sur l’infinitif « RUKKEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Quand « UITrukken » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « uitGErukt ».
Il y a REJET de la forme verbale « UITgerukt » derrière le complément («inderdaad») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

© 2017, Bernard GOORDEN, voor de grammatica. Autres exemples à http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=vandersteen

Nom : UITGERUKT VTT UITRUKKEN ROBERT EN BERTRAND 37 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/06/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een hulpploeg is inderdaad uitgerukt » (« Une équipe d’aide = une expédition de secours est en effet détachée = dépêchée »).
On y trouve la forme verbale « UITgerukt », participe passé provenant de l’infinitif « UITrukken », lui-même construit sur l’infinitif « RUKKEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Quand « UITrukken » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « uitGErukt ».
Il y a REJET de la forme verbale « UITgerukt » derrière le complément («inderdaad») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : UITGESPOOKT VTT UITSPOKEN ROBERT EN BERTRAND 37 VANDERSTEEN - Rajouté le 31/05/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wat mag die (hem) uitgespookt hebben ? » (« Qu’est-ce qui a pu l’effrayer à ce point ? »).
On y trouve la forme verbale « UITgespookt », participe passé provenant de l’infinitif « UITspoken », lui-même construit sur l’infinitif « SPOKEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Quand « UITspoken » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « uitGEspookt ».
Il y a REJET de la forme verbale « UITgespookt » derrière le complément (« die ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : UITGEPUT VTT UITPUTTEN SAFARI 1 VANDERSTEEN - Rajouté le 30/05/2017

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De gewonde baviaan is (nu) uitgeput en wacht met opengesperde muil zijn opvolger op » (« Le babouin blessé est épuisé et attend son poursuivant, la gueule écartée = béante »).
On y trouve la forme verbale « UITgeput », participe passé provenant de l’infinitif « UITputten », lui-même construit sur l’infinitif « PUTTEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant déjà par la consonne « T », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Quand « UITputten » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « uitGEput ».
Il y a REJET de la forme verbale « UITgeput » derrière le complément éventuel (« NU ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : UITGEPUT VTT UITPUTTEN ROBERT EN BERTRAND 37 VANDERSTEEN - Rajouté le 29/05/2017

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « (Hij is nu) uitgeput en stort met zijn last neer » (« Il est maintenant épuisé et s’effondre avec sa charge »).
On y trouve la forme verbale « UITgeput », participe passé provenant de l’infinitif « UITputten », lui-même construit sur l’infinitif « PUTTEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant déjà par la consonne « T », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Quand « UITputten » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « uitGEput ».
Il y a REJET de la forme verbale « UITgeput » derrière le complément éventuel («NU») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : UITGEPUT VTT UITPUTTEN BESSY 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/05/2017

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « (De vlinder is nu) uitgeput en laat zich op de aarde vallen » (« Epuisé, le papillon se laisse tomber sur la terre = le sol »).
On y trouve la forme verbale « UITgeput », participe passé provenant de l’infinitif « UITputten », lui-même construit sur l’infinitif « PUTTEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant déjà par la consonne « T », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Quand « UITputten » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « uitGEput ».
Il y a REJET de la forme verbale « UITgeput » derrière le complément éventuel («NU») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : OPGEROLD VTT OPROLLEN BESSY 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/05/2017

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De vlinder heeft een tong, die we hier half opgerold weergeven » (« Le papillon a une langue, que nous rendons = représentons ici à moitié enroulée »).
On y trouve la forme verbale « OPgerold », participe passé (utilisé ici comme adjectif attribut) provenant de l’infinitif « OProllen », lui-même construit sur l’infinitif « RANDEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant déjà par la consonne « D », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire.
Quand « OProllen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGErold ».
Si on avait eu une variante de la phrase comme « De tong van de vlinder is hier half opgerold », on aurait mieux vu qu’il y a REJET de la forme verbale « OPgerold » derrière les compléments (« hier » et « half ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : OPGESCHRIKT VTT OPSCHRIKKEN KARL MAY 7 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/05/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij (Ava) … wordt plots door verwarde geluiden opgeschrikt » (« Elle est soudain effrayée par des bruits confus »).
On y trouve la forme verbale « OPgeschrikt », participe passé provenant de l’infinitif « OPschrikken », lui-même construit sur l’infinitif « SCHRIKKEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Quand « OPschrikken » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEschrikt ».
Il y a REJET de la forme verbale « OPgeschrikt » derrière les compléments (« plots » et « door verwarde geluiden ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : OPGERICHT VTT OPRICHTEN KARL MAY 7 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/05/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Na hard werk worden de eerste palen voor het woonhuis opgericht » (« Après un dur travail, les premiers piliers pour l’habitation sont dressés »).
On y trouve la forme verbale « OPgericht », participe passé provenant de l’infinitif « OPrichten », lui-même construit sur l’infinitif « RICHTEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant déjà par la consonne « T », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Quand « OPrichten » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEricht ».
Il y a REJET de la forme verbale « OPgericht » derrière le complément (« voor het woonhuis ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : OPGERICHT VTT OPRICHTEN BESSY 54 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/05/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze hebben hun hutten achter de omheiningsmuur van een oude pueblo opgericht » (« Ils ont érigé leurs huttes derrière le mur d’enceinte d’un vieux pueblo = village »).
On y trouve la forme verbale « OPgericht », participe passé provenant de l’infinitif « OPrichten », lui-même construit sur l’infinitif « RICHTEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant déjà par la consonne « T », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Quand « OPrichten » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEricht ».
Il y a REJET de la forme verbale « OPgericht » derrière les compléments (« hun hutten » et « achter de omheiningsmuur van een oude pueblo ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : OPGEBRAND VTT OPBRANDEN BESSY 54 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/05/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De lont was bijna opgebrand » (« La mèche était presque consumée »).
On y trouve la forme verbale « OPgebrand », participe passé provenant de l’infinitif « OPbranden », lui-même construit sur l’infinitif « BRANDEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant déjà par la consonne « D », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire.
Quand « OPbranden » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEbrand ».
Il y a REJET de la forme verbale « OPgebrand » derrière le complément (« bijna ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : OPGELEVERD VTT OPLEVEREN ROBERT EN BERTRAND 35 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/05/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « En heeft de speurtocht in de vallei iets opgeleverd ? » (« Et est-ce que la traque dans la vallée a livré = donné quelque chose ? »).
On y trouve la forme verbale « OPgeleverd », participe passé provenant de l’infinitif « OPleveren », lui-même construit sur l’infinitif « LEVEREN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « R », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire.
Quand « OPleveren » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEleverd ».
Il y a REJET de la forme verbale « OPgeleverd » derrière les compléments (« in de vallei » et « iets ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : OPENGEBARST VTT OPENBARSTEN ROBERT EN BERTRAND 21 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/05/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Drie vergaarbakken (…) zijn (door de ontploffing) opengebarst » (« Trois réservoirs = cuvettes de descente se sont ouverts brusquement en se fêlant = ont crevé »).
On y trouve la forme verbale « OPENgebarst », participe passé provenant de l’infinitif « OPENbarsten », lui-même construit sur l’infinitif « BARSTEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant déjà par la consonne « T », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Quand « OPENbarsten » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OPEN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « openGEbarst ».
Il y a REJET de la forme verbale « OPENgebarst » derrière le complément éventuel (« door de ontploffing ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : OPGEPIKT VTT OPPIKKEN BESSY 59 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/05/2017

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De angstkreet van Mitho voorkomt niet dat hij (Motha) door de valk (wordt) opgepikt wordt » (« Le cri de peur de Mitho ne prévient pas que Motha soit saisi => emporté »).
On y trouve la forme verbale « OPgepikt », participe passé provenant de l’infinitif « OPpikken », lui-même construit sur l’infinitif « PIKKEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Quand « OPpikken » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEpikt ».
Il y a REJET de la forme verbale « OPgepikt » derrière le complément éventuel («door de valk ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : OPGEMERKT VTT OPMERKEN SAFARI 2 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/05/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « (Je hebt dat) goed opgemerkt ! » (« Tu l’as bien remarqué = observé »).
On y trouve la forme verbale « OPgemerkt », participe passé provenant de l’infinitif « OPmerken », lui-même construit sur l’infinitif « MERKEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Quand « OPmerken » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEmerkt ».
Il y a REJET de la forme verbale « OPgemerkt » derrière le complément (« GOED ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : OPGEMERKT VTT OPMERKEN ROBERT EN BERTRAND 35 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/05/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb haar meermaals opgemerkt » (« Je l’ai remarquée plus d’une fois »).
On y trouve la forme verbale « OPgemerkt », participe passé provenant de l’infinitif « OPmerken », lui-même construit sur l’infinitif « MERKEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Quand « OPmerken » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEmerkt ».
Il y a REJET de la forme verbale « OPgemerkt » derrière les compléments (« haar » et (« meermaals ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : OPGEMERKT VTT OPMERKEN 1 ROBERT EN BERTRAND 15 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/05/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Nol) wordt spoedig door de op de loer liggende stakers opgemerkt » (« Il est rapidement remarqué par les grévistes faisant le guet »). (N.B. : de stakers die op de loer lagen / waren)
On y trouve la forme verbale « OPgemerkt », participe passé provenant de l’infinitif « OPmerken », lui-même construit sur l’infinitif « MERKEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Quand « OPmerken » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEmerkt ».
Il y a REJET de la forme verbale « OPgemerkt » derrière le complément («door de op de loer liggende stakers ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : OPGEMERKT VTT OPMERKEN BESSY 24 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/05/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Aan boord van het schip werd het schot opgemerkt » (« A bord du navire, le tir = le coup de feu fut remarqué »).
On y trouve la forme verbale « OPgemerkt », participe passé provenant de l’infinitif « OPmerken », lui-même construit sur l’infinitif « MERKEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Quand « OPmerken » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEmerkt ».
Il y a REJET de la forme verbale « OPgemerkt » derrière le complément éventuel (« bijna dadelijk ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » (ici « WERD » à l’O.V.T. ou prétérit de ses « temps primitifs ») est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : OPGEMERKT VTT OPMERKEN BESSY 15 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/05/2017

Description : La triple phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb (hier) opgemerkt dat de Indianen vooral trachtten gevangenen te maken, die ze dan meenamen » (« J’ai remarqué que les Indiens essayaient surtout de faire des prisonniers, qu’ils emmenaient (= prenaient avec) alors »).
On y trouve la forme verbale « OPgemerkt », participe passé provenant de l’infinitif « OPmerken », lui-même construit sur l’infinitif « MERKEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Quand « OPmerken » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEmerkt ».
Il y a REJET de la forme verbale « OPgemerkt » derrière le complément éventuel (« HIER ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : OPGEBRUIKT VTT OPGEBRUIKEN BESSY 59 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/05/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « « We hebben onze voorraden opgebruikt » (« Nous avons épuisé nos provisions »).
On y trouve la forme verbale « OPgebruikt », participe passé provenant de l’infinitif « OPgebruiken », lui-même construit sur l’infinitif « GEBRUIKEN » (un des rares verbes en UI, qui ne soit pas irrégulier au point de faire un passé en O) qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Quand « OPgebruiken » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule GE- (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant normalement entre eux => « opGEbruikt ». Dans ce cas-ci, l’infinitif commençant déjà par « GE », on ne rajoute pas cette particule GE.
Il y a REJET de la forme verbale « OPgebruikt » derrière les compléments (« onze voorraden ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : WEGGESLINGERD VTT WEGSLINGEREN SAFARI 2 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/05/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « (Op) het volgende ogenblik wordt hij (Mgono) door een slag van de slurf weggeslingerd » (« L’instant suivant, il est projeté par un coup de la trompe »).
On y trouve la forme verbale « WEGgeslingerd », participe passé (utilisé ici comme adjectif épithète) provenant de l’infinitif « WEGslingeren », lui-même construit sur l’infinitif « SLINGEREN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « R », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire.
Quand « WEGslingeren » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « WEG » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « wegGEslingerd ».
Il y a REJET de la forme verbale « WEGgeslingerd » derrière le complément (« door een slag van de slurf ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : INGEZET VTT INZETTEN BESSY 59 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/05/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Instinctmatig heeft de hond (Bessy) de achtervolging van Tim Parsons ingezet » (« Instinctivement, le chien a entamé la poursuite de Tim P. »).
On y trouve la forme verbale « INgezet », participe passé provenant de l’infinitif « INzetten », lui-même construit sur l’infinitif « ZETTEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant déjà par la consonne « T », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Quand « INzetten » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « IN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « inGEzet ».
Il y a REJET de la forme verbale « INgezet » derrière le complément (« de achtervolging …») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : INGEVALLEN VTT INVALLEN BESSY 54 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/05/2017

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De duisternis is reeds ingevallen wanneer de eerste achtervolgers verschijnen » (« L’obscurité est déjà tombée quand les premiers poursuivants apparaissent »).
On y trouve la forme verbale « INgevallen », participe passé provenant de l’infinitif « INvallen », lui-même construit sur l’infinitif « VALLEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « INvallen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « IN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « inGEvallen ».
Il y a REJET de la forme verbale « INgevallen » à la fin de la phrase, derrière le complément (« REEDS »). Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau de synthèse des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : INGETREDEN VTT INTREDEN SAFARI 2 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/05/2017

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « « Zij (Bibi Moore) verwacht je bij de rivier zodra de duisternis (rond acht uur) (is) ingetreden is » (« Elle t’attend près de la rivière dès que l’obscurité s’est / se sera installée »).
On y trouve la forme verbale « INgetreden », participe passé provenant de l’infinitif « INtreden », lui-même construit sur l’infinitif « TREDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « INtreden » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « IN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « inGEtreden ».
Il y a REJET de la forme verbale « INgetreden » à la fin de la phrase, derrière le complément éventuel (« rond acht uur »). Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau de synthèse des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : INGERICHT VTT INRICHTEN SAFARI 2 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/05/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Tot zijn verbazing bevindt zich in het bosje een volledig ingerichte hut » (« A son étonnement, une cabane complètement équipée se trouve dans le petit bois »).
On y trouve la forme verbale « INgericht », participe passé (utilisé ici comme adjectif épithète) provenant de l’infinitif « INrichten », lui-même construit sur l’infinitif « RICHTEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant déjà par la consonne « T », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Quand « INrichten » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « IN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « inGEricht ».
Si la phrase s’était présentée comme suit, « Een hut, die volledig werd ingericht, bevindt zich in het bosje », on aurait mieux vu qu’il y a REJET de la forme verbale « INgericht » derrière le complément (« volledig ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Dans ce cas, la phrase aurait été à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » serait utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : INGERICHT VTT INRICHTEN ROBERT EN BERTRAND 35 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/05/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Er kan een noodhospitaal (worden) ingericht worden » (« Il y a un hôpital d’urgence qui peut être aménagé => Un hôpital d’urgence peut être aménagé »).
On y trouve la forme verbale « INgericht », participe passé provenant de l’infinitif « INrichten », lui-même construit sur l’infinitif « RICHTEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant déjà par la consonne « T », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Quand « INrichten » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « IN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « inGEricht ».
Si la phrase se présente comme suit, « Een noodhospitaal kan dadelijk worden ingericht », on voit mieux qu’il y a REJET de la forme verbale « INgericht » derrière le complément éventuel (« dadelijk ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

© 2017, Bernard GOORDEN, voor de grammatica. Autres exemples à http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=vandersteen

Nom : INGEBEELD VTT INBEELDEN SAFARI 8 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/05/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maar in het woud sluipt een gevaarlijker vijand dan de ingebeelde geesten » (« Mais dans la forêt se faufile un ennemi plus dangereux que les esprits imaginés => imaginaires »).
On y trouve la forme verbale « INgebeeld », participe passé (utilisé ici comme adjectif épithète) provenant de l’infinitif « INbeelden », lui-même construit sur un possible ’infinitif « BEELDEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « L », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire. Notez que le participe passé est construit sur le substantif « BEELD » (= « image ») et ce que l’on s’est imaginé a été mis « in BEELD » (= « en IMAGE ») dans le cerveau.
Quand « INbeelden » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « IN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « inGEbeeld ».
Si la phrase s’était présentée comme suit, « Maar een gevaarlijker vijand dan de geesten die door de mensen worden ingebeeld, sluipt in het woud », on aurait mieux vu qu’il y a REJET de la forme verbale « INgebeeld » derrière le complément éventuel (« door de mensen ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Dans ce cas, la phrase aurait été à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » serait utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : AANGEWIPT VTT AANWIPPEN BESSY 59 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/05/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een raaf komt dadelijk aangewipt (in een wip) om hem zijn prooi te betwisten » (« Un corbeau vient en un tournemain pour lui disputer sa proie »).
On y trouve la forme verbale « AANgewipt », participe passé provenant de l’infinitif « AANwippen », lui-même construit sur l’infinitif « VOEREN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » mais il fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « P », on trouvera à la fin du participe passé le « T » minoritaire.
Quand « AANwippen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGEwipt ».
Il y a REJET de la forme verbale « AANgewipt » derrière le complément éventuel (« dadelijk ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : AANGEWEZEN VTT AANWIJZEN RODE RIDDER 33 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/05/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een daarvoor aangewezen groep ridders verplaatst zich snel naar de meest bedreigde punten » (« Un groupe de chevaliers, désignés pour cela = à cet effet, se déplace rapidement vers les points les plus menacés »).
On y trouve la forme verbale « AANgewezen », participe passé (utilisé ici comme adjectif) provenant de l’infinitif « AANwijzen », lui-même construit sur l’infinitif « WIJZEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « AANwijzen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGEwezen ».
Si l’on imagine le participe passé dans une phrase subordonnée relative (« Een groep ridders, die daarvoor werden aangewezen, verplaatst zich snel naar de meest bedreigde punten »), on se rend compte qu’il y aurait bien REJET de la forme verbale « AANgewezen » derrière le complément (« daarvoor ») à la fin de cette phrase subordonnée. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
On trouve dans ce cas évoqué la forme verbale « WERDEN », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « WORDEN », qui fait alors aussi l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau de synthèse des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Cette phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » (ici « WERDEN ») est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : AANGETROKKEN VTT AANTREKKEN BESSY 59 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/05/2017

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De eekhoorn (Motha) voelt zich aangetrokken tot (= door) die man, die zo ongelukkig lijkt » (« L’écureuil se sent attiré par cet homme, qui semble tellement malheureux »).
On y trouve la forme verbale « AANgetrokken », participe passé provenant de l’infinitif « AANtrekken », lui-même construit sur l’infinitif « TREKKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « AANtrekken » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGEtrokken ».
Il y a REJET de la forme verbale « AANgetrokken » derrière le complément éventuel (« natuurlijk ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : AANGETROKKEN VTT AANTREKKEN BESSY 54 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/05/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het schot heeft vier ruiters in de richting van het dorp aangetrokken » (« Le coup de feu a attiré quatre cavaliers en direction du village »).
On y trouve la forme verbale « AANgetrokken », participe passé provenant de l’infinitif « AANtrekken », lui-même construit sur l’infinitif « TREKKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « AANtrekken » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGEtrokken ».
Il y a REJET de la forme verbale « AANgetrokken » derrière les compléments (« vier ruiters » et « in de richting van het dorp ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : AANGELEGD VTT AANLEGGEN SAFARI 8 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/05/2017

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Met man en macht worden omheiningen van boomstammen rond de voornaamste shamba’s verstevigd en (met man en macht worden) houtvuren aangelegd » (« Avec homme et force = à force de bras, des enclos de troncs d’arbres sont consolidés autour des shamba’s = plantations et des feux de bois sont allumés »).
On y trouve, dans la deuxième phrase, la forme verbale « AANgelegd », participe passé provenant de l’infinitif « AANleggen », lui-même construit sur l’infinitif « LEGGEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « G », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire.
Quand « AANleggen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule «  GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGElegd ».
Il y a REJET de la forme verbale « AANgelegd » derrière le complément (« houtvuren ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : AANGELEGD VTT AANLEGGEN BESSY 24 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/05/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze hebben een versperring onder water aangelegd » (« Ils ont dressé = érigé un barrage en-dessous de l’eau »).
On y trouve la forme verbale « AANgelegd », participe passé provenant de l’infinitif « AANleggen », lui-même construit sur l’infinitif « LEGGEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « G », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire.
Quand « AANleggen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule «  GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGElegd ».
Il y a REJET de la forme verbale « AANgelegd » derrière les compléments («een versperring » et « onder water ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : AANGEKONDIGD VTT AANKONDIGEN BESSY 54 VANDERSTEEN - Rajouté le 30/04/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We worden reeds aangekondigd » (« Nous sommes déjà annoncés »). (N.B. : WORDEN est l’auxiliaire de la voix passive)
On y trouve la forme verbale « AANgekondigd », participe passé provenant de l’infinitif « AANkondigen », lui-même construit sur l’infinitif « KONDIGEN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent : « ik kondiG … aan ») se terminant par la consonne « G », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire.
Quand « AANkondigen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule «  GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGEkondigd ».
Il y a REJET de la forme verbale « AANgekondigd » derrière le complément (« reeds ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : AANGETROFFEN VTT AANTREFFEN BESSY 42 VANDERSTEEN - Rajouté le 29/04/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wij hebben hem levensloos in de hut aangetroffen » (« Nous l’avons découvert sans vie dans la hutte »). On y trouve la forme verbale « AANgetroffen », participe passé provenant de l’infinitif « AANtreffen », lui-même construit sur l’infinitif « TREFFEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Quand « AANtreffen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule «  GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGEtroffen ». Il y a REJET de la forme verbale « AANgetroffen » derrière les compléments (« hem », « levensloos » et « in de hut ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé : http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : AANGESLOPEN VTT AANSLUIPEN BESSY 42 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/04/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het is al nacht als enkele krijgers ter plaatse komen aangeslopen » (« Il fait déjà nuit quand quelques guerriers viennent = arrivent sur place faufilés = en se faufilant »).
On y trouve la forme verbale « AANgeslopen », participe passé (utilisée ici comme une sorte d’attribut) provenant de l’infinitif « AANsluipen », lui-même construit sur l’infinitif « SLUIPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « AANsluipen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule «  GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGEslopen ».
Il y a REJET de la forme verbale « AANgeslopen » derrière le complément (« ter plaatse ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : AANGENOMEN VTT AANNEMEN ROBERT EN BERTRAND 37 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/04/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het voorstel wordt (door de smokkelaars) aangenomen » (« La proposition est acceptée »). (N.B. : WORDEN est l’auxiliaire de la voix passive) On y trouve la forme verbale « AANgenomen », participe passé provenant de l’infinitif « AANnemen », lui-même construit sur l’infinitif « NEMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Quand « AANnemen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule «  GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGEnomen ». Il y a REJET de la forme verbale « AANgenomen » derrière le complément éventuel (« door de smokkelaars ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé : http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : AANGENOMEN VTT AANNEMEN KARL MAY 14 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/04/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De uitdaging wordt (door Taho) aangenomen » (« Le défi est accepté »). (N.B. : WORDEN est l’auxiliaire de la voix passive)
On y trouve la forme verbale « AANgenomen », participe passé provenant de l’infinitif « AANnemen », lui-même construit sur l’infinitif « NEMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « AANnemen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule «  GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGEnomen ».
Il y a REJET de la forme verbale « AANgenomen » derrière le complément éventuel (« door Taho ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : AANGENOMEN VTT AANNEMEN BESSY 24 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/04/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het aanbod wordt (door beide partijen) aangenomen » (« L’offre est acceptée »). (N.B. : WORDEN est l’auxiliaire de la voix passive)
On y trouve la forme verbale « AANgenomen », participe passé provenant de l’infinitif « AANnemen », lui-même construit sur l’infinitif « NEMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « AANnemen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGEnomen ».
Il y a REJET de la forme verbale « AANgenomen » derrière le complément éventuel («door beide partijen») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : AANGEBROKEN VTT AANBREKEN BESSY 59 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/04/2017

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Nauwelijks is de dag aangebroken of de eekhoorns voorraden verzamelen » OU « De dag is nauwelijks aangebroken (…) » (« A peine le jour s’est-il levé que les écureuils rassemblent des provisions »).
On y trouve la forme verbale « AANgebroken », participe passé provenant de l’infinitif « AANbreken », lui-même construit sur l’infinitif « BREKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « AANbreken » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGEbroken ».
Il y a REJET de la forme verbale « AANgebroken » derrière le complément (« nauwelijks ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : AANGEBROKEN VTT AANBREKEN BESSY 24 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/04/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dan is de tijd voor het vertrek aangebroken » OU « De tijd voor het vertrek is dan aangebroken » (« Alors le temps du départ est entamé = est venu »).
On y trouve la forme verbale « AANgebroken », participe passé provenant de l’infinitif « AANbreken », lui-même construit sur l’infinitif « BREKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « AANbreken » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGEbroken ».
Il y a REJET de la forme verbale « AANgebroken » derrière le complément (« dan ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : UITGEKOZEN VTT UITKIEZEN BESSY 24 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/04/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze hebben goed de plaats en het ogenblik uitgekozen » (« Ils ont bien choisi la place et le moment »).
On y trouve la forme verbale « UITgekozen », participe passé provenant de l’infinitif « UITkiezen », lui-même construit sur l’infinitif « KIEZEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « UITkiezen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « uitGEkozen ».
Il y a REJET de la forme verbale « UITgekozen » derrière les compléments (« de plaats en het ogenblik ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Pour complément d’informations concernant les « temps primitifs », consultez par exemple notre tableau de synthèse sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : UITGEVOERD VTT UITVOEREN BESSY 24 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/04/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het idee wordt dadelijk uitgevoerd » (« L’idée est immédiatement exécutée = concrétisée »).
On y trouve la forme verbale « UITgevoerd », participe passé provenant de l’infinitif « UITvoeren », lui-même construit sur l’infinitif « VOEREN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « R », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire.
Quand « UITvoeren » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « uitGEvoerd ».
Il y a REJET de la forme verbale « UITgevoerd » derrière le complément éventuel (« dadelijk ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : UITGEVOERD VTT UITVOEREN RODE RIDDER 2 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/04/2017

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Wulf) leidt de versterkingswerken, die door de landbouwers koortsachtig worden uitgevoerd » (« Il dirige les travaux de renforcement, qui sont exécutés fiévreusement par les agriculteurs »).
On y trouve, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « UITgevoerd », participe passé provenant de l’infinitif « UITvoeren », lui-même construit sur l’infinitif « VOEREN » qui, comme la grande majorité des verbes néerlandais NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « R », on trouvera à la fin du participe passé le « D » majoritaire.
Quand « UITvoeren » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « uitGEvoerd ».
Il y a REJET de la forme verbale « UITgevoerd » derrière les compléments (« door de landbouwers » et « koortsachtig ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : UITGEROEPEN VTT UITROEPEN RODE RIDDER 12 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/04/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij wordt tot koning uitgeroepen » (« Il est proclamé roi »).
On y trouve la forme verbale « UITgeroepen », participe passé provenant de l’infinitif « UITroepen », lui-même construit sur l’infinitif « ROEPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « UITroepen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « uitGEroepen ».
Il y a REJET de la forme verbale « UITgeroepen » derrière le complément (« tot koning ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Pour complément d’informations concernant les « temps primitifs », consultez par exemple notre tableau de synthèse sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Cette phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » (ici forme verbale « WERD » à l’O.V.T. ou prétérit) est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : UITGEVONDEN VTT UITVINDEN ROBERT EN BERTRAND 1 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/04/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het krediet werd in ons land nog niet uitgevonden » (« Le crédit n’a pas encore été inventé »).
On y trouve la forme verbale « UITgevonden », participe passé provenant de l’infinitif « UITvinden », lui-même construit sur l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « UITvinden » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « uitGEvonden ».
Il y a REJET de la forme verbale « UITgevonden » derrière le complément éventuel (« in ons land ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Pour complément d’informations concernant les « temps primitifs », consultez par exemple notre tableau de synthèse sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Cette phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » (ici forme verbale « WERD » à l’O.V.T. ou prétérit) est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : UITGEBROKEN VTT UITBREKEN 1 ROBERT EN BERTRAND 1 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/04/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Er is brand in een paviljoen uitgebroken ! » (« Il y a un incendie éclaté = Un incendie a éclaté = Un incendie s’est déclaré dans un pavilllon ! »).
On y trouve la forme verbale « UITgebroken », participe passé provenant de l’infinitif « UITbreken », lui-même construit sur l’infinitif « BREKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « UITbreken » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « uitGEbroken ».
Il y a REJET de la forme verbale « UITgebroken » derrière le complément (« in een paviljoen ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Pour complément d’informations concernant les « temps primitifs », consultez par exemple notre tableau de synthèse sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : OPGESLOTEN VTT OPSLUITEN ROBERT EN BERTRAND 21 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/04/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « In de herberg is een vrouw met twee kinderen opgesloten » (« Dans l’auberge, une femme est enfermée avec deux enfants »). (N.B. : la phrase commençant par un complément, il y a INVERSION)
On y trouve la forme verbale « OPgesloten », participe passé provenant de l’infinitif « OPsluiten », lui-même construit sur l’infinitif « SLUITEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « OPsluiten » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEsloten ».
Il y a REJET de la forme verbale « OPgesloten » derrière le complément (« met twee kinderen ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Pour complément d’informations concernant les « temps primitifs », consultez par exemple notre tableau de synthèse sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : OPGESLOTEN VTT OPSLUITEN ROBERT EN BERTRAND 15 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/04/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « (Plots wordt hij), gekneveld en gebonden, in een berghok opgesloten » (« Soudain il est enfermé, bâillonné et ligoté, dans une remise »). (N.B. : WORDEN est l’auxiliaire de la voix passive)
On y trouve la forme verbale « OPgesloten », participe passé provenant de l’infinitif « OPsluiten », lui-même construit sur l’infinitif « SLUITEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « OPsluiten » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEsloten ».
Il y a REJET de la forme verbale « OPgesloten » derrière le complément (« in een berghok ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Pour complément d’informations concernant les « temps primitifs », consultez par exemple notre tableau de synthèse sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : OPGESLOTEN VTT OPSLUITEN 2 ROBERT EN BERTRAND 35 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/04/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een projectiel treft het gebouw waar de drie mannen willekeurig zijn opgesloten » (« Un projectile touche le bâtiment où les trois hommes sont arbitrairement enfermés »).
On y trouve la forme verbale « OPgesloten », participe passé provenant de l’infinitif « OPsluiten », lui-même construit sur l’infinitif « SLUITEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « OPsluiten » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEsloten ».
Il y a REJET de la forme verbale « OPgesloten » derrière le complément éventuel («willekeurig ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Pour complément d’informations concernant les « temps primitifs », consultez par exemple notre tableau de synthèse sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : OPGESLOTEN VTT OPSLUITEN 1 ROBERT EN BERTRAND 35 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/04/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ondanks het protest worden de drie mannen in een schuurtje dicht bij Solferino opgesloten » (« Malgré la = leur protestation, les trois hommes sont enfermés dans une petite grange près de Solferino »). (N.B. : WORDEN est l’auxiliaire de la voix passive)
On y trouve la forme verbale « OPgesloten », participe passé provenant de l’infinitif « OPsluiten », lui-même construit sur l’infinitif « SLUITEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « OPsluiten » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEsloten ».
Il y a REJET de la forme verbale « OPgesloten » derrière les compléments (« in een schuurtje » et « dicht bij Solferino ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Pour complément d’informations concernant les « temps primitifs », consultez par exemple notre tableau de synthèse sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : OPGENOMEN VTT OPNEMEN SAFARI 1 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/04/2017

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Als ze door de kudde opgenomen worden, keren ze niet meer terug » (« S’ils sont adoptés par le troupeau, ils ne retourneront plus »).
On y trouve la forme verbale « OPgenomen », participe passé provenant de l’infinitif « OPnemen », lui-même construit sur l’infinitif « NEMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « OPnemen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEnomen ».
Il y a REJET de la forme verbale « OPgenomen » derrière le complément (« door de kudde ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Pour complément d’informations concernant les « temps primitifs », consultez par exemple notre tableau de synthèse sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé : http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Cette phrase est à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : OPGENOMEN VTT OPNEMEN RODE RIDDER 63 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/04/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We hebben je bij ons opgenomen en verzorgd » (« Nous t’avons pris en charge = recueilli et soigné … »).
On y trouve la forme verbale « OPgenomen », participe passé provenant de l’infinitif « OPnemen », lui-même construit sur l’infinitif « NEMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « OPnemen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEnomen ».
Il y a REJET de la forme verbale « OPgenomen » derrière le complément éventuel (« bij ons ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Pour complément d’informations concernant les « temps primitifs », consultez par exemple notre tableau de synthèse sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé : http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : OPGENOMEN VTT OPNEMEN KARL MAY 7 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/04/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « « Ze (de wilde stier en zijn aanhangers) worden na een straf weer in de stam opgenomen » (« Ils sont (re)pris dans la tribu après une sanction »).
On y trouve la forme verbale « OPgenomen », participe passé provenant de l’infinitif « OPnemen », lui-même construit sur l’infinitif « NEMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « OPnemen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEnomen ».
Il y a REJET de la forme verbale « OPgenomen » derrière les compléments (« na een straf » et « in de stam ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Pour complément d’informations concernant les « temps primitifs », consultez par exemple notre tableau de synthèse sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé : http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
On y trouve la forme verbale « WORDEN ». Cette phrase est donc à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » (ici « WORDT ») est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : OPGENOMEN VTT OPNEMEN BESSY 42 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/04/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Andy) wordt in het groepje opgenomen » (« Il est pris / intégré dans le petit groupe »). (N.B. : WORDEN est l’auxiliaire de la voix passive)
On y trouve la forme verbale « OPgenomen », participe passé provenant de l’infinitif « OPnemen », lui-même construit sur l’infinitif « NEMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « OPnemen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEnomen ».
Il y a REJET de la forme verbale « OPgenomen » derrière le complément (« in het groepje ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Pour complément d’informations concernant les « temps primitifs », consultez par exemple notre tableau de synthèse sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé : http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : INGETROKKEN VTT INTREKKEN BESSY 54 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/04/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Elke avond worden de ladders ingetrokken » (« Chaque soir, les échelles sont retirées à / vers l’intérieur »). (N.B. : WORDEN est l’auxiliaire de la voie passive)
On y trouve la forme verbale « INgetrokken », participe passé provenant de l’infinitif « INtrekken », lui-même construit sur l’infinitif « TREKKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « INtrekken » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « IN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « inGEtrokken ».
Il y a REJET de la forme verbale « INgetrokken » derrière le complément éventuel (« in het dorp ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Pour complément d’informations concernant les « temps primitifs », consultez par exemple notre tableau de synthèse sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé : http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : INGENOMEN VTT INNEMEN BESSY 54 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/04/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De door Moh Wapi gewaarschuwde troepen hebben de pueblo = het dorp stormeNderhand ingenomen » (« Les troupes, averties par Moh Wapi, ont pris le village d’assaut »).
On y trouve la forme verbale « INgenomen », participe passé provenant de l’infinitif « INnemen », lui-même construit sur l’infinitif « NEMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « INnemen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « IN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « inGEnomen ».
Il y a REJET de la forme verbale « INgenomen » derrière les compléments (« het dorp » et «stormeNderhand ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Pour complément d’informations concernant les « temps primitifs », consultez par exemple notre tableau de synthèse sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé : http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : INGENOMEN VTT INNEMEN ROBERT EN BERTRAND 35 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/04/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Als het dorp in volledige duisternis ligt, hebben de strijdmachten hun stelling ingenomen » (« Quand le village est dans une complète obscurité, les forces militaires ont pris leur position »).
On y trouve la forme verbale « INgenomen », participe passé provenant de l’infinitif « INnemen », lui-même construit sur l’infinitif « NEMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « INnemen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « IN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « inGEnomen ».
Il y a REJET de la forme verbale « INgenomen » derrière le complément (« hun stelling ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Pour complément d’informations concernant les « temps primitifs », consultez par exemple notre tableau de synthèse sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé : http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : INGESLOTEN VTT INSLUITEN 2 ROBERT EN BERTRAND 15 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/04/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij is haast door het vuur ingesloten ! » (« Il est presque enfermé = encerclé par le feu ! »).
On y trouve la forme verbale « INgenomen », participe passé provenant de l’infinitif « INsluiten », lui-même construit sur l’infinitif « SLUITEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « INsluiten » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « IN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « inGEsloten ».
Il y a REJET de la forme verbale « INgesloten » derrière le complément (« door het vuur ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Pour complément d’informations concernant les « temps primitifs », consultez par exemple notre tableau de synthèse sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : INGESLOTEN VTT INSLUITEN 1 ROBERT EN BERTRAND 15 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/04/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Nol) is door de vuurpoel ingesloten ! » (« Il est enfermé / encerclé dans la mare = nappe de feu ! »).
On y trouve la forme verbale « INgenomen », participe passé provenant de l’infinitif « INsluiten », lui-même construit sur l’infinitif « SLUITEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « INsluiten » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « IN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « inGEsloten ».
Il y a REJET de la forme verbale « INgesloten » derrière le complément (« door de vuurpoel ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Pour complément d’informations concernant les « temps primitifs », consultez par exemple notre tableau de synthèse sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : INGESLOTEN VTT INSLUITEN KARL MAY 4 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/04/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een vruchtbare vallei geheel ingesloten door loodrechte rotswanden » (« Une vallée fertile complètement enfermée / enclavée par des parois rocheuses / falaises à pic »). (N.B. : le participe passé est ici utilisé comme adjectif)
On y trouve la forme verbale « INgenomen », participe passé provenant de l’infinitif « INsluiten », lui-même construit sur l’infinitif « SLUITEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « INsluiten » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « IN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « inGEsloten ».
Il y a normalement REJET de la forme verbale « INgesloten » derrière le complément (« door de loodrechte rotswanden ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Pour complément d’informations concernant les « temps primitifs », consultez par exemple notre tableau de synthèse sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé : http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : AANGEVALLEN VTT AANVALLEN 2 SAFARI 1 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/04/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Reeds (werden) koeien (door nijlpaarden) aangevallen » (« Des vaches furent déjà attaquées »).
On y trouve la forme verbale « AANgevallen », participe passé provenant de l’infinitif « AANvallen », lui-même construit sur l’infinitif « VALLEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « AANvallen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGEvallen ».
Il y a REJET de la forme verbale « AANgevallen » à la fin de la phrase, derrière le complément (« door nijlpaarden »). Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
On y trouve encore la forme verbale « WERD », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « WORDEN », qui fait aussi l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau de synthèse des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Cette phrase est donc à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » (ici « WERDEN ») est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
Il y a également INVERSION (le sujet « koeien » passant derrière le verbe « werden ») parce que la phrase commence par un complément (« reeds »). On aurait en effet pu dire : « Koeien werden reeds door nijlpaarden aangevallen ».

Nom : AANGEVALLEN VTT AANVALLEN 1 SAFARI 1 VANDERSTEEN - Rajouté le 31/03/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Mijn vader wordt (werd) door een luipaard aangevallen » (« Mon père est (a été) attaqué par un léopard »).
On y trouve la forme verbale « AANgevallen », participe passé provenant de l’infinitif « AANvallen », lui-même construit sur l’infinitif « VALLEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « AANvallen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGEvallen ».
Il y a REJET de la forme verbale « AANgevallen » derrière le complément (« door een luipaard ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
On y trouve encore la forme verbale « WERD », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « WORDEN », qui fait aussi l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Cette phrase est donc à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » (ici « WERD ») est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : AANGEVALLEN VTT AANVALLEN 2 ROBERT EN BERTRAND 15 VANDERSTEEN - Rajouté le 30/03/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Er wordt een man aangevallen / Een man wordt (door drie andere mannen) aangevallen » (« Il y a un homme qui est attaqué / Un homme est attaqué »).
On y trouve la forme verbale « AANgevallen », participe passé provenant de l’infinitif « AANvallen », lui-même construit sur l’infinitif « VALLEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « AANvallen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGEvallen ».
Il y a REJET de la forme verbale « AANgevallen » derrière le complément éventuel (« door drie andere mannen ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Pour complément d’informations concernant les « temps primitifs », consultez par exemple notre tableau de synthèse sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
On y trouve la forme verbale « WORDT ». Cette phrase est donc à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : AANGEVALLEN VTT AANVALLEN ROBERT EN BERTRAND 15 VANDERSTEEN - Rajouté le 29/03/2017

Description :
La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik word (door de stakers) aangevallen !» (« Je suis attaqué ! »).
On y trouve la forme verbale « AANgevallen », participe passé provenant de l’infinitif « AANvallen », lui-même construit sur l’infinitif « VALLEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « AANvallen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGEvallen ».
Il y a REJET de la forme verbale « AANgevallen » derrière le complément éventuel (« door de stakers ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Pour complément d’informations concernant les « temps primitifs », consultez par exemple notre tableau de synthèse sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
On y trouve la forme verbale « WORD ». Cette phrase est donc à la voix passive, puisque l’auxiliaire « WORDEN » (ici « WORD ») est utilisé au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : AANGELOPEN VTT AANLOPEN ROBERT EN BERTRAND 15 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/03/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Plots komt hij eveneens aangelopen» (« Soudain, il vient également accouru = également en courant / Il accourt également »).
On y trouve la forme verbale « AANgelopen », participe passé provenant de l’infinitif « AANlopen », lui-même construit sur l’infinitif « LOPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « AANlopen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGElopen ».
Il y a REJET de la forme verbale « AANgelopen » derrière le complément (« eveneens ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Pour complément d’informations concernant les « temps primitifs », consultez par exemple notre tableau de synthèse sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Il y a également INVERSION (le sujet « HIJ » passant derrière le verbe « komt ») parce que la phrase commence par un complément (« plots »). On aurait en effet pu dire : « Hij komt plots eveneens aangelopen ».

Nom : AANGELOPEN VTT AANLOPEN BESSY 59 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/03/2017

Description : La phrase double suivante est grammaticalement intéressante : « Zij (Mitho) komt (dadelijk) aangelopen (…) en loopt wanhopig om hem (Motha) heen en weer » (« Elle vient accourue = arrive en courant / accourt et marche en tournoyant = tourne, désespérée, autour de lui »).
On y trouve la forme verbale « AANgelopen », participe passé provenant de l’infinitif « AANlopen », lui-même construit sur l’infinitif « LOPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « AANlopen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGElopen ». Pour complément d’informations concernant les « temps primitifs », consultez par exemple notre tableau de synthèse sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé : http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Il y a REJET de la forme verbale « AANgelopen » derrière le complément éventuel (« dadelijk ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : AANGELOPEN VTT AANLOPEN BESSY 41 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/03/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Andy) komt (dadelijk) aangelopen » (« Il vient accouru = en courant / Il accourt »).
On y trouve la forme verbale « AANgelopen », participe passé provenant de l’infinitif « AANlopen », lui-même construit sur l’infinitif « LOPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « AANlopen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGElopen ».
Il y a REJET de la forme verbale « AANgelopen » derrière le complément éventuel (« dadelijk ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Pour complément d’informations concernant les « temps primitifs », consultez par exemple notre tableau de synthèse sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : KON OVT KUNNEN REJET VERDOEZELEN ROBERT EN BERTRAND 21 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/03/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Delaunoy) kon de zaak verdoezelen » (« Il put dissimuler l’affaire »).
L’auxiliaire de mode de la CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN » et un O.V.T. (ou prétérit) « KON ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière le complément (« de zaak »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KON OVT KUNNEN REJET VLUCHTEN SAFARI 8 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/03/2017

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Eer hij kon (van het dorp) vluchten, deed een olifant de hut instorten » (« Avant qu’il pût fuir, un éléphant fit s’écrouler la hutte »).
L’auxiliaire de mode de la CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN » et un O.V.T. (ou prétérit) « KON ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière le complément éventuel (« van het dorp »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
On trouve aussi, dans la phrase principale, la forme verbale « DEED », O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « DOEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes irréguliers dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Il y a également INVERSION (le sujet « een olifant » passant derrière le verbe « deed ») parce que la phrase commence par un complément, en quelque sorte, la phrase subordonnée jouant ici ce rôle.

Nom : KON OVT KUNNEN REJET RAKEN SAFARI 2 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/03/2017

Description : La triple phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij herinnert zich nog best hoe zij ver van de kudde de baby leerde hoe hij met een stofbad de teken en insekten kwijt kon raken » (« Elle se souvient encore bien comment, loin du troupeau, elle apprenait au bébé comment se débarrasser avec un bain de poussière des tiques et insectes »).
L’auxiliaire de mode de la CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN » et un O.V.T. (ou prétérit) « KON ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière les compléments (« met een stofbad » et « de teken en insekten »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Ce serait plus évident si l’ordre des mots y était « normal » (sujet puis verbe) dans une phrase NON subordonnée : « hij kon met een stofbad de teken en insekten kwijt raken ». Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KON OVT KUNNEN REJET ONTSNAPPEN SAFARI 1 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/03/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij kon ons niet ontsnappen ». (« Il NE pouvait PAS s’échapper A NOUS / Il NE pouvait PAS NOUS échapper »).
L’auxiliaire de mode de la CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN » et un O.V.T. (ou prétérit) « KON ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière les compléments éventuels (« ONS » et « NIET »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KON OVT KUNNEN REJET KOSTEN SAFARI 1 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/03/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat gestoei met neushoorns kon je het leven kosten ». (« Cette querelle / ce batifolage avec des rhinocéros pouvait te coûter la vie »).
L’auxiliaire de mode de la CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN » et un O.V.T. (ou prétérit) « KON ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière le compléments (« JE » et « het leven »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KON OVT KUNNEN REJET KLIMMEN SAFARI 1 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/03/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij kon vast niet meer klimmen ». (« Il ne pouvait certainement plus grimper »).
L’auxiliaire de mode de la CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN » et un O.V.T. (ou prétérit) « KON ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière les compléments (« vast » et « niet meer »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KON OVT KUNNEN REJET GEBEUREN RODE RIDDER 38 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/03/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dit kon alleen op de zolder gebeuren» (« Ceci put seulement / ne put se produire qu’au grenier ! »).
L’auxiliaire de mode de la CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN » et un O.V.T. (ou prétérit) « KON ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière le compléments (« alleen » et « op de zolder »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KONDEN OVT KUNNEN REJET UITGAAN ROBERT EN BERTRAND 35 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/03/2017

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Konden we hier maar uitgaan om hen te helpen ! » (« (Ah) si nous pouvions seulement sortir d’ici pour les aider ! »).
L’auxiliaire de mode de la CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN » et un O.V.T. (ou prétérit) « KON » (PLURIEL irrégulier « KONDEN »). Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière les compléments (« hier » et « maar »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Le verbe « KUNNEN » fait l’objet (au seul prétérit ou O.V.T.) des « temps primitifs ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : KONDEN OVT KUNNEN REJET MAKEN ROBERT EN BERTRAND 15 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/03/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Konden we die lijst nu maar buit maken ! » (« (Ah) si nous pouvions maintenant faire de cette liste un butin = mettre cette liste à profit ! »).
L’auxiliaire de mode de la CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN » et un O.V.T. (ou prétérit) « KON » (PLURIEL irrégulier « KONDEN »). Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière les compléments (« die lijst », « nu », « maar » et « buit »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Le verbe « KUNNEN » fait l’objet (au seul prétérit ou O.V.T.) des « temps primitifs ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : KON OVT KUNNEN REJET VLUCHTEN ROBERT EN BERTRAND 1 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/03/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Die vreselijke nacht kon ik met hem vluchten » (« Cette épouvantable nuit, je pouvais / je pus / j’ai pu fuir avec lui »). On aurait pu dire : « Ik kon die vreselijke nacht met hem vluchten »
L’auxiliaire de mode de la CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN » et un O.V.T. (ou prétérit) « KON ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière le complément (« met hem »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Il y a INVERSION parce que la phrase commence par un complément. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KON OVT KUNNEN REJET VERKRIJGEN ROBERT EN BERTRAND 1 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/03/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hoe kon je het over jouw hart verkrijgen » (« Comment pouvais-tu / pus-tu / as-tu pu t’y résoudre = à cela ? »).
L’auxiliaire de mode de la CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN » et un O.V.T. (ou prétérit) « KON ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière les compléments (« HET » et « over jouw hart »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KON OVT KUNNEN REJET ONTSNAPPEN ROBERT EN BERTRAND 37 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/03/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik kon mijn vijand ontsnappen » (« Je pouvais / je pus / j’ai pu échapper à mon ennemi »).
L’auxiliaire de mode de la CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN » et un O.V.T. (ou prétérit) « KON ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière le complément (« mijn vijand »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Le verbe « KUNNEN » fait l’objet (au seul prétérit ou O.V.T.) des « temps primitifs ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : KON OVT KUNNEN REJET LOSMAKEN ROBERT EN BERTRAND 15 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/03/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Joeki) kon zich inmiddels losmaken » (« Il pouvait / il put / il a pu entretemps se libérer »).
L’auxiliaire de mode de la CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN » et un O.V.T. (ou prétérit) « KON ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière le complément (« inmiddels »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Le verbe « KUNNEN » fait l’objet (au seul prétérit ou O.V.T.) des « temps primitifs ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : DEED OVT DOEN KON OVT KUNNEN ROBERT EN BERTRAND 15 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/03/2017

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik deed wat ik kon » (« Je faisais ce que je pouvais = Je fis ce que je pus = J’ai fait ce que j’ai pu »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « DEED », O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « DOEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes irréguliers dits « forts ».
On y trouve également, dans la phrase subordonnée (introduite par « WAT »), la forme verbale « KON », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif (et « AUXILIAIRE de MODE de la capacité) « KUNNEN », qui fait partiellement l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : MOEST OVT MOETEN REJET ZOEKEN BESSY 42 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/03/2017

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik zal je vinden al moest ik een ganse week zoeken » (« Je vais te trouver même si je devais chercher une semaine entière »).
L’auxiliaire de mode de l’OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN » (donnant MOEST, au prétérit ou O.V.T.). Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière le complément (« een ganse week »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KONDEN OVT KUNNEN REJET WORDEN BESSY 24 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/03/2017

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb balen (…) laten inschepen die alleen op dit schip vervoerd konden worden » (« J’ai laissé / fait charger à bord des ballots qui pouvaient seulement / qui ne pouvaient être transportés que sur ce navire »).
L’auxiliaire de mode de la CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN » et un O.V.T. (ou prétérit) « KON » (PLURIEL irrégulier « KONDEN »). Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière le complément, à la fin de la phrase et à l’infinitif. C’est plus évident dans une phrase qui n’est pas subordonnée : « Die balen konden alleen op dit schip vervoerd worden »
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : KON OVT KUNNEN REJET REDDEN KARL MAY 14 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/03/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik kon hem (Motha) redden » (« Je pouvais le sauver »).
L’auxiliaire de mode de la CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN » et un O.V.T. (ou prétérit) « KON ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière le complément (« HEM »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KON OVT KUNNEN REJET KOPEN ROBERT EN BERTRAND 21 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/03/2017

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij kon vijftig miljoen geweerkogels kopen die nu onbruikbaar waren » (« Il put acheter cinquante millions de balles pour armes, qui étaient maintenant inutilisables »).
L’auxiliaire de mode de la CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN » et un O.V.T. (ou prétérit) « KON ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière le complément (« vijftig miljoen geweerkogels »), à la fin de la phrase (ici principale) et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
On trouve, dans la phrase subordonnée (introduite par « DIE ») la forme verbale « WAREN », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations sur les « temps primitifs », consultez par exemple notre tableau sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : DEED OVT DOEN KON OVT KUNNEN ROBERT EN BERTRAND 37 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/03/2017

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je deed wat je kon » (« Tu faisais ce que tu pouvais = Tu fis ce que tu pus = Tu as fait ce que tu as pu »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « DEED », O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « DOEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes irréguliers dits « forts ».
On y trouve également, dans la phrase subordonnée (introduite par « WAT »), la forme verbale « KON », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif (et « AUXILIAIRE de MODE de la capacité) « KUNNEN », qui fait partiellement l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit



© 2017, Bernard GOORDEN, voor de grammatica. Autres exemples à http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=vandersteen

Nom : BEWEZEN VTT BEWIJZEN ROBERT EN BERTRAND 21 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/03/2017

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het is (al lang) bewezen dat begaafde personen gebeurtenissen uit de toekomst of het verleden kunnen zien » (« Il est prouvé que des personnes douées = qui ont un don peuvent voir des événements du futur ou du passé »).
On y trouve notamment, à la fin de la phrase principale, la forme verbale « BEWEZEN », participe passé utilisé avec un passé composé, provenant de l’infinitif « BEWIJZEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé « BEWEZEN » se construit sur le PLURIEL du prétérit (et, dans ce cas-ci, est identique). Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé (la plus nombreuse étant celle des « IJ ») :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« al lang »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse, également en couleurs : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Rappelons que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.

Nom : MOETEN OVT MOEST REJET WETEN SAFARI 2 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/03/2017

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « U (bwana Tembo) moest (toch) weten dat jagers voorzorgen nemen / maatregelen treffen » (« Vous deviez / auriez dû savoir que les chasseurs prennent des précautions / des mesures »).
L’auxiliaire de mode de l’OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN » (donnant MOEST, au prétérit ou O.V.T.). Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière le complément éventuel (« toch »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MOETEN OVT MOEST REJET VUREN SAFARI 1 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/03/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik moest wel vuren » (« Je devais bien faire feu = tirer »).
L’auxiliaire de mode de l’OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN » (donnant MOEST, au prétérit ou O.V.T.). Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière le complément (« WEL »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MOETEN OVT MOEST REJET LOSLATEN SAFARI 1 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/03/2017

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik moest (het) wel (zeggen) maar ik heb niets losgelaten » (« Je devais bien le dire = je l’aurais dû dire mais je n’ai rien lâché = dit »).
L’auxiliaire de mode de l’OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN » (donnant MOEST, au prétérit ou O.V.T.). Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale (« zeggen », ici sous-entendue), derrière le complément éventuel (« het »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MOETEN OVT MOEST REJET HEBBEN SAFARI 1 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/03/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik moest eerst zekerheid (« zekerheden ») hebben » (« Je devais d’abord avoir des certitudes »).
L’auxiliaire de mode de l’OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN » (donnant MOEST, au prétérit ou O.V.T.). Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière le complément (« EERST »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MOETEN OVT MOESTEN REJET BEKOPEN ROBERT EN BERTRAND 37 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/03/2017

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Menig alpinist die zijn weg kruiste moest het bekopen » (« Plus d’un alpiniste qui croisa son chemin dut le payer cher »).
L’auxiliaire de mode de l’OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN » (donnant MOEST, au prétérit ou O.V.T.). Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière le complément (« HET »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MOETEN OVT MOEST REJET BEGRAVEN BESSY 42 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/02/2017

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Degene (Grijze Uil) die ons moest begraven, durfde de hut niet binnenkomen » (« Celui qui devait nous enterrer, n’osa pas pénétrer dans la hutte »).
mode de l’OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN » (donnant MOEST, au prétérit ou O.V.T.). Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière le complément (« ONS »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. On aurait mieux vu ce REJET si (ne nous trouvant pas dans une phrase subordonnée, ici relative, introduite par « DIE ») l’ordre des mots avait été « normal » (sujet puis verbe) : « Grijze Uil moest ons begraven ».
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MOGEN OVT MOCHT REJET INZETTEN RODE RIDDER 19 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/02/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De koning mocht zich (in een veldtocht) niet inzetten. » (« Le roi ne pouvait pas s’en mêler »).
L’auxiliaire de mode de la POSSIBILITE » est l’infinitif « MOGEN », donnant un singulier « MAG » et « MOCHT », au prétérit ou O.V.T.). Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière le complément éventuel (« in een veldtocht »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MOGEN OVT MOCHT REJET KOMEN ROBERT EN BERTRAND 1 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/02/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Niemand mocht hier ooit komen » (« Personne ne pouvait = n’a jamais pu venir ici »).
L’auxiliaire de mode de la POSSIBILITE » est l’infinitif « MOGEN », donnant un singulier « MAG » et « MOCHT », au prétérit ou O.V.T.). Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière les compléments (« hier » et « ooit »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : WILLEN OVT WILDE REJET WETEN SAFARI 2 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/02/2017

Description : La double (ou triple) phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We wilden (graag) weten wat die ruwe jagers hier uitspookten voor je erover in te lichten » (« Nous voulions savoir ce que ces rudes chasseurs cherchaient par ici avant de t’informer »).
L’auxiliaire de mode de la VOLONTE » est l’infinitif « WILLEN » (donnant WILDEN, au PLURIEL du prétérit ou O.V.T.). Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « MOGEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière le complément éventuel (« graag »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : WILLEN OVT WILDE REJET WETEN SAFARI 1 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/02/2017

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij (Bibi Ellen) wilde (graag) weten wie hem (had) gezonden had » (« Elle voulait savoir qui l’avait envoyé »).
L’auxiliaire de mode de la VOLONTE » est l’infinitif « WILLEN » (donnant WILDE, au prétérit ou O.V.T.). Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « MOGEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière le complément éventuel (« graag »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
On y trouve également, dans la phrase subordonnée relative (introduite par « WIE ») au plus-que-parfait, la forme verbale « GEZONDEN », participe passé provenant de l’infinitif « ZENDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé du verbe « ZENDEN » se construit sur le PLURIEL du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « HEM »), à la fin de la phrase.

Nom : WILLEN OVT WILDE REJET TOEGAAN SAFARI 2 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/02/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Jij wilde naar haar toe(gaan) » (« Tu voulais aller jusqu’à elle = la rejoindre »).
(N.B : « TOE » provient de la préposition « TOT »)
L’auxiliaire de mode de la VOLONTE » est l’infinitif « WILLEN » (donnant WILDE, au prétérit ou O.V.T.). Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « MOGEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière le complément («naar haar»), à la fin de la phrase et à l’infinitif. On a tendance, en langue néerlandaise, à sous-entendre le verbe « GAAN » (et le verbe « KOMEN ») e. a. avec les auxiliaires de mode.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : WILLEN OVT WILDE REJET LATEN KARL MAY 14 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/02/2017

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « « Jullie wilden ons laten geloven dat de beer hem neersloeg » (« Vous vouliez nous laisser croire que l’ours le terrassa »).
L’auxiliaire de mode de la VOLONTE » est l’infinitif « WILLEN » (donnant WILDEN, au PLURIEL du prétérit ou O.V.T.). Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « MOGEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière le complément (« ons »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
On y trouve aussi, dans la phrase subordonnée (introduite par « DAT »), la forme verbale « NEERsloeg » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant de l’infinitif « NEERslaan », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « SLAAN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Dans cette phrase subordonnée, la forme verbale « NEERsloeg » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« HEM »), à la fin de la phrase. Si la forme verbale « NEERsloeg » n’avait pas été utilisée dans une phrase subordonnée, on aurait pu avoir : « de beer sloeg hem NEER » (avec REJET de la particule séparable « NEER », derrière le complément « HEM », à la fin de la phrase).

Nom : WILLEN OVT WILDE REJET HELPEN ROBERT EN BERTRAND 37 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/02/2017

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze hebben hem uit de weg geruimd omdat hij ons ons wilde helpen » (« Ils l’ont nettoyé hors du chemin = mis hors circuit parce qu’il voulait nous aider»).
L’auxiliaire de mode de la VOLONTE » est l’infinitif « WILLEN » (donnant WILDE, au prétérit ou O.V.T.). Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « MOGEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière le complément (« ons »), à la fin de la phrase et à l’infinitif. On l’aurait mieux vu dans une phrase « normale » (avec un ordre des mots sujet puis verbe) : « hij wilde ons helpen ». Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Rappelons que, dans une phrase subordonnée, le verbe est séparé de son sujet (ici « HIJ ») et fait aussi l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « ons »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si l’on avait utilisé « WANT » (au lieu de « OMDAT »), l’ordre des mots serait resté le même qu’en français : « Ze hebben hem uit de weg geruimd WANT hij wilde ons helpen ».

Nom : MOETEN OVT MOESTEN REJET ZOEKEN ROBERT EN BERTRAND 37 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/02/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ook de smokkelaars moesten dekking zoeken » (« Aussi = même les contrebandiers durent chercher un abri » »).
L’auxiliaire de mode de l’OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN » (donnant MOESTEN au PLURIEL du prétérit ou O.V.T.). Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière le complément (« dekking »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MOETEN OVT MOEST REJET ONTDOEN BESSY 42 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/02/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik moest mij van hen ontdoen » (« Je devais me défaire d’eux »).
L’auxiliaire de mode de l’OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN » (donnant MOEST, au prétérit ou O.V.T.).. Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière les compléments (« MIJ » et « VAN HEN »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MOGEN MAG REJET HEBBEN ROBERT EN BERTRAND 37 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/02/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wat mag die (zo) uitgespookt hebben ?» (« Qu’est-ce qui peut l’avoir effrayé = a pu l’effrayer … à ce point ? »).
L’auxiliaire de mode de la POSSIBILITE » est l’infinitif « MOGEN », donnant un singulier « MAG ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière le complément (« DIE » pour « die man »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MOETEN REJET HELPEN KARL MAY 7 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/02/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Moet ik je helpen ? » (« Dois-je t’aider = Est-ce que je dois t’aider ? »).
L’auxiliaire de mode de l’OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière le complément (« JE »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KUNNEN KAN REJET VERZETTEN RODE RIDDER 38 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/02/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Kan ik geen voet meer verzetten ? … » (« Est-ce que je ne peux plus déplacer un pied ? … »).
L’auxiliaire de mode de la CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière le complément (« geen voet meer »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KUNNEN REJET OPSTEKEN ROBERT EN BERTRAND 15 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/02/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik kan best een pijp opsteken » (« Je peux mieux = plutôt allumer une pipe »).
L’auxiliaire de mode de la CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière les compléments (« best » et (« een pijp »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Si, dans cette phrase, sur l’image, il y a INVERSION du sujet (« IK »), se retrouvant derrière le verbe (« KAN »), c’est parce que la langue néerlandaise l’exige si une phrase (ici principale) commence par un complément (la phrase subordonnée commençant par « EER » jouant ici ce rôle de complément).

Nom : PHRASES NL AVEC PREPOSITIONS 34 - Rajouté le 15/02/2017

Description : Ces exercices ont été conçus par ACTIVE LANGUAGES ; les membres de son équipe y ont prêté leurs voix. (Ce n’est cependant pas la qualité de prononciation des « DRILLS ».)
Nous les avons adaptés et, souvent, utilisés sous forme de compréhensions à l’audition.
Avant de rebaptiser chacune des phrases en MP3, nous avons demandé à nos élèves d’identifier la forme verbale à l’infinitif, de repérer la personne du singulier ou du pluriel de cette forme verbale (déterminant le sujet) puis d’achever de la comprendre à l’aide du complément.
Il faudrait d’abord écouter les phrases écrites dans l’ordre du fichier WORD. Après avoir revu le vocabulaire, on pourra alors vérifier la compréhension de celles-ci. Si l’on veut que l’exercice soit « constructif », il faudrait tenter d’écrire les phrases à l’audition et ne consulter les « solutions » qu’en les comparant au fruit de son propre travail.
Les verbes de ces phrases (aanKLEDEN, BEPERKEN, GEVEN, HALEN, HEBBEN, HECHTEN, KRIJGEN, MAKEN, ONTSNAPPEN, ZIJN et ZULLEN) se trouvent probablement aussi dans le contexte d’autres phrases en MP3 sur notre site www.idesetautres.be
Lors de nos années d’enseignement de la langue néerlandaise, nous avons tenté de faire assimiler par nos élèves notamment une cinquantaine de verbes basiques, que nous avons personnellement le plus souvent utilisés au fil de 50 ans de pratique. Ce n’est pas le hasard qui a fait que, à part 1 (« MAKEN »), ils étaient irréguliers (faisant donc l’objet des « temps primitifs ») :
http://www.idesetautres.be/upload/VERBES%20BASIQUES%20NL%20BASISWERKWOORDEN.pdf
Chacun de ces verbes a fait l’objet d’un dossier (que l’on peut retrouver par son infinitif en langues, néerlandaise, française, anglaise ou espagnole) avec des formes verbales en MP3 contextualisées à l’OTT, à l’OVT (prétérit) et au VTT (comportant parfois près de 100 phrases) où l’on peut voir comment s’écrit ce que l’on entend. Elles sont transférables, via un PC, sur un téléphone mobile.
Ces verbes (comme des adjectifs ou mots invariables) étaient privilégiés lors des évaluations formatives et nous avons mis à disposition les « devoirs » qui étaient, ultérieurement, resservis sous formes d’évaluations :
http://www.idesetautres.be/upload/WOORDENSCHAT%20BASISLIJSTEN.zip
Pour le niveau A1 (enseignement primaire) :
http://www.idesetautres.be/upload/WERKWOORDEN%20VERBES%20MC.zip
Pour le niveau A2 (1er degré enseignement secondaire, afin de préparer le CE1D) :
http://www.idesetautres.be/upload/VERBES%20WERKWOORDEN%20OTT%20HUISWERKEN.zip

Nom : KUNNEN REJET KAN BESSY 59 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/02/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je kan hen niet helpen » (« Tu ne peux pas les aider »).
L’auxiliaire de mode de la CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière le complément (« HEN »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : WILLEN REJET WETEN SAFARI 8 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/02/2017

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maar ik wil nu weten hoe het roofdier is gestorven » (« Mais je veux maintenant savoir comment le fauve est mort »).
L’auxiliaire de mode de la VOLONTE » est l’infinitif « WILLEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « MOGEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière le complément éventuel (« NU »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : WILLEN REJET MAKEN KARL MAY 7 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/02/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik wil met hen niets te maken hebben » (« Je ne veux rien avoir à faire avec eux »).
L’auxiliaire de mode de la VOLONTE » est l’infinitif « WILLEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « MOGEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière le complément (« met hen »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MOGEN MAG REJET VRAGEN ROBERT EN BERTRAND 15 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/02/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Mag ik je een raad vragen ?» (« Est-ce que je peux te demander un conseil ? = Puis-je te demander un conseil ? »).
L’auxiliaire de mode de la POSSIBILITE » est l’infinitif « MOGEN », donnant un singulier « MAG ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière les compléments (« je » et « een raad »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MOGEN REJET HEBBEN ROBERT EN BERTRAND 15 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/02/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Waar mag die bengel zich (ergens) verscholen hebben ?» (« Où ce garnement peut-il s’être caché = a-t-il pu se cacher ? »).
L’auxiliaire de mode de la POSSIBILITE » est l’infinitif « MOGEN », donnant un singulier « MAG ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOETEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière le complément (« ergens »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
On trouve aussi dans cette phrase la forme verbale « VERSCHOLEN », participe passé provenant de l’infinitif « VERSCHUILEN », lui-même construit sur le verbe « SCHUILEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Rappelons que la plupart des verbes en « UI » (grande catégorie) donnent des formes irrégulières du passé (O.V.T. ou V.T.T.) en « O ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.

Nom : MOETEN REJET MEEKOMEN ROBERT EN BERTRAND 21 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/02/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Jullie moeten naar nummer 17 mee(komen) » (« Vous devez venir avec = (m’)accompagner vers = chez numéro 17 »). (N.B. : numéro 17 est son chef.)
L’auxiliaire de mode de l’OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière le complément (« naar nummer 17 »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Il faut signaler que, souvent, dans ces phrases avec auxiliaires de mode, les verbes « KOMEN » et « GAAN » ne sont plus écrits, sont sous-entendus, allant de soi dans le contexte.
Par ailleurs, n’oublions pas que la « particule séparable » « MEE » provient de l’ancienne préposition « MET ».

Nom : MOETEN REJET INHALEN ROBERT EN BERTRAND 15 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/02/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We moeten hem inhalen » (« Nous devons le rattraper »).
L’auxiliaire de mode de l’OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière le complément (« HEM »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KUNNEN REJET ZIJN BESSY 24 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/02/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « En die wapens kunnen alleen voor de Indianen bestemd zijn » (« Et ces armes peuvent être destinées seulement pour les Indiens = ne peuvent qu’être destinées aux Indiens »).
L’auxiliaire de mode de la CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière le complément (« alleen voor de Indianen »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KUNNEN REJET WORDEN ROBERT EN BERTRAND 35 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/02/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Er kan een noodhospitaal ingericht worden » (« Il peut être installé un hôpital d’urgence = On peut installer un hôpital d’urgence »).
L’auxiliaire de mode de la CAPACITE » est l’infinitif « KUNNEN », donnant un singulier « KAN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière le complément (« alleen voor de Indianen »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
On trouve aussi danc cette phrase la forme verbale « INgericht », participe passé provenant de l’infinitif « INrichten » (dit « à particule séparable »), construit sur le verbe « RICHTEN », considéré comme « régulier ».
Comme la grande majorité des verbes néerlandais, le verbe « RICHTEN » n’est pas affecté par les « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « T », on trouvera de toutes façons le « T » minoritaire comme terminaison du participe passé.
La forme verbale « inGEricht » est bien à « particule séparable » puisque le « GE » du participe passé s’intercale entre la particule « IN » et la forme verbale proprement dite

Nom : MOETEN REJET WORDEN ROBERT EN BERTRAND 21 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/02/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Schranderheid en doorzettingsvermogen moeten altijd beloond worden) » (« Astuce et persévérance doivent toujours être récompensés »).
L’auxiliaire de mode de l’OBLIGATION » est l’infinitif « MOETEN ». Comme les trois autres auxiliaires de mode (« KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), il exige le REJET de l’autre forme verbale, derrière le complément éventuel (« altijd »), à la fin de la phrase et à l’infinitif.
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ». On y trouve aussi la forme verbale « BELOOND », participe passé provenant de l’infinitif « BELONEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Ce verbe « BELONEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) ; il ne fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « N », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison du participe passé. Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.

Nom : ZULLEN ZAL WORDEN SAFARI 1 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/02/2017

Description : La triple phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De oude leeuw weet dat alarm zal (bijna dadelijk) geslagen worden en springt snel toe » (« Le vieux lion sait que l’alarme va être = sera (presque tout de suite) frappée / donnée et bondit rapidement »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale à la fin de la phrase, derrière le complément éventuel (« bijna dadelijk »), et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : ZULLEN ZAL VERZORGEN RIJDEN SAFARI 1 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/02/2017

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik zal je eerst verzorgen » (« Je vais d’abord te soigner = je te soignerai d’abord ») / « Ik zal voorzichtig rijden » (« Je vais conduire prudemment = je conduirai prudemment »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale à la fin de la phrase, derrière les compléments (« JE », « eerst » ou « voorzichtig »), et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZULLEN ZAL VERBERGEN BESSY 59 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/02/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik zal me hier verbergen » (« Je vais me cacher ici = je me cacherai ici »)
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale à la fin de la phrase, derrière les compléments (« ME » et « HIER »), et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZULLEN ZAL AFLOPEN ROBERT EN BERTRAND 37 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/02/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Rook zal hun aandacht trekken » (« De la fumée va attirer = attirera leur attention »)
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale à la fin de la phrase, derrière le complément (« hun aandacht »), et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZULLEN ZAL AFLOPEN ROBERT EN BERTRAND 35 VANDERSTEEN - Rajouté le 31/01/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hoe zal dat aflopen ? » (« Comment cela va–t-il se terminer = comment cela se terminera-t-il ? »)
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale à la fin de la phrase, derrière le complément (« DAT »), et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZULLEN ZAL DOEN SAFARI 1 VANDERSTEEN - Rajouté le 30/01/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wat zal hij (Sam) nu doen ? » (« Que va–t-il faire = que fera-t-il maintenant ? »)
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale à la fin de la phrase, derrière le complément éventuel (« NU »), et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZULLEN BEGRAVEN BESSY 4 VANDERSTEEN - Rajouté le 29/01/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het vlees (…) zullen we naar Indiaans gebruik begraven » (« La viande, nous allons l’enterrer = nous l’enterrerons à la mode indienne »).
L’auxiliaire du FUTUR « simple » est l’infinitif « ZULLEN », donnant un singulier « ZAL ». Pour être moins dérouté par la construction du futur simple en néerlandais, il est peut-être plus simple de le comparer au « futur proche » français et de remplacer les formes de « ZULLEN » par celles de « ALLER ».
Au FUTUR, il y a REJET de l’autre forme verbale à la fin de la phrase, derrière le complément (« naar Indiaans gebruik »), et à l’INFINITIF. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Il y a INVERSION du sujet (WE) et du verbe (ZULLEN) parce que la phrase commence par un complément (« het vlees »). On aurait pu avoir la phrase suivante : « We zullen Het vlees naar Indiaans gebruik begraven ».

Nom : GEZOCHT VTT ZOEKEN ROBERT EN BERTRAND 21 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/01/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je hebt het zelf gezocht » (« Tu l’as toi-même cherché »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEZOCHT », participe passé provenant de l’infinitif « ZOEKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEZOCHT » est construit sur le SINGULIER du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GEZOCHT » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« HET »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse, également en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEWEEST VTT ZIJN KARL MAY 12 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/01/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Onze kracht is steeds geweest de oeroude tradities hoog te houden » (« Notre force a toujours été de respecter les traditions ancestrales »).
On y trouve la forme verbale « GEWEEST », participe passé provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Nombre d’élèves ne le « retenant » pas, rappelons qu’une de ses formes à l’impératif est « WEES », comme dans l’expression « Wees niet bang »(« N’aie pas peur »).
Il est à noter que l’auxiliaire du passé composé est ici « ZIJN » (au lieu de « HEBBEN »).
Pour complément d’informations, consultez notamment notre tableau de synthèse « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé : http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GEWEEST » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« steeds »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEHOLPEN VTT HELPEN BESSY 59 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/01/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Heeft hij (de man) je niet geholpen ? » (« (L’homme) ne t’a-t-il pas aidé ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEHOLPEN », participe passé provenant de l’infinitif «HELPEN», qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GEHOLPEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« JE »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEHAD VTT HEBBEN BESSY 24 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/01/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Vervloekte hond, ze heeft geluk gehad ! » (« Maudite chienne, elle a eu de la chance ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEHAD », participe passé provenant de l’infinitif « HEBBEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Il faut aussi noter que ce participe passé se construit sur le SINGULIER du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GEHAD » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« geluk »), à la fin de la phrase. Voyez : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEGEVEN VTT GEVEN SAFARI 1 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/01/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wie heeft je die brief gegeven ? » (« Qui t’a donné cette lettre ? »).
On y trouve notamment, la forme verbale « GEGEVEN », participe passé provenant de l’infinitif « GEVEN ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’INFINITIF. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GEGEVEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« JE »), à la fin de la phrase. Lisez notre synthèse, également en couleurs
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEGAAN VTT GAAN BESSY 59 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/01/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij is niet ver van de verborgen canyon aan wal gegaan » (« Elle est allée = a échoué sur la berge pas loin du canyon caché »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEGAAN », participe passé provenant de l’infinitif « GAAN ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’INFINITIF. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GEGAAN » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« niet ver van de verborgen canyon » et « aan wal »), à la fin de la phrase. Lisez notre synthèse, également en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEBRACHT VTT BRENGEN ROBERT EN BERTRAND 35 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/01/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze (Robert en Bertrand) hebben hun beschermeling (Joeki) naar de kostschool (…) gebracht » (« Ils ont amené leur protégé au pensionnat / à l’internat »). (N.B. : nous avons remis sujet et verbe dans cet ordre par rapport à la phrase de la BD.)
On y trouve notamment la forme verbale « GEBRACHT », participe passé provenant de l’infinitif « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEBRACHT » est construit sur le SINGULIER du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
N’oublions pas que la forme verbale du participe passé fait l’objet d’un REJET à la fin de la phrase, derrière (tous) les compléments (« hun beschermeling » et « naar de kostschool »). Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse, également en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VERTROKKEN VTT VERTREKKEN SAFARI 1 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/01/2017

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het is jammer dat ze NU (zijn) vertrokken zijn » (« C’est dommage qu’ils sont partis »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve donc la forme verbale « VERtrokken », participe passé provenant de l’infinitif « VERtrekken », lui-même construit sur « TREKKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « VERtrokken » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« NU »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VERGETEN VTT VERGETEN 7 RODET RIDDER VANDERSTEEN - Rajouté le 20/01/2017

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Angkor verdween onder het groene tapijt van het oerwoud en zijn bestaan werd met de tijd vergeten » (« Angkor disparut sous le tapis vert de la forêt vierge et son existence fut oubliée avec le temps »).
On y trouve notamment, dans la deuxième phrase, la forme verbale « VERGETEN », participe passé provenant, par hasard, du même infinitif « VERGETEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Signalons dès lors que, si « VERGETEN » est ici au V.T.T. (ou passé composé), il aurait été écrit de la même façon au pluriel de l’O.T.T. (ou indicatif présent), qui équivaut, rappelons-le, à l’INFINITIF. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« met de tijd »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : VERGETEN VTT VERGETEN BESSY 59 2 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/01/2017

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Soms als ze (lang) (worden) vergeten worden, helpen ze de gewassen zich voort te planten » (« Parfois, quand elles sont oubliées, elles aident la végétation à se perpétuer »).
On y trouve notamment, dans la première phrase, la forme verbale « VERGETEN », participe passé provenant, par hasard, du même infinitif « VERGETEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Signalons dès lors que, si « VERGETEN » est ici au V.T.T. (ou passé composé), il aurait été écrit de la même façon au pluriel de l’O.T.T. (ou indicatif présent), qui équivaut, rappelons-le, à l’INFINITIF. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« lang »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : VERGETEN VTT VERGETEN BESSY 59 1 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/01/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het verleden was (NU) vergeten » (« Le passé était oublié »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERGETEN », participe passé provenant, par hasard, du même infinitif « VERGETEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Signalons dès lors que, si « VERGETEN » est ici au V.T.T. (ou passé composé), il aurait été écrit de la même façon au pluriel de l’O.T.T. (ou indicatif présent), qui équivaut, rappelons-le, à l’INFINITIF. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« NU »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VERGETEN VTT VERGETEN BESSY 42 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/01/2017

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij heeft (weer) vergeten dat de hond (Bessy) er / daar nog is » (« Il a oublié que le chien y est encore »).
On y trouve notamment, dans la première phrase, la forme verbale « VERGETEN », participe passé provenant, par hasard, du même infinitif « VERGETEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Signalons dès lors que, si « VERGETEN » est ici au V.T.T. (ou passé composé), il aurait été écrit de la même façon au pluriel de l’O.T.T. (ou indicatif présent), qui équivaut, rappelons-le, à l’INFINITIF. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« weer »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VERTROKKEN VTT VERTREKKEN ROBERT EN BERTRAND 21 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/01/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Die vroIijke vagebonden zijn zeker reeds vertrokken » (« Ces joyeux vagabonds sont certainement déjà partis »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve, à la fin de la première phrase, la forme verbale « VERtrokken », participe passé provenant de l’infinitif « VERtrekken », lui-même construit sur « TREKKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « VERtrokken » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« zeker » et « reeds »), à la fin de la phrase :
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VERTROKKEN VTT VERTREKKEN ROBERT EN BERTRAND 15 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/01/2017

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Nauwelijks is de commissaris vertrokken of de planton krijgt rumoerig bezoek » (« A peine le commissaire est-il parti que le planton reçoit une visite tapageuse »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve, à la fin de la première phrase, la forme verbale « VERtrokken », participe passé provenant de l’infinitif « VERtrekken », lui-même construit sur « TREKKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
La phrase commençant ici par un complément (« nauwelijks »), on a INVERSION du sujet et du verbe, le premier passant derrière le deuxième. Si l’ordre des mots avait été « normal » (sujet d’abord, puis verbe) on aurait pu mieux constater que le participe passé « VERtrokken » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« nauwelijks »), à la fin de la phrase :
« De commissaris is nauwelijks vertrokken of de planton (krijgt) rumoerig bezoek krijgt », la forme verbale « krijgt » devant, en principe, aussi faire l’objet d’un REJET, à la fin de cette phrase subordonnée (introduite par « OF »). Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VERTROKKEN VTT VERTREKKEN RODE RIDDER 2 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/01/2017

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « (Het is) spijtig dat ze NU (zijn) vertrokken zijn » (« C’est regrettable qu’ils sont partis »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve donc la forme verbale « VERtrokken », participe passé provenant de l’infinitif « VERtrekken », lui-même construit sur « TREKKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « VERtrokken » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« NU »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VERTROKKEN VTT VERTREKKEN KARL MAY 9 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/01/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zijn meester (Old Shatterhand) is zonder hem vertrokken » (« Son maître est parti sans lui »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve donc la forme verbale « VERtrokken », participe passé provenant de l’infinitif « VERtrekken », lui-même construit sur « TREKKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « VERtrokken » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« zonder hem »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VERTROKKEN VTT VERTREKKEN BESSY 54 2 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/01/2017

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Kan je ons zeggen in welke richting ze (zijn) vertrokken zijn ? » (« Peux-tu nous dire dans quelle direction ils sont partis ? »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve donc la forme verbale « VERtrokken », participe passé provenant de l’infinitif « VERtrekken », lui-même construit sur « TREKKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « VERtrokken » devrait faire l’objet d’un REJET, derrière le complément (« in welke richting ») à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VERTROKKEN VTT VERTREKKEN BESSY 54 1 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/01/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Geen kreet of de rode krijger zal naar de eeuwige jachtvelden (zijn) vertrokken zijn » (« Pas un cri ou le guerrier rouge partira = va être parti pour les terrains de chasse éternels »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve donc la forme verbale « VERtrokken », participe passé provenant de l’infinitif « VERtrekken », lui-même construit sur « TREKKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « VERtrokken » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« naar de eeuwige jachtvelden »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ONTVANGEN VTT ONTVANGEN RODE RIDDER 19 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/01/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Modred) wordt door hem (Borsaw) nogal vijandig ontvangen » (« Il est reçu par lui de façon assez ennemie => hostile »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve donc la forme verbale « ONTvangen », participe passé provenant de l’infinitif « ONTvangen », qui lui est donc identique et fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « ONTvangen » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« door hem » et « nogal vijandig »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : ONTVANGEN VTT ONTVANGEN ROBERT EN BERTRAND 1 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/01/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We zullen met open armen (worden) ontvangen worden » (« Nous serons = allons être accueillis à bras ouverts »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve donc la forme verbale « ONTvangen », participe passé provenant de l’infinitif « ONTvangen », qui lui est donc identique et fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « ONTvangen » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« met open armen »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : ONTVANGEN VTT ONTVANGEN BESSY 54 2 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/01/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het grote opperhoofd der (= van de) bleekgezichten zal luisterrijk (worden) ontvangen worden » (« Le grand chef des visages pâles sera fastueusement reçu »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve donc la forme verbale « ONTvangen », participe passé provenant de l’infinitif « ONTvangen », qui lui est donc identique et fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « ONTvangen » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« luisterrijk »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : ONTVANGEN VTT ONTVANGEN BESSY 54 1 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/01/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De bezoekers worden door de sachem ontvangen » (« Les visiteurs sont reçus par le sachem »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve donc la forme verbale « ONTvangen », participe passé provenant de l’infinitif « ONTvangen », qui lui est donc identique et fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « ONTvangen » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« door de sachem »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : GEBEURD VTT GEBEUREN ROBERT EN BERTRAND 15 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/01/2017

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb eerbied voor wat hier (is) gebeurd is » (« J'ai du respect pour ce qui s'est passé ici »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve donc dans la phrase subordonnée (introduite par « WAT ») la forme verbale « GEBEURD », participe passé provenant de l’infinitif « GEBEUREN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et est construit sur le RADICAL ou première personne du singulier de l’indicatif présent.
Le participe passé « GEBEURD » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« HIER »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEBEURD VTT GEBEUREN ROBERT EN BERTRAND 21 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/01/2017

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wie zal ooit weten wat er op dit ogenblik is gebeurd ? … » (« Qui saura jamais ce qui s’est passé à cet instant ? … »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE-, ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve donc dans la phrase subordonnée (introduite par « WAT ») la forme verbale « GEBEURD », participe passé provenant de l’infinitif « GEBEUREN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et est construit sur le RADICAL ou première personne du singulier de l’indicatif présent.
Le participe passé « GEBEURD » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« op dit ogenblik »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes


© 2017, Bernard GOORDEN, voor de grammatica. Autres exemples à http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=vandersteen

Nom : GEBEURD VTT GEBEUREN SAFARI 1 2 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/01/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Er is iets vreslijks gebeurd » (« Il est arrivé quelque chose d’effroyable »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve donc dans cette phrase la forme verbale « GEBEURD », participe passé provenant de l’infinitif « GEBEUREN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et est construit sur le RADICAL ou première personne du singulier de l’indicatif présent.
Le participe passé « GEBEURD » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« iets vreslijks »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEBEURD VTT GEBEUREN SAFARI 1 1 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/01/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wat is hier gebeurd ? » (« Qu’est-il arrivé ici ? »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve donc dans cette phrase la forme verbale « GEBEURD », participe passé provenant de l’infinitif « GEBEUREN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et est construit sur le RADICAL ou première personne du singulier de l’indicatif présent.
Le participe passé « GEBEURD » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« HIER »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEBEURD VTT GEBEUREN BESSY 42 2 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/01/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wat is met je gebeurd ? » (« Qu’est-ce qui s’est passé avec toi ? => Que t’’est-il arrivé ? »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve donc dans cette phrase la forme verbale « GEBEURD », participe passé provenant de l’infinitif « GEBEUREN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et est construit sur le RADICAL ou première personne du singulier de l’indicatif présent.
Le participe passé « GEBEURD » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« met je »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEBEURD VTT GEBEUREN BESSY 42 1 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/01/2017

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wat is daar gebeurd ? » (« Qu’est-il arrivé là ? »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve donc dans cette phrase la forme verbale « GEBEURD », participe passé provenant de l’infinitif « GEBEUREN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et est construit sur le RADICAL ou première personne du singulier de l’indicatif présent.
Le participe passé « GEBEURD » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« DAAR »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : BEGONNEN VTT BEGINNEN SAFARI 2 VANDERSTEEN - Rajouté le 31/12/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Met hem (een norse Sam) aan het stuur wordt de tocht (dadelijk) begonnen » (« Avec lui au volant, l’excursion = l’expédition est commencée »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve donc dans cette phrase la forme verbale « BEgonnen », participe passé provenant de l’infinitif « BEginnen », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et est construit sur le PLURIEL du prétérit, lui étant même identique. Les infinitifs en « I » constituent une des trois grandes catégories de verbes irréguliers et donnent des « O » aux temps du passé (O.V.T ou V.T.T). Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Dans la mesure où la phrase commence par un complément (« Met hem aan het stuur »), il y a INVERSION de l’ordre des mots / des positions du sujet et du verbe. On aurait pu avoir la phrase suivante : « De tocht wordt met een norse Sam aan het stuur begonnen ».
On aurait alors mieux vu qu’il y a REJET de la forme verbale du participe passé « BEgonnen » à la fin de la phrase, derrière le complément « Met hem aan het stuur ». Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
L’auxiliaire du passé composé est habituellement « ZIJN » avec « BEginnen ».

Nom : BEGONNEN VTT BEGINNEN ROBERT EN BERTRAND 21 2 VANDERSTEEN - Rajouté le 30/12/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Inmiddels is de reddingsactie (eindelijk) begonnen » (« Entretemps, l’action de secours a commencé = les opérations de secours ont commencé »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve donc dans cette phrase la forme verbale « BEgonnen », participe passé provenant de l’infinitif « BEginnen », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et est construit sur le PLURIEL du prétérit, lui étant même identique. Les infinitifs en « I » constituent une des trois grandes catégories de verbes irréguliers et donnent des « O » aux temps du passé (O.V.T ou V.T.T). Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Dans la mesure où la phrase commence par un complément (« Inmiddels »), il y a INVERSION de l’ordre des mots / des positions du sujet et du verbe. On aurait pu avoir la phrase suivante : « De reddingsactie is inmiddels begonnen ».
On aurait alors mieux vu qu’il y a REJET de la forme verbale du participe passé « BEgonnen » à la fin de la phrase, derrière le complément éventuel « eindelijk ». Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
L’auxiliaire du passé composé est habituellement « ZIJN » avec « BEginnen ».

Nom : BEGONNEN VTT BEGINNEN ROBERT EN BERTRAND 21 1 VANDERSTEEN - Rajouté le 29/12/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We zijn zonder vergunning begonnen » (« Nous avons commencé sans permis »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve donc dans cette phrase la forme verbale « BEgonnen », participe passé provenant de l’infinitif « BEginnen », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et est construit sur le PLURIEL du prétérit, lui étant même identique. Les infinitifs en « I » constituent une des trois grandes catégories de verbes irréguliers et donnent des « O » aux temps du passé (O.V.T ou V.T.T). Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Il y a REJET de la forme verbale du participe passé « BEgonnen » à la fin de la phrase, derrière le complément « zonder vergunning ». Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
L’auxiliaire du passé composé est habituellement « ZIJN » avec « BEginnen ».

Nom : BEGONNEN VTT BEGINNEN KARL MAY 13 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/12/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hier is het dus allemaal begonnen ! » (« C’est donc ici que tout a commencé ! »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve donc dans cette phrase la forme verbale « BEgonnen », participe passé provenant de l’infinitif « BEginnen », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et est construit sur le PLURIEL du prétérit, lui étant même identique. Les infinitifs en « I » constituent une des trois grandes catégories de verbes irréguliers et donnent des « O » aux temps du passé (O.V.T ou V.T.T). Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Il y a REJET de la forme verbale du participe passé « BEgonnen » à la fin de la phrase, derrière le complément « allemaal ». Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : BEGONNEN VTT BEGINNEN BESSY 54 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/12/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het einde van een tragedie die eens met mooie toekomstdromen was begonnen » (« La fin d’une tragédie qui, un jour, avait commencé avec de beaux rêves d’avenir »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve donc dans cette phrase la forme verbale « BEgonnen », participe passé provenant de l’infinitif « BEginnen », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et est construit sur le PLURIEL du prétérit, lui étant même identique. Les infinitifs en « I » constituent une des trois grandes catégories de verbes irréguliers et donnent des « O » aux temps du passé (O.V.T ou V.T.T). Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Il y a REJET de la forme verbale du participe passé « BEgonnen » à la fin de la phrase, derrière le complément (« met mooie dromen »). Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : BEGONNEN VTT BEGINNEN BESSY 34 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/12/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Geen oorlog kan (worden) begonnen worden zonder dat, eerst, de heilige strijdbijl is opgegraven » (« Aucune guerre ne peut être commencée sans que, d’abord, la hache de guerre sacrée soit déterrée »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve donc dans cette phrase la forme verbale « BEgonnen », participe passé provenant de l’infinitif « BEginnen », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et est construit sur le PLURIEL du prétérit, lui étant même identique. Les infinitifs en « I » constituent une des trois grandes catégories de verbes irréguliers et donnent des « O » aux temps du passé (O.V.T ou V.T.T). Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Il y a REJET de la forme verbale du participe passé « BEgonnen » à la fin de la phrase, derrière le complément éventuel (« door de Indianen »). Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
L’auxiliaire du passé composé est habituellement « ZIJN » avec « BEginnen ». On a ici « WORDEN », ce qui indique que l’on a affaire à la « voix passive ».

Nom : BEGONNEN VTT BEGINNEN BESSY 24 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/12/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De reis is nog maar pas begonnen» (« Le voyage est juste commencé = n’a fait que commencer »).
Rappelons d’abord que, dans les verbes, au moins les préfixes BE- ER-, HER-, GE-, ONT- et VER- NE sont PAS séparables et que, exceptionnellement, on NE fait PAS précéder leur participe passé de l’habituel préfixe « GE- », commun à l’immense majorité des participes passés néerlandais.
On trouve donc dans cette phrase la forme verbale « BEgonnen », participe passé provenant de l’infinitif « BEginnen », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et est construit sur le PLURIEL du prétérit, lui étant même identique. Les infinitifs en « I » constituent une des trois grandes catégories de verbes irréguliers et donnent des « O » aux temps du passé (O.V.T ou V.T.T). Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Il y a REJET de la forme verbale du participe passé « BEgonnen » à la fin de la phrase, derrière le complément (« nog maar pas »). Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
L’auxiliaire du passé composé est habituellement « ZIJN » avec « BEginnen ».

Nom : VROEGEN OVT VRAGEN RODE RIDDER 17 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/12/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante: « Ze vroegen slechts geluk » (« Ils ne demandaient que du bonheur »).
On y trouve notamment la forme verbale « VROEGEN », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « VRAGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : ZOCHT OVT ZOEKEN SAFARI 1 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/12/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (de krijger) zocht naar het kamp » (« Il cherchait le camp »).
On y trouve notamment la forme verbale « ZOCHT », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZOEKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : MOCHT OVT MOGEN ONTVING OVT ONTVANGEN SAFARI 1 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/12/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Niemand mocht (in de bevolking) weten dat u die brief ontving » (« Personne ne pouvait savoir que vous receviez cette lettre »).
On y trouve, dans la phrase principale, la forme verbale « MOCHT » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant de l’infinitif « MOGEN », et dans la phrase subordonnée (introduite par « DAT »), la forme verbale « ONTving », prétérit provenant de l’infinitif « ONTvangen », lui-même construit sur l’infinitif « VANGEN », qui font tous deux l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Voir notre tableau en couleurs :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que l’auxiliaire de mode « MOGEN » exige le REJET de l’infinitif qui le suit (« weten »), derrière le complément éventuel (« in de bevolking ») à la fin de la phrase … principale.
N’oublions pas que, dans une phrase subordonnée néerlandaise, la forme verbale (ici « ontving ») est séparée de son sujet et fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« die brief ») à la fin de cette phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse, également en couleurs
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GINGEN OVT GAAN SAFARI 8 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/12/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Als we nu eens naar de hut gingen om het masker te halen ? » (« Si nous allions maintenant vers la hutte pour aller chercher le masque ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « GINGEN » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant de l’infinitif « GAAN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Voir notre tableau :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Notons que dans la phrase subordonnée, introduite par « ALS », la forme verbale « GINGEN » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« nu », « eens » et « naar de hut »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
N’oublions pas non plus que « POUR » devant un verbe est rendu, en néerlandais, par l’expression « OM … TE » (mots entre lesquels s’intercale le complément), le « TE » précédant directement le verbe à l’infinitif.

Nom : DRONK OVT DRINKEN RODE RIDDER 38 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/12/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Vermoedelijk dronk hij er nog uit ! » (« Vraisemblablement y a-t-il encore bu OU l’a-t-il encore vidée ! ») / « Ik vond dezelfde beker in het meer ».
On y trouve, dans la première phrase, la forme verbale « DRONK » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant de l’infinitif « DRINKEN », et dans la deuxième phrase la forme verbale « VOND », prétérit provenant de l’infinitif « VINDEN », qui font tous deux l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Ils appartiennent à une grande « catégories » (celles des « I » donnant des « O »). Voir notre tableau :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Selon l’interprétation de la première phrase, on peut avoir affaire à l’alternative « DRONK … UIT », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « uitDRINKEN », construit sur « DRINKEN ».
Si l’on considère, en revanche, que « UIT » n’est pas une « particule séparable » de « uitDRINKEN », on aurait plutôt affaire à un adverbe pronominal et la phrase aurait pu être formulée : « Vermoedelijk dronk hij nog erUIT ! ». Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse, également en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : BRACHT OVT BRENGEN SAFARI 1 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/12/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik bracht olifanten in reservaten » (« J’apportais = j’amenais DES éléphants dans DES réserves »).
On y trouve la forme verbale « BRACHT » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant de l’infinitif « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Voir notre tableau en couleurs : http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
N’oublions pas que, tant en langue néerlandaise qu’en langue anglaise, le déterminant indéfini « DES » (PLURIEL de « UN » ou « UNE ») n’est rendu par AUCUN mot. Voir, par exemple, « Pluriel des noms » :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=plNoms

Nom : WEERGEKEERD VTT WEERKEREN RODE RIDDER 17 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/12/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (de Rode Ridder) is inmiddels naar zijn vriend (…) weergekeerd » (« Il est entretemps retourné vers => chez son ami »).
On y trouve la forme verbale « WEERgekeerd », participe passé provenant de l’infinitif « WEERkeren », lui-même construit sur l’infinitif « KEREN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et est donc construit (comme pour la grande majorité des verbes néerlandais) sur le radical du verbe ou première personne du présent. Pour complément d’informations, consultez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=radVerbes
Quand « WEERkeren » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « WEER » (souvent remplacée par « TERUG ») de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « weerGEkeerd ».
Il y a REJET de la forme verbale du participe passé « WEERgekeerd » à la fin de la phrase, derrière les compléments (« inmiddels » et « naar zijn vriend »). Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : RONDGELEID VTT RONDLEIDEN ROBERT EN BERTRAND 21 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/12/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : (Op) de volgende morgen wordt zij (Anna) door hem (Dillens) rondgeleid => opgeleid » (« Le lendemain matin, elle est conduite / formée par lui »).
On y trouve, la forme verbale « RONDgeleid », participe passé (utilisé à la voix passive avec WORDEN) provenant de l’infinitif « RONDleiden », lui-même construit sur l’infinitif « MAKEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et est donc construit (comme pour la grande majorité des verbes néerlandais) sur le radical du verbe ou première personne du présent. Pour complément d’informations, consultez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=radVerbes
Quand « RONDleiden » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « ROND » (un ancien adjectif) de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « rondGEleid ».
Il y a REJET de la forme verbale du participe passé « RONDgeleid » à la fin de la phrase, derrière le complément (« door hem »). Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : OMGESMOLTEN VTT OMSMELTEN ROBERT EN BERTRAND 21 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/12/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Koper en lood worden (in kogels) omgesmolten » (« Le cuivre et le plomb sont refondus »).
On y trouve la forme verbale « OMgesmolten », participe passé (utilisé à la voix passive avec WORDEN) provenant de l’infinitif « OMsmelten », lui-même construit sur l’infinitif « SMELTEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et est construit sur le PLURIEL du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « OMsmelten » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OM » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « omGEsmolten ».
Il y a REJET de la forme verbale du participe passé « OMgesmolten » à la fin de la phrase, derrière le complément éventuel (« in kogels »). Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : VASTGEGREPEN VTT VASTGRIJPEN RODE RIDDER 109 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/12/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Jan Breydel) heeft zijn tegenstander vastgegrepen » (« Il a saisi fermement son adversaire »).
On y trouve la forme verbale « VASTgegrepen », participe passé provenant de l’infinitif « VASTgrijpen », lui-même construit sur l’infinitif « GRIJPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes irréguliers, dits « forts » et est construit sur le PLURIEL du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé (la plus nombreuse étant celle des « IJ ») :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « VASTgrijpen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « VAST » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « vastGEgrepen ».
Il y a REJET de la forme verbale du participe passé « VASTgegrepen » à la fin de la phrase, derrière le complément (« zijn tegenstander »). Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse, également en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : NEERGESLAGEN VTT NEERSLAAN KARL MAY 4 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/12/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij wordt onverhoeds neergeslagen » (« Il est assommé à l’improviste »).
On y trouve, dans la phrase subordonnée relative, la forme verbale « NEERgeslagen », participe passé provenant de l’infinitif « NEERslaan », lui-même construit sur l’infinitif « SLAAN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « NEERgeslagen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé (ici à la voix passive, avec WORDEN), cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « NEER » (provenant de la préposition « met ») de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « neerGEslagen ».
Il y a REJET de la forme verbale du participe passé « NEERgeslagen » à la fin de la phrase, derrière le complément éventuel (« onverhoeds »). Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KWIJTGERAAKT VTT KWIJTRAKEN ROBERT EN BERTRAND 2 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/12/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij verkeert in de waan dat hij de achtervolgers is kwijtgeraakt » (« Il est dans l'erreur (quand il croit) qu'il s'est défait des poursuivants »).
On y trouve, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « KWIJTgeraakt », participe passé provenant de l’infinitif « KWIJTraken », lui-même construit sur l’infinitif « RAKEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et est donc construit (comme pour la grande majorité des verbes néerlandais) sur le radical du verbe ou première personne du présent. Pour complément d’informations, consultez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=radVerbes
Quand « KWIJTraken » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « KWIJT » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « kwijtGEraakt ».
Il y a REJET de la forme verbale du participe passé « KWIJTgeraakt » à la fin de la phrase, derrière le complément («de achtervolgers »). Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

© 2016, Bernard GOORDEN, voor de grammatica. Autres exemples à http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=vandersteen

Nom : LOSGEMAAKT VTT LOSMAKEN RODE RIDDER 38 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/12/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (die luchter) werd (van boven) losgemaakt (…) ! » (« Il fut détaché ! »).
On y trouve, la forme verbale « LOSgemaakt », participe passé (utilisé à la voix passive avec WORDEN) provenant de l’infinitif « LOSmaken », lui-même construit sur l’infinitif « MAKEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et est donc construit (comme pour la grande majorité des verbes néerlandais) sur le radical du verbe ou première personne du présent. Pour complément d’informations, consultez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=radVerbes
Quand « LOSmaken » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « LOS » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « losGEmaakt ».
Il y a REJET de la forme verbale du participe passé « LOSgemaakt » à la fin de la phrase, derrière le complément éventuel (« van boven »). Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : TOEGELATEN VTT TOELATEN ROBERT EN BERTRAND 35 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/12/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb zelf burgers op het slagveld toegelaten » (« J’ai moi-même autorisé des civils sur le champ de bataille »).
On y trouve la forme verbale « TOEgelaten », participe passé provenant de l’infinitif « TOElaten », lui-même construit sur l’infinitif « LATEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et est construit sur l’INFINITIF. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « TOElaten » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TOE » (provenant de la préposition « tot ») de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « toeGElaten ».
Il y a REJET de la forme verbale du participe passé « TOEgelaten » à la fin de la phrase, derrière les compléments (« burgers » et « op het slagveld »). Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : MEEGEBRACHT VTT MEEBRENGEN BESSY 24 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/12/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wie is de blanke man die u (ons) hebt meegebracht ? » (« Qui = Quel est cet homme blanc que vous avez apporté avec vous = amené ? »).
On y trouve, dans la phrase subordonnée relative, la forme verbale « MEEgebracht », participe passé provenant de l’infinitif « MEEbrengen », lui-même construit sur l’infinitif « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et est construit sur le SINGULIER du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « MEEbrengen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « MEE » (provenant de la préposition « met ») de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « meeGEbracht ».
Il y a REJET de la forme verbale du participe passé « MEEgebracht » à la fin de la phrase, derrière le complément éventuel (« ons »). Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : TERUGGETROKKEN VTT TERUGTREKKEN ROBERT EN BERTRAND 35 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/12/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Henri Dunant heeft zich in de omgeving van Solferino teruggetrokken » (« Henri Dunant s’est retiré dans les environs de Solférino »).
On y trouve la forme verbale « TERUGgetrokken », participe passé provenant de l’infinitif « TERUGtrekken », lui-même construit sur l’infinitif « TREKKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et est construit sur le PLURIEL du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « TERUGtrekken » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERUG » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « terugGEtrokken ».
Il y a REJET de la forme verbale du participe passé « TERUGgetrokken » à la fin de la phrase, derrière le complément « in de omgeving van Solferino ». Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ACHTERGELATEN VTT ACHTERLATEN SAFARI 1 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/12/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Buiten de omheining blaat enkel een achtergelaten geitje » (« En dehors de l’enclos, seule une petite chèvre, laissée en arrière, bêle »).
On y trouve la forme verbale « ACHTERgelaten », participe passé (utilisé ici comme adjectif épithète) provenant de l’infinitif « ACHTERlaten », lui-même construit sur l’infinitif « LATEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et est construit sur l’INFINITIF, une des trois grandes catégories de verbes irréguliers au participe passé. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « ACHTERlaten » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « ACHTER » (ancienne préposition) de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « achterGElaten ». Au lieu de l’adjectif, on aurait pu dire : « Het geitje dat werd achtergelaten (werd) ».
La phrase commençant par un complément (« Buiten de omheining »), on doit INVERSER verbe et sujet

Nom : BINNENGEDRONGEN VTT BINNENDRINGEN RODE RIDDER 109 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/12/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De Fransen zijn in het Steen binnengedrongen » (« Les Français ont pénétré dans le (Graven)Steen » (de Bruges) = le Château des Comtes (comme à Gand).
On y trouve la forme verbale « BINNENgedrongen », participe passé provenant de l’infinitif « BINNENdringen », lui-même construit sur l’infinitif « DRINGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et est construit sur le PLURIEL du prétérit. Les infinitifs en « I » constituent une des trois grandes catégories de verbes irréguliers et donnent souvent des « O » aux temps du passé (OVT ou VTT). Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « BINNENdringen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « BINNEN » (qui provient de la préposition « BINNEN », venant elle-même de la préposition « IN ») de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « binnenGEdrongen ».
Il y a REJET de la forme verbale du participe passé « BINNENgedrongen » à la fin de la phrase, derrière le complément (« in het Steen »). Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : UITGESLOTEN VTT UITSLUITEN SAFARI 1 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/12/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het is (absoluut) uitgesloten dat een eenzame hyena een zo groot dier zou (hebben) gedood hebben » (« Il est exclu qu’une hyène solitaire aurait => ait tué un si grand animal »).
On y trouve la forme verbale « UITgesloten », participe passé provenant de l’infinitif « UITsluiten », lui-même construit sur l’infinitif « SLUITEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et est construit sur le PLURIEL du prétérit. Les infinitifs en « UI » constituent une des trois grandes catégories de verbes irréguliers et donnent des « O » aux temps du passé (O.V.T ou V.T.T). Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « UITsluiten » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « uitGEsloten ».
Il y a REJET de la forme verbale du participe passé « UITgesloten » à la fin de la phrase, derrière le complément « ten dode ». Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : OPGESCHREVEN VTT OPSCHRIJVEN KARL MAY 3 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/12/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een enkele beet en ik ben ten dode opgeschreven » (« Une seule morsure et je suis inscrit pour la mort => condamné à mort »).
On y trouve la forme verbale « OPgeschreven », participe passé provenant de l’infinitif « OPschrijven », lui-même construit sur l’infinitif « SCHRIJVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et est construit sur le PLURIEL du prétérit. Les infinitifs en « IJ » constituent une des trois grandes catégories de verbes irréguliers et donnent des « E » aux temps du passé (O.V.T ou V.T.T). Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « OPschrijven » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEschreven ».
Il y a REJET de la forme verbale du participe passé « OPgeschreven » à la fin de la phrase, derrière le complément « ten dode ». Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : INGESLAPEN VTT INSLAPEN BESSY 42 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/12/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « ‘s Nachts (= Vannacht = In de nacht) wacht hij (Valkenveer) tot wanneer zijn vader helemaal (is) ingeslapen is » (« La nuit, il attend jusque quand son père est endormi »).
On y trouve la forme verbale « INgeslapen », participe passé provenant de l’infinitif « INslapen », lui-même construit sur l’infinitif « SLAPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et est construit sur l’INFINITIF, une des trois grandes catégories de verbes irréguliers au participe passé. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « INslapen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « IN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « inGEslapen ».
Il y a REJET de la forme verbale du participe passé « INgeslapen » à la fin de la phrase, derrière le complément éventuel (« helemaal »). Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : AANGEVALLEN VTT AANVALLEN BESSY 15 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/12/2016

Description : La triple phrase suivante est grammaticalement intéressante : « (Geweerschoten weerklonken in de verte) en we wisten dat ook de karavaan nu (werd) aangevallen werd » (« … et nous sûmes que la caravane, (elle) aussi, était maintenant attaquée »).
On y trouve la forme verbale « AANgevallen », participe passé provenant de l’infinitif « AANvallen », lui-même construit sur l’infinitif « VALLEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « AANvallen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGEvallen ».
Il y a REJET de la forme verbale « AANgevallen » à la fin de la phrase, derrière le complément « NU ».
On y trouve encore la forme verbale « WERD », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « WORDEN », qui fait aussi l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » (ici « WERD ») au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : VERGETEN VTT VERGETEN ROBERT EN BERTRAND 21 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/12/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De zaak wordt (dadelijk) vergeten » (« L’affaire est oubliée »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERGETEN », participe passé provenant, par hasard, du même infinitif « VERGETEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Signalons dès lors que, si « VERGETEN » est ici au V.T.T. (ou passé composé), il aurait été écrit de la même façon au pluriel de l’O.T.T. (ou indicatif présent), qui équivaut, rappelons-le, à l’INFINITIF. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (par exemple « dadelijk »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN »

Nom : GEZIEN VTT ZIEN RODE RIDDER 38 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/12/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante :« Heb je de klok gezien ? »(«As-tu vu la cloche ?»).
On y trouve notamment la forme verbale « geZIEN », participe passé provenant de l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’INFINITIF. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé : http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « de klok »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEWILD VTT WILLEN SAFARI 1 VANDERSTEEN - Rajouté le 30/11/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je hebt het (dat OU dit) gewild » («Tu l’as voulu»). On y trouve notamment la forme verbale « GEWILD », participe passé provenant de l’infinitif « WILLEN ». Ce verbe « WILLEN » évolue vers un verbe « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est PAS affecté par les « temps primitifs » (sauf, parfois, encore au prétérit : « WOU » au lieu de « WILDE ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent : WILLEN – EN – deuxième « L » => WIL) se terminant par la consonne « L », on trouvera comme terminaison du participe passé le « D » majoritaire, ce « D » étant d’ailleurs déjà présent au prétérit « WILDE ».
Pour la modification orthographique au niveau du radical d’autres verbes, moins simples, référez-vous à notre synthèse du « radical du verbe » néerlandais (point 2). Voir :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=radVerbes
Ce participe passé « GEWILD », fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« HET »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEWONNEN VTT WINNEN KARL MAY 1 VANDERSTEEN - Rajouté le 29/11/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb (zichtbaar) gewonnen ! Zullen de Apachen hun woord houden ? » (« J’ai gagné ! Les Apaches vont-ils tenir (tiendront-ils) leur parole ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEWONNEN », participe passé provenant de l’infinitif « WINNEN», qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce participe passé « GEWONNEN » est construit sur le PLURIEL du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GEWONNEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« zichtbaar »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEWETEN VTT WETEN KARL MAY 13 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/11/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij moet toch (hebben) geweten hebben dat de bron buiten gebruik was » (« Il doit tout de même avoir su = Il devait tout de même savoir que la source était hors d’usage »).
On y trouve notamment la forme verbale « geWETEN », participe passé provenant de l’infinitif « WETEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé « geWETEN » se construit sur l’infinitif « WETEN ».
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« al lang »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEVONDEN VTT VINDEN RODE RIDDER 109 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/11/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hiervoor werd een oplossing reeds gevonden » (« Pour ceci, une solution a déjà été trouvée = On y a déjà trouvé une solution pour ceci »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEVONDEN », participe passé provenant de l’infinitif « VINDEN», qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce participe passé « GEVONDEN » est construit sur le PLURIEL du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GEVONDEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« REEDS »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ». N’oublions pas non plus que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Hiervoor »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « een oplossing ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « werd ») et passant donc derrière lui.

Nom : GEVALLEN VTT VALLEN BESSY 41 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/11/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Webster) is in een hinderlaag gevallen » (« Il est tombé dans une embuscade »).
On y trouve notamment la forme verbale « geVALLEN », participe passé provenant de l’infinitif « VALLEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé « geVALLEN » se construit d’ailleurs sur l’INFINITIF.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « geVALLEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« in een hinderlaag »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse, également en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GETROKKEN VTT TREKKEN KARL MAY 13 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/11/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Die wigwam, getrokken door een paard, stelt onze wagen voor » (« Ce wigwam, tiré par un cheval, représente notre chariot »).
On y trouve notamment la forme verbale « geTROKKEN », participe passé provenant du PLURIEL du prétérit de « TREKKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
On y trouve aussi la forme verbale « stelt … VOOR », provenant de l’infinitif « VOORstellen », conjugué lui-même sur « STELLEN ». Quand « VOORstellen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « VOOR » de son infinitif proprement dit, la particule « VOOR » étant affectée par un REJET, derrière le complément (ici « onze wagen »), à la fin de la phrase. Pour le REJET, voyez :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GESPRONGEN VTT SPRINGEN BESSY 42 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/11/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De hond (Bessy) is hem op de rug gesprongen » (« Le chien lui a sauté sur le dos »).
On y trouve notamment la forme verbale « GESPRONGEN », participe passé provenant de l’infinitif « SPRINGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le pluriel du prétérit ou O.V.T. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé (« I »=> « O »):
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GESPRONGEN » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« hem » et « op de rug »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notons aussi que, aux temps composés, les verbes relatifs au MOUVEMENT sont, en néerlandais, accompagnés de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : GESPROKEN VTT SPREKEN RODE RIDDER 18 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/11/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij (Chrysis) heeft (daarover = over de schat) nog niet gesproken » (« Elle n’a pas encore parlé »).
On y trouve notamment la forme verbale « GESPROKEN », participe passé provenant de l’infinitif « SPREKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GESPROKEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« daarover »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse, également en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GESLOTEN VTT SLUITEN ROBERT EN BERTRAND 35 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/11/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Het venster is met deze staven te stevig gesloten» (« La fenêtre est solidement fermée avec ces barreaux »).
On y trouve notamment la forme verbale « GESLOTEN », participe passé utilisé avec un passé composé, provenant de l’infinitif « SLUITEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé « GESLOTEN » se construit sur le PLURIEL du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé (une des plus nombreuses étant celle des « UI ») :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« met deze staven »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse, également en couleurs : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEREDEN VTT RIJDEN ROBERT EN BERTRAND 1 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/11/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik ben in een greppel gereden » (« J’ai roulé dans un fossé »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEREDEN », V.T.T. provenant de l’infinitif « RIJDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé « GEREDEN » se construit sur le PLURIEL du prétérit ou O.V.T. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « in een greppel »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse, également en couleurs : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GENOMEN VTT NEMEN BESSY 24 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/11/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij wordt door zijn eigene geweren onder vuur genomen » (« Il est pris sous le feu de ses propres armes »).
On y trouve notamment la forme verbale « GENOMEN », participe passé provenant de l’infinitif « NEMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GENOMEN » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« door zijn eigene geweren » et « onder vuur »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse, également en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : GELOPEN VTT LOPEN BESSY 24 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/11/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dan zien ze dat ze in de val (zijn) gelopen zijn » (« Alors, ils voient qu’ils ont couru = sont tombés dans le piège »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « GELOPEN », participe passé provenant de l’infinitif « LOPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GELOPEN » est construit sur l’INFINITIF. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GELOPEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« in de val »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse, également en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
N’oublions pas que, si une phrase (ici la phrase principale) commence en néerlandais par un complément (« DAN »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « ZE ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « ZIEN ») et passant donc derrière lui.

Nom : GELATEN VTT LATEN SAFARI 1 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/11/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Vrij gelaten rent het jong dadelijk naar zijn ouders » (« Laissé libre = rendu à la liberté, le jeune court tout de suite vers ses parents »).
On y trouve notamment la forme verbale « GELATEN », participe passé (utilisé ici comme une sorte d’adjectif attribut) provenant de l’infinitif « LATEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé « GELATEN » se construit sur l’INFINITIF. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément («Vrij gelaten »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « het jong ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « rent ») et passant donc derrière lui.

Nom : GEKREGEN VTT KRIJGEN ROBERT EN BERTRAND 35 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/11/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb het bevel gekregen » («J’ai reçu l’ordre »). On y trouve notamment la forme verbale « GEKREGEN », participe passé utilisé avec un passé composé, provenant de l’infinitif « KRIJGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé « GEKREGEN » se construit sur le PLURIEL du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé (la plus nombreuse étant celle des « IJ ») :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« het bevel »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse, également en couleurs : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEKOMEN VTT KOMEN KARL MAY 11 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/11/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De geest van het vuur is naar de Cheyennes gekomen » (« L’esprit du feu est venu chez les Cheyennes »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEKOMEN », participe passé provenant de l’infinitif « KOMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Cette forme verbale est, comme on le voit, construite sur L’INFINITIF. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Ce participe passé « GEKOMEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« naar de Cheyennes »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse, également en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEKEKEN VTT KIJKEN ROBERT EN BERTRAND 21 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/11/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb in de toekomst gekeken » (« J’ai regardé dans l’avenir = le futur »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEKEKEN », V.T.T. provenant de l’infinitif « KIJKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé « GEKEKEN » se construit sur le PLURIEL du prétérit ou O.V.T. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « in de toekomst »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse, également en couleurs : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEHOUDEN VTT HOUDEN SAFARI 1 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/11/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Tegenover de herder heb ik woord gehouden » (« A l’encontre du pasteur, j’ai tenu parole »).
On y trouve notamment forme verbale « geHOUDEN », participe passé provenant de l’infinitif « HOUDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce participe passé « geHOUDEN » est construit sur l’infinitif. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « geHOUDEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément « WOORD », à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse, également en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément («Tegenover de herder »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « IK ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « HEB ») et passant donc derrière lui.

Nom : GEHANGEN VTT HANGEN ROBERT EN BERTRAND 37 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/11/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze hebben haar aan de rotswand gehangen » (« Ils l’ont suspendue à la paroi rocheuse »).
On y trouve notamment forme verbale « geHANGEN », participe passé provenant de l’infinitif « HANGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’INFINITIF. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « geHANGEN hangen » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« haar » et « aan de rotswand »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEGETEN VTT ETEN SAFARI 1 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/11/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « In de wildernis telt maar één wet : eten of (worden) gegeten worden » (« Dans la nature sauvage, il n’y a qu’une seule loi qui compte : manger ou être mangé »).
On y trouve notamment, dans la deuxième phrase, la forme verbale « GEGETEN », participe passé (tout à fait irrégulier) provenant de l’infinitif « ETEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ». N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément («In de wildernis»), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « één wet ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « telt ») et passant donc derrière lui.

Nom : GEDRAGEN VTT DRAGEN BESSY 42 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/11/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze (Andy en Moh-Wapi) worden stevig gekneveld en naar hun hut gedragen » (« Ils sont solidement ligotés et porté vers leur hutte »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEDRAGEN », V.T.T. (ou participe passé) provenant de l’infinitif « DRAGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé « GEDRAGEN » se construit sur l’infinitif. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GEDRAGEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« naar hun hut »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».

Nom : GEDACHT VTT DENKEN KARL MAY 12 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/11/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik vind niet wat ik (altijd) gedacht had (gedacht) » (« Je ne trouve pas ce que j’avais pensé »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée (introduite par « WAT ») la forme verbale « GEDACHT », participe passé provenant de l’infinitif « DENKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEDACHT » est construit sur le SINGULIER du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
N’oublions pas que la forme verbale du participe passé fait l’objet d’un REJET à la fin de la phrase, derrière le complément éventuel. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEDAAN VTT DOEN BESSY 42 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/11/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het is gedaan met mij » (« C’est fait avec moi = Cela en est fait de moi = Cela est terminé pour moi »). Notez l’autre signification de « DOEN » …
On y trouve la forme verbale « GEDAAN », participe passé provenant de l’infinitif « DOEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
On aurait normalement dû avoir : « Het is met mij gedaan », le participe passé faisant l’objet d’un REJET, derrière le complément, à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEDAAN VTT DOEN ROBERT EN BERTRAND 01 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/11/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Jullie hebben je (jullie) werk goed gedaan » (« Vous avez bien fait votre travail »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEDAAN », participe passé provenant de l’infinitif « DOEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « gedaan » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« je werk » et « goed »), à la fin de la phrase. Pour le REJET, voyez : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
En néerlandais, on a de plus en plus tendance à remplacer le déterminant possessif « JULLIE » – ou le déterminant possessif « jouw » – par « JE », correspondant en principe au singulier.

Nom : GEBLEVEN VTT BLIJVEN BESSY 42 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/11/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De hond, die buiten (was) gebleven was, komt plots aangerend » (« Le chien, qui était resté dehors, arrive soudain en courant »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEBLEVEN », participe passé provenant de l’infinitif « BLIJVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts », est construit sur le PLURIEL du prétérit et fait l’objet d’un REJET à la fin de la phrase subordonnée relative (introduite par « DIE »). Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase est, en fait, au plus-que-parfait puisque que l’auxiliaire du temps composé, « ZIJN », est ici la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou prétérit) et fait donc aussi l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».

Nom : DOUBLE INFINITIF ZIEN VERTREKKEN ROBERT EN BERTRAND 37 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/11/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb nochtans niemand uit Chamonix zien vertrekken » (« Je n’ai pourtant vu personne partir de Chamonix »).
La phrase est au passé composé et la forme verbale de « ZIEN » aurait donc dû être au participe passé mais on a ici affaire à ce que l’on appelle le « double infinitif », solution intéressante pour éviter les « temps primitifs » quand on ne les maîtrise pas.
Les deux infinitifs font l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« nochtans », « niemand » et « uit Chamonix »), à la fin de la phrase.

Nom : DOUBLE INFINITIF ZIEN VERLATEN SAFARI 8 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/11/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De oude olifant heeft de mannen het dorp zien verlaten » (« Le vieil éléphant a vu les hommes quitter le village »). La phrase est, en fait, au passé composé et la forme verbale de « ZIEN » aurait dû être au participe passé mais on a ici affaire à ce que l’on appelle le « double infinitif », solution intéressante pour éviter les « temps primitifs » quand on ne les maîtrise pas.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Les deux infinitifs font l’objet d’un REJET, derrière les complément(« de mannen » et « het dorp »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse, également en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : DOUBLE INFINITIF ZIEN DOEN SAFARI 1 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/11/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zoals hij zo dikwijls door de jagers heeft zien doen, prikt hij de slang met een voorstok aan de grond » (« Comme il l’a si souvent vu faire par les chasseurs, il coince le serpent avec un bâton sur le sol »).
La première phrase, subordonnée, est au passé composé et la forme verbale de « ZIEN » aurait donc dû être au participe passé mais on a ici affaire à ce que l’on appelle le « double infinitif », solution intéressante pour éviter les « temps primitifs » quand on ne les maîtrise pas. Les deux infinitifs font l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« zo dikwijls » et « door de jagers »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (la phrase subordonnée «Zoals hij zo dikwijls door de jagers heeft zien doen» joue ici ce rôle), on doit procéder à une «INVERSION», le sujet (ici « HIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « PRIKT ») et passant donc derrière lui.

Nom : DOUBLE INFINITIF MOETEN BRENGEN SAFARI 1 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/11/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Had ik je maar nooit hier gebracht ! » (« Ah si je ne t’avais jamais amené ici => j’aurais mieux fait de ne jamais t’amener ici »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEBRACHT », participe passé provenant de l’infinitif « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEBRACHT » est construit sur le SINGULIER du prétérit. Le participe passé « GEBRACHT » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« maar », « nooit » et « hier »), à la fin de la phrase. Signalons que la tournure de la phrase n’est pas courante et exprime un souhait. On aurait pu avoir la variante suivante avec un double infinitif : « Ik had je hier beter nooit moeten brengen ! »

Nom : DOUBLE INFINITIF MOETEN BETALEN BESSY 54 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/11/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij heeft zijn dapperheid met zijn leven moeten betalen » (« Il a dû payer son courage avec = de sa vie »).
On y trouve la forme verbale « MOETEN », la phrase étant, en fait, au passé composé et cette forme verbale aurait dû être au participe passé mais on a ici affaire à ce que l’on appelle le « double infinitif », solution intéressante pour éviter les « temps primitifs » quand on ne les maîtrise pas.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Les deux infinitifs font l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« zijn leven » et « met zijn leven »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : DOUBLE INFINITIF MOETEN BEKOPEN ROBERT EN BERTRAND 15 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/11/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Jack) heeft zijn dapperheid met zijn leven moeten bekopen = betalen ! » (« Il a dû payer son courage avec = de sa vie ! »).
La phrase est, en fait, au passé composé et la forme verbale de « MOETEN » aurait dû être au participe passé mais on a ici affaire à ce que l’on appelle le « double infinitif », solution intéressante pour éviter les « temps primitifs » quand on ne les maîtrise pas.
Les deux infinitifs font l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« zijn dapperheid » et « met zijn leven »), à la fin de la phrase. Pour le REJET, voyez : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : DOUBLE INFINITIF LATEN SCHRIKKEN BESSY 59 VANDERSTEEN - Rajouté le 31/10/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Verontschuldig mij mevrouw indien ik u heb laten schrikken » (« Veuillez m'excuser, madame, si je vous ai effrayée »).
La phrase est, en fait, au passé composé et la forme verbale de « LATEN » aurait dû être au participe passé mais on a ici affaire à ce que l’on appelle le « double infinitif », solution intéressante pour éviter les « temps primitifs » quand on ne les maîtrise pas.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Les deux infinitifs font l’objet d’un REJET, derrière le complément (« U »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse, également en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : DOUBLE INFINITIF LATEN PLAATSEN ROBERT EN BERTRAND 21 VANDERSTEEN - Rajouté le 30/10/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij heeft zelfs een stoommachine laten plaatsen » (« Il a même laissé = fait placer une machine à vapeur »).
La phrase est donc au passé composé et la forme verbale de « LATEN » aurait dû être au participe passé mais on a ici affaire à ce que l’on appelle le « double infinitif », solution intéressante pour éviter les « temps primitifs » quand on ne les maîtrise pas.
Les deux infinitifs font l’objet d’un REJET, derrière le complément (« een stoommachine »), à la fin de la phrase. Pour le REJET, voyez notre synthèse : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : DOUBLE INFINITIF KUNNEN VERBLIJVEN BESSY 42 VANDERSTEEN - Rajouté le 29/10/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Niemand had hier kunnen verblijven zonder sporen na te laten » (« Personne n’avait = n’aurait pu séjourner ici sans laisser de traces derrière lui »).
On y trouve notamment la forme verbale « HAD », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « HEBBEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La phrase est, en fait, au plus-que-parfait (rendu en français par un conditionnel passé) et la forme verbale de « KUNNEN » aurait dû être au participe passé mais on a ici affaire à ce que l’on appelle le « double infinitif », solution intéressante pour éviter les « temps primitifs » quand on ne les maîtrise pas.
Les deux infinitifs font l’objet d’un REJET, derrière le complément (« zonder sporen »), à la fin de la phrase.
Par ailleurs, la préposition « ZONDER » engendre un « TE » quand elle précède un infinitif comme, ici, «NAlaten », qui est donc un verbe à « particule séparable » puisque le « TE » s’intercale entre la particule « NA » et l’infinitif « LATEN » proprement dit.

Nom : DOUBLE INFINITIF KUNNEN VASTSTELLEN SAFARI 1 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/10/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat heeft hij niet kunnen vaststellen » (« Cela, il n’a pas pu le constater »).
La phrase est, en fait, au passé composé et la forme verbale de « KUNNEN » aurait dû être au participe passé mais on a ici affaire à ce que l’on appelle le « double infinitif », solution intéressante pour éviter les « temps primitifs » quand on ne les maîtrise pas.
Les deux infinitifs auraient l’objet d’un REJET, derrière le complément (« DAT »), à la fin de la phrase.
On y trouve la forme verbale « VASTstellen », verbe dit « à particule séparable », construit sur le verbe « STELLEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Si « vastSTELLEN » avait été conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela aurait entraîné en néerlandais une séparation de la particule « VAST » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « vastGEsteld » : « Dat heeft hij niet VASTgesteld ».
Le participe passé « vastGEsteld » aurait alors fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« DAT », si ce dernier n’avait pas commencé la phrase) à la fin de la phrase : « Hij heeft dat niet VASTgesteld ».

Nom : DOUBLE INFINITIF KUNNEN DOEN ROBERT EN BERTRAND 15 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/10/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hoe heb je zoiets kunnen doen ? » (« Comment as-tu pu faire quelque chose ainsi = comme cela ?»).
La phrase est, en fait, au passé composé et la forme verbale de « KUNNEN » aurait dû être au participe passé mais on a ici affaire à ce que l’on appelle le « double infinitif », solution intéressante pour éviter les « temps primitifs » quand on ne les maîtrise pas.
Les deux infinitifs font l’objet d’un REJET, derrière le complément (« ZOIETS »), à la fin de la phrase.

Nom : DOUBLE INFINITIF KUNNEN BEWONDEREN BESSY 59 VANDERSTEEN - Rajouté le 26/10/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb zijn trouw en (zijn) moed kunnen bewonderen » (« J’ai pu admirer sa fidélité et son courage »).
La phrase est, en fait, au passé composé et la forme verbale de « KUNNEN » aurait dû être au participe passé mais on a ici affaire à ce que l’on appelle le « double infinitif », solution intéressante pour éviter les «temps primitifs » quand on ne les maîtrise pas.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Les deux infinitifs font l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« zijn trouw en moed »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : DOUBLE INFINITIF HOREN SPREKEN BESSY 59 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/10/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb over je horen spreken toen we in Watona verbleven » (« J'ai entendu parler de toi quand nous séjournions à Watona »).
La phrase principale est au passé composé et la forme verbale de « HOREN » aurait dû être au participe passé mais on a ici affaire à ce que l’on appelle le « double infinitif », solution intéressante pour éviter les « temps primitifs » (ce qui n'aurait pas été le cas de « HOREN », verbe régulier, engendrant GEhoorD ») quand on ne les maîtrise pas. Voir : http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Les deux infinitifs font l’objet d’un REJET, derrière le complément (« OVER JE »), à la fin de la phrase.
On y trouve également, dans la phrase subordonnée (introduite par « TOEN ») la forme verbale « VERBLEVEN », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « VERBLIJVEN », lui-même construit sur « BLIJVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que « TOEN » introduit des phrases subordonnées au passé (prenant la relève de « WANNEER » ou « ALS », qui les introduisent au présent). Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse également en couleurs : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : DOUBLE INFINITIF DOEN OPSPRINGEN BESSY 41 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/10/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het is een jong vosje dat Bessy heeft (in de lucht) doen opspringen » (« C’est un jeune renard que Bessy a fait sursauter »).
On y trouve notamment, au passé composé, une tournure que l’on appelle le « double infinitif » solution intéressante pour éviter les « temps primitifs » quand on ne les maîtrise pas. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
« DOEN » aurait en effet dû être au participe passé (cela aurait donné « GEDAAN ») mais, dans la mesure où il est suivi d’un infinitif, on le transforme, lui aussi, en infinitif.
Les deux infinitifs font l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« in de lucht »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEWEEST VTT ZIJN SAFARI 8 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/10/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je bent (straks) ongehoorzaam geweest » (« Tu as été désobéissant »).
On y trouve la forme verbale « GEWEEST », participe passé provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Nombre d’élèves ne le « retenant » pas, rappelons qu’une de ses formes à l’impératif est « WEES », comme dans l’expression « Wees niet bang »(« N’aie pas peur »).
Il est à noter que l’auxiliaire du passé composé est ici « ZIJN » (au lieu de « HEBBEN »).
Pour complément d’informations, consultez notamment notre tableau de synthèse « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé : http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Si, à part l’attribut, ce participe passé « GEWEEST » avait été suivi d’un complément comme « vandaag », il aurait plus visiblement fait l’objet du REJET, derrière ce complément éventuel, à la fin de la phrase.
Rappelons qu’en néerlandais, l’adjectif attribut (ici « ongehoorzaam ») est invariable après le verbe « être », tant en genre (passage du masculin au féminin) qu’en nombre (passage du singulier au pluriel). Le préfixe « ON- » est souvent à nuance « négative » et constitue le contraire : ici de « gehoorzaam ».

Nom : GEWEEST VTT ZIJN SAFARI 2 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/10/2016

Description : La triple phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat betekent dat jagers (Kawamba’s) in de buurt zijn of (dat jagers in de buurt) (zijn) geweest zijn » (« Cela signifie que des chasseurs sont / se trouvent ou ont été dans le voisinage »).
On y trouve notamment, dans la deuxième phrase subordonnée (introduite par « DAT »), « GEWEEST », participe passé provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Nombre d’élèves ne le « retenant » pas, rappelons qu’une de ses formes à l’impératif est « WEES », comme dans l’expression « Wees niet bang »(« N’aie pas peur »).
Le participe passé « GEWEEST » devrait normalement faire l’objet d’un REJET, derrière le complément, sous-entendu (« in de buurt »), à la fin de la phrase. Ce n’est pas tout à fait le cas dans le dialogue de l’image, ne fût-ce qu’afin d’éviter 2 X « zijn » quasi successivement.
Il est à noter que l’auxiliaire du passé composé est ici « ZIJN » (au lieu de « HEBBEN »).
Pour complément d’informations, consultez notamment notre tableau de synthèse « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre notamment les trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé : http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : GEWEEST VTT ZIJN KARL MAY 13 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/10/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je bent verstandig geweest » (« Tu as été intelligente »).
On y trouve la forme verbale « GEWEEST », participe passé provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Nombre d’élèves ne le « retenant » pas, rappelons qu’une de ses formes à l’impératif est « WEES », comme dans l’expression « Wees niet bang »(« N’aie pas peur »).
Il est à noter que l’auxiliaire du passé composé est ici « ZIJN » (au lieu de « HEBBEN »).
Pour complément d’informations, consultez notamment notre tableau de synthèse « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé : http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons qu’en néerlandais, l’adjectif attribut (ici « verstandig ») est invariable après le verbe « être », tant en genre (passage du masculin au féminin) qu’en nombre (passage du singulier au pluriel).

Nom : GEWEEST VTT ZIJN BESSY 24 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/10/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Er is een hold up geweest » (« Il y a eu un hold up »).
On y trouve la forme verbale « GEWEEST », participe passé provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Nombre d’élèves ne le « retenant » pas, rappelons qu’une de ses formes à l’impératif est « WEES », comme dans l’expression « Wees niet bang »(« N’aie pas peur »).
Il est à noter que l’auxiliaire du passé composé est ici également « ZIJN » (au lieu de « HEBBEN »).
Pour complément d’informations, consultez notamment notre tableau de synthèse « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre notamment trois autres grandes catégories de verbes irréguliers au passé : http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GEWEEST » est affecté par le phénomène du REJET ; lisez notre synthèse colorée :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on a affaire à l’expression « IL Y A » qui, en français, contient évidemment le verbe « avoir ».
Quand on trouve « ER » à côté de N’IMPORTE QUEL verbe, cela indique que l’on a affaire à l’expression française « IL Y A », la forme verbale pouvant, en langue néerlandaise, être au pluriel.

Nom : GEZOCHT VTT ZOEKEN BESSY 58 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/10/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je wordt (door de politie) gezocht en ik heb het recht te schieten » (« Tu es cherché => recherché et j'ai le droit de tirer »).
On y trouve notamment, dans la première phrase, la forme verbale « GEZOCHT », participe passé provenant de l’infinitif « ZOEKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEZOCHT » est construit sur le SINGULIER du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GEZOCHT » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel («door de politie»), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que cette première phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » (au lieu de l’auxiliaire « ZIJN »), le complément éventuel étant introduit par la préposition « DOOR ».

Nom : GEWORDEN VTT WORDEN ROBERT EN BERTRAND 1 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/10/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Na enkele dagen zijn ze (Robert en Bertrand) nog niets wijzer geworden » (« Quelques jours plus jours, ils ne sont encore en rien devenus plus sages / éclairés = ils n’en savent toujours pas plus »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEWORDEN », participe passé provenant de l’infinitif « WORDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Cette forme verbale est, comme on le voit, construite sur l’INFINITIF. Pour complément d’informations, consultez notamment notre tableau de synthèse « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
N’oublions pas que la forme verbale du participe passé fait, en principe, l’objet d’un REJET à la fin de la phrase, derrière (tous) les compléments. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
On aurait pu (dû) avoir dans la troisième image : « Na enkele dagen zijn ze (Robert en Bertrand) nog niets wijzer omtrent de geheimen van kasteel Rozendael geworden »

Nom : GEWEEST VTT ZIJN BESSY 24 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/10/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Er is een hold up geweest » (« Il y a eu un hold up »).
On y trouve la forme verbale « GEWEEST », participe passé provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Nombre d’élèves ne le « retenant » pas, rappelons qu’une de ses formes à l’impératif est « WEES », comme dans l’expression « Wees niet bang »(« N’aie pas peur »).
Il est à noter que l’auxiliaire du passé composé est ici également « ZIJN » (au lieu de « HEBBEN »).
Pour complément d’informations, consultez notamment notre tableau de synthèse « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre notamment trois autres grandes catégories de verbes irréguliers au passé : http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GEWEEST » est affecté par le phénomène du REJET ; lisez notre synthèse colorée :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que l’on a affaire à l’expression « IL Y A » qui, en français, contient évidemment le verbe « avoir ».
Quand on trouve « ER » à côté de N’IMPORTE QUEL verbe, cela indique que l’on a affaire à l’expression française « IL Y A », la forme verbale pouvant, en langue néerlandaise, être au pluriel.

Nom : GELEGEN VTT LIGGEN RODE RIDDER 38 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/10/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dit hol moet onder het meer gelegen zijn ! » (« Cette tanière doit être située sous le lac ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « GELEGEN », participe passé provenant de l’infinitif « LIGGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Le participe passé « GELEGEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« onder het meer »), à la fin de la première phrase. L’auxiliaire « ZIJN » fait, lui, également l’objet d’un REJET, derrière le complément (« onder het meer »), à la fin de la phrase, exigé par l’auxiliaire de mode « MOETEN ». Notez que l’on aurait pu avoir les deux formes verbales rejetées dans l’ordre inverse : « Dit hol moet onder het meer ZIJN gelegen ! ».
« Hol » est évidemment un substantif NEUTRE puisque « diT » provient de « heT », mot spécifique du NEUTRE singulier (déterminant défini ou pronom personnel sujet).
Il est à noter que l’auxiliaire du passé composé est ici « ZIJN » (au lieu de « HEBBEN »).
Pour complément d’informations, consultez notamment notre tableau de synthèse « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre notamment trois autres grandes catégories de verbes irréguliers au passé : http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : GEGEVEN VTT GEVEN BESSY 24 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/10/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Aan boord van de sloep, werd alarm (door een man) gegeven » (« A bord de la barge, l’alarme fut donnée »).
On y trouve notamment, la forme verbale « GEGEVEN », participe passé provenant de l’infinitif « GEVEN ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’INFINITIF. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GEGEVEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« ervandoor »), à la fin de la phrase. Lisez notre synthèse : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que cette première phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » (au lieu de l’auxiliaire « ZIJN »), le complément éventuel étant introduit par la préposition « DOOR ».
La phrase commençant par uncomplément (« Aan boord van de sloep »), il y a INVERSION.

Nom : GEGEVEN VTT GEVEN BESSY 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/10/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Alarm wordt (dadelijk) gegeven en de vlinders slaan op de vlucht » (« L’alarme est donnée et les papillons prennent la fuite »).
On y trouve notamment, dans la première phrase, la forme verbale « GEGEVEN », participe passé provenant de l’infinitif « GEVEN ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’INFINITIF. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GEGEVEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« dadelijk »), à la fin de la phrase. Lisez notre synthèse : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Notez que cette première phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » (au lieu de l’auxiliaire « ZIJN »), le complément éventuel étant introduit par la préposition « DOOR ».

Nom : GEBRACHT VTT BRENGEN ROBERT EN BERTRAND 2 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/10/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : «Een van de stakers wordt op de hoogte gebracht » (« Un des grévistes est porté à la hauteur = mis au courant »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEBRACHT », participe passé provenant de l’infinitif « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEBRACHT » est construit sur le SINGULIER du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
N’oublions pas que la forme verbale du participe passé fait l’objet d’un REJET à la fin de la phrase, derrière (tous) les compléments. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
La phrase est à la voix passive (auxiliaire « WORDEN »). Notez l’expression « op de hoogte brengen ».

Nom : GEWORDEN VTT WORDEN KARL MAY 11 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/10/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Is hij (de Rode Bizon) gek geworden ? » (« Est-il devenu fou ? »).
La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ben je gek geworden ? »(« Es-tu devenu fou ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEWORDEN », participe passé provenant de l’infinitif « WORDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Cette forme verbale est, comme on le voit, construite sur l’INFINITIF. Pour complément d’informations, consultez notamment notre tableau de synthèse « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
N’oublions pas que, dans une phrase INTERROGATIVE (= une QUESTION, se terminant par un point d’INTERROGATION = « ? » ou « vraagteken » en néerlandais) sans mot interrogatif, on doit procéder à une INVERSION, le sujet (ici « de Rode Bizon ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « IS ») et passant donc derrière lui.

Nom : GEWORDEN VTT WORDEN ROBERT EN BERTRAND 37 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/10/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ben je gek geworden ? »(« Es-tu devenu fou ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEWORDEN », participe passé provenant de l’infinitif « WORDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».

Nom : GEZONGEN VTT ZINGEN ROBERT EN BERTRAND 01 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/10/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het (dat liedje) moet minstens wat hoger (worden) gezongen worden » (« Cela doit au moins être chanté un peu plus haut = plus fort »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEZONGEN », participe passé provenant de l’infinitif «ZINGEN», qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le pluriel du prétérit ou O.V.T. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « GEZONGEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« wat hoger »), à la fin de la phrase. lisez notre synthèse : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Cette phrase est aussi à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ». N’oublions pas que, si le verbe principal d’une phrase est l’auxiliaire de mode (de l’obligation) « MOETEN », ce dernier exige le « REJET » de l’infinitif éventuel qui le suit (« WORDEN »), derrière le complément (« wat hoger »), à la fin de la phrase.

Nom : GEZOCHT VTT ZOEKEN SAFARI 1 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/10/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij heeft kontakt met iemand gezocht » (« Elle a recherché le contact = à prendre contact avec quelqu’un»).
On y trouve notamment la forme verbale « GEZOCHT », participe passé provenant de l’infinitif « ZOEKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEZOCHT » est construit sur le SINGULIER du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GEZOCHT » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« kontakt » et « met iemand »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEWORDEN VTT WORDEN SAFARI 8 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/10/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De olifanten zijn dol geworden » (« Les éléphants sont devenus fous »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEWORDEN », participe passé provenant de l’infinitif « WORDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Cette forme verbale est, comme on le voit, construite sur l’INFINITIF. Pour complément d’informations, consultez notamment notre tableau de synthèse « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GEWORDEN » est affecté d’un REJET, derrière l’attribut (« DOL »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEKOCHT VTT KOPEN BESSY 24 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/10/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij heeft die geweren voor een appel en een ei gekocht » (« Il a acheté ces fusils pour une pomme et un œuf = une bouchée de pain »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEKOCHT », participe passé provenant de l’infinitif « KOPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il faut aussi noter que ce participe passé se construit sur le SINGULIER du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GEKOCHT » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« die geweren » et « voor een appel en een ei »), à la fin de la phrase : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEHOLPEN VTT HELPEN BESSY 22 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/10/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze hebben ons goed geholpen » (« Ils nous ont bien aidés »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEHOLPEN », participe passé provenant de l’infinitif «HELPEN», qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GEHOLPEN » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« die geweren » et « voor een appel en een ei »), à la fin de la phrase : Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse en couleurs : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GEHAD VTT HEBBEN ROBERT EN BERTRAND 21 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/10/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb een visioen gehad » («J’ai eu une vision»). On y trouve notamment la forme verbale « GEHAD », participe passé provenant de l’infinitif « HEBBEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Il faut aussi noter que ce participe passé se construit sur le SINGULIER du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.) Le participe passé « GEHAD » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« een visioen »), à la fin de la phrase : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : GAAN VTT GEGAAN SAFARI 1 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/10/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik hoop maar dat de neushoorn ervandoor (is) gegaan is » (« J’espère seulement que le rhinocéros s’en est allé = a pris le large »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée (introduite par « DAT »), la forme verbale « GEGAAN », participe passé provenant de l’infinitif « GAAN ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’INFINITIF. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GEGAAN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« ervandoor »), à la fin de la phrase. Lisez notre synthèse : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes
Rappelons donc aussi que, dans une phrase subordonnée (introduite ici par « DAT »), la forme verbale (ici « IS ») ne se trouve plus juste à côté de son sujet (ici « de neushoorn ») mais près du participe passé.

Nom : VONDEN OVT VINDEN BESSY 15 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/10/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze waren gevangen genomen, want we vonden nergens hun lichamen » (« Ils étaient pris (= faits) prisonniers, car nous ne trouvâmes leurs corps nulle part »).
On y trouve notamment, dans la deuxième phrase, la forme verbale « VONDEN », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».

N’oublions pas qu’il vaut mieux utiliser « WANT » que « OMDAT », parce que ce dernier modifie, en néerlandais, l’ordre des mots dans la phrase subordonnée, engendrant le REJET du verbe à la fin de la phrase. On aurait donc eu : « (…) OMDAT we nergens hun lichamen VONDEN » OU, mieux (le COD précédant en général l’autre complément), « « (…) OMDAT we hun lichamen nergens VONDEN ».

Nom : ZWOER OVT ZWERVEN KARL MAY 10 VANDERSTEEN - Rajouté le 29/09/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maar hij (Winnetou) zwoer een dure eed » (« Mais il jura un serment coûteux = il avait juré quelque chose qui allait lui coûter cher »).
On y trouve notamment la forme verbale « ZWOER », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « ZWEREN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Dans le complément « een dure eed », « DUUR » est utilisé comme adjectif épithète, se place donc devant le nom et, pour s’accorder, prend la terminaison majoritaire « E » (devant noms masculin, féminin et neutre au singulier ainsi que masculin, féminin ou neutre au pluriel). Attention à la modification orthographique : dans la mesure où l’on rajoute un « E » derrière une consonne finale unique (ici « R »), si l’on a affaire à une double voyelle, cela entraîne la disparition d’une des deux voyelles identiques (ici « U ») devant cette même consonne : « DUUR » + « E » - « U » = « dUrE ».

Nom : ZWIERF OVT ZWERVEN BESSY 02 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/09/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De bever had namelijk de otter ontdekt, een van haar ergste vijanden, die langs de oever rondzwierf » (« Le castor avait en fait découvert la loutre, un de ses plus dangereux ennemis, qui rôdait le long de la rive »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée la forme verbale « RONDzwierf » (O.V.T. ou « prétérit » provenant du verbe « RONDzwerven », lui-même construit sur l’infinitif « ZWERVEN »), qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
La forme verbale « RONDzwierf » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément « LANGS DE OEVER », à la fin de la phrase subordonnée : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : ZOND OVT ZENDEN 2 RODE RIDDER 19 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/09/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De koning zond mij om met de sterkste krijger te strijden. » (« Le roi m’envoyait (m’a envoyé) pour lutter avec le guerrier le plus fort »).
On y trouve notamment la forme verbale « ZOND », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « ZENDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
On trouve aussi, dans la deuxième phrase - une sorte de subordonnée « infinitive » introduite par « OM … TE » (signifiant « POUR » devant les verbes) -, le complément « met de sterkste krijger » intercalé entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « STRIJDEN ».

Nom : ZOCHTEN OVT ZOEKEN KARL MAY 12 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/09/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze (de Apachen) zochten HEM in de vlakte » (« Ils Ie cherchaient dans la plaine »).
On y trouve notamment la forme verbale « ZOCHTEN », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZOEKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Si la personne qu’ils cherchaient avait été féminine, on aurait eu : « Ze (de Apachen) zochten HAAR in de vlakte ».

Nom : ZOCHT OVT ZOEKEN KARL MAY 12 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/09/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Nickson) zocht in de vervallen omheining » (« Il cherchait dans l’enceinte délabrée »).
On y trouve notamment la forme verbale « ZOCHT », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZOEKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : ZATEN OVT ZITTEN BESSY 15 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/09/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Op het ogenblik dat we om hun verdwijning zaten te huilen, weerklonken geweerschoten in de verte » (« Au moment où nous étions en train de pleurer au sujet de leur disparition, des coups de feu retentirent au loin »).
On y trouve notamment dans la première phrase la forme verbale « ZATEN » (avec 1 « T ») à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant de l’infinitif « ZITTEN » (avec 2 « T »), qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Signalons que la tournure de phrase « we zitten TE huilen » correspond à « we zijn AAN HET huilen », le verbe de position « ZITTEN » remplaçant, une fois de plus, le verbe « ZIJN ».

Nom : ZAT OVT ZITTEN KARL MAY 13 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/09/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een lynx (…) zat vlak achter me (aan) ! » (« Un lynx était juste derrière moi ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « ZAT », O.V.T. ou prétérit provenant de l’infinitif « ZITTEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
« ZITTEN » est ici employé pour « ZIJN ».
Par ailleurs, il ne s’agit pas du verbe « aanZITTEN », dit « à particule séparable », qui signifie « se mettre à table », à moins que les auteurs n’aient voulu faire un « jeu de mots » …

Nom : ZAGEN OVT ZIEN RODE RIDDER 10 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/09/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wij zagen ruiters in de duinen » (« Nous vîmes des cavaliers dans les dunes »).
On y trouve notamment la forme verbale « ZAGEN », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « ZIEN » et qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Rappelons que, si l’on connaît la forme verbale au SINGULIER de l’O.V.T. (ou prétérit : « ZAG », qui est valable pour les TROIS personnes) d’un verbe irrégulier (= qui l’objet des « temps primitifs), il suffit en général d’ajouter la terminaison correspondant à la plupart des pluriels pour obtenir les TROIS personnes du PLURIEL de ce même verbe à l’O.V.T. (ou prétérit) : « ZAG » + « EN » = « ZAGEN ».

Nom : ZAG OVT ZIEN KARL MAY 13 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/09/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zag ik nu goed ? » (« Vis-je maintenant bien ? = Ai-je bien vu, maintenant ? »).
On y trouve la forme verbale « ZAG », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « ZIEN » (et non d’un autre, comme on a trop souvent tendance à le croire), qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : WISTEN OVT WETEN BESSY 15 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/09/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « (Geweerschoten weerklonken in de verte) en we wisten dat ook de karavaan nu (werd) aangevallen werd » (« … et nous sûmes que la caravane, (elle) aussi, était maintenant attaquée »).
On y trouve notamment la forme verbale « WISTEN », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « WETEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : WIST OVT WETEN RODE RIDDER 19 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/09/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Alleen hij wist van mijn komst. » (« Seul, il savait de mon arrivée => Lui seul savait que j’arrivais »).
On y trouve notamment la forme verbale « WIST », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « WETEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : WIERP OVT WERPEN RODE RIDDER 19 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/09/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De toorts, die hij wierp, brandt verder. » (« La torche, qu’il jeta = avait jetée, brûle plus loin => continue à brûler »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée relative (introduite par « DIE »), la forme verbale « WIERP », O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « WERPEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : WIERP OVT WERPEN BESSY 02 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/09/2016

Description : La triple phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Op hetzelfde ogenblik dat het bevertje op de afdamming kroop, die zijn rasgenoten gebouwd hadden, wierp zijn moeder zich vóór de otter (Negik) » (« Au moment même où le petit grimpait sur le barrage, que ses congénères avaient construit, sa mère se jeta devant la loutre »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « WIERP » (O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « WERPEN »), qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Il est à noter que la phrase subordonnée, introduite par le complément « Op hetzelfde ogenblik », engendre une INVERSION dans la phrase principale : le sujet « Chikawa » (zijn moeder) passant derrière le verbe « WIERP ». Il est à noter que le mot « ZELFDE » s’accroche derrière le déterminant défini et s’accorde comme un adjectif.

Nom : VOCHTEN OVT VECHTEN RODE RIDDER 02 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/09/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De mannen vochten als leeuwen » (« Les hommes luttèrent comme DES lions »).
On y trouve notamment la forme verbale « VOCHTEN » (O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « VECHTEN »), qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Rappelons que, dans un groupe nominal en néerlandais, si le nom commun était précédé d’un déterminant indéfini « EEN » (équivalent de « UN » ou « UNE ») au SINGULIER, il NE sera PAS précédé au PLURIEL d’un déterminant indéfini équivalent du « DES » français. Si l’on avait eu : « De mannen vochten als DE leeuwen », cela aurait signifié : « Les hommes luttèrent comme LES lions »).

Nom : VOCHT OVT VECHTEN RODE RIDDER 19 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/09/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Waarom vocht hij niet zelf voor Guinevere ? » (« Pourquoi ne combattit-il pas lui-même pour Guenièvre ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « VOCHT », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « VECHTEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : VIEL OVT VALLEN KARL MAY 06 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/09/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Verder viel een kleine groep soldaten inderdaad in de hinderlaag » (« Plus loin, un petit groupe de soldats tomba en effet dans l’embuscade »).
On y trouve la forme verbale « VIEL », O.V.T. (ou prétérit) construit sur le verbe « VALLEN » et faisant partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
« Verder » jouant le rôle d’un complément, il y a INVERSION et le sujet (« een kleine groep soldaten ») se trouve derrière le verbe (« VIEL »).

Nom : VERGAT OVT VERGETEN STAK OVT STEKEN BESSY 02 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/09/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het vuur, dat zij (Wiato) bij het vertrek vergat te doven, stak het gras in brand » (« Le feu, qu’elle oublia d’éteindre lors du départ, mit l’herbe en flammes »).
On y trouve, d’une part, la forme verbale « VERGAT », O.V.T. (ou prétérit) construit sur le verbe « VERGETEN » et faisant partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. On y trouve, d’autre part, dans la phrase relative (introduite par « DAT ») la forme verbale « STAK », O.V.T. (ou prétérit) construit sur le verbe « STEKEN » et faisant également l’objet des « temps primitifs ».

Nom : VERDWEEN OVT VERDWIJNEN RODE RIDDER 07 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/09/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Angkor verdween onder het groene tapijt van het oerwoud en zijn bestaan werd met de tijd vergeten » (« Angkor disparut sous le tapis vert de la forêt vierge et son existence fut oubliée avec le temps »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERDWEEN », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « VERDWIJNEN »), qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : TROF OVT TREFFEN RODE RIDDER 19 VANDERSTEEN - Rajouté le 10/09/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Celric) stond op het punt toe te slaan als plots (…) een pijl hem in de rug trof. » (« Il était sur le point de frapper quand soudain une flèche le toucha dans le dos »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée (introduite par « ALS ») la forme verbale « TROF », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « TREFFEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : TROF OVT TREFFEN KARL MAY 05 VANDERSTEEN - Rajouté le 09/09/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De kogel trof hem in de voet » (« La balle le toucha dans le = au pied »).
On y trouve notamment la forme verbale « TROF », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « TREFFEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : STIERF OVT STERVEN KARL MAY 13 VANDERSTEEN - Rajouté le 08/09/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De Indiaan (…) stierf voor onze ogen » (« L’Indien mourut devant nos yeux »).
On y trouve notamment la forme verbale « STIERF », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif STERVEN, qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : SPRONG OVT SPRINGEN KARL MAY 12 VANDERSTEEN - Rajouté le 07/09/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De mesties sprong over de palissade » (« Le métis sauta au-dessus de la palissade »).
On y trouve la forme verbale « SPRONG », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « SPRINGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Il est à noter que ce verbe « SPRINGEN » fait partie d’une catégorie importante de verbes irréguliers au prétérit, celle des « I », qui donnent des formes verbales aux temps du passé (O.V.T. et, notamment, participe passé du V.T.T.) en « O ».
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : SPRAKEN OVT SPREKEN ZOCHTEN OVT ZOEKEN RODE RIDDER 19 VANDERSTEEN - Rajouté le 06/09/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De ruiters (…) spraken over twee ridders die ze zochten. » (« Les cavaliers parlaient de deux chevaliers qu’ils cherchaient »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « SPRAKEN », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « SPREKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve également, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « ZOCHTEN », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « ZOEKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».

Nom : SPRAK OVT SPREKEN BEVOND OVT BEVINDEN KARL MAY 13 VANDERSTEEN - Rajouté le 05/09/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het bleekgezicht sprak van een gezel die zich hier bevond » (« Le visage pâle parlait d’un compagnon qui se trouvait ici »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « SPRAK », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « SPREKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve aussi, dans la phrase subordonnée relative, la forme verbale « BEVOND », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « BEVINDEN », lui-même construit sur le verbe « VINDEN », qui fait également l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Ce verbe « BEVINDEN » est ici employé comme verbe « pronominal réfléchi » dont le pronom personnel est « ZICH », non seulement à l’infinitif mais notamment aussi, lors d’un emploi réfléchi, aux troisièmes personnes, tant du singulier que du pluriel.
N’oublions pas que, dans une phrase subordonnée, il y a aussi REJET de la forme verbale (ici « BEVOND »), derrière le complément (ici « HIER »), à la fin de la phrase.

Nom : SLOOT OVT SLUITEN KARL MAY 03 VANDERSTEEN - Rajouté le 04/09/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « In doodangst sloot moeder ons in hut » (« Dans une angoisse mortelle, mère nous enferma dans la cabane »).
On y trouve notamment la forme verbale « SLOOT », O.V.T. (ou prétérit), construit sur l’infinitif « SLUITEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (ici « In doodangst »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « MOEDER ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « sloot ») et passant donc derrière lui.

Nom : RIEP OVT ROEPEN RODE RIDDER 01 VANDERSTEEN - Rajouté le 03/09/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Stervend (…) riep (hij) uit : eens zal mijn mijn zwaard uit dit moeras oprijzen om mij te wreken » (« Mourant, il s’écria : un jour, mon épée émergera de ce marais pour me venger »).
On y trouve notamment, dans la phrase introduisant la déclaration, la forme verbale « riep … UIT », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « UITroepen », conjugué lui-même sur « ROEPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Ce verbe « UITroepen » est dit « à particule séparable », ce qui explique que la « particule séparable » « UIT » est effectivement séparée de lui quand il est conjugué et elle aurait fait l’objet d’un REJET à la fin de la phrase, derrière le complément, s’il y avait eu un complément ; par exemple : « hij riep luid UIT ».

Nom : NAM OVT NEMEN RODE RIDDER 19 VANDERSTEEN - Rajouté le 02/09/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Koning Arthur nam een taak op zich. » (« Le roi Arthur prit une tâche sur lui = en charge »).
On y trouve notamment la forme verbale « NAM », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « NEMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Dans ce cas-ci, la forme verbale de l’O.V.T. ou du participe passé ne s’inspire pas de l’infinitif et il y en donc trois tout à fait différentes, contrairement à nombre de verbes irréguliers dont le participe passé est souvent construit sur l’O.V.T. (pluriel ou singulier) ou sur l’infinitif. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : MOCHT OVT MOGEN RODE RIDDER 19 VANDERSTEEN - Rajouté le 01/09/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De koning mocht zich (daarmee) niet inzetten. » (« Le roi ne pouvait pas s’en mêler »).
On y trouve notamment la forme verbale « MOCHT », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif (et « AUXILIAIRE de MODE » de la possibilité ou permission) « MOGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». N’oublions pas que « MOGEN », comme les autres « auxiliaires de mode » (« KUNNEN », « MOETEN» ou « WILLEN ») exige le REJET, derrière le complément éventuel (« daarmee »), de l’autre verbe à l’infinitif (ici « INZETTEN »), à la fin de la phrase.

Nom : LIETEN OVT LATEN RODE RIDDER 07 VANDERSTEEN - Rajouté le 31/08/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze (de Khmers) lieten de inkt in de letters drogen» (« Ils laissaient l’encre sécher dans les lettres »).
On y trouve notamment la forme verbale « LIETEN », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « LATEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
On remarquera aussi, le REJET du verbe « DROGEN », derrière les compléments (« de inkt » et « in de letters »), à la fin de cette phrase. Même si « LATEN » joue le rôle d’un auxiliaire à la première personne du PLURIEL de l’IMPERATIF (« LATEN WE … » + REJET) ; il n’exige, en principe, pas un REJET systématique dans les autres cas. Voir phénomène du REJET, entre autres, à l’impératif :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : LIET OVT LATEN KARL MAY 01 VANDERSTEEN - Rajouté le 30/08/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maximiliaan van Oostenrijk die zich tot keizer van Mexico liet uitroepen (« Maximilien d’Autriche qui se laissa (= fit) proclamer empereur du Mexique »).
On y trouve, d’une part, la forme verbale « LIET », O.V.T. (ou prétérit) construit sur le verbe « LATEN » et faisant partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
On y trouve, d’autre part, l’infinitif « UITroepen », dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « ROEPEN ». Quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit : « Men roept hem (Maximiliaan) tot keizer van Mexico UIT ».
Dans la mesure où on a affaire à une phrase subordonnée (relative, introduite par « DIE »), il y a REJET des formes verbales, derrière les compléments (« tot keizer » et « van Mexico »), à la fin de la phrase.

Nom : LAG OVT LIGGEN KARL MAY 13 VANDERSTEEN - Rajouté le 29/08/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Waar is het bleekgezicht dat in de hut lag ? » (« Où est le visage pâle qui était couché dans la hutte ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « LAG », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « LIGGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
N’oublions pas que, dans une phrase subordonnée, il y a aussi REJET de la forme verbale, derrière le complément (ici « in de hut »), à la fin de la phrase. Pour le phénomène du REJET du verbe, lisez notre synthèse : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=rejVerbes

Nom : KWAM OVT KOMEN BESSY 02 VANDERSTEEN - Rajouté le 28/08/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het gerucht kwam van het bevermoedertje dat, ongerust, met haar brede staart op het water sloeg » (« Le bruit venait de la (petite) mère (du petit) castor qui, inquiète, frappait avec sa large queue sur l’eau »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale la forme verbale « KWAM » (O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « KOMEN »), qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Il est à noter que le passage de « DE moeder » (féminin) à « HET moederTJE » - ou de « DE bever » (féminin) à « HET beverTJE » (diminutif neutre) - fait que le pronom relatif introduisant la subordonnée devient « DAT », mot neutre (singulier, se terminant par « T » comme « HET »).

Nom : LEEK OVT LIJKEN RODE RIDDER 19 VANDERSTEEN - Rajouté le 27/08/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat leek me een eeuwigheid. » (« Cela me sembla une éternité »).
On y trouve notamment la forme verbale « LEEK », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « LIJKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers. Il est à noter que ce verbe « LIJKEN » fait partie de la catégorie la plus importante (en nombre) de verbes irréguliers au prétérit, celle des « IJ » (donnant des « E », prononcés « é » au passé).
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé : http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : HIELDEN OVT HOUDEN RODE RIDDER 10 VANDERSTEEN - Rajouté le 25/08/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De paardensporen hielden voor uw ellendige hut halt » (« Les traces de chevaux faisaient halte (s’arrêtaient) devant votre misérable cabane »).
On y trouve notamment la forme verbale « HIELDEN », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « HOUDEN » et qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
« Halt houden » est une expression, où le nom commun « halt » se conduit comme une particule séparable mais ce n’est PAS un verbe à particule séparable …

Nom : HIELD OVT HOUDEN KARL MAY 05 VANDERSTEEN - Rajouté le 24/08/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij overleefde zijn val doch = maar (hij) hield zich uit angst verborgen » (« Il survécut à sa chute mais se tenait caché par peur »).
On y trouve, dans la deuxième phrase, notamment la forme verbale « HIELD », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « HOUDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
On y trouve enfin la forme verbale « VERBORGEN », participe passé (utilisé comme adjectif attribut) provenant de l’infinitif « VERBERGEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Notez que si un verbe commence à l’infinitif par le préfixe « VER- » (ainsi que « BE- », « ER- », « GE- », « HER- » et « ONT- »), son participe passé NE débutera PAS, exceptionnellement, par « GE- ».

Nom : GREEP OVT GRIJPEN KARL MAY 05 VANDERSTEEN - Rajouté le 23/08/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een jonge Indiaan (…) greep de arend bij een poot » (« Un jeune Indien saisit l’aigle par une patte »).
On y trouve notamment la forme verbale « GREEP », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « GRIJPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Il est à noter que ce verbe « GRIJPEN » fait partie de la catégorie la plus importante (en nombre) de verbes irréguliers au prétérit, celle des « IJ » (donnant des « E », prononcés « é » au passé). Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : HADDEN OVT HEBBEN WAREN OVT ZIJN KARL MAY 13 VANDERSTEEN - Rajouté le 22/08/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wij hadden het hard maar waren gelukkig tot de goudkoorts hem te pakken kreeg » (« Nous l’avions dure = C’était dur pour nous mais nous étions heureux jusqu’à ce que la fièvre de l’or le reçut à attrraper = s’empara de lui »).
On y trouve notamment la forme verbale « HADDEN », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif «HEBBEN», et « WAREN », O.V.T. provenant de l’infinitif « ZIJN », qui font tous deux l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et comptent au nombre des verbes les plus irréguliers aux temps du passé. Voir : http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : GINGEN OVT GAAN BESSY 15 VANDERSTEEN - Rajouté le 21/08/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Mijn ouders gingen het konvooi enkele kilometers vooraf » (« Mes parents précédaient le convoi de quelques kilomètres »).
On y trouve notamment la forme verbale « gingen … VOORAF » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant de l’infinitif « VOORAFgaan », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « GAAN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La « particule séparable » « VOORAF » fait, elle, l’objet d’un REJET derrière les compléments (« het konvooi » et « enkele kilometers ») à la fin de la phrase.
On aurait pu avoir une autre formulation : « Mijn ouders gingen enkele kilometers vóór het konvooi », avec des voyelles (« O ») portant exceptionnellement des accents en néerlandais.

Nom : GAF OVT GEVEN KARL MAY 13 VANDERSTEEN - Rajouté le 20/08/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Uit dankbaarheid gaf de oude man mij een masker » (« Par gratitude, le vieil homme me donna un masque »).
On y trouve notamment la forme verbale « GAF », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « GEVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Uit dankbaarheid »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de oude man ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « GAF ») et passant donc derrière lui.

Nom : GAF 2 OVT GEVEN RODE RIDDER 19 VANDERSTEEN - Rajouté le 19/08/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dit gaf hij mij om u te overtuigen. » (« Ceci, il me le donna pour vous convaincre »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « GAF », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « GEVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Attention à l’ordre des mots dans la phrase principale (« Dit gaf hij mij ») : le sujet est bien « HIJ » et pas « DIT », qui est un complément (C.O.D.). Dès lors, la phrase commençant par ce complément « DIT », on doit procéder à une « INVERSION » et le sujet « HIJ ») inverse donc sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « gaf ») et passe donc bien derrière lui.
On trouve aussi, dans la deuxième phrase - une sorte de subordonnée « infinitive » introduite par « OM … TE » (signifiant « POUR » devant les verbes) -, le complément « U » intercalé entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « OVERTUIGEN ».

Nom : GAF 1 OVT GEVEN RODE RIDDER 19 VANDERSTEEN - Rajouté le 18/08/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Deze aanslag houdt verband met de opdracht die de koning mij gaf. » (« Cette attaque est en rapport avec la mission que le roi me donna = m’a donnée = confiée »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée (introduite par « DIE »), la forme verbale « GAF », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « GEVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Voir : http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
N’oublions pas que, dans une phrase subordonnée, il y a REJET de la forme verbale, derrière le complément (ici « mij »), à la fin de la phrase.
Notez l’expression « verband HOUDEN met ».

Nom : DRONG OVT DRINGEN RODE RIDDER 19 VANDERSTEEN - Rajouté le 17/08/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De man drong reeds langs een raam in het woonhuis. » (« L’homme pénétrait déjà le long d’une fenêtre dans la maison d’habitation »).
On y trouve la forme verbale « DRONG », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « DRINGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Il est à noter que ce verbe « DRINGEN » fait partie d’une catégorie importante de verbes irréguliers au prétérit, celle des « I », qui donnent souvent des « O » aux temps du passé (O.V.T. et participes passés du V.T.T.).

Nom : DRONK OVT DRINKEN KARL MAY 13 VANDERSTEEN - Rajouté le 16/08/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hoe is het mogelijk dat hij (van het) water van de bron dronk ? » (« Comment est-il possible qu’il but de l’eau de la source ? »).
On y trouve la forme verbale « DRONK », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « DRINKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Il est à noter que ce verbe « DRINKEN » fait partie d’une catégorie importante de verbes irréguliers au prétérit, celle des « I », qui donnent souvent des « O » aux temps du passé (O.V.T. et participes passés du V.T.T.).
N’oublions pas que, dans une phrase subordonnée, il y a aussi REJET de la forme verbale, derrière les compléments (ici « water » et « van de bron »), à la fin de la phrase.

Nom : DOKEN OVT DUIKEN BESSY 02 VANDERSTEEN - Rajouté le 15/08/2016

Description : La triple phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Eens hun nest bereikt, doken de beide bevers in het water en verdwenen » (« Leur tanière atteinte, les deux castors plongèrent dans l’eau et disparurent »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, les formes verbales « DOKEN » (O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « DUIKEN ») et « VERDWENEN » (O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « VERDWIJNEN »), qui connaissent les « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Il est à noter que la phrase subordonnée / attribut, introduite par le complément « Eens hun nest bereikt », engendre une INVERSION dans la phrase principale : le sujet « de beide bevers » passant derrière le verbe « doken ». On aurait ainsi pu dire : « de beide bevers doken en verdwenen in het water ».

Nom : DOOK OVT DUIKEN KARL MAY 13 VANDERSTEEN - Rajouté le 14/08/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het was alsof een schaduw achter de rotsen dook » (« C’était comme si une ombre plongeait derrière les rochers »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée (introduite par « ALSOF »), la forme verbale «DOOK» (séparée de son sujet « een schaduw »), O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « DUIKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Il est à noter que ce verbe « DUIKEN » fait partie d’une catégorie importante de verbes irréguliers au prétérit, celle des « UI ».
Comme dans toute phrase subordonnée, il y a REJET de la forme verbale (« DOOK »), derrière le complément (« achter de rotsen »), à la fin de la phrase.

Nom : BLEEK OVT BLIJKEN RODE RIDDER 19 VANDERSTEEN - Rajouté le 13/08/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Niet iedereen bleek verheugd te zijn. » (« Ce n’est pas tout le monde qui semblait être réjoui = Tout le monde ne semblait pas réjoui »).
On y trouve notamment la forme verbale « BLEEK », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « BLIJKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le verbe « BLIJKEN » engendre un « TE » quand il précède un infinitif comme, ici, « ZIJN ».
Il est à noter que ce verbe « BLIJKEN » fait partie de la catégorie la plus importante (en nombre) de verbes irréguliers au prétérit, celle des « IJ » (donnant des « E », prononcés « é » au passé). Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit

Nom : BLEEF OVT BLIJVEN BESSY 41 VANDERSTEEN - Rajouté le 12/08/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het voornaamste is dat alles onbeschadigd bleef » (« Le plus important est que tout restait NON endommagé => intact »).
On y trouve notamment la forme verbale « BLEEF » (O.V.T. ou « prétérit »), provenant de l’infinitif « BLIJVEN », qui connaît les « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
S’il y a, ici, REJET de la forme verbale « BLEEF », c’est parce qu’elle figure dans une phrase subordonnée.

Nom : BLEEF OVT BLIJVEN BESSY 02 VANDERSTEEN - Rajouté le 11/08/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Verschillende uren bleef zij (Bessy) tevergeefs wachten » («Plusieurs heures (durant) elle restait à attendre en vain »).
On y trouve notamment la forme verbale « BLEEF » (O.V.T. ou « prétérit »), provenant de l’infinitif « BLIJVEN », qui connaît les « temps primitifs » des verbes dits « forts » ou irréguliers.
Rappelons que si nous avions eu cette phrase au pluriel, nous aurions eu la forme verbale « BLEVEN », ressemblant davantage à l’infinitif « BLIJVEN ». N’oublions pas que un « F » derrière lequel on rajoute un « E » (a fortiori la terminaison « EN » du pluriel) devient « V ».
Il est à noter que la phrase, commençant par le complément « Verschillende uren », ce dernier engendre une INVERSION : le sujet « zij » passant derrière le verbe « bleef ». On aurait ainsi pu dire : « Zij bleef verschillende uren tevergeefs wachten » OU « Zij bleef tevergeefs verschillende uren wachten.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 28H - Rajouté le 10/08/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Tenzij hij (Bexter) onze schuilplaats hier ontdekt » (« A moins qu’il ne découvre notre cachette ici »).
Rappelons que, en langue néerlandaise, dans une phrase subordonnée (introduite ici par « Tenzij »), la forme verbale (ici « ontdekt ») ne se trouve plus juste à côté de son sujet (ici « HIJ ») et fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« onze schuilplaats » et « hier »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 28G - Rajouté le 09/08/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij verneemt dat de jagers veilig over de grens zijn gekomen » (« Elle apprend que les chasseurs sont venus en sécurité au-delà de la frontière = ont traversé la frontière en sécurité / sains et saufs »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée (introduite par « DAT ») la forme verbale « GEKOMEN », participe passé provenant de l’infinitif « KOMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Cette forme verbale est, comme on le voit, construite sur L’INFINITIF. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Ce participe passé « GEKOMEN » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« veilig » et « over de grens »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 28F - Rajouté le 08/08/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Weer in het kamp, herstellen de mannen de schade die door de olifant is aangericht » (« A nouveau = revenus dans le camp, les hommes réparent les dégâts qui sont occasionnés par l’éléphant »).
On y trouve, dans la phrase subordonnée relative (introduite par « DIE ») la forme verbale « AANgericht », participe passé provenant de l’infinitif « AANrichten » (dit « à particule séparable »), construit sur le verbe « RICHTEN », considéré comme « régulier ».
Comme la grande majorité des verbes néerlandais, le verbe « RICHTEN » n’est pas affecté par les « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « T », on trouvera de toutes façons le « T » minoritaire comme terminaison du participe passé.
La forme verbale « aanGEricht » est bien à « particule séparable » puisque le « GE » du participe passé s’intercale entre la particule « AAN » et la forme verbale proprement dite.
Ce participe passé « aanGEricht » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« in het kamp »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (ici « Weer in het kamp »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de mannen ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « herstellen ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 28E - Rajouté le 07/08/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het moet hem helse pijnen (hebben) bezorgd hebben » (« Cela a dû lui procurer = occasionner des douleurs infernales »).
On y trouve notamment le participe passé « bezorgd », provenant de l’infinitif « BEZORGEN ».
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Ce verbe « BEZORGEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») ; il ne fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « G », on trouvera le « D » (majoritaire) comme terminaison du participe passé.
Ce participe passé « bezorgd » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« hem » et « helse pijnen »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 28D - Rajouté le 06/08/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De olifant (Thusk) liep daar = al jaren mee rond » (« L’éléphant se trimballait déjà depuis des années avec … la balle »).
On y trouve notamment la forme verbale « liep … rond (ou MEE) », O.V.T. (ou prétérit), provenant du verbe « RONDlopen » (ou MEElopen), construit(s) sur l’infinitif « LOPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
L’infinitif « RONDlopen », étant « à particule séparable », la « particule séparable » « ROND » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« daar » et « jaren »), à la fin de la phrase.
« MEE » remplacerait le complément « met een kogel ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 28C - Rajouté le 05/08/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik moet nog uitmaken waardoor hij zich zo woest gedroeg » (« Je dois encore faire en sorte de trouver = élucider à cause de quoi = pourquoi il se comportait aussi sauvagement »).
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 28B - Rajouté le 04/08/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Onze taak is volbracht » (« Notre tâche est terminée »).
On y trouve notamment la forme verbale « VOLbracht », participe passé provenant de l’infinitif « VOLbrengen » (pas à « particule séparable), lui-même construit sur le verbe « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « VOLbracht » est (comme « GEbracht ») construit sur le SINGULIER du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Ce participe passé « VOLbracht » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« NU »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 28A - Rajouté le 03/08/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat is goed afgelopen » (« Cela s’est bien passé »).
On y trouve notamment, dans la première phrase, la forme verbale « AFgelopen », participe passé provenant de l’infinitif « AFlopen », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « LOPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que le participe passé « GELOPEN » se construit sur l’INFINITIF. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « AFlopen » est utilisé comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « afGElopen ».
Ce participe passé « afGElopen » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« deze keer »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 27I - Rajouté le 02/08/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De olifant (Thusk) heeft de jagers geroken » (« L’éléphant a senti les chasseurs »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEROKEN », participe passé provenant de l’infinitif « RUIKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEROKEN » est construit sur le PLURIEL du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé (ceux en « UI » donnant presque toujours des « O » au passé) :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GEROKEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« de jagers »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 27 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 27H - Rajouté le 01/08/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Plots houdt het kauwen op » (« Soudain la mastication s’arrête »).
On trouve dans cette phrase la forme verbale « houdt … op », provenant du verbe « OPhouden » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur l'infinitif « HOUDEN ».
Quand « OPhouden » est conjugué, la particule « OP » se sépare de son infinitif proprement dit et fait l'objet d'un REJET, derrière le complément (« het kauwen »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (ici « Plots »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « het kauwen ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « HOUDT ») et passant donc derrière lui.
Rappelons aussi que, en langue néerlandaise, on peut facilement fabriquer un nom commun à partir d’un INFINITIF mais son déterminant défini le rend NEUTRE : « HET kauwen » (< « KAUWEN » = « mâcher, mastiquer »).
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 27 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 27G - Rajouté le 31/07/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Mgono) steekt zijn tong uit » (« Il met la langue dehors = il tire la langue »).
On y trouve notamment la forme verbale « steekt … UIT », provenant de l’infinitif « UITsteken », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « STEKEN ».
Quand « UITsteken » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « UIT » étant affectée par un REJET, derrière le complément (« zijn tong »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 27 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 27F - Rajouté le 30/07/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De jagers geven elkaar hun bevindingen met tekens door » (« Les chasseurs se donnent l’un l’autre = se communiquent / se transmettent / s’échangent leurs trouvailles à travers = à l’aide de signes »).
On y trouve notamment la forme verbale « geven … DOOR », passé construite sur le verbe « DOORgeven » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « GEVEN ».
Quand « DOORgeven » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « DOOR » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« elkaar », « hun bevindingen » et « met tekens »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que « ELKAAR » est un pronom RECIPROQUE et invariable.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 27 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 27E - Rajouté le 29/07/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De olifant (Thusk) heeft de pijl afgebroken maar het gif mat hem langzaam af » (« L’éléphant a cassé la flèche mais le poison le mine lentement »).
On y trouve notamment, dans la première phrase, la forme verbale « AFgebroken », participe passé provenant de l’infinitif « AFbreken », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « BREKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « AFbreken » est utilisé comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « afGEbroken ».
Ce participe passé « afGEbroken » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« de pijl »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 27 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 27D - Rajouté le 28/07/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De jagers sluipen geruisloos nader(bij) » (« Les chasseurs se faufilent sans bruit en se rapprochant »).
On y trouve notamment, dans la première phrase, la forme verbale « sluipen … NADER », indicatif présent provenant de l’expression à l’infinitif « NADER(BIJ) sluipen » … en 2 (deux) mots.
« NADERBIJ » réagit comme une « particule séparable » et, étant affectée par le phénomène du « REJET », passe derrière le complément (« geruisloos »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 27 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 27C - Rajouté le 27/07/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Daar heeft hij (de olifant) een boom afgebroken » (« Là, il a cassé un arbre »).
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (ici « Daar »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « HIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « HEEFT ») et passant donc derrière lui.
On y trouve notamment, dans la première phrase, la forme verbale « AFgebroken », participe passé provenant de l’infinitif « AFbreken », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « BREKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « AFbreken » est utilisé comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « afGEbroken ».
Ce participe passé « afGEbroken » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« een boom »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 27 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 27B - Rajouté le 26/07/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze (Sam en Mgono) zetten de achtervolging van de olifant (Thusk) in » (« Ils mettent en œuvre = se lancent à la poursuite de l’éléphant »).
On y trouve notamment la forme verbale « zetten … IN », provenant de l’infinitif « INzetten », lui-même construit sur le verbe « ZETTEN ».
Le verbe « INzetten » est dit « à particule séparable ». Quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « IN » (ancienne préposition), qui fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « de achtervolging »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 27 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 27A - Rajouté le 25/07/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij wordt naar het kamp gebracht » (« Elle est portée = emmenée = conduite au camp »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEBRACHT », participe passé provenant de l’infinitif « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEBRACHT » est construit sur le SINGULIER du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Ce participe passé « gebracht » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« naar het kamp »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 27 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 26E - Rajouté le 24/07/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De olifant (Thusk) loopt met een giftige pijl in de buik rond » (« L’éléphant court en rond = se trimballe avec une flèche empoisonnée dans le ventre »).
On y trouve la forme verbale « loopt … ROND », provenant de l’infinitif « RONDlopen », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « LOPEN ».
La « particule séparable » « ROND » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« met een giftige pijl » et « in de buik »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 26 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 26D - Rajouté le 23/07/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Misschien zie je hem later nog terug » (« Peut-être le revois-tu = reverras-tu encore plus tard »).
On y trouve notamment la forme verbale « zie … TERUG », provenant du verbe « TERUGzien » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « ZIEN ».
Quand « TERUGzien » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERUG » de son infinitif proprement dit et son REJET, derrière les compléments (« hem », « later » et « nog »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (ici « misschien »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « JE ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « ZIE ») et passant donc derrière lui. Dans ce cas (comme dans une phrase interrogative, la forme verbale de la deuxième personne du singulier n’aura PAS de terminaison « -T » (alors que c’est bien : « je zieT »).
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 26 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 26C - Rajouté le 22/07/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij ontvoerde de kinderen » (« Il enlevait les enfants »).
On y trouve notamment la forme verbale « ONTvoerde », O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « ONTvoeren » lui-même construit sur le verbe « VOEREN », qui NE fait PAS partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Comme la grande majorité des verbes néerlandais, le verbe « VOEREN » n’est pas affecté par les « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent : « ik voer ») se terminant par la consonne « -R », on trouvera au prétérit la terminaison « -DE » majoritaire : « VOER » + « DE » = « (ont)voerDE ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 26 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 26B - Rajouté le 21/07/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We vonden het spoor van Mgono » (« Nous trouvâmes = avons trouvé la trace de Mgono »).
On y trouve la forme verbale « VONDEN », prétérit ou O.V.T. provenant de l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé (les infinitifs en « i » donnant souvent des passés en « O ») :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 26 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 26A - Rajouté le 20/07/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Bwana Tembo) heeft zijn woord gebroken » (« Il a cassé son mot / sa parole = il n’a pas tenu parole »).
On y trouve notamment la forme verbale « gebroken », participe passé provenant de l’infinitif « BREKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Ce participe passé « gebroken » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« zijn woord »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 26 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 25D - Rajouté le 19/07/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij komt er met wat kneuzingen af » (« Il en réchappe avec quelques contusions »).
On y trouve la forme verbale « komtn … AF », qui provient d’un infinitif « AFkomen » (dit « à particule séparable »), construit sur le verbe « komen ».
Quand « AFkomen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit et son REJET, derrière les compléments (« ER et « met wat kneuzingen »), à la fin de la phrase.
On aurait pu considérer que l’on avait affaire à un adverbe pronominal « erAF », séparable. On aurait pu trouver alors la variante suivante : « Hij komt met wat kneuzingen eraf ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 25C - Rajouté le 18/07/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De olifant (Thusk) wordt (door geen kogel) niet geraakt maar door de knal laat hij zijn slachtoffer los » (« L’éléphant n’est pas touché mais, par le détonation = grâce au coup de feu, il lâche sa victime »).
On y trouve notamment, dans la première phrase, la forme verbale « geraakt », participe passé construit sur le verbe « RAKEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le verbe « RAKEN » est donc considéré comme « régulier » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera comme terminaison du participe passé un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Le participe passé « geraakt » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« door geen kogel »), à la fin de sa phrase.
Cette première phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
On y trouve également, dans la deuxième phrase, la forme verbale « laat … LOS », provenant de l’infinitif « LOSlaten », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « LATEN ».
Quand « LOSlaten » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « LOS » de son infinitif proprement dit et elle fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« zijn slachtoffer»), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (ici « door de knal »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « HIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « LAAT ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 25B - Rajouté le 17/07/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Niet kijken (= kijk niet) ! Hij (Ndeeve) is verloren ! » (« Ne pas regarder ! Il est perdu ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERLOREN », participe passé construit sur le verbe « VERLIEZEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Il est à noter que ce participe passé se construit donc sur le PLURIEL du prétérit et est même identique. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 25A - Rajouté le 16/07/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Ndeeve) wordt door de machtige slurf gegrepen en (hij wordt) tegen een boom geslagen » (« Il est saisi par la puissante trompe et frappé contre un arbre »).
On y trouve notamment, dans la première phrase, la forme verbale « GEGREPEN », participe passé provenant de l’infinitif « GRIJPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Cette forme verbale « GEGREPEN » est construite sur le PLURIEL du prétérit. Pour complément d’informations, consultez notamment notre tableau de synthèse « Temps primitifs » dans la partie « GRAMMATICA » de ce site , où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Ce participe passé « GEGREPEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« door de machtige slurf »), à la fin de sa phrase.
On y trouve également, dans la deuxième phrase, la forme verbale « GESLAGEN », participe passé tout à fait irrégulier provenant de l’infinitif « SLAAN », affecté par les « temps primitifs ».
Le participe passé « geslagen » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« tegen een boom »), à la fin de la phrase.
Cette double phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 24F - Rajouté le 15/07/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maar ditmaal heeft de olifant zijn aanvaller ontdekt » (« Mais, cette fois, l’éléphant a découvert son agresseur »).
On y trouve notamment la forme verbale « ONTDEKT », participé passé provenant de l’infinitif « ONTDEKKEN ».
Ce verbe est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « ONT- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Le participe passé « ONTDEKT » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« zijn aanvaller »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (ici « ditmaal »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de olifant ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « heeft ») et passant donc derrière lui.
Rappelons que l’on peut fabriquer un nom commun (« aanvalleR ») à partir de l’infinitif d’un verbe (« aanvalleN ») en remplaçant simplement la consonne finale de TOUS les infinitifs néerlandais (« -N ») par « R ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 24 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 24E - Rajouté le 14/07/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Ndeeve) sluipt met levensgevaar naderbij en schiet een giftige pijl af » (« Il se rapproche au péril de sa vie et décoche une flèche empoisonnée »).
On y trouve notamment, dans la première phrase, la forme verbale « sluipt … NADERBIJ », indicatif présent provenant de l’expression à l’infinitif « NADERBIJ sluipen » … en 2 (deux) mots.
« NADERBIJ » réagit comme une « particule séparable » et, étant affectée par le phénomène du « REJET », passe derrière le complément (« met levensgevaar »), à la fin de la phrase.
On y trouve également, dans la deuxième phrase, la forme verbale « schiet … AF » à l’O.T.T., provenant de l’infinitif « AFschieten » (dit à « particule séparable »), construit sur le verbe « SCHIETEN ».
La « particule séparable » « AF » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« een giftige pijl »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 24 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 24D - Rajouté le 13/07/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Thusk = de olifant) gaat wild tekeer en (hij) zoekt met opgeheven slurf naar de onzichtbare vijand » (« Il fulmine sauvagement et, la trompe dressée, il cherche l’ennemi invisible »).
Notez, dans la première phrase, l’expression « tekeerGAAN », assimilée à un verbe dit « à particule séparable ».
La « particule séparable » « tekeer » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« wild »), à la fin de la phrase.
On y trouve également, dans la deuxième phrase, la forme verbale « OPgeheven », participe passé utilisé ici comme adjectif épithète, provenant de l’infinitif « opHIJVEN » (qui n’existe apparemment plus), verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « HIJVEN » (qui n’existe apparemment plus), qui faisait apparemment l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « OPhijven » était conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraînait en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEheven ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 24 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 24C - Rajouté le 12/07/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ndeeve, op zoek naar de kinderen, is (hij = Ndeeve) daar ook aangekomen » (« A la recherche des enfants, il est aussi arrivé là »).
On y trouve notamment la forme verbale « AANgeKOMEN », participe passé (utilisé ici comme adjectif épithète) du verbe « AANkomen » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « KOMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé « GESLOPEN » se construit sur l’INFINITIF. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « AANkomen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGEkomen ».
Ce participe passé « aanGEkomen » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« daar » et « ook »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (ici « Op zoek naar de kinderen»), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « HIJ », sous-entendu) inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « IS ») et passant donc derrière lui.
CLa version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 24 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN BIDDELOO LEEUW VAN VLAANDEREN KOMEN GEKOMEN - Rajouté le 11/07/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De tijd is gekomen dat er veel Frans bloed zal vloeien ! » (« Le temps est venu que = où il y a beaucoup de sang français qui va couler ! »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « GEKOMEN », participe passé provenant de l’infinitif « KOMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Cette forme verbale est, comme on le voit, construite sur L’INFINITIF. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé : http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Ce participe passé « GEKOMEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (par exemple « NU »), à la fin de la phrase.
Si vous souhaitez entendre en MP3 des formes verbales du verbe « KOMEN », contextualisées (phrases utiles de la vie quotidienne), aux temps O.T.T., O.V.T. ou V.T.T., vous verrez comment s’écrit ce que vous entendez à : http://www.idesetautres.be/upload/VENIR%20KOMEN%20COME%20VENIR.zip
Dans la phrase subordonnée (introduite par « DAT »), la forme verbale « ZAL », rendant en langue néerlandaise un futur simple (« coulera »), peut être assimilée au futur proche en langue française.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 18 et 19 dans « De leeuw van Vlaanderen », le volume N°109 de la série « DE RODE RIDDER ».
Karel BIDDELOO, dessinateur et scénariste, et Willy VANDERSTEEN se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1984-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : « Johan apparaît ici dans le récit DE LEEUW VAN VLAANDEREN écrit par le Flamand Hendrik Conscience. Ce livre fut publié en 1838 et reprend une version fortement romancée du préambule à la Bataille des Eperons d’or du 11 juillet 1302 » (cf. « Rode Ridder Story », chapitre 4, page 23, disponible sur ce site à l’adresse : http://www.idesetautres.be/upload/Rode%20Ridder%20Story%20FR%204.pdf). Il faut regarder l’adaptation cinématographique de 1984. Cet hommage devait être rendu à l’occasion de ce 714ème anniversaire en 2016

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 24B - Rajouté le 11/07/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Pas (goed) op ! Hij valt je aan ! » (« Fais attention ! Il t’attaque !»).
On y trouve, dans la première phrase, la forme verbale « pas … OP », provenant de l’infinitif « OPpassen », verbe dit « à particule séparable ».
Quand « OPpassen » est conjugué, la « particule séparable » « OP » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« goed »), à la fin de la phrase.
Notez l’expression / le verbe « OPpassen » pour « faire attention ».
On y trouve, dans la deuxième phrase, la forme verbale « valt … AAN », O.T.T. (ou « présent ») provenant de l’infinitif « AANvallen » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « VALLEN ».
Quand « AANvallen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit et elle fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« JE »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 24 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 24A - Rajouté le 10/07/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « (Op) het volgende ogenblik wordt hij (Mgono) door een slag van de slurf weggeslingerd » (« L’instant suivant, il est projeté par un coup de la trompe »).
On y trouve notamment la forme verbale « WEGgeslingerd », qui aurait pu être construite sur le verbe « WEGslingeren » (que l’on aurait dit « à particule séparable »), construit sur l’infinitif « SLINGEREN ».
Comme la grande majorité des verbes néerlandais, le verbe « SLINGEREN » n’est pas affecté par les « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire. La forme verbale « wegGEslingerd » est à « particule séparable » puisque le « GE » du participe passé s’intercale entre la particule « WEG » et la forme verbale proprement dite.
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments(« door een slag » et « van de slurf »), à la fin de la phrase.
Mais, officiellement, il n’existe pas de verbe « WEGslingeren » ; en revanche « AANslingeren » existe. Une langue « vivante » vit donc et c’est à l’usage que ses mots évoluent.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (ici « het volgende ogenblik »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « wordt ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « HIJ ») et passant donc derrière lui.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 24 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 23F - Rajouté le 09/07/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hou me vast ! Ik ben bang » (« Tiens-moi fortement ! J’ai peur »).
On y trouve notamment, dans la première phrase, la forme verbale « houd … VAST », provenant de l’infinitif « VASThouden » (verbe dit à « particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « HOUDEN ».
La particule séparable « VAST » (un adverbe) fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« ME »), à la fin de la phrase.
Notez l’expression « bang ZIJN » pour « avoir peur ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 23 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 23E - Rajouté le 08/07/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Mgono) sluipt tegen de wind in » (« Il rampe contre le vent »).
On y trouve, notamment, la forme verbale « sluipt … IN », construite sur l’infinitif « INsluipen » (verbe dit « à particule séparable »), lui-même construit sur l’infinitif « SLUIPEN ».
La particule séparable « IN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« tegen de wind »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 23 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 23D - Rajouté le 07/07/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Woedend rukt de olifant (Thusk) de takken af » (« Furieux, l’éléphant arrache les branches »).
On y trouve notamment la forme verbale « rukt … AF », provenant de l’infinitif « AFrukken », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « RUKKEN ».
La « particule séparable » « AF » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« de takken »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (ici « Woedend »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de olifant ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « rukt ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 23 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 23C - Rajouté le 06/07/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De woeste olifant heeft de knapen in een boom gejaagd » (« L’éléphant furibond a chassé les gamins dans un arbre »).
On y trouve notamment la forme verbale « gejaagd », participe passé provenant du verbe « jagen », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » (du moins au prétérit : « JOEG »).
Ce verbe « JAGEN » est donc considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au participe passé et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « G », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison de son participe passé.
Le participe passé « GEJAAGD » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« de knapen» et « in een boom »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 23 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 23B - Rajouté le 05/07/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zijn geoefend oog vond vlug het spoor van de kinderen » (« Son œil exercé trouva rapidement la trace des enfants »).
On y trouve notamment la forme verbale « geoefend », participe passé (utilisé ici comme adjectif épithète) provenant de l’infinitif « OEFENEN ».
Ce verbe « OEFENEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « N », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison du participe passé => « GEoefenD ».
On y trouve également la forme verbale « VOND », prétérit ou O.V.T. provenant de l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 23 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 23A - Rajouté le 04/07/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Inmiddels is hij (Mgono) ongemerkt van het kamp weggeslopen » (« Entretemps, il s’est glissé hors du camp sans se faire remarquer = il s’est éclipsé / il a filé en douce du camp »).
On y trouve, notamment, la forme verbale « WEGgeslopen », construite sur l’infinitif « WEGsluipen » (verbe dit « à particule séparable »), lui-même construit sur l’infinitif « SLUIPEN », affecté par les « temps primitifs » des verbes « forts ».
Il est à noter que ce participe passé « GESLOPEN » se construit sur le PLURIEL du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « WEGsluipen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « WEG » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « wegGEslopen ».
Le participe passé « wegGEslopen » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« ongemerkt » et « van het kamp »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (ici « Inmiddels »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « HIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « IS ») et passant donc derrière lui.
On y trouve également la forme verbale « ONgemerkt » (utilisé comme adjectif « attribut »), provenant d’un infinitif « ONmerken » (dit « à particule séparable »), qui n’existe plus, lui-même conjugué sur « MERKEN », considéré comme « régulier ».
Comme la grande majorité des verbes néerlandais, le verbe « MERKEN » n’est pas affecté par les « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera le « T » minoritaire. La forme verbale « onGEmerkt » est bien à « particule séparable » puisque le « GE » du participe passé s’intercale entre la particule « ON » et la forme verbale proprement dite.
N’oublions pas que le préfixe « ON- » rend souvent une notion de contraire (et plutôt « négative ») du mot plus court (ici « GEmerkt »), comme en langue anglaise son équivalent « UN- ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 23 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 22D - Rajouté le 03/07/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maar de twee meter lange slang dringt (er = daar) gemakkelijk binnen » (« Mais le serpent de deux mètres de long y pénètre facilement »).
On y trouve la forme verbale « dringt … BINNEN », provenant de l’infinitif « BINNENdringen » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « DRINGEN ».
Quand « BINNENdringen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « BINNEN » de son infinitif proprement dit et elle fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« gemakkelijk »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 22 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 22C - Rajouté le 02/07/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Eer het reptiel zich (heeft) bevrijd heeft, zijn de knapen reeds (al) ver weg(gegaan) » (« Avant que le reptile se soit libéré, les gamins sont déjà partis = loin »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée (introduite par « EER »), la forme verbale « BEVRIJD », participe passé provenant de l’infinitif « BEVRIJDEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « BEVRIJDEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) ; il ne fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant déjà par la consonne « D », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison du participe passé.
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Ce participe passé « BEVRIJD » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« volledig »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (la phrase subordonnée « Eer het reptiel zich heeft bevrijd » joue ici ce rôle), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de knapen ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « ZIJN ») et passant donc derrière lui.
Rappelons les règles en matière de pluriel des mots variables (notamment les noms communs) comme « KNAAP ». Son pluriel est formé en ajoutant la terminaison « -EN » pour obtenir « knAptn » (avec 1 « A »). A partir du moment où un mot variable néerlandais comporte une voyelle double (AA, EE, OO ou UU) dans la syllabe précédant 1 (une) consonne, le fait d’ajouter une terminaison « -E » (adjectif : « rood » => « rodE » ou « geel » => « gelE »; variante comparatif de supériorité avec terminaison « -ER » : « rood » => « rodER » ou « geel » => « gelER ») fait que la deuxième voyelle disparaît tout comme au PLURIEL. Voir, par exemple :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=plNoms
Signalons que la langue néerlandaise a souvent l’habitude de sous-entendre le verbe « aller », c’est-à-dire « gaan ».
On aurait pu trouver dans la phrase principale le participe passé « wegGEgaan », forme verbale découlant de l’infinitif « WEGgaan ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 22 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 22B - Rajouté le 01/07/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zoals hij zo dikwijls door de jagers heeft zien doen, prikt hij de slang met een voorstok aan de grond » (« Comme il l’a si souvent vu faire par les chasseurs, il coince le serpent avec un bâton sur le sol »).
La phrase est au passé composé et la forme verbale de « ZIEN » aurait donc dû être au participe passé mais on a ici affaire à ce que l’on appelle le « double infinitif », solution intéressante pour éviter les « temps primitifs » quand on ne les maîtrise pas.
Les deux infinitifs font l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« zo dikwijls » et « door de jagers »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (la phrase subordonnée « « Zoals hij zo dikwijls door de jagers heeft zien doen »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « HIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « PRIKT ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 22 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 22A - Rajouté le 30/06/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maar de cobra wordt even door een vogel afgeleid en hij (Mpingi) slaat (dadelijk) toe » (« Mais le cobra est un moment distrait par un oiseau et Mpingi frappe »).
On y trouve notamment, dans la première principale, la forme verbale « AFgeleid », provenant de l’infinitif « AFleiden », lui-même construit sur le verbe « LEIDEN » qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « AFleiden » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « afGEleid ».
Ce participe passé « afGEleid » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« even » et « door een vogel »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
On y trouve également, dans la deuxième phrase, la forme verbale « slaat … TOE », provenant de l’infinitif « TOEslaan », verbe dit à « particule séparable » lui-même construit sur le verbe « SLAAN ».
Quand le verbe est conjugué, la particule « TOE » se sépare de la forme verbale proprement dite (« slaat ») et fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« dadelijk »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 22 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 21D - Rajouté le 29/06/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een zwartlippige cobra duikt voor hem op » (« Un cobra à langue noire apparaît devant lui »).
On y trouve, également dans la phrase subordonnée (introduite Rappelons que, dans une phrase subordonnée, un verbe ne se trouve plus à côté de son sujet (il fait l’objet d’un REJET, derrière le complément à la fin de la phrase) et que, s’il est « à particule séparable », la particule NE se sépare PAS, EXCEPTIONNELLEMENT, de la forme verbale (comme sur l’extrait de BD joint).
La forme verbale « OPduikt » (de la BD), provient de l’infinitif « OPduiken » (verbe dit « à particule séparable »), lui-même construit sur l’infinitif « DUIKEN ».
Afin de bien de se rendre compte comment réagit normalement « OPduiken », verbe dit « à particule séparable », nous l’avons placé supra dans le contexte d’une phrase « normale ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 20 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 21C - Rajouté le 28/06/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Jij wilde naar haar toe(gaan) » (« Tu voulais aller jusqu’à elle = la rejoindre »).
On y trouve notamment la forme verbale « WILDE », prétérit provenant de l’infinitif « WILLEN ».
Ce verbe « WILLEN » évolue vers un verbe « régulier ». Comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs » sauf, parfois, encore au prétérit : « WOU » au lieu de « WILDE ». On aurait, en effet, pu trouver la variante suivante : « Jij WOU naar haar toe(gaan) ».
N’oublions pas que, avec les verbes comme « WILLEN » que l’on appelle « auxiliaire de MODE » (les 3 autres étant « KUNNEN », « MOETEN » et « MOGEN »), on a tendance, en langue néerlandaise, à sous-entendre le verbe « GAAN ».
N’oublions pas non plus que ces « auxiliaires de MODE » exigent un REJET de l’infinitif, derrière le complément (ici « naar haar »), à la fin de la phrase : « TOEgaan ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 20 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 21B - Rajouté le 27/06/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een baobab verschaft de kinderen slaapgelegenheid waar ze ‘s morgens uitgehongerd ontwaken » (« Un baobab offre aux enfants une occasion de sommeil = un abri pour dormir où, le matin, ils s’éveillent morts de faim »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée introduite par « WAAR »), la forme verbale « UITgehongerd », participe passé (utilisé ici comme adjectif épithète) provenant de l’infinitif « UIThongeren » (dit « à particule séparable »), lui-même conjugué sur « HONGEREN », considéré comme « régulier ».
Comme la grande majorité des verbes néerlandais, le verbe « HONGEREN » n’est pas affecté par les « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison du participe passé. La forme verbale « uitGEhongerd » provient bien d’un verbe à « particule séparable » puisque le « GE » du participe passé s’intercale entre la particule « UIT » et la forme verbale proprement dite.
Rappelons que « ‘s morgenS » est un complément de temps équivalant à « in de morgen » ou « vanmorgen ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 21 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 21A - Rajouté le 26/06/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze (Tim en Mpingi) zijn op dit ogenblik reeds ver van het kamp verwijderd » (« Ils sont à cet instant déjà fort éloignés du camp »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERwijderd », participe passé provenant de l’infinitif « VERwijderen ».
Ce verbe « VERwijderen » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « R », on trouvera comme terminaison du participe passé le « D » majoritaire.
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Le participe passé « VERwijderd » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« op dit ogenblik », « reeds » et « ver van het kamp »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 20 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 20C - Rajouté le 25/06/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze (Tim en Mpingi) zijn verdwenen » (« Ils ont disparu »).
On y trouve notamment la forme verbale « verdwenen », participe passé provenant de l’infinitif « verdwijnen », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « verdwenen » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« van ons kamp »), à la fin de la phrase.
Il est à noter que ce participe passé « verdwenen » se construit sur le PLURIEL du prétérit ou O.V.T. et, dans ce cas-ci, est même identique Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons en effet que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Notons l’utilisation de l’auxiliaire « ZIJN » au lieu de « hebben ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 20 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 20B - Rajouté le 24/06/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wat zou er aan de hand zijn ? » (« Que pourrait-il (peut-il) se passer ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « ZOU », provenant de l’infinitif « ZOUDEN » (en quelque sorte « prétérit » de « ZULLEN »), auxiliaire utilisé pour indiquer que l’on se trouve au conditionnel.
« ZOUDEN » exige le REJET de l’autre verbe (ici « ZIJN »), à l’infinitif, derrière le complément (ici « aan de hand »), à la fin de la phrase.
Notez l’expression, fort utilisée à l’indicatif présent, en l’occurrence la phrase : « Wat is er aan de hand ? « (« Que se passe-t-il ? »)
Afin de mieux la retenir, on pourrait imaginer l’équivalent français de « en venir aux mains » et traduire cette phrase par « Qui en vient aux mains ici ? », le « ER » pouvant correspondre à « HIER ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 20 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 20A - Rajouté le 23/06/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij bespringt (springt op) de jager voordat deze van zijn verrassing (is) bekomen is » (« Il saute sur le chasseur avant que celui-ci ne soit revenu de sa surprise »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée (introduite par « VOORDAT »), la forme verbale « BEkomen », participe passé provenant du même infinitif, lui-même construit sur « KOMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
« KOMEN » donne, au participe passé, une forme verbale « geKOMEN » qui est, comme on le voit, construite sur L’INFINITIF. Pour complément d’informations, consultez notamment notre tableau de synthèse « Temps primitifs » dans la partie « GRAMMATICA » de ce site :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux. Le hasard fait donc que le participe passé est identique à son infinitif.
Ce participe passé « BEKOMEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« van zijn verrassing »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 20 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 19D - Rajouté le 22/06/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Op dit ogenblik kijkt hij (Mgono) omhoog » (« A cet instant, il regarde vers le haut »).
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Op dit ogenblik »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « HIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « kijkt ») et passant donc derrière lui.
On y trouve la forme verbale « kijkt … OMHOOG », qui aurait pu provenir d’un infinitif « OMHOOGkijken » (dit « à particule séparable », construit (à l’image de l’infinitif « OMHOOGgaan ») sur le verbe « kijken ».
Quand « OMHOOGkijken » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OMHOOG » de son infinitif proprement dit et son REJET, derrière le complément éventuel (« in de boom »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 19 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 19C - Rajouté le 21/06/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Mgono) trekt zich voorzichtig terug als plots een lastige toeschouwer opdaagt » (« Il se retire prudemment quand un spectateur importun apparaît »).
On y trouve, notamment dans la phrase principale, la forme verbale « trekt … TERUG », construite sur l’infinitif « TERUGtrekken » (verbe dit « à particule séparable »), lui-même construit sur l’infinitif « TREKKEN ».
La particule séparable « TERUG » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« voorzichtig »), à la fin de la phrase.
On y trouve, également dans la phrase subordonnée (introduite par « ALS »), la forme verbale « OPdaagt », provenant de l’infinitif « OPdagen » (verbe dit « à particule séparable »), lui-même construit sur l’infinitif « DAGEN ».
Rappelons que, dans une phrase subordonnée, un verbe ne se trouve plus à côté de son sujet (il fait l’objet d’un REJET, derrière le complément « plots » à la fin de la phrase) et que, s’il est « à particule séparable », la particule NE se sépare PAS, EXCEPTIONNELLEMENT, de la forme verbale.
Afin de bien de se rendre compte comment réagit normalement « OPdagen », verbe dit « à particule séparable », plaçons-le dans le contexte de la variante suivante de la phrase : « Een lastige toeschouwer daagt plots OP ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 19 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 19B - Rajouté le 20/06/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Die liaan is daar voor een valstrik gespannen » (« Cette liane est tendue là pour un piège »).
On y trouve notamment la forme verbale « gespannen », participe passé provenant de l’infinitif « SPANNEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce participe passé « GESPANNEN » est construit sur l’infinitif. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« daar » et « voor een valstrik »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 19 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 19A - Rajouté le 19/06/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Mgono) sluipt voorzichtig naar het kamp terug » (« Il se glisse prudemment en retrait vers le camp => il recule … »).
On y trouve, notamment, la forme verbale « sluipt … TERUG », construite sur l’infinitif « TERUGsluipen » (verbe dit « à particule séparable »), lui-même construit sur l’infinitif « SLUIPEN ».
La particule séparable « TERUG » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« voorzichtig » et « naar het kamp »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 19 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 18B - Rajouté le 18/06/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Er blijft hem niets anders over (te doen) dan te vertrekken » (« Il n’y a rien d’autre qui lui reste = il ne lui reste rien d’autre à faire que de partir »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « blijft … OVER », provenant de l’infinitif « OVERblijven », verbe à « particule séparable ».
Quand ce verbe « OVERblijven » est conjugué, la particule « OVER » se sépare donc de l’infinitif « BLIJVEN » proprement dit et fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« HEM » et « nietS anderS »), à la fin de la phrase.
Rappelons aussi que l’utilisation du pronom sujet « ER » est l’indication que l’on est confronté à l’équivalent de l’expression française « IL Y A ». En langue néerlandaise, le verbe « avoir » peut y être remplacé par quasi n’importe quel autre verbe.
Rappelons aussi que, si en langue néerlandaise, un « E » par exemple de terminaison d’infinitif (« blijvEn », disparaît derrière une consonne « V »), celle-ci se transforme en « F » => « blijF ». Pour complément d’information, consultez par exemple « La formation du radical des verbes » (point 3) :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=radVerbes
Si vous souhaitez entendre en MP3 des formes verbales du verbe « BLIJVEN », contextualisées (phrases utiles de la vie quotidienne), aux temps O.T.T., O.V.T. ou V.T.T., vous verrez comment s’écrit ce que vous entendez à :
http://idesetautres.be/upload/RESTER%20BLIJVEN%20STAY%20QUEDAR.zip
Rappelons aussi que après « NIETS » (ou « IETS »), l’adjectif prend exceptionnellement une terminaison « -S » ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 18 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 18A - Rajouté le 17/06/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Geef toe » (« Fais une concession »).
On y trouve notamment, à l’impératif, la forme verbale « geef … TOE », provenant de « TOEgeven », dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « GEVEN ».
Quand « TOEgeven » est conjugué, comme à l’O.T.T. (indicatif présent), cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TOE » de son infinitif proprement dit, la particule « TOE » étant affectée par un REJET, derrière le complément éventuel (« NU »), à la fin de la phrase : « Je geeft nu TOE ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 18 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 17D - Rajouté le 16/06/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Door de dreigende houding van Sam worden pijl- (= pijlpunten) en speerpunten op hem gericht » (« En raison de l’attitude menaçante de Sam, des pointes de flèches et des pointes de lances sont dirigées vers lui »).
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Door de dreigende houding van Sam »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « pijlpunten en speerpunten ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « worden ») et passant donc derrière lui.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
On y trouve la forme verbale « gericht », participe passé provenant de l’infinitif « RICHTEN », considéré comme « régulier ».
Comme la grande majorité des verbes néerlandais, le verbe « RICHTEN » n’est pas affecté par les « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « T », on trouvera de toutes façons le « T » minoritaire comme terminaison du participe passé.
Ce participe passé « GERICHT » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« op hem »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 17C - Rajouté le 15/06/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wij wachten op zijn genezing om de grens over te trekken » (« Nous attendons sa guérison avant de partir au-delà de la frontière »).
On y trouve, dans une sorte de phrase subordonnée introduite par « OM … TE », signifiant « POUR » devant les verbes, la forme verbale « OVER … trekken », provenant de l’infinitif « OVERtrekken », dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « TREKKEN ».
La particule séparable « OVER ») s’intercale entre le « OM » et le « TE », placé toujours juste devant l’infinitif (« TREKKEN »).
Le complément (« de grens ») s’intercale aussi entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « TREKKEN ».
On aurait aussi pu avoir la variante suivante où « OVER » (devenu une « particule séparable ») est une PREPOSITION : « Wij wachten op zijn genezing om OVER de grens te (ver)trekken ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 17B - Rajouté le 14/06/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wij (ver)trekken over de grens waar het jagen (is) toegestaan (toegelaten) is » (« Nous partons au-delà de la frontière où la chasse est autorisée »).
On y trouve notamment, dans la deuxième phrase, subordonnée (introduite par « WAAR »), la forme verbale « « TOEgestaan », V.T.T. (ou participe passé) provenant de l’infinitif « TOEstaan », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « STAAN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « TOEstaan » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TOE » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « toeGEstaan ». Il est à noter que la particule « TOE » provient de la préposition « TOT ».
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« WEL »), à la fin de la phrase.
On aurait pu avoir cette phrase subordonnée avec utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN », avec une nuance légèrement différente à la voix passive : « Wij (ver)trekken over de grens waar het jagen wordt toegestaan ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 17A - Rajouté le 13/06/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wees gerust ! Hij (Tim) is ongedeerd » (« Soyez tranquillisé ! Il est indemne »).
On y trouve notamment la forme verbale « WEES », impératif provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Nous le soulignons parce que son participe passé est « geWEESt ».
On y trouve également la forme verbale « gerust », participe passé provenant de l’infinitif « RUSTEN », considéré comme « régulier ».
Comme la grande majorité des verbes néerlandais, le verbe « RUSTEN » n’est pas affecté par les « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « T », on trouvera de toutes façons le « T » minoritaire comme terminaison du participe passé.
On y trouve aussi « ONgedeerd », « adjectif » contraire du participe passé « gedeerd », provenant de l’infinitif « DEREN ». Cet exemple est un bon échantillon de l’évolution de certains mots en langue néerlandaise.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 16E - Rajouté le 12/06/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « (Op) het volgende ogenblik zijn (worden) ze (Sam en Mgono) door de jagers (Kawamba’s) omsingeld » (« L’instant suivant, ils sont encerclés par les guerriers »).
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« het volgende ogenblik »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « ZE ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « zijn » mais cela aurait pu être aussi « worden ») et passant donc derrière lui.
On aurait donc pu avoir cette phrase avec utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN », avec une nuance légèrement différente à la voix passive.
On y trouve la forme verbale « OMsingeld », participe passé provenant de l’infinitif « OMsingelen », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « OMsingelen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela N’entraîne PAS en néerlandais une séparation de la particule « OM » de son infinitif proprement dit, aucune particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) NE s’intercalant entre eux.
Le participe passé « OMsingeld » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« door de jagers »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 16D - Rajouté le 11/06/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maar hij (Mgono) komt opeens vanuit de struiken te voorschijn » (« Mais il jaillit tout à coup des buissons »).
Notez l’expression « te voorschijn KOMEN », qui réagit comme un verbe dit à « particule séparable », « te voorschijn » faisant l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« opeens » et « vanuit de struiken »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 16C - Rajouté le 10/06/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Sam) wordt dadelijk door de stroper besprongen » (« Il est immédiatement agressé par le braconnier »).
On y trouve notamment la forme verbale « BESPRONGEN », participe passé provenant de l’infinitif « BESPRINGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts », lui-même construit sur le verbe « SPRINGEN ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le pluriel du prétérit ou O.V.T.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « BE- », on ne rajoutera pas le préfixe « GE- » (commun à la majorité d’entre eux) à son participe passé.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
Ce participe passé « BESPRONGEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« door de stroper »), à la fin de la phrase.
La phrase aurait pu être aussi formulée de la façon suivante : « De stroper heeft op hem dadelijk GEsprongen ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 16B - Rajouté le 09/06/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « U (bwana Tembo) moest (toch) weten dat jagers voorzorgen nemen / maatregelen treffen » (« Vous deviez / auriez dû savoir que les chasseurs prennent des précautions / des mesures »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « MOEST », O.V.T. (ou prétérit), provenant du verbe « MOETEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
N’oublions pas que « MOETEN », comme les autres « auxiliaires de mode » (« KUNNEN », « MOGEN » ou « WILLEN ») exige le REJET, derrière le complément éventuel (« toch »), de l’autre verbe à l’infinitif (ici « WETEN ») à la fin de la phrase (... principale).
On y trouve également, dans la deuxième phrase, subordonnée (introduite par « DAT »), la forme verbale « NEMEN », qui ne se trouve plus à côté de son sujet (« jagers ») et fait l’objet d’un REJET à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 16A - Rajouté le 08/06/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De jager (Kawamba) is bij het stropen betrapt » (« Le chasseur est attrapé en train de dépouiller = braconner »).
On y trouve notamment la forme verbale « BETRAPT », participe passé provenant de l’infinitif « BETRAPPEN », lui-même construit sur le verbe « TRAPPEN ».
Ce verbe « TRAPPEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « P », on trouvera au participe passé une terminaison « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux. (Le hasard fait aussi que le participe passé est identique à la 2ème ou 3ème personne du présent).
Ce participe passé « BETRAPT » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« bij het stropen »), à la fin de la phrase.
Rappelons aussi qu’il est possible, notamment en langue néerlandaise, de construire un nom commun directement à partir d’un infinitif.
Les apprenants ne disposant pas encore d’un large éventail de vocabulaire, peuvent transformer un infinitif (« STROPEN ») en un nom commun NEUTRE : « HET stropen ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 15D - Rajouté le 07/06/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « (Plaats jouw blote) Handen omhoog, kerel ! » (« Les mains en l’air, bonhomme ! »).
On y trouve « OMHOOG », qui aurait pu provenir d’un infinitif « OMHOOGplaatsen » (dit « à particule séparable », construit (à l’image de l’infinitif « OMHOOGgaan ») sur le verbe « plaatsen ».
Quand « OMHOOplaatsen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OMHOOG » de son infinitif proprement dit et son REJET, derrière le complément éventuel (« blote », adjectif accordé venant de « bloot »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 15 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 15C - Rajouté le 06/06/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We weten niet wat die gieren (daar) aanlokt » (« Nous ne savons pas ce qui attire ces vautours »).
On y trouve notamment, dans la deuxième phrase, subordonnée (introduite par « WAT »), la forme verbale « AANlokken », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « LOKKEN ».
Quand « AANlokken » est conjugué, cela entraîne normalement en néerlandais (mais PAS dans une phrase subordonnée) une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit et elle fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« daar »), à la fin de la phrase, comme dans la variante suivante : « Een dood dier lokt die gieren (daar) AAN ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 15 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 15B - Rajouté le 05/06/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Daarom verlaten we het land voordat de boswachters ons aanhouden » (« C’est pourquoi nous quittons le pays avant que les gardes forestiers ne nous arrêtent »).
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Daarom »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « WE ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « verlaten ») et passant donc derrière lui.
On y trouve également, dans la deuxième phrase, subordonnée (introduite par « VOORDAT »), la forme verbale « AANhouden », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « HOUDEN ».
Quand « AANhouden » est conjugué, cela entraîne normalement en néerlandais (mais PAS dans une phrase subordonnée) une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit et elle fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« ONS »), à la fin de la phrase, comme dans la variante suivante : « De boswachters houden ons AAN ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 15 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 15A - Rajouté le 04/06/2016

Description : La double (ou triple) phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We moeten wachten tot (totdat) hij genezen is om (van hier) te vertrekken » (« Nous devons attendre jusqu’à ce qu’il soit guéri pour partir »).
On y trouve notamment, dans la deuxième phrase, subordonnée (introduite par « VOORDAT »), la forme verbale « GENEZEN », participe passé provenant de l’infinitif « GENEZEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence déjà par le préfixe « GE- », on ne rajoutera pas une deuxième fois le préfixe « GE- » (commun à la majorité d’entre eux) à son participe passé. Cela contribue au fait que le participe passé et l’infinitif sont identiques.
On y a aussi, dans une sorte de phrase subordonnée introduite par « OM … TE », signifiant « POUR » devant les verbes. Le complément éventuel (« van hier ») aurait été intercalé entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « VERTREKKEN ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 15 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 14I - Rajouté le 02/06/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Klein wild wordt op de slag gedood » (« Du petit gibier est tué sur le coup »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEDOOD », participe passé provenant de l’infinitif « DODEN ».
Ce verbe « DODEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « D », on trouvera le « D » majoritaire mais qui ne sera pas doublé au participe passé puisque déjà présent dans le radical du verbe ou première personne de l’indicatif présent.
Le participe passé « GEDOOD » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément («op de slag »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 14 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 14H - Rajouté le 01/06/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Aan de snelheid waarmee het (gif) langs de bloedstraal stijgt, stelt de jager de kracht vast » (« A la vitesse à laquelle il = le poison monte le long du jet de sang, le chasseur détermine la force »).
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (la phrase subordonnée « Aan de snelheid waarmee het langs de bloedstraal stijgt » joue ici ce rôle), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de jager ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « stelt ») et passant donc derrière lui.
On y trouve la forme verbale « stelt … VAST », provenant de l’infinitif « VASTSTELLEN » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « STELLEN ».
Quand « vastSTELLEN » est conjugué, comme au présent, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « VAST » de sa forme verbale proprement dite, la particule faisant l’objet d’un REJET, derrière le complément (« de kracht ») à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 14 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 14G - Rajouté le 31/05/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het gif wordt (van de arm) afgeveegd voor(dat) het de wonde bereikt » (« Le poison est essuyé avant qu’il atteigne la blessure »).
On y trouve notamment, dans la première phrase, la forme verbale « AFgeveegd », provenant de l’infinitif « AFvegen », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « VEGEN ».
Ce verbe « VEGEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « G », on trouvera une terminaison « -D » (majoritaire pour les participes passés réguliers).
Quand le verbe « AFvegen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « afGEveegd ».
Il y a REJET du participe passé « afGEveegd », derrière le complément éventuel (« van de arm »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
On y trouve également, dans la deuxième phrase, subordonnée (introduite par « VOOR » pour « VOORDAT ») la forme verbale « bereikt », qui ne se trouve plus juste à côté de son sujet. On aurait pu avoir, dans un autre contexte, la phrase suivante : « Het (gif) bereikt de wonde ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 14 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 14F - Rajouté le 30/05/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Onmiddellijk wordt het bloed zwart en (het bloed) klimt (langs de arm) omhoog » (« Immédiatement le sang devient noir et remonte »).
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Onmiddellijk »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « het bloed ») de la première phrase inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « wordt ») et passant donc derrière lui.
On y trouve également, dans la deuxième phrase, la forme verbale « klimt … OMHOOG », qui aurait pu provenir d’un infinitif « OMHOOGklimmen » (dit « à particule séparable », construit (à l’image de l’infinitif « OMHOOGgaan ») sur le verbe « klimmen ».
Quand « OMHOOGklimmen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OMHOOG » de son infinitif proprement dit et son REJET, derrière le complément éventuel (« langs de arm »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 14 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 14E - Rajouté le 29/05/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De giftige pijl wordt ter hoogte van de pols in het bloedstraaltje gedoopt » (« La flèche empoisonnée est plongée dans le petit jet de sang à hauteur du poignet »).
On y trouve notamment la forme verbale « gedoopt », participe passé provenant du verbe « DOPEN ».
Ce verbe « DOPEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « P », on trouvera une terminaison « -T » (au lieu du « -D » majoritaire pour les participes passés réguliers) : « GE » + « DOOP » + « T ».
Il y a REJET du participe passé « gedoopt », derrière les compléments (« ter hoogte van de pols » et « in het bloedstraaltje »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 14 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 14D - Rajouté le 28/05/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De kracht van het gif wordt OP eigenaardige wijze getest » (« La force du poison est testée de façon particulière »).
On y trouve notamment la forme verbale « getest », participe passé provenant du verbe « TESTEN ».
Ce verbe « TESTEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant déjà par la consonne « T », on trouvera forcément une terminaison « -T » (au lieu du « -D » majoritaire pour les participes passés réguliers)
Il y a REJET du participe passé « getest », derrière le complément (« op eigenaardige wijze »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 14 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 14C - Rajouté le 27/05/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Daaraan worden giftige spinnen, slangengif en wortels van giftige planten toegevoegd » (« A cela sont ajoutés des araignées venimeuses, du venin de serpents et des racines de plantes vénéneuses »).
On y trouve notamment la forme verbale « TOEgevoegd », participe passé provenant du verbe « TOEvoegen », construit sur l’infinitif « VOEGEN ».
Ce verbe « VOEGEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « G », on trouvera une terminaison « -D » (majoritaire pour les participes passés réguliers).
Le verbe « TOEvoegen » est dit « à particule séparable ».
Quand il est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TOE » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « toeGEvoegd ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Daaraan »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « giftige spinnen, slangengif en wortels van giftige planten ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « worden ») et passant donc derrière lui.
Si la phrase n’avait pas commencé par le complément (« Daaraan »), il y aurait eu REJET du participe passé « toeGEvoegd », derrière ce complément (« daaraan »), à la fin de la phrase : « Giftige spinnen, slangengif en wortels van giftige planten worden daaraan toegevoegd ».
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 14 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 14A - Rajouté le 26/05/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Tim) vertelde mij dat ze (bwana tembo en Mgono de Masaï) ons zoeken » (« Il me racontait qu’ils nous cherchent »).
On y trouve notamment la forme verbale « vertelde », O.V.T. (prétérit ») provenant de l’infinitif « VERTELLEN », verbe construit sur « TELLEN ».
Comme la grande majorité des verbes néerlandais, le verbe « VERSTELLEN » n’est pas affecté par les « temps primitifs » ; son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « L », on trouve la terminaison « -DE » majoritaire.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 14 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 14B - Rajouté le 25/05/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij maakt (ver)gif voor de pijlen van onze jagers klaar » (« Il fabrique du poison pour les flèches de nos chasseurs »).
On y trouve notamment la forme verbale « maakt … KLAAR », provenant de l’infinitif « KLAARmaken » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « MAKEN ».
Quand « KLAARmaken » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « KLAAR » (ancien adjectif) de son infinitif proprement dit, et son REJET, derrière les compléments (« vergif » et « voor de pijlen van onze jagers »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 14 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 13E - Rajouté le 24/05/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De jager neemt hem naar een goed verscholen kamp mee » (« Le chasseur le prend avec lui vers un camp bien caché »).
On y trouve notamment la forme verbale « neemt … MEE », provenant de l’infinitif « meeNEMEN », dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « NEMEN ».
La particule séparable « MEE » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments éventuels (« hem » et « naar een goed verscholen kamp »), à la fin de la phrase.
Rappelons que la particule « MEE » provient de la préposition « MET ».
On y trouve également la forme verbale « VERSCHOLEN », participe passé (utilisé comme adjectif épithète) provenant de l’infinitif « VERSCHUILEN », lui-même construit sur le verbe « SCHUILEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 13 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 13D - Rajouté le 23/05/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wat was ik bang ! » (« Ce que j’avais peur ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 13 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 13C - Rajouté le 22/05/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Verstijfd van angst hoort hij de olifant aankomen » (« Pétrifié par la peur, il entend l’éléphant arriver »).
On y trouve notamment la forme verbale « verstijfd », participe passé (utilisé comme adjectif « attribut ») provenant de l’infinitif « VERSTIJVEN », verbe en « IJ », exceptionnellement « régulier ».
N’oublions pas que si la consonne « V » n’est plus suivie de la voyelle « E », ce « V » se transforme en « F ».
Comme la grande majorité des verbes néerlandais, le verbe « VERSTIJVEN » n’est donc pas affecté par les « temps primitifs » ; son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « F », on trouvera le « D » majoritaire.
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Verstijfd van angst »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « HIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « hoort ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 13 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 13B - Rajouté le 21/05/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De knaap struikelt en rolt een berm af » (« Le garçonnet trébuche et dévale un talus »).
On y trouve notamment, dans la deuxième phrase, la forme verbale « rolt … AF », provenant de l’infinitif « AFrollen », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « ROLLEN ».
Quand « AFrollen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, la particule « AF » étant affectée par un REJET, derrière le complément (« een berm »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 13 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 13A - Rajouté le 20/05/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wanneer de babyolifant terug naar Tim wil (gaan), wordt hij vastberaden bij de staart gegrepen » (« Lorsque le bébé éléphant veut retourner vers Tim, il est saisi par la queue de façon décidée = avec fermeté »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée (introduite par « WANNEER »), la forme verbale « terug … gaan (l’infinitif étant sous-entendu) », provenant de l’infinitif « TERUGgaan » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « GAAN ».
Quand « TERUGgaan » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERUG » de son infinitif proprement dit, et son REJET, derrière le complément (« naar Tim »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas non plus que les verbes comme « WILLEN » que l’on appelle « auxiliaire de MODE » (les 3 autres étant « KUNNEN », « MOETEN » et « MOGEN ») exigent un REJET de l’infinitif, derrière le complément (« naar Tim »), à la fin de la phrase, ce qui n’est pas évident dans une phrase subordonnée où le verbe « wil » est séparé de son sujet « de babyolifant » ; c’est plus clair dans la variante suivante : « De babyolifant wil naar Tim terug(gaan) ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (la phrase subordonnée « Wanneer de babyolifant terug naar Tim wil gaan » joue ici ce rôle), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « HIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « wordt ») et passant donc derrière lui.
On y trouve, dans cette phrase principale, la forme verbale « GEGREPEN », participe passé provenant de l’infinitif « GRIJPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Cette forme verbale « GEGREPEN » est construite sur le PLURIEL du prétérit. Pour complément d’informations, consultez notamment notre tableau de synthèse « Temps primitifs » dans la partie « GRAMMATICA » de ce site , où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Ce participe passé « GEGREPEN » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« vastberaden » et « bij de staart »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 13 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 12I - Rajouté le 19/05/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : «’s morgens wordt hij (Tim) door een vrolijk trompetten gewekt wanneer moeder en baby elkaar weervinden (terugvinden) » (« Le matin, il est éveillé par une trompette joyeuse quand mère et bébé se retrouvent »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « gewekt », provenant de l’infinitif « WEKKEN ».
Ce verbe « WEKKEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera une terminaison « T » (au lieu du « D » majoritaire) comme terminaison du participe passé.
Le participe passé « gewekt » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« door een vrolijk trompetten»), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« ‘s morgens »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « hij ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « wordt ») et passant donc derrière lui.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
On y trouve également, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « WEERvinden », construite sur le verbe « WEGrennen » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « VINDEN ».
Quand « WEERvinden » est conjugué, cela entraîne normalement (mais PAS dans une phrase subordonnée) en néerlandais une séparation de la particule « WEER » (pour « TERUG ») de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET, derrière le « complément » (« elkaar ») à la fin de la phrase, comme dans la variante suivante : « Moeder en baby vinden elkaar WEER ».
Rappelons que, en langue néerlandaise, le pronom réciproque de la troisième personne est « ELKAAR » (« Moeder en baby wassen elkaar » = ils se lavent l’un l’autre), à ne pas confondre avec le pronom réfléchi de la troisième personne qui est « ZICH » (« Moeder en baby wassen zich » = chacun des deux se lave lui-même).
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 12 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 12H - Rajouté le 18/05/2016

Description : La triple phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij herinnert zich nog best hoe zij met haar slurf tegen een boom sloeg en (hoe zij) zo de kleine lastpost kwijtraakte » (« Elle se souvient encore bien comment elle frappa avec sa trompe contre un arbre et ainsi se débarrassa du petit intrus »).
On y trouve notamment, dans la première phrase subordonnée (introduite par « HOE »), la forme verbale « SLOEG » (O.V.T. ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « SLAAN »), qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve également, dans la deuxième phrase subordonnée (théoriquement aussi introduite par « HOE », sous-entendu), la forme verbale « KWIJTraakte », provenant de l’infinitif « KWIJTraken », verbe, comme le voit « à particule séparable », lui-même construit sur « RAKEN ».
Ce verbe « RAKEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera une terminaison « -TE » (au lieu du « -DE » majoritaire) au prétérit ou O.T.T. « raak » + « TE » => « raakTE ».
On aurait pu avoir la variante suivante où la particule « KWIJT », séparée de son infinitif « RAKEN » proprement dit, aurait plus nettement fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« zo » et « de kleine lastpost »), à la fin de la phrase : « Zij raakte zo (= met het slagen van haar slurf tegen een boom) de kleine lastpost KWIJT ».
Rappelons que, dans une phrase subordonnée en langue néerlandaise, la forme verbale (« SLOEG » ou « KWIJTraakte ») ne se trouve plus à côté de son sujet et fait l’objet d’un REJET à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 12 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 12G - Rajouté le 17/05/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij herinnert zich nog best hoe zij bedreigd met verstikking in paniek wegrende » (« Elle se souvient encore bien comment, menacée d’asphyxie, elle s’encourait => s’était enfuie, en proie à la panique »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée (introduite par « HOE »), la forme verbale « BEDREIGD », participe passé (utilisé ici comme adjectif) provenant de l’infinitif « BEDREIGEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « BEDREIGEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) ; il ne fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « G », on trouvera le « D » majoritaire.
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
On y trouve également, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « WEGrende », O.V.T. (ou prétérit) construite sur le verbe « WEGrennen » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « RENNEN ».
Quand « WEGrennen » est conjugué, cela entraîne normalement (mais PAS dans une phrase subordonnée) en néerlandais une séparation de la particule « WEG » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET, derrière le complément (« in paniek ») à la fin de la phrase, comme dans la variante suivante : « Zij rende in paniek WEG ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 12 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 12F - Rajouté le 16/05/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij herinnert zich nog best hoe zij in haar slurf samen met het stof een woelmuis opzoog » (« Elle se souvient encore bien comment elle aspira dans sa trompe un mulot en même temps que la poussière »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée (introduite par « HOE »), la forme verbale « OPzoog », O.V.T. (prétérit) provenant de l’infinitif « OPzuigen », lui-même construit sur le verbe « ZUIGEN » qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que, dans une phrase subordonnée en langue néerlandaise, la forme verbale ne se trouve plus à côté de son sujet et fait l’objet d’un REJET à la fin de la phrase.
Quand « OPzuigen » est conjugué, cela entraîne normalement (mais PAS dans une phrase subordonnée) en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« in haar slurf », « samen met het stof » et « een woelmuis ») à la fin de la phrase, comme dans la variante suivante : « Zij zoog in haar slurf samen met het stof een woelmuis OP ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 12 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 12E - Rajouté le 15/05/2016

Description : La triple phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij herinnert zich nog best hoe zij ver van de kudde de baby leerde hoe hij met een stofbad de teken en insekten kwijt kon raken » (« Elle se souvient encore bien comment, loin du troupeau, elle apprenait au bébé comment se débarrasser avec un bain de poussière des tiques et insectes »).
On y trouve notamment, dans la première phrase subordonnée (introduite par « HOE »), la forme verbale « leerDE », O.V.T. (prétérit) provenant de l’infinitif « LEREN ».
Ce verbe « LEREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et ne fait pas partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « -DE » majoritaire comme terminaison du prétérit.
On y trouve notamment, dans la deuxième phrase subordonnée (également introduite par « HOE »), la forme verbale « KON », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif (et « AUXILIAIRE de MODE de la capacité) « KUNNEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que, dans une phrase subordonnée en langue néerlandaise, la forme verbale (« LEERDE » ou « KON ») ne se trouve plus à côté de son sujet et fait l’objet d’un REJET à la fin de la phrase. « KUNNEN » exige le REJET du verbe à l’infinitif encore plus loin à la fin de la phrase.
On y trouve encore la forme verbale « KWIJT … raken », provenant de l’infinitif « KWIJTraken », verbe, comme le voit « à particule séparable », lui-même construit sur « RAKEN ». En effet, on aurait pu avoir la variante suivante où la particule « KWIJT », séparée de son infinitif « RAKEN » proprement dit, aurait plus nettement fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« de teken en insekten » et « met een stofbad »), à la fin de la phrase : « Hij raakte de teken en insekten met een stofbad KWIJT ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 12 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 12D - Rajouté le 14/05/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Verder in de vlakte is een eveneens wanhopige moeder op zoek naar haar verloren kind » (« Plus loin dans la plaine, une mère tout aussi désespérée est à la recherche de son enfant perdu »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERLOREN », participe passé (utilisé ici comme adjectif épithète) construit sur le verbe « VERLIEZEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Il est à noter que ce participe passé se construit donc sur le PLURIEL du prétérit et est même identique. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Verder in de vlakte »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « een eveneens wanhopige moeder ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « IS ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 12 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 12C - Rajouté le 13/05/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ver vandaar (van daar) is hij (Tim) met zijn nieuwe vriend hopeloos verdwaald » (« Loin de là, il est sans espoir = désespérément égaré avec son nouvel ami »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERdwaald », participe passé provenant de l’infinitif « VERdwalen ».
Ce verbe « VERdwalen » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « L », on trouvera comme terminaison du participe passé le « D » majoritaire.
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Le participe passé « VERdwaald » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« met zijn nieuwe vriend »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Ver vandaar »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « hij ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « IS ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 12 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 12B - Rajouté le 12/05/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij was dus weg voor(dat) de olifant aanviel » (« II était donc parti avant que l’éléphant attaquât »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve également, dans la phrase subordonnée (introduite par « voor » pour » voordat »), la forme verbale « AANviel », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « AANvallen » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « VALLEN », qui fait aussi l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « AANvallen » est conjugué, cela entraîne normalement en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit et elle fait alors l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« het kamp »), à la fin de la phrase, comme dans la variante suivante : De olifant viel het kamp AAN ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 12 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 12A - Rajouté le 11/05/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Toen kwam de olifant (Thusk) » (« Alors vint l’éléphant »).
On y trouve notamment la forme verbale « KWAM », O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « KOMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (ici « Toen »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de olifant ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « kwam ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 12 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 11G - Rajouté le 10/05/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Breng hem terug ! » (« Apporte-le de retour = Ramène-le ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « breng … TERUG », construite sur le verbe « TERUGbrengen » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « BRENGEN ».
Quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERUG » de son infinitif proprement dit et le REJET de la particule, derrière le complément (« HEM » »), à la fin de la phrase.
Rappelons que « TERUG » rend une notion de retour ou de répétition.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 11F - Rajouté le 09/05/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij (Ellen) is in de boom gevlucht » (« Elle a fui = s’est réfugiée dans l’arbre »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEVLUCHT », participe passé provenant de l’infinitif « VLUCHTEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « VLUCHTEN » est donc considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant (déjà) par la consonne « T », on trouvera donc (de toutes façons) un « T » (au lieu du « D » majoritaire) comme terminaison du participe passé.
Rappelons que l’auxiliaire des temps composés devient « ZIJN » au lieu de « hebben » quand il y a une notion de « MOUVEMENT ».
Le participe passé « GEVLUCHT » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« in de boom »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 11E - Rajouté le 08/05/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze (Sam en Mgono) komen na een vruchteloze speurtocht terug » (« Ils reviennent après une quête qui n’a pas porté ses fruits »).
On y trouve notamment la forme verbale « komen … TERUG », construite sur le verbe « TERUGkomen » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « KOMEN ».
Quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERUG » de son infinitif proprement dit et le REJET de la particule, derrière le complément « na een vruchteloze speurtocht »), à la fin de la phrase.
Rappelons que « TERUG » rend une notion de retour ou de répétition.
En langue néerlandaise, un mot peut parfois remplacer une phrase (« nadat ze zonder vruchten hebben gezocht ») : le suffixe « -LOOS » à la fin d’un adjectif équivalant à la préposition française « SANS ». « Vruchteloos » signifie littéralement « sans fruits ».
Faites, par ailleurs, attention à la modification orthographique de la terminaison de l’adjectif quand il s’accorde (rajout généralement d’un « -E » final) : 1°) un « -S » , suivi d’un « –E » devient « « -Z » ; 2°) dans la mesure où on rajoute ce même « E » à une syllabe contenant une double voyelle (ici « O ») derrière une consonne finale unique (ici « S »), cela entraîne la disparition d’une de ces deux voyelles identiques (« O ») devant cette même consonne => « vruchteLOOS » (avec « S » se transformant en « Z ») - « O » + « E » = « vruchtelOzE ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 11D - Rajouté le 07/05/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Daarna loopt de olifant (Thusk) weg » (« Ensuite, l’éléphant s’encourt = détale »).
On y trouve notamment la forme verbale « loopt … WEG », impératif provenant de l’infinitif « WEGlopen » (verbe dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « WERPEN ».
Quand le verbe « WEGlopen » est conjugué, cette « particule séparable » « WEG » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« van het kamp »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (ici « Daarna »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de olifant ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « loopt ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 11C - Rajouté le 06/05/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij (Ellen) wordt door een paal aan het hoofd geraakt » (« Elle est touché à la tête par un poteau = rondin »).
On y trouve notamment la forme verbale « geraakt », participe passé construit sur le verbe « RAKEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le verbe « RAKEN » est donc considéré comme « régulier » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera comme terminaison du participe passé un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Le participe passé « geraakt » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« door een paal » et (« aan het hoofd »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 11B - Rajouté le 05/05/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De olifant (Thusk) slaagt erin met zijn slurf een deel van het plateau te vernielen » (« L’éléphant réussit à détruire une partie de la plate-forme avec sa trompe »).
On y trouve l’expression « ERIN SLAGEN » équivalant, en mauvais français, à « réussir DE », et qui engendre un « TE » quand il précède un infinitif comme, ici, « VERNIELEN».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 11A - Rajouté le 04/05/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Had ik je maar nooit hier gebracht ! » (« Ah si je ne t’avais jamais amené ici => j’aurais mieux fait de ne jamais t’amener ici »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEBRACHT », participe passé provenant de l’infinitif « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEBRACHT » est construit sur le SINGULIER du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GEBRACHT » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« maar », « nooit » et « hier »), à la fin de la phrase.
Signalons que la tournure de la phrase n’est pas courante et exprime un souhait. On aurait pu avoir la variante suivante avec un double infinitif : « Ik had je hier beter nooit moeten brengen ! »
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 10C - Rajouté le 03/05/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het te lichte projectiel ketst op de schedel van Thusk (de olifant) af » (« Le projectile trop léger ricoche sur la boîte crânienne de l’éléphant »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « ketst … AF », provenant de l’infinitif « AFketsen », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « KETSEN ».
La « particule séparable » « AF » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« op de schedel » et « van de olifant »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 10 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 10B - Rajouté le 02/05/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De olifant (Thusk) die het kamp binnendringt » (« L’éléphant qui pénètre dans le camp »).
« BINNENdringen » est un verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « DRINGEN ».
Si nous n’avions pas été dans une phrase subordonnée relative (introduite par « DIE »), « BINNENdringen » aurait été conjugué « autrement » : cela aurait entraîné une séparation de la particule « BINNEN » de son infinitif proprement dit et elle aurait fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« het kamp »), à la fin de la phrase, comme dans la variante suivante : « De olifant dringt het kamp BINNEN ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 10 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 10A - Rajouté le 01/05/2016

Description : La triple phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wanneer zij (Ellen) merkt dat hij (Tim) (is) (NU) verdwenen is, raakt zij in paniek » (« Quand elle remarque qu’il a disparu, elle sombre dans la panique »).
On y trouve notamment la forme verbale « verdwenen », participe passé provenant de l’infinitif « verdwijnen », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé « verdwenen » (comme pour tous les verbes en « IJ ») se construit sur le pluriel du prétérit ou O.V.T. et, dans ce cas-ci, est même identique. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons en effet que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Le participe passé « verdwenen » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« nu »), à la fin de la phrase.
Notons l’utilisation de l’auxiliaire « ZIJN » au lieu de « hebben ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (la double phrase subordonnée « Wanneer zij merkt dat hij verdwenen is »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « ZIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « raakt ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 10 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 09F - Rajouté le 30/04/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Misschien ben je ook maar verdwaald » (« Peut-être es-tu aussi seulement égaré »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERdwaald », participe passé provenant de l’infinitif « VERdwalen ».
Ce verbe « VERdalen » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « L », on trouvera comme terminaison du participe passé le « D » majoritaire.
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Le participe passé « VERdwaald » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« ook » et « maar »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Misschien »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « JE ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « BEN ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 09E - Rajouté le 29/04/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Bevend voelt hij (Tim) de slurf hem besnuffelen » (« Tremblant, il sent la trompe le renifler / flairer »).
Rappelons que le participe présent en langue néerlandaise se construit en ajoutant simplement un « D » à l’infinitif : « BEVEN » => « bevenD ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Bevend »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « HIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « voelt ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 09D - Rajouté le 28/04/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De olifant draaft achter de jongen aan » (« L’éléphant galope derrière le garçon »).
On y trouve notamment la forme verbale « draaft … AAN », provenant de l’infinitif « aanDRAVEN », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « DRAVEN ».
Quand « aanDRAVEN » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « AAN » étant affectée par un REJET, derrière le complément (« achter de jongen»), à la fin de la phrase.
Afin de comprendre pourquoi l’infinitif « DRAVEN » (avec 1 « A ») donne un singulier de l’indicatif présent (O.T.T.) avec 2 (deux) « A » mais surtout pourquoi le « V » devient un « F », référez-vous à notre synthèse du « radical du verbe » néerlandais (points 2 et 3) :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=radVerbes
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 09C - Rajouté le 27/04/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dol van angst rent hij (Tim) (voor de olifant) weg » (« Fou de peur, il s’enfuit en courant »).
On y trouve notamment la forme verbale « rent … WEG », construite sur le verbe « WEGrennen » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « RENNEN ».
Quand « WEGrennen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « WEG » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« voor de olifant ») à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Dol van angst »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « HIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « rent ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 09B - Rajouté le 26/04/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het mangoestje (de kleine mangoest) heeft de vrijheid verkozen » (« La petite mangouste a choisi plutôt / de préférence => préféré la liberté »).
On y trouve notamment la forme verbale « verkozen », participe passé provenant de l’infinitif « verKIEZEN », lui-même construit sur le verbe « KIEZEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit et, dans ce cas, est identique. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Ce participe passé « VERKOZEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« de vrijheid »), à la fin de la phrase.
Par ailleurs, si l’on souhaite transformer un nom commun néerlandais en diminutif (par exemple, parce que l’on ne maîtrise pas l’accord de l’adjectif), on y rajoute le suffixe « -JE » mais ce nom commun / diminutif devient alors du genre NEUTRE (= un « HET-woord ») : « de kleine mangoest » => « HET mangoestJE ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 09A - Rajouté le 25/04/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een opgewonden jongen (Tim) achtervolgt het diertje » (« Un garçon excité poursuit le petit animal »).
On y trouve notamment la forme verbale (utilisée ici comme adjectif épithète) « OPgewonden », V.T.T. (ou participe passé) provenant de l’infinitif « opWINDEN », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « WINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « OPwinden » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEwonden ».
Le verbe « ACHTERvolgen », construit sur l’infinitif « VOLGEN » N’est PAS « à particule séparable » puisque « ACHTER » reste collée à la forme verbale (au lieu de faire l’objet d’un rejet à la fin de la phrase).
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 GEVAARLIJKE OPDRACHT 08B - Rajouté le 24/04/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het spoor van de dief volgend, verwijderen ze zich ver van het kamp » (« En suivant la piste du voleur, ils s’en vont loin => s’éloignent fort du camp »).
Rappelons qu’un participe présent en langue néerlandaise se construit en ajoutant simplement un « D » à l’infinitif : « VOLGEN » => « volgenD ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Het spoor van de dief volgend »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « ZE ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « verwijderen ») et passant donc derrière lui.
Notez l’ordre des mots différent d’une langue à l’autre, le participe présent en langue néerlandaise TERMINANT le groupe complément.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 8 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 VERBODEN JACHT 08A - Rajouté le 23/04/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Mgono) heeft iets ontdekt » (« Il a découvert quelque chose »).
On y trouve notamment la forme verbale « ONTDEKT », participé passé provenant de l’infinitif « ONTDEKKEN », lui-même construit sur le verbe « DEKKEN ».
Ce verbe « ONTDEKKEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « ONT- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Signalons dès lors que, si « ONTDEKT » est ici au V.T.T. (ou passé composé), il aurait été écrit de la même façon à l’O.T.T. (ou indicatif présent).
Le participe passé « ONTdekt » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« IETS »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 8 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 VERBODEN JACHT 07F - Rajouté le 22/04/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een verloren spoor is een uitdaging voor een spoorzoeker » (« Une trace / piste perdue est un défi pour un chercheur de trace = pisteur »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « VERLOREN », participe passé (utilisé ici comme adjectif épithète) construit sur le verbe « VERLIEZEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit et, dans ce cas, est identique. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 7 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 VERBODEN JACHT 07E - Rajouté le 21/04/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « In het kamp is elk spoor grondig uitgewist » (« Dans le camp, chaque trace est minutieusement effacée »).
On y trouve notamment, la forme verbale « UITgewist », participe passé construit sur le verbe « UITwissen » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « WISSEN ».
Ce verbe « WISSEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « S », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Quand « UITwissen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « uitGEwist ».
Le participe passé « uitGEwist » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« elk spoor» et « grondig »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« In het kamp »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « elk spoor ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « IS ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 7 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 VERBODEN JACHT 07D - Rajouté le 20/04/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het is een ervaren jager geweest » (« Cela a été un chasseur expérimenté »).
On y trouve, notamment, la forme verbale « erVAREN », participe passé (utilisé ici comme adjectif épithète) provenant de l’infinitif « erVAREN », lui-même construit sur « VAREN » qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « ER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Il est à noter que le participe passé de « VAREN » se construit sur l’infinitif et, dans ce cas, est donc identique. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
On y trouve également la forme verbale « GEWEEST », participe passé provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et l’objet d’un REJET, derrière le « complément » / attribut, (« een ervaren jager »), à la fin de la phrase..
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 7 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 VERBODEN JACHT 07C - Rajouté le 19/04/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Iemand heeft een zak zout gestolen » (« Quelqu’un a volé un sac de sel »).
On y trouve la forme verbale « GESTOLEN », participe passé provenant de l’infinitif « STELEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce participe passé « GESTOLEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« een zak zout »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 7 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 VERBODEN JACHT 07B - Rajouté le 18/04/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Er werd zout gestolen » (« Il fut volé du sel => on a volé du sel / du sel a été volé »).
On y trouve la forme verbale « GESTOLEN », participe passé provenant de l’infinitif « STELEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce participe passé « GESTOLEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« ZOUT »), à la fin de la phrase.
On y trouve la tournure de phrase comme « IL Y A » (en principe « ER IS ») où, en langue néerlandais, on peut trouver n’importe quel verbe mais rarement « HEBBEN ».
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 7 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 VERBODEN JACHT 07A - Rajouté le 17/04/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Als het nodig blijkt hem (de olifant) neer te schieten zullen we hem (de olifant) ontleden » (« S’il apparaît utile de l’abattre, nous le disséquerons »).
On y trouve notamment la forme verbale « NEER … schieten » provenant de l’infinitif « NEERschieten » (dit à « particule séparable »), construit sur le verbe « SCHIETEN ».
La « particule séparable » « NEER » est ici séparée de son infinitif proprement dit (« SCHIETEN ») parce que « BLIJKEN » engendre un « TE » se plaçant juste devant cet infinitif.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (la phrase subordonnée « Als het nodig blijkt hem neer te schieten» joue ici ce rôle), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « WE ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « zullen ») et passant donc derrière lui.
N’oublions pas non plus que « ZULLEN », « auxiliaire du FUTUR », exige un REJET de l’infinitif (« ONTLEDEN »), derrière le complément (« HEM »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 7 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 VERBODEN JACHT 06B - Rajouté le 16/04/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De norse olifant gaat het water in om zijn bad te nemen » (« L’éléphant irrité va dans l’eau pour prendre son bain »).
On y trouve notamment la forme verbale « gaat … IN », O.T.T. (ou « présent ») provenant de l’infinitif « INgaan » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « GAAN ».
Quand « INgAAn » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « IN » de son infinitif proprement dit et elle fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« het water »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, en langue néerlandaise, « POUR » devant un infinitif est rendu pour un double mot « OM … TE », le complément (ici « zijn bad ») s’intercalant entre eux et le « TE » occupant l’avant-dernière place dans la phrase, devant l’infinitif concerné (« NEMEN »).
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 VERBODEN JACHT 06A - Rajouté le 15/04/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Tot zijn (Tim’s) grote ontzetting komt een reusachtige olifant uit het struikgewas te voorschijn » (« A son grand effroi, un éléphant gigantesque apparaît hors / jaillit des fourrés »).
Notez l’expression « te voorschijn KOMEN », qui réagit comme un verbe dit à « particule séparable », « te voorschijn » faisant l’objet d’un REJET, derrière le complément (« uit het struikgewas »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Tot zijn grote ontzetting »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « een reusachtige olifant ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « komt ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 VERBODEN JACHT 05I - Rajouté le 14/04/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Op dat ogenblik rent hij (Tim) in de omgeving van het kamp achter het mangoestje aan » (« A cet instant, il court dans les environs du camp derrière la petite mangouste »).
On y trouve notamment la forme verbale « rent … AAN », provenant de l’infinitif « AANrennen » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « RENNEN » (PAS affecté par les « temps primitifs »).
Quand ce verbe « AANrennen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de la forme verbale proprement dite, la particule « AAN » faisant l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« in de omgeving van het kamp » et « achter het mangoestje »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Op dat ogenblik »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « HIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « rent ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 VERBODEN JACHT 05H - Rajouté le 13/04/2016

Description : La double (ou triple) phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We wilden weten wat die ruwe jagers hier uitspookten voor je erover in te lichten » (« Nous voulions savoir ce que ces rudes chasseurs cherchaient par ici avant de t’informer »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « WILDEN », prétérit provenant de l’infinitif « WILLEN », verbe « mixte » (à participe passé régulier).
Ce verbe « WILLEN » évolue vers un verbe « régulier ». Comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs » sauf, parfois, encore au prétérit : « WOU » (de plus en plus rare au PLURIEL) au lieu de « WILDE ». On aurait, en effet, pu trouver la variante suivante : « We WOUDEN weten ».
On y trouve également, dans la phrase subordonnée (introduite par « WAT »), la forme verbale « UITspookten », O.V.T. ou prétérit du verbe « UITspoken » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « SPOKEN ».
Ce verbe « SPOKEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera au SINGULIER du prétérit une terminaison « -TE » (au lieu du « -DE » majoritaire).
Si on ne s’était pas trouvé dans une phrase subordonnée, la forme verbale « (UIT)spookten » n’aurait pas été séparée de son sujet et la particule séparable « UIT ») aurait fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« iets »), à la fin de la phrase : « Die ruwe jagers spookten hier iets UIT ».
Nous trouvons, enfin, une sorte de phrase subordonnée « infinitive » (avec le verbe « inlichten » (dit « à particule séparable »), introduite par « VOOR ». On aurait pu avoir la variante suivante : « « We wilden (eerst) weten … voordat we je erover inlichtTen ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 VERBODEN JACHT 05G - Rajouté le 12/04/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat betekent dat jagers in de buurt zijn of (in de buurt) (zijn) geweest zijn » (« Cela signifie que des chasseurs se trouvent ou ont été dans le voisinage »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée (introduite par « DAT »), la forme verbale « GEWEEST », participe passé provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEWEEST » devrait normalement faire l’objet d’un REJET, derrière le complément, sous-entendu (« in de buurt »), à la fin de la phrase. Ce n’est pas tout à fait le cas dans le dialogue de l’image, ne fût-ce qu’afin d’éviter 2 X « zijn » quasi successivement
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 VERBODEN JACHT 05F - Rajouté le 11/04/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De (mrichu)boom komt hier niet voor » (« L’arbre mrichu n’apparaît = ne pousse pas ici »).
On y trouve notamment la forme verbale « komt … VOOR », provenant de l’infinitif « VOORkomen », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « KOMEN »
Quand « VOORgekomen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « VOOR » de son infinitif proprement dit et la particule fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« HIER »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 VERBODEN JACHT 05E - Rajouté le 10/04/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « (Je hebt dat) goed opgemerkt » (« Tu l’as bien remarqué »).
On y trouve notamment la forme verbale « OPgemerkt », participe passé construit sur le verbe « OPMERKEN », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur « MERKEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le verbe « OPMERKEN » est donc considéré comme « régulier » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera comme terminaison du participe passé un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Quand « OPmerken » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEmerkt ».
Le participe passé « OPgemerkt » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« dat » et « goed »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 VERBODEN JACHT 05D - Rajouté le 09/04/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Van (met) het schors van die (deze) boom wordt gif (door de jagers) gemaakt » (« A partir de l’écorce de cet arbre, est fabriqué du poison »).
On y trouve notamment la forme verbale « gemaakt », participe passé construit sur l’infinitif « MAKEN ».
Ce verbe « MAKEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera au participe passé une terminaison « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Le participe passé « GEMAAKT » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« door de jagers »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Van het schors van die boom »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « GIF ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « WORDT ») et passant donc derrière lui.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 VERBODEN JACHT 05C - Rajouté le 08/04/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dit stuk schors is iets dat hij (Mgono) voor Tim meebracht » (« Ce morceau d’écorce est quelque chose qu’il rapporta pour Tim »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée relative (introduite par « DAT », la forme verbale « MEEbracht », O.V.T . ou prétérit provenant de l’infinitif « meeBRENGEN » (verbe dit « à particule séparable »), conjugué lui-même sur « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Si la forme verbale « MEEbracht » ne se trouve pas à côté de son sujet, c’est parce que nous nous trouvons dans une phrase subordonnée. Dans une phrase non-subordonnée, la particule « MEE » aurait été, en outre, séparée du verbe proprement dit et aurait fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« voor Tim ») à la fin de la phrase : « Hij bracht dit stuk schors voor Tim MEE ».
Rappelons que la particule « MEE » provient de la préposition « MET ».
Si la phrase subordonnée relative est introduite par « DAT », c’est parce tant le nom commun « STUK » (mot en « HET ») que le mot invariable « IETS » sont du genre NEUTRE … et au SINGULIER.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 VERBODEN JACHT 05B - Rajouté le 07/04/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik vond dit stuk schors op jouw tafel » (« Je trouvai ce morceau d’écorce sur ta table »).
On y trouve la forme verbale « VOND », prétérit ou O.V.T. provenant de l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 VERBODEN JACHT 05A - Rajouté le 06/04/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb een speelkameraad voor jou (je) in onze netten gevonden » (« J’ai trouvé un camarade de jeu pour toi dans nos filets »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEVONDEN », participe passé provenant de l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce participe passé « GEVONDEN » est construit sur le PLURIEL du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « gevonden » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« voor jou » et « in onze netten »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 VERBODEN JACHT 04E - Rajouté le 05/04/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij vond het (= het stuk schors) drie mijl(en) verderop » (« Il le trouva à trois miles loin = de distance = d’ici »).
On y trouve la forme verbale « VOND », prétérit ou O.V.T. provenant de l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 4 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 VERBODEN JACHT 04D - Rajouté le 04/04/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij neemt het stuk schors mee » (« Il prend le morceau d’écorce avec = il emmène le morceau d’écorce »).
On y trouve notamment, la forme verbale « neemt … MEE », provenant de l’infinitif « meeNEMEN », dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « NEMEN ».
La particule séparable « MEE » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« het stuk schors »), à la fin de la phrase.
Rappelons que la particule « MEE » provient de la préposition « MET ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 4 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 VERBODEN JACHT 04C - Rajouté le 03/04/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Kijk eens naar dat stuk schors net of (alsof) het is afgesneden » (« Regarde une fois ce morceau d’écorce comme s’il est découpé = tranché »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée (introduite par « net OF »), la forme verbale « AFgesneden », provenant de l’infinitif « AFsnijden » (dit « à particule séparable »), construit sur l’infinitif « SNIJDEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que le participe passé de « SNIJDEN », en l’occurrence « GESNEDEN » se construit sur le PLURIEL du prétérit (comme les autres infinitifs en « IJ », « IE » et « UI »). Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « AFsnijden » est utilisé comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « afGEsneden ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 4 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 VERBODEN JACHT 04B - Rajouté le 02/04/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Sam) neemt van de dieren bloedproeven die door haar (Ellen) op allerlei ziekten (worden) onderzocht worden » (« Il prend des échantillons de sang des animaux = il fait des prises de sang aux animaux, qui sont examiné(e)s par elle sur toutes sortes de maladies »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée (introduite par « DIE »), la forme verbale « ONDERzocht », participe passé du verbe « ONDERzoeken », construit sur l’infinitif « ZOEKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que le participe passé de « ZOEKEN » débute par le préfixe « GE- » (=> « GEzocht »), commun à la majorité d’entre eux. Si aucun « GE » ne s’est intercalé, ici, entre « ONDER » et « ZOCHT », cela signifie que « ONDERzoeken » n’est PAS un verbe « à particule séparable ».
Il faut aussi noter que ce participe passé « ZOCHT » se construit sur le SINGULIER du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Si l’on reconstruit la phrase pour y distinguer plus clairement la position des mots (« De bloedproeven van de dieren worden door haar op allerlei ziekten onderzocht »), le participe passé « ONDERzocht » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« door haar » et « op allerlei ziekten »), à la fin de la phrase.
Cette phrase subordonnée est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 4 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 VERBODEN JACHT 04A - Rajouté le 01/04/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Alles is hier voor ons klaar gezet » (« Tout est ici déposé prêt = préparé pour nous »).
On y trouve la forme verbale « gezet », participe passé provenant de l’infinitif « ZETTEN », considéré comme verbe « régulier ».
Comme la grande majorité des verbes néerlandais, le verbe « ZETTEN » n’est pas affecté par les « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « T », on trouvera de toutes façons le « T » minoritaire comme terminaison du participe passé.
Le participe passé « gezet » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« hier », « voor ons » et « klaar »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 4 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 VERBODEN JACHT 03G - Rajouté le 31/03/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik zei je toch dat ik (werd) (door autoriteiten = overheden) gesteund werd» (« Je te disais pourtant que j’étais soutenue »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « ZEI », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « ZEGGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Dans la phrase subordonnée (introduite par « DAT »), l’auxiliaire « WORDEN » de la voix passive est également au prétérit (« WERD ») et fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve aussi la forme verbale « gesteund », participe passé provenant de l’infinitif « STEUNEN ».
Ce verbe « STEUNEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « N », on trouvera, comme terminaison du participe passé le « D » majoritaire.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 3 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 VERBODEN JACHT 03F - Rajouté le 30/03/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hoe wist je dat ? » (« Comment savais-tu cela ? »).
On y trouve la forme verbale « WIST », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « WETEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 3 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 VERBODEN JACHT 03E - Rajouté le 29/03/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Tot zijn verbazing bevindt zich in het bosje een volledig ingerichte hut » (« A son étonnement, une cabane complètement équipée se trouve dans le petit bois »).
On y trouve la forme verbale « INgericht », participe passé (utilisé comme adjectif épithète) provenant de l’infinitif « INrichten » (dit « à particule séparable »), construit sur le verbe « RICHTEN », considéré comme « régulier ».
Comme la grande majorité des verbes néerlandais, le verbe « RICHTEN » n’est pas affecté par les « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « T », on trouvera de toutes façons le « T » minoritaire comme terminaison du participe passé.
La forme verbale « inGEricht » est bien à « particule séparable » puisque le « GE » du participe passé s’intercale entre la particule « IN » et la forme verbale proprement dite.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Tot zijn verbazing »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « een volledig ingerichte hut ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « bevindt ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 3 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 VERBODEN JACHT 03D - Rajouté le 28/03/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De olifanten breken de bomen af » (« Les éléphants cassent les arbres »).
On y trouve la forme verbale « breken … AF », qui provient d’un infinitif « AFbreken » (dit « à particule séparable »), construit sur le verbe « breken ».
Quand « AFbreken » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit et son REJET, derrière le complément (« de bomen »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 3 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 VERBODEN JACHT 03C - Rajouté le 27/03/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hoe komt het dat hier zoveel afgebroken bomen zijn ? » (« D’où vient qu’il y a ici autant d’arbres brisés ? »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée (introduite par « DAT ») la forme verbale « AFgebroken », participe passé (utilisé ici comme adjectif épithète) provenant de l’infinitif « AFbreken », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « BREKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « AFbreken » est utilisé comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « afGEbroken ».
Notez que l’on aurait pu avoir la variante suivante : « Hoe komt het dat hier zoveel bomen zijn afgebroken ? »
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 3 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 VERBODEN JACHT 03B - Rajouté le 26/03/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Met hem (een norse Sam) aan het stuur wordt de tocht (dadelijk) begonnen » (« Avec lui au volant, l’excursion = l’expédition est commencée »).
On y trouve notamment la forme verbale « BEGONNEN », participe passé provenant de l’infinitif « BEGINNEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Cette forme verbale « BEGONNEN » est, comme on le voit, construite sur le PLURIEL du PRETERIT et est même identique. Pour complément d’informations, consultez notamment notre tableau de synthèse « Temps primitifs » dans la partie « GRAMMATICA » de ce site :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Met hem aan het stuur »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de tocht ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « wordt ») et passant donc derrière lui.
Ce participe passé « BEGONNEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« dadelijk »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 3 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 VERBODEN JACHT 03A - Rajouté le 25/03/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het vlot wordt afgebroken en (het vlot wordt) aan de rivier prijsgegeven » (« Le radeau est brisé et il est donné en prix => sacrifié => abandonné à la rivière »).
On y trouve notamment, dans la première phrase, la forme verbale « AFgebroken », participe passé provenant de l’infinitif « AFbreken », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « BREKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « AFbreken » est utilisé comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « afGEbroken ».
On y trouve également, dans la deuxième phrase, la forme verbale « PRIJSgegeven », participe passé provenant de l’infinitif « PRIJSgeven », lui-même construit sur l’infinitif « GEVEN », affecté par les « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé « GEGEVEN » se construit sur l’INFINITIF. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Ce verbe « PRIJSgeven » est aussi dit « à particule séparable » ; quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « PRIJS » (un nom commun) de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « prijsGEgeven ».
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« aan de rivier »), à la fin de la phrase.
Ces deux phrases sontt à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 3 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 VERBODEN JACHT 02G - Rajouté le 24/03/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Voor (voordat) je mij van een besluit (beslissing) afbrengt, moet je sterk op jouw (je) benen staan » (« Avant que tu m’amènes à changer de décision, tu dois être fortement = bien debout = campé sur tes jambes »).
On y trouve notamment, dans la première phrase (subordonnée introduite par « VOOR » pour « VOORDAT »), la forme verbale « AFbrengt », provenant de l’infinitif « AFbrengen », normalement « à particule séparable », construit sur le verbe « BRENGEN ».
Si l’on rédige ce texte autrement, on voit mieux que « AFbrengen » est bien « à particule séparable » : « Je brengt mij van een besluit AF, dus je staat sterk op jouw benen » ou « Je staat sterk op jouw benen en je brengt mij van een besluit AF ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (la phrase subordonnée « Voor je mij van een besluit afbrengt » joue ici ce rôle), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « JE ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « moet ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 2 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 VERBODEN JACHT 02F - Rajouté le 23/03/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We gaan op de linkeroever aan wal en (we gaan) dan het binnenland in » (« Nous débarquons sur la rive gauche et allons alors à l’intérieur des terres »).
Notez l’expression « aan wal gaan ».
Même partiellement sous-entendue, on y trouve, dans la deuxième phrase, la forme verbale « gaan … IN », O.T.T. (ou « présent ») provenant de l’infinitif « INgaan » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « GAAN ».
Quand « INgAAn » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « IN » de son infinitif proprement dit et elle fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« dan » et « het binnenland »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 2 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 VERBODEN JACHT 02E - Rajouté le 22/03/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Heb je al beslist waar we aan land gaan ? » (« As-tu déjà décidé où nous allons à terre = abordons ? »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « BESLIST », participe passé provenant de l’infinitif « BESLISSEN » qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « BESLISSEN » est donc considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) et fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « S », on trouvera le « T » minoritaire comme terminaison du participe passé.
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Le participe passé « BESLIST » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« AL »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que dans une phrase subordonnée (introduite ici par « WAAR »), la forme verbale (« GAAN ») ne reste plus à côté de son sujet (« WE ») et fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« aan land »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 2 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 VERBODEN JACHT 02D - Rajouté le 21/03/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « In de wildernis telt maar één wet : eten of (worden) gegeten worden » (« Dans la nature sauvage, il n’y a qu’une seule loi qui compte : manger ou être mangé »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEGETEN », participe passé (tout à fait irrégulier) provenant de l’infinitif « ETEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« In de wildernis »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « één wet ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « telt ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 2 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 VERBODEN JACHT 02C - Rajouté le 20/03/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb je gewaarschuwd » (« Je t’ai averti »).
On y trouve notamment la forme verbale « gewaarschuwd », participe passé construit sur l’infinitif « waarschuwen ».
Ce verbe «WAARSCHUWEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent = « WAARSCHUWEN » - « EN » => « WAARSCHUW ») se terminant par la consonne « W », on trouvera un « D », majoritaire, à la fin du participe passé.
Le participe passé « GEwaarschuwD » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« JE »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 2 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 VERBODEN JACHT 02B - Rajouté le 19/03/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Na een kort en bloedig gevecht wordt de krokodil middendoor gebeten » (« Après un combat court et sanglant, le crocodile est mordu en son milieu à travers = de part en part »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEBETEN », participe passé provenant de l’infinitif « BIJTEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé « GEBETEN » se construit sur le PLURIEL du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « middendoor »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Na een kort en bloedig gevecht »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de krokodil ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « wordt ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 2 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 VERBODEN JACHT 02A - Rajouté le 18/03/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Tussen het kalf en het reptiel duikt plots met opengesperde muil het moeder nijlpaard op» (« Entre le veau = le jeune et le reptile émerge soudain la mère hippopotame avec la gueule ouverte »).
On y trouve notamment la forme verbale « duiken … OP », O.T.T. (ou « présent ») provenant de l’infinitif « OPduiken » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « DUIKEN ».
Quand « OPduiken » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit et elle fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« plots » et « met opengesperde muil »), à la fin de la phrase.
On y trouve également la forme verbale « OPENgesperd », participe passé (utilisé ici comme adjectif épithète) construit sur le verbe « OPENsperren » dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « SPERREN ».
Ce verbe « SPERREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « R », on trouvera, bien sûr, un « D », majoritaire comme terminaison au participe passé.
Quand « OPENsperren » est conjugué, comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OPEN » (ancien adjectif) de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « openGEsperd ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Tussen het kalf en het reptiel »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « het moeder nijlpaard ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « duikt ») et passant donc derrière lui.
Soulignons le fait qu’il s’agit bien de « DE moeder » mais que, ici, « moeder » est utilisé comme une sorte d’adjectif épithète de « HET nijlpaard » (venant lui-même du nom commun NEUTRE « HET paard ») ; on aurait pu avoir, en un seul mot : « HET moederNIJLPAARD ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 2 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 VERBODEN JACHT 01D - Rajouté le 17/03/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je kan iets sensationeels filmen » (« Tu peux filmer quelque chose de sensationnel »).
Rappelons que l’adjectif qui suit « IETS » (ou « NIETS ») adopte la même terminaison « -S » : « sensationeel » + S => « ietS sensationeelS ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 1 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 VERBODEN JACHT 01C - Rajouté le 16/03/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De ibisvogel waarschuwt de krokodil in ruil voor naderend gevaar » (« En échange l’oiseau ibis avertit le crocodile d’un danger approchant = qui approche »).
N’oublions pas que le participe présent (utilisé ici comme adjectif épithète) en néerlandais se construit en ajoutant simplement un « D » à l’infinitif : « NADEREN » => « naderenD ».
Rappelons que si un adjectif épithète ne se termine pas, au singulier, par « -E », c’est que le nom commun qu’il précède est NEUTRE : « HET gevaar ».
La phrase aurait peut-être été plus compréhensible, si elle avait commencé par le complément « in ruil » (ce qui aurait permuté les positions du sujet et du verbe) : « In ruil waarschuwt de ibisvogel de krokodil voor naderend gevaar ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 1 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 VERBODEN JACHT 01B - Rajouté le 15/03/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maar let (nu goed) op ! Er gaat wat (iets) gebeuren » (« Mais fais attention ! Il va se produire quelque chose »).
On y trouve la forme verbale « let … OP », provenant de l’infinitif « OPletten » (verbe dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « LETTEN ».
Quand le verbe « « OPletten » est conjugué, la particule « OP » fait l’objet d’un « REJET », derrière le(s) complément(s) éventuel(s) (« NU » et « goed »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 1 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 2 VERBODEN JACHT 01A - Rajouté le 14/03/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Achtervolgd door een verlopen gids, ontsnapt het gezelschap met een vlot » (« Poursuivi par un ancien guide, la groupe s’échappe avec un radeau »).
On y trouve notamment la forme verbale « ACHTERVOLGD », participe passé (utilisé ici comme une sorte d’adjectif attribut) provenant de l’infinitif « ACHTERVOLGEN », lui-même construit sur le verbe « VOLGEN ».
Ce verbe « ACHTERVOLGEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « G », on trouvera comme terminaison du participe passé le « D » majoritaire.
Le verbe « ACHTERVOLGEN » N'est PAS à « particule séparable » puisqu'aucun « GE » ne s’intercale au participe passé entre « ACHTER » et la forme verbale (« -VOLGD») proprement dite.
Cette phrase aurait pu avoir une variante où le participe passé « ACHTERVOLGD », utilisé plus clairement à la voix passive, aurait été accompagné de l’auxiliaire « WORDEN » : « Het gezelschap wordt door een verlopen gids achtervolgd en ontsnapt met een vlot ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Achtervolgd door een verlopen gids »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « het gezelschap ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « ontsnapt ») et passant donc derrière lui.
On y trouve également la forme verbale « VERLOPEN », participe passé (utilisé ici comme adjectif épithète) provenant de l’infinitif « VERLOPEN », lui-même construit sur le verbe « LOPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux
Il est à noter que ce participe passé « VERLOPEN » se construit sur l'infinitif et est donc même identique.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 1 dans « Verboden jacht », le volume N°2 de la série « SAFARI », suite de « Gevaarlijke opdracht ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 28H - Rajouté le 13/03/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze zakken de rivier bij nacht af » (« Ils s’enfoncent dans / descendent la rivière de nuit »).
On y trouve notamment, la forme verbale « zakken … AF », provenant du verbe « AFzakken », dit « à particule séparable », lui-même construit sur « ZAKKEN ».
Quand ce verbe « AFzakken » est conjugué, la particule « AF » fait l’objet d’un REJET derrière les compléments (« de rivier » et « bij nacht »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 28G - Rajouté le 12/03/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « In een dorp langs de oever worden de nieuwtjes (wordt het nieuws) met de tamtam van dorp tot dorp doorgeseind » (« Dans un village le long de la rive les nouvelles sont transmises avec le tam-tam de village en village »).
On y trouve notamment la forme verbale « DOORgeseind », participe passé construit sur le verbe « DOORseinen » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « SEINEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « SEINEN » est donc considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « N », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison du participe passé.
Quand « DOORseinen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « DOOR » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « doorGEseind ».
Le participe passé « DOORgeseind » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« de nieuwtjes», « met de tamtam » et « van dorp tot dorp »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« In een dorp langs de oever »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de nieuwtjes ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « worden ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 28F - Rajouté le 11/03/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het vlot dat in het maanlicht van de Afrikaanse nacht de rivier afdrijft » (« Le radeau qui flotte en descendant = dérive sur la rivière dans la lumière de lune = le clair de lune de la nuit africaine »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée relative (introduite par « DAT »), la forme verbale « AFdrijft », qui fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« in het maanlicht van de Afrikaanse nacht » et « de rivier»), à la fin de la phrase.
Quand « AFdrijven » (verbe dit « à particule séparable », construit sur « DRIJVEN ») est conjugué dans une phrase NON subordonnée, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de sa forme verbale proprement dite, comme dans la phrase suivante : « Het vlot drijft in het maanlicht van de Afrikaanse nacht de rivier AF ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 28E - Rajouté le 10/03/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Enkele dromerige flamingos staren het vlot na » (« Quelques flamants roses rêveurs fixent / suivent du regard distraitement le radeau »).
On y trouve notamment, la forme verbale « staren … NA », provenant du verbe « NAstaren », dit « à particule séparable », lui-même construit sur « STAREN ».
Quand ce verbe « NAstaren » est conjugué, la particule «NA » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« het vlot »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 28D - Rajouté le 09/03/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Doodmoe, gewond en met gescheurde kleren geeft hij (Sam) zwijgend de tas » (« Mort-fatigué => mort de fatigue, blessé et les vêtements lacérés / déchirés, il donne le sac en se taisant »).
On y trouve notamment la forme verbale « gewond », participe passé (utilisé ici comme adjectif épithète, attribut) provenant de l’infinitif « wonden ».
Ce verbe « WONDEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant déjà par la consonne « D », on trouvera, de toutes façons, comme terminaison du participe passé le « D » majoritaire.
On y trouve également la forme verbale « gescheurd », participe passé (utilisé ici comme adjectif épithète) provenant de l’infinitif « scheuren ».
Ce verbe « SCHEUREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant déjà par la consonne « R », on trouvera, de toutes façons, comme terminaison du participe passé le « D » majoritaire.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Doodmoe, gewond en met gescheurde kleren »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « HIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « geeft ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 28C - Rajouté le 08/03/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij heeft me van hem (Bexter) verlost » (« Il m’a délivré = débarrassé de lui »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERlost », participe passé provenant de l’infinitif « VERlossen ».
Ce verbe « VERlossen » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « S », on trouvera comme terminaison du participe passé le « T » minoritaire.
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Le participe passé « VERlost » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« ME » et « van hem »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 28B - Rajouté le 07/03/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Tegenover de herder heb ik woord gehouden » (« A l’encontre du pasteur, j’ai tenu parole »).
On y trouve notamment forme verbale « GEhouden », participe passé provenant de l’infinitif « HOUDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce participe passé « GEHOUDEN » est construit sur l’infinitif. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GEhouden » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément « WOORD », à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Tegenover de herder »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « IK ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « HEB ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 28A - Rajouté le 06/03/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Geen schot heeft onze aanwezigheid verraden » (« PAS un coup de feu n’a trahi notre présence »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERRADEN », participe passé provenant de l’infinitif « VERRADEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé « VERRADEN » se construit sur l’infinitif. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons aussi que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Ce participe passé « VERRADEN » est dès lors identique à son infinitif « VERRADEN ».
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « onze aanwezigheid »), à la fin de la phrase.
Notez que la négation est localisée, dans cette phrase néerlandaise, au niveau du déterminant indéfini « Geen », équivalant à « PAS un ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 27E - Rajouté le 05/03/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « In een fractie van EEN seconde, grijpt hij (Sam) zijn jachtmes en steekt (hij het) bliksemsnel toe » (« En une fraction de seconde, il saisit son couteau de chasse et il l’enfonce, rapide comme l’éclair »).
On y trouve notamment, dans la deuxième phrase, la forme verbale « steekt … TOE », provenant de l’infinitif « TOEsteken », verbe à « particule séparable ».
Quand ce verbe « TOEsteken » est conjugué, la particule « TOE » se sépare donc de l’infinitif « STEKEN » proprement dit et fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« bliksemsnel »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 27 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 27D - Rajouté le 04/03/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het volgende ogenblik wordt het wapen hem door een krachtige slag uit de hand geslagen » (« L’instant suivant, l’arme lui est frappée = arrachée de la main par un coup puissant »).
On y trouve notamment la forme verbale « geslagen », participe passé tout à fait irrégulier provenant de l’infinitif « SLAAN », affecté par les « temps primitifs ».
Le participe passé « geslagen » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« hem », « door een krachtige slag » et « uit de hand »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (ici « Het volgende ogenblik »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « het wapen ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « WORDT ») et passant donc derrière lui.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 27 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 27C - Rajouté le 03/03/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De tas is zeker uit de wagen gevallen en (hij is) van de helling gerold » (« Le sac est certainement tombé de la voiture et a roulé de la pente »).
On y trouve, dans la première phrase, notamment la forme verbale « GEvallen », participe passé provenant de l’infinitif « VALLEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Cette forme verbale est, comme on le voit, construite sur L’INFINIF. Pour complément d’informations, consultez notamment notre tableau de synthèse « Temps primitifs » dans la partie « GRAMMATICA » de ce site :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GEVALLEN » fait l’objet en néerlandais d’un REJET, derrière les compléments (« zeker » et « uit de wagen »), à la fin de la première phrase.
On y trouve, dans la deuxième phrase, la forme verbale « GErolD », participe passé provenant de l’infinitif « ROLLEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « rollen » est donc considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) et NE fait PAS non plus partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « L », on trouvera un « D », majoritaire, à la fin du participe passé.
Le participe passé « GErolD » fait l’objet en néerlandais d’un REJET, derrière le complément (« van de helling »), à la fin de la deuxième phrase.
N’oublions pas que les verbes de MOUVEMENT ont comme auxiliaire des temps composés le verbe « ZIJN » au lieu de « hebben ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 27 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 27B - Rajouté le 02/03/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het wordt (tijd) scherp uitkijken » (« Il devient = est temps de regarder de façon aiguë = attentivement autour de moi »).
Dans ce cas-ci, « WORDEN » n’est absolument PAS auxiliaire de la voix passive.
Si cela avait été le cas, au lieu de l’infinitif « UITkijken » (d’un verbe dit « à particule séparable ») on aurait dû trouver la forme verbale au participe passé : « uitGEkeken » …
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 27 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 27A - Rajouté le 01/03/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hier komt hij (de luipaard) terug » (« Il revient = reviendra ici »).
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« HIER »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « HIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « komt ») et passant donc derrière lui.
On y trouve notamment la forme verbale « komt … TERUG », construite sur le verbe « TERUGkomen » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « KOMEN ».
Quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERUG » de son infinitif proprement dit et le REJET de la particule, derrière le complément (« hier »), à la fin de la phrase : « Hij (de luipaard) komt hier terug ».
Rappelons que « TERUG » rend une notion de retour ou de répétition.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 27 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 26H - Rajouté le 29/02/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij heeft zich zeker volgepropt » (« Il s’est certainement empiffré »).
On y trouve notamment, la forme verbale « VOLgepropt », participe passé construit sur le verbe « VOLwissen » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « PROPPEN ».
Ce verbe « PROPPEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « P », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire) comme terminaison du participe passé.
Quand « VOLproppen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais, exceptionnellement, une séparation de la particule « VOL » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « volGEpropt ».
Le participe passé « volGEpropt » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« zeker »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 26 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 26G - Rajouté le 28/02/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Waar de luipaard (door de mensen) verdreven wordt, worden de bavianen een plaag voor de landbouwers » (« Où le léopard est expulsé, les babouins deviennent une plaie pour les agriculteurs »).
On y trouve, dans la première phrase, subordonnée, la forme verbale « verDREVEN », participe passé provenant de l’infinitif « verDRIJVEN », lui-même construit sur « DRIJVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Cette forme verbale est donc construite sur le PLURIEL du prétérit et lui est identique. Pour complément d’informations, consultez notamment notre tableau de synthèse « Temps primitifs » dans la partie « GRAMMATICA » de ce site :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « verDREVEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« door de mensen »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (la phrase subordonnée « Waar de luipaard verdreven wordt » joue ici ce rôle), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de bavianen ») de la phrase principale inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « worden », PAS auxiliaire de la voix passive) et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 26 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 26F - Rajouté le 27/02/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Bavianen worden door hem (de luipaard) uitgeroeid » (« Les babouins sont exterminés par lui »).
On y trouve notamment la forme verbale « UITgeroeid », provenant de l’infinitif « UITroeien » (dit « à particule séparable »), lui-même conjugué sur « ROEIEN », considéré comme « régulier ».
Comme la grande majorité des verbes néerlandais, le verbe « ROEIEN » n’est pas affecté par les « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la voyelle « I », on trouvera le « D » majoritaire. La forme verbale « uitGEroeid » est à « particule séparable » puisque le « GE » du participe passé s’intercale entre la particule « UIT » et la forme verbale proprement dite.
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« door hem »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 26 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 26E - Rajouté le 26/02/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Daar loopt hij (Bexter) vast in (de val) » (« Il y tombe(ra) certainement (là) dedans = dans le piège »).
On y trouve notamment la forme verbale « loopt … IN », provenant de l’infinitif « INlopen » (verbe dit « à particule séparable »), conjugué lui-même sur « LOPEN ».
On comprend comment cette ancienne préposition « IN » a évalué vers une « particule séparable » si on la fait suivre, par exemple, du complément « de val ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« DAAR »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « HIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « LOOPT ») et passant donc derrière lui.
On peut par ailleurs imaginer que nous avons affaire à l’adverbe pronominal « daarIN » (ou « erIN »). On aurait en effet pu avoir la variante suivante : « Hij loopt vast DAARin / Erin ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 26 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 26D - Rajouté le 25/02/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik jaag voor jullie de luipaard na = weg » (« Je chasse le léopard pour vous »).
On y trouve notamment la forme verbale « jaag … NA », provenant de l’infinitif « NAjagen » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « JAGEN ».
Quand « NAjagen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « NA » de son infinitif proprement dit, et son REJET, derrière les compléments (« voor jullie » et « de luipaard »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 26 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 26C - Rajouté le 24/02/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zeg hen dat je twee wagens in de bergen (hebt) gezien hebt » (« Dis-leur que tu as vu deux voitures dans les montagnes »).
On y trouve, notamment dans la phrase subordonnée (introduite par « DAT »), la forme verbale « GEZIEN », participe passé provenant de l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’INFINITIF. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GEZIEN » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« twee wagens » et « in de bergen »), à la fin de la phrase. N’oublions pas que, dans une phrase subordonnée néerlandaise, la forme verbale (ici « HEBT ») ne reste pas à côté de son sujet (ici « JE »).
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 26 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 26B - Rajouté le 23/02/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De luipaard heeft reeds twee jagers gedood » (« Le léopard a déjà tué deux chasseurs »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEDOOD », participe passé provenant de l’infinitif « DODEN ».
Ce verbe « DODEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « D », on trouvera le « D » majoritaire mais qui ne sera pas doublé au participe passé puisque déjà présent dans le radical du verbe ou première personne de l’indicatif présent.
Le participe passé « GEDOOD » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« reeds » et « twee jagers »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 26 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 26A - Rajouté le 22/02/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je bent er nog goed van af gekomen » (« Tu en es encore bien venu dehors = tu t’en es encore bien tiré »).
On y trouve, à première vue, notamment la forme verbale simple « GEKOMEN », participe passé provenant de l’infinitif « KOMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Cette forme verbale est, comme on le voit, construite sur L’INFINIF. Pour complément d’informations, consultez notamment notre tableau de synthèse « Temps primitifs » dans la partie « GRAMMATICA » de ce site :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Ce participe passé « GEKOMEN » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« nog goed » et « erVAN »), à la fin de la phrase.
Nous avons donc vraisemblablement affaire à l’adverbe pronominal « erVAN » (le « vanAF » semblant très peu plausible »). On aurait en effet pu avoir la variante suivante : « Je bent nog goed erVAN afgekomen », utilisant l’expression « er goed AFkomen ».
Si nous avons dès lors plutôt affaire au verbe « AFkomen », dit « à particule séparable », s’il est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => forme composée « afGEkomen ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 26 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 25I - Rajouté le 21/02/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Mijn vader wordt (werd) door een luipaard aangevallen » (« Mon père est (a été) attaqué par un léopard »).
On y trouve notamment la forme verbale « AANgevallen », participe passé provenant de l’infinitif « AANvallen », lui-même construit sur le verbe « VALLEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « AANvallen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGEvallen ».
Il y a REJET de la forme verbale « AANgevallen », derrière le complément (« door een luipaard »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 25H - Rajouté le 20/02/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De herder wordt erg gewond » (« Le berger = pasteur est gravement blessé »).
On y trouve notamment la forme verbale « gewond », participe passé provenant de l’infinitif « wonden ».
Ce verbe « WONDEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant déjà par la consonne « D », on trouvera, de toutes façons, comme terminaison du participe passé le « D » majoritaire.
Ce participe passé « GEWOND », fait l’objet d’un REJET, derrière le « complément » (« ERG »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 25G - Rajouté le 19/02/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Haal dat kalf terug ! » (« Va rechercher ce veau ! »).
On y trouve la forme verbale « haal … TERUG », provenant de l’infinitif « TERUGhalen » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « HALEN ».
Quand « TERUGhalen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERUG » de son infinitif proprement dit et elle fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« dat kalf »), à la fin de la phrase.
Cette particule « TERUG » est très fréquente en néerlandais puisqu’elle correspond au préfixe français « RE- » (exemple : RE-chercher), rendant la notion de RETOUR (ici au propriétaire).
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 25F - Rajouté le 18/02/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Sam) smaakt het genoegen Bexter van woede te horen brullen wanneer de lekke banden (door hem) (worden) ontdekt worden » (« Il goûte = savoure le plaisir d’entendre Bexter rugir de colère quand les pneus crevés sont = seront découverts »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée (introduite par « WANNEER »), la forme verbale « ONTDEKT », participe passé provenant de l’infinitif « ONTDEKKEN ».
Ce verbe « ONTDEKKEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera, au V.T.T., la terminaison « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « ONT- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Signalons dès lors que, si « ONTDEKT » est ici au V.T.T. (ou passé composé), il aurait été écrit de la même façon aux deuxième et troisième personnes du singulier de l’O.T.T. (ou indicatif présent).
Le participe passé « ONTDEKT » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« door hem »), à la fin de la phrase.
Cette phrase subordonnée est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 25E - Rajouté le 17/02/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Als hij (Mgono) zijn werk goed (heeft) gedaan heeft, wacht (een zware karwei) die kerels een zware karwei » (« S’il a bien fait son travail, une lourde corvée attend ces types »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée (introduite par « ALS »), la forme verbale « GEDAAN », participe passé provenant de l’infinitif « DOEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Dans une phrase subordonnée, le verbe est séparé de son sujet et il y a REJET de la forme verbale « GEDAAN », derrière les compléments (« zijn werk » et « goed »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (la phrase subordonnée « Als hij zijn werk goed gedaan heeft » joue ici ce rôle), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « een zware karwei ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « wacht ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 25D - Rajouté le 16/02/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Op enkele meters gaan ze hem voorbij » (« A quelques mètres, ils vont = passent devant lui »).
On y trouve notamment la forme verbale « gaan … voorbij », provenant de l’infinitif « voorbijGAAN », dit « à particule séparable », construit lui-même sur le verbe « GAAN ».
La « particule séparable » « VOORBIJ » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« HEM »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Op enkele meters »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « ZE ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « GAAN ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 25C - Rajouté le 15/02/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Plots duikt hij (Sam) in struikgewas weg » (« Soudain il part = s’écarte en plongeant dans les fourrés »).
On y trouve, à l’indicatif présent, la forme verbale « duikt … WEG », provenant de l’infinitif « WEGduiken », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « DUIKEN ».
La « particule séparable » « WEG » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« in struikgewas »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (ici « PLOTS »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « HIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « DUIKT ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 25B - Rajouté le 14/02/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Met een wagen laat ik ook een beter spoor na (mij) » (« Avec une voiture, je laisse aussi une meilleure trace derrière … moi »).
On y trouve notamment la forme verbale « laat … NA », provenant de l’infinitif « NAlaten », lui-même construit sur le verbe « LATEN ».
Quand « NAlaten » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « NA » (ancienne préposition) de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET, derrière le complément (« een beter spoor »), à la fin de la phrase. On comprend mieux cette évolution de la préposition « NA » vers la particule séparable en l’imaginant suivie jadis d’un complément : « na MIJ ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Met een wagen »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « IK ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « LAAT ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 25A - Rajouté le 13/02/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Met een wagen was ik er (= daar) sneller » (« Avec une voiture, j’y étais plus vite »).
On y trouve notamment la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Met een wagen »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « IK ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « WAS ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 24H - Rajouté le 12/02/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Mopperend trekt hij erop uit (vertrekt hij) om de tas te zoeken » (« En maugréant, il part pour chercher le sac »).
On y trouve notamment la forme verbale « trekkt … UIT », provenant de l’infinitif « UITtrekken », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « TREKKEN ».
Quand « UITtrekken » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « UIT » étant affectée par un REJET, derrière le complément (« erop »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Mopperend »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « HIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « trekt ») et passant donc derrière lui.
N’oublions pas non plus que le participe présent en néerlandais se construit en ajoutant simplement un « D » à l’infinitif : « MOPPEREN » => « mopperenD ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 24 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 24G - Rajouté le 11/02/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je dacht toch niet dat ik ontwapend naar die tas ga zoeken » (« Tu ne pensais tout de même pas que je vais, désarmé, chercher ce sac »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « DACHT » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant du verbe « DENKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve également, dans la phrase subordonnée (introduite par « DAT ») la forme verbale « ONTWAPEND », participe passé (utilisé ici comme attribut) provenant de l’infinitif « ONTWAPENEN ».
Ce verbe « ONTWAPENEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « N », on trouvera comme terminaison du participe passé le « D » majoritaire.
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « ONT- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 24 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 24F - Rajouté le 10/02/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik leid geen bureau voor verloren voorwerpen » (« Je ne dirige pas un bureau d’objets perdus »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERLOREN », participe passé (utilisé comme adjectif épithète) construit sur le verbe « VERLIEZEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit et, dans ce cas, est identique. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 24 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 24E - Rajouté le 09/02/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb een leren (lederen) tas verloren » (« J’ai perdu un sac en cuir »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « VERLOREN », participe passé construit sur le verbe « VERLIEZEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit et, dans ce cas, est identique. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Ce participe passé « VERLOREN », fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« een leren tas »), à la fin de la phrase principale
Rappelons que les adjectifs épithètes concernant des matières (« en cuir ») prennent, en néerlandais, exceptionnellement une terminaison « -EN ». Les francophones pourraient se dire que le « EN » français passe à la fin du mot néerlandais.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 24 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 24D - Rajouté le 08/02/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Er is iets vreselijks gebeurd » (« Il est arrivé quelque chose d’effroyable »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEBEURD », participe passé provenant de l’infinitif « GEBEUREN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « GEBEUREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) ; il ne fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire.
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence déjà par le préfixe « GE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Le participe passé « GEBEURD » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« iets vreselijks »), à la fin de la phrase.
Rappelons que tout adjectif qui suit (N)IETS prendra exceptionnellement la terminaison « -S ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 24 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 24C - Rajouté le 07/02/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We varen vannacht (in de nacht / deze nacht) weg » (« Nous partons en bateau cette nuit »).
On y trouve notammen la forme verbale « varen … WEG », provenant du verbe « WEGvaren » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur l’infinitif « VAREN »,
Quand « WEGvaren » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « WEG » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET derrière le complément (« vannacht »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 24 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 24B - Rajouté le 06/02/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Scheep(t) die trucks (spullen) in » (« Embarquez ces affaires »).
On y trouve notamment la forme verbale « scheep … IN », provenant de l’infinitif « INschepen » (dit à « particule séparable »), construit sur le verbe « SCHEPEN ».
La « particule séparable » « IN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« die trucks »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 24 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 24A - Rajouté le 05/02/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wat zal hij (Sam) doen als hij (nu) moet toegeven ? » (« Que va-t-il faire s’il doit capituler ? »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée (introduite par « ALS ») avec « ZULLEN », « auxiliaire du FUTUR », un REJET de l’infinitif (« TOEGEVEN »), derrière le complément éventuel (« NU »), à la fin de la phrase.
Il est peut-être plus facile pour une personne francophone de comprendre cette construction de phrase en la comparant au « futur proche » français, qui recourt au verbe « ALLER » …
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 24 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 23E - Rajouté le 04/02/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij (bibi Ellen) zal (nu) moeten toegeven » (« Elle va devoir = devra capituler »).
On y trouve notamment, avec « ZULLEN », « auxiliaire du FUTUR », un REJET de l’infinitif (« TOEGEVEN »), derrière le complément éventuel (« NU »), à la fin de la phrase.
Il est peut-être plus facile pour une personne francophone de comprendre cette construction de phrase en la comparant au « futur proche » français, qui recourt au verbe « ALLER » …
N’oublions pas que le verbe « TOEgeven » est dit « à particule séparable », étant construit sur l’infinitif « GEVEN ».
Si « TOEgeven » est, par exemple, conjugué à l’O.T.T. (indicatif présent), cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TOE » de son infinitif proprement dit, la particule « TOE » étant affectée par un REJET, derrière le complément éventuel (« NU »), à la fin de la phrase : « Zij geeft nu TOE ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 23 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 23D - Rajouté le 03/02/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb de banden van hun wagen doorboord » (« J’ai crevé les pneus de leur voiture »).
On y trouve notamment la forme verbale « DOORboorD », participe passé (utilisé au V.T.T.) du verbe « DOORboren », construit sur l’infinitif « BOREN ».
Ce verbe « BOREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs »)et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « R », on trouvera une terminaison « -DE » à l’O.V.T. (ou prétérit) : « boor » + « DE » => « boorDE ». On en retrouvera le « D » comme terminaison du participe passé.
« DOORboren » N’est cependant PAS un verbe dit « à particule séparable », sans quoi on aurait dû / pu avoir, après l’ancienne préposition « DOOR » le suffixe « GE- », commun à une majorité de participes passés. Au prétérit, on aurait eu, par exemple : « « Ik doorboorDE de banden van hun wagen ».
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé « DOORboorD » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « de banden van hun wagen»), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 23 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 23C - Rajouté le 02/02/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hebben ze je gezien ? » (« T’ont-ils vu ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEZIEN », participe passé provenant de l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’INFINITIF. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GEZIEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« JE »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 23 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 23B - Rajouté le 01/02/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Jouw (je) bebloede speer vertelt mij dat je met de baviaan hebt afgerekend » (« Ta lance ensanglantée me raconte = dit que tu as réglé tes comptes avec le babouin = que tu as réglé son compte au babouin »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « bebloed », participe passé (utilisé ici comme adjectif épithète) provenant de l’infinitif « BEbloeden », qui n’existe plus.
Ce verbe « BEbloeden » était considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’était PAS affecté par les « temps primitifs ») et NE faisait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « D », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison au participe passé (mais sans le « doubler »). Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
On y trouve également, dans la phrase subordonnée (introduite par « DAT »), la forme verbale « AFgerekend », participe passé provenant de l’infinitif « AFrekenen », lui-même construit sur le verbe « REKENEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « AFrekenen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « afGErekend ».
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « met de baviaan »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 23 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 23A - Rajouté le 31/01/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij sluipt (door het gras) weg en zet het op een lopen naar het kamp » (« Il se retire en se faufilant et entrepend de courir jusqu’au camp »).
On y trouve, dans la première phrase, la forme verbale « SLUIPT … weg », provenant du verbe « WEGsluipen » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur l’infinitif « SLUIPEN »,
Quand « WEGsluipen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « WEG » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET derrière le complément éventuel (« door het gras »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 23 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 22F - Rajouté le 30/01/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De schurk werkt voor iemand die haar (bibi Ellen) opspoort » (« La canaille travaille pour quelqu’un qui la suit à la trace »).
Dans la phrase subordonnée relative (introduite par « DIE »), on trouve la forme verbale « OPspoort », provenant du verbe « OPsporen » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « SPOREN ». Si on ne s’était pas trouvé dans une phrase subordonnée, on aurait mieux vu le REJET de la particule séparable « AF », derrière le complément (« HAAR »), à la fin de la phrase : « Iemand spoort haar OP ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 22 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 22E - Rajouté le 29/01/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Mgono) sluipt naar de auto waar hij het silhouet van een man (heeft) gezien heeft » (« Il rampe vers la voiture où il a vu la silhouette d’un homme »).
On y trouve, notamment dans la phrase subordonnée (introduite par « WAAR »), la forme verbale « GEZIEN », participe passé provenant de l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’INFINITIF. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GEZIEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« het silhouet van een man »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 22 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 22D - Rajouté le 28/01/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze ruiken onraad (gevaar) » (« Ils sentent le danger »).
Notez l’expression « onraad ruiken ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 22 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 22C - Rajouté le 27/01/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « In de savannah staan enkele olifanten, die met opgeheven slurf zenuwachtig de omtrek afsnuiven» (« Dans la savane se trouvent quelques éléphants qui, la trompe dressée, reniflent nerveusement les environs »).
On y trouve notamment la forme verbale « OPgeheven », participe passé utilisé ici comme adjectif épithète, provenant de l’infinitif « opHEVEN » (qui n’existe apparemment plus), verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « HEVEN » (qui n’existe apparemment plus), qui faisait apparemment l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « OPheven » était conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraînait en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEheven ».
Dans la phrase subordonnée relative (introduite par « DIE »), on trouve la forme verbale « afsnuiven », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « SNUIVEN ». Si on ne s’était pas trouvé dans une phrase subordonnée, on aurait mieux vu le REJET de la particule séparable « AF », derrière les compléments, à la fin de la phrase : « De olifanten snuiven de omtrek met opgeheven slurf zenuwachtig AF ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« In de savannah »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « enkele olifanten ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « staan ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 22 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 22B - Rajouté le 26/01/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Als hij (Mgono) zijn speer terugtrekt is het dier uit zijn lijden verlost » (« Quand il retire sa lance, l’animal est délivré de sa souffrance »).
Dans la phrase subordonnée relative (introduite par « ALS »), on trouve la forme verbale « TERUGtrekt », provenant du verbe « TERUGtrekken » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « TREKKEN ». Si on ne s’était pas trouvé dans une phrase subordonnée, on aurait mieux vu le REJET de la particule séparable « TERUG », derrière le complément (« zijn speer »), à la fin de la phrase : « Hij trekt zijn speer TERUG ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (la phrase subordonnée « Als hij zijn speer terugtrekt » joue ici ce rôle), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « het dier ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « IS ») et passant donc derrière lui.
On y trouve également, dans la phrase principale, la forme verbale « VERlost », participe passé provenant de l’infinitif « VERlossen ».
Ce verbe « VERlossen » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « S », on trouvera comme terminaison du participe passé le « T » minoritaire.
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Le participe passé « VERlost » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« uit zijn lijden »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 22 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 22A - Rajouté le 25/01/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Met zijn laatste krachten valt de aap aan » (« Avec ses dernières forces, le singe attaque »).
On y trouve notamment la forme verbale « valt … AAN », O.T.T. (ou « présent ») provenant de l’infinitif « AANvallen » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « VALLEN ».
Quand « AANvallen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit et elle fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« zijn tegenstander »), à la fin de la première phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Met zijn laatste krachten »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de aap ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « valt ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 22 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 21N - Rajouté le 24/01/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De gewonde baviaan is uitgeput en wacht met opengesperde muil zijn opvolger op » (« Le babouin blessé est épuisé et attend son poursuivant, la gueule écartée = béante »).
On y trouve notamment, dans la première phrase, la forme verbale « gewond », participe passé (utilisé ici comme adjectif épithète) provenant de l’infinitif « wonden ».
Ce verbe « WONDEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant déjà par la consonne « D », on trouvera, de toutes façons, comme terminaison du participe passé le « D » majoritaire.
On y trouve également la forme verbale « UITgeput », participe passé construit sur l’infinitif « UITputten », lui-même construit sur le verbe « PUTTEN ».
Ce verbe « UITputten » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « T », on devrait trouver un « T », à la fin du participe passé (au lieu du « D », majoritaire) mais, comme il y en a déjà un, on ne le double pas au V.T.T. (mais bien à l‘O.V.T.).
Ce verbe « UITputten » est aussi dit « à particule séparable » ; quand il est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « uitGEput ».
On y trouve, dans la deuxième phrase, la forme verbale « OPENgesperd », participe passé (utilisé ici comme adjectif épithète) construit sur le verbe « OPENsperren » dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « SPERREN ».
Ce verbe « SPERREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « R », on trouvera, bien sûr, un « D », majoritaire comme terminaison au participe passé.
Quand « OPENsperren » est conjugué, comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OPEN » (ancien adjectif) de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « openGEsperd ».
On y trouve enfin, dans la deuxième phrase, la forme verbale « wacht … OP », construite sur le verbe « OPwachten » dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « WACHTEN ».
Quand « OPwachten » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« met opengesperde muil » et « zijn opvolger »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 21 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 21M - Rajouté le 23/01/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Voorzichtig dringt hij (Mgono) het dichte struikgewas in » (« Prudemment, il pénètre dans les épais buissons = fourrés »).
On y trouve notamment la forme verbale « dringt … IN », construite sur le verbe « INdringen » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « DRINGEN ».
Quand « INdringen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « IN » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET derrière le complément (« het dichte struikgewas ») à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Voorzichtig »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « HIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « dringt ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 21 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 21L - Rajouté le 22/01/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij heeft zich in de struiken verborgen » (« Il s’est caché dans les buissons »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERBORGEN », participe passé (utilisé ici comme une sorte d’adjectif attribut) provenant de l’infinitif « VERBERGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Il faut aussi noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Ce participe passé « verborgen » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« in de struiken ») à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 21 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 21K - Rajouté le 21/01/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij kon vast niet meer klimmen » (« Il ne pouvait certainement plus grimper »).
On y trouve notamment la forme verbale « KON », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif (et « AUXILIAIRE de MODE de la capacité) « KUNNEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
N’oublions pas que « KUNNEN », comme les autres « auxiliaires de mode » (« MOETEN», « MOGEN » ou « WILLEN ») exige le REJET, derrière les compléments (ici « vast » et « niet meer »), de l’autre verbe à l’infinitif (ici « KLIMMEN ») à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 21 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 21J - Rajouté le 20/01/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij moet erg geraakt zijn » (« Il doit être gravement blessé »).
On y trouve notamment la forme verbale « geraakt », participe passé construit sur le verbe « RAKEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le verbe « RAKEN » est donc considéré comme « régulier » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera comme terminaison du participe passé un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Le participe passé « geraakt » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« ERG »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que « MOETEN », comme les autres « auxiliaires de mode » (« KUNNEN », « MOGEN » ou « WILLEN ») exige le REJET, derrière le complément (ici « ERG »), de l’autre verbe à l’infinitif (ici « ZIJN ») également à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 21 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 21I - Rajouté le 19/01/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij kon (ons niet) ontsnappen » (« Il pouvait s’échapper »).
On y trouve notamment la forme verbale « KON », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif (et « AUXILIAIRE de MODE de la capacité) « KUNNEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
N’oublions pas que « KUNNEN », comme les autres « auxiliaires de mode » (« MOETEN», « MOGEN » ou « WILLEN ») exige le REJET, derrière le complément éventuel (« ons »), de l’autre verbe à l’infinitif (ici « ONTSNAPPEN ») à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 21 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 21H - Rajouté le 18/01/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb het dier alleen gewond » (« Je n’ai que blessé l’animal = J’ai seulement blessé l’animal»).
On y trouve notamment la forme verbale « gewond », participe passé provenant de l’infinitif « wonden ».
Ce verbe « WONDEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant déjà par la consonne « D », on trouvera, de toutes façons, comme terminaison du participe passé le « D » majoritaire.
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (ici « het dier » et « alleen »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 21 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 21G - Rajouté le 17/01/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Heb je het dier gedood ? » (« As-tu tué l’animal ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEDOOD », participe passé provenant de l’infinitif « DODEN ».
Ce verbe « DODEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « D », on trouvera le « D » majoritaire mais qui ne sera pas doublé au participe passé puisque déjà présent dans le radical du verbe ou première personne de l’indicatif présent.
Le participe passé « GEDOOD » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« het dier »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 21 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 21F - Rajouté le 16/01/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik moest wel vuren » (« Je devais bien faire feu = tirer »).
On y trouve notamment la forme verbale « MOEST », O.V.T. (ou prétérit), provenant du verbe « MOETEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
N’oublions pas que « MOETEN », comme les autres « auxiliaires de mode » (« KUNNEN », « MOGEN » ou « WILLEN ») exige le REJET, derrière le complément (ici « WEL »), de l’autre verbe à l’infinitif (ici « VUREN ») à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 21 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 21E - Rajouté le 15/01/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een man werd in zijn schouder gebeten » (« Un homme fut mordu dans / à son épaule »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEBETEN », participe passé provenant de l’infinitif « BIJTEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé « GEBETEN » se construit sur le PLURIEL du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « in zijn schouder »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 21 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 21D - Rajouté le 14/01/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Bij het houthakken kwamen de mannen een bende bavianen tegen» (« Lors de l’abattage d’arbres = en coupant du bois, les hommes rencontrèrent une bande de babouins »).
On y trouve notamment la forme verbale « kwamen … TEGEN» au prétérit, provenant de l’infinitif « TEGENkomen » (dit à « particule séparable »), construit sur le verbe « KOMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La « particule séparable » « TEGEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« een bende bavianen »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Bij het houthakken »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de mannen ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « kwamen ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 21 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 21C - Rajouté le 13/01/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wat is hier gebeurd ? » (« Que s’est-il passé ici ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEBEURD », participe passé provenant de l’infinitif « GEBEUREN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « GEBEUREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) ; il ne fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire.
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence déjà par le préfixe « GE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Le participe passé « GEBEURD » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« hier » ), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 21 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 21B - Rajouté le 12/01/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « In aller ijl rijden ze terug » (« En toute hâte, ils reviennent en voiture »).
On y trouve notamment la forme verbale « rijden … TERUG », provenant de l’infinitif « TERUGrijden », verbe à « particule séparable », lui-même construit sur « RIJDEN ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« In aller ijl »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « ZE ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « rijden ») et passant donc derrière lui.
Quand ce verbe « TERUGrijden » est conjugué, dans une phrase « normale », la particule « TERUG » se sépare donc de l’infinitif « RIJDEN » proprement dit et fait normalement l’objet d’un REJET, derrière le complément (« In aller ijl »), à la fin de la phrase : « Ze rijden in aller ijl terug ».
Cette particule « TERUG » est très fréquente en néerlandais puisqu’elle correspond au préfixe « RE- » (exemple : RE-venir), rendant donc la notion de RETOUR.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 21 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 21A - Rajouté le 11/01/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze zijn aanvaard » (« Ils sont acceptés »).
On y trouve notamment la forme verbale « AANvaard », participe passé provenant de l’infinitif « AANvaarden », PAS affecté par les « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le verbe « AANvaarden » n’est PAS « à particule séparable » puisque, quand il est conjugué comme participe passé, il n’y a PAS ici séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit.
Identique donc au radical du verbe (= première personne de l’indicatif présent), le participe passé « AANvaard » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« door de andere nijlpaarden »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 21 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 20F - Rajouté le 10/01/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een grote bul komt de pas aangekomen familie de grenzen van zijn territorium duidelijk maken » (« Un grand = gros mâle vient indiquer clairement les limites de son territoire à la famille à peine arrivée = qui vient d’arriver »).
On y trouve notamment la forme verbale « AANgeKOMEN », participe passé (utilisé ici comme adjectif épithète) du verbe « AANkomen » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « KOMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « AANkomen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGEkomen ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 20 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 20E - Rajouté le 09/01/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij is van zijn lastposten verlost » (« Il est délivré = libéré de ses importuns = gêneurs »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERlost », participe passé provenant de l’infinitif « VERlossen ».
Ce verbe « VERlossen » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « S », on trouvera comme terminaison du participe passé le « T » minoritaire.
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Le participe passé « VERlost » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« van zijn lastposten »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 20 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 20D - Rajouté le 08/01/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Vrij gelaten rent het jong dadelijk naar zijn ouders » (« Laissé libre = rendu à la liberté, le jeune court tout de suite vers ses parents »).
On y trouve notamment la forme verbale « GELATEN », participe passé (utilisé ici comme une sorte d’adjectif attribut) provenant de l’infinitif « LATEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé « GELATEN » se construit sur l’INFINITIF. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément («Vrij gelaten »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « het jong ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « rent ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 20 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 20C - Rajouté le 07/01/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Als ze door de kudde opgenomen worden, keren ze niet meer terug » (« S’ils sont adoptés par le troupeau, ils ne retourneront plus »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée (introduite par « ALS »), la forme verbale « « OPgenomen », V.T.T. (ou participe passé) provenant de l’infinitif « opNEMEN », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « NEMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « OPnemen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEnomen ».
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
Le participe passé « opGEnomen » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« door de kudde »), à la fin de la phrase subordonnée.
On y trouve également, dans la phrase principale, la forme verbale « keren … TERUG », provenant de l’infinitif « TERUGkeren », verbe dit « à particule séparable ».
Quand « TERUGkeren » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERUG » de son infinitif proprement dit, la particule « TERUG » étant affectée par un REJET, derrière le complément (« niet meer »), à la fin de la phrase principale.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (la phrase subordonnée « Als ze door de kudde opgenomen worden » joue ici ce rôle), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (« ZE ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « keren ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 20 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 20B - Rajouté le 06/01/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Op hun korte poten waggelen de ouders achter de wagen (aan) die hun gillend jong meevoert » (« Les parents se dandinent sur leurs courtes pattes derrière la voiture qui emporte leur jeune beuglant »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « waggelen … AAN », indicatif ou O.T.T. provenant de l’infinitif « AANwaggelen » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « WAGGELEN ».
Quand « AANwaggelen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit et elle fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« achter de wagen »), à la fin de la phrase principale.
N’oublions pas que le participe présent (utilisé ici comme adjectif épithète) en néerlandais se construit en ajoutant simplement un « D » à l’infinitif : « GILLEN » => « gillenD ».
On y trouve également, dans la phrase subordonnée relative (introduite par « DIE »), la forme verbale « MEEvoert », provenant de l’infinitif « MEEvoeren », conjugué lui-même sur « VOEREN ».
Quand « MEEvoeren » est conjugué, cela entraîne normalement en néerlandais (mais pas dans une phrase subordonnée) une séparation de la particule « MEE » de son infinitif proprement dit, la particule « MEE » étant affectée par un REJET, derrière le complément (ici « hun gillend jong »), à la fin de la phrase : « de wagen voert hun gillend jong MEE ».
Rappelons enfin que la particule « MEE » provient de la préposition « MET ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 20 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 20A - Rajouté le 05/01/2016

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Nu vlug (hem) op de wagen binden voor (voordat) de ouders ingrijpen » (« Maintenant vite le ligoter sur la voiture avant que les parents interviennent »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée (introduite par « VOOR »), la forme verbale « INgrijpen », provenant de l’infinitif « INgrijpen », conjugué lui-même sur « GRIJPEN ».
Quand « INgrijpen » est conjugué, cela entraîne normalement en néerlandais (mais pas dans une phrase subordonnée) une séparation de la particule « IN » de son infinitif proprement dit, la particule « IN » étant affectée par un REJET, derrière le complément éventuel (ici « tegen ons »), à la fin de la phrase : « de ouders grijpen tegen ons IN ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 20 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 19E - Rajouté le 04/01/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zijn rantsoen waterplanten zal hij al verorberd hebben (verorberd) » (« Il aura déjà savouré sa ration de plantes d’eau = aquatiques »).
On y trouve notamment la forme verbale « verorberD », participe passé (utilisé ici au futur antérieur) provenant de l’infinitif « verorberen ».
Ce verbe « verorberen » est, lui, donc bien considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est PAS affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison au participe passé.
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Ce participe passé « VERORBERD » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« AL »), à la fin de la phrase. C’est peut-être plus évident dans cette variante au passé composé : « Hij heeft zijn rantsoen waterplanten al verorberd ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 19 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 19D - Rajouté le 03/01/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zodra de schemering intreedt gaan ze het binnenland (in)grazen » (« Dès que le crépuscule entre en scène, ils vont brouter l’intérieur des terres »).
Si on ne s’était pas trouvé dans une phrase subordonnée (introduite par « Zodra »), on aurait eu la forme verbale « treedt … IN », provenant de l’infinitif « INtreden » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « TREDEN », et la « particule séparable » « IN » aurait fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« aan het einde van de dag »), à la fin de la phrase : « De schemering treedt IN »..
On aurait de même pu avoir la forme verbale « grazen … IN », provenant de l’infinitif « INgrazen » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « GRAZEN », et la « particule séparable » « IN » aurait fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« het binnenland »), à la fin de la phrase principale : « Ze grazen het binnenland IN ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 19 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 19C - Rajouté le 02/01/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Nijlpaarden doodmaken (dat) is verboden » (« Tuer des hippopotames est interdit »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERboden », participe passé provenant du verbe « VERbieden », lui-même construit sur l’infinitif « BIEDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit ou O.V.T. et, dans ce cas-ci, est même identique Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons en effet que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Le participe passé « verboden » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« door de wet »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 19 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 19B - Rajouté le 01/01/2016

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Waarom vallen nijlpaarden (ze) koeien aan ? » (« Pourquoi des hippopotames attaquent-ils des vaches ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « vallen … AAN », indicatif ou O.T.T. provenant de l’infinitif « AANvallen » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « VALLEN ».
Quand « AANvallen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit et elle fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« koeien »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 19 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2016.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 19A - Rajouté le 31/12/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Reeds werden koeien (door nijlpaarden) aangevallen » (« Des vaches ont déjà été attaquées »).
On y trouve notamment la forme verbale « AANgevallen », participe passé provenant de l’infinitif « AANvallen », lui-même construit sur l’infinitif « VALLEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Quand « AANvallen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGEvallen ».
Il y a REJET de la forme verbale « AANgevallen » à la fin de la phrase, derrière le complément éventuel (« door nijlpaarden »).
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Reeds »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « koeien ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « werden ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 19 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 18F - Rajouté le 30/12/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Daar schuilt (er) wat achter » (« Il y a quelque chose qui se cache là derrière »).
On y trouve notamment la forme verbale « schuilt … ACHTER », provenant de l’infinitif « ACHTERschuilen » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « SCHUILEN ».
Quand « ACHTERschuilen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « ACHTER » (ancienne préposition) de son infinitif proprement dit, et son REJET, derrière le complément (« WAT »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« DAAR »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici, sous-entendu « ER ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « schuilt ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 18 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 18E - Rajouté le 29/12/2015

Description : La triple phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Sam) begeeft zich naar een bevriend dorp om hulp te vragen om het vlot te bouwen » (« Il se rend vers = dans un village ami pour demander de l’aide pour construire le radeau »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « BEVRIEND », ancien participe passé (utilisé comme adjectif épithète) provenant de l’ancien infinitif « BEVRIENDEN », qui NE faisait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « BEVRIENDEN » était considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) ; il ne faisait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant déjà par la consonne « D », on trouvait le « D » majoritaire comme terminaison du participe passé.
On y trouve également, dans une sorte de phrase subordonnée « infinitive » introduite par « OM … TE » (signifiant « POUR » devant les verbes), le complément (« hulp ») qui s’intercale entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « VRAGEN ».
On y trouve encore, dans une sorte de deuxième phrase subordonnée « infinitive » introduite par « OM … TE », le complément (« het vlot ») qui s’intercale entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « BOUWEN ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 18 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 18D - Rajouté le 28/12/2015

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Indien we de rivier met een vlot afzakken raken ze ons spoor kwijt » (« Si nous nous enfonçons dans / descendons la rivière avec un radeau, ils perdent => perdront notre trace »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « raken … KWIJT », provenant de l’infinitif « KWIJTraken », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur « RAKEN ».
Quand « KWIJTraken » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « KWIJT » de son infinitif proprement dit et elle fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« ons spoor »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (la phrase subordonnée « Indien we de rivier met een vlot afzakken » joue ici ce rôle), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « ZE ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « RAKEN ») et passant donc derrière lui.
Notons que, dans la phrase subordonnée (introduite ici par « INDIEN »), le verbe (« afzakken ») ne reste plus à côté de son sujet (« WE ») et fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« de rivier » et « met een vlot »), à la fin de la phrase.
Si ce verbe « AFzakken » (à particule séparable) avait été conjugué dans une phrase « normale », cela aurait entraîné en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET derrière le les compléments (« de rivier » et « met een vlot »), à la fin de la phrase, comme dans l’exemple suivant : « We zakken de rivier met een vlot AF ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 18 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 18C - Rajouté le 27/12/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het schot heeft onze positie verraden » (« Le coup de feu a trahi notre position »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERRADEN », participe passé provenant de l’infinitif « VERRADEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé « VERRADEN » se construit sur l’infinitif. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons aussi que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Ce participe passé « VERRADEN » est dès lors identique à son infinitif « VERRADEN ».
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « onze positie »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 18 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 18B - Rajouté le 26/12/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De kogel slaat vlakbij de luipaard in » (« La balle frappe tout près du léopard »).
On y trouve notamment la forme verbale « slaat … IN », provenant de l’infinitif « inSLAAN » (dit à « particule séparable »), construit sur le verbe « SLAAN ».
La « particule séparable » « IN » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« vlakbij » et « de luipaard »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 18 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 18A - Rajouté le 25/12/2015

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Snel schoudert hij (Sam) het geweer en (hij) drukt af » (« Il épaule rapidement le fusil et presse sur la détente »).
On y trouve notamment, dans la deuxième phrase, la forme verbale « drukt … AF », construite sur le verbe « AFdrukken » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « DRUKKEN ».
Quand « AFdrukken » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET derrière le complément éventuel (« op het geweer »), à la fin de la deuxième phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 18 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 17I - Rajouté le 24/12/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Grommend maakt de luipaard zich voor de sprong klaar » (« Grognant = feulant, le léopard se prépare pour le bond »).
On y trouve notamment la forme verbale « maakt … KLAAR », provenant de l’infinitif « KLAARmaken » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « MAKEN ».
Quand « KLAARmaken » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « KLAAR » (ancien adjectif) de son infinitif proprement dit, et son REJET, derrière le complément (« voor de sprong »), à la fin de la phrase.
Rappelons que le participe présent (utilisé ici comme une sorte d’adjectif attribut) en néerlandais se construit en ajoutant simplement un « D » à l’infinitif : « GROMMEN » => « grommenD ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Grommend » joue ici ce rôle), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de luipaard ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « maakt ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 17H - Rajouté le 23/12/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Jij doodde die arme gazelle » (« Tu tuas cette pauvre gazelle »).
On y trouve notamment la forme verbale « doodDE » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant de l’infinitif « DODEN ».
Ce verbe est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent : « DOOD ») se terminant par la consonne « D », on trouvera le « D » majoritaire au participe passé (« GEDOOD ») et la terminaison « -DE » au singulier du prétérit : « DOOD » + « DE » => « doodDE ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 17G - Rajouté le 22/12/2015

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een luipaard slaapt naast de gazelle die hij voor de hyena’s in veiligheid bracht » (« Un léopard dort à côté de la gazelle qu’il a apportée en sécurité pour les = à cause des hyènes »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée relative (introduite par « DIE »), la forme verbale « BRACHT », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que, dans une phrase subordonnée, la forme verbale (ici « BRACHT ») ne se trouve plus juste à côté de son sujet (ici « HIJ ») et fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« voor de hyena’s » et « in veiligheid »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 17F - Rajouté le 21/12/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Voldaan slaapt een luipaard in de takken van de boom » (« Satisfait = repu, un léopard dort dans les branches de l’arbre »).
On y trouve notamment la forme verbale « VOLDAAN », participe passé qui, comme « GEDAAN », provient de l’infinitif « DOEN », faisant l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que le préfixe « GE- » (commun à une majorité de participes passés) ne se greffe pas après le préfixe « VOL- ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Voldaan » joue ici ce rôle), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « een luipaard ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « slaapt ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 17E - Rajouté le 20/12/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We zullen scherp moeten uitkijken » (« Nous allons devoir bien prendre garde »).
N’oublions pas que « ZULLEN », « auxiliaire du FUTUR », exige un REJET de l’infinitif ou des infinitifs (ici « MOETEN » et « UITKIJKEN »), derrière le complément (« scherp »), à la fin de la phrase.
On y trouve donc la forme verbale « UITkijken », infinitif dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « KIJKEN ».
Quand «UITkijken » est conjugué, cela entraîne normalement en néerlandais une séparation de la particule « UIT » (ancienne préposition) de son infinitif proprement dit, et son REJET, derrière le complément (« dscherp »), à la fin de la phrase. Ce serait plus clair dans la variante suivante : « We kijken scherp UIT. »
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 17D - Rajouté le 19/12/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De eland werd niet door de hyena gedood » (« L’antilope ne fut pas tuée par la hyène »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEDOOD », participe passé provenant de l’infinitif « DODEN ».
Ce verbe « DODEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « D », on trouvera le « D » majoritaire mais qui ne sera pas doublé au participe passé puisque déjà présent dans le radical du verbe ou première personne de l’indicatif présent.
Le participe passé « GEDOOD » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« door de hyena »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 17C - Rajouté le 18/12/2015

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het is (absoluut) uitgesloten dat een eenzame hyena een zo groot dier zou (hebben) gedood hebben » (« Il est exclu qu’une hyène solitaire ait tué un si grand animal »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « UITgesloten », participe passé provenant de l’infinitif « UITsluiten », lui-même construit sur l’infinitif « SLUITEN », affecté par les « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé « GESLOTEN » se construit sur le PLURIEL du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Ce verbe « UITsluiten » est aussi dit « à particule séparable » ; quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « uitGEsloten ».
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« absoluut »), à la fin de la phrase principale.
On y trouve également, dans la phrase subordonnée (introduite par « DAT »), la forme verbale « GEDOOD », participe passé (utilisé au futur antérieur) provenant de l’infinitif « DODEN ».
Ce verbe « DODEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « D », on trouvera le « D » majoritaire mais qui ne sera pas doublé au participe passé puisque déjà présent dans le radical du verbe ou première personne de l’indicatif présent.
Le participe passé « GEDOOD » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« enkel » et « voor onze persoonlijke behoefte »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 17B - Rajouté le 17/12/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij heeft zich tegoed gedaan » (« Il l’a bouffée = engloutie »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEDAAN », participe passé provenant de l’infinitif « DOEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Dans cette phrase, le participe passé « GEDAAN » est séparé de son sujet (« HIJ ») et fait l’objet d’un REJET, derrière le « complément » (« tegoed »), à la fin de la phrase.
Notez l’expression « tegoed doen ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 17A - Rajouté le 16/12/2015

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij (de hyena’s) houden de savannah schoon door alle dode dieren op te ruimen » (« Elles tiennent la savane propre en nettoyant tous ces animaux morts »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « houden … SCHOON », provenant de l’infinitif « SCHOONhouden » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « HOUDEN ».
Quand « SCHOONhouden » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « SCHOON » (ancien adjectif) de son infinitif proprement dit, et son REJET, derrière le complément (« de savannah »), à la fin de la phrase principale.
On y trouve également, dans la phrase subordonnée « infinitive » (introduite par « DOOR »), la forme verbale « OP … ruimen », provenant de l’infinitif « OPruimen » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « RUIMEN ».
Quand « OPruimen » est conjugué, cela entraîne normalement en néerlandais une séparation de la particule « OP » (ancienne préposition) de son infinitif proprement dit, et son REJET, derrière le complément (« de savannah »), à la fin de la phrase principale. Ce serait plus clair dans la variante suivante : « De hyena’s ruimen de savannah OP. »
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 16K - Rajouté le 15/12/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik dreef olifanten met levensgevaar over de grenzen » (« Je conduisis = refoulai DES éléphants avec danger de vie = en danger de mort au-delà des frontières »).
On y trouve notamment la forme verbale « dreef », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « DRIJVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
N’oublions pas, que tant en langue néerlandaise qu’en langue anglaise, le déterminant indéfini « DES » (PLURIEL de « UN » ou « UNE ») n’est rendu par AUCUN mot. Voir, par exemple, « Pluriel des noms » :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=plNoms
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 16J - Rajouté le 14/12/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik bracht olifanten in reservaten » (« J’apportais = j’amenais DES éléphants dans DES réserves »).
On y trouve notamment la forme verbale « BRACHT », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
N’oublions pas, que tant en langue néerlandaise qu’en langue anglaise, le déterminant indéfini « DES » (PLURIEL de « UN » ou « UNE ») n’est rendu par AUCUN mot. Voir, par exemple, « Pluriel des noms » :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=plNoms
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 16I - Rajouté le 13/12/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik doodde honderden olifanten » (« Je tuais DES centaines d’éléphants »).
On y trouve notamment la forme verbale « doodDE » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant de l’infinitif « DODEN ».
Ce verbe est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent : « DOOD ») se terminant par la consonne « D », on trouvera le « D » majoritaire au participe passé (« GEDOOD ») et la terminaison « -DE » au singulier du prétérit : « DOOD » + « DE » => « doodDE ».
N’oublions pas, que tant en langue néerlandaise qu’en langue anglaise, le déterminant indéfini « DES » (PLURIEL de « UN » ou « UNE ») n’est rendu par AUCUN mot. Voir, par exemple, « Pluriel des noms » :
http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=plNoms
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 16H - Rajouté le 12/12/2015

Description : La triple phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wij, jagers, kregen opdracht het wild te verdrijven of (het wild) uit te roeien » (« Nous les chasseurs reçûmes pour mission de refouler les animaux sauvages ou de les exterminer »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « KREGEN », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « KRIJGEN »), qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve également, dans la deuxième phrase subordonnée « infinitive » (avec un « TE » généré par « opdracht ») le verbe « UITroein », dont on voit bien qu’il est « à particule séparable », la particule « UIT » étant bien séparée par le « TE » s’intercalant entre elle et son infinitif « ROEIEN ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 16G - Rajouté le 11/12/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Deze landbouwgrond moet op de wildernis (worden) veroverd worden » (« Ce terrain à cultiver doit être conquis sur le domaine sauvage »).
N’oublions pas que « MOETEN », comme les autres « auxiliaires de mode » (« KUNNEN », « MOGEN » ou « WILLEN ») exige le REJET, derrière le complément (ici « op de wildernis »), de l’autre verbe à l’infinitif (ici « WORDEN ») à la fin de la phrase.
On y trouve aussi la forme verbale « veroverD », V.T.T. (ou participe passé) provenant de l’infinitif « veroveren ».
Ce verbe « veroveren » est, lui, donc bien considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est PAS affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison au participe passé.
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Ce participe passé « VEROVERD » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« op de wildernis »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 16F - Rajouté le 10/12/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wild wordt enkel voor onze persoonlijke behoefte gedood » (« Le gibier n’est tué que pour notre besoin personnel = consommation personnelle »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEDOOD », participe passé provenant de l’infinitif « DODEN ».
Ce verbe « DODEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « D », on trouvera le « D » majoritaire mais qui ne sera pas doublé au participe passé puisque déjà présent dans le radical du verbe ou première personne de l’indicatif présent.
Le participe passé « GEDOOD » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« enkel » et « voor onze persoonlijke behoefte »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 16E - Rajouté le 09/12/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Beide partijen worden achter de schermen gesteund » (« Les deux partis / parties sont soutenu(e)s derrière les écrans = en coulisses »).
On y trouve notamment la forme verbale « gesteund », participe passé provenant de l’infinitif « steunen ».
Ce verbe « STEUNEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « N », on trouvera comme terminaison du participe passé le « D » majoritaire.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 16D - Rajouté le 08/12/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Jouw (je) safari lijkt meer op een vlucht voor een onbekend gevaar » (« Ton safari ressemble plus à une fuite devant un danger inconnu »).
On y trouve notamment la forme verbale « bekend » (utilisée ici comme adjectif épithète), participe passé provenant de l’infinitif « BEKENNEN », lui-même construit sur le verbe « KENNEN ».
Ce verbe est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « N », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison du participe passé.
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « HER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
On fabrique le contraire du participe passé « bekend » en rajoutant le préfixe « ON » (ce sera « UN » en anglais).
Notez l’expression « lijken OP ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 16C - Rajouté le 07/12/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De kleinere landrover is (wordt) door hen (Sam en ellen) bezet » (« La plus petite landrover est occupée par eux »).
On y trouve notamment la forme verbale « BEZET », participe passé provenant du verbe « BEZETTEN », construit sur l’infinitif « ZETTEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Ce participe passé « BEZET » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« door hen »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 16B - Rajouté le 06/12/2015

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik moest (het) wel (zeggen) maar ik heb niets losgelaten » (« Je devais bien = je l’aurais dû mais je n’ai rien lâché »).
On y trouve notamment, dans la première phrase, la forme verbale « MOESTEN », O.V.T. (ou prétérit), provenant du verbe « MOETEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
N’oublions pas que « MOETEN », comme les autres « auxiliaires de mode » (« KUNNEN », « MOGEN » ou « WILLEN ») exige le REJET, derrière un complément éventuel (par exemple « HET »), de l’autre verbe à l’infinitif (ici « ZEGGEN », sous-entendu ) à la fin de la phrase.
On y trouve également, dans la deuxième phrase, la forme verbale « LOSgelaten », participe passé provenant de l’infinitif « LOSlaten », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « LATEN ».
Quand « LOSlaten » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « LOS » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « losGElaten ».
Le participe passé « LOSgelaten » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« NIETS »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 16A - Rajouté le 05/12/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We schakelden hem (Bexter) uit » (« Nous l’avons mis hors jeu = mis en échec »).
On y trouve notamment la forme verbale « schakelden … UIT », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « UITschakelen », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « SCHAKELEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « UITschakelen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de sa forme verbale proprement dite, la particule « UIT » étant affectée par un REJET, derrière le complément (« HEM » ou « Bexter »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 15J - Rajouté le 04/12/2015

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het is jammer dat ze NU (zijn) vertrokken zijn » (« C’est dommage qu’ils sont partis »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée (introduite par « DAT »), la forme verbale « VERTROKKEN », participe passé provenant de l’infinitif « VERTREKKEN », lui-même construit sur le verbe « TREKKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux
Il est à noter que ce participe passé « VERTROKKEN » se construit donc sur le PLURIEL du prétérit et est, dans ce cas, même identique. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons aussi que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« NU »), à la fin de la phrase subordonnée.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 15 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 15I - Rajouté le 03/12/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Als hij (Bexter) niet (snel) opdaagt, weet ik niet wat ik moet beginnen » (« S’il n’apparaît pas, je ne sais pas ce que je dois commencer »).
On y trouve, à l’indicatif présent mais dans une phrase subordonnée (introduite par « ALS »), la forme verbale « opdaagt », provenant de l’infinitif « OPdagen », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « DAGEN ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (la phrase subordonnée « Als hij niet opdaagt » joue ici ce rôle), on doit procéder, dans la phrase principale, à une « INVERSION », le sujet (ici « IK ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « WEET ») et passant donc derrière lui.
La « particule séparable » « OP » fait normalement (dans une phrase qui n’est pas subordonnée) l’objet d’un REJET, à la fin de la phrase et cela aurait été plus évident si on avait eu l’ordre traditionnel des mots dans une phrase affirmative, où on aurait en effet eu « OP » derrière le complément éventuel (« snel ») : « Hij daagt niet snel OP. »
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 15 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 15H - Rajouté le 02/12/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « En toch zien wij nog elkaar terug » (« Et pourtant nous nous revoyons encore = nous allons encore nous revoir »).
On y trouve notamment la forme verbale « zien … TERUG », provenant du verbe « TERUGzien » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « ZIEN ».
Quand « TERUGzien » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERUG » de son infinitif proprement dit et son REJET, derrière les compléments (« nog » et « elkaar »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« TOCH »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « WIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « ZIEN ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 15 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 15G - Rajouté le 01/12/2015

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het is je geraden uit mijn weg te blijven » (« Il t’est conseillé = je te conseille de rester hors de mon chemin »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « geraden », V.T.T. (ou participe passé) provenant de l’infinitif « RADEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’INFINITIF.
Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « geraden » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« JE » = « aan jou »), à la fin de la phrase principale.
On peut considérer qu’une phrase subordonnée « infinitive » commence à la préposition « UIT ». On aurait en effet pu avoir la variante suivante : « Het is je geraden dat je uit mijn weg blijft ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 15 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 15F - Rajouté le 30/11/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij zou later kontakt opnemen » (« Il prendrait contact plus tard »).
On y trouve, au conditionnel présent, la forme verbale « opnemen » (provenant de l’infinitif « NEMEN »), faisant l’objet d’un REJET (exigé par l’auxiliaire « ZOUDEN » du conditionnel), derrière les compléments (« later » et « kontakt ») à la fin de la phrase ».
La « particule séparable » « OP » fait normalement (par exemple à l’indicatif présent) l’objet d’un REJET, derrière les compléments, à la fin de la phrase : « Hij neemt later kontakt OP. »
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 15 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 15E - Rajouté le 29/11/2015

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (de Kyuna) wilde weten of ik de safari zou leiden » (« Il voulait savoir si j’allais diriger le safari »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « WILDE », prétérit provenant de l’infinitif « WILLEN ».
Ce verbe « WILLEN » évolue vers un verbe « régulier ». Comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs » sauf, parfois, encore au prétérit : « WOU » au lieu de « WILDE ». On aurait, en effet, pu trouver la variante suivante : « Hij WOU weten … ».
On y trouve également, dans la phrase subordonnée (introduite par « OF ») la forme verbale « ZOU », provenant de l’infinitif « ZOUDEN » (en quelque sorte « prétérit » de « ZULLEN »), auxiliaire utilisé pour indiquer que l’on se trouve au conditionnel.
N’oublions pas que « ZOUDEN » exige le REJET de l’autre verbe (ici « LEIDEN »), à l’infinitif, derrière le complément (ici « de safari »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 15 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 15D - Rajouté le 28/11/2015

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wat wilde die (Kyuna) van je ? » (« Que voulait celui-ci (ce Kyuna) de toi ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « WILDE », prétérit provenant de l’infinitif « WILLEN ».
Ce verbe « WILLEN » évolue vers un verbe « régulier ». Comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs » sauf, parfois, encore au prétérit : « WOU » au lieu de « WILDE ». On aurait, en effet, pu trouver la variante suivante : «Wat WOU die Kyuna van je ? ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 15 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 15C - Rajouté le 27/11/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Beveel die kerels op te hoepelen ! » (« Ordonne à ces types de ficher le camp ! »).
On y trouve, à l’impératif, la forme verbale « op … hoepelen », provenant de l’infinitif « OPhoepelen », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « HOEPELEN ».
La « particule séparable » « OP » fait normalement (par exemple à l’indicatif présent) l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« na het bevel ») à la fin de la phrase : « Die kerels hoepelen na het bevel OP. »
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 15 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 15B - Rajouté le 26/11/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De boys komen echter reeds aangesneld » (« Les boys viennent toutefois déjà en accourant »).
On y trouve notamment le REJET de la forme verbale « aanGEsneld », sorte d’attribut au participe passé (alors que l’on aurait pu s’attendre à un participe présent) provenant de l’infinitif « AANsnellen », lui-même construit sur le verbe « SNELLEN » (PAS affecté par les « temps primitifs »), derrière les compléments (« echter » et « reeds »), à la fin de la phrase.
Ce verbe « SNELLEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « L », on trouvera le « D » majoritaire.
Ce verbe « AANsnellen » est aussi dit « à particule séparable » ; quand il est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGEsneld ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 15 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 15A - Rajouté le 25/11/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wat kwam de berichtloper bij jou doen ? » (« Que venait faire chez toi le porteur de message = le messager ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « KWAM », O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « KOMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 15 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 14E - Rajouté le 24/11/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Scheer je weg ! » (« Tire-toi ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « scheer … WEG » à l’impératif, provenant de l’infinitif « WEGscheren » (dit à « particule séparable »), construit sur le verbe « SCHEREN ».
La particule séparable « WEG » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« JE »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 14 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 14D - Rajouté le 23/11/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Neem jouw (je) speer mee ! » (« Prends ta lance (avec) ! »).
On trouve, dans cette phrase à l’impératif, la forme verbale « neem … MEE », provenant de l’infinitif « meeNEMEN », dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « NEMEN ».
La particule séparable « MEE » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« bij hem »), à la fin de la phrase.
Rappelons que la particule « MEE » provient de la préposition « MET ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 14 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 14C - Rajouté le 22/11/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We rijden naar hem toe » (« Nous roulons jusqu’à vers lui = nous nous rendons en voiture jusqu’à chez lui »).
On y trouve notamment la forme verbale « rijden … TOE », provenant du verbe « TOErijden », construit sur l’infinitif « RIJDEN ».
Le verbe « TOErijden » est dit « à particule séparable ». Il y a REJET de la particule séparable « TOE », derrière le complément (« naar hem »), à la fin de la phrase.
Rappelons que la particule « TOE » provient de la préposition « TOT ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 14 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 14B - Rajouté le 21/11/2015

Description : La triple phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Mpongi) vond het (ge)raadzaam dat jullie wisten dat Bexter (hij) bezoek van een koerier van de Kyuna’s (heeft) gehad heeft » (« Il trouvait à propos = utile que je vous saviez / sachiez que Bexter avait eu la visite d’un courrier des Kyunas »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « VOND », prétérit ou O.V.T. provenant de l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve également, dans la première phrase subordonnée (introduite par un « DAT », généré par « VINDEN »), la forme verbale « WIST », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « WETEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve enfin, dans la deuxième phrase subordonnée (également introduite par un « DAT », généré par « WETEN »), la forme verbale « GEHAD », participe passé provenant de l’infinitif « HEBBEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Cette forme verbale « GEHAD » est construite sur le SINGULIER du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GEHAD » fait l’objet d’un REJET, derrière le(s) complément(s) (« bezoek van een koerier van de Kyuna’s door iets »), à la fin de cette deuxième phrase subordonnée.
Le sujet de cette dernière, Dexter, est donc séparé du verbe.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 14 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 14A - Rajouté le 20/11/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij heeft kontakt met iemand gezocht » (« Elle a recherché le contact = à prendre contact avec quelqu’un»).
On y trouve notamment la forme verbale « GEZOCHT », participe passé provenant de l’infinitif « ZOEKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEZOCHT » est construit sur le SINGULIER du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GEZOCHT » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« kontakt » et « met iemand »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 14 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 13D - Rajouté le 19/11/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze worden door iets gedwongen » (« Ils sont forcés par quelque chose »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEDWONGEN », participe passé provenant de l’infinitif « DWINGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Cette forme verbale « GEDWONGEN » est construite sur le PLURIEL du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GEDWONGEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« door iets »), à la fin de la phrase principale.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 13 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 13C - Rajouté le 18/11/2015

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik dacht dat je moediger was » (« Je pensais que tu étais plus courageux »).
On y trouve notamment dans la phrase principale, la forme verbale « DACHT » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant du verbe « DENKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve également dans la phrase subordonnée (introduite ici par « DAT »), la forme verbale « WAS » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant du verbe « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons aussi que, dans une phrase subordonnée, la forme verbale (ici « WAS ») ne se trouve plus juste à côté de son sujet (ici « JE ») et fait l’objet d’un REJET, derrière le « complément » ou attribut (« moediger »), à la fin de la phrase.
Signalons que, en langue néerlandaise (comme en langue anglaise, d’ailleurs), le comparatif de supériorité (adjectif précédé de « PLUS » en français) est constitué d’1 (UN) seul mot : l’adjectif auquel on ajoute la terminaison « -ER » (« moedig » + « ER » = « moedigER »).
Au La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 13 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 13B - Rajouté le 17/11/2015

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Moeder zegt dat je die neushoorn met één schot neerlegde » (« Mère dit que tu as mis à terre = abattu ce rhinocéros d’un seul tir »).
On y trouve, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « NEERlegde », provenant de l’infinitif « NEERleggen » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « LEGGEN ».
Quand « NEERleggen » est conjugué, cela entraîne normalement (pas dans une phrase subordonnée) en néerlandais une séparation de la particule « NEER » de son infinitif proprement dit, et son REJET, derrière les compléments (« die neushoorn » et « met één schot »), à la fin de la phrase. On s’en rend mieux compte dans la variante suivante : « Je legde die neushoorn met één schot NEER ».
Rappelons que, dans une phrase subordonnée, la forme verbale (ici « neerlegde») ne se trouve plus juste à côté de son sujet (ici « JE ») et fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments, à la fin de la phrase.
N’oublions que le verbe actif « LEGGEN » (« mettre en position couchée »), verbe régulier, est le « pendant » du verbe passif « LIGGEN » (« être en position couchée »), verbe irrégulier.
Ce verbe « LEGGEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») comme ceux dont les consonnes finales NE sont PAS présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « G », on trouvera, comme terminaison du prétérit le « -DE » majoritaire.
Rappelons aussi que, en langue néerlandaise, les voyelles sont rarement accentuées. Si le chiffre « 1 » l’est ici, c’est pour insister sur le fait qu’il s’agit de « 1 et un seul » coup de feu …
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 13 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 13A - Rajouté le 16/11/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De klauwen van de leeuwen lieten lidtekens achter op de rug » (« Les griffes des lions ont laissé des cicatrices derrière sur le dos »).
On y trouve la forme verbale « LIETEN », O.V.T. (ou prétérit) construit sur le verbe « LATEN » et faisant partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 13 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 12B - Rajouté le 15/11/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Bij de waterval staan twee zwaar geladen landrovers klaar » (« Près de la chute d’eau = cascade, se trouvent deux landrovers lourdement chargées »).
On y trouve notamment la forme verbale « GELADEN », participe passé (utilisé ici comme adjectif épithète) provenant de l’infinitif « LADEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » aux temps composés (pas à l’O.V.T. !).
Cette forme verbale est, comme on le voit, construite sur l’INFINIF. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 12 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 12A - Rajouté le 13/11/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Na een kort gesprek met de piloot, stijgt (in de lucht) het vliegtuig op » (« Après une courte conversation avec le pilote, l’avions monte … dans le ciel »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « stijgt … OP », construite sur le verbe « OPstijgen, dit « à particule séparable », construit lui-même sur l’infinitif « STIJGEN ».
La particule « OP » fait l’objet d’un « REJET », derrière le complément éventuel (« in de lucht »), à la fin de la phrase.
Notez que « VLIEGtuig » signifie étymologiquement « engin qui VOLE ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Na een kort gesprek met de piloot »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « het vliegtuig ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « stijgt ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 12 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 11C - Rajouté le 12/11/2015

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij (Bibi Ellen) wilde weten wie hem (had) gezonden had » (« Elle voulait savoir qui l’avait envoyé »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « WILDE », prétérit provenant de l’infinitif « WILLEN ».
Ce verbe « WILLEN » évolue vers un verbe « régulier ». Comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs » sauf, parfois, encore au prétérit : « WOU » au lieu de « WILDE ». On aurait, en effet, pu trouver la variante suivante : « Zij WOU weten wie hem had gezonden ».
On y trouve également, dans la phrase subordonnée relative (introduite par « WIE ») au plus-que-parfait, la forme verbale « GEZONDEN », participe passé provenant de l’infinitif « ZENDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé du verbe « ZENDEN » se construit sur le PLURIEL du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « HEM »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 11B - Rajouté le 11/11/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je hebt het (dat OU dit) gewild » (« Tu l’as voulu »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEWILD », participe passé provenant de l’infinitif « WILLEN ».
Ce verbe « WILLEN » évolue vers un verbe « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs » sauf, parfois, encore au prétérit : « WOU » au lieu de « WILDE ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « L », on trouvera comme terminaison du participe passé le « D » majoritaire.
Ce participe passé « GEWILD », fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« HET »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 11A - Rajouté le 10/11/2015

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij valt (zijn tegenstander) aan en loopt regelrecht naar de verborgen speer » (« Il attaque et court directement vers la lance cachée »).
On y trouve, dans la première phrase, la forme verbale « valt … AAN », O.T.T. (ou « présent ») provenant de l’infinitif « AANvallen » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « VALLEN ».
Quand « AANvallen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit et elle fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« zijn tegenstander »), à la fin de la première phrase.
On y trouve également, dans la deuxième phrase, la forme verbale « VERBORGEN », participe passé (utilisé ici comme adjectif épithète) construit sur le verbe « VERBERGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit et, dans ce cas, est identique. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 10G - Rajouté le 09/11/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Waar houdt hij zich (nu) verborgen ? » (« Où se tient-il caché ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERBORGEN », participe passé (utilisé ici comme une sorte d’adjectif attribut) construit sur le verbe « VERBERGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit et, dans ce cas, est identique. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé réagit ici comme à un temps composé et fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (par exemple « NU »), à la fin de la phrase. On le comprend mieux avec la variante suivante : « Waar heeft hij zich nu verborgen ? »
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 10 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 10F - Rajouté le 08/11/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Deze duikt in de dichte doornstruiken weg » (« Celui-ci plonge en disparaissant dans les épais / proches buissons épineux »).
On y trouve, à l’indicatif présent (O.T.T.), la forme verbale « duikt … WEG », provenant de l’infinitif « WEGduiken », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « DUIKEN ».
La « particule séparable » « WEG » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« in de dichte doornstruiken »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 10 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 10E - Rajouté le 07/11/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij heeft de vlakte al bereikt » (« Il a déjà atteint la plaine »).
On y trouve notamment la forme verbale « BEREIKT », participe passé provenant de l’infinitif « BEREIKEN ».
Ce verbe « BEREIKEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux. (Le hasard fait aussi que le participe passé est identique à la 2ème ou 3ème personne du présent).
Ce participe passé « BEREIKT » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« de vlakte » et « AL »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 10 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 10D - Rajouté le 06/11/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Bwana) heeft me teruggezonden » (« Il m’a renvoyé »).
On y trouve notamment la forme verbale « TERUGgeZONDEN », participe passé du verbe « TERUGzenden » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « ZENDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « TERUGzenden » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERUG » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « terugGEzonden ».
Il est à noter que ce participe passé du verbe « ZENDEN » se construit sur le PLURIEL du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « ME »), à la fin de la phrase.
La particule séparable « TERUG » rend une notion de retour ou de répétition.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 10 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 10C - Rajouté le 05/11/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « (Op) Het volgende ogenblik is hij (de Kuyna) in het woud verdwenen » (« L’instant suivant = d’après, il a disparu dans la forêt »).
On y trouve notamment la forme verbale « verdwenen », V.T.T. (ou participe passé) provenant de l’infinitif « VERDWIJNEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit, comme la majorité des verbes en « IJ ». Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Le participe passé « verdwenen » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« in het woud »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas non plus que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (ici « Het volgende ogenblik »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « HIJ = de Kyuna ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « IS ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 10 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 10B - Rajouté le 04/11/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zeg me wie je gezonden heeft » (« Dis-moi qui t’a envoyé »).
On y trouve notamment la forme verbale « geZONDen », V.T.T. (ou participe passé) provenant de l’infinitif « ZENDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 10 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 10A - Rajouté le 03/11/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij slaat elke beweging van haar (Ellen) aandachtig slade » (« Il observe chaque mouvement de Ellen attentivement »).
On y trouve notamment la forme verbale « slaat … GADE » provenant de l’infinitif « GADEslaan », verbe à « particule séparable ».
« GADE » réagit comme les « particules séparables » provenant de prépositions courantes (« IN », « OP », etc) et fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« elke beweging van haar » et « aandachtig »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 10 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 9B - Rajouté le 02/11/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het kamp wordt niet bewaakt » (« Le camp n’est pas surveillé »).
On y trouve notamment la forme verbale « BEWAAKT », participe passé provenant de l’infinitif « BEWAKEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « BEWAKEN » est donc considéré comme « régulier » mais il fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera le « T » minoritaire comme terminaison du participe passé.
Rappelons également que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Le participe passé « BEWAAKT » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« door niemand »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 9A - Rajouté le 01/11/2015

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij aanvaardde » (« Il accepta »).
On y trouve la forme verbale « aanvaardDE », O.V.T. (ou prétérit) provenant du verbe « AANVAARDEN ».
Ce verbe « AANVAARDEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») comme ceux dont les consonnes finales NE sont PAS présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « D », on trouvera, comme terminaison du prétérit le « -DE » majoritaire.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 8K - Rajouté le 31/10/2015

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij verwondde een man uit het dorp die hem de plaats niet kon wijzen » (« Il blessa un homme du village qui ne pouvait pas lui indiquer l’emplacement »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « verwondDE », O.V.T. (ou prétérit) provenant du verbe « VERwonden », lui-même construit sur l’infinitif « wonden ».
Ce verbe « WONDEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») dont les consonnes NE sont PAS présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « D », on trouvera, comme terminaison du prétérit le « -DE » majoritaire.
On y trouve également, dans la phrase subordonnée (ici « relative », introduite par « DIE »), la forme verbale « KON », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « KUNNEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
L’infinitif « WIJZEN » fait normalement l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« hem » et « de plaats »), à la fin de la phrase, parce l’auxiliaire de mode « KUNNEN » l’exige. C’’est plus évident dans la variante suivante : « Een man uit het dorp kon hem de plaats niet wijzen ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 8 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 8J - Rajouté le 30/10/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij zocht (naar) het kamp » (« Il cherchait le camp »).
On y trouve notamment la forme verbale « ZOCHT », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « ZOEKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 8 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 8I - Rajouté le 29/10/2015

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De man, die deze armband droeg, is een Kyuna krijger » (« L’homme, qui portait ce bracelet, est un guerrier Kyuna »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée (ici « relative », introduite par « DIE »), la forme verbale « DROEG », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « DRAGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que, dans une phrase subordonnée la forme verbale est séparée de son sujet et fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« deze armband »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 8 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 8H - Rajouté le 28/10/2015

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wanneer hij (Mgono) aankomt, wordt hij door hem (Sam) van de afspraak op de hoogte gebracht » (« Quand il arrive, il est mis au courant par lui du rendez-vous »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « GEBRACHT », participe passé provenant de l’infinitif « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEBRACHT » est construit sur le SINGULIER du prétérit. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GEBRACHT » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« door hem », « van de afspraak» et « op de hoogte »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (la phrase subordonnée « Wanneer hij aankomt » joue ici ce rôle), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (« HIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « wordt ») et passant donc derrière lui.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
Notez l’expression « op de hoogte brengen » : il s’agit bien de « mettre au courant » et PAS de « mettre à la hauteur ».
On y trouve également, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « AANkomt », provenant de l’infinitif « AANkomen », verbe dit « à particule séparable ».
Quand « aanKOMEN » est conjugué, cela entraîne normalement (mais PAS dans une phrase subordonnée) en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « AAN » étant normalement affectée par un REJET, derrière le complément éventuel (« in het kamp »), à la fin de la phrase. On aurait pu avoir la variante suivante : « Hij komt in het kamp AAN en hij wordt (…) op de hoogte gebracht »
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 8 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 8G - Rajouté le 27/10/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Uiteindelijk vindt hij een verloren armband » (« Finalement il trouve = il finit par trouver un bracelet perdu »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERLOREN », participe passé (utilisé ici comme adjectif épithète) construit sur le verbe « VERLIEZEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Il est à noter que ce participe passé se construit donc sur le PLURIEL du prétérit et est même identique. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Uiteindelijk »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « HIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « VINDT ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 8 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 8F - Rajouté le 26/10/2015

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Alvorens naar het kamp terug TE keren, speurt hij (Mgono) (ge)ruime tijd bij de rotsen » (« Avant DE retourner au camp = regagner le camp, il examine un large temps = un bon moment près des rochers »).
On y trouve, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « TERUG … keren », provenant de l’infinitif « TERUGkeren », verbe dit « à particule séparable ».
Quand « TERUGkeren » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERUG » de son infinitif proprement dit, la particule « TERUG » étant normalement affectée par un REJET, derrière le complément éventuel (« naar het kamp »), à la fin de la phrase. On aurait pu avoir la variante suivante à l’O.T.T. : « Hij keert naar het kamp TERUG ».
On aurait aussi pu avoir la variante suivante de la phrase subordonnée au passé composé : « Voordat hij naar het kamp is terugGEkeerd, heeft hij ruime tijd bij de rotsen gespeurd ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (la phrase subordonnée « Alvorens naar het kamp terug te keren » joue ici ce rôle), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (« HIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « speurt ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 8 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 8E - Rajouté le 25/10/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik wist niet van een kamp af » (« Je ne savais rien d’un camp »).
On y trouve notamment la forme verbale « wist … AF », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « afWETEN », construit sur « WETEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La « particule séparable » « AF » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« van een kamp »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 8 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 8D - Rajouté le 24/10/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Waar werd je overvallen ? » (« Où as-tu été agressé ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « overvallen », participe passé provenant de l’infinitif « overvallen » (qui n’est donc PAS « à particule séparable », ce qui fait que, par hasard, participe passé et infinitif sont identiques), lui-même construit sur le verbe « VALLEN ».
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 8 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 8C - Rajouté le 23/10/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat heeft hij niet kunnen vaststellen » (« Cela, il n’a pas pu le constater »).
La phrase est, en fait, au passé composé et la forme verbale de « KUNNEN » aurait dû être au participe passé mais on a ici affaire à ce que l’on appelle le « double infinitif », solution intéressante pour éviter les « temps primitifs » quand on ne les maîtrise pas.
Les deux infinitifs auraient l’objet d’un REJET, derrière le complément (« DAT »), à la fin de la phrase.
On y trouve la forme verbale « VASTstellen », verbe dit « à particule séparable », construit sur le verbe « STELLEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Si « vastSTELLEN » avait été conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela aurait entraîné en néerlandais une séparation de la particule « VAST » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « vastGEsteld » : « Dat heeft hij niet VASTgesteld ».
Le participe passé « vastGEsteld » aurait alors fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« DAT », si ce dernier n’avait pas commencé la phrase) à la fin de la phrase : : « Hij heeft dat niet VASTgesteld ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 8 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 8B - Rajouté le 22/10/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De krijger van een vreemde stam die naar het kamp van een blanke vrouw zocht » (« Le guerrier d’une tribu étrangère, qui cherchait le camp d’une femme blanche »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée (ici « relative », introduite par « DIE »), la forme verbale « ZOCHT », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « ZOEKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que, dans une phrase subordonnée la forme verbale est séparée de son sujet et fait l’objet d’un REJET, derrière le(s) complément(s) (« naar het kamp van een blanke vrouw»), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 8 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 8A - Rajouté le 21/10/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een van onze jagers werd door de krijger van een vreemde stam gewond » (« Un de nos chasseurs fut blessé par le guerrier d’une tribu étrangère »).
On y trouve notamment la forme verbale « gewond », participe passé provenant de l’infinitif « wonden ».
Ce verbe « WONDEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant déjà par la consonne « D », on trouvera, de toutes façons, comme terminaison du participe passé le « D » majoritaire.
Ce participe passé « GEWOND », fait normalement l’objet d’un REJET, derrière le(s) complément(s) (« door de krijger van een vreemde stam »), à la fin de la phrase principale
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 8 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 7I - Rajouté le 20/10/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Laten we een reisplan opmaken » (« Laissons-nous faire un plan de voyage = échafaudons un plan de voyage »).
N’oublions pas que la tournure « LATEN we » (littéralement « Laissons-nous ») de la première personne du pluriel de l’IMPERATIF présent exige un REJET de l’infinitif, derrière le complément (« een reisplan »), à la fin de la phrase.
Rappelons que « OP » est un verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « MAKEN ».
Quand « OPmaken » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « OP » étant alors affectée par un REJET, derrière le complément (« een reisplan »), à la fin de la phrase, comme dans cette variante, possible à l’O.T.T. (ou présent) : « We maken een reisplan OP ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 7 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 7H - Rajouté le 19/10/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik word gesteund » (« Je suis soutenue »).
On y trouve notamment la forme verbale « gesteund », participe passé provenant de l’infinitif « STEUNEN ».
Ce verbe « STEUNEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « N », on trouvera, comme terminaison du participe passé le « D » majoritaire.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ». En effet, si l’on peut imaginer un complément introduit, par la préposition « DOOR » en langue néerlandaise (« PAR » en langue française), on devra utiliser l’auxiliaire « WORDEN » de la voix passive : « Ik word door de overheid gesteund ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 7 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 7G - Rajouté le 18/10/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik neem het aan al vind ik het een zonderling gedoe » (« Je l’accepte même si je trouve que c’est une drôle d’histoire »).
On y trouve notamment la forme verbale « nemen … AAN », construite sur le verbe « AANnemen » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « NEMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « AANnemen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET derrière le complément (« HET » pouvant remplacer, par exemple, « de gevaarlijke opdracht »), à la fin de la phrase.
On y trouve une deuxième phrase (introduite par « AL »), pour laquelle on aurait pu avoir la variante de phrase subordonnée (où la forme verbale, rejetée derrière les compléments, ne se trouve plus juste à côté du sujet) suivante : « Ik neem het aan alHOEWEL ik het een zonderling gedoe vind ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 7 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 7F - Rajouté le 17/10/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De boodschapper (Mpongi) werd gewond » (« Le messager fut blessé »).
On y trouve notamment la forme verbale « gewond », participe passé (utilisé ici comme adjectif épithète) provenant de l’infinitif « wonden ».
Ce verbe « WONDEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant déjà par la consonne « D », on trouvera, de toutes façons, comme terminaison du participe passé le « D » majoritaire.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 7 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 7E - Rajouté le 16/10/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je wil een safari door een haast onbetreden gebied ondernemen » (« Tu veux entreprendre un safari dans un domaine presque non foulé = où l’on n’a presque pas pénétré »).
On y trouve notamment le contraire (« ONbetreden ») de la forme verbale « BETREDEN », participe passé (utilisé comme une sorte d’adjectif épithète) provenant de l’infinitif « TREDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Il est à noter que ce participe passé « BETREDEN » se construit sur l’INFINITIF et, par hasard, est identique. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs », où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 7 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 7D - Rajouté le 15/10/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Heeft de speerwond van de boodschapper daar iets mee te maken ? » (« Est-ce que la blessure par lance du messager a quelque chose à faire = voir avec cela ? »).
Contrairement à ce que l’on pourrait croire à première vue, nous n’avons pas affaire dans cette phrase au verbe « MEEmaken », dit « à particule séparable ».
On y trouve en effet un adverbe pronominal personnel « séparé » (car séparable ) : « DAAR … MEE ». On aurait pu trouver les variantes suivantes : « Heeft de speerwond van de boodschapper DAARmee iets te maken ? », « Heeft de speerwond van de boodschapper ERmee iets te maken ? » ; « Heeft de speerwond van de boodschapper ER iets mee te maken ? ».
Rappelons que « MEE » provient de la préposition « MET ».
Si l’on parle d’adverbe pronominal, c’est parce que sa partie « PRO-nom » remplace un nom commun éventuel « De gevaarlijke opdracht ». On aurait pu avoir la variante : « Heeft de speerwond van de boodschapper iets met de gevaarlijke opdracht te maken ? ». Donc « erMEE » remplace bien « MET de gevaarlijke opdracht ».
Notez l’expression « met iets te maken hebben ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 7 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 7C - Rajouté le 14/10/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ga naar het kamp mee » (« Viens au camp avec = accompagne au camp »).
On y trouve notamment la forme verbale « ga … MEE », provenant de l’infinitif « MEEgaan » (verbe dit à « particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « GAAN ».
La particule séparable « MEE » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« naar het kamp »), à la fin de la phrase.
Rappelons que la particule « MEE » provient de la préposition « MET ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 7 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 7B - Rajouté le 13/10/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat gestoei met neushoorns kon je het leven kosten » (« Cette querelle / ce batifolage avec des rhinocéros pouvait te coûter la vie »).
On y trouve notamment la forme verbale « KON », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif (et « AUXILIAIRE de MODE de la capacité) « KUNNEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
L’infinitif « KOSTEN » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« JE » et « het leven »), à la fin de la phrase, parce l’auxiliaire de mode « KUNNEN » l’exige.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 7 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 7A - Rajouté le 12/10/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Met een enkel schot legt hij (Sam) de neushoorn neer » (« Avec un seul / D’un seul coup de fusil, il abat le rhinocéros »).
On y trouve notamment la forme verbale « legt … NEER », provenant de l’infinitif « NEERleggen » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « LEGGEN ».
Quand « NEERleggen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « NEER » de son infinitif proprement dit, et son REJET, derrière le complément (« de neushoorn »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Met een enkel schot »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « HIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « legt ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 7 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 6C - Rajouté le 11/10/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Neem het stuurwiel over » (« prends le relais au volant = reprends le volant »).
On y trouve notamment la forme verbale « neem … OVER », provenant de l’infinitif « OVERnemen », verbe à « particule séparable ».
Quand ce verbe « OVERnemen » est conjugué, la particule « OVER » se sépare donc de l’infinitif « NEMEN » proprement dit et fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« het stuurwiel »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 6B - Rajouté le 10/10/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik ben klem gereden » (« J’ai roulé dans le fossé = je suis sortie de la route »).
On y trouve notamment la forme verbale « gereden », participe passé provenant de l’infinitif « RIJDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé « gereden » se construit sur le PLURIEL du prétérit (ou O.V.T.). Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GEreden » fait l’objet d’un REJET, derrière le « complément » (« klem »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que si nous avons affaire à un MOUVEMENT, l’auxiliaire des temps composés sera plutôt le verbe « ZIJN ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 6A - Rajouté le 09/10/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Heb je dat gehoord ? » (« As-tu entendu cela ? »).
On y trouve notamment,la forme verbale « GEHOORD », participe passé provenant de l’infinitif « HOREN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « HOREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) ; il ne fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « G », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison du participe passé.
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « DAT »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 5I - Rajouté le 08/10/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De gewonde neushoorn ligt op de loer » (« Le rhinocéros blessé est aux aguets »).
On y trouve notamment la forme verbale « gewond », participe passé (utilisé ici comme adjectif épithète) provenant de l’infinitif « wonden ».
Ce verbe « WONDEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant déjà par la consonne « D », on trouvera, de toutes façons, comme terminaison du participe passé le « D » majoritaire.
Notez l’expression « op de loer liggen ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 5H - Rajouté le 07/10/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik houd het wel uit » (« Je tiens = tiendrai bien le coup »).
On y trouve notamment la forme verbale « houd … UIT », construite sur le verbe « UIThouden » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « HOUDEN ».
Quand « UIThouden » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« HET » et « WEL ») à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 5G - Rajouté le 06/10/2015

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik hoop maar dat de neushoorn ervandoor (is) gegaan is » (« J’espère seulement que le rhinocéros s’en est allé = a pris le large »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée (introduite par « DAT »), la forme verbale « gegaan », participe passé provenant de l’infinitif « GAAN ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’INFINITIF. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Le participe passé « GEgaan » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« ervandoor »), à la fin de la phrase.
Rappelons donc aussi que, dans une phrase subordonnée (introduite ici par « DAT »), la forme verbale (ici « IS ») ne se trouve plus juste à côté de son sujet (ici « de neushoorn »).
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 5F - Rajouté le 05/10/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik zal voorzichtig rijden » (« Je roulerai prudemment = je vais rouler prudemment »).
On y trouve notamment, avec « ZULLEN », « auxiliaire du FUTUR », un REJET de l’infinitif (« RIJDEN »), derrière le complément (« voorzichtig »), à la fin de la phrase.
Il est peut-être plus facile pour une personne francophone de comprendre cette construction de phrase en la comparant au « futur proche » français, qui recourt au verbe « ALLER » …
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 5E - Rajouté le 04/10/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zou zij zwaar gewond zijn ? » (« serait-elle lourdement = gravement blessée ? »).
On y trouve notamment un conditionnel (« auxiliaire « ZOUDEN ») passé, avec une nuance de « supposition », qui exige le REJET de l’autre verbe, à l’INFINITIF » (« ZIJN »), derrière le complément (« zwaar gewond »), à la fin de la phrase.
On y trouve également la forme verbale « gewond », participe passé (utilisé ici comme adjectif attribut) provenant de l’infinitif « wonden ».
Ce verbe « WONDEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant déjà par la consonne « D », on trouvera, de toutes façons, comme terminaison du participe passé le « D » majoritaire.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 5D - Rajouté le 03/10/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Verrast, duikt de licht gewonde neushoorn in de doornstruiken » (« Surpris, le rhinocéros légèrement blessé plonge dans les buissons épineux »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERRAST », participe passé (utilisé ici comme une sorte d’attribut) provenant de l’infinitif « VERRASSEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « VERRASSEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « S », on trouvera au participe passé un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux. Le hasard fait donc que la forme verbale « VERRAST » est la même au participe passé qu’à la deuxième (ou troisième) personne du singulier de l’indicatif présent (ou O.T.T.).
On y trouve également la forme verbale « gewond », participe passé (utilisé ici comme adjectif épithète) provenant de l’infinitif « wonden ».
Ce verbe « WONDEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant déjà par la consonne « D », on trouvera, de toutes façons, comme terminaison du participe passé le « D » majoritaire.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (ici « VERRAST »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de licht gewonde neushoorn ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « DUIKT ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 5C - Rajouté le 02/10/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb hem geraakt » (« Je l’ai touché »).
On y trouve notamment la forme verbale « geraakt », participe passé construit sur le verbe « RAKEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le verbe « RAKEN » est donc considéré comme « régulier » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera comme terminaison du participe passé un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Le participe passé « geraakt » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« HEM »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 5B - Rajouté le 01/10/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De neushoorn gaat dadelijk weer tot de aanval over » (« Le rhinocéros passe tout de suite à nouveau à l’attaque = repasse tout de suite à l’attaque»).
On y trouve notamment la forme verbale « gaat … OVER », provenant de l’infinitif « OVERgaan », verbe à « particule séparable ».
Quand ce verbe « OVERgaan » est conjugué, la particule « OVER » se sépare donc de l’infinitif « GAAN » proprement dit et fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« dadelijk », « weer » et « tot de aanval »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 5A - Rajouté le 30/09/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Als ik mis, is de vrouw (hopeloos) verloren » (« Si je manque = rate mon tir, la femme est perdue »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « VERLOREN », participe passé construit sur le verbe « VERLIEZEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit et, dans ce cas, est identique. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Ce participe passé « VERLOREN », fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« hopeloos »), à la fin de la phrase principale
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (la proposition subordonnée « Als ik mis » joue ici ce rôle), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet de la phrase principale (ici « de vrouw ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « IS ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 4F - Rajouté le 29/09/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De vrouw rent gillend weg wanneer de neushoorn woest snuivend aanvalt » (« La femme court loin en criant = fuit en courant quand le rhinocéros reniflant attaque sauvagement »).
On y trouve notamment la forme verbale « rent … WEG », construite sur le verbe « WEGrennen » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « RENNEN ».
Quand « WEGrennen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « WEG » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET (derrière le « complément » : « gillend ») à la fin de la phrase.
N’oublions pas que le participe présent en néerlandais se construit en ajoutant simplement un « D » à l’infinitif : « GILLEN » => « gillenD » ; « SNUIVEN » => « snuivenD ».
Rappelons aussi que, dans une phrase subordonnée (introduite ici par « WANNEER »), la forme verbale (ici « aanvalt ») ne se trouve plus juste à côté de son sujet (ici « de neushoorn ») et fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« woest » et « snuivend »), à la fin de la phrase.
Notons que la forme verbale « AANvalt » provient de l’infinitif « AANvallen », dit « à particule séparable » ; s’il ne s’était pas trouvé dans une phrase subordonnée, cela aurait entraîné en néerlandais une séparation de la particule « AAN » et son REJET, derrière les compléments (« woest » et « snuivend »), à la fin de la phrase : « De neushoorn valt de vrouw woest snuivend AAN ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 4 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 4E - Rajouté le 28/09/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Niet ver van het verborgen kamp vult een inlandse vrouw een kalebas » (« Pas loin du camp caché, une femme indigène remplit une calebasse »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERBORGEN », participe passé (utilisé ici comme adjectif épithète) de l’infinitif « VERBERGEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit et, dans ce cas, est identique. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
N’oublions pas non plus que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Niet ver van het verborgen kamp »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « een inlandse vrouw ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « VULT ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 4 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 4D - Rajouté le 27/09/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij (Bibi Moore) verwacht je bij de rivier zodra de duisternis (rond acht uur) (is) ingetreden is » (« Elle t’attend près de la rivière dès que l’obscurité a commencé = les ténèbres se sont installées »).
On y trouve notamment la forme verbale « INgetreden », participe passé provenant de l’infinitif « INtreden », lui-même construit sur l’infinitif « TREDEN »,qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que le participe passé « GETREDEN » se construit sur l’INFINITIF. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Ce verbe «INtreden » est aussi dit « à particule séparable » ; quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « IN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « inGEtreden ».
Rappelons aussi que, dans une phrase subordonnée (introduite ici par « ZODRA »), la forme verbale (ici « IS ») ne se trouve plus juste à côté de son sujet (ici « de duisternis ») et fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« rond acht uur »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 4 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 4C - Rajouté le 26/09/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik moest eerst zekerheid (« zekerheden ») hebben » (« Je devais d’abord avoir des certitudes »).
On y trouve notamment la forme verbale « MOEST », O.V.T. (ou prétérit), provenant du verbe « MOETEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
N’oublions pas que « MOETEN », comme les autres « auxiliaires de mode » (« KUNNEN », « MOGEN » ou « WILLEN ») exige le REJET, derrière les compléments (ici « eerst » et « zekerheid »), de l’autre verbe à l’infinitif (ici « HEBBEN ») à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 4 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 4B - Rajouté le 25/09/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het zijn de mannen die ik (lang) verwachtte » (« Ce sont les hommes que j’attendais »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « verwachtTe » - avec 2 (deux) « T » - (O.V.T. ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « verWACHTEN », lui-même construit sur « WACHTEN ».
Ce verbe « WACHTEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « T », on trouvera un (deuxième) « T » + « E » (au lieu du « -DE » majoritaire à l’O.V.T. ou « prétérit ») comme terminaison.
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Rappelons aussi que, dans une phrase subordonnée (« relative » introduite ici par « DIE »), la forme verbale (ici « verwachtte ») ne se trouve plus juste à côté de son sujet (ici sous-entendu : « de mannen ») et fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« lang »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 4 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 4A - Rajouté le 24/09/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij bereikt het kamp dat diep in het woud verborgen ligt » (« Il atteint le camp qui est (situé) caché profondément dans la forêt »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERBORGEN », participe passé (utilisé ici comme adjectif attribut) de l’infinitif « VERBERGEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit et, dans ce cas, est identique. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé :
http://idesetautres.be/?p=ndls&mod=grammatica&smod=tp&ssmod=ecrit
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Rappelons aussi que, dans une phrase subordonnée (« relative » introduite ici par « DAT »), la forme verbale (ici « LIGT ») ne se trouve plus juste à côté de son sujet (ici sous-entendu : « het kamp ») et fait l’objet d’un REJET, derrière les « compléments » (« diep », « in het woud » et « verborgen »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 4 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 3I - Rajouté le 23/09/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We hebben jouw man ontmoet » (« Nous avons rencontré ton époux »).
On y trouve notamment la forme verbale « ontmoet », participe passé provenant de l’infinitif « ontmoeten ».
Le verbe « ONTMOETEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant déjà par la consonne « T », on ne rajoutera pas un « T » (au lieu du « D » majoritaire) comme terminaison de son participe passé.
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « ONT- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Le participe passé « ontmoet » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« jouw man »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 3 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 3H - Rajouté le 22/09/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze (Sam burton en Mgono) rijden naar de hut (van Mpongi) om kennis (met Ellen Moore) te maken » (« Ils roulent vers la hutte pour faire connaissance »).
N’oublions pas que, en langue néerlandaise, « POUR » devant un infinitif est rendu pour un double mot « OM … TE », le complément (ici «kennis ») s’intercalant entre eux et le « TE » occupant l’avant-dernière place dans la phrase, devant l’infinitif concerné (« MAKEN »).
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 3 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 3G - Rajouté le 21/09/2015

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We nemen haar voorstel aan » (« Nous acceptons sa proposition »).
On y trouve notamment la forme verbale « nemen … AAN », construite sur le verbe « AANnemen » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « NEMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « AANnemen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET derrière le complément (« haar voorstel », à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 3 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 3F - Rajouté le 20/09/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Die wond(e) werd door een speer veroorzaakt » (« Cette blessure fut provoquée par une lance »).
On y trouve notamment la forme verbale « veroorzaakt », participe passé construit sur l’infinitif « VEROORZAKEN ».
Ce verbe « VEROORZAKEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera au participe passé une terminaison « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Le participe passé « veroorzaakt » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« door een speer »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 3 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 3E - Rajouté le 19/09/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij bezeerde zich niet aan een doornstruik» (« Il ne s’est pas fait mal = blessé à un buisson épineux »).
On y trouve notamment la forme verbale « bezeerDE », O.V.T. (prétérit) provenant de l’infinitif « bezeren ».
Ce verbe « BEZEREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et ne fait pas partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « -DE » majoritaire comme terminaison du prétérit.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 3 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 3D - Rajouté le 18/09/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik zond hem naar ons kamp om mijn personeel te waarschuwen » (« Je l’envoyai à notre camp pour avertir notre personnel »).
On y trouve notamment la forme verbale « ZOND », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « ZENDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
N’oublions pas que, en langue néerlandaise, « POUR » devant un infinitif est rendu pour un double mot « OM … TE », le complément (ici « mijn personeel ») s’intercalant entre eux et le « TE » occupant l’avant-dernière place dans la phrase, devant l’infinitif concerné.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 3 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 3C - Rajouté le 17/09/2015

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij (Bibi Ellen) drong ERop (op het feit) aan niemand over de safari te praten » (« Elle insista sur le fait de ne parler du safari à personne »).
On y trouve notamment, dans la première phrase (s’arrêtant avant « niemand »), la forme verbale « drong … AAN » à l’O.V.T. (ou prétérit), construite sur le verbe « AANdringen » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « DRINGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « AANdringen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET derrière le complément (« ERop », un adverbe pronominal, remplaçant « OP het feit ») à la fin de la première phrase.
Notez que l’expression « aandringen OP » engendre un « TE », avant-dernier mot de la seconde phrase, « infinitive », l’infinitif faisant l’objet d’un REJET derrière les compléments (« niemand » et « over de safari ») à la fin de cette seconde phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 3 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 3B - Rajouté le 16/09/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb me aan een doornstruik bezeerd » (« Je me suis fait mal = blessé à un buisson épineux »).
On y trouve notamment la forme verbale « bezeerd », participe passé provenant de l’infinitif « bezeren ».
Ce verbe « BEZEREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et ne fait pas partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ») se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison du participe passé.
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Le participe passé « bezeerd » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« ME » et « aan een doornstruik »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 3 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 3A - Rajouté le 15/09/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We doen mee » (« Nous faisons avec = participons »).
On y trouve notamment la forme verbale « doen … MEE », provenant de l’infinitif « meeDOEN », dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « DOEN ».
La particule séparable « MEE » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« het project »), à la fin de la phrase.
Rappelons que la particule « MEE » provient de la préposition « MET ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 3 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 2I - Rajouté le 11/09/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wie heeft je die brief gegeven ? » (« Qui t’a donné cette lettre ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEGEVEN », participe passé provenant de l’infinitif « GEGEVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEGEVEN » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« JE » et « die brief »), à la fin de la phrase.
Il est à noter que ce participe passé « GEGEVEN » se construit sur l’INFINITIF. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 2 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 2H - Rajouté le 11/09/2015

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Niemand mocht (in de bevolking) weten dat u die brief ontving » (« Personne ne pouvait savoir que vous receviez cette lettre »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « MOCHT » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant de l’infinitif « MOGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que l’auxiliaire de mode « MOGEN » exige le REJET de l’infinitif qui le suit (« weten »), derrière le complément éventuel (« in de bevolking ») à la fin de la phrase … principale.
On y trouve également, dans la phrase subordonnée (introduite par « DAT »), la forme verbale « ONTving », prétérit provenant de l’infinitif « ONTvangen », lui-même construit sur l’infinitif « VANGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
N’oublions pas que, dans une phrase subordonnée néerlandaise, la forme verbale (ici « ontving ») est séparée de son sujet et fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« die brief ») à la fin de cette phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 2 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 2G - Rajouté le 11/09/2015

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Sta op en ga de tent in ! » (« Lève-toi et entre dans la tente ! »).
On y trouve, dans la première phrase, la forme verbale « sta … OP » à l’impératif, provenant de l’infinitif « OPstaan » (dit à « particule séparable »), construit sur le verbe « STAAN ».
La particule séparable « WEG » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« dadelijk »), à la fin de la phrase.
Rappelons que les particules séparables sont souvent d’anciennes prépositions, précédant un complément. On aurait avoir la variante suivante : « Sta OP jouw benen (benen) ! »
On y trouve également, dans la deuxième phrase, la forme verbale « ga … IN » à l’impératif, provenant de l’infinitif « INgaan » (dit à « particule séparable »), construit sur le verbe « GAAN ».
La particule séparable « IN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« de tent »), à la fin de la phrase. On aurait avoir la variante suivante : « Ga IN de tent ! »
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 2 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 2F - Rajouté le 11/09/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Scheer je weg ! » (« Tire-toi ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « scheer … WEG » à l’impératif, provenant de l’infinitif « WEGscheren » (dit à « particule séparable »), construit sur le verbe « SCHEREN ».
La particule séparable « WEG » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« JE »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 2 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 2E - Rajouté le 11/09/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij heeft voor de snel aangroeiende bevolking de wildernis (= het wildernisgebied) bewoonbaar gemaakt » (« Il a fait (en sorte) que le domaine sauvage soit habitable pour la population croissant rapidement »).
On y trouve notamment la forme verbale « gemaakt », participe passé construit sur l’infinitif « MAKEN ».
Ce verbe « MAKEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera au participe passé une terminaison « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Ce participe passé « GEMAAKT » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments » (« voor de snel aangroeiende bevolking », « de wildernis » et « bewoonbaar »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que le participe présent (utilisé ici comme une sorte d’adjectif épithète) en néerlandais se construit en ajoutant simplement un « D » à l’infinitif : « AANGROEIEN » => « aangroeienD ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 2 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 2D - Rajouté le 05/09/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zijn (Bwana’s) taak was daar beëindigd ? » (« Sa tâche là-bas était terminée »).
On y trouve notamment la forme verbale « beëindigd », participe passé provenant de l’infinitif « beëindigen », lui-même construit sur le verbe « EINDIGEN » .
Ce verbe « EINDIGEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et ne fait pas partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent ») se terminant par la consonne « G », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison du participe passé.
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Le participe passé « beëindigd » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« DAAR »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 2 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 2C - Rajouté le 04/09/2015

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wat betekent een jager in een gebied waar (er / het) niet meer (wordt) gejaagd wordt ? » (« Que signifie un chasseur dans un domaine où il n’est plus chassé = on ne chasse plus ? »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée (introduite par « WAAR »), la forme verbale « gejaagd », participe passé provenant du verbe « jagen », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » (du moins au prétérit : « JOEG »).
Ce verbe « JAGEN » est donc considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au participe passé et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « G », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison de son participe passé.
Cette phrase subordonnée est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
Le participe passé « GEJAAGD » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« niet meer »), à la fin de la phrase. Une variante aurait pu être : « Er / het wordt jager in een (dit) gebied niet meer gejaagd ».
N’oublions pas que, dans une phrase subordonnée, la forme verbale est, de toutes façons, séparée de son sujet (ici « Er » ou « Het », sous-entendu), faisant l’objet d’un REJET, derrière le complément (« niet meer »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 2 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 2B - Rajouté le 03/09/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Waarom heeft een beroemdE jachtopziener zijn post opgezegd ? » (« Pourquoi un célèbre garde-chasse a-t-il démissionné de son poste ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « OPgezegd », participe passé provenant du verbe « OPzeggen », lui-même construit sur l’infinitif « ZEGGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » (du moins au prétérit : « ZEI »).
Ce verbe « ZEGGEN » est donc considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) au participe passé et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « G », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison de son participe passé.
Quand « OPzeggen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEzegd ».
Le participe passé « OPgezegd » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« zijn post »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 2 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 2A - Rajouté le 02/09/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Sam Burton), de gewezen jachtopziener, en zijn spoorzoeker (Mgono) worden door de dorpshoofd gastvrijheid aangeboden » (« L’ancien garde-chasse et son pisteur ont l’hospitalité offerte = se voient offrir l’hospitalité par le chef du village »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEWEZEN », participe passé (utilisé ici comme adjectif épithète) de l’infinitif « WIJZEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Afin de comprendre que le « jachtopziener » est qualifié de « gewezen », on peut imaginer que sa réputation était telle que ses admirateurs se le « montraient du doigt ».
On y trouve également la forme verbale « AANgeboden », participe passé provenant du verbe « AANbieden » (dit « à particule séparable », lui même construit sur l’infinitif « BIEDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce participe passé « GEBODEN » se construit sur le pluriel du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Quand « AANbieden » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGEboden ».
Le participe passé « AANgeboden » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« door de dorpshoofd » et « gastvrijheid »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
N’oublions pas que, en langue néerlandaise, on peut construire un nom de métier masculin en ajoutant la terminaison « -ER » à l’infinitif : « opzien » + « ER » => « opzienER ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 2 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 1F - Rajouté le 01/09/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Met een laatste aanjagend gebrul stort de leeuw dood neer » (« Avec un dernier rugissement incitant = d’intimidation, le lion s’écroule, mort »).
On y trouve notamment la forme verbale « stort … NEER », provenant du verbe « NEERstorten », construit sur l’infinitif « STORTEN ».
Le verbe « NEERstorten » est dit « à particule séparable ». Il y a REJET de la particule séparable « NEER », derrière le « complément » attribut (« DOOD »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que le participe présent (utilisé ici comme une sorte d’adjectif épithète) en néerlandais se construit en ajoutant simplement un « D » à l’infinitif : « AANJAGEN » => « aanjagenD ».
N’oublions pas non plus que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Met een laatste aanjagend gebrul »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de leeuw ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « stort ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 1 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 1E - Rajouté le 31/08/2015

Description : La triple phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De oude leeuw weet dat alarm zal worden geslagen en springt snel toe » (« Le vieux lion sait que l’alarme va être frappée = donnée et bondit rapidement »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée (introduite par « DAT ») au futur antérieur, la forme verbale « geslagen », participe passé provenant de l’infinitif « SLAAN », affecté par les « temps primitifs ».
Le participe passé « geslagen » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« door de mensen »), à la fin de la phrase.
Cette phrase subordonnée est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
On y trouve également, dans la deuxième phrase principale (« coordonnée » par « EN »), la forme verbale « springt … TOE », provenant du verbe « TOEspringen », construit sur l’infinitif « SPRINGEN ».
Le verbe « TOEspringen » est dit « à particule séparable ». Il y a REJET de la particule séparable « TOE », derrière le complément (« SNEL »), à la fin de la phrase.
Il est à noter que la particule « TOE » provient de la préposition « TOT ». On aurait en effet pu en effet avoir la variante : « De oude leeuw springt TOT het geitje ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 1 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 1D - Rajouté le 30/08/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Buiten de omheining blaat enkel een achtergelaten geitje » (« En dehors de l’enclos, seule une petite chèvre, laissée en arrière, bêle »).
On y trouve notamment la forme verbale « ACHTERgeLATEN », participe passé (utilisé ici comme adjectif épithète) du verbe « ACHTERlaten » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « LATEN ».
Quand « ACHTERlaten » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « ACHTER » (ancienne préposition) de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « achterGElaten ».
On aurait pu utiliser le participe passé dans une phrase subordonnée relative à la voix passive : « Een geitje, dat werd achtergelaten, blaat buiten de omheining ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Buiten de omheining »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « een geitje ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « blaat ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 1 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 1C - Rajouté le 29/08/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De oude leeuw, gevreesde koning van de wildernis (= het wildernisgebied), is een uitgehongerde zwerver geworden » (« le vieux lion, roi craint de la vie sauvage, est devenu un vagabond affamé »).
On y trouve notamment la forme verbale « gevreeSd », participe passé (utilisé ici comme adjectif épithète) provenant de l’infinitif « VREZEN ».
Ce verbe « VREZEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et ne fait pas partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent : « ik vrees ») se terminant par la consonne « S » (en raison de la règle qui veut qu’un « Z » qui n’est plus suivi d’un « E » devient un « S »), on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison du participe passé.
On y trouve également la forme verbale « UITgehongerd », participe passé (utilisé ici comme adjectif épithète) provenant de l’infinitif « UIThongeren » (dit « à particule séparable »), lui-même conjugué sur « HONGEREN », considéré comme « régulier ».
Comme la grande majorité des verbes néerlandais, le verbe « HONGEREN » n’est pas affecté par les « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison du participe passé. La forme verbale « uitGEhongerd » provient bien d’un verbe à « particule séparable » puisque le « GE » du participe passé s’intercale entre la particule « UIT » et la forme verbale proprement dite.
On y trouve enfin la forme verbale « « GEWORDEN », participe passé provenant de l’infinitif « « WORDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEWORDEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le « complément » attribut (« een uitgehongerde zwerver »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 1 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 1B - Rajouté le 28/08/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De tandeloze bek (muil) en de afgesleten klauwen maken van de leeuw een zwerver » (« La gueule sans dents et les griffes usées font du lion un vagabond »).
On y trouve notamment la forme verbale « AFgesleten », participe passé de l'infinitif « AFslijten », lui-même construit sur le verbe « SLIJTEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « AFslijten » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « afGEsleten ».
On aurait pu utiliser le participe passé dans une phrase subordonnée : « De klauwen van de leeuw, die afgesleten zijn (geworden), maken van hem een zwerver ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 1 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI 1 GEVAARLIJKE OPDRACHT 1A - Rajouté le 27/08/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De stram geworden spieren maken van de leeuw een zwerver » (« Les muscles devenus raides font du lion un vagabond »).
On y trouve notamment la forme verbale « « GEWORDEN », participe passé (utilisé comme une sorte d’adjectif épithète) provenant de l’infinitif « « WORDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On aurait pu utiliser le participe passé dans une phrase subordonnée : « De spieren van de leeuw, die stram zijn geworden, maken van hem een zwerver ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 1 dans « De gevaarlijke opdracht », le volume N°1 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1970-2015.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 28O - Rajouté le 26/08/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het zwevend kristal is voor immer verloren » (« Le cristal planant est pour toujours = à jamais perdu »).
On y trouve notamment, dans la première des trois phrases, la forme verbale « VERLOREN », participe passé construit sur le verbe « VERLIEZEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Il est à noter que ce participe passé se construit donc sur le PLURIEL du prétérit et est même identique. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Aux temps composés, le participe passé « VERLOREN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« voor immer »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 27 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 28N - Rajouté le 25/08/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We beleven er zoveel pret aan ! » (« Nous y vivons = prenons tellement de plaisir ! »).
Malgré les apparences, on n’a pas affaire dans cette phrase à un verbe dit « à particule séparable » (« aanbeleven » n’existe d’ailleurs pas).
On y trouve en fait un adverbe pronominal personnel « séparé » (car séparable ) : « ER … AAN ». On aurait pu trouver les variantes suivantes : « We beleven zoveel pret ERaan ! », « We beleven zoveel pret DAARaan ! » ; « We beleven DAAR zoveel pret aan ! ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 28M - Rajouté le 24/08/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het is je gegund » (« Cela t’est accordé »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEGUND », participe passé provenant de l’infinitif « GUNNEN ».
Ce verbe « GUNNEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « N », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison du participe passé.
Le participe passé « GEGUND » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« JE »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 28L - Rajouté le 23/08/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Voortaan houd ik mij enkel met ernstig spoorwerk bezig » (« Désormais, je m’occupe uniquement de travail d’enquête sérieux »).
On y trouve la forme verbale « houd … BEZIG », provenant de l’infinitif « BEZIGhouden » (verbe dit à « particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « HOUDEN ».
La particule séparable « BEZIG » (un adjectif) fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« met ernstig spoorwerk »), à la fin de la phrase.
Notez l’expression « zich BEZIGhouden met ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Voortaan »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « IK ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « houd ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 28K - Rajouté le 22/08/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik had het genoegen zijn excuses te horen » (« J’eus le plaisir d’entendre ses excuses »).
On y trouve notamment la forme verbale « HAD », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « HEBBEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 28J - Rajouté le 21/08/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hoe denkt hij (Mangin) er nu over ? » (« Qu’en pense maintenant Mangin ? »).
On y trouve un adverbe pronominal personnel « séparé » (car séparable ) : « ER … OVER ». On aurait pu trouver les variantes suivantes : « Hoe denkt hij nu erOVER ? », « Hoe denkt hij nu daarOVER ? » ; « « Hoe denkt hij DAAR nu OVER ? ».
Si l’on parle d’adverbe pronominal, c’est parce que sa partie « PRO-nom » remplace le nom commun (par exemple, « het resultaat »). On aurait dès lors pu avoir la variante : « Hoe denkt hij nu over het resultaat ?». Donc « erOVER » remplacerait bien « OVER het resultaat ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 28I - Rajouté le 20/08/2015

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het spoor leidde naar hem (Serge) die zich in Chamonix als archeoloog uitgaf » (« La piste conduisait vers lui qui à Chamonix se faisait passer comme = pour un archéologue »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « leidDE » (avec 2 « D »), provenant du verbe « LEIDEN » (avec 1 « D »).
Cela doit faire réagir une petite « alarme » pour attirer votre attention. Il ne peut s’agir là que de l’O.V.T. ou prétérit.
Ce verbe « LEIDEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « D », on trouvera un deuxième « D » à l’ O.V.T. (ou prétérit) : « leid » + « DE » => « leidDE ».
On y trouve également, dans la phrase subordonnée relative (introduite par « DIE »), la forme verbale « UITgaf », provenant du verbe « UITgeven » (« à particule séparable »), lui-même construit sur l’infinitif « GEVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Si l’on ne s’était pas trouvé dans une phrase subordonnée (où la forme verbale, séparée de son sujet, fait l’objet d’un REJET à la fin de la phrase), « UITgeven » aurait été conjugué « normalement », et la particule séparable « UIT » aurait fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« in Chamonix » et « als archeoloog »), à la fin de la phrase : « Hij gaf zich in Chamonix als archeoloog UIT ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 28H - Rajouté le 19/08/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De Franse speurders deden knap werk » (« Les enquêteurs français ont fait du bon travail »).
On y trouve la forme verbale « DEDEN » (pluriel de « DEED »), prétérit ou O.V.T. provenant de l’infinitif « DOEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 28G - Rajouté le 18/08/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « In hun misdadigersalbum vond ik een foto van Hem (Serge) » (« Dans leur album de malfaiteurs, je trouvai une photo de lui »).
On y trouve notamment la forme verbale « VOND », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« In hun misdadigersalbum »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « IK ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « VOND ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 27 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 28F - Rajouté le 17/08/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik kreeg alle steun van de Franse politie » (« Je reçus tout le soutien de la police française »).
On y trouve notamment la forme verbale « KREEG », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « KRIJGEN »), qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Misschien »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « HIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « kreeg ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 28E - Rajouté le 16/08/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Dorland alias Serge) schakelde hem (Caspar) dan uit » (« Il le mettait hors circuit = l’éliminait »).
On y trouve notamment la forme verbale « schakelde … UIT », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « UITschakelen », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « SCHAKELEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « UITschakelen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de sa forme verbale proprement dite, la particule « UIT » étant affectée par un REJET, derrière les compléments (« HEM » et « DAN »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 28D - Rajouté le 15/08/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Dorland alias Serge) liet ons hem (Caspar) opsporen » (« Il nous laissa le pister »).
On y trouve, dans la phrase principale, la forme verbale « LIET », O.V.T. (ou prétérit) construit sur le verbe « LATEN » et faisant partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 28C - Rajouté le 14/08/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Mijn visie was juist » (« Ma vision était juste »).
On y trouve notamment la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 28B - Rajouté le 13/08/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Vertel eens op ! » (« Raconte une fois ! »).
Malgré les apparences, on n’a pas affaire dans cette phrase à un verbe dit « à particule séparable » : « opvertellen » n’existe pas !
« OP » serait-il ici utilisé pour « opeens » ? …
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 27 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 28A - Rajouté le 12/08/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een hulpploeg is inderdaad uitgerukt » (« Une équipe d’aide = une expédition de secours est en effet dépêchée »).
On y trouve notamment la forme verbale « UITgerukt », participe passé provenant de l’infinitif « UITrukken », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « RUKKEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « RUKKEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « k », on trouvera au participe passé un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Quand « UITrukken » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « uitGErukt ».
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « inderdaad »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 27 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 27E - Rajouté le 11/08/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « In Chamonix zal men de lawine (hebben) gehoord hebben » (« A Chamonix, on aura entendu l’avalanche »).
On y trouve notamment, utilisée dans le cadre d’un futur antérieur (exprimant une notion de supposition), la forme verbale « GEHOORD », participe passé provenant de l’infinitif « HOREN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « HOREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) ; il ne fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « G », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison du participe passé.
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « de lawine »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« In Chamonix »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « MEN ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « ZAL ») et passant donc derrière lui.
N’oublions pas non plus que « ZULLEN », « auxiliaire du FUTUR », exige un REJET de l’infinitif (« HEBBEN »), derrière le complément (« de lawine »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 27 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 27D - Rajouté le 10/08/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Uitgeput, stort hij met zijn last neer » (« Epuisé, il s’écroule avec son fardeau »).
On y trouve la forme verbale « stort … NEER », construite sur le verbe « NEERstorten » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « STORTEN ».
Quand « NEERstorten » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « NEER » de son infinitif proprement dit, faisant l’objet d’un REJET derrière le complément éventuel (« met zijn last »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« UITGEPUT »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « HIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « STORT ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 27 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 27C - Rajouté le 09/08/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De smokkelaars kwamen om » (« Les contrebandiers périrent »).
On y trouve notamment la forme verbale « KWAMEN … OM », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « OMkomen », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « KOMEN » qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « OMkomen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OM » de son infinitif proprement dit, la particule « OM » étant affectée par un REJET, derrière le complément éventuel (« door de lawine »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 27 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 27B - Rajouté le 08/08/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De lawine heeft hem tegen de rots gesmakt » (« L’avalanche l’a précipité contre le rocher »).
On y trouve notamment la forme verbale « gesmakt », participe passé construit sur l’infinitif « SMAKKEN » (ayant une signification différente).
Ce verbe « SMAKKEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (ici « HEM » et « tegen de rots »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 27 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 27A - Rajouté le 07/08/2015

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Als hij (Bertrand) ontwaakt, is de ganse vallei door de lawine bedolven » (« Quand il s’éveille = reprend connaissance, toute la vallée est submergée par l’avalanche »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « BEDOLVEN », participe passé provenant du verbe « BEDELVEN », construit sur l’infinitif « DELVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Le participe passé « beDOLVEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« door de lawine »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 27 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 26D - Rajouté le 06/08/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een lawine sleurt de smokkelaars mee » (« Une avalanche emporte les contrebandiers »).
On y trouve notamment la forme verbale « sleurt … MEE », provenant de l’infinitif « MEEsleuren » (dit « à particule séparable »), lui-même conjugué sur « SLEUREN », considéré comme « régulier ».
La particule séparable « MEE » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« de smokkelaars »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 26 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 26C - Rajouté le 05/08/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De scherpe knal zette een enorme sneeuwmassa in beweging » (« La forte détonation mit une énorme masse de neige en mouvement »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « zetTE » (avec 2 « T »), provenant du verbe « ZETTEN » (avec 1 « T »).
Cela doit faire réagir une petite « alarme » pour attirer votre attention. Il ne peut s’agir là que de l’O.V.T. ou prétérit.
Ce verbe « ZETTEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « T », on trouvera un deuxième « T » (au lieu du « D » majoritaire) à l’ O.V.T. (ou prétérit) : « zet » + « TE » => « zetTE ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 26 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 26B - Rajouté le 04/08/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het is je niet gelukt » (« Cela ne t’a pas réussi »).
On y trouve notamment la forme verbale « gelukt » participe passé provenant l’infinitif « LUKKEN ».
Ce verbe « lukken » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera comme terminaison du participe passé le « T » majoritaire.
Le participe passé « gelukt » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« JE »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 26 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 26A - Rajouté le 03/08/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat ging uitstekend » (« Cela se passa très bien = de façon excellente »).
On y trouve notamment la forme verbale « GING » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant de l’infinitif « GAAN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 26 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 25F - Rajouté le 02/08/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze vonden samen de dood zoals in de legende » (« Ils trouvèrent ensemble la mort comme dans la légende »).
On y trouve notamment la forme verbale « VONDEN » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant de l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 25E - Rajouté le 01/08/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze namen hun geheim met zich in het graf (mee) » (« Ils prirent = emportèrent leur secret avec eux dans la tombe »).
On y trouve notamment la forme verbale « NAMEN », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « NEMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Si l’on avait eu affaire à l’infinitif « MEEnemen », lui-même construit sur le verbe « NEMEN », dit « à particule séparable », dit « à particule séparable », la « particule séparable » « MEE » aurait fait l’objet d’un REJET derrière les compléments (« hun geheim », « met zich » et « in het graf ») à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 25D - Rajouté le 31/07/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je deed wat je kon » (« Tu faisais ce que tu pouvais = Tu fis ce que tu pus = Tu as fait ce que tu as pu »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « DEED », O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « DOEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve également, dans la phrase subordonnée (introduite par « WAT »), la forme verbale « KON », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif (et « AUXILIAIRE de MODE de la capacité) « KUNNEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 25C - Rajouté le 30/07/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze zijn te pletter gestort » (« Ils se sont écrasés »).
On y trouve notamment la forme verbale « gestort », participe passé provenant de l’infinitif « STORTEN ».
Ce verbe « STORTEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant (déjà) par la consonne « T », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire) comme terminaison du participe passé.
Le participe passé « gestort » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« te pletter »), à la fin de la phrase.
L’expression « TE PLETTER », associée avec divers verbes, rend des notions de destruction, d’éclatement.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 25B - Rajouté le 29/07/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Serge) boette met zijn leven » (« Il paya avec sa vie = de sa vie »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « boetTE » (avec 2 « T »), provenant du verbe « BOETEN » (avec 1 « T »).
Cela doit faire réagir une petite « alarme » pour attirer votre attention. Il ne peut s’agir là que de l’O.V.T. ou prétérit.
Ce verbe « BOETEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « T », on trouvera un deuxième « T » (au lieu du « D » majoritaire) à l’ O.V.T. (ou prétérit) : « boet » + « TE » => « boetTE ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 25A - Rajouté le 28/07/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Serge) heeft hem (Caspar) gedood » (« Il l’a tué »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEDOOD », participe passé provenant de l’infinitif « DODEN ».
Ce verbe « DODEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « D », on trouvera le « D » majoritaire mais qui ne sera pas doublé au participe passé puisque déjà présent dans le radical du verbe ou première personne de l’indicatif présent.
Le participe passé « GEDOOD » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« hem »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 24C - Rajouté le 27/07/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Laat (de koord) los, Bertrand ! » (« Lâche, Bertrand ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « laat … LOS », provenant de l’infinitif « LOSlaten », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « LATEN ».
Quand « LOSlaten » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « LOS » de son infinitif proprement dit et elle fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« de koord »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 24 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 24B - Rajouté le 26/07/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik houd dit niet lang vol » (« Je ne tiens = résiste pas longtemps »).
On y trouve la forme verbale « houd … VOL », provenant de l’infinitif « VOLhouden » (verbe dit à « particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « HOUDEN ».
La particule séparable « VOL » (un adjectif) fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« niet LANG »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 24 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 24A - Rajouté le 25/07/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De haak schiet los » (« Le crampon se détache »).
On y trouve notamment la forme verbale « schiet … LOS », provenant de l’infinitif « LOSschieten », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « SCHIETEN ».
Quand « LOSschieten » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « LOS » de son infinitif proprement dit et elle fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« NU »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 24 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 23F - Rajouté le 24/07/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik haalde (hem) de pijl eruit » (« Je lui en retirai la flèche »).
On y trouve notamment la forme verbale « haalDE », O.V.T. (ou prétérit provenant de l’infinitif « HALEN », PAS affecté par les « temps primitifs ».
Ce verbe « HALEN » est donc considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « L », on trouvera le « -DE » majoritaire.
On y trouve également un adverbe pronominal non « séparé » mais séparable : « erUIT ». On aurait pu trouver les variantes suivantes : « Ik haalde ER de pijl UIT ! », « Ik haalde de pijl dadelijk DAARuit ! » ; « Ik haalde DAAR de pijl UIT » (= de la blessure).
On aurait pu considérer que l’on avait affaire à la forme verbale « haalde … UIT », construite sur le verbe « UIThalen » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « HALEN » : « Ik haalde er de pijl UIT ! ».
Quand « UIThalen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET derrière le complément (« ER = van zijn wonde »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 23 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 23E - Rajouté le 23/07/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze snijden ons de terugweg af » (« Ils nous coupent le chemin du retour = la retraite »).
On y trouve notamment la forme verbale « snijden … AF », construite sur le verbe « AFsnijden » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « SNIJDEN ».
Quand « AFsnijden » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET derrière les compléments (« ons » et « de terugweg »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 23 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 23D - Rajouté le 22/07/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze hebben ergens wapens gevonden » (« Ils ont trouvé des armes quelque part »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEVONDEN », participe passé provenant de l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce participe passé « GEVONDEN » est construit sur le pluriel du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « gevonden » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« ergens » et « wapens »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 23 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 23C - Rajouté le 21/07/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik ga erop af » (« Je m’y rends = je me rends auprès de lui »).
On y trouve notamment la forme verbale « ga … AF », construite sur le verbe « AFgaan » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « GAAN ».
Quand « AFgaan » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET derrière le complément éventuel (« bij hem »), à la fin de la phrase.
On y trouve également un adverbe pronominal non « séparé » mais séparable : « erOP ». On aurait pu trouver les variantes suivantes : « Ik ga ER dadelijk OP af ! », « Ik ga dadelijk DAARop af ! » ; « Ik ga DAAR dadelijk OP af ! ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 23 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 23B - Rajouté le 20/07/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij werd geraakt » (« Il fut touché »).
On y trouve notamment la forme verbale « geraakt », participe passé construit sur le verbe « RAKEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le verbe « RAKEN » est donc considéré comme « régulier » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera comme terminaison du participe passé un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Le participe passé « geraakt » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« door de pijl »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 23 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 23A - Rajouté le 19/07/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Serge) wierp zich voor haar (Claire) » (« Il se jeta devant elle »).
On y trouve notamment la forme verbale « WIERP », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « WERPEN »), qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 23 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 22D - Rajouté le 18/07/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We ontdekten een grot met zwevende kristallen » (« Nous découvrîmes une grotte avec des cristaux planants »).
On y trouve notamment la forme verbale « ONTDEKTEN », O.V.T. (prétérit) provenant de l’infinitif « ONTDEKKEN ».
Ce verbe « ONTDEKKEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera au prétérit une terminaison « -TE » (au lieu du « -DE » majoritaire).
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 22 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 22C - Rajouté le 17/07/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « En heeft de speurtocht in de vallei iets opgeleverd ? » (« Et est-ce que la traque dans la vallée a livré = donné quelque chose ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « OPgeleverd », participe passé construit sur l’infinitif « OPleveren », lui-même construit sur le verbe « LEVEREN ».
Ce verbe « OPleveren » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « R », on trouvera un « D », majoritaire, à la fin du participe passé.
Ce verbe «OPleveren » est aussi dit « à particule séparable » ; quand il est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEleverd ».
Le participe passé « opGEleverd » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« in de vallei » et « iets »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 22 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 22B - Rajouté le 16/07/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We nemen je = jullie aanvoerder mee » (« Nous prenons avec nous votre meneur = chef »).
On y trouve notamment la forme verbale « nemen … MEE », provenant de l’infinitif « meeNEMEN », dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « NEMEN ».
La particule séparable « MEE » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« jullie aanvoerder »), à la fin de la phrase.
Rappelons que la particule « MEE » provient de la préposition « MET ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 22 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 22A - Rajouté le 15/07/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ben je ongedeerd ? » (« Es-tu indemne ? »).
On y trouve « ONgedeerd », « adjectif » contraire du participe passé « gedeerd », provenant de l’infinitif « DEREN ». Cet exemple est un bon échantillon de l’évolution de certains mots en langue néerlandaise.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 22 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 21C - Rajouté le 14/07/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je bent gered, Claire » (« Tu es sauvée, Claire »).
On y trouve la forme verbale « GERED », participe passé provenant de l’infinitif « REDDEN, qui ne fait pas l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « REDDEN » est « régulier », comme la grande majorité des verbes néerlandais, et il NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent : « RED ») se terminant déjà par la consonne « D », on trouvera évidemment le « D » comme terminaison majoritaire au participe passé.
Ce participe passé « GERED » fait normalement l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« NU »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 21 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 21B - Rajouté le 13/07/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze hebben haar aan de rotswand gehangen » (« Ils l’ont suspendue à la paroi rocheuse »).
On y trouve notamment forme verbale « GEhangen », participe passé provenant de l’infinitif « HANGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’INFINITIF. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « GEhangen » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« haar » et « aan de rotswand »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 21 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 21A - Rajouté le 12/07/2015

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik ben benieuwd hoe lang zij het volhoudt » (« Je suis curieux de voir combien de temps elle va tenir le coup »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « benieuwd », participe passé provenant de l’infinitif « BENIEUWEN ».
Ce verbe est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « W », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison du participe passé.
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Le participe passé « benieuwd » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« naar haar weerstand »), à la fin de la phrase.
Parce que l’on se trouve dans une phrase subordonnée (introduite par « hoe lang »), où la forme verbale est séparée de son sujet (ici « ZIJ ») par le complément « HET », on ne se rend pas bien compte que « VOLhouden » est un verbe dit à « particule séparable ».
On aurait pu avoir la variante suivante : « Zij houdt het niet lang VOL ». On voit mieux que la particule séparable « VOL » (un adjectif) y fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« niet LANG »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 21 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 20E - Rajouté le 11/07/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Reken daar niet op ! » (« Ne compte pas là-dessus ! »).
On pourrait, à première vue, croire que l’on a affaire à un verbe dit « à particule séparable » dont la particule (« OP »), ferait l’objet d’un REJET à la fin de la phrase. Il n’en est rien.
On y trouve en fait un adverbe pronominal personnel « séparé » (car séparable ) : « DAAR … OP ». On aurait pu trouver les variantes suivantes : « Reken niet DAARop ! », « Reken ER niet OP ! », « Reken niet erOP ! ».
Si l’on parle d’adverbe pronominal, c’est parce que sa partie « PRO-nom » remplace le nom commun (par exemple, « mijn hulp »). On aurait dès lors pu avoir la variante : « Reken niet Op mijn hulp ! ». Donc « erOP » remplace bien « OP mijn hulp ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 20 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 20D - Rajouté le 10/07/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Verraad wordt met de dood gestraft » (« La trahison est punie par la mort = de mort »).
On y trouve notamment la forme verbale « gestraft », participe passé construit sur le verbe « STRAFFEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « STRAFFEN » est donc considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « F », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Le participe passé « gestraft » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« met de dood »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 20 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 20C - Rajouté le 09/07/2015

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « (Het is) Jammer dat hij ons is ontsnapt » (« Il est dommage qu’il nous ait échappé »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée (introduite par « DAT »), la forme verbale « ONTsnapt », participé passé provenant de l’infinitif « ONTsnappen ».
Ce verbe est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « P », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « ONT- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Le participe passé « ontsnapt » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« ONS »), à la fin de la phrase, d’autant plus qu’il se trouve dans une phrase subordonnée, où la forme verbale est séparée de son sujet (ici « HIJ »).
Notez que le sujet (« HET ») et le verbe (« IS ») de la phrase principale sont sous-entendus.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 20 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 20B - Rajouté le 08/07/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze liepen in de val » (« Ils tombèrent dans le piège »).
On y trouve notamment la forme verbale « LIEPEN », O.V.T. (ou prétérit), provenant du verbe « LOPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 20 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 20A - Rajouté le 07/07/2015

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We wachten op de nacht om af te dalen » (« Nous attendons la nuit pour descendre »).
On y trouve notamment la forme verbale « AF … dalen », provenant de l’infinitif « AFdalen », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « DALEN ».
Quand « AFdalen » est « conjugué », cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, la particule « AF » en étant ici séparée, avec « OM …TE » (signifiant « pour » devant un verbe), par le « TE », précédant son infinitif.
On y trouve également le « couple contraignant » « wachten OP ». Cela peut engendrer des malentendus cocasses : si l’on pense, par exemple, à « ik wacht op de bus », qui signifie bien « j’attends le bus » et non PAS « j’attends sur le bus ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 20 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 19F - Rajouté le 06/07/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Daar zaten ze verborgen » (« C’est là qu’ils étaient cachés »).
On y trouve notamment la forme verbale « ZATEN », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « ZITTEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (ici « DAAR »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « ZE ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « ZATEN ») et passant donc derrière lui.
On y trouve également la forme verbale « VERBORGEN », participe passé (utilisé ici comme adjectif attribut) provenant de l’infinitif « VERBERGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Il faut aussi noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit et que, dans ce cas-ci, il est donc par hasard identique. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 19 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 19E - Rajouté le 05/07/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Na een vergeefse speurtocht komen de smokkelaars terug bijeen » (« Après une vaine traque, les contrebandiers se réunissent »).
On y trouve la forme verbale « komen … BIJEEN », provenant de l’infinitif « bijeenKOMEN », verbe dit « à particule séparable ».
Quand ce verbe « bijeenKOMEN » est conjugué, la particule « BIJEEN » se sépare donc de l’infinitif « KOMEN » proprement dit et elle aurait fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« Na een vergeefse speurtocht »), à la fin de la phrase si cette phrase avait débuté par son sujet, comme dans la variante suivante : « De smokkelaars komen na een vergeefse speurtocht terug bijeen ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (ici « Na een vergeefse speurtocht »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de smokkelaars ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « KOMEN ») et passant donc derrière lui.
Notez que l’expression « tevergeefs » signifie « en vain ».
On aurait pu considérer que l’on avait affaire à la forme verbale « komen … TERUG », provenant de l’infinitif « terugKOMEN », verbe dit « à particule séparable ».
Ce verbe « terugKOMEN » étant conjugué, la particule « TERUG » se sépare donc de l’infinitif « KOMEN » proprement dit et elle aurait fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« Na een vergeefse speurtocht »), à la fin de la phrase comme dans la variante suivante : « De smokkelaars komen na een vergeefse speurtocht TERUG ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 19 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 19D - Rajouté le 04/07/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Nog diezelfde nacht trokken ze (Robert en Bertrand) over de ijsbruggen » (« La même nuit, ils traversèrent les ponts de glace »).
On y trouve notamment la forme verbale « TROKKEN », provenant de l’infinitif « TREKKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Nog diezelfde nacht »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « ZE ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « trokken ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 19 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 19C - Rajouté le 03/07/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We gaan hen (Serge en Claire) achterna » (« Nous allons derrière eux = nous nous mettons à leur poursuite »).
On y trouve la forme verbale « gaan … ACHTERNA », provenant de l’infinitif « achternaGAAN », verbe dit « à particule séparable ».
Il s’agit d’un bon exemple d’ancienne(s) préposition(s) (« ACHTER » + « NA » => « ACHTERNA ») évoluant vers une « particule séparable ». On avait dans un premier temps : « We gaan ACHTER hen ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 19 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 19B - Rajouté le 02/07/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Waarom noemde hij ons dwazen ? » (« Pourquoi nous appelait-il des fous ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « noemDE », prétérit provenant de l’infinitif « NOEMEN ».
Ce verbe « NOEMEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « M », on trouvera le « -DE » majoritaire au singulier comme terminaison du radical du verbe au prétérit : « noem » + « DE » => « noemDE ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 19 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 19A - Rajouté le 01/07/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij is te pletter gestort » (« Il s’est écrasé »).
On y trouve notamment la forme verbale « gestort », participe passé provenant de l’infinitif « STORTEN ».
Ce verbe « STORTEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant (déjà) par la consonne « T », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire) comme terminaison du participe passé.
Le participe passé « gestort » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« te pletter »), à la fin de la phrase.
L’expression « TE PLETTER », associée avec divers verbes, rend des notions de destruction, d’éclatement.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 19 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 18E - Rajouté le 30/06/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat was te verwachten » (« C’était à attendre = il fallait s’y attendre »).
On y trouve notamment la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 18 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 18D - Rajouté le 29/06/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De vorige (volgende) nacht sloop een man naar de tent » (« La nuit précédente, un homme se faufila vers la tente »).
On y trouve notamment la forme verbale « sloop », prétérit construit sur l’infinitif « sluipen », affecté par les « temps primitifs » des verbes « forts ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« De vorige nacht »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « een man ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « sloop ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 18 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 18C - Rajouté le 28/06/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Na jouw mislukte aanslag heb ik een mannetje gestuurd » (« Après ton attentat manqué, j’ai envoyé un homme (de main) = une petite main »).
On y trouve notamment la forme verbale « MISlukt », participe passé (utilisé comme adjectif épithète) provenant de l’infinitif « MISlukken », lui-même construit sur le verbe « LUKKEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « LUKKEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera comme terminaison du participe passé un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Contraire à son synonyme « MISlopen » (verbe dit « à particule séparable ») qui, lorsqu’il est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, connaît une séparation de la particule « MIS » de son infinitif proprement dit - la particule « GE- », commune à la majorité des participes passés s’intercalant entre eux => « misGElopen » -, « MISlukken » n’est PAS un verbe dit « à particule séparable ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Na jouw mislukte aanslag »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « IK ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « HEB ») et passant donc derrière lui.
On y trouve également la forme verbale « gestuurd », participe passé provenant de l’infinitif « STUREN ».
Ce verbe « STUREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « R », on trouvera bien sûr comme terminaison du participe passé le « D » majoritaire.
Aux temps composés, le participe passé « gestuurd » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« een mannetje »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 18 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 18B - Rajouté le 27/06/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze kunnen de vallei niet ongezien verlaten » (« Ils ne peuvent pas quitter la vallée non vus = sans être vus »).
On y trouve notamment « ONgezien », adjectif attribut et contraire du participe passé « GEZIEN » provenant de l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
N’oublions pas non plus que les verbes comme « KUNNEN » que l’on appelle « auxiliaire de MODE » (les 3 autres étant « MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN ») exigent un REJET de l’infinitif (ici « VERLATEN »), derrière le complément (ici « de vallei »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 18 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 18A - Rajouté le 26/06/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ook zij zijn door deze sneeuwstorm geblokkeerd » (« Eux aussi sont bloqués par cette tempête de neige »).
On y trouve notamment la forme verbale « geblokkeerd », participe passé provenant de l’infinitif « BLOKKEREN ».
Ce verbe « BLOKKEREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « R », on trouvera bien sûr comme terminaison du participe passé le « D » majoritaire.
Aux temps composés, le participe passé « geblokkeerd » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« door deze sneeuwstorm »), à la fin de la phrase.
Cette phrase, pouvant être considérée comme étant à la voix passive, on aurait plutôt dû avoir l’auxiliaire « WORDEN » : « Ook zij worden door deze sneeuwstorm geblokkeerd »
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 18 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 17F - Rajouté le 25/06/2015

Description : La triple phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We gaan uit elkaar maar denk erom : ik wil hen levend » (« Nous nous séparons mais pensez-y : je les veux vivants »).
On y trouve, d’une part, l’expression « uit elkaar », rendant une notion de « séparation » (avec réciprocité).
On y trouve, d’autre part, « erOM », adverbe pronominal associé à « DENKEN ». Cet infinitif est plus souvent associé à la préposition « AAN ». On aurait donc pu avoir « erAAN » (avec une nuance légèrement différente) et donc plutôt la phrase : « « Denk eraan ».
N’oublions pas non plus que le participe présent en néerlandais se construit en ajoutant simplement un « D » à l’infinitif : « LEVEN » => « levenD ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 17E - Rajouté le 24/06/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hier houdt hun spoor op » (« Ici s’arrête leur trace = C’est ici que s’arrête leur piste »).
On trouve dans cette phrase la forme verbale « houdt … op », provenant du verbe « OPhouden » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur l'infinitif « HOUDEN ».
Quand « OPhouden » est conjugué, la particule « OP » se sépare de son infinitif proprement dit et fait l'objet d'un REJET, derrière le complément (« hier »), à la fin de la phrase ; ce sera plus évident dans la phrase suivante : « Hun spoor houdt hier OP ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (ici « HIER »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « hun spoor ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « houdt ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 17D - Rajouté le 23/06/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze steken de gletsjer over » (« Ils traversent = franchissent le glacier »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « steken … OVER », provenant de l’infinitif « OVERsteken », verbe à « particule séparable ».
Quand ce verbe « OVERsteken » est conjugué, la particule « OVER » se sépare donc de l’infinitif « STEKEN » proprement dit et fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« de gletsjer »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 17C - Rajouté le 22/06/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Help me elk voetspoor uit te wissen ! » (« Aide-moi à effacer chaque = toute trace de pas ! »).
On y trouve notamment, la forme verbale « UIT … wissen », provenant d’un verbe dit « à particule séparable ».
Quand « UITwissen » est « conjugué », cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif « WISSEN » proprement dit, surtout si « HELPEN » engendre, comme ici, un « TE ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 17B - Rajouté le 21/06/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We zijn (erin) geslaagd (ongedeerd de grot te verlaten) » (« Nous avons réussi à quitter la grotte indemnes »).
On y trouve la forme verbale « GESLAAGD », participe passé provenant de l’infinitif « SLAGEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « SLAGEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) ; il ne fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « G », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison du participe passé.
On la trouve donc dans l’expression (sous-entendue) « ERIN SLAGEN » équivalant, en mauvais français, à « réussir DE », et qui aurait pu engendrer un « TE » s’il avait précédé un infinitif comme, par exemple, « VERLATEN».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 17A - Rajouté le 20/06/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De archeoloog en zijn vrouw slagen erin ongedeerd de grot te verlaten » (« L’archéologue et son épouse réussissent à quitter la grotte indemnes »).
On y trouve l’expression « ERIN SLAGEN » équivalant, en mauvais français, à « réussir DE », et qui engendre un « TE » quand il précède un infinitif comme, ici, « VERLATEN».
On y trouve aussi « ONgedeerd », « adjectif » contraire du participe passé « gedeerd », provenant de l’infinitif « DEREN ». Cet exemple est un bon échantillon de l’évolution de certains mots en langue néerlandaise.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 16G - Rajouté le 19/06/2015

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De kristallen stijgen met zulke (zo'n) snelheid op dat ze tegen de zoldering uiteenspatten » (« Les cristaux montent avec une telle vitesse qu’ils éclatent = se disloquent contre le plafond »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « stijgen … OP », construite sur le verbe « OPstijgen, dit « à particule séparable », construit lui-même sur l’infinitif « STIJGEN ».
La particule « OP » fait l’objet d’un « REJET », derrière le complément (« met zulke snelheid »), à la fin de la phrase principale.
Notons que la forme verbale « uiteenspatten », dans la phrase subordonnée (introduite par « DAT ») - si elle n’y avait pas fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« tegen de zoldering »), à la fin de la phrase - aurait dû être « scindée ».
Le verbe « uiteenspatten » est en effet dit « à particule séparable » et est construit sur l’infinitif « SPATTEN ».
Dans la variante suivante, on voit mieux que la particule séparable « UITEEN » fait l’objet d’un « REJET », derrière le complément (« met zulke snelheid »), à la fin de la phrase : « De kristallen spatten met zulke snelheid tegen de zoldering UITEEN ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 16F - Rajouté le 18/06/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het hele kluwen komt los » (« Tout l’enchevêtrement se disloque »).
On y trouve la forme verbale « komt … LOS », provenant de l’infinitif « LOSkomen », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « KOMEN ».
Quand « losKOMEN » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « LOS » de la forme verbale proprement dite (« komt ») et elle fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« dadelijk »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 16E - Rajouté le 17/06/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze gaan de lucht in » (« Ils s’enfoncent dans l’air => s’élèvent en l’air = dans les airs »).
On y trouve la forme verbale « gaan … IN », O.T.T. (ou « présent ») provenant de l’infinitif « INgaan » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « GAAN ».
Quand « INgAAn » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « IN » de son infinitif proprement dit et elle fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« de lucht »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 16D - Rajouté le 16/06/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze hebben zich als een kluwen in elkaar gehaakt » (« Ils se sont entremêlés comme un chignon »).
On y trouve la forme verbale « gehaakt », participe passé provenant de l’infinitif « HAKEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « HAKEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire), comme terminaison du participe passé.
Ce participe passé « gehaakt » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« als een kluwen » et « in elkaar »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
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Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 16C - Rajouté le 15/06/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Er was sprake van zwevende kristallen » (« Il était question de cristaux planants »).
On y trouve notamment la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Notez l’expression « SPRAKE zijn van ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 16B - Rajouté le 14/06/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Men heeft ook al kristallen van drie ton gevonden » (« On a déjà aussi trouvé des cristaux de trois tonnes »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEVONDEN », participe passé provenant de l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEVONDEN » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« ook », « al » et « kristallen van drie ton »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 16A - Rajouté le 13/06/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze (Serge en Claire) dringen de grot binnen » (« Ils pénètrent dans la grotte »).
On y trouve la forme verbale « dringen … BINNEN », provenant de l’infinitif « BINNENdringen » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « DRINGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « BINNENdringen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « BINNEN » de son infinitif proprement dit et elle fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« de grot »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 15E - Rajouté le 12/06/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We hebben ons doel bereikt » (« Nous avons atteint notre but »).
On y trouve notamment la forme verbale « BEREIKT », participe passé provenant de l’infinitif « BEREIKEN ».
Ce verbe « BEREIKEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux. (Le hasard fait aussi que le participe passé est identique à la 2ème ou 3ème personne du présent).
Ce participe passé « BEREIKT » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« ons doel »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 15 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 15D - Rajouté le 11/06/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maak de fakkels klaar ! » (« Prépare les flambeaux = torches !»).
On y trouve notamment, à l'impératif, la forme verbale « maak … KLAAR », provenant de l’infinitif « KLAARmaken » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « MAKEN ».
Quand « KLAARmaken » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « KLAAR » (ancien adjectif) de son infinitif proprement dit, et son REJET, derrière le complément (« de fakkels »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 15 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 15C - Rajouté le 10/06/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het rotsblok joeg de sneeuw op » (« Le bloc de rocher chassa la neige »).
On y trouve la forme verbale « joeg … OP », prétérit (ou O.V.T.) provenant de l’infinitif « OPjagen », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « JAGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » (du moins au prétérit).
Quand « « OPjagen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de sa forme verbale proprement dite, la particule « OP » faisant l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « de sneeuw »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 15 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 15B - Rajouté le 09/06/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We ontkwamen nauwelijks » (« Nous échappâmes à peine = de justesse »).
On y trouve notamment la forme verbale « ONTkwamen », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « ONTkomen » (verbe NON séparable, rarement utilisé), lui-même construit sur l’infinitif « KOMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
L’illustration annexée est extraite de la page 15 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 15A - Rajouté le 08/06/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We hebben reeds een groot deel van de vallei doorkruist » (« Nous avons déjà parcouru = sillonné une grande partie de la vallée »).
On y trouve notamment la forme verbale « DOORkruisT », participe passé (utilisé au V.T.T.) du verbe « DOORkruisen », construit sur l’infinitif « KRUISEN ».
Ce verbe « KRUISEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « S », on trouvera une terminaison « -TE » (au lieu du « DE » majoritaire) à l’ O.V.T. (ou prétérit) : « kruis » + « TE » => « kruisTE ». On en retrouvera le « T » comme terminaison du participe passé.
« DOORkruisen » N’est cependant PAS un verbe dit « à particule séparable », sans quoi on aurait dû / pu avoir, après l’ancienne préposition « DOOR » le suffixe « GE- », commun à une majorité de participes passés. Au prétérit, on aurait eu, par exemple : « Ze doorkruisten reeds een groot deel van de vallei ».
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (ici « reeds » et « een groot deel van de vallei »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 15 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 14F - Rajouté le 07/06/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het voorstel wordt aangenomen » (« La proposition est acceptée »).
On y trouve notamment la forme verbale « AANgenomen », V.T.T. (ou participe passé) provenant de l’infinitif « aanNEMEN », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « NEMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « AANnemen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGEnomen ».
S’il y avait eu un complément dans cette phrase, le participe passé « AANgenomen » aurait fait l’objet d’un REJET, derrière ce complément (par exemple « door de anderen »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 14 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 14E - Rajouté le 06/06/2015

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik geloof dat ze de top (hebben) bereikt hebben » (« Je crois qu’ils ont atteint le sommet »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée (introduite par « DAT »), la forme verbale « BEREIKT », participe passé provenant de l’infinitif « BEREIKEN ».
Ce verbe « BEREIKEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux. (Le hasard fait aussi que le participe passé est identique à la 2ème ou 3ème personne du présent).
Ce participe passé « BEREIKT » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« de top »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 14 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 14D - Rajouté le 05/06/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ook de smokkelaars moesten dekking zoeken » (« Aussi = même les contrebandiers durent chercher un abri »).
On y trouve notamment la forme verbale « MOESTEN », O.V.T. (ou prétérit), provenant du verbe « MOETEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
N’oublions pas que « MOETEN », comme les autres « auxiliaires de mode » (« KUNNEN », « MOGEN » ou « WILLEN ») exige le REJET, derrière le complément (ici « DEKKING »), de l’autre verbe à l’infinitif (ici « ZOEKEN ») à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 14 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 14C - Rajouté le 04/06/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We zetten samen door » (« Nous poursuivons ensemble »).
On y trouve la forme verbale « zetten … DOOR », provenant de l’infinitif « DOORzetten », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « ZETTEN ».
Quand « DOORzetten » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « DOOR » de la forme verbale proprement dite et elle fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« samen »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 14 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 14B - Rajouté le 03/06/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Laten we het opgeven ! » (« Abandonnons ! (cela) »).
Le verbe « OPgeven » est dit « à particule séparable » et construit sur l’infinitif « GEVEN ».
Si au lieu d’être utilisé, comme ici, à l’impératif présent, ce verbe « OPgeven » avait été conjugué, par exemple à l’indicatif présent, cela aurait entraîné en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « OP » étant affectée par un REJET, derrière le complément éventuel (« onze tocht »), à la fin de la phrase, comme dans la variante suivante : « We geven het (= onze tocht) OP ».
Rappelons que la première personne du PLURIEL de l’impératif présent utilise « LATEN », qui réagit comme un « auxiliaire de mode » (« KUNNEN », « MOGEN », « MOETEN » ou « WILLEN ») et exige le REJET, derrière le complément (ici « HET »), de l’autre verbe à l’infinitif (ici « opgeven ») à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 14 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 14A - Rajouté le 02/06/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De smokkelaars gaan de andere kant op » (« Les contrebandiers gravissent l’autre côté = versant »).
On y trouve notamment la forme verbale « gaan … OP », venant du verbe « OPgaan », dit « à particule séparable », construit sur l’infinitif « GAAN ».
Quand « OPgaan » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « OP » étant affectée par un REJET, derrière le complément éventuel (« de andere kant »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 14 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 13D - Rajouté le 01/06/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Bij dageraad zetten ze (Serge en Claire) hun tocht naar de gletsjer voort » (« A l’aube, ils poursuivent leur expédition vers le glacier »).
On y trouve la forme verbale « zetten … VOORT », provenant de l’infinitif « VOORTzetten », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « ZETTEN ».
Quand « VOORTzetten » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « VOORT » de la forme verbale proprement dite et elle fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« hun tocht naar de gletsjer »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Bij dageraad »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « ZE ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « zetten ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 13 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 13C - Rajouté le 31/05/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je zag een hallucinatie verwekt door gebrek aan zuurstof op grote hoogte » (« Tu vis une hallucination engendrée par un manque d’oxygène en haute altitude »).
On y trouve notamment la forme verbale « ZAG », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve également la forme verbale « verwekt » (utilisée ici comme une sorte d’adjectif attribut), participe passé provenant du verbe « VERwekken », lui-même construit sur l’infinitif « WEKKEN ».
Ce verbe « WEKKEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire) comme terminaison du participe passé.
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 13 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 13B - Rajouté le 30/05/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De aanwezigheid van smokkelaars is verontrustend » (« La présence de contrebandiers est alarmante »).
N’oublions pas que le participe présent (utilisé ici comme une sorte d’adjectif attribut) en néerlandais se construit en ajoutant simplement un « D » à l’infinitif : « VERONTRUSTEN » => « verontrustenD ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 13 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 13A - Rajouté le 29/05/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik zag duidelijk de dode geliefden op het zwevend kristal » (« Je vis clairement les amants morts sur le cristal planant »).
On y trouve notamment la forme verbale « ZAG », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 13 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 12C - Rajouté le 28/05/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat liep goed af » (« Cela se passa bien = Cela s’est bien déroulé »).
On y trouve notamment la forme verbale « LIEP … af », O.V.T. (ou prétérit), provenant du verbe « AFlopen », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « LOPEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La particule séparable « AF » fait l’objet d’un REJET, derrière le « complément » (« GOED »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 12 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 12B - Rajouté le 27/05/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De man tracht de steenval te ontwijken maar glijdt uit » (« L’homme essaie d’éviter la chute de pierres mais glisse = dérape »).
On y trouve notamment la forme verbale « glijdt … UIT », provenant de l’infinitif « UITglijden », lui-même construit sur l’infinitif « GLIJDEN ».
Ce verbe « UITglijden » est dit « à particule séparable » ; quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit et elle fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« op de sneeuw »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 12 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 12A - Rajouté le 26/05/2015

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « (Het is) net of ik vallende stenen hoorde » (« C’est comme si j’entendais des pierres qui tombent »).
La phrase principale est ici en grande partie sous-entendue puisqu’il y manque son sujet « HET » et sa forme verbale (de la troisième personne du singulier) « IS ».
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée (introduite par « OF »), la forme verbale « hoorDE », prétérit provenant de l’infinitif « HOREN ».
Ce verbe « HOREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « R », on trouvera le « -DE » majoritaire au singulier comme terminaison du radical du verbe au prétérit : « hoor » + « DE » => « hoorDE ».
N’oublions pas que, dans une phrase subordonnée, la forme verbale (ici « HOORDE ») est séparée de son sujet (« IK ») et fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« vallende stenen »), à la fin de la phrase.
Rappelons que le participe présent est, en langue néerlandaise, formé en ajoutant simplement une terminaison « -D » à la fin de l’infinitif : « vallen » + « -D » => « vallenD ».
Ce participe présent étant ici utilisé comme adjectif épithète se passe devant le nom commun « STENEN » qui, étant au PLURIEL, engendrera systématiquement une terminaison « -E » à la fin de cet « adjectif » (même ancien participe présent) : « vallend » + « -E » => « vallendE ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 12 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 11J - Rajouté le 25/05/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze brengen de nacht in hangmatten tegen de rotswand door » (« Ils passent la nuit dans des hamacs contre la paroi rocheuse »).
On y trouve notamment la forme verbale « brengen … DOOR », O.T.T. (ou indicatif présent) provenant du verbe « DOORbrengen », construit sur l’infinitif « BRENGEN ».
La particule « DOOR » est affectée par le phénomène du « REJET », derrière les compléments (« de nacht », « in hangmatten » et « tegen de rotswand »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 11I - Rajouté le 24/05/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze worden door de duisternis overvallen » (« Ils sont surpris par l’obscurité »).
On y trouve notamment la forme verbale « overvallen », participe passé (tant au V.T.T. qu’à la voix passive), provenant de l’infinitif « OVERVALLEN ».
Ce verbe « OVERVALLEN » est affecté par les « temps primitifs » puisqu’il est construit sur « VALLEN » mais n’est PAS à « particule séparable » ; puisque le préfixe « GE- » (majoritaire dans la construction des participes passés) NE s’intercale PAS entre la particule « OVER » et la forme verbale proprement dite.
Le participe passé « OVERVALLEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« door de duisternis »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 11I - Rajouté le 23/05/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze houden het voor ons verborgen » (« Ils le tiennent caché pour nous => ils nous le cachent »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERBORGEN », participe passé (utilisé ici comme une sorte d’adjectif attribut) provenant de l’infinitif « VERBERGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Il faut aussi noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Dans une phrase au passé composé, ce participe passé « verborgen » aurait fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« het » et « voor ons ») à la fin de la phrase. On s’en rendra mieux compte dans la variante suivante : « Ze HEBBEN het voor ons verborgen ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 11H - Rajouté le 22/05/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zouden ze iets (hebben) ontdekt hebben ? » (« Auraient-ils trouvé quelque chose ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « ZOUDEN », provenant de l’infinitif « ZOUDEN » (en quelque sorte « prétérit » de « ZULLEN »), auxiliaire utilisé pour indiquer que l’on se trouve au conditionnel (ici, passé).
N’oublions pas que « ZOUDEN » exige le REJET de l’autre verbe (« hebben »), à l’infinitif, derrière le complément (ici « iets »), à la fin de la phrase.
On y trouve «également la forme verbale « ONTDEKT », participe passé provenant de l’infinitif « ONTDEKKEN ».
Ce verbe « ONTDEKKEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera, au V.T.T., la terminaison « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « ONT- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Signalons dès lors que, si « ONTDEKT » est ici au V.T.T. (ou passé composé), il aurait été écrit de la même façon aux deuxième et troisième personnes du singulier de l’O.T.T. (ou indicatif présent).
Le participe passé « ONTDEKT » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« iets »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 11G - Rajouté le 21/05/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze zijn als bezeten » (« Ils sont comme possédés »).
On y trouve notamment la forme verbale « BEZETEN », participe passé provenant de l’infinitif « BEZITTEN », lui-même construit sur le verbe « ZITTEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « BEZETEN » est ici utilisé comme adjectif.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 11F - Rajouté le 20/05/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Breek het kamp op ! » (« Lève le camp ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « breek … OP », provenant de l’infinitif « OPbreken » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur l’infinitif « BREKEN ».
Quand « OPbreken » est conjugué (tant au présent qu’à l’impératif), cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit et elle fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« het kamp ») à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 11E - Rajouté le 19/05/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Om de gletsjer te bereiken moet een steile rotsmuur (worden) beklommen worden » (« Pour atteindre le glacier, un raide mur de roche doit être escaladé = il faut escalader un raide mur de roche »).
On y trouve notamment la forme verbale « BEKLOMMEN », participe passé provenant de l’infinitif « BEKLIMMEN », lui-même construit sur le verbe « KLIMMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé « BEKLOMMEN » se construit donc sur le PLURIEL du prétérit et est même identique. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Rappelons si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément ou, comme ici, une proposition « subordonnée infinitive » (« Om de gletsjer te bereiken »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « een steile rotsmuur ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « MOET ») et passant donc derrière lui.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 11D - Rajouté le 18/05/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het kruisje duidt een grot aan » (« La petite croix indique une grotte »).
On y trouve notamment la forme verbale « duidt … AAN », construite sur le verbe « AANduiden » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « DUIDEN ».
Quand « AANduiden » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET derrière le complément (« een grot ») à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 11C - Rajouté le 17/05/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een fles waarin een kaart (is) gestopt is » (« Une bouteille dans laquelle une carte est cachée »).
On y trouve notamment, dans la phrase relative (introduite par « WAARIN »), le participe passé « gestopt », provenant de l’infinitif « STOPPEN », qui n’est PAS affecté par les « temps primitifs ».
Ce verbe « STOPPEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « P », on trouvera comme terminaison du participe passé un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Le participe passé « gestopt » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« in de fles ») à la fin de la phrase. On s’en rendra mieux compte dans la variante suivante : « Een kaart is in de fles gestopt ».
Rappelons que l’on ne peut, en aucun cas, dire « in WAT ». Le « WAT », qui se serait trouvé derrière la préposition (ici « IN »), passe (et se « colle ») devant elle, se transformant en « WAAR » => « WAARin ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 11B - Rajouté le 16/05/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Spreek die naam nooit uit ! » (« Ne prononce jamais ce nom ! »).
On y trouve la forme verbale « spreek … UIT », impératif provenant de l’infinitif « UITspreken », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « SPREKEN ».
La forme verbale est construite sur l’O.T.T. ou indicatif présent.
Si cette forme verbale s’était effectivement trouvée à l’indicatif présent, on aurait eu : « je spreekt die naam nooit UIT » (avec également REJET de la particule séparable « UIT », derrière les compléments, à la fin de cette autre phrase).
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 11A - Rajouté le 15/05/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dit moet een kamp van Caspar (zijn) geweest zijn » (« Cela doit avoir été un camp de Caspar = Cela a dû être un camp de Caspar»).
On y trouve notamment la forme verbale « GEWEEST », participe passé provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEWEEST » fait l’objet d’un REJET, derrière le(s) complément(s) (« een kamp van Caspar »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas non plus qu’un « auxiliaire de MODE » comme « MOETEN » (les 3 autres étant « KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN », imitant aussi « HEBBEN » et « ZIJN » au passé composé) exige également le REJET à l’INFINITIF (ici, de « ZIJN »), derrière le(s) complément(s) (« een kamp van Caspar »), à la fin de la phrase, éventuellement derrière un participe passé (ici « GEWEEST »).
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 10F - Rajouté le 14/05/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het is een verlaten kamp » (« C’est un camp que l’on a quitté = abandonné »).
On y trouve la forme verbale « verLATEN », participe passé (utilisé ici comme adjectif épithète) provenant de l’infinitif « verLATEN », lui-même construit sur « LATEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Cette réserve émise, il est à noter que ce participe passé se construit sur l’infinitif et est donc identique. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 10 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 10E - Rajouté le 13/05/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Waarom grijpen de smokkelaars zo ongenadig in ? » (« Pourquoi les contrebandiers interviennent-ils de façon si impitoyable ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « grijpen … IN », provenant de l’infinitif « INgrijpen » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « GRIJPEN ».
Rappelons que, lorsqu’il est conjugué, par exemple au présent, la particule d’un tel verbe fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « zo ongenadig »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 10 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 10D - Rajouté le 12/05/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Buiten ons heeft niemand het zwevend kristal gezien » (« A part nous, personne n’a vu le cristal planant »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEZIEN », participe passé provenant de l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’infinitif. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « GEZIEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« het zwevend kristal »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Buiten ons »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « niemand ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « heeft ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 10 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 10C - Rajouté le 11/05/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zodra de zonnewarmte de rotsen wat ontdooid heeft, wordt de beklimming aangevat » (« Dès que la chaleur du soleil a un peu dégelé les rochers, l’escalade est entamée »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée (introduite par « ZODRA »), la forme verbale « ontdooid », participé passé provenant de l’infinitif « ontdooien ».
Ce verbe « ontdooien » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la voyelle « I », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison du participé passé.
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « ONT- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Rappelons aussi que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« de rotsen » et « wat »), à la fin de la phrase (ici, subordonnée).
On y trouve également la forme verbale « AANgevat », participe passé provenant du verbe « AANvatten », lui-même construit sur l’infinitif « VATTEN ».
Ce verbe « VATTEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant (déjà) par la consonne « T », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire) comme terminaison du participe passé.
Quand « AANvatten » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGEvat ».
Le participe passé « aangevat » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« dadelijk »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (la phrase subordonnée « Zodra de zonnewarmte de rotsen wat ontdooid heeft » joue ici ce rôle), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de beklimming ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « wordt ») et passant donc derrière lui.
Cette phrase principale est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 10 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 10B - Rajouté le 10/05/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De nevelen trokken vroeg weg » (« Les brumes se retirèrent tôt »).
On y trouve notamment la forme verbale « trokken … WEG », prétérit provenant de l’infinitif « WEGtrekken » (verbe dit « à particule séparable »), lui-même construit sur l’infinitif « TREKKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que, lorsqu’il est conjugué, par exemple au prétérit, la particule d’un tel verbe fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « vroeg »), à la fin de la phrase.
La particule séparable « WEG » exprime une notion de répétition ou de retour.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 10 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 10A - Rajouté le 09/05/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De ongelukkige gids wordt op de berg begraven » (« Le malheureux guide est enterré sur la montagne »).
On y trouve notamment la forme verbale « BEGRAVEN », participe passé provenant de l’infinitif « BEGRAVEN », lui-même construit sur le verbe « GRAVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Notez que ce participe passé de « GRAVEN » est construit sur son INFINITIF. Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.
Si les formes verbales du participe passé et de l’infinitif « BEGRAVEN » sont identiques, c’est un peu par hasard. Mais rappelons tout de même que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Le participe passé « BEGRAVEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« op de berg »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 10 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 9G - Rajouté le 08/05/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zend me niet weg ! » (« Ne me renvois pas ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « zend … WEG » à l’impératif, provenant de l’infinitif « WEGzenden » (dit à « particule séparable »), construit sur le verbe « ZENDEN ».
La particule séparable « WEG » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« ME »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 9F - Rajouté le 07/05/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze hebben hem uit de weg geruimd omdat hij ons wilde helpen » (« Ils l’ont nettoyé hors du chemin = mis hors circuit parce qu’il voulait nous aider »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « geruimd », participé passé provenant de l’infinitif « RUIMEN ».
Ce verbe « RUIMEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « M », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison du participé passé.
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« hem » et « uit de weg »), à la fin de la phrase (ici, principale).
Notez l’expression « uit de weg ruimen ».
On y trouve également, dans la phrase subordonnée (introduite par « OMDAT »), la forme verbale « WILDE », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « WILLEN », qui faisait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » mais qui évolue vers un verbe régulier.
Rappelons que, dans une phrase subordonnée, le verbe est séparé de son sujet (ici « HIJ ») et fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « ONS »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si l’on avait utilisé « WANT » (au lieu de « OMDAT »), l’ordre des mots serait resté le même qu’en français : « Ze hebben hem uit de weg geruimd WANT hij wilde ons helpen ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 9E - Rajouté le 06/05/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het is de bergids, doodgevroren » (« C’est le guide de montagne, tué par le gel »).
On y trouve la forme verbale « DOODgevroren », participe passé provenant de l’infinitif « DOODvriezen », lui-même construit sur le verbe « VRIEZEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le verbe « DOODvriezen » est dit « à particule séparable ». Quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « DOOD » (un adjectif), qui fait en principe l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« helemaal »), à la fin de la phrase. On aurait pu imaginer la phrase : « De bergids is helemaal doodgevroren ».
Le participe passé « GEVROREN » est construit sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 9D - Rajouté le 05/05/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb nochtans niemand uit Chamonix zien vertrekken » (« Je n’ai pourtant vu personne partir de Chamonix »).
La phrase est au passé composé et la forme verbale de « ZIEN » aurait donc dû être au participe passé mais on a ici affaire à ce que l’on appelle le « double infinitif », solution intéressante pour éviter les « temps primitifs » quand on ne les maîtrise pas.
Les deux infinitifs font l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« nochtans », « niemand » et « uit Chamonix »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 9C - Rajouté le 04/05/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij had nochtans het geld nodig » (« Il avait pourtant besoin de l’argent »).
On y trouve notamment la forme verbale « HAD », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « HEBBEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Notez l’expression « nodig hebben ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 9B - Rajouté le 03/05/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Misschien kreeg hij angst » (« Peut-être a-t-il reçu = pris peur »).
On y trouve notamment la forme verbale « KREEG », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « KRIJGEN »), qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Misschien »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « HIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « kreeg ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 9A - Rajouté le 02/05/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Misschien heeft hij een waarschuwing gekregen » (« Peut-être a-t-il reçu un avertissement »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEKREGEN », participe passé, provenant de l’infinitif « KRIJGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé « GEKREGEN » se construit sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« een waarschuwing »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Misschien »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « HIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « heeft ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 8F - Rajouté le 01/05/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Nu zijn we er meteen bij betrokken » (« Maintenant, nous y sommes du même coup impliqués »).
On y trouve notamment la forme verbale « BETROKKEN », participe passé provenant de l’infinitif « BETREKKEN », lui-même construit sur le verbe « TREKKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé « BETROKKEN » se construit donc sur le PLURIEL du prétérit et est même identique. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Rappelons si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux
Rappelons aussi que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« meteen »), à la fin de la phrase.
On y trouve également un adverbe pronominal personnel « séparé » (car séparable ) : « ER … BIJ ». On aurait pu trouver les variantes suivantes : « Nu zijn we ERBIJ meteen betrokken » ou « Nu zijn we meteen ERBIJ betrokken ».
Si l’on parle d’adverbe pronominal, c’est parce que sa partie « PRO-nom » remplace le nom commun (par exemple, « de beklimming »). On aurait dès lors pu avoir la variante : « Nu zijn we meteen bij de beklimming betrokken ». Donc « erBIJ » remplace bien « BIJ de beklimming ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 8 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 8E - Rajouté le 30/04/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De smokkelaars zijn blijkbaar goed georganiseerd » (« Les contrebandiers sont apparemment bien organisés »).
On y trouve notamment la forme verbale « georganiseerd », participe passé construit sur l’infinitif « ORGANISEREN ».
Ce verbe « ORGANISEREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « R », on trouvera un « D », majoritaire, à la fin du participe passé : « GE- » (devant) + « -D » (derrière) => « GEorganiseerD ».
Le participe passé « GEorganiseerD » fait l’objet d’un REJET, derrière les « compléments » (« blijkbaar » en « goed »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 8 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 8D - Rajouté le 29/04/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wat weerhield je ? » (« Qu’’est-ce qui te retenait ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « WEERhield », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « WEERhouden », lui-même construit sur « HOUDEN » qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 8 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 8C - Rajouté le 28/04/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je sprak niet over onze belevenissen » (« Tu ne parlais pas de nos aventures = expériences »).
On y trouve notamment la forme verbale « SPRAK », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « SPREKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 8 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 8B - Rajouté le 27/04/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een onbekende luistert aandachtig mee » (« Un inconnu écoute attentivement « avec » = la conversation »).
On y trouve notamment la forme verbale « luistert … MEE » à l’O.T.T., provenant d’un infinitif « MEEluisteren » (à « particule séparable » mais qui n’existe pas officiellement), construit sur le verbe « LUISTEREN ».
La particule séparable « MEE » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« aandachtig »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que la particule « MEE » provient de la préposition « MET ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 8 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 8A - Rajouté le 26/04/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een deur wordt zachtjes opengeduwd » (« Une porte est doucement ouverte en la poussant »).
On y trouve notamment la forme verbale « OPENgeduwd », participe passé construit sur l’infinitif « OPENduwen » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur « DUWEN ».
Ce verbe « DUWEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent = « DUWEN » - « EN » => « DUW ») se terminant par la consonne « W », on trouvera un « D », majoritaire, à la fin du participe passé : la particule « OPEN » (se recollant tout devant, comme à l’infinitif) + « GE- » (devant) et + « -D » (derrière) => « openGEduwD ».
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
Le participe passé « openGEduwD » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« zachtjes »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 8 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 7G - Rajouté le 25/04/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze nemen afscheid en zoeken een berghotel op » (« Ils prennent congé et cherchent = se mettent à la recherche d’un hôtel de montagne »).
Notez l’expression « afscheid nemen ».
On y trouve notamment, dans la deuxième phrase, la forme verbale « zoeken … OP », O.T.T. (ou indicatif présent) provenant du verbe « OPzoeken », construit sur l’infinitif « ZOEKEN ».
Le verbe « OPzoeken » est dit « à particule séparable ». Il y REJET de la particule séparable « OP », derrière le complément (« een berghotel »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 7 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 7F - Rajouté le 24/04/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De alpinist, die hun geest in de nevelen ziet, wordt door onheil getroffen » (« L’alpiniste, qui voit leur esprit dans les brumes, est touché = frappé par la malchance »).
On y trouve notamment la forme verbale « getroffen », participe passé provenant de l’infinitif « TREFFEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que le participe passé « getroffen » se construit sur le pluriel du prétérit ou O.V.T. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « GEtroffen » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« door onheil »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 7 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 7E - Rajouté le 23/04/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maar de jonkvrouw verkoos haar geliefde in de dood te volgen » (« Mais la jeune fille noble = damoiselle préféra suivre son bien-aimé dans la mort »).
On y trouve la forme verbale « verKOOS », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « verKIEZEN », lui-même construit sur le verbe « KIEZEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 7 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 7D - Rajouté le 22/04/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een reusachtig zwevend kristal dat de schildknaap neersloeg en (dat) boven de afgrond meevoerde » (« Un cristal géant et volant terrassa l’écuyer et l’emporta au-dessus du précipice »).
On y trouve notamment, dans la première phrase subordonnée (introduite par le pronom relatif neutre « DAT »), la forme verbale « NEERsloeg », O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « NEERslaan » (verbe dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « SLAAN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Si la particule « NEER » ne se sépare pas de sa forme verbale « SLOEG » dans cette phrase subordonnée, on verra mieux qu’elle fait normalement l’objet d’un REJET, après le complément (« de schildknaap »), à la fin de la phrase, dans la variante suivante : « Het kristal sloeg de schildknaap NEER ».
On y trouve également, dans la deuxième phrase subordonnée (introduite en principe par le pronom relatif neutre « DAT », sous-entendu), la forme verbale « MEEvoerde », O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « MEEvoeren » (verbe dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « VOEREN », qui NE fait PAS partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Si la particule « MEE » ne se sépare pas de sa forme verbale « VOERde » dans cette phrase subordonnée, on verra mieux qu’elle fait normalement l’objet d’un REJET, après les compléments (« boven de afgrond » et « de schildknaap », sous-entendu), à la fin de la phrase, dans la variante suivante : « Het kristal voerde de schildknaap boven de afgrond MEE ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 7 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 7C - Rajouté le 21/04/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Toen de tovenaar verloor, toverde hij uit een grot een reusachtig zwevend kristal » (« Quand le magicien perdit, par un tour de magie, il fit sortir d’une grotte un cristal géant et volant »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée (introduite par « TOEN », parce que l’on est au passé), la forme verbale « VERLOOR », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « VERLIEZEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que, dans une proposition subordonnée, la forme verbale, séparée de son sujet, fait aussi l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« het gevecht »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément ou, comme ici, une proposition subordonnée (« Toen de tovenaar verloor »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet de la phrase principale (ici « HIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « toverde ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 7 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 7B - Rajouté le 20/04/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Om de hand van de dochter van zijn heer te winnen, beklom een schildknaap met haar de berg » (« Pour gagner la main de la fille de son seigneur, un écuyer escalada la montagne avec elle »).
On y trouve notamment la forme verbale « BEKLOM », prétérit provenant de l’infinitif « BEKLIMMEN », lui-même construit sur le verbe « KLIMMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément ou, comme ici, une proposition « subordonnée infinitive » (« Om de hand van de dochter van zijn heer te winnen »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « schildknaap ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « beklom ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 7 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 7A - Rajouté le 19/04/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De legende wil dat in vroegere tijden een boze tovenaar op de berg huisde » (« La légende veut que, dans des temps de plus tôt => anciens un méchant magicien logeait sur la montagne »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « huisDE », O.V.T. (ou prétérit), provenant de l’infinitif « HUIZEN ».
Ce verbe « HUIZEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet, même si le radical (première personne du présent) se termine par la consonne « S », on doit tenir prioritairement compte du « Z » débutant la deuxième syllabe à l’infinitif et on NE trouvera PAS une terminaison « -TE » mais bien le « DE » majoritaire à l’ O.V.T. (ou prétérit) : « huis » + « DE » => « huisDE ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 7 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 6J - Rajouté le 18/04/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Men ziet soms een zwevend kristal waarop een verliefd paar de dood vond » (« On voit parfois un cristal planant sur lequel un couple d’amoureux trouva la mort »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée (introduite par « WAAROP »), la forme verbale « VOND », prétérit ou O.V.T. provenant de l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Dans la phrase subordonnée, la forme verbale « VOND » est séparée de son sujet (« een verliefd paar ») fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« de dood »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que l’adverbe pronominal (ou, ici, conjonction) « WAAROP » provient de « OP wat », dont le « WAT », passé devant la préposition « OP », s’est transformé en « WAAR ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 6I - Rajouté le 17/04/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « (We hebben) nog niet (daar)van (= van de dode geliefden) gehoord » (« Nous n’en avons pas encore entendu parler »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEHOORD », participe passé provenant de l’infinitif « HOREN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « HOREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) ; il ne fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « G », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison du participe passé.
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (ici « nog niet » et « van de dode geliefden », en grande partie sous-entendu), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 6H - Rajouté le 16/04/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Heb je al van de dode geliefden gehoord ? » (« As-tu déjà entendu (parler) des amants morts ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEHOORD », participe passé provenant de l’infinitif « HOREN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « HOREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) ; il ne fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « G », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison du participe passé.
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (ici « al » et « van de dode geliefden »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 6G - Rajouté le 15/04/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Menig alpinist die zijn weg kruiste moest het bekopen » (« Plus d’un alpiniste qui croisa son chemin dut le payer cher »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée relative (introduite par « DIE »), la forme verbale « kruisTE », O.V.T. (ou prétérit), provenant de l’infinitif « KRUISEN ».
Ce verbe « KRUISEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « S », on trouvera une terminaison « -TE » (au lieu du « DE » majoritaire) à l’ O.V.T. (ou prétérit) : « kruis » + « TE » => « kruisTE ».
On y trouve également, dans la phrase principale, la forme verbale « MOEST » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant du verbe « MOETEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 6F - Rajouté le 14/04/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze worden door een onbekende aangevoerd » (« Ils sont commandés par un inconnu »).
On y trouve notamment la forme verbale « AANgevoerd », provenant de l’infinitif « AANvoeren » (dit « à particule séparable »), lui-même conjugué sur « VOEREN », considéré comme « régulier ».
Comme la grande majorité des verbes néerlandais, le verbe « VOEREN » n’est pas affecté par les « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire. La forme verbale « aanGEvoerd » est bien à « particule séparable » puisque le « GE » du participe passé s’intercale entre la particule « AAN » et la forme verbale proprement dite.
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« door een onbekende »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 6E - Rajouté le 13/04/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De bergen hebben al hun geheimen niet prijsgegeven » (« Les montagnes n’ont pas livré tous leurs secrets »).
On y trouve notamment la forme verbale « PRIJSgegeven », participe passé construit sur le verbe « PRIJSgeven » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « GEVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « PRIJSgeven » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « PRIJS » (un nom) de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « prijsGEgeven ».
Le participe passé « PRIJSgegeven » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« al hun geheimen »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 6D - Rajouté le 12/04/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Men meende dat ze door monsters werden bewoond » (« On pensait = était d’avis qu’elles étaient habitées par des monstres »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « meenDE », prétérit provenant de l’infinitif « MENEN ».
Ce verbe « MENEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « N », on trouvera le « -DE » majoritaire au singulier comme terminaison du prétérit : « meen » + « DE » => « meenDe ».
On y trouve également, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « bewoond », participe passé provenant de l’infinitif « BEWONEN ».
Ce verbe « BEWONEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») ; il ne fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « N », on trouvera au participe passé la terminaison « D » majoritaire.
Mais rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Cette phrase est aussi à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
Le participe passé « BEWOOND » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« door monsters »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, dans une phrase subordonnée, le verbe (« WERDEN ») ne reste plus à côté de son sujet (ici « ZE ») et fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« door monsters »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 6C - Rajouté le 11/04/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Vroeger boezemden hoge gebergten de mensen angst in » (« Jadis les hautes régions montagneuses inspiraient de la peur aux êtees humains »).
On y trouve notamment la forme verbale « boezemden … IN », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « INboezemen », dit « à particule séparable ».
Quand « INboezemen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « IN » de son infinitif proprement dit et la particule fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« de mensen » et « angst »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Vroeger »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « hoge gebergten ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « boezemden … IN ») et passant donc derrière lui.
Rappelons aussi que le comparatif de supériorité (« jadis » équivalant à « PLUS tôt dans le temps ») est construit, en langues néerlandaise et anglaise, en ajoutant la terminaison « -ER » à la fin du mot (souvent un adjectif) => « vroeg » + « -ER » = « vroegER».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 6B - Rajouté le 10/04/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik wist dat er meer achter zat » (« Je savais qu’il y avait plus derrière = que cela cachait quelque chose »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « WIST » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant du verbe « WETEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve également, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « ZAT », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « ZITTEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
N’oublions pas que, dans une phrase subordonnée, le verbe ne reste plus à côté de son sujet (ici « ER ») et fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« meer » et « achter »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 6A - Rajouté le 09/04/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Nummer 7 raakt hevig opgewonden door het verhaal van het zwevend kristal (opgewonden) » (« Numéro 7 est fortement excité par le récit du cristal planant »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale (utilisée ici comme une sorte d’adjectif attribut après « RAKEN » quasi synonyme de « ZIJN » ou « WORDEN ») « OPgewonden », V.T.T. (ou participe passé) provenant de l’infinitif « opWINDEN », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « WINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « OPwinden » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEwonden ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 5F - Rajouté le 08/04/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dorland, die Caspar uitschakelde … » (« Dorland, qui élimina Caspar »).
On y trouve notamment, dans une phrase subordonnée relative introduite par « DIE »), la forme verbale « UITschakelde » provenant de l’infinitif « UITschakelen », dit « à particule séparable », construit sur un verbe « SCHAKELEN » (qui n’existerait plus).
N’oublions pas que, dans une phrase subordonnée, le verbe, faisant l’objet d’un REJET à la fin de la phrase, ne se trouve plus juste à côté du sujet (ici sous-entendu) et qu’ils sont séparés par le complément (« Caspar »).
Ce verbe « SCHAKELEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « L », on trouvera le « -DE » majoritaire au singulier comme terminaison du radical du verbe au prétérit : « schakel » + « DE » => « schakelDE ».
On verra mieux que l’infinitif « UITschakelen » est « à particule séparable » dans la variante suivante : « Dorland schakelde Caspar UIT ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 5E - Rajouté le 07/04/2015

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij was een bedrieger, die Caspar door ons liet opsporen » (« Il était un escroc, qui fit pister Caspar par nous »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On trouve aussi, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « LIET », prétérit provenant de l’infinitif « LATEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
N'oublions pas que, dans une phrase subordonnée, le verbe est séparé de son sujet (ici sous-entendu) et fait l'objet d'un REJET, derrière les compléments (« Caspar » et « door ons »), à la fin de la phrase (subordonnée).
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 5D - Rajouté le 06/04/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dan is de zaak voor ons afgedaan » (« Alors l’affaire est réglée pour nous »).
On y trouve notamment la forme verbale « AFgedaan », participe passé provenant de l’infinitif « AFdoen », lui-même construit sur le verbe « DOEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « AFdoen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « afGEdaan ».
Le participe passé « afGEdaan » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« voor ons »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« DAN »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de zaak ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « IS ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 5C - Rajouté le 05/04/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De man is door een auto doodgereden » (« L’homme est roulé à mort = est écrasé par une voiture »).
On y trouve notamment la forme verbale « DOODgereden », participe passé provenant de l’infinitif « DOODrijden », lui-même construit sur le verbe « RIJDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « DOODrijden » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « DOOD » (un adjectif) de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « doodGEreden ».
Le participe passé « doodGEreden » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« door een auto »), à la fin de la phrase.
Notez que l’on aurait pu avoir une variante de cette phrase à la voix passive (avec l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ») : « De man wordt door een auto doodgereden ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 5B - Rajouté le 04/04/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De man, die we voor hem opspoorden … » (« L’homme, que nous suivions à la trace pour lui … »).
On y trouve notamment, dans une phrase subordonnée relative introduite par « DIE »), la forme verbale « OPspoorden » provenant de l’infinitif « OPsporen », dit « à particule séparable », construit sur un verbe « SPOREN » (qui n’existerait plus).
N’oublions pas que, dans une phrase subordonnée, le verbe, faisant l’objet d’un REJET à la fin de la phrase, ne se trouve plus juste à côté du sujet (« WE ») et qu’ils sont séparés par le complément (« voor hem »).
Ce verbe « SPOREN », comme « HOREN », est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « R », on trouvera le « -DE » majoritaire au singulier comme terminaison du radical du verbe au prétérit : « spoor » + « DE » => « spoorDE ».
On verra mieux que l’infinitif « OPsporen » est « à particule séparable » dans la variante suivante : « We spoorden die man voor hem OP ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 5A - Rajouté le 03/04/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « U weet dat ik hem verdacht vond » (« Vous savez que je le trouvais suspect »).
On y trouve notamment la forme verbale « VOND », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
N’oublions pas que, dans une phrase subordonnée (introduite ici par « DAT »), le verbe, faisant l’objet d’un REJET à la fin de la phrase, ne se trouve plus juste à côté du sujet (« IK ») et qu’ils sont séparés par les compléments (« HEM » et « verdacht »).
On y trouve également le participe passé « verDACHT » (utilisé ici comme adjectif), ancienne forme verbale provenant de l’infinitif « verDENKEN », lui-même construit sur le verbe « DENKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons en effet que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 4F - Rajouté le 02/04/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maar ik zal bewijzen dat ik gelijk had » (« Mais je vais prouver que j’avais raison »).
On y trouve notamment la forme verbale « HAD », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « HEBBEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
N’oublions pas que, dans une phrase subordonnée (introduite ici par « DAT »), le verbe, faisant l’objet d’un REJET à la fin de la phrase, ne se trouve plus juste à côté du sujet (« IK ») et qu’ils sont séparés par le complément (« gelijk »).
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 4 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 4E - Rajouté le 01/04/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij laat de overledene weghalen » (« Il laisse emporter le décédé = le défunt »).
On y trouve notamment la forme verbale « overLEDEN » (utilisée ici comme nom commun), participe passé provenant de l’infinitif « overLIJDEN », lui-même construit sur le verbe « LIJDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » (et dont le participe passé est « geLEDEN »).
Le fait que « OVER », dans ce participe passé « overLEDEN », ne soit pas séparé du corps principal du participe passé (« LEDEN ») par un « GE » prouve qu’il ne s’agit PAS d’un verbe à « particule séparable ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le pluriel du prétérit ou O.V.T. et, dans ce cas-ci, est identique (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
On y trouve égamment la forme verbale « WEGhalen », d’un infinitif « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « HALEN ».
En effet si « WEGhalen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « WEG » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET, derrière le complément, à la fin de la phrase : « Ze halen de overledene WEG ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 4 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 4D - Rajouté le 31/03/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij gaf de geest » (« Il donna l’esprit = il rendit l’âme »).
On y trouve notamment la forme verbale « GAF », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « GEVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 4 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 4C - Rajouté le 30/03/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Waarom riep je de politie niet te hulp ? » (« Pourquoi n’appelas-tu pas la police à l’aide ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « RIEP », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « ROEPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Notez l’expression « te hulp roepen ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 4 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 4B - Rajouté le 29/03/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik kon (op mijn vijand) ontsnappen » (« Je pus échapper »).
On y trouve notamment la forme verbale « KON », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif (et « AUXILIAIRE de MODE de la capacité) « KUNNEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
L’infinitif « ontsnappen » ferait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« op mijn vijand »), à la fin de la phrase, parce l’auxiliaire de mode « KUNNEN » l’exige.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 4 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 4A - Rajouté le 28/03/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik deed een fantastische ontdekking » (« Je fis une fantastique découverte »).
On y trouve notamment la forme verbale « DEED », O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « DOEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 4 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 3C - Rajouté le 27/03/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Is hij er erg aan toe ? » (« Est-il gravement touché ? »).
Notez l’expression « er aan toe zijn ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 3 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 3B - Rajouté le 26/03/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij veroorzaakt een ongeval en hij rijdt weg ! » (« Il provoque un accident et il prend la fuite ! »)
On y trouve la forme verbale « rijdt … WEG », O.T.T. (ou « présent ») provenant de l’infinitif « WEGrijden » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « RIJDEN ».
Quand « WEGrijden » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « WEG » de son infinitif proprement dit et elle fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« dadelijk »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 3 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 3A - Rajouté le 25/03/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wat mag die (hem) zo uitgespookt hebben ? » (« Qu’est-ce qui a pu l’effrayer à ce point ? »).
On y trouve notamment, la forme verbale « UITgespookt », participe passé construit sur le verbe « UITspoken » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « SPOKEN ».
Ce verbe « SPOKEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « S », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Quand « UITspoken » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « uitGEspookt ».
Le participe passé « uitGEspookt » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« DIE » et « ZO »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 3 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 2G - Rajouté le 24/03/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik ga binnen » (« Je vais à l’intérieur = J’entre »).
On y trouve la forme verbale « ga … BINNEN », provenant de l’infinitif « BINNENgaan » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « GAAN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « BINNENgaan » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « BINNEN » de son infinitif proprement dit et elle fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« het huis »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 2 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 2F - Rajouté le 23/03/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We gaan er dadelijk op af ! » (« Nous nous y rendons tout de suite ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « gaan … AF », construite sur le verbe « AFgaan » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « GAAN ».
Quand « AFgaan » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET derrière le complément (« dadelijk »), à la fin de la phrase.
On y trouve également un adverbe pronominal personnel « séparé » (car séparable ) : « ER … OP ». On aurait pu trouver les variantes suivantes : « We gaan dadelijk erop af ! », « We gaan dadelijk DAARop af ! » ; « We gaan DAAR dadelijk op af ! ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 2 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 2E - Rajouté le 22/03/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het adres is net aangekomen » (« L’adresse est juste arrivée = vient de nous parvenir »).
On y trouve notamment la forme verbale « AANgeKOMEN », participe passé du verbe « AANkomen » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « KOMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « AANkomen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGEkomen ».
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le « complément » (ici « NET »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 2 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 2D - Rajouté le 21/03/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zijn snor en (zijn) baard leken me niet echt » (« Sa moustache et sa barbe ne me semblaient pas authentiques »).
On y trouve notamment la forme verbale « LEKEN », O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « LIJKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 2 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 2C - Rajouté le 20/03/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ben je gek geworden ? » (« Es-tu devenu fou ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEWORDEN », participe passé provenant de l’infinitif « WORDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Cette forme verbale est, comme on le voit, construite sur l’INFINIF. (Pour complément d’informations, consultez notamment notre tableau de synthèse « Temps primitifs » dans la partie « GRAMMATICA » de ce site.)
Le participe passé « GEWORDEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le « complément » (« gek »), en fait un attribut, à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 2 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 2B - Rajouté le 19/03/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hebt u de papieren van Dorland gezien ? » (« Avez-vous vu les papiers de Dorland ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEZIEN », participe passé provenant de l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’infinitif. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « GEZIEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« de papieren van Dorland »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 2 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 2A - Rajouté le 18/03/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wat voor een archeologische vondst deed hij (Pierre Caspar) ? » (« Quoi pour une trouvaille archéologique fit-il ? = Que fit-il comme découverte archéologique ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « DEED », O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « DOEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 2 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 1D - Rajouté le 17/03/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De vluchteling deed een belangrijke archeologische ontdekking » (« Le fugitif fit une importante découverte archéologique »).
On y trouve notamment la forme verbale « DEED », O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « DOEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 1 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 1C - Rajouté le 16/03/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij komt ons verzoeken een van zijn landgenoten op te sporen » (« Il vient nous prier de suivre à la trace = repérer un de ses concitoyens »).
On y trouve notamment la forme verbale de l’infinitif « OPsporen », dit « à particule séparable », construit sur un verbe « SPOREN » (qui n’existerait plus).
On la trouve dans une sorte de phrase subordonnée « infinitive » introduite par un « TE » (exigé par « VERZOEKEN », la particule « TE » s’intercalant entre l’infinitif proprement dit, « SPOREN », et sa « particule séparable » « OP ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 1 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 1B - Rajouté le 15/03/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je bent geen onbekende meer » (« Tu n’es plus un inconnu »).
On y trouve notamment la forme verbale « onBEkenDE », nom provenant d’un participe passé, construit sur le contraire de « BEKENNEN », lui-même construit sur l’infinitif « KENNEN ».
Ce verbe « KENNEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « N », on trouvera la terminaison « -DE » majoritaire au singulier comme du prétérit, la pluriel étant formé en rajoutant la consonne « -N » (marque du pluriel pour tous les verbes, à tous les temps) : « ken » + « De » + « -N » => « kenDeN ». Quand on construit le participe passé, on conserve le « D » de cette terminaison « DE » du prétérit.
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Le résultat sera donc bien : « BE » + « ken » + « D » => « BEkenD ». Le préfixe du contraire, étant « ON- », cela donne « onBEkenD ». Pour en faire un nom commun, on y rajoute la terminaison « E ».
N’oublions pas que la négation devant un nom est le déterminant indéfini « EEN », précédé d’un « G » => « Geen ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 1 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND GEHEIMEN MONT BLANC 1A - Rajouté le 14/03/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze hebben een stormachtige nacht in het bos doorgebracht » (« Ils ont passé une nuit d’orage dans le bois »).
On y trouve notamment la forme verbale « DOORgebracht », participe passé provenant de l’infinitif « DOORbrengen » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « DOORbrengen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « DOOR » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « doorGEbracht ».
Ce participe passé « GEBRACHT » est construit sur le singulier du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Rappelons aussi que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (ici « een stormachtige nacht » et « in het bos »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 1 dans « De geheimen van de Mont Blanc », le volume N°37 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 28M - Rajouté le 13/03/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Naar verluidt, liep de heer Corvilain een gevangenisstraf (op) van vier jaar op » (« D’ailleurs, Monsieur Corvilain encourut une peine de quatre ans de prison »).
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Naar verluidt »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de heer Corvilain ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « liep ») et passant donc derrière lui.
On y trouve notamment la forme verbale « LIEP … op », O.V.T. (ou prétérit), provenant du verbe « OPlopen », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « LOPEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La « particule séparable » « OP » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« een gevangenisstraf van vier jaar »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 28L - Rajouté le 12/03/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Verder kwamen giften toe uit Nederland, Engeland, Frankrijk en zelfs uit Amerika (toe) » (« Plus loin = plus tard arrivèrent = affluèrent des dons en provenance des Pays-Bas, de l’Angleterre, de la France et même de l’Amérique »).
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Verder »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « giften ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « kwamen ») et passant donc derrière lui.
On y trouve notamment la forme verbale « kwamen … TOE », O.V.T. (ou prétérit) provenant du verbe « TOEkomen », construit sur l’infinitif « KOMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le verbe « TOEkomen » est dit « à particule séparable ». Il y a, normalement, REJET de la particule séparable « TOE », derrière les compléments (« uit Nederland, Engeland, Frankrijk en zelfs uit Amerika »), à la fin de la phrase.
Si ce verbe avait été conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela aurait entraîné en néerlandais une séparation de la particule « TOE » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « toeGEkomen ». On aurait pu avoir, au passé, la variante suivante : « Verder zijn giften uit Nederland, Engeland, Frankrijk en zelfs uit Amerika toegekomen ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 28K - Rajouté le 11/03/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het hulpcomité ontving een grote som geld » (« Le comité d’aide reçut une grande = grosse somme d’argent »).
On y trouve notamment la forme verbale « ONTving », prétérit provenant de l’infinitif « ONTvangen », lui-même construit sur l’infinitif « VANGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 28J - Rajouté le 10/03/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Uit een onderzoek naar de verantwoordelijkheid, bleek de ingenieur van de provincie de toelating gegeven te hebben de fabriek te openen » (« D’après une enquête concernant la responsabilité, il sembla que l’ingénieur de la province eût donné l’autorisation d’ouvrir l’usine »).
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Uit een onderzoek naar de verantwoordelijkheid »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de ingenieur ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « bleek ») et passant donc derrière lui.
On y trouve notamment la forme verbale « BLEEK », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « BLIJKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve également la forme verbale « GEGEVEN », participe passé provenant de l’infinitif « GEGEVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’INFINITIF. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 28I - Rajouté le 09/03/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het ganse noordelijke havenkwartier (= havenwijk) had te lijden van de ontploffing (te lijden) » (« Tout le quartier nord du port eut à souffrir de l’explosion »).
On y trouve notamment la forme verbale « HAD », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « HEBBEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 28H - Rajouté le 08/03/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De stoffelijke schade was niet te schatten » (« Le dommage matériel n’était pas à estimer => estimable »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 28G - Rajouté le 07/03/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De ramp eiste drieenvijtig doden, tweeenveertig vermisten en een hondertal gewonden en verminkten » (« La catastrophe exigea = se solda par cinquante-trois morts, quarante-deux disparus et une centaine de blessés et de mutilés »).
On y trouve notamment, au prétérit (ou O.V.T.), la forme verbale « eisTE », construite sur le verbe « EISEN ».
Ce verbe « EISEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « S », on trouvera une terminaison « -TE » (au lieu du « -DE » majoritaire) à l’ O.V.T. (ou prétérit) : « eis » + « TE » => « eisTE ».
On y trouve également la forme verbale « VERmist » (utilisé ici comme nom commun au PLURIEL), participe passé provenant de l’infinitif « VERmissen ».
Ce verbe « VERmissen » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « S », on trouvera comme terminaison du participe passé le « T » minoritaire.
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
On y trouve également la forme verbale « gewond » (utilisé ici comme nom commun au PLURIEL), participe passé provenant de l’infinitif « wonden ».
Ce verbe « WONDEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant déjà par la consonne « D », on trouvera, de toutes façons, comme terminaison du participe passé le « D » majoritaire.
On y trouve également la forme verbale « VERminkt » (utilisé ici comme nom commun au PLURIEL), participe passé provenant de l’infinitif « VERminken ».
Ce verbe « VERminken » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera comme terminaison du participe passé le « T » minoritaire.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 28F - Rajouté le 06/03/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De ramp teisterde Austruweel op 6 september 1889 » (« La catastrophe ravagea Austruweel le 6 septembre 1889 »).
On y trouve notamment la forme verbale « teisterDE », prétérit provenant de l’infinitif « TEISTEREN ».
Ce verbe « TEISTEREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « R », on trouvera le « -DE » majoritaire au singulier comme terminaison du radical du verbe au prétérit : « teister » + « DE » => « teisterDE ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 28E - Rajouté le 05/03/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je liet er mij inlopen ! » (« Tu me laissais courir dedans = tu me faisais marcher »).
On trouve notamment la forme verbale « LIET », prétérit provenant de l’infinitif « LATEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Notez l’expression « iemand laten inlopen », où « INlopen » est un verbe dit « à particule séparable ». Si on l’avait utilisée au prétérit, on aurait pu avoir : « Ik liep er (helemaal) IN ! »
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 28D - Rajouté le 04/03/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik zag hen an het werk » (« Je les vis à l’œuvre »).
On y trouve notamment la forme verbale « ZAG », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 28C - Rajouté le 03/03/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je sluit geen kerels op die mensenlevens (hebben) gered hebben ! » (« Tu n’enfermes pas des types qui ont sauvé des vies humaines ! »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « sluit … OP », provenant du verbe « OPsluiten », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « SLUITEN ».
La « particule séparable » « OP » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« geen kerels »), à la fin de la phrase principale.
On y trouve aussi, dans la phrase subordonnée relative, le REJET de la forme verbale « GERED », derrière le complément (« mensenlevens »), à la fin de cette phrase subordonnée.
Elle provient de l’infinitif « REDDEN » et ce verbe est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent : « RED ») se terminant déjà par la consonne « D », on trouvera évidemment le « D » comme terminaison majoritaire au participe passé (« GERED »).
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 28B - Rajouté le 02/03/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De omstandigheden waren je gunstig » (« Les circonstances te furent favorables »).
On y trouve notamment la forme verbale « WAREN » (encore plus irrégulière … au PLURIEL), O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 28A - Rajouté le 01/03/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik kreeg ze (Robert en Bertrand) te pakken ! » (« J’ai réussi à les coffrer ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « KREEG », O.V.T. (ou prétérit) construit sur le verbe « KRIJGEN », faisant l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Notez la tournure particulière de cette phrase. On aurait pu avoir les variantes plus compliquées : « Il ben erin geslaagd ze te pakken » ou « Het is me gelukt ze te pakken ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 27M - Rajouté le 28/02/2015

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik hoorde ook dat je de vagebonden (Robert en Bertrand) achter de tralies hebt gezet » (« J’ai aussi entendu que tu as mis les vagabonds derrière les barreaux »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « hoorDE », prétérit provenant de l’infinitif « HOREN ».
Ce verbe « HOREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « R », on trouvera le « -DE » majoritaire au singulier comme terminaison du radical du verbe au prétérit : « hoor » + « DE » => « hoorDE ».
On y trouve également, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « gezet », V.T.T. (ou participe passé) provenant de l’infinitif « ZETTEN », considéré comme verbe « régulier ».
Comme la grande majorité des verbes néerlandais, le verbe « ZETTEN » n’est pas affecté par les « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « T », on trouvera de toutes façons le « T » minoritaire comme terminaison du participe passé.
Le participe passé « gezet » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« de vagebonden » et « achter de tralies »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 27 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 27L - Rajouté le 27/02/2015

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik hoorde ook dat je mijn opdracht uitvoerde » (« J’ai aussi entendu que tu as exécuté ma mission »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « hoorDE », prétérit provenant de l’infinitif « HOREN ».
Ce verbe « HOREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « R », on trouvera le « -DE » majoritaire au singulier comme terminaison du radical du verbe au prétérit : « hoor » + « DE » => « hoorDE ».
On y trouve également, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « UITvoerde », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « UITvoeren » (verbe dit à « particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « VOEREN », considéré comme verbe « régulier ».
Comme la grande majorité des verbes néerlandais, le verbe « VOEREN » n’est pas affecté par les « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « R », on trouvera au prétérit la terminaison « DE » majoritaire.
Si on n’était pas dans une phrase subordonnée, où la forme verbale « uitvoerde » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« mijn opdracht »), à la fin de la phrase, on verrait mieux que la particule séparable « UIT » fait elle l’objet d’un REJET, derrière le même complément, à la fin de la phrase comme dans la variante suivante : « Je voerde mijn opdracht UIT ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 27 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 27K - Rajouté le 26/02/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « (Enkele) Dagen later wordt nummer 17 (bij zijn baas) ontboden » (« Quelques jours plus tard, nummer 17 est convoqué »).
On y trouve notamment la forme verbale « ONTboden », participe passé provenant de l’infinitif « ONTBIEDEN », lui-même conjugué sur « BIEDEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Cette forme verbale « ONTBODEN » est construite sur le PLURIEL du prétérit et est même identique. (Pour complément d’informations, consultez notamment notre tableau de synthèse « Temps primitifs » dans la partie « GRAMMATICA » de ce site.)
Rappelons enfin que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « ONT- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Le participe passé « ONTboden » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« bij zijn baas « ), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Dagen later »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « nummer 17 ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « wordt ») et passant donc derrière lui.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 27 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 27J - Rajouté le 25/02/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De enige overlevende van een familie (LINKS) en wezen vóór het ouderlijke huis waaronder hun ouders werden bedolven » (« Le seul survivant d’une famille et des orphelins devant la maison parentale sous laquelle leurs parents furent ensevelis »).
N’oublions pas que le participe présent en néerlandais se construit en ajoutant simplement un « D » à l’infinitif : « OVERLEVEN » => « overlevenD ». Ici, ce participe présent est utilisé comme nom commun.
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée (introduite par « waarONDER »), la forme verbale « BEDOLVEN », participe passé provenant du verbe « BEDELVEN », construit sur l’infinitif « DELVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Le participe passé « beDOLVEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« onder het ouderlijke huis »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 27 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 27I - Rajouté le 24/02/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « In veel families wordt (er) om doden, gewonden of verminkten getreurd » (« Dans beaucoup de familles, on déplore des morts, des blessés ou des mutilés »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEtreurD », participe passé provenant de l’infinitif « TREUREN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Comme la grande majorité des verbes néerlandais, le verbe « TREUREN » NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire à la fin de son participe passé « GEtreurD ».
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« om doden, gewonden of verminkten »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« In veel families »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (« ER », ici sous-entendu) inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « WORDT ») et passant donc derrière lui.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
On y trouve également la forme verbale « gewond », participe passé (utilisé ici comme nom commun, au PLURIEL) provenant de l’infinitif « wonden ».
Ce verbe « WONDEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant déjà par la consonne « D », on trouvera, de toutes façons, comme terminaison du participe passé le « D » majoritaire.
On y trouve enfin, la forme verbale « VERminkT » (utilisée (utilisé ici comme nom commun, au PLURIEL), participe passé provenant de l’infinitif « VERMINKEN », qui NE fait PAS partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « VERMINKEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera comme terminaison du participe passé un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 27 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 27H - Rajouté le 23/02/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « In het verwoeste dorp vielen eveneens slachtoffers » (« Dans le village dévasté tombèrent également des victimes »).
On y trouve notamment la forme verbale « VIELEN », O.V.T. (ou prétérit), provenant du verbe « VALLEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« In het verwoeste dorp »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici «slachtoffers ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « VIELEN ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 27 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 27G - Rajouté le 22/02/2015

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De plaats waar velen de dood vonden biedt een troosteloze aanblik » (« L’endroit, où beaucoup trouvèrent la mort, offre un aspect désolant »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée (introduite par « WAAR »), la forme verbale « VONDEN », prétérit ou O.V.T. provenant de l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 27 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 27F - Rajouté le 21/02/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Bij dageraad is de brand uitgewoed » (« A l’aurore, l’incendie s’est apaisé »).
On y trouve notamment la forme verbale « UITgewoed », provenant de l’infinitif « UITwoeden » (dit « à particule séparable »), lui-même conjugué sur « WOEDEN », considéré comme « régulier ».
Comme la grande majorité des verbes néerlandais, le verbe « WOEDEN » n’est pas affecté par les « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « D », on trouvera a fortiori la terminaison « D » majoritaire au participe passé des verbes régulier. La forme verbale « uitGEwoed » est donc bien à « particule séparable » puisque le « GE » du participe passé s’intercale entre la particule « UIT » et la forme verbale proprement dite.
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« Bij dageraad »), à la fin de la phrase sans inversion : « De brand is bij dageraad uitgewoed ».
N’oublions donc pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Bij dageraad »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de brand ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « IS ») et passant dès lors derrière lui.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 27 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 27E - Rajouté le 20/02/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ga eerst naar het ziekenhuis (met mij) mee ! » (« Va d’abord à l’hôpital avec moi = Accompagne-moi d’abord à l’hôpital !»).
On y trouve notamment la forme verbale « ga … MEE », provenant de l’infinitif « MEEgaan » (verbe dit à « particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « GAAN ».
La particule séparable « MEE » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« eerst » et « naar het ziekenhuis »), à la fin de la phrase.
Rappelons que la particule « MEE » provient de la préposition « MET ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 27 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 27D - Rajouté le 19/02/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik moet jullie aan onze afspraak herinneren » (« Je dois vous rappeler notre rendez-vous »).
Si, en langue néerlandaise, on trouve au début d’une phrase une forme verbale de « MOETEN » (« auxiliaire de mode » comme « KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), elle exige le REJET, derrière les compléments (« jullie » et « aan onze afspraak »), de l’autre verbe présent et ce à la fin de cette phrase (« HERINNEREN »).
Notez que « HERINNEREN » se construit avec la préposition « AAN ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 27 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 27C - Rajouté le 18/02/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze zijn als vermist opgegeven » (« Ils sont donnés comme manquants = ils sont portés disparus »).
On y trouve notamment la forme verbale « OPgegeven », participe passé provenant de l’infinitif « OPgeven », lui-même construit sur l’infinitif « GEVEN », affecté par les « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé « GEGEVEN » se construit sur l’INFINITIF. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Ce verbe « OPgeven » est aussi dit « à particule séparable » ; quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEgeven ».
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« als vermist »), à la fin de la phrase.
On y trouve notamment, la forme verbale « VERMIST » (utilisée comme une sorte d’adjectif attribut), participe passé provenant de l’infinitif « VERMISSEN », qui NE fait PAS partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « VERMISSEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « S », on trouvera au participe passé un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 27 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 27B - Rajouté le 17/02/2015

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « In het gebouw waar zij werkte zijn er geen overlevenden » (« Dans le bâtiment où elle travaillait, il n’y a pas de survivants »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée introduite par « WAAR ») la forme verbale « werkte », provenant de l’infinitif « WERKEN ».
Ce verbe « WERKEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire) au V.T.T. (« geWERKt ») et un « E » sera rajouté à l’O.V.T. comme ici. Cela donne à l’O.V.T. : « werk » + « TE » => « werkTE ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (la proposition subordonnée « In het gebouw waar zij werkte » joue ici ce rôle), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « ER ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « ZIJN ») et passant donc derrière lui.
N’oublions pas non plus que le participe présent en néerlandais se construit en ajoutant simplement un « D » à l’infinitif : « OVERLEVEN » => « overlevenD ». Ici, ce participe présent est utilisé comme nom commun et son PLURIEL (même après « GEEN » !) se construit comme celui de la majorité d’entre eux, en ajoutant la terminaison « EN » => « overlevenDen ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 27 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 27A - Rajouté le 16/02/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb jouw vraag gehoord » (« J’ai entendu ta question »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEHOORD », participe passé provenant de l’infinitif « HOREN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « HOREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) ; il ne fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « G », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison du participe passé.
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « jouw vraag »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 27 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 26E - Rajouté le 15/02/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wat is van haar (Anna) geworden ? » (« Qu’est-il advenu d’elle ? = Qu’est-elle devenue ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « « GEWORDEN », participe passé provenant de l’infinitif « « WORDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEWORDEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« van Anna »), à la fin de la phrase.
Il est à noter que ce participe passé « GEWORDEN » se construit sur l’INFINITIF. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 26 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 26D - Rajouté le 14/02/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Enkele brandweermannen raken gewond » (« Quelques pompiers sont blessés »).
On y trouve notamment la forme verbale « gewond », participe passé provenant de l’infinitif « wonden ».
Ce verbe « WONDEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant déjà par la consonne « D », on trouvera, de toutes façons, comme terminaison du participe passé le « D » majoritaire.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 26 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 26C - Rajouté le 13/02/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Er vliegen nog kogels (overal) rond (hen) » (« Il y a encore des balles qui volent autour d’eux = Des balles volent encore autour d’eux »).
On y trouve la forme verbale « vliegen … ROND », provenant de l’infinitif « RONDvliegen », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « VLIEGEN ».
La « particule séparable » « ROND » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« overal »), à la fin de la phrase.
On a, avec cette phrase, un bon exemple d’une ancienne préposition « ROND », qui introduisait auparavant un complément (« Er vliegen nog kogels rond HEN ») et qui a évolué vers une « particule séparable ». Le processus y est facile à comprendre.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 26 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 26B - Rajouté le 12/02/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Misleid door de rook, stort hij echter van de trap » (« Induit en erreur par la fumée, il tombe toutefois de l’escalier »).
On y trouve notamment, dans la première phrase, la forme verbale « MISleid », participe passé (utilisé comme une sorte d’adjectif attribut) provenant de l’infinitif « MISleiden », lui-même construit sur le verbe « LEIDEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « MISleiden » est donc considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant (déjà) par la consonne « D », on trouvera comme terminaison du participe passé le « D » majoritaire.
Le verbe « MISleiden » N'est PAS à « particule séparable » puisqu'aucun « GE » ne s’intercale au participe passé entre « MIS » et la forme verbale (« -LEID») proprement dite.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Misleid door de rook »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « HIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « STORT ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 26 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 26A - Rajouté le 11/02/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze hebben het gehaald » (« Ils ont été le chercher = Ils en ont réchappé »).
On y trouve notamment la forme verbale « gehaald », participe passé provenant de l’infinitif « HALEN ».
Ce verbe « HALEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « L », on trouvera bien sûr comme terminaison du participe passé le « D » majoritaire.
Aux temps composés, le participe passé « gehaald » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« HET »), à la fin de la phrase.
Notez l’expression.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 26 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 25D - Rajouté le 10/02/2015

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Net als hij buitenkomt, hoort hij de zoldering met donderend geraas instorten » (« Juste au moment où il sort, il entend le plafond s’effondrer avec un bruit de tonnerre »).
On y trouve la forme verbale « BUITENkomt », provenant de l’infinitif « BUITENkomen », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « KOMEN ».
On y trouve la forme verbale « INstorten », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « STORTEN ».
On voit mieux les particules séparables des deux verbes concernés dans la variante suivante : « Hij komt net BUITEN en de zoldering stort met donderend geraas IN »
Dans ce cas de la phrase subordonnée (introduite par « ALS »), principale où « BUITENkomen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « BUITEN » de son infinitif proprement dit, faisant l’objet d’un REJET derrière le complément (« NET »), à la fin de la phrase.
Dans ce cas de la phrase principale où « INstorten » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « IN » de son infinitif proprement dit, faisant l’objet d’un REJET derrière le complément (« met donderend geraas »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (la phrase subordonnée « Net als hij buitenkomt » joue ici ce rôle), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « HIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (« hoort ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 25C - Rajouté le 09/02/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dit houd ik niet lang vol » (« Je ne tiens ceci pas longtemps = Je ne tiendrai pas longtemps »).
On y trouve la forme verbale « houd … VOL », provenant de l’infinitif « VOLhouden » (verbe dit à « particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « HOUDEN ».
La particule séparable « VOL » (un adjectif) fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« niet LANG »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« DIT »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « IK ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (« HOUD ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 25B - Rajouté le 08/02/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « In de herberg is een vrouw met twee kinderen opgesloten » (« Dans l’auberge, une femme est enfermée avec deux enfants »).
On y trouve notamment la forme verbale « OPgesloten », participe passé provenant de l’infinitif « OPsluiten », lui-même construit sur l’infinitif « SLUITEN », affecté par les « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé « GESLOTEN » se construit sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Ce verbe « OPsluiten » est aussi dit « à particule séparable » ; quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEsloten ».
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« met twee kinderen »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« In de herberg »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « een vrouw ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (« IS ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 25A - Rajouté le 07/02/2015

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Nummer 17) wordt echter aan het been getroffen en stort (dadelijk) neer » (« Il est touché toutefois à la jambe et s’écroule »).
On y trouve notamment, dans la première phrase, la forme verbale « getroffen », participe passé construit sur l’infinitif « treffen », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit et, dans ce cas, est identique. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
On y trouve notamment, dans la deuxième phrase, la forme verbale « stort … NEER », provenant de l’infinitif « NEERstorten », verbe dit à « particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « STORTEN ».
La particule séparable « NEER » fait l’objet d’un REJET derrière le complément éventuel (« dadelijk »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 24C - Rajouté le 06/02/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Duizenden kogels door de hitte tot ontploffing gebracht fluiten hen om de oren » (« Des milliers de balles, menées à l’explosion = explosant à cause de la chaleur, leur sifflent aux oreilles »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEBRACHT », participe passé provenant de l’infinitif « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEBRACHT » est construit sur le SINGULIER du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Dans cette phrase, la voix passive est sous-entendue. On aurait pu avoir la variante suivante avec utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » : « Duizenden kogels werden door de hitte tot ontploffing gebracht », où le participe passé « GEBRACHT » fait visiblement l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« door de hitte » et « tot ontploffing »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 24 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 24B - Rajouté le 05/02/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Inmiddels is de reddingsactie (eindelijk) begonnen » (« Entretemps, l’action de secours a commencé = les opérations de secours ont commencé »).
On y trouve notamment la forme verbale « BEGONNEN », participe passé provenant de l’infinitif « BEGINNEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Cette forme verbale « BEGONNEN » est, comme on le voit, construite sur le PLURIEL du prétérit et est même identique. (Pour complément d’informations, consultez notamment notre tableau de synthèse « Temps primitifs » dans la partie « GRAMMATICA » de ce site.)
Ce participe passé « BEGONNEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« eindelijk »), à la fin de la phrase.
Notez que l’auxiliaire du passé composé (« ZIJN ») n’est ici pas le même qu’en français.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Inmiddels »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de reddingsactie ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « IS ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 24 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 24A - Rajouté le 04/02/2015

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De brandende petroleum stroomt in de Schelde waar een Amerikaanse driemaster in vlammen opgaat » (« Le pétrole en flamme coule dans l’Escaut, où un trois-mâts américain brûle complètement »).
On y trouve, dans la phrase subordonnée (introduite par « WAAR »), la forme verbale « OPgaat » provenant de l’infinitif « OPgaan » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « GAAN ».
Si cette forme verbale « OPgaat » ne s’était pas trouvée dans une phrase subordonnée, on aurait pu, par exemple, avoir : « Een Amerikaanse driemaster gaat in vlammen OP », où il y aurait REJET de la particule séparable « OP », derrière le complément (« in vlammen »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 24 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 23D - Rajouté le 03/02/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Tachtig duizend vaten hebben vuur gevat » (« Quatre-vingts mille tonneaux = barils ont pris feu = se sont enflammés »).
On y trouve notamment la forme verbale « gevat », participe passé provenant de l’infinitif « VATTEN »).
Ce verbe « VATTEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant (déjà) par la consonne « T », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire) comme terminaison du participe passé.
Le participe passé « gevat » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« vuur »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 23 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 23C - Rajouté le 02/02/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Vergaarbakken zijn (door de ontploffing) opengebarst » (« Des réservoirs = des cuvettes de descente se sont ouverts brusquement = ont crevé »).
On y trouve notamment la forme verbale « OPENgebarst », participe passé provenant de l’infinitif « OPENbarsten » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « BARSTEN ».
Ce verbe « BARSTEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant (déjà) par la consonne « T », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire) comme terminaison du participe passé.
Quand « OPENbarsten » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OPEN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « openGEbarst ».
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé (ici « OPENgebarst ») fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« door de ontploffing »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 23 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 23B - Rajouté le 01/02/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De brandweer en hulpdiensten komen naar de plaats van de ramp gereden » (« Les pompiers et services de secours viennent « en roulant » = se précipitent à l’endroit de la catastrophe »).
On y trouve notamment la forme verbale « gereden », participe passé provenant de l’infinitif « rijden », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le pluriel du prétérit ou O.V.T. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « gereden » (utilisé ici avec le sens d’un participe présent) fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« naar de plaats van de ramp »), à la fin de la phrase.
Notons que, aux temps composés, les verbes relatifs au MOUVEMENT étant, notamment en néerlandais, accompagnés de l’auxiliaire « ZIJN », on aurait pu avoir la variante suivante : « De brandweer en hulpdiensten ZIJN naar de plaats van de ramp gereden ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 23 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 23A - Rajouté le 31/01/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een put van dertigduizend vierkante meter oppervlakte is met doden bedekt » (« Un puits = cratère d’une surface de trente mille mètres carrés est couvert de morts »).
On y trouve notamment la forme verbale « BEDEKT », participe passé provenant de l’infinitif « BEDEKKEN », qui n’est PAS affecté par les « temps primitifs ».
Ce verbe « BEDEKKEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Le participe passé « BEDEKT » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« met doden » ), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 23 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 22F - Rajouté le 30/01/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Er moet hulp (aan de slachtoffers) (worden) geboden worden = Hulp moet worden geboden » (« De l’aide doit être offerte / apportée = On doit offrir / apporter de l’aide ! »).
On y trouve la forme verbale « geboden », participe passé provenant de l’infinitif « BIEDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce participe passé « geboden » se construit sur le pluriel du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « GEBODEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« aan de slachtoffers » ), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 22 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 22E - Rajouté le 29/01/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De fabriek is (spijtig genoeg) ontploft ! » (« L’usine a explosé ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « ONTPLOFT », participé passé provenant de l’infinitif « ONTPLOFFEN ».
Ce verbe est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « F », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « ONT- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Le participe passé « ONTPLOFT » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« spijtig genoeg » ), à la fin de la phrase.
Signalons dès lors que, si « ONTPLOFT » est ici au V.T.T. (ou passé composé), il aurait été écrit de la même façon à la deuxième ou troisième personne de l’O.T.T. (ou indicatif présent).
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 22 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 22C - Rajouté le 28/01/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De fabriek van Corvilain vloog met een vreselijke knal de lucht in » (« L’usine de Corvilain vola en l’air avec une détonation = un bruit effroyable »).
On y trouve la forme verbale « VLOOG … IN », participe passé provenant de l’infinitif « INvliegen », lui-même construit sur le verbe « VLIEGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le verbe « INvliegen » est dit « à particule séparable ». Quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « IN » (ancienne préposition), qui fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (ici « met een vreselijke knal » et « de lucht »), à la fin de la phrase. On aurait pu imaginer la phrase : « De fabriek van Corvilain vloog met een vreselijke knal IN de lucht ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 22 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 22D - Rajouté le 27/01/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Kwam een arbeider met een kistje buskruit te dicht bij de ovens ? … » (« Est-ce que un travailleur vint trop près des poëles avec une petite caisse de poudre ? … »).
On y trouve notamment la forme verbale « KWAM », O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « KOMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 22 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 22B - Rajouté le 26/01/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Heeft een werkster met een haarspeld een vonk veroorzaakt … ? » (« Est-ce qu’une travailleuse a provoqué une étincelle avec une barrette = pince à cheveux ? … »).
On y trouve notamment, la forme verbale « VEROORZAAKT », participe passé provenant de l’infinitif « VEROORZAKEN », qui NE fait PAS partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « VEROORZAKEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera au participe passé un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Rappelons aussi que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (ici « met een haarspeld » et « een vonk »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 22 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 22A - Rajouté le 25/01/2015

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wie zal ooit weten wat er op dit ogenblik is gebeurd ? … » (« Qui saura jamais ce qui s’est passé à cet instant ? … »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « GEBEURD », participe passé provenant de l’infinitif « GEBEUREN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « GEBEUREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) ; il ne fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire.
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence déjà par le préfixe « GE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Le participe passé « GEBEURD » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« op dit ogenblik » ), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 22 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 21G - Rajouté le 24/01/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De veiligheid is (in de fabriek) niet verzekerd » (« La sécurité n’est pas assurée »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERzekerd », participe passé provenant de l’infinitif « VERzekeren ».
Ce verbe « VERzekeren » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « R », on trouvera comme terminaison du participe passé le « D » majoritaire.
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Le participe passé « VERzekerd » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« in de fabriek »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 21 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 21F - Rajouté le 23/01/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Raak hem niet aan ! » (« Ne le touche pas ! »).
On y trouve, à l’impératif, notamment la forme verbale « raak … AAN », construite sur le verbe « AANraken » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « RAKEN ».
Quand « AANraken » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET derrière le complément (« HEM ») à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 21 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 21E - Rajouté le 22/01/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De arbeiders aarzelen het bevel uit te voeren » (« Les ouvriers hésitent à exécuter l’ordre »).
Le verbe « AARZELEN » est un de ces verbes néerlandais qui engendre un « TE » avant l’infinitif. A titre de moyen « mnémotechnique », on pourrait donc que ce « TE » équivaut à un « DE » français si on disait en mauvais français « hésiter de ».
Dans la mesure où le verbe « UITvoeren » (construit sur l’infinitif « VOEREN ») est dit « à particule séparable », ce « TE » s’intercale ici après la particule « UIT » et avant l’infinitif proprement dit.
Conjugué au présent, « UITvoeren » enverra la particule « UIT », derrière le complément (« het bevel »), à la fin de la phrase : « De arbeiders voeren het bevel niet UIT »
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 21 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 21D - Rajouté le 21/01/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wie liet die dwaas binnen ? » (« Qui laissa entrer ce fou ? »).
On y trouve la forme verbale « liet … BINNEN », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « BINNENlaten » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « LATEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « BINNENlaten » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « BINNEN » de son infinitif proprement dit et elle fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« die dwaas »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 21 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 21C - Rajouté le 20/01/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb in de toekomst gekeken » (« J’ai regardé dans l’avenir = le futur »).
On y trouve notamment la forme verbale « gekeken », V.T.T. provenant de l’infinitif « KIJKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé « gekeken » se construit sur le pluriel du prétérit ou O.V.T. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« in de toekomst »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 21 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 21B - Rajouté le 19/01/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Breng me dadelijk bij hen of je bent (dadelijk) ontslagen ! » (« Amène-moi immédiatement auprès d’eux ou tu es licenciée ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « ONTslagen », participe passé provenant de l’infinitif « ontSLAAN », lui-même construit sur l’infinitif « SLAAN », affecté par les « temps primitifs ».
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « ONT- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« dadelijk »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 21 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 21A - Rajouté le 18/01/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Inmiddels werd hij (Dillens) van zijn netelige toestand verlost » (« Entretemps, il est libéré de sa situation délicate »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERlost », participe passé provenant de l’infinitif « VERlossen ».
Ce verbe « VERlossen » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « S », on trouvera comme terminaison du participe passé le « T » minoritaire.
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Le participe passé « VERlost » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« van zijn netelige toestand »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Inmiddels »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « HIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « WERD ») et passant donc derrière lui.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 21 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 20E - Rajouté le 17/01/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij weet wat hem te doen staat » (« Il sait ce qu’il lui est à faire = ce qu’il lui faut faire = ce qu’il a à faire »).
Notez l’expression « staan TE doen ».
Utilisée ici dans le cadre d’une phrase subordonnée (introduite par « WAT »), l’expression est peut-être plus claire dans une phrase « normale » : « Het (iets) staat hem te doen ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 20 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 20D - Rajouté le 16/01/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Daar heb je goed aan gedaan » (« Tu as bien fait »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEDAAN », participe passé provenant de l’infinitif « DOEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEDAAN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« goed »), à la fin de la phrase.
Il est à noter que l’on aurait pu avoir, plus simplement, la phrase suivante : « Dat heb je goed gedaan ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 20 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 20C - Rajouté le 15/01/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We zijn (nog) niet uitgrepraat = Ons gesprek is nog niet gedaan » (« Nous n’avons pas fini de parler »).
On y trouve notamment la forme verbale « UITgepraat », participe passé provenant de l’infinitif « UITPRATEN », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « PRATEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « PRATEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant déjà par la consonne « T », on trouvera AU participe passé un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Quand « UITPRATEN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « uitGEpraat ».
Le participe passé « uitGEpraat » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« nog »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 20 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 20B - Rajouté le 14/01/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je volgde mijn raad niet op » (« Tu ne suivis pas mon conseil »).
On y trouve la forme verbale « VOLGDE … OP », prétérit provenant de l’infinitif « OPvolgen », lui-même construit sur le verbe « VOLGEN ».
Ce verbe « VOLGEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « G », on trouvera « -DE » comme terminaison du prétérit.
Le verbe « OPvolgen » est dit à « particule séparable » puisque « OP » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« mijn raad »), à la fin de la phrase..
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 20 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 20A - Rajouté le 13/01/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Daar zijn we niet zo opgesteld » (« Nous n’y sommes pas tellement préparés »).
On y trouve notamment la forme verbale « OPgesteld », participe passé construit sur l’infinitif « OPstellen », lui-même construit sur le verbe « STELLEN ».
Ce verbe « OPstellen » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « L », on trouvera un « D », majoritaire, à la fin du participe passé.
Ce verbe «OPstellen » est aussi dit « à particule séparable » ; quand il est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEsteld ».
Le participe passé « opGEsteld » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« ZO »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« DAAR »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « WE ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « ZIJN ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 20 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 19E - Rajouté le 12/01/2015

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zolang dit (door de overheid) niet (is) goedgekeurd is, mag hij (Corvilain) zijn fabriek niet in bedrijf nemen » (« Aussi longtemps = tant que ceci n’est pas approuvé, Corvilain ne peut pas mettre son usine en service »).
On y trouve, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « GOEDgekeurd », participe passé provenant de l’infinitif « GOEDkeuren » (dit « à particule séparable »), lui-même conjugué sur « KEUREN », considéré comme « régulier ».
Comme la grande majorité des verbes néerlandais, le verbe « KEUREN » n’est pas affecté par les « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire. La forme verbale « goedGEkeurd » est bien à « particule séparable » puisque le « GE » du participe passé s’intercale entre la particule « GOED » (un adjectif ou adverbe) et la forme verbale proprement dite.
Aux temps composés, le participe passé « goedGEkeurd » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« door de overheid »), à la fin de la phrase.
Rappelons que, dans une phrase subordonnée, la forme formale (ici « IS ») s’éloigne de son sujet (ici « DIT ») au point de faire l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« door de overheid ») ou l’attribut (« niet goedgekeurd »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (la phrase subordonnée « Zolang dit niet goedgekeurd is » joue ici ce rôle), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet de la phrase principale (ici « « Corvilain » ou « HIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « MAG ») et passant donc derrière lui.
N’oublions pas non plus que les verbes comme « MOGEN » (verbe de la phrase principale), que l’on appelle « auxiliaire de MODE » (les 3 autres étant « KUNNEN », « MOETEN » et « WILLEN »), exigent un REJET de l’infinitif (ici « NEMEN ») derrière le complément (« in bedrijf « ), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 19 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 19D - Rajouté le 11/01/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Robert) dringt ongemerkt het kantoor binnen » (« Il pénètre dans le bureau sans se faire remarquer »).
On y trouve la forme verbale « dringt … BINNEN », provenant de l’infinitif « BINNENdringen » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « DRINGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « BINNENdringen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « BINNEN » de son infinitif proprement dit et elle fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« ongemerkt » et « het kantoor »), à la fin de la phrase.
On y trouve également la forme verbale « ONgemerkt » (utilisé comme adjectif « attribut »), provenant d’un infinitif « ONmerken » (dit « à particule séparable »), qui n’existe plus, lui-même conjugué sur « MERKEN », considéré comme « régulier ».
Comme la grande majorité des verbes néerlandais, le verbe « MERKEN » n’est pas affecté par les « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera le « T » minoritaire. La forme verbale « onGEmerkt » est bien à « particule séparable » puisque le « GE » du participe passé s’intercale entre la particule « ON » et la forme verbale proprement dite.
N’oublions pas que le préfixe « ON- » rend souvent une notion de contraire (et plutôt « négative ») du mot plus court (ici « GEmerkt »), comme en langue anglaise son équivalent « UN- ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 19 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 19C - Rajouté le 10/01/2015

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het was net of hij vluchtte » (« C’était comme s’il fuyait »).
L’O.V.T. ou prétérit (un temps correspondant à la fois à l’imparfait et au passé simple) des verbes réguliers se construit sur le radical, c’est-à-dire la première personne du singulier de l’indicatif présent : « VLUCHTEN » - « EN » = « VLUCHT » (= radical).
Ce verbe « VLUCHTEN » (de la phrase subordonnée introduite par « OF ») est donc considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « T », on rajoutera un « TE » (au lieu du « DE » majoritaire) à l’O.V.T. : « VLUCHT » (= radical) + « TE » => « vluchTE » (avec deux « T »).
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 19 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 19B - Rajouté le 09/01/2015

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Die ongetekende (= niet getekende) vergunning moet voor de morgen uit de brandkast van Corvilain worden gehaald » (« Le permis non signé doit être retiré du coffre-fort de Corvilain avant le matin »).
On y trouve notamment la forme verbale « gehaald », participe passé provenant de l’infinitif « HALEN ».
Ce verbe « HALEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « L », on trouvera bien sûr comme terminaison du participe passé le « D » majoritaire.
Aux temps composés, le participe passé « gehaald » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« voor de morgen » et « uit de brandkast van Corvilain »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
N’oublions pas non plus que les verbes comme « MOETEN », que l’on appelle « auxiliaire de MODE » (les 3 autres étant « KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), exigent un REJET de l’infinitif (ici « WORDEN ») derrière les compléments, à la fin de la phrase.
On y trouve également la forme verbale « ONgetekend » (utilisé comme adjectif épithète), provenant d’un infinitif « ONtekenen » (dit « à particule séparable »), qui n’existe plus, lui-même conjugué sur « TEKENEN », considéré comme « régulier ».
Comme la grande majorité des verbes néerlandais, le verbe « TEKENEN » n’est pas affecté par les « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « N », on trouvera le « D » majoritaire. La forme verbale « onGEtekend » est bien à « particule séparable » puisque le « GE » du participe passé s’intercale entre la particule « ON » et la forme verbale proprement dite.
N’oublions pas que le préfixe « ON- » rend souvent une notion de contraire (et plutôt « négative ») du mot plus court (ici « GEtekend »), comme en langue anglaise son équivalent « UN- ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 19A - Rajouté le 08/01/2015

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik ontmoette hem (Bertrand) in het buitenland waar hij tot de hogere kringen behoorde » (« Je le rencontrai à l’étranger où il appartenait aux cercles haut placés = huppés »).
L’O.V.T. ou prétérit (un temps correspondant à la fois à l’imparfait et au passé simple) des verbes réguliers se construit sur le radical, c’est-à-dire la première personne du singulier de l’indicatif présent : « ONTMOETEN » - « EN » = « ONTMOET » (= radical).
Ce verbe « ONTMOETEN » (de la phrase principale) est donc considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « T », on rajoutera un « TE » (au lieu du « DE » majoritaire) à l’O.V.T. : « ONTMOET » (= radical) + « TE » => « ontmoetTE » (avec deux « T »).
Comme on l’a signalé plus haut, l’’O.V.T. ou prétérit (un temps correspondant à la fois à l’imparfait et au passé simple) des verbes réguliers se construit sur le radical, c’est-à-dire la première personne du singulier de l’indicatif présent : « BEHOREN » - « EN » (+ « O ») = « BEHOOR » (= radical).
Ce verbe « BEHOREN » (de la phrase subordonnée introduite par « WAAR ») est donc considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « R », on rajoutera un « DE » (au lieu du « TE » minoritaire) à l’O.V.T. : « BEHOOR » (= radical) + « DE » => « behoorDE »).
Notez l’expression « behoren TOT ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 19 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 18E - Rajouté le 07/01/2015

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « EigenlijIk hebben jullie mij nooit verteld waarom jullie vagebonden werden » (« En fait vous ne m’avez jamais raconté pourquoi vous devîntes = étiez devenus des vagabonds »).
On y trouve, dans la phrase principale, la forme verbale « VERteld », participe passé provenant de l’infinitif « VERtellen », lui-même construit sur « TELLEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « VERtellen » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « L », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison au participe passé.
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Eigenlijk »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « JULLIE ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « hebben ») et passant donc derrière lui.
On y trouve, dans la phrase subordonnée (introduite par « WAAROM »), la forme verbale « WERDEN », elle-même construite sur l’infinitif « WORDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons aussi que, dans une phrase subordonnée, la forme verbale (ici « WERDEN ») ne se trouve plus juste à côté de son sujet (ici « JULLIE ») et fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« vagebonden »), à la fin de la phrase. Dans une phrase « normale », on aurait l’ordre des mots suivants : « Jullie werden vagebonden. »
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 18 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 18D - Rajouté le 06/01/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik moest jullie waarschuwen » (« Je devais vous prévenir »).
On y trouve notamment la forme verbale « MOEST » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant du verbe « MOETEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
N’oublions pas que les verbes comme « MOETEN » que l’on appelle « auxiliaire de MODE » (les 3 autres étant « KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN ») exigent un REJET de l’infinitif (« WAARSCHUWEN »), derrière le complément (« JULLIE »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 18 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 18C - Rajouté le 05/01/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Bertrand) zit achter hem (Gaston) aan » (« Il est derrière lui = il le suit »).
On y trouve la forme verbale « zit … AAN », O.T.T. (ou « présent ») provenant de l’infinitif « AANzitten » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « ZITTEN ».
Quand « AANzitten » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit et elle fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« achter hem »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 18 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 18B - Rajouté le 04/01/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Inmiddels bereikte zij (Anna) de schuilplaats van de vagebonden » (« Entretemps, elle atteignait la cachette des vagabonds »).
On y trouve notamment la forme verbale « BEREIKTE », prétérit (ou O.V.T.) provenant de l’infinitif « BEREIKEN ».
Ce verbe « BEREIKEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera une terminaison « TE » (au lieu du « DE » majoritaire) pour le singulier du prétérit.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Inmiddels »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « ZIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « bereikte ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 18 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 18A - Rajouté le 03/01/2015

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik zorg ervoor dat de fabriek morgen wordt gesloten » (« Je veille à ce que l’usine soit fermée demain »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée relative (introduite par « DAT »), la forme verbale « gesloten », participe passé provenant de l’infinitif « SLUITEN », affecté par les « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé « GESLOTEN » se construit sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Aux temps composés, le participe passé « gesloten » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« morgen »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
Signalons aussi que l’on aurait pu avoir, avec l’expression « ZORGEN voor », la variante suivante : « Ik zorg DAARvoor ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 17H - Rajouté le 02/01/2015

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat moet trouwens nog worden bewezen » (« Cela doit pourtant encore être prouvé »).
On y trouve notamment la forme verbale « BEWEZEN », V.T.T. provenant de l’infinitif « BEWIJZEN », lui-même construit sur l’infinitif « WIJZEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons également que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux. « BEWEZEN » est donc bien un participe passé même si sa forme verbale est identique au pluriel de l’O.V.T. (ou « prétérit »).
Aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« trouwens » et « nog »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
N’oublions pas non plus que les verbes comme « MOETEN » que l’on appelle « auxiliaire de MODE » (les 3 autres étant « KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN ») exigent un REJET de l’infinitif (ici « WORDEN ») derrière les compléments, à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2015.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 17G - Rajouté le 01/01/2015

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik breng het bewijs dat de fabriek (nu dadelijk) moet worden gesloten » (« J’apporte la preuve que l’usine doit être fermée »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée relative (introduite par « DAT », engendré par le nom neutre « het bewijs »), la forme verbale « gesloten », participe passé provenant de l’infinitif « SLUITEN », affecté par les « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé « GESLOTEN » se construit sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments éventuels (« nu » et « dadelijk »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
N’oublions pas non plus que les verbes comme « MOETEN », que l’on appelle « auxiliaire de MODE » (les 3 autres étant « KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), exigent un REJET de l’infinitif (ici « WORDEN ») derrière les compléments, à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 17F - Rajouté le 31/12/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Jullie hebben me al te dikwijls in het ootje genomen » (« Vous m’avez déjà trop souvent monté un bateau = fait marcher = roulé dans la farine »).
On y trouve notamment la forme verbale « GENOMEN », participe passé provenant de l’infinitif « NEMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GENOMEN » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« me », « al », « te dikwijls » et « in het ootje »), à la fin de la phrase.
Notez l’expression « in het ootje nemen ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 17E - Rajouté le 30/12/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat gaat niet op » (« Cela ne tient pas debout = c’est absurde »).
On y trouve notamment la forme verbale « gaat … OP », venant du verbe « OPgaan », dit « à particule séparable », construit sur l’infinitif « GAAN ».
Quand « OPgaan » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « OP » étant affectée par un REJET, derrière le complément éventuel (« »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 17C - Rajouté le 29/12/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Plots gaat hij er ijlings vandoor » (« Soudain, il s’en va = il file précipitamment »).
Notez l’expression « ervandoor gaan ».
« Ervandoor » étant ce que l’on appelle un « adverbe pronominal », on aurait pu avoir au moins la variante suivante : « Plots gaat hij ijlings ervandoor ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Plots »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « HIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « GAAT ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 17D - Rajouté le 28/12/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Mijn baan hangt van jullie aanhouding af » (« Ma carrière dépend de votre arrestation »).
On y trouve notamment la forme verbale « hangt … AF », provenant de l’infinitif « AFhangen », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « HANGEN ».
Quand « AFhangen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, la particule « AF » étant affectée par un REJET, derrière le complément (« van jullie aanhouding »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 17B - Rajouté le 27/12/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Jullien namen het al voor hem op » (« Vous réagissiez déjà pour lui »).
On y trouve notamment la forme verbale « namen … OP », provenant de l’infinitif « OPnemen » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « NEMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La particule séparable « OP » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« het », « al » et « voor hem »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 17A - Rajouté le 26/12/2014

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Dokus) werd (voor Corvilain) ontvoerd omdat zijn voorspellingen het aanwerven voor Corvilain belemmerden » (« Il fut enlevé parce que ses prédictions entravaient l’embauche pour Corvilain »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « ONTvoerd », provenant de l’infinitif « ONTvoeren », lui-même construit sur le verbe « VOEREN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « ONTvoeren » est donc considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire.
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « ONT- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Le participe passé « ONTvoerd » est affecté par un REJET, derrière le complément éventuel (« voor Corvilain »), à la fin de la phrase.
La phrase principale est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ». Cet auxiliaire est au prétérit et fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons aussi que, dans une phrase subordonnée (introduite ici par « OMDAT »), la forme verbale (ici « belemmerden ») ne se trouve plus juste à côté de son sujet (ici « zijn voorspellingen ») et fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« het aanwerven voor Corvilain »), à la fin de la phrase.
On aurait pu remplacer la conjonction « OMDAT » par celle de coordination « WANT », où l’ordre des mots (« sujet » puis « verbe ») serait resté le même qu’en langue française : « Hij werd ontvoerd want zijn voorspellingen belemmerden het aanwerven voor Corvilain »
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 16J - Rajouté le 25/12/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De fabriek van Corvilain moet (zo vlug mogelijk) worden gesloten (worden) » (« L’usine de Corvilain doit être fermée »).
On y trouve notamment la forme verbale « gesloten », participe passé provenant de l’infinitif « SLUITEN », affecté par les « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé « GESLOTEN » se construit sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« zo vlug mogelijk »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
N’oublions pas non plus que les verbes comme « MOETEN » que l’on appelle « auxiliaire de MODE » (les 3 autres étant « KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN ») exigent un REJET de l’infinitif (« WORDEN »), derrière le complément, à la fin de la phrase ... mais, en principe, avant le participe passé.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 16I - Rajouté le 24/12/2014

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De herberg werd in brand gestoken en allen kwamen (dan) om » (« L’auberge fut mise en feu et tous périrent »).
On y trouve notamment, dans la première phrase, la forme verbale « GESTOKEN », participe passé provenant de l’infinitif « STEKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GESTOKEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« in brand »), à la fin de la phrase.
Cette première phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ». Cet auxiliaire est au prétérit et fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve également, dans la deuxième phrase, la forme verbale « KWAMEN … OM », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « OMkomen », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « KOMEN » qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « OMkomen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OM » de son infinitif proprement dit, la particule « OM » étant affectée par un REJET, derrière le complément éventuel (« dan »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 16H - Rajouté le 23/12/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De geuzen werden (dan door de Spanjaarden = de regeringstroepen) verslagen » (« Les gueux furent battus »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERslagen », participe passé provenant du verbe « VERslaan », lui-même construit sur l’infinitif « SLAAN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Le participe passé « VERslagen » est affecté d’un REJET, derrière les compléments éventuels (« dan » et « door de Spanjaarden »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ». Cet auxiliaire est au prétérit et fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 16G - Rajouté le 22/12/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik zag (…) Geuzen in strijd met regeringstroepen » (« Je voyais des Gueux en lutte contre les troupes du gouvernement »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « ZAG », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 16F - Rajouté le 21/12/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb in het verleden gezien » (« J’ai vu dans le passé »).
On y trouve notamment la forme verbale « geZIEN », participe passé provenant de l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’infinitif. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« in het verleden »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 16E - Rajouté le 20/12/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb een visioen gehad » (« J’ai eu une vision »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEHAD », participe passé provenant de l’infinitif « HEBBEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il faut aussi noter que ce participe passé se construit sur le SINGULIER du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « GEHAD » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« een visioen »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 16D - Rajouté le 19/12/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij sluit de boer en zijn vrouw op » (« Il enferme le fermier et sa femme »).
On y trouve notamment la forme verbale « sluit … OP », provenant de l’infinitif « OPsluiten » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « SLUITEN ».
La particule séparable « OP » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« de boer en zijn vrouw »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 16C - Rajouté le 18/12/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij is boven, ongedeerd en goed verzorgd » (« Il est en haut, indemne et bien soigné = bien traité »).
On y trouve notamment la forme verbale « verzorgd », participe passé provenant de l’infinitif « verzorgen », lui-même construit sur le verbe « ZORGEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « VERZORGEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « G », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison du participe passé.
Le participe passé « verzorgd » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« boven » et « goed »), à la fin de la phrase.
Rappelons en effet que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 16B - Rajouté le 17/12/2014

Description : La triple phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wij werden door de baas betaald om hem gevangen te houden tot het aanwerven (zou zijn) (helemaal) afgelopen zou zijn » (« Je pensais bien »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « BETAALD », participe passé provenant de l’infinitif « BETALEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « BETALEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) ; il ne fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « L », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison du participe passé.
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
On y trouve également, dans la phrase subordonnée au conditionnel passé (introduite par « TOT » pour « TOTDAT »), la forme verbale « AFgelopen », participe passé provenant de l’infinitif « AFlopen », lui-même construit sur le verbe « LOPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « AFlopen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « afGElopen ».
Ce participe passé « afGElopen » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« helemaal »), à la fin de la phrase.
Notez l’expression « gevangen houden », où l’ex-participe passé « GEVANGEN », provient de l’infinitif « VANGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Dans la phrase subordonnée « infinitive » introduite par « OM … TE » (signifiant « POUR » devant les verbes), le complément (« HEM ») est intercalé entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « HOUDEN ».
Notez que, à partir de l’infinitif « aanwerven », on a créé un nom commun NEUTRE : « HET aanwerven ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 16A - Rajouté le 16/12/2014

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik ga niet (ver) weg vóór ik hem (heb) gevonden heb » (« Je ne m’en vais pas avant que je l’aie trouvé »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « ga … WEG », provenant de l’infinitif « WEGgaan » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « GAAN ».
Quand « WEGgaan » est « conjugué », cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « WEG » de son infinitif proprement dit et elle fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« niet ver »), à la fin de la phrase.
On y trouve également, dans la phrase subordonnée (introduite par « VOOR » pour « VOORDAT »), la forme verbale « GEVONDEN », participe passé provenant de l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEVONDEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« HEM »), à la fin de la phrase. On le verrait peut-être plus clairement dans une phrase comme : « Ik heb hem gevonden »
Il est à noter que ce participe passé « GEVONDEN » se construit sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 15E - Rajouté le 15/12/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De man wil de deur toeslaan maar Bertrand plaatst er zijn voet tussen » (« L’homme veut claquer la porte mais Bertrand place son pied entre = dans l’entrebâillement »).
N’oublions pas que les verbes comme « WILLEN » que l’on appelle « auxiliaire de MODE » (les 3 autres étant « KUNNEN », « MOETEN » et « MOGEN ») exigent un REJET de l’infinitif, derrière le complément (« de deur »), à la fin de la phrase (la phrase principale prenant fin ici à « TOESLAAN »).
On y trouve donc notamment la forme verbale l’infinitif « TOEslaan », lui-même construit sur l’infinitif « SLAAN ». Ce verbe «TOEslaan » est dit « à particule séparable » ; quand il est conjugué (par exemple à l’OTT), cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TOE » de son infinitif proprement dit et elle fait alors l’objet d’un REJET, derrière le complément (« de deur »), à la fin de la phrase : « De man slaat de deur TOE ».
Avec ce que l’on appelle les « adverbes pronominaux », le « dat » qui aurait pu suivre la préposition « tussen » se transforme en « daar » et doit alors la précéder. C’est ainsi que, au lieu d’avoir « tussen dat » on obtient « DAARtussen », séparable. Ce « daar » peut lui-même devenir un « ER » et on peut, dès lors, trouver la variante « ERtussen », séparable. On aurait donc pu trouver les phrases suivantes : « Bertrand plaatst daar zijn voet tussen » OU « Bertrand plaatst zijn voet DAARtussen » OU « Bertrand plaatst zijn voet ERtussen ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 15 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 15D - Rajouté le 14/12/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zeker een afgesproken signaal » (« Certainement un signal convenu »).
On y trouve notamment la forme verbale « AFgesproken » (participe passé utilisé ici comme adjectif épithète) provenant de l’infinitif « AFspreken », lui-même construit sur le verbe « SPREKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « AFspreken » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « afGEsproken ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 15 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 15C - Rajouté le 13/12/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij begeeft zich met twee manden naar de hoeve en klopt (plotseling) aan (… de deur) » (« Il se rend avec deux paniers à la ferme et frappe … à la porte »).
Rappelons que, si l’on supprime, en langue néerlandaise, un « E » derrière un « V » - lors, par exemple, du passage de l’infinitif (= forme du PLURIEL de l’indicatif présent) au radical (= première personne du SINGULIER de l’indicatif présent) -, ce « V » se transforme en « F » : « (be)geVen » => « hij (be)geeFt zich ».
On y trouve également, dans la deuxième phrase, la forme verbale « klopt … AAN », construite sur le verbe « AANkloppen » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « KLOPPEN ».
Quand « AANKLOPPen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET derrière le complément éventuel (« plotseling ») à la fin de la phrase.
On comprend mieux, ici, comment on a évolué de « AAN de deur kloppen » (où « AAN » était une préposition introduisant un complément) vers le verbe « AANkloppen ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 15 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 15B - Rajouté le 12/12/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij stopt bij die afgelegen hoeve » (« Il s’arrête près de cette ferme située à l’écart = isolée = retirée »).
On y trouve notamment la forme verbale « AFgelegen » (participe passé utilisé comme sorte épithète) provenant d'un infinitif « AFliggen » (n'existant plus), lui-même construit sur « LIGGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « AFliggen » était conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraînait en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « afGElegen ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 15 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 15A - Rajouté le 11/12/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik ga hem achterna » (« Je vais derrière lui = je le suis »).
On y trouve la forme verbale « ga … ACHTERNA », provenant de l’infinitif « achternaGAAN », verbe dit « à particule séparable ».
Il s’agit d’un bon exemple d’ancienne(s) préposition(s) (« ACHTER » + « NA » => « ACHTERNA ») évoluant vers une « particule séparable ». On avait dans un premier temps : « ik ga ACHTER hem »
Quand « achternaGAAN » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « ACHTERNA » qui fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« HEM »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 15 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 14C - Rajouté le 10/12/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De chauffeur rijdt met gedoofde lichten voorbij » (« Le chauffeur passe devant en roulant avec des phares éteints »).
On y trouve notamment la forme verbale « rijdt … voorbij », provenant de l’infinitif « voorbijRIJDEN », dit « à particule séparable », construit lui-même sur le verbe « RIJDEN ».
La « particule séparable » « VOORBIJ » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« met gedoofde lichten »), à la fin de la phrase.
On y trouve également la forme verbale « GEDOOFD », participe passé (utilisé ici comme adjectif épithète) provenant de l’infinitif « DOVEN ».
Ce verbe « DOVEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » même si son radical (première personne du présent) se termine par la consonne « F » (mais provenant d’un « V » qui s’est transformé en « F » parce qu’il n’était plus suivi d’un « E », quand on a reconstitué le radical) ; on y trouvera donc bien la terminaison « D » majoritaire.
OTT (radical) : « DOVEN » - « -N » - « ^-E » = « DOV » => « DOF » (« -V » plus suivi de « E ») auquel on rajoute un deuxième « O » en fonction de la prononciation de l’infinitif = > « ik DOOF ».
OVT (radical OTT + « -DE ») = > « ik DOOFde ».
Participe passé au VTT (préfixe “GE-“ + radical OTT + terminaison « -D » conserve de l’OVT) = > « geDOOFd ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 14 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 14B - Rajouté le 09/12/2014

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Om jouw hartje te veroveren zou ik het zwerven opgeven » (« Pour conquérir ton petit cœur, j’abandonnerais l’errance »).
On y a, notamment, une sorte de phrase subordonnée « infinitive » introduite par « OM … TE » (signifiant « POUR » devant les verbes) : le complément (« jouw hartje ») y est intercalé entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « VEROVEREN ».
On y trouve également, dans la phrase principale, la forme verbale « ZOUDEN », provenant de l’infinitif « ZOUDEN » (en quelque sorte « prétérit » de « ZULLEN »), auxiliaire utilisé pour indiquer que l’on se trouve au conditionnel.
« ZOUDEN » exige le REJET de l’autre verbe (« opgeven »), à l’infinitif, derrière le complément (« het zwerven »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (la phrase « infinitive » « Om jouw hartje te veroveren » joue ici ce rôle), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « IK ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « ZOU ») et passant donc derrière lui.
Rappelons que, si l’on ne connaît pas certains noms communs, on peut, en langue néerlandaise, en fabriquer un à partir de l’infinitif et il devient neutre (= déterminant défini « HET ») : « zwerven » (« errer ») => « HET zwerven » (« l’errance »).
Signalons enfin que si l’on ne s’était pas trouvé dans une phrase où le verbe (à « particule séparable ») « OPgeven » (construit sur « GEVEN ») apparaît à l’infinitif, la particule « OP » se serait séparée de « GEVEN » et aurait fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« het zwerven »), à la fin de la phrase ; par exemple, à l’indicatif présent : « ik geef het zwerven OP ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 14 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 14A - Rajouté le 08/12/2014

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « En meteen weten we waarom hij (plotseling) verdween » (« Et, du même coup, nous savons pourquoi il disparut »).
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« METEEN »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « WE » , dans la phrase principale) inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « WETEN ») et passant donc derrière lui.
On y trouve également, dans la phrase subordonnée (introduite par « WAAROM », la forme verbale « VERDWEEN », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « VERDWIJNEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
N’oublions pas non plus que, dans une phrase subordonnée néerlandaise, le verbe n’est normalement plus juste à côté de son sujet ; si nous introduisons le complément « plotseling), on constate que le verbe est bien rejeté, derrière ce complément, à la fin de la phrase.
Rappelons par ailleurs que si on avait eu une phrase au passé composé, ce verbe commençant par le préfixe « VER- », son participe passé (« waarom hij plotseling is VERDWENEN ») NE débuterait PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 14 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 13H - Rajouté le 07/12/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb van alles gehoord » (« J’ai entendu de tout »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEHOORD », participe passé provenant de l’infinitif « HOREN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « HOREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) ; il ne fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « G », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison du participe passé.
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « van alles »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 13 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 13G - Rajouté le 06/12/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Alsof wij zelf graag in de lucht zouden vliegen » (« Comme si nous aimions nous-mêmes voler en l’air »).
On y trouve notamment la forme verbale « ZOUDEN », provenant de l’infinitif « ZOUDEN » (en quelque sorte « prétérit » de « ZULLEN »), auxiliaire utilisé pour indiquer que l’on se trouve au conditionnel.
N’oublions pas que, dans une phrase autre que subordonnée («introduite par « ALSOF »), « ZOUDEN » aurait plus clairement exigé le REJET de l’autre verbe (« vliegen »), à l’infinitif, derrière le complément (ici « in de lucht »), à la fin de la phrase : « Wij zouden in de lucht vliegen ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 13 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 13F - Rajouté le 05/12/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De klacht van onze buren is verworpen » (« La plainte de nos voisins est rejetée »).
On y trouve également la forme verbale « verworpen », participe passé provenant de l’infinitif « verWERPEN », lui-même construit sur le verbe « WERPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « verworpen » aurait pu faire l’objet d’un REJET, derrière le complément (« door onze buren »), à la fin de la phrase, par exemple dans la variante suivante : « De klacht werd door onze buren verworpen ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 13 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 13E - Rajouté le 04/12/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik trof drastische maatregelen » (« Je pris des mesures drastiques »).
On y trouve notamment la forme verbale « TROF », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « TREFFEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Notez l’expression « maatregelen TREFFEN ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 13 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 13D - Rajouté le 03/12/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De wet laat dat toe » (« La loi l’autorise »).
On y trouve notamment la forme verbale « laat … TOE », provenant de l’infinitif « TOElaten », lui-même construit sur l’infinitif « LATEN ».
Ce verbe « TOElaten » est dit « à particule séparable » ; quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TOE » de son infinitif proprement dit et elle fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« DAT »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que la particule séparable « TOE » provient de la préposition « TOT », dont le « T » final s’est transformé en « E ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 13 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 13C - Rajouté le 02/12/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Werf meer kinderen aan ! » (« Engage plus d’enfants ! »).
On y trouve notamment, à l’impératif, la forme verbale « werf … AAN », construite sur le verbe « AANwerven » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « WERVEN ».
Quand « AANwerven » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET derrière le complément (« meer kinderen ») à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 13 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 13B - Rajouté le 01/12/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We zijn zonder vergunning begonnen » (« Nous avons commencé sans permis »).
On y trouve notamment la forme verbale « BEGONNEN », participe passé provenant de l’infinitif « BEGINNEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Cette forme verbale « BEGONNEN » est, comme on le voit, construite sur le PLURIEL du prétérit et est même identique. (Pour complément d’informations, consultez notamment notre tableau de synthèse « Temps primitifs » dans la partie « GRAMMATICA » de ce site.)
Ce participe passé « BEGONNEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément » (« zonder vergunning »), à la fin de la phrase.
Notez que l’auxiliaire du passé composé (« ZIJN ») n’est ici pas le même qu’en français.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 13 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 13A - Rajouté le 30/11/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Rond de middag verschaft hij (Joeki) zich toegang tot de fabriek » (« Vers l’heure du midi, il se fraie un accès = chemin jusqu’à l’usine »).
Notez l’expression « zich toegang verschaffen ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 13 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 12C - Rajouté le 29/11/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dit maal (Deze keer) hebben we je (iemand) te pakken ! » (« Cette fois-ci, nous parvenons à nous emparer de toi ! »).
Notez l’expression « iemand te pakken hebben (OU krijgen) ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Dit maal »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « WE ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « hebben ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 12 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 12B - Rajouté le 28/11/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij stelt zich heftig te weer = hij biedt een heftige weerstand » (« Il se met violemment en résistance = il oppose une résistance farouche »).
Notez l’expression « zich te weer stellen », où « weer » est, en quelque sorte, l’abréviation de « weerstand ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 12 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 12A - Rajouté le 27/11/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een van de vagebonden begeeft zich deze avond naar het huis » (« Un des vagabonds se rend ce soir à la maison »).
Rappelons que, si l’on supprime, en langue néerlandaise, un « E » derrière un « V » - lors, par exemple, du passage de l’infinitif (= forme du PLURIEL de l’indicatif présent) au radical (= première personne du SINGULIER de l’indicatif présent) -, ce « V » se transforme en « F » : « (be)geVen » => « ik (be)geeF me ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 12 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 11M - Rajouté le 26/11/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Als je in de val loopt, steek ik geen hand uit om je te helpen » (« Si tu tombes dans le piège, je ne tends aucune main = pas une main pour t’aider »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « steek … UIT », provenant de l’infinitif « UITsteken », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « STREKEN ».
Quand « UITsteken » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « UIT » étant affectée par un REJET, derrière le complément (« geen hand »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (la phrase subordonnée « Als je in de val loopt » joue ici ce rôle), on doit procéder (dans la phrase principale) à une « INVERSION », le sujet (ici « IK ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « steek ») et passant donc derrière lui.
N’oublions pas non plus que la négation portant sur un nom est exprimée par le mot « Geen », à placer devant le nom. Si l’on peut dire « een (1) hand », on imagine que le contraire est « PAS une (1) main » et pour l’écrire, on « colle » un « G » devant le déterminant indéfini « EEN » => « Geen hand ».
On a aussi, dans une sorte de phrase subordonnée « infinitive » introduite par « OM … TE » (signifiant « POUR » devant les verbes), le complément (« JE ») intercalé entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « HELPEN ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 11L - Rajouté le 25/11/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij heeft zelfs een stoommachine laten plaatsen » (« Il a même laissé = fait placer une machine à vapeur »).
La phrase est donc au passé composé et la forme verbale de « LATEN » aurait dû être au participe passé mais on a ici affaire à ce que l’on appelle le « double infinitif », solution intéressante pour éviter les « temps primitifs » quand on ne les maîtrise pas.
Les deux infinitifs font l’objet d’un REJET, derrière le complément (« een stoommachine »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 11K - Rajouté le 24/11/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij is een rokkenjager die reeds menig meisje in het ongeluk (heeft) gestort heeft » (« Il est un chasseur de jupes = un coureur de jupons, qui a déjà versé = précipité plus d’une fille dans le malheur »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée relative introduite par « DIE »), la forme verbale « gestort », provenant de l’infinitif « STORTEN »).
Ce verbe « STORTEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant (déjà) par la consonne « T », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire) comme terminaison du participe passé.
Le participe passé « gestort » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« reeds », « menig meisje » et « in het ongeluk »), à la fin de la phrase.
Notez l’expression « in het ongeluk storten ».
N’oublions par ailleurs pas qu’en langue néerlandaise un adjectif (ou son équivalent) se trouvera placé, dans un groupe nominal, toujours DEVANT le nom (comme en langue anglaise) et sa terminaison sera presque toujours « E ». Ce n’est PAS le cas, au seul SINGULIER, comme devant un nom NEUTRE, qui est précédé des déterminants indéfinis « EEN » ou « GEEN » ou d’aucun des deux « menig meisje »). Mais on aurait pu avoir, au PLURIEL : « menigE meisjes ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 11J - Rajouté le 23/11/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Die lastposten hebben mijn raad in de wind geslagen » (« Ces gêneurs ont frappé mon conseil dans le vent = n’ont pas tenu compte de mon conseil »).
On y trouve notamment la forme verbale « geslagen », participe passé provenant de l’infinitif « SLAAN », affecté par les « temps primitifs ».
Le participe passé « geslagen » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« mijn raad » et « in de wind »), à la fin de la phrase.
Notez l’expression « in de wind SLAAN ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 11I - Rajouté le 22/11/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Die vroIijke vagebonden zijn zeker reeds vertrokken » (« Ces joyeux vagabonds sont certainement déjà partis »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERTROKKEN », participe passé provenant de l’infinitif « VERTREKKEN », lui-même construit sur le verbe « TREKKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux
Il est à noter que ce participe passé « VERTROKKEN » se construit donc sur le PLURIEL du prétérit et est même identique. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Rappelons aussi que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière les « compléments » (« zeker » et « reeds »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 11H - Rajouté le 21/11/2014

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hun schorten worden aan de werkbank genageld om het morsen te voorkomen » (« Leurs tabliers sont cloués à leur banc de travail = établi pour éviter de s’en mettre partout = prévenir l’éparpillement »).
On y trouve notamment, dans la première phrase, la forme verbale « GEnagelD », participe passé provenant de l’infinitif « nagelen » (rarement utilisé), qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Comme la grande majorité des verbes néerlandais, le verbe « nagelen » NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « L », on trouvera le « D » majoritaire à la fin de son participe passé « GEnagelD ».
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« aan de werkbank »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
On a aussi, dans la deuxième phrase, une sorte de phrase subordonnée « infinitive » introduite par « OM … TE » (signifiant « POUR » devant les verbes), le complément (« het morsen ») intercalé entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « VOORKOMEN ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 11G - Rajouté le 20/11/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De arbeiders (werkers) en werksters dragen pantoffels opdat het buskruit niet naar andere gebouwen zou (worden) overgedragen worden » (« Les travailleurs et les travailleuses portent des pantoufles afin que l’explosif ne soit pas transporté vers d’autres bâtiments »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée (introduite par « OPDAT »), la forme verbale « overGEdragen » participe passé (utilisé, en néerlandais, dans un conditionnel à la voix passive) provenant de l’infinitif « OVERdragen », lui-même construit sur le verbe « DRAGEN », affecté par les « temps primitifs » des verbes irréguliers dits « forts ».
Ce verbe «OVERdragen » est aussi dit « à particule séparable » ; quand il est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OVER » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « overGEdragen ».
Rappelons que, dans une phrase subordonnée (introduite ici par « opdat »), la forme verbale (« ZOU ») ne se trouve plus juste à côté de son sujet (« het buskruit ») et fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« naar andere gebouwen »), à la fin de la phrase (mais, bien sûr, avant les autres formes verbales « worden » et « overgedragen » faisant, elles, l’objet d’un rejet exigé par l’auxiliaire du conditionnel « ZOUDEN »).
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
Rappelons qu’un certain nombre de métiers peuvent être construits à partir de formes verbales.
Les métiers féminins peuvent être construits sur la première personne du singulier de l’indicatif présent (= le « radical ») à laquelle on rajoute le suffixe « STER » (toutes les femmes qui travaillent étant des « vedettes » ou « stars » en langue anglaise, surtout si elles ont, en plus, celui de « maman ») : « WERKEN » - « EN » = « WERK » ; « WERK » + « STER » = « werkSTER ».
Si on avait voulu construire le métier masculin à partir du même infinitif « WERKEN », cela aurait été plus simple. Il suffit de remplacer le « -N » terminant l’infinitif par « -R » : « WERKEN » - « N » + « R » = « werkER ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 11F - Rajouté le 19/11/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Met een speciaal lepeltje wordt het buskruit uit de hulzen gehaald » (« Avec une petite cuillère spéciale, la poudre est cherchée => retirée du corps des cartouches »).
On y trouve notamment la forme verbale « gehaald », participe passé provenant de l’infinitif « HALEN ».
Ce verbe « HALEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « L », on trouvera bien sûr comme terminaison du participe passé le « D » majoritaire.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Met een speciaal lepeltje »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « het buskruit ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « wordt ») et passant donc derrière lui.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
Le participe passé « gehaald » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« uit de hulzen »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 11E - Rajouté le 18/11/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het buskruit wordt weer in een ander gebouw opgeslagen » (« La poudre est à nouveau entreposée dans un autre bâtiment »).
On y trouve notamment la forme verbale « « OPgeslagen », V.T.T. (ou participe passé) provenant de l’infinitif « opSLAAN », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « SLAAN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « OPslaan » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEslagen ».
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
Le participe passé « opGEslagen » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« weer » et « in een ander gebouw»), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 11D - Rajouté le 17/11/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het koper en het lood worden in een ander gebouw hersmolten » (« Le cuivre et le plomb sont refondus dans un autre bâtiment »).
On y trouve notamment le participe passé « HERsmolten » provenant de l’infinitif « HERsmelten », lui-même construit sur « SMELTEN », affecté par les « temps primitifs ».
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « HER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
Le participe passé « hersmolten » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« in een ander gebouw »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 11C - Rajouté le 16/11/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Met dit apparaat worden de kogels van de hulzen afgenomen » (« Avec cet appareil, les balles sont retirées du corps des cartouches »).
On y trouve notamment la forme verbale « « AFgenomen », V.T.T. (ou participe passé) provenant de l’infinitif « afNEMEN », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « NEMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « AFnemen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « afGEnomen ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Met dit apparaat »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de kogels ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « worden ») et passant donc derrière lui.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
Le participe passé « AFgenomen » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« van de hulzen »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 11B - Rajouté le 15/11/2014

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij kon vijftig miljoen geweerkogels kopen die nu onbruikbaar waren » (« Il put acheter cinquante millions de balles de guerre, qui étaient maintenant inutilisables »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « KON », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif (et « AUXILIAIRE de MODE de la capacité) « KUNNEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
N’oublions pas que les verbes comme « KUNNEN » que l’on appelle « auxiliaire de MODE » (les 3 autres étant « MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN ») exigent un REJET de l’infinitif (« kopen »), derrière le complément (« vijftig miljoen geweerkogels »), à la fin de la phrase.
On y trouve également, dans la phrase subordonnée relative (introduite par « DIE »), la forme verbale « WAREN » (pluriel irrégulier de « WAS »), O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 11A - Rajouté le 14/11/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « (Op) de volgende morgen wordt zij (Anna) door hem (Dillens) rondgeleid => opgeleid » (« Le lendemain matin, elle est conduite / formée par lui »).
On y trouve notamment la forme verbale « RONDgeLEID », construite sur « GELEID », participe passé provenant de l’infinitif « LEIDEN ».
Ce verbe « LEIDEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant déjà par la consonne « D », on trouvera bien sûr comme terminaison du participe passé le « D » majoritaire.
Quand « RONDleiden » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « ROND » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « rondGEleid ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Op de volgende morgen »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « ZIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « wordt ») et passant donc derrière lui.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
Le participe passé « RONDgeLEID » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« door hem »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 10F - Rajouté le 13/11/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hebben jullie soms ruzie gemaakt » (« Avez-vous par hasard fait / eu une dispute = Vous êtes-vous par hasard disputés ? bien »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEMAAKT », participe passé provenant de l’infinitif « MAKEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « MAKEN » est considéré comme « régulier » ; comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire) comme terminaison du participe passé.
Le participe passé « GEMAAKT » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« soms » et « ruzie maken »), à la fin de la phrase.
Notez l’expression « ruzie maken ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 10 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 10E - Rajouté le 12/11/2014

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Besef je dat het met ons zwerversleven is gedaan » (« Rends-toi compte que c’est fini avec / c’en est fini de notre vie d’errants = de vagabonds »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée (introduite par « DAT »), la forme verbale « GEDAAN », participe passé provenant de l’infinitif « DOEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEDAAN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« met ons zwerversleven »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 10 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 10D - Rajouté le 11/11/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik ben vast besloten / vastbesloten » (« Je suis fermement décidé »).
On y trouve notamment la forme verbale « vastBESLOTEN » (devenue adjectif, en un mot), construite sur « BESLOTEN », participe passé provenant de l’infinitif « BESLUITEN », lui-même conjugué sur le verbe « SLUITEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 10 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 10A - Rajouté le 10/11/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik ben er op uit (eropuit) geweest » (« Je me suis mis en route »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEWEEST », participe passé provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEWEEST » fait l’objet d’un REJET, derrière le(s) complément(s) (« ER », « OP », « UIt », pouvant être écrit « ERopUIT »), à la fin de la phrase.
Notez l’expression « Er op uit zijn » (voir aussi https://onzetaal.nl/taaladvies/advies/we-gaan-erop-uit-we-gaan-eropuit).
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 10 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 10C - Rajouté le 09/11/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Er wordt steeds naar ons gezocht » (« Il est toujours cherché après nous = On nous recherche toujours »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEZOCHT », participe passé provenant de l’infinitif « ZOEKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEZOCHT » est construit sur le SINGULIER du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « GEZOCHT » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« steeds » et « naar ons »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 10 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 10B - Rajouté le 08/11/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat verliep goed » (« Cela se passa bien »).
On y trouve la forme verbale « VERLIEP », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « VERLOPEN » (PAS un verbe dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « LOPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 10 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 9I - Rajouté le 07/11/2014

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Kijk (een beetje) uit waar je loopt ! » (« Sois attentif = regarde autour de toi où tu cours ! »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « kijk … UIT », impératif provenant de l’infinitif « UITkijken », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « KIJKEN ».
Quand « UITkijken » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « UIT » étant affectée par un REJET, derrière le complément éventuel (« een beetje »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 9H - Rajouté le 06/11/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik kon (tegen u) niet harder (botsen) » (« Je ne pouvais pas plus fort »).
On y trouve notamment la forme verbale « KON », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif (et « AUXILIAIRE de MODE de la capacité) « KUNNEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
N’oublions pas que les verbes comme « KUNNEN » que l’on appelle « auxiliaire de MODE » (les 3 autres étant « MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN ») exigent un REJET de l’infinitif éventuel (« botsen »), derrière le complément éventuel (« tegen u »), à la fin de la phrase.
Rappelons qu’un comparatif de supériorité est construit, dans les langues néerlandaise et anglaise, en rajoutant la terminaison « -ER » à la fin de l’adjectif (ou de certains mots « invariables ») : « hard » + « -ER » => « hardER ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 9G - Rajouté le 05/11/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij kon de zaak verdoezelen » (« Il put dissimuler l’affaire »).
On y trouve notamment la forme verbale « KON », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif (et « AUXILIAIRE de MODE de la capacité) « KUNNEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
N’oublions pas que les verbes comme « KUNNEN » que l’on appelle « auxiliaire de MODE » (les 3 autres étant « MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN ») exigent un REJET de l’infinitif (« verdoezelen »), derrière le complément (« de zaak »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 9F - Rajouté le 04/11/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik verloor een been » (« Je perdis une jambe »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « VERLOOR », prétérit ou O.V.T. de l’infinitif « VERLIEZEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 9E - Rajouté le 03/11/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Mijn maat werd (naast mij) gedood » (« Mon copain fut tué »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEDOOD », participe passé provenant de l’infinitif « DODEN ».
Ce verbe « DODEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « D », on trouvera le « D » majoritaire mais qui ne sera pas doublé au participe passé puisque déjà présent dans le radical du verbe ou première personne de l’indicatif présent.
Le participe passé « GEDOOD » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« naast mij »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » (à l’O.V.T.) au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 9D - Rajouté le 02/11/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het scheelde geen haar of alles ging de lucht in » (« Il s’en fallut d’un cheveu que tout volât en l’air »).
On y trouve, dans la phrase subordonnée (introduite par « OF »), la forme verbale « ging … IN », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « INgaan » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « GAAN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « INgAAn » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « IN » de son infinitif proprement dit et elle fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« de lucht »), à la fin de la phrase.
Dans la mesure où l’on se trouve dans une phrase subordonnée, le sujet « ALLES » aurait dû voir son verbe (« GING ») s’éloigner davantage de lui (et la particule séparable se recoller devant la forme verbale) : « Het scheelde geen haar of alles de lucht INging ».
Notez l’expression « Het scheelt (scheelde) (g)een haar of … ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 9C - Rajouté le 01/11/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Op zes augustus had (vond) in die vervloekte fabriek een kleine ontploffing plaats » (« Le six août, une petite explosion eu lieu dans cette maudite usine »).
On y trouve notamment la forme verbale « HAD … PLAATS » sur le modèle de « VOND … PLAATS », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « PLAATSvinden » (« PLAATS hebben »), verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La particule « PLAATS » (provenant d’un NOM) fait l’objet d’un « REJET », derrière le complément (« in die vervloekte fabriek »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Op zes augustus »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « een kleine ontploffing ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « HAD ») et passant donc derrière lui.
On y trouve également la forme verbale « VERVLOEKT », participe passé (utilisé ici comme adjectif épithète) provenant de l’infinitif « VERVLOEKEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « VERVLOEKEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera au participe passé un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 9B - Rajouté le 31/10/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Waarom deed je dat ?l » (« Pourquoi fis-tu cela ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « DEED », O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « DOEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 9A - Rajouté le 30/10/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je hebt het zelf gezocht ! » (« Tu l’as toi-même cherché ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEZOCHT », participe passé provenant de l’infinitif « ZOEKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEZOCHT » est construit sur le SINGULIER du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « GEZOCHT » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« HET »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 8F - Rajouté le 29/10/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hoe kregen ze een vergunning om buskruit op te slaan ? » (« Comment reçurent-ils une permission pour entreposer de la poudre à canon ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « KREGEN », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « KRIJGEN »), qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve également le verbe « OPslaan », dit « à particule séparable », construit sur l’infinitif « SLAAN ».
On peut avoir en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit avec, par exemple, comme ici, dans une sorte de phrase subordonnée infinitive introduite par « OM … TE » (signifiant « POUR » devant les verbes), le complément (« buskruit ») intercalés entre le « OP » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « SLAAN », la particule « OP » précédant directement le « TE » et suivant donc ce même complément.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 8 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 8E - Rajouté le 28/10/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Weldra nemen ze (Robert en Bertrand) de fabriek van Corvilain in ogenschouw » (« Bientôt, ils prennent l’usine en point de mire = ils l'usine tiennent à l’oeil »).
Notez l’expression « in ogenschouw nemen ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 8 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 8D - Rajouté le 27/10/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Laat dat aan mij over, begrepen ! » (« Laissez-moi cela = je m’en charge, compris ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « laat … OVER », impératif provenant de l’infinitif « OVERlaten » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « LATEN ».
Quand « OVERlaten » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OVER » (ancienne préposition) de son infinitif proprement dit, et son REJET, derrière les compléments (« dat » et « aan mij »), à la fin de la phrase.
On y trouve également la forme verbale « begrepen », participe passé provenant de l’infinitif « begrijpen », lui-même construit sur le verbe « GRIJPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé « begrepen » se construit sur le pluriel du prétérit ou O.V.T. et, dans ce cas-ci, est même identique (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Rappelons en effet que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Notons que le verbe, correspondant en néerlandais à « comprendre avec son intelligence », devrait plutôt être « VERSTAAN » (en relation avec le nom commun « VERSTAND »).
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 8 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 8C - Rajouté le 26/10/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maar hij (Dokus) is (nu) verdwenen » (« Mais il a disparu »).
On y trouve notamment la forme verbale « verdwenen », participe passé provenant de l’infinitif « verdwijnen », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « verdwenen » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« nu »), à la fin de la phrase.
Il est à noter que ce participe passé « verdwenen » se construit sur le pluriel du prétérit ou O.V.T. et, dans ce cas-ci, est même identique (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Rappelons en effet que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Notons l’utilisation de l’auxiliaire « ZIJN » au lieu de « hebben ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 8 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 8B - Rajouté le 25/10/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik kwam hem (Dokus) spreken » (« Je venais lui parler »).
On y trouve notamment la forme verbale « KWAM », prétérit provenant de l’infinitif « KOMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 8 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 8A - Rajouté le 24/10/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik werd trouwens belast met een bijzonder toezicht op de fabriek » (« Je fus par ailleurs chargé de surveiller particulièrement l’usine »).
On y trouve notamment la forme verbale « belast », participe passé provenant de l’infinitif « BELASTEN ».
Ce verbe « BELASTEN » est considéré comme « régulier » ; comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant déjà par la consonne « T », on retrouvera ce « T » (au lieu du « D » majoritaire), déjà présent, comme terminaison du participe passé.
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Ce participe passé « belast » aurait dû faire l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« trouwens » et, normalement, met een bijzonder toezicht op de fabriek ), à la fin de la phrase, comme dans la variante suivante : « Ik werd trouwens met een bijzonder toezicht op de fabriek BELAST ».
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » (au prétérit) au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 8 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 7H - Rajouté le 23/10/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Laten we (samen) praten ! » (« Laissons-nous bavarder = Bavardons ! »).
N’oublions pas que la tournure « LATEN we » (littéralement « Laissons-nous ») de la première personne du pluriel de l’IMPERATIF présent exige un REJET de l’infinitif, derrière le complément éventuel (« samen »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 7 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 7G - Rajouté le 22/10/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat zal dan met geweld moeten gebeuren » (« Cela devra alors avoir lieu avec de la violence »).
On y trouve notamment la forme verbale « ZAL », provenant de l’infinitif « ZULLEN », auxiliaire utilisé pour indiquer que l’on se trouve au futur simple.
N’oublions pas que « ZULLEN », auxiliaire utilisé pour indiquer que l’on se trouve au futur simple, exige le REJET de l’autre ou des autres verbe(s) (« moeten » et « gebeuren »), à l’infinitif, derrière les compléments (« dan » et « met geweld »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas non plus (dans le cadre d’une variante de cette phrase au présent) que les verbes comme « MOETEN » que l’on appelle « auxiliaire de MODE » (les 3 autres étant « KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN ») exigent également un REJET de l’infinitif, derrière les mêmes compléments (« dan » et « met geweld »), à la fin de la phrase : « Dat moet dan met geweld gebeuren ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 7 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 7F - Rajouté le 21/10/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Jullie moeten naar (speurder) nummer 17 mee(komen) » (« Vous devez (m’)accompagner vers = auprès du détective numéro 17 »).
N’oublions pas que les verbes comme « MOETEN » que l’on appelle « auxiliaire de MODE » (les 3 autres étant « KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN ») exigent un REJET de l’infinitif, derrière le complément (« naar nummer 17 »), à la fin de la phrase.
Vous direz qu’il n’y a pas d’infinitif visible dans ce cas-ci.
Les verbes « KOMEN » et « GAAN » faisant l’objet d’un REJET sont souvent sous-entendus, surtout quand ils sont utilisés avec une particule séparable comme « MEE-».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 7 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 7E - Rajouté le 20/10/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat zal niet doorgaan » (« Cela n’aura pas lieu »).
On y trouve notamment la forme verbale « ZAL », provenant de l’infinitif « ZULLEN », auxiliaire utilisé pour indiquer que l’on se trouve au futur simple.
N’oublions pas que « ZULLEN », auxiliaire utilisé pour indiquer que l’on se trouve au futur simple, exige le REJET de l’autre verbe (« doorgaan »), à l’infinitif, derrière le complément éventuel (« met hem »), à la fin de la phrase.
Dans une variante de la phrase au présent, quand « DOORgaan » (verbe dit « à particule séparable ») est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « DOOR » de son infinitif proprement dit et elle fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« met hem »), à la fin de la phrase : « Een verbeteringsgesticht gaat (met hem) niet DOOR »..
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 7 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 7D - Rajouté le 19/10/2014

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Als je niet antwoordt, ga je meteen een verbeteringsgesticht in » (« Si tu ne réponds pas, tu vas tout de suite ramasser une correction »).
On y trouve la forme verbale « ga … IN », O.T.T. (ou « présent ») provenant de l’infinitif « INgaan » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « GAAN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « INgAAn » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « IN » de son infinitif proprement dit et elle fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« meteen » et « een verbeteringsgesticht »), à la fin de la phrase.
Rappelons que, en cas d’INVERSION (sujet passant derrière le verbe, principalement dans les phrases interrogatives) et de deuxième personne du SINGULIER au présent, la forme verbale perd la terminaison « -T » d’où « ga je » au lieu de « gaAT je ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 7 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 7C - Rajouté le 18/10/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Jij bent een vriendje van die vagebonden die door speurder 17 (worden) gezocht worden » (« Tu es un petit ami des vagabonds qui sont recherchés par le détective N°17 »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée relative (introduite par « DIE »), la forme verbale « GEZOCHT », participe passé provenant de l’infinitif « ZOEKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEZOCHT » est construit sur le SINGULIER du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « GEZOCHT » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« door speurder 17 »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 7 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 7B - Rajouté le 17/10/2014

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je bent een dief die stiekem binnensloop » (« Tu es un voleur qui furtivement »).
On y trouve, dans la phrase subordonnée relative (introduite par « DIE »), la forme verbale « BINNENsloop », prétérit construit sur l’infinitif « BINNENsluipen » (verbe dit « à particule séparable »), lui-même construit sur l’infinitif « SLUIPEN », affecté par les « temps primitifs » des verbes « forts ».
Si la particule « BINNEN » n’est, ici, pas séparée de la forme verbale (proprement dite) « SLOOP », c’est parce que, dans une phrase subordonnée, le verbe fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« stiekem »), à la fin de la phrase. On aurait pu avoir la variante : « Een dief sloop (het huis) stiekem BINNEN ».
Signalons que dans « bINnen », ex-préposition, il y a « IN » (tout comme d’ailleurs dans son contraire « bUITen », il y a « UIT »).
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 7 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 7A - Rajouté le 16/10/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik hoorde het duidelijk » (« Je l’entendais nettement »).
On y trouve notamment la forme verbale « hoorDE », prétérit provenant de l’infinitif « HOREN ».
Ce verbe « HOREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « R », on trouvera le « -DE » majoritaire au singulier comme terminaison du radical du verbe au prétérit : « hoor » + « DE » => « hoorDE ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 7 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 6I - Rajouté le 15/10/2014

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het was net of ik iets hoorde bij de achterdeur » (« C’était comme si j’entendais quelque chose près de la porte arrière »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve également, dans la phrase subordonnée (introduite par « OF »), la forme verbale « hoorDE », prétérit provenant de l’infinitif « HOREN ».
Ce verbe « HOREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « R », on trouvera le « -DE » majoritaire au singulier comme terminaison du radical du verbe prétérit , : « hoor » + « DE » => « hoorDE ».
Signalons que, dans la phrase subordonnée, le verbe « hoorDE » aurait dû être encore plus (séparé et) éloigné de son sujet : « Het was net of ik iets bij de achterdeur hoorde ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 6H - Rajouté le 14/10/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat bezorgen we hem (Dokus) wel later terug » (« Cela, nous le lui rendrons bien, plus tard »).
On y trouve notamment la forme verbale « bezorgen … TERUG », provenant de l’infinitif « TERUGbezorgen » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « BEZORGEN ».
Quand « TERUGbezorgen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERUG » de son infinitif proprement dit, et son REJET, derrière les compléments (« HEM », « WEL » et « LATER »), à la fin de la phrase.
Cette particule « TERUG » est très fréquente en néerlandais puisqu’elle correspond au préfixe « RE- » (exemple : RE-tourner), rendant la notion de RETOUR.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (ici « DAT »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « WE ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « bezorgen ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 6G - Rajouté le 13/10/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat kan een kar van de ontvoerders (zijn) geweest zijn » (« Cela peut avoir été une voiture des ravisseurs »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEWEEST », participe passé provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEWEEST » fait l’objet d’un REJET, derrière les « compléments » (« een kar van de ontvoerders »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 6F - Rajouté le 12/10/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De wagen stopte hier en keerde (hier) terug » (« La voiture s’arrêta ici et retourna = fit demi-tour »).
On y trouve notamment, au prétérit (ou O.V.T.), la forme verbale « stopTE », construite sur le verbe « STOPPEN ».
Ce verbe « STOPPEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « P », on trouvera une terminaison « -TE » (au lieu du « -DE » majoritaire) à l’ O.V.T. (ou prétérit) : « stop » + « TE » => « stopTE ».
On y trouve également la forme verbale « keerde … TERUG », construite sur le verbe « TERUGkeren » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « KEREN ».
Ce verbe « KEREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « R », on trouvera une terminaison « -DE » majoritaire à l’ O.V.T. (ou prétérit) : « keer » + « DE » => « keerDE ».
Quand « TERUGkeren » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERUG » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET derrière le complément éventuel (« hier ») à la fin de la phrase.
Cette particule « TERUG » est très fréquente en néerlandais puisqu’elle correspond au préfixe « RE- » (exemple : RE-tourner), rendant la notion de RETOUR.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 6E - Rajouté le 11/10/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Er is met de fabriek van Corvilain iets niet pluis » (« Il y a quelque chose de louche avec l’usine de Corvilain »).
Notez l’expression : « Er is niet pluis / Het is niet pluis ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 6D - Rajouté le 10/10/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wij werden netjes weggeloodst » (« Nous étions soigneusement égarés = mis sur une fausse piste »).
On y trouve notamment la forme verbale « WEGgeloodst », provenant de l’infinitif « WEGloodsen » (dit « à particule séparable »), lui-même conjugué sur « LOODSEN », considéré comme « régulier ».
Comme la grande majorité des verbes néerlandais, le verbe « LOODSEN » n’est pas affecté par les « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « S », on trouvera comme terminaison le « T » minoritaire.
La forme verbale « wegGEloodst » est à « particule séparable » puisque le « GE » du participe passé s’intercale entre la particule « WEG » et la forme verbale proprement dite.
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« NETJES »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 6C - Rajouté le 09/10/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Jij sprak van inspectie » (« Tu parlais d’inspection »).
On y trouve notamment la forme verbale « SPRAK », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « SPREKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 6B - Rajouté le 08/10/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zouden zijn voorspellingen iemand op de zenuwen (hebben) gewerkt hebben ? » (« Ses prédictions auraient-elles travaillé = tapé sur les nerfs de quelqu’un ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « geWERKt », participe passé provenant de l’infinitif « WERKEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « WERKEN » est considéré comme « régulier » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Rappelons que, aux temps composés (ici, conditionnel passé), le participe passé « geWERKt » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments(ici « iemand » et « op de zenuwen »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 6A - Rajouté le 07/10/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het is net of hier (is) gevochten is = of HET hier is gevochten » (« On dirait que l’on s’est battu ici »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « GEVOCHTEN », participe passé provenant de l’infinitif « VECHTEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce participe passé « GEVOCHTEN » se construit sur le pluriel du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « GEVOCHTEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« HIER »), à la fin de la phrase.
Rappelons aussi que, dans une phrase subordonnée (introduite ici par « OF »), la forme verbale (ici « IS ») ne se trouve plus juste à côté de son sujet sous-entendu (« HET ») et fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« HIER »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 5D - Rajouté le 06/10/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Waarom wordt die vervloekte fabriek niet (dadelijk) gesloten ? » (« Pourquoi cette usine maudite n’est-elle pas fermée ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « gesloten », participe passé provenant de l’infinitif « SLUITEN », affecté par les « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé « GESLOTEN » se construit sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« dadelijk »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 5C - Rajouté le 05/10/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Even daarvoor zat hij voor zich uit te staren » (« Un peu avant, il était en train de regarder fixement devant lui »).
On y trouve notamment la forme verbale « ZAT », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « ZITTEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Even daarvoor »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « HIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « ZAT ») et passant donc derrière lui.
Dans le sens de « être en train de », le verbe « ZITTEN » engendre un « TE ». Le verbe « UITstaren », étant « à particule séparable », la particule « UIT » est séparé de l’infinitif proprement dit (« staren ») par le « TE » qui précède cet infinitif.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 5B - Rajouté le 04/10/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het is bewezen dat begaafde personen gebeurtenissen uit de toekomst of het verleden kunnen zien » (« Il est prouvé que des personnes douées peuvent voir des événements du futur ou du passé »).
On y trouve notamment la forme verbale « BEWEZEN », V.T.T. provenant de l’infinitif « BEWIJZEN », lui-même construit sur l’infinitif « WIJZEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons également que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux. « BEWEZEN » est donc bien un participe passé même si sa forme verbale est identique au pluriel de l’O.V.T. (ou « prétérit »).
Aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« AL »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 5A - Rajouté le 03/10/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Vermoedelijk omdat we in de bres (zijn) gesprongen zijn » (« Probablement parce que nous avons sauté dans la brèche »).
On y trouve notamment la forme verbale « GESPRONGEN », participe passé provenant de l’infinitif « SPRINGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le pluriel du prétérit ou O.V.T. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Rappelons que, dans une phrase subordonnée (introduite ici par « OMDAT »), la forme verbale (ici « ZIJN ») ne se trouve plus juste à côté de son sujet (ici « WE ») et fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« in de bres »), à la fin de la phrase.
Notons aussi que, aux temps composés, les verbes relatifs au MOUVEMENT sont, en néerlandais, accompagnés de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 4D - Rajouté le 02/10/2014

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij Iiet ons niet arresteren om de sympathie van de dorpelingen te winnen » (« Il ne nous laissa = il ne nous fit pas arrêter pour gagner la sympathie des villageois »).
On y trouve, dans la phrase principale, la forme verbale « LIET », O.V.T. (ou prétérit) construit sur le verbe « LATEN » et faisant partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y a aussi, dans une sorte de phrase subordonnée introduite par « OM … TE » (signifiant « POUR » devant les verbes), les compléments (« de sympathie van de dorpelingen ») intercalés entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « WINNEN ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 4 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 4C - Rajouté le 01/10/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zijn humeur slaat wel vlug om » (« Son humeur change subitement»).
On y trouve notamment la forme verbale « slaat … OM », venant du verbe « OMslaan », dit « à particule séparable », construit sur l’infinitif « SLAAN ».
Quand « OMslaan » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OM » de son infinitif proprement dit, la particule « OM » étant affectée par un REJET, derrière les compléments (« wel » et « vlug »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 4 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 4B - Rajouté le 30/09/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik zag vuur, dood en ellende » (« Je vis du feu, de la mort et de la misère »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « ZAG », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 4 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 4A - Rajouté le 29/09/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De zaak wordt (dadelijk) vergeten » (« L’affaire est oubliée »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERGETEN », participe passé provenant, par hasard, du même infinitif « VERGETEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Signalons dès lors que, si « VERGETEN » est ici au V.T.T. (ou passé composé), il aurait été écrit de la même façon au pluriel de l’O.T.T. (ou indicatif présent), qui équivaut, rappelons-le, à l’INFINITIF. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (par exemple « dadelijk »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 4 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 3C - Rajouté le 28/09/2014

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Scheer je (dadelijk) weg of ik laat de politie aanrukken ! » (« Tire-toi ou je fais venir la police »).
On y trouve notamment, dans la première phrase), la forme verbale « scheer … WEG », impératif provenant de l’infinitif « WEGscheren » (verbe dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « SCHEREN ».
Cette « particule séparable » « WEG » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« dadelijk »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 3 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 3B - Rajouté le 27/09/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Mijnheer (Meneer) heeft het bevolen » (« Monsieur l’a ordonné »).
On y trouve notamment la forme verbale « BEVOLEN », participe passé provenant de l’infinitif « BEVELEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Le participe passé « BEVOLEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« HET »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 3 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 3A - Rajouté le 26/09/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb een visioen gehad » (« J’ai eu une vision »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEHAD », participe passé provenant de l’infinitif « HEBBEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il faut aussi noter que ce participe passé se construit sur le SINGULIER du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « GEHAD » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« een visioen »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 3 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 2I - Rajouté le 25/09/2014

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Men zegt dat de veiligheidsmaatregelen slordig worden toegepast » (« On dit que les mesures de sécurités sont appliquées de façon négligente »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « TOEgepast », participe passé provenant du verbe « TOEpassen », construit sur l’infinitif « PASSEN ».
Ce verbe « PASSEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « S », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Le verbe « TOEpassen » est dit « à particule séparable ».
Quand il est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TOE » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « toeGEpast ».
Il y REJET du participe passé « toeGEpast », derrière le « complément » (« slordig »), à la fin de la phrase.
Rappelons aussi que, dans une phrase subordonnée (introduite ici par « DAT »), la forme verbale (ici « WORDEN ») ne se trouve plus juste à côté de son sujet (ici « de veiligheidsmaatregelen ») et fait l’objet d’un REJET, derrière le « complément » (« slordig ») – mais avant le participe passé –, à la fin de la phrase.
Il est à noter que la particule « TOE » provient de la préposition « TOT ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 2 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 2H - Rajouté le 24/09/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het buskruit wordt (in de fabriek) opgeslagen » (« La poudre à canon est entreposée »).
On y trouve notamment la forme verbale « OPgeslagen », provenant de l’infinitif « OPslaan », lui-même construit sur l’infinitif « SLAAN », affecté par les « temps primitifs »
Ce verbe « OPslaan » est aussi dit « à particule séparable » ; quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEslagen ».
Aux temps composés, « OPgeslagen », équivalent d’un participe passé, fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« in de fabriek »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 2 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 2G - Rajouté le 23/09/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Koper en lood worden (weer) omgesmolten » (« Le cuivre et le plomb sont refondus »).
On y trouve notamment le participe passé « OMgesmolten » provenant de l’infinitif « OMsmelten », lui-même construit sur « SMELTEN », affecté par les « temps primitifs ».
Ce verbe « OMsmelten » est aussi dit « à particule séparable » ; quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OM » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « omGEsmolten ».
Le participe passé « OMgesmolten » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« weer »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 2 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 2F - Rajouté le 22/09/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Spaanse geweerkogels worden gedemonteerd » (« Des balles de fusil espagnols sont démontées »).
On y trouve notamment la forme verbale « gedemonteerd », participé passé provenant de l’infinitif « demonteren » (inspiré de l’infinitif français « démonter »).
Ce verbe « demonteren » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire à la fin des participes passés.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 2 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 2E - Rajouté le 21/09/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « In de fabriek van Corvilain wordt munitie verwerkt » (« Dans l’usine de Corvilain des munitions sont transformées »).
On y trouve notamment la forme verbale «verwerkt », participe passé provenant de l’infinitif « VERWERKEN ».
Ce verbe « VERWERKEN » est considéré comme « régulier » ; comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire) comme terminaison du participe passé.
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Ce participe passé « verwerkt » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« elke dag »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« In de fabriek van Corvilain »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « munitie ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « wordt ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 2 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 2D - Rajouté le 20/09/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Waarom happen jullie niet dadelijk toe ? » (« Pourquoi ne saisissez-vous pas immédiatement l’occasion ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « happen … TOE », O.T.T. (ou indicatif présent) provenant du verbe « TOEhappen », construit sur l’infinitif « HAPPEN ».
Le verbe « TOEhappen » est dit « à particule séparable ». Il y REJET de la particule séparable « TOE », derrière le complément (« dadelijk »), à la fin de la phrase.
Il est à noter que la particule « TOE » provient de la préposition « TOT ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 2 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 2C - Rajouté le 19/09/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wat zou daar te doen zijn ? » (« Qu’y aurait-il à faire là ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « ZOU », provenant de l’infinitif « ZOUDEN » (en quelque sorte « prétérit » de « ZULLEN »), auxiliaire utilisé pour indiquer que l’on se trouve au conditionnel.
N’oublions pas que « ZOUDEN » exige le REJET de l’autre verbe (« zijn »), à l’infinitif, derrière les compléments (ici « daar » et « te DOEN »), à la fin de la phrase.
Notez l’expression : « dat is niet te doen » = « ce n’est pas à faire ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 2 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 2B - Rajouté le 18/09/2014

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wiens buikje rommelt, die moet het vullen » (« Celui dont le petit ventre gargouille, celui-là doit le remplir »).
« WIENS » est un pronom relatif remplaçant un « van WIE », qui n’est pas accepté.
Mais ce « WIE », ici inexistant, engendre le « DIE ».
Si le complément de la deuxième phrase est « HET », il se réfère à « buikJE », qui est du genre NEUTRE : « HET buikJE », comme tous les noms communs se terminant par le suffixe « -JE ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 2 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 2A - Rajouté le 17/09/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De voorraad is op = opgemaakt » (« Les provisions sont épuisées »).
Notez l’expression « OP zijn », vraisemblablement utilisée pour « opGEmaakt zijn ».
Quand « OPmaken » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEmaakt ».
Rappelons que le verbe « MAKEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 2 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 1E - Rajouté le 16/09/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zet mij die twee vagebonden (Robert en Bertrand) achter de tralies of je bent ontslagen » (« Mets-moi ces deux vagabonds derrière les barreaux ou tu es « démissionné » => « viré » => « renvoyé ») !
On y trouve notamment la forme verbale « ONTslagen », participe passé provenant de l’infinitif « ontSLAAN », lui-même construit sur l’infinitif « SLAAN », affecté par les « temps primitifs ».
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « ONT- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 1 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 1D - Rajouté le 15/09/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik dacht van wel » (« Je pensais bien »).
On y trouve notamment la forme verbale « DACHT » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant du verbe « DENKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 1 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 1C - Rajouté le 14/09/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Mijn man is overwerkt » (« Mon mari est surchargé de travail => surmené »).
On y trouve notamment la forme verbale « OVERwerkt », provenant de l’infinitif « OVERwerken », lui-même construit sur le verbe « WERKEN ».
Ce verbe « WERKEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Le verbe « OVERwerken » n’est PAS affecté par les « temps primitifs » et n’est PAS à « particule séparable » puisque le « GE » NE s’intercale PAS entre la particule « OVER » et la forme verbale proprement dite.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 1 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 1B - Rajouté le 13/09/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Schranderheid en doorzettingsvermogen moeten (worden) beloond worden » (« Astuce et persévérance doivent être récompensés »).
On y trouve notamment la forme verbale « BELOOND », participe passé provenant de l’infinitif « BELONEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « BELONEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) ; il ne fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « N », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison du participe passé.
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 1 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND RAMP CORVILAIN 1A - Rajouté le 12/09/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Volgens dit rapport ben je nogal zelfstandig opgetreden » (« Suivant ce rapport, tu es intervenu de façon relativement indépendante »).
On y trouve notamment forme verbale « opGEtreden », participe passé provenant de l’infinitif « OPtreden », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « TREDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « OPtreden » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEtreden ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’infinitif. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Volgens dit rapport »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « JE ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « BEN ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 1 dans « De ramp van Corvilain », le volume N°21 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Cette catastrophe s’est réellement produite, près d’Anvers, le 6 septembre 1889, à la cartoucherie Corvilain.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2014.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 31I - Rajouté le 11/09/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Na een vrolijk geblaf van Bessy vinden de eekhoorns de stilte en de eenzaamheid van hun canyon terug » (« Après un aboiement joyeux de Bessy, les écureuils retrouvent le calme et la solitude de leur canyon »).
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Na een vrolijk geblaf van Bessy »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de eekhoorns ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « VINDEN ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 31 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 31H - Rajouté le 10/09/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De toekomst lacht hen toe » (« L’avenir sourit à eux = leur sourit »).
On y trouve notamment la forme verbale « lacht … TOE », provenant de l’infinitif « TOElachen », lui-même construit sur l’infinitif « LACHEN ».
Ce verbe « TOElachen » est dit « à particule séparable » ; quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TOE » de son infinitif proprement dit et elle fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« HEN »), à la fin de la phrase.
Ce verbe « TOElachen » n’existe pas officiellement (= selon l’académie) ; il a été construit sur le modèle de « TOElaten ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 31 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 31G - Rajouté le 09/09/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij wordt ten koste van een inspanning naar boven gehaald » (« Il est ramené en haut = hissé au prix d’un effort »).
On y trouve notamment la forme verbale la forme verbale « GEhaald », participe passé provenant de l’infinitif « HALEN », PAS affecté par les « temps primitifs ».
Ce verbe « HALEN » est donc considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « L », on trouvera le « D » majoritaire.
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé (« GEhaald ») fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« ten koste van een inspanning » et « naar boven »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 31 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 31F - Rajouté le 08/09/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij wordt ter plaatse begraven » (« Il est enterré sur place »).
On y trouve notamment la forme verbale « BEGRAVEN », participe passé provenant de l’infinitif « BEGRAVEN », lui-même construit sur le verbe « GRAVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Si les formes verbales du participe passé et de l’infinitif « BEGRAVEN » sont identiques, c’est un peu par hasard. Mais rappelons tout de même que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 31 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 31E - Rajouté le 07/09/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Kort daarop komen Nancy en sherif (in de vallei) aan » (« Peu après, arrivent Nancy et le sherif »).
On y trouve notamment la forme verbale « komen … AAN », provenant de l’infinitif « aanKOMEN », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « KOMEN ».
Quand « aanKOMEN » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « AAN » étant affectée par un REJET, derrière le complément éventuel (« in de vallei »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Kort daarop »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « Nancy en sherif ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « KOMEN ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 31 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 31D - Rajouté le 06/09/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij is in de diepte gestort » (« Il est précipité dans la profondeur = le ravin »).
On y trouve notamment la forme verbale « gestort », provenant de l’infinitif « STORTEN »).
Ce verbe « STORTEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant (déjà) par la consonne « T », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire) comme terminaison du participe passé.
Le participe passé « gestort » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« in de diepte »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 31 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 31C - Rajouté le 05/09/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hoe ben je hier gekomen ? » (« Comment es-tu venue ici ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEKOMEN », participe passé provenant de l’infinitif « KOMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEKOMEN », construit sur l’INFINITIF, fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« HIER »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite d’un montage réalisé par nos soins d’illustrations extraites des pages 22 et 31 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 31B - Rajouté le 04/09/2014

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij glijdt uit en ploft met een kreet in de afgrond » (« Il dérape et s’écrase avec un cri dans le précipice »).
On y trouve notamment la forme verbale « glijdt … UIT », provenant de l’infinitif « UITglijden », lui-même construit sur l’infinitif « GLIJDEN ».
Ce verbe « UITglijden » est dit « à particule séparable » ; quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit et elle fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« op de grond »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 31 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 31A - Rajouté le 03/09/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij wil het schot vermijden door op zij te springen » (« Il veut éviter le tir en sautant sur le côté »).
Une sorte de phrase subordonnée « infinitive » est générée par le « DOOR » avec cette tournure particulière, rendue par un participe présent en langue française.
Si l’on ne maîtrise pas la langue néerlandaise, il vaut mieux opter pour deux phrases courtes : « Hij wil het schot vermijden EN springt op zij ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 31 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 30I - Rajouté le 02/09/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik geef niet zo gemakkelijk op » (« Je ne renonce pas si facilement »).
On y trouve notamment la forme verbale « geven … OP » provenant du verbe « OPgeven », verbe à « particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « GEVEN ».
Quand « OPgeven » est conjugué, la particule « OP » se sépare donc de l’infinitif « GEVEN » proprement dit et fait en outre l’objet d’un REJET, derrière le complément (« niet zo gemakkelijk »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 30 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 30H - Rajouté le 01/09/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Volledig verrast draait hij zich (dadelijk) om » (« Complètement surpris, il se retourne »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERRAST », participe passé (utilisé ici comme une sorte d’attribut) provenant de l’infinitif « VERRASSEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « VERRASSEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « S », on trouvera au participe passé un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
On y trouve également la forme verbale « draait … OM », provenant du verbe « OMdraaien », construit sur l’infinitif « DRAAIEN ».
Le verbe « OMdraaien » est dit « à particule séparable ». Il y a REJET de la particule séparable « OM », derrière le complément éventuel (« dadelijk »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 30 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 30G - Rajouté le 31/08/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Andy) heeft de steile rotswand bereikt » (« Il a atteint la paroi escarpée »).
On y trouve notamment la forme verbale « BEREIKT », participe passé provenant de l’infinitif « BEREIKEN ».
Ce verbe « BEREIKEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux. Le hasard fait que le participe passé est identique à la 2ème ou 3ème personne du présent.
Ce participe passé « BEREIKT » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« de steile rotswand »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 30 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 30F - Rajouté le 30/08/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zouden ze ook aan de wetten van de Natuur (zijn) onderworpen zijn ? … » (« Seraient-ils aussi soumis aux lois de la Nature ? … »).
On y trouve notamment la forme verbale « ZOUDEN », provenant de l’infinitif « ZOUDEN » (en quelque sorte « prétérit » de « ZULLEN »), auxiliaire utilisé pour indiquer que l’on se trouve au conditionnel.
N’oublions pas que « ZOUDEN » exige le REJET de l’autre verbe (« zijn »), à l’infinitif, derrière le complément (ici « aan de wetten van de Natuur »), à la fin de la phrase.
On y trouve également la forme verbale « ONDERworpen », participe passé provenant de l’infinitif « ONDERwerpen », lui-même construit sur le verbe « WERPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « ONDERworpen » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« aan de wetten van de Natuur »), à la fin de la phrase.
Ce verbe « ONDERwerpen » n’est PAS « à particule séparable » ; quand il est conjugué, cela n’entraîne PAS en néerlandais une séparation de la particule « ONDER » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) NE s’intercalant PAS entre eux comme, par exemple, pour « terugGEworpen » provenant de « TERUGwerpen ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 30 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 30E - Rajouté le 29/08/2014

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik wist niet dat de mensen onder elkaar vochten » (« Je ne savait pas que les êtres humains se battaient entre eux »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « WIST » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant du verbe « WETEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve également, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « VOCHTEN », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « VECHTEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons aussi que, dans une phrase subordonnée (introduite ici par « DAT »), la forme verbale (ici « VOCHTEN ») ne se trouve plus juste à côté de son sujet (ici « de mensen ») et fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« onder elkaar »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 30 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 30D - Rajouté le 28/08/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De eerste kogel komt tussen Sid en Bessy neer » (« La première balle arrive à terre entre Sid et Bessy »).
On y trouve la forme verbale « komt … NEER », construite sur le verbe « NEERkomen » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « KOMEN ».
Quand « NEERkomen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « NEER » de son infinitif proprement dit, faisant l’objet d’un REJET derrière le complément éventuel (« tussen Sid en Bessy »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 30 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 30C - Rajouté le 27/08/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Voor elk jaar dat ik in de gevangenis (heb) doorgebracht heb krijg je een kogel in jouw huid » (« Pour chaque année que j’ai passée en prison, tu reçois une balle dans ta peau »).
On y trouve notamment la forme verbale « DOORgebracht », participe passé provenant de l’infinitif « DOORbrengen » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « DOORbrengen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « DOOR » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « doorGEbracht ».
Ce participe passé « GEBRACHT » est construit sur le singulier du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Rappelons aussi que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « in de gevangenis »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Voor elk jaar »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « JE ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « KRIJG ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 30 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 30B - Rajouté le 26/08/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Sid) is door de rook half verstikt » (« Il est à moitié asphyxié par la fumée »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERSTIKT », participe passé provenant de l’infinitif « VERSTIKKEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « VERSTIKKEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera au participe passé un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Il y a REJET du participe passé « VERSTIKT », derrière le complément (« door de rook »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 30 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 30A - Rajouté le 25/08/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Andy) heeft de vuurschoten gehoord » (« Il a entendu les coups de feu »).
On y trouve notamment la forme verbale « gehoord », participe passé provenant de l’infinitif « HOREN ».
Ce verbe est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison du participe passé.
Rappelons aussi que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« de vuurschoten »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 30 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 29B - Rajouté le 24/08/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De hond (Bessy) heeft vlug de geur van de man (h)erkend » (« Le chien a vite reconnu l’odeur de l’homme »).
On y trouve notamment la forme verbale « erkend », participe passé provenant de l’infinitif «(H)ERKENNEN », lui-même construit sur le verbe « KENNEN ».
Ce verbe est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « N », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison du participe passé.
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « ER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Rappelons aussi que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« vlug » et « de geur van de man »), à la fin de la phrase.
Il faudrait écrire plutôt « HERKEND » que « ERKEND » mais les deux infinitifs existent.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 29 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 29A - Rajouté le 23/08/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maar ik heb reeds jouw schuilplaats ontdekt » (« Mais j’ai déjà découvert ta cachette »).
On y trouve notamment la forme verbale « ONTDEKT », participe passé provenant de l’infinitif « ONTDEKKEN ».
Ce verbe « ONTDEKKEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « ONT- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Signalons dès lors que, si « ONTDEKT » est ici au V.T.T. (ou passé composé), il aurait été écrit de la même façon à l’O.T.T. (ou indicatif présent).
Le participe passé « ONTDEKT » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« de list » et « jouw schuilplaats »).
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 29 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 28E - Rajouté le 22/08/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik hoop op hulp van buiten AF » (« J’espère de l’aide de l’extérieur »).
On y trouve notamment la forme verbale « hoop … AF », provenant de l’infinitif « AFhopen », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « HOPEN ».
La « particule séparable » « AF » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« op hulp » et « van buiten »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 28D - Rajouté le 22/08/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De slang maakt zich gereed om toe te slaan » (« Le serpent se fait prêt = s’apprête à frapper »).
On y trouve notamment le verbe « TOEslaan », dit « à particule séparable », construit sur l’infinitif « SLAAN ».
On peut avoir en néerlandais une séparation de la particule « TOE » de son infinitif proprement dit avec, par exemple, comme ici, dans une sorte de phrase subordonnée introduite par « OM … TE » (signifiant « POUR » devant les verbes), le « TE » qui s’intercale entre eux.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 28C - Rajouté le 22/08/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik zal je vinden al moest ik een ganse week zoeken » (« Je vais te trouver même si je devais chercher une semaine entière »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « MOEST » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant du verbe « MOETEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Dans cette phrase subordonnée (introduite par « AL »), on a une INVERSION de sujet « IK » qui passe derrière la forme verbale « MOEST ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 28B - Rajouté le 22/08/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze zijn verloren maar wij zijn het eveneens indien hij ons ontdekt » (« Ils sont perdus mais nous le sommes tout autant s’il nous découvre »).
On y trouve notamment, dans la première des trois phrases, la forme verbale « VERLOREN », participe passé construit sur le verbe « VERLIEZEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Il est à noter que ce participe passé se construit donc sur le PLURIEL du prétérit et est même identique. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Aux temps composés, le participe passé « VERLOREN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« ook »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 28A - Rajouté le 17/08/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je kan hen niet helpen zonder de aandacht van Tim op ons TE trekken » (« Tu ne peux pas les aider sans attirer l’attention de Tim sur nous »).
La préposition « ZONDER » introduit ici une sorte de phrase subordonnée et engendre un « TE » qui précède (en quelque sorte comme en mauvais français : « sans D’attirer … ») l’infinitif « TREKKEN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 27G - Rajouté le 16/08/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze leren hun nakomelingen granen en eikels verzamelen en jonge scheutjes verorberen » (« Ils apprennent à leurs rejetons à amasser des graines et des glands et à savourer des pousses »).
En langue néerlandaise, la préposition « à » (ou « de ») suivant certains verbes français (comme « APPRENDRE ») est souvent rendue par un « TE ». Ce n’est PAS le cas pour « LEREN ». Ci-dessous, un tableau de synthèse des verbes concernés.
Aperçu des auxiliaires exigeant TE (+) ou ne l’exigeant pas (-):
beginnen + helpen - proberen +
beloven + hoeven + schijnen +
besluiten + hopen + staan +
bevelen + horen - trachten +
beweren + komen - vallen +
blijken + kunnen - verbieden +
blijven - laten - vergeten +
denken + leren - voelen -
doen - liggen + vragen +
dreigen + lijken + vrezen +
durven (+) lopen + weigeren +
eisen + menen + wensen +
gaan - moeten - willen -

La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 27 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 27F - Rajouté le 15/08/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Spijtig dat ik mijn lasso (onderweg) (heb) verloren heb » (« Dommage que j’aie perdu mon lasso »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « VERLOREN », participe passé construit sur le verbe « VERLIEZEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Il est à noter que ce participe passé se construit donc sur le PLURIEL du prétérit et est même identique. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Aux temps composés, le participe passé « VERLOREN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« onderweg »), à la fin de la phrase.
Rappelons aussi que, dans une phrase subordonnée (introduite ici par « DAT »), la forme verbale (ici « HEB ») ne se trouve plus juste à côté de son sujet (ici « IK ») et fait l’objet d’un REJET, à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 27 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 27E - Rajouté le 14/08/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De lasso heeft de aanwezigheid van Sid verraden » (« Le lasso a trahi la présence de Sid »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERRADEN », participe passé provenant de l’infinitif « VERRADEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé « VERRADEN » se construit sur l’infinitif. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Rappelons aussi que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Ce participe passé « VERRADEN » est dès lors identique à son infinitif « VERRADEN ».
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « de aanwezigheid van Sid »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 27 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 27D - Rajouté le 13/08/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Indien hij ons ontdekt zijn we (reddeloos) verloren » (« S’il nous découvre, nous sommes perdus »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « VERLOREN », participe passé construit sur le verbe « VERLIEZEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Il est à noter que ce participe passé se construit donc sur le PLURIEL du prétérit et est même identique. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Aux temps composés, le participe passé « VERLOREN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« reddeloos »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (la phrase subordonnée « Indien hij ons ontdekt » joue ici ce rôle), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « WE ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « ZIJN ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 27 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 27C - Rajouté le 12/08/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je dringt zo aan ! » (« Tu insistes tellement ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « dringt … AAN », construite sur le verbe « AANdringen » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « DRINGEN ».
Quand « AANdringen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET derrière le complément (« ZO ») à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 27 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 27B - Rajouté le 11/08/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij heeft de gestalte van de ruiter boven op de kam van de rots bemerkt » (« Elle a remarqué la silhouette du cavalier sur la crête du rocher »).
On y trouve notamment la forme verbale « bemerkt », provenant de l’infinitif « MERKEN »).
Ce verbe « MERKEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire) comme terminaison du participe passé.
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Le participe passé « bemerkt » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« de gestalte van de ruiter « et « boven op de kam van de rots »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 27 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 27A - Rajouté le 10/08/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij wordt door een dof gegrol (geblaf) van de hond gewekt » (« Il est éveillé par un aboiement sourd du chien »).
On y trouve notamment la forme verbale « gewekt », provenant de l’infinitif « WEKKEN »).
Ce verbe « WEKKEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire) comme terminaison du participe passé.
Le participe passé « gewekt » doit faire l’objet d’un REJET, derrière le complément (« door de aanwezigheid van de hond »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est aussi à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 27 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 26H - Rajouté le 09/08/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zou hij de canyon (hebben) ontdekt hebben ? » (« Aurait-il découvert le canyon ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « ZOU », provenant de l’infinitif « ZOUDEN » (en quelque sorte « prétérit » de « ZULLEN »), auxiliaire utilisé pour indiquer que l’on se trouve au conditionnel.
N’oublions pas que « ZOUDEN » exige le REJET de l’autre verbe (« hebben »), à l’infinitif, derrière le complément (ici « de canyon »), à la fin de la phrase.
On y trouve «également la forme verbale « ONTDEKT », participe passé provenant de l’infinitif « ONTDEKKEN ».
Ce verbe « ONTDEKKEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « ONT- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Signalons dès lors que, si « ONTDEKT » est ici au V.T.T. (ou passé composé), il aurait été écrit de la même façon à l’O.T.T. (ou indicatif présent).
Le participe passé « ONTDEKT » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« de canyon »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 26 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 26G - Rajouté le 08/08/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat kan niemand anders dan Tim Parsons (zijn) geweest zijn » (« Cela ne peut pas avoir été quelqu’un d’autre que Tim Parsons »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEWEEST », participe passé provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEWEEST » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« niemand anders dan Tim Parsons »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que les verbes comme « KUNNEN » que l’on appelle « auxiliaire de MODE » (les 3 autres étant « MOETEN », « MOGEN » et « WILLEN ») exigent un REJET de l’infinitif, derrière le complément (« niemand anders dan Tim Parsons »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 26 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 26F - Rajouté le 07/08/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Andy) steekt de rivier over » (« Il traverse la rivière »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « steekt … OVER », provenant de l’infinitif « OVERsteken », verbe à « particule séparable ».
Quand ce verbe « OVERsteken » est conjugué, la particule « OVER » se sépare donc de l’infinitif « STEKEN » proprement dit et fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« de rivier »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 26 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 26E - Rajouté le 06/08/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wat kan hem (zijn) overkomen zijn ? » (« Que peut-il lui être arrivé ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « ovekomen » provenant de l’infinitif « OVERKOMEN ».
Ce verbe « OVERKOMEN » est affecté par les « temps primitifs » puisqu’il est construit sur « KOMEN » mais n’est PAS à « particule séparable » puisque le « GE » NE s’intercale PAS entre la particule « OVER » et la forme verbale proprement dite.
Le participe passé « OVERVALLEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« HEM »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 26 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 26D - Rajouté le 05/08/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zou ik mijn trouwe vriendin (hebben) verloren hebben ? » (« Aurais-je perdu ma fidèle amie ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « ZOU », provenant de l’infinitif « ZOUDEN » (en quelque sorte « prétérit » de « ZULLEN »), auxiliaire utilisé pour indiquer que l’on se trouve au conditionnel.
N’oublions pas que « ZOUDEN » exige le REJET de l’autre verbe (« zijn »), à l’infinitif, derrière le complément (ici « mijn trouwe vriendin »), à la fin de la phrase
On y trouve également, dans la phrase principale, la forme verbale « VERLOREN », participe passé construit sur le verbe « VERLIEZEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Il est à noter que ce participe passé se construit donc sur le PLURIEL du prétérit et est même identique. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Aux temps composés, le participe passé « VERLOREN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« mijn trouwe vriendin »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 26 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 26C - Rajouté le 04/08/2014

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Andy, aan wie Nancy een nauwkeurige beschrijving van de canyon der (van de) eekhoorns heeft gegeven, is veel vlugger de plaats genaderd » (« Andy, à qui Nancy a donné une description minutieuse du canyon des écureuils, s’est approché beaucoup plus vite de l’endroit »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « GEGEVEN », participe passé provenant de l’infinitif « GEVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEGEVEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le long complément (« een nauwkeurige beschrijving van de canyon der eekhoorns »), à la fin de la phrase.
Il est à noter que ce participe passé « GEGEVEN » se construit sur l’INFINITIF. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Rappelons aussi que, dans une phrase subordonnée (introduite ici par « aan wie »), la forme verbale (ici « HEEFT ») ne se trouve plus juste à côté de son sujet (ici « Nancy ») et fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« een nauwkeurige beschrijving van de canyon der eekhoorns »), à la fin de la phrase.
On y trouve également, dans la phrase principale, la forme verbale « GENADERD », participe passé provenant de l’infinitif « NADEREN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « NADEREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison du participé passé.
Le participe passé « GENADERD » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« veel vlugger » et « de plaats »), à la fin de la phrase.
N’oubliez pas que, aux temps composés, l’auxiliaire pour les verbes de mouvement est « ZIJN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 26 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 26B - Rajouté le 03/08/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Tim Parsons) ontdekt aldus toevallig het verborgen ravijn » (« Il découvre donc par hasard le ravin caché »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERBORGEN », participe passé (utilisé ici comme adjectif épithète) provenant de l’infinitif « VERBERGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Il faut aussi noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 26 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 26A - Rajouté le 02/08/2014

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zou hij verdronken zijn of heeft hij zijn weg langs de oever verdergezet ? » (« Se serait-il noyé ou a-t-il poursuivi son chemin le long de la rive ? »).
On y trouve notamment, dans la première phrase, la forme verbale « ZOU », provenant de l’infinitif « ZOUDEN » (en quelque sorte « prétérit » de « ZULLEN »), auxiliaire utilisé pour indiquer que l’on se trouve au conditionnel.
N’oublions pas que « ZOUDEN » exige le REJET de l’autre verbe (« zijn »), à l’infinitif, derrière le complément éventuel (« in de rivier »), à la fin de la phrase.
On y trouve également la forme verbale « VERDRONKEN », participe passé (utilisé ici comme adjectif épithète) provenant de l’infinitif « VERDRINKEN », lui-même construit sur le verbe « DRINKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Il faut aussi noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit et, dans ce cas-ci, est identique. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « VERDRONKEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« in de rivier »), à la fin de la phrase.
On y trouve également, dans la deuxième phrase, la forme verbale « VERDERgezet », provenant d’un verbe « VERDERzetten » (n’existant pas officiellement mais construit sur « VERDERgaan »), réagissant comme ceux dits « à particule séparable » et construit sur le verbe « ZETTEN ».
Comme la grande majorité des verbes néerlandais, le verbe « ZETTEN » n’est pas affecté par les « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « T », on trouvera de toutes façons le « T » minoritaire comme terminaison du participe passé.
La forme verbale « verderGEzet » est bien à « particule séparable » puisque le « GE » du participe passé s’intercale entre la particule « VERDER » et la forme verbale proprement dite.
Le participe passé « VERDERgezet » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« zijn weg » et « langs de oever »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 26 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 25F - Rajouté le 01/08/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Op dat ogenblik ontdekt hij (Tim Parsons) de vernielde kano » (« A ce moment, il découvre le canoë détruit »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERNIELD », participe passé (utilisé ici comme adjectif épithète) provenant de l’infinitif « VERNIELEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « VERNIELEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « L », on trouvera comme terminaison du participe passé le « D » majoritaire.
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- » (qui n’est PAS une « particule séparable »), son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 25E - Rajouté le 31/07/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb zijn trouw en (zijn) moed kunnen bewonderen » (« J’ai pu admirer sa fidélité et son courage »).
La phrase est, en fait, au passé composé et la forme verbale de « KUNNEN » aurait dû être au participe passé mais on a ici affaire à ce que l’on appelle le « double infinitif », solution intéressante pour éviter les « temps primitifs » quand on ne les maîtrise pas.
Les deux infinitifs font l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« zijn trouw en moed »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 25D - Rajouté le 30/07/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Deze eekhoorn is lange tijd mijn enige vriend geweest » (« Cet écureuil a longtemps été mon seul ami »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEWEEST », participe passé provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEWEEST » fait l’objet d’un REJET, derrière les « compléments » (« lange tijd » et « mijn enige vriend »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 25C - Rajouté le 29/07/2014

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Alhoewel jullie alle twee mijn vrienden zijn, heeft het instinkt zijn rechten hernomen » (« Bien que vous soyez tous les deux mes amis, l’instinct a repris ses droits »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « HERnomen », participe passé provenant de l’infinitif « HERNEMEN », lui-même construit sur le verbe « NEMEN », affecté par les « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « HER- » (en aucun cas « séparable »), son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Le participe passé « HERnomen » fait l’objet d’un REJET, derrière les « compléments » (« alle twee » et « mijn vrienden »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (la phrase subordonnée « Alhoewel jullie alle twee mijn vrienden zijn » joue ici ce rôle), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « het instinkt ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « heeft ») et passant donc derrière lui.
Rappelons aussi que, dans une phrase subordonnée (introduite ici par « Alhoewel »), la forme verbale (ici « ZIJN ») ne se trouve plus juste à côté de son sujet (ici « JULLIE ») et fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« iets abnormaals »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 25B - Rajouté le 28/07/2014

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De hond is echter vlugger dan de eekhoorn en snijdt hem de terugtocht af » (« Le chien est en fait plus rapide que l’écureuil et lui coupe la retraite = barre le chemin du retour »).
On y trouve notamment la forme verbale « snijdt … AF », provenant de l’infinitif « AFsnijden », construit sur l’infinitif « SNIJDEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le verbe « AFsnijden » est dit « à particule séparable ». Quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » faisant l’objet d’un REJET, derrière les compléments (ici « HEM » et « de terugtocht »), à la fin de la phrase.
On trouve la forme verbale « snijdT », troisième personne du singulier de l’O.T.T. ou indicatif présent. Elle doit se terminer par « T » même si l’avant-dernière lettre est « D » (la seule véritable exception étant le « IS », dans « hij/zij/het//dit/dat/men/er/daar/hier is »).
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 25A - Rajouté le 27/07/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De hond springt terstond toe » (« Le chien bondit promptement »).
On y trouve notamment la forme verbale « springt … TOE », provenant du verbe « TOEspringen », construit sur l’infinitif « SPRINGEN ».
Le verbe « TOEspringen » est dit « à particule séparable ». Il y REJET de la particule séparable « TOE », derrière le complément (« terstond »), à la fin de la phrase principale.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 24F - Rajouté le 26/07/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maar de hond (Bessy) heeft het bevel niet gehoord » (« Mais le chien n’a pas entendu l’ordre »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEHOORD », participe passé provenant de l’infinitif « HOREN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « HOREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) ; il ne fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « G », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison du participe passé.
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « het bevel »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 24 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 24E 20 - Rajouté le 25/07/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maar het avontuur met de lus is hem in het geheugen gebleven » (« Mais l’aventure avec le collet lui est restée dans la mémoire »).
On y trouve la forme verbale « GEBLEVEN », participe passé provenant de l’infinitif « BLIJVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé « GEBLEVEN » se construit sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (ici « HEM » et « in het geheugen »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite d’un montage réalisé par nos soins d’illustrations extraites des pages 24 et 20 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 24D - Rajouté le 24/07/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We hebben onze voorraden opgebruikt » (« Nous avons épuisé nos provisions »).
On y trouve notamment la forme verbale « OPgebruikt », provenant de l’infinitif « OPgebruiken » (dit « à particule séparable »), lui-même conjugué sur « GEBRUIKEN », considéré comme « régulier ».
Comme la grande majorité des verbes néerlandais, le verbe « GEBRUIKEN » n’est pas affecté par les « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera le « T » minoritaire. La forme verbale « opGEbruikt » est bien à « particule séparable » puisque le « GE » du participe passé se SERAIT intercalé entre la particule « OP » et la forme verbale proprement dite.
Rappelons en effet que si un verbe commence déjà par le préfixe « GE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé (« OPgebruikt ») fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« onze voorraden »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 24 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 24C - Rajouté le 23/07/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maar op een morgen worden zijn goede zorgen beloond » (« Mais, un matin, ses bons soins sont récompensés »).
On y trouve notamment la forme verbale « BELOOND », participe passé provenant de l’infinitif « BELONEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « BELONEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) ; il ne fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « N », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison du participe passé.
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (par exemple « eindelijk »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« op een morgen »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « zijn goede zorgen ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « worden ») et passant donc derrière lui.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 24 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 24B - Rajouté le 22/07/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ondertussen heeft het wijfje eekhoorn (Motha) veel kwellingen doorstaan » (« Entretemps la femelle écureuil a surmonté beaucoup de tourments »).
On y trouve notamment la forme verbale « DOORstaan », participe passé du verbe « DOORstaan », construit sur l’infinitif « STAAN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que le participe passé de « STAAN » débute par le préfixe « GE- » (=> « GEstaan »), commun à la majorité d’entre eux. Si aucun « GE » ne s’est intercalé, ici, entre « DOOR » et « STAAN », cela signifie que « DOORstaan » n’est PAS un verbe « à particule séparable ».
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « veel kwellingen »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Ondertussen »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « het wijfje eekhoorn ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « HEEFT ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 24 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 24A - Rajouté le 21/07/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je zou hem beter gaan opzoeken » (« Tu irais mieux le chercher = tu ferais mieux d’aller le chercher »).
On y trouve notamment la forme verbale « ZOU », provenant de l’infinitif « ZOUDEN » (en quelque sorte « prétérit » de « ZULLEN »), auxiliaire utilisé pour indiquer que l’on se trouve au conditionnel.
N’oublions pas que « ZOUDEN » exige le REJET de l’autre verbe (« opzoeken »), à l’infinitif, derrière les compléments (ici « HEM » et « BETER »), à la fin de la phrase.
Nous avons rendu en français la notion de « zou … gaan ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 24 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 23I - Rajouté le 20/07/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je doet jouw ras eer aan » (« Tu fais honneur à ta race »).
On y trouve notamment la forme verbale « doet … AAN », construite sur le verbe « AANdoen » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « DOEN ».
Quand « AANdoen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET derrière les compléments (« jouw ras » et « eer ») à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 23 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 23H - Rajouté le 19/07/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze graaft eetbare wortels op » (« Elle déterre des racines mangeables = comestibles »).
On y trouve notamment la forme verbale « graaft … OP », construite sur le verbe « OPgraven » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « GRAVEN ».
Quand « OPgraven » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET derrière le complément (« eetbare wortels ») à la fin de la phrase.
Profitons, de cette phrase, même courte mais où nous avons la chance de trouver des exemples édifiants, pour rappeler deux règles de la langue néerlandaise.
Si la dernière syllabe d’un mot commence par un « V » (« graVen »), celui-ci se transforme en « F » à partir du moment où il n’est plus suivi de « E » : « graVen » - « E(n) » => « graaF » (= radical ou première personne du présent).
En revanche, si la dernière syllabe d’un mot se termine par une consonne précédée d’une double voyelle (« AA » comme « eetbAAr » ; c’est aussi le cas pour « EE », « OO » ou « UU ») et que l’on est amené à accorder l’adjectif épithète (« eetbaar » + « E »), on n’aura plus qu’une de ces deux voyelles => « eetbAre ».
Si l’on reprend l’exemple de « graaF » (= radical ou première personne du présent) et que l’on est amené à passer au pluriel (« graaf » + « EN »), on n’aura plus qu’une de ces deux voyelles => « graVen »).
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 23 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 23G - Rajouté le 18/07/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Andy) heeft dikwijls in haar aanwezigheid gewonden verzorgd » (« Il a souvent soigné en sa présence des blessures »).
On y trouve notamment la forme verbale « verzorgd », participe passé provenant de l’infinitif « verzorgen », construit sur le verbe « ZORGEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « VERZORGEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « G », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison du participe passé.
Le participe passé « verzorgd » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« dikwijls », « in haar aanwezigheid » et « gewonden ), à la fin de la phrase.
Rappelons en effet que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 23 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 23F - Rajouté le 17/07/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maar de hond is opnieuw verdwenen » (« Mais le chien a de nouveau disparu »).
On y trouve notamment la forme verbale « verdwenen », participe passé provenant de l’infinitif « verdwijnen », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « verdwenen » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« opnieuw »), à la fin de la phrase.
Il est à noter que ce participe passé « verdwenen » se construit sur le pluriel du prétérit ou O.V.T. et, dans ce cas-ci, est même identique (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Rappelons en effet que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 23 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 23E - Rajouté le 16/07/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De aanwezigheid van de hond heeft de man nieuwe hoop gebracht » (« La présence du chien a apporté à l’homme un nouvel espoir »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEBRACHT », participe passé provenant de l’infinitif « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEBRACHT » est construit sur le SINGULIER du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « GEBRACHT » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« de man » et « nieuwe hoop »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 23 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 23D - Rajouté le 15/07/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij brengt ze (de tas met water) triomfantelijk naar de ongelukkige man terug » (« Elle rapporte le sac avec de l’eau = la sacoche remplie d’eau triomphalement au malheureux homme »).
On y trouve notamment la forme verbale « brengt … TERUG », construite sur le verbe « TERUGbrengen » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « BRENGEN ».
Quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERUG » de son infinitif proprement dit et le REJET de la particule, derrière les compléments (« ZE = de tas met water », « triomfantelijk » et « naar de ongelukkige man »), à la fin de la phrase.
Rappelons que « TERUG » rend une notion de retour ou de répétition.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 23 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 23C - Rajouté le 14/07/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De hond heeft de vraag begrepen » (« Le chien a compris la question »).
On y trouve notamment la forme verbale « begrepen », participe passé provenant de l’infinitif « begrijpen », lui-même construit sur le verbe « GRIJPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « begrepen » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« de vraag »), à la fin de la phrase.
Il est à noter que ce participe passé « begrepen » se construit sur le pluriel du prétérit ou O.V.T. et, dans ce cas-ci, est même identique (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Rappelons en effet que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Notons que le verbe, correspondant en néerlandais à « comprendre avec son intelligence », devrait plutôt être « VERSTAAN » (en relation avec le nom commun « VERSTAND »).
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 23 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 23B - Rajouté le 13/07/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij beweerde dat je in alle omstandigheden in de natuur kon overleven » (« Il prétendait que, dans toutes les circonstances, tu pouvais survivre dans la nature »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « KON », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif (et « AUXILIAIRE de MODE de la capacité) « KUNNEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Même si la phrase avait commencé par le groupe habituel sujet-verbe (« je kon in alle omstandigheden in de natuur overleven ») – ordre bouleversé dans les phrases subordonnées –, l’infinitif « overleven » aurait fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« in alle omstandigheden » et « in de natuur »), à la fin de la phrase, parce l’auxiliaire de mode « KUNNEN » l’exige.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 23 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 23A - Rajouté le 12/07/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Even later wordt hij door de aanwezigheid van de hond gewekt » (« Un peu plus tard, il est éveillé par la présence du chien »).
On y trouve notamment la forme verbale « gewekt », provenant de l’infinitif « WEKKEN »).
Ce verbe « WEKKEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire) comme terminaison du participe passé.
Le participe passé « gewekt » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« door de aanwezigheid van de hond »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est aussi à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Even later »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « HIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « wordt ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 23 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 22I - Rajouté le 11/07/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Langs daar dringt ze in de verborgen vallei binnen » (« Par là, elle pénètre dans la vallée cachée »).
On y trouve la forme verbale « dringt … BINNEN », provenant de l’infinitif « BINNENdringen » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « DRINGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « BINNENdringen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « BINNEN » de son infinitif proprement dit et elle fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« in de verborgen vallei »), à la fin de la phrase.
On y trouve également la forme verbale « VERBORGEN », participe passé (utilisé ici comme adjectif épithète) provenant de l’infinitif « VERBERGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Il faut aussi noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit et est, par hasard, identique. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un « complément » (« Langs daar »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « ZE ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « dringt ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 22 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 22H - Rajouté le 10/07/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij is niet ver van de verborgen canyon aan wal gegaan » (« Elle est allée = a échoué sur la berge pas loin du canyon caché »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEgaan », provenant de l’infinitif « GAAN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « WEGgaan » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « WEG » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « wegGEgaan ».
Le participe passé « GEgaan » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« niet ver », « van de verborgen canyon » et « aan wal »), à la fin de la phrase.
Il faut aussi noter que ce participe passé se construit sur l’INFINITIF. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
On y trouve également la forme verbale « VERBORGEN », participe passé (utilisé ici comme adjectif épithète) provenant de l’infinitif « VERBERGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Il faut aussi noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit et est, par hasard, identique.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un « complément » (« Langs daar »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « ZE ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « dringt ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 22 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 22G - Rajouté le 09/07/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ondertussen is de hond (Bessy) op haar stamboom afgedreven » (« Entretemps, la chienne a dérivé sur son tronc d’arbre »).
On y trouve notamment la forme verbale « AFgedreven », participe passé provenant de l’infinitif « AFdrijven », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur « DRIJVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « AFdrijven » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « afGEdreven ».
Le participe passé « afGEdreven » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« op haar stamboom »), à la fin de la phrase.
Il est à noter que ce participe passé « AFgedreven » se construit sur le pluriel du prétérit ou O.V.T. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Notons aussi que, aux temps composés, les verbes relatifs au MOUVEMENT sont, en néerlandais, accompagnés de l’auxiliaire « ZIJN ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (la phrase subordonnée « Ondertussen » joue ici ce rôle), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de hond ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « IS ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 22 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 22F - Rajouté le 08/07/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maar moeder is zwaar gewond » (« Mais maman est lourdement = gravement blessée »).
On y trouve notamment la forme verbale « gewond », participe passé provenant de l’infinitif « wonden ».
Ce verbe « WONDEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant déjà par la consonne « D », on trouvera, de toutes façons, comme terminaison du participe passé le « D » majoritaire.
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le « complément » (ici « zwaar »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 22 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 22E - Rajouté le 07/07/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Gek van vreugde loopt hij naar haar toe » (« Fou de joie, il se précipite jusqu’à elle »).
On y trouve notamment la forme verbale « loopt … TOE », provenant du verbe « TOElopen », construit sur l’infinitif « LOPEN ».
Le verbe « TOElopen » est dit « à particule séparable ». Il y a REJET de la particule séparable « TOE », derrière le complément (« naar haar »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un « complément » (« Gek van vreugde »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « HIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « loopt ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 22 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 22D - Rajouté le 06/07/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maar jij krijgt jouw vrijheid terug » (« Mais tu reçois de retour = tu recouvres ta liberté »).
On y trouve la forme verbale « krijgt … TERUG », provenant de l’infinitif « TERUGkrijgen » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « KRIJGEN ».
Quand « TERUGkrijgen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERUG » de son infinitif proprement dit et elle fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« jouw vrijheid »), à la fin de la phrase.
Cette particule « TERUG » est très fréquente en néerlandais puisqu’elle correspond au préfixe « RE- » (exemple : RE-donner), rendant la notion de RETOUR (ici au propriétaire).
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 22 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 22C - Rajouté le 05/07/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maar zo een trouw en moed kon ik niet onverschillig blijven » (« Mais devant une telle fidélité et un tel courage, je ne pouvais pas rester indifférent »).
On y trouve notamment la forme verbale « KON », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif (et « AUXILIAIRE de MODE de la capacité) « KUNNEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« zo een trouw en moed »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « IK ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « KON ») et passant donc derrière lui.
Si la phrase avait commencé par le sujet (Maar ik kon zo een trouw en moed niet onverschillig blijven), l’infinitif « blijven » aurait donc bien fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« zo een trouw en moed »), à la fin de la phrase, parce l’auxiliaire de mode « KUNNEN » l’exige.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 22 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 22B - Rajouté le 04/07/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het vuurschot heeft mij waarschijnlijk verraden » (« Le coup de feu m’a vraisemblablement trahi »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERRADEN », participe passé provenant de l’infinitif « VERRADEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé « VERRADEN » se construit sur l’infinitif. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Rappelons aussi que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Ce participe passé « VERRADEN » est dès lors identique à son infinitif « VERRADEN ».
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (ici « mij » et « waarschijnlijk »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 22 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 22A - Rajouté le 03/07/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De lynx maakt een fantastische luchtsprong om dan steendood neer te vallen » (« Le lynx fait un fantastique saut = bond en l’air pour alors tomber mort comme une pierre = raide mort »).
On y trouve notamment le verbe « NEERvallen », dit « à particule séparable », construit sur l’infinitif « VALLEN ».
On peut avoir en néerlandais une séparation de la particule « NEER » de son infinitif proprement dit avec, par exemple, comme ici, le « TE » qui s’intercale entre eux.
On y a aussi, dans une sorte de phrase subordonnée introduite par « OM … TE » (signifiant « POUR » devant les verbes), les compléments (« dan » et « steendood ») intercalés entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « VALLEN », la particule « NEER » précédant directement le « TE » et suivant ces mêmes compléments.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 22 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 21B - Rajouté le 02/07/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « In een laatste poging (om haar mannetje Motha te redden), springt het wijfje eekhoorn (Mitho) naar voren om de lynx achter haar aan te lokken » (« Dans une dernière tentative pour sauver son mâle, la femelle écureuil saute en avant pour attirer le lynx derrière elle »).
On y trouve notamment le verbe « AANlokken », dit « à particule séparable », construit sur l’infinitif « LOKKEN ».
On peut avoir en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit avec, par exemple, comme ici, le « TE » qui s’intercale entre eux.
On y a aussi, dans une sorte de phrase subordonnée introduite par « OM … TE » (signifiant « POUR » devant les verbes), les compléments (« de lynx » et « achter haar ») intercalés entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « LOKKEN », la particule « AAN » précédant directement le « TE » et suivant ces mêmes compléments.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 21 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 21A - Rajouté le 01/07/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Werktuigelijk, volgen zijn ogen de pogingen van het wijfje eekhoorn (Mitho) om de aandacht van de lynx af te leiden » (« Machinalement, ses yeux suivent les tentatives de la femelle écureuil pour détourner l’attention du lynx »).
On y trouve notamment le verbe « AFleiden », dit « à particule séparable », construit sur l’infinitif « LEIDEN ».
On peut avoir en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit avec, par exemple, comme ici, le « TE » qui s’intercale entre eux.
On y a aussi, dans une sorte de phrase subordonnée introduite par « OM … TE » (signifiant « POUR » devant les verbes), les compléments (« de aandacht » et « van de lynx ») intercalés entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « LEIDEN », la particule « AF » précédant directement le « TE » et suivant ces mêmes compléments.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 21 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 20C - Rajouté le 30/06/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Door vlugge sprongen van links naar rechts, tracht zij de aandacht van de lynx af te leiden » (« Par des bonds rapides de gauche à droite, elle essaie de détourner l’attention du lynx »).
On trouve notamment dans cette phrase un « TE », engendré par le verbe « trachten », précédant l’infinitif « AFLEIDEN », qui est en fait un verbe dit à « particule séparable » puisque que le « TE » s’intercale entre la particule séparable « AF » et la forme verbale proprement dite « LEIDEN »..
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Door vlugge sprongen van links naar rechts »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « ZIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « tracht ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 20 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 20B - Rajouté le 29/06/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij (Mitho) komt aangelopen (…) en loopt wanhopig om hem (Motha) heen en weer » (« Elle arrive en courant et marche en tournoyant = tourne, désespérée, autour de lui »).
On y trouve la forme verbale « AANgelopen », participe passé provenant du verbe « AANlopen » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur l’infinitif « LOPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « AANlopen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGElopen ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’infinitif. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Cette tournure de phrase n’est pas fréquente ; elle fait un peu penser à la « forme progressive » : « Hij komt AAN HET lopen», rendue en anglais par un participe PRESENT : « He comes running ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 20 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 20A - Rajouté le 28/06/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Niettegenstaande zijn hevige pijn, trekt hij (Sid) met kracht het touw aan » (« Malgré sa forte douleur, il tire avec force la corde »).
On y trouve notamment, la forme verbale « trekt … AAN », provenant du verbe « AANtrekken » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « TREKKEN ».
Quand « AANtrekken » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit et son REJET, derrière les compléments (« met kracht » et « het touw »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Niettegenstaande zijn hevige pijn »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « HIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « TREKT ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 20 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 19D - Rajouté le 27/06/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zoiets = zo iets is nog nooit in de vallei voorgekomen » (« Quelque chose comme cela n’est encore jamais arrivé dans la vallée »).
On y trouve notamment la forme verbale « VOORgekomen », participe passé provenant de l’infinitif « VOORkomen », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « KOMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé « GEKOMEN » se construit sur l’INFINITIF du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Quand « VOORgekomen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « VOOR » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « voorGEkomen ».
Le participe passé « VOORgekomen » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« nog nooit » et « in de vallei »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 19 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 19C - Rajouté le 26/06/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De eekhoorn (Motha) voelt zich aangetrokken tot (= door) die man, die zo ongelukkig lijkt » (« L’écureuil se sent attiré par cet homme, qui semble tellement malheureux »).
On y trouve notamment la forme verbale « AANgetrokken », participe passé provenant de l’infinitif « AANtrekken », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « TREKKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé « GETROKKEN » se construit sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Quand « AANtrekken » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGEtrokken ».
Le participe passé « AANgetrokken » aurait dû faire l’objet d’un REJET, derrière le complément (« tot die man »), à la fin de la phrase. Mais, dans la mesure où « MAN » induit une phrase subordonnée relative (« die zo ongelukkig lijkt »), le participe passé n’occupe pas la place qui lui est habituellement réservée.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 19 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 19B - Rajouté le 25/06/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Sid) lijdt geweldig terwijl hij zich in de diepte van zijn schuilplaats terugtrekt » (« Il souffre terriblement tandis qu’il se retire dans la profondeur de sa cachette »).
On y trouve notamment, dans la deuxième phrase, la forme verbale « TERUGtrekt », provenant du verbe « TERUGtrekken » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « TREKKEN ».
Quand « TERUGtrekken » est conjugué, cela entraîne normalement en néerlandais une séparation de la particule « TERUG » de son infinitif proprement dit et son REJET, derrière les compléments (« in de diepte » et « van zijn schuilplaats »), à la fin de la phrase, comme en témoigne la variante suivante : « Hij trekt zich in de diepte van zijn schuilplaats terug ».
Si cela n’a pas été le cas ici c’est parce que nous sommes dans le contexte d’une phrase subordonnée, où la forme verbale, ne se trouvant plus à côté de son sujet, fait l’objet d’un REJET à la fin de la phrase, la particule séparable se recollant en première position (comme dans le cas de l’infinitif).
Rappelons aussi que l’on peut former certains noms en rajoutant la terminaison « -TE » à l’adjectif »): « diep » + « TE » => « diepTE ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 19 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 19A - Rajouté le 24/06/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zijn dorst tracht hij te lessen door op bladeren te kauwen » (« Sa soif, il essaie de l’étancher, par (le fait) de mâcher sur des feuilles = en mâchant des feuilles »).
La construction de cette phrase est assez « lourde » et 2 (deux) « TE » y sont engendrés, précédant chacun un infinitif.
Le premier « TE » est engendré par le verbe « trachten ».
Le second « TE » est engendré par la préposition « DOOR ».
Rappelons que « het blad » peut avoir deux pluriels différents. En tant que « feuille d’arbre », il est irrégulier : « bladEREN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 19 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 18H - Rajouté le 23/06/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Heeft hij (de man) je niet geholpen ? » (« L’homme ne t’a-t-il pas aidé ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEHOLPEN », participe passé provenant de l’infinitif « HELPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEHOLPEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« JE »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas qu’une phrase interrogative (ou question) ne débutant PAS par un mot interrogatif, commencera généralement en langue néerlandaise par le VERBE.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 18 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 18G - Rajouté le 22/06/2014

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De valk, aan wie niets ontsnapt, valt onverwachts aan » (« Le faucon, à qui rien n’échappe, attaque de façon inattendue = à l’improviste »).
On y trouve, dans la phrase principale, la forme verbale « valt … AAN », O.T.T. (ou « présent ») provenant de l’infinitif « AANvallen » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « VALLEN ».
Quand « AANvallen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit et elle fait l’objet d’un REJET, notamment derrière le complément (« de onverwachts »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 18 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 18F - Rajouté le 21/06/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Daar de man onbeweeglijk blijft, sluipt het (kruipdier) sissend nader » (« Etant donné que l’homme reste immobile, le reptile approche en rampant et en sifflant »).
On y trouve notamment la forme verbale « sluipt … NADER », indicatif présent inspiré de l’expression à l’infinitif « NADER komen » … en 2 (deux) mots.
« NADER » réagit comme une « particule séparable » et, étant affectée par le phénomène du « REJET », passe derrière le complément (« sissend »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (la phrase subordonnée « Daar de man onbeweeglijk blijft » joue ici ce rôle), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « HET ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « SLUIPT ») et passant donc derrière lui.
N’oublions pas non plus que le participe présent en néerlandais se construit en ajoutant simplement un « D » à l’infinitif : « SISSEN » => « sissenD ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 18 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 18E - Rajouté le 20/06/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De eekhoorn voelt dat hij verloren is » (« L’écureuil sent qu’il est perdu »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « VERLOREN », participe passé construit sur le verbe « VERLIEZEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit et, dans ce cas, est identique. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 18 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 18D - Rajouté le 19/06/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een beetje bevreesd, besnuffelt hij de hand van de man » (« Un peu apeuré, il renifle la main de l’homme »).
On y trouve notamment la forme verbale « bevreesd » (utilisé ici comme adjectif), participe passé provenant de l’infinitif (disparu ?) « BEVREZEN », lui-même construit sur l’infinitif « VREZEN ».
Ce verbe « VREZEN » est considéré comme « régulier » ; comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « S », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison du participe passé.
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Een beetje bevreesd » joue ici ce rôle), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « HIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « BESNUFFELT ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 18 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 18C - Rajouté le 18/06/2014

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Soms als ze vergeten worden, helpen ze de gewassen zich voort te planten » (« Parfois, quand elles sont oubliées, elles aident la végétation à se perpétuer »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « VERGETEN », participe passé provenant de l’infinitif « VERGETEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Cette phrase subordonnée est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
Si les formes verbales du participe passé et de l’infinitif « VERGETEN » sont identiques, c’est un peu par hasard. Mais rappelons tout de même que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (la phrase subordonnée « Soms als ze vergeten worden » joue ici ce rôle), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « ZE ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « HELPEN ») et passant donc derrière lui.
Notez que le verbe « HELPEN » n’exige pas un « TE ». On aurait donc dû (ou pu) avoir la variante suivante : « Ze (de vergeten noten) helpen de gewassen zich voortplanten. » Mais cela aura eu ici le mérite d’attirer notre attention sur le fait que le verbe « VOORTplanten » est à « particule séparable ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 18 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 18B - Rajouté le 17/06/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Noten worden ter plaatse begraven » (« Des noix sont enterrées sur place »).
On y trouve notamment la forme verbale « BEGRAVEN », participe passé provenant de l’infinitif « BEGRAVEN », lui-même construit sur le verbe « GRAVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
Si les formes verbales du participe passé et de l’infinitif « BEGRAVEN » sont identiques, c’est un peu par hasard. Mais rappelons tout de même que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 18 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 18A - Rajouté le 16/06/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Nauwelijks is de dag aangebroken of de eekhoorns voorraden verzamelen » (« A peine le jour s’est-il levé que les écureuils rassemblent des provisions »).
On y trouve notamment la forme verbale « AANgebroken », participe passé provenant de l’infinitif « AANbreken », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « BREKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « AANbreken » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGEbroken ».
Notez que c’est une phrase subordonnée qui est engendrée par « Nauwelijks » ; elle est introduite par « OF » : cela explique pourquoi le verbe « verzamelen » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément « VOORRADEN » à la fin de la phrase et n’est donc plus à côté de son sujet (« de eekhoorns »).
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 18 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 17E - Rajouté le 15/06/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Sid) heeft enkele droge grashalmen en twijgjes uitgerukt » (« Il a arraché quelques brindilles et brins d’herbe secs »).
On y trouve notamment la forme verbale « UITgerukt », provenant de l’infinitif « UITrukken » (dit « à particule séparable »), lui-même conjugué sur « RUKKEN », considéré comme « régulier ».
Comme la grande majorité des verbes néerlandais, le verbe « RUKKEN » n’est pas affecté par les « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera le « T » minoritaire. La forme verbale « uitGErukt » est bien à « particule séparable » puisque le « GE » du participe passé s’intercale entre la particule « UIT » et la forme verbale proprement dite.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 17C - Rajouté le 14/06/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De lynx komt steeds nader » (« Le lynx vient toujours plus proche = se rapproche toujours davantage »).
On y trouve notamment la forme verbale « komt … NADER », indicatif présent provenant de l’expression à l’infinitif « NADER komen » … en 2 (deux) mots.
« NADER » réagit comme une « particule séparable » et, étant affectée par le phénomène du « REJET », passe derrière le complément (« steeds »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 17B - Rajouté le 13/06/2014

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zijn hand (Sid’s hand) glijdt naar zijn revolver maar hij trekt ze vlug terug » (« Sa main glisse vers son revolver mais il la retire vite »).
On y trouve notamment, dans la deuxième phrase, la forme verbale « trekt … TERUG », provenant du verbe « TERUGtrekken » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « TREKKEN ».
Quand « TERUGtrekken » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERUG » de son infinitif proprement dit et son REJET, derrière les compléments (« vlug » et « terug »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 17A - Rajouté le 12/06/2014

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Als hij (is) uitgehongerd is, zal hij niet aarzelen een weerloze man aan te vallen » (« S’il est affamé, il ne va pas hésiter à attaquer un homme sans défense »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « UITgehongerd », provenant de l’infinitif « UIThongeren » (dit « à particule séparable »), lui-même conjugué sur « HONGEREN », considéré comme « régulier ».
Comme la grande majorité des verbes néerlandais, le verbe « HONGEREN » n’est pas affecté par les « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire. La forme verbale « uitGEhongerd » est à « particule séparable » puisque le « GE » du participe passé s’intercale entre la particule « UIT » et la forme verbale proprement dite.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (la phrase subordonnée « Als hij uitgehongerd is » joue ici ce rôle), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « HIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « ZAL ») et passant donc derrière lui.
Le verbe « AARZELEN » introduit ici une sorte de phrase subordonnée et engendre un « TE » qui précède (comme en français) l’infinitif « AANVALLEN » mais, comme il s’agit d’un verbe dit « à particule séparable », le « TE » s’intercale entre la particule « AAN » et l’infinitif proprement dit « VALLEN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 16F - Rajouté le 11/06/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het verleden was vergeten » (« Le passé était oublié »).
On y trouve aussi la forme verbale « VERGETEN », participe passé (utilisé au plus-que-parfait) provenant, par hasard, du même infinitif « VERGETEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Signalons dès lors que, si « VERGETEN » est ici au V.T.T. (ou passé composé), il aurait été écrit de la même façon au pluriel de l’O.T.T. (ou indicatif présent), qui équivaut, rappelons-le, à l’INFINITIF. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 16E - Rajouté le 10/06/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wij waren gelukkig » (« Nous étions heureux »).
On y trouve la forme verbale « WAREN », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que ce pluriel « waRen » est tout à fait irrégulier puisque son singulier est « waS ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 16D - Rajouté le 09/06/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Alles ging te goed » (« Tout allait trop bien »).
On y trouve la forme verbale « GING », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « GAAN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 16C - Rajouté le 08/06/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Met een kreet van pijn zinkt hij onmiddelijk weer neer » (« Avec un cri de douleur, il se laisse retomber à nouveau immédiatement »).
On y trouve la forme verbale « zinkt … NEER », construite sur le verbe « NEERzinken » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « ZINKEN ».
Quand « NEERzinken » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « NEER » de son infinitif proprement dit, faisant l’objet d’un REJET derrière les compléments (« onmiddelijk » et « weer »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Met een kreet van pijn »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « HIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « ZINKT ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 16B - Rajouté le 07/06/2014

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Meer dood dan levend komt hij bij de eekhoorn (Mitho) die zijn verwondingen aflikt » (« Plus mort que vivant = vif, il vient auprès de Mitho, qui lèche ses blessures »).
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Meer dood dan levend »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « HIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « komt ») et passant donc derrière lui.
On y trouve également, dans la phrase subordonnée relative, la forme verbale « AFlikt », provenant de l’infinitif « AFlikken » (verbe à « particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « LIKKEN ».
Si « AFlikken » ne s’était pas trouvé dans une phrase subordonnée, cela aurait entraîné une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit et elle aurait fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« zijn verwondingen »), à la fin de la phrase : « Mitho likt zijn verwondingen AF ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 16A - Rajouté le 06/06/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een raaf (…) komt aangewipt (in een wip) om hem zijn prooi te betwisten » (« Un corbeau vient en un tournemain pour lui disputer sa proie »).
On y trouve notamment la forme verbale « AANgewipt », participe passé utilisé ici comme « adjectif » provenant de l’infinitif « AANwippen », verbe dit « à particule séparable ».
Ce verbe est donc considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « P », on trouvera le « T » minoritaire.
Quand « AANwippen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGEwipt ».
Dans une sorte de phrase subordonnée introduite par « OM … TE » (signifiant « POUR » devant les verbes), le complément « HEM » s’intercale entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « BETWISTEN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 15I - Rajouté le 05/06/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maar voordat de roofvogel hem met een slag van zijn snavel kan doden, gebeurt het onverwachte » (« Mais, avant que le rapace puisse le tuer d’un coup de son bec, l’inattendu se produit »).
On y trouve, dans la phrase principale, le « nom » découlant de l’adjectif, découlant lui-même de la forme verbale « (ON)verwacht » (participe passé provenant de l’infinitif « VERWACHTEN », conjugué lui-même sur « WACHTEN »).
Ce verbe « (VER)WACHTEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant déjà par la consonne « T », on trouvera, bien sûr, un « T » (au lieu du « D » majoritaire) mais un seul.
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (la phrase subordonnée « Maar voordat de roofvogel hem met een slag van zijn snavel kan doden » joue ici ce rôle), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « het onverwachte ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « gebeurt ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 15 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 15H - Rajouté le 04/06/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maar de valk, gewend zich op vliegende prooien te werpen, heeft alle moeite om de kleine eekhoorn vast te houden » (« Mais le faucon, habitué à se jeter sur des proies volantes = qui volent, a toutes les peines à maintenir le petit écureuil »).
On y trouve notamment le verbe « VASThouden », dit « à particule séparable », construit sur l’infinitif « HOUDEN ».
Dans une sorte de phrase subordonnée introduite par « OM … TE » (signifiant « POUR » devant les verbes), la particule « VAST » s’intercale entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « HOUDEN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 15 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 15G - Rajouté le 03/06/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De angstkreet van Mitho voorkomt niet dat hij (Motha) (wordt) opgepikt wordt » (« Le cri de peur de Mitho ne prévient pas que Motha soit saisi = emporté »).
On y trouve notamment la forme verbale « OPgepikt », provenant de l’infinitif « OPpikken » (dit « à particule séparable »), lui-même conjugué sur « PIKKEN », considéré comme « régulier ».
Comme la grande majorité des verbes néerlandais, le verbe « PIKKEN » n’est pas affecté par les « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera le « T » minoritaire. La forme verbale « opGEpikt » est bien à « particule séparable » puisque le « GE » du participe passé s’intercale entre la particule « OP » et la forme verbale proprement dite.
Le participe passé « OPgepikt » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« door de valk »), à la fin de la phrase subordonnée.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de « ZIJN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 15 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 15F - Rajouté le 02/06/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Met de vleugels tegen het lichaam, laat hij zich als een steen op zijn prooi vallen » (« Avec les ailes contre le corps : les ailes le long du corps, il se laisse tomber comme une pierre sur sa proie »).
On y trouve notamment la double forme verbale « laat … vallen » et le verbe « vallen » réagissant comme une « particule séparable.
Le verbe « VALLEN » fait en effet ici l’objet d’un REJET après « LATEN » (ce qui se passe systématiquement après la première personne du PLURIEL de l’impératif »), derrière les compléments (« als een steen » et « op zijn prooi »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Met de vleugels tegen het lichaam » joue ici ce rôle), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « HIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « laat ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 15 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 15E - Rajouté le 01/06/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zijn scherpe ogen hebben de kleine springende eekhoorn bemerkt » (« Ses yeux perçants ont remarqué = sa vue perçante a remarqué le petit écureuil saut(ill)ant »).
On y trouve notamment la forme verbale « bemerkt », participe passé provenant de l’infinitif « bemerken », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « BEMERKEN » est considéré comme « régulier » ; comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire) comme terminaison du participe passé.
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Le participe passé « BEMERKT » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« de kleine springende eekhoorn »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas non plus que le participe présent en néerlandais se construit en ajoutant simplement un « D » à l’infinitif : « SPRINGEN » => « springenD ». Ici, ce participe présent est utilisé comme adjectif épithète, se place donc devant le nom et, pour s’accorder, prend la terminaison majoritaire « E » => « springendE eekhoorn ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 15 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 15D - Rajouté le 31/05/2014

Description : La triple phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Daar deze niet beweegt, acht hij zich voldaan en (hij) keert (hij) zich terug bij zijn vrouwtje / wijfje (Mitho) (terug) » (« Comme celui-ci ne bouge pas, il s’estime satisfait et retourne chez sa femelle »).
On y trouve notamment dans la deuxième phrase, la forme verbale « VOLDAAN », participe passé provenant de l’infinitif « VOLDOEN » (qui n’est PAS à « particule séparable »), lui-même construit sur « DOEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve également, dans la troisième phrase, la forme verbale « keert … TERUG » provenant du verbe « TERUGkeren », verbe à « particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « KEREN ».
Quand « TERUGkeren » est conjugué, la particule « TERUG » se sépare donc de l’infinitif « KEREN » proprement dit.
Les deux phrases principales commençant par l’équivalent d’un complément (la phrase subordonnée « Daar deze niet beweegt »joue ici ce rôle), une INVERSION fait en sorte que le sujet (sous-entendu) « hij » passe derrière la forme verbale « keert » et la sépare donc ici de la particule « TERUG », qui aurait dû en outre faire l’objet d’un REJET, derrière le complément (« bij zijn wijfje »), à la fin de la phrase.
Cette particule « TERUG » est très fréquente en néerlandais puisqu’elle correspond au préfixe « RE- » (exemple : RE-venir), rendant la notion de RETOUR.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 15 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 15C - Rajouté le 30/05/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een klimmer ben ik niet omdat ik in de woestijn (ben) geboren ben » (« Un grimpeur, je ne suis pas = Je ne suis pas un grimpeur parce que je suis né dans le désert »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée (introduite par « OMDAT »), la forme verbale « GEBOREN », participe passé provenant d’un infinitif « disparu ».
Le participe passé « GEBOREN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« in de woestijn »), à la fin de la phrase subordonnée.
N’oublions pas que, dans une phrase subordonnée, la forme verbale « BEN » ne se trouve plus à côté de son pronom personnel sujet (« IK »). Si, au lieu de « OMDAT », l’on utilisait « WANT », l’ordre des mots serait resté le même qu’en langue française : « Een klimmer ben ik niet WANT ik BEN in de woestijn geboren ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 15 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 15B - Rajouté le 29/05/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij is er slecht aan toe » (« Il est mal arrangé »).
On y trouve notamment la forme verbale « is … TOE », provenant de l’infinitif « TOEzijn ».
La particule séparable « TOE » fait l’objet d’un REJET, derrière l’attribut (« SLECHT »), à la fin de la phrase.
Il est à noter que l’on aurait pu avoir la variante suivante, où l’adverbe pronominal n’aurait pas été « séparé » : « Hij is slecht ERaan toe ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 15 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 15A - Rajouté le 28/05/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij ligt op de grond uitgestrekt » (« Il gît étendu sur le sol »).
On y trouve notamment la forme verbale « UITgestrekt », participe passé provenant de l’infinitif « UITstrekken », lui-même construit sur l’infinitif « STREKKEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « STREKKEN » est donc considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera au participe passé un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Quand « UITSTREKKEN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « uitGEstrekt ».
Le participe passé « UITgestrekt » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« op de grond »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 15 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 14G - Rajouté le 27/05/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Als moedige familievader gaat hij op verkenning uit » (« En tant que père de famille courageux, il sort en reconnaissance »).
On y trouve notamment la forme verbale « gaat … UIT », construite sur le verbe « UITgaan » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « GAAN ».
Quand « UITgaan » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET derrière le complément (« op verkenning ») à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Als moedige familievader »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « HIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « GAAT ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 14 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 14F - Rajouté le 26/05/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Die liggende man is hier al vroeger geweest » (« Cet homme gisant a déjà été ici plus tôt = est déjà venu ici jadis »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEWEEST », participe passé provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEWEEST » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« hier », « al » et « vroeger »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 14 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 14E - Rajouté le 25/05/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het is een verrassing die zijn vrouwtje / wijfje (Mitho) hem tweemaal per jaar bezorgd » (« C’est une surprise que sa femelle lui fournit = fait deux fois par an »).
On y trouve notamment le participe passé « BEZORGD », utilisé ici comme une sorte d'adjectif attribut, provenant de l’infinitif « BEZORGEN ».
Ce verbe « BEZORGEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») ; il ne fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « G », on trouvera le « D » majoritaire.
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Le participe passé « BEZORGD » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« HEM » et « tweemaal per jaar »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 14 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 14D - Rajouté le 24/05/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je hebt nog geen blik voor jouw (je) nakomelingen overgehad » (« Tu n’as encore accordé aucun regard à tes rejetons »).
On y trouve notamment la forme verbale « OVERgehad », participe passé provenant de l’infinitif « OVERhebben », lui-même construit sur l’infinitif « HEBBEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « OVERgehad » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« geen blik » et « voor jouw nakomelingen »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 14 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 14C - Rajouté le 23/05/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De schildpad (Thora) is gerustgesteld » (« La tortue est rassurée »).
On y trouve notamment la forme verbale « GERUSTgesteld », participe passé provenant de l’infinitif « GERUSTstellen », lui-même construit sur l’infinitif « STELLEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe «GERUSTstellen » est aussi dit « à particule séparable » ; quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « GERUST » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « gerustGEsteld ».
Le participe passé « GERUSTgesteld » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« door de eekhoorn »), à la fin de la phrase.
Notez que l’on aurait pu avoir la variante, où « gerust » et la forme verbale de « STELLEN » seraient restés séparés, comme deux mots indépendants l’un de l’autre : « De schildpad (Thora) is gerustgesteld ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 14 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 14B - Rajouté le 22/05/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Bij het minste gerucht, trekt zij (Thora, de schildpad) haar kop onder de schaal terug » (« Au moindre bruit, elle retire = rentre sa tête dans sa carapace »).
On y trouve notamment la forme verbale « trekt … TERUG », provenant de l’infinitif « TERUGtrekken », verbe à « particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « TREKKEN ».
Quand ce verbe « TERUGtrekken » est conjugué, la particule « TERUG » se sépare donc de l’infinitif « TREKKEN » proprement dit et fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« haar kop » et « onder de schaal »), à la fin de la phrase.
Cette particule « TERUG » est très fréquente en néerlandais puisqu’elle correspond au préfixe « RE- » (exemple : RE-tourner), rendant donc la notion de RETOUR.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Bij het minste gerucht »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « ZIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « TREKT ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 14 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 14A - Rajouté le 21/05/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De eekhoorns zijn van nature lief en gaan graag met de andere dieren om » (« Les écureuils sont gentils de nature et tournent volontiers autour des autres animaux = fréquentent volontiers les autres animaux »).
On y trouve notamment la forme verbale « gaan … OM », provenant du verbe « OMgaan », dit « à particule séparable », construit sur l’infinitif « GAAN ».
La particule séparable « OM » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« GRAAG » et « met de andere dieren »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 14 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 13D - Rajouté le 20/05/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Motha, de kleine eekhoorn maakt aanstalten om naar zijn verblijfplaats terug te keren » (« Le petit écureuil s’apprête pour = à retourner à son domicile »).
On y trouve notamment le verbe « TERUGkeren », dit « à particule séparable », construit sur l’infinitif « KEREN ».
La particule séparable « TERUG » est très fréquente en néerlandais puisqu’elle correspond au préfixe « RE- » rendant la notion de RETOUR.
On peut avoir en néerlandais une séparation de la particule « TERUG » de son infinitif proprement dit avec, par exemple, comme ici, le « TE » qui s’intercale entre eux.
On y trouve donc en effet, dans une sorte de phrase subordonnée introduite par « OM … TE » (signifiant « POUR » devant les verbes), le complément (« naar zijn verblijfplaats ») intercalé entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « KEREN ».
Notez l’expression « aanstalten maken ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 13 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 13C - Rajouté le 19/05/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maar hij is er toch tegen zon en regen beschermd » (« Mais il y est tout de même protégé du soleil et de la pluie »).
On y trouve notamment, dans le complément qui introduit une sorte de phrase subordonnée, la forme verbale « beschermd », provenant de l’infinitif « BESCHERMEN ».
Ce verbe est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « M », on trouvera la terminaison « D » majoritaire.
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Le participe passé « beschermd » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« ER », « TOCH » et « tegen zon en regen »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 13 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 13B - Rajouté le 18/05/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik moet mijn heup (hebben) ontwricht hebben » (« Je dois ma hanche avoir démis = J’ai dû me démettre la hanche »).
On y trouve notamment la forme verbale « ONTwricht », participé passé provenant de l’infinitif « ONTwrichten ».
Ce verbe « ONTwrichten » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant déjà par la consonne « T », on trouvera donc a fortiori un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « ONT- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Le participe passé « ontwricht » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« mijn heup »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 13 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 13A - Rajouté le 17/05/2014

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « In zijn haast heeft hij deze slecht vastgeknoopt en hij stort neer » (« Dans sa hâte, il a mal fait les nœuds et il tombe »).
On y trouve notamment, dans la première phrase, la forme verbale « VASTgeknoopt », participe passé de l’infinitif « VASTknopen », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « KNOPEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « KNOPEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « P », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Quand « vastKNOPEN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « VAST » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « vastGEknoopt ».
Le participe passé « vastGEknoopt » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« deze » et « slecht ») à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« In zijn haast »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « HIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « HEEFT ») et passant donc derrière lui.
On y trouve également, dans la deuxième phrase, la forme verbale « valt … NEER », qui provient d’un infinitif « NEERvallen » (dit « à particule séparable »), construit sur le verbe « vallen ».
Quand « NEERvallen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « NEER » de son infinitif proprement dit et son REJET, derrière le complément éventuel (« in de vallei »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 13 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 12F - Rajouté le 16/05/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik ga dat pak ophalen voordat er een nieuwe liefhebber op afkomt » (« Je vais chercher ce paquet avant qu’un nouvel amateur se précipite dessus »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale (l’infinitif) « OPhalen », verbe dit « à particule séparable » construit sur le verbe « HALEN ».
Si on ne s’était pas trouvé dans une phrase au « futur proche » (où « GAAN », jouant le rôle de « ZULLEN » rejette l’autre forme verbale, « OPhalen » à la fin de la phrase), c’est la « particule séparable » « OP » qui aurait fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« dat pak »), à la fin de la phrase. Dans une phrase au présent, on aurait en effet donc eu : « Ik haal dat pak OP. »
On y trouve également, dans la phrase subordonnée (introduite par « VOORDAT »), la forme verbale « AFkomt », provenant de l’infinitif « AFkomen », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « KOMEN ».
Si on ne s’était pas trouvé dans une phrase subordonnée (où les formes verbales sont séparées de leur sujet et rejetées à la fin), la « particule séparable » « AF » aurait, elle, fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« EROP »), à la fin de la phrase. S’il s’était agi de l’ordre traditionnel des mots dans la phrase, on aurait en effet donc eu : « Een nieuwe liefhebber komt erop AF. »
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 12 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 12E - Rajouté le 15/05/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze hebben mijn kano geplunderd » (« Ils ont pillé mon canoë »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEPLUNDERD », participe passé provenant de l’infinitif « PLUNDEREN ».
Ce verbe « PLUNDEREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et ne fait pas partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « R », on trouvera LE « D » majoritaire.
Le participe passé « GEPLUNDERD » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« mijn kano »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 12 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 12D - Rajouté le 14/05/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De canyon is door bossen omringd » (« Le canyon est entouré de bois »).
On y trouve notamment la forme verbale « OMRINGD », participe passé provenant de l’infinitif « OMRINGEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le verbe « OMRINGEN » N’est PAS « à particule séparable » puisque, quand il est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela n’entraîne pas une séparation de la particule « OM » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) NE s’intercalant PAS entre eux ».
Le participe passé « OMRINGD » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« door bossen »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 12 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 12C - Rajouté le 13/05/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Inmiddels doorsnuffelen de beide grizzlies de zakken met eetwaren » (« Entretemps, les deux grizzlys continuent à fouiller les sacs de nourriture »).
On y trouve notamment la forme verbale « doorsnuffelen », construit sur l’infinitif « snuffelen », qui N’est PAS « à particule séparable » puisque, quand il est conjugué, cela n’entraîne pas une séparation de la particule « DOOR » de son infinitif proprement dit et son REJET, derrière le complément (« de zakken met eetwaren »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Inmiddels »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de beide grizzlies ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « doorsnuffelen ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 12 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 12B - Rajouté le 12/05/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Onder het gewicht van de twee beren glijdt de kano plotseling te water » (« Sous le poids des deux ours, le canoë glisse soudain dans l’eau »).
On y trouve notamment la forme verbale « glijdt … te water », provenant de l’infinitif « glijden ».
Dans la mesure où « TE WATER » semble faire l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« de kano » et « plotseling »), à la fin de la phrase, on pourrait avoir l’impression que « TE WATER » réagit comme une « particule séparable ». Ce n’est pas du tout le cas : nous avons affaire à une vieille forme de « IN HET water », donc à un troisième complément.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Onder het gewicht van de twee beren »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de kano ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « glijdt ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 12 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 12A - Rajouté le 11/05/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Op de oever hebben echter twee onvoorziene gasten de kano ontdekt » (« Sur la rive, deux hôtes imprévus ont en fait découvert le canoë »).
On y trouve notamment la forme verbale « ONTDEKT », participe passé provenant de l’infinitif « ONTDEKKEN ».
Ce verbe « ONTDEKKEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « ONT- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Signalons dès lors que, si « ONTDEKT » est ici au V.T.T. (ou passé composé), il aurait été écrit de la même façon à l’O.T.T. (ou indicatif présent).
Le participe passé « ONTDEKT » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« de kano »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Op de oever »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « twee onvoorziene gasten ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « hebben ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 12 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 11G - Rajouté le 10/05/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Mijn kano heeft geen sporen nagelaten » (« Mon canoë n’a laissé aucune trace »).
On y trouve notamment la forme verbale « NAgelaten », participe passé provenant de l’infinitif « NAlaten », lui-même construit sur le verbe « LATEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « NAlaten » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « NA » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « naGElaten ».
Le participe passé « NAgelaten » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« geen sporen »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 11F - Rajouté le 09/05/2014

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik zal mij hier verbergen tot hij opnieuw is gepakt » (« Je vais me cacher ici jusqu’à ce qu’il soit à nouveau pris »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « ZAL », provenant de l’infinitif « ZULLEN », auxiliaire utilisé pour indiquer que l’on se trouve au futur simple.
N’oublions pas que « ZULLEN », auxiliaire utilisé pour indiquer que l’on se trouve au futur simple, exige le REJET de l’autre verbe (« verbergen »), à l’infinitif, derrière les compléments (ici « mij » et « hier »), à la fin de cette première phrase.
Nous avons rendu en français cet auxiliaire par un « futur proche », moins déroutant pour les francophones.
On y trouve également, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « GEPAKT », participe passé provenant de l’infinitif « PAKKEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « PAKKEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera comme terminaison au participe passé un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
S’il y a ici REJET de la forme verbale « IS », derrière le complément « opnieuw », c’est parce qu’il s’agit d’une phrase subordonnée (introduite par « TOT » = « totdat »).
Le participe passé « GEPAKT » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« opnieuw »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 11E - Rajouté le 08/05/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De vaart schijnt haar eindeloos toe » (« La navigation lui semble sans fin = interminable »).
On y trouve notamment la forme verbale « schijnt … TOE », provenant du verbe « TOEschijnen », construit sur l’infinitif « SCHIJNEN ».
Le verbe « TOEschijnen » est dit « à particule séparable ». Il y REJET de la particule séparable « TOE », derrière les compléments (« haar » et « eindeloos »), à la fin de la phrase principale.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 11D - Rajouté le 07/05/2014

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij (Bessy) is gedwongen geweest zich op een boomstronk met de stroom te laten meedrijven » (« Elle a été obligée de se laisser dériver sur un tronc d’arbre avec le courant »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « GEWEEST », participe passé provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEWEEST » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« in dit geval »), à la fin de cette phrase principale.
On y trouve notamment la forme verbale « GEDWONGEN », participe passé (utilisé ici comme adjectif attribut) provenant de l’infinitif « DWINGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Cette forme verbale « GEDWONGEN » est, comme on le voit, construite sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez notamment notre tableau de synthèse « Temps primitifs » dans la partie « GRAMMATICA » de ce site.)
Le verbe « DWINGEN » génère un « TE » (précédant « laten meedrijven ») introduisant une sorte de phrase subordonnée infinitive.
Notez que le verbe « MEEdrijven » est dit « à particule séparable ». S’il était conjugué, il y aurait REJET de la particule séparable « MEE », derrière le complément (« op een boomstronk »), à la fin de la phrase : « De stroom drijft haar op een boomstronk MEE ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 11C - Rajouté le 06/05/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze (Bessy) is erin niet geslaagd de steile oever te beklimmen » (« Elle n’a pas réussi à escalader la rive escarpée »).
On y trouve notamment la forme verbale « GESLAAGD », participe passé provenant de l’infinitif « SLAGEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « SLAGEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) ; il ne fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « G », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison du participe passé.
Le participe passé « GESLAAGD » fait l’objet d’un REJET, derrière le « ERin » et « niet », à la fin de la phrase.
L’expression « ERIN SLAGEN » équivalant, en mauvais français, à « réussir DE », et qui engendre un « TE » quand il précède un infinitif comme, ici, « BEKLIMMEN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 11B - Rajouté le 05/05/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze is er al eerder afgegleden » (« Elle en a plutôt glissé »).
On y trouve notamment la forme verbale « AFgegleden », participe passé de l'infinitif « AFglijden », lui-même construit sur le verbe « GLIJDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « AFglijden » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « afGEgleden ».
Le participe passé « afGEgleden » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« eerder »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 11A - Rajouté le 04/05/2014

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Uit de sporen van Bessy’s val van de rotswand, leidt hij af wat er (is) voorgevallen is » (« Des traces de la chute de Bessy de la falaise, il déduit ce qui s’est passé »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « leidt … AF », provenant de l’infinitif « AFleiden », lui-même construit sur le verbe « LEIDEN ».
Quand « AFleiden » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, et elle ferait l’objet (si on n’était pas trouvé dans une phrase commençant par les compléments) d’un REJET, derrière ces mêmes compléments (« Uit de sporen van Bessy’s val van de rotswand »), à la fin de la phrase principale, comme en témoigne la variante suivante : « Hij leidt uit de sporen van Bessy’s val van de rotswand AF (…) ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Uit de sporen van Bessy’s val van de rotswand »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « HIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « LEIDT ») et passant donc derrière lui.
On trouve également, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « VOORgevallen », participe passé provenant de l’infinitif « VOORvallen », lui-même construit sur le verbe « VALLEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « VOORvallen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « VOOR » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « voorGEvallen ».
Le participe passé « VOORgevallen » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« DAN »), à la fin de la phrase subordonnée.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 10F - Rajouté le 03/05/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Sid) betaalt de prijs voor een bewogen verleden » (« Il paie le prix pour un passé mouvementé »).
On y trouve notamment la forme verbale « BEWOGEN », participe passé (utilisé ici comme adjectif épithète) provenant de l’infinitif « BEWEGEN », lui-même construit sur l’infinitif « WEGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
« BEWOGEN » est donc bien un participe passé même si sa forme verbale est identique au pluriel de l’O.V.T. (ou « prétérit »).
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 10 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 10E - Rajouté le 02/05/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij zal vlug worden gepakt » (« Il va vite être repris »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEPAKT », participe passé provenant de l’infinitif « PAKKEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « PAKKEN », est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
Le participe passé « GEPAKT » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« VLUG »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 10 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 10D - Rajouté le 01/05/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maar dat alles komt terug » (« Mais tout cela revient = reviendra »).
On y trouve notamment la forme verbale « komt … TERUG », construite sur le verbe « TERUGkomen » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « KOMEN ».
Quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERUG » de son infinitif proprement dit et le REJET de la particule, derrière le complément éventuel « later »), à la fin de la phrase.
Rappelons que « TERUG » rend une notion de retour ou de répétition.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 10 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 10C - Rajouté le 30/04/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ondertussen is hij van de hele geschiedenis op de hoogte gebracht » (« Entretemps, il est mis au courant de toute l’histoire »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEBRACHT », participe passé provenant de l’infinitif « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEBRACHT » est construit sur le SINGULIER du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « GEBRACHT » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« van de hele geschiedenis » et « op de hoogte »), à la fin de la phrase.
Notez l’expression « op de hoogte brengen » : « être mis à la hauteur » = « être mis au courant ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Ondertussen »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (« HIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (« IS ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 10 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 10B - Rajouté le 29/04/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De hond (Bessy) wordt onmiddellijk met (door) de stroom meegesleurd » (« Le chien est immédiatement emporté par le courant »).
On y trouve notamment la forme verbale « MEEgesleurd », provenant de l’infinitif « MEEsleuren » (dit « à particule séparable »), lui-même conjugué sur « SLEUREN », considéré comme « régulier ».
Comme la grande majorité des verbes néerlandais, le verbe « SLEUREN » n’est pas affecté par les « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire. La forme verbale « meeGEsleurd » est à « particule séparable » puisque le « GE » du participe passé s’intercale entre la particule « MEE » et la forme verbale proprement dite.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« onmiddellijk » et « met de stroom »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 10 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 10A - Rajouté le 28/04/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij schiet zodra de hond (Bessy) uit de bocht te voorschijn komt » (« Il tire dès que le chien apparaît hors de la courbe = sort du tournant »).
L’expression « te voorschijn » (en deux mots ou un mot) ne doit pas être confondue avec une « particule séparable » puisqu’elle précède souvent la forme verbale.
Elle a tendance à être remplacée par l’infinitif « VERSCHIJNEN » : « Hij schiet zodra de hond uit de bocht verschijnt ».
N’oublions pas que, dans une phrase subordonnée (introduite ici par « ZODRA »), les formes verbales sont séparées de leur sujet et font l’objet d’un REJET à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 10 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 9F - Rajouté le 27/04/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Vervloekt dier ! Met jou zal ik vlug (hebben) afgerekend hebben ! » (« Maudit animal ! / Maudite bête ! Avec toi, je vais vite régler ton affaire = Je vais vite te régler ton compte ! = J’aurai tôt fait de te régler ton compte ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERVLOEKT », participe passé (utilisé ici comme adjectif épithète) provenant de l’infinitif « VERVLOEKEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « VERVLOEKEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera au participe passé un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
On y trouve également la forme verbale « AFgerekend », participe passé (utilisé au futur antérieur) provenant de l’infinitif « AFrekenen », lui-même construit sur le verbe « REKENEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « AFrekenen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « afGErekend ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Met jou »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « IK ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « ZAL ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 9E - Rajouté le 26/04/2014

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Deze stuurt zijn paard op een rotswand af die steil in de rivier afdaalt » (« Celui-ci dirige son cheval vers une paroi rocheuse qui descend à pic dans la rivière »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « stuurt … AF », provenant de l’infinitif « AFsturen », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « STUREN ».
La « particule séparable » « AF » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« zijn paard » et « op een rotswand »), à la fin de la phrase.
On y trouve également, dans la phrase subordonnée (introduite par « DIE »), la forme verbale « AFdaalt », provenant de l’infinitif « AFdalen », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « DALEN ».
Si on ne s’était pas trouvé dans une phrase subordonnée (où les formes verbales sont séparées de leur sujet et rejetées à la fin), la « particule séparable » « AF » aurait, elle, fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« in de rivier »), à la fin de la phrase. S’il s’était agi de l’ordre traditionnel des mots dans la phrase, on aurait en effet donc eu : « De rotswand daalt steil in de rivier af. »
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 9D - Rajouté le 25/04/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Instinctmatig heeft de hond (Bessy) de achtervolging van Tim Parsons ingezet » (« Instinctivemen, Bessy a entamé la poursuite de Tim Parsons »).
On y trouve la forme verbale « INgezet », V.T.T. (ou participe passé) provenant de l’infinitif « INzetten » (dit « à particule séparable »), construit sur le verbe « ZETTEN », considéré comme « régulier ».
Comme la grande majorité des verbes néerlandais, le verbe « ZETTEN » n’est pas affecté par les « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « T », on trouvera de toutes façons le « T » minoritaire comme terminaison du participe passé.
La forme verbale « inGEzet » est bien à « particule séparable » puisque le « GE » du participe passé s’intercale entre la particule « IN » et la forme verbale proprement dite.
Le participe passé « INgezet » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« de achtervolging van Tim Parsons »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Instinctmatig »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « Bessy ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « heeft ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 9C - Rajouté le 24/04/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Al verborg hij zich in de hel ! = Alhoewel hij zich in de hel verborg !» (« Même s’il se cachait dans l’enfer ! »).
On y trouve la forme verbale « VERBORG », prétérit (ou O.V.T.) provenant de l’infinitif « VERBERGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il y a ici une nuance de conditionnel et INVERSION du verbe et du sujet puisque l’on se trouve en quelque sorte dans une phrase débutant par un complément.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 9B - Rajouté le 23/04/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Verrast, draait hij (Tim Parsons) zich (om) » (« Surpris, Tim Parsons se retourne »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERRAST », participe passé (utilisé ici comme une sorte d’attribut) provenant de l’infinitif « VERRASSEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « VERRASSEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « S », on trouvera au participe passé un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
On y trouve également la forme verbale « draait zich (… OM) », provenant du verbe « zich OMdraaien », construit sur l’infinitif « DRAAIEN ».
Le verbe « OMdraaien » étant dit « à particule séparable », il y aurait REJET de la particule séparable « OM », derrière le complément éventuel (« naar hem = naar Andy »), à la fin de la première phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 9A - Rajouté le 22/04/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Werp jouw (je) wapen weg ! » (« Ecarte = Jette ton arme ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « werp … WEG », impératif provenant de l’infinitif « WEGwerpen » (verbe dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « WERPEN ».
Cette « particule séparable » « WEG » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« jouw wapen »), à la fin de la phrase.
La particule séparable « WEG » exprime une notion d’éloignement et provient du nom « chemin ». On pourrait comprendre « Werp jouw wapen weg ! » par « Ecarte ton arme du chemin ! ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 8H - Rajouté le 21/04/2014

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik wist dat iets verdachts zou gebeuren » (« Je savais que quelque chose de suspect se produirait = allait se produire »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « WIST » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant du verbe « WETEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve également, dans la phrase subordonnée (introduite par « DAT ») la forme verbale « ZOU » provenant de l’auxiliaire du conditionnel présent « ZOUDEN » (en quelque sorte le prétérit ou O.V.T. de « ZULLEN »).
Rappelons que ce verbe « ZOUDEN » n’est qu’un indicateur que l’on se trouve au mode conditionnel mais n’a, en principe, aucune traduction en langue française. Dans ce cas-ci, on peut le remplacer par le verbe « ALLER » …
N’oublions pas que, dans les phrases subordonnées néerlandaises, TOUTES les formes verbales (dont « ZOU ») font l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « iets verdachts »), à la fin de la phrase subordonnée.
On y trouve l’adjectif « verDACHT », ancienne forme verbale au participe passé (et prétérit) provenant de l’infinitif « verDENKEN », lui-même construit sur le verbe « DENKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons en effet que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Quand un adjectif (même provenant d’un ex-participe passé) suit « IETS », on ajoute exceptionnellement un « S » à sa fin => « verdachtS ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 8 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 8G - Rajouté le 20/04/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Andy) heeft zich niet ver van de hoeve verwijderd » (« Il ne s’est pas écarté loin = éloigné de la ferme »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERwijderd », participe passé provenant de l’infinitif « VERwijderen ».
Ce verbe « VERwijderen » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « R », on trouvera comme terminaison du participe passé le « D » majoritaire.
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Le participe passé « VERWIJDERD » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« niet ver » et « van de hoeve »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 8 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 8F - Rajouté le 19/04/2014

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik ben ontvlucht en ik ga de grens over = ik zal de grens overgaan » (« Je me suis enfui et je vais franchir la frontière »).
On y trouve notamment, dans la première phrase, la forme verbale « ONTVLUCHT », participe passé provenant de l’infinitif « ONTVLUCHTEN », construit sur le verbe « VLUCHTEN » qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « ONTluchten » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant déjà par la consonne « T », on trouvera d’autant plus comme terminaison du participe passé un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « ONT- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Signalons dès lors que, si « ONTvlucht » est ici au V.T.T. (ou passé composé), il aurait été écrit de la même façon à l’O.T.T. (ou indicatif présent).
Le participe passé « ONTVLUCHT » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« van de gevangenis »), à la fin de la première phrase.
On y trouve également, dans la deuxième phrase, la forme verbale « ga … OVER » (avec une nuance de futur), provenant de l’infinitif « OVERgaan », verbe à « particule séparable ».
Quand ce verbe « OVERgaan » est conjugué, la particule « OVER » se sépare donc de l’infinitif « GAAN » proprement dit et fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« de grens »), à la fin de la phrase.
On y trouve également, dans la deuxième phrase (avec une nuance de futur), la forme verbale « ga … OVER », provenant du verbe « OVERgaan », construit sur l’infinitif « GAAN ».
Le verbe « OVERgaan » est dit « à particule séparable ». Il y REJET de la particule séparable « OVER » (ancienne préposition), derrière le complément (« de grens »), à la fin de la phrase principale.
On aurait pu trouver la variante suivante, où le rôle de la préposition « OVER » apparaît plus clairement : « Ik ga OVER de grens ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 8 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 8E - Rajouté le 18/04/2014

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Door zijn verraad is mijn aanval mislukt en dat bezorgde mij vier jaar gevangenis » (« Par = à cause de sa trahison, mon attaque a échoué et cela me procura = valut quatre ans de prison »).
On y trouve notamment, dans la première phrase, la forme verbale « MISlukt » participe passé provenant du verbe « MISlukken », qui se construit sur l’infinitif « LUKKEN ».
Ce verbe « MISlukken » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera comme terminaison du participe passé le « T » majoritaire.
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « MIS- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Le participe passé « MISlukt » aurait fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« door zijn verraad »), à la fin de la phrase si ce complément n’avait pas débuté cette même phrase. On aurait en effet eu : « Mijn aanval is door zijn verraad mislukt. »
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Door zijn verraad »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « mijn aanval ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « IS ») et passant donc derrière lui.
On y trouve également, dans la deuxième phrase, la forme verbale « BEZORGDE », à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant de l’infinitif « BEZORGEN ».
Ce verbe « BEZORGEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « G », on trouvera comme terminaison du prétérit le « -DE » majoritaire.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 8 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 8D - Rajouté le 17/04/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het was voor mij dat hij een eerlijke man (is) geworden is » (« C’était pour moi qu’il est devenu un honnête homme »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « WAS » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant du verbe « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve également, dans la phrase subordonnée (introduite par « DAT »), la forme verbale « GEWORDEN », participe passé provenant de l’infinitif « WORDEN », qui fait aussi l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé « GEWORDEN » se construit sur l’INFINITIF. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Dans la mesure où la forme verbale « GEWORDEN » figure dans une phrase subordonnée, elle fait l'objet d'un REJET (comme son auxiliaire d’ailleurs), derrière le complément (« een eerlijke man »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 8 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 8C - Rajouté le 16/04/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het was voor mij dat hij zijn leven (heeft) veranderd heeft » (« C’était pour moi qu’il a changé sa vie »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « WAS » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant du verbe « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve également, dans la phrase subordonnée (introduite par « DAT »), la forme verbale « VERANDERD », participe passé provenant de l’infinitif « VERANDEREN ».
Ce verbe « VERANDEREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « R », on trouvera comme terminaison du participe passé le « D » majoritaire.
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Dans la mesure où la forme verbale « VERANDERD » figure dans une phrase subordonnée, elle fait l'objet d'un REJET (comme son auxiliaire d’ailleurs), derrière le complément (« zijn leven »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 8 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 8B - Rajouté le 15/04/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het was mijn schuld » (« C’était ma faute »).
On y trouve notamment la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 8 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 8A - Rajouté le 14/04/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Weet je nog dat hij mij in de steek (heeft) gelaten heeft » (« Sais-tu encore = te rappelles-tu qu’il m’a laissé dans le pétrin ? »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « GELATEN », participe passé provenant de l’infinitif « LATEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé « GELATEN » se construit sur l’INFINITIF. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « GELATEN » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« MIJ » et « in de steek »), à la fin de la phrase.
Notez l’expression « in de steek laten ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 8 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 7F - Rajouté le 13/04/2014

Description : La phrase suivante, inachevée (= dont une partie n’a pas pu être exprimée) est grammaticalement intéressante : « Ik wist niet dat je bezig was » (« Je ne savais pas que tu étais occupée »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « WIST » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant du verbe « WETEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve également, dans la phrase subordonnée (introduite par « DAT »), la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Dans la mesure où la forme verbale « WAS » figure dans une phrase subordonnée, elle fait l'objet d'un REJET, derrière le « complément » (« bezig »), à la fin de la phrase.
Notez l'expression « BEZIG zijn ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 7 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 7E - Rajouté le 12/04/2014

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je wordt gezocht en ik heb het recht te schieten » (« Tu es cherché => recherché et j'ai le droit de tirer »).
On y trouve notamment, dans la première phrase, la forme verbale « GEZOCHT », participe passé provenant de l’infinitif « ZOEKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEZOCHT » est construit sur le SINGULIER du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « GEZOCHT » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« door de politie »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 7 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».N'oublions pas que, dans une phrase subordonnée, la forme verbale (« ONTDEKTE »), est séparée de son sujet (« IK ») et fait l'objet d'un REJET, derrière le complément (« JE »), à la fin de la phrase subordonnée.
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 7D - Rajouté le 11/04/2014

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Draai je om en steek jouw armen omhoog ! » (« Tourne-toi et lève tes bras en l'air ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « draai … OM », à l'impératif (il en aurait été de même à la première personne du singulier de l'indicatif présent) provenant du verbe « OMdraaien », construit sur l’infinitif « DRAAIEN ».
Le verbe « OMdraaien » est dit « à particule séparable ». Il y a REJET de la particule séparable « OM », derrière le complément éventuel (« naar mij »), à la fin de la première phrase.
On y trouve notamment la forme verbale « steek … OMHOOG », à l'impératif (il en aurait été de même à la première personne du singulier de l'indicatif présent) provenant du verbe « OMHOOGsteken », construit sur l’infinitif « STEKEN ».
Le verbe « OMHOOGsteken » est dit « à particule séparable ». Il y a REJET de la particule séparable « OMHOOG », derrière le complément (« jouw armen »), à la fin de la deuxième phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 7 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 7C - Rajouté le 10/04/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb hem gedwongen weg te gaan » (« Je l'ai obligé à partir »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEDWONGEN », participe passé provenant de l’infinitif « DWINGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Cette forme verbale « GEDWONGEN » est, comme on le voit, construite sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez notamment notre tableau de synthèse « Temps primitifs » dans la partie « GRAMMATICA » de ce site.)
Le participe passé « GEDWONGEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« HEM »), à la fin de la phrase principale.
On y trouve également la forme verbale « WEG (te) gaan », provenant de l’infinitif « WEGgaan » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « GAAN ».
Quand « WEGgaan » est « conjugué » (comme ici après « DWINGEN »), cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « WEG » de son infinitif proprement dit, l'équivalent français du « DE » s’intercalant entre eux => « weg TE gaan », mots isolés (pas comme dans le participe passé où la particule « GE- », intercalée, est bien collée aux deux parties de la forme verbale : « wegGEgaan »).
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 7 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 7B - Rajouté le 09/04/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het heeft een hele tijd geduurd voordat ik je ontdekte » (« Cela a duré tout un temps avant que je te découvre »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « geDUURd », participe passé provenant de l’infinitif « DUREN ».
Ce verbe « DUREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « R», on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison du participé passé.
On y trouve également, dans la phrase subordonnée (introduite par « voorDAT »), la forme verbale « ONTDEKTE », prétérit provenant de l’infinitif « ONTDEKKEN ».
Ce verbe « ONTDEKKEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera au prétérit une terminaison « -TE » (au lieu du « -DE » majoritaire).
N'oublions pas que, dans une phrase subordonnée, la forme verbale (« ONTDEKTE »), est séparée de son sujet (« IK ») et fait l'objet d'un REJET, derrière le complément (« JE »), à la fin de la phrase subordonnée.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 7 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 7A - Rajouté le 08/04/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De ruiter houdt op een hoogte halt » (« Le cavalier tient = fait halte sur une hauteur »).
On y trouve notamment la forme verbale « HOUDT … halt », provenant de l’infinitif « HOUDEN ».
« Halt houden » est une expression, où le nom commun « halt » se conduit comme une particule séparable (REJET, après le complément « op een hoogte », à la fin de la phrase) mais ce n’est PAS un verbe à particule séparable …
Notez aussi que l'on peut construire certains noms à partir d'adjectifs : « HOOG » + « -TE » => « hoogTE ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 7 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 6F - Rajouté le 07/04/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je hebt de ruiter gezien » (« Tu as vu le cavalier »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEZIEN », participe passé provenant de l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’infinitif. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « GEZIEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« de ruiter »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 6E - Rajouté le 06/04/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Vader is net weggegaan » (« Père vient de s’en aller »).
On y trouve notamment la forme verbale « WEGgegaan », provenant de l’infinitif « WEGgaan » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « GAAN ».
Quand « WEGgaan » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « WEG » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « wegGEgaan ».
Le participe passé « wegGEgaan » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« NET »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 59 VALLEI EEKHOORNS 6D - Rajouté le 05/04/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « 'S Anderendaags hakt hij (Andy) bomen op de heuvel achter het huis om » (« Le lendemain, il abat des arbres sur la colline derrière la maison »).
On y trouve notamment la forme verbale « hakt … OM », provenant du verbe « OMhakken », construit sur l’infinitif « HAKKEN ».
Le verbe « OMhakken » est dit « à particule séparable ». Il y a REJET de la particule séparable « OM », derrière les compléments (« bomen », « op de heuvel » et « achter het huis »), à la fin de la phrase principale.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« 'S Anderendaags », une forme tombée en désuétude), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « HIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « HAKT ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL VALLEI EEKHOORNS 59 6C - Rajouté le 04/04/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb u begrepen » (« Je vous ai comprise »).
On y trouve notamment la forme verbale « begrepen », participe passé provenant de l’infinitif « begrijpen », lui-même construit sur le verbe « GRIJPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « begrepen » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« U »), à la fin de la phrase.
Il est à noter que ce participe passé « begrepen » se construit sur le pluriel du prétérit ou O.V.T. et, dans ce cas-ci, est même identique (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Rappelons en effet que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe «  BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe «  GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Notons que le verbe, correspondant en néerlandais à « comprendre avec son intelligence », devrait plutôt être « VERSTAAN » (en relation avec le nom commun « VERSTAND »).
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL VALLEI EEKHOORNS 59 6B - Rajouté le 03/04/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Alhoewel ik je heel dankbaar ben voor hetgeen je (hebt) gedaan hebt » (« Même si je te suis très reconnaissante pour ce que tu as fait »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEDAAN », participe passé provenant de l’infinitif « DOEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Dans cette phrase subordonnée, le participe passé « GEDAAN » est séparé de son sujet (« IK ») et fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« voor hetgeen »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL VALLEI EEKHOORNS 59 6A - Rajouté le 02/04/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Mijn vraag lijkt misschien onbescheiden toe » (« Ma question semble peut-être indiscrète »).
On y trouve notamment la forme verbale « lijkt … TOE », provenant du verbe « TOElijken », construit sur l’infinitif « LIJKEN ».
Le verbe « TOElijken » est dit « à particule séparable ». Il y a REJET de la particule séparable  « TOE », derrière les « compléments » (« misschien » et « onbescheiden »), à la fin de la phrase principale.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL VALLEI EEKHOORNS 59 5D 2 - Rajouté le 01/04/2014

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Geen dag gaat voorbij of haar moeder gaat twee- of driemaal de rots op » (« Aucun jour ne se passe sans que sa mère gravisse deux ou trois fois le rocher »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « gaat … VOORBIJ », provenant d'un verbe « VOORBIJgaan », qui n'existe pas mais qui aurait pu être construit sur l’infinitif « GAAN ».
Alors que « VOORBIJ » n'est PAS une « particule séparable », il y a REJET, derrière le complément éventuel (« SNEL »), à la fin de la phrase principale.
On y trouve également, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « gaat … OP », provenant du verbe « OPgaan », construit sur l’infinitif « GAAN ».
Le verbe « OPgaan » est dit « à particule séparable ». Il y a REJET de la particule séparable  « OP », derrière les compléments (« twee- of driemaal » et « de rots »), à la fin de la phrase subordonée.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 5 et 2 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL VALLEI EEKHOORNS 59 5C - Rajouté le 31/03/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Andy) staat elke morgen vroeg op om het werk op het land te doen » (« Il se lève chaque matin tôt pour faire le travail au champ»).
On y trouve notamment la forme verbale « staat … OP », provenant du verbe « OPstaan », construit sur l’infinitif « STAAN ».
Le verbe « OPstaan » est dit « à particule séparable ». Il y a REJET de la particule séparable  « OP », derrière les compléments (« elke morgen » et « VROEG »), à la fin de la phrase principale.
On y trouve également, dans une sorte de phrase subordonnée introduite par « OM … TE » (signifiant « POUR » devant les verbes), les compléments (« het werk » et « op het land ») intercalés entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « DOEN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL VALLEI EEKHOORNS 59 5B - Rajouté le 30/03/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze schijnt altijd zeer bezorgd » (« Elle semble toujours très préoccupée = soucieuse »).
On y trouve notamment le participe passé « bezorgd », utilisé ici comme une sorte d'adjectif attribut,  provenant de l’infinitif « BEZORGEN ».
Ce verbe « BEZORGEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») ; il ne fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « G », on trouvera le « D » majoritaire.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL VALLEI EEKHOORNS 59 5A - Rajouté le 29/03/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik ging dikwijls met vader en moeder het bos in » (« Je m'engageais souvent dans le bois avec père et mère»).
On y trouve la forme verbale « ging … IN », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « INgaan » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « GAAN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « INgAAn » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « IN » de son infinitif proprement dit et elle fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« dikwijls », « met vader en moeder » et « het bos »), à la fin de la phrase.
On aurait pu trouver la variante suivante où « IN » aurait joué son simple rôle de préposition introduisant le complément : « Ik ging dikwijls met vader en moeder IN het bos ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL VALLEI EEKHOORNS 59 4G - Rajouté le 28/03/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb hier alles zelf gedaan » (« J'ai ici tout fait moi-même »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEDAAN », participe passé provenant de l’infinitif « DOEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEDAAN » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« HIER » et «  ALLES »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 4 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL VALLEI EEKHOORNS 59 4F - Rajouté le 27/03/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik lig ziek te bed of eerder overspannen ! » (« Je suis couché malade au lit = alité ou plutôt surmené»).
On y trouve notamment la forme verbale « overspannen », participe passé (utilisé ici comme une sorte d'adjectif attribut) provenant de l’infinitif « OVERSPANNEN », provenant de l’infinitif « SPANNEN » qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Nous constatons que, quand « « OVERSPANNEN » est conjugué, il n'y a PAS séparation de la particule « OVER » de son infinitif proprement dit et nous pouvons dès lors en conclure que ce verbe « OVERSPANNEN » n'est PAS « à particule séparable ».
Le participe passé est donc identique au pluriel de l'indicatif présent.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 4 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL VALLEI EEKHOORNS 59 4E - Rajouté le 26/03/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Mijn man zal heel verheugd zijn met u kennis te maken » (« Mon mari sera très réjoui de faire connaissance avec vous = de faire votre connaissance»).
On y trouve notamment le participe passé « verheugd », utilisé ici comme une sorte d'adjectif attribut,  provenant de l’infinitif « VERHEUGEN ».
Ce verbe « VERHEUGEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») ; il ne fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « G », on trouvera le « D » majoritaire.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 4 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL VALLEI EEKHOORNS 59 4D - Rajouté le 25/03/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Neem me niet kwalijk maar we wonen hier zo afgelegen ! » (« Ne m'en veuillez pas mais nous vivons ici tellement situés à l'écart = retirés = isolés »).
On y trouve notamment la forme verbale « AFgelegen », ancien participe passé (utilisé comme une sorte d'adjectif attribut) provenant d'un infinitif « AFliggen » (n'existant plus), lui-même construit sur « LIGGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « AFliggen » était conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraînait en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, la particule «  GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « afGElegen ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 4 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL VALLEI EEKHOORNS 59 4C - Rajouté le 24/03/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb over je horen spreken toen we in Watona verbleven » (« J'ai entendu parler de toi quand nous séjournions à Watona »).
La phrase principale est au passé composé et la forme verbale de « HOREN » aurait dû être au participe passé mais on a ici affaire à ce que l’on appelle le « double infinitif », solution intéressante pour éviter les « temps primitifs » (ce qui n'aurait pas été le cas de « HOREN » engendrant GEhoorD ») quand on ne les maîtrise pas.
Les deux infinitifs font l’objet d’un REJET, derrière le complément (« OVER JE »), à la fin de la phrase.
On y trouve également, dans la phrase subordonnée (introduite par « TOEN ») la forme verbale « VERBLEVEN », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « VERBLIJVEN », lui-même construit sur « BLIJVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que « TOEN » introduit des phrases subordonnées au passé, prenant la relève de « WANNEER » ou « ALS », qui les introduisent au présent.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 4 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL VALLEI EEKHOORNS 59 4B - Rajouté le 23/03/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik had uw hoeve ontdekt » (« J'avais découvert votre ferme »).
On y trouve notamment la forme verbale « HAD », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « HEBBEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Cet auxiliaire « HEBBEN » est ici utilisé au temps composé du V.V.T. (plus-que-parfait).
On y trouve également la forme verbale « ONTDEKT », participe passé provenant de l’infinitif « ONTDEKKEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « ONTDEKKEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « ONT- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe «  GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Signalons dès lors que, si «  ONTDEKT » est ici au V.T.T. (ou passé composé), il aurait été écrit de la même façon aux deuxième ou troisième personnes de l’O.T.T. (ou indicatif présent).
Le participe passé « ONTDEKT » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« in de verte »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 4 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL VALLEI EEKHOORNS 59 4A - Rajouté le 22/03/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Verontschuldig mij mevrouw indien ik u heb laten schrikken » (« Veuillez m'excuser, madame, si je vous ai effrayée »).
La phrase est, en fait, au passé composé et la forme verbale de « LATEN » aurait dû être au participe passé mais on a ici affaire à ce que l’on appelle le « double infinitif », solution intéressante pour éviter les « temps primitifs » quand on ne les maîtrise pas.
Les deux infinitifs font l’objet d’un REJET, derrière le complément (« U »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 4 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL VALLEI EEKHOORNS 59 3B - Rajouté le 21/03/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wie kan op het rare idee (zijn) gekomen zijn zich hier te vestigen ? » (« Qui est capable d'être venu à l'idée bizarre = Qui a eu l'idée bizarre de s'installer ici ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEKOMEN », participe passé provenant de l’infinitif « KOMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEKOMEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément («  op het rare idee »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 3 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL VALLEI EEKHOORNS 59 3A - Rajouté le 20/03/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij (Bessy) springt vlug vooruit » (« Elle bondit rapidement en avant »).
On y trouve notamment la forme verbale « springt … VOORUIT », provenant du verbe « VOORUITspringen », construit sur l’infinitif « SPRINGEN ».
Le verbe « VOORUITspringen » est dit « à particule séparable ». Il y REJET de la particule séparable  « VOORUIT », derrière le « complément » (« VLUG »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 3 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL VALLEI EEKHOORNS 59 2B - Rajouté le 19/03/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Andy) heeft in de verte een menselijke gestalte op een rots bemerkt » (« Il a aperçu au loin une silhouette humaine sur un rocher »).
On y trouve notamment la forme verbale « bemerkt », participe passé provenant de l’infinitif « BEMERKEN ».
Ce verbe « BEMERKEN » est considéré comme « régulier » ; comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire) comme terminaison du participe passé.
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe «  GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Ce participe passé « bemerkt » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« in de verte », « een menselijke gestalte » et « op een rots »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 2 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL VALLEI EEKHOORNS 59 2A - Rajouté le 18/03/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij (Bessy) kijkt met ongeduld toe, hoe haar meester een reeks twijgen in een grond steekt » (« Elle regarde avec impatience comment son maître enfonce une série de rameaux dans un terrain »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « kijkt … TOE », provenant du verbe « TOEkijken », construit sur l’infinitif « KIJKEN ».
Le verbe « TOEkijken » est dit « à particule séparable ». Il y REJET de la particule séparable  « TOE », derrière le complément (« met ongeduld »), à la fin de la phrase principale.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 2 dans « De vallei der (van de) eekhoorns », le volume N°59 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 28E - Rajouté le 17/03/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « En dank zij de erecode van jager en wild genieten Robert en Bertrand van de herwonnen vrijheid » (« Et grâce au code d'honneur de chasseur et gibier, Robert et Bertrand jouissent de la liberté regagnée = reconquise = recouvrée »).
On y trouve notamment la forme verbale « HERwonnen », participe passé (ou V.T.T.) du verbe « HERwinnen, lui-même construit sur l’infinitif « WINNEN », faisant partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il faut aussi signaler que le participe passé de « WINNEN » se construit normalement sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
« HERwinnen » N’est cependant PAS un verbe dit « à particule séparable », sans quoi on aurait dû / pu avoir le suffixe « GE-» comme dans  « GEwonnen », participe passé de « WINNEN ». Au prétérit (dont le pluriel est identique au participe passé), on aurait eu, par exemple : « Robert en Bertrand herwonnen hun vrijheid. ».
Rappelons donc que si un verbe commence par le préfixe « HER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe «  GE- », commun à la majorité d’entre eux.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 28D - Rajouté le 16/03/2014

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je weet dat de vloer vermolmd is en (dat) de planken los liggen / losliggen » (« Tu sais que le plancher est vermoulu et que les planches sont mal fixées / détachées »).
On y trouve notamment, la forme verbale « vermolmd », participé passé provenant de l’infinitif « VERMOLMEN ».
Ce verbe « VERMOLMEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « M », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison du participé passé.
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe «  GE- », commun à la majorité d’entre eux.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 28C - Rajouté le 15/03/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maar waarom vroeg je speciaal om dievenkar (boevenwagen) nummer twee ? » (« Mais pourquoi demandais-tu spécialement le fourgon à voleurs = le panier à salade numéro deux ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « VROEG », O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « VRAGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 28B - Rajouté le 14/03/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Die planken liggen los » (« Ces planches sont mal fixées / détachées »).
On y trouve notamment la forme verbale « liggen … LOS », provenant du verbe « LOSliggen » (qui n'existe aparemment plus), dit « à particule séparable », construit sur le verbe « LIGGEN ».
On en trouve le participe présent « losliggend » et on aurait donc pu s'attendre à la variante suivante : « Die planken zijn LOSliggenD ».
Quand « losLIGGEN » était conjugué, comme au présent, cela entraînait en néerlandais une séparation de la particule « LOS » de sa forme verbale proprement dite, la particule faisant l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« op de grond »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 28A - Rajouté le 13/03/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een jager wordt beloond voor een geslaagde jacht » (« Un chasseur est récompensé pour une chasse réussie »).
On y trouve notamment la forme verbale « BELOOND », participe passé provenant de l’infinitif « BELONEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « BELONEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) ; il ne fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « N », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison du participe passé.
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe «  GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
On y trouve également la forme verbale « GESLAAGD », participe passé (utilisé ici comme adjectif épithète) provenant de l’infinitif « SLAGEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « SLAGEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) ; il ne fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « G », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison du participe passé.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 27F - Rajouté le 12/03/2014

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We zijn de man, die zijn leven liet, iets verschuldigd » (« Nous sommes redevables de quelque chose à l'homme qui laissa = sacrifia sa vie »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « VERSCHULDIGD », participe passé provenant d'un infinitif « VERSCHULDIGEN », qui n'existe apparemment plus et qui NE faisait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « VERSCHULDIGEN » disparu peut être considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) ; il ne faisait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire.
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe «  GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Le participe passé « VERSCHULDIGD » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« de man » et « IETS » ), à la fin de la phrase.
Notons que l'on aurait pu avoir la variante suivante, plus courante, mettant à contribution l'expression « SCHULDIG ZIJN » : « We zijn de man, die zijn leven liet, iets schuldig ».
On trouve aussi, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « LIET », prétérit provenant de l’infinitif « LATEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
N'oublions pas que, dans une phrase subordonnée, le verbe est séparé de son sujet (ici «DIE ») et fait l'objet d'un REJET, derrière le complément («  zijn leven »), à la fin de la phrase (subordonnée).
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 27 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 27E 23 - Rajouté le 11/03/2014

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De Engelsen zijn afgevaren en het leger werd teruggetrokken » (« Les Anglais ont appareillé et l'armée a été retirée »).
On y trouve, dans la première phrase, la forme verbale « AFgeVAREN », participe passé provenant de l’infinitif « AFVAREN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « AFvaren » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, la particule «  GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « afGEvaren ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’infinitif. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé (« afGEvaren ») fait l’objet d’un REJET, derrière le complément sous-entendu (« van de haven »), à la fin de la phrase.
On y trouve, dans la deuxième phrase, la forme verbale « TERUGgeTROKKEN », participe passé du verbe « TERUGtrekken » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « TREKKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « TERUGtrekken » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERUG » de son infinitif proprement dit, la particule «  GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « terugGEtrokken ».
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé (« terugGEtrokken ») fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« van de fabriek »), à la fin de la phrase.
Cette deuxième phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 27 et 23 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 27D - Rajouté le 10/03/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Plots komt hij (Joeki) eveneens aangelopen » (« Soudain, il vient = arrive également en courant »).
On y trouve la forme verbale « AANgelopen », participe passé provenant du verbe « AANlopen » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur l’infinitif « LOPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « AANlopen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule «  GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGElopen ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’infinitif. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Cette tournure de phrase n’est pas fréquente ; elle fait un peu penser à la « forme progressive » : « Hij komt AAN HET lopen», rendue en anglais par un participe PRESENT : « He comes running ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« PLOTS »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « HIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « KOMT ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 27 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 27C - Rajouté le 09/03/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb eerbied voor wat hier (is) gebeurd is » (« J'ai du respect pour ce qui s'est passé ici »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEBEURD », participe passé provenant de l’infinitif « GEBEUREN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « GEBEUREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) ; il ne fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire.
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence déjà par le préfixe « GE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe «  GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Le participe passé « GEBEURD » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« VOOR WAT » et « HIER » ), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 27 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 27B - Rajouté le 08/03/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Jack) heeft zijn dapperheid met zijn leven moeten bekopen ! » (« Il a dû payer son courage avec = de sa vie ! »).
La phrase est, en fait, au passé composé et la forme verbale de « MOETEN » aurait dû être au participe passé mais on a ici affaire à ce que l’on appelle le « double infinitif », solution intéressante pour éviter les « temps primitifs » quand on ne les maîtrise pas.
Les deux infinitifs font l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« zijn dapperheid » et « met zijn leven »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 27 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 27A - Rajouté le 07/03/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Deerlijk verbrand slaagt hij (Jack) erin Nol buiten de vuurpoel aan de oppervlakte te brengen » (« Gravement brûlé, il réussit à apporter Nol hors de la nappe de feu à la surface»).
On y trouve l’expression « ERIN SLAGEN » équivalant, en mauvais français, à « réussir DE », et qui engendre un « TE » quand il précède un infinitif comme, ici, « BRENGEN».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 27 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 26D - Rajouté le 06/03/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maar plots komt hij (Jack), door de vuurgloed gelokt, aangerend  » (« Mais soudain vient Jack accouru = arrive Jack au pas de course, attiré par la chaleur du feu = le brasier »).
On y trouve notamment le REJET de la forme verbale « aanGErend », participe passé (alors que l’on aurait pu s’attendre à un participe présent) provenant de l’infinitif « AANrennen », lui-même construit sur le verbe « RENNEN » (PAS affecté par les « temps primitifs »), derrière le complément (« door de vuurgloed gelokt »), à la fin de la phrase.
Ce verbe « RENNEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « N », on trouvera le « D » majoritaire.
Ce verbe « AANrennen » est aussi dit « à particule séparable » ; quand il est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule «  GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGErend ».
On y trouve également la forme verbale « geLOKt », participe passé provenant du verbe « LOKKEN ».
Ce verbe « LOKKEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera une terminaison en « T » (au lieu du « D » majoritaire).
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 26 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 26C - Rajouté le 05/03/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Nol) is verloren !» (« Il est perdu ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERLOREN », participe passé construit sur le verbe « VERLIEZEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe «  GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit et, dans ce cas, est identique. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 26 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 26B - Rajouté le 04/03/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Terwijl hij (Nol) naar de diepte zinkt, vatten de vaten aan boord vlam » (« Pendant qu'il coule vers le fond, les tonneaux à bord s'enflamment = prennent feu »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « vatten » et, faisant l'objet d'un REJET derrière le complément (« aan boord »), à la fin de la phrase, le nom « VLAM ».
On serait tenté de croire que l'on a affaire à un verbe dit « à particule séparable », « VLAM » réagissant comme une «  particule séparable ».
Ce n'est pas le cas même si l'expression « VLAM vatten » réagit de la même façon.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (la phrase subordonnée « Terwijl Nol naar de diepte zinkt » joue ici ce rôle), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de vaten ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « vatten ») et passant donc derrière lui.
Notez la prononciation différente du verbe « vaTTen » et du nom « vat » (het) au pluriel : « vaTen ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 26 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 26A - Rajouté le 03/03/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij is haast door het vuur ingesloten ! » (« Il est presque enfermé = encerclé par le feu !»).
On y trouve notamment la forme verbale « INgesloten », participe passé provenant de l’infinitif « INsluiten », lui-même construit sur l’infinitif « SLUITEN », affecté par les « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « INsluiten » est aussi dit « à particule séparable » ; quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « IN » de son infinitif proprement dit, la particule «  GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « inGEsloten ».
Le participe passé « inGEsloten » fait l’objet d’un REJET derrière les compléments (« haast » et « door het vuur »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 26 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 25B - Rajouté le 01/03/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Houd op, snullemans ! » (« Arrête, nullard !»).
On trouve, dans cette courte phrase à l'impératif, la forme verbale « Houd … op », provenant du verbe « OPhouden »(dit « à particule séparable »), lui-même construit sur l'infinitif « HOUDEN ».
Quand « OPhouden » est conjugué, la particule « OP » se sépare de son infinitif proprement dit et fait l'objet d'un REJET, derrière le complément éventuel (« nu »), à la fin de la phrase : « Houd nu OP ! ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 25A - Rajouté le 28/02/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ophalen, kraandrijver ! » (« Levez = Lever, grutier !»).
On trouve, dans cette courte phrase à l'impératif, une forme verbale de ce verbe « OPhalen » (dit « à particule séparable »), qui est identique à son infinitif.
On aurait pu avoir une variante où le verbe « OPhalen » aurait été « conjugué » et cela aurait entraîné une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, et son REJET, derrière le complément éventuel (« in de lucht »), à la fin de la phrase : « Haal mij, kraandrijver, in de lucht OP ! ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 24E - Rajouté le 27/02/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hoe halen we hem daar uit ? » (« Comment allons-nous le chercher hors de là = comment le retirons-nous de là ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « halen … UIT » provenant du verbe « UIThalen », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « HALEN ».
La particule séparable « UIT » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« HEM » et « DAAR »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 24 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 24D - Rajouté le 26/02/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij is door de vuurpoel ingesloten ! » (« Il est enfermé dans la mare = nappe de feu !»).
On y trouve notamment la forme verbale « INgesloten », participe passé provenant de l’infinitif « INsluiten », lui-même construit sur l’infinitif « SLUITEN », affecté par les « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « INsluiten » est aussi dit « à particule séparable » ; quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « IN » de son infinitif proprement dit, la particule «  GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « inGEsloten ».
Le participe passé « inGEsloten » fait l’objet d’un REJET derrière le complément (« door de vuurpoel »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 24 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 24C - Rajouté le 25/02/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je kan raden wat hij van plan was ! » (« Tu peux deviner ce qu'il avait en plan = quel était son projet !»).
On y trouve la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Dans la mesure où la forme verbale « WAS » figure dans une phrase subordonnée (introduite par « WAT »), elle fait l'objet d'un REJET, derrière le complément (« van plan »), à la fin de la phrase.
Notez l'expression « VAN plan zijn ».
N'oublions pas que dans une phrase commençant par un « AUXILIAIRE de MODE » (comme « KUNNEN »), l'autre verbe fait l'objet d'un REJET, derrière le complément éventuel (« gemakkelijk »), à la fin de la phrase : « Je kan gemakkelijk raden ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 24 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 24B - Rajouté le 24/02/2014

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Als hij (Nol) half verdoofd weer opduikt, doet de vernielde lantaarn de petroleum in brand vliegen » (« Quand, à moitié engourdi, il émerge à nouveau, la lanterne détruite fait voler le pétrole en feu = met le feu au pétrole »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « VERDOOFD », participe passé provenant de l’infinitif « VERDOVEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « VERDOVEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « F », on trouvera comme terminaison du participe passé le « D » majoritaire.
On y trouve également, à l’indicatif présent, dans une phrase subordonnée (où elle fait l'objet d'un REJET), la forme verbale « OPduikt», provenant de l’infinitif « OPduiken », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « DUIKEN ».
Dans une phrase « normale », la « particule séparable » « OP » devrait faire l’objet d’un REJET, à la fin de la phrase et cela aurait été plus évident si on avait eu l’ordre traditionnel des mots dans une phrase affirmative, où on aurait en effet eu « OP » derrière les compléments (« half verdoofd » et « weer ») : « hij (Nol) duikt weer, half verdoofd, OP. »
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (la phrase subordonnée « Als Nol half verdoofd weer opduikt » joue ici ce rôle), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de vernielde lantaarn ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « doet ») et passant donc derrière lui.
On y trouve encore, dans la phrase principale, la forme verbale « VERNIELD », participe passé (utilisé ici comme adjectif épithète) provenant de l’infinitif « VERNIELEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 24 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 24A - Rajouté le 23/02/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een paar vaten worden vernield » (« Une paire de = quelques tonneaux sont détruits »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERNIELD », participe passé provenant de l’infinitif « VERNIELEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « VERNIELEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « L », on trouvera comme terminaison du participe passé le « D » majoritaire.
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe «  VER- » (qui n’est PAS une « particule séparable »), son participe passé NE débutera PAS par le préfixe «  GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Le participe passé « VERNIELD » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« door de schok » ), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 24 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 23G - Rajouté le 22/02/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zodra de duisternis valt (,) zal ik toeslaan » (« Dès que l'obscurité tombe, je vais frapper »).
Dans la deuxième phrase (phrase principale), on a la forme verbale « ZAL », provenant de l’infinitif « ZULLEN », auxiliaire utilisé pour indiquer que l’on se trouve au futur simple.
N’oublions pas que « ZULLEN », auxiliaire utilisé pour indiquer que l’on se trouve au futur simple, exige le REJET de l’autre verbe (« toeslaan »), à l’infinitif, derrière le complément éventuel (« dadelijk »), à la fin de la phrase.
Nous avons rendu en français cet auxiliaire par un « futur proche », moins déroutant pour les francophones.
Ce verbe « toeslaan » est dit « à particule séparable » ; quand il est conjugué (par exemple à l'O.T.T.), cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TOE » de son infinitif proprement dit et elle fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« dadelijk »), à la fin de la phrase (principale), comme suit : « Ik sla TOE zodra de duisternis valt ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 23 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 23F - Rajouté le 21/02/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Nol) wordt hierdoor misleid » (« Il est induit en erreur par ceci »).
On y trouve notamment, dans la première phrase, la forme verbale « MISleid », participe passé provenant de l’infinitif « MISleiden », lui-même construit sur le verbe « LEIDEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « MISleiden » est donc considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant (déjà) par la consonne « D », on trouvera comme terminaison du participe passé le « D » majoritaire.
Le verbe « MISleiden » N'est PAS à « particule séparable » puisqu'aucun « GE » ne s’intercale au participe passé entre « MIS » et la forme verbale (« -LEID») proprement dite.
Ce participe passé « misleid » fait l’objet d’un REJET, derrière le « complément » (« hierdoor »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 23 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 23E - Rajouté le 20/02/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maar ze (noch Nol, de vagebonden of Nummer 17) weten niet dat de herrie de stakingbrekers heeft afgeschrikt » (« Maar ils ne savent pas que la bagarre a effrayé les briseurs de grève »).
On y trouve la forme verbale « AFgeschrikt », construite sur le verbe « AFschrikken » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « SCHRIKKEN ».
Ce verbe « SCHRIKKEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Quand « AFschrikken » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, la particule «  GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « afGEgeschrikt ».
Le participe passé « afGEschrikt » fait, aux temps composé, l'objet d'un REJET derrière le complément (« de stakingbrekers ») à la fin de la phrase .
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 23 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 23D - Rajouté le 19/02/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maar Nummer 17 speurt onvermoeibaar verder » (« Mais Numéro 17 enquête, infatigable, plus loin = poursuit inlassablement son enquête »).
On y trouve, à première vue, la forme verbale « speurt … VERDER », O.T.T. (ou indicatif présent) provenant du verbe « VERDER speuren », construit sur l’infinitif « SPEUREN ».
Un tel verbe « VERDER speuren » n’existe pas mais « VERDER » (comparatif de supériorité de « VER ») réagit comme une « particule séparable ».
Il y a REJET de « VERDER », derrière le complément (« onvermoeibaar »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 23 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 23C - Rajouté le 18/02/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Alles is tevergeefs geweest » (« Tout a été = s'est passé en vain => tous ces efforts ont été inutiles »).
On y trouve la forme verbale « GEWEEST », participe passé provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce participe passé « GEWEEST » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément («  tevergeefs »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 23 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 23B - Rajouté le 17/02/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De staking is verloren » (« La grève est perdue »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERLOREN », participe passé construit sur le verbe « VERLIEZEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe «  GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit et, dans ce cas, est identique. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 23 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 23A - Rajouté le 16/02/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De ratten trekken nu de fabriek binnen » (« Les rats pénètrent maintenant dans l'usine »).
On y trouve la forme verbale « trekken … BINNEN », provenant de l’infinitif « BINNENtrekken » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « TREKKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « BINNENtrekken » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « BINNEN » de son infinitif proprement dit et elle fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments («nu » et « de fabriek »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 23 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 22E - Rajouté le 15/02/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Nol) rent zonder om te kijken verder » (« Il court plus loin = poursuit sa course sans se retourner »).
On y trouve, à première vue, la forme verbale « rent … VERDER », O.T.T. (ou indicatif présent) provenant du verbe « VERDER rennen », construit sur l’infinitif « RENNEN ».
Un tel verbe « VERDER rennen » n’existe pas mais « VERDER » (comparatif de supériorité de « VER ») réagit comme une « particule séparable ».
Il y a REJET de « VERDER », derrière le complément (« zonder om te kijken »), à la fin de la phrase.
Par ailleurs, la préposition « ZONDER » introduit ici une sorte de subordonnée et engendre un « TE » qui précède l’infinitif « OMKIJKEN » mais, comme il s’agit d’un verbe dit « à particule séparable », le « TE » s’intercale entre la particule « OM » et l’infinitif proprement dit « KIJKEN ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 22 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 22D - Rajouté le 14/02/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Nol) wordt door twee politieagenten herkend en achtervolgd » (« Il est reconnu par deux agents de police et poursuivi »).
On y trouve notamment la forme verbale « HERKEND », participe passé provenant de l’infinitif « HERKENNEN », lui-même construit sur le verbe « KENNEN ».
Ce verbe « HERKENNEN » est donc considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « N », on trouvera comme terminaison du participe passé le « D » majoritaire.
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « HER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe «  GE- », commun à la majorité d’entre eux.
On y trouve également la forme verbale « ACHTERVOLGD », participe passé provenant de l’infinitif « ACHTERVOLGEN », lui-même construit sur le verbe « VOLGEN ».
Ce verbe « ACHTERVOLGEN » est donc considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « G », on trouvera comme terminaison du participe passé le « D » majoritaire.
Le verbe « ACHTERVOLGEN » N'est PAS à « particule séparable » puisqu'aucun « GE » ne s’intercale au participe passé entre « ACHTER » et la forme verbale (« -VOLGD») proprement dite.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 22 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 22C - Rajouté le 13/02/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hierop voert de politie een charge uit » (« Là-dessus, la police effectue une charge »).
On y trouve notamment la forme verbale « voert … UIT », provenant de l’infinitif « UITvoeren », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « VOEREN ».
Quand « UITvoeren » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule «  UIT » étant affectée par un REJET, derrière le complément (« een charge »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Hierop »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de politie ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « voert ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 22 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 22A - Rajouté le 11/02/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het salvo jaagt de stakers van de fabriek weg » (« La salve chasse = fait fuir les grévistes de l'usine»).
On y trouve notamment la forme verbale « jaagt … WEG », provenant de l’infinitif « WEGjagen » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « JAGEN ».
Quand « WEGjagen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « WEG » de son infinitif proprement dit, et son REJET, derrière les compléments (« de stakers » et « van de fabriek »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 22 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 21E - Rajouté le 10/02/2014

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De officier laat de Engelsen onder politiebewaking achter en stelt een afdeling soldaten voor de fabriek op » (« L'officier laisse les Anglais derrière sous surveillance de la police et dispose une section de soldats devant l'usine »).
On y trouve notamment la forme verbale « laat … ACHTER », provenant de l’infinitif « ACHTERlaten » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « LATEN ».
Quand « ACHTERlaten » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « ACHTER » (ancienne préposition) de son infinitif proprement dit, et son REJET, derrière les compléments (« de Engelsen » et « onder politiebewaking »), à la fin de la phrase. On aurait, particulièrement dans ce cas-ci, tendance à faire suivre l’ancienne préposition « ACHTER » d’un complément : « De officier laat de Engelsen onder politiebewaking achter HEM ».
On y trouve également la forme verbale « stelt … OP », provenant de l’infinitif « OPstellen » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « STELLEN ».
Quand « OPstellen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » (ancienne préposition) de son infinitif proprement dit, et son REJET, derrière les compléments (« een afdeling soldaten » et « voor de fabriek »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 21 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 21D - Rajouté le 09/02/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Onder leiding van Nol hebben de stakers de fabriekspoort reeds opengebroken » (« Sous la direction de Nol, les grévistes ont déjà ouvert en le cassant = forcé le portail de l'usine»).
On y trouve notamment la forme verbale « OPENgebroken », participe passé provenant de l’infinitif « OPENbreken » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « BREKEN ».
Quand « OPENbreken » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OPEN » de son infinitif proprement dit, la particule «  GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « openGEbroken ».
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé (ici « OPENgebroken ») fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« de fabriekspoort » et « reeds »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (ici « Onder leiding van Nol »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de stakers ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « hebben ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 21 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 21C - Rajouté le 08/02/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het konvooi werkwilligen, begeleid door soldaten, wordt door een jouwende menigte opgehouden. » (« Le convoi de non-grévistes, accompagné de soldats, est arrêté par une foule vociférante »).
On y trouve notamment la forme verbale « OPgeHOUDEN », participe passé provenant de l’infinitif « opHOUDEN », lui-même construit sur« HOUDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « OPhouden » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule «  GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEhouden ».
Le participe passé « opGEhouden » fait l’objet d’un REJET derrière le complément (« door een jouwende menigte »), à la fin de la phrase.
Cette phrase subordonnée est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
On y trouve également la forme verbale « BEGELEID », participe passé (utilisé ici comme adjectif) provenant de l’infinitif « BEGELEIDEN ».
Ce verbe « BEGELEIDEN » est donc considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant (déjà) par la consonne « D », on trouvera comme terminaison du participe passé le « D » majoritaire.
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe «  GE- », commun à la majorité d’entre eux.
N’oublions pas non plus que le participe présent en néerlandais se construit en ajoutant simplement un « D » à l’infinitif : « JOUWEN » => « jouwenD ». Ici, ce participe présent est utilisé comme adjectif épithète, se place donc devant le nom et, pour s’accorder, prend la terminaison majoritaire « E » => « jouwendE menigte ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 21 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 21B - Rajouté le 07/02/2014

Description : La triple phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We moeten hem inhalen vooraleer hij dwaasheden uithaalt en een schietpartij uitlokt ! » (« Nous devons le rattraper avant qu'il ne commette des idioties et qu'il ne provoque une fusillade !»).
On y trouve en fait trois verbes dits « à particule séparable » même si, à première vue, cela ne semble pas évident.
Si « INhalen » n'avait pas été précédé de « MOETEN » (« auxiliaire de MODE » exigeant son REJET derrière le complément « HEM »), on aurait avoir la variante suivante de la phrase : « We halen hem IN ».
Si « UIThalen » ne s'était pas trouvé dans une proposition subordonnée (introduite par « vooraleer »), il aurait été « normalement » conjugué et cela aurait entraîné une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, et son REJET, derrière le complément (« dwaasheden »), à la fin de la phrase : « Hij haalt dwaasheden UIT. »
De même, si « UITlokken » ne s'était pas trouvé dans une proposition subordonnée (introduite par « vooraleer »), il aurait été « normalement » conjugué et cela aurait entraîné une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, et son REJET, derrière le complément (« een schietpartij »), à la fin de la phrase : « Hij lokt een schietpartij UIT. »
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 21 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 21A - Rajouté le 06/02/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wij gaan Nol (hem) achterna ! » (« Nous allons derrière lui = Nous nous lançons à sa poursuite !»).
On y trouve la forme verbale « gaan … ACHTERNA », provenant de l’infinitif « achternaGAAN », verbe dit « à particule séparable ».
Il s’agit d’un bon exemple d’ancienne(s) préposition(s) (« ACHTER » + « NA » => « ACHTERNA ») évoluant vers une « particule séparable ». On avait dans un premier temps : « We gaan ACHTER hem »
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 21 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 20E - Rajouté le 05/02/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Breek / breken jullie de poort open eer de soldaten hier zijn ! » (« Forcez le portail avant que les soldats soient ici !»).
On y trouve notamment, à l'impératif, la forme verbale « breek … OPEN », provenant de l’infinitif « OPENbreken » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « BREKEN ».
Quand « OPENbreken » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OPEN » de son infinitif proprement dit, et son REJET, derrière le complément (« de poort »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 20 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 20D - Rajouté le 04/02/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maar bij de fabriek hebben woedende stakers de burgerwachten al op de vlucht gejaagd » (« Mais, près de l'usine, des grévistes furieux ont déjà chassé = mis en fuite les membres de la garde civique»).
On y trouve notamment la forme verbale « GEJAAGD », participe passé provenant de l’infinitif « JAGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » (pour son prétérit) mais qui évolue vers un verbe régulier.
Le participe passé « GEJAAGD » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« de burgerwachten», « al » et « op de vlucht »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Maar bij de fabriek »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « woedende stakers ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « hebben ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 20 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 20C - Rajouté le 03/02/2014

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Verbitterd, is hij (Nol) gevlucht en gaat bij de stakers mannen ronselen om tot actie over te gaan » (« Aigri, il s'est enfui et va recruter des hommes chez les grévistes pour passer à l'action »).
On y trouve notamment, la forme verbale « verbitterd », participé passé utilisé comme adjectif épithète, provenant de l’infinitif « VERBITTEREN ». Ce verbe est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire. Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe «  GE- », commun à la majorité d’entre eux.
On y trouve également la forme verbale « GEVLUCHT », participe passé provenant de l’infinitif « VLUCHTEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Ce verbe « VLUCHTEN » est donc considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant (déjà) par la consonne « T », on trouvera donc (de toutes façons) un « T » (au lieu du « D » majoritaire) comme terminaison du participe passé.
On y trouve enfin la forme verbale « OVER .. gaan » provenant de l’infinitif « OVERgaan », verbe dit « à particule séparable », dans une sorte de phrase subordonnée introduite par « OM … TE » (signifiant « POUR » devant les verbes), le complément (« tot actie ») et la « particule séparable » (« OVER ») étant intercalés entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « GAAN ». Le REJET de la « particule séparable » serait plus évident dans la variante suivante de la phrase : « De stakers gaan tot actie OVER ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 20 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 20B - Rajouté le 02/02/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Nol) is verdwenen ! » (« Il a disparu !»).
On y trouve notamment la forme verbale « VERDWENEN », participe passé provenant de l’infinitif « VERDWIJNEN », qui fait l'objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe «  VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe «  GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Il est à noter que ce participe passé « VERDWENEN » se construit sur le PLURIEL du prétérit et est donc identique. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 20 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 20A - Rajouté le 01/02/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Leg je bij de nederlaag neer ! » (« Couche-toi = Abdique devant la défaite !»).
On y trouve notamment, à l'impératif, la forme verbale « leg … NEER », provenant de l’infinitif « NEERleggen » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « LEGGEN ».
Quand « NEERleggen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « NEER » de son infinitif proprement dit, et son REJET, derrière le complément (« bij de nederlaag »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 20 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 19E - Rajouté le 31/01/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maar ik geef me nog niet gewonnen » (« Mais je ne me donne pas encore gagné = je ne m’avoue pas encore vaincu »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEWONNEN », participe passé du verbe « WINNEN », faisant partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Cette forme verbale « GEWONNEN » est, comme on le voit, construite sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez notamment notre tableau de synthèse « Temps primitifs » dans la partie « GRAMMATICA » de ce site.)
Ce participe passé « GEWONNEN » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« nog » et « niet »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 19 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 19D - Rajouté le 30/01/2014

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik werd geslagen en over boord geworpen » (« Je fus frappé et jeté par-dessus bord »).
Cette double phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
L’auxiliaire « WORDEN » de la voix passive est au prétérit et fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve notamment la forme verbale « geslagen », participe passé provenant de l’infinitif « SLAAN », affecté par les « temps primitifs ».
On y trouve également la forme verbale « geworpen », participe passé provenant de l’infinitif « WERPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « geworpen » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« over boord »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 19 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 19C - Rajouté le 29/01/2014

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik deed wat ik kon » (« Je fis ce que je pus »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « DEED », O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « DOEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve également, dans la phrase subordonnée (introduite par « WAT »), la forme verbale « KON », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif (et « AUXILIAIRE de MODE de la capacité) « KUNNEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 19 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 19B - Rajouté le 28/01/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze voeren naar de kade » (« Ils naviguaient vers le débarcadère»).
On y trouve notamment la forme verbale « VOEREN », prétérit (ou O.V.T.) provenant de l’infinitif « VAREN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 19 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 19A - Rajouté le 27/01/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik zag het schip het anker lichten » (« Je vis le navire lever l'ancre »).
On y trouve notamment la forme verbale « ZAG », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est e est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 17 et 19 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 18C - Rajouté le 26/01/2014

Description : La triple phrase suivante est grammaticalement intéressante : « En ik dacht zo, eer de hulpdienst de chef daaronder uithaalt, kan ik best een pijp opsteken » (« Et je pensais ainsi : avant que le service d'aide dégage le chef de là dessous, je peux au mieux allumer une pipe = la meilleure chose que j'ai à faire c'est d'allumer une pipe »).
On y trouve notamment dans la phrase principale, la forme verbale « DACHT » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant du verbe « DENKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve également deux verbes dits « à particule séparable ».
La forme verbale « uithaalt » provient du verbe « UIThalen  ». Quand « UIThalen » est conjugué, cela entraîne une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit ; le REJET de la particule «  UIT » serait plus évident dans la phrase suivante : « de hulpdienst haalt de chef daaronder UIT ».
De même si « OPsteken » avait été conjugué, cela aurait entraîné une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit ; le REJET de la particule «  OP » serait plus évident dans la phrase suivante : « ik steek best een pijp OP ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 18 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 18B - Rajouté le 25/01/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « En dan zijn ze met de lijst gevlucht » (« Et alors ils se sont enfuis avec la liste »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEVLUCHT », participe passé provenant de l’infinitif « VLUCHTEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « VLUCHTEN » est donc considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant (déjà) par la consonne « T », on trouvera donc (de toutes façons) un « T » (au lieu du « D » majoritaire) comme terminaison du participe passé.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« en DAN »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « ZE ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « ZIJN ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 18 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 18A - Rajouté le 24/01/2014

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Rond het tijdstip dat het stoffelijk overschot (van de Neus) (wordt) gevonden wordt, wordt nummer 17 op het politiebureau ontboden » (« Vers le moment où la dépouille mortelle est trouvée, numéro 17 est convoqué au bureau de police »).
On y trouve, dans la phrase subordonnée (introduite par « DAT ») la forme verbale « GEVONDEN », participe passé provenant de l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce participe passé « GEVONDEN » est construit sur le pluriel du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
On y trouve également, dans la phrase principale, la forme verbale « ONTboden », participe passé provenant du verbe « ONTbieden », lui-même construit sur l’infinitif « BIEDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le pluriel du prétérit ou O.V.T. et, dans ce cas-ci, est même identique (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Rappelons en effet que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe «  ONT- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe «  GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Le participe passé « ontboden » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« op het politiebureau »), à la fin de la phrase.
La phrase principale étant introduite par un complément (la phrase subordonnée « Rond het tijdstip dat het stoffelijk overschot gevonden wordt » joue ici ce rôle), il y a INVERSION et son sujet (« nummer 17 ») passe derrière son verbe (« wordt »).
Ces deux phrases sont à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 18 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 17B - Rajouté le 23/01/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij wordt op slag gedood » (« Il est tué sur le coup »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEDOOD », participe passé provenant de l’infinitif « DODEN ».
Ce verbe « DODEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « D », on trouvera le « D » majoritaire mais qui ne sera pas doublé au participe passé puisque déjà présent dans le radical du verbe ou première personne de l’indicatif présent.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 17A - Rajouté le 22/01/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hoe heb je zoiets kunnen doen ? » (« Comment as-tu pu faire quelque chose ainsi = comme cela ?»).
La phrase est, en fait, au passé composé et la forme verbale de « KUNNEN » aurait dû être au participe passé mais on a ici affaire à ce que l’on appelle le « double infinitif », solution intéressante pour éviter les « temps primitifs » quand on ne les maîtrise pas.
Les deux infinitifs font l’objet d’un REJET, derrière le complément (« ZOIETS »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 16G - Rajouté le 21/01/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Jij hebt dat ontdekt » (« Tu as découvert cela »).
On y trouve la forme verbale « ONTDEKT », participé passé provenant de l’infinitif « ONTDEKKEN ».
Ce verbe « ONTDEKKEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « ONT- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe «  GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Signalons dès lors que, si «  ONTDEKT » est ici au V.T.T. (ou passé composé), il aurait été écrit de la même façon à l’O.T.T. (ou indicatif présent).
Le participe passé « ONTDEKT » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« DAT »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 16F - Rajouté le 20/01/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik had drank nodig » (« J'avais besoin de boisson »).
On y trouve la forme verbale « HAD », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « HEBBEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Notez l'expression « NODIG hebben ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 16E - Rajouté le 19/01/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ja, dat was ik, voor een premie ! » (« Oui, c'était moi, pour une prime !»).
On y trouve la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (ici « DAT»), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (« IK ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « WAS ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 16D - Rajouté le 18/01/2014

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dan was jij degene die de lijst (heeft) gestolen heeft ! » (« Alors c'était toi qui as volé la liste !»).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« DAN »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « JIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « WAS ») et passant donc derrière lui.
On y trouve également, dans la phrase subordonnée relative, la forme verbale « GESTOLEN », participe passé provenant de l’infinitif « STELEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce participe passé « GESTOLEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« de lijst »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 16C - Rajouté le 17/01/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hoe ben jij uit dat hok ontsnapt ? » (« Comment t'es-tu échappé de cette remise ?»).
On y trouve notamment la forme verbale « ONTsnapt », participé passé provenant de l’infinitif « ONTsnappen ».
Ce verbe est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « P », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « ONT- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe «  GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Le participe passé « ontsnapt » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« uit dat hok »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 16B - Rajouté le 16/01/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Joeki) kon zich inmiddels losmaken » (« Il put entretemps se libérer »).
On y trouve notamment la forme verbale « KON », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif (et « AUXILIAIRE de MODE de la capacité) « KUNNEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
L’infinitif « losmaken » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« inmiddels »), à la fin de la phrase, parce l’auxiliaire de mode « KUNNEN » l’exige.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 16A - Rajouté le 15/01/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « En waar is die arme jongen (Joeki) gebleven ? » (« Et où est resté ce pauvre garçon ?»).
On y trouve la forme verbale « GEBLEVEN », participe passé provenant de l’infinitif « BLIJVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Si ce participe passé « GEBLEVEN » avait été suivi d’un complément éventuel (comme « in de stad »), il aurait plus visiblement fait l’objet du REJET, derrière ce complément, à la fin de la phrase.
Il est à noter que ce participe passé « GEBLEVEN » se construit sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 15F - Rajouté le 14/01/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik krijg dat blikken mormel niet open » (« Je ne reçois pas ouvert = je ne parviens pas à ouvrir ce « corniaud » en fer-blanc »).
A première vue, on aurait tendance à croire que l'on a ici affaire avec « OPEN » à une « particule séparable » mais l’infinitif « OPENkrijgen » n'existe PAS.
Notez tout de même la « tournure » de phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 15 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 15E - Rajouté le 13/01/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « (Het is) goed verlopen » (« Cela s'est bien déroulé »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERLOPEN », participe passé provenant de l’infinitif « VERLOPEN », lui-même construit sur le verbe « LOPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons si un verbe commence, par exemple, par le préfixe «  VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe «  GE- », commun à la majorité d’entre eux
Il est à noter que ce participe passé « VERLOPEN » se construit donc sur l'infinitif et est donc même identique. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Rappelons aussi que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le « complément » (« GOED »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 15 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 15D - Rajouté le 12/01/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maar hij ranselde je toch af ! » (« Mais il te tabassait tout de même ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « ranselde … AF », prétérit provenant de l’infinitif « AFranselen » (verbe dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe régulier « RANSELEN ».
Quand « AFranselen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, la particule «  AF » étant affectée par un REJET, derrière les compléments (« JE » et « TOCH »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 15 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 15C - Rajouté le 11/01/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij zond de kleerkast naar de kinderen » (« Il envoya l'armoire à vêtements vers les enfants »).
On y trouve notamment la forme verbale « ZOND », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « ZENDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 15 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 15B - Rajouté le 10/01/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb niets gedaan ! » (« Je n'ai rien fait ! »).
On y trouve la forme verbale « GEDAAN », participe passé provenant de l’infinitif « DOEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons aussi que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« niets »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 15 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 15A - Rajouté le 09/01/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Nauwelijks is de commissaris vertrokken of de planton krijgt rumoerig bezoek » (« A peine le commissaire est-il parti que le planton reçoit une visite tapageuse »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERTROKKEN », participe passé provenant de l’infinitif « VERTREKKEN », lui-même construit sur le verbe « TREKKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons si un verbe commence, par exemple, par le préfixe «  VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe «  GE- », commun à la majorité d’entre eux
Rappelons aussi que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« naar huis »), à la fin de la phrase. On aurait pu avoir la variante suivante de la phrase : « De commissaris is nauwelijks vertrokken (...) », où le REJET apparaît plus clairement.
Il est à noter que ce participe passé « VERTROKKEN » se construit donc sur le PLURIEL du prétérit et est même identique. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Nauwelijks »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de commissaris ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « IS ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 15 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 14E - Rajouté le 08/01/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Konden we die lijst nu maar buit maken ! » (« (Ah) si nous pouvions maintenant faire de cette liste un butin = mettre cette liste à profit ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « KONDEN », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif (et « AUXILIAIRE de MODE de la capacité) « KUNNEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
N’oublions pas que les verbes comme «  KUNNEN » que l’on appelle « auxiliaire de MODE » (les 3 autres étant «  MOETEN», « MOGEN » et « WILLEN ») exigent un REJET de l’infinitif (ici « MAKEN »), derrière les compléments (« die lijst », « nu », « maar » et « buit »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 14 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 14D - Rajouté le 07/01/2014

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij sluipt nader en luistert (naar) het gesprek in het politiebureau af » («Il se glisse plus près et écoute la conversation dans le bureau de police »).
A première vue, on aurait tendance à croire que l'on a affaire avec « NADER » à une « particule séparable » mais l’infinitif « NADERsluipen » n'existe PAS.
On y trouve également la forme verbale « luistert … AF », provenant de l’infinitif « AFluisteren » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « LUISTEREN », verbe régulier.
Quand « AFluisteren » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » qui fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« het gesprek in het politiebureau »), à la fin de la phrase.

La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 14 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 14C - Rajouté le 06/01/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij heeft zijn Judasgeld weer verdiend » (« Il a de nouveau gagné son argent de Judas »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERDIEND », participe passé provenant de l’infinitif «  VERDIENEN », lui-même construit sur le verbe «  DIENEN ».
Ce verbe « VERDIENEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « N », on trouvera comme terminaison du participe passé le « D » majoritaire.
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe «  GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Ce participe passé « VERDIEND » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments («  zijn Judasgeld» et « weer »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 14 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 14B - Rajouté le 05/01/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb de lijst van de stakingleiders bemachtigd » (« Je me suis rendu maître = me suis emparé de la liste des meneurs de la grève »).
On y trouve notamment la forme verbale « BEMACHTIGD », participe passé provenant de l’infinitif «  BEMACHTIGEN », lui-même construit sur le verbe «  MACHTIGEN ».
Ce verbe « BEMACHTIGEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « G », on trouvera comme terminaison du participe passé le « D » majoritaire.
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe «  GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Ce participe passé « BEMACHTIGD » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« de lijst van de stakingleiders »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 14 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 14A - Rajouté le 04/01/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maar hij begaf zich dadelijk naar het politiebureau » (« Mais il se rendit immédiatement au bureau de police »).
On y trouve notamment la forme verbale « beGAF » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant du verbe « réfléchi » « beGEVEN (zich) », lui-même construit sur l’infinitif « GEVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 14 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 13D - Rajouté le 03/01/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij was niet meer in huis » (« Il n'était plus dans / à la maison »).
On y trouve notamment la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 13 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 13C - Rajouté le 02/01/2014

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dan is alles tevergeefs geweest » (« Alors tout a été = s'est passé en vain = tout a été fait pour rien »).
On y trouve la forme verbale « GEWEEST », participe passé provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La phrase commençant par un complément (« DAN »), il y a INVERSION et son sujet (« ALLES ») passe derrière son verbe (« IS »).
Ce participe passé « GEWEEST » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément («  tevergeefs »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 13 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 13B - Rajouté le 01/01/2014

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Als de leiders (worden) aangehouden worden (,) is de staking gebroken » (« Si les meneurs sont arrêtés, la grève est brisée »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « AANgeHOUDEN », participe passé provenant de l’infinitif « aanHOUDEN », lui-même construit sur« HOUDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « AANhouden » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule «  GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGEhouden ».
Le participe passé « aanGEhouden » fait l’objet d’un REJET derrière le complément éventuel (« onmiddellijk »), à la fin de la phrase.
Cette phrase subordonnée est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La phrase principale étant introduite par un complément (la phrase subordonnée «  Als de leiders aangehouden worden » joue ici ce rôle), il y a INVERSION et son sujet (« de staking ») passe derrière son verbe (« IS »).
On y trouve la forme verbale « GEBROKEN », participe passé provenant de l’infinitif « BREKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« bijna onmiddellijk »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 13 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2014.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 13A - Rajouté le 31/12/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij heeft de lijst gestolen » (« Il a volé la liste »).
On y trouve la forme verbale « GESTOLEN », participe passé provenant de l’infinitif « STELEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce participe passé « GESTOLEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« de lijst »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 13 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 12E - Rajouté le 30/12/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een duistere gedaante met een zak over het hoofd dringt de kamer binnen » (« Une silhouette sombre avec un sac sur la tête pénètre dans la pièce »).
On y trouve la forme verbale « dringt … BINNEN », provenant de l’infinitif « BINNENdringen » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « DRINGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « BINNENdringen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « BINNEN » de son infinitif proprement dit et elle fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« de kamer »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 12 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 12D - Rajouté le 29/12/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De zieke vrouw (…) stort bewusteloos neer » (« La femme malade s'effondre sans connaissance »).
On y trouve la forme verbale « stort … NEER », construite sur le verbe « NEERstorten » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « STORTEN ».
Quand « NEERstorten » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « NEER » de son infinitif proprement dit, faisant l’objet d’un REJET derrière le complément éventuel (« bewusteloos »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 12 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 12C - Rajouté le 28/12/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « (Plots wordt hij), gekneveld en gebonden, in een berghok opgesloten » (« Soudain il est enfermé, bâillonné et ligoté, dans une remise»).
On y trouve trois participes passés, les deux premiers étant utilisés comme adjectifs épithètes.
On y trouve d'abord la forme verbale « GEKNEVELD », participe passé provenant de l’infinitif « KNEVELEN », qui n’est PAS affecté par les « temps primitifs ».
Ce verbe est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « L », on trouve donc le « D » majoritaire à la fin du participe passé.
On y trouve également la forme verbale « GEBONDEN », participe passé provenant de l’infinitif « BINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Cette forme verbale « GEBONDEN » est construite sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez notamment notre tableau de synthèse « Temps primitifs » dans la partie « GRAMMATICA » de ce site.)
On y trouve enfin la forme verbale « OPgesloten », participe passé provenant de l’infinitif « OPsluiten », lui-même construit sur l’infinitif « SLUITEN », affecté par les « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé « GESLOTEN » se construit sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Ce verbe « OPsluiten » est aussi dit « à particule séparable » ; quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule «  GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEsloten ».
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« in een berghok »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 12 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 12B - Rajouté le 27/12/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Plots wordt hij (Joeki) door ruwe handen gegrepen » (« Soudain il est saisi par des mains rugueuses »).
On y trouve la forme verbale « GEGREPEN », participe passé provenant de l’infinitif « GRIJPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Cette forme verbale « GEGREPEN » est construite sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez notamment notre tableau de synthèse « Temps primitifs » dans la partie « GRAMMATICA » de ce site.)
Ce participe passé « GEGREPEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« door ruwe handen »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« PLOTS »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « HIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « WORDT ») et passant donc derrière lui.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 12 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 12A - Rajouté le 26/12/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het gevaar van de ratten is geweken » (« Le danger des rats est reculé = écarté »).
On y trouve la forme verbale « GEWEKEN », participe passé provenant de l’infinitif « WIJKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Cette forme verbale « GEWEKEN » est construite sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez notamment notre tableau de synthèse « Temps primitifs » dans la partie « GRAMMATICA » de ce site.)
Ce participe passé « GEWEKEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« misschien » ou « eindelijk »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 12 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 11D - Rajouté le 25/12/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Bertrand) waadt door het riool naar nummer 17 toe » (« Il traverse à gué l'égout jusqu'à / au numéro 17 »).
A première vue, on aurait tendance à croire que l'on a affaire à un verbe dit « à particule séparable » mais l’infinitif « TOEwaden » n'existe PAS.
Il NE s'agit donc PAS de la particule « TOE » qui ferait l’objet d’un REJET, derrière les compléments à la fin de la phrase.
On a une tournure de phrase, plus couramment utilisée avec l'expression « naarTOE gaan » ; c'est ainsi que l'on aurait pu avoir la variante suivante : « Hij gaat door het riool naar nummer 17 toe ».
Rappelons que « TOE » provient de la préposition « TOT ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 11C - Rajouté le 24/12/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Daal vlug af ! » (« Descends rapidement ! »).
On y trouve notamment, à l'impératif, la forme verbale « daal … AF », provenant de l’infinitif « AFdalen », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « DALEN ».
Quand « AFdalen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, la particule «  AF » étant affectée par un REJET, derrière le complément (« vlug »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 11B - Rajouté le 23/12/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Er is iets misgelopen ! » (« Il y a quelque chose qui a mal tourné ! »).
On y trouve notamment forme verbale « MISgelopen », participe passé provenant de l’infinitif « MISlopen » (verbe dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « LOPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’infinitif. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Quand « MISlopen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « MIS » de son infinitif proprement dit, la particule «  GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « misGElopen ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 11A - Rajouté le 22/12/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « (Ik heb) enkel bevelen uit te voeren » (« (J'ai) uniquement des ordres à exécuter »).
On y trouve notamment la forme verbale « UIT … voeren », provenant de l’infinitif « UITvoeren », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « VOEREN ».
Quand « UITvoeren » est « conjugué », cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, dans ce cas-ci en raison de l'équivalent du « à » français. Le REJET de la particule «  UIT » serait plus évident dans la phrase suivante : « « Ik voer enkel bevelen UIT ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 10E - Rajouté le 21/12/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Houd hen van de fabriek weg ! » (« Tenez-les à l'écart de l'usine ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « houd … WEG » à l’impératif, provenant de l’infinitif « WEGhouden » (dit à « particule séparable »), construit sur le verbe « HOUDEN ».
La particule séparable « WEG » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« hen » et « van de fabriek »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 10 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 10D - Rajouté le 20/12/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Plots daagt speurder nummer 17 met de burgerwacht op » (« Soudain surgit l'enquêteur numéro 17 avec la garde civique »).
On y trouve notamment la forme verbale « daagt … OP », provenant de l’infinitif « OPdagen » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « DAGEN ».
La particule séparable « OP » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« met de burgerwacht »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Plots »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « speurder nummer 17 ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « daagt ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 10 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 10C - Rajouté le 19/12/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maar hij stelt plots vast dat ze hem in een val lieten lopen » (« Mais il constate soudain qu'ils l'ont laissé courir dans un piège »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale «  stelt … VAST », provenant de l’infinitif « VASTSTELLEN » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « STELLEN ».
Quand « vastSTELLEN » est conjugué, comme au présent, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « VAST » de sa forme verbale proprement dite, la particule faisant l’objet d’un REJET, derrière le complément (« plots ») à la fin de la phrase ... principale.
On y trouve aussi, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « LIETEN », prétérit provenant de l’infinitif « LATEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
N'oublions pas que, dans une phrase subordonnée, le verbe est séparé de son sujet (ici «ZE ») et fait l'objet d'un REJET, derrière les compléments («  HEM » et « in een val »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 10 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 10B - Rajouté le 18/12/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij verkeert in de waan dat hij de achtervolgers is kwijtgeraakt » (« Il est dans l'erreur quand il croit qu'il s'est défait des poursuivants »).
On y trouve notamment la forme verbale « KWIJTgeraakt », participe passé construit sur le verbe « KWIJTraken », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur « RAKEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le verbe « KWIJTraken » est donc considéré comme « régulier » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera comme terminaison du participe passé un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Quand « KWIJTraken » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « KWIJT » de son infinitif proprement dit, la particule «  GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « kwijtGEraakt ».
Le participe passé « kwijgeraakt » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« de achtervolgers »), à la fin de la phrase.
N'oublions pas que, dans les phrases subordonnées, le verbe est séparé de son sujet ; en tant que phrase principale, elle aurait été rédigée de la façon suivante si elle avait été à l'indicatif présent : « Hij raakt de achtervolgers kwijt ».
Notez l'expression « in de waan verkeren (dat) ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 10 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 10A - Rajouté le 17/12/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij wordt spoedig door de op de loer liggende stakers opgemerkt » (« Il est rapidement remarqué par les grévistes faisant le guet »).
On y trouve notamment la forme verbale « OPgemerkt », participe passé construit sur le verbe « OPMERKEN », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur « MERKEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le verbe « OPMERKEN » est donc considéré comme « régulier » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera comme terminaison du participe passé un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Quand « OPmerken » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule «  GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEmerkt ».
Le participe passé « OPgemerkt » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments « imbriqués » (« door de op de loer liggende stakers »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
Notez aussi l'expression «  op de loer liggen ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 10 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 9D - Rajouté le 16/12/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hoofdzaak blijft dat de staking niet (wordt) gebroken wordt » (« La chose principale = le principal est que la grève ne soit pas brisée »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « GEBROKEN », participe passé provenant de l’infinitif « BREKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 9C - Rajouté le 15/12/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De gemoederen zijn opgehitst » (« Les esprits sont excités = échauffés »).
On y trouve notamment la forme verbale « OPgehitst », participe passé construit sur le verbe « OPHITSEN », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur « HITSEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le verbe « OPHITSEN » est donc considéré comme « régulier » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « S », on trouvera comme terminaison du participe passé un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Quand « OPhitsen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule «  GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEhitst ».
Le participe passé « OPgehitst » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément sous-entendu (« door de staking »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 9B - Rajouté le 14/12/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het was tegen hun zin » (« C'était contre leur envie = gré »).
On y trouve notamment la forme verbale « WAS », prétérit provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 9A - Rajouté le 13/12/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een van de stakers wordt op de hoogte gebracht » (« Un des grévistes est mis à la hauteur = au courant »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEBRACHT », participe passé provenant de l’infinitif « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEBRACHT » est construit sur le SINGULIER du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « GEBRACHT » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« op de hoogte »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
Notez l'expression « op de hoogte ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 8I - Rajouté le 12/12/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wees gerust ! » (« Soyez tranquilles = rassurés ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « WEES », impératif provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Nous le soulignons parce que son participe passé est « GeWEESt ».
Nous avons donc affaire ici à l’expression « GERUST ZIJN ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 8 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 8H - Rajouté le 11/12/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik was wanhopig, ik was tot alles in staat » (« J'étais désespéré, j'étais jusqu'à tout en état = prêt à tout »).
On y trouve notamment la forme verbale « WAS », prétérit provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Notez l'expression « tot alles in staat zijn ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 8 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 8G - Rajouté le 10/12/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik schaam me maar ik zag geen uitweg » (« J'ai honte de moi mais je ne voyais aucune issue »).
On y trouve notamment la forme verbale « ZAG », prétérit provenant de l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 8 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 8F - Rajouté le 09/12/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Toen kwam het aanbod om hier te komen werken » (« Alors vint l'offre pour travailler ici »).
On y trouve notamment la forme verbale « KWAM », prétérit provenant de l’infinitif « KOMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve aussi, dans une sorte de phrase subordonnée introduite par « OM … TE » (signifiant « POUR » devant les verbes), le complément (« HIER ») intercalé entre le « OM » et le « TE », placé juste devant les infinitifs « KOMEN » et « WERKEN ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 8 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 8E - Rajouté le 08/12/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik kon het niet meer aanzien » (« Je ne pouvais plus le voir = le supporter »).
On y trouve notamment la forme verbale « KON », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif (et « AUXILIAIRE de MODE de la capacité) « KUNNEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
L’infinitif « aanzien » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« HET » et « niet meer »), à la fin de la phrase, parce l’auxiliaire de mode « KUNNEN » l’exige.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 8 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 8D - Rajouté le 07/12/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij kwijnt weg, uitgemergeld » (« Elle dépérit, décharnée »).
On y trouve notamment la forme verbale « kwijnt … WEG », provenant de l’infinitif « WEGkwijnen », conjugué lui-même sur « KWIJNEN ».
Quand « WEGkwijnen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « WEG » de son infinitif proprement dit, la particule « WEG » étant affectée par un REJET, derrière le complément éventuel (par exemple, « van verdriet »), à la fin de la phrase.
On y trouve également la forme verbale « UITgemergeld », participe passé provenant de l’infinitif « UITmergelen » (dit « à particule séparable »), lui-même conjugué sur « MERGELEN », considéré comme « régulier ».
Comme la grande majorité des verbes néerlandais, le verbe « MERGELEN » n’est pas affecté par les « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « L », on trouvera le « D » majoritaire. La forme verbale « uitGEmergeld » contient une « particule séparable » puisque le « GE » du participe passé s’intercale entre la particule « UIT » et la forme verbale proprement dite.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 8 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 8C - Rajouté le 06/12/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een oogontsteking maakte hier een eind aan » (« Une infection oculaire y mit ici fin »).
On y trouve aussi la forme verbale « maakte … AAN », prétérit pouvant à première vue provenir de l’infinitif « AANmaken » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « MAKEN », verbe régulier.
Quand « AANmaken » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » qui fait apparemment l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« hier » et « een eind »), à la fin de la phrase.
On peut envisager un autre cas de figure si on élargit le contexte, avec un complément sous-entendu après la préposition « AAN » : « Een oogontsteking maakte hier een eind aan het naaiwerk van de vrouw ».
N'oublions pas que ce verbe « MAKEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire) au V.T.T. (« geMAAKt ») et un « E » sera rajouté à l’O.V.T. comme ici. Cela donne à l’O.V.T. : « maak » + « TE » => « maakTE ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 8 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 8B - Rajouté le 05/12/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dachten jullie dat het bij ons beter is ? » (« Pensiez-vous que c'est mieux chez nous ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « DACHTEN », prétérit provenant de l’infinitif « DENKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 8 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 8A - Rajouté le 04/12/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De wanhoop bracht mij tot het uiterste » (« Le désespoir m'amena jusqu'à l'extrême= me poussa à bout »).
On y trouve notamment la forme verbale « BRACHT », prétérit provenant de l’infinitif « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 8 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 7H - Rajouté le 03/12/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Eindelijk hebben we solidariteit bereikt » (« Nous avons enfin atteint = obtenu de la solidarité »).
On y trouve notamment la forme verbale « BEREIKT », participe passé provenant de l’infinitif « BEREIKEN ».
Ce verbe « BEREIKEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe «  GE- », commun à la majorité d’entre eux. Le hasard fait que le participe passé est identique à la 2ème ou 3ème personne du présent.
Ce participe passé « BEREIKT  » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« solidariteit »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas non plus que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Eindelijk »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « WE ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « HEBBEN ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 7 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.

(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 7G - Rajouté le 02/12/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Mijn vrouw, gebroken door het verlies door ondervoeding van onze kinderen » (« Ma femme, brisée par la perte en raison de la malnutrition de nos enfants »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEBROKEN » (utilisée comme un adjectif attribut), participe passé provenant de l’infinitif « BREKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 7 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.

(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 6E - Rajouté le 01/12/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « In een verlaten straat, legt hij zijn vermomming af » (« Dans une rue retirée, il se débarrasse de son déguisement »).
On y trouve la forme verbale « verLATEN », participe passé (utilisé ici comme adjectif épithète) provenant de l’infinitif « verLATEN », lui-même construit sur « LATEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe «  VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe «  GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Cette réserve émise, il est à noter que ce participe passé se construit sur l’infinitif et est donc identique. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
On y trouve aussi la forme verbale « legt … AF », provenant de l’infinitif « AFleggen » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « LEGGEN », verbe régulier.
Quand « Afleggen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » qui fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« zijn vermomming »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« In een verlaten straat »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « HIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « LEGT ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 6D - Rajouté le 30/11/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze zijn gezwicht voor ons dapper optreden » (« Ils s'avouent vaincus devant notre courageuse intervention»).
On y trouve notamment la forme verbale « gezwicht », participe passé construit sur le verbe « ZWICHTEN », verbe qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le verbe « ZWICHTEN » est donc considéré comme « régulier » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant (déjà) par la consonne « T », on trouvera comme terminaison du participe passé un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Il est à noter que l'on a fait un substantif neutre (« HET ») avec l'infinitif « OPTREDEN ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 6C - Rajouté le 29/11/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Sla (vlug) toe en dan wegwezen ! » (« Frappe (vite) et ensuite décampons ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « sla TOE », impératif provenant de l’infinitif « TOEslaan », lui-même construit sur l’infinitif « SLAAN ».
Ce verbe «TOEslaan » est dit « à particule séparable » ; quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TOE » de son infinitif proprement dit et elle fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« vlug »), à la fin de la phrase..
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 6B - Rajouté le 28/11/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Morrend, trekken de hongerige stakers zich terug » (« En maugréant, les grévistes affamés se retirent »).
On y trouve notamment la forme verbale « trekken … TERUG », provenant du verbe « TERUGtrekken » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « TREKKEN ».
Quand « TERUGtrekken » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERUG » de son infinitif proprement dit et son REJET, derrière le complément éventuel (« in de straat »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Morrend »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de hongerige stakers ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « trekken ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 6A - Rajouté le 27/11/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik word aangevallen » (« Je suis attaqué»).
On y trouve aussi la forme verbale « AANgevallen », participe passé provenant de l’infinitif « AANvallen », lui-même construit sur l’infinitif « VALLEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « AANvallen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule «  GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGEvallen ».
Il y a REJET de la forme verbale « AANgevallen » à la fin de la phrase, derrière le complément éventuel (« door stakers »).
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 5F - Rajouté le 26/11/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Onze voorwaarden werden aanvaard » (« Nos conditions furent acceptées»).
On y trouve notamment la forme verbale « AANvaard », participe passé provenant de l’infinitif « AANvaarden », PAS affecté par les « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le verbe « AANvaarden » n’est PAS « à particule séparable » puisque, quand il est conjugué comme participe passé, il n’y a PAS ici séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit.
Identique donc au radical du verbe (= première personne de l’indicatif présent), le participe passé « AANvaard » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« door de baas »).
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 5E - Rajouté le 25/11/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maar hoe speel je het klaar ? » (« Mais comment le goupilles-tu ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « speel … KLAAR », indicatif ou O.T.T. provenant de l’infinitif « KLAARspelen » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « spelen ».
Quand « KLAARspelen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « KLAAR » (un adjectif) de son infinitif proprement dit et elle fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« HET »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 5D - Rajouté le 24/11/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Reken daar niet op ! » (« Ne compte pas là dessus !»).
On y trouve la forme verbale « REKEN » à l'impératif et, à la fin, de la phrase, un « OP ».
Il ne s'agit en rien d'un éventuel infinitif « oprekenen », qui serait « à particule séparable » : il n'existe pas.
On a affaire à un adverbe pronominal  « séparé » (car séparable ) : « DAAR … OP ». On aurait pu trouver la variante suivante : « Reken niet daarOP ! ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 5C - Rajouté le 23/11/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Bij arbeidsongeval of ziekte ben je op bedelarij aangewezen » (« En cas d'accident de travail ou de maladie, tu es voué à la mendicité »).
On y trouve notamment la forme verbale « « AANgewezen », V.T.T. (ou participe passé) provenant de l’infinitif « aanWIJZEN », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « WIJZEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « AANwijzen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule «  GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGEwezen ».
Le participe passé « aangewezen » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« op bedelarij »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 5B - Rajouté le 22/11/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De algemene staking begon in de fabriek waar ik werk » (« La grève générale commença dans l'usine où je travaille»).
On y trouve notamment la forme verbale « BEGON », prétérit provenant de l’infinitif « BEGINNEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 5A - Rajouté le 21/11/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De dood van onze twee kinderen heeft haar geknakt » (« La mort de nos deux enfants l'a anéantie»).
On y trouve notamment la forme verbale « geKNAKT », participé passé provenant de l’infinitif « KNAKKEN ».
Ce verbe est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Le participe passé « geKNAKT » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« HAAR»), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 4G - Rajouté le 20/11/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij heeft reeds de straat in Hoboken bereikt » (« Il a déjà atteint la rue dans Hoboken »).
On y trouve notamment la forme verbale « BEREIKT », participe passé provenant de l’infinitif « BEREIKEN ».
Ce verbe « BEREIKEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe «  GE- », commun à la majorité d’entre eux. (Le hasard fait aussi que le participe passé est identique à la 2ème ou 3ème personne du présent).
Ce participe passé « BEREIKT  » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« reeds », « de straat » et « in Hoboken »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 4 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 4F - Rajouté le 19/11/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een verdachte arresteren zonder bewijzen lijkt op niets » (« Arrêter un suspect(é) sans preuves ne ressemble = rime à rien »).
On y trouve le nom « verDACHTe », venant du participe passé « verDACHT », ancienne forme verbale provenant de l’infinitif « verDENKEN », lui-même construit sur le verbe « DENKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons en effet que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe «  VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe «  GE- », commun à la majorité d’entre eux.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 4 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 4E - Rajouté le 18/11/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We hebben bewijzen nodig dat hij zich voor ons verborg » (« Nous avons besoin de preuves qu'il se cachait devant = de nous »).
On trouve, dans la phrase subordonnée (introduite par « DAT »), la forme verbale« VERBORG », prétérit du verbe « VERBERGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Cette forme verbale « VERBORG » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« voor ons »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 4 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 4D - Rajouté le 17/11/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze hebben me ontdekt » (« Ils m'ont découvert »).
On y trouve notamment la forme verbale « ONTDEKT », participé passé provenant de l’infinitif « ONTDEKKEN », lui-même construit sur le verbe « DEKKEN ».
Ce verbe est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « ONT- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe «  GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Signalons dès lors que, si «  ONTDEKT » est ici au V.T.T. (ou passé composé), il aurait été écrit de la même façon à l’O.T.T. (ou indicatif présent).
Le participe passé « ONTDEKT » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« ME »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 4 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 4C - Rajouté le 16/11/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Waar mag die bengel zich verscholen hebben ? » (« Où ce garnement peut-il s'être caché ? »).
On y trouve la forme verbale « VERSCHOLEN », participe passé provenant de l’infinitif « VERSCHUILEN », lui-même construit sur le verbe « SCHUILEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons si un verbe commence, par exemple, par le préfixe «  VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe «  GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« wel »), à la fin de la phrase. Ce serait plus évident dans la variante suivante : « Waar heeft die bengel zich wel verscholen ? »
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 4 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 4B - Rajouté le 15/11/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik weet zeker dat ik hier een knaap zag vluchten » (« Je sais certainement = je suis certain que j'ai vu ici un gamin fuir = s'enfuir »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « ZAG », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Cette forme verbale « ZAG » y fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« hier » et « een knaap »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 4 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 4A - Rajouté le 14/11/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De stakers treden hardhandig op » (« Les grévistes interviennent brutalement »).
On y trouve notamment la forme verbale « treden … OP », provenant de l’infinitif « OPtreden », lui-même construit sur le verbe « TREDEN ».
La « particule séparable » « OP » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« hardhandig »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 4 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 3A - Rajouté le 13/11/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een rat is een kerel, die wil werken om de staking van zijn kameraden te breken » (« Un rat est un type qui veut travailler = oeuvrer à briser la grève de ses camarades »).
On y trouve notamment, dans une sorte de phrase subordonnée introduite par « OM … TE » (signifiant « POUR » devant les verbes), le complément (« de staking van zijn kameraden ») intercalé entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « BREKEN ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 3 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 2B - Rajouté le 12/11/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Er wordt een man aangevallen » (« Il y a un homme (qui est) attaqué = Un homme est attaqué »).
On y trouve notamment la forme verbale « AANgevallen », participe passé provenant de l’infinitif « AANvallen », lui-même construit sur l’infinitif « VALLEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « AANvallen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule «  GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGEvallen ».
Ce participe passé « AANgevallen » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« door drie andere mannen »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
Notez que l'on a utilisé « ER » comme pronom sujet et qu'il s'agit donc de la tournure propre à l'expression « IL Y A ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 2 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 2A - Rajouté le 11/11/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je bent gesnapt » (« Tu es attrapé »).
On y trouve notamment la forme verbale « gesnapt », V.T.T. (ou participe passé) provenant de l’infinitif « SNAPPEN».
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« NU»), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 2 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 1C - Rajouté le 10/11/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Van een schip maakt zich een sloep los » (« Une chaloupe se détache d'un navire »).
On y trouve notamment la forme verbale « maakt … LOS », provenant du verbe « LOSmaken », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « MAKEN ».
Quand « losMAKEN » est conjugué, comme au présent, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « LOS » de sa forme verbale proprement dite, la particule faisant l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« plotseling »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Van een schip »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « een sloep ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « maakt ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 1 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 1B - Rajouté le 09/11/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De toestand is zeer gespannen » (« La situation est très tendue »).
On y trouve notamment la forme verbale « gespannen », participe passé) provenant de l’infinitif « SPANNEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce participe passé « GESPANNEN » est construit sur l’infinitif. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« tussen de tegenstanders »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 1 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 1A - Rajouté le 08/11/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De fabrieken in de voorstad zijn door een staking lamgelegd » (« Les usines dans la banlieue sont paralysées par une grève »).
On y trouve notamment la forme verbale « LAMgelegd », V.T.T. (ou participe passé) provenant de l’infinitif « LAMleggen » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « LEGGEN », verbe régulier.
Quand « LANMeggen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « LAM » (un adjectif) de son infinitif proprement dit, la particule «  GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « lamGElegd ».
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « door een staking »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 1 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : «  Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 31I - Rajouté le 07/11/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De vrede waarvan beiden hadden gedroomd » (« La paix dont tous deux avaient rêvé »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée (relative introduite par « WAARvan »), la forme verbale « HADDEN », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « HEBBEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Cet auxiliaire « HEBBEN » est ici utilisé au temps composé du plus-que-parfait.
On y trouve également la forme verbale « gedroomd », participe passé construit sur le verbe « DROMEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « DROMEN » est donc considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « M », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison du participe passé.
Le participe passé « gedroomd » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« altijd »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 31 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 31J - Rajouté le 06/11/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Na nog een laatste bezoek (…), keert hij naar de vaderlijke hoeve terug » (« Après encore une dernière visite, il regagne la ferme paternelle »).
On y trouve notamment la forme verbale « keert … TERUG », construite sur le verbe « TERUGkeren » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « KEREN ».
Quand « TERUGkeren » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERUG » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET derrière le complément (« naar de vaderlijke hoeve ») à la fin de la phrase.
Cette particule « TERUG » est très fréquente en néerlandais puisqu’elle correspond au préfixe « RE- » (exemple : Re-gagner), rendant la notion de RETOUR.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Na nog een laatste bezoek »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « HIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « keert ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 31 dans « MohWapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 31H - Rajouté le 05/11/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Andy) verblijft in het fort tot hij volledig van zijn wonden (is) hersteld is » (« Il séjourne au fort jusqu’à ce qu’il est complètement rétabli de ses blessures »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée (introduite par « tot » pour « totDAT »), la forme verbale « hersteld », participe passé provenant de l’infinitif « HERSTELLEN », lui-même construit sur le verbe « STELLEN ».
Ce verbe est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « L », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison du participé passé.
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « HER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe «  GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Rappelons aussi que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« volledig » et « van zijn wonden »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 31 dans « MohWapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 31G - Rajouté le 04/11/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het garnizoen vat met zijn gevangenen de terugtocht aan » (« La garnison entreprend avec ses prisonniers le chemin du retour »).
On y trouve notamment la forme verbale « vat … AAN », construite sur le verbe « AANvatten » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « VATTEN ».
Quand « AANvatten » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET derrière les compléments (« met zijn gevangenen » et « de terugtocht ») à la fin de la phrase.
Il est à noter que l’on trouve plus souvent l’expression « terugtocht aanVAARDEN » aux Pays-Bas.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 31 dans « MohWapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 31G - Rajouté le 03/11/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Khara) heeft met zijn getrouwen opnieuw bezit van de pueblo genomen » (« Il a avec ses fidèles à nouveau pris possession du village »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale «  GEnomen  », participe passé provenant de l’infinitif « NEMEN », affecté par les « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEnomen » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« met zijn getrouwen », « opnieuw » et «bezit »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 31 dans « MohWapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 31F - Rajouté le 02/11/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Moh Wapi, jouw dapperheid en trouw staan voor altijd met gouden letters in de geschiedenis van de West gegrift » (« Moh Wapi, ton courage et ta fidélité sont pour toujours gravés en lettres d’or dans l’histoire de l’Ouest »).
On y trouve notamment la forme verbale « gegrift », participe passé (utilisé ici avec « STAAN » au lieu de « ZIJN » comme auxiliaire du passé composé) construit sur le verbe « GRIFFEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « GRIFFEN » est donc considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « F », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire) comme terminaison pour le participe passé.
Le participe passé « gegrift » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« voor altijd », « met gouden letters» et « in de geschiedenis van de West »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 31 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 31E - Rajouté le 01/11/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij heeft zijn dapperheid met zijn leven moeten betalen » (« Il a dû payer son courage avec = de sa vie »).
On y trouve la forme verbale « MOETEN », la phrase étant, en fait, au passé composé et cette forme verbale aurait dû être au participe passé mais on a ici affaire à ce que l’on appelle le « double infinitif », solution intéressante pour éviter les « temps primitifs » quand on ne les maîtrise pas.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 31 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 31D - Rajouté le 31/10/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De rebellen laten zich gevangen nemen » (« Les rebelles se laissent prendre prisonniers »).
On y trouve notamment forme verbale « GEvangen », participe passé (utilisé quasi comme nom) provenant de l’infinitif « VANGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’infinitif. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 31 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 31C - Rajouté le 30/10/2013

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ontmoedigd door de ommekeer in de toestand, leggen de rebellen hun wapens neer » (« Découragés par le renversement dans la = de situation, les rebelles déposent leurs armes »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « ONTMOEDIGD », participe passé provenant de l’infinitif « ONTMOEDIGEN ».
Ce verbe « ONTMOEDIGEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « N », on trouvera comme terminaison du participe passé le « D » majoritaire.
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « ONT- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe «  GE- », commun à la majorité d’entre eux.
On y trouve également, dans la phrase principale, la forme verbale « leggen … NEER », provenant de l’infinitif « NEERleggen » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « LEGGEN ».
Quand « NEERleggen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « NEER » de son infinitif proprement dit, et son REJET, derrière le complément (« hun wapens »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (la phrase subordonnée « Ontmoedigd door de ommekeer » joue ici ce rôle), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de rebellen ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « leggen ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 31 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 31B - Rajouté le 29/10/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Werpt uw (jullie) wapens weg ! » (« Jetez vos armes ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « werpt … WEG », impératif provenant de l’infinitif « WEGwerpen » (verbe dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « WERPEN ».
Cette « particule séparable » « WEG » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« ver »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 31 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 31A - Rajouté le 28/10/2013

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Uw (jullie) leiders zijn gevallen en jullie zijn omsingeld » (« Vos chefs sont tombés et vous êtes encerclés »).
On y trouve notamment forme verbale « GEvallen », participe passé provenant de l’infinitif « VALLEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEVALLEN » fait l’objet en néerlandais d’un REJET, derrière le complément éventuel (« NU »), à la fin de la phrase.
Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’infinitif. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
On y trouve également la forme verbale « OMsingeld », participe passé provenant de l’infinitif « OMsingelen », lui-même construit sur le verbe « singelen », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « OMsingelen », qui n’est PAS « à particule séparable », est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela n’entraîne PAS en néerlandais une séparation de la particule « OM » de son infinitif proprement dit, aucune particule «  GE- » (commune à la majorité des participes passés) NE s’intercalant entre eux ».
Ce participe passé « OMsingeld » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« door de soldaten »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 31 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 30H - Rajouté le 27/10/2013

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Codha) wordt ontwapend en (hij wordt) teruggedreven » (« Il est désarmé et repoussé »).
On y trouve notamment, la forme verbale « ONTWAPEND », participe passé provenant de l’infinitif « ONTWAPENEN ».
Ce verbe « ONTWAPENEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « N », on trouvera comme terminaison du participe passé le « D » majoritaire.
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « ONT- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe «  GE- », commun à la majorité d’entre eux.
On y trouve également la forme verbale « TERUGgedreven », participe passé provenant de l’infinitif « TERUGdrijven », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur « DRIJVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que le participe passé « gedreven » se construit sur le pluriel du prétérit ou O.V.T. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Quand « TERUGdrijven » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERUG » de son infinitif proprement dit, la particule «  GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « terugGEdreven ».
Le participe passé « terugGEdreven » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« verder »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 30 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 30G - Rajouté le 26/10/2013

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Indien de hond (Bessy) niet overwint, zijn wij allen verloren » (« Si le chien ne gagne pas, nous sommes tous perdus »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « overwint », provenant de l’infinitif « OVERWINNEN » (qui n’est PAS à « particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « WINNEN ».
On y trouve également, dans la phrase principale, la forme verbale « VERLOREN », participe passé construit sur le verbe « VERLIEZEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe «  GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Il est à noter que ce participe passé se construit donc sur le PLURIEL du prétérit et est même identique. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Aux temps composés, le participe passé « VERLOREN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« ALLEN »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (la phrase subordonnée « Indien de hond niet overwint » joue ici ce rôle), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « WIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « ZIJN ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 30 dans « MohWapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 30F - Rajouté le 25/10/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Allen volgen gespannen het gevecht » (« Tous suivent, tendus, le combat »).
On y trouve notamment, utilisé comme adjectif épithète, la forme verbale « gespannen », participe passé provenant de l’infinitif « SPANNEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’INFINITIF. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 30 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 30E - Rajouté le 24/10/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Codha) stort onder het gewicht neer » (« Il s’écroule sous le poids »).
On y trouve la forme verbale « stort … NEER », construite sur le verbe « NEERstorten » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « STORTEN ».
Quand « NEERstorten » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « NEER » de son infinitif proprement dit, faisant l’objet d’un REJET derrière le complément éventuel (« onder het gewicht »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 30 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 30D - Rajouté le 23/10/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De hond heeft het gevaar bemerkt » (« Le chien a remarqué le danger »).
On y trouve notamment la forme verbale « bemerkt », participe passé provenant de l’infinitif « BEMERKEN ».
Ce verbe « BEMERKEN » est considéré comme « régulier » ; comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire) comme terminaison du participe passé.
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe «  GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Ce participe passé « bemerkt » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« het gevaar »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 30 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 30C - Rajouté le 22/10/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je bent omsingeld » (« Tu es encerclé »).
On y trouve notamment la forme verbale « OMsingeld », participe passé provenant de l’infinitif « OMsingelen », lui-même construit sur le verbe « singelen », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « OMsingelen », qui n’est PAS « à particule séparable », est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela n’entraîne PAS en néerlandais une séparation de la particule « OM » de son infinitif proprement dit, aucune particule «  GE- » (commune à la majorité des participes passés) NE s’intercalant entre eux ».
Ce participe passé « OMsingeld » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« door ons »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 30 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 30 B - Rajouté le 21/10/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Jullie officieren zullen allen onmiddellijk (worden) neergeschoten worden » (« Vos officiers vont tous immédiatement être abattus »).
On y trouve notamment la forme verbale « neerGESCHOTEN », participe passé (utilisé dans une phrase au futur antérieur) provenant de l’infinitif « NEERschieten », lui-même construit sur le verbe « SCHIETEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé « GESCHOTEN » se construit sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Ce verbe « NEERschieten » est aussi dit « à particule séparable » ; quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « NEER » de son infinitif proprement dit, la particule «  GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « neerGEschoten ».
Ce participe passé « neerGESCHOTEN » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« allen » et « onmiddellijk »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 30 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 30A - Rajouté le 20/10/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Codha) geeft zich nog niet gewonnen » (« Il ne se donne pas encore gagné = il ne s’avoue pas encore vaincu »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEWONNEN », participe passé du verbe « WINNEN », faisant partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Cette forme verbale « GEWONNEN » est, comme on le voit, construite sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez notamment notre tableau de synthèse « Temps primitifs » dans la partie « GRAMMATICA » de ce site.)
Ce participe passé « GEWONNEN » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« nog » et « niet »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 30 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 29E - Rajouté le 19/10/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De door Moh Wapi gewaarschuwde troepen hebben de pueblo stormeNderhand ingenomen » (« Les troupes, averties par Moh Wapi, ont pris le village d’assaut »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale «  inGEnomen  », participe passé provenant de l’infinitif « INnemen », lui-même construit sur l’infinitif « NEMEN », affecté par les « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe «INnemen » est aussi dit « à particule séparable » ; quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « IN » de son infinitif proprement dit, la particule «  GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « inGEnomen ».
Le participe passé « inGEnomen » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« de pueblo » et « stormeNderhand »), à la fin de la phrase.
Notons la construction particulière du groupe sujet avec un participe passé utilisé comme adjectif épithète (« gewaarschuwdE ») au sein d’une sorte de phrase subordonnée incise. On aurait en effet pu avoir la variante suivante (à la voix passive) : « De troepen, die door Moh Wapi werden gewaarschuwd, hebben de pueblo stormeNderhand ingenomen ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 29 dans « MohWapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 29D - Rajouté le 18/10/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze hebben begrepen = verstaan » (« Ils ont compris »).
On y trouve notamment la forme verbale « begrepen », participe passé provenant de l’infinitif « begrijpen », lui-même construit sur le verbe « GRIJPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « begrepen » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« alles »), à la fin de la phrase.
Il est à noter que ce participe passé « begrepen » se construit sur le pluriel du prétérit ou O.V.T. et, dans ce cas-ci, est même identique (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Rappelons en effet que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe «  BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe «  GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Notons que le verbe, correspondant en néerlandais à « comprendre avec son intelligence », devrait plutôt être « VERSTAAN » (en relation avec le nom commun « VERSTAND »).
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 29 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 29C - Rajouté le 17/10/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Terwijl hij neervalt, gaat hij met seinen door » (« Pendant qu’il s’effondre, il continue avec ses signaux = à émettre des signaux »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « gaat … DOOR », provenant de l’infinitif « DOORgaan », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « GAAN ».
La « particule séparable » « DOOR » fait l’objet d’un REJET derrière le complément « met seinen », à la fin de la phrase.
On y trouve également, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « NEERvalt », provenant de l’infinitif « NEERvallen », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « VALLEN ».
Si l’on avait eu la variante de phrase « Hij valt op de grond NEER maar gaat (hij) met seinen door », on aurait mieux vu que la « particule séparable » « NEER » ferait l’objet d’un REJET derrière le complément éventuel « op de grond », à la fin de la phrase subordonnée.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (la phrase subordonnée « Terwijl hij neervalt » joue ici ce rôle), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici le deuxième « HIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « GAAT ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 29 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 29B - Rajouté le 16/10/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij wordt dodelijk getroffen » (« Il est mortellement touché »).
On y trouve notamment la forme verbale « getroffen », participe passé provenant de l’infinitif « TREFFEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que le participe passé « getroffen » se construit sur le pluriel du prétérit ou O.V.T. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « GEtroffen » fait l’objet d’un REJET, derrière le « complément » (« dodelijk »), à la fin de la phrase. On nous dira que c’est aussi le cas en langue française. Si on remplace « dodelijk » par un complément, le REJET est plus évident : « Hij wordt door een kogel getroffen ».
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 29 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 29A - Rajouté le 15/10/2013

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Codha beseft dat zijn list (is) mislukt is en schiet als bezeten op de gids » (« Codha se rend compte que sa ruse a échoué et tire, comme possédé, sur le guide = l’éclaireur »).
On y trouve notamment, dans la première phrase, la forme verbale « MISlukt », participe passé provenant de l’infinitif « MISlukken », lui-même construit sur le verbe « LUKKEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Contraire à son synonyme « MISlopen » (verbe dit « à particule séparable ») qui, lorsqu’il est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, connaît une séparation de la particule « MIS » de son infinitif proprement dit - la particule «  GE- », commune à la majorité des participes passés s’intercalant entre eux => « misGElopen » -, « MISlukken » n’est PAS un verbe dit « à particule séparable ».
Ce participe passé « mislukt » fait l’objet d’un REJET, derrière le « complément » éventuel (« volledig »), à la fin de la première phrase.
On y trouve également, dans la deuxième phrase, la forme verbale « BEZETEN », participe passé provenant du verbe « BEZITTEN », construit sur l’infinitif « ZITTEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe «  BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe «  GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Notez que si l’on avait eu la variante « Codha schiet op de gids alsof hij (was) bezeten was », on aurait plus clairement constaté que ce participe passé « BEZETEN » faisait bien l’objet d’un REJET, derrière le « complément » éventuel (« volledig »), à la fin de la deuxième phrase, incise.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 29 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 28G - Rajouté le 14/10/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij Moh-Wapi) zendt zijn seinen door middel van een spiegel uit » (« Il envoie = émet ses signaux à l’aide d’un miroir »).
On y trouve notamment la forme verbale « zendt… UIT », provenant de l’infinitif « UITzenden », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « ZENDEN ».
Quand « UITzenden  » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule «  UIT » étant affectée par un REJET, derrière les compléments (« zijn seinen » et « door middel van een spiegel »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 28F - Rajouté le 13/10/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat lijkt me verdacht » (« Cela me semble suspect »).
On y trouve l’adjectif attribut « verDACHT », ancienne forme verbale au participe passé (et prétérit) provenant de l’infinitif « verDENKEN », lui-même construit sur le verbe « DENKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons en effet que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe «  VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe «  GE- », commun à la majorité d’entre eux.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 28E - Rajouté le 12/10/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De lont was bijna opgebrand » (« La mèche était presque consumée »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « OPgebrand », participe passé provenant de l’infinitif « OPbranden », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « BRANDEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le verbe « OPbranden » est donc considéré comme « régulier » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant déjà par la consonne « D », on trouvera évidemment comme terminaison du participe passé le « D » majoritaire.
Quand « OPbranden » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule «  GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEbrand ».
Le participe passé « OPgebrand » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« BIJNA »), à la fin de la phrase subordonnée.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 28D - Rajouté le 11/10/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij botst erop Hidats, die net de lont heeft ontstoken » (« Brisé par la douleur, il sanglote longtemps jusqu’à épuiser son chagrin»).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « ONTstoken, participe passé provenant de l’infinitif « ONTsteken », lui-même construit sur le verbe « STEKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « ONT- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe «  GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Le participe passé « ONTstoken » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« net » et « de lont »), à la fin de la phrase subordonnée.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 28C - Rajouté le 10/10/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Moh-Wapi) snelt naar de plaats waar het dynamiet (werd) geplaatst werd » (« Il court à toutes jambes vers l’endroit où la dynamite fut placée »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée (introduite par « WAAR », la forme verbale « geplaatst », participe passé provenant de l’infinitif « PLAATSEN », qui NE fait PAS partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « PLAATSEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « S », on trouvera comme terminaison au participe passé un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Le participe passé « geplaatst » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« zorgvuldig »), à la fin de la phrase subordonnée.
Cette phrase subordonnée est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
L’auxiliaire « WORDEN » de la voix passive est au prétérit et fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 28B - Rajouté le 09/10/2013

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De wachter wordt verrast en is snel overmeesterd » (« Les Arapahos complètement surpris sont refoulés dans un coin du pueblo »).
On y trouve notamment, la forme verbale « VERRAST » (utilisée comme adjectif épithète), participe passé provenant de l’infinitif « VERRASSEN », qui NE fait PAS partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « VERRASSEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « S », on trouvera comme terminaison au participe passé un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe «  GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Le participe passé « VERRAST » fait l’objet d’un REJET, derrière l’attribut (« SNEL »), à la fin de la première phrase.
Cette première phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
On y trouve également, dans la deuxième phrase, la forme verbale « overmeesterd », provenant de l’infinitif « OVERmeesteren ».
Ce verbe « OVERmeesteren » n’est PAS affecté par les « temps primitifs » et n’est PAS à « particule séparable » puisque le « GE » (commun à une majorité de participes passés) NE s’intercale PAS, dans son cas, entre la particule « OVER » et la forme verbale proprement dite.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 28A - Rajouté le 08/10/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Op bevel bijt ze de touwen van de gebonden gevangenen door » (« De poste en poste, le signal est transmis au fort »).
On y trouve notamment la forme verbale « bijt … DOOR », construite sur le verbe « DOORbijten » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « BIJTEN ».
Quand « DOORbijten » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « DOOR » de son infinitif proprement dit, la particule « DOOR » faisant l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« de touwen » et « van de gebonden gevangenen »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Op bevel »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « ZE ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « BIJT ») et passant donc derrière lui.
On y trouve également la forme verbale « GEBONDEN », participe passé (utilisé ici comme adjectif épithète) provenant de l’infinitif « BINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé « GEBONDEN » se construit sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
On y trouve enfin la forme verbale « GEVANGEN » (utilisée ici comme nom au pluriel : « GEVANGEN » + « -EN » => « gevangenEN »), participe passé provenant de l’infinitif « VANGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce participe passé « GEVANGEN » est construit sur l’infinitif. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 27F - Rajouté le 07/10/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Bij het zicht van bevriende uniformen waagt (durft) de hond (Bessy) het terug te keren (« A la vue des uniformes amis, le chien ose le retour = retourner »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « WAAGT » (synonyme dialectal de « DURFT), provenant du verbe « WAGEN » (synonyme donc dialectal de « DURVEN), engendrant un « TE » suivi d’une proposition « infinitive », qui précède l’infinitif « TERUGKEREN ».
L’infinitif « TERUGkeren » est un verbe dit « à particule séparable » qui, lorsqu’il est « conjugué », connaît une séparation de la particule « TERUG » de son infinitif « KEREN » proprement dit, le « TE » s’intercalant ici entre la particule «  TERUG » et cet infinitif « KEREN ».
On aurait pu avoir les variantes suivantes de la phrase : « De hond (Bessy) waagt (durft) het terugkeren » (où l’infinitif devenait un nom neutre) OU « De hond (Bessy) waagt (durft) de terugkeer ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Bij het zicht van bevriende uniformen »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de hond ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « waagt ») et passant donc derrière lui.
On y trouve également, dans le complément précédant la phrase principale, la forme verbale « BEVRIEND » (qui n’est plus connue qu’en tant adjectif et utilisée ici en tant qu’adjectif épithète), participe passé provenant de l’infinitif disparu « BEVRIENDEN », qui NE faisait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe «  BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe «  GE- », commun à la majorité d’entre eux.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 27 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 27E - Rajouté le 06/10/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Onder voorwendsel dat de sachem nog niet geheel klaar voor het feest is, worden de officieren onder de lading kruit geleid » (« Sous prétexte que le sachem n’est pas encore tout à fait prêt pour la fête, les officiers sont conduits sous le chargement de poudre à canon »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « GELEID », participe passé provenant de l’infinitif « LEIDEN ».
Ce verbe « LEIDEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant déjà par la consonne « D », on trouvera bien sûr comme terminaison du participe passé le « D » majoritaire.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (la phrase subordonnée « Onder voorwendsel dat de sachem nog niet geheel klaar voor het feest is » joue ici ce rôle), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de officieren») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « worden ») et passant donc derrière lui.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
Le participe passé « GELEID » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« onder de lading kruit »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 27 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 27D - Rajouté le 05/10/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ondertussen worden de kolonel en zijn officieren in de pueblo verwelkomd » (« Entretemps le colonel et ses officiers sont souhaités = se voient souhaiter la bienvenue dans le village »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERwelkomd », participe passé provenant de l’infinitif « VERwelkomen ».
Ce verbe « VERwelkomen » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « M », on trouvera comme terminaison du participe passé le « D » majoritaire.
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe «  GE- », commun à la majorité d’entre eux.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Ondertussen »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de kolonel en zijn officieren») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « worden ») et passant donc derrière lui.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
Le participe passé « VERwelkomd » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« in de pueblo »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 27 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 27C - Rajouté le 04/10/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Onze hut wordt streng bewaakt » (« Notre hutte est sévèrement surveillée »).
On y trouve notamment la forme verbale « BEWAAKT », participe passé provenant de l’infinitif « BEWAKEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « BEWAKEN » est donc considéré comme « régulier » mais il fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera le « T » minoritaire comme terminaison du participe passé.
Rappelons également que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Le participe passé « BEWAAKT » fait l’objet d’un REJET, derrière le « complément » (« streng »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 27 dans « MohWapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 27B - Rajouté le 03/10/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een diepe spleet wordt met buskruit gevuld » (« Une profonde crevasse est remplie de poudre à canon »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEVULD », participe passé provenant de l’infinitif « VULLEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « VULLEN » est donc considéré comme « régulier » ; il NE fait PAS non plus partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « L », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison du participe passé.
Le participe passé « GEVULD » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« met buskruit »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 27 dans « MohWapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 27A - Rajouté le 02/10/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De springstof wordt langs een geitenpad naar een rotsspleet gebracht » (« L’explosif est apporté le long d’un sentier de chèvre vers une anfractuosité »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEBRACHT », participe passé provenant de l’infinitif « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEBRACHT » est construit sur le SINGULIER du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « GEBRACHT » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« langs een geitenpad » et « naar een rotsspleet »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 27 dans « MohWapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 26F - Rajouté le 01/10/2013

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De rots zal uiteenspringen en hen allen verpletteren » (« Le rocher va éclater et tous les écraser »).
On y trouve notamment la forme verbale « uiteenspringen », qui est un verbe dit « à particule séparable ».
Quand « UITEENspringen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UITEEN » de son infinitif proprement dit, faisant l’objet d’un REJET derrière le complément éventuel (« in stukken »), à la fin de la phrase. C’est ainsi que, si l’on avait eu la phrase au présent au lieu de l’avoir au futur, cela aurait donné : « De rots springt (in stukken) uiteen ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 26 dans « MohWapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 26E - Rajouté le 30/09/2013

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hoe zullen we hen kunnen overwinnen ? » (« Comment allons-nous pouvoir les vaincre ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « overwinnen », qui n’est PAS à « particule séparable » .
Si l’on avait eu la phrase au présent au lieu de l’avoir au futur, cela aurait donné : « Hoe overwinnen we hen (ze) ? ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 26 dans « MohWapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 26D - Rajouté le 29/09/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Onder een strenge bewaking worden de ontwapende krijgers en hun familie buiten de omheining gebracht » (« Sous une stricte surveillance, les guerriers désarmés et leur famille sont emmenés hors de l’enceinte »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEBRACHT », participe passé provenant de l’infinitif « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEBRACHT » est construit sur le SINGULIER du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « GEBRACHT » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« buiten de omheining »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Onder een strenge bewaking »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (« de ontwapende krijgers en hun familie ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « worden ») et passant donc derrière lui.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 26 dans « MohWapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 26C - Rajouté le 28/09/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Daarna zal (er) over jullie lot beslist worden » (« Il sera ensuite décidé au sujet de votre sort = On décidera ultérieurement de votre sort »).
On y trouve notamment la forme verbale « BESLIST », participe passé provenant de l’infinitif « BESLISSEN » qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « BESLISSEN » est donc considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) et fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « S », on trouvera le « T » minoritaire comme terminaison du participe passé.
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Le participe passé « BESLIST » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« over jullie lot »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« DAARNA »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici, sous-entendu : « ER ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « ZAL ») et passant donc derrière lui.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 26 dans « MohWapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 26B - Rajouté le 27/09/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Jullie worden in de bergen gedreven » (« Vous êtes refoulés dans les montagnes »).
On y trouve notamment la forme verbale « gedreven », participe passé provenant de l’infinitif « DRIJVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que le participe passé « gedreven » se construit sur le pluriel du prétérit ou O.V.T. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « GEdreven » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« in de bergen »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 26 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 26A - Rajouté le 26/09/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Welk lot is mij en mijn volk beschoren ? » (« Quel sort m’est réservé et à mon peuple ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « BESCHOREN » (qui n’est plus connue qu’en tant adjectif), participe passé provenant de l’infinitif disparu « BESCHEREN », qui faisait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Ce « participe passé » « BESCHOREN » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments » (« mij » et « mijn volk»), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 26 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 25F - Rajouté le 25/09/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij (Bessy) heeft haar achtervolgers inderdaad ver achter zich (haar) gelaten » (« Bessy a en effet laissé ses poursuivants loin derrière elle »).
On y trouve notamment la forme verbale « « GELATEN », participe passé provenant de l’infinitif « « LATEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GELATEN » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« haar achtervolgers », « inderdaad » et « ver achter zich »), à la fin de la phrase.
Il est à noter que ce participe passé « GELATEN » se construit sur l’INFINITIF. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 25E - Rajouté le 24/09/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maar wat is er van Bessy geworden ? » (« Mais qu’y a-t-il de Bessy devenu ? = Mais qu’est-il advenu de Bessy ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « « GEWORDEN », participe passé provenant de l’infinitif « « WORDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEWORDEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« van Bessy »), à la fin de la phrase.
Il est à noter que ce participe passé « GEWORDEN » se construit sur l’INFINITIF. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 25D - Rajouté le 23/09/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je bent gewond en ik kan je niet helpen » (« Tu es blessé et je ne peux pas t’aider »).
On y trouve notamment la forme verbale « gewond », participe passé provenant de l’infinitif « wonden ».
Ce verbe « WONDEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant déjà par la consonne « D », on trouvera, de toutes façons, comme terminaison du participe passé le « D » majoritaire.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 25C - Rajouté le 22/09/2013

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze (Andy en Moh-Wapi) worden stevig gekneveld en naar hun hut gedragen » (« Ils sont solidement ligotés et porté vers leur hutte »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEKNEVELD », participe passé provenant de l’infinitif « KNEVELEN », qui n’est PAS affecté par les « temps primitifs ».
Ce verbe « KNEVELEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « L », on trouve donc le « D » majoritaire à la fin du participe passé = « GEknevelD ».
Le participe passé « GEknevelD » fait l’objet d’un REJET, derrière l’attribut (« stevig »), à la fin de la phrase.
On y trouve également la forme verbale « GEDRAGEN », V.T.T. (ou participe passé) provenant de l’infinitif « DRAGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé « GEDRAGEN » se construit sur l’infinitif. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « GEDRAGEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« naar hun hut »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 25B - Rajouté le 21/09/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Sluit hen in een hut op de heuvel op » (« Emprisonne-les dans une hutte sur la colline »).
On y trouve notamment la forme verbale « sluit … OP » (à l’impératif), provenant de l’infinitif « OPsluiten » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « SLUITEN ».
Comme à l’indicatif présent, la particule séparable « OP » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« in een hut » et « op de heuvel »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 25A - Rajouté le 20/09/2013

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het laatste uur heeft voor jullie geslagen» (« Le sachem a donné sa parole aux visages pâles »).
On y trouve notamment la forme verbale « geslagen », participe passé provenant de l’infinitif « SLAAN », affecté par les « temps primitifs ».
Le participe passé « geslagen » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« voor jullie »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 24A - Rajouté le 19/09/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Khara (de sachem) heeft zijn woord aan de bleekgezichten gegeven» (« Le sachem a donné sa parole aux visages pâles »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEGEVEN », participe passé provenant de l’infinitif « GEGEVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEGEVEN » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« zijn woord » et « aan de bleekgezichten »), à la fin de la phrase.
Il est à noter que ce participe passé « GEGEVEN » se construit sur l’INFINITIF. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 24 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 23E - Rajouté le 18/09/2013

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maar Moh Wapi wordt snel overrompeld en ook Andy wordt overmeesterd » (« Mais Moh Wapi est vite pris par surprise et Andy est également maîtrisé »).
On y trouve notamment, dans la première phrase, la forme verbale « overrompeld », participe passé provenant de l’infinitif « OVERROMPELEN », verbe régulier.
Ce verbe « OVERROMPELEN » n’est PAS à « particule séparable » puisqu’aucun « GE » ne s’intercale, dans son cas, entre la particule « OVER » et la forme verbale proprement dite.
Le participe passé « overrompeld » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« snel »), à la fin de la phrase.
On y trouve également, dans la deuxième phrase, la forme verbale « overmeesterd », provenant de l’infinitif « OVERmeesteren », verbe régulier.
Ce verbe « OVERmeesteren » n’est PAS affecté par les « temps primitifs » et n’est PAS à « particule séparable » puisque le « GE » NE s’intercale PAS non plus, dans son cas, entre la particule « OVER » et la forme verbale proprement dite.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 23 dans « MohWapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 23D - Rajouté le 17/09/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Mijn broeder heeft de stam verlaten » (« Mon frère a quitté la tribu »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « VERLATEN », participe passé provenant du verbe « VERLATEN », lui-même construit sur l’infinitif « LATEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Il est à noter que ce participe passé se construit donc sur l’INFINITIF et est même identique. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« de stam »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 23 dans « MohWapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 23A - Rajouté le 16/09/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De volledig verraste Arapahos worden in een hoek van de pueblo samengedreven » (« Les Arapahos complètement surpris sont refoulés dans un coin du pueblo »).
On y trouve notamment, la forme verbale « VERRAST » (utilisée comme adjectif épithète), participe passé provenant de l’infinitif « VERRASSEN », qui NE fait PAS partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « VERRASSEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « S », on trouvera au participe passé un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
On y trouve également la forme verbale « SAMENgedreven », participe passé provenant de l’infinitif « SAMENdrijven », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur « DRIJVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que le participe passé « gedreven » se construit sur le pluriel du prétérit ou O.V.T. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Quand « SAMENdrijven » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « SAMEN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « samenGEdreven ».
Le participe passé « samenGEdreven » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« in een hoek van de pueblo »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 23 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 22G 23B - Rajouté le 15/09/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Reeds hebben alle krijgers van Codha de muren overschreden » (« Déjà tous les guerriers de Codha ont franchi les murs »).
On y trouve notamment la forme verbale « overschreden », participe passé provenant de l’infinitif « overschrijden », lui-même construit sur le verbe « schrijden », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « overschrijden » n’est PAS à « particule séparable » puisque aucun « GE » NE s’intercale PAS, dans son cas, entre la particule « OVER » et la forme verbale proprement dite.
Le participe passé « overschreden » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« de muren »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« REEDS »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « alle krijgers van Codha ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « hebben ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite d’un montage réalisé par nos soins d’illustrations extraites des pages 22 et 23 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 22F 23A - Rajouté le 14/09/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Voor elke hut stelt zich een krijger op » (« Devant chaque hutte se place un guerrier »).
On y trouve notamment la forme verbale « stelt … OP », provenant de l’infinitif « OPstellen » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « STELLEN ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Voor elke hut »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « een krijger ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « stelt ») et passant donc derrière lui.
La particule séparable « OP » devrait normalement faire l’objet d’un REJET, derrière le COMPLEMENT (« Voor elke hut »), à la fin de la phrase. Si on commence cette phrase par le sujet, on en a confirmation : « Een krijger stelt zich voor elke hut op. »
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite d’un montage réalisé par nos soins d’illustrations extraites des pages 22 et 23 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 22E - Rajouté le 13/09/2013

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De schiIdwacht wordt plotseling overvallen en (wordt) in een oogwenk overmeesterd » (« La sentinelle est soudain attaquée et maîtrisée en un clin d’œil »).
On y trouve notamment, dans la première phrase, la forme verbale « overvallen », participe passé provenant de l’infinitif « OVERVALLEN » (synonyme de « AANVALLEN »).
Ce verbe « OVERVALLEN » est affecté par les « temps primitifs » puisqu’il est construit sur « VALLEN » mais n’est PAS à « particule séparable » ; il est homonyme d’un autre « OVERVALLEN » (signifiant « tomber, se rabattre ») qui fait un participe passé « overGEvallen » et est, lui, donc à « particule séparable » puisque le « GE » s’intercale, dans son cas, entre la particule « OVER » et la forme verbale proprement dite.
Le participe passé « OVERVALLEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« plotseling »), à la fin de la phrase.
On y trouve également, dans la deuxième phrase, la forme verbale « overmeesterd », provenant de l’infinitif « OVERmeesteren ».
Ce verbe « OVERmeesteren » n’est PAS affecté par les « temps primitifs » et n’est PAS à « particule séparable » puisque le « GE » NE s’intercale PAS non plus, dans son cas, entre la particule « OVER » et la forme verbale proprement dite.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 22 dans « MohWapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 22D - Rajouté le 12/09/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De listige Codha droeg er zorg voor = zorgde daarvoor een van zijn vertrouwensmannen bij de stam achter te laten » (« Le rusé Codha veilla à laisser un de ses hommes de confiance derrière lui, auprès de la tribu »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « DROEG » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant du verbe « DRAGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve également une sorte de phrase subordonnée « infinitive », avec la forme verbale « achter … laten » et un « TE » engendré par l’expression « zorgen voor », le verbe « ACHTERlaten » étant dit « à particule séparable » et le « TE » s’intercalant entre la « particule séparable » (« ACHTER ») et l’infinitif proprement dit.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 22 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 22C - Rajouté le 11/09/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Elke avond worden de ladders ingetrokken » (« Chaque soir, les échelles sont retirées à / vers l’intérieur »).
On y trouve notamment la forme verbale « INgetrokken », participe passé provenant de l’infinitif « INtrekken », lui-même construit sur l’infinitif « TREKKEN »,qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que le participe passé « GETROKKEN » se construit sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Ce verbe «INtrekken » est aussi dit « à particule séparable » ; quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « IN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « inGEtrokken ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Elke avond »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de ladders ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « worden ») et passant donc derrière lui.
Le participe passé « inGETROKKEN » devrait normalement faire l’objet d’un REJET, derrière le complément (« Elke avond »), à la fin de la phrase. Si on commence cette phrase par le sujet, on en a confirmation : « De ladders worden elke avond ingetrokken ».
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 22 dans « MohWapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 22B - Rajouté le 10/09/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze krijgen een hut op de heuvel toegewezen » (« Ils reçoivent une hutte attribuée sur la colline = Ils se voient attribuer une hutte sur la colline»).
On y trouve notamment la forme verbale « « TOEgewezen » (utilisée comme une sorte d’attribut), V.T.T. (ou participe passé) provenant de l’infinitif « toeWIJZEN », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « WIJZEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « TOEwijzen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TOE » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « toeGEwezen ».
Il est à noter que la particule « TOE » provient de la préposition « TOT ».
Le participe passé « TOEgewezen » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« een hut » et « op de heuvel »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 22 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 22A - Rajouté le 09/09/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het grote opperhoofd der (= van de) bleekgezichten zal luisterrijk (worden) ontvangen worden » (« Le grand chef des visages pâles sera fastueusement reçu »).
On y trouve notamment la forme verbale « ONTvangen », participe passé provenant de l’infinitif « ONTvangen », lui-même construit sur le verbe « VANGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « ONT- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Signalons dès lors que, si « ONTvangen » est ici au V.T.T. (ou passé composé), il aurait été écrit de la même façon à l’O.T.T. (ou indicatif présent).
Le participe passé « ONTvangen » fait l’objet d’un REJET, derrière le « complément » (« luisterrijk »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 22 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 21F - Rajouté le 08/09/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « U hebt de twijfel uit mijn hart verwijderd » (« Vous avez éloigné le doute de mon coeur »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERwijderd », participe passé provenant de l’infinitif « VERwijderen ».
Ce verbe « VERwijderen » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « R », on trouvera comme terminaison du participe passé le « D » majoritaire.
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Le participe passé « VERwijderd » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« de twijfel » et « uit mijn hart »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 21 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 21E - Rajouté le 07/09/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Degenen, die u om u heen ziet, zijn mij trouw gebleven » (« Ceux que vous voyez autour de vous me sont restés fidèles »).
On y trouve la forme verbale « GEBLEVEN », participe passé provenant de l’infinitif « BLIJVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Cette forme verbale « GEBLEVEN » est construite sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez notamment notre tableau de synthèse « Temps primitifs » dans la partie « GRAMMATICA » de ce site.)
Ce participe passé « GEBLEVEN » fait l’objet d’un REJET, derrière les « compléments » (« mij » et « trouw ») , à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 21 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 21D - Rajouté le 06/09/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Mijn volk is in twee kampen verdeeld » (« Mon peuple est divisé en deux camps »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERdeeld », participe passé provenant de l’infinitif « VERdelen », lui-même construit sur le verbe « DELEN ».
Ce verbe « DELEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « L », on trouvera comme terminaison du participe passé le « D » majoritaire.
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Le participe passé « VERdeeld » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« in twee kampen »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 21 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 21C - Rajouté le 05/09/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De zwarte dood heeft zijn stam ontvolkt » (« La mort noire a dépeuplé sa tribu »).
On y trouve notamment la forme verbale « ONTvolkt », participe passé provenant de l’infinitif « ONTvolken ».
Ce verbe « ONTvolken » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera comme terminaison du participe passé un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « ONT- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Signalons dès lors que, si « ONTvolkt » est ici au V.T.T. (ou passé composé), il aurait été écrit de la même façon à l’O.T.T. (ou indicatif présent).
Le participe passé « ONTvolkt » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« zijn stam »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 21 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 21B 20H - Rajouté le 04/09/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Slechts een krijger gaat de groep tegemoet » (« Un seul guerrier vient à la rencontre du groupe »).
On y trouve notamment la forme verbale « GAAT » et, affectée par un REJET, derrière le complément (« de groep »), à la fin de la phrase, « TEGEMOET », qui n’est pas, ici, une « particule séparable » mais réagit comme elle.
Il n’existe, en effet, PAS de verbe « TEGEMOET gaan », qui serait « à particule séparable » mais l’expression comme le verbe « TEGEMOETkomen ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite d’un montage réalisé par nos soins d’illustrations extraites des pages 20 et 21 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 20G 21A - Rajouté le 03/09/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze laten ladders neer » (« Ils laissent des échelles venir à terre »).
On y trouve notamment la forme verbale « laten … NEER », provenant de l’infinitif « NEERlaten » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « LATEN ».
Quand « NEERlaten » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « NEER » de son infinitif proprement dit, et son REJET, derrière le complément (« ladders »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite d’un montage réalisé par nos soins d’illustrations extraites des pages 20 et 21 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 20F - Rajouté le 02/09/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze hebben hun hutten achter de omheiningsmuur van een oude pueblo opgericht » (« Ils ont établi leurs huttes derrière le mur d’enceinte d’un vieux pueblo = village »).
On y trouve notamment la forme verbale « OPgericht », participe passé construit sur le verbe « OPRICHTEN », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur « RICHTEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le verbe « OPRICHTEN » est donc considéré comme « régulier » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant (déjà) par la consonne « T », on trouvera comme terminaison du participe passé un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Quand « OPrichten » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEricht ».
Le participe passé « OPgericht » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« hun hutten » et « achter de omheiningsmuur van een oude pueblo »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 20 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 20E - Rajouté le 01/09/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het is zoals ik heb gedacht » (« C’est comme j’ai pensé »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « GEDACHT », participe passé provenant de l’infinitif « DENKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEDACHT » est construit sur le SINGULIER du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « GEDACHT » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« altijd »), à la fin de la phrase subordonnée.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 20 dans « MohWapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 20D - Rajouté le 31/08/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We worden reeds aangekondigd » (« Nous sommes déjà annoncés »).
On y trouve aussi la forme verbale « AANgekondigd », V.T.T. (ou participe passé) provenant de l’infinitif « AANkondigen » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur un ancien verbe régulier « kondigen », qui n’existe plus.
Ce verbe est donc considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « G », on trouvera le « D » majoritaire.
Quand « AANkondigen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGEkondigd ».
Le participe passé « AANgekondigd » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« REEDS »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 20 dans « MohWapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 20C - Rajouté le 30/08/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De afdeding wordt echter reeds door Indiaanse verkenners bespied » (« Le détachement est en fait déjà espionné par des éclaireurs indiens »).
On y trouve notamment la forme verbale « BESPIED », participe passé provenant de l’infinitif « BESPIEDEN ».
Ce verbe « BESPIEDEN » est donc considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant (déjà) par la consonne « D », on trouvera comme terminaison du participe passé le « D » majoritaire.
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Le participe passé « BESPIED » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« echter », « reeds » et « door Indiaanse verkenners »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 20 dans « MohWapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 20B - Rajouté le 29/08/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze hebben me alles ontnomen wat me lief was » (« Ils m’ont pris tout ce qui m’était cher »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « ONTnomen », participe passé provenant de l’infinitif « ONTnemen », lui-même construit sur le verbe « NEMEN »,qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « ONT- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Le participe passé « ONTnomen » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« ME » et « ALLES »), à la fin de la phrase principale.
On y trouve également, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 20 dans « MohWapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 20A - Rajouté le 28/08/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Kan je ons zeggen in welke richting ze vertrokken zijn ? » (« Peux-tu nous dire dans quelle direction ils sont partis ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERTROKKEN », participe passé provenant de l’infinitif « VERTREKKEN », lui-même construit sur le verbe « TREKKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux
Il est à noter que ce participe passé « VERTROKKEN » se construit donc sur le PLURIEL du prétérit et est même identique. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 20 dans « MohWapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 19D - Rajouté le 27/08/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De schuldigen zullen (worden) gestraft worden » (« Les coupables seront punis »).
On y trouve notamment la forme verbale « gestraft », participe passé construit sur le verbe « STRAFFEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « STRAFFEN » est donc considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « F », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Le participe passé « gestraft » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« voor hun misdaad »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 19 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 19C - Rajouté le 26/08/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Onmiddellijk wordt alarm geblazen » (« Immédiatement, l’alarme est soufflée = sonnée »).
On y trouve notamment la forme verbale « geblazen », participe passé construit sur le verbe « BLAZEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « geblazen » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« voor alle soldaten »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Onmiddellijk »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « alarm ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « wordt ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 19 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 19B - Rajouté le 25/08/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Van post tot post wordt het sein naar het fort doorgegeven » (« De poste en poste, le signal est transmis au fort »).
On y trouve notamment la forme verbale « DOORgegeven », participe passé construit sur le verbe « DOORgeven » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « GEVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « DOORgeven » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « DOOR » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « doorGEgeven ».
Le participe passé « DOORgegeven » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« naar het fort »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Van post tot post »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « het sein ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « wordt ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 19 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 19A - Rajouté le 24/08/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Waarnemingsposten van het fort wisselen onder elkaar seinen uit » (« Des postes d’observation du fort échangent des signaux »).
On y trouve notamment la forme verbale « wisselen … UIT », provenant de l’infinitif « UITwisselen », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « WISSELEN ».
Quand « UITwisselen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « UIT » étant affectée par un REJET, derrière les compléments (« onder elkaar » et « seinen »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 19 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 18C - Rajouté le 23/08/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Om zich te beschermen, rollen ze zware stenen voor zich uit » (« Pour se protéger, ils font rouler de lourdes pierres devant eux »).
On y trouve notamment la forme verbale « rollen … UIT », provenant de l’infinitif « UITrollen », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « ROLLEN ».
Quand « UITrollen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « UIT » étant affectée par un REJET, derrière les compléments (« zware stenen » et « voor zich »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Om zich te beschermen »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « ZE ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « ROLLEN ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 18 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 18B - Rajouté le 22/08/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een van de krijgers stort neer » (« Un des guerriers s’écroule »).
On y trouve la forme verbale « stort … NEER », construite sur le verbe « NEERstorten » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « STORTEN ».
Quand « NEERstorten » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « NEER » de son infinitif proprement dit, faisant l’objet d’un REJET derrière le complément éventuel (« op de grond »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 18 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 18A - Rajouté le 21/08/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De Indianen (Arapahos) (…) rijden langzaam in een cirkel op de beide jongemannen af » (« Les Indiens chevauchent lentement dans un cercle sur = en cercle sur => encerclent les deux jeunes hommes »).
On y trouve notamment la forme verbale « rijden … AF », provenant de l’infinitif « AFrijden » (verbe dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « RIJDEN ».
Quand « AFrijden » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, la particule « AF » étant affectée par un REJET, derrière les compléments (« in een cirkel » et « op de beide jongemannen »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 18 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 17I - Rajouté le 20/08/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Enkele Indianen dalen de bergen af » (« Quelques Indiens descendent des montagnes »).
On y trouve notamment la forme verbale « dalen … AF », provenant de l’infinitif « AFdalen », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « DALEN ».
Quand « AFdalen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, la particule « AF » étant affectée par un REJET, derrière le complément (« de bergen »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 17H - Rajouté le 19/08/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maar kan je indenken dat de sachem zijn woord zou (hebben) gebroken hebben ? » (« Mais peux-tu imaginer que le sachem aurait brisé sa parole ? »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée au conditionnel, la forme verbale « GEBROKEN », participe passé provenant de l’infinitif « BREKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
N’oublions pas que, dans les phrases subordonnées néerlandaises, TOUTES les formes verbales (dont « ZOU ») font l’objet d’un REJET, derrière le complément (« zijn woord »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 17G - Rajouté le 18/08/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij (Carrol) viel het eerst » (« Elle tomba la première »).
On y trouve notamment la forme verbale « VIEL », O.V.T. (ou prétérit), provenant du verbe « VALLEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 17F - Rajouté le 17/08/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik kon me tot hier slepen » (« Je pus me traîner jusqu’ici »).
On y trouve notamment la forme verbale « KON », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif (et « AUXILIAIRE de MODE de la capacité) « KUNNEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
L’infinitif « slepen » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« ME » et « tot hier »), à la fin de la phrase, parce l’auxiliaire de mode « KUNNEN » l’exige.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 17E - Rajouté le 16/08/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze lieten mij voor dood achter » (« Ils me laissèrent pour mort »).
On y trouve notamment la forme verbale « lieten … ACHTER », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « ACHTERlaten » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « LATEN ».
Quand « ACHTERlaten » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « ACHTER » (ancienne préposition) de son infinitif proprement dit, et son REJET, derrière les compléments (« mij » et « voor dood »), à la fin de la phrase.
On aurait, particulièrement dans ce cas-ci, tendance à faire suivre l’ancienne préposition « ACHTER » d’un complément : « Ze lieten mij voor dood achter HEN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 17C - Rajouté le 15/08/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Onder voorwendsel ons een boodschap te brengen, lokten ze ons buiten » (« Sous prétexte de nous apporter un message, ils nous »).
On y trouve notamment la forme verbale « LOKTEN » et, affectée par un REJET, derrière le complément (« ONS »), à la fin de la phrase, « BUITEN », qui n’est pas une « particule séparable » mais peut sembler réagir comme elle.
Il n’existe, en effet, PAS de verbe « BUITEN lokken », qui serait « à particule séparable ».
« BUITEN » joue simplement son rôle de préposition (« ze lokten ons buiten het huis ») et si on la remplace, par exemple, par « LINKS » ou « RECHTS », on s’en rend peut-être mieux compte : « ze lokten ons links (OF rechts) van het huis ».
Ce verbe « LOKKEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera une terminaison « -TE » (au lieu du « -DE » majoritaire) à l’O.V.T. Cela donne à l’O.V.T. : « lok » + « TE » + « -N » (pluriel) => « lokTEn ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (la phrase subordonnée « Onder voorwendsel ons een boodschap te brengen » joue ici ce rôle), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « ZE ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « lokten ») et passant donc derrière lui.
L’expression « Onder voorwendsel » introduit ici une sorte de subordonnée infinitive et engendre un « TE » qui précède l’infinitif « BRENGEN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 17D - Rajouté le 14/08/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een salvo en alles was gedaan » (« Une salve et tout était fini »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEDAAN », participe passé provenant de l’infinitif « DOEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve également la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait aussi l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 17B - Rajouté le 13/08/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze (zij) vielen ons vannacht (= ‘s nachts = in de nacht) aan » (« Ils nous attaquèrent la nuit »).
On y trouve notamment la forme verbale « vielen… AAN », O.V.T. (ou prétérit), provenant du verbe « AANvallen », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « VALLEN » et faisant partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « AANvallen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « AAN » étant affectée par un REJET, derrière les compléments (« ons » et « vannacht »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 17A - Rajouté le 12/08/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dank zij Andy’s zorgen, komt de gids gauw terug bij » (« Grâce aux soins de Andy, le guide revient vite à lui »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « komt … BIJ », provenant de l’infinitif « BIJkomen », verbe à « particule séparable », lui-même construit sur le verbe « KOMEN ».
Quand « BIJkomen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « BIJ » de son infinitif proprement dit, la particule « BIJ » étant affectée par un REJET, derrière le complément (« GAUW »), à la fin de la phrase.
On pourrait aussi considérer que l’on y trouve en fait la forme verbale « komt … TERUG », construite sur le verbe « TERUGkomen » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « KOMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERUG » de son infinitif proprement dit et le REJET de la particule, derrière ce complément, à la fin de la phrase.
Ici « TERUG » fait double emploi avec « BIJ ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Dank zij Andy’s zorgen »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de gids ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « komt ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 16E - Rajouté le 11/08/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het einde van een tragedie die eens met mooie toekomstdromen was begonnen » (« La fin d’une tragédie qui, un jour, avait commencé avec de beaux rêves d’avenir »).
On y trouve notamment la forme verbale « BEGONNEN », participe passé (utilisé au plus-que-parfait) provenant de l’infinitif « BEGINNEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Notez que l’auxiliaire du passé composé (« ZIJN ») n’est ici pas le même qu’en français.
Cette forme verbale « BEGONNEN » est, comme on le voit, construite sur le PLURIEL du prétérit et est même identique. (Pour complément d’informations, consultez notamment notre tableau de synthèse « Temps primitifs » dans la partie « GRAMMATICA » de ce site.)
Ce participe passé « BEGONNEN » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments » (« eens » et « met mooie toekomstdromen »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 16D - Rajouté le 10/08/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Voor hem blijft er niets anders over dan een droevige plicht te vervullen » (« Pour lui, il ne reste plus rien d’autre à faire que de remplir un triste devoir »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « blijft … OVER », provenant de l’infinitif « OVERblijven », verbe dit « à particule séparable ».
Quand ce verbe « OVERblijven » est conjugué, la particule « OVER » se sépare donc de l’infinitif « BLIJVEN » proprement dit et fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« niets anders »), à la fin de la phrase.
Le verbe « OVERblijven » introduit ici une sorte de subordonnée infinitive et engendre un « TE » qui précède l’infinitif « VERVULLEN ».
Rappelons aussi que l’utilisation du pronom sujet « ER » est l’indication que l’on est confronté à l’équivalent de l’expression française « IL Y A ». En langue néerlandaise, le verbe « avoir » peut y être remplacé par quasi n’importe quel autre verbe.
On aurait pu avoir la variante suivante de la phrase : « Er blijft hem niets anders over dan een droevige plicht te vervullen ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 16C - Rajouté le 09/08/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Gebroken door de smart, snikt hij lang zijn verdriet uit » (« Brisé par la douleur, il sanglote longtemps jusqu’à épuiser son chagrin»).
On y trouve notamment, dans une sorte de proposition subordonnée, la forme verbale « GEBROKEN » (utilisé ici comme adjectif), participe passé provenant de l’infinitif « BREKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve également la forme verbale « snikt … UIT », qui pourrait provenir d’un infinitif « UITsnikken » (qui, officiellement, n’existe pas), verbe alors dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « SNIKKEN ».
Quand « UITsnikken » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « UIT » étant affectée par un REJET, derrière les compléments (« lang » et « zijn verdriet ), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Gebroken door de smart »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « HIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « snikt ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 16B - Rajouté le 08/08/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zijn we te laat gekomen ? » (« Sommes-nous venus trop tard ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEKOMEN », participe passé provenant de l’infinitif « KOMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Cette forme verbale est, comme on le voit, construite sur L’INFINIF. (Pour complément d’informations, consultez notamment notre tableau de synthèse « Temps primitifs » dans la partie « GRAMMATICA » de ce site.)
Ce participe passé « GEKOMEN » fait l’objet d’un REJET, derrière « le complément » (« te laat »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 16A - Rajouté le 07/08/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Alleen de hond (Bessy) komt hem tegemoet » (« Seul le chien vient à sa rencontre »).
On y trouve notamment la forme verbale « komt … TEGEMOET » provenant du verbe « TEGEMOETkomen », dit « à particule séparable ».
La « particule séparable » « TEGEMOET » est affectée par un REJET, derrière le complément (« HEM »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 15G - Rajouté le 06/08/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Vooraleer ze de list ontdekt hebben en hun makker teruggevonden (hebben), zal ik ver weg zijn » (« Avant qu’ils aient découvert la ruse et retrouvé leur camarade, je serai loin »).
On y trouve notamment, dans la première phrase subordonnée, la forme verbale « ONTDEKT », participe passé provenant de l’infinitif « ONTDEKKEN ».
Ce verbe « ONTDEKKEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « ONT- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Signalons dès lors que, si « ONTDEKT » est ici au V.T.T. (ou passé composé), il aurait été écrit de la même façon à l’O.T.T. (ou indicatif présent).
Le participe passé « ONTDEKT » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« de list »), à la fin de la première phrase subordonnée.
On y trouve également, dans la deuxième phrase subordonnée, la forme verbale « TERUGgevonden », participe passé provenant de l’infinitif « TERUGvinden », lui-même construit sur le verbe « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé « GEVONDEN » se construit sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Ce verbe «TERUGvinden » est aussi dit « à particule séparable » ; quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERUG » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « terugGEvonden ».
Le participe passé « TERUGgevonden » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« hun makker »), à la fin de la deuxième phrase subordonnée.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (la phrase subordonnée « Vooraleer ze de list ontdekt hebben … » joue ici ce rôle), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet de la phrase principale (ici « IK ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « ZAL ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 15 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 15F - Rajouté le 05/08/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De Indianen snellen op het geluid af » (« Les Indiens se précipitent sur le bruit »).
On y trouve notamment la forme verbale « snellen … AF », provenant de l’infinitif « AFsnellen », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « SNELLEN ».
Quand « AFsnellen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, la particule « AF » étant affectée par un REJET, derrière le complément (« op het geluid »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 15 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 15E - Rajouté le 04/08/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Na een poosje afgedreven te zijn, ontploft de springstof » (« Après avoir dérivé un petits laps de temps, l’explosif explose »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « AFgedreven », participe passé provenant de l’infinitif « AFdrijven », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur « DRIJVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « AFdrijven » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « afGEdreven ».
Le participe passé « afGEdreven » aurait dû faire l’objet d’un REJET, derrière le complément (« na een poosje »), à la fin de la phrase. Cela serait clair si l’on avait la construction de phrase suivante : « De springstof is na een poosje afgedreven».
Il est à noter que ce participe passé « AFgedreven » se construit sur le pluriel du prétérit ou O.V.T. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Notons aussi que, aux temps composés, les verbes relatifs au MOUVEMENT sont, en néerlandais, accompagnés de l’auxiliaire « ZIJN ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (la phrase subordonnée « Na een poosje afgedreven te zijn » joue ici ce rôle), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de springstof ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « ontploft ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 15 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 15D - Rajouté le 03/08/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij knoopt er een touw aan waarvan het andere uiteinde in brand (wordt) gestoken wordt » (« Il y noue une corde dont l’autre extrémité est allumée »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « knoopt … AAN », provenant de l’infinitif « AANknopen », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « KNOPEN ».
Quand « AANknopen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « AAN » étant affectée par un REJET, derrière le complément (« een touw »), à la fin de la phrase.
On y trouve également, dans la phrase subordonnée (introduite par « WAARVAN »), la forme verbale « GESTOKEN », participe passé provenant de l’infinitif « STEKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GESTOKEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« in brand »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 15 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 15C - Rajouté le 02/08/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij maakt deze lading aan een boomstronk vast » (« Il attache ce chargement à une souche d’arbre »).
On y trouve notamment la forme verbale « maakt … VAST », provenant de l’infinitif « VASTmaken », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « MAKEN ».
Quand « VASTmaken » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « VAST » de son infinitif proprement dit, la particule « VAST » étant affectée par un REJET, derrière les compléments (« deze lading » et « aan een boomstronk »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 15 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 15B - Rajouté le 01/08/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij schudt het kruit uit enkele (geweer)patronen uit » (« Il vide en secouant la poudre de quelques cartouches sur son mouchoir »).
On y trouve notamment la forme verbale « schudt … UIT », provenant de l’infinitif « UITschudden », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « SCHUDDEN ».
Quand « UITschudden » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « UIT » étant affectée par un REJET, derrière les compléments (« het kruit », « uit enkele patronen» et « op zijn zakdoek »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 15 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 15A - Rajouté le 31/07/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Geen kreet of de rode krijger zal naar de eeuwige jachtvelden vertrokken zijn » (« Pas un cri ou le guerrier rouge va être parti pour les terrains de chasse éternels »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERTROKKEN », participe passé provenant de l’infinitif « VERTREKKEN », lui-même construit sur le verbe « TREKKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux
Il est à noter que ce participe passé « VERTROKKEN » se construit donc sur le PLURIEL du prétérit et est même identique. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Rappelons aussi que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« naar de eeuwige jachtvelden »), à la fin de la phrase.
Dans la première phrase, on a la forme verbale « ZAL », provenant de l’infinitif « ZULLEN », auxiliaire utilisé pour indiquer que l’on se trouve au futur simple.
N’oublions pas que « ZULLEN » exige, de toutes façons, le REJET de l’autre verbe (« ZIJN »), à l’infinitif, derrière les compléments, à la fin de la phrase.
Nous avons rendu en français la forme verbale « ZAL » de cet auxiliaire « ZULLEN » par un « futur proche », moins déroutant pour les francophones.
Notons que la NEGATION « GEEN », devant un nom, est ici facilement compréhensible, par exemple pour un apprenant francophone, puisqu’elle correspond parfaitement à son équivalent français « PAS UN » et que nous signalons systématiquement à nos élèves que, pour obtenir cette NEGATION « GEEN » à utiliser devant un nom, il suffit de coller un « G » devant le déterminant infini (ou chiffre) « EEN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 15 dans « MohWapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 14G - Rajouté le 30/07/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De Indiaan wordt plots door hem overvallen » (« L’Indien est soudain attaqué par lui »).
On y trouve notamment la forme verbale « overvallen » (provenant de l’infinitif « OVERVALLEN », synonyme de « AANVALLEN »).
Ce verbe « OVERVALLEN » est affecté par les « temps primitifs » puisqu’il est construit sur « VALLEN » mais n’est PAS à « particule séparable » ; il est homonyme d’un autre « OVERVALLEN » (signifiant « tomber, se rabattre ») qui fait un participe passé « overGEvallen » et est, lui, donc à « particule séparable » puisque le « GE » s’intercale, dans son cas, entre la particule « OVER » et la forme verbale proprement dite.
Le participe passé « OVERVALLEN » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« plots » et « door hem »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 14 dans « MohWapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 14F - Rajouté le 29/07/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Als ze mijn paard vinden, ben ik verloren » (« S’ils voient mon cheval, je suis perdu »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « VERLOREN », participe passé construit sur le verbe « VERLIEZEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Il est à noter que ce participe passé se construit donc sur le PLURIEL du prétérit et est même identique. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« vast en zeker »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (la phrase principale « Als ze mijn paard vinden » joue ici ce rôle), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « IK ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « BEN ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 14 dans « MohWapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 14E - Rajouté le 28/07/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij begaf zich opnieuw op vaste grond opdat wij zijn spoor niet meer zouden kunnen terugvinden » (« Il se rendit à nouveau sur le sol stable = la terre ferme afin que nous ne puissions plus retrouver sa trace »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « beGAF » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant du verbe « beGEVEN », lui-même construit sur l’infinitif « GEVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que dans la phrase subordonnée (introduite par « OPDAT »), on a l’emploi, en néerlandais, d’un conditionnel, l’auxiliaire « ZOUDEN » exigeant le REJET des autres formes infinitives (« kunnen » et « terugvinden »), après les compléments (« zijn spoor » et « niet meer »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, dans une phrase subordonnée, on a, en néerlandais, le REJET de toutes les formes verbales (dont « ZOUDEN ») à la fin de cette phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 14 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 14D - Rajouté le 27/07/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zijn geoefend oog heeft de plaats ontdekt waar iemand pas moet voorbijgegaan zijn » (« Son œil exercé a trouvé la place où quelqu’un doit justement être passé = vient de passer »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « geoefend », participe passé (utilisé ici comme adjectif épithète) provenant de l’infinitif « OEFENEN ».
Ce verbe « OEFENEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « N », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison du participe passé => « GEoefenD ».
On y trouve, toujours dans la phrase principale, notamment la forme verbale « ONTDEKT », participé passé provenant de l’infinitif « ONTDEKKEN ».
Ce verbe est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « ONT- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Le participe passé « ONTDEKT » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« pas »), à la fin de la phrase.
On y trouve également, dans la phrase subordonnée (introduite par « WAAR ») la forme verbale « VOORBIJgegaan », provenant de l’infinitif « VOORBIJgaan » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « GAAN ».
Quand « VOORBIJgaan » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « VOORBIJ » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « voorbijGEgaan ».
Le participe passé « voorbijGEgaan » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« pas »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 14 dans « MohWapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : BIDDELLOO RODE RIDDER 63 WALKURE 34C - Rajouté le 27/07/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De ridder is bijgekomen » (« Le chevalier est revenu à lui »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « BIJgekomen », participe passé provenant de l’infinitif « BIJkomen », verbe à « particule séparable », lui-même construit sur le verbe « KOMEN ».
Quand « BIJkomen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « BIJ » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « bijGEkomen ».
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici, sous-entendu, « in het huis van de visser »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « De Walkure », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 34 dans « De Walkure », le volume N°63 de la série « DE RODE RIDDER ». Le texte l’accompagnant est à lire en écoutant, bien sûr, la « Chevauchée des Walkyries » de Richard WAGNER.
Karel BIDDELOO, scénariste et dessinateur du studio Willy VANDERSTEEN, se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1974-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 14C - Rajouté le 26/07/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb mijn sporen zo goed mogelijk uitgewist » (« J’ai effacé mes traces aussi bien que possible »).
On y trouve notamment, la forme verbale « UITgewist », participe passé construit sur le verbe « UITwissen » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « WISSEN ».
Ce verbe « WISSEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « S », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Quand « UITwissen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « uitGEwist ».
Le participe passé « uitGEwist » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« mijn sporen » et « zo goed mogelijk »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 14 dans « MohWapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 14B - Rajouté le 25/07/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij keert dan behoedzaam naar de oever terug » (« Il retourne alors prudemment vers la rive »).
On y trouve notamment la forme verbale « keert … TERUG », provenant de l’infinitif « TERUGkeren », verbe à « particule séparable ».
Quand ce verbe « TERUGkeren » est conjugué, la particule « TERUG » se sépare donc de l’infinitif « KEREN » proprement dit et fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« behoedzaam » et « naar de oever »), à la fin de la phrase.
Cette particule « TERUG » est très fréquente en néerlandais puisqu’elle correspond au préfixe « RE- » (exemple : RE-tourner), rendant donc la notion de RETOUR.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 14 dans « MohWapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 14A - Rajouté le 24/07/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij leidt zijn paard dieper het woud in » (« Il conduit son cheval plus profondément dans la forêt »).
On y trouve notamment la forme verbale « leidt … IN », provenant de l’infinitif « INleiden » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « LEIDEN »
Le verbe étant conjugué, la particule séparable « IN » se sépare de la forme verbale proprement dite et fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« zijn paard », « dieper» et « het woud »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 14 dans « MohWapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 13B - Rajouté le 23/07/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De duisternis is reeds ingevallen wanneer de eerste achtervolgers verschijnen » (« L’obscurité est déjà tombée quand les premiers poursuivants apparaissent »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « INgevallen », participe passé provenant de l’infinitif « INvallen », lui-même construit sur l’infinitif « VALLEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé « GEVALLEN » se construit sur l’INFINITIF. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Quand « INvallen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « IN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « inGEvallen ».
Le participe passé « INgevallen » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« REEDS »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 13 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 13A - Rajouté le 22/07/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het schot heeft vier ruiters in de richting van het dorp aangetrokken » (« Le coup de feu a attiré quatre cavaliers en direction du village »).
On y trouve notamment la forme verbale « AANgetrokken », participe passé provenant de l’infinitif « AANtrekken », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « TREKKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé « GETROKKEN » se construit sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Quand « AANtrekken » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGEtrokken ».
Le participe passé « AANgetrokken » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« vier ruiters » et « in de richting van het dorp »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 13 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 7F - Rajouté le 21/07/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De hongerige knaap die om het stelen van een brood de gevangenis ingaat » (« Le gars affamé qui, pour le vol d’un pain, va en prison »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée (introduite ici par « DIE »), la forme verbale « INgaat », construite sur le verbe « INgaan » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « GAAN ».
Rappelons que, dans une phrase subordonnée, la forme verbale COMPLETE (incluant donc sa « particule séparable » => « INgaat ») fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« om het stelen van een brood » et « de gevangenis »), à la fin de la phrase.
Il est à noter que, si cette forme verbale « INgaat » ne s’était pas trouvée dans une phrase subordonnée, on aurait par exemple pu avoir la phrase suivante : « De hongerige knaap gaat om het stelen van een brood de gevangenis IN », où la particule séparable « IN » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« om het stelen van een brood » et « de gevangenis »), à la fin de la phrase.
Signalons qu’il est possible en langue néerlandaise, lorsque l’on ne connaît pas un substantif ou nom commun (« le vol »), d’utiliser le verbe correspondant « STELEN » (= « voler » en tant que voleur), qui devient alors un nom NEUTRE => « HET stelen ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 7 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : « Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.

(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 7E - Rajouté le 20/07/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het huisgezin waarvan de inboedel door een hardvochtige eigenaar werd verkocht » (« La famille, dont le mobilier fut vendu par un propriétaire au cœur endurci »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée (introduite ici par « WAARvan »), la forme verbale « VERKOCHT », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « VERKOPEN », lui-même construit sur le verbe « KOPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé « GEKOCHT » se construit sur le SINGULIER du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Rappelons aussi que, dans une phrase subordonnée, la forme verbale fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« door een hardvochtige eigenaar »), à la fin de la phrase.
Attirons enfin l’attention sur le fait que la phrase subordonnée commence ici à « WAARvan » et que ce mot qui l’introduit (appelé « adverbe pronominal ») est, à l’origine « van wat », constitué donc de la préposition « VAN » suivie de « WAT », et que ce dernier a tendance à se transformer en « WAAR » et à se repositionner devant la préposition.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 7 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : « Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.

(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 7D - Rajouté le 19/07/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het huisgezin dat de huur niet kon betalen » (« La famille qui ne pouvait pas payer le loyer »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée (introduite ici par « DAT »), la forme verbale « WERD », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « WORDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que, dans une phrase subordonnée, la forme verbale fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« door giftige dampen » et « in de fabriek »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que la phrase subordonnée relative est introduite ici par « DAT », parce que le pronom relatif est fonction du genre du nom de la phrase « principale » et que « HET huisgezin » est NEUTRE.
Si, au lieu de « HET huisgezin », on avait eu « DE familie », cette phrase subordonnée relative aurait été introduite par « DIE » : « De jongen DIE door giftige dampen in de fabriek blind werd ».
On y trouve de même, dans la seconde proposition subordonnée (introduite ici par « DIE », sous-entendu), les formes verbales « MOET » et « LEVEN ».
Rappelons que, dans une proposition subordonnée, toutes les formes verbales font l’objet d’un REJET, derrière le(s) complément(s) (ici « van almoezen » et « NU », sous-entendu, d’où l’utilisation de l’O.T.T. ou présent), à la fin de la phrase.
Il est à noter que, si cette forme verbale « MOET » ne s’était pas trouvée dans une phrase subordonnée, on aurait par exemple pu avoir la phrase suivante : « De man moet (nu) van almoezen leven ».
N’oublions pas, en ce qui concerne « LEVEN », que c’est le verbe « MOETEN », que l’on appelle « auxiliaire de MODE » (les 3 autres étant « KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), qui exige un REJET de l’infinitif, derrière le complément (« van almoezen »), à la fin de la phrase, quel que ce soit le cas de figure ou la structure de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 7 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : « Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.

(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 7C - Rajouté le 18/07/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het meisje dat (…) uit bedelen (wordt) gezonden wordt » (« La fille qui est envoyée dehors mendier »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée (introduite ici par « DAT »), la forme verbale « GEZONDEN », participe passé provenant de l’infinitif « ZENDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé « GEZONDEN » se construit sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Rappelons que, dans une phrase subordonnée, la forme verbale fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« UIT » et « bedelen »), à la fin de la phrase.
Notons que l’on aurait pu avoir la variante suivante de la phrase : « Het meisje dat (…) bUITen om te bedelen (wordt) gezonden wordt »
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
N’oublions pas que la phrase subordonnée relative est introduite ici par « DAT » (sous-entendu), parce que le pronom relatif est fonction du genre du nom de la phrase « principale » et que « HET meisje » est NEUTRE.
Si, au lieu de « HET meisje », on avait eu « DE jongen », cette phrase subordonnée relative aurait été introduite par « DIE » : « De jongen DIE uit bedelen (wordt) gezonden wordt ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 7 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : « Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.

(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 7B - Rajouté le 17/07/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het meisje dat door giftige dampen in de fabriek blind werd » (« La fille qui, à cause de vapeurs toxiques à l’usine, est devenue aveugle »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée (introduite ici par « DAT »), la forme verbale « WERD », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « WORDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que, dans une phrase subordonnée, la forme verbale fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« door giftige dampen » et « in de fabriek ») ainsi que derrière l’attribut (« blind »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
L’usage de ce verbe « WORDEN » est ici plus compréhensible, par exemple pour l’apprenant francophone, dans la mesure où il rend une notion d’évolution progressive : « Het (Zij) werd blind » = « Elle est devenue aveugle ».
N’oublions pas que la phrase subordonnée relative est introduite ici par « DAT », parce que le pronom relatif est fonction du genre du nom de la phrase « principale » et que « HET meisje » est NEUTRE.
Si, au lieu de « HET meisje », on avait eu « DE jongen », cette phrase subordonnée relative aurait été introduite par « DIE » : « De jongen DIE door giftige dampen in de fabriek blind werd ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 7 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : « Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.

(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 15 STAKINGBREKER 7A - Rajouté le 16/07/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De man die beide benen in een arbeidsongeval verloor en (die) van aalmoezen moet leven » (« L’homme qui perdit les deux jambes dans un accident du travail et qui doit vivre d’aumônes »).
On y trouve notamment, dans une première proposition subordonnée, la forme verbale « VERLOOR », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « VERLIEZEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que, dans une proposition subordonnée (introduite ici par « DIE »), la forme verbale fait aussi l’objet d’un REJET, derrière les compléments (ici « beide benen » et « in een arbeidsongeval »), à la fin de la phrase.
Il est à noter que, si cette forme verbale « VERLOOR » ne s’était pas trouvée dans une phrase subordonnée, on aurait par exemple pu avoir la phrase suivante : « De man verloor beide benen in een arbeidsongeval ».
On y trouve de même, dans la seconde proposition subordonnée (introduite ici par « DIE », sous-entendu), les formes verbales « MOET » et « LEVEN ».
Rappelons que, dans une proposition subordonnée, toutes les formes verbales font l’objet d’un REJET, derrière le(s) complément(s) (ici « van aalmoezen » et « NU », sous-entendu, d’où l’utilisation de l’O.T.T. ou présent), à la fin de la phrase.
Il est à noter que, si cette forme verbale « MOET » ne s’était pas trouvée dans une phrase subordonnée, on aurait par exemple pu avoir la phrase suivante : « De man moet (nu) van aalmoezen leven ».
N’oublions pas, en ce qui concerne « LEVEN », que c’est le verbe « MOETEN », que l’on appelle « auxiliaire de MODE » (les 3 autres étant « KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN »), qui exige un REJET de l’infinitif, derrière le complément (« van almoezen »), à la fin de la phrase, quel que ce soit le cas de figure ou la structure de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 7 dans « De stakingbreker », le volume N°15 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ils se sont vraisemblablement inspirés du roman de Louis-Paul BOON : « Pieter Daens of hoe in de negentiende eeuw de arbeiders van Aalst vochten tegen armoede en onrecht » (1971), dont Stijn CONINX devait tirer un superbe film en 1993.

(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 12F - Rajouté le 15/07/2013

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De sachem heeft zijn woord gegeven» (« Le sachem a donné sa parole »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « GEGEVEN », participe passé provenant de l’infinitif « GEGEVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEGEVEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« zijn woord »), à la fin de la phrase.
Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’INFINITIF. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 12 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 12E - Rajouté le 14/07/2013

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De geesten hebben de pokken gezonden» (« Les esprits ont envoyé les pustules »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « GEZONDEN », participe passé provenant de l’infinitif « ZENDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEZONDEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« de pokken »), à la fin de la phrase.
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 12 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 12D - Rajouté le 13/07/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Andy) rijdt op de ruiter toe » (« Il roule à cheval = chevauche = pique sur le cavalier »).
On y trouve notamment la forme verbale « rijdt … TOE », provenant de l’infinitif « TOErijden » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « RIJDEN ».
Quand « TOErijden » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TOE » de son infinitif proprement dit et elle fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« op de ruiter »), à la fin de la phrase.
Rappelons que la « particule séparable » « TOE » provient de la préposition « TOT », qui a métamorphosé son « T » final en « E » : « toT » => « toE ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 12 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 12C - Rajouté le 12/07/2013

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De overlevenden zijn gevlucht en hebben eerst alle hutten in brand gestoken » (« comme toujours, Bessy regarde comment Carrol a mis la plume d’aigle dans les boucles »).
Ce verbe « VLUCHTEN » est donc considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant déjà par la consonne « T », on NE rajoutera PAS un « T » au participe passé : « GE- » + « VLUCHT » (= radical) => « GEvluchT » (avec un seul « T »).
Le participe passé « GEvluchT » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« elders »), à la fin de la phrase.
Notons aussi que, aux temps composés, les verbes relatifs au MOUVEMENT sont, en néerlandais, accompagnés de l’auxiliaire « ZIJN ».
On y trouve également la forme verbale « GESTOKEN », participe passé provenant de l’infinitif « STEKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GESTOKEN » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« eerst », « alle hutten» et « in brand »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 12 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 12B - Rajouté le 11/07/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De besmetting moet onvoorzien toegeslagen hebben » (« La contagion doit avoir frappé de façon imprévue = à l’improviste »).
On y trouve notamment la forme verbale « TOEgeslagen », participe passé provenant de l’infinitif « TOEslaan », lui-même construit sur l’infinitif « SLAAN », affecté par les « temps primitifs ».
Ce verbe «TOEslaan » est aussi dit « à particule séparable » ; quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TOE » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « toeGEslagen ».
Le participe passé « TOEgeslagen » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« onvoorzien »), à la fin de la phrase.
La préposition : « TOT » a métamorphosé son « T » final en « E » : « toE » provient donc de « toT ».
Notons que « ONvoorzien » provient du participe passé « voorzien » provenant de l’infinitif « voorzien », lui-même construit sur l’infinitif « ZIEN », normalement affecté par les « temps primitifs ».
Ce verbe « voorzien » n’est apparemment PAS « à particule séparable » puisque aucun « GE- » ne s’intercale entre le « VOOR » et le « ZIEN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 12 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 12A - Rajouté le 10/07/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het teken duidt aan dat een besmettelijke ziekte uitgebroken is » (« Le signe indique qu’une maladie contagieuse s’est déclarée »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « duidt … AAN », provenant de l’infinitif « aanDUIDEN », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « DUIDEN ».
Quand « aanDUIDEN » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « AAN » étant affectée par un REJET, derrière le complément éventuel (« duidelijk »), à la fin de la phrase.
On y trouve également, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « UITgebroken », participe passé provenant de l’infinitif « UITbreken », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « BREKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « UITbreken » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « uitGEbroken ».
Le participe passé « UITgebroken » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« in het kamp »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 12 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 11B - Rajouté le 09/07/2013

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De hutten zijn in brand gestoken » (« Les huttes sont mises en feu »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « GESTOKEN », participe passé provenant de l’infinitif « STEKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GESTOKEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« in brand »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 11A - Rajouté le 08/07/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De rookwolk is opgetrokken » (« Le nuage de fumée s’est dissipé »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « OPGETROKKEN », participe passé provenant de l’infinitif « opTREKKEN », lui-même construit sur l’infinitif « TREKKEN »,qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé « GETROKKEN » se construit sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Ce verbe « OPtrekken » est aussi dit « à particule séparable » ; quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEtrokken ».
Le participe passé « opGETROKKEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« in de lucht »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 10G - Rajouté le 07/07/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij behoort tot de stam in wiens gebied wij een nieuw bestaan kwamen zoeken » (« Il appartient à la tribu dans le domaine de laquelle nous venions chercher une nouvelle existence »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée (introduite par « WIENS »), la forme verbale « KWAMEN », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « KOMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Cette forme verbale « KWAMEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« een nieuw bestaan »), à la fin de la phrase.
Notez que la « conjonction » « WIENS » est précédée de la préposition « IN » et du substantif neutre « BESTAAN » (car provenant de l’infinitif « BESTAAN »).
Notez aussi la préposition « TOT » qui suit presque toujours les formes verbales dérivées de l’infinitif « BEHOREN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 10 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 10F - Rajouté le 06/07/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij heeft een verzorgde opvoeding bij de zendelingen genoten » (« Il a joui d’une / reçu une éducation soignée auprès des missionnaires »).
On y trouve notamment le participe passé « VERZORGD » (utilisé ici comme adjectif épithète), provenant de l’infinitif « VERzorgen », lui-même construit sur le verbe « ZORGEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « VERZORGEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « G », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison du participé passé.
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
On y trouve également la forme verbale « GENOTEN », participe passé provenant de l’infinitif « GENIETEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce participe passé « GENOTEN » se construit sur le pluriel du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Rappelons que si un verbe commence déjà par le préfixe « GE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Le participe passé « GENOTEN » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« een verzorgde opvoeding » et « bij de zendelingen »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 10 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 10E - Rajouté le 05/07/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Vader had reeds een tijd geleden inlichtingen over Moh-Wapi ingewonnen » (« Père avait déjà, il y a quelque temps, glané des informations au sujet de Moh-Wapi »).
On y trouve la forme verbale « INgewonnen », participe passé provenant du verbe « INwinnen » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur l’infinitif « WINNEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « INwinnen » est conjugué comme participe passé au plus-que-parfait, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « IN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « inGEwonnen ».
Il est à noter que le participe passé « gewonnen » se construit sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « inGEwonnen » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« reeds », « een tijd geleden », « inlichtingen » et « over Moh-Wapi »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 10 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°54 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 10D - Rajouté le 04/07/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Enkele dagen later wordt op de hoeve het verlovingsfeest gevierd » (« Quelques jours plus tard, la fête de fiançailles est célébrée à la ferme »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEVIERD », participe passé provenant de l’infinitif « VIEREN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « VIEREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison du participé passé.
Le participe passé « GEVIERD » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« op de hoeve »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Enkele dagen later »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « het verlovingsfeest ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « wordt ») et passant donc derrière lui.
Il va de soi que « op de hoeve » n’est pas le « groupe sujet » de la phrase puisqu’une préposition (« OP ») introduit un « groupe complément » ; si le « groupe complément » a exceptionnellement précédé le « groupe sujet », c’est parce l’on a voulu insister sur le fait que c’est bien à la ferme qu’ont été célébrées les fiançailles et non, par exemple, au fort (où Moh-Wapi exerce ses fonctions de guide).
Ce verbe est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « N », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison du participé passé.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 10 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 10C - Rajouté le 03/07/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik dacht : hier zijn armen te kort » (« Je pensais : ici, les bras sont trop court(s) = manquent »).
On y trouve notamment la forme verbale « DACHT » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant du verbe « DENKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 10 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 10B - Rajouté le 02/07/2013

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Onbescheiden zoals altijd, kijkt Bessy hoe Carrol de arendsveer in de haarlokken (heeft) gestoken heeft » (« Indiscrète comme toujours, Bessy regarde comment Carrol a mis la plume d’aigle dans les boucles »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « GESTOKEN », participe passé provenant de l’infinitif « STEKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GESTOKEN » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« zijn hand » et « in de opening »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase (ici la phrase principale) commence en néerlandais par un complément (« Onbescheiden zoals altijd »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « Bessy ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « kijkt ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 10 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 10A - Rajouté le 01/07/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We hebben reeds lang jouw gevoelens doorzien » (« Nous déjà depuis longtemps vu à travers = percé à jour tes sentiments »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « DOORzien », participe passé provenant de l’infinitif « DOORzien », lui-même construit sur l’infinitif « ZIEN », affecté par les « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que le participe passé « GEzien » se construit, lui, sur l’INFINITIF. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Identique donc à son infinitif, le participe passé « DOORzien » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« reeds lang » et « jouw gevoelens »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 10 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 9E - Rajouté le 30/06/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « In de hoeve wordt de gebeurtenis uitvoerig besproken » (« Dans la ferme, l’événement est largement commenté »).
On y trouve notamment la forme verbale « BESPROKEN », participe passé provenant de l’infinitif « BESPREKEN », lui-même construit sur le verbe « SPREKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Le participe passé « BESPROKEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« uitvoerig ), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« In de hoeve »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de gebeurtenis ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « WORDT ») et passant donc derrière lui.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 9D - Rajouté le 29/06/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij is zeer gelukkig de bewondering van zijn blanke zuster te hebben opgewekt » (« Il est très heureux d’avoir éveillé l’admiration de sa sœur blanche »).
On y trouve notamment, dans une sorte de phrase subordonnée « infinitive », la forme verbale « OPgewekt », provenant de l’infinitif « OPwekken » (dit « à particule séparable »), lui-même conjugué sur « WEKKEN », considéré comme « régulier ».
Comme la grande majorité des verbes néerlandais, le verbe « WEKKEN » n’est pas affecté par les « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera le « T » minoritaire. La forme verbale « opGEwekt » est à « particule séparable » puisque le « GE » du participe passé s’intercale entre la particule « OP » et la forme verbale proprement dite.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 9C - Rajouté le 28/06/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Moh Wapi) heeft het vergeten » (« Il l’a oublié »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERGETEN », participe passé provenant, par hasard, du même infinitif « VERGETEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Signalons dès lors que, si « VERGETEN » est ici au V.T.T. (ou passé composé), il aurait été écrit de la même façon au pluriel de l’O.T.T. (ou indicatif présent), qui équivaut, rappelons-le, à l’INFINITIF. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « VERGETEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« HET »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 9B - Rajouté le 27/06/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je hebt je zeer dapper gedragen » (« Tu t’es comporté très courageusement »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEDRAGEN », V.T.T. (ou participe passé) provenant de l’infinitif « DRAGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé « GEDRAGEN » se construit sur l’infinitif. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « GEDRAGEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément-attribut (« zeer dapper »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 9A - Rajouté le 26/06/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De sachem heeft een verdrag met de pionniers gesloten » (« Le sachem a conclu un accord avec les pionniers »).
On y trouve notamment la forme verbale « gesloten », participe passé provenant de l’infinitif « SLUITEN », affecté par les « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé « GESLOTEN » se construit sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « GESLOTEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« met de pionniers »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 8B - Rajouté le 25/06/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De roodhuid duwt het meisje opzij en werpt zich met opgeheven tomahawk op de hond » (« Le peau-rouge pousse la fille sur le côté et se jette, tomahawk brandi, sur le chien »).
On y trouve notamment la forme verbale « OPgeheven », participe passé (utilisé ici comme adjectif épithète) provenant de l’infinitif « OPheFFen » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « HEFFEN », faisant l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand ce verbe «OPheFFen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEheven ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 8 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 8A - Rajouté le 24/06/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij (Carrol) komt op het geblaf van de hond (Bessy) toegelopen » (« Elle vient à l’aboiement du chien en courant = elle accourt à l’aboiement du chien »).
On y trouve la forme verbale « TOEgelopen », participe passé provenant du verbe « TOElopen » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur l’infinitif « LOPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « TOElopen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TOE » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « toeGElopen ».
Il est à noter que ce participe passé « gelopen » se construit sur l’infinitif. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Il faut aussi rappeler que la particule « TOE » provient de la préposition « TOT ».
Le participe passé « toeGElopen » joue dans cette phrase le tôle d’un participe présent ou d’une sorte d’attribut ; si on le considérait dans une phrase au passé composé, on pourrait avoir, par exemple : « Zij is wegens het geblaf van de hond naar hem toegelopen. »
Une tournure plus moderne de cette phrase existe également, où la forme verbale est à l’infinititif et non au participe passé : « Zij (Carrol) komt op het geblaf van de hond (Bessy) toelopen ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 8 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 7C - Rajouté le 23/06/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het betekent, dat hij tot jouw vrienden wil (worden) gerekend (worden) » (« Cela signifie qu’il veut être compté au nombre de tes amis »).
On y trouve notamment la forme verbale « gerekend », participé passé provenant de l’infinitif « REKENEN ».
Ce verbe est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « N », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison du participé passé.
Rappelons que, dans une phrase subordonnée (introduite ici par « DAT »), la (ou les) forme(s) verbale(s) est (sont) séparée(s) de son (leur) sujet et fait (font) l’objet d’un REJET, derrière le complément (« tot jouw vrienden »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 7 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 7B - Rajouté le 22/06/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De arendsveer, die hij (Moh-Wapi) in het haar droeg … » (« La plume d’aigle, qu’il portait dans les cheveux … »).
On y trouve notamment la forme verbale « DROEG », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « DRAGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que, dans une phrase subordonnée (ici « relative », introduite par « DIE », lui-même engendré par « DE arendsveer »), la forme verbale est séparée de son sujet et fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« in het haar »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 7 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 6D 7A - Rajouté le 21/06/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Moh-Wapi heeft liever met een grizzly af te rekenen » (« Moh-Wapi préférerait régler son compte à un grizzly »).
On y trouve notamment la forme verbale « AF … rekenen », provenant de l’infinitif « AFrekenen », dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « REKENEN ».
On est ici confronté à une curieuse construction de phrase rendant une notion de conditionnel (sans l’auxiliaire « ZOUDEN ») mais se présentant avec un auxiliaire du passé composé qui, à défaut de « double infinitif », aurait dû se terminer par un participe passé « afGErekend », faisant l’objet d’un REJET, derrière au moins le complément (« met een grizzly »), à la fin de la phrase.
On aurait en effet pu avoir les phrases suivantes :
1°) en cas de conditionnel : « Moh-Wapi zou (liever) met een grizzly willen afrekenen » ;
2°) en cas de « double infinitif » : « Moh-Wapi heeft (liever) met een grizzly willen afrekenen » ;
3°) en cas de passé composé : « Moh-Wapi heeft (liever) met een grizzly afgerekend ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite d’un montage réalisé par nos soins d’illustrations extraites des pages 6 et 7 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 6C - Rajouté le 20/06/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij heeft de hand tegen een zijner (= van zijn) broeders opgeheven » (« Il a levé la main contre = sur un de ses frères »).
On y trouve notamment la forme verbale « OPgeheven », participe passé provenant de l’infinitif « OPheFFen » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « HEFFEN », faisant l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand ce verbe «OPheFFen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEheven ».
Le participe passé « OPgeheven » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« de hand » et « tegen een van zijn broeders »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 6B - Rajouté le 19/06/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het bleekgezicht mag op de gronden, die hij (heeft) ontgonnen heeft, verblijven » (« Le visage pâle peut séjourner sur les terres, qu’il a défrichées »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée relative, la forme verbale « ONTgonnen », participe passé provenant de l’infinitif « ONTginnen », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « ONT- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Il faut aussi noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Identique donc à ce PLURIEL du prétérit, le participe passé « ONTgonnen » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« pijnlijk »), à la fin de la phrase.
Rappelons que le pronom relatif, qui introduit une phrase subordonnée relative, est fonction du genre et / ou du nombre du nom qui l’engendre. Dans ce cas, comme chaque fois que l’on a affaire à un nom au pluriel (ici « de gronden »), le pronom relatif sera toujours » DIE ».
La phrase aurait été moins « lourde » si l’on avait dit : « Het bleekgezicht mag verblijven op de gronden, die hij heeft ontgonnen ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 6A - Rajouté le 18/06/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Mijn blanke broeder heeft de woorden gesproken, die ik uit zijn mond wenste te horen » (« Mon frère blanc a parlé = prononcé les mots, que je souhaitais entendre de sa bouche »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, « GESPROKEN », participe passé provenant de l’infinitif « SPREKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GESPROKEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« de woorden »), à la fin de la phrase principale.
Rappelons que le pronom relatif, qui introduit une phrase subordonnée relative, est fonction du genre et / ou du nombre du nom qui l’engendre. Dans ce cas, comme chaque fois que l’on a affaire à un nom au pluriel (ici « de woorden »), le pronom relatif sera toujours » DIE ».
Notons, dans la phrase subordonnée, que le verbe « WENSEN » engendre un « TE » devant l’infinitif (correspondant, plus ou moins à un « DE » d’un mauvais français « souhaiter de »).
N’oublions pas que ce verbe « WENSEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « S », on trouvera au prétérit un « Te » (au lieu du « De » majoritaire) : « WENS » + « TE » => « wensTE »..
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 5D - Rajouté le 17/06/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Indien onze jachtvelden niet zo uitgestrekt waren, hadden wij u reeds lang ontdekt en verjaagd » (« Si nos terrains de chasse n’étaient pas si étendus, nous vous aurions déjà (depuis) longtemps découverts et chassés »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « UITgestrekt », participe passé (utilisé ici comme adjectif attribut) provenant de l’infinitif « (zich) UITstrekken », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « STREKKEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « STREKKEN » est donc considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera au participe passé un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Quand « UITSTREKKEN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « uitGEstrekt ».
On y trouve également, dans la phrase principale conjuguée à une sorte de plus-que-parfait, la forme verbale « ONTDEKT », participé passé provenant de l’infinitif « ONTDEKKEN », lui-même construit sur le verbe « DEKKEN ».
Ce verbe « ONTDEKKEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « ONT- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Signalons dès lors que, si « ONTDEKT » est ici utilisé au participe passé, il aurait été écrit de la même façon à l’O.T.T. (ou indicatif présent).
On y trouve également la forme verbale « VERjaagd », participe passé construit sur l’infinitif « VERjagen », lui-même construit sur le verbe « JAGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Les participes passés « ONTDEKT » et « VERJAAGD » font l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« lang « et « reeds »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (la phrase subordonnée « Indien onze jachtvelden niet zo uitgestrekt waren » joue ici ce rôle), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « WIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « HADDEN ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 5C - Rajouté le 16/06/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wij kenden dit nieuwe verdrag niet » (« Nous ne connaissions pas ce nouveau traité »).
On y trouve notamment la forme verbale « kenDEN », prétérit provenant de l’infinitif « KENNEN ».
Ce verbe est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « N », on trouvera le « De » majoritaire au singulier comme terminaison du prétérit, la pluriel étant formé en rajoutant la consonne « -N » (marque du pluriel pour tous les verbes, à tous les temps) : « ken » + « De » + « -N » => « kenDeN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 5B - Rajouté le 15/06/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Deze bleekgezichten hebben, zonder het te weten, bezit van de gronden der (= van de) Arapahos genomen » (« Ces visages pâles ont, sans le savoir (sans qu’ils le sachent), pris possession des terres des Arapahos »).
On y trouve notamment la forme verbale « GENOMEN », participe passé provenant de l’infinitif « NEMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GENOMEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« bezit van de gronden der Arapahos »), à la fin de la phrase.
Il est à noter que l’on aurait pu aussi dire : « Deze bleekgezichten hebben (…) de gronden van de Arapahos IN bezit genomen ».
La préposition « ZONDER » introduit ici une sorte de subordonnée et engendre un « TE » qui précède l’infinitif « WETEN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 5A - Rajouté le 14/06/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De bezoekers worden door de sachem ontvangen » (« Les visiteurs sont reçus par le sachem »).
On y trouve notamment la forme verbale « ONTvangen », participe passé provenant de l’infinitif « ONTvangen », lui-même construit sur l’infinitif « VANGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « ONT- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Identique donc à son infinitif, le participe passé « ONTvangen » fait l’objet d’un REJET, derrière le « complément » (« door de sachem »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 3C - Rajouté le 13/06/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « U hebt het akkoord overtreden dat tussen de regering en de Indianen werd gesloten » (« Vous avez violé l’accord qui a été conclu entre le gouvernement et les Indiens »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « overtreden », participe passé provenant de (et identique à) l’infinitif « overtreden » (celui des homonymes, qui n’est pas « à particule séparable »), faisant l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « overtreden » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« het akkoord »), à la fin de la phrase.
La phrase subordonnée relative est introduite par « DAT », pronom relatif NEUTRE engendré par « HET akkoord ».
« On y trouve également, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « gesloten », participe passé provenant de l’infinitif « SLUITEN », affecté par les « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé « GESLOTEN » se construit sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « GESLOTEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« tussen de regering en de Indianen »), à la fin de la phrase. Ce serait plus évident dans la variante suivante : « Het akkoord werd tussen de regering en de Indianen gesloten ».
Cette phrase subordonnée est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 3 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 3B - Rajouté le 12/06/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maar het was zwaar werk » (« Mais c’était du lourd travail = beaucoup de travail »).
On y trouve notamment la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
N’oublions pas que si un adjectif épithète (« zwaar ») ne se termine par par la voyelle « -E » devant un nom au SINGULIER, c’est ce que ce nom est vraisemblablement du genre neutre (« HET werk »).
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 3 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 3A - Rajouté le 11/06/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een mooie hoeve, die je daar (hebt) gebouwd hebt ! » (« Une belle ferme que tu as construite là ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEbouwD », participe passé provenant de l’infinitif « BOUWEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Comme la grande majorité des verbes néerlandais, le verbe « BOUWEN » NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « W », on trouvera le « D » majoritaire à la fin de son participe passé « GEbouwD ».
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« DAAR »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 3 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 2B - Rajouté le 10/06/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat is altijd mijn droom geweest » (« Cela a toujours été mon rêve »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEWEEST », participe passé provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEWEEST » fait l’objet d’un REJET, derrière les « compléments » (« altijd » et « mijn droom »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 2 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL MOH WAPI BESSY 54 2A - Rajouté le 09/06/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Vruchtbare gronden strekken zich tot achter de horizon uit » (« Des terres fertiles s’étendent jusque derrière l’horizon »).
On y trouve notamment la forme verbale « strekken (zich) … UIT », provenant de l’infinitif « (zich) UITstrekken », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « STREKKEN ».
Quand « UITstrekken » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « UIT » étant affectée par un REJET, derrière le complément (« tot achter de horizon »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 2 dans « Moh-Wapi de gids », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 35 HEL SOLFERINO 28C - Rajouté le 08/06/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « In 1901 bekwam hij (Henri Dunant) de Nobelprijs voor de Vrede (« En 1901, il reçut le prix Nobel de la Paix »).
On y trouve notamment la forme verbale « beKWAM », O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « beKOMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
(Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.)
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« In 1901 »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « HIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « bekwam ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « De hel van Solferino », le volume N°35 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 35 HEL SOLFERINO 28B - Rajouté le 07/06/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Na de Conferentie van Genève onstonden 108 neutrale Rode Kruis verenigingen » (« Après la Conférence de Genève naquirent 108 associations neutres de la Croix-Rouge »).
On y trouve notamment la forme verbale « ontSTOND », O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « ontSTAAN », lui-même construit sur le verbe « STAAN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
(Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « ONT- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.)
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Na de Conferentie van Genève »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « 108 neutrale Rode Kruis verenigingen ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « ontstonden ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « De hel van Solferino », le volume N°35 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 35 HEL SOLFERINO 28A - Rajouté le 06/06/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Op 22 augustus 1864 stichtte de Geneefse Conventie het Internationaal Comité voor het Rode Kruis » (« Le 22 août 1864, la Convention de Genève fondait le Comité International de la Croix-Rouge »).
On y trouve la forme verbale « stichtTE », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « stichten », considéré comme « régulier ».
Comme la grande majorité des verbes néerlandais, le verbe « STICHTEN » n’est donc pas affecté par les « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « T », on trouvera le « TE » minoritaire comme terminaison du SINGULIER du prétérit.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « De hel van Solferino », le volume N°35 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 35 HEL SOLFERINO 21B - Rajouté le 05/06/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De aanval van de cavalerie heeft de laatste werstand gebroken » (« L’attaque de la cavalerie a brisé la dernière résistance »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEBROKEN », participe passé provenant de l’infinitif « BREKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« de laatste werstand »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 21 dans « De hel van Solferino », le volume N°35 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 35 HEL SOLFERINO 21A - Rajouté le 04/06/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Op dat ogenblik voert de Franse cavalerie een aanval uit » (« A ce moment, la cavalerie française effectue une attaque »).
On y trouve notamment la forme verbale « voert … UIT », provenant de l’infinitif « UITvoeren », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « VOEREN ».
Quand « UITvoeren » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « UIT » étant affectée par un REJET, derrière le complément (« een aanval »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Op dat ogenblik »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de Franse cavalerie ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « voert ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 21 dans « De hel van Solferino », le volume N°35 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 35 HEL SOLFERINO 17C 18A - Rajouté le 03/06/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb zelf burgers op het slagveld toegelaten » (« J’ai même autorisé des civils sur le champ de bataille »).
On y trouve notamment la forme verbale « « TOEgelaten », V.T.T. (ou participe passé) provenant de l’infinitif « TOElaten », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « LATEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « TOElaten » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TOE » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « toeGElaten ». Il est à noter que la particule « TOE » provient de la préposition « TOT ».
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« burgers » et « op het slagveld »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite d’un montage réalisé par nos soins d’illustrations extraites des pages 17 et 18 dans « De hel van Solferino », le volume N°35 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 35 HEL SOLFERINO 17B - Rajouté le 02/06/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Laat mij door ! (…) Laat die burger door ! » (« Laissez-moi passer ! Laissez passer ce civil ! »).
On y trouve (2 fois, dans la réplique de 2 protagonistes) la forme verbale « Laat … DOOR », impératif provenant de l’infinitif « DOORlaten », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « LATEN ».
Notamment à l’impératif, on a en néerlandais une séparation de la particule « DOOR » de sa forme verbale proprement dite avec son REJET, derrière le complément (soit « MIJ », soit « DIE BURGER »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « De hel van Solferino », le volume N°35 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 35 HEL SOLFERINO 17A - Rajouté le 01/06/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De Oostenrijkers vechten verbeten » (« Les Autrichiens se battent, acharnés = avec acharnement »).
On y trouve la forme verbale « VERBETEN », participe passé utilisé comme « adjectif », provenant de l’infinitif « VERBIJTEN » (mais le sens du participe s’éloigne fort de celui de cet infinitif), lui-même construit sur le verbe « BIJTEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- » (qui n’est PAS une « particule séparable »), son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Il est donc à noter que ce participe passé « VERBETEN » se construit sur le PLURIEL du prétérit et, dans ce cas-ci, est identique. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « De hel van Solferino », le volume N°35 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 35 HEL SOLFERINO 16B - Rajouté le 31/05/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Roep vrijwilligers op ! » (« Fais appel à des volontaires ! »).
On y trouve la forme verbale « Roep … OP », impératif provenant de l’infinitif « OProepen », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « ROEPEN ».
Notamment à l’impératif, on a en néerlandais une séparation de la particule « OP » de sa forme verbale proprement dite avec son REJET, derrière le complément (« de vrijwilligers »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « De hel van Solferino », le volume N°35 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 35 HEL SOLFERINO 16A - Rajouté le 30/05/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Er kan een noodhospitaal (worden) ingericht worden » (« Il y a un hôpital d’urgence qui peut être aménagé => Un hôpital d’urgence peut être aménagé »).
On y trouve la forme verbale « INgericht », V.T.T. (ou participe passé) provenant de l’infinitif « INrichten » (dit « à particule séparable »), construit sur le verbe « RICHTEN », considéré comme « régulier ».
Comme la grande majorité des verbes néerlandais, le verbe « RICHTEN » n’est pas affecté par les « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « T », on trouvera de toutes façons le « T » minoritaire comme terminaison du participe passé.
La forme verbale « inGEricht » est bien à « particule séparable » puisque le « GE » du participe passé s’intercale entre la particule « IN » et la forme verbale proprement dite.
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« in Solferino »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « De hel van Solferino », le volume N°35 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 35 HEL SOLFERINO 15C - Rajouté le 28/05/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wanneer hij (Henri Dunant) (…) terugkeert, wordt de strijd bij de poort in alle hevigheid hervat » (« Quand il revient, le combat près de la porte a repris dans toute sa violence = de plus belle »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « hervat », participe passé provenant de l’infinitif « HERVATTEN », lui-même construit sur le verbe « VATTEN ».
Ce verbe est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « T », on trouvera, de toutes façons, le « T » minoritaire comme terminaison du participe passé, identique d’ailleurs au singulier du présent.
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « HER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Rappelons aussi que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« bij de poort » et « in alle hevigheid »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (la phrase subordonnée « Wanneer hij terugkeert » joue ici ce rôle), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de strijd ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « wordt ») et passant donc derrière lui.

Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 15 dans « De hel van Solferino », le volume N°35 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 35 HEL SOLFERINO 15B - Rajouté le 27/05/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze wil blijkbaar niet (worden) herkend worden » (« Elle ne veut vraisemblablement pas être reconnue »).
On y trouve notamment la forme verbale « herkend », participe passé provenant de l’infinitif « HERKENNEN », lui-même construit sur le verbe « KENNEN ».
Ce verbe est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « N », on trouvera le « D » majoritaire comme terminaison du participe passé.
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « HER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Rappelons aussi que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« door ons »), à la fin de la phrase. Le REJET de la forme verbale à l’infinitif (« WORDEN ») est par ailleurs engendrée par l’auxiliaire de mode « WILLEN ».
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 15 dans « De hel van Solferino », le volume N°35 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 35 HEL SOLFERINO 15A - Rajouté le 26/05/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zou die vrouw het spervuur (hebben) overleefd hebben ? » (« Cette femme aurait-elle survécu au tir de barrage ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « overleefd », participe passé provenant de l’infinitif « overLEVEN », lui-même conjugué sur le verbe « LEVEN », considéré comme « régulier ».
Comme la grande majorité des verbes néerlandais, le verbe « LEVEN » n’est pas affecté par les « temps primitifs » ; son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « F », on trouvera le « D » majoritaire.
N’oublions pas que si la consonne « V » n’est plus suivie de la voyelle « E », ce « V » se transforme en « F ».
La forme verbale « overleefd » NE contient PAS de « particule séparable » puisque aucun « GE » (préfixe d’une majorité de participes passés) ne s’intercale entre « OVER » et la forme verbale proprement dite.
Rappelons que, aux temps composés (ici, conditionnel passé), le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « het spervuur »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 15 dans « De hel van Solferino », le volume N°35 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 35 HEL SOLFERINO 14C - Rajouté le 25/05/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een projectiel treft het gebouw waar de drie mannen zijn opgesloten » (« Un projectile touche le bâtiment où les trois hommes sont enfermés »).
On y trouve notamment la forme verbale « OPgesloten », participe passé provenant de l’infinitif « OPsluiten », lui-même construit sur l’infinitif « SLUITEN », affecté par les « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé « GESLOTEN » se construit sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Ce verbe « OPsluiten » est aussi dit « à particule séparable » ; quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEsloten ».
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« sinds de vorige dag »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 14 dans « De hel van Solferino », le volume N°35 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 35 HEL SOLFERINO 14B - Rajouté le 24/05/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het (…) geschut van de Franse batterijen (…) slaat de cavalerie met grote verliezen terug » (« L’artillerie des batteries françaises refoule la cavalerie avec de grandes = lourdes pertes »).
On y trouve notamment la forme verbale « slaat … TERUG », provenant de l’infinitif « TERUGslaan » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « SLAAN ».
Quand « TERUGslaan » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERUG » de son infinitif proprement dit, et son REJET, derrière les compléments (« de cavalerie » et « met grote verliezen »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 14 dans « De hel van Solferino », le volume N°35 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 35 HEL SOLFERINO 14A - Rajouté le 23/05/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De Oostenrijkse cavalerie (…) voert (…) een aanval uit » (« La cavalerie autrichienne effectue une attaque »).
On y trouve notamment la forme verbale « voert … UIT », provenant de l’infinitif « UITvoeren », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « VOEREN ».
Quand « UITvoeren » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « UIT » étant affectée par un REJET, derrière le complément (« een aanval »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 14 dans « De hel van Solferino », le volume N°35 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 35 HEL SOLFERINO 13D - Rajouté le 22/05/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb haar meermaals opgemerkt » (« Je l’ai remarquée plus d’une fois »).
On y trouve notamment la forme verbale « OPgemerkt », provenant de l’infinitif « OPmerken » (dit « à particule séparable »), lui-même conjugué sur « MERKEN », considéré comme « régulier ».
Comme la grande majorité des verbes néerlandais, le verbe « MERKEN » n’est pas affecté par les « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera le « T » minoritaire. La forme verbale « opGEmerkt » est bien à « particule séparable » puisque le « GE » du participe passé s’intercale entre la particule « OP » et la forme verbale proprement dite.
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« haar » et « meermaals »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 13 dans « De hel van Solferino », le volume N°35 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 35 HEL SOLFERINO 13C - Rajouté le 21/05/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb lang te Solferino verbleven » (« J’ai séjourné longtemps à Solferino »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERBLEVEN », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « VERBLIJVEN », lui-même construit sur « BLIJVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Il faut aussi noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « VERBLEVEN » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« lang » et « te Solferino »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 13 dans « De hel van Solferino », le volume N°35 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 35 HEL SOLFERINO 13B - Rajouté le 20/05/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Op het moment dat de storm losbreekt, worden de Fransen en de Italianen door een spervuur van de Oostenrijkse batterijen teruggeworpen » (« Au moment où l’orage éclate, les Français et les Italiens sont repoussés par un tir de barrage des batteries autrichiennes »).
On y trouve notamment la forme verbale « TERUGgeworpen », participe passé provenant de l’infinitif « TERUGwerpen », lui-même construit sur le verbe « WERPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « TERUGgeworpen » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« door een spervuur van de Oostenrijkse batterijen »), à la fin de la phrase.
Ce verbe «TERUGwerpen » est aussi dit « à particule séparable » ; quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERUG » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « terugGEworpen ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (la phrase subordonnée joue ici ce rôle : « Op het moment dat de storm losbreekt »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de Fransen en de Italianen ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « worden ») et passant donc derrière lui.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
Rappelons que si « LOSbreken » ne s’était pas trouvé dans une phrase subordonnée, on aurait plus clairement vu la séparation de la particule « LOS » de la forme verbale proprement dite et elle aurait fait l’objet d’un REJET, derrière le complément, à la fin de la phrase : « De storm breekt op het (dat / dit) moment LOS ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 13 dans « De hel van Solferino », le volume N°35 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 35 HEL SOLFERINO 12C 13A - Rajouté le 19/05/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Er pakken zich donkere wolken samen » (« Il y a de sombres nuages qui s’amoncèlent » = (« De sombres nuages s’amoncèlent »).
On y trouve notamment la forme verbale « pakken … SAMEN », construite sur le verbe « SAMENpakken » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « PAKKEN ».
Quand « SAMENpakken » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « SAMEN » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« in de hemel »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que le pronom sujet « ER », associé avec n’importe quel verbe, rend la notion de « IL Y A ».
On aurait pu avoir la variante suivante de la phrase : « Donkere wolken pakken zich samen ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite d’un montage réalisé par nos soins d’illustrations extraites des pages 12 et 13 dans « De hel van Solferino », le volume N°35 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 35 HEL SOLFERINO 12B - Rajouté le 18/05/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Franse en Italiaanse infanteristen slagen erin de vijand tot aan de poorten van Solferino terug te drijven » (« Les fantassins français et italiens réussissent à refouler l’ennemi jusqu’aux portes de Solferino »).
On y trouve l’expression « ERIN SLAGEN » équivalant, en mauvais français, à « réussir DE », et qui engendre un « TE » quand il précède un infinitif comme, ici, « TERUGdrijven ».
« TERUGdrijven » est donc bien un verbe dit à « particule séparable » puisque le « TE » s’intercale entre la particule « TERUG » et l’infinitif « drijven » proprement dit.
Cette expression équivaut à « LUKKEN IN », qui aurait pu donner la phrase alternative : « Het lukt de Franse en Italiaanse infanteristen de vijand tot aan de poorten van Solferino terug te drijven».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 12 dans « De hel van Solferino », le volume N°35 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 35 HEL SOLFERINO 12A - Rajouté le 17/05/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat zou door beide partijen aanvaard moeten worden (aanvaard) » (« Cela devrait être accepté par les deux parties »).
On y trouve notamment la forme verbale « AANvaard », participe passé (utilisé dans le cadre d’un conditionnel) provenant de l’infinitif « AANvaarden », PAS affecté par les « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le verbe « AANvaarden » n’est PAS « à particule séparable » puisque, quand il est conjugué comme participe passé, il n’y a PAS ici séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit.
Identique donc au radical du verbe (= première personne de l’indicatif présent), le participe passé « AANvaard » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« door beide partijen »).
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 12 dans « De hel van Solferino », le volume N°35 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 35 HEL SOLFERINO 11D - Rajouté le 16/05/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze slachten elkaar als vee af » (« Ils s’abattent les uns les autres = réciproquement comme du bétail »).
On y trouve notamment la forme verbale « slachten … AF », construite sur le verbe « AFslachten » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « SLACHTEN ».
Quand « AFslachten » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET (derrière le complément « als vee ») à la fin de la phrase.
N’oublions pas que « ELKAAR » est un pronom RECIPROQUE.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « De hel van Solferino », le volume N°35 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 35 HEL SOLFERINO 11C - Rajouté le 15/05/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Konden we hier maar uit(gaan) om hen te helpen ! » (« Ah si nous pouvions seulement sortir d’ici pour les aider ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « KONDEN », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif (et « AUXILIAIRE de MODE de la capacité) « KUNNEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Notons que ce prétérit rend ici une notion de conditionnel.
N’oublions pas que les verbes comme « KUNNEN » que l’on appelle « auxiliaire de MODE » (les 3 autres étant « MOETEN», « MOGEN » et « WILLEN ») exigent un REJET de l’infinitif, derrière le complément (« hier »), à la fin de la phrase. Quand cet infinitif comprend « GAAN », ce verbe est, dans ces cas-là, souvent sous-entendu.
On pourrait imaginer une autre interprétation qu’un infinitif « UITgaan ». On aurait affaire à « hierUIT » réagissant comme un adverbe pronominal « er … UIT ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « De hel van Solferino », le volume N°35 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 35 HEL SOLFERINO 11B - Rajouté le 14/05/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een wederzijds wantrouwen maakt dat ook de verplegers niet (worden) ontzien worden » (« Une méfiance réciproque fait que les infirmiers sont (eux) aussi pas épargnés = ne sont pas non plus épargnés »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « ontzien », participe passé provenant de l’infinitif « ontzien », lui-même construit sur l’infinitif « ZIEN », affecté par les « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que le participe passé « GEzien » se construit, lui, sur l’INFINITIF. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « ONT- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Identique donc à son infinitif, le participe passé « ontzien » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« in het gevecht »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « De hel van Solferino », le volume N°35 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 35 HEL SOLFERINO 10F - Rajouté le 13/05/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De Fransen laten vele doden en gewonden achter » (« Les Français laissent beaucoup de morts et blessés derrière … eux »).
On y trouve notamment la forme verbale « laten … ACHTER », provenant de l’infinitif « ACHTERlaten » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « LATEN ».
Quand « ACHTERlaten » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « ACHTER » (ancienne préposition) de son infinitif proprement dit, et son REJET, derrière le complément (« vele doden en gewonden »), à la fin de la phrase. On aurait, particulièrement dans ce cas-ci, tendance à faire suivre l’ancienne préposition « ACHTER » d’un complément : « De Fransen laten vele doden en gewonden achter HEN ».
On y trouve également la forme verbale « GEWOND », participé passé (utilisé ici comme nom au pluriel) provenant de l’infinitif « WONDEN ».
Ce verbe « WONDEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « D », on trouvera le « D » majoritaire mais qui ne sera pas doublé au participe passé puisque déjà présent dans le radical du verbe ou première personne de l’indicatif présent.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 10 dans « De hel van Solferino », le volume N°35 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 35 HEL SOLFERINO 11A - Rajouté le 12/05/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Waarom halen de hulpdiensten de gewonden niet weg ? » (« Pourquoi les services d’aide = de secours n’emportent-ils pas les blessés ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « halen … WEG », construite sur le verbe « WEGhalen » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « HALEN ».
Quand « WEGhalen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « WEG » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET (derrière le complément « de gewonden ») à la fin de la phrase.
On y trouve également, utilisé comme nom (au pluriel), la forme verbale « GEWOND », participé passé provenant de l’infinitif « WONDEN ».
Ce verbe « WONDEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « D », on trouvera le « D » majoritaire mais qui ne sera pas doublé au participe passé puisque déjà présent dans le radical du verbe ou première personne de l’indicatif présent.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « De hel van Solferino », le volume N°35 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 35 HEL SOLFERINO 10D - Rajouté le 11/05/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Er komen steeds nieuwe bataljons aan » (« Il y a toujours de nouveaux bataillons qui arrivent => Il arrive toujours de nouveaux bataillons »).
On y trouve notamment la forme verbale « komen … AAN », provenant de l’infinitif « aanKOMEN », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « KOMEN ».
Quand « aanKOMEN » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « AAN » étant affectée par un REJET, derrière le complément éventuel (« op het slagveld »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que si le verbe d’une phrase est précédé de « ER », on a affaire à l’expression « IL Y A ». Cette phrase comporte en quelque sorte 2 (deux) sujets : « ER » et « nieuwe bataljons ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 10 dans « De hel van Solferino », le volume N°35 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 35 HEL SOLFERINO 10E - Rajouté le 10/05/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Onversaagd zetten de Fransen hun aanval verder » (« Intrépides = sans se décourager, les Français placent leur attaque plus loin = poursuivent leur attaque »).
On y trouve notamment la forme verbale « zetten … verder », qui NE provient PAS d’un verbe « à particule séparable » : « verderzetten » n’existe pas mais « verder » réagit comme une « particule séparable » .
Notons que si le verbe « ONversagen » n’existe pas, son contraire « VERSAGEN » (« reculer », « flancher », « se décourager »), en revanche, donne bien un participe régulier, « VERSAAGD ». L’adjectif (épithète) a donc bien une forme de participe passé (… disparu ? ...).
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Onversaagd »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de Fransen ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « zetten ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 10 dans « De hel van Solferino », le volume N°35 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 35 HEL SOLFERINO 10C - Rajouté le 09/05/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Gehele bataljons worden door het geschut weggemaaid » (« Des bataillons entiers sont fauchés par l’artillerie »).
On y trouve notamment la forme verbale « WEGgemaaid », provenant de l’infinitif « WEGmaaien » (dit « à particule séparable »), lui-même conjugué sur « MAAIEN », considéré comme « régulier ».
Comme la grande majorité des verbes néerlandais, le verbe « MAAIEN » n’est pas affecté par les « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « i », on trouvera le « D » majoritaire. La forme verbale « wegGEmaaid » est à « particule séparable » puisque le « GE » du participe passé s’intercale entre la particule « WEG » et la forme verbale proprement dite.
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« door het geschut »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 10 dans « De hel van Solferino », le volume N°35 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 35 HEL SOLFERINO 10B - Rajouté le 08/05/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De vijand legert op hoger gelegen heuvels » (« L’ennemi campe sur des collines situées plus haut = haut perchées »).
On y trouve notamment la forme verbale « GELEGEN », participe passé provenant de l’infinitif « LIGGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GELEGEN » est ici utilisé comme adjectif épithète.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 10 dans « De hel van Solferino », le volume N°35 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 35 HEL SOLFERINO 10A - Rajouté le 07/05/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Al vroeg in de morgen (…) roffelen de trommen om de legers tot de strijd op te roepen » (« Déjà tôt le matin, les tambours sont battus pour mobiliser les armées en vue du combat »).
On y trouve notamment la forme verbale « op … roepen », provenant de l’infinitif « OProepen », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « ROEPEN ».
On peut avoir en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit avec, par exemple, comme ici, le « TE » qui s’intercale entre eux.
On y trouve donc, dans une sorte de phrase subordonnée introduite par « OM … TE » (signifiant « POUR » devant les verbes), les compléments (« de legers » et « tot de strijd ») intercalés entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « ROEPEN ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Al vroeg in de morgen »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de trommen ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « roffelen ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 10 dans « De hel van Solferino », le volume N°35 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 35 HEL SOLFERINO 9G - Rajouté le 06/05/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wij raken hier niet weg ! » (« Nous ne réussirons pas à sortir d’ici ! »).
Malgré les apparences, on n’a pas affaire dans cette phrase à un verbe dit « à particule séparable » (« WEGraken » signifie par exemple, « « s’évanouir » d’une part ou « s’égarer » d’autre part).
On y trouve donc plutôt une expression similaire à : « We zullen erin niet slagen van hier weg te gaan ! », bien plus longue.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De hel van Solferino », le volume N°35 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 35 HEL SOLFERINO 9F - Rajouté le 05/05/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het venster is met deze staven te stevig gesloten » (« La fenêtre est solidement fermée avec ces barreaux »).
On y trouve notamment la forme verbale « gesloten », participe passé provenant de l’infinitif « SLUITEN », affecté par les « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé « GESLOTEN » se construit sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« met deze staven »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que si un mot variable néerlandais se termine par la consonne « -F » (par exemple « STAAF » au singulier »), le fait de rajouter derrière cette consonne (pour former, par exemple, le pluriel) la voyelle « E », fait transformer ce « F » en « V » : « een staaF » => twee « staVen » (sans oublier, dans ce cas d’une double voyelle « AA » précédant la consonne, la disparition d’un des 2 « A »).
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De hel van Solferino », le volume N°35 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 35 HEL SOLFERINO 9E - Rajouté le 04/05/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Als het dorp in volledige duisternis ligt, hebben de strijdmachten hun stelling ingenomen » (« Quand le village est dans une complète obscurité, les forces militaires ont pris leur position »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « inGEnomen », participe passé provenant de l’infinitif « INnemen », lui-même construit sur l’infinitif « NEMEN », affecté par les « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le verbe « INnemen » est dit « à particule séparable » et quand il est conjugué comme participe passé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « IN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « inGEnomen ».
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« hun stelling »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (la phrase subordonnée joue ici ce rôle : « Als het dorp in volledige duisternis ligt »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de strijdmachten ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « hebben ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De hel van Solferino », le volume N°35 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 35 HEL SOLFERINO 9D - Rajouté le 03/05/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ondanks het protest worden de drie mannen in een schuurtje dicht bij Solferino opgesloten » (« Malgré la = leur protestation, les trois hommes sont enfermés dans une petite grange près de Solferino »).
On y trouve notamment la forme verbale « OPgesloten », participe passé provenant de l’infinitif « OPsluiten », lui-même construit sur l’infinitif « SLUITEN », affecté par les « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé « GESLOTEN » se construit sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Ce verbe « OPsluiten » est aussi dit « à particule séparable » ; quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEsloten ».
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« in een schuurtje dicht bij Solferino »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Ondanks het protest »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de drie mannen ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « worden ») et passant donc derrière lui.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De hel van Solferino », le volume N°35 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 35 HEL SOLFERINO 9C - Rajouté le 02/05/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ondanks het protest worden de drie mannen weggevoerd » (« Malgré la = leur protestation, les trois hommes sont emmenés »).
On y trouve notamment la forme verbale « WEGgevoerd », provenant de l’infinitif « WEGvoeren » (dit « à particule séparable »), lui-même conjugué sur « VOEREN », considéré comme « régulier ».
Comme la grande majorité des verbes néerlandais, le verbe « VOEREN » n’est pas affecté par les « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire. La forme verbale « wegGEvoerd » est à « particule séparable » puisque le « GE » du participe passé s’intercale entre la particule « WEG » et la forme verbale proprement dite.
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« door de soldaten »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Ondanks het protest »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de drie mannen ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « worden ») et passant donc derrière lui.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De hel van Solferino », le volume N°35 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 35 HEL SOLFERINO 9B - Rajouté le 01/05/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb het bevel gekregen » (« J’ai reçu l’ordre »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEKREGEN », participe passé utilisé avec un plus-que-parfait, provenant de l’infinitif « KRIJGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé « GEKREGEN » se construit sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« het bevel »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De hel van Solferino », le volume N°35 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 35 HEL SOLFERINO 9A 7 - Rajouté le 30/04/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De man is overleden » (« L’homme est décédé »).
On y trouve la forme verbale « overLEDEN », participe passé provenant de l’infinitif « overLIJDEN », lui-même construit sur le verbe « LIJDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » (et dont le participe passé est « geLEDEN »).
Le fait que « OVER », dans ce participe passé « overLEDEN », ne soit pas séparé du corps principal du participe passé (« LEDEN ») par un « GE » prouve qu’il ne s’agit PAS d’un verbe à « particule séparable ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le pluriel du prétérit ou O.V.T. et, dans ce cas-ci, est identique (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « overLEDEN » fait en principe l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« ondertussen »), à la fin de la phrase : « De man is ondertussen overleden ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite d’un montage réalisé par nos soins d’illustrations extraites des pages 9 et 7 dans « De hel van Solferino », le volume N°35 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 35 HEL SOLFERINO 8C - Rajouté le 29/04/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Morgen breekt de hel in Solferino los ! » (« Demain l’enfer se déchaîne à Solferino ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « breekt … LOS », provenant de l’infinitif « LOSbreken », lui-même construit sur le verbe « BREKEN ».
Quand « LOSbreken » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « LOS » de son infinitif proprement dit, et elle fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« in Solferino »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« MORGEN »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de hel ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « breekt ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 8 dans « De hel van Solferino », le volume N°35 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 35 HEL SOLFERINO 8B - Rajouté le 28/04/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Onder dit slogan zijn er al veel beest(acht)igheden uitgehaald ! » (« Sous ce slogan, il y a déjà eu beaucoup d’actes bestiaux commis = On a déjà commis beaucoup d’actes bestiaux au nom de ce slogan ! »).
On y trouve notamment la forme verbale la forme verbale « uitGEhaald » (participe passé provenant de l’infinitif « UIThalen », lui-même construit sur le verbe « HALEN », PAS affecté par les « temps primitifs ».
Ce verbe « UIThalen » est donc considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « L », on trouvera le « D » majoritaire. Ce verbe «UIThalen » est aussi dit « à particule séparable » ; quand il est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « uitGEhaald ».
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le « complément » (« AL »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Onder dit slogan »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « ER ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « ZIJN ») et passant donc derrière lui.
Notons que l’on aurait pu avoir une variante d’auxiliaire et cette phrase la voix passive avec « WORDEN » : « Onder dit slogan WERDEN er al veel beest(acht)igheden uitgehaald ! »
Rappelons enfin que les noms se terminant au singulier par le suffixe « -HEID », font un pluriel en « -HEDEN ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 8 dans « De hel van Solferino », le volume N°35 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 35 HEL SOLFERINO 7C 8A - Rajouté le 27/04/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Bemoei je er niet mee ! » (« Ne t’en mêle pas ! »).
Malgré les apparences, on n’a pas affaire dans cette phrase (à l’impératif) à un verbe dit « à particule séparable » (« meebemoeien » n’existe d’ailleurs pas).
On y trouve en fait un adverbe pronominal personnel « séparé » (car séparable ) : « er … MEE ». On aurait pu trouver les variantes suivantes : « Bemoei je niet erMEE ! », « Bemoei je niet daarMEE ! », « Bemoei je DAAR niet mee ! ».
Si l’on parle d’adverbe pronominal, c’est parce que sa partie « PRO-nom » (« ER ») remplace le nom commun (par exemple, « die zaak »). On aurait donc pu avoir la phrase : « Bemoei je MET die zaak niet mee ! »
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite d’un montage réalisé par nos soins d’illustrations extraites des pages 8 et 7 dans « De hel van Solferino », le volume N°35 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 35 HEL SOLFERINO 7B - Rajouté le 26/04/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat is goed afgelopen » (« Cela s’est bien terminé »).
On y trouve notamment la forme verbale « AFgelopen », participe passé provenant de l’infinitif « AFlopen », lui-même construit sur le verbe « LOPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « AFlopen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « afGElopen ».
Ce participe passé « afGElopen » fait l’objet d’un REJET, derrière le « complément » (ici « GOED »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 7 dans « De hel van Solferino », le volume N°35 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 35 HEL SOLFERINO 7A - Rajouté le 25/04/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hoe zal dat aflopen ? » (« Comment cela va-t-il se dérouler ? »).
On y trouve, dans cette question au futur simple, un REJET à la fin de la phrase de l’infinitif « AFlopen », lui-même construit sur le verbe « LOPEN ».
Si « AFlopen » avait été conjugué, cela aurait entraîné une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, et elle aurait fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« dat gevecht »), à la fin de la phrase : « Hoe loopt dat gevecht AF ? ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 7 dans « De hel van Solferino », le volume N°35 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 35 HEL SOLFERINO 6A - Rajouté le 24/04/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « (Laten we) Wegwezen of het loopt hier slecht af ! » (« Déguerpissons ou cela va mal se terminer ici ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « loopt … AF », provenant de l’infinitif « AFlopen », lui-même construit sur le verbe « LOPEN ».
Quand « AFlopen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, et elle fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (ici « hier » et « slecht »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « De hel van Solferino », le volume N°35 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 35 HEL SOLFERINO 5B - Rajouté le 23/04/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Waar bemoeien jullie je mee ? » (« De quoi vous mêlez-vous ? »).
Malgré les apparences, on n’a pas affaire dans cette phrase à un verbe dit « à particule séparable » (« meebemoeien » n’existe d’ailleurs pas).
On y trouve en fait un adverbe pronominal personnel « séparé » (car séparable ) : « waar … MEE ». On aurait pu trouver la variante suivante : « WaarMEE bemoeien jullie je ? ».
Si l’on parle d’adverbe pronominal, c’est parce que sa partie « PRO-nom » remplace le nom commun (par exemple, « zaken »). Rappelons que « WAARMEE » est l’adverbe pronominal résultant de « MET WAT ». On aurait donc pu avoir la phrase : « Met welke / wat voor zaken bemoeien jullie je ? »
Rappelons que l’emploi réfléchi (l’infinitif est « ZICH bemoeien ») du pronom personnel, à la deuxième personne du PLURIEL, est potentiellement double : le « JE », dans ce cas-ci, remplace un deuxième « JULLIE ». On aurait donc pu avoir la phrase : « Waar bemoeien jullie JULLIE mee ? »
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « De hel van Solferino », le volume N°35 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 35 HEL SOLFERINO 4D - Rajouté le 22/04/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De Oostenrijkers hebben zich teruggetrokken » (« Les Autrichiens se sont retirés »).
On y trouve notamment la forme verbale « TERUGgeTROKKEN », participe passé du verbe « TERUGtrekken » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « TREKKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « TERUGtrekken » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERUG » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « terugGEtrokken ».
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« in Solferino »), à la fin de la phrase.
Ouvrons une parenthèse pour donner une solution « mnémotechnique » pour rappeler que l’Est, en néerlandais, est bien « Het Oosten », souvent confondu avec l’autre point cardinal.
Si les Belges se souviennent que Charles-Quint est né à Gand en 1500, quand il avait les pieds dans cette bonne ville et qu’il regardait vers l’Autriche, ce royaume (« dit rijk ») se trouvait bien sur sa droite = vers l’Est. Le mot « Autriche » pouvait donc, aux yeux de Charles-Quint, être son « Royaume de l’Est » …
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 4 dans « De hel van Solferino », le volume N°35 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 35 HEL SOLFERINO 5A - Rajouté le 21/04/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hebben jullie troepenconcentraties van Fransen en Italianen gezien ? » (« Avez-vous vu des concentrations de troupes de Français et d’Italiens ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « geZIEN », participe passé provenant de l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’infinitif. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« troepenconcentraties van Fransen en Italianen »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « De hel van Solferino », le volume N°35 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 35 HEL SOLFERINO 4C - Rajouté le 20/04/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Er heeft al een treffen plaatsgehad » (« Il y a déjà eu (lieu) une rencontre = Une rencontre a déjà eu lieu »).
On y trouve notamment la forme verbale « plaats … gehad », V.T.T. (ou passé composé), provenant du verbe « PLAATShebben », dit « à particule séparable », construit sur l’infinitif « HEBBEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il faut aussi noter que ce participe passé « GEHAD » se construit sur le SINGULIER du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « (plaats)GEHAD » fait l’objet d’un REJET, normalement derrière le complément (« te Montebello »), à la fin de la phrase.
Le verbe est introduit par le pronom « impersonnel » « ER » qui, suivi exceptionnellement du verbe « HEBBEN », rend la notion de « IL Y A ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 4 dans « De hel van Solferino », le volume N°35 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 35 HEL SOLFERINO 4B - Rajouté le 19/04/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Denk er niet aan ! » (« N’y pense pas ! »).
Malgré les apparences, on n’a pas affaire dans cette phrase à un verbe dit « à particule séparable » (« aandenken » n’existe d’ailleurs pas).
On y trouve en fait un adverbe pronominal personnel « séparé » (car séparable ) : « ER … AAN ». On aurait pu trouver, à l’impératif, les variantes suivantes : « Denk niet ERaan ! », « Denk niet DAARaan ! » ; « Denk DAAR niet aan ! ».
Si l’on parle d’adverbe pronominal, c’est parce que sa partie « PRO-nom » remplace le nom commun (par exemple, « het idee »). On aurait dès lors pu avoir la variante : « Denk niet AAN dat idee ! ». Donc « erAAN » remplace bien « AAN dat idee ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 4 dans « De hel van Solferino », le volume N°35 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 35 HEL SOLFERINO 4A - Rajouté le 18/04/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Komen jullie daar soms vandaan ? » (« Venez-vous par hasard de là-bas ? »).
Bien que « vanDAAN » réagisse comme une « particule séparable » (REJET à la fin de la phrase), ce mot n’en est pas une. Il exprime une notion de provenance.
Une forme ancienne en était vraisemblablement « vanDAAR », dans la langue parlée.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 4 dans « De hel van Solferino », le volume N°35 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 35 HEL SOLFERINO 3B - Rajouté le 17/04/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Henri Dunant heeft zich in de omgeving van Solferino teruggetrokken » (« Henri Dunant s’est retiré dans les environs de Solférino »).
On y trouve notamment la forme verbale « TERUGgeTROKKEN », participe passé du verbe « TERUGtrekken » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « TREKKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « TERUGtrekken » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERUG » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « terugGEtrokken ».
Il est à noter que ce participe passé du verbe « TREKKEN » se construit sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le « complément » (« in de omgeving van Solferino »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 3 dans « De hel van Solferino », le volume N°35 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 35 HEL SOLFERINO 3A 2F - Rajouté le 16/04/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Mevrouw Dunant, uw vriendin uit Zwitserland, is net aangekomen » (« Madame Dunant, votre amie de Suisse, est juste arrivée = vient d’arriver »).
On y trouve notamment la forme verbale « AANgeKOMEN », participe passé du verbe « AANkomen » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « KOMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « AANkomen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGEkomen ».
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le « complément » (ici « NET »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite d’un montage réalisé par nos soins d’illustrations extraites des pages 2 et 3 dans « De hel van Solferino », le volume N°35 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 35 HEL SOLFERINO 2E - Rajouté le 15/04/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Er kwam net bezoek voor Mevrouw » (« Il venait juste de la visite pour Madame / Il venait de la visite convenable pour Madame »).
On y trouve notamment la forme verbale « KWAMEN », O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « KOMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le verbe est introduit par le pronom « impersonnel » « ER » qui, suivi de quasi n’importe quel verbe à part « HEBBEN », rend la notion de « IL Y A ».
Notez l’utilisation ambiguë de « NET » qui, en l’occurrence peut signifier deux choses relativement différentes.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 2 dans « De hel van Solferino », le volume N°35 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 35 HEL SOLFERINO 2D - Rajouté le 14/04/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Waarom vielen die kerels u eindelijk lastig ? » (« Pourquoi ces types vous importunaient-ils en fin de compte ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « vielen … LASTIG », O.V.T. (ou prétérit), provenant du verbe « LASTIGvallen », dit « à particule séparable », construit sur l’infinitif « VALLEN ».
Quand « LASTIGvallen » est « conjugué », cela entraîne en néerlandais un REJET et une séparation de la particule « LASTIG » (provenant d’un adjectif), derrière les compléments (« U » et « eindelijk »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 2 dans « De hel van Solferino », le volume N°35 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 35 HEL SOLFERINO 2C - Rajouté le 13/04/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dan nodig ik jullie uit » (« Alors je vous invite »).
On y trouve notamment la forme verbale « nodig … UIT », provenant de l’infinitif « UITnodigen », verbe dit « à particule séparable ».
Quand « UITnodigen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, le complément « JULLIE » s’intercalant entre eux et la particule « UIT » fait donc l’objet d’un REJET à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« DAN »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « IK ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « nodig ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 2 dans « De hel van Solferino », le volume N°35 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 35 HEL SOLFERINO 2B - Rajouté le 12/04/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Die jongens kwamen mij ter hulp » (« Ces garçons me venaient en aide »).
On y trouve notamment la forme verbale « KWAMEN », O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « KOMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Notez l’expression « teR hulp komen » ; de nos jours, on a tendance à laisser tomber le « -R » et à dire plutôt « te hulp komen ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 2 dans « De hel van Solferino », le volume N°35 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 35 HEL SOLFERINO 1E 2A - Rajouté le 11/04/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Jullie dachten dat ik jullie niet (had) gezien had » (« Vous pensiez que je ne vous avais pas vus »).
On y trouve notamment dans la phrase principale, la forme verbale « DACHTEN » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant du verbe « DENKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve également, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « HAD », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « HEBBEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Cet auxiliaire « HEBBEN » est ici utilisé au temps composé du V.V.T. (plus-que-parfait) et, s’il fait ici l’objet d’un « REJET », c’est parce qu’il se trouve dans une phrase subordonnée.
On y trouve donc aussi la forme verbale « geZIEN », participe passé provenant de l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’infinitif. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « jullie »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite d’un montage réalisé par nos soins d’illustrations extraites des pages 1 et 2 dans « De hel van Solferino », le volume N°35 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 35 HEL SOLFERINO 1D - Rajouté le 10/04/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Die heren vallen die dame lastig » (« Ces messieurs importunent cette dame »).
On y trouve notamment la forme verbale « vallen … LASTIG », provenant du verbe « LASTIGvallen », dit « à particule séparable », construit sur l’infinitif « VALLEN ».
Quand « LASTIGvallen » est « conjugué », cela entraîne en néerlandais un REJET et une séparation de la particule « LASTIG » (provenant d’un adjectif), derrière le complément (« die dame »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 1 dans « De hel van Solferino », le volume N°35 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 35 HEL SOLFERINO 1C - Rajouté le 09/04/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Kan u ons zeggen hoe het onderhoud tussen Napoleon III en de Oostenrijkse gezant verliep ? » (« Pouvez-vous nous dire comment se déroula l’entretien entre Napoléon III et le représentant autrichien ? »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « VERLIEP », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « VERLOPEN » (PAS un verbe dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « LOPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Cette forme verbale « VERLIEP » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« tussen Napoleon III en de Oostenrijkse gezant »), à la fin de la phrase.
Rappelons (même s’il s’agit bien ici de l’O.V.T.) que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- » (qui n’est PAS une « particule séparable »), son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 1 dans « De hel van Solferino », le volume N°35 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 35 HEL SOLFERINO 1B - Rajouté le 08/04/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik denk er niet aan ! » (« Je n’y pense pas ! »).
Malgré les apparences, on n’a pas affaire dans cette phrase à un verbe dit « à particule séparable » (« aandenken » n’existe d’ailleurs pas).
On y trouve en fait un adverbe pronominal personnel « séparé » (car séparable ) : « ER … AAN ». On aurait pu trouver les variantes suivantes : « Ik denk niet ERaan ! », « Ik denk niet DAARaan ! » ; « Ik denk DAAR niet aan ! ».
Si l’on parle d’adverbe pronominal, c’est parce que sa partie « PRO-nom » remplace le nom commun (par exemple, « het idee »). On aurait dès lors pu avoir la variante : « Ik denk niet AAN het idee ». Donc « erAAN » remplace bien « AAN het idee ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 1 dans « De hel van Solferino », le volume N°35 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 35 HEL SOLFERINO 1A - Rajouté le 07/04/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze (Robert en Bertrand) hebben hun beschermeling (Joeki) naar de kostschool (…) gebracht » (« Ils ont amené leur protégé au pensionnat / à l’internat »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEBRACHT », participe passé provenant de l’infinitif « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et est construit sur le singulier du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « GEBRACHT » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« hun beschermeling » et « naar de kostschool »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 1 dans « De hel van Solferino », le volume N°35 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1980-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN HOMMAGE DUNANT ROBERT EN BERTRAND - Rajouté le 07/04/2013

Description : Nous reproduisons et avons transposé en langue française la postface, anonyme et sans titre, hommage à Henry Dunant, dans De hel van Solferino. (« Robert et Bertrand », N°35) les biographies manquant beaucoup comme source de lecture aux générations actuelles d’adolescents.
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ce texte est reproduit avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1978-2013.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 31D - Rajouté le 06/04/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Nadat de soldaten ontscheept zijn, wordt het vertreksein gegeven » (« Après que les soldats ont débarqué, le signal du départ est donné »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « ONTscheept », participé passé provenant de l’infinitif « ONTschepen ». Ce verbe est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « P », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « ONT- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Signalons dès lors que, si « ONTscheept » est ici au V.T.T. (ou passé composé), il aurait été écrit de la même façon à l’O.T.T. (ou indicatif présent).
On y trouve également, dans la phrase principale, la forme verbale « GEGEVEN », participe passé provenant de l’infinitif « GEVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEGEVEN » est construit sur l’INFINITIF. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « GEGEVEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« dadelijk »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (la phrase subordonnée « Nadat de soldaten ontscheept zijn » joue ici ce rôle), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « het vertreksein ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « wordt ») et passant donc derrière lui.
Cette phrase principale est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 31 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 31C - Rajouté le 05/04/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het schip legt weer aan om de lading aan boord te nemen » (« Le navire accoste à nouveau pour prendre le chargement à bord »).
On y trouve aussi la forme verbale « legt … AAN », provenant de l’infinitif « AANleggen » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « LEGGEN », verbe régulier.
Quand « AANleggen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » qui fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « weer »), à la fin de la phrase principale.
En effet, on y trouve aussi, dans une sorte de phrase subordonnée introduite par « OM … TE » (signifiant « POUR » devant les verbes), les compléments (« de lading » et « aan boord ») intercalé entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « NEMEN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 31 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 31B - Rajouté le 04/04/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Aan boord van het schip werd het schot opgemerkt » (« A bord du navire, le tir fut remarqué »).
On y trouve notamment la forme verbale « OPgemerkt », provenant de l’infinitif « OPmerken » (dit « à particule séparable »), lui-même conjugué sur « MERKEN », considéré comme « régulier ».
Comme la grande majorité des verbes néerlandais, le verbe « MERKEN » n’est pas affecté par les « temps primitifs » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera le « T » minoritaire. La forme verbale « opGEmerkt » est à « particule séparable » puisque le « GE » du participe passé s’intercale entre la particule « OP » et la forme verbale proprement dite.
Cette phrase est aussi à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« Aan boord van het schip »), à la fin de la phrase.
Ce n’est pas évident ici, dans la mesure où, la phrase commençant par le complément (« Aan boord van het schip »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (« het schot ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « werd ») et passant donc derrière lui.
C’est plus clair que le participe passé fait l’objet d’un REJET, à la fin de la phrase, si l’on écrit : « Het schot werd aan boord van het schip opgemerkt ».

La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 31 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 31A - Rajouté le 03/04/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het idee wordt uitgevoerd » (« L’idée est exécutée = concrétisée »).
On y trouve notamment la forme verbale « UITgevoerd », provenant de l’infinitif « UITvoeren » (dit « à particule séparable »), lui-même conjugué sur « VOEREN », considéré comme « régulier ».
Comme la grande majorité des verbes néerlandais, le verbe « VOEREN » n’est pas affecté par les « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire. La forme verbale « uitGEvoerd » est à « particule séparable » puisque le « GE » du participe passé s’intercale entre la particule « UIT » et la forme verbale proprement dite.
Cette phrase est aussi à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« door hen »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 31 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 30C - Rajouté le 02/04/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De roeiers verenigen al hun krachten om de verloren tijd in te halen » (« Les rameurs réunissent toutes leurs forces pour rattraper le temps perdu »).
On y trouve notamment, dans la phrase « subordonnée infinitive », la forme verbale « in … halen », provenant du verbe « INhalen » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur l’infinitif « HALEN ».
Quand « INhalen » est « conjugué », dans cette sorte de phrase subordonnée introduite par « OM … TE » (signifiant « POUR » devant les verbes), le complément (« de verloren tijd ») est intercalé entre le « OM » et le « TE », placé juste après la « particule séparable » « IN » et juste devant l’infinitif « HALEN » proprement dit.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 30 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 30B - Rajouté le 01/04/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een ogenblik later maakt een ontploffing de weg vrij » (« Un instant plus tard, une explosion fait le chemin libre = libère le passage »).
On y trouve notamment la forme verbale « maakt … VRIJ », provenant du verbe « VRIJmaken », dit « à particule séparable », construit sur l’infinitif « MAKEN ».
Quand « vrijMAKEN » est « conjugué », cela entraîne en néerlandais un REJET et une séparation de la particule « VRIJ » (provenant d’un adjectif), derrière le complément (« de weg »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Een ogenblik later »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « een ontploffing ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « maakt ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 30 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 30A - Rajouté le 31/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De drijvende vuurhaard wordt samen met de hond door de stroming meegevoerd » (« Le foyer = brûlot flottant est emporté en même temps que le chien par le courant »).
On y trouve notamment la forme verbale « MEEgevoerd », provenant de l’infinitif « MEEvoeren » (dit « à particule séparable »), lui-même conjugué sur « VOEREN », considéré comme « régulier ».
Comme la grande majorité des verbes néerlandais, le verbe « VOEREN » n’est pas affecté par les « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire. La forme verbale « meeGEvoerd » est à « particule séparable » puisque le « GE » du participe passé s’intercale entre la particule « MEE » et la forme verbale proprement dite.
Cette phrase est aussi à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« samen met de hond » et « door de stroming »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas enfin que le participe présent en néerlandais se construit en ajoutant simplement un « D » à l’infinitif : « DRIJVEN » => « drijvenD ». Ici, ce participe présent est utilisé comme adjectif épithète, se place donc devant le nom et, pour s’accorder, prend la terminaison majoritaire « E » => « de drijvendE vuurhaard ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 30 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 29D - Rajouté le 30/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Onder een regen van kogels knaagt de hond met haar sterke tanden het touw van het vlot door » (« Sous une pluie de balles, la chienne ronge, avec ses fortes dents, la corde du radeau »).
On y trouve notamment la forme verbale « knaagt … DOOR », construite sur le verbe « DOORknagen » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « KNAGEN ».
Quand « DOORknagen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « DOOR » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET derrière les compléments (« met haar sterke tanden » et « het touw van het vlot ») à la fin de la phrase.
N’oublions pas non plus que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Onder een regen van kogels »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet de la phrase principale (ici « de hond ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « knaagt ») et passant donc derrière lui.
Si l’on avait un doute sur le sexe de Bessy, « de hond knaagt met HAAR sterke tanden het touw van het vlot door » confirme qu’il s’agit bien d’une chienne. Si Bessy avait été un mâle, on aurait dû avoir : « de hond knaagt met ZIJN sterke tanden het touw van het vlot door ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 29 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 29C - Rajouté le 29/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Als een roeier het brandend vlot wil verwijderen wordt het achterdek met kogels doorzeefd » (« Si / quand = chaque fois que un rameur veut écarter le radeau flambant = le brûlot, le pont arrière est criblé de balles »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « DOORzeefd », participe passé construit sur l’infinitif « DOORzeven », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « DOORzeven » est donc bien considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est PAS affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « F », on trouvera le « D » majoritaire au participe passé.
« DOORzeven » N’est cependant PAS un verbe dit « à particule séparable », sans quoi on aurait dû / pu avoir, après l’ancienne préposition « DOOR » le suffixe « GE- », commun à une majorité de participes passés. Au prétérit, on aurait eu, par exemple : « Ze doorzeefden het achterdek met kogels ».
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « met kogels »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas non plus que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (la phrase subordonnée « Als een roeier het brandend vlot wil verwijderen » joue ici ce rôle), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet de la phrase principale (ici « het achterdek ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « WORDT ») et passant donc derrière lui.
Cette phrase est donc à la voix passive, puisque l’on utilise l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
N’oublions pas enfin que le participe présent en néerlandais se construit en ajoutant simplement un « D » à l’infinitif : « BRANDEN » => « brandenD ». Ici, ce participe présent est utilisé comme adjectif épithète, se place donc devant le nom et, pour s’accorder, doit prendre la terminaison majoritaire « E » => « het brandendE vlot ». Il y a donc une « faute de frappe » …
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 29 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 29A - Rajouté le 27/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze hebben een versperring onder water aangelegd » (« Ils ont dressé = érigé un barrage en-dessous de l’eau »).
On y trouve aussi la forme verbale « AANgelegd », V.T.T. (ou participe passé) provenant de l’infinitif « AANleggen » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « LEGGEN », verbe régulier.
Quand « AANleggen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGElegd ».
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (ici « een versperring » et « onder water »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 28B - Rajouté le 26/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Met de hulp van een vlot wordt de versperring met rotsblokken verzwaard » (« Avec l’aide d’un radeau, le barrage est alourdi = renforcé par des blocs de rochers »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERzwaard », participe passé construit sur l’infinitif « VERzwaren » (lui-même en quelque sorte construit sur l’adjectif « ZWAAR »), qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « VERzwaren » est donc bien considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est PAS affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire au participe passé.
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « met rotsblokken »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas non plus que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Met de hulp van een vlot »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de versperring ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « WORDT ») et passant donc derrière lui.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 28A - Rajouté le 25/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dan is de tijd voor het vertrek aangebroken » (« Alors le temps du départ est entamé = est venu »).
On y trouve notamment la forme verbale « AANgebroken », participe passé provenant de l’infinitif « AANbreken », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « BREKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « AANbreken » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGEbroken ».
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « NU »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas non plus que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« DAN »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de tijd voor het vertrek ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « IS ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER WALKURE VERLIEZEN VERLOREN VTT 22A - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zonder zwaard ben ik verloren ! » (« Sans épée, je suis perdu ! »). On y trouve notamment la forme verbale « verloren », participe passé provenant de l’infinitif « verLIEZEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux. N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Zonder zwaard »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « IK ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « BEN ») et passant donc derrière lui. Le participe passé « verloren » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« tegen de ijsbeer »), à la fin de la phrase. La version néerlandophone de « De Walkure », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 22 dans « De Walkure », le volume N°63 de la série « DE RODE RIDDER ». Le texte l’accompagnant est à lire en écoutant, bien sûr, la « Chevauchée des Walkyries » de Richard WAGNER. Karel BIDDELOO, scénariste et dessinateur du studio Willy VANDERSTEEN, se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1974-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER WALKURE OPNEMEN OPGENOMEN VERZORGEN VERZORGD VTT 34E - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We hebben je opgenomen en verzorgd » (« Nous t’avons pris en charge = recueilli et soigné … »). On y trouve notamment la forme verbale « « OPgenomen », V.T.T. (ou participe passé) provenant de l’infinitif « opNEMEN », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « NEMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Quand « OPnemen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEnomen ». On y trouve également la forme verbale « VERzorgd », participe passé construit sur l’infinitif « VERzorgen », lui-même construit sur le verbe « ZORGEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Ce verbe « VERzorgen » est donc bien considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est PAS affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « G », on trouvera le « D » majoritaire au participe passé. Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux. La version néerlandophone de « De Walkure », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 34 dans « De Walkure », le volume N°63 de la série « DE RODE RIDDER ». Le texte l’accompagnant est à lire en écoutant, bien sûr, la « Chevauchée des Walkyries » de Richard WAGNER. Karel BIDDELOO, scénariste et dessinateur du studio Willy VANDERSTEEN, se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1974-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER WALKURE BEREIKEN BEREIKT 17B - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We hebben de grenzen van het Noorderland bereikt » (« Nous avons atteint les frontières du pays du Nord »). On y trouve notamment la forme verbale « BEREIKT », participe passé provenant de l’infinitif « BEREIKEN ». Ce verbe « BEREIKEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire). Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux. Le hasard fait que le participe passé est identique à la 2ème ou 3ème personne du présent. Ce participe passé « BEREIKT » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« de grenzen van het Noorderland »), à la fin de la phrase. La version néerlandophone de « De Walkure », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « De Walkure », le volume N°63 de la série « DE RODE RIDDER ». Le texte l’accompagnant est à lire en écoutant, bien sûr, la « Chevauchée des Walkyries » de Richard WAGNER. Karel BIDDELOO, scénariste et dessinateur du studio Willy VANDERSTEEN, se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1974-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER WALKURE TOESTEMMEN STEM TOE OTT 13A - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Stem je toe ? … » (« Marques-tu ton accord ? … »). On y trouve la forme verbale « stem … TOE », provenant de l’infinitif « TOEstemmen » (verbe à « particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « STEMMEN ». Quand ce verbe « TOEstemmen » est conjugué, la particule « TOE » se sépare donc de l’infinitif « STEMMEN » proprement dit et fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« een grootmoedig voorstel »), à la fin de la phrase. La version néerlandophone de « De Walkure », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 13 dans « De Walkure », le volume N°63 de la série « DE RODE RIDDER ». Le texte l’accompagnant est à lire en écoutant, bien sûr, la « Chevauchée des Walkyries » de Richard WAGNER. Karel BIDDELOO, scénariste et dessinateur du studio Willy VANDERSTEEN, se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1974-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER WALKURE BIJSTAAN STA BIJ IMPERATIF 25B - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Sta me bij ! » (« Viens à mon aide ! = Protège-moi ! »). On y trouve la forme verbale « sta … BIJ », impératif provenant de l’infinitif « BIJstaan », verbe à « particule séparable », lui-même construit sur le verbe « STAAN ». Quand ce verbe « BIJstaan » est conjugué, la particule « TERUG » se sépare donc de l’infinitif « STAAN » proprement dit et fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« in mijn moeilijkheden »), à la fin de la phrase. La version néerlandophone de « De Walkure », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « De Walkure », le volume N°63 de la série « DE RODE RIDDER ». Le texte l’accompagnant est à lire en écoutant, bien sûr, la « Chevauchée des Walkyries » de Richard WAGNER. Karel BIDDELOO, scénariste et dessinateur du studio Willy VANDERSTEEN, se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1974-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER WALKURE VERKIEZEN VERKOZEN VTT 12A - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Sinds wanneer worden gewone stervelingen door u verkozen boven ons ? » (« Depuis quand de simples mortels, choisis par vous, sont-ils au-dessus de nous ? »). On y trouve notamment la forme verbale « verkozen », participe passé provenant de l’infinitif « verKIEZEN », lui-même construit sur le verbe « KIEZEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux. La version néerlandophone de « De Walkure », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 12 dans « De Walkure », le volume N°63 de la série « DE RODE RIDDER ». Le texte l’accompagnant est à lire en écoutant, bien sûr, la « Chevauchée des Walkyries » de Richard WAGNER. Karel BIDDELOO, scénariste et dessinateur du studio Willy VANDERSTEEN, se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1974-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER WALKURE AANREIKEN REIK AAN 33A - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Reik hem (Johan) de beker van de vergeteLheid (< « vergeteN ») aan ! » (« Tends-lui la coupe de l’oubli ! »). On y trouve notamment la forme verbale « reik … AAN », provenant de l’infinitif « aanREIKEN » (dit à « particule séparable »), construit sur le verbe « REIKEN ». La « particule séparable » « AAN » fait (à l’impératif) l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« de beker » et « van de vergetelheid »), à la fin de la phrase. La version néerlandophone de « De Walkure », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 33 dans « De Walkure », le volume N°63 de la série « DE RODE RIDDER ». Le texte l’accompagnant est à lire en écoutant, bien sûr, la « Chevauchée des Walkyries » de Richard WAGNER. Karel BIDDELOO, scénariste et dessinateur du studio Willy VANDERSTEEN, se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1974-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER WALKURE OPRICHTEN RICHT OP OTT 21B - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Plots richt het monster zich op voor het aanval » (« Soudain le monstre se dresse pour l’attaque »). On y trouve notamment la forme verbale « richt … OP », provenant de l’infinitif « OPrichten » (dit à « particule séparable »), construit sur le verbe « RICHTEN ». La « particule séparable » « OP » devrait faire l’objet d’un REJET, derrière le complément (« voor het aanval »), à la fin de la phrase : « Plots richt het monster zich voor het aanval OP ». N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Plots »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « het monster ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « richt ») et passant donc derrière lui. La version néerlandophone de « De Walkure », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 21 dans « De Walkure », le volume N°63 de la série « DE RODE RIDDER ». Le texte l’accompagnant est à lire en écoutant, bien sûr, la « Chevauchée des Walkyries » de Richard WAGNER. Karel BIDDELOO, scénariste et dessinateur du studio Willy VANDERSTEEN, se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1974-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER WALKURE ACHTERLATEN ACHTERGELATEN VTT 34D - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Na een vreselijke veldslag, werd je voor dood achtergelaten » (« Après une terrible bataille, tu as été laissé (derrière) pour mort »). On y trouve notamment la forme verbale « ACHTERgeLATEN », participe passé du verbe « ACHTERlaten » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « LATEN ». Quand « ACHTERlaten » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « ACHTER » (ancienne préposition) de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « achterGElaten ». N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Na een vreselijke veldslag »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « JE ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « WERD ») et passant donc derrière lui. Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ». La version néerlandophone de « De Walkure », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 34 dans « De Walkure », le volume N°63 de la série « DE RODE RIDDER ». Le texte l’accompagnant est à lire en écoutant, bien sûr, la « Chevauchée des Walkyries » de Richard WAGNER. Karel BIDDELOO, scénariste et dessinateur du studio Willy VANDERSTEEN, se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1974-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER WALKURE GENEZEN VTT 9A VOIX PASSIVE - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Mijn wonden ? … Genezen ? … » (« Mes blessures ? … Guéries ? … »). On y trouve notamment la forme verbale « GENEZEN », participe passé provenant de l’infinitif « GENEZEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Rappelons par ailleurs que si un verbe commence déjà par le préfixe « GE- », on ne rajoutera pas une deuxième fois le préfixe « GE- » (commun à la majorité d’entre eux) à son participe passé. Cela contribue au fait que le participe passé et l’infinitif sont identiques. Notons que dans ce cas-ci de l’utilisation du participe passé « GENEZEN », on peut imaginer deux auxiliaires possibles : 1°) « Mijn wonden zijn genezen ». La phrase est alors au passé composé, avec l’auxiliaire « ZIJN » et il constate le fait : ses blessures sont guéries. 2°) « Door wie werden mijn wonden genezen ? … ». La phrase est alors à la voix passive, avec l’auxiliaire « WORDEN » et il demande par qui (ou à la suite de quel miracle, en l’occurrence) ses blessures ont été guéries. La version néerlandophone de « De Walkure », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De Walkure », le volume N°63 de la série « DE RODE RIDDER ». Le texte l’accompagnant est à lire en écoutant, bien sûr, la « Chevauchée des Walkyries » de Richard WAGNER. Karel BIDDELOO, scénariste et dessinateur du studio Willy VANDERSTEEN, se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1974-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER WALKURE OPWINDEN OPGEWONDEN VTT 24B - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maar hij (Urias) krijst opgewonden wanneer zijn scherpe ogen voetafdrukken in de sneeuw waarnemen » (« Mais il pousse un cri excité = d’excitation quand ses yeux aigus = sa vue perçante aperçoivent des empreintes de pieds = des traces de pas dans la neige »). On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale (utilisée ici comme adjectif épithète) « OPgewonden », V.T.T. (ou participe passé) provenant de l’infinitif « opWINDEN », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « WINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Quand « OPwinden » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEwonden ». La forme verbale « waarnemen » fait l’objet d’un REJET, dans la phrase subordonnée, derrière les compléments (« voetafdrukken in de sneeuw »), à la fin de la phrase. La version néerlandophone de « De Walkure », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 24 dans « De Walkure », le volume N°63 de la série « DE RODE RIDDER ». Le texte l’accompagnant est à lire en écoutant, bien sûr, la « Chevauchée des Walkyries » de Richard WAGNER. Karel BIDDELOO, scénariste et dessinateur du studio Willy VANDERSTEEN, se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1974-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER WALKURE KEER TERUG TERUGKEREN IMPERATIF 5A - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Keer terug, mannen van het Noorden ! » (« Retournez = rebroussez chemin, hommes du Nord ! »). On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « keer … TERUG », impératif provenant de l’infinitif « TERUGkeren », verbe à « particule séparable ». Quand ce verbe « TERUGkeren » est conjugué, la particule « TERUG » se sépare donc de l’infinitif « KEREN » proprement dit et fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« naar jullie land »), à la fin de la phrase. Cette particule « TERUG » est très fréquente en néerlandais puisqu’elle correspond au préfixe « RE- » (exemple : RE-venir), rendant la notion de RETOUR. Il est à noter que dans la mesure où on s’adresse à plusieurs « mannen », on aurait dû avoir plutôt la forme verbale et la phrase suivantes : « Keren jullie terug, mannen van het Noorden ! » La version néerlandophone de « De Walkure », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « De Walkure », le volume N°63 de la série « DE RODE RIDDER ». Le texte l’accompagnant est à lire en écoutant, bien sûr, la « Chevauchée des Walkyries » de Richard WAGNER. Karel BIDDELOO, scénariste et dessinateur du studio Willy VANDERSTEEN, se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1974-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER WALKURE BEREIKEN BEREIKT 23A - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Inmiddels heeft zij de ijsgrotten bereikt » (« Entretemps elle a atteint les grottes de glace »). On y trouve notamment la forme verbale « BEREIKT », participe passé provenant de l’infinitif « BEREIKEN ». Ce verbe « BEREIKEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire). Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux. Le hasard fait que le participe passé est identique à la 2ème ou 3ème personne du présent. Ce participe passé « BEREIKT » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« de grenzen van het Noorderland »), à la fin de la phrase. N’oublions pas non plus que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Inmiddels »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « ZIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « HEEFT ») et passant donc derrière lui. La version néerlandophone de « De Walkure », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 23 dans « De Walkure », le volume N°63 de la série « DE RODE RIDDER ». Le texte l’accompagnant est à lire en écoutant, bien sûr, la « Chevauchée des Walkyries » de Richard WAGNER. Karel BIDDELOO, scénariste et dessinateur du studio Willy VANDERSTEEN, se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1974-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER WALKURE VERLIEZEN VERLOREN VTT 25A - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Indien hij (Johan) niet spoedig komt, ben ik verloren ! » (« S’il ne vient pas vite, je suis perdue ! »). On y trouve notamment la forme verbale « verloren », participe passé provenant de l’infinitif « verLIEZEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux. N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (la phrase subordonnée « Indien hij niet spoedig komt » jouant ici ce rôle), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « IK ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « BEN ») et passant donc derrière lui. Le participe passé « verloren » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« tegen de slang »), à la fin de la phrase. Notez que la conjonction introduisant la phrase subordonnée est ici « INDIEN », exprimant davantage la CONDITION (« SI ») que « ALS », signifiant plutôt « quand ». La version néerlandophone de « De Walkure », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « De Walkure », le volume N°63 de la série « DE RODE RIDDER ». Le texte l’accompagnant est à lire en écoutant, bien sûr, la « Chevauchée des Walkyries » de Richard WAGNER. Karel BIDDELOO, scénariste et dessinateur du studio Willy VANDERSTEEN, se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1974-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER WALKURE SPREKEN SPRAK OVT 34F - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « In jouw koortsdromen sprak je vaak over het Walhalla » (« Dans tes rêves de fièvre = ton délire, tu parlais souvent du Valhalla »). On y trouve notamment la forme verbale « SPRAK », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « SPREKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« In jouw koortsdromen »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « JE ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « SPRAK ») et passant donc derrière lui. La version néerlandophone de « De Walkure », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 34 dans « De Walkure », le volume N°63 de la série « DE RODE RIDDER ». Le texte l’accompagnant est à lire en écoutant, bien sûr, la « Chevauchée des Walkyries » de Richard WAGNER. Karel BIDDELOO, scénariste et dessinateur du studio Willy VANDERSTEEN, se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1974-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER WALKURE AFLIGGEN AFGELEGEN VTT 34B - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « In een afgelegen hoeve bij de kust … » (« Dans une ferme retirée près de la côte … »). On y trouve, utilisée comme adjectif épithète, la forme verbale « AFgelegen », participe passé provenant de l’infinitif « AFliggen » (n’existant plus ? …), lui-même construit sur « LIGGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Quand « AFliggen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « afGElegen ». La version néerlandophone de « De Walkure », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 34 dans « De Walkure », le volume N°63 de la série « DE RODE RIDDER ». Le texte l’accompagnant est à lire en écoutant, bien sûr, la « Chevauchée des Walkyries » de Richard WAGNER. Karel BIDDELOO, scénariste et dessinateur du studio Willy VANDERSTEEN, se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1974-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER WALKURE INHAKKEN HAKT IN OTT 26A - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij hakt uit alle macht op het monster in » (« Il entaille / frappe de toutes ses forces sur le monstre »). On y trouve notamment la forme verbale « hakt … IN », provenant de l’infinitif « INhakken » (dit à « particule séparable »), construit sur le verbe « HAKKEN ». La « particule séparable » « IN » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« uit alle macht » et « op het monster »), à la fin de la phrase. Notez l’utilisation de la préposition « UIT » dans l’expression « uit alle macht » : il va puiser dans toutes ses ressources physiques, il donne le meilleur DE (origine) lui-même (cela SORT de son corps). La version néerlandophone de « De Walkure », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 26 dans « De Walkure », le volume N°63 de la série « DE RODE RIDDER ». Le texte l’accompagnant est à lire en écoutant, bien sûr, la « Chevauchée des Walkyries » de Richard WAGNER. Karel BIDDELOO, scénariste et dessinateur du studio Willy VANDERSTEEN, se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1974-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER WALKURE DOORKOMEN KOMEN DOOR OTT 5B - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hier komen jullie niet door ! » (« Ici, vous ne passez = passerez pas ! »). On y trouve notamment la forme verbale « komen … DOOR », provenant de l’infinitif « DOORkomen » (dit à « particule séparable »), construit sur le verbe « KOMEN ». La « particule séparable » « DOOR » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément sous-entendu (« langs het dal »), à la fin de la phrase. Il est à noter que l’on aurait dès lors pu avoir la construction de phrase suivante : « Hier komen jullie door het dal niet ! », antérieure à la formation du verbe « à particule séparable », quand « DOOR » était encore une préposition. N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« HIER »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « JULLIE ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « KOMEN ») et passant donc derrière lui. La version néerlandophone de « De Walkure », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « De Walkure », le volume N°63 de la série « DE RODE RIDDER ». Le texte l’accompagnant est à lire en écoutant, bien sûr, la « Chevauchée des Walkyries » de Richard WAGNER. Karel BIDDELOO, scénariste et dessinateur du studio Willy VANDERSTEEN, se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1974-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER WALKURE UITEENSLAAN SLAAT UITEEN OTT 16A 17A - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het volgende ogenblik slaat een bliksemflits de stormreus uiteen » (« A l’instant suivant, un éclair frappe en séparant / disperse avec violence le géant de la tempête »). On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « slaat … UITEEN », provenant de l’infinitif « UITEENslaan », verbe à « particule séparable », lui-même construit sur le verbe « SLAAN ». Quand ce verbe « UITEENslaan » est conjugué, la particule « UITEEN » se sépare donc de l’infinitif « SLAAN » proprement dit et fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« in de lucht »), à la fin de la phrase. N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Het volgende ogenblik »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « een bliksemflits ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « slaat ») et passant donc derrière lui. La version néerlandophone de « De Walkure », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 16 et 17 dans « De Walkure », le volume N°63 de la série « DE RODE RIDDER ». Le texte l’accompagnant est à lire en écoutant, bien sûr, la « Chevauchée des Walkyries » de Richard WAGNER. Karel BIDDELOO, scénariste et dessinateur du studio Willy VANDERSTEEN, se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1974-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER WALKURE VERBERGEN VERBORGEN VTT AFWACHTEN WACHT AF 24A - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Goed verborgen, wacht zij met kloppend hart de gebeurtenissen af » (« Bien cachée, elle attend les événements, le cœur battant »). On y trouve notamment, dans une sorte de phrase subordonnée, la forme verbale « verborgen », participe passé (utilisé comme adjectif) provenant de l’infinitif « verbergen », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux. On y trouve également, dans la phrase principale, la forme verbale « wacht … AF », construite sur le verbe « AFwachten » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « WACHTEN ». La particule séparable « AF » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« met kloppend hart » et « de gebeurtenissen »), à la fin de la phrase. N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Goed verborgen »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « ZIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « WACHT ») et passant donc derrière lui. N’oublions pas non plus que le participe présent en néerlandais se construit en ajoutant simplement un « D » à l’infinitif : « KLOPPEN » => « kloppenD ». Ici, ce participe présent est utilisé comme adjectif épithète, se place donc devant le nom et, pour s’accorder (s’il ne s’était pas trouvé devant un nom NEUTRE, non précédé d’un déterminant), aurait dû prendre la terminaison majoritaire « E » => « HET kloppenE hart ». La version néerlandophone de « De Walkure », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 24 dans « De Walkure », le volume N°63 de la série « DE RODE RIDDER ». Le texte l’accompagnant est à lire en écoutant, bien sûr, la « Chevauchée des Walkyries » de Richard WAGNER. Karel BIDDELOO, scénariste et dessinateur du studio Willy VANDERSTEEN, se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1974-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER WALKURE OVERGEVEN GEEF OVER IMPERATIF 6A 7A - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Geef je over ! » (« Rends-toi ! »). On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « geef … OVER », impératif provenant de l’infinitif « OVERgeven », verbe à « particule séparable ». Quand ce verbe « OVERgeven » est conjugué, la particule « OVER » se sépare donc de l’infinitif « GEVEN » proprement dit et fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« aan ons »), à la fin de la phrase. La version néerlandophone de « De Walkure », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 6 et 7 dans « De Walkure », le volume N°63 de la série « DE RODE RIDDER ». Le texte l’accompagnant est à lire en écoutant, bien sûr, la « Chevauchée des Walkyries » de Richard WAGNER. Karel BIDDELOO, scénariste et dessinateur du studio Willy VANDERSTEEN, se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1974-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER WALKURE OVERBLIJVEN BLIJFT OVER OTT 11A - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Er blijft slechts een mogelijkheid over ! » (« Il y a seulement une possibilité qui reste = Il ne reste qu’une possibilité ! »). On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « blijft … OVER », provenant de l’infinitif « OVERblijven », verbe à « particule séparable ». Quand ce verbe « OVERblijven » est conjugué, la particule « OVER » se sépare donc de l’infinitif « BLIJVEN » proprement dit et fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« een mogelijkheid »), à la fin de la phrase. Rappelons aussi que l’utilisation du pronom sujet « ER » est l’indication que l’on est confronté à l’équivalent de l’expression française « IL Y A ». En langue néerlandaise, le verbe « avoir » peut y être remplacé par quasi n’importe quel autre verbe. Signalons que l’on peut souvent construire à partir d’un adjectif-adverbe se terminant par « -(EL)IJK » (prononcé « EK ») des noms, en y rajoutant le suffixe « -HEID » : « mogelijk » => « mogelijkHEID » ; notons aussi que leur pluriel sera en « -HEDEN » : « mogelijkHEID » => « mogelijkHEDEN ». La version néerlandophone de « De Walkure », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « De Walkure », le volume N°63 de la série « DE RODE RIDDER ». Le texte l’accompagnant est à lire en écoutant, bien sûr, la « Chevauchée des Walkyries » de Richard WAGNER. Karel BIDDELOO, scénariste et dessinateur du studio Willy VANDERSTEEN, se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1974-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER WALKURE DOEN GEDAAN VTT 33B - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « En wij zullen nooit vergeten wat je (hebt) gedaan hebt » (« Et nous n’allons jamais oublier = n’oublierons jamais ce que tu as fait »). Dans la phrase principale , on a la forme verbale « ZULLEN », provenant de l’infinitif « ZULLEN », auxiliaire utilisé pour indiquer que l’on se trouve au futur simple. N’oublions pas que « ZULLEN », auxiliaire utilisé pour indiquer que l’on se trouve au futur simple, exige le REJET de l’autre verbe (« vergeten »), à l’infinitif, derrière le complément (ici « NOOIT »), à la fin de la phrase. Nous avons rendu en français cet auxiliaire par un « futur proche », moins déroutant pour les francophones. On y trouve également, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « GEDAAN », participe passé provenant de l’infinitif « DOEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». La version néerlandophone de « De Walkure », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 33 dans « De Walkure », le volume N°63 de la série « DE RODE RIDDER ». Le texte l’accompagnant est à lire en écoutant, bien sûr, la « Chevauchée des Walkyries » de Richard WAGNER. Karel BIDDELOO, scénariste et dessinateur du studio Willy VANDERSTEEN, se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1974-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER WALKURE SLUIPEN GESLOPEN VTT 21A - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een hongerige ijsbeer is geruisloos dichterbij geslopen » (« Un ours blanc affamé s’est faufilé en silence tout près = approché silencieusement »). On y trouve notamment la forme verbale « geslopen », participe passé construit sur le verbe « SLUIPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Le participe passé « geslopen » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« geruisloos » et « dichterbij »), à la fin de la phrase. Notons aussi que, aux temps composés, les verbes relatifs au MOUVEMENT sont, en néerlandais, accompagnés de l’auxiliaire « ZIJN ». La version néerlandophone de « De Walkure », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 21 dans « De Walkure », le volume N°63 de la série « DE RODE RIDDER ». Le texte l’accompagnant est à lire en écoutant, bien sûr, la « Chevauchée des Walkyries » de Richard WAGNER. Karel BIDDELOO, scénariste et dessinateur du studio Willy VANDERSTEEN, se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1974-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER WALKURE ONTSCHEPEN ONTSCHEEPT VTT 4A - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De Vikings zijn reeds ontscheept » (« Les Vikings ont déjà débarqué »). On y trouve notamment la forme verbale « ONTscheept », participé passé provenant de l’infinitif « ONTSCHEPEN ». Ce verbe « ONTSCHEPEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « P », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire). Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « ONT- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux. Signalons dès lors que, si « ONTscheept » est ici au V.T.T. (ou passé composé), il aurait été écrit de la même façon à l’O.T.T. (ou indicatif présent). Le participe passé « ONTscheept » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« reeds »), à la fin de la phrase. Notons aussi que, aux temps composés, les verbes relatifs au MOUVEMENT sont, en néerlandais, accompagnés de l’auxiliaire « ZIJN ». La version néerlandophone de « De Walkure », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 4 dans « De Walkure », le volume N°63 de la série « DE RODE RIDDER ». Le texte l’accompagnant est à lire en écoutant, bien sûr, la « Chevauchée des Walkyries » de Richard WAGNER. Karel BIDDELOO, scénariste et dessinateur du studio Willy VANDERSTEEN, se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1974-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER WALKURE BIJKOMEN BIJGEKOMEN VTT 34C - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De ridder is bijgekomen » (« Le chevalier est revenu à lui = a repris connaissance … »). On y trouve notamment la forme verbale « BIJgeKOMEN », participe passé du verbe « BIJkomen » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « KOMEN ». Quand « BIJkomen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « BIJ » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « bijGEkomen ». La version néerlandophone de « De Walkure », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 34 dans « De Walkure », le volume N°63 de la série « DE RODE RIDDER ». Le texte l’accompagnant est à lire en écoutant, bien sûr, la « Chevauchée des Walkyries » de Richard WAGNER. Karel BIDDELOO, scénariste et dessinateur du studio Willy VANDERSTEEN, se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1974-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER WALKURE UITSTRALEN STRAALT UIT OTT 25C - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De magische speerpunt straalt een schitterend licht uit » (« La pointe de la lance magique irradie une lumière éblouissante »). On y trouve notamment la forme verbale « straalt … UIT », provenant de l’infinitif « UITstralen » (dit à « particule séparable »), construit sur le verbe « STRALEN ». La « particule séparable » « UIT » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« een schitterend licht »), à la fin de la phrase. N’oublions pas que le participe présent en néerlandais se construit en ajoutant simplement un « D » à l’infinitif : « SCHITTEREN » => « schitterenD ». Ici, ce participe présent est utilisé comme adjectif épithète, se place donc devant le nom et, pour s’accorder, aurait dû aurait dû prendre la terminaison majoritaire « E » (devant un nom masculin ou féminin au singulier ou bien un nom au pluriel : « de schitterendE lichten ») mais « LICHT » est « NEUTRE » et est précédé de « EEN », ce qui constitue la principale exception ... La version néerlandophone de « De Walkure », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « De Walkure », le volume N°63 de la série « DE RODE RIDDER ». Le texte l’accompagnant est à lire en écoutant, bien sûr, la « Chevauchée des Walkyries » de Richard WAGNER. Karel BIDDELOO, scénariste et dessinateur du studio Willy VANDERSTEEN, se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1974-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER WALKURE TOEGANG GEVEN TOT 3A 2C - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De hemelboogbrug geeft toegang tot het Walhalla » (« Le pont de la voûte céleste donne accès au Valhalla »). On y trouve une expression, « toegang geven », qui engendre la préposition « TOT ». La version néerlandophone de « De Walkure », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 3 et 2 dans « De Walkure », le volume N°63 de la série « DE RODE RIDDER ». Le texte l’accompagnant est à lire en écoutant, bien sûr, la « Chevauchée des Walkyries » de Richard WAGNER. Karel BIDDELOO, scénariste et dessinateur du studio Willy VANDERSTEEN, se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1974-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER WALKURE PLAATSMAKEN MAKEN PLAATS OTT 34A - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De gestalten vervagen en maken plaats voor een duizelingwekkend visioen » (« Les silhouettes deviennent vagues = s’estompent et font place à une vision éveillant un vertige = vertigineuse »). On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « maken … PLAATS », provenant de l’infinitif « PLAATSmaken », verbe à « particule séparable », lui-même construit sur le verbe « MAKEN ». Quand ce verbe « PLAATSmaken » est conjugué, la particule « PLAATS » (un nom) se sépare donc de l’infinitif « MAKEN » proprement dit et aurait pu faire l’objet d’un REJET, derrière le complément (« voor een duizelingwekkend visioen »), à la fin de la phrase : « De gestalten (…) maken voor een duizelingwekkend visioen PLAATS ». N’oublions pas que le participe présent en néerlandais se construit en ajoutant simplement un « D » à l’infinitif : « WEKKEN » => « wekkenD ». Ici, ce participe présent est utilisé comme adjectif épithète, se place donc devant le nom et, pour s’accorder, devrait prendre la terminaison majoritaire « E » (notamment au PLURIEL) => « duizelingwekkendE visioenEN » (mais ici, nous avons affaire à une exception, un nom neutre (« HET visioen »), précédé du déterminant indéfini « EEN »). La version néerlandophone de « De Walkure », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 34 dans « De Walkure », le volume N°63 de la série « DE RODE RIDDER ». Le texte l’accompagnant est à lire en écoutant, bien sûr, la « Chevauchée des Walkyries » de Richard WAGNER. Karel BIDDELOO, scénariste et dessinateur du studio Willy VANDERSTEEN, se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1974-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER WALKURE UITVERKIEZEN UITVERKOREN VTT 8A - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Daar is de uitverkorene ! » (« Là se trouve l’élu ! »). On y trouve notamment, utilisée comme nom, la forme verbale « UITverkoRen », participe passé provenant de « UITverkoZen », provenant lui-même de « UITverkieZen, construit sur l’infinitif « verKIEZEN », lui-même construit sur le verbe « KIEZEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« DAAR »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de uitverkorene ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « IS ») et passant donc derrière lui. La version néerlandophone de « De Walkure », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 8 dans « De Walkure », le volume N°63 de la série « DE RODE RIDDER ». Le texte l’accompagnant est à lire en écoutant, bien sûr, la « Chevauchée des Walkyries » de Richard WAGNER. Karel BIDDELOO, scénariste et dessinateur du studio Willy VANDERSTEEN, se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1974-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER WALKURE AANHEFFEN HEFFEN AAN 7B - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Bij het verschijnen van deze nieuwe vijand, heffen de Noormannen een woest gebrul aan » (« A l’apparition de ce nouvel ennemi, les Normands entonnent un hurlement sauvage »). On y trouve notamment la forme verbale « heffen … AAN », provenant de l’infinitif « aanHEFFEN » (dit à « particule séparable »), construit sur le verbe « HEFFEN ». La « particule séparable » « AAN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« een woest gebrul »), à la fin de la phrase. N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Bij het verschijnen van deze nieuwe vijand »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de Noormannen ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « heffen ») et passant donc derrière lui. La version néerlandophone de « De Walkure », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 7 dans « De Walkure », le volume N°63 de la série « DE RODE RIDDER ». Le texte l’accompagnant est à lire en écoutant, bien sûr, la « Chevauchée des Walkyries » de Richard WAGNER. Karel BIDDELOO, scénariste et dessinateur du studio Willy VANDERSTEEN, se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1974-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER WALKURE TREFFEN GETROFFEN VTT 22B - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Als door de bliksem getroffen, rolt de beer levensloos in de sneeuw » (« Comme touché par l’éclair, l’ours roule sans vie dans la neige »). On y trouve notamment la forme verbale « getroffen », participe passé construit sur le verbe « TREFFEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Notons que l’on peut rendre la préposition « SANS » en ajoutant le suffixe « -LOOS » à la fin d’un mot : « zonder leven = levensLOOS ». La version néerlandophone de « De Walkure », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 22 dans « De Walkure », le volume N°63 de la série « DE RODE RIDDER ». Le texte l’accompagnant est à lire en écoutant, bien sûr, la « Chevauchée des Walkyries » de Richard WAGNER. Karel BIDDELOO, scénariste et dessinateur du studio Willy VANDERSTEEN, se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1974-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER WALKURE OPHOUDEN HOUDT OP OTT 25D - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Als bij toverslag, houdt het sneeuwen op » (« Comme d’un coup de baguette magique = par magie, le fait de neiger = la neige s’arrête »). On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « houdt … OP », provenant de l’infinitif « OPhouden » (dit à « particule séparable »), construit sur le verbe « HOUDEN ». La « particule séparable » « OP » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« dadelijk » ou « plotseling »), à la fin de la phrase. N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Als bij toverslag »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « het sneeuwen ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « HOUDT ») et passant donc derrière lui. Rappelons aussi que si, en langue néerlandaise, on ne connaît pas un substantif ou nom - exemple : « het voedsel » = « la nourriture » - , on peut recourir à l’infinitif du même champ thématique : « ETEN » (= « manger »). On le transforme en nom neutre, en lui adjoignant le déterminant défini neutre « HET » => « het eten » (= « LE manger », comme disent parfois les bambins francophones). Dans ce cas-ci, on est parti de l’infinitif « SNEEUWEN » (= « neiger »). On aurait évidemment pu trouver : « Als bij toverslag, houdt DE SNEEUW op ». La version néerlandophone de « De Walkure », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « De Walkure », le volume N°63 de la série « DE RODE RIDDER ». Le texte l’accompagnant est à lire en écoutant, bien sûr, la « Chevauchée des Walkyries » de Richard WAGNER. Karel BIDDELOO, scénariste et dessinateur du studio Willy VANDERSTEEN, se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1974-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND VERBERGEN VERBORGEN VTT 22B - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij houdt hem (Joeki) in het paviljoen verborgen ! » (« Elle le tient caché dans le pavillon ! »). On y trouve notamment la forme verbale « VERBORGEN », participe passé (utilisé ici comme adjectif) construit sur le verbe « VERBERGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux. Il est à noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit et, dans ce cas, est identique. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.) La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 22 dans « Mysterie op Rozendael », le volume N°1 de la série « ROBERT en BERTRAND ». Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND WORDEN GEWORDEN VTT 8A 6 - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Na enkele dagen zijn ze (Robert en Bertrand) nog niets wijzer geworden » (« Quelques jours plus jours, ils ne sont encore en rien devenus plus éclairés = ils n’en savent toujours pas plus »). On y trouve notamment la forme verbale « GEWORDEN », participe passé provenant de l’infinitif « WORDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Cette forme verbale est, comme on le voit, construite sur l’INFINIF. (Pour complément d’informations, consultez notamment notre tableau de synthèse « Temps primitifs » dans la partie « GRAMMATICA » de ce site.) La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 6 et 8 dans « Mysterie op Rozendael », le volume N°1 de la série « ROBERT en BERTRAND ». Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND BRENGEN BRACHT 7C 6A - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik bracht boodschappen naar het kasteel ! » (« J’apportais des emplettes au château ! »). On y trouve notamment la forme verbale « BRACHT », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 6 et 7 dans « Mysterie op Rozendael », le volume N°1 de la série « ROBERT en BERTRAND ». Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND TREFFEN GETROFFEN VTT 26A - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het pistoolschot heeft haar toevallig getroffen ! » (« Le coup de revolver l’a par hasard atteinte ! »). On y trouve notamment la forme verbale « getroffen », participe passé construit sur l’infinitif « treffen », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Il est à noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit et, dans ce cas, est identique. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.) La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 26 dans « Mysterie op Rozendael », le volume N°1 de la série « ROBERT en BERTRAND ». Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND MISLOPEN MISGELOPEN VTT 22A - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Er is iets misgelopen ! » (« Il y a quelque chose qui a mal tourné ! »). On y trouve notamment forme verbale « MISgelopen », participe passé provenant de l’infinitif « MISlopen » (verbe dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « LOPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’infinitif. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.) Quand « MISlopen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « MIS » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « misGElopen ». La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 22 dans « Mysterie op Rozendael », le volume N°1 de la série « ROBERT en BERTRAND ». Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : - Rajouté le 24/03/2013

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND DOEN GEDAAN VTT 11A - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De vermomming heeft dienst gedaan ! » (« Le déguisement a donné = rendu service ! »). On y trouve notamment la forme verbale « GEDAAN », participe passé provenant de l’infinitif « DOEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Le participe passé « gedaan » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« dienst »), à la fin de la phrase. La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « Mysterie op Rozendael », le volume N°1 de la série « ROBERT en BERTRAND ». Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND AANKOMEN KWAM AAN OVT 22C 21 - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat kwam hard aan ! » (« Cela arriva durement ! = C’était un coup dur ! »). On y trouve notamment la forme verbale « kwam … AAN », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « aanKOMEN », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « KOMEN » qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Quand « aanKOMEN » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « AAN » étant affectée par un REJET, derrière le complément (« HARD »), à la fin de la phrase. Il est à noter que l’on a, ici, affaire à une « expression » mais elle est assez facile à comprendre. La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 21 et 22 dans « Mysterie op Rozendael », le volume N°1 de la série « ROBERT en BERTRAND ». Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI DOORBREKEN BREKEN DOOR OTT 24D - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij breken door » (« Ils traversent la palissade »). On y trouve la forme verbale « breken … DOOR », O.T.T. (ou « présent ») provenant de l’infinitif « DOORbreken » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « BREKEN ». Quand « DOORbreken » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « DOOR » de son infinitif proprement dit et elle fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« de omheining »), à la fin de la phrase. La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 24 dans « Het masker », le volume N°8 de la série « SAFARI ». Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI AANZETTEN ZET AAN OTT DOORDRINGEN 15A - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zelf(s) rillend van angst, zet hij (Tim) zijn vriendje aan verder in het woud door te dringen » (« Même tremblant de peur, il incite son petit ami à pénétrer plus loin dans la forêt »). On y trouve, dans la phrase principale, la forme verbale « zet … AAN », O.T.T. (ou « présent ») provenant de l’infinitif « AANzetten » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « ZETTEN ». Quand « AANzetten » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit et elle fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« zijn vriendje »), à la fin de la phrase. N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Zelf rillend van angst »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « HIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « ZET ») et passant donc derrière lui. Le verbe « AANzetten », dans la phrase principale, introduit ici une sorte de subordonnée et engendre un « TE » (équivalent du « à » en français) qui précède l’infinitif « DRINGEN », provenant du verbe « doorDRINGEN » dit « à particule séparable », s’intercalant donc après cette particule « DOOR ». La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 15 dans « Het masker », le volume N°8 de la série « SAFARI ». Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI DRIJVEN GEDREVEN 10A 4 - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wij hebben de kudde toen met fakkels en tamtamgeroffel ver weg gedreven » (« Nous avons alors dirigé = refoulé le troupeau loin avec des torches et des roulements de tambour »). On y trouve notamment la forme verbale « GEDREVEN », participe passé provenant de l’infinitif « DRIJVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Le participe passé « GEDREVEN » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« de kudde », « toen », « met fakkels en tamtamgeroffel » et « ver weg »), à la fin de la phrase. La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 10 et 4 dans « Het masker », le volume N°8 de la série « SAFARI ». Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI DOEN DEDEN OVT 17D - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wat deden jullie in het woud ? » (« Que faisiez-vous dans la forêt ? »). On y trouve la forme verbale « DEDEN » (pluriel de « DEED »), prétérit ou O.V.T. provenant de l’infinitif « DOEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « Het masker », le volume N°8 de la série « SAFARI ». Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI BLIJVEN GEBLEVEN VTT 17E - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Waar is de luipaard gebleven ? » (« Où est resté le léopard ? »). On y trouve la forme verbale « GEBLEVEN », participe passé provenant de l’infinitif « BLIJVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Si ce participe passé « GEBLEVEN » avait été suivi d’un complément comme « WEL », il aurait plus visiblement fait l’objet du REJET, derrière ce complément, à la fin de la phrase. La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « Het masker », le volume N°8 de la série « SAFARI ». Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI AFZONDEREN (ZICH) OTT 24A - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Twee dikhuiden (= dikhuidige zoogdieren) zonderen zich af en naderen de omheining » (« Deux pachydermes se séparent et s’approchent de l’enclos »). On y trouve la forme verbale « zonderen (zich) … AF », qui provient d’un infinitif « AFzonderen (zich) », dit « à particule séparable ». (Notons qu’il n’existe aucun verbe « zonderen » mais que, s’il avait (encore ?) existé, il serait construit sur la préposition « ZONDER » dans le sens de « EXCLU ».) Quand « AFzonderen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit et son REJET, derrière le complément éventuel (par exemple « van de kudde »), à la fin de la première des deux phrases. Rappelons qu’un verbe « réfléchi », rendu par deux mots (forme verbale + pronom réfléchi) dans une langue, n’est pas nécessairement rendu par deux mots dans une autre langue. Si « ZICH afzonderen » est rendu par « SE séparer », « S’approcher » (intransitif en français) est rendu par « naderen » (transitif direct en néerlandais et en un 1 seul mot), non accompagné d’un pronom réfléchi. La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 24 dans « Het masker », le volume N°8 de la série « SAFARI ». Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI VINDEN VONDEN LIG LAG 17F 18A - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Toen we jullie in het woud vonden, lag er wat verder een dode luipaard » (« Quand nous vous trouvâmes dans la forêt, un léopard mort gisait un peu plus loin »). On y trouve, d’une part (dans la phrase subordonnée), la forme verbale « VONDEN », prétérit ou O.V.T. provenant de l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». On y trouve, d’autre part (dans la phrase principale), la forme verbale « LAG », prétérit ou O.V.T. provenant de l’infinitif « LIGGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Dans la phrase subordonnée, la forme verbale « VONDEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« in het woud »), à la fin de la phrase. Dans la phrase principale, le sujet « ER » fait l’objet d’une INVERSION derrière la forme verbale « LAG » dans la mesure où on peut considérer que « Toen we jullie in het woud vonden » (phrase subordonnée) joue le rôle d’un complément en début de phrase. Rappelons que, au passé, on a tendance, pour exprimer « QUAND », à utiliser « TOEN » au lieu de « wanneer » ou de « als ». La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 17 et 18 dans « Het masker », le volume N°8 de la série « SAFARI ». Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI OPSTAAN STA OP 16C - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Sta op ! » (« Lève-toi ! »). On y trouve, à l’impératif, la forme verbale « sta … OP ! », qui provient d’un infinitif « OPstaan » (dit « à particule séparable »), construit sur le verbe « staan ». Quand « OPstaan » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit et son REJET, derrière le complément éventuel (par exemple « dadelijk »), à la fin de la phrase. Il est à noter que l’on aurait pu avoir la construction de phrase suivante : « Sta op jouw benen OF op jouw voeten ! », antérieure à la formation du verbe « à particule séparable », quand « OP » était encore une préposition. La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « Het masker », le volume N°8 de la série « SAFARI ». Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI OPDUIKEN DUIKEN OP OTT 11A - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Plots duiken ze (Sam en Mgono) op » (« Soudain, ils surgissent »). On y trouve la forme verbale « duiken … OP », O.T.T. (ou « présent ») provenant de l’infinitif « OPduiken » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « DUIKEN ». Quand « OPduiken » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit et elle fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (par exemple « op de weg van de olifant »), à la fin de la phrase. N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Plots »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « ZE ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « duiken ») et passant donc derrière lui. La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « Het masker », le volume N°8 de la série « SAFARI ». Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI BANG TE ZIJN 24B PROPOSITION INFINITIVE AUXILIAIRE MODE - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Nu moet ik tonen niet bang meer TE zijn » (« Maintenant je dois donner l’impression DE ne plus avoir peur = montrer que je n’ai plus peur »). Rappelons qu’une expression comme « bang ZIJN », avec un verbe dans une langue, ne comporte pas nécessairement le même verbe dans une autre langue : « AVOIR peur ». On y trouve dans l’exemple sélectionné une phrase principale (« Nu moet ik tonen ») suivie d’une sorte de phrase subordonnée « infinitive (« niet bang meer TE zijn »). On aurait en effet pu l’exprimer peut-être plus simplement de la sorte : « « Nu moet ik tonen DAT ik niet meer bang ben ». Dans la tournure de phrase choisie par les auteurs, cela engendre une difficulté supplémentaire pour l’apprenant, en l’occurrence un « TE » devant l’infinitif. N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« NU »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « IK ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « MOET ») et passant donc derrière lui. N’oublions pas non plus que les verbes comme « MOETEN » que l’on appelle « auxiliaire de MODE » (les 3 autres étant « KUNNEN », « MOGEN » et « WILLEN ») exigent un REJET de l’infinitif, derrière le complément éventuel (par exemple « de anderen »), à la fin de la phrase (la phrase principale prenant fin ici à « TONEN »). La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 24 dans « Het masker », le volume N°8 de la série « SAFARI ». Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI AANLEGGEN AANGELEGD VERSTEVIGEN VERSTEVIGD VTT 20B 21A - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Met man en macht worden omheiningen van boomstammen rond de voornaamste shamba’s verstevigd en houtvuren aangelegd » (« Avec homme et force = à force de bras, des enclos de troncs d’arbres sont consolidés autour des shamba’s = plantations et des feux de bois sont allumés »). On y trouve la forme verbale « verstevigd », V.T.T. (ou participe passé) provenant de l’infinitif « verstevigen », verbe régulier. Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux. On y trouve aussi la forme verbale « AANgelegd », V.T.T. (ou participe passé) provenant de l’infinitif « AANleggen » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « LEGGEN » , verbe régulier. Quand « AANleggen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGElegd ». N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Met man en macht »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « omheiningen ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « worden ») et passant donc derrière lui. Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ». La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 20 et 21 dans « Het masker », le volume N°8 de la série « SAFARI ». Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI ONTSTEKEN ONTSTOKEN VTT 25F - Rajouté le 24/03/2013

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maar verderop komen de olifanten (tembo’s) bij het vuur dat hij (Mpingi) heeft ontstoken » (« Mais plus loin les éléphants viennent = arrivent près du feu qu’il a allumé »). On y trouve, dans la phrase subordonnée (introduite par « DAT »), la forme verbale « ONTstoken », participe passé provenant de l’infinitif « ONTsteken », lui-même construit sur « STEKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « ONT- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux. Le participe passé « ONTstoken » fait l’objet d’un REJET, derrière un complément éventuel (« alleen »), à la fin de la phrase subordonnée. Notons que le « DAT », qui introduit la phrase subordonnée, est engendré par le déterminant défini « HET » (car le nom » VUUR » est neutre). N’oublions pas que, si une phrase (la phrase principale) commence en néerlandais par un complément (« verderop »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de olifanten ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « komen ») et passant donc derrière lui. La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « Het masker », le volume N°8 de la série « SAFARI ». Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI INBEELDEN INGEBEELD VTT 15B - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maar in het woud sluipt een gevaarlijker vijand dan de ingebeelde geesten » (« Mais dans la forêt se faufile un ennemi plus dangereux que les esprits imaginés => imaginaires »). On y trouve, utilisé en tant que adjectif épithète, la forme verbale « ingebeeld », V.T.T. (ou participe passé) provenant de l’infinitif « INbeelden » (dit « à particule séparable »), construit sur le substantif « BEELD » (= « image »). Ce que l’on s’est imaginé, a été mis « in BEELD » (= « en IMAGE ») dans le cerveau. Quand « INbeelden » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « IN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « inGEbeeld ». La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 15 dans « Het masker », le volume N°8 de la série « SAFARI ». Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI STERVEN GESTORVEN VTT 18B - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maar ik wil weten hoe het roofdier is gestorven » (« Mais je veux savoir comment le fauve est mort »). On y trouve notamment la forme verbale « gestorven », participe passé construit sur le verbe « STERVEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 18 dans « Het masker », le volume N°8 de la série « SAFARI ». Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI DOORRENNEN RENT DOOR OTT 17A - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maar hij rent blindelings door » (« Mais il court plus loin à l’aveuglette »). On y trouve la forme verbale « rent … DOOR », qui provient d’un infinitif « DOORrennen » (dit « à particule séparable »), construit sur le verbe « rennen ». Quand « DOORrennen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « DOOR » de son infinitif proprement dit et son REJET, derrière le complément « blindelings », à la fin de la phrase. Notons que « DOORrennen » peut, notamment dans ce contexte, être rendu par « traverser en courant » si l’on imagine par exemple l’adjonction du complément « het woud » : « Maar hij rent het woud blindelings door ». Il est à noter que l’on aurait dès lors pu avoir la construction de phrase suivante : « Maar hij rent blindelings door het woud », antérieure à la formation du verbe « à particule séparable », quand « DOOR » était encore une préposition. Si l’on veut comprendre l’intensité du mouvement engendré par « DOOR », on peut se rappeler la scène d’Astérix et ses compatriotes gaulois, sortant de leur village et passant au travers des rangs de Romains, qu’ils envoient à gauche et à droite. La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « Het masker », le volume N°8 de la série « SAFARI ». Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI AFLIGGEN AFGELEGEN VTT 25C - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maar het grootste deel van de kudde baant zich een weg naar de afgelegen shamba’s » (« Mais la plus grande partie du troupeau se fraie un chemin vers les shambas = plantations éloignées »). On y trouve, utilisée comme adjectif épithète, la forme verbale « AFgelegen », participe passé provenant de l’infinitif « AFliggen » (n’existant plus ? …), lui-même construit sur « LIGGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Quand « AFliggen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « afGElegen ». La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « Het masker », le volume N°8 de la série « SAFARI ». Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI INKLIMMEN KLIM IN 15C - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Klim die boom in ! » (« Escalade cet arbre = grimpe dans cet arbre ! »). On y trouve, à l’impératif, la forme verbale « klim … IN ! », qui provient d’un infinitif « INklimmen » (dit « à particule séparable »), construit sur le verbe « klimmen ». Quand « INklimmen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « IN » de son infinitif proprement dit et son REJET, derrière le complément (« die boom »), à la fin de la phrase. Il est à noter que l’on aurait pu avoir la construction de phrase suivante : « Klim in die boom ! », antérieure à la formation du verbe « à particule séparable », où « IN » était une préposition. La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 15 dans « Het masker », le volume N°8 de la série « SAFARI ». Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI ZIJN GEWEEST VTT 17C - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je bent ongehoorzaam geweest » (« Tu as été désobéissant »). On y trouve la forme verbale « GEWEEST », participe passé provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Il est à noter que l’auxiliaire du passé composé est ici « ZIJN » (au lieu de « HEBBEN »). Rappelons qu’en néerlandais, l’adjectif attribut (ici « ongehoorzaam ») est invariable après le verbe « être », tant qu’en genre (passage du masculin au féminin) qu’en nombre (passage du singulier au pluriel). Si, à part l’attribut, ce participe passé « GEWEEST » avait été suivi d’un complément comme « vandaag », il aurait plus visiblement fait l’objet du REJET, derrière ce complément, à la fin de la phrase. La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « Het masker », le volume N°8 de la série « SAFARI ». Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI OPWINDEN OPGEWONDEN VTT 10C - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij springt gillend voor de opgewonden olifant » (« Il bondit en hurlant devant l’éléphant surexcité »). On y trouve notamment la forme verbale (utilisée ici comme adjectif épithète) « OPgewonden », V.T.T. (ou participe passé) provenant de l’infinitif « opWINDEN », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « WINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Quand « OPwinden » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEwinden ». La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 10 dans « Het masker », le volume N°8 de la série « SAFARI ». Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI KLAUTEREN OMHOOG 16A - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij klautert langs de stam omhoog ! » (« Il se hisse le long du tronc vers le haut ! »). On y trouve la forme verbale « klautert … OMHOOG », qui aurait pu provenir d’un infinitif « OMHOOGklauteren » (dit « à particule séparable », construit (à l’image de l’infinitif « OMHOOGgaan ») sur le verbe « klauteren ». Quand « OMHOOGgaan » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OMHOOG » de son infinitif proprement dit et son REJET (dans le cas de « OMHOOGklauteren »), derrière le complément (« langs de stam »), à la fin de la phrase. La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « Het masker », le volume N°8 de la série « SAFARI ». Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI RUIKEN GEROKEN VTT 10B - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij heeft ons geroken » (« Il nous a sentis »). On y trouve notamment la forme verbale « geroken », participe passé construit sur le verbe « RUIKEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Ce participe passé « geroken » est construit sur le pluriel du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.) La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 10 dans « Het masker », le volume N°8 de la série « SAFARI ». Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI VERDRIJVEN VERDREVEN VTT 25B - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij heeft de olifanten verdreven » (« Il a expulsé les éléphants »). On y trouve la forme verbale « verDREVEN », participe passé provenant de l’infinitif « verDRIJVEN », lui-même construit sur « DRIJVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux. Le participe passé « verDREVEN » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« de geesten van de angst » et « uit mij »), à la fin de la phrase. La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « Het masker », le volume N°8 de la série « SAFARI ». Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI GEVEN GAF OVT 18C - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij gaf me een amulet » (« Il me donna une amulette »). On y trouve notamment la forme verbale « GAF », prétérit ou O.V.T. du verbe « GEVEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 18 dans « Het masker », le volume N°8 de la série « SAFARI ». Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI AFSCHRIKKEN SCHRIKT AF AFWACHTEN WACHT AF OTT 21B 20C - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het oorverdovende lawaai schrikt de olifanten even af en de kudde wacht opgewonden de nacht af » (« Le bruit assourdissant effraie un peu les éléphants et le troupeau, surexcité, attend la nuit »). On y trouve la forme verbale « schrikt … AF », construite sur le verbe « AFschrikken » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « SCHRIKKEN ». Quand « AFschrikken » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET (derrière les compléments « de olifanten » et « even ») à la fin de la phrase. On y trouve aussi la forme verbale « wacht … AF », construite sur le verbe « AFwachten » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « WACHTEN ». Quand « AFwachten » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET (derrière le complément « de nacht ») à la fin de la phrase. On y trouve encore la forme verbale (utilisée ici comme adjectif épithète) « OPgewonden », V.T.T. (ou participe passé) provenant de l’infinitif « opWINDEN », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « WINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Quand « OPwinden » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEwonden ». La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 20 et 21 dans « Het masker », le volume N°8 de la série « SAFARI ». Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI VERDRIJVEN VERDREVEN VTT 24E 25A - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het masker heeft de geesten van de angst uit mij verdreven » (« Le masque a expulsé de moi les esprits de la peur »). On y trouve la forme verbale « verDREVEN », participe passé provenant de l’infinitif « verDRIJVEN », lui-même construit sur « DRIJVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux. Le participe passé « verDREVEN » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« de geesten van de angst » et « uit mij »), à la fin de la phrase. La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 24 et 25 dans « Het masker », le volume N°8 de la série « SAFARI ». Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI KUNNEN KON DOEN DEED OVT 4D - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Eer hij kon vluchten, deed een olifant de hut instorten » (« Avant qu’il pût fuir, un éléphant fit s’écrouler la hutte »). On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « KON », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif (et « AUXILIAIRE de MODE de la capacité) « KUNNEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». On y trouve également, dans la phrase principale, la forme verbale « DEED », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « DOEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (la phrase subordonnée « Eer hij kon vluchten » joue ici ce rôle), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « een olifant ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « deed ») et passant donc derrière lui. La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 4 dans « Het masker », le volume N°8 de la série « SAFARI ». Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI NEERSTORTEN STORTEN NEER OTT 27A - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Drie olifanten storten vlak bij hem dood neer » (« Trois éléphants s’écroulent tout près de lui, morts »). On y trouve la forme verbale « storten … NEER », construite sur le verbe « NEERstorten » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « STORTEN ». Quand « NEERstorten » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « NEER » de son infinitif proprement dit, les compléments (« vlak bij hem » et « dood ») s’intercalant entre eux et la particule « NEER » faisant donc l’objet d’un REJET à la fin de la phrase. La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 27 dans « Het masker », le volume N°8 de la série « SAFARI ». Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI INRENNEN RENNEN IN OTT 16D - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dol van angst, rennen de jongens het woud in » (« Fous d’angoisse, les garçons pénètrent en courant dans la forêt »). On y trouve la forme verbale « rennen … IN », qui aurait pu provenir d’un infinitif « INrennen » (dit « à particule séparable »), construit (à l’image de l’infinitif « INlopen ») sur le verbe « rennen ». Quand « INlopen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « IN » de son infinitif proprement dit et son REJET (dans le cas de « INrennen »), derrière le complément (« het woud »), à la fin de la phrase. Il est à noter que l’on aurait pu avoir la construction de phrase suivante : « De jongens rennen IN het woud », antérieure à la formation du verbe « à particule séparable », quand « IN » était encore une préposition. N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Dol van angst »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de jongens ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « rennen ») et passant donc derrière lui. La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « Het masker », le volume N°8 de la série « SAFARI ». Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI AANVALLEN VALLEN AAN OTT 24C - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De twee olifanten vallen de omheining aan » (« Les deux éléphants attaquent l’enclos »). On y trouve la forme verbale « vallen … AAN », O.T.T. (ou « présent ») provenant de l’infinitif « AANvallen » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « VALLEN ». Quand « AANvallen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit et elle fait l’objet d’un REJET, notamment derrière le complément (« de omheining »), à la fin de la phrase. La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 24 dans « Het masker », le volume N°8 de la série « SAFARI ». Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI ZIEN VERLATEN 20 DOUBLE INFINITIF - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De oude olifant heeft de mannen het dorp zien verlaten » (« Le vieil éléphant a vu les hommes quitter le village »). On y trouve la forme verbale « verLATEN », participe passé provenant de l’infinitif « verLATEN », lui-même construit sur « LATEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». La phrase est, en fait, au passé composé et la forme verbale de « ZIEN » aurait dû être au participe passé mais on a ici affaire à ce que l’on appelle le « double infinitif », solution intéressante pour éviter les « temps primitifs » quand on ne les maîtrise pas. La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 20 dans « Het masker », le volume N°8 de la série « SAFARI ». Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI WORDEN GEWORDEN VTT 26A - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De olifanten zijn dol geworden » (« les éléphants sont devenus fous »). On y trouve notamment la forme verbale « GEWORDEN », participe passé provenant de l’infinitif « WORDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Cette forme verbale est, comme on le voit, construite sur l’INFINIF. (Pour complément d’informations, consultez notamment notre tableau de synthèse « Temps primitifs » dans la partie « GRAMMATICA » de ce site.) Le participe passé « GEWORDEN » est affecté d’un REJET, derrière l’attribut (« DOL »), à la fin de la phrase. La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 26 dans « Het masker », le volume N°8 de la série « SAFARI ». Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI WEGDRIJVEN DRIJVEN WEG OTT 25D - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zwaaiend met brandende fakkels, gillend en schreeuwend, drijven de mensen (Kawamba’s) de kudde verder van de shamba’s weg » (« Agitant des torches brûlantes = allumées, hurlant et criant, les Kawamba’s refoulent le troupeau loin des shambas = plantations »). On y trouve la forme verbale « drijven … WEG », O.T.T. (ou « présent ») provenant de l’infinitif « WEGdrijven » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « DRIJVEN ». Quand « WEGdrijven » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « WEG » de son infinitif proprement dit et elle fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« de kudde » et « van de shamba’s »), à la fin de la phrase. N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Zwaaiend met brandende fakkels, gillend en schreeuwend »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de mensen ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « drijven ») et passant donc derrière lui. N’oublions pas non plus que le participe présent en néerlandais se construit en ajoutant simplement un « D » à l’infinitif : « ZWAAIEN » => « zwaaienD » ; « GILLEN » => « gillenD » ; « SCHREEUWEN » => « schreeuwenD » ; « BRANDEN » => « brandenD » ; ici, ce participe présent est utilisé comme adjectif épithète, se place donc devant le nom et, pour s’accorder, prend la terminaison majoritaire « E » => « brandendE fakkels ». La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « Het masker », le volume N°8 de la série « SAFARI ». Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI SLAPEN SLIEP OVT 4C - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De kleine jongen (Mpingi) sliep in een hut » (« Le petit garçon dormait dans une hutte »). On y trouve notamment la forme verbale « SLIEP », O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « SLAPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 4 dans « Het masker », le volume N°8 de la série « SAFARI ». Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI VERLATEN VTT 24F 25E - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De geesten van de angst hebben je verlaten » (« Les esprits de la peur t’ont quitté »). On y trouve la forme verbale « verLATEN », participe passé provenant de l’infinitif « verLATEN », lui-même construit sur « LATEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux. Cette réserve émise, il est à noter que ce participe passé se construit sur l’infinitif. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.) Le participe passé « verLATEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« JE »), à la fin de la phrase. La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 24 et 25 dans « Het masker », le volume N°8 de la série « SAFARI ». Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI NEERVALLEN VALT NEER OTT 17B - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Buiten zichzelf van angst valt hij gillend naast zijn vriend (Tim) neer » (« Hors de lui en raison de la peur, il s’écroule en poussant des cris perçants à côté de son ami »). On y trouve la forme verbale « valt … NEER », qui provient d’un infinitif « NEERvallen » (dit « à particule séparable »), construit sur le verbe « vallen ». Quand « NEERvallen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « NEER » de son infinitif proprement dit et son REJET, derrière les compléments (« gillend » et « naast zijn vriend »), à la fin de la phrase. N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Buiten zichzelf van angst »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « HIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « VALT ») et passant donc derrière lui. N’oublions pas non plus que le participe présent en néerlandais se construit en ajoutant simplement un « D » à l’infinitif : « GILLEN » => « gillenD ». La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « Het masker », le volume N°8 de la série « SAFARI ». Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SAFARI GAAN GINGEN OVT 21C 15 - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Als we nu eens naar de hut gingen om het masker te halen ? » (« Si nous allions maintenant vers la hutte pour aller chercher le masque ? »). On y trouve notamment la forme verbale « GINGEN », O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « GAAN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Notons que dans la phrase subordonnée, introduite par « ALS », la forme verbale « GINGEN » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« nu », « eens » et « naar de hut »), à la fin de la phrase. N’oublions pas non plus que « POUR » devant un verbe est rendu, en néerlandais, par l’expression « OM … TE » (mots entre lesquels s’intercale le complément), le « TE » précédant directement le verbe à l’infinitif. La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 21 et 15 dans « Het masker », le volume N°8 de la série « SAFARI ». Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN BESSY TEGENHOUDEN HOU TEGEN IMPERATIF - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hou dat woeste dier tegen ! » (« Retiens cet animal sauvage ! »). On y trouve notamment la forme verbale « hou … TEGEN » à l’impératif, provenant de l’infinitif « TEGENhouden » (dit à « particule séparable »), construit sur le verbe « HOUDEN ». La « particule séparable » « TEGEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« dat woeste dier »), à la fin de la phrase. La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 3 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ». Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN BESSY UITPUTTEN UITGEPUT VTT 24D - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Uitgeput, laat de vlinder (Hidal) zich op de aarde vallen » (« Epuisé, le papillon se laisse tomber sur la terre = le sol »). On y trouve notamment, dans une sorte de phrase subordonnée (réduite à ce seul mot), la forme verbale « UITgeput », participe passé (employé comme adjectif attribut) construit sur l’infinitif « UITputten », lui-même construit sur le verbe « PUTTEN ». Ce verbe « UITputten » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « T », on devrait trouver un « T », à la fin du participe passé (au lieu du « D », majoritaire) mais, comme il y en a déjà un, on ne le double pas au V.T.T. (mais bien à l‘O.V.T.). Ce verbe « UITputten » est aussi dit « à particule séparable » ; quand il est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « uitGEput ». La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 24 dans « De gouden vlinders », le volume N°22 de la série « BESSY ». Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1957-2011.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN BESSY WEGVLIEGEN VLIEGEN WEG OTT 24F - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Samen vliegen de twee vlinders weg » (« Ensemble, les deux papillons s’envolent »). On y trouve la forme verbale « vliegen … WEG », provenant de l’infinitif « WEGvliegen », conjugué lui-même sur « VLIEGEN ». Quand « WEGvliegen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « WEG » de son infinitif proprement dit, la particule « WEG » étant affectée par un REJET, derrière le complément éventuel (par exemple, « in de lucht »), à la fin de la phrase. N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« SAMEN »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de twee vlinders ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « vliegen ») et passant donc derrière lui. La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 24 dans « De gouden vlinders », le volume N°22 de la série « BESSY ». Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1957-2011.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN BESSY AANTREKKEN OTT 24E - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Om een mannetje AAN te trekken, verspreiden haar voelsprieten (= voelhoorns) een geur die hem (Hidal) AANtrekt » (« Pour attirer un mâle, ses antennes diffusent un parfum, qui l’attire »). On y trouve, d’une part, dans une sorte de phrase subordonnée introduite par « OM … TE » (signifiant « POUR » devant les verbes), le complément (« een mannetje ») intercalé entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « TREKKEN » proprement dit. On constate, ici, que la « particule séparable » « AAN » est bien séparée de l’infinitif « TREKKEN » proprement dit. N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Om een mannetje AAN te trekken » joue ici ce rôle), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « haar voelsprieten ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « verspreiden ») et passant donc derrière lui. On y trouve, d’autre part, dans la (deuxième) phrase subordonnée (« die hem AANtrekt »), la forme verbale « AANtrekt », provenant de l’infinitif « AANtrekken », dit « à particule séparable », construit lui-même sur le verbe « TREKKEN ». La « particule séparable » « AAN », dans cette phrase subordonnée relative introduite par « DIE », NE fait PAS, seule, l’objet d’un REJET, derrière le complément (« HEM »), à la fin de cette phrase, dans la mesure où l’ensemble de la forme verbale fait l’objet d’un REJET dans une phrase subordonnée. On aurait cependant pu avoir : « Een geur trekt hem AAN ». La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 24 dans « De gouden vlinders », le volume N°22 de la série « BESSY ». Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1957-2011.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN BESSY UITKOMEN KOMT UIT OTT 17C - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « In plaats van een andere rups, komt er nu een pop uit » (« Au lieu d’une autre chenille, c’est maintenant une chrysalide qui en sort »). Nous pouvons proposer deux explications. A première vue, on y trouverait notamment la forme verbale « komt … UIT », provenant de l’infinitif « UITkomen », conjugué lui-même sur « KOMEN ». Si l’on avait considéré le « ER » comme dans l’expression « ER is », on aurait alors pu avoir la variante suivante : « Er komt nu een pop uit (de cocon) ». Quand « UITkomen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « UIT » étant affectée par un REJET, derrière le complément (ici « NU »), à la fin de la phrase. En fait, nous avons plus vraisemblablement affaire à l’adverbe pronominal « erUIT ». On aurait en effet pu avoir la variante suivante : « Een pop komt nu erUIT ». La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « De gouden vlinders », le volume N°22 de la série « BESSY ». Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1957-2011.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN BESSY ZIJN WAREN OVT 23B - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De vlinders drogen hun vleugels, die nat waren van de dauw » (« Les papillons sèchent leurs ailes, qui étaient mouillées par la rosée »). On y trouve notamment la forme verbale « WAREN », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 23 dans « De gouden vlinders », le volume N°22 de la série « BESSY ». Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1957-2011.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN BESSY VERLIEZEN VERLOREN VTT 24C - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De vlinder schijnt nu verloren » (« Le papillon semble maintenant perdu »). On y trouve notamment la forme verbale « VERLOREN », participe passé construit sur le verbe « VERLIEZEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux. Aux temps composés, le participe passé (utilisé ici comme une sorte d’adjectif attribut) fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« NU »), à la fin de la phrase. Il est à noter que ce participe passé se construit donc sur le PLURIEL du prétérit et est même identique. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.) La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 24 dans « De gouden vlinders », le volume N°22 de la série « BESSY ». Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1957-2011.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN BESSY ONDERBREKEN ONDERBROKEN VTT 24G - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De maaltijd wordt onderbroken » (« Le repas est interrompu »). On y trouve notamment la forme verbale « ONDERbroken », participe passé provenant du verbe « ONDERbreken », lui-même construit sur l’infinitif « BREKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Rappelons que si un verbe commence déjà par le préfixe « ONDER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux. Il est à noter que ce participe passé se construit donc sur le PLURIEL du prétérit et est même identique. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.) Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ». La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 24 dans « De gouden vlinders », le volume N°22 de la série « BESSY ». Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1957-2011.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN BESSY AFSCHEIDEN AFGESCHEIDEN VTT 17B - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dan laat hij zich vallen (…) nadat hij eerst vezels (heeft) afgescheiden heeft » (« Alors il s’est laissé tomber après qu’il s’est = après s’être d’abord séparé de filaments »). On y trouve, d’une part, la forme verbale « afGEscheiden », participe passé provenant de l’infinitif « AFscheiden », lui-même construit sur l’infinitif « SCHEIDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’infinitif. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.) La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « De gouden vlinders », le volume N°22 de la série « BESSY ». Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1957-2011.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN BESSY VERBERGEN VERBORGEN VTT 6B - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze zijn in de katoenbalen verborgen » (« Ils sont cachés dans les balles de coton »). On y trouve notamment la forme verbale « VERBORGEN », participe passé provenant de l’infinitif « VERBERGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux. Il faut aussi noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.) Le participe passé « VERBORGEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« in de katoenbalen »), à la fin de la phrase. La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ». Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN BESSY TERUGVINDEN VINDEN TERUG OTT 2A - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We vinden ze (Andy en Bessy) in een grote rivierhaven terug » (« Nous les retrouvons dans un grand port de rivière »). On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale à l’O.T.T. (ou présent) « vinden … TERUG » provenant de l’infinitif « TERUGvinden », verbe dit « à particule séparable », construit sur l’infinitif « VINDEN ». Quand ce verbe TERUGvinden » est conjugué, la particule « TERUG » se sépare donc de l’infinitif « VINDEN » proprement dit. la phrase commençant par le complément « Elke dag », une INVERSION fait en sorte que le sujet « zij » passe derrière la forme verbale « keert » et la sépare donc ici de la particule « TERUG ». La « particule séparable » « TERUG » fait l’objet d’un REJET derrière les compléments (« ZE » et « in een grote rivierhaven »), à la fin de la phrase. Cette particule « TERUG » est très fréquente en néerlandais puisqu’elle correspond au préfixe « RE- » (exemple : RE-trouver), rendant la notion de RETOUR. Nous trouvons aussi un nom composé : « rivierhaven » où le mot N°1 en néerlandais est le mot N°2 en français (« port de rivière ») et vice-versa. Notons qu’un « aéroport » sera, de la même façon un « port de l’air » (comme en anglais) ou « luchthaven » … La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 2 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ». Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN BESSY NEERSCHIETEN SCHIET NEER OTT 3C - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik schiet het (dat woeste dier) neer » (« Je la tire au vol = je l’abats »). On y trouve notamment la forme verbale « schiet … NEER » à l’O.T.T., provenant de l’infinitif « NEERschieten » (dit à « particule séparable »), construit sur le verbe « SCHIETEN ». La « particule séparable » « NEER » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« HET = dat woeste dier »), à la fin de la phrase. La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 3 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ». Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN BESSY KRIJGEN GEKREGEN VTT 2B - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij had van zijn ouders de toestemming gekregen » (« Il avait reçu la permission de ses parents »). On y trouve notamment la forme verbale « GEKREGEN », participe passé utilisé avec un plus-que-parfait, provenant de l’infinitif « KRIJGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Il est à noter que ce participe passé « GEKREGEN » se construit sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.) Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (ici « van zijn ouders » et « de toestemming »), à la fin de la phrase. La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 2 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ». Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN BESSY DOEN DEED OVT 2D 3A - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij deed het niet met opzet » (« Il ne le fit pas avec intention = exprès »). On y trouve notamment la forme verbale « DEED », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « DOEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite d’un montage réalisé par nos soins d’illustrations extraites des pages 2 et 3 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ». Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN BESSY ONDERZOEKEN ONDERZOCHT VTT 6A - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Heb jij de lading al onderzocht ? » (« As-tu déjà examiné le chargement ? »). On y trouve notamment la forme verbale « ONDERzocht », participe passé du verbe « ONDERzoeken », construit sur l’infinitif « ZOEKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Rappelons que le participe passé de « ZOEKEN » débute par le préfixe « GE- » (=> « GEzocht »), commun à la majorité d’entre eux. Si aucun « GE » ne s’est intercalé, ici, entre « ONDER » et « ZOCHT », cela signifie que « ONDERzoeken » n’est PAS un verbe « à particule séparable ». Il faut aussi noter que ce participe passé se construit sur le SINGULIER du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.) Le participe passé « ONDERzocht » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« de lading » et « AL »), à la fin de la phrase. La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ». Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN BESSY KRIJGEN KREEG OVT 2C - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Gelukkig kreeg ik toestemming om je aan boord te nemen » (« J’ai heureusement eu l’autorisation de te prendre à bord »). On y trouve notamment la forme verbale « KREEG », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « KRIJGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« GELUKKIG »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « IK ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « KREEG ») et passant donc derrière lui. On y trouve aussi, dans une sorte de phrase subordonnée introduite par « OM … TE » (signifiant « POUR » devant les verbes), les compléments (« JE » et « aan boord ») intercalés entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « NEMEN ». La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 2 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ». Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN BESSY AFWACHTEN WACHTEN AF OTT 5 - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Drie anderen wachten ons af » (« Trois autres nous attendent »). On y trouve notamment la forme verbale « wachten … AF », construite sur le verbe « AFwachten » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « WACHTEN ». Quand « AFwachten » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET derrière le complément (« ONS ») à la fin de la phrase. Rappelons par ailleurs que, en langue néerlandaise, on peut construire, à partir d’un adjectif (« ANDER »), un nom : « anderEN » (« -EN » étant le suffixe et la marque du PLURIEL pour une majorité de noms). La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ». Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN BESSY OMDRAAIEN DRAAI OM IMPERATIF 3F - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Draai je niet om ! » (« Ne te retourne pas ! »). On y trouve notamment la forme verbale « draai … OM » à l’impératif, provenant de l’infinitif « zich OMdraaien » (dit à « particule séparable »), construit sur le verbe « DRAAIEN ». La « particule séparable » « OM » fait l’objet d’un REJET, derrière le « complément » - en fait pronom réfléchi » - (« JE ») et le négation, à la fin de la phrase. La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 3 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ». Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN BESSY BEGINNEN BEGONNEN 3D - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De reis is nog maar pas begonnen » (« Le voyage a seulement commencé = n’a (encore) fait que commencer »). On y trouve notamment la forme verbale « BEGONNEN », participe passé provenant de l’infinitif « BEGINNEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux. Le participe passé « BEGONNEN » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« NOG » et « MAAR PAS »), à la fin de la phrase. Il faut aussi noter que ce participe passé se construit sur le pluriel du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.) La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 3 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ». Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN BESSY MEEDELEN DEELT MEE OTT 3E - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De politie deelt ons de namen mee » (« La police nous communique les noms »). On y trouve notamment la forme verbale « deelt … MEE » à l’O.T.T., provenant de l’infinitif « MEEdelen » (dit à « particule séparable »), construit sur le verbe « DELEN ». La « particule séparable » « MEE » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« ONS » et « de namen »), à la fin de la phrase. N’oublions pas que la particule « MEE » provient de la préposition « MET ». On aurait pu avoir la variante suivante de la phrase : « De politie deelt de namen met ons ». La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 3 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ». Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN BESSY VERBERGEN VERBORGEN VTT 24F - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dan wordt de sloep ver buiten het kamp verborgen » (« Alors la barge est cachée loin hors du campement »). On y trouve notamment la forme verbale « VERBORGEN », participe passé (utilisé ici comme adjectif) construit sur le verbe « VERBERGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux. Il est à noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit et, dans ce cas, est identique. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.) Le participe passé « VERBORGEN » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« ver » et « buiten het kamp »), à la fin de la phrase. N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« DAN »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de sloep ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « wordt ») et passant donc derrière lui. Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ». La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 24 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ». Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN BESSY VERBERGEN VERBORGEN VTT 6C - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Daar zit iemand (in de katoenbalen) verborgen » (« Là est assis quelqu’un caché = Quelqu’un est caché là »). Signalons que, en langue néerlandaise, on a tendance à remplacer, aussi souvent que possible, le verbe « ZIJN » par un des quatre verbes de position, ici « ZITTEN ». N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« DAAR »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « IEMAND ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (« ZIT ») et passant donc derrière lui. On aurait donc pu avoir la phrase : « Iemand is daar (in de katoenbalen) verborgen ». On y trouve également la forme verbale « VERBORGEN », participe passé provenant de l’infinitif « VERBERGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux. Il faut aussi noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.) Le participe passé « VERBORGEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« in de katoenbalen »), à la fin de la phrase. La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ». Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN BESSY SLAAN SLOEG OVT 04C - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het gerucht kwam van het bevermoedertje dat, ongerust, met haar brede staart op het water sloeg » (« Le bruit venait de la (petite) mère (du petit) castor qui, inquiète, frappait avec sa large queue sur l’eau »). On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée la forme verbale « SLOEG » (O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « SLAAN »), qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ; on y trouve également le REJET de la forme verbale « SLOEG » à la fin de la phrase subordonnée, derrière les compléments. La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes. L’illustration annexée est extraite de la page 4 dans « Het geheim van Rainy Lake », le volume N°2 de la série « BESSY ». Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement. (Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1954-2011.) Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 27C - Rajouté le 24/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Verklaart hij zich nu overwonnen ? » (« Se déclare-t-il = s’avoue-t-il maintenant vaincu ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « OVERwonnen », participe passé (ou V.T.T.) du verbe « OVERwinnen, lui-même construit sur l’infinitif « WINNEN », faisant partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il faut aussi signaler que le participe passé de « WINNEN » se construit normalement sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
« OVERwinnen » N’est cependant PAS un verbe dit « à particule séparable », sans quoi on aurait dû / pu avoir, après l’ancienne préposition « OVER », le suffixe « GE-» comme dans « GEwonnen », participe passé de « WINNEN ». Au prétérit, on aurait eu, par exemple : « Overwon hij nu ? ».
Le participe passé « OVERWONNEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« NU »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 27 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 27B - Rajouté le 23/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We zouden anders verliezen kunnen lijden die we nu niet hebben gehad » (« Nous pourrions autrement subir des pertes, que nous n’avons pas eues maintenant »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « GEHAD », participe passé provenant de l’infinitif « HEBBEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il faut aussi noter que ce participe passé se construit sur le SINGULIER du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « GEHAD » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« NU »), à la fin de la phrase subordonnée.
Dans la phrase principale, on a la forme verbale « ZOUDEN », provenant de l’infinitif « ZOUDEN », auxiliaire utilisé pour indiquer que l’on se trouve au conditionnel présent.
N’oublions pas que « ZOUDEN », auxiliaire utilisé pour indiquer que l’on se trouve au futur simple, exige le REJET de l’autre verbe (« LIJDEN »), à l’infinitif, derrière les compléments (ici « anders » ou « verliezen »), à la fin de la phrase principale. Notons que, même si c’est peu visible dans ce cas, « LIJDEN » fait également l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« anders » ou « verliezen »), en raison de l’autre verbe « KUNNEN », « auxiliaire de mode ». Si l’on met la phrase au présent, c’est plus évident : « We kunnen anders verliezen lijden ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 27 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 27A 26 - Rajouté le 22/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze hebben hun bekomst gehad » (« Ils ont eu leur compte »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEHAD », participe passé provenant de l’infinitif « HEBBEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il faut aussi noter que ce participe passé se construit sur le SINGULIER du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « GEHAD » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« hun bekomst »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage réalisé par nos soins d’illustrations extraites des pages 26 et 27 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 26F - Rajouté le 21/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dan zien ze dat ze in de val (zijn) gelopen zijn » (« Alors, ils voient qu’ils sont tombés dans le piège »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « GELOPEN », participe passé provenant de l’infinitif « LOPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GELOPEN » est construit sur l’INFINITIF. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « GELOPEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« in de val »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase (la phrase principale) commence en néerlandais par un complément (« DAN »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « ZE ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « ZIEN ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 26 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 26E - Rajouté le 20/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De hel breekt los » (« L’enfer se déchaîne »).
On y trouve notamment la forme verbale « breekt … LOS », construite sur le verbe « LOSbreken » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « BREKEN ».
Quand « LOSbreken » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « LOS » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET derrière le complément, ici sous-entendu (« over het kamp »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 26 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 26D - Rajouté le 19/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het schot gaat af » (« Le coup part »).
On y trouve notamment la forme verbale « gaat … AF », construite sur le verbe « AFgaan » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « GAAN ».
Quand « AFgaan » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET derrière le complément, ici sous-entendu (« uit het geweer »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 26 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 26C - Rajouté le 18/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De boogschutters hebben zich tussen het lover van de bomen in de omgeving van het kamp verborgen » (« Les archers se sont cachés parmi le feuillage des arbres dans l’entourage du camp »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERBORGEN », participe passé provenant de l’infinitif « VERBERGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Il faut aussi noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « VERBORGEN » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« tussen het lover van de bomen » et « in de omgeving van het kamp »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 26 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 26B - Rajouté le 17/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « In het midden van een naburig bos zijn de vrouwen, kinderen en bejaarde mensen bijeengebracht » (« Au milieu d’un bois voisin, les femmes, enfants et personnes âgées sont rassemblés »).
On y trouve notamment la forme verbale « BIJEENgebracht », participe passé provenant de l’infinitif « BIJEENbrengen » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « BIJEENbrengen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « BIJEEN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « bijeenGEbracht ».
Ce participe passé « GEBRACHT » est construit sur le singulier du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« In het midden van een naburig bos »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de vrouwen, kinderen en bejaarde mensen ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « ZIJN ») et passant donc derrière lui.
Rappelons aussi que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments, à la fin de la phrase. Cela aurait été évident s’il n’y avait cette inversion : « De vrouwen, kinderen en bejaarde mensen zijn in het midden van een naburig bos bijeengebracht »
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 26 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 26A - Rajouté le 16/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De wigwam werd van binnen tot een kleine vesting omgebouwd » (« Le wigwam fut transformé de l’intérieur en une petite forteresse »).
On y trouve notamment la forme verbale « OMgebouwd », participe passé provenant de l’infinitif « OMbouwen », dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « BOUWEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « OMbouwen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OM » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « omGEbouwd ».
Le participe passé « OMgebouwd » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« van binnen » et « tot een kleine vesting »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 26 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 25E - Rajouté le 15/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij bootst het gekras van een uil na » (« Il imite le hululement d’un hibou »).
On y trouve notamment la forme verbale « bootst … NA », construite sur le verbe « NAbootsen » dit « à particule séparable ».
Quand « NAbootsen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « NA » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET derrière le complément (« het gekras van een uil ») à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 25D - Rajouté le 14/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Bij dageraad gaat hij (Rode Wolk) op verkenning uit » (« A l’aube, il sort = part en reconnaissance »).
On y trouve notamment la forme verbale « gaat … UIT », construite sur le verbe « UITgaan » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « GAAN ».
Quand « UITgaan » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET derrière le complément (« op verkenning ») à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Bij dageraad »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « HIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « GAAT ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 25C - Rajouté le 13/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dichtbij stijgen ze af » (« Tout près, ils mettent pied à terre »).
On y trouve notamment la forme verbale « stijgen AF », construite sur le verbe « AFstijgen, dit « à particule séparable », construit lui-même sur l’infinitif « STIJGEN ».
La particule « AF » est fait l’objet d’un « REJET », derrière le complément éventuel (« van hun paarden »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Dichtbij »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « ZE ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « stijgen ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 25B - Rajouté le 12/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het lijkt zelfs of de blanken hier niet geweest zijn » (« Il semble même que les blancs n’ont pas été ici »).
On y trouve, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « GEWEEST », participe passé provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que l’auxiliaire du passé composé est ici « ZIJN » (au lieu de « HEBBEN »).
Ce participe passé « GEWEEST » fait l’objet d’un REJET, dans cette phrase subordonnée, derrière le complément (« HIER »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 25A - Rajouté le 11/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De boot van de blanken is verdwenen » (« Le bateau des blancs a disparu »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERDWENEN », participe passé provenant de l’infinitif « VERDWIJNEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé « VERDWENEN » se construit sur le PLURIEL du prétérit et est même identique. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Rappelons en effet que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Le participe passé « VERDWENEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« van zijn plaats »), à la fin de la phrase.
Notons que, aux temps composés, l’auxiliaire n’est PAS toujours LE même qu’en français. C’est, en général, le cas quand il y a une notion de MOUVEMENT.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 24F - Rajouté le 10/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dan wordt de sloep ver buiten het kamp verborgen » (« Alors la barge est cachée loin hors du campement »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERBORGEN », participe passé (utilisé ici comme adjectif) construit sur le verbe « VERBERGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit et, dans ce cas, est identique. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « VERBORGEN » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« ver » et « buiten het kamp »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« DAN »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de sloep ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « wordt ») et passant donc derrière lui.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 24 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 24E - Rajouté le 09/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het aanbod wordt aangenomen » (« L’offre est acceptée »).
On y trouve notamment la forme verbale « « AANgenomen », V.T.T. (ou participe passé) provenant de l’infinitif « aanNEMEN », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « NEMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « AANnemen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGEnomen ».
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 24 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 24D - Rajouté le 08/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het waren een twintigtal verraders die door mijn krijgers (werden) verjaagd werden » (« Ce furent une vingtaine de traîtres qui furent chassés par mes guerriers »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « WAREN », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve également, dans la phrase subordonnée relative, la forme verbale « VERjaagd », participe passé construit sur l’infinitif « VERjagen », lui-même construit sur le verbe « JAGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Le participe passé « VERJAAGD » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« door mijn krijgers »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 24 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 24C - Rajouté le 07/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We hebben hem (Rode Wolk) verjaagd » (« Nous l’avons chassé »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERjaagd », participe passé construit sur l’infinitif « VERjagen », lui-même construit sur le verbe « JAGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Le participe passé « VERJAAGD » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« HEM »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 24 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 24B - Rajouté le 06/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De sachem wordt op de hoogte gebracht » (« Le sachem est apporté à la hauteur = mis au courant »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEBRACHT », participe passé provenant de l’infinitif « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le SINGULIER du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « GEBRACHT » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« op de hoogte »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
Notez l’expression « op de hoogte brengen ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 24 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 24A - Rajouté le 05/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Eindelijk legt de boot in een natuurlijke baai aan » (« Le bateau accoste finalement dans une crique naturelle »).
On y trouve la forme verbale « legt … AAN », O.T.T. (ou présent) provenant de l’infinitif « AANleggen » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « LEGGEN ».
Quand « AANleggen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit et son rejet, derrière le complément (« in een natuurlijke baai »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Eindelijk »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de boot ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « legt ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 24 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 23E - Rajouté le 04/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zo werden ze (Campbell en Jeffries) voor hun schurkenstreken zwaar gestraft » (« Ainsi ils furent lourdement punis pour leurs sales tours »).
On y trouve la forme verbale « GEstrafT », participe passé provenant de l’infinitif « STRAFFEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « STRAFFEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « F », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Le participe passé « GEstrafT » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« voor hun schurkenstreken » et « zwaar »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« ZO »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « ZE ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « werden ») et passant donc derrière lui.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 23 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 23D - Rajouté le 03/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze slaan tegen de rotsen te pletter » (« Ils frappent contre les rochers en mille morceaux = ils s’écrasent contre les rochers »).
L’expression « TE PLETTER », associée avec divers verbes, rend des notions de destruction, d’éclatement.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 23 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 23C - Rajouté le 02/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je kwam juist op tijd » (« Tu arrivais juste à temps »).
On y trouve notamment la forme verbale « KWAM », O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « KOMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 23 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 23B - Rajouté le 01/03/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze (Andy en Bessy) worden aan boord gehesen » (« Ils sont hissés à bord »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEHESEN », participe passé provenant de l’infinitif « HIJSEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé « GEHESEN » se construit sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « GEHESEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« aan boord »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 23 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 23A - Rajouté le 28/02/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Aan boord van de sloep, werd alarm gegeven » (« A bord de la barge, l’alarme est donnée »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEGEVEN », participe passé provenant de l’infinitif « GEVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEGEVEN » est construit sur l’INFINITIF. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « GEGEVEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« dadelijk »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Aan boord van de sloep »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « alarm ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « werd ») et passant donc derrière lui.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 23 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 22D - Rajouté le 27/02/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ginds ligt een kano verborgen » (« Là-bas, un cano gît = se trouve caché »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERBORGEN », participe passé provenant de l’infinitif « VERBERGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « VERBORGEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« aan de oever »), à la fin de la phrase.
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit et, dans ce cas, est identique. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« GINDS »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « een kano ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « LIGT ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 22 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 22C - Rajouté le 26/02/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Aan de oever gekomen, trekt hij zijn vest uit » (« Arrivé à la berge, il retire sa veste »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEKOMEN » (utilisé comme adjectif dans un complément), participe passé provenant de l’infinitif « KOMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEKOMEN » est construit sur l’INFINITIF. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « GEKOMEN » fait l’objet d’un REJET, à la fin du complément.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Aan de oever gekomen »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « HIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « trekt ») et passant donc derrière lui.
On y trouve également la forme verbale « trekt … UIT » à l’O.T.T. (présent), provenant de l’infinitif « UITtrekken », conjugué lui-même sur « TREKKEN ».
Quand « UITtrekken » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « UIT » étant affectée par un REJET, derrière le complément (ici « zijn vest »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 22 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 22B - Rajouté le 25/02/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Even later worden de Indianen door de schildwacht op de hoogte van de vlucht gebracht » (« Un peu plus tard, les Indiens sont mis au courant de la fuite par la sentinelle »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEBRACHT », participe passé provenant de l’infinitif « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEBRACHT » est construit sur le singulier du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « GEBRACHT » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« door de schildwacht » et « op de hoogte van de vlucht »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Even later »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de Indianen ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « worden ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 22 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 22A - Rajouté le 24/02/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij wordt door zijn eigene geweren onder vuur genomen » (« Il est pris sous le feu de ses propres armes »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « GENOMEN », participe passé provenant de l’infinitif « NEMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GENOMEN » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« door zijn eigene geweren » et « onder vuur »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 22 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 21B - Rajouté le 23/02/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De aandacht van de enige bewaker die bij hem (is) achtergebleven is … » (« L’attention de l’unique sentinelle, qui est restée en arrière près de lui …»).
On y trouve la forme verbale « achterGEBLEVEN », participe passé provenant de l’infinitif « achterBLIJVEN », lui-même construit sur le verbe « BLIJVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « ACHTERblijven » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « ACHTER » (ancienne préposition) de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « achterGEbleven ».
Ce participe passé « achterGEBLEVEN » fait l’objet du REJET, derrière le complément (« bij hem »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 21 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 21A - Rajouté le 22/02/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Als een tweede man getroffen wordt, laten ze liever beide mannen in de steek » (« Quand un deuxième homme est touché, ils laissent plutôt = ils préfèrent laisser les deux hommes dans le pétrin = ils préfèrent abandonner les deux hommes »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « GETROFFEN », participe passé provenant de l’infinitif « TREFFEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il faut noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « GETROFFEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« door een pijl »), à la fin de la phrase.
Cette phrase subordonnée est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (la phrase subordonnée joue ici ce rôle « Als een tweede man getroffen wordt »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « ZE ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (« LATEN ») et passant donc derrière lui.
Signalons que « LIEVER », comparatif de supériorité de « GRAAG », joue bien sûr le même rôle que lui, qui rend notamment la notion de « aimer (quelque chose) » ; au niveau « supérieur », cela rend la notion de « préférer (quelque chose) ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 21 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 20E - Rajouté le 21/02/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Als ze in massa aanvallen, zijn we verloren » (« S’ils attaquent en masse, nous sommes perdus »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « verloren », participe passé provenant de l’infinitif « VERLIEZEN ». Ce verbe fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Il est à noter que ce participe passé est, dans ce cas-ci, construit sur le PLURIEL du prétérit et, donc, est identique. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (la phrase subordonnée joue ici ce rôle « Als ze in massa aanvallen »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « WE ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « ZIJN ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 20 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 20D - Rajouté le 20/02/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De Indianen stormen de helling af » (« Les Indiens de ruent vers le bas de = dévalent la pente »).
On y trouve notamment la forme verbale « stormen … AF », provenant de l’infinitif « AFstormen », construit sur l’infinitif « STORMEN ».
Le verbe « AFstormen » est dit « à particule séparable ». Quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » faisant l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « de helling »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 20 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 20C - Rajouté le 19/02/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Max) is al getroffen » (« Il est déjà touché »).
On y trouve notamment la forme verbale « GETROFFEN », participe passé provenant de l’infinitif « TREFFEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il faut aussi noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « GETROFFEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« AL »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 20 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 20B - Rajouté le 18/02/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze vallen ons aan ! » (« Ils nous attaquent ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « vallen … AAN », indicatif ou O.T.T. provenant de l’infinitif « AANvallen » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « VALLEN ».
Quand « AANvallen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit et elle fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« ONS »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 20 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 20A - Rajouté le 17/02/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij heeft die geweren voor een appel en een ei gekocht » (« Il a acheté ces fusils pour une pomme et un œuf = une bouchée de pain »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEKOCHT », participe passé provenant de l’infinitif « KOPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il faut aussi noter que ce participe passé se construit sur le SINGULIER du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « GEKOCHT » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« die geweren » et « voor een appel en een ei »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 20 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 19D - Rajouté le 16/02/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De hond is niet in onze prijs begrepen » (« Le chien n’est pas inclus dans notre prix »).
On y trouve notamment la forme verbale « BEgrepen », participe passé provenant de l’infinitif « BEgrijpen », lui-même construit sur l’infinitif « GRIJPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit ou O.V.T. et, dans ce cas-ci, est même identique (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
On trouve ici « BEGRIJPEN » dans sa signification principale : « inclure ». On a tendance à l’utiliser souvent à la place de « VERSTAAN » (= « comprendre » avec l’intelligence ou « VERSTAND »).
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 19 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 19C - Rajouté le 15/02/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Vervloekte hond, ze heeft geluk gehad » (« Chienne maudite, elle a eu de la chance »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEHAD », participe passé provenant de l’infinitif « HEBBEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il faut aussi noter que ce participe passé se construit sur le SINGULIER du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « GEHAD » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« GELUK »), à la fin de la phrase.
On y trouve également, la forme verbale « VERVLOEKT », participe passé (utilisé comme adjectif épithète) provenant de l’infinitif « VERVLOEKEN », qui NE fait PAS partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « VERVLOEKEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera au participe passé un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 19 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 19B - Rajouté le 14/02/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Verdedig je toch of je bent verloren ! » (« Défends-toi tout de même ou tu es perdue ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERLOREN », participe passé construit sur le verbe « VERLIEZEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Il est à noter que ce participe passé est, dans ce cas-ci, construit sur le PLURIEL du prétérit et, donc, est identique. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« tegen de andere hond »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 19 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 18D 19A - Rajouté le 13/02/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wat heb ik gezegd ? » (« Qu’est-ce que j’ai dit ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEZEGD », V.T.T. provenant de l’infinitif « ZEGGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » (du moins au prétérit).
Le participe passé ressemble à celui d’un verbe régulier. En effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « G », on trouve donc le « D » majoritaire au participe passé.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite d’un montage réalisé par nos soins d’illustrations extraites des pages 18 et 19 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 18C - Rajouté le 12/02/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij (Bessy) wacht gespannen de aanval af » (« Elle attend, tendue, l’attaque »).
On y trouve notamment la forme verbale « wacht … AF », construite sur le verbe « AFwachten » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « WACHTEN ».
Quand « AFwachten » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET derrière le complément (« de aanval ») à la fin de la phrase.
On y trouve également la forme verbale « gespannen », participe passé (utilisé comme adjectif) provenant de l’infinitif « SPANNEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce participe passé « GESPANNEN » est construit sur l’infinitif. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 18 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 18B - Rajouté le 11/02/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij is woedend op de hond die haar (heeft) gebeten heeft » (« Elle est furieuse sur le chien qui l’a mordue »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée relative, la forme verbale « GEBETEN », participe passé provenant de l’infinitif « BIJTEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé « GEBETEN » se construit sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « HAAR »), à la fin de la phrase.
Rappelons aussi que, dans une phrase subordonnée néerlandaise, TOUTES les formes verbales font l’objet d’un REJET à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 18 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 18A - Rajouté le 10/02/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Mijn hond heeft nog geen enkele nederlaag geleden » (« Mon chien n’a pas encore souffert = subi une seule défaite »).
On y trouve notamment la forme verbale « GELEDEN », participe passé provenant de l’infinitif « LIJDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé « GELEDEN » se construit sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (ici « NOG » et « geen enkele nederlaag »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 18 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 17B - Rajouté le 09/02/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wie is de blanke man die u hebt meegebracht ? » (« Qui = Quel est cet homme blanc que vous avez apporté avec vous = amené ? »).
On y trouve, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « MEEgebracht », participe passé provenant de l’infinitif « MEEbrengen » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « MEEbrengen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « MEE » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « meeGEbracht ».
Rappelons aussi que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici sous-entendu : « met u »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 17A - Rajouté le 08/02/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hebben jullie ook woord gehouden ? » (« Avez-vous aussi tenu parole ? »).
On y trouve notamment forme verbale « GEhouden », participe passé provenant de l’infinitif « HOUDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce participe passé « GEHOUDEN » est construit sur l’infinitif. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « GEhouden » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément « WOORD », à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 16F - Rajouté le 07/02/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Aan de voet van een boom worden ze door een Indiaan opgewacht » (« Au pied d’un arbre, ils sont attendus par un Indien »).
On y trouve notamment la forme verbale « OPgewacht », participe passé construit sur le verbe « OPwachten » dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « WACHTEN ».
Ce verbe « WACHTEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant déjà par la consonne « T », on trouvera, bien sûr, un « T » (au lieu du « D » majoritaire) au participe passé mais un seul (sauf à l’O.V.T. ou prétérit).
Quand « OPwachten » est conjugué, comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEwacht ».
Le participe passé « opGEwacht » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« door een Indiaan »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Aan de voet van een boom »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « ZE ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « WORDEN ») et passant donc derrière lui.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 16E - Rajouté le 06/02/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hebben de blanke mannen woord gehouden ? » (« Les hommes blancs ont-ils tenu parole ? »).
On y trouve notamment forme verbale « GEhouden », participe passé provenant de l’infinitif « HOUDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce participe passé « GEHOUDEN » est construit sur l’infinitif. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « GEhouden » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément « WOORD », à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 16D - Rajouté le 05/02/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « ‘s Avonds wordt de toestand uitvoerig besproken » (« Le soir = ce soir-là, la situation est discutée en détail »).
On y trouve notamment la forme verbale « BESPROKEN », participe passé provenant de l’infinitif « BESPREKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Le participe passé « BESPROKEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« uitvoerig ), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« ‘s Avonds »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de toestand ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « WORDT ») et passant donc derrière lui.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
Rappelons que la variante, ancienne, du complément de temps « ‘s Avonds » peut être remplacée par « de avond » ou, parfois, par « vanavond ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 16C - Rajouté le 04/02/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het is iemand (Campbell) die zijn slag sloeg » (« C’est quelqu’un qui a frappé = fait son coup »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « SLOEG » (O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « SLAAN »), qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La forme verbale « SLOEG » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« zijn slag »), à la fin de la phrase subordonnée.
Si cette forme verbale « SLOEG » ne s’était pas trouvée dans une phrase subordonnée, on aurait pu avoir la variante suivante : « Iemand sloeg zijn slag ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 16B - Rajouté le 03/02/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « En die wapens kunnen alleen voor de Indianen (zijn) bestemd zijn » (« Et ces armes peuvent seulement être destinées pour les = aux Indiens »).
On y trouve notamment la forme verbale « bestemd », participe passé provenant de l’infinitif « BESTEMMEN ».
Ce verbe est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « M », on trouvera le « D » majoritaire.
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Le participe passé « bestemd » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« alleen voor de Indianen »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 16A - Rajouté le 02/02/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Er zitten harde voorwerpen tussen het katoen verborgen » (« Il y a des objets durs cachés parmi le coton »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERBORGEN », participe passé provenant de l’infinitif « VERBERGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Il faut aussi noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « VERBORGEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« tussen het katoen »), à la fin de la phrase.
Nous avons affaire à l’équivalent de l’expression « IL Y A », annoncée en langue néerlandaise par le mot « ER ».
On aurait cependant pu avoir la variante suivante de la phrase : « Harde voorwerpen zitten tussen het katoen verborgen ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 13A - Rajouté le 01/02/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze hebben goed de plaats en het ogenblik uitgekozen » (« Ils ont bien choisi la place et le moment »).
On y trouve notamment la forme verbale « UITgekozen », participe passé provenant de l’infinitif « UITkiezen », dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « KIEZEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé « GEkozen » se construit sur le PLURIEL du prétérit ou O.V.T. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« de plaats » et (« het ogenblik »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 13 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 15A - Rajouté le 31/01/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze worden stevig geboeid gevangen gehouden » (« Ils sont tenus prisonniers, solidement ligotés »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEboeid », V.T.T. (utilisée comme adjectif) provenant de l’infinitif « BOEIEN ».
Ce verbe « BOEIEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est PAS affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la voyelle « I », on trouvera le « D » majoritaire au participe passé.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
On y trouve également, dans la phrase principale, la forme verbale « GEVANGEN », V.T.T. (utilisée ici comme une sorte d’adjectif épithète) provenant de l’infinitif « VANGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce participe passé « GEVANGEN » est construit sur l’infinitif. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
On y trouve également la forme verbale « GEhouden », participe passé provenant de l’infinitif « HOUDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce participe passé « GEhouden » est, lui aussi, construit sur l’infinitif.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 15 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 14C - Rajouté le 30/01/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je hebt me verraden » (« Tu m’as trahi »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERRADEN », participe passé provenant de l’infinitif « VERRADEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé « VERRADEN » se construit sur l’infinitif. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Rappelons aussi que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Ce participe passé « VERRADEN » est dès lors identique à son infinitif « VERRADEN ».
Ce participe passé « VERRADEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« ME »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 14 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 14B - Rajouté le 29/01/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Aan boord van de sloep komt een man uit de kajuit gekropen » (« A bord de la barge, un homme vient hors de la cabine en se glissant = s’est glissé hors de la cabine »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEKROPEN », participe passé provenant de l’infinitif « KRUIPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le verbe « KOMEN » remplace ici l’auxiliaire « ZIJN ».
Il faut aussi noter que ce participe passé se construit sur le pluriel du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Aan boord van de sloep »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « een man ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « KOMT ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 14 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 14A - Rajouté le 28/01/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Er wordt een akkoord gesloten » (« Il y a un accord fermé / scellé = Un accord est conclu »).
On y trouve notamment la forme verbale « GESLOTEN », participe passé provenant de l’infinitif « SLUITEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il faut aussi noter que ce participe passé se construit sur le pluriel du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 14 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 12B - Rajouté le 27/01/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een lid van de bemanning wil zich niet gewonnen geven » (« Un membre de l’équipage ne veut pas se donner gagné = s’avouer vaincu »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEWONNEN », participe passé (ou V.T.T.) du verbe « WINNEN », faisant partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Nous attirons l’attention des apprenants sur la façon différente d’exprimer un concept dans chacune des deux langues.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 12 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 12A - Rajouté le 26/01/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb balen (…) laten inschepen die alleen op dit schip vervoerd konden worden » (« J’ai fait laisser charger à bord des ballots qui ne pouvaient être transportés que sur ce navire »).
On y trouve, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « VERvoerd », participe passé provenant de l’infinitif « VERvoeren », lui-même construit sur « VOEREN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « VERvoeren » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire au participe passé.
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
On y trouve également la forme verbale « KONDEN », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif (et « AUXILIAIRE de MODE de la capacité) « KUNNEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 12 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 11E - Rajouté le 25/01/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Er is een hold up geweest » (« Il y a eu un hold up »).
On y trouve la forme verbale « GEWEEST », participe passé provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Notez que l’on a affaire à l’expression « IL Y A » qui, en français, contient évidemment le verbe « avoir ».
Quand on trouve « ER » près de N’IMPORTE QUEL verbe, cela indique que l’on a affaire à l’expression « IL Y A ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 11D - Rajouté le 24/01/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Niemand raakt de machines nog aan ! » (« Personne ne touche encore les machines = Plus personne ne touche les machines ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « raakt … AAN », construite sur le verbe « AANraken » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « RAKEN ».
Quand « AANraken » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET derrière le complément (« de machines ») à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 11C - Rajouté le 23/01/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij slaat hem met de kolf van zijn pistool neer » (« Il le frappe avec la crosse de son pistolet »).
On y trouve notamment la forme verbale « slaat … NEER », construite sur le verbe « NEERslaan » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « SLAAN ».
Quand « NEERslaan » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « NEER » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET derrière les compléments (« HEM », « met de kolf » et « van zijn pistool ») à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 11B 10 - Rajouté le 22/01/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Persoonlijk denk ik dat hij (Andy) het schip uit eigen wil (heeft) verlaten heeft » (« Dommage que vous n’ayez pas parlé plus tôt »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée (introduite par « DAT »), la forme verbale « VERLATEN », participe passé provenant de l’infinitif « VERLATEN », lui-même construit sur le verbe « LATEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Cette réserve émise, il est à noter que ce participe passé se construit sur l’infinitif. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Rappelons que, dans les phrases subordonnées néerlandaises, la (les) forme(s) verbale(s) est (sont) séparée(s) de son sujet (restant près la conjonction introduisant cette phrase subordonnée) par le(s) complément(s) (ici « het schip » et « uit eigen wil ») et fait (font) l’objet d’un REJET à la fin de la phrase.
On aurait pu avoir la phrase suivante : « Hij heeft het schip uit eigen wil verlaten ».
Signalons que « EIGEN » est invariable.
« La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite d’un montage réalisé par nos soins d’illustrations extraites des pages 10 et 11 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 11A 10 - Rajouté le 21/01/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Jammer dat u niet eerder (hebt) gesproken hebt » (« Dommage que vous n’ayez pas parlé plus tôt »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée (introduite par « DAT »), la forme verbale « GESPROKEN », participe passé provenant de l’infinitif « SPREKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que, dans les phrases subordonnées néerlandaises, la (les) forme(s) verbale(s) est (sont) séparée(s) de son sujet (restant près la conjonction introduisant cette phrase subordonnée) par le(s) complément(s) (ici « EERDER ») et fait (font) l’objet d’un REJET à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite d’un montage réalisé par nos soins d’illustrations extraites des pages 10 et 11 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 10 - Rajouté le 20/01/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Onmiddellijk knaagt de hond (Bessy) de touwen door waarmee haar meester werd vastgebonden » (« Immédiatemen, le chien ronge les cordes avec lesquelles son maître était ligoté »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « knaagt … DOOR », construite sur le verbe « DOORknagen » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « KNAGEN ».
Quand « DOORknagen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « DOOR » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET derrière le complément (« de touwen ») à la fin de la phrase principale.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Onmiddellijk »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de hond ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « knaagt ») et passant donc derrière lui.
On y trouve également, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « VASTgebonden », participe passé de l’infinitif « VASTBINDEN », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « BINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
Rappelons que « WAARMEE » est l’adverbe pronominal résultant de « MET WAT ». On aurait donc pu avoir la phrase : « Haar meester werd met (de) touwen vastgebonden. » Cette construction permet de mieux se rendre compte que « VASTgebonden » fait l’objet d’un REJET derrière le complément (« de touwen ») à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 10 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 9 - Rajouté le 19/01/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De handlangers van Campbell en Jeffries werpen hem (Andy) stevig gebonden in een reddingssloep » (« Les acolytes de Campbell et Jeffries le jettent solidement ligoté dans un canot de sauvetage »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEBONDEN », participe passé provenant de l’infinitif « BINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEBONDEN » est utilisé ici comme une sorte d’adjectif attribut.
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Rappelons que si la personne jetée dans le canot de sauvetage avait été féminine, on aurait dû avoir : « … werpen HAAR … gebonden ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 8C - Rajouté le 18/01/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb het in het ruim gevonden » (« Je l’ai trouvé dans la cale »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEVONDEN », participe passé provenant de l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEVONDEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« in het ruim »), à la fin de la phrase.
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 8 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 8B - Rajouté le 17/01/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De passagiers begrijpen (verstaan) dat er iets abnormaals voorviel » (« Les passagers comprennent que quelque chose d’anormal s’est produit »).
Notons que le verbe, correspondant en néerlandais à « comprendre avec son intelligence », devrait plutôt être « VERSTAAN » (en relation avec le nom commun « VERSTAND »).
On trouve, dans la phrase subordonnée (introduite par « DAT »), la forme verbale « voorVIEL », O.V.T. (ou prétérit), provenant de l’infinitif « voorVALLEN » (verbe dit « à particule séparable »), construit sur le verbe « VALLEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Cette forme verbale « voorVIEL » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« iets abnormaals »), à la fin de la phrase.
Il est à noter que, si cette forme verbale « voorVIEL » ne s’était pas trouvée dans une phrase subordonnée, on aurait par exemple pu avoir la phrase suivante : « Iets abnormaals viel voor », où la particule séparable « VOOR » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« in het ruim »), à la fin de la phrase.
Quand un adjectif suit « IETS », on ajoute exceptionnellement un « S » à sa fin : « abnormaalS ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 8 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 8A - Rajouté le 16/01/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb toch iets ontdekt » (« J’ai tout de même découvert quelque chose »).
On y trouve notamment la forme verbale « ONTDEKT », participé passé provenant de l’infinitif « ONTDEKKEN », lui-même construit sur le verbe « DEKKEN ».
Ce verbe « ONTDEKKEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « ONT- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Signalons dès lors que, si « ONTDEKT » est ici au V.T.T. (ou passé composé), il aurait été écrit de la même façon à l’O.T.T. (ou indicatif présent).
Le participe passé « ONTdekt » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« IETS »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 8 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 7B - Rajouté le 15/01/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De brand is spoedig overmeesterd » (« L’incendie est rapidement maîtrisé »).
On y trouve notamment la forme verbale « OVERmeesterd », participe passé provenant de l’infinitif « OVERmeesteren », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « OVER- », son participe passé devrait inclure la particule « GE » (par exemple « overGEhaald » < « OVERhalen » OU « overGEgeven » < « OVERgeven »), commune à la majorité d’entre eux (sous forme de préfixe). Ce n’est pas le cas pour « OVERmeesteren », qui N’est donc PAS un verbe dit « à particule séparable ».
Le participe passé « OVERmeesterd » fait l’objet d’un REJET, derrière l’attribut (« SPOEDIG »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 7 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 7A 6 - Rajouté le 14/01/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De lamp van de bewaker is op de grond in stukken gevallen » (« La lampe du gardien est tombée sur le sol en morceaux »).
On y trouve notamment forme verbale « GEvallen », participe passé provenant de l’infinitif « VALLEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEVALLEN » fait l’objet en néerlandais d’un REJET, derrière les compléments (« op de grond » et « in stukken »), à la fin de la phrase.
Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’infinitif. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite d’un montage réalisé par nos soins d’illustrations extraites des pages 6 et 7 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 24 GEHEIME LADING 6D - Rajouté le 13/01/2013

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij slaat hem neer » (« Il le frappe »).
On y trouve notamment la forme verbale « slaat … NEER », construite sur le verbe « NEERslaan » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « SLAAN ».
Quand « NEERslaan » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « NEER » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET derrière le complément (« HEM ») à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « De geheime lading », le volume N°24 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1958-2013.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : BIDDELOO RODE RIDDER 63 WALKURE 32A - Rajouté le 22/12/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Daar is hij (Thor) reeds om ons af te halen » (« Il est déjà là pour nous emmener »).
On y trouve notamment la forme verbale « weet … AF », provenant de l’infinitif « afWETEN » (dit à « particule séparable »), construit sur le verbe « WETEN ».
La « particule séparable » « AF » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« veel » et « van de Germaanse godenwereld »), à la fin de la phrase.
On y trouve notamment le verbe « AFhalen », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « HALEN ». On peut avoir en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit avec, par exemple, comme ici, le « TE » qui s’intercale entre eux.
On y trouve donc, dans une sorte de phrase subordonnée introduite par « OM … TE » (signifiant « POUR » devant les verbes), le complément (« ONS ») intercalé entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « HALEN ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« DAAR »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « HIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « IS ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « De Walkure », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 32 dans « De Walkure », le volume N°63 de la série « DE RODE RIDDER ». Le texte l’accompagnant est à lire en écoutant, bien sûr, la « Chevauchée des Walkyries » de Richard WAGNER.
Karel BIDDELOO, scénariste et dessinateur du studio Willy VANDERSTEEN, se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1974-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : BIDDELOO RODE RIDDER 63 WALKURE 31A - Rajouté le 21/12/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « U dwingt me ertoe ! » (« Vous m’obligez à cela = Vous m’y obligez ! »).
Le verbe « DWINGEN » est, comme son équivalent français « OBLIGER à », suivi d’une préposition : « TOT ».
Cette dernière, associée à « DAAR » ou « ER » (au sein de ce que l’on appelle un « adverbe pronominal »), métamorphose son « T » final en « E » : « toT » devient « toE ». (Rappelons que nous connaissons la même évolution pour la particule « MEE » provenant de la préposition « MET ».)
On a souvent tendance, en langue néerlandaise, à comprimer un complément comme « TOT dat » en « daarTOE » qui, encore davantage simplifié, finit par devenir « erTOE ».
On aurait ainsi pu trouver, au lieu de « U dwingt me tot dat ! » (qui ne se dit pas ou plus), la variante suivante : « U dwingt me DAARtoe ! ».
Mais on trouve donc dans cette phrase un adverbe pronominal, qui peut être « séparé » (car séparable) : « ER … TOE » : « U dwingt me er, spijtig genoeg, TOE ! ».
N’oublions pas non plus que, en langue néerlandaise, la forme polie (accompagnée du « pronom personnel sujet « U ») est construite sur la 2ème personne du singulier.
La version néerlandophone de « De Walkure », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 31 dans « De Walkure », le volume N°63 de la série « DE RODE RIDDER ». Le texte l’accompagnant est à lire en écoutant, bien sûr, la « Chevauchée des Walkyries » de Richard WAGNER.
Karel BIDDELOO, scénariste et dessinateur du studio Willy VANDERSTEEN, se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1974-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : BIDDELOO RODE RIDDER 63 WALKURE 2B - Rajouté le 25/11/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wanneer de dondergod zijn hamer slingert, slaat de bliksem in » (« Quand le dieu du tonnerre agite son marteau, l’éclair / la foudre frappe »).
On y trouve notamment la forme verbale « slaat … IN », provenant de l’infinitif « inSLAAN » (dit à « particule séparable »), construit sur le verbe « SLAAN ».
La « particule séparable » « IN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément sous-entendu (« de grond » ou « de boom »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (la phrase subordonnée « Wanneer de dondergod zijn hamer slingert » jouant ici ce rôle), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de bliksem ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « slaat ») et passant donc derrière lui.
Rappelons aussi que dans le cas d’infinitifs NE se terminant PAS par « -EN » (« SLAAN », « GAAN », « STAAN », « DOEN », « ZIEN » - « IE » et « OE » constituant un « tout » - , …), on ne doit pas nécessairement passer par le radical du verbe (première personne du singulier de l’indicatif présent) pour construire une deuxième ou troisième personne du singulier : il suffit de remplacer la terminaison de l’infinitif (« -N ») par celle de la deuxième ou troisième personne du singulier (« -T ») : « slaaN » => « slaaT ».
Notons par ailleurs que, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « slingert » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« zijn hamer »), à la fin de la phrase, le sujet et le verbe étant donc séparés.
La version néerlandophone de « De Walkure », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 2 dans « De Walkure », le volume N°63 de la série « DE RODE RIDDER ». Le texte l’accompagnant est à lire en écoutant, bien sûr, la « Chevauchée des Walkyries » de Richard WAGNER.
Karel BIDDELOO, scénariste et dessinateur du studio Willy VANDERSTEEN, se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1974-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : BIDDELOO RODE RIDDER 63 WALKURE 2A - Rajouté le 24/11/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik weet niet veel van de Germaanse godenwereld af » (« Je ne sais pas beaucoup = grand-chose du monde des dieux germains »).
On y trouve notamment la forme verbale « weet … AF », provenant de l’infinitif « afWETEN » (dit à « particule séparable »), construit sur le verbe « WETEN ».
La « particule séparable » « AF » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« veel » et « van de Germaanse godenwereld »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « De Walkure », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 2 dans « De Walkure », le volume N°63 de la série « DE RODE RIDDER ». Le texte l’accompagnant est à lire en écoutant, bien sûr, la « Chevauchée des Walkyries » de Richard WAGNER.
Karel BIDDELOO, scénariste et dessinateur du studio Willy VANDERSTEEN, se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1974-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN BIDDELOO SAFARI 8 MASKER 28B - Rajouté le 24/11/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De laatste olifant is verslagen » (« Le dernier éléphant est vaincu »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERslagen », participe passé provenant du verbe « VERslaan », lui-même construit sur l’infinitif « SLAAN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Le participe passé « VERslagen » est affecté d’un REJET, derrière le complément éventuel (« eindelijk »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « Het masker », le volume N°8 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN BIDDELOO SAFARI 8 MASKER 28A 27E - Rajouté le 22/11/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De olifant stort neer » (« L’éléphant s’écroule »).
On y trouve la forme verbale « stort … NEER », construite sur le verbe « NEERstorten » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « STORTEN ».
Quand « NEERstorten » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « NEER » de son infinitif proprement dit, faisant l’objet d’un REJET derrière le complément éventuel (« vlak bij hem »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 28 et 27 dans « Het masker », le volume N°8 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN BIDDELOO SAFARI 8 MASKER 27D - Rajouté le 21/11/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij snijdt de olifant met een slag de hielspier door » (« Il tranche d’un coup le muscle du talon = le talon d’Achille de l’éléphant »).
On y trouve la forme verbale « snijdt … DOOR », construite sur le verbe « DOORsnijden » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « SNIJDEN ».
Quand « DOORsnijden » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « DOOR » de son infinitif proprement dit, les compléments (« de olifant», « met een slag » et « de hielspier ») s’intercalant entre eux et la particule « DOOR » faisant donc l’objet d’un REJET à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 27 dans « Het masker », le volume N°8 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN BIDDELOO SAFARI 8 MASKER 27C - Rajouté le 20/11/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het tweede geweer is niet geladen » (« Le deuxième fusil n’est pas chargé »).
On y trouve notamment la forme verbale « GELADEN », participe passé provenant de l’infinitif « LADEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Cette forme verbale est, comme on le voit, construite sur l’INFINIF. (Pour complément d’informations, consultez notamment notre tableau de synthèse « Temps primitifs » dans la partie « GRAMMATICA » de ce site.)
Le participe passé « GELADEN » est affecté d’un REJET, derrière le complément éventuel (« NU »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 27 dans « Het masker », le volume N°8 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN BIDDELOO SAFARI 8 MASKER 27B - Rajouté le 19/11/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De kudde zwenkt af » (« Le troupeau oblique »).
On y trouve la forme verbale « zwenkt … AF », construite sur le verbe « AFzwenken » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « ZWENKEN ».
Quand « AFzwenken » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, derrière le complément éventuel (« LINKS » ou « RECHTS »), qui fait donc l’objet d’un REJET à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 27 dans « Het masker », le volume N°8 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN BIDDELOO SAFARI 8 MASKER 16E - Rajouté le 25/10/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij weet elke prooi af te matten » (« Il sait comment harceler chaque proie »).
On y trouve la forme verbale « AF … matten », qui provient d’un infinitif « AFmatten », dit « à particule séparable ».
La particule « AF » est, dans une sorte de phrase subordonnée « infinitive », séparée de son infinitif proprement dit (« matten ») par un « TE », lui-même engendré par le verbe « weet » d’une phrase principale.
Si « AFmatten » avait été conjugué à l’indicatif présent, cela aurait entraîné en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit et son REJET, derrière le complément (« elke prooi »), à la fin de la phrase : « Hij mat elke prooi AF ».
Il est à noter que l’on aurait pu avoir la tournure de phrase suivante : « Hij weet HOE HIJ elke prooi MOET afmatten ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « Het masker », le volume N°8 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN BIDDELOO SAFARI 8 MASKER 4B - Rajouté le 11/10/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij (de olifanten) drongen het dorp plots binnen » (« Ils pénétrèrent soudain dans le village »).
On y trouve la forme verbale « drongen … BINNEN », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « BINNENdringen » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « DRINGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « BINNENdringen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « BINNEN » de son infinitif proprement dit et elle fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« het dorp » et « plots »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 4 dans « Het masker », le volume N°8 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN BIDDELOO SAFARI 8 MASKER 4A - Rajouté le 10/10/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Toen kwam een kleine kudde olifanten » (« Alors vint un petit troupeau d’éléphants »).
On y trouve notamment la forme verbale « KWAM », O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « KOMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 4 dans « Het masker », le volume N°8 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN BIDDELOO SAFARI 8 MASKER 3B - Rajouté le 09/10/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De vrouw doet haar hoofddoek af » (« La femme enlève son foulard »).
On y trouve notamment la forme verbale « doet … AF », construite sur le verbe « AFdoen, dit « à particule séparable », construit lui-même sur l’infinitif « DOEN ».
La particule « AF » est affectée par le phénomène du « REJET », derrière le complément (« haar hoofddoek »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 3 dans « Het masker », le volume N°8 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN BIDDELOO SAFARI 8 MASKER 3A - Rajouté le 08/10/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij is geschrokken » (« Il est effrayé »).
On y trouve notamment la forme verbale « geschrokken », participe passé construit sur le verbe « SCHRIKKEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce participe passé « geschrokken » est construit sur le pluriel du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 3 dans « Het masker », le volume N°8 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN WIREL BESSY 22 GOUDEN VLINDERS 31D - Rajouté le 07/10/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze hebben ons goed geholpen » (« Ils nous ont bien aidés »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEHOLPEN », participe passé provenant de l’infinitif « HELPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 31 dans « De gouden vlinders », le volume N°22 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1957-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN WIREL BESSY 22 GOUDEN VLINDERS 24B - Rajouté le 01/10/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De waterjuffer vliegt (de vlinder) voorbij zonder hem op te merken » (« La libellule passe en volant devant le papillon sans le remarquer »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « vliegt … voorbij », provenant de l’infinitif « VOORBIJvliegen », dit « à particule séparable », construit lui-même sur le verbe « VLIEGEN ».
La « particule séparable » « VOORBIJ » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (sous-entendu : « de vlinder »), à la fin de la phrase principale.
La préposition « ZONDER » introduit ici une sorte de phrase subordonnée et engendre un « TE » qui précède (comme en français) l’infinitif « OPMERKEN » mais, comme il s’agit d’un verbe dit « à particule séparable », le « TE » s’intercale entre la particule « OP » et l’infinitif proprement dit « MERKEN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 24 dans « De gouden vlinders », le volume N°22 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1957-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN WIREL BESSY 22 GOUDEN VLINDERS 23D 24A - Rajouté le 30/09/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De vlinder tracht (…) te ontsnappen door op een boom neer te strijken » (« Le papillon essaie de s’échapper en se posant sur un arbre »).
Le verbe « TRACHTEN » (équivalant à « essayer DE »), dans la phrase principale, introduit ici une sorte de subordonnée et engendre un « TE » qui précède (comme en français) l’infinitif « ONTSNAPPEN ».
Une deuxième phrase subordonnée, « infinitive », est introduite par la préposition « DOOR » (qui joue ici le rôle d’une « conjonction »), engendrant également un « TE » et séparant dès lors la particule « NEER » de « STRIJKEN », son infinitif proprement dit.
Si le verbe « NEERstrijken », dit « à particule séparable », s’était trouvé dans une phrase affirmative « normale », on aurait pu avoir comme variante, avec REJET de la particule « NEER », derrière le complément, à la fin de cette phrase : « De vlinder tracht (…) te ontsnappen en strijkt op een boom NEER ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite d’un montage réalisé par nos soins des pages 23 et 24 dans « De gouden vlinders », le volume N°22 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1957-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN WIREL BESSY 22 GOUDEN VLINDERS 23C - Rajouté le 29/09/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Alarm wordt gegeven en de vlinders slaan op de vlucht » (« L’alarme est donnée et les papillons prennent la fuite »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEGEVEN », participe passé provenant de l’infinitif « GEVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’infinitif. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 23 dans « De gouden vlinders », le volume N°22 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1957-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN WIREL BESSY 22 GOUDEN VLINDERS 18D - Rajouté le 27/09/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De vlinder vliegt weg om zijn eigen leventje te beginnen » (« Le papillon s’envole pour commencer sa propre petite = courte vie »).
On y trouve la forme verbale « vliegt … WEG », provenant de l’infinitif « WEGvliegen », conjugué lui-même sur « VLIEGEN ».
Quand « WEGvliegen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « WEG » de son infinitif proprement dit, la particule « WEG » étant affectée par un REJET, derrière le complément éventuel (par exemple, « uit zijn pop »), à la fin de la phrase.
On y trouve aussi, dans une sorte de phrase subordonnée introduite par « OM … TE » (signifiant « POUR » devant les verbes), le complément (« zijn eigen leventje ») intercalé entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « BEGINNEN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 18 dans « De gouden vlinders », le volume N°22 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1957-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN WIREL BESSY 22 GOUDEN VLINDERS 18C - Rajouté le 26/09/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De vIinder kruipt eruit » (« Le papillon se glisse dehors »).
Nous avons ici affaire NON à un verbe à particule séparable mais à l’adverbe pronominal « erUIT » (pour « DAARuit ») puisque l’on aurait pu dire : « De vIinder kruipt UIT zijn pop ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 18 dans « De gouden vlinders », le volume N°22 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1957-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN WIREL BESSY 22 GOUDEN VLINDERS 18B - Rajouté le 25/09/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De pop scheurt open » (« La chrysalide se déchire »).
On y trouve la forme verbale « scheurt … OPEN », provenant de l’infinitif « OPENscheuren », conjugué lui-même sur « SCHEUREN ».
Quand « OPENscheuren » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OPEN » de son infinitif proprement dit, la particule « OPEN » étant affectée par un REJET, derrière le complément éventuel (par exemple, « zijn kleed »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 18 dans « De gouden vlinders », le volume N°22 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1957-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN WIREL BESSY 22 GOUDEN VLINDERS 18A 17E - Rajouté le 24/09/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De muis vlucht weg » (« La souris s’enfuit »).
On y trouve la forme verbale « vlucht … WEG », provenant de l’infinitif « WEGvluchten », conjugué lui-même sur « VLUCHTEN ».
Quand « WEGvluchten » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « WEG » de son infinitif proprement dit, la particule « WEG » étant affectée par un REJET, derrière le complément éventuel (par exemple, « van de pop »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite d’un montage réalisé par nos soins d’illustrations extraites des pages 18 et 17 dans « De gouden vlinders », le volume N°22 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1957-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN WIREL BESSY 22 GOUDEN VLINDERS 17D - Rajouté le 23/09/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het is vooral gedurende deze periode dat hij blootgesteld is aan zijn vijanden » (« C’est surtout pendant cette période qu’il est mis à nu devant / exposé à ses ennemis »).
On y trouve notamment la forme verbale « BLOOTgesteld », participe passé construit sur l’infinitif « BLOOTstellen », lui-même construit sur le verbe « STELLEN ».
Ce verbe « BLOOTstellen » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « L », on trouvera un « D », majoritaire, à la fin du participe passé.
Ce verbe « BLOOTstellen » est aussi dit « à particule séparable » ; quand il est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « BLOOT » (adjectif) de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « blootGEsteld ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « De gouden vlinders », le volume N°22 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1957-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN WIREL BESSY 22 GOUDEN VLINDERS 16E - Rajouté le 20/09/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Op dat ogenblik heeft ze haar plicht vervuld » (« A ce moment-là , elle a rempli = accompli son devoir »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERVULD », participé passé provenant de l’infinitif « VERVULLEN ».
Ce verbe « VERVULLEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») ; en effet le radical (première personne du présent), servant à construire le participe passé, se terminera donc par la consonne « D », majoritaire.
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Op dat ogenblik »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « ZE ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « heeft ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « De gouden vlinders », le volume N°22 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1957-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN WIREL BESSY 22 GOUDEN VLINDERS 16D - Rajouté le 19/09/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zijn moeder heeft het eitje, waaruit hij geboren is, op het blad van een brandnetel gelegd » (« Sa mère a déposé = pondu sur une feuille d’ortie l’Å“uf dont il est né »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « gelegd », participe passé construit sur l’infinitif « LEGGEN ».
Ce verbe « LEGGEN » est considéré comme régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « G », on trouvera un « D », majoritaire, à la fin du participe passé.
Le participe passé « gelegd » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« het eitje » et « op het blad van een brandnetel »), à la fin de la phrase.
On trouve aussi, dans la phrase subordonnée, « l’adjectif » « geboren », en fait participe passé (« gebaard »), déformé (à l’usage), construit sur l’infinitif « BAREN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « De gouden vlinders », le volume N°22 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1957-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN WIREL BESSY 22 GOUDEN VLINDERS 16C 15 - Rajouté le 18/09/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De meisjes (Ivy en Witte Veder) wisten van deze zaken niets af tot ze op zekere dag aan Andy uitleg vroegen » (« Les filles ne savaient rien de ces affaires = en la matière jusqu’à ce que, un jour, elles demandèrent une explication à Andy »).
On y trouve notamment la forme verbale « wisten … AF », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « afWETEN », construit sur « WETEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La « particule séparable » « AF » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« van deze zaken »), à la fin de la phrase principale.
On y trouve aussi, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « VROEGEN », O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « VRAGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite d’un montage réalisé par nos soins d’illustrations extraites des pages 16 et 15 dans « De gouden vlinders », le volume N°22 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1957-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN WIREL BESSY 22 GOUDEN VLINDERS 16B - Rajouté le 17/09/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De vlinder heeft een tong, die we hier half opgerold weergeven » (« Le papillon a une langue, que nous rendons = représentons ici à moitié enroulée »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « OPgerold », participe passé (employé comme adjectif attribut) construit sur l’infinitif « OProllen », lui-même construit sur le verbe « ROLLEN ».
Ce verbe « OProllen » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « L », on trouvera un « D », majoritaire, à la fin du participe passé.
Ce verbe «OProllen » est aussi dit « à particule séparable » ; quand il est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGErold ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « De gouden vlinders », le volume N°22 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1957-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN WIREL BESSY 22 GOUDEN VLINDERS 16A - Rajouté le 16/09/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Men kan hem voorbijgaan zonder hem op te merken » (« On peut passer devant lui sans le remarquer »).
La préposition « ZONDER » introduit ici une sorte de phrase subordonnée et engendre un « TE » qui précède (comme en français) l’infinitif « OPMERKEN » mais, comme il s’agit d’un verbe dit « à particule séparable », le « TE » s’intercale entre la particule « OP » et l’infinitif proprement dit « MERKEN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « De gouden vlinders », le volume N°22 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1957-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN WIREL BESSY 22 GOUDEN VLINDERS 15C - Rajouté le 15/09/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ondertussen hebben de meisjes (Ivy en Witte Veder) een prachtige vlinder ontdekt » (« Entretemps, les filles ont découvert un magnifique papillon »).
On y trouve notamment la forme verbale « ONTDEKT », participé passé provenant de l’infinitif « ONTDEKKEN ».
Ce verbe « ONTDEKKEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « ONT- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Signalons dès lors que, si « ONTDEKT » est ici au V.T.T. (ou passé composé), il aurait été écrit de la même façon aux deuxième ou troisième personnes du présent de l’O.T.T. (ou indicatif présent).
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Ondertussen »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de meisjes ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « hebben ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 15 dans « De gouden vlinders », le volume N°22 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1957-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN BESSY 22 GOUDEN VLINDERS 5A - Rajouté le 14/09/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De hond zou de vlinders hebben verjaagd » (« Le chien aurait chassé les papillons »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERjaagd », participe passé construit sur l’infinitif « VERjagen », lui-même construit sur le verbe « JAGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Le participe passé « VERJAAGD », dans cette phrase au conditionnel passé, fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« de vlinders »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « De gouden vlinders », le volume N°22 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1957-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 1 MYSTERIE OP ROZEN - Rajouté le 11/09/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We zijn verloren ! » (« Nous sommes perdus ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERLOREN », participe passé construit sur le verbe « VERLIEZEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit et, dans ce cas, est identique. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 23 et 22 dans « Mysterie op Rozendael », le volume N°1 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 1 MYSTERIE OP ROZEN - Rajouté le 07/09/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maar ik heb me tijdig bedacht ! » (« Mais j’y ai réfléchi à temps ! = Mais je me suis ravisé à temps ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « BEDACHT », participe passé provenant de l’infinitif « BEDENKEN », lui-même construit sur le verbe « DENKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le SINGULIER du prétérit et, dans ce cas, est identique. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 21 dans « Mysterie op Rozendael », le volume N°1 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 1 MYSTERIE OP ROZEN - Rajouté le 06/09/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Bijna lieten jullie me er in lopen ! » (« Vous me laissiez = faisiez presque tomber dedans = dans le piège / Vous avez failli me piéger ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « LIETEN », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « LATEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». « LIETEN » entraîne ici un REJET de « LOPEN », derrière les compléments (« ME » et « ER »), à la fin de la phrase.
Nous pouvons proposer deux explications pour le « IN » (en tant que préposition, il aurait pu être suivi du complément « de VALSTRIK »), qui aurait dû être raccroché au mot devant ou derrière lui.
A première vue, on y trouverait notamment la forme verbale « INlopen », provenant de l’infinitif « INlopen » (verbe dit « à particule séparable »), conjugué lui-même sur « LOPEN » mais, dans ce cas, la particule séparable « IN » aurait dû être collée à l’infinitif proprement dit. On aurait donc dû avoir la variante suivante : « Bijna lieten jullie me er INlopen ! ».
En fait, nous avons plus vraisemblablement affaire à l’adverbe pronominal « erIN ». On aurait en effet pu avoir la variante suivante : « Bijna lieten jullie me erIN lopen ! ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 21 dans « Mysterie op Rozendael », le volume N°1 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 1 MYSTERIE OP ROZEN - Rajouté le 05/09/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een hevig onweer breekt los » (« Un violent orage se déchaîne »).
On y trouve la forme verbale « breekt LOS », provenant de l’infinitif « LOSbreken », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « BREKEN ».
La « particule séparable » « LOS » fait l’objet d’un REJET (derrière le complément éventuel « gedurende die nacht »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 21 dans « Mysterie op Rozendael », le volume N°1 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 1 MYSTERIE OP ROZEN - Rajouté le 04/09/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze reden me in volle vaart voorbij » (« Ils sont passés en roulant à toute vitesse devant moi »).
On y trouve notamment la forme verbale « reden … voorbij », O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « voorbijRIJDEN », dit « à particule séparable », construit lui-même sur le verbe « RIJDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La « particule séparable » « VOORBIJ » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« ME » et « in volle vaart »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 19 dans « Mysterie op Rozendael », le volume N°1 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 1 MYSTERIE OP ROZEN - Rajouté le 03/09/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Deed je dat echt voor mij ? » (« Fis-tu cela vraiment pour moi ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « DEED », O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « DOEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 19 dans « Mysterie op Rozendael », le volume N°1 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 1 MYSTERIE OP ROZEN - Rajouté le 02/09/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik kwam je waarschuwen » (« Je venais t’avertir »).
On y trouve notamment la forme verbale « KWAM », O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « KOMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 19 dans « Mysterie op Rozendael », le volume N°1 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 1 MYSTERIE OP ROZEN - Rajouté le 01/09/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je hebt me reeds belogen ! » (« Tu m’as déjà menti ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « belogen », participe passé provenant de l’infinitif « beliegen », lui-même construit sur le verbe « LIEGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le pluriel du prétérit ou O.V.T. et, dans ce cas-ci, est même identique (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Rappelons en effet que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Le participe passé « belogen » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« ME » et « REEDS »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 19 dans « Mysterie op Rozendael », le volume N°1 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 1 MYSTERIE OP ROZEN - Rajouté le 31/08/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Die vreselijke nacht kon ik met hem vluchten » (« Cette nuit terrible, je pus fuir avec lui »).
On y trouve notamment la forme verbale « KON » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant de l’infinitif « KUNNEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Die vreselijke nacht »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « IK ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « KON ») et passant donc derrière lui.
Rappelons que l’auxiliaire de mode « KUNNEN » exige le REJET de l’infinitif qui le suit (« vluchten »), derrière le complément (« met hem ») à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « Mysterie op Rozendael », le volume N°1 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 1 MYSTERIE OP ROZEN - Rajouté le 30/08/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Mijn neefje werd door de rebellen uit Moldavië verjaagd » (« Mon petit neveu fut chassé de Moldavie par les rebelles »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERjaagd », participe passé construit sur l’infinitif « VERjagen », lui-même construit sur le verbe « JAGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Le participe passé « VERJAAGD » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« door de rebellen » et « uit Moldavië »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « Mysterie op Rozendael », le volume N°1 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 1 MYSTERIE OP ROZEN - Rajouté le 29/08/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Niemand mocht hier ooit komen » (« Personne n’a jamais pu venir ici »).
On y trouve notamment la forme verbale « MOCHT » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant de l’infinitif « MOGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que l’auxiliaire de mode « MOGEN » exige le REJET de l’infinitif qui le suit (« komen »), derrière les compléments (« HIER » et « OOIT ») à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « Mysterie op Rozendael », le volume N°1 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : RODE RIDDER STORY FR 5 - Rajouté le 28/08/2012

Description : Nous publions la traduction française du chapitre 5 de l’admirable étude sous forme d’un "e-book", intitulée DE RODE RIDDER STORY et due à Ivo De Wispelaere, Bert Gevaert et David Steenhuyse. On y parle beaucoup de Karel BIDDELOO, des arts martiaux (utilisés par ninjas et samouraïs), donc de cultures asiatiques comme celles des Japonais, des Chinois, des Khmers et des Hindous ; mais aussi de la libération des mœurs et de mode féminine avec des robes ou jupes, plus ou moins longues.
Une version néerlandophone du livre complet (quelque 176 pages PDF) est téléchargeable GRATUITEMENT à partir de l’adresse INTERNET suivante :
http://www.stripspeciaalzaak.be/Toppers/RodeRidder/RodeRidderStory.htm
La version française des 4 premiers chapitres est également accessible sur notre site.

La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
Nous avons développé une base de données, comprenant des formes verbales relatives aux verbes irréguliers néerlandais dans le contexte d’extraits tant du « RODE RIDDER » que de « BESSY » ou de l’adaptation des romans de « KARL MAY ». Elle est directement accessible à l’adresse INTERNET suivante : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=vandersteen
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1959-2012.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 1 MYSTERIE OP ROZEN - Rajouté le 28/08/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat liep goed af ! » (« Cela s’est bien terminé ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « LIEP … af », O.V.T. (ou prétérit), provenant du verbe « AFlopen », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « LOPEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La « particule séparable » « AF » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« GOED »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 16 et 17 dans « Mysterie op Rozendael », le volume N°1 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 1 MYSTERIE OP ROZEN - Rajouté le 27/08/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Er is brand uitgebroken ! » (« Il y a un incendie éclaté = Un incendie a éclaté = s’est déclaré ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « UITgebroken », participe passé provenant de l’infinitif « UITbreken », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « BREKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « UITbreken » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « uitGEbroken ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « Mysterie op Rozendael », le volume N°1 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 1 MYSTERIE OP ROZEN - Rajouté le 26/08/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik sloot een verdachte kerel in het kippenhok op » (« J’enfermai un type suspect dans le poulailler »).
On y trouve notamment la forme verbale « SLOOT … op », O.V.T. (ou prétérit), provenant du verbe « OPsluiten », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « SLUITEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La « particule séparable » « OP » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« een verdachte kerel » et « in het kippenhok »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 14 et 15 dans « Mysterie op Rozendael », le volume N°1 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 1 MYSTERIE OP ROZEN - Rajouté le 25/08/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zoals ik dus zei … » (« Comme je disais donc … »).
On y trouve notamment la forme verbale « ZEI », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « ZEGGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que, en néerlandais, aucun mot ne peut s’intercaler entre le sujet et la forme verbale conjuguée, aux temps non composés de l’indicatif. Si le « DUS » donne l’impression de s’être intercalé, c’est parce que nous nous trouvons dans une phrase subordonnée introduite par « ZOALS » et qu’il y a REJET du verbe à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 13 et 12 dans « Mysterie op Rozendael », le volume N°1 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 1 MYSTERIE OP ROZEN - Rajouté le 24/08/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maar heb je de vreemdelingen, die je lastigvielen, nog gezien ? » (« Mais as-tu encore vu les étrangers, qui t’importunaient ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « geZIEN », participe passé provenant de l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’infinitif. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (la phrase subordonnée relative « die je lastigvielen » joue ici ce rôle), à la fin de la phrase.
On y trouve aussi la forme verbale « lastigVIELEN », O.V.T. (ou prétérit), provenant du verbe « LASTIGvallen », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « VALLEN » et faisant partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On aurait mieux vu la particule séparable, ici un adjectif, se séparer de la forme verbale si on s’était trouvé dans une phrase principale : « De vreemdelingen vielen je lastig. »
Il faut aussi remarquer que l’expression « lastigvallen », si elle n’est pas connue, peut être comprise si on la scinde en « lastig » (= difficile, pénible, importun) et « vallen ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « Mysterie op Rozendael », le volume N°1 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 1 MYSTERIE OP ROZEN - Rajouté le 22/08/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « In het riet aan de voet van de slottoren duikt een angstwekkende gedaante op » (« Dans les roseaux au pied de la tour du château, surgit une silhouette effrayante »).
On y trouve, à l’indicatif présent, la forme verbale « duikt … OP », provenant de l’infinitif « OPduiken », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « DUIKEN ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« In het riet aan de voet van de slottoren »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « een angstwekkende gedaante ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « duikt ») et passant donc derrière lui.
La « particule séparable » « OP » fait l’objet d’un REJET, à la fin de la phrase et cela aurait été plus évident si on avait eu l’ordre traditionnel des mots dans une phrase affirmative, où on aurait en effet eu « OP » derrière les compléments (« In het riet et « aan de voet van de slottoren ») : « Een angstwekkende gedaante duikt in het riet aan de voet van de slottoren OP. »
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « Mysterie op Rozendael », le volume N°1 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 1 MYSTERIE OP ROZEN - Rajouté le 19/08/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hoe zagen die kerels er uit ? » (« De quoi avaient l’air ces gaillards ?»).
On y trouve notamment la forme verbale « ZAGEN … er UIT», O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « ERUITzien », verbe dit à « particule séparable », lui-même construit sur le verbe « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « ERUITzien » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule séparable « UIT » (et parfois même de tout l’adverbe pronominal « erUIT ») de l’infinitif « ZIEN » proprement dit. On aurait en effet pu avoir : « Ze (die kerels) zagen vreemdelingen erUIT ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 6 et 7 dans « Mysterie op Rozendael », le volume N°1 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 1 MYSTERIE OP ROZEN - Rajouté le 18/08/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Die kerels zwerven hier al een tijd rond ! » (« Ces gaillards vagabondent ici depuis un certain temps déjà ! »).
On y trouve la forme verbale « zwerven … ROND », provenant de l’infinitif « RONDzwerven », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « ZWERVEN ».
La « particule séparable » « ROND » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« HIER » et « al een tijd »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 6 et 7 dans « Mysterie op Rozendael », le volume N°1 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 1 MYSTERIE OP ROZEN - Rajouté le 17/08/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik zag de foto van het kasteel van Rozendael op zijn bureau liggen » (« Je vis la photo du château de Rozendael (couchée) sur son bureau »).
On y trouve notamment la forme verbale « ZAG », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Notez le temps différent de la forme verbale, en néerlandais et en français, pour exprimer la position de la photo sur le bureau.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « Mysterie op Rozendael », le volume N°1 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 1 MYSTERIE OP ROZEN - Rajouté le 16/08/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik wilde bewijzen dat ik tegen die boeven opgewassen ben » (« Je voulais prouver que je fais le poids contre ces malfaiteurs »).
On y trouve notamment forme verbale « opGEwassen », participe passé provenant de l’infinitif « OPwassen », lui-même construit sur le verbe « WASSEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’infinitif. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « Mysterie op Rozendael », le volume N°1 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 1 MYSTERIE OP ROZEN - Rajouté le 15/08/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Geef mijnheer zijn portefeuille terug ! » (« Rends à monsieur son portefeuille ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « geef … TERUG », impératif construit sur le verbe « TERUGgeven » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « GEVEN ».
Quand « TERUGgeven » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERUG » de son infinitif proprement dit, et son REJET, derrière les compléments (« mijnheer » et « zijn portefeuille »), à la fin de la phrase.
Cette particule « TERUG » est très fréquente en néerlandais puisqu’elle correspond au préfixe « RE- » (exemple : RE-donner), rendant la notion de RETOUR (ici au propriétaire).
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « Mysterie op Rozendael », le volume N°1 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 1 MYSTERIE OP ROZEN - Rajouté le 14/08/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De revolutie dwong haar te vluchten » (« La révolution l’obligea à fuir »).
On y trouve notamment la forme verbale « DWONG », O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « DWINGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le verbe « DWINGEN » (équivalant en mauvais français à « obliger DE ») introduit ici une sorte de subordonnée et engendre un « TE » qui précède l’infinitif « VLUCHTEN ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 4 dans « Mysterie op Rozendael », le volume N°1 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 1 MYSTERIE OP ROZEN - Rajouté le 13/08/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Over ons hart ging het wel » (« Il s’agissait bien de notre coeur »).
On y trouve notamment la forme verbale « GING » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant de l’infinitif « GAAN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 4 dans « Mysterie op Rozendael », le volume N°1 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 1 MYSTERIE OP ROZEN - Rajouté le 12/08/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hoe kon je over je (jouw) hart verkrijgen ? » (« Comment pouvais-tu t’y résoudre ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « KON », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif (et « AUXILIAIRE de MODE de la capacité) « KUNNEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
L’infinitif « verkrijgen » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« over jouw hart »), à la fin de la phrase, parce l’auxiliaire de mode « KUNNEN » l’exige.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 4 dans « Mysterie op Rozendael », le volume N°1 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 1 MYSTERIE OP ROZEN - Rajouté le 11/08/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Thuis, leg ik jullie alles uit ! » (« A la maison, je vous explique tout ! »).
On y trouve la forme verbale « leg … UIT », provenant de l’infinitif « UITleggen », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « LEGGEN ».
La « particule séparable » « UIT » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« JULLIE » et « ALLES »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« THUIS »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « IK ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « LEG ») et passant donc derrière lui.
Rappelons que « Thuis » est le résultat de la « compression » de trois mots : la préposition « IN » (qui a disparu), le déterminant défini « heT » (dont seul le « T » a survécu) et du nom commun neutre « HUIS », qui y survit intégralement. Ce complément « Thuis » (« à la maison ») est donc plus que le nom commun « maison » mais peut parfois signifier « chez soi » et, dans ce cas, être assimilé à un nom commun : « mijn thuis » = « mon chez moi ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 3 dans « Mysterie op Rozendael », le volume N°1 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN BIDDELOO SAFARI 11 MET SPEER EN SCHILD - Rajouté le 10/08/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Waarom wordt ons de toegang geweigerd ? » (« Pourquoi nous refuse-t-on I’accès = I’accès nous est-il refusé ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEWEIGERD », participe passé provenant de l’infinitif « WEIGEREN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEWEIGERD » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« ONS » et « DE TOEGANG »), à la fin de la phrase.
Ce verbe « WEIGEREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) ; il ne fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « Met speer en schild », le volume N°11 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN BIDDELOO SAFARI 11 MET SPEER EN SCHILD - Rajouté le 10/08/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Mgono) ging om gastvrijheid verzoeken » (« Il allait solliciter l’hospitalité »).
On y trouve notamment la forme verbale « GING » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant de l’infinitif « GAAN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « Met speer en schild », le volume N°11 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 1 MYSTERIE OP ROZEN - Rajouté le 10/08/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Klamp je vast, jongenS ! » (« Cramponnez-vous ! »).
On y trouve, à l’impératif, la forme verbale « klamp … VAST », provenant du verbe pronominal réfléchi « zich VASTklampen », dit « à particule séparable », construit sur l’infinitif « KLAMPEN ».
La « particule séparable » « VAST » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (« aan de wagen »), à la fin de la phrase. Si on avait eu l’ordre traditionnel des mots dans la phrase à l’O.T.T. (et à la forme polie), on aurait en effet eu : « U klampt u aan de wagen VAST. »
Il y est à noter que si l’on n’avait pas eu le PLURIEL « jongenS », on aurait pu croire que la conductrice s’adressait uniquement à l’un d’eux, en le tutoyant.
En néerlandais, on a de plus en plus tendance à remplacer le pronom personnel « JULLIE » par « JE », correspondant en principe au singulier.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 3 dans « Mysterie op Rozendael », le volume N°1 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 1 MYSTERIE OP ROZEN - Rajouté le 09/08/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Jullie hebben je (jullie) werk goed gedaan » (« Vous avez bien fait votre travail »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEDAAN », participe passé provenant de l’infinitif « DOEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « gedaan » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« je werk » et « goed »), à la fin de la phrase.
En néerlandais, on a de plus en plus tendance à remplacer le déterminant possessif « JULLIE » – ou le déterminant possessif « jouw » – par « JE », correspondant en principe au singulier.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 3 et 2 dans « Mysterie op Rozendael », le volume N°1 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 1 MYSTERIE OP ROZEN - Rajouté le 08/08/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We zijn in een valstrik gelopen » (« Nous avons couru = sommes tombés dans un piège »).
On y trouve notamment la forme verbale « GELOPEN », participe passé provenant de l’infinitif « LOPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’INFINITIF. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « gelopen » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« in een valstrik »), à la fin de la phrase.
Notons aussi que, aux temps composés, les verbes relatifs au MOUVEMENT sont, en néerlandais, accompagnés de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 3 et 2 dans « Mysterie op Rozendael », le volume N°1 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN BIDDELOO SAFARI 23 REGENMAKER 21B - Rajouté le 07/08/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik vergat niet dat je me van de buffel (hebt) gered hebt » (« Je n’oubliais pas que tu m’as sauvé du buffle »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERGAT », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « VERGETEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve aussi le REJET de la forme verbale « GERED », derrière les compléments (« ME » et « van de buffel »), à la fin de la phrase.
Si on avait eu l’infinitif « REDDEN » à l’O.V.T. (ou prétérit), on aurait eu la forme verbale « redDE » à l’O.V.T. Ce verbe est également considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent : « RED ») se terminant par la consonne « D », on trouvera le « D » majoritaire au participe passé (« GERED ») et la terminaison « -DE » au singulier du prétérit : « RED » + « DE » => « redDE » (« Je redDE me van de buffel »).
La forme verbale de « REDDEN » au participe passé (V.T.T.) est donc également construite sur son radical (première personne du présent : « RED »), augmentée du préfixe « GE- », commun à la majorité des participes passés néerlandais. On devrait y rajouter la terminaison « D » majoritaire au participe passé mais, dans la mesure où le radical se termine déjà par un « D », on ne le rajoute pas au V.T.T.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 21 et 5 dans « De regenmaker », le volume N°23 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1974-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN BIDDELOO SAFARI 23 REGENMAKER 21A - Rajouté le 07/08/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Limba) droeg je niet in zijn hart ! » (« Il ne te portait pas dans son coeur »).
On y trouve notamment la forme verbale « DROEG », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « DRAGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si le sujet d’une phrase est un nom propre (par exemple, un prénom), on se trouve en principe à la 3ème personne du singulier (ou du pluriel). Le sujet parle de lui à la troisième personne du singulier mais cela ne change rien à la terminaison de cette forme verbale au prétérit, puisque tout le singulier du prétérit est identique. S’il s’était exprimé à la première personne du singulier, aurait eu : « Ik DROEG je niet in MIJN hart ! »
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 21 et 5 dans « De regenmaker », le volume N°23 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1974-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 1 MYSTERIE OP ROZEN - Rajouté le 07/08/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Houdt hen aan ! » (« Arrêtez-les ! »).
On y trouve, à l’impératif, la forme verbale « houdt … AAN », provenant de l’infinitif « AANhouden », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « HOUDEN ».
La « particule séparable » « AAN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« HEN »), à la fin de la phrase. Si on avait eu l’ordre traditionnel des mots dans la phrase à l’O.T.T. (et à la forme polie), on aurait en effet eu : « U houdt hen AAN. »
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 3 et 2 dans « Mysterie op Rozendael », le volume N°1 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 1 MYSTERIE OP ROZEN - Rajouté le 05/08/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het (dat liedje) moet minstens wat hoger (worden) gezongen worden » (« Cela doit au moins être chanté un peu plus haut = plus fort »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEZONGEN », participe passé provenant de l’infinitif « ZINGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le pluriel du prétérit ou O.V.T. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « gezongen » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« wat hoger »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est aussi à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
N’oublions pas que, si le verbe principal d’une phrase est l’auxiliaire de mode (de l’obligation) « MOETEN », ce dernier exige le « REJET » de l’infinitif éventuel qui le suit (« WORDEN »), derrière le complément (« wat hoger »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 2 et 1 dans « Mysterie op Rozendael », le volume N°1 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN BIDDELOO SAFARI 7 WITTE GIRAF 13A - Rajouté le 04/08/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het genezen van hartkwalen » (« La guérison d’affections cardiaques »).
Rappelons qu’il est possible, notamment en langue néerlandaise, de construire un nom commun directement à partir d’un infinitif.
Les apprenants ne disposant pas encore d’un large éventail de vocabulaire, peuvent transformer un infinitif (« GENEZEN ») en un nom commun NEUTRE : « HET genezen ».
Par ailleurs, la langue néerlandaise aime bien les noms composés. Dans le cas d’un double nom commun, le DEUXIEME est hiérarchiquement plus important puisque c’est lui qui détermine si le nom composé sera du genre « DE-woord » (masculin ou féminin : « DE kwaal », au singulier) ou « HET-woord » (neutre). Le premier de ces mots (ici « HART ») peut jouer le rôle d’un adjectif, hiérarchiquement moins important.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 13 dans « De witte giraf », le volume N°7 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN BIDDELOO SAFARI 7 WITTE GIRAF 9A - Rajouté le 04/08/2012

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Nooit worden de gevaarlijke hoeven gebruikt maar hij heeft de hengst onderschat » (« Jamais les dangereux sabots ne sont utilisés mais il a sous-estimé l’étalon = le mâle »).
On y trouve notamment, dans la première phrase, la forme verbale « GEBRUIKT », participe passé provenant de l’infinitif « GEBRUIKEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence déjà par le préfixe « GE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Ce verbe « GEBRUIKEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est donc pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Le participe passé « GEBRUIKT » fait l’objet en néerlandais d’un REJET, derrière le complément, à la fin de la phrase, ce qui n’apparaît pas de façon évidente ici. Si on avait eu les mots dans une phrase affirmative, cela l’aurait été davantage : « De gevaarlijke hoeven worden nooit gebruikt », où « NOOIT » est bien le complément.
La phrase commençant par un complément (« NOOIT »), il doit y avoir INVERSION et le sujet (« de gevaarlijke hoeven ») se trouve derrière le verbe « WORDEN ».
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
On y trouve aussi, dans la deuxième phrase, la forme verbale « ONDERSCHAT », participe passé provenant de l’infinitif « ONDERSCHATTEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence déjà par le préfixe « ONDER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Ce verbe « ONDERSCHATTEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est donc pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire) ... mais, comme il est déjà présent, on n’en rajoute pas un deuxième (au V.T.T. mais bien à l’O.V.T. !).
Le participe passé « ONDERSCHAT » fait l’objet en néerlandais d’un REJET, derrière le complément (« de hengst »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De witte giraf », le volume N°7 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN BIDDELOO SAFARI 7 WITTE GIRAF 4B - Rajouté le 04/08/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het getroffen dier slaapt niet » (« L’animal touché ne dort pas »).
On y trouve notamment la forme verbale « GETROFFEN », participe passé (utilisé ici comme adjectif épithète) provenant de l’infinitif « TREFFEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 4 dans « De witte giraf », le volume N°7 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN BIDDELOO SAFARI 7 WITTE GIRAF 4A - Rajouté le 04/08/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Met een klassieke kruisboog wordt een capsule geschoten » (« Avec une arbalète classique, une capsule est tirée »).
On y trouve notamment la forme verbale « GESCHOTEN », participe passé provenant de l’infinitif « SCHIETEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « GESCHOTEN » fait l’objet en néerlandais d’un REJET, derrière le complément, à la fin de la phrase, ce qui n’apparaît pas de façon évidente ici. Si on avait eu les mots dans une phrase affirmative, cela l’aurait été davantage : « Een capsule wordt met een klassieke kruisboog geschoten », où « met een klassieke kruisboog » est bien le complément.
La phrase commençant par le complément, il doit y avoir INVERSION et le sujet (« een capsule ») se trouve derrière le verbe « WORDT ».
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 4 dans « De witte giraf », le volume N°7 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN BIDDELOO SAFARI 7 WITTE GIRAF 1B - Rajouté le 04/08/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De komst van die wagen heeft hen verjaagd » (« L’arrivée de cette voiture les a chassées »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERjaagd », participe passé construit sur l’infinitif « VERjagen », lui-même construit sur le verbe « JAGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 1 dans « De witte giraf », le volume N°7 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN BIDDELOO SAFARI 7 WITTE GIRAF 1A - Rajouté le 04/08/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zouden ze ons (hebben) gezien hebben ? » (« Nous auraient-elles vus ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « geZIEN », participe passé provenant de l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’infinitif. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Rappelons que, aux temps composés (ici, conditionnel passé), le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « ONS »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « SAFARI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 1 dans « De witte giraf », le volume N°7 de la série « SAFARI ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 1 MYSTERIE OP ROZEN - Rajouté le 04/08/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat liedje gaat niet op » (« Cette chanson ne s’élève pas = n’a pas assez de portée »).
On y trouve la forme verbale « gaat … OP », provenant de l’infinitif « OPgaan », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « GAAN ».
La « particule séparable » « OP » fait l’objet d’un REJET (par exemple, derrière un complément « genoeg »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 2 et 1 dans « Mysterie op Rozendael », le volume N°1 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 1 MYSTERIE OP ROZEN - Rajouté le 03/08/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We zullen met open armen (worden) ontvangen worden » (« Nous serons = allons être accueillis à bras ouverts »).
On y trouve notamment la forme verbale « ONTvangen », participe passé (utilisé à une sorte de futur antérieur) provenant de l’infinitif « ONTvangen », lui-même construit sur l’infinitif « VANGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « ONT- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Identique donc à son infinitif, le participe passé « ONTvangen » fait l’objet d’un REJET, derrière le « complément » (« met open armen »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 2 et 1 dans « Mysterie op Rozendael », le volume N°1 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 1 MYSTERIE OP ROZEN - Rajouté le 02/08/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij zag er royaal uit » (« Elle avait l’air royale »).
On y trouve notamment la forme verbale « ZAG er … UIT», O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « ERUITzien », verbe dit à « particule séparable », lui-même construit sur le verbe « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « ERUITzien » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule séparable « UIT » (et parfois même de tout l’adverbe pronominal « erUIT ») de l’infinitif « ZIEN » proprement dit. On aurait en effet pu avoir la variante suivante : « Zij zag royaal erUIT ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 1 dans « Mysterie op Rozendael », le volume N°1 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 1 MYSTERIE OP ROZEN - Rajouté le 01/08/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het krediet werd nog niet uitgevonden » (« Le crédit n’a pas encore été inventé »).
On y trouve notamment la forme verbale « UITgevonden », participe passé provenant de l’infinitif « UITvinden », lui-même construit sur l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « UITvinden » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « uitGEvonden ».
Le participe passé « UITgevonden » fait l’objet d’un REJET, derrière le « complément » (« NOG »), à la fin de la phrase.
Ce participe passé « GEVONDEN » est construit sur le pluriel du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 1 dans « Mysterie op Rozendael », le volume N°1 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 1 MYSTERIE OP ROZEN - Rajouté le 31/07/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Begrepen, o dame in grote nood » (« Compris, ô dame en grande détresse »).
On y trouve notamment la forme verbale « begrepen », participe passé provenant de l’infinitif « begrijpen », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Même s’il est apparemment le seul mot d’une phrase qui s’arrête à la virgule, le participe passé « begrepen » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément sous-entendu (« U »), à la fin de la phrase : « Ik heb U begrepen ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le pluriel du prétérit ou O.V.T. et, dans ce cas-ci, est même identique (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Rappelons en effet que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 1 dans « Mysterie op Rozendael », le volume N°1 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 1 MYSTERIE OP ROZEN - Rajouté le 30/07/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik ben in een greppel gereden » (« J’ai roulé dans un fossé »).
On y trouve notamment la forme verbale « gereden », participe passé provenant de l’infinitif « rijden », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « gereden » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« in een greppel »), à la fin de la phrase.
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le pluriel du prétérit ou O.V.T. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Notons aussi que, aux temps composés, les verbes relatifs au MOUVEMENT sont, en néerlandais, accompagnés de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 1 dans « Mysterie op Rozendael », le volume N°1 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN ROBERT EN BERTRAND 1 MYSTERIE OP ROZEN - Rajouté le 29/07/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Pak aan ! » (« Attrape ! »).
On y trouve, à l’impératif, la forme verbale « pak AAN », provenant de l’infinitif « AANpakken », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « PAKKEN ».
La « particule séparable » « AAN » aurait fait l’objet d’un REJET (par exemple, derrière le complément « de vis »), à la fin de la phrase. Si on avait eu l’ordre traditionnel des mots dans la phrase à l’O.T.T., on aurait en effet eu : « Je pakt de vis AAN. »
La version néerlandophone de « ROBERT en BERTRAND », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 1 dans « Mysterie op Rozendael », le volume N°1 de la série « ROBERT en BERTRAND ».
Willy VANDERSTEEN, dessinateur, et Ronald Grossey, scénariste, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1973-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 38 VERZONKEN KLOK 34C - Rajouté le 28/07/2012

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We hangen een verhaal op van een waterduivel die we (hebben) verslagen hebben » (« Nous racontons un récit d’un diable d’eau, que nous avons vaincu »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « VERSLAGEN », participe passé provenant de l’infinitif « VERSLAAN », lui-même construit sur l’infinitif « SLAAN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons aussi que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Ce participe passé « VERSLAGEN » fait l’objet d’un REJET, derrière un complément éventuel (par exemple « SAMEN »), à la fin de la phrase subordonnée.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 34 dans « De verzonken klok », le volume N°38 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1968-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : on retrouve les thèmes de la « verzonken klok » ou « gezonken klok » et du « waterduivel » (ou « protée belge ») dans le folklore belge (plusieurs documents sur le site www.idesetautres.be ) et il a été notamment repris par Roberto J. PAYRO (pages 57 et pages 41 à 52 du Diable en Belgique, IEA3637).

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 38 VERZONKEN KLOK 5D - Rajouté le 28/07/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Eenmaal klonk de bronzen stem » (« La voix de bronze résonna une fois »).
On y trouve la forme verbale « KLONK », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « KLINKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Eenmaal »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de bronzen stem ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « klonk ») et passant donc derrière lui.
Rappelons aussi que, lorsque on fait, en néerlandais, jouer à une matière (bronze, laine, etc.) le rôle d’un adjectif épithète (EN bronze, EN laine, etc.), on trouve une terminaison exceptionnelle : « -EN ». C’est le cas de « bronzEN ». Un moyen mnémotechnique pour retenir cette anomalie : le francophone peut se dire que le « EN », qui précède le nom commun français, se colle à la FIN du nom commun néerlandais.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « De verzonken klok », le volume N°38 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1968-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : on retrouve les thèmes de la « verzonken klok » ou « gezonken klok » et du « waterduivel » (ou « protée belge ») dans le folklore belge (plusieurs documents sur le site www.idesetautres.be ) et il a été notamment repris par Roberto J. PAYRO (pages 57 et pages 41 à 52 du Diable en Belgique, IEA3637).

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 38 VERZONKEN KLOK 34B - Rajouté le 27/07/2012

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We hangen een verhaal op van een waterduivel die we (hebben) verslagen hebben » (« Nous racontons un récit d’un diable d’eau, que nous avons vaincu »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « HANGEN … OP », O.T.T. (présent) provenant de l’infinitif « OPhangen », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « HANGEN ».
Quand « OPhangen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « OP » étant affectée par un REJET, derrière le complément (ici, « een verhaal »), à la fin de la phrase principale.
L’on nous dira qu’il aurait fallu que la particule « OP » soit également affectée par un REJET, derrière le complément « van een waterduivel » ; cela aurait été le cas si « waterduivel » n’avait pas engendré une phrase subordonnée relative : « We hangen een verhaal van een waterduivel OP ».
Dans la mesure donc où le pronom relatif « DIE » doit suivre directement le substantif « waterduivel », ce REJET n’était plus prioritaire.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 34 dans « De verzonken klok », le volume N°38 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1968-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : on retrouve les thèmes de la « verzonken klok » ou « gezonken klok » et du « waterduivel » (ou « protée belge ») dans le folklore belge (plusieurs documents sur le site www.idesetautres.be ) et il a été notamment repris par Roberto J. PAYRO (pages 57 et pages 41 à 52 du Diable en Belgique, IEA3637).

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 38 VERZONKEN KLOK 34A - Rajouté le 26/07/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Denk aan haar voor wie hij dit alles deed ! » (« Pense à elle pour qui il fit tout ceci ! »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « DEED », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « DOEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La forme verbale « DEED » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« DIT » et « ALLES »), à la fin de la phrase subordonnée (introduite par « VOOR WIE »).
Si cette forme verbale s’était trouvée dans le contexte d’une phrase « normale », on aurait eu : « hij deed dit alles voor HAAR ». Et s’il s’était agi de quelqu’un de masculin au lieu de quelqu’un de féminin, on aurait eu : « hij deed dit alles voor HEM ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 34 dans « De verzonken klok », le volume N°38 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1968-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : on retrouve les thèmes de la « verzonken klok » ou « gezonken klok » et du « waterduivel » (ou « protée belge ») dans le folklore belge (plusieurs documents sur le site www.idesetautres.be ) et il a été notamment repris par Roberto J. PAYRO (pages 57 et pages 41 à 52 du Diable en Belgique, IEA3637).

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 38 VERZONKEN KLOK 33A - Rajouté le 22/07/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Cunhard) raakt bedolven onder neerstortende balken » (« Il est enseveli sous des poutres s’écroulant = qui s’écroulent »).
On y trouve notamment la forme verbale « BEDOLVEN », participe passé provenant du verbe « BEDELVEN », construit sur l’infinitif « DELVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Le participe passé « beDOLVEN » aurait pu / dû faire l’objet d’un REJET, derrière le complément (« onder neerstortende balken »), à la fin de la phrase.
Cette phrase peut être considérée comme étant à la voix passive mais, au lieu de recourir à l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » (en lieu et place de l’auxiliaire « ZIJN »), cet auxiliaire « WORDEN » est lui-même remplacé par « (ge)RAKEN ».
N’oublions pas non plus que le participe présent en néerlandais se construit en ajoutant simplement un « D » à l’infinitif : « neerSTORTEN » => « neerstortenD ». Ici, ce participe présent est utilisé comme adjectif épithète, se place donc devant le nom et, pour s’accorder, prend la terminaison majoritaire « E » => « neerstortendE balken ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 33 dans « De verzonken klok », le volume N°38 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1968-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : on retrouve les thèmes de la « verzonken klok » ou « gezonken klok » et du « waterduivel » (ou « protée belge ») dans le folklore belge (plusieurs documents sur le site www.idesetautres.be ) et il a été notamment repris par Roberto J. PAYRO (pages 57 et pages 41 à 52 du Diable en Belgique, IEA3637).

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 38 VERZONKEN KLOK 31A - Rajouté le 21/07/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij (Yngran) alleen hield van mij » (« Elle seule tenait à moi = m’aimait »).
On y trouve notamment la forme verbale « HIELD », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « HOUDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que l’infinitif « HOUDEN » signifie « TENIR » ; suivi de la préposition « VAN », cet infinitif « HOUDEN » signifie « TENIR à » ; il n’y a qu’un pas de « tenir à quelqu’un » à « aimer quelqu’un », pas que nous franchissons pour aider les apprenants à ne plus oublier ces deux mots de vocabulaire.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 31 dans « De verzonken klok », le volume N°38 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1968-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : on retrouve les thèmes de la « verzonken klok » ou « gezonken klok » et du « waterduivel » (ou « protée belge ») dans le folklore belge (plusieurs documents sur le site www.idesetautres.be ) et il a été notamment repris par Roberto J. PAYRO (pages 57 et pages 41 à 52 du Diable en Belgique, IEA3637).

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 38 VERZONKEN KLOK 30B - Rajouté le 20/07/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze hebben hem uitgelachen … uitgestoten » (« Ils se sont moqués de lui … l’ont expulsé »).
On y trouve notamment la forme verbale « UITgelachen », participe passé provenant de l’infinitif « UITlachen », lui-même construit sur l’infinitif « LACHEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « UITlachen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « uitGElachen ».
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « HEM »), à la fin de la phrase.
On y trouve notamment la forme verbale « UITgestoten », participe passé provenant de l’infinitif « UITstoten », lui-même construit sur l’infinitif « STOTEN », qui NE fait PAS (toujours) l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « UITstoten » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « uitGEstoten ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 30 dans « De verzonken klok », le volume N°38 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1968-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : on retrouve les thèmes de la « verzonken klok » ou « gezonken klok » et du « waterduivel » (ou « protée belge ») dans le folklore belge (plusieurs documents sur le site www.idesetautres.be ) et il a été notamment repris par Roberto J. PAYRO (pages 57 et pages 41 à 52 du Diable en Belgique, IEA3637).

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 38 VERZONKEN KLOK 30A - Rajouté le 19/07/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Jij weet niet wat zijn broers hem aandeden ! » (« Tu ne sais pas ce que ses frères lui ont fait ! »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « aanDEDEN », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « aanDOEN », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « DOEN » qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La forme verbale « aanDEDEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« HEM »), à la fin de la phrase subordonnée (introduite par « WAT »).
Si cette forme verbale s’était trouvée dans le contexte d’une phrase « normale », on aurait eu : « zijn broers deden hem (iets) AAN » (avec REJET de la particule séparable « AAN » à la fin de cette phrase).
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 30 dans « De verzonken klok », le volume N°38 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1968-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : on retrouve les thèmes de la « verzonken klok » ou « gezonken klok » et du « waterduivel » (ou « protée belge ») dans le folklore belge (plusieurs documents sur le site www.idesetautres.be ) et il a été notamment repris par Roberto J. PAYRO (pages 57 et pages 41 à 52 du Diable en Belgique, IEA3637).

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 38 VERZONKEN KLOK 29A - Rajouté le 18/07/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ook zij zal (worden) gewroken worden ! » (« Elle aussi sera vengée ! »).
On y trouve la forme verbale « GEWROKEN », participe passé provenant de l’infinitif « WREKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEWROKEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (par exemple « door mij »), à la fin de la première phrase.
On remarquera que « OOK » - bien que jouant le rôle d’un complément débutant une phrase -, n’exige PAS une INVERSION, sinon le sujet (« ZIJ ») serait passé derrière la forme verbale « ZAL » (singulier à l’O.T.T. de l’auxiliaire du futur).
L’auxiliaire « WORDEN » fait, lui, également l’objet d’un REJET, à la fin de la phrase, exigé par l’auxiliaire du futur « ZULLEN ». Notez que l’on aurait pu avoir les deux formes verbales rejetées dans l’ordre inverse : « Ook zij zal WORDEN gewroken ! ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 29 dans « De verzonken klok », le volume N°38 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1968-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : on retrouve les thèmes de la « verzonken klok » ou « gezonken klok » et du « waterduivel » (ou « protée belge ») dans le folklore belge (plusieurs documents sur le site www.idesetautres.be ) et il a été notamment repris par Roberto J. PAYRO (pages 57 et pages 41 à 52 du Diable en Belgique, IEA3637).

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 38 VERZONKEN KLOK 28D - Rajouté le 17/07/2012

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wie heeft je mijn schuilplaats verraden ? » (« Qui t’a révélé ma cachette ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERRADEN », participe passé provenant de l’infinitif « VERRADEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé « VERRADEN » se construit sur l’infinitif. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Rappelons aussi que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Ce participe passé « VERRADEN » est dès lors identique à son infinitif « VERRADEN ».
Ce participe passé « VERRADEN » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« JE » et « mijn schuilplaats »), à la fin de la première phrase.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « De verzonken klok », le volume N°38 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1968-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : on retrouve les thèmes de la « verzonken klok » ou « gezonken klok » et du « waterduivel » (ou « protée belge ») dans le folklore belge (plusieurs documents sur le site www.idesetautres.be ) et il a été notamment repris par Roberto J. PAYRO (pages 57 et pages 41 à 52 du Diable en Belgique, IEA3637).

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 38 VERZONKEN KLOK 28C - Rajouté le 16/07/2012

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dit hol moet onder het meer gelegen zijn ! » (« Cette tanière doit être située sous le lac ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « GELEGEN », participe passé provenant de l’infinitif « LIGGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GELEGEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« onder het meer »), à la fin de la première phrase.
L’auxiliaire « ZIJN » fait, lui, également l’objet d’un REJET, derrière le complément (« onder het meer »), à la fin de la phrase, exigé par l’auxiliaire de mode « MOETEN ». Notez que l’on aurait pu avoir les deux formes verbales rejetées dans l’ordre inverse : « Dit hol moet onder het meer ZIJN gelegen ! ».
« hol » est évidemment un substantif NEUTRE puisque « diT » provient de « heT », mot spécifique du NEUTRE singulier (déterminant défini ou pronom personnel sujet).
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « De verzonken klok », le volume N°38 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1968-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : on retrouve les thèmes de la « verzonken klok » ou « gezonken klok » et du « waterduivel » (ou « protée belge ») dans le folklore belge (plusieurs documents sur le site www.idesetautres.be ) et il a été notamment repris par Roberto J. PAYRO (pages 57 et pages 41 à 52 du Diable en Belgique, IEA3637).

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 38 VERZONKEN KLOK 28B - Rajouté le 15/07/2012

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Johan) wordt stevig gebonden en door de waterduivel weggedragen » (« Il est solidement attaché et emporté par le diable d’eau »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEBONDEN », participe passé provenant de l’infinitif « BINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « GEBONDEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« stevig »), à la fin de la première phrase.
Cette première phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
On y trouve également la forme verbale « WEGgedragen », V.T.T. (ou participe passé) provenant de l’infinitif « WEGdragen », lui-même construit sur le verbe « DRAGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé « GEDRAGEN » se construit sur l’infinitif. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « wegGEDRAGEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« door de waterduivel »), à la fin de la seconde phrase.
Cette seconde phrase est également à la voix passive, même si l’auxiliaire « WORDEN », sous-entendu, n’est pas répété.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « De verzonken klok », le volume N°38 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1968-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : on retrouve les thèmes de la « verzonken klok » ou « gezonken klok » et du « waterduivel » (ou « protée belge ») dans le folklore belge (plusieurs documents sur le site www.idesetautres.be ) et il a été notamment repris par Roberto J. PAYRO (pages 57 et pages 41 à 52 du Diable en Belgique, IEA3637).

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 38 VERZONKEN KLOK 28A - Rajouté le 14/07/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Johan) wordt onder het puin bedolven » (« Il est enseveli sous les gravats »).
On y trouve notamment la forme verbale « BEDOLVEN », participe passé provenant du verbe « BEDELVEN », construit sur l’infinitif « DELVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Le participe passé « beDOLVEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« onder het puin »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « De verzonken klok », le volume N°38 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1968-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : on retrouve les thèmes de la « verzonken klok » ou « gezonken klok » et du « waterduivel » (ou « protée belge ») dans le folklore belge (plusieurs documents sur le site www.idesetautres.be ) et il a été notamment repris par Roberto J. PAYRO (pages 57 et pages 41 à 52 du Diable en Belgique, IEA3637).

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 38 VERZONKEN KLOK 26A - Rajouté le 13/07/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « U komt als (ik U heb) geroepen ! » (« Vous venez comme je vous ai appelé ! »).
On y trouve notamment, dans une phrase subordonnée (en grande partie sous-entendue) la forme verbale « GEROEPEN », participe passé provenant de l’infinitif « ROEPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce participe passé « geROEPEN » est construit sur l’INFINITIF. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 26 dans « De verzonken klok », le volume N°38 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1968-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : on retrouve les thèmes de la « verzonken klok » ou « gezonken klok » et du « waterduivel » (ou « protée belge ») dans le folklore belge (plusieurs documents sur le site www.idesetautres.be ) et il a été notamment repris par Roberto J. PAYRO (pages 57 et pages 41 à 52 du Diable en Belgique, IEA3637).

Nom : JEFF BROECKX DAG EN HEIDI 14 HOVAARDIGE DEN 11A - Rajouté le 12/07/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ten slotte breekt de vooravond van het feest aan » (« Finalement, point = survient la veille de la fête »).
On y trouve notamment la forme verbale « breekt … AAN », O.T.T. (ou indicatif présent) provenant du verbe « AANbreken », construit sur l’infinitif « BREKEN ».
La particule « AAN » est affectée par le phénomène du « REJET », derrière le complément (« van het feest »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Ten slotte »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de vooravond ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « breekt ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « DAG EN HEIDI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « De hovaardige den », le volume N°14 de la série « DAG EN HEIDI ».
Jeff BROECKX, dessinateur, et M. DEWINTER, scénariste, ainsi que Willy VANDERSTEEN se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1985-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : JEFF BROECKX DAG EN HEIDI 14 HOVAARDIGE DEN 10B - Rajouté le 12/07/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Iedereen is uitgenodigd » (« Chacun est invité »).
On y trouve la forme verbale « UITgenodigd », participe passé provenant de l’infinitif « UITnodigen », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « NODIGEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Mais ce verbe « UITnodigen » est considéré comme « régulier » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP ». Quand « « UITnodigen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux et, le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « G », on trouvera, bien sûr, le « D » majoritaire : « UIT » + « GE » + « nodig » + « D » => « uitGEnodigD ».
La version néerlandophone de « DAG EN HEIDI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 10 dans « De hovaardige den », le volume N°14 de la série « DAG EN HEIDI ».
Jeff BROECKX, dessinateur, et M. DEWINTER, scénariste, ainsi que Willy VANDERSTEEN se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1985-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : JEFF BROECKX DAG EN HEIDI 14 HOOVARDIGE DEN 10A - Rajouté le 12/07/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « In het bos zijn de voorbereidingen voor het nachtelijke feest aan de gang » (« Dans le bois, les préparatifs pour la fête nocturne sont en chemin = en cours »).
On y trouve notamment l’expression « AAN de gang ZIJN ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« In het bos »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de voorbereidingen ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « ZIJN ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « DAG EN HEIDI », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 10 dans « De hovaardige den », le volume N°14 de la série « DAG EN HEIDI ».
Jeff BROECKX, dessinateur, et M. DEWINTER, scénariste, ainsi que Willy VANDERSTEEN se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1985-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 38 VERZONKEN KLOK 26B - Rajouté le 12/07/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik nam de bezittingen (…) mee » (« J’emportai les biens »).
On y trouve notamment la forme verbale « NAM … MEE », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « meeNEMEN », dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « NEMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La particule séparable « MEE » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément « de bezittingen », à la fin de la phrase.
Rappelons que la particule « MEE » provient de la préposition « MET ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 26 dans « De verzonken klok », le volume N°38 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1968-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : on retrouve les thèmes de la « verzonken klok » ou « gezonken klok » et du « waterduivel » (ou « protée belge ») dans le folklore belge (plusieurs documents sur le site www.idesetautres.be ) et il a été notamment repris par Roberto J. PAYRO (pages 57 et pages 41 à 52 du Diable en Belgique, IEA3637).

Nom : BIDDELOO RODE RIDDER 109 LEEUW VAN VLAANDEREN 33A - Rajouté le 11/07/2012

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Begeesterd door het optreden van de Gulden Ridder, werpen de Vlamingen zich met hernieuwde moed op hun vijanden » (« Enthousiasmés par l’intervention du Chevalier en or, les Flamands se jettent à nouveau sur leurs ennemis, avec un courage revitalisé = redoublant de courage »).
On y trouve notamment la forme verbale « begeesterd », participe passé (utilisé comme « adjectif ») provenant de l’infinitif « BEGEESTEREN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « BEGEESTEREN » est donc considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant déjà par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire au participe passé.
Rappelons également que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément – la phrase « subordonnée » joue ici ce rôle (« Begeesterd door het optreden van de Gulden Ridder ») –, on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de Vlamingen ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « werpen ») et passant donc derrière lui.
Rappelons que, si l’on ne connaît pas un substantif néerlandais, on peut transformer l’infinitif qui fait partie du même champ thématique) en nom : pour ce faire, il suffit de le faire précéder de « HET », le déterminant défini du NEUTRE singulier => « HET optreden ».
Signalons enfin que « HERnieuwD », participe passé (utilisé ici comme adjectif épithète) provient de l’infinitif « HERnieuwen », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons également que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « HER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 33 dans « De leeuw van Vlaanderen », le volume N°109 de la série « DE RODE RIDDER ».
Karel BIDDELOO, dessinateur et scénariste, et Willy VANDERSTEEN se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1984-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : « Johan apparaît ici dans le récit DE LEEUW VAN VLAANDEREN écrit par le Flamand Hendrik Conscience. Ce livre fut publié en 1838 et reprend une version fortement romancée du préambule à la Bataille des Eperons d’or du 11 juillet 1302 » (cf. « Rode Ridder Story », chapitre 4, page 23, disponible sur ce site à l’adresse : http://www.idesetautres.be/upload/Rode%20Ridder%20Story%20FR%204.pdf). Il faut regarder l’adaptation cinématographique de 1984. Cet hommage devait être rendu à l’occasion de ce 710ème anniversaire en 2012.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 38 VERZONKEN KLOK 26C - Rajouté le 11/07/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Enkele dagen geleden vond ik tussen haar spullen een perkament (…) » (« Il y a quelques jours, j’ai trouvé parmi ses affaires un parchemin »).
On y trouve notamment la forme verbale « VOND », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Enkele dagen geleden »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « IK ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « VOND ») et passant donc derrière lui.
On y trouve aussi, dans le complément de TEMPS, la forme verbale « GELEDEN », participe passé provenant de l’infinitif « LIJDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Elle y a une signification qui s’est éloignée de cet infinitif.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 26 dans « De verzonken klok », le volume N°38 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1968-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : on retrouve les thèmes de la « verzonken klok » ou « gezonken klok » et du « waterduivel » (ou « protée belge ») dans le folklore belge (plusieurs documents sur le site www.idesetautres.be ) et il a été notamment repris par Roberto J. PAYRO (pages 57 et pages 41 à 52 du Diable en Belgique, IEA3637).

Nom : BIDDELOO RODE RIDDER 109 LEEUW VAN VLAANDEREN 32C - Rajouté le 10/07/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Spoorslags komt een ruiter naderbij » (« A bride abattue = à toute allure, un cavalier se rapproche »).
On y trouve notamment la forme verbale « komt … NADERBIJ », indicatif présent provenant de l’expression à l’infinitif « NADERBIJ komen » … en 2 (deux) mots.
« NADERBIJ » réagit comme une « particule séparable » et, étant affectée par le phénomène du « REJET », passe derrière le complément éventuel (par exemple « op de weg »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Spoorslags »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « een ruiter ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « komt ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 32 dans « De leeuw van Vlaanderen », le volume N°109 de la série « DE RODE RIDDER ».
Karel BIDDELOO, dessinateur et scénariste, et Willy VANDERSTEEN se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1984-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : « Johan apparaît ici dans le récit DE LEEUW VAN VLAANDEREN écrit par le Flamand Hendrik Conscience. Ce livre fut publié en 1838 et reprend une version fortement romancée du préambule à la Bataille des Eperons d’or du 11 juillet 1302 » (cf. « Rode Ridder Story », chapitre 4, page 23, disponible sur ce site à l’adresse : http://www.idesetautres.be/upload/Rode%20Ridder%20Story%20FR%204.pdf). Il faut regarder l’adaptation cinématographique de 1984. Cet hommage devait être rendu à l’occasion de ce 710ème anniversaire en 2012.

Nom : BIDDELOO RODE RIDDER 109 LEEUW VAN VLAANDEREN 32B - Rajouté le 10/07/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zijn broer wordt neergeveld » (« Son frère est abattu »).
On y trouve notamment la forme verbale « NEERgeveld », participe passé provenant de l’infinitif « NEERvellen » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « VELLEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « VELLEN » est donc considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant déjà par la consonne « D », on trouvera le « D » majoritaire au participe passé.
Quand « NEERvellen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « NEER » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « neerGEveld ».
Rappelons aussi que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (par exemple « door de Vlamingen »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 32 dans « De leeuw van Vlaanderen », le volume N°109 de la série « DE RODE RIDDER ».
Karel BIDDELOO, dessinateur et scénariste, et Willy VANDERSTEEN se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1984-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : « Johan apparaît ici dans le récit DE LEEUW VAN VLAANDEREN écrit par le Flamand Hendrik Conscience. Ce livre fut publié en 1838 et reprend une version fortement romancée du préambule à la Bataille des Eperons d’or du 11 juillet 1302 » (cf. « Rode Ridder Story », chapitre 4, page 23, disponible sur ce site à l’adresse : http://www.idesetautres.be/upload/Rode%20Ridder%20Story%20FR%204.pdf). Il faut regarder l’adaptation cinématographique de 1984. Cet hommage devait être rendu à l’occasion de ce 710ème anniversaire en 2012.

Nom : BIDDELOO RODE RIDDER 109 LEEUW VAN VLAANDEREN 32A - Rajouté le 10/07/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Landvoogd de Châtillon wordt onder de paardehoeven vertrappeld = vertrapt » (« Le gouverneur de Châtillon est piétiné sous les sabots des chevaux »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERtrappeld », participe passé provenant de l’infinitif « VERtrappelen » (qui n’existe plus), lui-même construit sur le verbe « TRAPPELEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « TRAPPELEN » est donc considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant déjà par la consonne « L », on trouvera le « D » majoritaire au participe passé.
Rappelons aussi que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« onder de paardehoeven»), à la fin de la phrase.
On aurait en fait dû trouver la forme verbale « VERtrapt », participe passé construit sur l’infinitif « VERtrappen », lui-même construit sur le verbe « TRAPPEN ».
Ce verbe « TRAPPEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « P », on trouvera au passé un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Rappelons également que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 32 dans « De leeuw van Vlaanderen », le volume N°109 de la série « DE RODE RIDDER ».
Karel BIDDELOO, dessinateur et scénariste, et Willy VANDERSTEEN se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1984-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : « Johan apparaît ici dans le récit DE LEEUW VAN VLAANDEREN écrit par le Flamand Hendrik Conscience. Ce livre fut publié en 1838 et reprend une version fortement romancée du préambule à la Bataille des Eperons d’or du 11 juillet 1302 » (cf. « Rode Ridder Story », chapitre 4, page 23, disponible sur ce site à l’adresse : http://www.idesetautres.be/upload/Rode%20Ridder%20Story%20FR%204.pdf). Il faut regarder l’adaptation cinématographique de 1984. Cet hommage devait être rendu à l’occasion de ce 710ème anniversaire en 2012.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 38 VERZONKEN KLOK 25B - Rajouté le 10/07/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een middel (…) hebben we de vijand afgenomen » (« Nous avons ôté un moyen à l’ennemi »).
On y trouve notamment la forme verbale « « AFgenomen », V.T.T. (ou participe passé) provenant de l’infinitif « afNEMEN », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « NEMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « AFnemen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « afGEnomen ».
Nous attirons l’attention du lecteur francophone sur le fait que sujet et complément n’occupent pas leurs places habituelles dans cette phrase, qui aurait dû être : « We hebben de vijand een middel afgenomen » OU « We hebben een middel de vijand afgenomen ».
Le participe passé « afGEnomen » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« een middel »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« een middel »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « WE ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « hebben ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « De verzonken klok », le volume N°38 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1968-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : on retrouve les thèmes de la « verzonken klok » ou « gezonken klok » et du « waterduivel » (ou « protée belge ») dans le folklore belge (plusieurs documents sur le site www.idesetautres.be ) et il a été notamment repris par Roberto J. PAYRO (pages 57 et pages 41 à 52 du Diable en Belgique, IEA3637).

Nom : BIDDELOO RODE RIDDER 109 LEEUW VAN VLAANDEREN 31B - Rajouté le 09/07/2012

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « (Er moet) opgepast (worden) ! Een tweede groep Franse ridders breekt door ! » (« Attention ! Un deuxième groupe de chevaliers français perce ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « OPgepast », participe passé construit sur l’infinitif « OPpassen », lui-même construit sur le verbe « PASSEN ».
Ce verbe « PASSEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « S », on trouvera au passé un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Cette « phrase » (réduite à un mot, comme en français) est en effet aussi à la voix passive et l’auxiliaire « WORDEN » est sous-entendu ; on aurait dû dire : « Er moet opgepast worden = Il faut = on doit faire attention ! »
On y trouve également la forme verbale « breekt … DOOR », provenant du verbe « DOORbreken, dit « à particule séparable », construit sur le verbe « BREKEN ».
Quand le verbe « DOORbreken » est conjugué, la particule « DOOR » étant affectée par le phénomène du « REJET », passe derrière le complément éventuel (par exemple « onze linies »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 31 dans « De leeuw van Vlaanderen », le volume N°109 de la série « DE RODE RIDDER ».
Karel BIDDELOO, dessinateur et scénariste, et Willy VANDERSTEEN se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1984-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : « Johan apparaît ici dans le récit DE LEEUW VAN VLAANDEREN écrit par le Flamand Hendrik Conscience. Ce livre fut publié en 1838 et reprend une version fortement romancée du préambule à la Bataille des Eperons d’or du 11 juillet 1302 » (cf. « Rode Ridder Story », chapitre 4, page 23, disponible sur ce site à l’adresse : http://www.idesetautres.be/upload/Rode%20Ridder%20Story%20FR%204.pdf). Il faut regarder l’adaptation cinématographique de 1984. Cet hommage devait être rendu à l’occasion de ce 710ème anniversaire en 2012.

Nom : BIDDELOO RODE RIDDER 109 LEEUW VAN VLAANDEREN 31A - Rajouté le 09/07/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Val aan ! » (« A l’attaque = Attaquez ! »).
On y trouve la forme verbale « val … AAN », impératif provenant de l’infinitif « AANvallen » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « VALLEN ». Quand « AANvallen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit et elle fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (par exemple « de Vlamingen »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 31 dans « De leeuw van Vlaanderen », le volume N°109 de la série « DE RODE RIDDER ».
Karel BIDDELOO, dessinateur et scénariste, et Willy VANDERSTEEN se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1984-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : « Johan apparaît ici dans le récit DE LEEUW VAN VLAANDEREN écrit par le Flamand Hendrik Conscience. Ce livre fut publié en 1838 et reprend une version fortement romancée du préambule à la Bataille des Eperons d’or du 11 juillet 1302 » (cf. « Rode Ridder Story », chapitre 4, page 23, disponible sur ce site à l’adresse : http://www.idesetautres.be/upload/Rode%20Ridder%20Story%20FR%204.pdf). Il faut regarder l’adaptation cinématographique de 1984. Cet hommage devait être rendu à l’occasion de ce 710ème anniversaire en 2012.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 38 VERZONKEN KLOK 25A - Rajouté le 09/07/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hiermede (Hiermee) is het gevaar echter niet bezworen ! » (« Avec ceci, le danger n’est toutefois pas conjuré ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « beZWOREN », participe passé provenant de l’infinitif « beZWEREN », lui-même construit sur le verbe « ZWEREN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Le participe passé « beZWOREN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« echter »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Hiermede »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « het gevaar ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « IS ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « De verzonken klok », le volume N°38 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1968-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : on retrouve les thèmes de la « verzonken klok » ou « gezonken klok » et du « waterduivel » (ou « protée belge ») dans le folklore belge (plusieurs documents sur le site www.idesetautres.be ) et il a été notamment repris par Roberto J. PAYRO (pages 57 et pages 41 à 52 du Diable en Belgique, IEA3637).

Nom : BIDDELOO RODE RIDDER 109 LEEUW VAN VLAANDEREN 30B - Rajouté le 08/07/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Inmiddels zijn de vijandelijkheden geopend » (« Pendant ce temps, les hostilités sont ouvertes »).
On y trouve notamment la forme verbale « geOPENd », participe passé construit sur l’infinitif « OPENEN », verbe on ne peut plus « régulier ».
Ce verbe « OPENEN » est donc considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent = « OPENEN » - « EN » => « OPEN ») se terminant par la consonne « N », on trouvera un « D », majoritaire, à la fin du participe passé : « OPEN » + « GE- » (devant) et + « -D » (derrière) => « GEopenD ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Inmiddels »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de vijandelijkheden ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « ZIJN ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 30 dans « De leeuw van Vlaanderen », le volume N°109 de la série « DE RODE RIDDER ».
Karel BIDDELOO, dessinateur et scénariste, et Willy VANDERSTEEN se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1984-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : « Johan apparaît ici dans le récit DE LEEUW VAN VLAANDEREN écrit par le Flamand Hendrik Conscience. Ce livre fut publié en 1838 et reprend une version fortement romancée du préambule à la Bataille des Eperons d’or du 11 juillet 1302 » (cf. « Rode Ridder Story », chapitre 4, page 23, disponible sur ce site à l’adresse : http://www.idesetautres.be/upload/Rode%20Ridder%20Story%20FR%204.pdf). Il faut regarder l’adaptation cinématographique de 1984. Cet hommage devait être rendu à l’occasion de ce 710ème anniversaire en 2012.

Nom : BIDDELOO RODE RIDDER 109 LEEUW VAN VLAANDEREN 30A - Rajouté le 08/07/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het Vlaamse leger (…) heeft zich achter de Groeningerbeek opgesteld » (« L’armée flamande s’est mise en ordre de bataille derrière le ruisseau de Groeningen »).
On y trouve notamment la forme verbale « OPgesteld », participe passé construit sur l’infinitif « OPstellen », lui-même construit sur le verbe « STELLEN ».
Ce verbe « OPstellen » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « L », on trouvera un « D », majoritaire, à la fin du participe passé.
Ce verbe «OPstellen » est aussi dit « à particule séparable » ; quand il est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEsteld ».
Le participe passé « opGEsteld » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« achter de Groeningerbeek »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 30 dans « De leeuw van Vlaanderen », le volume N°109 de la série « DE RODE RIDDER ».
Karel BIDDELOO, dessinateur et scénariste, et Willy VANDERSTEEN se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1984-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : « Johan apparaît ici dans le récit DE LEEUW VAN VLAANDEREN écrit par le Flamand Hendrik Conscience. Ce livre fut publié en 1838 et reprend une version fortement romancée du préambule à la Bataille des Eperons d’or du 11 juillet 1302 » (cf. « Rode Ridder Story », chapitre 4, page 23, disponible sur ce site à l’adresse : http://www.idesetautres.be/upload/Rode%20Ridder%20Story%20FR%204.pdf). Il faut regarder l’adaptation cinématographique de 1984. Cet hommage devait être rendu à l’occasion de ce 710ème anniversaire en 2012.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 38 VERZONKEN KLOK 24A - Rajouté le 08/07/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Er blijft ons niets anders over dan de klok op te halen. » (« Il ne nous reste rien d’autre que = Nous n’avons plus qu’à hisser la cloche »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « blijft … OVER », provenant de l’infinitif « OVERblijven », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « BLIJVEN ».
Quand « OVERblijven » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OVER » de sa partie verbale proprement dite, qui fait l’objet d’un REJET de la forme verbale derrière les compléments (« ONS » et « nietS anderS »), à la fin de la phrase.
Le sujet en est « ER », pronom personnel sujet propre à l’expression « IL Y A » (où le verbe français « AVOIR » peut, en néerlandais, être remplacé par n’importe quel verbe, « ZIJN » de préférence, mais le moins souvent possible par « HEBBEN »).
Rappelons, au passage, que tout adjectif (ou assimilé) qui suit « NIETS » (ou « IETS ») devra également se terminer par « S » : « nietS blauwS » (rien de bleu) OU « ietS blauwS » (quelque chose de bleu).
On y trouve aussi, dans la phrase subordonnée (engendrée par une formulation, équivalant au mauvais français « rien d’autre que DE »), la forme verbale « OP … halen ».
La particule « OP » de ce verbe « OPhalen » (dit « à particule séparable », construit sur le verbe « HALEN ») est séparée de son infinitif proprement dit par le « TE », s’intercalant entre eux => « op TE HALEN ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 24 dans « De verzonken klok », le volume N°38 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1968-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : on retrouve les thèmes de la « verzonken klok » ou « gezonken klok » et du « waterduivel » (ou « protée belge ») dans le folklore belge (plusieurs documents sur le site www.idesetautres.be ) et il a été notamment repris par Roberto J. PAYRO (pages 57 et pages 41 à 52 du Diable en Belgique, IEA3637).

Nom : BIDDELOO RODE RIDDER 109 LEEUW VAN VLAANDEREN 25B - Rajouté le 07/07/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Overal worden voorbereidselen getroffen » (« Partout des préparatifs sont engagés = faits »).
On y trouve notamment la forme verbale « getroffen », participe passé construit sur l’infinitif « treffen », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce participe passé « GETROFFEN » est construit sur le pluriel du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Overal »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « voorbereidselen ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « WORDEN ») et passant donc derrière lui.
Cette phrase est aussi à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « De leeuw van Vlaanderen », le volume N°109 de la série « DE RODE RIDDER ».
Karel BIDDELOO, dessinateur et scénariste, et Willy VANDERSTEEN se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1984-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : « Johan apparaît ici dans le récit DE LEEUW VAN VLAANDEREN écrit par le Flamand Hendrik Conscience. Ce livre fut publié en 1838 et reprend une version fortement romancée du préambule à la Bataille des Eperons d’or du 11 juillet 1302 » (cf. « Rode Ridder Story », chapitre 4, page 23, disponible sur ce site à l’adresse : http://www.idesetautres.be/upload/Rode%20Ridder%20Story%20FR%204.pdf). Il faut regarder l’adaptation cinématographique de 1984. Cet hommage devait être rendu à l’occasion de ce 710ème anniversaire en 2012.

Nom : BIDDELOO RODE RIDDER 109 LEEUW VAN VLAANDEREN 25A - Rajouté le 07/07/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « In de voornaamste steden van Vlaanderen zijn de Fransen verjaagd » (« Dans les plus importantes villes de Flandre, les Français sont chassés = délogés »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERjaagd », participe passé construit sur l’infinitif « VERjagen », lui-même construit sur le verbe « JAGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« In de voornaamste steden van Vlaanderen»), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de Fransen ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « ZIJN ») et passant donc derrière lui.
Rappelons enfin que « STEDEN » est le pluriel irrégulier de « STAD ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « De leeuw van Vlaanderen », le volume N°109 de la série « DE RODE RIDDER ».
Karel BIDDELOO, dessinateur et scénariste, et Willy VANDERSTEEN se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1984-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : « Johan apparaît ici dans le récit DE LEEUW VAN VLAANDEREN écrit par le Flamand Hendrik Conscience. Ce livre fut publié en 1838 et reprend une version fortement romancée du préambule à la Bataille des Eperons d’or du 11 juillet 1302 » (cf. « Rode Ridder Story », chapitre 4, page 23, disponible sur ce site à l’adresse : http://www.idesetautres.be/upload/Rode%20Ridder%20Story%20FR%204.pdf). Il faut regarder l’adaptation cinématographique de 1984. Cet hommage devait être rendu à l’occasion de ce 710ème anniversaire en 2012.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 38 VERZONKEN KLOK 23B 22C - Rajouté le 07/07/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het touw werd doorgesneden ! » (« La corde fut sectionnée ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « DOORgesneden », participe passé provenant de l’infinitif « DOORsnijden », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « SNIJDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « DOORsnijden » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « DOOR » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « doorGEsneden ».
On y trouve aussi la forme verbale « WERD », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « WORDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 22 et 23 dans « De verzonken klok », le volume N°38 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1968-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : on retrouve les thèmes de la « verzonken klok » ou « gezonken klok » et du « waterduivel » (ou « protée belge ») dans le folklore belge (plusieurs documents sur le site www.idesetautres.be ) et il a été notamment repris par Roberto J. PAYRO (pages 57 et pages 41 à 52 du Diable en Belgique, IEA3637).

Nom : BIDDELOO RODE RIDDER 109 LEEUW VAN VLAANDEREN 23D - Rajouté le 06/07/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De Leliaerts en Fransen, die het wachtwoord (Schild en vriend) niet kunnen uitspreken, worden tijdens deze « Brugse Metten » afgemaakt » (« Les Leliaerts et les Français, qui ne peuvent pas prononcer ce mot de ralliement (Bouclier et ami), sont massacrés pendant ces Matines brugeoises »).
On y trouve notamment la forme verbale « AFgemaakt », participe passé construit sur l’infinitif « AFmaken », lui-même construit sur le verbe « MAKEN ».
Ce verbe est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Ce verbe « AFmaken » est aussi dit « à particule séparable » ; quand il est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « afGEmaakt ».
Le participe passé « afGEmaakt » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« tijdens deze Brugse Metten »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est aussi à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 23 dans « De leeuw van Vlaanderen », le volume N°109 de la série « DE RODE RIDDER ».
Karel BIDDELOO, dessinateur et scénariste, et Willy VANDERSTEEN se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1984-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : « Johan apparaît ici dans le récit DE LEEUW VAN VLAANDEREN écrit par le Flamand Hendrik Conscience. Ce livre fut publié en 1838 et reprend une version fortement romancée du préambule à la Bataille des Eperons d’or du 11 juillet 1302 » (cf. « Rode Ridder Story », chapitre 4, page 23, disponible sur ce site à l’adresse : http://www.idesetautres.be/upload/Rode%20Ridder%20Story%20FR%204.pdf). Il faut regarder l’adaptation cinématographique de 1984. Cet hommage devait être rendu à l’occasion de ce 710ème anniversaire en 2012.

Nom : BIDDELOO RODE RIDDER 109 LEEUW VAN VLAANDEREN 23C - Rajouté le 06/07/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De opstandelingen dringen Brugge binnen » (« Les insurgés pénètrent dans Bruges »).
On y trouve notamment la forme verbale « dringen … BINNEN », indicatif présent provenant de l’infinitif « BINNENdringen » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « DRINGEN ».
Quand « BINNENdringen » est conjugué, cela entraîne une séparation de la particule « BINNEN » de son infinitif proprement dit et son REJET, derrière le complément (« Brugge »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 23 dans « De leeuw van Vlaanderen », le volume N°109 de la série « DE RODE RIDDER ».
Karel BIDDELOO, dessinateur et scénariste, et Willy VANDERSTEEN se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1984-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : « Johan apparaît ici dans le récit DE LEEUW VAN VLAANDEREN écrit par le Flamand Hendrik Conscience. Ce livre fut publié en 1838 et reprend une version fortement romancée du préambule à la Bataille des Eperons d’or du 11 juillet 1302 » (cf. « Rode Ridder Story », chapitre 4, page 23, disponible sur ce site à l’adresse : http://www.idesetautres.be/upload/Rode%20Ridder%20Story%20FR%204.pdf). Il faut regarder l’adaptation cinématographique de 1984. Cet hommage devait être rendu à l’occasion de ce 710ème anniversaire en 2012.

Nom : BIDDELOO RODE RIDDER 109 LEEUW VAN VLAANDEREN 23B - Rajouté le 06/07/2012

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Geef onze makkers in het Eksterbos het afgesproken signaal ! » (« Donne à nos camarades dans le Bois de la Pie le signal convenu ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « AFgesproken », participe passé (utilisé comme adjectif épithète) provenant de l’infinitif « AFspreken » (verbe dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « SPREKEN ».
Quand le verbe « AFspreken » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « afGEsproken ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 23 et 22 dans « De leeuw van Vlaanderen », le volume N°109 de la série « DE RODE RIDDER ».
Karel BIDDELOO, dessinateur et scénariste, et Willy VANDERSTEEN se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1984-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : « Johan apparaît ici dans le récit DE LEEUW VAN VLAANDEREN écrit par le Flamand Hendrik Conscience. Ce livre fut publié en 1838 et reprend une version fortement romancée du préambule à la Bataille des Eperons d’or du 11 juillet 1302 » (cf. « Rode Ridder Story », chapitre 4, page 23, disponible sur ce site à l’adresse : http://www.idesetautres.be/upload/Rode%20Ridder%20Story%20FR%204.pdf). Il faut regarder l’adaptation cinématographique de 1984. Cet hommage devait être rendu à l’occasion de ce 710ème anniversaire en 2012.

Nom : BIDDELOO RODE RIDDER 109 LEEUW VAN VLAANDEREN 23A - Rajouté le 06/07/2012

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Langzaam gaat de poort open terwijl de Franse wachtposten (worden) neergeveld worden » (« Des mercenaires français ont massacré toute votre famille ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « gaat … OPEN », provenant de l’infinitif « OPENgaan », lui-même construit sur le verbe « GAAN ».
Le verbe « OPENgaan » est un verbe dit « à particule séparable », ce qui explique que la « particule séparable » « OPEN » est effectivement séparée de lui et fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (par exemple « gemakkelijk »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Langzaam »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de poort ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « gaat ») et passant donc derrière lui.
On y trouve également la forme verbale « NEERgeveld », participe passé provenant de l’infinitif « NEERvellen » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « VELLEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « VELLEN » est donc considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant déjà par la consonne « L », on trouvera le « D » majoritaire au participe passé.
Quand « NEERvellen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « NEER » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « neerGEveld ».
Rappelons aussi que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (par exemple « door de Vlamingen »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 23 et 22 dans « De leeuw van Vlaanderen », le volume N°109 de la série « DE RODE RIDDER ».
Karel BIDDELOO, dessinateur et scénariste, et Willy VANDERSTEEN se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1984-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : « Johan apparaît ici dans le récit DE LEEUW VAN VLAANDEREN écrit par le Flamand Hendrik Conscience. Ce livre fut publié en 1838 et reprend une version fortement romancée du préambule à la Bataille des Eperons d’or du 11 juillet 1302 » (cf. « Rode Ridder Story », chapitre 4, page 23, disponible sur ce site à l’adresse : http://www.idesetautres.be/upload/Rode%20Ridder%20Story%20FR%204.pdf). Il faut regarder l’adaptation cinématographique de 1984. Cet hommage devait être rendu à l’occasion de ce 710ème anniversaire en 2012.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 38 VERZONKEN KLOK 23A - Rajouté le 06/07/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het voetstuk was afgebroken ! » (« La charpente était brisée ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « AFgebroken », participe passé provenant de l’infinitif « AFbreken », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « BREKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « AFbreken » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « afGEbroken ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 23 dans « De verzonken klok », le volume N°38 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1968-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : on retrouve les thèmes de la « verzonken klok » ou « gezonken klok » et du « waterduivel » (ou « protée belge ») dans le folklore belge (plusieurs documents sur le site www.idesetautres.be ) et il a été notamment repris par Roberto J. PAYRO (pages 57 et pages 41 à 52 du Diable en Belgique, IEA3637).

Nom : BIDDELOO RODE RIDDER 109 LEEUW VAN VLAANDEREN 22B - Rajouté le 05/07/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De teerling is geworpen ! » (« Le dé est jeté = le sort en est jeté ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEWORPEN », participe passé provenant de l’infinitif « WERPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 22 dans « De leeuw van Vlaanderen », le volume N°109 de la série « DE RODE RIDDER ».
Karel BIDDELOO, dessinateur et scénariste, et Willy VANDERSTEEN se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1984-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : « Johan apparaît ici dans le récit DE LEEUW VAN VLAANDEREN écrit par le Flamand Hendrik Conscience. Ce livre fut publié en 1838 et reprend une version fortement romancée du préambule à la Bataille des Eperons d’or du 11 juillet 1302 » (cf. « Rode Ridder Story », chapitre 4, page 23, disponible sur ce site à l’adresse : http://www.idesetautres.be/upload/Rode%20Ridder%20Story%20FR%204.pdf). Il faut regarder l’adaptation cinématographique de 1984. Cet hommage devait être rendu à l’occasion de ce 710ème anniversaire en 2012.

Nom : BIDDELOO RODE RIDDER 109 LEEUW VAN VLAANDEREN 22A - Rajouté le 05/07/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Nadat De Coninck (…) bevrijd werd, riep de Châtillon Franse versterkingen te hulp » (« Après que De Coninck fut libéré, de Châtillon appela des renforts français à l’aide »).
On y trouve notamment la forme verbale « RIEP », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « ROEPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (et la phrase subordonnée joue ici ce rôle : « Nadat De Coninck (…) bevrijd werd »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de Châtillon ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « RIEP ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 22 dans « De leeuw van Vlaanderen », le volume N°109 de la série « DE RODE RIDDER ».
Karel BIDDELOO, dessinateur et scénariste, et Willy VANDERSTEEN se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1984-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : « Johan apparaît ici dans le récit DE LEEUW VAN VLAANDEREN écrit par le Flamand Hendrik Conscience. Ce livre fut publié en 1838 et reprend une version fortement romancée du préambule à la Bataille des Eperons d’or du 11 juillet 1302 » (cf. « Rode Ridder Story », chapitre 4, page 23, disponible sur ce site à l’adresse : http://www.idesetautres.be/upload/Rode%20Ridder%20Story%20FR%204.pdf). Il faut regarder l’adaptation cinématographique de 1984. Cet hommage devait être rendu à l’occasion de ce 710ème anniversaire en 2012.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 38 VERZONKEN KLOK 22C - Rajouté le 05/07/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een van de touwen is losgeschoten of doorgesneden ! » (« Une des cordes est détachée brusquement ou sectionnée ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « LOSgeschoten », participe passé provenant de l’infinitif « LOSschieten », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « SCHIETEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « LOSschieten » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « LOS » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « losGEschoten ».
On y trouve aussi la forme verbale « DOORgesneden », participe passé provenant de l’infinitif « DOORsnijden », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « SNIJDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « DOORsnijden » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « DOOR » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « doorGEsneden ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 22 dans « De verzonken klok », le volume N°38 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1968-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : on retrouve les thèmes de la « verzonken klok » ou « gezonken klok » et du « waterduivel » (ou « protée belge ») dans le folklore belge (plusieurs documents sur le site www.idesetautres.be ) et il a été notamment repris par Roberto J. PAYRO (pages 57 et pages 41 à 52 du Diable en Belgique, IEA3637).

Nom : BIDDELOO RODE RIDDER 109 LEEUW VAN VLAANDEREN 19C - Rajouté le 04/07/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Vallen jullie het Prinsenhof aan ! » (« Le temps est venu que = où beaucoup de sang français va couler ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « vallen … AAN », impératif provenant de l’infinitif « AANvallen » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « VALLEN ». Quand « AANvallen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit et elle fait l’objet d’un REJET derrière le complément (« het Prinsenhof ») à la fin de la phrase.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 19 dans « De leeuw van Vlaanderen », le volume N°109 de la série « DE RODE RIDDER ».
Karel BIDDELOO, dessinateur et scénariste, et Willy VANDERSTEEN se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1984-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : « Johan apparaît ici dans le récit DE LEEUW VAN VLAANDEREN écrit par le Flamand Hendrik Conscience. Ce livre fut publié en 1838 et reprend une version fortement romancée du préambule à la Bataille des Eperons d’or du 11 juillet 1302 » (cf. « Rode Ridder Story », chapitre 4, page 23, disponible sur ce site à l’adresse : http://www.idesetautres.be/upload/Rode%20Ridder%20Story%20FR%204.pdf). Il faut regarder l’adaptation cinématographique de 1984. Cet hommage devait être rendu à l’occasion de ce 710ème anniversaire en 2012.

Nom : BIDDELOO RODE RIDDER 109 LEEUW VAN VLAANDEREN 19B - Rajouté le 04/07/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De tijd is gekomen dat er veel Frans bloed zal vloeien ! » (« Le temps est venu que = où beaucoup de sang français va couler ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEKOMEN », participe passé provenant de l’infinitif « KOMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Cette forme verbale est, comme on le voit, construite sur L’INFINIF. (Pour complément d’informations, consultez notamment notre tableau de synthèse « Temps primitifs » dans la partie « GRAMMATICA » de ce site.)
Ce participe passé « GEKOMEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (par exemple, « NU »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 18 et 19 dans « De leeuw van Vlaanderen », le volume N°109 de la série « DE RODE RIDDER ».
Karel BIDDELOO, dessinateur et scénariste, et Willy VANDERSTEEN se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1984-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : « Johan apparaît ici dans le récit DE LEEUW VAN VLAANDEREN écrit par le Flamand Hendrik Conscience. Ce livre fut publié en 1838 et reprend une version fortement romancée du préambule à la Bataille des Eperons d’or du 11 juillet 1302 » (cf. « Rode Ridder Story », chapitre 4, page 23, disponible sur ce site à l’adresse : http://www.idesetautres.be/upload/Rode%20Ridder%20Story%20FR%204.pdf). Il faut regarder l’adaptation cinématographique de 1984. Cet hommage devait être rendu à l’occasion de ce 710ème anniversaire en 2012.

Nom : BIDDELOO RODE RIDDER 109 LEEUW VAN VLAANDEREN 19A - Rajouté le 04/07/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Franse soldeniers hebben uw hele gezin uitgemoord ! » (« Des mercenaires français ont massacré toute votre famille ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « UITgemoord », participe passé provenant de l’infinitif « UITmoorden » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « MOORDEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « MOORDEN » est donc considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant déjà par la consonne « D », on trouvera le « D » majoritaire au participe passé (où on ne le rajoute donc pas, dans ce cas-ci ; en revanche on aura bien un prétérit : « moordDE(n) »).
Quand « UITmoorden » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « uitGEmoord ».
Rappelons aussi que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « uw hele gezin »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 18 et 19 dans « De leeuw van Vlaanderen », le volume N°109 de la série « DE RODE RIDDER ».
Karel BIDDELOO, dessinateur et scénariste, et Willy VANDERSTEEN se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1984-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : « Johan apparaît ici dans le récit DE LEEUW VAN VLAANDEREN écrit par le Flamand Hendrik Conscience. Ce livre fut publié en 1838 et reprend une version fortement romancée du préambule à la Bataille des Eperons d’or du 11 juillet 1302 » (cf. « Rode Ridder Story », chapitre 4, page 23, disponible sur ce site à l’adresse : http://www.idesetautres.be/upload/Rode%20Ridder%20Story%20FR%204.pdf). Il faut regarder l’adaptation cinématographique de 1984. Cet hommage devait être rendu à l’occasion de ce 710ème anniversaire en 2012.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 38 VERZONKEN KLOK 22B - Rajouté le 04/07/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Snuivend en stampend beginnen de paarden de klok op te halen. » (« Renâclant et trépignant, les chevaux commencent à hisser la cloche »).
Le verbe « BEGINNEN » (équivalant, en mauvais français, à « commencer DE ») introduit ici une sorte de subordonnée et engendre un « TE » qui précède l’infinitif « OPhalen ».
Ce verbe « OPhalen » étant un verbe dit « à particule séparable », la particule « OP » est donc séparée de son infinitif proprement par le « TE », s’intercalant entre eux => « op TE HALEN ».
N’oublions pas non plus que le participe présent en néerlandais se construit en ajoutant simplement un « D » à l’infinitif.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 22 dans « De verzonken klok », le volume N°38 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1968-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : on retrouve les thèmes de la « verzonken klok » ou « gezonken klok » et du « waterduivel » (ou « protée belge ») dans le folklore belge (plusieurs documents sur le site www.idesetautres.be ) et il a été notamment repris par Roberto J. PAYRO (pages 57 et pages 41 à 52 du Diable en Belgique, IEA3637).

Nom : BIDDELOO RODE RIDDER 109 LEEUW VAN VLAANDEREN 18C - Rajouté le 03/07/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Terzelfder tijd vond een huiszoeking in uw woning plaats ! » (« En même temps, une perquisition trouva place = eut lieu à votre domicile ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « VOND … PLAATS », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « PLAATSvinden », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La particule « PLAATS » (provenant d’un NOM) fait l’objet d’un « REJET », derrière le complément (« in uw woning »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Terzelfder tijd »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « een huiszoeking ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « VOND ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 18 dans « De leeuw van Vlaanderen », le volume N°109 de la série « DE RODE RIDDER ».
Karel BIDDELOO, dessinateur et scénariste, et Willy VANDERSTEEN se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1984-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : « Johan apparaît ici dans le récit DE LEEUW VAN VLAANDEREN écrit par le Flamand Hendrik Conscience. Ce livre fut publié en 1838 et reprend une version fortement romancée du préambule à la Bataille des Eperons d’or du 11 juillet 1302 » (cf. « Rode Ridder Story », chapitre 4, page 23, disponible sur ce site à l’adresse : http://www.idesetautres.be/upload/Rode%20Ridder%20Story%20FR%204.pdf). Il faut regarder l’adaptation cinématographique de 1984. Cet hommage devait être rendu à l’occasion de ce 710ème anniversaire en 2012.

Nom : BIDDELOO RODE RIDDER 109 LEEUW VAN VLAANDEREN 18B - Rajouté le 03/07/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De Fransen zijn in het Steen binnengedrongen » (« Les Français ont pénétré dans le (Graven)Steen = le Château des Comtes » (comme à Gand).
On y trouve notamment la forme verbale « BINNENgedrongen », participe passé provenant de l’infinitif « BINNENdringen » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « DRINGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « BINNENdringen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « BINNEN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « binnenGEdrongen ».
Ce participe passé « GEDRONGEN » est construit sur le pluriel du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Rappelons aussi que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « in het Steen »), à la fin de la phrase.
Notons aussi que, aux temps composés, les verbes relatifs au MOUVEMENT sont, en néerlandais, accompagnés de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 18 dans « De leeuw van Vlaanderen », le volume N°109 de la série « DE RODE RIDDER ».
Karel BIDDELOO, dessinateur et scénariste, et Willy VANDERSTEEN se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1984-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : « Johan apparaît ici dans le récit DE LEEUW VAN VLAANDEREN écrit par le Flamand Hendrik Conscience. Ce livre fut publié en 1838 et reprend une version fortement romancée du préambule à la Bataille des Eperons d’or du 11 juillet 1302 » (cf. « Rode Ridder Story », chapitre 4, page 23, disponible sur ce site à l’adresse : http://www.idesetautres.be/upload/Rode%20Ridder%20Story%20FR%204.pdf). Il faut regarder l’adaptation cinématographique de 1984. Cet hommage devait être rendu à l’occasion de ce 710ème anniversaire en 2012.

Nom : BIDDELOO RODE RIDDER 109 LEEUW VAN VLAANDEREN 18A - Rajouté le 03/07/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Na veel krachtinspanningen slagen ze erin de touwen aan de klok te bevestigen. » (« Après de nombreux efforts, ils parviennent à attacher les cordes à la cloche »).
On y trouve l’expression « ERin SLAGEN » (équivalent de l’expression « LUKKEN IN », qui aurait pu donner la phrase alternative : « Het lukt hen de touwen aan de klok te bevestigen »). L’expression (équivalant, en mauvais français, à « réussir DE ») engendre un « TE » quand elle précède un infinitif comme, ici, « bevestigen ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 22 dans « De verzonken klok », le volume N°38 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1968-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : on retrouve les thèmes de la « verzonken klok » ou « gezonken klok » et du « waterduivel » (ou « protée belge ») dans le folklore belge (plusieurs documents sur le site www.idesetautres.be ) et il a été notamment repris par Roberto J. PAYRO (pages 57 et pages 41 à 52 du Diable en Belgique, IEA3637).

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 38 VERZONKEN KLOK 22A - Rajouté le 03/07/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Na veel krachtinspanningen slagen ze erin de touwen aan de klok te bevestigen. » (« Après de nombreux efforts, ils parviennent à attacher les cordes à la cloche »).
On y trouve l’expression « ERin SLAGEN » (équivalent de l’expression « LUKKEN IN », qui aurait pu donner la phrase alternative : « Het lukt hen de touwen aan de klok te bevestigen »). L’expression (équivalant, en mauvais français, à « réussir DE ») engendre un « TE » quand elle précède un infinitif comme, ici, « bevestigen ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 22 dans « De verzonken klok », le volume N°38 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1968-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : on retrouve les thèmes de la « verzonken klok » ou « gezonken klok » et du « waterduivel » (ou « protée belge ») dans le folklore belge (plusieurs documents sur le site www.idesetautres.be ) et il a été notamment repris par Roberto J. PAYRO (pages 57 et pages 41 à 52 du Diable en Belgique, IEA3637).

Nom : BIDDELOO RODE RIDDER 109 LEEUW VAN VLAANDEREN 13D - Rajouté le 02/07/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hiervoor werd een oplossing reeds gevonden » (« A cela, une solution a déjà été trouvée = On y a déjà trouvé une solution »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEVONDEN », participe passé provenant de l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce participe passé « GEVONDEN » est construit sur la pluriel du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Hiervoor »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « een oplossing ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « werd ») et passant donc derrière lui.
Le participe passé « GEVONDEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« REEDS »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 13 dans « De leeuw van Vlaanderen », le volume N°109 de la série « DE RODE RIDDER ».
Karel BIDDELOO, dessinateur et scénariste, et Willy VANDERSTEEN se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1984-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : « Johan apparaît ici dans le récit DE LEEUW VAN VLAANDEREN écrit par le Flamand Hendrik Conscience. Ce livre fut publié en 1838 et reprend une version fortement romancée du préambule à la Bataille des Eperons d’or du 11 juillet 1302 » (cf. « Rode Ridder Story », chapitre 4, page 23, disponible sur ce site à l’adresse : http://www.idesetautres.be/upload/Rode%20Ridder%20Story%20FR%204.pdf). Il faut regarder l’adaptation cinématographique de 1984. Cet hommage devait être rendu à l’occasion de ce 710ème anniversaire en 2012.

Nom : BIDDELOO RODE RIDDER 109 LEEUW VAN VLAANDEREN 13C - Rajouté le 02/07/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De enige man, die een goede krijgsheer zou zijn, werd door de Fransen in Bourges gevangen gezet » (« Le seul homme, qui serait un bon seigneur de guerre, a été mis = fait pris(onnier) par les Français à Bourges »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « GEVANGEN », V.T.T. (utilisée ici comme une sorte d’adjectif épithète) provenant de l’infinitif « VANGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce participe passé « GEVANGEN » est construit sur l’infinitif. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Cette phrase principale est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
On y trouve aussi, dans la phrase subordonnée relative (« die een goede krijgsheer zou zijn »), les formes verbales « ZOU ZIJN » faisant l’objet d’un REJET, derrière le complément (« een goede krijgsheer »), à la fin de la phrase (relative).
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 13 dans « De leeuw van Vlaanderen », le volume N°109 de la série « DE RODE RIDDER ».
Karel BIDDELOO, dessinateur et scénariste, et Willy VANDERSTEEN se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1984-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : « Johan apparaît ici dans le récit DE LEEUW VAN VLAANDEREN écrit par le Flamand Hendrik Conscience. Ce livre fut publié en 1838 et reprend une version fortement romancée du préambule à la Bataille des Eperons d’or du 11 juillet 1302 » (cf. « Rode Ridder Story », chapitre 4, page 23, disponible sur ce site à l’adresse : http://www.idesetautres.be/upload/Rode%20Ridder%20Story%20FR%204.pdf). Il faut regarder l’adaptation cinématographique de 1984. Cet hommage devait être rendu à l’occasion de ce 710ème anniversaire en 2012.

Nom : BIDDELOO RODE RIDDER 109 LEEUW VAN VLAANDEREN 13B - Rajouté le 02/07/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Johan) verneemt hoe de gilden alles in het werk stellen om hun vervorwen rechten te vrijwaren » (« Il apprend comment les guildes mettent tout en travail = en œuvre pour préserver leurs droits acquits »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERWORVEN », V.T.T. (utilisée ici comme adjectif épithète) provenant de l’infinitif « VERWERVEN » (PAS un verbe dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « WERVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- » (qui n’est PAS une « particule séparable »), son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
N’oublions pas que, devant un verbe néerlandais, « POUR » est bien le double mot « OM … TE » (entre lesquels s’intercale le complément éventuel), le « TE » étant suivi d’un INFINITIF.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 13 dans « De leeuw van Vlaanderen », le volume N°109 de la série « DE RODE RIDDER ».
Karel BIDDELOO, dessinateur et scénariste, et Willy VANDERSTEEN se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1984-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : « Johan apparaît ici dans le récit DE LEEUW VAN VLAANDEREN écrit par le Flamand Hendrik Conscience. Ce livre fut publié en 1838 et reprend une version fortement romancée du préambule à la Bataille des Eperons d’or du 11 juillet 1302 » (cf. « Rode Ridder Story », chapitre 4, page 23, disponible sur ce site à l’adresse : http://www.idesetautres.be/upload/Rode%20Ridder%20Story%20FR%204.pdf). Il faut regarder l’adaptation cinématographique de 1984. Cet hommage devait être rendu à l’occasion de ce 710ème anniversaire en 2012.

Nom : BIDDELOO RODE RIDDER 109 LEEUW VAN VLAANDEREN 13A - Rajouté le 02/07/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Mijn spionnen hebben reeds gemeld hoe uw treffen met de (…) ridders verliep » (« Mes espions ont déjà signalé comment votre rencontre avec les chevaliers s’est déroulée »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERLIEP », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « VERLOPEN » (PAS un verbe dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « LOPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons (même s’il s’agit bien ici de l’O.V.T.) que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- » (qui n’est PAS une « particule séparable »), son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 13 et 9 dans « De leeuw van Vlaanderen », le volume N°109 de la série « DE RODE RIDDER ».
Karel BIDDELOO, dessinateur et scénariste, et Willy VANDERSTEEN se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1984-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : « Johan apparaît ici dans le récit DE LEEUW VAN VLAANDEREN écrit par le Flamand Hendrik Conscience. Ce livre fut publié en 1838 et reprend une version fortement romancée du préambule à la Bataille des Eperons d’or du 11 juillet 1302 » (cf. « Rode Ridder Story », chapitre 4, page 23, disponible sur ce site à l’adresse : http://www.idesetautres.be/upload/Rode%20Ridder%20Story%20FR%204.pdf). Il faut regarder l’adaptation cinématographique de 1984. Cet hommage devait être rendu à l’occasion de ce 710ème anniversaire en 2012.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 38 VERZONKEN KLOK 20A - Rajouté le 02/07/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De ridder zwemt de gedaante door de waterplanten achterna. » (« Le chevalier nage à travers les plantes aquatiques à la poursuite de la silhouette »).
On y trouve la forme verbale « zwemt … ACHTERNA », provenant de l’infinitif « achternaZWEMMEN », réagissant comme le verbe à « particule séparable » « achternaLOPEN », mais il est à noter que ce verbe, officiellement, n’existe pas.
On y trouve le REJET de la particule séparable « ACHTERNA » derrière les compléments (« de gedaante » et « door de waterplanten »), à la fin de la phrase.
Il s’agit d’un exemple d’ancienne(s) préposition(s) (« ACHTER » + « NA » => « ACHTERNA ») évoluant vers une « particule séparable ». On avait, dans un premier temps, la phrase : « De ridder zwemt achter de gedaante door de waterplanten. »
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 20 dans « De verzonken klok », le volume N°38 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1968-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : on retrouve les thèmes de la « verzonken klok » ou « gezonken klok » et du « waterduivel » (ou « protée belge ») dans le folklore belge (plusieurs documents sur le site www.idesetautres.be ) et il a été notamment repris par Roberto J. PAYRO (pages 57 et pages 41 à 52 du Diable en Belgique, IEA3637).

Nom : BIDDELOO RODE RIDDER 109 LEEUW VAN VLAANDEREN 9A - Rajouté le 01/07/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat ontbrak er nog aan ! » (« Cela manquait encore = il ne manquait plus que cela ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « ONTBRAK », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « ONTBREKEN » (PAS un verbe dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « BREKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons (même s’il s’agit bien ici de l’O.V.T.) que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « ONT- » (qui n’est PAS une « particule séparable »), son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De leeuw van Vlaanderen », le volume N°109 de la série « DE RODE RIDDER ».
Karel BIDDELOO, dessinateur et scénariste, et Willy VANDERSTEEN se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1984-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : « Johan apparaît ici dans le récit DE LEEUW VAN VLAANDEREN écrit par le Flamand Hendrik Conscience. Ce livre fut publié en 1838 et reprend une version fortement romancée du préambule à la Bataille des Eperons d’or du 11 juillet 1302 » (cf. « Rode Ridder Story », chapitre 4, page 23, disponible sur ce site à l’adresse : http://www.idesetautres.be/upload/Rode%20Ridder%20Story%20FR%204.pdf). Il faut regarder l’adaptation cinématographique de 1984. Cet hommage devait être rendu à l’occasion de ce 710ème anniversaire en 2012.

Nom : BIDDELOO RODE RIDDER 109 LEEUW VAN VLAANDEREN 11C - Rajouté le 01/07/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij heeft hem (Leroux) omgebracht » (« Il l’a assassiné »).
On y trouve notamment la forme verbale « OMgebracht », participe passé provenant de l’infinitif « OMbrengen » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « OMbrengen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OM » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « omGEbracht ».
Ce participe passé « GEBRACHT » est construit sur le singulier du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Rappelons aussi que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (ici « HEM » qui aurait été « HAAR » au féminin), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « De leeuw van Vlaanderen », le volume N°109 de la série « DE RODE RIDDER ».
Karel BIDDELOO, dessinateur et scénariste, et Willy VANDERSTEEN se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1984-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : « Johan apparaît ici dans le récit DE LEEUW VAN VLAANDEREN écrit par le Flamand Hendrik Conscience. Ce livre fut publié en 1838 et reprend une version fortement romancée du préambule à la Bataille des Eperons d’or du 11 juillet 1302 » (cf. « Rode Ridder Story », chapitre 4, page 23, disponible sur ce site à l’adresse : http://www.idesetautres.be/upload/Rode%20Ridder%20Story%20FR%204.pdf). Il faut regarder l’adaptation cinématographique de 1984. Cet hommage devait être rendu à l’occasion de ce 710ème anniversaire en 2012.

Nom : BIDDELOO RODE RIDDER 109 LEEUW VAN VLAANDEREN 11B - Rajouté le 01/07/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Jan Breydel) slingert hem plots met bovenmenselijke kracht van zich af » (« Il le balance soudain avec une force surhumaine loin de lui »).
On y trouve notamment la forme verbale « slingert (AF) », qui aurait pu être construite sur le verbe « AFslingeren » (que l’on aurait dit « à particule séparable »), construit sur l’infinitif « SLINGEREN ».
La particule « AF » aurait alors été affectée par le phénomène du « REJET », derrière les compléments (« hem », « plots » et « met bovenmenselijke kracht »), à la fin de la phrase.
Mais, officiellement, il n’existe pas de verbe « AFslingeren » ; en revanche « AANslingeren » existe. Une langue « vivante » vit donc et c’est à l’usage que ses mots évoluent.
Par ailleurs « van zich af » est presque une expression.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « De leeuw van Vlaanderen », le volume N°109 de la série « DE RODE RIDDER ».
Karel BIDDELOO, dessinateur et scénariste, et Willy VANDERSTEEN se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1984-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : « Johan apparaît ici dans le récit DE LEEUW VAN VLAANDEREN écrit par le Flamand Hendrik Conscience. Ce livre fut publié en 1838 et reprend une version fortement romancée du préambule à la Bataille des Eperons d’or du 11 juillet 1302 » (cf. « Rode Ridder Story », chapitre 4, page 23, disponible sur ce site à l’adresse : http://www.idesetautres.be/upload/Rode%20Ridder%20Story%20FR%204.pdf). Il faut regarder l’adaptation cinématographique de 1984. Cet hommage devait être rendu à l’occasion de ce 710ème anniversaire en 2012.

Nom : BIDDELOO RODE RIDDER 109 LEEUW VAN VLAANDEREN 11A - Rajouté le 01/07/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Jan Breydel) heeft zijn tegenstander vastgegrepen » (« Il a saisi son adversaire »).
On y trouve notamment la forme verbale « VASTgegrepen », participe passé provenant de l’infinitif « VASTgrijpen » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « GRIJPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « VASTgrijpen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « VAST » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « vastGEgrepen ».
Ce participe passé « GEGREPEN » est construit sur le pluriel du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Rappelons aussi que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « zijn tegenstander »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « De leeuw van Vlaanderen », le volume N°109 de la série « DE RODE RIDDER ».
Karel BIDDELOO, dessinateur et scénariste, et Willy VANDERSTEEN se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1984-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : « Johan apparaît ici dans le récit DE LEEUW VAN VLAANDEREN écrit par le Flamand Hendrik Conscience. Ce livre fut publié en 1838 et reprend une version fortement romancée du préambule à la Bataille des Eperons d’or du 11 juillet 1302 » (cf. « Rode Ridder Story », chapitre 4, page 23, disponible sur ce site à l’adresse : http://www.idesetautres.be/upload/Rode%20Ridder%20Story%20FR%204.pdf). Il faut regarder l’adaptation cinématographique de 1984. Cet hommage devait être rendu à l’occasion de ce 710ème anniversaire en 2012.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 38 VERZONKEN KLOK 19B - Rajouté le 01/07/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Alleen hier kon de luchter (worden) losgemaakt worden ! » (« Seulement ici le Iustre put être détaché ! »).
On y trouve la forme verbale « LOSgemaakt », participe passé provenant de l’infinitif « LOSmaken », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « MAKEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « losMAKEN » est conjugué, comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « LOS » de la forme verbale proprement dite, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « losGEmaakt ».
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
On y trouve encore la forme verbale « KON », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « KUNNEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Alleen hier »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de luchter ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « KON ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 19 dans « De verzonken klok », le volume N°38 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1968-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : on retrouve les thèmes de la « verzonken klok » ou « gezonken klok » et du « waterduivel » (ou « protée belge ») dans le folklore belge (plusieurs documents sur le site www.idesetautres.be ) et il a été notamment repris par Roberto J. PAYRO (pages 57 et pages 41 à 52 du Diable en Belgique, IEA3637).

Nom : BIDDELOO RODE RIDDER 109 LEEUW VAN VLAANDEREN 7A - Rajouté le 30/06/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De kapitein denkt dat ik de gehele reis aan boord van zijn schip heb doorgebracht » (« Le capitaine pense que j’ai passé tout le voyage sur son navire »).
On y trouve notamment la forme verbale « DOORgebracht », participe passé provenant de l’infinitif « DOORbrengen » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « DOORbrengen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « DOOR » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « doorGEbracht ».
Ce participe passé « GEBRACHT » est construit sur le singulier du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Rappelons aussi que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (ici « de gehele reis » et « aan boord van zijn schip »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 7 dans « De leeuw van Vlaanderen », le volume N°109 de la série « DE RODE RIDDER ».
Karel BIDDELOO, dessinateur et scénariste, et Willy VANDERSTEEN se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1984-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : « Johan apparaît ici dans le récit DE LEEUW VAN VLAANDEREN écrit par le Flamand Hendrik Conscience. Ce livre fut publié en 1838 et reprend une version fortement romancée du préambule à la Bataille des Eperons d’or du 11 juillet 1302 » (cf. « Rode Ridder Story », chapitre 4, page 23, disponible sur ce site à l’adresse : http://www.idesetautres.be/upload/Rode%20Ridder%20Story%20FR%204.pdf). Il faut regarder l’adaptation cinématographique de 1984. Cet hommage devait être rendu à l’occasion de ce 710ème anniversaire en 2012.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 38 VERZONKEN KLOK 19A - Rajouté le 30/06/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Johan) vindt er een man (Dimlor), gebukt over de haak die de luchter ophield » (« Il y trouve un homme penché sur le crochet, qui supportait le lustre »).
On y trouve la forme verbale « OPhield », O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « OPhouden », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « HOUDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Si on ne s’était pas trouvé dans une phrase subordonnée, on aurait pu avoir : « De haak hield de luchter OP ». La particule « OP » se séparant de la forme verbale proprement dite et faisant l’objet d’un REJET, derrière le complément, à la fin de la phrase.
Nous attirons l’attention sur le « ER » qui, ici (« Hij vindt ER een man ») remplace clairement « DAAR » (= « in / op de zolder »).
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 19 dans « De verzonken klok », le volume N°38 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1968-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : on retrouve les thèmes de la « verzonken klok » ou « gezonken klok » et du « waterduivel » (ou « protée belge ») dans le folklore belge (plusieurs documents sur le site www.idesetautres.be ) et il a été notamment repris par Roberto J. PAYRO (pages 57 et pages 41 à 52 du Diable en Belgique, IEA3637).

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 38 VERZONKEN KLOK 18C - Rajouté le 29/06/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dit kon alleen op de zolder gebeuren ! » (« Ceci ne put se produire qu’au grenier ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « KON », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « KUNNEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve aussi le REJET (exigé par l’auxiliaire de mode « KUNNEN ») de la forme verbale « GEBEUREN », derrière le complément « op de zolder », à la fin de la phrase.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 18 dans « De verzonken klok », le volume N°38 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1968-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : on retrouve les thèmes de la « verzonken klok » ou « gezonken klok » et du « waterduivel » (ou « protée belge ») dans le folklore belge (plusieurs documents sur le site www.idesetautres.be ) et il a été notamment repris par Roberto J. PAYRO (pages 57 et pages 41 à 52 du Diable en Belgique, IEA3637).

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 38 VERZONKEN KLOK 18B - Rajouté le 28/06/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (die luchter) werd losgemaakt (…) ! » (« Il fut détaché ! »).
On y trouve la forme verbale « LOSgemaakt », participe passé provenant de l’infinitif « LOSmaken », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « MAKEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « losMAKEN » est conjugué, comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « LOS » de la forme verbale proprement dite, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « losGEmaakt ».
On y trouve encore la forme verbale « WERD », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « WORDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 18 dans « De verzonken klok », le volume N°38 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1968-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : on retrouve les thèmes de la « verzonken klok » ou « gezonken klok » et du « waterduivel » (ou « protée belge ») dans le folklore belge (plusieurs documents sur le site www.idesetautres.be ) et il a été notamment repris par Roberto J. PAYRO (pages 57 et pages 41 à 52 du Diable en Belgique, IEA3637).

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 38 VERZONKEN KLOK 17A - Rajouté le 26/06/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Op de binnenplaats werd inderdaad een graf gedolven. » (« Dans la cour intérieure, une tombe était effectivement creusée »).
On y trouve la forme verbale « GEDOLVEN », participe passé provenant de l’infinitif « DELVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Op de binnenplaats »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « een graf ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « WERD ») et passant donc derrière lui.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « De verzonken klok », le volume N°38 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1968-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : on retrouve les thèmes de la « verzonken klok » ou « gezonken klok » et du « waterduivel » (ou « protée belge ») dans le folklore belge (plusieurs documents sur le site www.idesetautres.be ) et il a été notamment repris par Roberto J. PAYRO (pages 57 et pages 41 à 52 du Diable en Belgique, IEA3637).

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 38 VERZONKEN KLOK 16B 14 - Rajouté le 25/06/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik vond dezelfde beker in het meer ! » (« Je trouvai la même coupe dans le lac ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « VOND », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Si en français, le démonstratif « même » suit habituellement le déterminant défini sans lui être accroché, il est « fusionné » avec lui en néerlandais : « deZELFDE » pour un « DE-woord » (« dezelfde beker ») ou « hetZELFDE » pour un « HET-woord » (« hetzelfde meer »).
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 16 et 14 dans « De verzonken klok », le volume N°38 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1968-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : on retrouve les thèmes de la « verzonken klok » ou « gezonken klok » et du « waterduivel » (ou « protée belge ») dans le folklore belge (plusieurs documents sur le site www.idesetautres.be ) et il a été notamment repris par Roberto J. PAYRO (pages 57 et pages 41 à 52 du Diable en Belgique, IEA3637).

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 38 VERZONKEN KLOK 16C - Rajouté le 24/06/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Vóór hij inschonk, was de wand van de beker met een gif(t) ... » (« Avant qu’il la remplît, la paroi de la coupe était avec un poison … »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « inSCHONK », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « inSCHENKEN » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « SCHENKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Si on ne s’était pas trouvé dans une phrase subordonnée, on aurait pu avoir : « Hij schonk de beker IN ». La particule « IN » se séparant de la forme verbale proprement dite et faisant l’objet d’un REJET, derrière le complément, à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (la phrase subordonnée « Vóór hij inschonk » joue ici ce rôle), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de wand van de beker ») dans la phrase principale inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « was ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « De verzonken klok », le volume N°38 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1968-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : on retrouve les thèmes de la « verzonken klok » ou « gezonken klok » et du « waterduivel » (ou « protée belge ») dans le folklore belge (plusieurs documents sur le site www.idesetautres.be ) et il a été notamment repris par Roberto J. PAYRO (pages 57 et pages 41 à 52 du Diable en Belgique, IEA3637).

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 38 VERZONKEN KLOK 16A - Rajouté le 23/06/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Vermoedelijk dronk hij er nog uit ! » (« Vraisemblablement y a-t-il encore bu OU l’a-t-il encore vidée ! »).
On y trouve la forme verbale « DRONK », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « DRINKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Selon l’interprétation de la phrase, on peut avoir affaire à l’alternative « DRONK … UIT », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « uitDRINKEN », construit sur « DRINKEN ».
Si l’on considère, en revanche, que « UIT » n’est pas une « particule séparable » de « uitDRINKEN », on aurait plutôt affaire à un adverbe pronominal et la phrase aurait pu être formulée : « Vermoedelijk dronk hij nog erUIT ! ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « De verzonken klok », le volume N°38 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1968-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : on retrouve les thèmes de la « verzonken klok » ou « gezonken klok » et du « waterduivel » (ou « protée belge ») dans le folklore belge (plusieurs documents sur le site www.idesetautres.be ) et il a été notamment repris par Roberto J. PAYRO (pages 57 et pages 41 à 52 du Diable en Belgique, IEA3637).

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 38 VERZONKEN KLOK 15D - Rajouté le 22/06/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het was verschrikkelijk ! » (« C’était effroyable ! »).
On y trouve, dans la phrase principale, la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou prétérit) construit sur le verbe « ZIJN » et faisant partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 15 dans « De verzonken klok », le volume N°38 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1968-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : on retrouve les thèmes de la « verzonken klok » ou « gezonken klok » et du « waterduivel » (ou « protée belge ») dans le folklore belge (plusieurs documents sur le site www.idesetautres.be ) et il a été notamment repris par Roberto J. PAYRO (pages 57 et pages 41 à 52 du Diable en Belgique, IEA3637).

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 38 VERZONKEN KLOK 15C - Rajouté le 21/06/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij lag dood op de vloer » (« Il était couché, mort, sur le plancher »).
On y trouve, dans la phrase principale, la forme verbale « LAG », O.V.T. (ou prétérit) construit sur le verbe « LIGGEN » et faisant partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 15 dans « De verzonken klok », le volume N°38 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1968-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : on retrouve les thèmes de la « verzonken klok » ou « gezonken klok » et du « waterduivel » (ou « protée belge ») dans le folklore belge (plusieurs documents sur le site www.idesetautres.be ) et il a été notamment repris par Roberto J. PAYRO (pages 57 et pages 41 à 52 du Diable en Belgique, IEA3637).

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 38 VERZONKEN KLOK 15B - Rajouté le 20/06/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Toen hij wegbleef, ging ik kijken » (« Comme il restait éloigné = ne se montrait pas, j’allai regarder = voir »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « wegBLEEF » (O.V.T. ou « prétérit »), provenant de l’infinitif « wegBLIJVEN », lui-même construit sur le verbe « BLIJVEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il peut ne pas être évident que la forme verbale « wegBLEEF » fait, d’une part, l’objet d’un REJET et que, d’autre part, il s’agit d’un verbe « à particule séparable ».
Si l’on y avait eu un complément, le REJET aurait été plus net : « Toen hij LANG wegbleef, ging ik kijken ».
Si on ne s’était pas trouvé dans une phrase subordonnée, on aurait pu avoir : « Hij bleef LANG weg ». La particule « WEG » se séparant de la forme verbale proprement dite et faisant l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel, à la fin de la phrase.
Rappelons que la particule « WEG » est fréquente en néerlandais ; elle rend la notion d’ELOIGNEMENT.
On y trouve aussi, dans la phrase principale, la forme verbale « GING », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « GAAN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (la phrase subordonnée « Toen hij wegbleef » joue ici ce rôle), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « IK ») dans la phrase principale inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « GING ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 15 dans « De verzonken klok », le volume N°38 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1968-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : on retrouve les thèmes de la « verzonken klok » ou « gezonken klok » et du « waterduivel » (ou « protée belge ») dans le folklore belge (plusieurs documents sur le site www.idesetautres.be ) et il a été notamment repris par Roberto J. PAYRO (pages 57 et pages 41 à 52 du Diable en Belgique, IEA3637).

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 38 VERZONKEN KLOK 15A - Rajouté le 19/06/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij begaf zich naar zijn kamer » (« Il se rendit dans sa chambre »).
On y trouve notamment la forme verbale « beGAF », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « beGEVEN », lui-même construit sur le verbe « GEVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 15 dans « De verzonken klok », le volume N°38 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1968-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : on retrouve les thèmes de la « verzonken klok » ou « gezonken klok » et du « waterduivel » (ou « protée belge ») dans le folklore belge (plusieurs documents sur le site www.idesetautres.be ) et il a été notamment repris par Roberto J. PAYRO (pages 57 et pages 41 à 52 du Diable en Belgique, IEA3637).

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 38 VERZONKEN KLOK 14A - Rajouté le 18/06/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij liet me duidelijk voelen dat mijn vertrek iets te maken kon hebben met Cunard’s dood » (« Il me laissa nettement sentir que mon départ pouvait avoir quelque chose à voir avec la mort de Cunard ! »).
On y trouve, dans la phrase principale, la forme verbale « LIET », O.V.T. (ou prétérit) construit sur le verbe « LATEN » et faisant partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve aussi, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « KON », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « KUNNEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 14 dans « De verzonken klok », le volume N°38 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1968-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : on retrouve les thèmes de la « verzonken klok » ou « gezonken klok » et du « waterduivel » (ou « protée belge ») dans le folklore belge (plusieurs documents sur le site www.idesetautres.be ) et il a été notamment repris par Roberto J. PAYRO (pages 57 et pages 41 à 52 du Diable en Belgique, IEA3637).

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 38 VERZONKEN KLOK 13B - Rajouté le 17/06/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Kan ik geen voet meer verzetten zonder verdacht te zijn ? » (« Ne puis-je plus déplacer un pied sans être soupçonné ? »).
On y trouve l’adjectif attribut « verDACHT », ancienne forme verbale au participe passé (et prétérit) provenant de l’infinitif « verDENKEN », lui-même construit sur le verbe « DENKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons en effet que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 13 et 14 dans « De verzonken klok », le volume N°38 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1968-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : on retrouve les thèmes de la « verzonken klok » ou « gezonken klok » et du « waterduivel » (ou « protée belge ») dans le folklore belge (plusieurs documents sur le site www.idesetautres.be ) et il a été notamment repris par Roberto J. PAYRO (pages 57 et pages 41 à 52 du Diable en Belgique, IEA3637).

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 38 VERZONKEN KLOK 13A - Rajouté le 16/06/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Er wordt in de burcht met spanning op de gebeurtenissen gewacht. » (« Il est attendu = on attend au château avec anxiété les événements »).
On y trouve notamment la forme verbale « geWACHT », participe passé provenant de l’infinitif « WACHTEN », qui n’est pas affecté par les « temps primitifs ».
Ce verbe est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « T », on trouvera au participe passé un « T » (au lieu du « D » majoritaire) ... mais, comme il est déjà présent, on ne l’y ajoute pas.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
Le sujet en est sous-entendu : il s’agit de « ER », pronom personnel sujet propre à l’expression « IL Y A ».
Signalons enfin que l’infinitif « WACHTEN » engendre la préposition « OP » (ce qui peut donner des situations cocasses, comme dans l’expression « op de bus wachten »).
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 13 dans « De verzonken klok », le volume N°38 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1968-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : on retrouve les thèmes de la « verzonken klok » ou « gezonken klok » et du « waterduivel » (ou « protée belge ») dans le folklore belge (plusieurs documents sur le site www.idesetautres.be ) et il a été notamment repris par Roberto J. PAYRO (pages 57 et pages 41 à 52 du Diable en Belgique, IEA3637).

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 38 VERZONKEN KLOK 12C - Rajouté le 15/06/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Vastbesloten, rijdt hij (paard) naar het meer » (« Fermement décidé, il chevauche vers le lac »).
On y trouve notamment la forme verbale « vastBESLOTEN », construite sur « BESLOTEN », participe passé provenant de l’infinitif « BESLUITEN », lui-même conjugué sur le verbe « SLUITEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Il est à noter que le verbe « RIJDEN », signifiant souvent « ROULER », a ici le sens de « CIRCULER » … à cheval » (« paardRIJDEN », verbe dit « à particule séparable »). Cet animal est, comme on le sait, pourvu de pattes et non de roues …
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 12 dans « De verzonken klok », le volume N°38 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1968-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : on retrouve les thèmes de la « verzonken klok » ou « gezonken klok » et du « waterduivel » (ou « protée belge ») dans le folklore belge (plusieurs documents sur le site www.idesetautres.be ) et il a été notamment repris par Roberto J. PAYRO (pages 57 et pages 41 à 52 du Diable en Belgique, IEA3637).

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 38 VERZONKEN KLOK 12B - Rajouté le 14/06/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Allen luisteren naar het dreunen van de verzonken klok. » (« Tous écoutent le bourdonnement / vrombissement de la cloche engloutie »).
On y trouve la forme verbale « verZONKEN », participe passé (utilisé ici comme adjectif épithète) provenant de l’infinitif « verZINKEN », lui-même construit sur le verbe « ZINKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Soulignons aussi que le verbe « LUISTEREN » engendre la préposition « NAAR » (comme « GAAN » ou « KIJKEN ») puisque, pour ce faire, on tend aussi l’oreille « VERS ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 12 dans « De verzonken klok », le volume N°38 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1968-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : on retrouve les thèmes de la « verzonken klok » ou « gezonken klok » et du « waterduivel » (ou « protée belge ») dans le folklore belge (plusieurs documents sur le site www.idesetautres.be ) et il a été notamment repris par Roberto J. PAYRO (pages 57 et pages 41 à 52 du Diable en Belgique, IEA3637).

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 38 VERZONKEN KLOK 12A - Rajouté le 13/06/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Mijn zwaard is niet weggestoken ! » (« Mon épée n’est pas rangée = rengainée ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « wegGESTOKEN », participe passé provenant de l’infinitif « wegSTEKEN », lui-même construit sur le verbe « STEKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « wegSTEKEN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « WEG » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « wegGEstoken ».
Le participe passé « wegGEstoken » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (sous-entendu : « de holster »), à la fin de la phrase.
La particule « WEG » est fréquente en néerlandais ; elle rend la notion d’ELOIGNEMENT.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 12 dans « De verzonken klok », le volume N°38 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1968-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : on retrouve les thèmes de la « verzonken klok » ou « gezonken klok » et du « waterduivel » (ou « protée belge ») dans le folklore belge (plusieurs documents sur le site www.idesetautres.be ) et il a été notamment repris par Roberto J. PAYRO (pages 57 et pages 41 à 52 du Diable en Belgique, IEA3637).

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 38 VERZONKEN KLOK 11D - Rajouté le 12/06/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik vond mezelf een lafaard om jullie met het gevaar alleen te laten ! » (« Je me trouvai moi-même un lâche pour = de vous laisser seuls avec le danger ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « VOND », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve aussi, dans une sorte de phrase subordonnée introduite par « OM … TE » (signifiant « POUR » devant les verbes), les compléments (« jullie », « met het gevaar » et « alleen») intercalés entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « LATEN ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « De verzonken klok », le volume N°38 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1968-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : on retrouve les thèmes de la « verzonken klok » ou « gezonken klok » et du « waterduivel » (ou « protée belge ») dans le folklore belge (plusieurs documents sur le site www.idesetautres.be ) et il a été notamment repris par Roberto J. PAYRO (pages 57 et pages 41 à 52 du Diable en Belgique, IEA3637).

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 38 VERZONKEN KLOK 11C - Rajouté le 11/06/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Onderweg kreeg ik wroeging » (« En cours de route, je reçus = fus pris de remords »).
On y trouve notamment la forme verbale « KREEG », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « KRIJGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Onderweg »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « IK ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « KREEG ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « De verzonken klok », le volume N°38 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1968-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : on retrouve les thèmes de la « verzonken klok » ou « gezonken klok » et du « waterduivel » (ou « protée belge ») dans le folklore belge (plusieurs documents sur le site www.idesetautres.be ) et il a été notamment repris par Roberto J. PAYRO (pages 57 et pages 41 à 52 du Diable en Belgique, IEA3637).

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 38 VERZONKEN KLOK 11B 7 - Rajouté le 10/06/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Gorlong) is teruggekomen ! » (« Il est revenu ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « TERUGgeKOMEN », participe passé du verbe « TERUGkomen » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « KOMEN ».
Quand « TERUGkomen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERUG » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « terugGEkomen ».
Cette particule « TERUG » est très fréquente en néerlandais puisqu’elle correspond au préfixe français « RE- », rendant la notion de RETOUR.
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici, sous-entendu, « in de burcht »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 11 et 7 dans « De verzonken klok », le volume N°38 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1968-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : on retrouve les thèmes de la « verzonken klok » ou « gezonken klok » et du « waterduivel » (ou « protée belge ») dans le folklore belge (plusieurs documents sur le site www.idesetautres.be ) et il a été notamment repris par Roberto J. PAYRO (pages 57 et pages 41 à 52 du Diable en Belgique, IEA3637).

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 38 VERZONKEN KLOK 11A 10B - Rajouté le 09/06/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Heb je de klok gezien ? » (« As-tu vu la cloche ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « geZIEN », participe passé provenant de l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’infinitif. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « de klok »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 11 et 10 dans « De verzonken klok », le volume N°38 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1968-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : on retrouve les thèmes de la « verzonken klok » ou « gezonken klok » et du « waterduivel » (ou « protée belge ») dans le folklore belge (plusieurs documents sur le site www.idesetautres.be ) et il a été notamment repris par Roberto J. PAYRO (pages 57 et pages 41 à 52 du Diable en Belgique, IEA3637).

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 38 VERZONKEN KLOK 10A - Rajouté le 08/06/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij kan echter duidelijk de verzonken klok zien. » (« Il peut pourtant voir nettement la cloche engloutie »).
On y trouve la forme verbale « verZONKEN », participe passé (utilisé ici comme adjectif épithète) provenant de l’infinitif « verZINKEN », lui-même construit sur le verbe « ZINKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 10 dans « De verzonken klok », le volume N°38 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1968-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : on retrouve les thèmes de la « verzonken klok » ou « gezonken klok » et du « waterduivel » (ou « protée belge ») dans le folklore belge (plusieurs documents sur le site www.idesetautres.be ) et il a été notamment repris par Roberto J. PAYRO (pages 57 et pages 41 à 52 du Diable en Belgique, IEA3637).

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 38 VERZONKEN KLOK 9A 1 - Rajouté le 07/06/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Herinner je je de hinde die je het water in zag sleuren ? » (« Te souviens-tu de la biche que tu vis traînée dans l’eau ? »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « ZAG », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 1 et 9 dans « De verzonken klok », le volume N°38 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1968-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : on retrouve les thèmes de la « verzonken klok » ou « gezonken klok » et du « waterduivel » (ou « protée belge ») dans le folklore belge (plusieurs documents sur le site www.idesetautres.be ) et il a été notamment repris par Roberto J. PAYRO (pages 57 et pages 41 à 52 du Diable en Belgique, IEA3637).

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 38 VERZONKEN KLOK 6C - Rajouté le 06/06/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Geloof je werkelijk dat het (zwarte kunst) de dood heeft veroorzaakt ? » (« Crois-tu vraiment que cela a provoqué la mort ? »).
On y trouve notamment, la forme verbale « VEROORZAAKT », participe passé provenant de l’infinitif « VEROORZAKEN », qui NE fait PAS partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « VEROORZAKEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera au participe passé un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Rappelons aussi que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « de dood »), à la fin de la phrase mais, dans une phrase subordonnée (introduite ici par « DAT »), c’est aussi le cas.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « De verzonken klok », le volume N°38 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1968-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : on retrouve les thèmes de la « verzonken klok » ou « gezonken klok » et du « waterduivel » (ou « protée belge ») dans le folklore belge (plusieurs documents sur le site www.idesetautres.be ) et il a été notamment repris par Roberto J. PAYRO (pages 57 et pages 41 à 52 du Diable en Belgique, IEA3637).

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 38 VERZONKEN KLOK 6B - Rajouté le 05/06/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De jongste broer is op geheimzinnige wijze pas gestorven » (« Le plus jeune frère est récemment mort = décédé d’une façon mystérieuse »).
On y trouve la forme verbale « GESTORVEN », participe passé provenant de l’infinitif « STERVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (ici « op geheimzinninge wijze » et « pas »), à la fin de la phrase.
Soulignons le fait que le SUPERLATIF, en néerlandais (comme en anglais ou en allemand), se construit en ajoutant le suffixe « -ST » à la fin de l’adjectif : « jong » + « ST » => « jongST ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « De verzonken klok », le volume N°38 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1968-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : on retrouve les thèmes de la « verzonken klok » ou « gezonken klok » et du « waterduivel » (ou « protée belge ») dans le folklore belge (plusieurs documents sur le site www.idesetautres.be ) et il a été notamment repris par Roberto J. PAYRO (pages 57 et pages 41 à 52 du Diable en Belgique, IEA3637).

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 38 VERZONKEN KLOK 6A - Rajouté le 04/06/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De burcht wordt door de kinderen van de overleden slotheer beheerd. » (« Le château-fort est géré par les enfants du seigneur décédé »).
On y trouve la forme verbale « overLEDEN », participe passé provenant de l’infinitif « overLIJDEN », lui-même construit sur le verbe « LIJDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » (et dont le participe passé est « geLEDEN »).
Ce participe passé « overLEDEN » est ici utilisé comme adjectif épithète.
Le fait que « OVER » ne soit pas séparé du corps principal du participe passé (« LEDEN ») par un « GE » prouve qu’il ne s’agit PAS d’un verbe à « particule séparable ».
On y trouve aussi la forme verbale « BEHEERD », participé passé provenant de l’infinitif « BEHEREN ».
Ce verbe « BEHEREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire à la fin des participes passés.
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (ici « door de kinderen» et « van de overleden slotheer »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « De verzonken klok », le volume N°38 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1968-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : on retrouve les thèmes de la « verzonken klok » ou « gezonken klok » et du « waterduivel » (ou « protée belge ») dans le folklore belge (plusieurs documents sur le site www.idesetautres.be ) et il a été notamment repris par Roberto J. PAYRO (pages 57 et pages 41 à 52 du Diable en Belgique, IEA3637).

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 38 VERZONKEN KLOK 5C - Rajouté le 03/06/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Jaren geleden stond in de vallei een grote noodklok. » (« Il y a des années était debout = se dressait dans la vallée un tocsin = une cloche de détresse »).
On y trouve notamment la forme verbale « STOND », O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « STAAN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Jaren geleden »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « een grote noodklok ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « stond ») et passant donc derrière lui.
Notez que « GELEDEN », dans l’expression « jaren geleden », est un participe passé provenant vraisemblablement de l’infinitif « LIJDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « De verzonken klok », le volume N°38 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1968-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : on retrouve les thèmes de la « verzonken klok » ou « gezonken klok » et du « waterduivel » (ou « protée belge ») dans le folklore belge (plusieurs documents sur le site www.idesetautres.be ) et il a été notamment repris par Roberto J. PAYRO (pages 57 et pages 41 à 52 du Diable en Belgique, IEA3637).

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 38 VERZONKEN KLOK 5B - Rajouté le 02/06/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik kwam hierheen om haar te verzorgen. » (« Je vins par ici pour la soigner »).
On y trouve notamment la forme verbale « KWAM », O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « KOMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve également, dans une sorte de mini-phrase subordonnée introduite par « OM … TE » (signifiant « POUR » devant les verbes), le complément « HAAR » intercalé entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « VERZORGEN ».
Rappelons que si le malade avait été masculin, on aurait eu « HEM » au lieu de « HAAR » et que cela aurait donné la phrase suivante : « Ik kwam hierheen om HEM te verzorgen. »
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « De verzonken klok », le volume N°38 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1968-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : on retrouve les thèmes de la « verzonken klok » ou « gezonken klok » et du « waterduivel » (ou « protée belge ») dans le folklore belge (plusieurs documents sur le site www.idesetautres.be ) et il a été notamment repris par Roberto J. PAYRO (pages 57 et pages 41 à 52 du Diable en Belgique, IEA3637).

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 38 VERZONKEN KLOK 5A - Rajouté le 01/06/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De oude vrouw wordt dadelijk naar bed gebracht. » (« La vieille femme est aussitôt amenée au lit »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEBRACHT », participe passé provenant de l’infinitif « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et est construit sur le singulier du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « GEBRACHT » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« dadelijk » et « naar bed »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « De verzonken klok », le volume N°38 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1968-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : on retrouve les thèmes de la « verzonken klok » ou « gezonken klok » et du « waterduivel » (ou « protée belge ») dans le folklore belge (plusieurs documents sur le site www.idesetautres.be ) et il a été notamment repris par Roberto J. PAYRO (pages 57 et pages 41 à 52 du Diable en Belgique, IEA3637).

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 38 VERZONKEN KLOK 4A - Rajouté le 31/05/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij houdt de ridder in een ijzeren greep gevangen. » (« Il tient le chevalier pris = prisonnier dans une étreinte de fer »).
On y trouve notamment la forme verbale « gevangen », V.T.T. (ou participe passé) provenant de l’infinitif « VANGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’infinitif. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « gevangen » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« de ridder » et « in een ijzeren greep »), à la fin de la phrase.
Quand on fait, en néerlandais, jouer à une matière (bois, laine, etc.) le rôle d’un adjectif épithète (EN bois, EN laine, etc.), on trouve une terminaison exceptionnelle : « -EN ». C’est le cas de « ijzerEN ». Un moyen mnémotechnique pour retenir cette anomalie : le francophone peut se dire que le « EN », qui précède le nom commun français, se colle à la FIN du nom commun néerlandais.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 4 dans « De verzonken klok », le volume N°38 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1968-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : on retrouve les thèmes de la « verzonken klok » ou « gezonken klok » et du « waterduivel » (ou « protée belge ») dans le folklore belge (plusieurs documents sur le site www.idesetautres.be ) et il a été notamment repris par Roberto J. PAYRO (pages 57 et pages 41 à 52 du Diable en Belgique, IEA3637).

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 38 VERZONKEN KLOK 3A - Rajouté le 30/05/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het is je niet geraden. » (« Cela ne t’est pas conseillé = à toi »).
On y trouve notamment la forme verbale « geraden », V.T.T. (ou participe passé) provenant de l’infinitif « RADEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’infinitif. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « geraden » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« JE » = « aan jou »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 3 dans « De verzonken klok », le volume N°38 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1968-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : on retrouve les thèmes de la « verzonken klok » ou « gezonken klok » et du « waterduivel » (ou « protée belge ») dans le folklore belge (plusieurs documents sur le site www.idesetautres.be ) et il a été notamment repris par Roberto J. PAYRO (pages 57 et pages 41 à 52 du Diable en Belgique, IEA3637).

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 38 VERZONKEN KLOK 2A - Rajouté le 29/05/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De jonge slotheer = leenheer (Cunard) stierf vanmorgen = ‘s morgens = in de morgen = deze morgen. » (« Le jeune seigneur mourut ce matin »).
On y trouve notamment la forme verbale « STIERF » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant du verbe « STERVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 2 dans « De verzonken klok », le volume N°38 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1968-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : on retrouve les thèmes de la « verzonken klok » ou « gezonken klok » et du « waterduivel » (ou « protée belge ») dans le folklore belge (plusieurs documents sur le site www.idesetautres.be ) et il a été notamment repris par Roberto J. PAYRO (pages 57 et pages 41 à 52 du Diable en Belgique, IEA3637).

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 38 VERZONKEN KLOK 1C - Rajouté le 28/05/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat heb ik nog nooit meegemaakt. » (« Je n’ai encore jamais assisté à cela »).
On y trouve notamment la forme verbale « MEEgemaakt », participe passé construit sur l’infinitif « MEEmaken », lui-même construit sur le verbe « MAKEN » (ayant une signification différente).
Ce verbe est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Ce verbe « MEEmaken » est aussi dit « à particule séparable », la particule « MEE » provenant de la préposition « MET ». Quand il est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « MEE » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « meeGEmaakt ».
N’oublions donc pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (ici « DAT »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « IK ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « HEB ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 1 dans « De verzonken klok », le volume N°38 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1968-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : on retrouve les thèmes de la « verzonken klok » ou « gezonken klok » et du « waterduivel » (ou « protée belge ») dans le folklore belge (plusieurs documents sur le site www.idesetautres.be ) et il a été notamment repris par Roberto J. PAYRO (pages 57 et pages 41 à 52 du Diable en Belgique, IEA3637).

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 38 VERZONKEN KLOK 1B - Rajouté le 27/05/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze (de hinde) wordt als door een onzichtbare hand onder water getrokken. » (« Elle (la biche) est tirée sous l’eau comme par une main invisible »).
On y trouve notamment la forme verbale « getrokken », V.T.T. (ou participe passé) provenant de l’infinitif « TREKKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « getrokken » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« door een onzichtbare hand » et « onder water »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 1 dans « De verzonken klok », le volume N°38 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1968-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : on retrouve les thèmes de la « verzonken klok » ou « gezonken klok » et du « waterduivel » (ou « protée belge ») dans le folklore belge (plusieurs documents sur le site www.idesetautres.be ) et il a été notamment repris par Roberto J. PAYRO (pages 57 et pages 41 à 52 du Diable en Belgique, IEA3637).

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 38 VERZONKEN KLOK 1A - Rajouté le 26/05/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Tijdens een vermoeiende tocht stapt de Rode Ridder (van zijn paard) af. » (« Le Rode Ridder descend (de cheval) pendant une fatigante randonnée »).
On y trouve la forme verbale « stapt … AF », provenant de l’infinitif « AFstappen », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « STAPPEN ».
La « particule séparable » « AF » fait l’objet d’un REJET, (et aurait fait l’objet d’un REJET derrière le complément « tijdens een vermoeiende tocht » si l’on n’avait pas eu affaire à une INVERSION »), à la fin de la phrase. Si on avait eu l’ordre traditionnel des mots dans la phrase, on aurait en effet eu : « De Rode Ridder stapt tijdens een vermoeiende tocht af. »
N’oublions donc pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« tijdens een vermoeiende tocht »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de Rode Ridder ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « stapt ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 1 dans « De verzonken klok », le volume N°38 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel BIDDELOO, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1968-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
N.B. : on retrouve les thèmes de la « verzonken klok » ou « gezonken klok » et du « waterduivel » (ou « protée belge ») dans le folklore belge (plusieurs documents sur le site www.idesetautres.be ) et il a été notamment repris par Roberto J. PAYRO (pages 57 et pages 41 à 52 du Diable en Belgique, IEA3637).

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 27B - Rajouté le 25/05/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het koper kwam zeker van een plaats niet ver vanwaar ik hem begroef » (« Le cuivre venait certainement d’une place pas loin de celle où je l’enterrai »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « KWAM », O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « KOMEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve également, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « BEGROEF », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « BEGRAVEN », lui-même construit sur le verbe « GRAVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 27 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 15C - Rajouté le 24/05/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maar waarom houdt men hem verborgen ? » (« Mais pourquoi le tient-on caché ? »).
On y trouve la forme verbale « verborgen », participe passé provenant d’un infinitif « verbergen », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Ce participe passé « verborgen » se construit sur le pluriel du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « verborgen » est affecté d’un REJET, derrière le complément (« HEM »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 15 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 7E - Rajouté le 23/05/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Welk lot is mij hier beschoren ? » (« Quel sort m’est destiné = réservé ici ? »).
On y trouve la forme verbale « beschoren », participe passé provenant d’un infinitif « bescheren » ayant disparu, lui-même construit sur l’infinitif « SCHEREN » qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Ce participe passé « beschoren » (« GEschoren » donc dans le cas de « SCHEREN ») se construit sur le pluriel du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « beschoren » est affecté d’un REJET, derrière les compléments (« MIJ » et « HIER »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 7 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 5A - Rajouté le 22/05/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wij vonden twee paarden » (« Nous trouvâmes deux chevaux »).
On y trouve la forme verbale « VONDEN », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 4B - Rajouté le 21/05/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zijn ontmoeting met de beer is hem noodlottig geworden » (« Sa rencontre avec l’ours lui est devenue fatale »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEWORDEN », participe passé provenant de l’infinitif « WORDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Cette forme verbale est, comme on le voit, construite sur L’INFINIF. (Pour complément d’informations, consultez notamment notre tableau de synthèse « Temps primitifs » dans la partie « GRAMMATICA » de ce site.)
Le participe passé « GEWORDEN » est affecté d’un REJET, derrière les compléments (« HEM » et « noodlottig »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 3 et 4 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 31D - Rajouté le 20/05/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De vlam (…) deed het uitzetten tot de trekker (werd) overgehaald werd ! » (« La flamme fit = provoqua la dilatation jusqu’à ce que la gâchette fût pressée »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « DEED », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « DOEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve aussi dans la phrase subordonnée (introduite par « TOT » pour « TOTDAT »), le REJET de la forme verbale « werd overgehaald », derrière le complément (sous-entendu « genoeg »), à la fin de la phrase.
On y trouve encore, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « WERD », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « WORDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
On y trouve enfin, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « overGEhaald » (participe passé provenant de l’infinitif « OVERhalen », lui-même construit sur le verbe « HALEN », PAS affecté par les « temps primitifs »).
Ce verbe « OVERhalen » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « L », on trouvera le « D » majoritaire. Ce verbe «OVERhalen » est aussi dit « à particule séparable » ; quand il est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OVER » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « overGEhaald ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 31 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 31C - Rajouté le 19/05/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Nu moet je me toch eens verklaren hoe je dat voor elkaar kreeg ! » (« Maintenant tu dois tout de même m’expliquer (une fois) comment tu reçus cela l’un dans l’autre = tu t’y es pris pour y arriver »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « KREEG », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « KRIJGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve dans la phrase subordonnée (introduite par « HOE »), le REJET de la forme verbale « KREEG », derrière les compléments (« DAT » et « voor elkaar »), à la fin de la phrase.
Notez l’utilisation de l’expression « voor elkaar krijgen ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 31 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 31B - Rajouté le 18/05/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De zilverbuks heeft gesproken » (« La carabine en argent a parlé »).
On y trouve notamment la forme verbale « GESPROKEN », participe passé provenant de l’infinitif « SPREKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 31 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 31A - Rajouté le 17/05/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dodelijk getroffen, stort de wrede tovenaar neer » (« Mortellement touché, le cruel sorcier s’écroule »).
On y trouve notamment, dans le complément (qui est une sorte de phrase subordonnée) la forme verbale « GETROFFEN », participe passé provenant de l’infinitif « TREFFEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GETROFFEN », utilisé comme adjectif, fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« dodelijk»), à la fin de la phrase subordonné.
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Dodelijk getroffen »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de wrede tovenaar ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « stort ») et passant donc derrière lui.
On y trouve aussi, dans la phrase principale, la forme verbale « stort … NEER », construite sur le verbe « NEERstorten » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « STORTEN ».
Quand « NEERstorten » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « NEER » de son infinitif proprement dit, la particule « NEER » étant affectée par un REJET, derrière le complément (ici, sous-entendu : « op de grond »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 31 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 30C - Rajouté le 16/05/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De toverbuks werd mij door de geesten teruggeschonken (…) ! » (« La carabine magique me fut offerte en retour par les esprits ! »).
On y trouve, dans la phrase principale, la forme verbale « TERUGgeschonken », participe passé construit sur le verbe « TERUGschenken » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « SCHENKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « TERUGschenken » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERUG » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « terugGEschonken ».
Cette particule « TERUG » est très fréquente en néerlandais puisqu’elle correspond au préfixe « RE- » (exemple : Revenir), rendant la notion de RETOUR (ici au propriétaire).
On y trouve aussi la forme verbale « WERD », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « WORDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 30 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 30B - Rajouté le 15/05/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De geesten hebben ze hem teruggegeven ! » (« Les esprits la lui ont rendue ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « TERUGgegeven », participe passé construit sur le verbe « TERUGgeven » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « GEVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « TERUGgeven » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERUG » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « terugGEgeven ».
Cette particule « TERUG » est très fréquente en néerlandais puisqu’elle correspond au préfixe « RE- » (exemple : Revenir), rendant la notion de RETOUR (ici au propriétaire).
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 30 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 30A - Rajouté le 14/05/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij wierp de buks in zee ! » (« Il jeta la carabine dans la mer ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « WIERP » (O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « WERPEN »), qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 30 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 29B - Rajouté le 13/05/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik wierp slechts een imitatie van mijn buks in zee » (« Je ne jetai qu’une imitation de ma carabine dans la mer »).
On y trouve notamment la forme verbale « WIERP » (O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « WERPEN »), qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Notons l’utilisation de « SLECHTS » correspondant aux mots français « NE … QUE ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 29 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 29A - Rajouté le 12/05/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat was te verwachten ! » (« C’était à attendre = Il fallait s’y attendre ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 29 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 28C - Rajouté le 11/05/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Taho) spreekt met gespleten tong » (« Il parle avec une langue fourchue »).
On y trouve notamment la forme verbale « GESPLETEN » utilisée comme adjectif épithète, participe passé (utilisé e. a. au passé composé ou V.T.T.) provenant de l’infinitif « SPLIJTEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le pluriel du prétérit ou O.V.T. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 28B - Rajouté le 10/05/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « (…) hij dacht dat ik wist waar het koper vandaan kwam dat Novok bij zich had ! » (« Il pensait que je savais d’où venait le cuivre que Novok avait sur lui ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « DACHT » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant du verbe « DENKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve aussi la forme verbale « WIST » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant du verbe « WETEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve encore la forme verbale « KWAM » (O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « KOMEN »), qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que le mot « vandaan » indique la provenance. L’expression la plus connue est « Waar kom je vandaan ? » = « D’où viens-tu ? »
On y trouve enfin la forme verbale « HAD », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « HEBBEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 28A - Rajouté le 09/05/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Winnetou) hield hem (Shatterhand) hier verborgen ! » (« Il le tenait ici caché ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « HIELD », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « HOUDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve aussi la forme verbale « VERBORGEN », participe passé construit sur le verbe « VERBERGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (ici « HEM » et « HIER »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 27A - Rajouté le 08/05/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Taho) vond ruw koper in mijn tas » (« Il trouva du cuivre brut dans mon sac »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale et dans phrase subordonnée relative, une double forme verbale « VOND », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 27 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 26C - Rajouté le 07/05/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Winnetou) wordt naast hem (Old Shatterhand) gebonden » (« Il est attaché = on l’attache à côté de lui »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEBONDEN », participe passé provenant de l’infinitif « BINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « GEBONDEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« naast hem »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 26 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 26B - Rajouté le 06/05/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je vergat mijn getrouwen » (« Tu oubliais mes fidèles »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERGAT », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « VERGETEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 26 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 26A 18 - Rajouté le 05/05/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je hebt de zilverbuks weggeworpen » (« Tu as jeté (au loin) la carabine en argent »).
On y trouve notamment la forme verbale « WEGgeworpen », participe passé provenant de l’infinitif « WEGwerpen », lui-même construit sur le verbe « WERPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « WEGgeworpen » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« de zilverbuks »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 18 et 26 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 25C - Rajouté le 04/05/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Waar vond JE het koper dat IK in je (jouw) tas vond ? » (« Où trouvas-tu le cuivre que je trouvai dans ton sac ? »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale et dans phrase subordonnée relative, une double forme verbale « VOND », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il faut rappeler que si, lors du passage de la 1ère personne (« IK ») à la 2ème personne (« JE ») du singulier de l’indicatif présent (O.T.T.) on ajoute normalement la terminaison « T » après le « JE » (sauf à la forme interrogative), ce N’est PAS le cas à l’O.V.T. (ou prétérit) !
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 25B - Rajouté le 03/05/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Honger en mishandeling hebben je niet aan het praten gebracht » (« La faim et les mauvais traitements ne t’ont pas amené à parler »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEBRACHT », participe passé provenant de l’infinitif « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le SINGULIER du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « GEBRACHT » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« aan het praten »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 25A - Rajouté le 02/05/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « In het gewelf bevindt zich hij (Old Shatterhand) stevig aan handen en voeten gebonden » (« Sous la voûte se trouve Old Shatterhand, solidement attaché aux mains et aux pieds »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEBONDEN », participe passé provenant de l’infinitif « BINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « GEBONDEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« aan handen en voeten »), à la fin de la phrase.
Si l’on n’avait pas utilisé « zich BEVINDEN », cette phrase aurait été à la voix passive et on aurait utilisé l’auxiliaire « WORDEN » (au lieu de l’auxiliaire « ZIJN » aux temps composés).
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (ici « In het gewelf »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « HIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « bevindt zich ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 7 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 24A - Rajouté le 01/05/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Alle beschikbare kano’s slepen de gedode walvis naar de wal » (« Tous les canots disponibles traînèrent la baleine tuée vers la rive »).
On y trouve notamment la forme verbale « SLEPEN », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « SLIJPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve aussi, utilisée comme adjectif épithète, la forme verbale « GEDODE », provenant de l’infinitif « DODEN ».
Ce verbe « DODEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est PAS affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical « DOOD » (première personne du présent) se terminant par la consonne « D », on trouvera le « D » majoritaire au participe passé (mais sans le « doubler ») : « GEDOOD ».
Dans le complément « de gedode walvis », le participe passé « GEDOOD », utilisé donc comme adjectif épithète, se place donc devant le nom et, pour s’accorder, prend la terminaison majoritaire « E » (devant noms masculin, féminin et neutre au singulier ainsi que masculin, féminin ou neutre au pluriel, précédés d’un déterminant défini). Attention à la modification orthographique : dans la mesure où on rajoute un « E » derrière une consonne finale unique (ici « D »), cela entraîne la disparition d’une des deux voyelles identiques (ici « O ») devant cette même consonne si l’on a affaire à une double voyelle. « GEDOOD » + « E » - « O » = « gedOdE ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 24 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 22A - Rajouté le 30/04/2012

Description : La double phrase suivante (d’un dialogue) est grammaticalement intéressante : « (Taho) Dit is een uitdaging ! – Aangenomen (Winnetou) ! » (« C’est un défi ! – Accepté ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « « AANgenomen », V.T.T. (ou participe passé) provenant de l’infinitif « aanNEMEN », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « NEMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « AANnemen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGEnomen ».
Notez que, si Taho avait formulé une phrase complète, cette phrase aurait été à la voix passive (avec utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ») : « Jouw uitdaging wordt aangenomen, Winnetou) ! ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 22 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 21B - Rajouté le 29/04/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Nu zijn ze reddeloos verloren ! » (« Maintenant ils sont irrémédiablement perdus ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERLOREN », participe passé construit sur le verbe « VERLIEZEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « reddeloos »), à la fin de la phrase.
Notez que le suffixe « -LOOS » dans « reddeloos » (construit sur « REDDEN ») équivaut à la préposition « ZONDER » (= SANS) => « reddeloos » = « sans espoir d’être sauvés ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (ici « NU »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « ZE ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « ZIJN ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 21 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 21A - Rajouté le 28/04/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wat heb je gedaan ? » (« Qu’as-tu fait ? »).
On y trouve la forme verbale « GEDAAN », participe passé provenant de l’infinitif « DOEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 21 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 20B - Rajouté le 27/04/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Plotseling wordt hij (Whonak) door het (…) gespannen touw over boord getrokken » (« Subitement, il est tiré par-dessus bord par la corde tendue »).
On y trouve notamment la forme verbale « GETROKKEN », participe passé provenant de l’infinitif « TREKKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GETROKKEN » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« door het gespannen touw » et « over boord »), à la fin de la phrase.
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Plotseling »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « HIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « WORDT ») et passant donc derrière lui.
On y trouve aussi, utilisé comme adjectif épithète, la forme verbale « gespannen », participe passé provenant de l’infinitif « SPANNEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 20 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 20A - Rajouté le 26/04/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Nauwelijks heeft de harpoen hem getroffen of de walvis stuift in de (…) golven weg » (« A peine le harpon l’a-t-il touchée que la baleine part en trombe dans les flots »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « GETROFFEN », participe passé provenant de l’infinitif « TREFFEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GETROFFEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« HEM »), à la fin de la phrase principale.
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Nauwelijks »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de harpoen ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « heeft ») et passant donc derrière lui.
On y trouve aussi, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « stuift … WEG », provenant de l’infinitif « WEGstuiven » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « STUIVEN ». Quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « WEG » de son infinitif proprement dit et elle fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« in de golven »), à la fin de la phrase subordonnée.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 20 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 19B - Rajouté le 25/04/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb nooit op de zwarte vis gejaagd » (« Je n’ai jamais chassé le poisson noir »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEJAAGD », participe passé provenant de l’infinitif « JAGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » (pour son prétérit) mais qui évolue vers un verbe régulier.
Rappelons que si nous savons bien qu’une baleine est un mammifère, le nom commun « walVIS » en néerlandais contient « VIS », d’où le « zwarte VIS » de Winnetou.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 19 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 19A - Rajouté le 24/04/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « (ceder)bomen worden (…) van hun schors ontdaan » (« Les arbres sont défaits = dépouillés de leur écorce »).
On y trouve notamment la forme verbale « ONTdaan », participe passé provenant du verbe « ontDOEN », lui-même construit sur l’infinitif « DOEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » (et dont le participe passé est « GEDAAN »).
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « ONT- » (qui n’est PAS une « particule séparable »), son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 19 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 17C - Rajouté le 23/04/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De zilverbuks heeft gesproken » (« La carabine en argent a parlé »).
On y trouve notamment la forme verbale « GESPROKEN », participe passé provenant de l’infinitif « SPREKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 17B - Rajouté le 22/04/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het ogenblik was zeker niet gunstig ! » (« Le moment n’était certainement pas favorable ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 17A - Rajouté le 21/04/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De toverbuks heeft op mij geschoten ! » (« La carabine magique a tiré sur moi ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « GESCHOTEN », participe passé provenant de l’infinitif « SCHIETEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GESCHOTEN » fait l’objet en néerlandais d’un REJET, derrière le complément (« op mij »), à la fin de la phrase.
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le préfixe « TOVER- » est l’équivalent de l’adjectif « magisch ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 16B - Rajouté le 20/04/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Winnetou) kreeg van de geesten zijn zilveren toverbuks » (« Il reçut des esprits sa carabine magique EN argent »).
On y trouve notamment la forme verbale « KREEG », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « KRIJGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le préfixe « tover- » joue devant un nom commun le rôle d’un adjectif : « magisch ».
Quand on fait, en néerlandais, jouer à une matière (bois, laine, etc.) le rôle d’un adjectif épithète (EN bois, EN laine, etc.), on trouve une terminaison exceptionnelle : « -EN ». C’est le cas de « zilverEN » mais on a trouvé, par ailleurs, « zilverbuks ». Un moyen mnémotechnique pour retenir cette anomalie : le francophone peut être de se dire que le « EN », qui précède le nom commun français, se colle à la FIN du nom commun néerlandais.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 16A - Rajouté le 19/04/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Vannacht kwam een onzer = van onze vissers in zee om » (« Cette nuit, un de nos pêcheurs périt en mer »).
On y trouve notamment la forme verbale « KWAM … OM », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « OMkomen », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « KOMEN » qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « OMkomen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OM » de son infinitif proprement dit, la particule « OM » étant affectée par un REJET, derrière le complément (« in zee »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« vannacht »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « een onzer = van onze vissers ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « KWAM ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 15B - Rajouté le 18/04/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een stem, die uit de totem scheen te komen, beval mij te liegen » (« Une voix, qui semblait venir du totem, m’ordonna de mentir »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « SCHEEN », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « SCHIJNEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Dans la phrase subordonnée (introduite par « DIE »), il y a REJET de la forme verbale « SCHEEN », derrière le complément (« uit de totem »), à la fin de cette phrase subordonnée.
Rappelons que « SCHIJNEN » est un de ces verbes qui exigent un « TE » avant l’infinitif qui les suit.
On trouve également, dans la phrase principale, la forme verbale « BEVAL », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « BEVELEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 15 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 15A 13 - Rajouté le 17/04/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het (kledingstuk) lag voor mijn totempaal » (« La pièce de vêtement était couchée = se trouvait = gisait devant mon totem »).
On y trouve notamment la forme verbale « LAG », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « LIGGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
N’oublions pas que si le déterminant défini d’un nom commun NEUTRE singulier est « HET », le pronom personnel sujet qui remplacera devant une forme verbale (de la 3ème personne du singulier) le même nom commun, sera également « HET ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 13 et 15 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 14B - Rajouté le 16/04/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik moet weten wie die moordenaar opdracht gaf » (« Je dois savoir qui donna l’ordre à ce meurtrier »).
On y trouve notamment la forme verbale « GAF », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « GEVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve également, dans la phrase subordonnée (introduite par « WIE »), le REJET de la forme verbale « GAF », derrière les compléments (« die moordenaar » et « opdracht »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 14 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 14A - Rajouté le 15/04/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik ben de zus van degene die => wie het kledingstuk (…) vond » (« Je suis la sœur de celui qui trouva le morceau de vêtement »).
On y trouve notamment la forme verbale « VOND », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve également, dans la phrase subordonnée (introduite par « DIE »), le REJET de la forme verbale « VOND », derrière le complément (« het kledingstuk »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 14 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 13C - Rajouté le 14/04/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De zee heeft jouw (je) vriend tot zich genomen » (« La mer a pris à elle = s’est emparée de ton ami »).
On y trouve notamment la forme verbale « GENOMEN », participe passé provenant de l’infinitif « NEMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GENOMEN » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« jouw vriend » et « tot zich »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 13 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 13B - Rajouté le 13/04/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dit heb ik op het strand gevonden » (« J’ai trouvé ceci sur la plage »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEVONDEN », participe passé provenant de l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEVONDEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« op het strand »), à la fin de la phrase.
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
N’oublions pas non plus que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« DIT »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « IK ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « HEB ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 13 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 13A - Rajouté le 12/04/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De geesten hebben te kennen gegeven dat U (Winnetou) het dorp (…) moet verlaten » (« Les esprits ont donné à connaître = ont fait savoir que vous devez quitter le village »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEGEVEN », participe passé provenant de l’infinitif « GEVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’infinitif. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Rappelons aussi que, aux temps composés, le participe passé (ici « GEGEVEN ») fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « te kennen »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 13 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 12A - Rajouté le 11/04/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Winnetou) kreeg zijn tovermacht van boze geesten » (« Il reçut sa puissance magique d’esprits malveillants »).
On y trouve notamment la forme verbale « KREEG », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « KRIJGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le préfixe « tover- » joue devant un nom commun le rôle de l’adjectif « magisch ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 12 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 11C - Rajouté le 10/04/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij zal in het dorp blijven tot hij zijn vriend (Old Shatterhand) (heeft) gevonden heeft » (« Il va rester = restera dans le village jusqu’à ce qu’il ait trouvé son ami »).
Dans la première phrase, on a la forme verbale « ZAL », provenant de l’infinitif « ZULLEN », auxiliaire utilisé pour indiquer que l’on se trouve au futur simple.
N’oublions pas que « ZULLEN », auxiliaire utilisé pour indiquer que l’on se trouve au futur simple, exige le REJET de l’autre verbe (« blijven »), à l’infinitif, derrière le complément (ici « in het dorp »), à la fin de la phrase.
Nous avons rendu en français cet auxiliaire par un « futur proche », moins déroutant pour les francophones.
On y trouve également, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « GEVONDEN », participe passé provenant de l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Cette forme verbale est construite sur LE PLURIEL de son prétérit. (Pour complément d’informations, consultez notamment notre tableau de synthèse « Temps primitifs » dans la partie « GRAMMATICA » de ce site.)
Ce participe passé « GEVONDEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« zijn vriend »), à la fin de la phrase subordonnée (introduite par « TOT » remplaçant « TOTDAT »).
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 11B - Rajouté le 09/04/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Mijn broeder (broer) is op het strand spoorloos verdwenen » (« Mon frère a disparu sans (laisser de) traces sur la plage »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERDWENEN », participe passé provenant de l’infinitif « VERDWIJNEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Notons que, aux temps composés, l’auxiliaire n’est PAS toujours LE même qu’en français. C’est, en général, le cas quand il y a une notion de MOUVEMENT.
Aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (ici « op het strand » et « spoorloos »), à la fin de la phrase.
Rappelons aussi que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Il est à noter que ce participe passé « VERDWENEN » se construit sur le PLURIEL du prétérit et, dans ce cas-ci, est même identique. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 11A - Rajouté le 08/04/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Winnetou) heeft met de zilverbuks zijn onschuld bewezen » (« Il a prouvé, avec la carabine en argent, son innocence »).
On y trouve notamment la forme verbale « BEWEZEN », participe passé provenant de l’infinitif « BEWIJZEN », lui-même construit sur l’infinitif « WIJZEN » (ayant une autre signification), qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le pluriel du prétérit et, dans ce cas-ci, est même identique. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Rappelons également que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux. « BEWEZEN » est donc bien un participe passé même si sa forme verbale est identique au pluriel de l’O.V.T. (ou « prétérit »).
Aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (ici « met de zilverbuks » et « zijn onschuld »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 9 et 11 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 10D - Rajouté le 07/04/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wie bracht hem op de hoogte als hij op zee was ? » (« Qui le mit au courant s’il était sur la mer = en mer ? »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « BRACHT », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Notez l’expression « op de hoogte brengen » = « mettre à la hauteur » => « mettre au courant ».
On y trouve également, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La forme verbale « WAS » fait l’objet, dans la phrase subordonnée (introduite par « ALS »), d’un REJET, derrière le complément, à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 10 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : RIJMENDE PAARD SUSKE EN WISKE VANDERSTEEN - Rajouté le 06/04/2012

Description : Nous nous sommes inspirés du livre-jeux « HET FANTASTISCHE LABYRINT » (par ailleurs téléchargeable gratuitement à partir de ce même site www.idesetautres.be) créé sous l’égide de l’équipe du groupe ECRILIRE (édité au Centre technique de l’Enseignement de la Communauté française de Belgique, à Frameries) et conçu par Marie-Claude HUBERT et Willy PAQUET (EPESCF de Nalinnes) pour adapter cette BD « Het rijmende paard » (« Suske en Wiske » N°96, 1962) de Willy VANDERSTEEN.
Convertir une histoire de quelque 40 pages à 4 lignes en un opuscule de 12 pages de 3 lignes est un bon exercice de synthèse et le travail de déconstruction puis de reconstruction a contribué à l’apprentissage de la langue néerlandaise pour les élèves de la classe de 2ème « générale » qui y ont participé.
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait notamment à des élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 10C - Rajouté le 06/04/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Taho) spreekt met gespleten tong » (« Il parle avec une langue fourchue »).
On y trouve notamment la forme verbale « GESPLETEN » utilisée comme adjectif épithète, participe passé (utilisé e. a. au passé composé ou V.T.T.) provenant de l’infinitif « SPLIJTEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le pluriel du prétérit ou O.V.T. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 10 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : HONDENPARADIJS SUSKE EN WISKE VANDERSTEEN - Rajouté le 05/04/2012

Description : Nous nous sommes inspirés du livre-jeux « HET FANTASTISCHE LABYRINT » (par ailleurs téléchargeable gratuitement à partir de ce même site www.idesetautres.be) créé sous l’égide de l’équipe du groupe ECRILIRE (édité au Centre technique de l’Enseignement de la Communauté française de Belgique, à Frameries) et conçu par Marie-Claude HUBERT et Willy PAQUET (EPESCF de Nalinnes) pour adapter cette BD « Het hondenparadijs » (« Suske en Wiske » N°98, 1962) de Willy VANDERSTEEN.
Convertir une histoire de quelque 40 pages à 4 lignes en un opuscule de 12 pages de 3 lignes est un bon exercice de synthèse et le travail de déconstruction puis de reconstruction a contribué à l’apprentissage de la langue néerlandaise pour les élèves de la classe de 2ème « générale » qui y ont participé.
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait notamment à des élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1952-2012.
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 10B - Rajouté le 05/04/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hoe heeft hij (Whonak) de doden gewroken ? » (« Comment a-t-il vengé les morts ? »).
On y trouve la forme verbale « gewroken », participe passé provenant de l’infinitif « WREKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 10 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : SCHAT VAN BEERSEL SUSKE EN WISKE VANDERSTEEN - Rajouté le 04/04/2012

Description : Nous nous sommes inspirés du livre-jeux « HET FANTASTISCHE LABYRINT » (par ailleurs téléchargeable gratuitement à partir de ce même site www.idesetautres.be) créé sous l’égide de l’équipe du groupe ECRILIRE (édité au Centre technique de l’Enseignement de la Communauté française de Belgique, à Frameries) et conçu par Marie-Claude HUBERT et Willy PAQUET (EPESCF de Nalinnes) pour adapter cette BD « De schat van Beersel » (« Suske en Wiske » N°111, 1971) de Willy VANDERSTEEN.
Convertir une histoire de quelque 40 pages à 4 lignes en un opuscule de 12 pages de 3 lignes est un bon exercice de synthèse et le travail de déconstruction puis de reconstruction a contribué à l’apprentissage de la langue néerlandaise pour les élèves de la classe de 2ème « générale » qui y ont participé.
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait notamment à des élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1952-2012.
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 10A - Rajouté le 04/04/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Taho) is door de lucht hiereen gevlogen » (« Il a volé dans les airs de ce côté-ci »).
On y trouve la forme verbale « gevlogen », participe passé provenant de l’infinitif « VLIEGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce participe passé « gevlogen » se construit sur le pluriel du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Il est à noter que les verbes qui rendent une notion de mouvement n’ont pas, aux temps composés, le même auxiliaire (« AVOIR ») qu’en français : ils préfèrent l’auxiliaire « ETRE ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 10 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 8B - Rajouté le 03/04/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze (de Witchinoks) zullen hun doden niet ongewroken laten » (« Ils ne laisseront pas leurs morts non vengés »).
On y trouve la forme verbale « ONgewroken », participe passé (utilisé ici comme adjectif) provenant d’un infinitif « ONwreken » (qui n’existe pas ou n’existe plus), lui-même construit sur « WREKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Signalons que le préfixe « ON- » rend souvent une notion contraire de l’autre mot.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 8 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 3Z 4A - Rajouté le 02/04/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ver daarvandaan deed hij (Old Shatterhand) een ontstellende ontdekking » (« Loin de là, il fit une découverte effrayante »).
On y trouve notamment la forme verbale « DEED », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « DOEN », verbe dit « à particule séparable », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« ver daarvandaan »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « HIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « DEED ») et passant donc derrière lui.
N’oublions pas non plus que le participe présent en néerlandais se construit en ajoutant simplement un « D » à l’infinitif : « ONTSTELLEN » => « ontstellenD ». Ici, ce participe présent est utilisé comme adjectif épithète, se place donc devant le nom et, pour s’accorder, prend la terminaison majoritaire « E » => « ontstellenDe ontdekking ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 3 et 4 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 8A - Rajouté le 01/04/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Alle hoop op redding is vervlogen » (« Tout espoir de sauvetage est envolé »).
On y trouve la forme verbale « VERvlogen », participe passé provenant de l’infinitif « VERvliegen », lui-même construit sur « VLIEGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux (alors que le participe passé de « VLIEGEN » débute bel et bien par « GE- » : « GEvlogen »).
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 8 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 7D - Rajouté le 31/03/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij wordt aan palen gebonden » (« Il est attaché à des poteaux »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEBONDEN », participe passé provenant de l’infinitif « BINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « GEBONDEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« voor de sachem »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 7 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE (?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 7C - Rajouté le 30/03/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij sprak met gespleten tong » (« Il parla avec (une) langue fourchue »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « SPRAK », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « SPREKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve aussi la forme verbale « GESPLETEN » utilisée comme adjectif épithète, participe passé (utilisé e. a. au passé composé ou V.T.T.) provenant de l’infinitif « SPLIJTEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit ou O.V.T. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 7 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 7B - Rajouté le 29/03/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij beweert dat hij je hem zag doden » (« Il prétend qu’il te vit le tuer »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « ZAG », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « ZIEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve aussi, dans cette phrase subordonnée donc (introduite par « DAT »), le REJET de la forme verbale « ZAG » derrière les compléments (« JE » et « HEM »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 7 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 7A - Rajouté le 28/03/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij wordt voor de sachem gebracht » (« Il est amené devant le sachem »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEBRACHT », participe passé provenant de l’infinitif « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le SINGULIER du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « GEBRACHT » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« voor de sachem »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 7 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 6E - Rajouté le 27/03/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij werd inmiddels naar het dorp gebracht » (« Il fut entretemps amené au village »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEBRACHT », participe passé provenant de l’infinitif « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le SINGULIER du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « GEBRACHT » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« inmiddels » et « naar het dorp »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 6D - Rajouté le 26/03/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik liet de beer begaan » (« Je laissai l’ours agir »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « LIET », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « LATEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve aussi le REJET de la forme verbale « BEGAAN » derrière le complément (« de beer »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 6C - Rajouté le 25/03/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik kon hem (Motha) redden » (« Je pus le sauver »).
On y trouve notamment la forme verbale « KON », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « KUNNEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve aussi le REJET (exigé par l’auxiliaire de mode « KUNNEN ») de la forme verbale « REDDEN », derrière le complément « HEM », à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 6B - Rajouté le 24/03/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik vond koper » (« Je trouvai du cuivre »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « VOND », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que l’article partitif « DU » n’est pas « rendu » (il est ici inexistant) dans la plupart des langues germaniques.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 5C - Rajouté le 23/03/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Jullie wilden ons laten geloven dat de beer hem neersloeg » (« Vous vouliez nous laisser croire que l’ours le terrassa »).
On y trouve notamment la forme verbale « WILDEN », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « WILLEN », qui faisait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » mais qui évolue vers un verbe régulier.
On y trouve aussi, dans la phrase subordonnée (introduite par « DAT »), la forme verbale « NEERsloeg » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant de l’infinitif « NEERslaan », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « SLAAN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Dans cette phrase subordonnée, la forme verbale « NEERsloeg » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« HEM »), à la fin de la phrase.
Si la forme verbale « NEERsloeg » n’avait pas été utilisée dans une phrase subordonnée, on aurait pu avoir : « de beer sloeg hem NEER » (avec REJET de la particule séparable « NEER », derrière le complément « HEM », à la fin de la phrase).
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 5B - Rajouté le 22/03/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het bleekgezicht was hier niet alleen » (« Le visage pâle n’était pas seul ici »).
On y trouve notamment la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 14 ZILVERBUKS 3A - Rajouté le 21/03/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De beer heeft de man geroken » (« L’ours a senti l’homme »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEROKEN », participe passé provenant de l’infinitif « RUIKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « GEROKEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« de man »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 3 dans « De zilverbuks », le volume N°14 de la série « KARL MAY ». Ce titre est à rapprocher du volume N°14 de la série « BESSY » : « De gevangene der Witchinoks » (1956).
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 29G - Rajouté le 20/03/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We spraken af later (af) opnieuw te ontmoeten » (« Nous prîmes rendez-vous pour nous rencontrer à nouveau plus tard »).
On y trouve notamment la forme verbale « spraken … AF », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « AFspreken », lui-même construit sur le verbe « SPREKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « AFspreken » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET, derrière le complément éventuel (par exemple « gisteren »), à la fin de la phrase principale, ici très courte (puisque « opnieuw te ontmoeten » peut être considérée comme une « subordonnée infinitive »).
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 29 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 29F - Rajouté le 19/03/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij bezat een vergift dat geen sporen nalaat » (« Il possédait un poison qui ne laisse pas de traces »).
On y trouve notamment la forme verbale « beZAT », O.V.T. ou prétérit provenant de l’infinitif « beZITTEN », lui-même construit sur l’infinitif « ZITTEN » qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 29 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 29E - Rajouté le 18/03/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We hebben hen opgezocht » (« Nous les avons recherché »).
On y trouve notamment la forme verbale « OPgezocht », participe passé de l’infinitif « OPzoeken », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « ZOEKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « OPzoeken » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « OPgezocht ».
Le participe passé « OPgezocht » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« HEN »), à la fin de la phrase.
Il est à noter que le participe passé « geZOCHT » se construit sur le singulier du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 29 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 28B - Rajouté le 17/03/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Men zou zeggen dat die kerels hier een samenkomst afgesproken hebben » (« On dirait que ces types ont pris rendez-vous pour une réunion ici »).
On y trouve notamment la forme verbale « AFgesproken », participe passé provenant de l’infinitif « AFspreken », lui-même construit sur le verbe « SPREKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « AFspreken » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « afGEsproken ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 25D - Rajouté le 16/03/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik kwam terug en verklaarde dat ik mijn taak had volbracht » (« Je revins et déclarai que j’avais accompli ma tâche »).
On y trouve, dans la phrase principale, la forme verbale « kwam TERUG », construite sur le verbe « TERUGkomen » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « KOMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERUG » de son infinitif proprement dit (un complément éventuel comme « thuis » pouvant s’intercaler entre eux), et le REJET de la particule, derrière ce complément, à la fin de la phrase.
On y trouve aussi, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « volBRACHT », participe passé (utilisé au plus-que-parfait) provenant de l’infinitif « volBRENGEN », lui-même construit sur le verbe « BRENGEN » (donnant habituellement le participe passé « geBRACHT »), qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et est construit sur le singulier du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « volBRACHT » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« mijn taak »), à la fin de la phrase. Il est à noter que la première syllabe de « volBRENGEN » (« VOL ») N’est PAS une particule séparable.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 19C - Rajouté le 15/03/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij nodigt je uit ons te vergezellen » (« Il t’invite à nous accompagner »).
Le verbe « UITNODIGEN » est un verbe dit « à particule séparable » et cela entraîne au présent (O.T.T.) en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, le complément « ONS » s’intercalant entre eux. Par ailleurs, « UITNODIGEN » introduit ici une sorte de subordonnée et engendre un « TE » pour exprimer (en mauvais français) « inviter … DE » et ce « TE » précède (comme en français) l’infinitif « VERGEZELLEN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 19 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 17C - Rajouté le 14/03/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je kreeg het bewijs dat de geesten wensen gerust gelaten te worden » (« Tu reçus la preuve que les esprits souhaitent être laissés en repos = en paix »).
On y trouve, d’une part, dans la phrase principale, la forme verbale « KREEG », O.V.T. (ou prétérit) construit sur le verbe « KRIJGEN » et faisant partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve, d’autre part, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « GElaten », participe passé provenant de l’infinitif « LATEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 13C - Rajouté le 13/03/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze zijn volledig verrast » (« Ils sont complètement surpris »).
On y trouve notamment, la forme verbale « VERRAST », participe passé provenant de l’infinitif « VERRASSEN », qui NE fait PAS partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « VERRASSEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « S », on trouvera au participe passé un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 13 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 31E - Rajouté le 12/03/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik wist dat ze elk afzonderlijk zouden terugkeren » (« Je savais que, chacun séparément, ils reviendraient »).
On y trouve notamment la forme verbale « WIST » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant du verbe « WETEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve aussi, dans la phrase subordonnée (introduite par « DAT »), le REJET des formes verbales « ZOUDEN » (auxiliaire du CONDITIONNEL) et « terugkeren », derrière les compléments (« elk » et « afzonderlijk »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 31 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 31D - Rajouté le 11/03/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Van toen af heb ik me verborgen gehouden » (« Depuis, je me suis tenue cachée »).
On y trouve notamment la forme verbale « verborgen », participe passé (utilisé comme adjectif) provenant de l’infinitif « VERBERGEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve également la forme verbale « GEhouden », participe passé provenant de l’infinitif « HOUDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEhouden » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« ME »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas non plus que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Van toen af »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « IK ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici l’auxiliaire « HEB ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 31 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 31C - Rajouté le 10/03/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Degene (Grijze Uil) die ons moest begraven, durfde de hut niet binnenkomen » (« Celui qui devait nous enterrer, n’osa pas pénétrer dans la hutte »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « MOEST » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant du verbe « MOETEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Dans cette phrase subordonnée (introduite par « DIE »), on a un REJET de la forme verbale « MOEST », derrière le complément « ONS », à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 31 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 31B - Rajouté le 09/03/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik weerstond aan het gift » (« Je résistai au poison »).
On y trouve notamment la forme verbale « weerSTOND » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant du verbe « weerSTAAN » (qui n’est PAS un verbe à « particule séparable »), lui-même construit sur l’infinitif « STAAN » qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 31 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 31A - Rajouté le 08/03/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De Grote Manitoe heeft niet gewild dat ik stierf » (« Le Grand Manitou n’a pas voulu que je meure »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « STIERF » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant du verbe « STERVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Dans cette phrase subordonnée (introduite par « DAT »), on aurait un REJET de la forme verbale « STIERF », derrière un complément sous-entendu (« als mijn man », à la fin de la phrase,.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 31 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 30C - Rajouté le 07/03/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een omgevallen lantaarn heeft de brand aan de hut gestoken » (« Une lanterne renversée a propagé l’incendie = mis le feu à la hutte »).
On y trouve notamment la forme verbale « GESTOKEN », participe passé provenant de l’infinitif « STEKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GESTOKEN » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« de brand » et « aan de hut »), à la fin de la phrase.
On y trouve également la forme verbale « OMgevallen », participe passé (utilisé ici comme adjectif épithète) provenant du verbe « OMvallen » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur l’infinitif « VALLEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « OMvallen » est conjugué comme participe passé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OM » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « omGEvallen ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’infinitif. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 30 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 30B - Rajouté le 06/03/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Nauwelijks heeft hij zijn hand in de opening gestoken of een geluid is te horen » (« A peine a-t-il introduit sa main dans l’ouverture qu’un bruit se fait entendre »).
On y trouve notamment la forme verbale « GESTOKEN », participe passé provenant de l’infinitif « STEKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GESTOKEN » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« zijn hand » et « in de opening »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« NAUWELIJKS »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « HIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « HEEFT ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 30 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 30A - Rajouté le 05/03/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Daar verborg hij het goud » (« C’est là qu’il cachait l’or »).
On y trouve la forme verbale « VERBORG », prétérit (ou O.V.T.) provenant de l’infinitif « VERBERGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« DAAR »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « HIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « VERBORG ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 30 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 29J - Rajouté le 04/03/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik ben verplicht je de plaats te tonen waar de goudklompjes werden verborgen » (« Je suis obligé de te montrer la place où les pépites ont été cachées »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « verplicht », participe passé provenant de l’infinitif « verplichten », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « verplichten » est considéré comme « régulier » mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « T », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire) au participe passé.
On y trouve également, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « VERBORGEN », participe passé provenant de l’infinitif « VERBERGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Cette phrase subordonnée est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 29 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 29I - Rajouté le 03/03/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb (…) vernomen dat jullie een vreselijke misdaad begingen » (« J’ai appris que vous aviez commis un crime épouvantable »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « VERnomen », participe passé provenant de l’infinitif « verNEMEN », lui-même construit sur le verbe « NEMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve également, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « BEgingen », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « BEgaan », lui-même construit sur le verbe « GAAN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Dans la phrase subordonnée (introduite par « DAT »), il y a REJET de cette forme verbale « BEgingen », derrière le complément (« een vreselijke misdaad »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 29 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 29D - Rajouté le 02/03/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We hadden (…) vernomen » (« Nous avions appris »).
On y trouve notamment la forme verbale « HADDEN », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « HEBBEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Cet auxiliaire « HEBBEN » est ici utilisé au temps composé du plus-que-parfait.
On y trouve donc aussi la forme verbale « VERnomen », participe passé provenant de l’infinitif « verNEMEN », lui-même construit sur le verbe « NEMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 29 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 29C - Rajouté le 01/03/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wij waren met drie » (« Nous étions trois »).
On y trouve notamment la forme verbale « WAREN », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 29 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 29B - Rajouté le 29/02/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wat is er met je gebeurd ? » (« Que t’est-il arrivé ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEBEURD », participe passé provenant de l’infinitif « GEBEUREN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEBEURD » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« MET JE »), à la fin de la phrase.
Ce verbe « GEBEUREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) ; il ne fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire.
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence déjà par le préfixe « GE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 29 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 29A - Rajouté le 28/02/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het is gedaan met mij » (« C’est fait avec moi = Cela en est fait de moi = Cela est terminé pour moi »).
On y trouve la forme verbale « GEDAAN », participe passé provenant de l’infinitif « DOEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 29 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 28A - Rajouté le 27/02/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Plots bemerkt hij (Andy) hoe een derde man tussen de bomen (is) verschenen is » (« Soudain, il remarque comme(nt) un troisième homme est apparu entre les arbres »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERSCHENEN », participe passé provenant de l’infinitif « VERSCHIJNEN », lui-même construit sur le verbe « SCHIJNEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Il est à noter que ce participe passé « VERSCHENEN » se construit sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 27A - Rajouté le 26/02/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De inspanning is haar te hevig geweest » (« L’effort a été trop intense pour elle »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEWEEST », participe passé provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce participe passé « GEWEEST » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (ici « haar » et « te hevig »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 27 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 26C - Rajouté le 25/02/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het is dus het geweer van de man die (…) in de hut (…) stierf » (« C’est donc le fusil de l’homme qui mourut dans la hutte »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « STIERF » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant du verbe « STERVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Dans cette phrase subordonnée (introduite par « DIE »), on a un REJET de la forme verbale « STIERF », derrière notamment le complément « in de hut », à la fin de la phrase,.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 26 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 26B 21 - Rajouté le 24/02/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het is dus het geweer van hetzelfde soort als dat waarmee de eland werd getroffen » (« C’est donc le fusil de la même sorte que celui avec lequel l’élan a été touché »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « GETROFFEN », participe passé provenant de l’infinitif « TREFFEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le pluriel du prétérit ou O.V.T. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.). Ce participe passé « GETROFFEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« de eland »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
Notons que ce verbe « TREFFEN » est tombé en désuétude pour le dictionnaire « VAN DALE ».
Rappelons, par ailleurs, que si l’on dit bien « de eland werd met het geweer getroffen », on NE dira PAS « Het is het geweer met wat de eland werd getroffen » ; « met wat » est remplacé par « WAARMEE » (« WAT » devenant « WAAR » et « MET » devenant « MEE »), que l’on appelle un adverbe pronominal.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 26 et 21 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 26A - Rajouté le 23/02/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Aan het onderzoek van die put heb ik reeds meer dan tijd genoeg verloren » (« A l’examen de ce puits, j’ai déjà perdu assez de temps »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERLOREN », participe passé construit sur le verbe « VERLIEZEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (ici « REEDS » et « meer dan tijd genoeg »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 26 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 25C - Rajouté le 22/02/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zo stierf ook de andere man (Davidson) » (« Ainsi mourut aussi l’autre homme »).
On y trouve notamment la forme verbale « STIERF » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant du verbe « STERVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 25B - Rajouté le 21/02/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Iedereen dacht aan een wraak van de geesten » (« Chacun pensa à une vengeance des esprits »).
On y trouve notamment la forme verbale « DACHT » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant du verbe « DENKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 25A - Rajouté le 20/02/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wel, spreek op ! » (« Eh bien, parle ! »).
On y trouve la forme verbale « spreek OP », impératif provenant de l’infinitif « OPspreken », verbe (tombé en désuétude) dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « SPREKEN ».
La forme verbale est construite sur l’O.T.T. ou indicatif présent.
Si cette forme verbale s’était effectivement trouvée à l’indicatif présent, on aurait eu : « je spreekt OP » (avec également REJET de la particule séparable « OP » à la fin de cette autre phrase).
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 24B - Rajouté le 19/02/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb over (dat) alles lang nagedacht » (« J’ai longtemps réfléchi à propos de tout cela »).
On y trouve notamment la forme verbale « NAgedacht », participe passé de l’infinitif « NAdenken », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « DENKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « NAdenken » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « NA » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « naGEdacht ».
Le participe passé « naGEdacht » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« over alles » et « lang »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 24 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 24A - Rajouté le 18/02/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « En die je dat aandeed, zal ik wel weten te vinden » (« Et celui qui t’a fait cela, je saurai bien le trouver »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « aanDEED », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « aanDOEN », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « DOEN » qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La forme verbale « aanDEED » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« JE » et « DAT »), à la fin de la phrase subordonnée (introduite par « DIE »).
Si cette forme verbale s’était trouvée dans le contexte d’une phrase « normale », on aurait eu : « de man deed je dat AAN » (avec REJET de la particule séparable « AAN » à la fin de cette autre phrase).
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (la subordonnée joue ici ce rôle»), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « IK ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec la forme verbale de l’auxiliaire du futur (« ZAL ») et passant donc derrière lui.
On y trouve aussi « WETEN », qui engendre un « TE » devant l’infinitif, « VINDEN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 24 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 23C - Rajouté le 17/02/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het bleekgezicht heeft zijn woord niet gehouden » (« Le visage pâle n’a pas tenu sa parole »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEHOUDEN », participe passé provenant de l’infinitif « HOUDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 23 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 23B - Rajouté le 16/02/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Daar vindt hij zijn hond (Bessy), op het rustbed liggen, met vakkundig verbonden wonden » (« Là, il trouve son chien, gisant sur la couchette, les blessures pansées de façon experte »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERBINDEN », participe passé (utilisé ici comme adjectif épithète) provenant de l’infinitif « VERBONDEN », construit sur l’infinitif « BINDEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 22 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 23A 22 - Rajouté le 15/02/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wat is er van mijn hond (Bessy) geworden ? » (« Qu’est-ce qu’il est advenu de = arrivé à mon chien ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEWORDEN », participe passé provenant de l’infinitif « WORDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La présence du « ER » fait davantage penser à l’abréviation de « DAAR » qu’au pronom personnel sujet dans l’équivalent (« er is ») de l’expression « il y a ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 23 et 22 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 22A 17 - Rajouté le 14/02/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wij hebben hem levensloos in de hut aangetroffen » (« Nous l’avons découvert sans vie dans la hutte »).
On y trouve notamment la forme verbale « aanGETROFFEN », participe passé provenant de l’infinitif « aanTREFFEN », lui-même construit sur « TREFFEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Signalons que l’on peut souvent remplacer la préposition « ZONDER » devant un nom commun (« zonder leven ») par le suffixe « -LOOS ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 22 et 17 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 21B - Rajouté le 13/02/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij vindt de hut geheel verlaten » (« Il trouve la hutte complètement abandonnée = déserte »).
On y trouve notamment la forme verbale « verlaten », participe passé provenant de l’infinitif homonyme « VERLATEN », construit sur l’infinitif « LATEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons également que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 21 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTE 21A 20 - Rajouté le 12/02/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De eland wordt aan boord gebracht » (« L’élan fut porté à bord »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEBRACHT », participe passé provenant de l’infinitif « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et est construit sur le singulier du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Le participe passé « GEBRACHT » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« aan boord »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 21 et 20 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 13 MASKER 26A 25 - Rajouté le 11/02/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Steele) dacht dat er aan het masker een vloek (was) verbonden was » (« Il pensait qu’il y avait une malédiction liée au masque »).
On y trouve notamment la forme verbale « DACHT » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant du verbe « DENKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve aussi la forme verbale « verBONDEN », participe passé provenant de l’infinitif « verBINDEN », lui-même construit sur « BINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Notez que si on n’avait pas utilisé la tournure « il y a » (ici, « er was », au prétérit), la phrase aurait pu être : « Hij dacht dat een vloek aan het masker (was) verbonden was »
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 24 et 25 dans « Het masker », le volume N°13 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 19B - Rajouté le 10/02/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het laatste woord is nog niet gesproken » (« Le dernier mot n’est pas encore parlé = Je n’ai pas encore dit mon dernier mot »).
On y trouve notamment la forme verbale « GESPROKEN », participe passé provenant de l’infinitif « SPREKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GESPROKEN » fait l’objet d’un REJET, à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 19 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 19A - Rajouté le 09/02/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Heb je iets in de toverhut gevonden ? » (« As-tu trouvé quelque chose dans la hutte ensorcelée ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEVONDEN », participe passé provenant de l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEVONDEN » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« iets » et « in de toverhut »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 19 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 18F - Rajouté le 08/02/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De hond, die buiten (was) gebleven was, komt plots aangerend » (« Le chien, qui était resté dehors, arrive soudain en courant »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEBLEVEN », participe passé provenant de l’infinitif « BLIJVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » et est construit sur le pluriel du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
La phrase est, en fait, au plus-que-parfait puisque que l’auxiliaire du temps composé, « ZIJN », est ici la forme verbale « WAS », O.V.T. (ou prétérit) et fait donc l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve aussi le REJET de la forme verbale « aanGErend », participe passé (alors que l’on aurait pu s’attendre à un participe présent) provenant de l’infinitif « AANrennen », lui-même construit sur le verbe « RENNEN » (PAS affecté par les « temps primitifs »), derrière le complément « plots ». Ce verbe « RENNEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « N », on trouvera le « D » majoritaire. Ce verbe « AANrennen » est aussi dit « à particule séparable » ; quand il est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGErend ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 18 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 18E - Rajouté le 07/02/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Niemand had hier kunnen verblijven zonder sporen na te laten » (« Personne n’avait = n’aurait pu séjourner ici sans laisser de traces derrière lui »).
On y trouve notamment la forme verbale « HAD », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « HEBBEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La phrase est, en fait, au plus-que-parfait (rendu en français par un conditionnel passé) et la forme verbale de « KUNNEN » aurait dû être au participe passé mais on a ici affaire à ce que l’on appelle le « double infinitif », solution intéressante pour éviter les « temps primitifs » quand on ne les maîtrise pas.
Par ailleurs, la préposition « ZONDER » engendre un « TE » quand elle précède un infinitif comme, ici, « NAlaten », qui est donc un verbe à « particule séparable » puisque le « TE » s’intercale entre la particule « NA » et l’infinitif « LATEN » proprement dit.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 18 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 18D - Rajouté le 06/02/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Andy) is vastbesloten het geheim van de hut te ontsluieren » (« Il est fermement décidé à percer le secret de la hutte »).
On y trouve notamment la forme verbale « vastBESLOTEN », construite sur « BESLOTEN », participe passé provenant de l’infinitif « BESLUITEN », lui-même conjugué sur le verbe « SLUITEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Par ailleurs, « BESLUITEN » engendre un « TE » quand il est suivi par un infinitif comme, ici, « ontsluieren ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 18 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 18C - Rajouté le 05/02/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Niemand kon de oorzaak van dit dubbel overlijden vaststellen » (« Personne ne fut capable = ne put déterminer la cause de ce double décès »).
On y trouve notamment la forme verbale « KON », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif (et « AUXILIAIRE de MODE de la capacité) « KUNNEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
L’infinitif « vaststellen » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« de oorzaak » et « van dit dubbel overlijden »), à la fin de la phrase, parce l’auxiliaire de mode « KUNNEN » l’exige.
Rappelons que, en néerlandais, on peut « fabriquer » à partir d’un infinitif (« OVERLIJDEN » = « décéder ») un nom commun, qui sera dès lors NEUTRE => « HET overlijden ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 18 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 18B - Rajouté le 04/02/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij en zijn vrouw werden dood gevonden » (« Lui et sa femme = son épouse furent trouvés morts »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEVONDEN », participe passé provenant de l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEVONDEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément ou attribut (« dood »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » (au prétérit) au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 18 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 18A - Rajouté le 03/02/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een jaar geleden kwam een goudzoeker in ons dorp aan » (« Il y a un an, un chercheur d’or arriva dans notre village »).
On y trouve notamment la forme verbale « aanKWAM », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « aanKOMEN », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « KOMEN » qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « aanKOMEN » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « AAN » étant affectée par un REJET, derrière le complément (« in ons dorp »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Een jaar geleden »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « een goudzoeker ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « KWAM ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 18 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 17B - Rajouté le 02/02/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij moet door verstikking omgekomen zijn » (« Il doit avoir succombé à une asphyxie »).
On y trouve notamment la forme verbale « omGEKOMEN », participe passé provenant de l’infinitif « omKOMEN », lui-même construit sur le verbe « KOMEN » qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « omGEKOMEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« door verstikking »), à la fin de la phrase, pour deux raisons : d’abord parce que c’est la place de la plupart des participes passés mais aussi parce l’auxiliaire de mode « MOETEN » l’exige.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 17A - Rajouté le 01/02/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wat is daar gebeurd ? » (« Qu’est-il arrivé là ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEBEURD », participe passé provenant de l’infinitif « GEBEUREN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEBEURD » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« DAAR »), à la fin de la phrase.
Ce verbe « GEBEUREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) ; il ne fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire.
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence déjà par le préfixe « GE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 16B - Rajouté le 31/01/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het is al nacht als enkele krijgers ter plaatse komen aangeslopen » (« Il fait déjà nuit quand quelques guerriers viennent = arrivent sur place faufilés = en se faufilant »).
On y trouve notamment la forme verbale « AANgeslopen » (utilisée comme une sorte d’attribut), participe passé construit sur le verbe « aanSLUIPEN », provenant lui-même de l’infinitif « SLUIPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le verbe « AANsluipen » est dit « à particule séparable ». Quand il est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGEslopen ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 16A 15 - Rajouté le 30/01/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « In die hut speelde zich een drama af dat het leven aan twee mensen kostte » (« Dans cette hutte se joua un drame qui coûta la vie à deux êtres humains »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « kostTE » (avec 2 « T »), provenant du verbe « KOSTEN » (avec 1 « T »).
Cela doit faire réagir une petite « alarme » pour attirer votre attention. Il ne peut s’agir là que de l’O.V.T. ou prétérit.
Ce verbe « KOSTEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « T », on trouvera un deuxième « T » (au lieu du « D » majoritaire) à l’ O.V.T. (ou prétérit) : « kost » + « TE » => « kostTE ».
Si la phrase subordonnée relative est introduite par « DAT » (et NON par « DIE »), c’est que le nom commun singulier « DRAMA » est ce que l’on appelle parfois un « HET-woord », c’est-à-dire qu’il est du genre « NEUTRE ».
On y trouve aussi, dans la phrase principale, la forme verbale « speelde zich AF », prétérit provenant de l’infinitif « (zich) AFspelen », lui-même construit sur le verbe « SPELEN ».
Quand « AFspelen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit et son REJET à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« In die hut »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « een drama ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « speelde ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 16 et 15 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 13D - Rajouté le 29/01/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hun aftocht wordt (…) door geweerschoten (…) gedekt » (« Leur retraite est couverte par des coups de fusil »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEDEKT », participe passé provenant de l’infinitif « DEKKEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « DEKKEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Ce participe passé « GEDEKT » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« door geweerschoten »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 13 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 15C - Rajouté le 28/01/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De sachem houdt hem vaak gezelschap wanneer hij maskers en vaatwerk natekent » (« Le sachem lui tient souvent compagnie quand il dessine d’après des masques et de la vaisselle »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « NAtekent », provenant de l’infinitif « naTEKENEN » (verbe dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « TEKENEN ».
Normalement, quand « naTEKENEN » est conjugué dans une phrase à l’O.T.T. (ou indicatif présent), cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « NA » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET, derrière le(s) complément(s), à la fin de la phrase. On aurait ainsi pu avoir : « Hij tekent maskers en vaatwerk NA ». Si ce n’est pas le cas ici, c’est parce que la forme verbale, dans une phrase subordonnée, fait également l’objet d’un REJET.
On y trouve aussi, dans la phrase principale, l’expression « gezelschap houden ». Elle réagit comme un verbe « à particule séparable », le nom commun « gezelschap » faisant l’objet d’un REJET (comme une particule séparable), derrière les compléments (« HEM » et « VAAK »), à la fin de cette phrase principale.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 15 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 15B 14 - Rajouté le 27/01/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik moest mij van hen ontdoen » (« Je devais me défaire d’eux »).
On y trouve notamment la forme verbale « MOEST », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « MOETEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
N’oublions pas que, si le verbe principal d’une phrase est l’auxiliaire de mode (de l’obligation) « MOETEN », ce dernier exige le « REJET » de l’infinitif éventuel qui le suit, derrière les compléments (« MIJ » et « VAN HEN »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 15 et 14 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 15A 14 - Rajouté le 26/01/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Lomperds, dat waren ze ! » (« Des maladroits, cela ils étaient = voilà ce qu’ils étaient ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « WAREN », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« DAT »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « ZE ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « WAREN ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 15 et 14 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 13B - Rajouté le 24/01/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maar intussen heeft het rumoer iedereen op het been gebracht » (« Mais, entretemps, le tintamarre a apporté = mis tout le monde sur la jambe = sur pied »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEBRACHT », participe passé provenant de l’infinitif « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEBRACHT » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« iedereen » et « op het been »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« intussen »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « het rumoer ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « heeft ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 13 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 12B - Rajouté le 23/01/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maar dan komt, waanzinnig blaffend, (…) de hond (Bessy) het dorp binnengestormd » (« Mais alors vient le chien, aboyant follement, faisant irruption dans le village »).
On y trouve notamment la forme verbale « BINNENgestormd », participe passé construit sur l’infinitif « BINNENstormen », dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « STORMEN ».
Ce verbe « binnenSTORMEN » est donc considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « M », on trouvera le « D » majoritaire au participe passé. Ce verbe « BINNENstormen » est aussi dit « à particule séparable » ; quand il est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « BINNEN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « binnenGEstormd ».
N’oublions pas non plus que le participe présent en néerlandais se construit en ajoutant simplement un « D » à l’infinitif : « BLAFFEN » => « blaffenD ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 12 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 12A - Rajouté le 22/01/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Enkele goed gerichte pijlen brengen de honden tot zwijgen » (« QueIques flèches bien dirigées amènent les chiens à se taire = réduisent les chiens au silence »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEricht », participe passé (utilisé ici comme adjectif épithète) provenant de l’infinitif « RICHTEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « RICHTEN » est donc considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « T », on trouvera un deuxième « T » (au lieu du « D » majoritaire) au prétérit (« richtTe »). Ici, « GEricht » étant utilisé comme adjectif épithète, il se place devant le nom et, pour s’accorder, prend la terminaison majoritaire « E » (devant au moins noms masculin ou féminin au singulier ainsi que masculin, féminin ou NEUTRE au pluriel).
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 12 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 11D - Rajouté le 21/01/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zonder weerstand te ontmoeten trekken ze naar het dorp (…) op » (« Sans rencontrer de résistance, ils se rendent au village = partent vers le village »).
On y trouve notamment la forme verbale « trekken … OP », provenant de l’infinitif « OPtrekken » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur l’infinitif « TREKKEN ».
Quand « OPtrekken » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit et elle fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« naar het dorp ») à la fin de la phrase.
Il est à noter que la préposition « ZONDER », si elle est suivie d’un infinitif, engendre un « TE » devant celui-ci.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 11C - Rajouté le 20/01/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De hond (Bessy) houdt zich voorzichtig onder de struiken verscholen » (« Le chien se tient prudemment tapi sous les buissons »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERSCHOLEN », participe passé (utilisé comme une sorte d’adjectif attribut) provenant de l’infinitif « VERSCHUILEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le pluriel du prétérit ou O.V.T. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 11B - Rajouté le 19/01/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij is (wordt) door een slag in de nek getroffen » (« Il est touché par un coup à la nuque »).
On y trouve notamment la forme verbale « GETROFFEN », participe passé provenant de l’infinitif « TREFFEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le pluriel du prétérit ou O.V.T. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Notons que ce verbe est tombé en désuétude pour le dictionnaire « VAN DALE ».
On aurait pu, dans cette phrase, utiliser l’auxiliaire « WORDEN » (voix passive) au lieu de « ZIJN ». Si l’on imagine, comme dans un film, l’action au ralenti, on peut considérer le résultat de l’action (« is getroffen ») au lieu de son déroulement (« wordt getroffen »).
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 11A 10 - Rajouté le 18/01/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zijn oproep wordt dadelijk beantwoord » (« Son appel est tout de suite répondu = On répond tout de suite à son appel »).
On y trouve notamment la forme verbale « beANTWOORD », provenant de l’infinitif « BEantwoorden ».
Ce verbe « BEantwoorden » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est PAS affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « D », on trouvera le « D » majoritaire au participe passé (mais sans le « doubler »). Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 11 et 10 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 10A - Rajouté le 17/01/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « ‘s Nachts (= Vannacht = in de nacht) wacht hij (Valkenveer) tot wanneer zijn vader (is) ingeslapen is » (« La nuit, il attend jusque quand son père est endormi »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « « INgeslapen », V.T.T. (ou participe passé) provenant de l’infinitif « inSLAPEN », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « SLAPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « INslapen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « IN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « inGEslapen ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 10 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 9B - Rajouté le 16/01/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Aldus wordt (het / dat / dit) gedaan » (« Ainsi il est fait »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEDAAN », participe passé provenant de l’infinitif « DOEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Cette phrase (au sujet sous-entendu) est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 7D - Rajouté le 15/01/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het is de man (Natchez) die (…) afdruipt, woedend door de hond achterna geblaft » (« C’est l’homme qui bat en retraite, furieusement aboyé après par le chien = poursuivi par les aboiements furieux du chien »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEblaft », participe passé (utilisé ici comme adjectif) provenant de l’infinitif « BLAFFEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « BLAFFEN » est donc considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « F », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire) au participe passé.
N’oublions pas non plus que le participe présent en néerlandais se construit en ajoutant simplement un « D » à l’infinitif : « WOEDEN » (faire rage) => « woedenD ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 7 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 9A - Rajouté le 14/01/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat is de man (Natchez) die ons aanviel » (« C’est l’homme qui nous attaqua »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « aanVIEL », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « aanVALLEN », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « VALLEN » qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La forme verbale « aanVIEL » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« ONS »), à la fin de la phrase subordonnée (introduite par « DIE »).
Si cette forme verbale s’était trouvée dans le contexte d’une phrase « normale », on aurait eu : « de man viel ons AAN » (avec REJET de la particule séparable « AAN » à la fin de cette autre phrase).
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 9 et 6 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 8C - Rajouté le 13/01/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Andy) wordt in het groepje opgenomen » (« Il est intégré dans le petit groupe »).
On y trouve notamment la forme verbale « « OPgenomen », V.T.T. (ou participe passé) provenant de l’infinitif « opNEMEN », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « NEMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « OPnemen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEnomen ».
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
N’oublions pas que si l’on transforme un « DE-woord » (« DE groep ») en diminutif – pour ce faire, on rajoute la terminaison « -JE » –, il devient un « HET-woord » : (DE) groep + « JE » => « HET groepJE ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 8 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 8B - Rajouté le 12/01/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Andy) krijgt een wickiup als verblijfplaats toegewezen » (« Il reçoit un wickiup attribué comme lieu de résidence »).
On y trouve notamment la forme verbale « « TOEgewezen », V.T.T. (ou participe passé) provenant de l’infinitif « toeWIJZEN », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « WIJZEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « TOEwijzen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TOE » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « toeGEwezen ». Il est à noter que la particule « TOE » provient de la préposition « TOT ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 8 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 7C - Rajouté le 11/01/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij vreest dat de hond (Bessy) zal (worden) gewond worden » (« Il craint que le chien aura été blessé = soit blessé »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « GEWOND », participé passé (utilisé ici au futur antérieur) provenant de l’infinitif « WONDEN ».
Ce verbe « WONDEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « D », on trouvera le « D » majoritaire mais qui ne sera pas doublé au participe passé puisque déjà présent dans le radical du verbe ou première personne de l’indicatif présent.
La première forme verbale de cette phrase subordonnée est « ZAL », provenant de l’infinitif « ZULLEN », auxiliaire utilisé pour indiquer que l’on se trouve au futur.
N’oublions pas que « ZULLEN », auxiliaire utilisé pour indiquer que l’on se trouve au futur, exige le REJET de l’autre verbe (« worden »), à l’infinitif, derrière le complément éventuel (on aurait pu avoir ici « door de man »), à la fin de la phrase, ce qui aurait donné : « Hij vreest dat de hond door de man zal worden gewond ».
Rappelons que, dans une proposition subordonnée (introduite ici par « DAT »), la forme verbale (« ZAL ») fait aussi l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici imaginé : « door de man »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
En ce qui concerne la forme verbale « VREEST » (avec « S ») de la phrase principale, rappelons qu’elle provient de l’infinitif « VREZEN » (avec « Z »). Si, dans la dernière syllabe d’un mot néerlandais, un « Z » (infinitif d’un verbe) n’est plus suivi de « E », il se transforme en « S » (radical du verbe, ou singulier du nom et accords de certaines formes d’adjectifs épithètes). (Pour complément d’informations, consultez par exemple « Radical du verbe » ou « Pluriel des noms », dans la partie « Grammatica » de ce même site.)
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 7 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 8A - Rajouté le 10/01/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ondertussen heeft hij (Andy) het dorp bereikt waar hij (wordt) verwelkomd wordt » (« Entretemps, il a atteint le village, où la bienvenue lui est souhaitée »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « bereikt », provenant de l’infinitif « BEREIKEN ». Ce verbe « BEREIKEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire). Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
On y trouve aussi, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « verwelkomD », V.T.T. (ou participe passé) provenant de l’infinitif « verwelKOMEN », lui-même construit sur « KOMEN », qui fait, lui, l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Ce verbe « verwelKOMEN » est, lui, donc bien considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est PAS affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « M », on trouvera le « D » majoritaire au participe passé. Et on aurait donc bien, au prétérit : « Het dorp verwelkomDE hem ». Avec « verwelKOMEN », il s’agit donc bien d’une EXCEPTION.
Cette phrase subordonnée est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 8 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 7B - Rajouté le 09/01/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De hond (Bessy) is hem op de rug gesprongen » (« Le chien lui a sauté sur le dos »).
On y trouve notamment la forme verbale « GESPRONGEN », participe passé provenant de l’infinitif « SPRINGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le pluriel du prétérit ou O.V.T. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Notons aussi que, aux temps composés, les verbes relatifs au MOUVEMENT sont, en néerlandais, accompagnés de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 7 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 42 HUT GEESTEN 7A - Rajouté le 08/01/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij heeft vergeten dat de hond (Bessy) er nog is » (« Il a oublié que le chien y est encore »).
On y trouve aussi la forme verbale « VERGETEN », participe passé provenant, par hasard, du même infinitif « VERGETEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Signalons dès lors que, si « VERGETEN » est ici au V.T.T. (ou passé composé), il aurait été écrit de la même façon au pluriel de l’O.T.T. (ou indicatif présent), qui équivaut, rappelons-le, à l’INFINITIF. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 7 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN BESSY 42 HUT GEESTEN 6B - Rajouté le 07/01/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij zal het niet grappig (hebben) gevonden hebben » (« Il ne l’aura pas trouvé amusant »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEVONDEN », participe passé (utilisé ici au futur antérieur) provenant de l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le pluriel du prétérit ou O.V.T. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
La première forme verbale de cette phrase est « ZAL », provenant de l’infinitif « ZULLEN », auxiliaire utilisé pour indiquer que l’on se trouve au futur.
N’oublions pas que « ZULLEN », auxiliaire utilisé pour indiquer que l’on se trouve au futur, exige le REJET de l’autre verbe (« hebben »), à l’infinitif, derrière les compléments (ici « het » et « niet grappig »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN BESSY 42 HUT GEESTEN 6A - Rajouté le 06/01/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij wordt aan het voorhoofd getroffen » (« Il est touché au front »).
On y trouve notamment la forme verbale « GETROFFEN », participe passé (utilisé e. a. au passé composé ou V.T.T.) provenant de l’infinitif « TREFFEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le pluriel du prétérit ou O.V.T. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 6 et 5 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN BESSY 42 HUT GEESTEN 5 - Rajouté le 05/01/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Even later heeft de hond (Bessy) (…) een Roodhuid ontdekt » (« Un peu plus tard, le chien a découvert un Peau-rouge »).
On y trouve notamment la forme verbale « ONTDEKT », participé passé provenant de l’infinitif « ONTDEKKEN ». Ce verbe est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « ONT- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Signalons dès lors que, si « ONTDEKT » est ici au V.T.T. (ou passé composé), il aurait été écrit de la même façon à l’O.T.T. (ou indicatif présent).
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Even later »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de hond ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « heeft ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN BESSY 42 HUT GEESTEN 3B - Rajouté le 04/01/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het is de weg naar de betoverde hut » (« C’est le chemin vers la hutte ensorcelée »).
On y trouve notamment, dans le complément, la forme verbale « betoverd », participé passé utilisé comme adjectif épithète, provenant de l’infinitif « BETOVEREN ». Ce verbe est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire.
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 3 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN BESSY 42 HUT GEESTEN 3A - Rajouté le 03/01/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij spijkert het kruipdier met gespleten kop aan een paal » (« Il cloue l’animal rampant = le reptile avec une tête fendue à un poteau »).
On y trouve notamment la forme verbale « GESPLETEN » utilisée comme adjectif épithète, participe passé (utilisé e. a. au passé composé ou V.T.T.) provenant de l’infinitif « SPLIJTEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le pluriel du prétérit ou O.V.T. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 3 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN BESSY 42 HUT GEESTEN 2A - Rajouté le 02/01/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een grote uitgeverij gaf hem (Andy) opdracht (…) documentatie (…) te verzamelen » (« Une grande maison d’édition lui donna pour mission de rassembler de la documentation »).
On y trouve notamment la forme verbale « GAF », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « GEVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 2 dans « De hut der geesten », le volume N°42 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2012.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 17 ZEEKONING 34A - Rajouté le 01/01/2012

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (de Rode Ridder) is inmiddels naar zijn vriend (…) weergekeerd » (« Il est pendant ce temps retourné vers son ami »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « WEERgekeerd » provenant de l’infinitif « WEERkeren », verbe à « particule séparable », lui-même construit sur le verbe « KEREN ».
Ce verbe « KEREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « R », on trouvera, bien sûr, le « DE » majoritaire au prétérit (ou O.V.T.) ou le « D » majoritaire au participe passé.
Quand ce verbe « WEERkeren » est conjugué, la particule « TERUG » se sépare donc de l’infinitif « KEREN » proprement dit. On aurait ainsi pu avoir, au présent (ou O.T.T.) : « Hij keert inmiddels naar zijn vriend weer ». Et on aurait ainsi pu avoir, au prétérit (ou O.V.T.) : « Hij keerDE inmiddels naar zijn vriend weer ».
Quand « WEERkeren » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne normalement en néerlandais une séparation de la particule « WEER » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux : => « weerGEkeerd ».
Cette particule « WEER » est fréquente en néerlandais (mais moins fréquente que « TERUG ») puisqu’elle correspond au préfixe « RE- » (l’exemple ici étant : RE-tourner), rendant la notion de RETOUR.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 34 dans « De zeekoning », le volume N°17 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Frank SELS, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1963-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 17 ZEEKONING 32A - Rajouté le 31/12/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De zeekoning verscheen inmiddels op de toren » (« Le roi de la mer apparut pendant ce temps sur la tour »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERSCHEEN », O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « VERSCHIJNEN », lui-même construit sur le verbe « SCHIJNEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 32 dans « De zeekoning », le volume N°17 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Frank SELS, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1963-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : RODE RIDDER STORY FR 4 - Rajouté le 30/12/2011

Description : Nous publions la traduction française du chapitre 4 de l’admirable étude sous forme d’un "e-book", intitulée DE RODE RIDDER STORY et due à Ivo De Wispelaere, Bert Gevaert et David Steenhuyse. On y parle beaucoup de Karel BIDDELOO, notamment de la science-fiction, ainsi que du western et de l’alchimie punk. Une version néerlandophone du livre complet (quelque 176 pages PDF) est téléchargeable GRATUITEMENT à partir de l’adresse INTERNET suivante :
http://www.stripspeciaalzaak.be/Toppers/RodeRidder/RodeRidderStory.htm
La version française des autres chapitres devrait être progressivement accessible sur notre site dans les mois à venir.

La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
Nous avons développé une base de données, comprenant des formes verbales relatives aux verbes irréguliers néerlandais dans le contexte d’extraits tant du « RODE RIDDER » que de « BESSY » ou de l’adaptation des romans de « KARL MAY ». Elle est directement accessible à l’adresse INTERNET suivante : http://www.idesetautres.be/?p=ndls&mod=vandersteen
Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1959-2011.
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 17 ZEEKONING 30B - Rajouté le 30/12/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Overal wordt alarm geblazen » (« L’alarme est partout soufflée = donnée en soufflant dans le cor »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEBLAZEN », participe passé (utilisé e. a. au passé composé ou V.T.T.) provenant de l’infinitif « BLAZEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’infinitif. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« OVERAL »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « ALARM ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « WORDT ») et passant donc derrière lui.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 30 dans « De zeekoning », le volume N°17 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Frank SELS, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1963-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 17 ZEEKONING 30A - Rajouté le 29/12/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het vooruitzicht van de strijd dwong hen te rusten » (« La perspective du combat les obligea à se reposer »).
On y trouve notamment la forme verbale « DWONG », O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « DWINGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le verbe « DWINGEN » (équivalant en mauvais français à « obliger DE ») introduit ici une sorte de subordonnée et engendre un « TE » qui précède l’infinitif « RUSTEN ».
Notons que « DWINGEN » est, dans ce sens-ci, un verbe transitif et que le pronom personnel complément « HEN » (relatif à des personnes, donc au PLURIEL) s’emploie plus souvent après une préposition.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 30 dans « De zeekoning », le volume N°17 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Frank SELS, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1963-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 17 ZEEKONING 26 - Rajouté le 28/12/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij vroegen slechts geluk (« Elles ne demandaient que du bonheur »).
On y trouve notamment la forme verbale « VROEGEN », O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « VRAGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le mot « SLECHTS » correspond à la forme négative française « NE … QUE » (ou au mot « SEULEMENT »).
Rappelons enfin que l’on n’écrit aucun mot, en néerlandais, pour rendre le déterminant français « DU » (correspondant à « DE LE »).
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 15, 16, 24 et 26 dans « De zeekoning », le volume N°17 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Frank SELS, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1963-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 17 ZEEKONING 22 - Rajouté le 27/12/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wanneer de avond valt, is de sloep reeds ver in zee gedreven » (« Quand le soir tombe, la chaloupe a déjà dérivé loin en mer »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEDREVEN », participe passé (utilisé e. a. au passé composé ou V.T.T.) provenant de l’infinitif « DRIJVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le pluriel du prétérit ou O.V.T. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (la phrase subordonnée « Wanneer de avond valt » joue ici ce rôle grammatical), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de sloep ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « is ») et passant donc derrière lui.
Notons aussi que, aux temps composés, les verbes relatifs au MOUVEMENT sont, en néerlandais, accompagnés de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 22 dans « De zeekoning », le volume N°17 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Frank SELS, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1963-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : BESSY 1-68 WIREL FRANS NEDERLANDS - Rajouté le 26/12/2011

Description : Avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België (Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN), nous développons une base de données d’illustrations permettant aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
Grâce aux textes néerlandophones de ces illustrations de qualité, ces élèves « primo-arrivants » pourront notamment aborder les verbes irréguliers (« temps primitifs » ou autres) d’une autre façon.
Willy VANDERSTEEN (1913-1990), dessinateur et scénariste, reste un des géants de la bande dessinée belge du vingtième siècle, comme en témoignent nombre de ses créations.
Pour ce « fonds virtuel », nous puisons notamment dans la série de BD : « BESSY » (volumes 1 à 68).

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 13 MASKER 31H - Rajouté le 26/12/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je hebt de dienst (,) die ik je bewees (,) duizendvoudig vergoed » (« Le service, que je te rendis, tu l’as remboursé mille fois »).
On y trouve notamment la forme verbale « BEWEES », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « BEWIJZEN », lui-même construit sur l’infinitif « WIJZEN » (ayant une autre signification), qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que, dans une proposition subordonnée (introduite ici par « DIE »), la forme verbale fait aussi l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « JE »), à la fin de la phrase.
On y trouve aussi la forme verbale « VERGOED », participe passé construit sur l’infinitif « VERGOEDEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « VERGOEDEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « D », on trouvera, bien sûr, le « D » final majoritaire au participe passé.
Ce participe passé « VERGOED » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« de dienst » et « duizendvoudig »), à la fin de la phrase.
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 31 dans « Het masker », le volume N°13 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 13 MASKER 31G - Rajouté le 25/12/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb hem gevonden » (« Je l’ai trouvé »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEVONDEN », participe passé provenant de l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Cette forme verbale est construite sur LE PLURIEL de son prétérit. (Pour complément d’informations, consultez notamment notre tableau de synthèse « Temps primitifs » dans la partie « GRAMMATICA » de ce site.)
Ce participe passé « GEVONDEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« HEM »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 31 dans « Het masker », le volume N°13 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 13 MASKER 31F - Rajouté le 24/12/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « (…) een betere schuilplaats waar hij het bewustzijn verloor » (« Une meilleure cachette, où il perdit (la) connaissance »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERLOOR », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « VERLIEZEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que, dans une proposition subordonnée (introduite ici par « WAAR »), la forme verbale fait aussi l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « het bewustzijn »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 31 dans « Het masker », le volume N°13 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 13 MASKER 31D - Rajouté le 23/12/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Haar kwam het masker toe dat ik hem schonk ! » (« C’est à elle que revenait le masque que je lui offris (à lui = son mari) »).
On y trouve notamment la forme verbale « kwam … TOE », O.V.T. (ou prétérit) provenant du verbe « TOEkomen », construit sur l’infinitif « KOMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le verbe « TOEkomen » est dit « à particule séparable ». Il y REJET de la particule séparable « TOE », derrière le complément « HET MASKER », à la fin de la phrase. Si ce verbe avait été conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela aurait entraîné en néerlandais une séparation de la particule « TOE » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « toeGEkomen ».
On y trouve la forme verbale « SCHONK », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « SCHENKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que, dans une proposition subordonnée (introduite ici par « DAT », induit par « HET masker »), la forme verbale fait aussi l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « HEM »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 31 dans « Het masker », le volume N°13 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 13 MASKER 31C - Rajouté le 22/12/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « (…) Toen ik kruiden innam (…) » (« (…) quand j’ai absorbé des herbes (…) »).
On y trouve notamment la forme verbale « INnam », O.V.T. (ou prétérit) provenant du verbe « INnemen », construit sur l’infinitif « NEMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le verbe « INnemen » est dit « à particule séparable ». S’il avait été conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela aurait entraîné en néerlandais une séparation de la particule « IN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « inGEnomen ». Au prétérit, on aurait pu avoir : « Ik nam kruiden in ».
Mais rappelons que, dans une proposition subordonnée (introduite ici par « TOEN »), la forme verbale fait aussi l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « KRUIDEN »), à la fin de la phrase et qu’il n’y a, au PRETERIT, PAS séparation du verbe et de sa particule.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 31 et 5 dans « Het masker », le volume N°13 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 13 MASKER 31B 4 - Rajouté le 21/12/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « (Je hebt mij) slechts onder stenen bedolven (…) » (« Tu ne m’as que enfoui sous des pierres = Tu n’as fait que m’enfouir sous des pierres »).
On y trouve notamment la forme verbale « BEDOLVEN », participe passé provenant du verbe « BEDELVEN », construit sur l’infinitif « DELVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 31 et 4 dans « Het masker », le volume N°13 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 13 MASKER 31A 4 - Rajouté le 20/12/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maar … ik heb je zelf begraven ! » (« Mais je t’ai moi-même enterré ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « BEGRAVEN », participe passé provenant du verbe « BEGRAVEN », construit sur l’infinitif « GRAVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 31 et 4 dans « Het masker », le volume N°13 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 13 MASKER 29B - Rajouté le 19/12/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hier verdween mijn man ! » (« C’est ici que mon mari disparut ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERDWEEN », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « VERDWIJNEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé (« Hier is mijn man verdwenen ! ») NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la pages 29 dans « Het masker », le volume N°13 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 13 MASKER 29A - Rajouté le 18/12/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hier is het dus allemaal begonnen ! » (« C’est donc ici que tout a commencé ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « BEGONNEN », participe passé provenant de l’infinitif « BEGINNEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Notez que l’auxiliaire du passé composé (« ZIJN ») n’est ici pas le même qu’en français.
Il faut aussi noter que ce participe passé se construit sur le pluriel du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la pages 29 dans « Het masker », le volume N°13 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 13 MASKER 26A 25 - Rajouté le 17/12/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Steele) dacht dat er aan het masker een vloek (was) verbonden was » (« Il pensait qu’il y avait une malédiction liée au masque »).
On y trouve notamment la forme verbale « BRACHT » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant du verbe « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve aussi la forme verbale « verBONDEN », participe passé provenant de l’infinitif « verBINDEN », lui-même construit sur « BINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Notez que si on n’avait pas utilisé la tournure « il y a » (ici, « er was », au prétérit), la phrase aurait pu être : « Hij dacht dat een vloek aan het masker (was) verbonden was »
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 24 et 25 dans « Het masker », le volume N°13 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 13 MASKER 24B 25 - Rajouté le 16/12/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je bent verstandig geweest » (« Tu as été intelligente »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEWEEST », participe passé provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce participe passé « GEWEEST » fait l’objet d’un REJET, derrière l’adjectif attribut, à la fin de la phrase.
Il est à noter que, au passé en néerlandais, son auxiliaire est également le verbe "ZIJN" (contrairement à celui, en langue française, qui est "HEBBEN") ...
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 24 et 25 dans « Het masker », le volume N°13 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 13 MASKER 24A 23 - Rajouté le 15/12/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De wagen sloeg te pletter » (« Le chariot se brisa en mille morceaux »).
On y trouve la forme verbale « SLOEG » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant du verbe « SLAAN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On trouve plutôt l’expression « te pletter vallen » que « te pletter slaan », ce qui aurait donné : « De wagen viel te pletter ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 23 et 24 dans « Het masker », le volume N°13 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 13 MASKER 22A - Rajouté le 14/12/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een gemaskerde man volgde ons maar werd door de Indianen (Crows) verdreven » (« Un homme masqué nous suivait mais fut débusqué par les Indiens »).
On y trouve la forme verbale « verDREVEN », participe passé provenant de l’infinitif « verDRIJVEN », lui-même construit sur « DRIJVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 20 et 22 dans « Het masker », le volume N°13 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 13 MASKER 21A - Rajouté le 13/12/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dit is verdacht » (« Ceci est suspect »).
On y trouve l’adjectif attribut « verDACHT », ancienne forme verbale au participe passé (et prétérit) provenant de l’infinitif « verDENKEN », lui-même construit sur le verbe « DENKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons en effet que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 21 dans « Het masker », le volume N°13 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 13 MASKER 20B - Rajouté le 12/12/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Achter een heuvel vandaan komen een aantal Indianen op de man afgereden » (« Provenant de derrière une colline, un certain nombre d’Indiens dévalent (à cheval) sur l’homme »).
On y trouve notamment la forme verbale « AFgereden », participe passé provenant de l’infinitif « AFrijden », lui-même construit sur le verbe « RIJDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». « AFgereden » est utilisé ici comme une sorte d’adjectif.
Quand « AFrijden » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « afGEreden ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Achter een heuvel vandaan »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « een aantal Indianen ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « komen ») et passant donc derrière lui.
Rappelons enfin que le mot « vandaan » indique la provenance. L’expression la plus connue est « Waar kom je vandaan ? » = « D’où viens-tu ? »
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 20 dans « Het masker », le volume N°13 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 13 MASKER 18C 19A - Rajouté le 11/12/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Die wigwam, getrokken door een paard, stelt onze wagen voor » (« Ce wigwam, tiré par un cheval, représente notre chariot »).
On y trouve notamment la forme verbale « getrokken », V.T.T. (ou participe passé) provenant de l’infinitif « TREKKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve aussi la forme verbale « stelt … VOOR », provenant de l’infinitif « VOORstellen », conjugué lui-même sur « STELLEN ».
Quand « VOORstellen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « VOOR » de son infinitif proprement dit, la particule « VOOR » étant affectée par un REJET, derrière le complément (ici « onze wagen »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 18 et 19 dans « Het masker », le volume N°13 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 13 MASKER 17C 18B - Rajouté le 10/12/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De enige (,) die van het masker afwist (,) is dood » (« Le seul, qui savait quelque chose du masque, est mort »).
On y trouve notamment la forme verbale « afFWIST », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « afWETEN », construit sur « WETEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe n’existant apparemment qu’avec d’autres significations (se dérober à ses obligations, passer l’arme à gauche, …), on peut se demander si l’auteur n’a pas voulu faire un « jeu de mots » …
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 18 et 19 dans « Het masker », le volume N°13 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 13 MASKER 17C 18A - Rajouté le 09/12/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dezelfde soort pijl (,) die HEM (Steele) doodde (,) heeft jou gered » (« La même sorte de flèche, qui LE tua, t’a sauvé »).
On y trouve notamment la forme verbale « doodDE » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant de l’infinitif « DODEN ». Ce verbe est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent : « DOOD ») se terminant par la consonne « D », on trouvera le « D » majoritaire au participe passé (« GEDOOD ») et la terminaison « -DE » au singulier du prétérit : « DOOD » + « DE » => « doodDE ».
On y trouve aussi le REJET de la forme verbale « GERED », derrière le complément « JOU », à la fin de la phrase.
Si on avait eu l’infinitif « REDDEN » à l’O.V.T. (ou prétérit), on aurait eu la forme verbale « redDE » à l’O.V.T. Ce verbe est également considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent : « RED ») se terminant par la consonne « D », on trouvera le « D » majoritaire au participe passé (« GERED ») et la terminaison « -DE » au singulier du prétérit : « RED » + « DE » => « redDE ».
La forme verbale de « REDDEN » au participe passé (V.T.T.) est également construite sur son radical (première personne du présent : « RED »), augmentée du préfixe « GE- », commun à la majorité des participes passés néerlandais. On devrait y rajouter la terminaison « D » majoritaire au participe passé mais, dans la mesure où le radical se termine déjà par un « D », on ne le rajoute pas au V.T.T.
Il est à noter que « ZELFDE » peut être accolé derrière les déterminants définis tant du genre neutre (« HET » + « ZELFDE » = « hetZELFDE ») que des deux autres genres, masculin et féminin : « DE » + « ZELFDE » = « deZELFDE », comme ici. « hetZELFDE » devient évidemment « deZELFDE » au pluriel puisque « HET » devient « DE » au pluriel.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 18 et 19 dans « Het masker », le volume N°13 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 13 MASKER 17B - Rajouté le 08/12/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wees niet bang ! » (« N’aie pas peur ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « WEES », impératif provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Nous le soulignons parce que son participe passé est « GeWEESt ».
Nous avons donc affaire ici à l’expression « BANG ZIJN ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « Het masker », le volume N°13 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 13 MASKER 17A - Rajouté le 07/12/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een lynx (…) zat vlak achter me (aan) ! » (« Un lynx était juste derrière moi ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « ZAT », O.V.T. ou prétérit provenant de l’infinitif « ZITTEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
« ZITTEN » est ici employé pour « ZIJN ».
Par ailleurs, il ne s’agit pas du verbe « aanZITTEN », dit « à particule séparable », qui signifie « se mettre à table », à moins que les auteurs n’aient voulu faire un « jeu de mots » …
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « Het masker », le volume N°13 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 13 MASKER 13B 12C - Rajouté le 06/12/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het was alsof een schaduw achter de rotsen dook » (« C’était comme si une ombre plongeait derrière les rochers »).
On y trouve notamment la forme verbale « DOOK », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « DUIKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve donc aussi, dans cette phrase subordonnée (introduite par « ALSOF »), le REJET de la forme verbale « DOOK », derrière les compléments (« een schaduw » et « achter de rotsen »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 12 et 13 dans « Het masker », le volume N°13 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 13 MASKER 13A - Rajouté le 05/12/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zag ik nu goed ? » (« Vis-je maintenant bien ? = Ai-je bien vu, maintenant ? »).
On y trouve la forme verbale « ZAG », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « ZIEN » (et non d’un autre, comme on a trop souvent tendance à le croire), qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 12 et 13 dans « Het masker », le volume N°13 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 13 MASKER 12B - Rajouté le 04/12/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Rond dezelfde tijd breekt ook hij (Steele) op » (« A peu près au même moment, il (Steele) levait, lui aussi, le camp »).
On y trouve notamment la forme verbale « breekt … OP », provenant de l’infinitif « OPbreken » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur l’infinitif « BREKEN ».
Quand « OPbreken » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit et elle fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« zijn kamp ») à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Rond dezelfde tijd »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « HIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « BREEKT … op ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 12 dans « Het masker », le volume N°13 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 13 MASKER 11F-12A - Rajouté le 03/12/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij reed zeker door de rivierbedding (paard) » (« Il chevauchait certainement dans le lit de la rivière »).
On y trouve notamment la forme verbale « REED », OV.T. (ou prétérit provenant de l’infinitif « RIJDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce verbe, signifiant souvent « ROULER », a ici le sens de « CIRCULER » … à cheval » (« paardRIJDEN », verbe dit « à particule séparable »). Cet animal est, comme on le sait, pourvu de pattes et non de roues …
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 11 et 12 dans « Het masker », le volume N°13 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 13 MASKER 11D - Rajouté le 02/12/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij sleept een deken achter zich aan waarmee alle sporen (worden) uitgewist worden » (« Il traîne une couverture derrière lui, avec laquelle toutes les traces sont effacées »).
On y trouve, dans la phrase principale, la forme verbale « sleept … AAN », construite sur le verbe « AANslepen » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « SLEPEN ».
Quand le verbe « AANslepen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, qui fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« een deken » et « achter zich »), à la fin de la phrase.
Une phrase subordonnée, articulée sur « een deken », est introduite par l’adverbe pronominal « WAARMEE », produit par l’évolution de « MET WAT ».
On y trouve également, la forme verbale « UITgewist », participe passé construit sur le verbe « UITwissen » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « WISSEN ».
Ce verbe « WISSEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « S », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Quand « UITwissen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « uitGEwist ».
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « Het masker », le volume N°13 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 13 MASKER 11D - Rajouté le 01/12/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De waarde van het masker is nu duidelijk bewezen » (« La valeur du masque est maintenant clairement prouvée »).
On y trouve notamment la forme verbale « BEWEZEN », participe passé provenant de l’infinitif « BEWIJZEN », lui-même construit sur l’infinitif « WIJZEN » (ayant une autre signification), qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le pluriel du prétérit et, dans ce cas-ci, est même identique. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Rappelons également que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux. « BEWEZEN » est donc bien un participe passé même si sa forme verbale est identique au pluriel de l’O.V.T. (ou « prétérit »).
Aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (ici « NU » et « DUIDELIJK »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « Het masker », le volume N°13 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 13 MASKER 11C - Rajouté le 30/11/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik ga hem achterna » (« Je vais derrière lui = Je me lance à sa poursuite »).
On y trouve la forme verbale « ga … ACHTERNA », provenant de l’infinitif « achternaGAAN », calqué lui-même sur l’expression « ACHTERNA lopen » (en deux mots).
Il s’agit d’un bon exemple d’ancienne(s) préposition(s) (« ACHTER » + « NA » => « ACHTERNA ») évoluant vers une « particule séparable ». On avait dans un premier temps : « Ik ga ACHTER hem ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites de la page 11 dans « Het masker », le volume N°13 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 13 MASKER 11B - Rajouté le 29/11/2011

Description : Yvon ALLARD a, dans son ouvrage de références intitulé « Paralittératures » (1979), mis en valeur l’œuvre de William Makepeace TACKERAY, de façon originale. Il abordait ici (page 241) sa contribution au « Roman historique ». Il est fort vraisemblable que d’autres éditions aient vu le jour depuis cette analyse. Le but de cette exhumation par des élèves « primo-arrivants », abordant la langue française, est de redécouvrir ces œuvres classiques grâce aux mini-compréhensions à la lecture que constituent leurs résumés. Dans un deuxième temps, l’idéal consiste, bien sûr, à lire le livre lui-même …
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation d’Yvon ALLARD. Copyright 1979-2011.)

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 13 MASKER 9C - Rajouté le 27/11/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het kostte mijn man ! ») » (« Cela (m’)a coûté mon homme = mon mari ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « kostTE » (avec 2 « T »), provenant du verbe « KOSTEN » (avec 1 « T »).
Cela doit faire réagir une petite « alarme » pour attirer votre attention. Il ne peut s’agir là que de l’O.V.T. ou prétérit.
Ce verbe « KOSTEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « T », on trouvera un deuxième « T » (au lieu du « D » majoritaire) à l’ O.V.T. (ou prétérit) : « kost » + « TE » => « kostTE ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « Het masker », le volume N°13 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 13 MASKER 11A - Rajouté le 26/11/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij sloeg me neer » (« Il m’assomma = Il m’a assommé »).
On y trouve la forme verbale « sloeg … NEER » (à l’O.V.T. ou prétérit), construite sur le verbe « NEERslaan » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « SLAAN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « NEER » de son infinitif proprement dit, le complément « ME » s’intercalant entre eux, et cela entraîne donc le REJET de cette particule « NEER », derrière le complément « ME », à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « Het masker », le volume N°13 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 13 MASKER 10A - Rajouté le 25/11/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De oude grafbewaker benam zich het leven om het geheim van het masker te bewaren » (« Le vieux gardien du cimetière s’ôta la vie => se suicida pour préserver le secret du masque »).
On y trouve notamment la forme verbale « BENAM », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « BENEMEN » (PAS un verbe dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « NEMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « BENEMEN » est ici employé comme verbe « pronominal réfléchi » dont le pronom personnel est « ZICH », non seulement à l’infinitif mais notamment aussi, lors d’un emploi réfléchi, aux troisièmes personnes, tant du singulier que du pluriel.
On y trouve aussi, dans une sorte de phrase subordonnée introduite par « OM … TE » (signifiant « POUR » devant les verbes), les compléments (« het geheim » et « van het masker ») intercalés entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « BEWAREN ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 10 dans « Het masker », le volume N°13 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 13 MASKER 9D - Rajouté le 24/11/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De trapper helpt eerst het werk op de hoeve op te knappen » (« Le trappeur aide d’abord à régler = mener à bien le travail à la ferme »).
On y trouve notamment la forme verbale « OP … KNAPPEN » provenant du verbe « OPknappen », verbe à « particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « KNAPPEN » (ayant une signification assez différente).
Quand « OPknappen » est conjugué, la particule « OP » se sépare donc de l’infinitif « DELEN » proprement dit et fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments », à la fin de la phrase ; on aurait ainsi pu avoir : « De trapper knapt eerst het werk op de hoeve OP ».
En bon français, on a l’expression « aider à » (on peut imaginer « aider DE », en mauvais français) qui a été ici rendu par « helpen TE », mais « HELPEN » n’exige pas la particule « TE ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « Het masker », le volume N°13 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 13 MASKER 9A - Rajouté le 23/11/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De trapper deelt hun het droevige nieuws mede (mee) » (« Le trappeur leur fait part de la triste nouvelle »).
On y trouve notamment la forme verbale « deelt … MEDE » provenant du verbe « MEDEdelen » (ou « MEEdelen »), verbe à « particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « DELEN ».
Quand « MEDEdelen » est conjugué, la particule « MEDE » se sépare donc de l’infinitif « DELEN » proprement dit et fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« hun » et « het droevige nieuws »), à la fin de la phrase.
Il faut noter que le groupe nominal « LES nouvelleS », au pluriel en français, correspond à « HET nieuwS », singulier en néerlandais, ne fût-ce que dans la mesure où le déterminant défini « HET » correspond essentiellement au SINGULIER.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « Het masker », le volume N°13 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 13 MASKER 8D - Rajouté le 22/11/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maar ook de Crows (= ZIJ) vonden geen spoor van Bill (= HEM) en druipen af » (« Mais EUX aussi (= NON PLUS) NE trouvent PAS une trace de LUI et battent en retraite »).
On y trouve notamment, dans la première phrase, la forme verbale « VONDEN » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant de l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve aussi, dans la deuxième phrase, la forme verbale « druipen AF », construite sur le verbe « AFdruipen, dit « à particule séparable », construit lui-même sur l’infinitif « DRUIPEN » (ayant une autre signification) ; la particule « AF » est affectée par le phénomène du « REJET », à la fin de la phrase (derrière le complément éventuel, par exemple, « zonder verder te zoeken »).
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 8 dans « Het masker », le volume N°13 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 13 MASKER 8C - Rajouté le 21/11/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het bleekgezicht sprak van een gezel die zich hier bevond » (« Le visage pâle parlait d’un compagnon qui se trouvait ici »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « SPRAK », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « SPREKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve aussi, dans la phrase subordonnée relative, la forme verbale « BEVOND », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « BEVINDEN », lui-même construit sur le verbe « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « BEVINDEN » est ici employé comme verbe « pronominal réfléchi » dont le pronom personnel est « ZICH », non seulement à l’infinitif mais notamment aussi, lors d’un emploi réfléchi, aux troisièmes personnes, tant du singulier que du pluriel.
N’oublions pas que, dans une phrase subordonnée, il y a aussi REJET de la forme verbale (ici « BEVOND »), derrière le complément (ici « HIER »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 8 dans « Het masker », le volume N°13 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 13 MASKER 8B - Rajouté le 20/11/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Al gauw geven ze de achtervolging op en keren (ze) naar het dorp terug » (« Déjà (= assez) vite, ils abandonnent la poursuite et retournent au village »).
On y trouve notamment, dans la première phrase, la forme verbale « geven … OP » provenant du verbe « OPgeven », verbe à « particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « GEVEN ».
Quand « OPgeven » est conjugué, la particule « OP » se sépare donc de l’infinitif « GEVEN » proprement dit.
La phrase commençant par le complément « Al gauw », une INVERSION fait en sorte que le sujet « ZE » passe derrière la forme verbale « geven » et la sépare donc ici de la particule « OP », qui fait en outre l’objet d’un REJET, derrière le complément (« de achtervolging »), à la fin de la phrase.
On y trouve aussi, dans la deuxième phrase, la forme verbale « keren … TERUG » provenant du verbe « TERUGkeren », verbe à « particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « KEREN ».
Quand « TERUGkeren » est conjugué, la particule « TERUG » se sépare donc de l’infinitif « KEREN » proprement dit.
La phrase commençant par le complément « Al gauw », une INVERSION fait en sorte que le sujet (sous-entendu) « ze » passe derrière la forme verbale « keren » et la sépare donc ici de la particule « TERUG », qui fait en outre l’objet d’un REJET, derrière le complément (« naar het dorp »), à la fin de la phrase.
Cette particule « TERUG » est très fréquente en néerlandais puisqu’elle correspond au préfixe « RE- » (exemple : RE-venir), rendant la notion de RETOUR.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 8 dans « Het masker », le volume N°13 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 13 MASKER 5E 7A - Rajouté le 18/11/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Waar is het bleekgezicht dat in de hut lag ? » (« Où est le visage pâle qui était couché dans la hutte ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « LAG », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « LIGGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
N’oublions pas que, dans une phrase subordonnée, il y a aussi REJET de la forme verbale, derrière le complément (ici « in de hut »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 5 et 7 dans « Het masker », le volume N°13 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 13 MASKER 5D - Rajouté le 17/11/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De Indiaan stierf voor onze ogen » (« L’Indien mourut devant nos yeux »).
On y trouve notamment la forme verbale « STIERF », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « STERVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « Het masker », le volume N°13 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 13 MASKER 5C - Rajouté le 16/11/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hoe kwam hij dan aan zijn einde ? » (« Comment arriva-t-il alors à sa fin = Comment sa vie a-t-elle alors pris fin ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « KWAM », O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « KOMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « Het masker », le volume N°13 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 13 MASKER 5B - Rajouté le 15/11/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Uit dankbaarheid gaf de oude man mij een masker » (« Par gratitude, le vieil homme me donna un masque »).
On y trouve notamment la forme verbale « GAF », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « GEVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Uit dankbaarheid »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de oude man ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « GAF ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « Het masker », le volume N°13 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 13 MASKER 5A - Rajouté le 14/11/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik kwam hier net op tijd om Mok-Kara (= HEM) uit de klauwen van een lynx te redden » (« J’arrivai ici juste à temps pour le sauver des griffes d’un lynx »).
On y trouve notamment la forme verbale « KWAM », O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « KOMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve aussi, dans une sorte de phrase subordonnée introduite par « OM … TE » (signifiant « POUR » devant les verbes), les compléments (« uit de klauwen » et « van een lynx ») intercalés entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « REDDEN ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « Het masker », le volume N°13 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 13 MASKER 4D - Rajouté le 13/11/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hoe is het mogelijk dat hij (van het) water van de bron dronk ? » (« Comment est-il possible qu’il but de l’eau de la source ? »).
On y trouve la forme verbale « DRONK », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « DRINKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
N’oublions pas que, dans une phrase subordonnée, il y a aussi REJET de la forme verbale, derrière les compléments (ici « water » et « van de bron »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 4 dans « Het masker », le volume N°13 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 13 MASKER 02C - Rajouté le 11/11/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De sporen wijzen erop dat hier een viertal mannen verbleven » (« Les traces indiquent que quelque quatre hommes séjournèrent ici »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERBLEVEN », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « VERBLIJVEN », lui-même construit sur « BLIJVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 2 dans « Het masker », le volume N°13 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 13 MASKER 02B - Rajouté le 10/11/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De stam heeft een nieuwe nederzetting opgezocht » (« La tribu a cherché une nouvelle implantation »).
On y trouve notamment la forme verbale « OPgezocht », participe passé de l’infinitif « OPzoeken », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « ZOEKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « OPzoeken » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « OPgezocht ».
Le participe passé « OPgezocht » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« een nieuwe nederzetting »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 2 dans « Het masker », le volume N°13 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN et Karel VERSCHUERE ( ?) se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SELS RODE RIDDER 19 KONING ARTHUR 34A - Rajouté le 09/11/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De koning mocht zich niet inzetten. » (« Le roi ne pouvait pas s’en mêler »).
On y trouve notamment la forme verbale « MOCHT », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif (et « AUXILIAIRE de MODE de la possibilité ou permission) « MOGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 34 dans « Koning Arthur », le volume N°19 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Frank SELS, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SELS RODE RIDDER 19 KONING ARTHUR 33B - Rajouté le 08/11/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Waarom vocht hij niet zelf voor Guinevere ?. » (« Pourquoi ne combattit-il pas lui-même pour Guenièvre ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « VOCHT », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « VECHTEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 33 dans « Koning Arthur », le volume N°19 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Frank SELS, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SELS RODE RIDDER 19 KONING ARTHUR 33A - Rajouté le 07/11/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Thans heeft hij zijn weg gekozen » (« A présent, il a choisi son chemin = sa voie »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEKOZEN », participe passé provenant de l’infinitif « KIEZEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « zijn weg»), à la fin de la phrase.
Il est à noter que ce participe passé « GEkozen » se construit sur le PLURIEL du prétérit ou O.V.T. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
N’oublions enfin pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Thans »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « HIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « HEEFT ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 33 dans « Koning Arthur », le volume N°19 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Frank SELS, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SELS RODE RIDDER 19 KONING ARTHUR 32A - Rajouté le 06/11/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Koning Arthur nam een taak op zich. » (« Le roi Arthur prit une tâche sur lui = en charge »).
On y trouve notamment la forme verbale « NAM », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « NEMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 32 dans « Koning Arthur », le volume N°19 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Frank SELS, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SELS RODE RIDDER 19 KONING ARTHUR 32A - Rajouté le 05/11/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Niet iedereen bleek verheugd te zijn. » (« Ce n’est pas tout le monde qui semblait être réjoui = Tout le monde ne semblait pas réjoui »).
On y trouve notamment la forme verbale « BLEEK », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « BLIJKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le verbe « BLIJKEN » engendre un « TE » quand il précède un infinitif comme, ici, « ZIJN ».
Il est à noter que ce verbe « BLIJKEN » fait partie de la catégorie la plus importante (en nombre) de verbes irréguliers au prétérit, celle des « IJ ». (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 32 dans « Koning Arthur », le volume N°19 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Frank SELS, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SELS RODE RIDDER 19 KONING ARTHUR 31A - Rajouté le 04/11/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij (ze) grepen telkens tijdig in en hebben ook het verraad gestraft. » (« Ils intervenaient toujours à temps et ont également puni la trahison. »).
On y trouve notamment la forme verbale « GREPEN », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « GRIJPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On a, en fait, affaire, au verbe « INgrijpen ». Ce verbe « INgrijpen » est dit « à particule séparable » ; quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « IN » de son infinitif proprement dit et la particule « IN » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« telkens » et « tijdig »), à la fin de la phrase.
On y trouve aussi la forme verbale « GEstrafT », participe passé provenant de l’infinitif « STRAFFEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « STRAFFEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « F », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Le participe passé « GEstrafT » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« het verraad »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 31 dans « Koning Arthur », le volume N°19 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Frank SELS, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SELS RODE RIDDER 19 KONING ARTHUR 31A - Rajouté le 03/11/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze hebben de hoeve reeds ver achter zich gelaten. » (« Ils ont déjà laissé la ferme loin derrière eux. »).
On y trouve notamment forme verbale « GElaten », participe passé provenant de l’infinitif « LATEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GElaten » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« de hoeve », « reeds » et « ver achter zich »), à la fin de la phrase.
Il est à noter que ce participe passé « GElaten » se construit sur l’infinitif. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 31 dans « Koning Arthur », le volume N°19 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Frank SELS, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SELS RODE RIDDER 19 KONING ARTHUR 30A - Rajouté le 02/11/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De toorts, die hij wierp, brandt verder. » (« La torche, qu’il jeta = avait jetée, brûle plus loin => continue à brûler »).
On y trouve notamment, dans la phrase relative, la forme verbale « WIERP », O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « WERPEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 30 dans « Koning Arthur », le volume N°19 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Frank SELS, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SELS RODE RIDDER 19 KONING ARTHUR 29B - Rajouté le 01/11/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zo gauw geef ik mij niet gewonnen ! » (« Je ne me donne pas si vite gagné ! = Je ne m’avoue pas si vite vaincu ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEWONNEN », participe passé ou V.T.T. du verbe « WINNEN », faisant partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
« GEWONNEN » est ici utilisée comme une sorte d’adjectif attribut (on aurait pu remplacer « GEEF » par la forme verbale « BEN » de l’auxiliaire « ETRE » : « Zo gauw ben ik niet gewonnen ! »).
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (ici « Zo gauw »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « IK ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « GEEF ») et passant donc derrière lui.
Il est à noter que le participe passé « GEWONNEN » se construit sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 29 dans « Koning Arthur », le volume N°19 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Frank SELS, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SELS RODE RIDDER 19 KONING ARTHUR 29A - Rajouté le 31/10/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij is al verdwenen. » (« Il a déjà disparu. »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERDWENEN », participe passé provenant de l’infinitif « VERDWIJNEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Notons que, aux temps composés, l’auxiliaire n’est PAS toujours LE même qu’en français. C’est, en général, le cas quand il y a une notion de MOUVEMENT.
Aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « AL »), à la fin de la phrase.
Rappelons aussi que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Il est à noter que ce participe passé « VERDWENEN » se construit sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 29 dans « Koning Arthur », le volume N°19 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Frank SELS, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SELS RODE RIDDER 19 KONING ARTHUR 27A - Rajouté le 30/10/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De man drong reeds langs een raam in het woonhuis. » (« L’homme pénétrait déjà le long d’une fenêtre dans la maison d’habitation »).
On y trouve la forme verbale « DRONG », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « DRINGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 27 dans « Koning Arthur », le volume N°19 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Frank SELS, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SELS RODE RIDDER 19 KONING ARTHUR 26A - Rajouté le 29/10/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Celric) stond op het punt toe te slaan als plots (…) een pijl hem in de rug trof. » (« Il était sur le point de frapper quand soudain une flèche le toucha dans le dos »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « STOND », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « STAAN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
L’expression « op het punt staan » introduit ici une sorte de subordonnée et engendre un « TE » qui devrait précéder (comme en français le « DE ») l’infinitif « TOEslaan », lui-même construit sur le verbe « SLAAN ».
Mais comme le verbe « TOEslaan » est « à particule séparable », quand il est « conjugué », la particule séparable « TOE » se sépare donc de l’infinitif « SLAAN » proprement dit et le « TE » s’intercale donc entre eux.
On y trouve aussi, dans la phrase subordonnée introduite par « ALS », la forme verbale « TROF », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « TREFFEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que dans les phrases subordonnées la forme verbale fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« HEM » et « in de rug »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 26 dans « Koning Arthur », le volume N°19 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Frank SELS, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SELS RODE RIDDER 19 KONING ARTHUR 24A - Rajouté le 28/10/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij liep langs de hoek om » (« Il tourna le coin »).
On y trouve la forme verbale « liep … OM », prétérit (ou O.V.T.) du verbe « OMlopen », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « LOPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La « particule séparable » « OM » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« langs de hoek »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 22, 23 et 24 dans « Koning Arthur », le volume N°19 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Frank SELS, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SELS RODE RIDDER 19 KONING ARTHUR 22A - Rajouté le 27/10/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Jullie zijn in de val gelopen. » (« Vous avez marché = vous êtes tombés dans le piège. »).
On y trouve notamment la forme verbale « gelopen », participe passé provenant de l’infinitif « LOPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce participe passé « GElopen » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « in de val »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 22 dans « Koning Arthur », le volume N°19 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Frank SELS, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SELS RODE RIDDER 19 KONING ARTHUR 21A - Rajouté le 26/10/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Borsaw) ontvangt zijn gasten zeer hartelijk en biedt hun een uitgebreid maal aan. » (« Il reçoit ses hôtes très cordialement et leur offre un repas copieux »).
On y trouve la forme verbale « biedt … AAN », provenant de l’infinitif « AANBIEDEN », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « BIEDEN ».
La « particule séparable » « AAN » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« HUN » et « een uitgebreid maal »), à la fin de la phrase.
On y trouve aussi la forme verbale « uitGEbreid », participe passé provenant de l’infinitif « UITbreiden » (lui-même peut-être construit sur un infinitif « BREIDEN » – ou « BREIEN » – n’existant plus), qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce participe passé « uitGEbreid » étant utilisé comme adjectif épithète et placé donc devant le nom « MAAL », pour s’accorder, doit prendre la terminaison majoritaire « E » (devant noms masculin ou féminin ou NEUTRE (« HET maal ») – non précédé de « EEN » – au singulier ainsi que masculin, féminin ou NEUTRE au pluriel) précédé d’un déterminant « DE » ou « HET ».
Le verbe « uitBREIDEN » est donc considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) et ne fait PAS non plus partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « D », on trouvera le « D » majoritaire au prétérit (« breid » + DE = « breidDE) mais pas (une deuxième fois) au participe passé.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 21 dans « Koning Arthur », le volume N°19 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Frank SELS, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SELS RODE RIDDER 19 KONING ARTHUR 20C - Rajouté le 25/10/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Begrepen ! Ik ben jouw man ! » (« Compris ! Je suis ton homme ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « BEgrepen », participe passé provenant de l’infinitif « BEgrijpen », lui-même construit sur l’infinitif « GRIJPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Notons que le verbe, correspondant en néerlandais à « comprendre avec son intelligence », devrait plutôt être « VERSTAAN » (en relation avec le nom commun « VERSTAND »). La phrase aurait été : « Verstaan ! Ik ben jouw man ! ». « BEGRIJPEN » a plutôt le sens de « inclure » : « Een fles begrijpt water. »
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 20 dans « Koning Arthur », le volume N°19 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Frank SELS, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SELS RODE RIDDER 19 KONING ARTHUR 20B - Rajouté le 24/10/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wij hebben afgesproken dat jij hier nooit zou komen ! » (« Nous avons convenu que tu ne viendrais jamais ici ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « AFgesproken », participe passé provenant de l’infinitif « AFspreken », lui-même construit sur le verbe « SPREKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « AFspreken » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « afGEsproken ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 20 dans « Koning Arthur », le volume N°19 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Frank SELS, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SELS RODE RIDDER 19 KONING ARTHUR 20A - Rajouté le 23/10/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Modred) wordt door hem (Borsaw) nogal vijandig ontvangen » (« Il est reçu par lui de façon assez hostile »).
On y trouve notamment la forme verbale « ONTVANGEN », participe passé construit sur l’infinitif « ontVANGEN », lui-même construit sur l’infinitif « VANGEN » qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « ONTVANGEN » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« door hem » et « nogal vijandig »), à la fin de la phrase.
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « ONT- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Cette phrase est aussi à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 20 dans « Koning Arthur », le volume N°19 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Frank SELS, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SELS RODE RIDDER 19 KONING ARTHUR 19A - Rajouté le 22/10/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik sta aan het Hof te goed aangeschreven » (« Je suis trop bien noté à la Cour »).
On y trouve notamment la forme verbale « AANgeschreven », participe passé provenant de l’infinitif « AANschrijven », construit sur l’infinitif « SCHRIJVEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le verbe « AANschrijven » est dit « à particule séparable ». Quand il est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé (l’auxiliaire est ici « STAAN » au lieu de « hebben »), cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGEschreven ».
Aux temps composés, le participe passé « AANgeschreven » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (ici « aan het Hof » et « te goed »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 19 dans « Koning Arthur », le volume N°19 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Frank SELS, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SELS RODE RIDDER 19 KONING ARTHUR 18A - Rajouté le 20/10/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De man in de kapmantel heeft woord gehouden » (« L’homme à la cape a tenu parole »).
On y trouve notamment forme verbale « GEhouden », participe passé provenant de l’infinitif « HOUDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEhouden » fait l’objet d’un REJET derrière le complément (ici « woord »), à la fin de la phrase (même si nous avons affaire à l’expression « woord houden »).
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 17 et 18 dans « Koning Arthur », le volume N°19 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Frank SELS, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SELS RODE RIDDER 19 KONING ARTHUR 17B - Rajouté le 19/10/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dit blik in zijn ogen beviel mij niet. » (« Ce regard dans ses yeux ne me plaisait pas »).
On y trouve la forme verbale « beVIEL », O.V.T. (ou prétérit) de l’infinitif « beVALLEN », lui-même construit sur le verbe « VALLEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « Koning Arthur », le volume N°19 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Frank SELS, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SELS RODE RIDDER 19 KONING ARTHUR 17A - Rajouté le 18/10/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Als overwinnaar, eis ik Guinevere (=> haar) als bruid voor Koning Arthur (=> voor hem) op. » (« En tant que vainqueur, j’exige Guenièvre comme fiancée pour le Roi Arthur »).
On y trouve notamment la forme verbale « eis … OP », provenant de l’infinitif « OPeisen », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « EISEN ».
La « particule séparable » « OP » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« Guinevere », « als bruid » et « voor Koning Arthur »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Als overwinnaar »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « IK ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « EIS ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « Koning Arthur », le volume N°19 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Frank SELS, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SELS RODE RIDDER 19 KONING ARTHUR 14A - Rajouté le 17/10/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Telkens worden nieuwe lansen uitgereikt en (telkens) wordt de strijd verbeten voortgezet » (« De nouvelles lances sont rompues à tous les coups et le combat est poursuivi acharné = avec acharnement »).
On y trouve notamment la forme verbale « UITgereikt », participe passé provenant de l’infinitif « UITreiken », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « REIKEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « REIKEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « k », on trouvera au participe passé un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Quand « UITreiken » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « uitGEreikt ».
On y trouve également la forme verbale « VOORTgezet », participe passé provenant de l’infinitif « VOORTzetten », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « ZETTEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « ZETTEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « T », on trouverait au participe passé un « T » (au lieu du « D » majoritaire), mais on n’en rajoute pas un deuxième puisque le radical se termine déjà par un « T ».
Quand « VOORTzetten » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « VOORT » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « voortGEzet ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Telkens » est ici commun aux deux phrases), on doit procéder à une « INVERSION » : le sujet de la première phrase (ici « nieuwe lansen ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « worden ») et passant donc derrière lui ; le sujet de la deuxième phrase (ici « de strijd ») inversant sa position avec le verbe (ici « wordt ») et passant donc aussi derrière lui.
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé (ici « voortgezet ») fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « verbeten »), à la fin de la deuxième phrase.
On y trouve enfin la forme verbale « VERBETEN », participe passé utilisé comme « adjectif », provenant de l’infinitif « VERBIJTEN », lui-même construit sur le verbe « BIJTEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ces phrases sont à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 14 dans « Koning Arthur », le volume N°19 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Frank SELS, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SELS RODE RIDDER 19 KONING ARTHUR 13B - Rajouté le 16/10/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik stel mijn volle vertrouwen in de strijder die hij (heeft) gezonden heeft ! » (« Je place ma confiance complète dans le combattant qu’il a envoyé ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « geZONDen », V.T.T. (ou participe passé) provenant de l’infinitif « ZENDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 13 dans « Koning Arthur », le volume N°19 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Frank SELS, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SELS RODE RIDDER 19 KONING ARTHUR 12B - Rajouté le 14/10/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zonder zijn offer zou ik nooit op tijd (zijn) geweest zijn » (« Sans son sacrifice, je ne serais jamais arrivé à temps »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEWEEST », participe passé provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce participe passé « GEWEEST » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (ici « nooit » et « op tijd »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Zonder zijn offer »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « IK ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici l’auxiliaire du conditionnel au singulier « ZOU ») et passant donc derrière lui.
Rappelons que « ZOUDEN », l’auxiliaire du conditionnel, engendre un REJET de l’autre verbe à l’infinitif (ici « ZIJN »), derrière les compléments (ici « nooit » et « op tijd »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 12 dans « Koning Arthur », le volume N°19 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Frank SELS, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SELS RODE RIDDER 19 KONING ARTHUR 12A - Rajouté le 13/10/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hoe zou het met de Rode Ridder (=> « HEM ») zijn afgelopen (zijn) ? » (« Comment cela se serait-il passé avec le Rode Ridder »).
On y trouve notamment la forme verbale « AFgelopen », participe passé provenant de l’infinitif « AFlopen », lui-même construit sur le verbe « LOPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « AFlopen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « afGElopen ».
Ce participe passé « afGElopen » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « de Rode Ridder »), à la fin de la phrase.
Rappelons que « ZOUDEN », l’auxiliaire du conditionnel, engendre un REJET de l’autre verbe à l’infinitif (ici « ZIJN »), derrière le complément (ici « de Rode Ridder »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 12 dans « Koning Arthur », le volume N°19 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Frank SELS, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SELS RODE RIDDER 19 KONING ARTHUR 09B - Rajouté le 12/10/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « In de molen wacht hij de aanvallers vastberaden op » (« Dans le moulin, il attend les assaillants, bien décidé = de pied ferme »).
On y trouve notamment la forme verbale « wacht … OP », provenant de l’infinitif « OPwachten », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « WACHTEN ».
La « particule séparable » « OP » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« de aanvallers » et « vastberaden »), à la fin de la phrase.
On y trouve donc aussi un ancien participe passé devenu adjectif : la forme verbale « VASTberaden », construite sur un verbe « VASTberaden » (« à particule séparable ») qui n’existe apparemment plus. Ce participe passé était construit sur l’infinitif « BEraden », provenant lui-même de l’infinitif « RADEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« In de molen »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « HIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « WACHT ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « Koning Arthur », le volume N°19 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Frank SELS, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SELS RODE RIDDER 19 KONING ARTHUR 09A - Rajouté le 11/10/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze zijn daar verscholen. » (« Ils sont dissimulés là. »).
On y trouve la forme verbale « VERSCHOLEN », participe passé provenant de l’infinitif « VERSCHUILEN », lui-même construit sur le verbe « SCHUILEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux
Rappelons aussi que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« DAAR »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « Koning Arthur », le volume N°19 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Frank SELS, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SELS RODE RIDDER 19 KONING ARTHUR 08A - Rajouté le 10/10/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De ruiters (…) spraken over twee ridders die ze zochten. » (« Les cavaliers parlaient de deux chevaliers qu’ils cherchaient »).
On y trouve notamment la forme verbale « SPRAKEN », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « SPREKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve également la forme verbale « ZOCHTEN », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « ZOEKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 8 dans « Koning Arthur », le volume N°19 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Frank SELS, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SELS RODE RIDDER 19 KONING ARTHUR 07A - Rajouté le 09/10/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dit gaf hij mij om u te overtuigen. » (« Ceci, il me le donna pour vous convaincre »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « GAF », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « GEVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Attention à l’ordre des mots dans la phrase principale (« Dit gaf hij mij ») : le sujet est bien « HIJ » et pas « DIT », qui est un complément (C.O.D.). Dès lors, la phrase commençant par ce complément « DIT », on doit procéder à une « INVERSION » et le sujet « HIJ ») inverse donc sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « gaf ») et passe donc bien derrière lui.
On trouve aussi, dans la deuxième phrase - une sorte de subordonnée introduite par « OM … TE » (signifiant « POUR » devant les verbes) -, le complément « U » intercalé entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « OVERTUIGEN ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 7 dans « Koning Arthur », le volume N°19 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Frank SELS, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SELS RODE RIDDER 19 KONING ARTHUR 06A - Rajouté le 08/10/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Waarom heb je op ons geschoten ? » (« Pourquoi as-tu tiré sur nous ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « GESCHOTEN », participe passé provenant de l’infinitif « SCHIETEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GESCHOTEN » fait l’objet en néerlandais d’un REJET, derrière le complément (« op ons »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « Koning Arthur », le volume N°19 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Frank SELS, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SELS RODE RIDDER 19 KONING ARTHUR 04C - Rajouté le 07/10/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De koning zond mij om met de sterkste krijger te strijden. » (« Le roi m’envoyait (m’a envoyé) pour lutter avec le guerrier le plus fort »).
On y trouve notamment la forme verbale « ZOND », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « ZENDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On trouve aussi, dans la deuxième phrase - une sorte de subordonnée introduite par « OM … TE » (signifiant « POUR » devant les verbes) -, le complément « met de sterkste krijger » intercalé entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « STRIJDEN ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 4 dans « Koning Arthur », le volume N°19 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Frank SELS, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SELS RODE RIDDER 19 KONING ARTHUR 04B - Rajouté le 06/10/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Deze aanslag houdt verband met de opdracht die de koning mij gaf. » (« Cette attaque est en rapport avec la mission que le roi m’a donnée = confiée »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « GAF », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « GEVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
N’oublions pas que, dans une phrase subordonnée (elle est ici introduite par « DIE »), il y a REJET de la forme verbale, derrière le complément (ici « mij »), à la fin de la phrase.
Notez l’expression « verband HOUDEN met ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 4 dans « Koning Arthur », le volume N°19 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Frank SELS, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SELS RODE RIDDER 19 KONING ARTHUR 04A - Rajouté le 05/10/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik bied u mijn verontschuldigingen aan. » (« Je vous présente mes excuses »).
On y trouve la forme verbale « bied … AAN », provenant de l’infinitif « AANBIEDEN », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « BIEDEN ».
La « particule séparable » « AAN » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« U » et « mijn verontschuldigingen »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 4 dans « Koning Arthur », le volume N°19 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Frank SELS, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SELS RODE RIDDER 19 KONING ARTHUR 03B - Rajouté le 04/10/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Alleen hij wist van mijn komst. » (« Seul, il savait de mon arrivée => Lui seul savait que j’arrivais »).
On y trouve notamment la forme verbale « WIST », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « WETEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 3 dans « Koning Arthur », le volume N°19 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Frank SELS, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SELS RODE RIDDER 19 KONING ARTHUR 02B - Rajouté le 03/10/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Dat leek me een eeuwigheid. » (« Cela me sembla une éternité »).
On y trouve notamment la forme verbale « LEEK », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « LIJKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce verbe fait partie de la catégorie la plus importante (en nombre) de verbes irréguliers au prétérit, celle des « IJ ». (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 2 dans « Koning Arthur », le volume N°19 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Frank SELS, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SELS RODE RIDDER 19 KONING ARTHUR 03A - Rajouté le 02/10/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij zond mij om u door de moerassen te leiden. » (« Il m’envoyait (m’a envoyé) pour vous guider à travers les marais »).
On y trouve notamment la forme verbale « ZOND », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « ZENDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On trouve aussi, dans la deuxième phrase - une sorte de subordonnée introduite par « OM … TE » (signifiant « POUR » devant les verbes) -, les compléments (« u » et « door de moerassen ») intercalés entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « LEIDEN ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 3 dans « Koning Arthur », le volume N°19 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Frank SELS, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SELS RODE RIDDER 19 KONING ARTHUR 02A - Rajouté le 01/10/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De rest krijg je wanneer hij onder onze zwaarden is gevallen. » (« Le reste, tu le reçois quand il est => sera tombé sous nos épées »).
On y trouve notamment forme verbale « GEvallen », participe passé provenant de l’infinitif « VALLEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEVALLEN » fait l’objet en néerlandais d’un REJET, derrière le complément (« onder onze zwaarden »), à la fin de la phrase.
Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’infinitif. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
N’oublions pas que, dans une phrase subordonnée (elle est ici introduite par « WANNEER »), il y a REJET de TOUTES les formes verbales, donc aussi l’auxiliaire (ici « IS ») du passé composé.
La phrase subordonnée en néerlandais est rendue par un futur antérieur en français car on ne dira pas volontiers : « (…) wanneer hij onder onze zwaarden ZAL ZIJN gevallen. »
Attention à l’ordre des mots dans la phrase principale (« De rest krijg je ») : le sujet est bien « JE » et pas « de rest », qui est un complément (C.O.D.). Dès lors, la phrase commençant par ce complément « de rest », on doit procéder à une « INVERSION » et le sujet « JE ») inverse donc sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « krijg ») et passe donc bien derrière lui. Souvenez-vous aussi que dans une phrase INTERROGATIVE (ou son équivalent), la forme verbale de la 2ème personne du singulier ne se termine pas (comme dans une phrase affirmative) par un « T ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 2 dans « Koning Arthur », le volume N°19 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Frank SELS, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN SELS RODE RIDDER 19 KONING ARTHUR 01A - Rajouté le 30/09/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Barbaarse Saksen en wilde Picten trokken rovend en plunderend door het land. » (« Des Saxons barbares et des Pictes sauvages parcoururent le pays en pillant et en saccageant »).
On y trouve notamment la forme verbale « TROKKEN », provenant de l’infinitif « TREKKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
N’oublions pas que l’adjectif épithète se place DEVANT le nom et, pour s’accorder, prend la terminaison majoritaire « E » => « BarbaarsE Saksen » ou « wildE Picten ».
N’oublions pas non plus que le participe présent en néerlandais se construit en ajoutant simplement un « D » à l’infinitif : « ROVEN » => « rovenD » ou « PLUNDEREN » => « plunderenD ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 1 dans « Koning Arthur », le volume N°19 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Frank SELS, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 12 TOTEM WINNETOU 29A - Rajouté le 29/09/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze (de Apachen) zochten hem in de vlakte » (« Ils Ie cherchaient dans la plaine »).
On y trouve notamment la forme verbale « ZOCHTEN », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZOEKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Si ce qu’ils cherchaient avait été féminin, on aurait eu : « Ze (de Apachen) zochten HAAR in de vlakte ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 29 dans « De totem van Winnetou », le volume N°12 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 12 TOTEM WINNETOU 27A - Rajouté le 28/09/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « ‘s anderendaags wordt hij (Winnetou) tijdens een grote plechtigheid voor de raad der (= van de) ouderen gebracht » (« Le lendemain, il est emmené devant le conseil des anciens lors d’une grande cérémonie »).
On y trouve notamment la forme verbale « geBRACHT », participe passé provenant de l’infinitif « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « geBRACHT » fait, lui, l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« tijdens een grote plechtigheid » et « voor de raad van de ouderen ») à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
« ‘s anderendaags » est une forme ancienne, tendant à disparaître, et équivalant à « op de volgende dag ». Ce « ‘S » introduit un complément de temps et est encore fréquent notamment dans des parties du jour comme « ‘s morgens », « ‘s middags » ou « ‘s avonds ». Il est à noter que le nom commun se terminera également par un « S ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 27 dans « De totem van Winnetou », le volume N°12 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 12 TOTEM WINNETOU 25B - Rajouté le 27/09/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Old Shatterhand) begeeft zich naar de hut waar Nickson verbleef » (« Il se rend à la cabane où Nickson séjournait »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERBLEEF », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « VERBLIJVEN », lui-même construit sur « BLIJVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve également la forme verbale « begeeFt », présent provenant de l’infinitif « (zich) begeVen (naar) ».
Rappelons que, lorsque l’on construit le radical du verbe « BEGEVEN », en éliminant la terminaison en partant de la droite, le « V » se transforme en « F » dès qu’il n’est plus suivi du « E ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « De totem van Winnetou », le volume N°12 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 12 TOTEM WINNETOU 25A - Rajouté le 26/09/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Nickson) zocht in de vervallen omheining » (« Il cherchait dans l’enceinte délabrée »).
On y trouve notamment la forme verbale « ZOCHT », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « ZOEKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve également (utilisée comme adjectif épithète) la forme verbale « VERvallen », participe passé provenant de l’infinitif « verVALLEN », lui-même construit sur l’infinitif « VALLEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Si le participe passé est identique à l’infinitif, c’’est notamment dû au fait que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « De totem van Winnetou », le volume N°12 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 12 TOTEM WINNETOU 24A - Rajouté le 25/09/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De dief heeft zijn uur goed gekozen » (« Le voleur a bien choisi son heure »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEKOZEN », participe passé provenant de l’infinitif « KIEZEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEKOZEN » fait l’objet en néerlandais d’un REJET, derrière les compléments (« zijn uur » et « goed »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 23 dans « De totem van Winnetou », le volume N°12 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 12 TOTEM WINNETOU 23A - Rajouté le 24/09/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De oude vrouw ligt gekneveld en gebonden op de vloer » (« La vieille femme est couchée sur le sol, bâillonnée et ligotée»).
On y trouve notamment la forme verbale « GEBONDEN », participe passé provenant de l’infinitif « BINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve également la forme verbale « GEKNEVELD », participe passé provenant de l’infinitif « KNEVELEN », qui n’est PAS affecté par les « temps primitifs ».
Ce verbe est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « L », on trouve donc le « D » majoritaire à la fin du participe passé.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 23 dans « De totem van Winnetou », le volume N°12 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 12 TOTEM WINNETOU 18B - Rajouté le 23/09/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik houd de spanning niet meer uit » (« Je ne supporte plus la tension »).
On y trouve notamment la forme verbale « houd … UIT », construite sur le verbe « UIThouden » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « HOUDEN ».
Quand « UIThouden » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET (derrière notamment le complément « de spanning ») à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 18 dans « De totem van Winnetou », le volume N°12 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 12 TOTEM WINNETOU 18A - Rajouté le 22/09/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik vind niet wat ik gedacht had (gedacht) » (« Je ne trouve pas ce que j’avais pensé »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEDACHT », participe passé provenant de l’infinitif « DENKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 18 dans « De totem van Winnetou », le volume N°12 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 12 TOTEM WINNETOU 17B - Rajouté le 21/09/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Onze kracht is steeds geweest de oeroude tradities hoog te houden » (« Notre force a toujours été de respecter les traditions ancestrales »).
On y trouve la forme verbale « GEWEEST », participe passé provenant de l’infinitif « ZIJN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« STEEDS »), à la fin de la phrase principale.
On y trouve également la forme verbale « HOOG… houden », provenant du verbe « HOOGhouden », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « HOUDEN ».
Quand « HOOGhouden » est « conjugué » (ici, ce n’est pas vraiment le cas, puisqu’il est à l’infinitif), cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « HOOG » (provenant d’un adjectif) de sa forme verbale proprement dite.
En mauvais français, la proposition subordonnée infinitive, commençant par « de oeroude tradities », pourrait être traduite littéralement : « les traditions ancestrales DE respecter ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « De totem van Winnetou », le volume N°12 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 12 TOTEM WINNETOU 17A - Rajouté le 20/09/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De gesloten kiva wordt streng bewaakt » (« Le voleur a bien choisi son heure »).
On y trouve notamment la forme verbale « GESLOTEN », participe passé provenant de l’infinitif « SLUITEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GESLOTEN » est ici utilisé comme adjectif épithète.
On y trouve également la forme verbale « BEWAAKT », participe passé provenant de l’infinitif « BEWAKEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « BEWAKEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire) à la fin du participe passé.
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Le participe passé « BEWAAKT » fait l’objet en néerlandais d’un REJET, derrière le complément (« streng »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « De totem van Winnetou », le volume N°12 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 12 TOTEM WINNETOU 08B - Rajouté le 19/09/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De trapper haalt hem vlug in » (« Le trappeur le rejoint rapidement »).
On y trouve notamment la forme verbale « haalt … IN », construite sur le verbe « INhalen » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « HALEN ».
Quand « INhalen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « IN » de son infinitif proprement dit, la particule faisant l’objet d’un REJET (derrière le complément « HEM ») à la fin de la phrase.
Rappelons que si la personne poursuivie avait été féminine, on aurait eu : « De trapper haalt HAAR vlug in ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 8 et 9 dans « De totem van Winnetou », le volume N°12 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 12 TOTEM WINNETOU 08A - Rajouté le 18/09/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De mesties sprong over de palissade » (« Le métis sauta au-dessus de la palissade »).
On y trouve la forme verbale « SPRONG », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « SPRINGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 8 dans « De totem van Winnetou », le volume N°12 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 12 TOTEM WINNETOU 05A - Rajouté le 17/09/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het middenmotief stelt een schorpioen voor » (« Le motif du milieu représente un scorpion »).
On y trouve notamment la forme verbale « stelt … VOOR », provenant de l’infinitif « VOORstellen », conjugué lui-même sur « STELLEN ».
Quand « VOORstellen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « VOOR » de son infinitif proprement dit, la particule « VOOR » étant affectée par un REJET, derrière le complément (ici « een schorpioen »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « De totem van Winnetou », le volume N°12 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 12 TOTEM WINNETOU 02A - Rajouté le 16/09/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Diep over de nek van hun paarden gebogen (…) bereiken enkele ruiters de kudde » (« Profondément penché sur le cou de leurs chevaux, quelques cavaliers atteignent le troupeau »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEBOGEN », participe passé provenant de l’infinitif « BUIGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Diep over de nek van hun paarden gebogen »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « enkele ruiters ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « bereiken ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 2 dans « De totem van Winnetou », le volume N°12 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 41 PONY EXPRESS 29A - Rajouté le 15/09/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Intussen vreet het zuur verder door en doet het uur van de ontploffing naderen » (« Entretemps, l’acide continue à ronger et fait se rapprocher l’heure de l’explosion »).
« VERDER », comparatif de supériorité de « VER », signifie donc « PLUS loin ».
« VERDER vreten » traduit une progression d’une action dans le temps et il NE peut PAS, en aucun cas, s’agir d’un verbe dit « à particule séparable ».
« VRETEN », associé à « DOOR », n’est pas davantage (officiellement) un verbe dit « à particule séparable » mais cette ancienne préposition « DOOR » réagit comme une « particule séparable » et est affectée par un REJET, derrière le « complément » (« verder »), à la fin de la première phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« intussen »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « het zuur ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « vreet ») et passant donc derrière lui.
Bien que « DOEN » ne soit pas un « auxiliaire de mode », il joue ce rôle dans la deuxième phrase puisqu’il engendre un REJET, derrière les compléments (« het uur » et « van de ontploffing »), de l’infinitif « NADEREN » à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 29 dans « De pony express », le volume N°41 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 41 PONY EXPRESS 27B - Rajouté le 14/09/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De anderen wachten niet meer om hals over kop op de vlucht te slaan » (« Les autres n’attendent plus pour prendre la fuite le cou par-dessus la tête = pour prendre leurs jambes à leur cou»).
On trouve dans cette phrase respectivement les expressions « hals over kop » et « op de vlucht slaan », qui ne sont donc, en aucun cas, des traductions littérales de la langue française pour les francophones.
Chaque langue a des richesses propres.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 27 dans « De pony express », le volume N°41 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 41 PONY EXPRESS 27A - Rajouté le 13/09/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze hebben de dynamietpatronen gevonden » (« Ils ont trouvé les cartouches de dynamite »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEVONDEN », participe passé provenant de l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEVONDEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« de dynamietpatronen »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 27 dans « De pony express », le volume N°41 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 41 PONY EXPRESS 26A - Rajouté le 12/09/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Weldra storten bossen brandende takken op de hut neer » (« Bientôt des faisceaux de branches enflammées s’abattent sur la cabane »).
On y trouve la forme verbale « storten … NEER », construite sur le verbe « NEERstorten » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « STORTEN ».
Quand « NEERstorten » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « NEER » de son infinitif proprement dit, la particule « NEER » étant affectée par un REJET, derrière le complément (ici « op de hut »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 26 dans « De pony express », le volume N°41 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 41 PONY EXPRESS 25A - Rajouté le 11/09/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het slimme vosje laat daarop de tak los » (« Sur ce (cela étant fait), le rusé petit renard lâche la branche »).
On y trouve notamment la forme verbale « laat … LOS », provenant de l’infinitif « LOSlaten », conjugué lui-même sur « LATEN » (qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts »).
Quand « LOSlaten » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « LOS » de son infinitif proprement dit, la particule « LOS » étant affectée par un REJET, derrière les compléments (ici « daarop » et « de tak »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « De pony express », le volume N°41 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 41 PONY EXPRESS 24A - Rajouté le 10/09/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Alhoewel de kogels hem om de oren fluiten slaagt hij (Andy) erin de toorts weg te schoppen » (« Bien que les balles lui sifflent aux oreilles, il parvient à écarter la torche à coups de pied »).
On y trouve notamment la forme verbale « WEG … schoppen », provenant de l’infinitif « WEGschoppen », conjugué lui-même sur « SCHOPPEN ».
On y trouve aussi l’expression « ERIN SLAGEN » (équivalent de l’expression « LUKKEN IN », qui aurait pu donner la phrase alternative : « Het lukt hem (Andy) de toorts weg te schoppen»). L’expression (équivalent, en mauvais français, à « réussir DE ») engendre un « TE » quand il précède un infinitif comme, ici, « WEGschoppen », qui est donc un verbe à « particule séparable » puisque le « TE » s’intercale entre la particule « WEG » et l’infinitif « SCHOPPEN » proprement dit).
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 24 dans « De pony express », le volume N°41 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 41 PONY EXPRESS 23B - Rajouté le 09/09/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een brandende toorts komt voor de deur van de hut terecht » (« Une torche enflammée atterrit devant la porte de la cabane »).
On y trouve notamment la forme verbale « komt … TERECHT », provenant de l’infinitif « TERECHTkomen », conjugué lui-même sur « KOMEN » (qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts »).
Quand « TERECHTkomen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERECHT » de son infinitif proprement dit, la particule « TERECHT » étant affectée par un REJET, derrière les compléments (ici « voor de deur » et « van de hut »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que le participe présent en néerlandais se construit en ajoutant simplement un « D » à l’infinitif : « BRANDEN » => « brandenD ». Ici, ce participe présent est utilisé comme adjectif épithète, se place donc devant le nom et, pour s’accorder, prend la terminaison majoritaire « E » => « brandendE toorts ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 23 et 24 dans « De pony express », le volume N°41 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 41 PONY EXPRESS 23A - Rajouté le 08/09/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze trekken zich al terug » (« Ils se retirent déjà »).
On y trouve notamment la forme verbale « trekken … TERUG », provenant de l’infinitif « TERUGtrekken », conjugué lui-même sur « TREKKEN » (qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts »).
Quand « TERUGtrekken » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERUG » de son infinitif proprement dit, la particule « TERUG » étant affectée par un REJET, derrière le complément (ici « al »), à la fin de la phrase.
Cette particule « TERUG » est très fréquente en néerlandais puisqu’elle correspond au préfixe français « RE- », rendant la notion de RETOUR.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 23 dans « De pony express », le volume N°41 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 41 PONY EXPRESS 22A - Rajouté le 07/09/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij schiet handig het touw stuk dat een stapel bomenstammen samenhield » (« Il détruit, en tirant adroitement, la corde qui tenait ensemble un tas de troncs d’arbres »).
On y trouve, dans la phrase principale, la forme verbale « schiet … STUK », construite sur l’infinitif « STUKschieten » (verbe dit « à particule séparable »), lui-même construit sur l’infinitif « SCHIETEN ».
La particule séparable « STUK » (issue d’un nom commun) fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« handig » et « het touw »), à la fin de la phrase.
On y trouve aussi, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « SAMENhield », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « SAMENhouden » (verbe dit « à particule séparable »), lui-même construit sur « HOUDEN » qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
S’il y a, ici, REJET de la forme verbale « SAMENhield », c’est parce qu’elle figure dans une phrase subordonnée.
« SAMEN » est bien une « particule séparable » car si on avait eu l’ordre normal des mots dans une phrase, on aurait eu : « Het touw hield een stapel bomenstammen SAMEN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 22 dans « De pony express », le volume N°41 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 41 PONY EXPRESS 19A - Rajouté le 06/09/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het voornaamste is dat alles onbeschadigd bleef » (« Le plus important est que tout restait intact = NON endommagé »).
On y trouve notamment la forme verbale « BLEEF » (O.V.T. ou « prétérit »), provenant de l’infinitif « BLIJVEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
S’il y a, ici, REJET de la forme verbale « BLEEF », c’est parce qu’elle figure dans une phrase subordonnée.
On y trouve aussi la forme verbale « onbeschadigd » (utilisée comme une sorte d’attribut), CONTRAIRE du participe passé « beschadigd », provenant lui de l’infinitif « BESCHADIGEN ».
Ce verbe « BESCHADIGEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») ; il ne fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « G », on trouvera le « D » majoritaire.
Mais rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux. Et cela est, bien sûr, également valable pour son CONTRAIRE.
On y trouve enfin la forme superlative de l’adjectif « VOORNAAM ». Comme en anglais, le superlatif se forme en rajoutant la terminaison « ST » à la fin de l’adjectif ; en néerlandais, le cas échéant, l’adjectif (même au superlatif) s’accorde en prenant la terminaison « E » (supplémentaire , dans le cas d’un superlatif) : « VOORNAAM » + « ST » + « E » = « VOORNAAMstE ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 19 dans « De pony express », le volume N°41 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 41 PONY EXPRESS 18B - Rajouté le 05/09/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze (de postpakken) bevonden zich in de kelder » (« Les colis postaux se trouvaient dans la cave »).
On y trouve notamment la forme verbale « BEVONDEN », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « BEVINDEN », lui-même construit sur le verbe « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « BEVINDEN » est ici employé comme verbe « pronominal réfléchi » dont le pronom personnel est « ZICH », non seulement à l’infinitif mais notamment aussi, lors d’un emploi réfléchi, aux troisièmes personnes, tant du singulier que du pluriel.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 18 dans « De pony express », le volume N°41 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 41 PONY EXPRESS 18A - Rajouté le 04/09/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Alleen de zagerij staat nog overeind » (« Seule la scierie est encore debout »).
En soi, le verbe « STAAN » signifie déjà « être debout ». Dans ce cadre-ci, tout le reste étant « OMVER » (= « par terre »), on éprouve le besoin de préciser que, par contraste, « de zagerij » est encore « OVEREIND » (= PAS « par terre », donc « debout »).
« OVEREIND staan » est donc plutôt une « expression » et NE peut PAS, en aucun cas, être un verbe dit « à particule séparable ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 18 dans « De pony express », le volume N°41 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 41 PONY EXPRESS 17B - Rajouté le 03/09/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Tot hun grote woede stellen de Indianen (Cheyennes) vast dat hun tegenstanders verdwenen zijn » (« Très fâchés, les Indiens constatent que leurs adversaires ont disparu »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « stellen … VAST », provenant de l’infinitif « VASTSTELLEN » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « STELLEN ».
Quand « vastSTELLEN » est conjugué, comme au présent, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « VAST » de sa forme verbale proprement dite, la particule faisant l’objet d’un REJET, derrière le complément (imaginons ici « dan ») à la fin de la phrase ... principale.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Tot hun grote woede »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de Indianen ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « stellen ») et passant donc derrière lui.
On y trouve aussi, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « VERDWENEN », participe passé provenant de l’infinitif « VERDWIJNEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Notons que, aux temps composés, l’auxiliaire n’est pas le même qu’en français. C’est, en général, le cas quand il y a une notion de mouvement.
Il est à noter que ce participe passé se construit sur le PLURIEL du prétérit. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Non seulement il ressemble au PLURIEL du prétérit mais les formes verbales sont, par hasard, identiques. En effet, rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « De pony express », le volume N°41 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 41 PONY EXPRESS 17A - Rajouté le 02/09/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Om de beurt snijden ze (de mannen) één voor één de worteltakken over » (« A tour de rôle, les hommes tranchent une à une les racines »).
On y trouve notamment la forme verbale « snijden … OVER », provenant de l’infinitif « OVERsnijden » (verbe dit « à particule séparable »), conjugué lui-même sur « SNIJDEN » (qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts »).
Quand « OVERsnijden » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OVER » de son infinitif proprement dit, la particule « OVER » étant affectée par un REJET, derrière les compléments (ici, « één voor één » et « de worteltakken »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Om de beurt »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de mannen ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « snijden ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « De pony express », le volume N°41 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 41 PONY EXPRESS 16A - Rajouté le 01/09/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij zwemt zolang mogelijk onder het eiland door » (« Il nage le plus longtemps possible sous l’île de long en large »).
On y trouve la forme verbale « zwemt » et, rejetée à la fin de la phrase, la préposition traditionnelle « DOOR ».
On aurait, en effet, tendance à croire que l’on a affaire à un verbe dit « à particule séparable » mais, officiellement, n’existe que « DROOGzwemmen », qui a une signification fort différente.
On aurait pu imaginer la construction : « Hij zwemt zolang mogelijk onder het eiland EN door het eiland (onder het water) ». La répétition du groupe nominal « het eiland » aurait heurté, et notre paresse naturelle aidant …
« DOOR » n’est donc, dans ce cas-ci, pas une « particule séparable ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « De pony express », le volume N°41 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 41 PONY EXPRESS 12A - Rajouté le 31/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hoe geraken wij er nog uit ? » (« Comment allons-nous encore en sortir ? »).
On y trouve la forme verbale « GERAKEN », qui n’est évidemment pas un participe passé, notamment parce qu’elle n’est pas précédée d’un auxiliaire.
On aurait, par ailleurs, tendance à croire que l’on a affaire à un verbe dit « à particule séparable » mais le « UIT » ici est plutôt la préposition traditionnelle, utilisée à la place de « BUITEN » (qui, rappelons-le, la contient : « bUITen »).
On y trouve aussi un adverbe pronominal : « erUIT ». On aurait pu trouver la variante suivante : « Hoe geraken wij nog erUIT ? ». Le « ER » provient de « DAAR » (ici, ce serait plutôt de « HIER »), de sorte que l’on aurait pu aussi trouver les variantes suivantes : « Hoe geraken wij nog daarUIT ? » ou, PLUTOT, « Hoe geraken wij nog hierUIT ? ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 12 dans « De pony express », le volume N°41 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 41 PONY EXPRESS 10A - Rajouté le 30/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Webster) is in een hinderlaag gevallen » (« Il est tombé dans une embuscade »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEvallen », participe passé provenant de l’infinitif « VALLEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’infinitif. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 10 dans « De pony express », le volume N°41 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 41 PONY EXPRESS 05B - Rajouté le 29/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Andy) komt aangelopen » (« Il arrive en courant »).
On y trouve la forme verbale « AANgelopen », participe passé provenant du verbe « AANlopen » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur l’infinitif « LOPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « AANlopen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGElopen ».
Il est à noter que ce participe passé se construit sur l’infinitif. (Pour complément d’informations, consultez par exemple notre tableau des « Temps primitifs » sur ce même site, où les couleurs aident à mieux comprendre trois grandes catégories de verbes irréguliers au passé.)
Cette tournure de phrase n’est pas fréquente ; elle fait un peu penser à la « forme progressive » : « Hij komt AAN HET lopen», rendue en anglais par un participe PRESENT : « He comes running ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « De pony express », le volume N°41 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 41 PONY EXPRESS 05A - Rajouté le 28/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het is een jong vosje dat Bessy heeft doen opspringen » (« C’est un jeune renard que Bessy a fait sursauter »).
On y trouve notamment, au passé composé, une tournure que l’on appelle le « double infinitif ».
« DOEN » aurait dû être au participe passé (cela aurait donné « GEDAAN ») mais, dans la mesure où il est suivi d’un infinitif, on le transforme, lui aussi, en infinitif.
Pour les élèves francophones, qui trouvent trop contraignant d’apprendre les « temps primitifs », voilà une solution qui peut leur simplifier l’apprentissage de cette facette de la langue néerlandaise.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « De pony express », le volume N°41 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 41 PONY EXPRESS 04A - Rajouté le 27/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het loopt over de waterspiegel van plassen en kreken zonder zijn pootjes nat te maken » (« Il / elle marche sur le miroir d’eau des mares et des criques sans mouiller ses pattes »).
On y trouve notamment la forme verbale « NAT… maken », provenant du verbe « NATmaken », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « MAKEN ».
Quand « natMAKEN » est « conjugué » (ici, ce n’est pas vraiment le cas, puisqu’il est à l’infinitif) après la préposition « ZONDER » qui engendre un « TE », cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « NAT » (provenant d’un adjectif) de sa forme verbale proprement dite.
En mauvais français, la proposition subordonnée infinitive, introduite par « ZONDER » ,pourrait être traduite littéralement : « sans ses pattes DE se faire mouillées ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 4 dans « De pony express », le volume N°41 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 006 WAPEN RIHEI 34A - Rajouté le 26/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Met dankbaarheid begreep hij (Rihei) dat de Rode Ridder hem op zijn manier om zijn onwankelbare trouw (had) beloond had » (« Avec gratitude, il comprit que le Chevalier Rouge l’avait, à sa manière, récompensé pour sa loyauté indéfectible »).
On y trouve notamment la forme verbale « BEGREEP », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « BEGRIJPEN », lui-même construit sur le verbe « GRIJPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (ici « Met dankbaarheid »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « HIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « BEGREEP ») et passant donc derrière lui.
Notons que le verbe, correspondant en néerlandais à « comprendre avec son intelligence », devrait plutôt être « VERSTAAN » (en relation avec le nom commun « VERSTAND »). La phrase aurait été : « Met dankbaarheid VERSTOND hij dat de Rode Ridder hem op zijn manier om zijn onwankelbare trouw (had) beloond had ». « BEGRIJPEN » a plutôt le sens de « inclure » : « Een fles begrijpt water. »
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 33 et 34 dans « Het wapen van Rihei », le volume N°6 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1961-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 006 WAPEN RIHEI 09A - Rajouté le 25/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Als ooit iemand op tijd toesloeg, is het deze ruiter ! » (« Si jamais quelqu’un a frappé à temps, c’est ce cavalier ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « TOEsloeg », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « TOEslaan » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « SLAAN ». Si cette forme verbale « TOEsloeg » ne s’était pas trouvée dans une phrase subordonnée (« Als ooit iemand op tijd toesloeg »), on aurait pu, par exemple, avoir : « De ruiter sloeg op tijd TOE », où il y aurait REJET de la particule séparable « TOE », derrière le complément, à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (la subordonnée joue ici ce rôle « Als ooit iemand op tijd toesloeg »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « HET ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « IS ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « Het wapen van Rihei », le volume N°6 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1961-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 006 WAPEN RIHEI 01A - Rajouté le 24/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Deze wonderlijke tochten werden door Marco Polo later in een boek beschreven » (« Ces expéditions merveilleuses furent décrites plus tard par Marco Polo dans un livre »).
On y trouve notamment la forme verbale « BESCHREVEN », participe passé provenant de l’infinitif « BESCHRIJVEN, lui-même construit sur le verbe « SCHRIJVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Le participe passé « BESCHREVEN » ressemble par hasard au pluriel du prétérit. « GESCHREVEN », participe passé de « SCHRIJVEN, est construit sur le pluriel du prétérit, « SCHREVEN ». (Pour un complément d’informations, vous pouvez notamment télécharger à partir de ce site le tableau de « temps primitifs », où des couleurs aident à mieux comprendre sur quelle forme est souvent construit un participe passé.)
Rappelons aussi que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (ici « door Marco Polo », « later » et « in een boek »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 1 dans « Het wapen van Rihei », le volume N°6 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1961-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 006 WAPEN RIHEI 13A - Rajouté le 23/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Als het niet aanhoudt, is het zonder betekenis ! » (« Si cela ne continue pas, c’est sans signification = importance ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « AANhoudt » provenant de l’infinitif « AANhouden » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « HOUDEN ». Si cette forme verbale « AANhoudt » ne s’était pas trouvée dans une phrase subordonnée »), on aurait pu, par exemple, avoir : « De aardbeving houdt niet lang AAN », où il y aurait REJET de la particule séparable « AAN », derrière le complément, à la fin de la phrase. C’est d’ailleurs le cas d’une phrase dans la troisième image : « Doch het trillen houdt aan ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (la subordonnée joue ici ce rôle « Als het niet aanhoudt »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « HET ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « IS ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 12 et 13 dans « Het wapen van Rihei », le volume N°6 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1961-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 006 WAPEN RIHEI 05A - Rajouté le 22/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De lettertekens worden met penseel en inkt aangebracht » (« Les caractères sont appliqués avec un pinceau et de l’encre »).
On y trouve notamment la forme verbale « AANgebracht », participe passé provenant de l’infinitif « AANbrengen » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « AANbrengen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGEbracht ».
Rappelons aussi que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « met penseel en inkt »), à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « Het wapen van Rihei », le volume N°6 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1961-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 006 WAPEN RIHEI 25A - Rajouté le 21/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Onze kansen om te ontsnappen zijn verkeken ! » (« Nos chances d’en réchapper sont mal vues = minces ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERKEKEN », participe passé provenant de l’infinitif « VERKIJKEN », lui-même construit sur le verbe « KIJKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Rappelons aussi que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (imaginons ici « NU »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 25 et 26 dans « Het wapen van Rihei », le volume N°6 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1961-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 11 VUURWATER 31A - Rajouté le 19/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De bezetting wordt vervangen » (« La garnison est remplacée »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERVANGEN », participe passé construit sur l’infinitif « VERVANGEN », lui-même construit sur le verbe « VANGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 31 dans « Vuurwater », le volume N°11 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 11 VUURWATER 29A - Rajouté le 19/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De geest van het vuur is naar de Cheyennes gekomen » (« L’esprit du feu est venu chez les Cheyennes »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEKOMEN », participe passé provenant de l’infinitif « KOMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Cette forme verbale est, comme on le voit, construite sur L’INFINIF. (Pour complément d’informations, consultez notamment notre tableau de synthèse « Temps primitifs » dans la partie « GRAMMATICA » de ce site.)
Ce participe passé « GEKOMEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« naar de Cheyennes »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 28 et 29 dans « Vuurwater », le volume N°11 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 11 VUURWATER 08A - Rajouté le 19/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De vaten (alcohol) worden stukgeslagen en overboord geworpen » (« Les tonneaux (d’alcool) sont fracassés et jetés par-dessus bord »).
On y trouve notamment la forme verbale « STUKgeslagen », participe passé construit sur l’infinitif « STUKslaan » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « SLAAN», qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « STUKslaan » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « STUK » (provenant d’un NOM ») de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « stukGEslagen ».
On y trouve notamment la forme verbale « geworpen », participe passé provenant de l’infinitif « WERPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEWORPEN » est affecté d’un REJET, derrière le complément (« overboord»), à la fin de la phrase.
Cette phrase est enfin à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 8 dans « Vuurwater », le volume N°11 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 11 VUURWATER 07A - Rajouté le 19/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Is hij (de Rode Bizon) gek geworden ? » (« Est-il devenu fou ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEWORDEN », participe passé provenant de l’infinitif « WORDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Cette forme verbale est, comme on le voit, construite sur L’INFINIF. (Pour complément d’informations, consultez notamment notre tableau de synthèse « Temps primitifs » dans la partie « GRAMMATICA » de ce site.)
Le participe passé « GEWORDEN » est affecté d’un REJET, derrière le « complément » (« GEK »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, dans une phrase INTERROGATIVE (= une QUESTION, se terminant par un point d’INTERROGATION = « ? » ou « vraagteken » en néerlandais), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de Rode Bizon ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « IS ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 7 dans « Vuurwater », le volume N°11 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 11 VUURWATER 06A - Rajouté le 19/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Twee boten, geladen met vaten alcohol, komen aan » (« deux bateaux, chargés de tonneaux d’alcool, arrivent »).
On y trouve notamment la forme verbale « GELADEN », participe passé provenant de l’infinitif « LADEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Cette forme verbale est, comme on le voit, construite sur L’INFINIF. (Pour complément d’informations, consultez notamment notre tableau de synthèse « Temps primitifs » dans la partie « GRAMMATICA » de ce site.)
Ce participe passé « GELADEN », reste invariable même s’il est ici utilisé comme adjectif … « attribut » (l’auxiliaire « zijn » étant sous-entendu dans une subordonnée, qui aurait pu être : « (…) die met vaten alcohol zijn (worden) geladen. »
On y trouve aussi la forme verbale « KOMEN … AAN », construite sur l’infinitif « AANkomen » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « KOMEN ».
La « particule séparable » « AAN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément « geladen met vaten», à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « Vuurwater », le volume N°11 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 34 STRIJDBIJL 25A - Rajouté le 18/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wanneer het machinegeweer neerstort, vallen wij aan » (« Quand la mitrailleuse tombe, nous attaquons »).
On y trouve notamment la forme verbale « vallen … AAN », provenant de l’infinitif « AANvallen », conjugué lui-même sur « VALLEN ».
Quand « AANvallen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « AAN » étant affectée par un REJET, derrière le complément (imaginons ici, « de Indianen»), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (la proposition subordonnée « Wanneer het machinegeweer neerstort » joue ici ce rôle), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « WIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « vallen ») et passant donc derrière lui.
On y trouve aussi la forme verbale « NEERstort », construite sur le verbe « NEERstorten » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « STORTEN ».
Quand il est conjugué dans un contexte normal (pas dans une phrase subordonnée où le verbe est rejeté à la fin), cela entraîne normalement en néerlandais une séparation de la particule « NEER » (qui fait l’objet d’un REJET à la fin de la phrase) de son infinitif proprement dit, le complément (imaginons « van de heuvel ») s’intercalant entre eux ; on aurait donc pu avoir : « Het machinegeweer stort van de heuvel NEER. »
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « De strijdbijl », le volume N°34 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 34 STRIJDBIJL 20A - Rajouté le 18/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Terwijl de ruiters het fort omsingelen, stellen andere krijgers het machinegeweer op » (« Pendant que les cavaliers encerclent le fer, d’autres guerriers disposent la mitrailleuse »).
On y trouve notamment la forme verbale « stellen … OP », provenant de l’infinitif « OPstellen », conjugué lui-même sur « STELLEN ».
Quand « OPstellen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « OP » étant affectée par un REJET, derrière le complément (ici, « het machinegeweer »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (la proposition subordonnée « Terwijl de ruiters het fort omsingelen » joue ici ce rôle), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « andere krijgers ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « stellen ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 20 dans « De strijdbijl », le volume N°34 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 34 STRIJDBIJL 19C - Rajouté le 18/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een zwaar spervuur drijft de soldaten naar de oever terug » (« Un tir nourri refoule les soldats vers la berge »).
On y trouve notamment la forme verbale « drijft … TERUG », provenant de l’infinitif « TERUGdrijven », conjugué lui-même sur « DRIJVEN » (qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts »).
Quand « TERUGdrijven » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERUG » de son infinitif proprement dit, la particule « TERUG » étant affectée par un REJET, derrière les compléments (ici, « de soldaten » et « naar de oever »), à la fin de la phrase.
La forme verbale « drijFt » provient donc de l’infinitif « drijVen ». N’oublions pas que si un « V » était suivi d’un « E » (ou la terminaison « EN » du pluriel), il devient « F » quand ce « E » disparaît, au radical (première personne du singulier de l’indicatif présent) du verbe, derrière une consonne unique. Cette règle est également valable dans le cas du passage du pluriel au singulier d’un nom commun ou dans le cas d’accord d’un adjectif épithète.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 19 dans « De strijdbijl », le volume N°34 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 34 STRIJDBIJL 19B - Rajouté le 18/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze voeren het machinegeweer mee » (« Ils emportent la mitrailleuse (avec eux) »).
On y trouve notamment la forme verbale « voeren … MEE », provenant de l’infinitif « MEEvoeren », conjugué lui-même sur « VOEREN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « MEEvoeren » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « MEE » de son infinitif proprement dit, la particule « MEE » étant affectée par un REJET, derrière le complément (ici « het machinegeweer »), à la fin de la phrase. Il est à noter que la particule « MEE » provient de la préposition « MET ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 19 et 20 dans « De strijdbijl », le volume N°34 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 007 VAL ANGKOR 34C - Rajouté le 17/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Angkor verdween onder het groene tapijt van het oerwoud en zijn bestaan werd met de tijd vergeten » (« Angkor disparut sous le tapis vert de la forêt vierge et son existence fut oubliée avec le temps »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERDWEEN », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « VERDWIJNEN »), qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve aussi la forme verbale « VERGETEN », participe passé provenant, par hasard, du même infinitif « VERGETEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Rappelons aussi que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « met de tijd »), à la fin de la phrase.
Cette deuxième phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 34 dans « De val van Angkor », le volume N°7 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1961-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 007 VAL ANGKOR 34B - Rajouté le 17/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De machtige wortels van bomen spleten de dikste muren » (« Les puissantes racines d’arbres fendirent les murs les plus épais »).
On y trouve notamment la forme verbale « SPLETEN », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « SPLIJTEN »), qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve aussi la forme superlative de l’adjectif « DIK ». Comme en anglais, le superlatif se forme en rajoutant la terminaison « ST » à la fin de l’adjectif ; en néerlandais, le cas échéant, l’adjectif épithète (même au superlatif) s’accorde en prenant la terminaison « E » (supplémentaire , dans le cas d’un superlatif) : « DIK » + « ST » + « E » = « DIKstE ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 34 dans « De val van Angkor », le volume N°7 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1961-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 007 VAL ANGKOR 34A - Rajouté le 17/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De ruïnes boden nog slechts de dieren van het oerwoud een schuilplaats » (« Les ruines n’offrirent plus un abri qu’aux animaux de la forêt vierge »).
On y trouve notamment la forme verbale « BODEN », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « BIEDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Notez l’usage particulier de la négation « SLECHTS » (= « NE … QUE »), NE commençant PAS par un « N » contrairement à la plupart des autres mots néerlandais rendant cette notion de négation (« NIET », (« NIEMAND », « NOOIT », « NERGENS », …)
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 34 dans « De val van Angkor », le volume N°7 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1961-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 007 VAL ANGKOR 28A - Rajouté le 17/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « In het oerwoud wordt het sein tot de opstand gegeven » (« Dans la forêt vierge, le signal de la révolte fut donné »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEGEVEN », participe passé provenant de l’infinitif « GEVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons aussi que, aux temps composés, le participe passé (ici « GEGEVEN ») fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « tot de opstand » mais qui dépend de « het sein » ; imaginons donc plutôt « tegen de vijand »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« In het oerwoud »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « het sein ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « wordt ») et passant donc derrière lui.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 25 et 28 dans « De val van Angkor », le volume N°7 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1961-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 007 VAL ANGKOR 23A - Rajouté le 17/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze (de Khmers) lieten de inkt in de letters drogen » (« Ils laissaient l’encre sécher dans les lettres »).
On y trouve notamment la forme verbale « LIETEN », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « LATEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On remarquera aussi, le REJET du verbe « DROGEN », derrière les compléments (« de inkt » et « in de letters »), à la fin de cette phrase. Même si « LATEN » joue le rôle d’un auxiliaire à la première personne du PLURIEL de l’IMPERATIF (« LATEN WE … » + REJET), il n’exige, en principe, pas un REJET systématique dans les autres cas.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 23 dans « De val van Angkor », le volume N°7 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1961-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 10 DUIVELSKOP 30A - Rajouté le 16/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een gebroken man meldt het droevige nieuws » (« Un homme brisé communique la triste nouvelle »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEBROKEN », participe passé provenant de l’infinitif « BREKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEBROKEN » est ici utilisé comme adjectif épithète et placé devant le nom. Ils ont tendance à rester invariables comme les adjectifs attributs.
On trouve la forme verbale « meldT », troisième personne du singulier de l’O.T.T. ou indicatif présent. Elle doit se terminer par « T » même si l’avant-dernière lettre est « D » (la seule véritable exception étant le « IS », dans « hij/zij/het//dit/dat/men/er/daar/hier is »).
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 30 dans « De duivelskop », le volume N°10 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 10 DUIVELSKOP 21A - Rajouté le 16/08/2011

Description :
La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Waarom ben je niet bij jouw (je) stam gebleven ? » (« Pourquoi n’es-tu pas restée auprès de ta tribu ? »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEBLEVEN », participe passé provenant de l’infinitif « BLIJVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On a, en néerlandais, tendance à remplacer (certainement dans la langue orale) le déterminant possessif « JOUW » du tutoiement (SEUL mot correspondant aux trois mots français, respectivement pour le MASCULIN singulier « TON », le FEMININ singulier « TA » ou le PLURIEL « TES ») par « JE », qui dès lors ressemble comme deux gouttes d’eau au pronom personnel sujet « JE », correspondant à « TU ». Aucune objection, même à l’écrit, pour autant que l’on soit bien conscient que, en néerlandais, le SUJET est toujours juste A COTE de la forme verbale ou VERBE conjugués (même utilisés avec la négation « NIET ») et que, en principe, on ne peut dès lors pas les confondre …
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 21 dans « De duivelskop », le volume N°10 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 10 DUIVELSKOP 19A - Rajouté le 16/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maar hij (Winnetou) zwoer een dure eed » (« Mais il jura un serment coûteux = il avait juré quelque chose qui allait lui coûter cher »).
On y trouve notamment la forme verbale « ZWOER », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « ZWEREN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Dans le complément « een dure eed », « DUUR » est utilisé comme adjectif épithète, se place donc devant le nom et, pour s’accorder, prend la terminaison majoritaire « E » (devant noms masculin, féminin et neutre au singulier ainsi que masculin, féminin ou neutre au pluriel). Attention à la modification orthographique : dans la mesure où on rajoute un « E » derrière une consonne finale unique (ici « R »), cela entraîne la disparition d’une des deux voyelles identiques (ici « U ») devant cette même consonne si l’on a affaire à une double voyelle. « DUUR » + « E » - « U » = « dUrE ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 19 dans « De duivelskop », le volume N°10 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 10 DUIVELSKOP 18A - Rajouté le 16/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Old Shatterhand) is aan een wagenwiel gebonden en wordt door een schildwacht bewaakt » (« Il est attaché à une roue de chariot et est surveillé par une sentinelle »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEBONDEN », participe passé provenant de l’infinitif « BINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « aan een wagenwiel »), à la fin de la phrase.
La deuxième phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ». La nuance est parfois difficile à saisir pour, par exemple, les francophones. Si le complément est introduit par la préposition « DOOR », ce sera en général plutôt l’auxiliaire « WORDEN ».
On y trouve la forme verbale « BEWAAKT », participe passé provenant de l’infinitif « BEWAKEN », PAS affecté par les « temps primitifs ».
Ce verbe « BEWAKEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Rappelons encore une fois que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « door een schildwacht »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 18 dans « De duivelskop », le volume N°10 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 34 STRIJDBIJL 19A - Rajouté le 15/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « (…) onder de stam dreven Indianen (in het water) mee » (« sous le tronc, des Indiens se laissaient emporter par le courant »).
On y trouve notamment la forme verbale « dreven … MEE », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « MEEdrijven », conjugué lui-même sur « DRIJVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « MEEdrijven » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « MEE » de son infinitif proprement dit, la particule « MEE » étant affectée par un REJET, derrière le complément (ici, sous-entendu : « in het water »), à la fin de la phrase. Il est à noter que la particule « MEE » provient de la préposition « MET ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« onder de stam »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « Indianen ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « dreven ») et passant donc derrière lui.
N’oublions pas non plus que le participe présent en néerlandais se construit en ajoutant simplement un « D » à l’infinitif : « DRIJVEN » => « drijvenD ». Ici, ce participe présent est utilisé comme adjectif épithète (dans la première image), se place donc devant le nom et, pour s’accorder, prend la terminaison majoritaire « E » => « drijvendE boomstam ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 19 dans « De strijdbijl », le volume N°34 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 34 STRIJDBIJL 18A - Rajouté le 15/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Reeds wordt er geschoten » (« Il est déjà tiré = on tire déjà »).
On y trouve notamment la forme verbale « GESCHOTEN », participe passé provenant de l’infinitif « SCHIETEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« reeds »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « ER ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « wordt ») et passant donc derrière lui.
On aurait pu dire plus simplement : « Reeds schiet MEN » ou « MEN schiet reeds ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « De strijdbijl », le volume N°34 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 34 STRIJDBIJL 02B - Rajouté le 15/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Geen oorlog kan (worden) begonnen worden zonder dat, eerst, de heilige strijdbijl is opgegraven » (« Aucune guerre ne peut être commencée sans que, d’abord, la hache de guerre sacrée soit déterrée »).
On y trouve notamment la forme verbale « BEGONNEN », participe passé provenant de l’infinitif « BEGINNEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
On y trouve aussi la forme verbale « OPgeGRAVEN », participe passé provenant de l’infinitif « opGRAVEN », verbe dit « à particule séparable » lui-même construit sur « GRAVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « opGRAVEN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEgraven ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 2 dans « De strijdbijl », le volume N°34 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 34 STRIJDBIJL 02A - Rajouté le 15/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De twee stammen zijn handgemeen geraakt » (« Les deux tribus en sont venues aux mains »).
On y trouve notamment la forme verbale « GERAAKT », participe passé provenant de l’infinitif « RAKEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Il y a aussi, dans la première image, la phrase : « Wij zien hier om te verhinderen dat ze nog slaags geraken » (« Nous sommes ici pour empêcher qu’ils en viennent encore aux mains ».) Attention : il ne s’agit ni du même verbe (ici à l’INDICATIF et certainement PAS au participe passé), ni de la même expression en néerlandais. Est-ce pour éviter une confusion que l’on ne trouve plus actuellement que « slaags RAKEN », où le « GE » a disparu ? …
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 2 dans « De strijdbijl », le volume N°34 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 018 WITTE TEMPEL 30A - Rajouté le 14/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij (Chrysis) heeft nog niet gesproken » (« Elle n’a pas encore parlé »).
On y trouve notamment la forme verbale « GESPROKEN », participe passé provenant de l’infinitif « SPREKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « De witte tempel », le volume N°18 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Frank SELS, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 018 WITTE TEMPEL 15A - Rajouté le 14/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb trouw gezworen en zal mijn eed gestand blijven (« J’ai juré (d’être) fidèle (= j’ai juré fidélité) et reste « fidèle » à mon serment »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEZWOREN », participe passé provenant de l’infinitif « ZWEREN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la pages 15 dans « De witte tempel », le volume N°18 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Frank SELS, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 018 WITTE TEMPEL 09A - Rajouté le 14/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik kan je slechts mijn zwaard geven zo (zodra) de gevangenen de vrijheid (wordt) geschonken wordt » (« Je ne peux vous donner mon épée que dès que (lorsque) la liberté est (sera) offerte aux prisonniers »).
On y trouve notamment la forme verbale « GESCHONKEN », participe passé provenant de l’infinitif « SCHENKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Signalons également que la phrase subordonnée est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
Le nom commun « gevangenEN » est, lui, construit sur le participe passé « GEVANGEN », provenant de l’infinitif « VANGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve aussi, dans la deuxième illustration, l’infinitif « TOEvertrouwen », verbe dit « à particule séparable » construit sur l’infinitif « verTROUWEN », lui-même construit sur l’infinitif « TROUWEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « TOEvertrouwen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TOE » de son infinitif proprement dit. Si la phrase l’avait été au présent, on aurait pu avoir : « Il vertrouw dit zwaard aan jouw wijsheid TOE », avec REJET de la particule séparable « TOE », derrière les compléments (« dit zwaard » et « aan jouw wijsheid »), à la fin de la phrase.
Il est à noter que la particule « TOE » provient de la préposition « TOT ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 9 et 10 dans « De witte tempel », le volume N°18 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Frank SELS, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
Dans un contexte culturel plus large, attirons tout de même l’attention sur l’image de la page 10, dessinée comme sur les vases grecs. Consultez à ce sujet la critique incluse à la fin du chapitre 1 de l’admirable étude sous forme d’un "e-book", intitulée DE RODE RIDDER STORY et due à Ivo De Wispelaere, Bert Gevaert et David Steenhuyse. Une version néerlandophone est téléchargeable gratuitement à partir de l’adresse INTERNET suivante :
http://www.stripspeciaalzaak.be/Toppers/RodeRidder/RodeRidderStory.htm
Une version française devrait être progressivement accessible sur notre site à partir de septembre 2011.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 018 WITTE TEMPEL 06A - Rajouté le 14/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Midden in een uitgestrekt gewelf met lichtgevende wanden, prijkt een reusachtige witmarmeren tempel » (« Au milieu d’une caverne voûtée étendue avec des parois luminescentes (donnant de la lumière), trône un gigantesque temple en marbre blanc »).
On y trouve notamment la forme verbale « UITgestrekt », participe passé provenant de l’infinitif « UITSTREKKEN », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « STREKKEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « STREKKEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « k », on trouvera AU participe passé un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Quand « UITSTREKKEN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « uitGEstrekt ».
Dans ce contexte-ci, « uitGEstrekt » est utilisé comme adjectif épithète, donc placé devant le nom commun « gewelf » qui, étant NEUTRE (un « HET-woord ») et précédé du déterminant indéfini « EEN », n’engendre EXCEPTIONNELLEMENT PAS la terminaison « E » à la fin de l’adjectif.
N’oublions pas non plus que le participe présent en néerlandais se construit en ajoutant simplement un « D » à l’infinitif : « GEVEN » => « gevenD ». Ici, ce participe présent est utilisé comme adjectif épithète, se place donc devant le nom et, pour s’accorder, prend la terminaison majoritaire « E » => « (licht)gevendE wanden ».
Rappelons enfin que l’on peut aussi construire en néerlandais des sortes d’adjectifs épithètes (donc placés devant le nom commun) à partir de noms de MATIERE comme « marmer ». En français, on dira « EN marbre » ; le pur hasard en néerlandais fait que l’on ajoute « EN » à la fin du nouveau mot ainsi créé : « marmer » + « EN » => « marmerEN ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « De witte tempel », le volume N°18 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Frank SELS, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 09 OUTLAW 31A - Rajouté le 13/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Uit de kogelhulzen komen de gestolen diamanten te voorschijn » (« Sortant des cartouches (chambres à poudre), les diamants volés apparaissent »).
On y trouve notamment la forme verbale « GESTOLEN », participe passé provenant de l’infinitif « STELEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé est utilisé comme adjectif épithète, devant le nom commun, mais la plupart du temps, reste invariable.
Dans l’expression « tevoorschijn komen », « tevoorschijn » (en 1 ou 2 mots) réagit comme une particule séparable.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 29 et 31 dans « De outlaw », le volume N°9 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 09 OUTLAW 30A - Rajouté le 13/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het paard, dat door hem (Old Shatterhand) (wordt) bereden wordt, wordt onder hem gedood » (« Le cheval, qui est chevauché par lui, est tué sous lui »).
On y trouve notamment la forme verbale « BEREDEN », participe passé provenant de l’infinitif « BERIJDEN », lui-même construit sur le verbe « RIJDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux
Rappelons aussi que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« door hem »), à la fin de la phrase (subordonnée relative, introduite par DAT qui se réfère à « HET paard »).
Ces deux phrases sont à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 30 dans « De outlaw », le volume N°9 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 09 OUTLAW 26A - Rajouté le 13/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zijn meester (Old Shatterhand) is zonder hem vertrokken » (« Son maître est parti sans lui »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERTROKKEN », participe passé provenant de l’infinitif « VERTREKKEN », lui-même construit sur le verbe « TREKKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux
Rappelons aussi que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« zonder hem »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 26 dans « De outlaw », le volume N°9 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 09 OUTLAW 05A - Rajouté le 13/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Inmiddels zet de postkoets nog ongehinderd haar weg verder » (« Pendant ce temps, la diligence poursuit son chemin encore sans ennuis »).
On y trouve notamment la forme verbale « zet … VERDER », provenant d’un verbe « VERDERzetten » (n’existant pas officiellement mais construit sur « VERDERgaan »), réagissant comme ceux dits « à particule séparable » et construit sur le verbe « ZETTEN ».
Il y a REJET de la « particule séparable » « VERDER », derrière les compléments (« nog », « ongehinderd » et « haar weg »), à la fin de la phrase. Rappelons que « VERDER » est le comparatif de supériorité de « VER », construit sur le modèle de ceux des adjectifs.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « De outlaw », le volume N°9 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 35 DRIE PIJLEN 29A - Rajouté le 11/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Door de schok worden alle opvarenden in zee geworpen » (« A cause du choc, tous les passagers sont jetés dans la mer »).
On y trouve notamment la forme verbale « geworpen », participe passé provenant de l’infinitif « WERPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « geworpen » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« in zee »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Door de schok »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « alle opvarenden ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « worden ») et passant donc derrière lui.
Cette phrase est aussi à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
N’oublions pas non plus qu’un participe présent en néerlandais se construit en ajoutant simplement un « D » à l’infinitif : « OPVAREN » => « opvarenD ». Ici, ce participe présent est utilisé comme nom commun et, pour s’accorder, prend au pluriel la terminaison majoritaire « EN » => « opvarendEN ». Au départ les passagers de ce canoë sont, étymologiquement, ceux qui « sont naviguant SUR » …
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 29 dans « De drie pijlen », le volume N°35 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 35 DRIE PIJLEN 28A - Rajouté le 11/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maak mijn voeten los ! » (« Détache mes pieds ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « Maak… LOS », impératif du verbe « LOSmaken », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « MAKEN ».
Quand « losMAKEN » est conjugué, comme au présent, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « LOS » de sa forme verbale proprement dite, la particule faisant l’objet d’un REJET (derrière le complément « mijn voeten ») à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « De drie pijlen », le volume N°35 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 35 DRIE PIJLEN 15A - Rajouté le 11/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Leg de hond (Bessy) vast ! » (« Attache le chien ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « Leg … VAST », impératif du verbe « VASTLEGGEN », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « LEGGEN ».
Quand « vastLEGGEN » est conjugué, comme au présent, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « VAST » de sa forme verbale proprement dite, la particule faisant l’objet d’un REJET (derrière le complément « de hond ») à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 15 dans « De drie pijlen », le volume N°35 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 35 DRIE PIJLEN 04A - Rajouté le 11/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De Indianen, die vroeger deze streek bewoonden, begroeven hun doden in kano’s » (« Les Indiens, qui habitaient jadis cette région, enterraient leurs morts dans des canoës »).
On y trouve notamment la forme verbale « BEGROEVEN », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « BEGRAVEN », lui-même construit sur le verbe « GRAVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 4 dans « De drie pijlen », le volume N°35 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 012 HOORN HORAK 34A - Rajouté le 10/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij wordt tot koning uitgeroepen » (« Il est proclamé roi »).
On y trouve notamment la forme verbale « UITgeroepen », participe passé provenant de l’infinitif « UITroepen », lui-même construit sur l’infinitif « ROEPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « UITroepen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « uitGEroepen ».
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « tot koning »), à la fin de la phrase.
Signalons enfin que cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 34 dans « De hoorn van Horak », le volume N°12 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 012 HOORN HORAK 11A - Rajouté le 10/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik zal mijn recht op de troon verwerven zoals hij het beval » (« Je vais acquérir mon droit au trône comme il l’a ordonné »).
On y trouve notamment la forme verbale « BEVAL », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « BEVELEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
S’il y a ici REJET de la forme verbale « BEVAL », derrière le complément « HET », c’est parce qu’il s’agit d’une phrase subordonnée (introduite par « ZOALS »).
Dans la première phrase, on a la forme verbale « ZAL », provenant de l’infinitif « ZULLEN », auxiliaire utilisé pour indiquer que l’on se trouve au futur simple.
N’oublions pas que « ZULLEN », auxiliaire utilisé pour indiquer que l’on se trouve au futur simple, exige le REJET de l’autre verbe (« verwerven »), à l’infinitif, derrière les compléments (ici « mijn recht nu » ou « op de troon »), à la fin de la phrase.
Nous avons rendu en français cet auxiliaire par un « futur proche », moins déroutant pour les francophones.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « De hoorn van Horak », le volume N°12 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 012 HOORN HORAK 07A - Rajouté le 10/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Daarna wordt het schip in brand gestoken en aan de zee toevertrouwd » (« Ensuite le navire est mis en flammes et confié à la mer »).
On y trouve notamment la forme verbale « GESTOKEN », participe passé provenant de l’infinitif « STEKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve aussi la forme verbale « TOEvertrouwd », participe passé provenant de l’infinitif « TOEvertrouwen », construit sur l’infinitif « verTROUWEN », lui-même construit sur l’infinitif « TROUWEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « TOEvertrouwen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne normalement en néerlandais une séparation de la particule « TOE » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux. Mais rappelons par ailleurs que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- » (« VERtrouwen »), son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux. Il est à noter que la particule « TOE » provient de la préposition « TOT ».
Rappelons également que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « in brand » avant « GESTOKEN » et « aan de zee » avant « TOEVERTROUWD »), à la fin de la phrase.
Signalons enfin que cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 7 dans « De hoorn van Horak », le volume N°12 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.
Dans un contexte culturel plus large, attirons tout de même l’attention sur le fait que les Vikings ne portaient - sauf découverte archéologique récente - pas de cornes sur leurs casques. Consultez à ce sujet la critique incluse au chapitre 3 de l’admirable étude sous forme d’un "e-book", intitulée DE RODE RIDDER STORY et due à Ivo De Wispelaere, Bert Gevaert et David Steenhuyse. Une version néerlandophone est téléchargeable gratuitement à partir de l’adresse INTERNET suivante :
http://www.stripspeciaalzaak.be/Toppers/RodeRidder/RodeRidderStory.htm
Une version française devrait être progressivement accessible sur notre site à partir de septembre 2011.

Nom : WIREL RODE RIDDER 012 HOORN HORAK 06A - Rajouté le 10/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een boom wordt door het neergutsende water ontworteld » (« Un arbre est déraciné par l’eau coulant à flots »).
On y trouve notamment la forme verbale « ONTworteld », participe passé provenant de l’infinitif « ONTwortelen », lui-même construit sur l’infinitif « WORTELEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe est donc considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « L », on trouvera le « D » majoritaire. Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « ONT- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « door het neergutsende water »), à la fin de la phrase.
Signalons enfin que cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « De hoorn van Horak », le volume N°12 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 08 OLD SUREHAND 28A - Rajouté le 09/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een sachem wordt met al zijn persoonlijke bezittingen begraven. » (« Un sachem est enterré avec tous ses biens personnels »).
On y trouve notamment la forme verbale « BEGRAVEN », participe passé provenant de l’infinitif « BEGRAVEN », lui-même construit sur le verbe « GRAVEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
Si les formes verbales du participe passé et de l’infinitif « BEGRAVEN » sont identiques, c’est un peu par hasard. Mais rappelons tout de même que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Le participe passé « BEGRAVEN » ressemble aussi au pluriel de l’indicatif présent. Voyez la phrase de la deuxième image, située en dessous de la première : « Jullie begraven de strijdbijl » (« Vous enterrez la hache de guerre « ). C’est normal puisque le PLURIEL de l’INDICATIF PRESENT = lNFINITIF.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 26 et 28 dans « Old Surehand », le volume N°8 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 08 OLD SUREHAND 19A - Rajouté le 09/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het paard slaat plots de achterpoten uit » (« Le cheval frappe brusquement avec les pattes de derrière = Le cheval étend brusquement les pattes de derrière vers l’arrière = Le cheval donne brusquement une ruade avec les pattes de derrière »).
On y trouve notamment la forme verbale « slaat … UIT », provenant de l’infinitif « UITslaan », lui-même construit sur l’infinitif « SLAAN » (qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts »).
Le verbe « UITslaan » est dit « à particule séparable ». Quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « IN » (ancienne préposition), qui fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (ici « plots » et « de achterpoten »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 19 dans « Old Surehand », le volume N°8 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 08 OLD SUREHAND 18A - Rajouté le 09/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wij zijn bedrogen ! » (« Nous sommes trompés ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « BEDROGEN », participe passé provenant de l’infinitif « BEDRIEGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 17 et 18 dans « Old Surehand », le volume N°8 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 08 OLD SUREHAND 06A - Rajouté le 09/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Enkele wolven zetten een achtervolging in » (« Quelques loups entament une poursuite »).
On y trouve notamment la forme verbale « zetten … IN », provenant de l’infinitif « INzetten », lui-même construit sur l’infinitif « ZETTEN » (qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts »).
Le verbe « INzetten » est dit « à particule séparable ». Quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « IN » (ancienne préposition), qui fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « een achtervolging »), à la fin de la phrase.
On y trouve aussi le nom commun « wolVen », PLURIEL provenant de « wolF ». N’oublions pas que si un « F » doit être suivi d’un « E » (ou de la terminaison « EN » du pluriel ou, dans le cas des adjectifs, de « ER » pour les comparatifs de supériorité), il devient « V ». Cette règle est également valable dans le cas du passage d’une forme verbale du singulier au pluriel ou dans le cas d’accord d’un adjectif épithète. (Pour complément d’informations, consultez notamment « Le pluriel des noms », dans la partie « GRAMMATICA » de ce site.)
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « Old Surehand », le volume N°8 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 39 NOODLOTTIGE TOCHT 18A - Rajouté le 08/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (de eekhoorn) graaft een schuilplaats onder de grond die hij met voorraden opvult » (« Il creuse une cachette sous le sol qu’il remplit avec des provisions »).
On y trouve notamment la forme verbale « OPvult » provenant de l’infinitif « OPvullen » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « VULLEN ». Si cette forme verbale « OPvult » ne s’était pas trouvée dans une phrase subordonnée »), on aurait pu, par exemple, avoir : « Hij vult een schuilplaats met voorraden OP », où il y aurait REJET de la particule séparable « OP », derrière le complément, à la fin de la phrase.
On y trouve aussi la forme verbale « graaFt » provenant de l’infinitif « graVen ». N’oublions pas que si un « V » était suivi d’un « E » (ou la terminaison « EN » du pluriel), il devient « F » quand ce « E » disparaît, au radical (première personne du singulier de l’indicatif présent) du verbe, derrière une consonne unique. Cette règle est également valable dans le cas du passage du pluriel au singulier d’un nom commun ou dans le cas d’accord d’un adjectif épithète.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 18 dans « De noodlottige tocht », le volume N°39 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 39 NOODLOTTIGE TOCHT 16B - Rajouté le 08/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het (= het bergkonijn) zorgt ervoor het (= het gras) tijdig binnen te halen » (« Il veille à la rentrer à temps »).
On y trouve notamment la forme verbale « BINNEN … halen » provenant de l’infinitif « BINNENhalen » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « HALEN » (qui a une autre signification).
Signalons que l’expression « ZORGEN voor » engendre un « TE » quand elle précède un infinitif comme, ici, « HALEN ».
On y trouve le verbe « BINNENhalen » qui évolue dans une sorte de phrase subordonnée (« … que l’herbe soit rentrée à temps ») « infinitive », introduite par « ZORGEN voor », engendrant une particule « TE » intercalée entre l’infinitif proprement dit, « HALEN », et sa « particule séparable » « BINNEN ».
On y trouve aussi un adverbe pronominal personnel : « ERVOOR ». On est parti de la phrase suivante : « Het bergkonijn zorgt voor het gras ». Si on rappelle que « ER » provient de « DAAR », on aurait pu trouver la variante suivante : « Het zorgt DAARvoor ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « De noodlottige tocht », le volume N°39 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 39 NOODLOTTIGE TOCHT 16A - Rajouté le 08/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het (= het bergkonijn) leeft in de rotsen en voedt zich met hooi en bloemen » (« Le lapin de montagne vit dans les rochers et se nourrit de foin et de fleurs »).
Notamment la langue néerlandaise connaît un genre autre que le masculin ou le féminin : c’est le NEUTRE qui, au SINGULIER, est facilement repérable quand il y a la présence d’un « HET ».
Il est moins évident, pour un non-néerlandophone, de savoir s’il a éventuellement affaire à un « HET-woord », c’est-à-dire à un nom commun au singulier qui est neutre, si le déterminant défini « HET » n’est pas présent. (Les diminutifs ou noms communs se terminant par un « JE » en néerlandais sont, par exemple, toujours neutres.)
En revanche, quand l’on sait qu’un nom commun est neutre (« konijn », par exemple) et que l’on doit inclure ce mot comme sujet à une troisième personne du singulier, le déterminant défini « HET » devient le pronom personnel sujet « HET ». C’est tout de même un avantage puisque c’est le même mot.
On y trouve aussi la forme verbale « leeFt » provenant de l’infinitif « leVen ». N’oublions pas que si un « V » était suivi d’un « E » (ou la terminaison « EN » du pluriel), il devient « F » quand ce « E » disparaît, au radical (première personne du singulier de l’indicatif présent) du verbe, derrière une consonne unique. Cette règle est également valable dans le cas du passage du pluriel au singulier d’un nom commun ou dans le cas d’accord d’un adjectif épithète.
N.d.T. : le pica est, au Canada, appelé « lapin des ROCHERS ».

La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « De noodlottige tocht », le volume N°39 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 39 NOODLOTTIGE TOCHT 15A - Rajouté le 08/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het vuur, dat zij (Wiato) bij het vertrek vergat te doven, stak het gras in brand » (« Le feu, qu’elle oublia d’éteindre lors du départ, mit l’herbe en flammes »).
On y trouve, d’une part, la forme verbale « VERGAT », O.V.T. (ou prétérit) construit sur le verbe « VERGETEN » et faisant partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve, d’autre part, la forme verbale « STAK », O.V.T. (ou prétérit) construit sur le verbe « STEKEN » et faisant partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 15 dans « De noodlottige tocht », le volume N°39 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 005 VRIJSCHUTTERS 34A - Rajouté le 07/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Elke zenuw gespannen, richt hij (Johan) de pijl voor een wanhopig schot » (« Chaque nerf tendu, il dirige la flèche pour un tir désespéré »).
On y trouve notamment, comme complément introduisant la phrase principale, la forme verbale « gespannen », participe passé provenant de l’infinitif « SPANNEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (ici « Elke zenuw gespannen »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « HIJ ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « RICHT ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 34 dans « De vrijschutter », le volume N°5 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1960-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 005 VRIJSCHUTTERS 33A - Rajouté le 07/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Onder leiding van de leenheer trachten ze (de vrijschutters) de valbrug neer te halen » (« Sous le commandement du suzerain, ils (les francs-tireurs) essaient d’abaisser le pont-levis »).
On y trouve notamment la forme verbale « NEER … halen » provenant de l’infinitif « NEERhalen » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « HALEN ». Si cette forme verbale ne s’était pas trouvée dans cette phrase, on aurait pu, par exemple, avoir : « Ze halen de valbrug NEER », où il y aurait REJET de la particule séparable « NEER », derrière le complément, à la fin de la phrase.
Le verbe « TRACHTEN » (équivalant à « essayer DE ») introduit ici une sorte de subordonnée et engendre un « TE » qui précède (comme en français) l’infinitif « HALEN » et s’intercale entre lui et particule séparable « NEER ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (ici « Onder leiding van de leenheer »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de vrijschutters ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « trachten ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 33 dans « De vrijschutter », le volume N°5 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1960-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 005 VRIJSCHUTTERS 13A - Rajouté le 07/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een mooi meisje vergezeld van witte duiven treedt de werkplaats binnen » (« Une jolie fille, accompagnée de blanches colombes, pénètre dans l’atelier »).
On y trouve notamment la forme verbale « treedt … BINNEN » provenant de l’infinitif « BINNENtreden » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « TREDEN » (qui signifie « marcher » et qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts »). Quand il est conjugué, ce verbe « BINNENtreden » entraîne le REJET de la particule séparable « BINNEN », derrière le complément (« de werkplaats »), à la fin de la phrase.
(Dans la phrase qui, sur l’image, précède celle que nous étudions – « Plots hoort hij lichte treden de torentrap afdalen » –, on trouve aussi le mot « TREDEN ». Il s’agit du nom commun, construit sur le radical du verbe (= singulier => « TREED ») et signifiant « pas » que, au PLURIEL, nous franchissons allègrement => « TREDEN ».)
On trouve la forme verbale « treedT », troisième personne du singulier de l’O.T.T. ou indicatif présent. Elle doit se terminer par « T » même si l’avant-dernière lettre est « D » (la seule véritable exception étant le « IS », dans « hij/zij/het//dit/dat/men/er/daar/hier is »).
On y trouve aussi le complément « vergezeld van witte duiven», avec le participe passé « vergezeld » provenant de l’infinitif « VERgezellen ». Ce dernier verbe est considéré comme « régulier » ; comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « L », on trouvera donc bien le « D » majoritaire. Rappelons par ailleurs que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 13 dans « De vrijschutter », le volume N°5 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1960-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 005 VRIJSCHUTTERS 05A - Rajouté le 07/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het stormachtige gejuich dat opgaat als Johans pijl (de pijl van Johan) die van zijn voorganger opensplijt » (« Le tonnerre des cris de joie qui s’élèvent quand la flèche de Johan fend celle de son prédécesseur »).
On y trouve notamment la forme verbale « OPENsplijt » provenant de l’infinitif « OPENsplijten » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « SPLIJTEN ». Si cette forme verbale « OPENsplijt» ne s’était pas trouvée dans une phrase subordonnée »), on aurait pu, par exemple, avoir : « De pijl van Johan splijt de pijl van zijn voorganger OPEN », où il y aurait REJET de la particule séparable « OPEN », derrière le complément, à la fin de la phrase.
On y trouve aussi la forme verbale « OPgaat » provenant de l’infinitif « OPgaan » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « GAAN ». Si cette forme verbale « OPgaat » ne s’était pas trouvée dans une (mini-) phrase subordonnée (relative, introduite par « DAT »), on aurait pu, par exemple, avoir : « Het stormachtige gejuich gaat in de lucht OP », où il y aurait REJET de la particule séparable « OP », derrière le complément, à la fin de la phrase.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « De vrijschutter », le volume N°5 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1960-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 06 LLANO ESTACADO 27A - Rajouté le 06/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Gulzig, drinkt de gewonde de veldfles leeg » (« A grandes gorgées, le blessé vide la gourde »).
On y trouve notamment la forme verbale « drinkt … LEEG », provenant du verbe « LEEGdrinken », dit « à particule séparable », lui-même construit sur l’infinitif « DRINKEN » (faisant l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts »). La « particule séparable » « LEEG » (provenant d’un ADJECTIF ») est affectée d’un REJET, derrière le complément (« de veldfles »), à la fin de la phrase.
Même si « GULZIG » est habituellement en néerlandais un adjectif, il joue ici le rôle d’un complément.
La phrase commençant donc par un complément, il doit y avoir INVERSION et le sujet (« de gewonde ») doit se trouver derrière le verbe (« drinkt »).
Le nom commun « gewondE » provient de la forme verbale « gewond », participe passé provenant lui-même de l’infinitif « WONDEN ». Ce verbe étant considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais constitue une exception dans la mesure où son radical (première personne du présent) se terminant déjà par la consonne « D », on ne trouvera pas un deuxième « D » au participe passé.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 27 dans « Llano estacado », le volume N°6 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 06 LLANO ESTACADO 16A - Rajouté le 06/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De ruiter stak een cactusveld in brand » (« Le cavalier mit un champ de cactus en flammes »).
On y trouve, d’une part, la forme verbale « STAK », O.V.T. (ou prétérit) construit sur le verbe « STEKEN » et faisant partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 14 et 16 dans « Llano estacado », le volume N°6 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 06 LLANO ESTACADO 13A - Rajouté le 06/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Verder viel een kleine groep soldaten inderdaad in de hinderlaag » (« Plus loin, un petit groupe de soldats tomba en effet dans l’embuscade »).
On y trouve la forme verbale « VIEL », O.V.T. (ou prétérit) construit sur le verbe « VALLEN » et faisant partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
« Verder » jouant le rôle d’un complément, il y a INVERSION et le sujet (« een kleine groep soldaten ») se trouve derrière le verbe (« VIEL »).
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 13 dans « Llano estacado », le volume N°6 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 06 LLANO ESTACADO 11A - Rajouté le 06/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De hutten zijn afgebrand en het vee (is) gestolen » (« Les cabanes sont détruites par le feu et le bétail est volé »).
On y trouve, d’une part, la forme verbale « afGEbrand », participe passé provenant de l’infinitif « AFbranden », lui-même construit sur l’infinitif « BRANDEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « BRANDEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais constitue une exception dans la mesure où son radical (première personne du présent) se terminant déjà par la consonne « D », on ne trouvera pas un deuxième « D » au participe passé.
On y trouve, d’autre part, la forme verbale « GESTOLEN », participe passé provenant de l’infinitif « STELEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (que vous pouvez imaginer : « door de bandieten » ou « door de Indianen »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « Llano estacado », le volume N°6 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 06 LLANO ESTACADO 07A - Rajouté le 06/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zo’n val kan hij niet (hebben) overleefd hebben » (« A une telle chute, il ne peut pas avoir survécu »).
On y trouve notamment la forme verbale « OVERleefD », participe passé provenant de l’infinitif « OVERleven », lui-même construit sur « LEVEN » (dont le participe passé est « GEleefD »).
« OVERleven » n’est donc PAS à « particule séparable » puisqu’aucun « GE » ne s’intercale entre le préfixe « OVER » et la forme verbale proprement dite.
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET à la fin de la phrase.
« Zo’n val » étant un complément, il y a INVERSION et le sujet (« HIJ ») se trouve derrière le verbe (« KAN »).
Signalons enfin que « ZO’N » est l’abréviation de « ZO EEN » (dont le pluriel est « ZULK », variable comme un adjectif).
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 6 et 7 dans « Llano estacado », le volume N°6 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1971-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 39 NOODLOTTIGE TOCHT 31A - Rajouté le 05/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij heeft veel geleden » (« Il a beaucoup souffert »).
On y trouve la forme verbale « GELEDEN », participe passé provenant de l’infinitif « LIJDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« VEEL »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 31 dans « De noodlottige tocht », le volume N°39 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 39 NOODLOTTIGE TOCHT 25A - Rajouté le 05/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De nestjes hebben hun opening naar het zuiden om ‘s middags de zonnestralen op te vangen » (« Les petits nids ont leur ouverture vers le sud pour à l’heure du midi capter les rayons de soleil »).
On y trouve notamment le verbe « OPvangen », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « VANGEN » (ayant une signification différente). Cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit. avec le « TE » qui s’intercale entre eux.
On y trouve en effet, dans une sorte de phrase subordonnée introduite par « OM … TE » (signifiant « POUR » devant les verbes), les compléments (« ‘s middags » et « de zonnestralen») intercalés entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « VANGEN ».
Les complément circonstanciel de temps « ‘S middags » est une forme ancienne (mais fort utilisée dans la langue parlée) qui correspond à « IN DE middag » ou « VANmiddag ».
N’oublions pas que si l’on transforme un « DE-woord » (« DE brug ») en diminutif – pour ce faire, on rajoute la terminaison « -JE » –, il devient un « HET-woord » : (DE) brug + « JE » => « HET brugJE ». Ce n’est pas le cas de « NEST », qui est déjà un « HET-woord » : « HET nest ». Rappelons que le pluriel des diminutifs est toujours en « S » puisque leur singulier se termine par « E » : « HET nestJE » => « DE nestjeS ». (Pour complément d’informations, consultez notamment « Le pluriel des noms », II, dans la partie « GRAMMATICA » de ce site.)
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « De noodlottige tocht », le volume N°39 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 39 NOODLOTTIGE TOCHT 11A - Rajouté le 05/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij besproeit er zijn vijanden mee » (« Il en asperge ses ennemis = Il asperge ses ennemis avec »).
On y trouve notamment un adverbe pronominal personnel « séparé » (car séparable ) : « ER … MEE ». On aurait pu trouver les variantes suivantes : « Hij besproeit zijn vijanden ERmee », « Hij besproeit zijn vijanden DAARmee » ; « Hij besproeit DAAR zijn vijanden mee».
Si l’on parle d’adverbe pronominal, c’est parce que sa partie « PRO-nom » remplace le nom commun « VOCHT ». On aurait pu avoir la variante : « Hij besproeit zijn vijanden MET het vocht ». Donc « erMEE » remplace bien « MET het vocht ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « De noodlottige tocht », le volume N°39 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 39 NOODLOTTIGE TOCHT 09A - Rajouté le 05/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De andere vogel vliegt ermee weg » (« L’autre oiseau s’envole avec »).
On y trouve notamment la forme verbale « vliegt … WEG », provenant de l’infinitif « wegVLIEGEN », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur « VLIEGEN » (qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts »).
Quand « WEGvliegen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « WEG » de son infinitif proprement dit, et le REJET de cette particule, derrière le(s) complément(s) (ici « ERMEE ») à la fin de la phrase.
On y trouve aussi un adverbe pronominal personnel : « ERMEE ». On aurait pu trouver la variante suivante : « De andere vogel vliegt DAARmee weg » puisque « ER » provient de « DAAR ». N’oublions pas que « MEE » vient, lui, de la préposition « MET ». Si l’on parle d’adverbe pronominal, c’est parce que sa partie « PRO-nom » remplace le nom commun « BEEN » (ici « OS »), présent dans les trois premières images. On aurait, sans verbe « à particule séparable », pu avoir la variante : « De andere vogel vliegt MET het been weg ». Donc « erMEE » remplace bien « MET het been ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De noodlottige tocht », le volume N°39 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 010 STORM OVER DAMME 34A - Rajouté le 04/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Gentenaren ontsnapten te Damme aan de omsingeling en ontkwamen naar Gent » (« Des Gantois échappèrent à Damme à l’encerclement et s’échappèrent à Gand »).
On y trouve deux verbes qui, en français, ont presque la même signification.
On y trouve notamment la forme verbale « ONTkwamen », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « ONTkomen » (verbe NON séparable, rarement utilisé), lui-même construit sur l’infinitif « KOMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve aussi la forme verbale « ONTsnapt », ici à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant de l’infinitif « ONTsnappen » (verbe NON séparable, plus souvent utilisé), lui-même construit sur l’infinitif « SNAPPEN» (ayant une autre signification). Il aurait été écrit de la même façon aux temps composés comme le V.T.T. En effet, les formes verbales de participes passés comme « ONTsnapt » (provenant de l’infinitif « ONTSNAPPEN »), avec le préfixe « ONT- » (NON séparable) ne commencent pas par le préfixe habituel « GE - » ; par ailleurs ce verbe est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « P », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite d’un montage par nos soins des pages 33 et 34 dans « Storm over Damme », le volume N°10 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 010 STORM OVER DAMME 30A - Rajouté le 04/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « (Op) de volgende dag, wordt (er) op de wallen van Damme vreselijk gestreden » (« Le jour suivant, on lutta formidablement sur les remparts de Damme »).
On y trouve notamment la forme verbale « gestreden », participe passé provenant de l’infinitif « STRIJDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (ici « op de wallen van Damme » et « vreselijk »), à la fin de la phrase.
Si un francophone veut identifier le SUJET de cette phrase, elle est très déroutante pour lui parce que certains de ses points de repère sont en fait sous-entendus.
Il ne doit, tout d’abord, pas tomber dans le piège de « De volgende dag ». Il s’agit bel et bien d’un complément circonstanciel de temps et il aurait dû être introduit par la préposition « OP ». Il ne s’agit donc, en aucun cas, du SUJET.
La phrase commençant par un complément, il doit y avoir INVERSION et le sujet devrait se trouver derrière le verbe « WORDT » mais il n’y est pas. On se trouve dans une tournure comme « IL Y A » (en principe « ER IS » mais, en raison de l’INVERSION, « IS ER »). Le SUJET est donc un « ER » sous-entendu.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 30 dans « Storm over Damme », le volume N°10 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 010 STORM OVER DAMME 28A - Rajouté le 04/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij trekt de uniform van de Fransman over zijn eigene uitrusting aan » (« Il met l’uniforme du Français sur son propre équipement »).
On y trouve notamment la forme verbale « trekt … AAN », construite sur l’infinitif « AANtrekken », lui-même construit sur le verbe « TREKKEN » (ayant une signification différente).
Ce verbe « AANtrekken » est dit « à particule séparable » ; quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule étant affectée par un REJET, derrière les 3 (trois) compléments, à la fin de la phrase.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « Storm over Damme », le volume N°10 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 010 STORM OVER DAMME 15A - Rajouté le 04/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik weet dat de Fransen onmeedogend tegen de bevolking van Damme optraden » (« Je sais que les Français se comportèrent impitoyablement à l’égard de la population de Damme »).
On y trouve notamment la forme verbale « OPtraden », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « OPtreden », lui-même construit sur l’infinitif « TREDEN » (ayant une autre signification), qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite d’un montage par nos soins des pages 14 et 15 dans « Storm over Damme », le volume N°10 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 05 ZWARTE MUSTANG 13A - Rajouté le 03/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Kijk wat ik bij de bron gevonden heb (gevonden) ! » (« Regarde ce que j’ai trouvé près de la source ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEVONDEN », participe passé provenant de l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Cette forme verbale est construite sur LE PLURIEL de son prétérit. (Pour complément d’informations, consultez notamment notre tableau de synthèse « Temps primitifs » dans la partie « GRAMMATICA » de ce site.)
Ce participe passé « GEVONDEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« bij de bron »), à la fin de la phrase subordonnée.
« WAT » est, dans ce cas-ci, une conjonction de subordination introduisant, comme « DAT », une phrase subordonnée relative. N’oublions pas « DAT » et « WAT » sont apparentés : à une question « WAT kijk je ? », la réponse pourrait être « Ik kijk DAT ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 13 dans « De Zwarte mustang », le volume N°5 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1963-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 05 ZWARTE MUSTANG 10B 31A - Rajouté le 03/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij overleefde zijn val doch hield zich uit angst verborgen » (« Il survécut à sa chute mais se cachait par peur »).
On y trouve notamment la forme verbale « HIELD », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « HOUDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve aussi la forme verbale « OVERleefde », provenant de l’infinitif « OVERleven », lui-même construit sur le verbe « LEVEN ». « OVERleven » n’est PAS à « particule séparable ».
Ce verbe « LEVEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « F », on trouvera, bien sûr, le « D » majoritaire.
N’oublions pas que, par exemple, lors du passage de l’infinitif vers le radical (première personne du singulier de l’indicatif présent), quand on enlève la terminaison « EN » (« LEVEN » - « EN » = « LEV »), le « V » (non suivi de « E ») se transforme en « F ». La présence du deuxième « E » (ik « LEEF ») s’explique par le son « é » que l’on entend quand on écoute l’infinitif et, de ce fait, il se concrétise par « EE » au SINGULIER. (Pour complément d’informations, consultez notamment « Le radical des verbes » dans la partie « GRAMMATICA » de ce site.)
Rappelons encore que bon nombre de noms communs au singulier (leur pluriel étant souvent l’infinitif) sont construits sur ce même radical : « ik VAL » (< « VALLEN ») donne « (DE) VAL » (au pluriel « DE VALLEN »).
On y trouve enfin la forme verbale « verborgen » (participe passé provenant de l’infinitif « VERBERGEN »), qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 10 et 31 dans « De Zwarte mustang », le volume N°5 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1963-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 05 ZWARTE MUSTANG 10A - Rajouté le 03/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De kogel trof hem in de voet » (« La balle le toucha au pied »).
On y trouve notamment la forme verbale « TROF », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « TREFFEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Dans l’image suivante, on trouve aussi la forme verbale « GETROFFEN », participe passé provenant de ce même infinitif « TREFFEN » et construite sur LE PLURIEL de son prétérit. (Pour complément d’informations, consultez notamment notre tableau de synthèse « Temps primitifs » dans la partie « GRAMMATICA » de ce site.)
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 10 dans « De Zwarte mustang », le volume N°5 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1963-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 05 ZWARTE MUSTANG 03A - Rajouté le 03/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een jonge Indiaan (…) greep de arend bij een poot » (« Un jeune Indien saisit l’aigle par une patte »).
On y trouve notamment la forme verbale « GREEP », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « GRIJPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 3 dans « De Zwarte mustang », le volume N°5 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1963-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 15 WRAAK TECONTAS 31A - Rajouté le 02/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Met de twee bandieten op hun paard vastgebonden, wordt de kleine groep naar het dorp gebracht » (« Avec les deux bandits ligotés sur leur cheval, le petit groupe est apporté vers le village »).
On y trouve notamment la forme verbale « VASTgebonden », participe passé de l’infinitif « VASTBINDEN », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « BINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Le participe passé est ici utilisé comme adjectif mais on aurait pu avoir la phrase : « De twee bandieten die op hun paard zijn (worden) vastgebonden ».
Quand « vastBINDEN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « VAST » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « vastGEbonden ».
On y trouve aussi la forme verbale « geBRACHT », participe passé provenant de l’infinitif « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Le participe passé « geBRACHT » fait, lui, l’objet d’un REJET (derrière, notamment, le complément « naar het dorp ») à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 31 dans « De wraak der (van de) Tecontas », le volume N°15 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1957-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 15 WRAAK TECONTAS 14A - Rajouté le 02/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Opgejaagd door de zweepslagen en het geblaf, trekken de paarden uit alle macht » (« Harcelés par les coups de fouet et les aboiements, les chevaux tirent de toutes leurs forces »).
On y trouve la forme verbale « OPgejaagd », participe passé provenant de l’infinitif « OPjagen », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « JAGEN » (ayant une signification différente), qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » (du moins au prétérit).
Mais ce verbe « JAGEN » est, au participe passé, considéré comme « régulier » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « G », on trouvera, bien sûr, le « D » majoritaire : « GE » + « JAAG » + « D » => « GEjaagD ».
Quand « « OPjagen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEjaagD ».
Le participe passé est ici utilisé comme adjectif mais on aurait pu avoir la phrase : « De paarden, die door de zweepslagen en het geblaf worden opgejaagd, trekken uit alle macht ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 14 dans « De wraak der (van de) Tecontas », le volume N°15 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1957-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 15 WRAAK TECONTAS 09L - Rajouté le 02/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb besloten niet terug naar de stad te gaan, alvorens hun spoor teruggevonden te hebben » (« J’ai décidé de ne pas retourner (= aller de retour) en ville, avant d’avoir retrouvé leur trace »).
On y trouve notamment la forme verbale « BESLOTEN », participe passé provenant de l’infinitif « BESLUITEN », lui-même conjugué sur le verbe « SLUITEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
On y trouve le verbe « TERUGgaan », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « gaan ». il évolue dans une sorte de phrase subordonnée « infinitive », introduite par « BESLUITEN » (« (…) que je ne retournerais pas »), engendrant une particule « TE » intercalée entre l’infinitif proprement dit, « GAAN », et sa « particule séparable » « TERUG » (rendant la notion de RETOUR).
On y trouve enfin la forme verbale « TERUGgeVONDEN », participe passé provenant de l’infinitif « terugVINDEN », lui-même construit sur « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « terugVINDEN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERUG » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « terugGEvonden ».
La « particule séparable » « TERUG » rend ici plutôt une notion de REPETITION.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De wraak der (van de) Tecontas », le volume N°15 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1957-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 15 WRAAK TECONTAS 09K - Rajouté le 02/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb opgemerkt dat de Indianen vooral trachtten gevangenen te maken, die ze dan meenamen » (« J’ai remarqué que les Indiens essayaient surtout de faire des prisonniers, qu’ils emmenaient (= prenaient avec) alors »).
On y trouve notamment la forme verbale « OPgemerkt » provenant de l’infinitif « OPmerken », lui-même construit sur le verbe « MERKEN ».
Ce verbe « MERKEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Quand il est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEmerkt ».
Le verbe « TRACHTEN » (équivalant à « essayer DE ») introduit ici une sorte de subordonnée et engendre un « TE » qui précède (comme en français) l’infinitif « MAKEN ».
Ce verbe « TRACHTEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « T », on trouvera un deuxième « T » (au lieu du « D » majoritaire) à l’ O.V.T. (ou prétérit) : « tracht » + « TE » => « trachtTE ».
On y trouve encore la forme verbale « MEEnamen », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « MEEnemen », lui-même construit sur le verbe « NEMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Cet infinitif « meeNEMEN » est dit « à particule séparable », la particule « MEE » provenant de la préposition « MET ».
Enfin la forme verbale « GEvangen », participe passé provenant de l’infinitif « VANGEN » (qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ») est utilisé comme NOM COMMUN, donc VARIABLE : « gevangen » + « EN » (terminaison PLURIEL » => « gevangenEN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De wraak der (van de) Tecontas », le volume N°15 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1957-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 010 STORM OVER DAMME 10A - Rajouté le 01/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « U schijnt de gewoonte niet verloren te hebben in onze sloten een bad te nemen » (« Vous semblez n’avoir pas perdu l’habitude de prendre un bain dans nos fossés »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERLOREN », participe passé provenant de l’infinitif « VERLIEZEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « de gewoonte »), à la fin de la phrase car on aurait pu trouver : « U schijnt de gewoonte niet te hebben verloren (…) ».
Signalons que le verbe « SCHIJNEN » engendre un « TE » quand il précède un infinitif comme, ici, « HEBBEN ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 10 dans « Storm over Damme », le volume N°10 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 010 STORM OVER DAMME 9B - Rajouté le 01/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze (de Fransen) ondervinden vlug dat hij (de rode ridder) zijn stelling goed (heeft) gekozen heeft » (« Ils se rendent compte rapidement qu’il a bien choisi sa position »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEKOZEN », participe passé provenant de l’infinitif « KIEZEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (ici « zijn stelling» et « goed »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas non plus que, dans une proposition subordonnée (ici, relative, introduite par « DAT »), le verbe (forme verbale complète, donc aussi l’auxiliaire dans un temps composé : ici, « heeft ») est séparé du sujet (« hij »).
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « Storm over Damme », le volume N°10 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 010 STORM OVER DAMME 09A - Rajouté le 01/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wanneer de achtervolgers ter plaatse komen, heeft hij (Johan) de helft van het brugje opgebroken » (« Quand les poursuivants arrivent sur place, il a démonté la moitié du petit pont »).
On y trouve notamment la forme verbale « OPgebroken », participe passé provenant de l’infinitif « OPbreken », lui-même construit sur l’infinitif « BREKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « OPbreken » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEbroken ».
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (ici « de helft » et « van het brugje »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que si l’on transforme un « DE-woord » (« DE brug ») en diminutif – pour ce faire, on rajoute la terminaison « -JE » –, il devient un « HET-woord » : (DE) brug + « JE » => « HET brugJE ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite d’un montage par nos soins des pages 8 et 9 dans « Storm over Damme », le volume N°10 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 010 STORM OVER DAMME 08B - Rajouté le 01/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik daag u uit ons achterna te komen (lopen) » (« Je vous défie (mets au défi) de nous poursuivre »).
On y trouve notamment la forme verbale « daag UIT », construite sur l’infinitif « UITdagen », lui-même construit sur le verbe « DAGEN » (ayant une signification différente).
Ce verbe « UITdagen » est dit « à particule séparable » ; quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule étant affectée par un REJET, derrière le complément (ici, « U »), à la fin de la phrase.
Tout comme l’expression « défier DE » en français, « UITdagen » en néerlandais engendre l’équivalent, un « TE » quand il précède un infinitif comme, ici, « KOMEN »
« ACHTERNAkomen » est donc un verbe à « particule séparable » puisque le « TE » s’intercale entre la particule « ACHTERNA » et l’infinitif « KOMEN » proprement dit. Il est à noter que ce verbe, officiellement, n’existe pas : on dira plutôt « achternaLOPEN », qui est un verbe à « particule séparable ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 8 dans « Storm over Damme », le volume N°10 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 10 STORM OVER DAMME 08A - Rajouté le 01/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze (Rogier van Ghistelles en zijn officieren) zijn zo verrast dat zij hem (de Rode ridder) ongehinderd laten begaan » (« Ils sont tellement surpris qu’ils le laissent agir sans faire obstacle »).
On y trouve notamment, la forme verbale « VERRAST », participe passé provenant de l’infinitif « VERRASSEN », qui NE fait PAS partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « VERRASSEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « S », on trouvera au participe passé un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
On y trouve aussi, la forme verbale « ONgehinderd », provenant à l’origine de l’infinitif « HINDEREN ».
Ce verbe « HINDEREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « R », on trouvera au participe passé le « D » majoritaire.
« HINDEREN » signifie notamment « faire obstacle à ». Si on veut rendre la notion CONTRAIRE en néerlandais, on placera le préfixe « ON- » devant le participe passé => « ONgehinderd ». En un mot, on rend ainsi l’équivalent d’une phrase comme : « Zij laten hem begaan ZONDER hem TE HINDEREN », solution qui est par ailleurs plus compliquée.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite d’un montage par nos soins des pages 7 et 8 dans « Storm over Damme », le volume N°10 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 04 PELSJAGERS 21A - Rajouté le 31/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een weinig later vliegt de barricade de lucht in » (« Un peu plus tard, la barricade vole en l’air »).
On y trouve notamment la forme verbale « vliegt … IN », provenant de l’infinitif « INvliegen », lui-même construit sur l’infinitif « VLIEGEN » (qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts »).
Le verbe « INvliegen » est dit « à particule séparable ». Quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « IN » (ancienne préposition), qui fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (ici « de barricade » et « de lucht »), à la fin de la phrase. On aurait pu imaginer la phrase : « Een weinig later vliegt de barricade IN de lucht ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Een weinig later »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de barricade ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « vliegt ») et passant donc derrière lui.
Au lieu de « Een weinig later », on aurait pu trouver (« Even later »).
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 21 dans « De pelsjagers », le volume N°4 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1963-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 04 PELSJAGERS 20A - Rajouté le 31/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een vruchtbare vallei geheel ingesloten door loodrechte rotswanden » (« Une vallée fertile complètement enfermée / enclavée par des parois rocheuses / falaises à pic »).
On y trouve notamment la forme verbale « INgesloten », participe passé provenant de l’infinitif « INsluiten », lui-même construit sur l’infinitif « SLUITEN », affecté par les « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Ce verbe « INsluiten » est aussi dit « à particule séparable » ; quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « IN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « inGEsloten ».
Ce participe passé « INgesloten » est, ici, utilisé comme adjectif « attribut », dans la mesure où on pourrait considérer qu’il aurait pu faire partie d’une phrase subordonnée (relative) à la voie passive : « (Dat is) een vruchtbare vallei, DIE geheel door loodrechte rotswanden WORDT ingesloten ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De pelsjagers », le volume N°4 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1963-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 04 PELSJAGERS 09A - Rajouté le 31/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een vruchtbare vallei geheel ingesloten door loodrechte rotswanden » (« Une vallée fertile complètement enfermée / enclavée par des parois rocheuses / falaises à pic »).
On y trouve notamment la forme verbale « INgesloten », participe passé provenant de l’infinitif « INsluiten », lui-même construit sur l’infinitif « SLUITEN », affecté par les « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Ce verbe « INsluiten » est aussi dit « à particule séparable » ; quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « IN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « inGEsloten ».
Ce participe passé « INgesloten » est, ici, utilisé comme adjectif « attribut », dans la mesure où on pourrait considérer qu’il aurait pu faire partie d’une phrase subordonnée (relative) à la voie passive : « (Dat is) een vruchtbare vallei, DIE geheel door loodrechte rotswanden WORDT ingesloten ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De pelsjagers », le volume N°4 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1963-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 04 PELSJAGERS 07A - Rajouté le 31/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij wordt onverhoeds neergeslagen » (« Il est assommé à l’improviste »).
On y trouve notamment la forme verbale « NEERgeslagen », provenant de l’infinitif « NEERslaan », lui-même construit sur l’infinitif « SLAAN », affecté par les « temps primitifs ». Ce verbe «NEERslaan » est aussi dit « à particule séparable » ; quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « NEER » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « neerGEslagen ».
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
Aux temps composés, « NEERgeslagen », équivalent d’un participe passé, fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « ONVERHOEDS »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que la forme verbale « wordT », troisième personne du singulier de l’O.T.T. ou indicatif présent, doit se terminer par « T » même si l’avant-dernière lettre est « D » (la seule véritable exception étant le « IS », dans « hij/zij/het//dit/dat/men/er/daar/hier is »).
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 7 dans « De pelsjagers », le volume N°4 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1963-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 15 WRAAK TECONTAS 09J - Rajouté le 30/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De Roodhuiden slaagden er niet in de cirkel te doorbreken » (« Les Peaux-rouges ne réussissaient pas à briser / percer le cercle »).
On y trouve notamment la forme verbale « slaagDEN » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant de l’infinitif « SLAGEN ». Ce verbe est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « G », on trouvera le « D » majoritaire au participe passé et la terminaison « -DE » au singulier du prétérit.
On y trouve donc l’expression « ERIN SLAGEN » (équivalent de l’expression « LUKKEN IN », qui aurait pu donner la phrase alternative : « Het lukte hen niet de cirkel te doorbreken »). L’expression (équivalent, en mauvais français, à « réussir DE ») engendre un « TE » quand il précède un infinitif comme, ici, « DOORBREKEN » (qui n’est donc PAS un verbe à « particule séparable » puisque le « TE » ne s’intercale PAS entre la particule « DOOR » et l’infinitif « BREKEN » proprement dit).
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De wraak der (van de) Tecontas », le volume N°15 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1957-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 15 WRAAK TECONTAS 09I - Rajouté le 30/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De wagens waren in een cirkel geplaatst en de pioniers verdedigden zich hardnekkig » (« Les chariots étaient placés en un cercle et les pionniers se défendaient avec acharnement »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEplaatst », participe passé (utilisé avec un plus-que-parfait) construit sur l’infinitif « PLAATSEN ».
Ce verbe est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « S », on trouvera au participe passé un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
On y trouve aussi la forme verbale « verdedigDEN zich » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant de l’infinitif « (zich) VERDEDIGEN ». Ce verbe est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « G », on trouvera le « D » majoritaire au participe passé et la terminaison « -DE » au singulier du prétérit.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De wraak der (van de) Tecontas », le volume N°15 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1957-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 15 WRAAK TECONTAS 09H - Rajouté le 30/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « (Geweerschoten weerklonken in de verte) en we wisten dat ook de karavaan nu aangevallen werd » (« … et nous sûmes que la caravane, (elle) aussi, était maintenant attaquée »).
On y trouve notamment la forme verbale « WISTEN », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « WETEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve aussi la forme verbale « AANgevallen », participe passé provenant de l’infinitif « AANvallen », lui-même construit sur l’infinitif « VALLEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « AANvallen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGEvallen ».
Il y a REJET de la forme verbale « AANgevallen » à la fin de la phrase, derrière le complément « NU ».
On y trouve encore la forme verbale « WERD », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « WORD », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » (ici « WERD ») au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De wraak der (van de) Tecontas », le volume N°15 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1957-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 15 WRAAK TECONTAS 09F - Rajouté le 30/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze waren gevangen genomen, want we vonden nergens hun lichamen » (« Ils étaient pris (= faits) prisonniers, car nous ne trouvâmes leurs corps nulle part »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEnomen », participe passé provenant de l’infinitif « NEMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve aussi la forme verbale « GEvangen », participe passé provenant de l’infinitif « VANGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce participe passé « GEvangen » est utilisé comme ADJECTIF ATTRIBUT, toujours INVARIABLE.
On y trouve enfin la forme verbale « VONDEN », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
N’oublions pas qu’il vaut mieux utiliser « WANT » que « OMDAT », parce que ce dernier modifie, en néerlandais, l’ordre des mots dans la phrase subordonnée, engendrant le REJET du verbe à la fin de la phrase. On aurait donc eu : « (…) OMDAT we nergens hun lichamen VONDEN » OU « « (…) OMDAT we hun lichamen nergens VONDEN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De wraak der (van de) Tecontas », le volume N°15 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1957-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 010 STORM OVER DAMME 06C - Rajouté le 29/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De paardensporen hielden voor uw ellendige hut halt » (« Les traces de chevaux faisaient halte (s’arrêtaient) devant votre misérable cabane »).
On y trouve notamment la forme verbale « HIELDEN », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « HOUDEN » et qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
« Halt houden » est une expression, où le nom commun « halt » se conduit comme une particule séparable mais ce n’est PAS un verbe à particule séparable …
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « Storm over Damme », le volume N°10 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 010 STORM OVER DAMME 06B - Rajouté le 29/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wij zagen ruiters in de duinen » (« Nous vîmes des cavaliers dans les dunes »).
On y trouve notamment la forme verbale « ZAGEN », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « ZIEN » et qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que, si l’on connaît la forme verbale au SINGULIER de l’O.V.T. (ou prétérit : « ZAG », qui est valable pour les TROIS personnes) d’un verbe irrégulier (= qui l’objet des « temps primitifs), il suffit en général d’ajouter la terminaison correspondant à la plupart des pluriels pour obtenir les TROIS personnes du PLURIEL de ce même verbe à l’O.V.T. (ou prétérit) : « ZAG » + « EN » = « ZAGEN ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 5 et 6 dans « Storm over Damme », le volume N°10 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 010 STORM OVER DAMME 06A - Rajouté le 29/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Enkele ruiters houden voor de hut van de visser halt en stijgen af » (« Quelques cavaliers font halte devant la cabane du pêcheur et descendent (de leurs chevaux) = mettent pied à terre »).
On y trouve notamment la forme verbale « stijgen AF », construite sur le verbe « AFstijgen, dit « à particule séparable », construit lui-même sur l’infinitif « STIJGEN » (ayant une autre signification) ; la particule « AF » est affectée par le phénomène du « REJET », à la fin de la phrase (derrière le complément éventuel, par exemple, « van hun paarden »).
On y trouve aussi « houden … halt », où le nom commun « halt » se conduit comme une particule séparable mais il n’existe PAS de verbe « halt houden » séparable : il s’agit d’une expression …
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « Storm over Damme », le volume N°10 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 010 STORM OVER DAMME 02D - Rajouté le 29/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Met vreselijk gekraak breekt het galjoen op een zandbank door » (« Avec un terrible craquement, le galion se brise sur un banc de sable »).
On y trouve le verbe « DOORbreken, dit « à particule séparable », construit sur le verbe « BREKEN » (ayant une autre signification), la particule « DOOR » étant affectée par le phénomène du « REJET », derrière le complément (« op een zandbank »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Met vreselijk gekraak »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « het galjoen ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « breekt ») et passant donc derrière lui.
Dans le groupe nominal « Met vreselijk gekraak », « vreselijk » utilisé comme adjectif épithète se place donc devant le nom « gekraak » (un « HET-woord » = « HET gekraak ») ; pour s’accorder, il aurait pu prendre la terminaison majoritaire « E » (ce qui est le cas devant les noms au PLURIEL ou au SINGULIER, précédés d’un déterminant défini, même « HET ») mais comme il s’agit d’un « HET-woord » et qu’il n’est précédé d’AUCUN déterminant, c’est une exception ne prenant pas« E ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 2 dans « Storm over Damme », le volume N°10 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 03 BERENJAGER 05A - Rajouté le 28/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een enkele beet en ik ben ten dode opgeschreven » (« Une seule morsure et je suis condamné à mort »).
On y trouve notamment la forme verbale « OPgeschreven », participe passé provenant de l’infinitif « OPschrijven », construit sur l’infinitif « SCHRIJVEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le verbe « OPschrijven » est dit « à particule séparable ». Quand il est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEschreven ».
Aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « TEN DODE »), à la fin de la phrase.
On trouve, dans le groupe nominal, le nom commun « BEET », qui fait référence au verbe « BIJTEN » (faisant l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts »). On fabrique très souvent le nom commun à partir de la première personne du singulier de l’indicatif présent (= radical) du verbe correspondant ; dans ce cas-ci, il dériverait plutôt du prétérit (ou O.V.T.) singulier : « ik BEET » (= « je mordais OU je mordis »).
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « De berenjager », le volume N°3 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 03 BERENJAGER 27A - Rajouté le 28/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Mogelijk snijdt de lavastroom hun de weg af » (« Possible(ment), la coulée de lave va leur couper le chemin»).
On y trouve notamment la forme verbale « snijdt … AF », provenant de l’infinitif « AFsnijden », construit sur l’infinitif « SNIJDEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le verbe « AFsnijden » est dit « à particule séparable ». Quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » faisant l’objet d’un REJET, derrière les compléments (ici « HUN » et « DE WEG »), à la fin de la phrase.
On trouve la forme verbale « snijdT », troisième personne du singulier de l’O.T.T. ou indicatif présent. Elle doit se terminer par « T » même si l’avant-dernière lettre est « D » (la seule véritable exception étant le « IS », dans « hij/zij/het//dit/dat/men/er/daar/hier is »).
N’oublions pas non plus que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (ici « MOGELIJK »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de lavastroom ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « snijdt ») et passant donc derrière lui.
Signalons enfin que, en néerlandais, les adjectifs se terminant par « -LIJK » peuvent, dans d’autres contextes, devenir des adverbes invariables. En français l’adjectif « possible » est un cas qui ne donne pas son équivalent adverbial se terminant par « -MENT », mais c’est une exception rare.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est un montage par nos soins extrait des page 22 et 27 dans « De berenjager », le volume N°3 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 03 BERENJAGER 06A - Rajouté le 28/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « In doodangst sloot moeder ons in hut » (« Dans une angoisse mortelle, mère nous enferma dans la cabane »).
On y trouve notamment la forme verbale « SLOOT », O.V.T. (ou prétérit), construit sur l’infinitif « SLUITEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (ici « In doodangst »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « MOEDER ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « sloot ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « De berenjager », le volume N°3 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 03 BERENJAGER 16A - Rajouté le 28/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Inmiddels heeft de beer de bergen verlaten » (« Entretemps l’ours a quitté les montagnes »).
On y trouve notamment la forme verbale « verlaten », participe passé provenant de l’infinitif homonyme « VERLATEN », construit sur l’infinitif « LATEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons également que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « DE BERGEN »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (ici « Inmiddels »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « DE BEER ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici l’auxiliaire « heeft ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « De berenjager », le volume N°3 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 15 WRAAK TECONTAS 09G - Rajouté le 27/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Op het ogenblik dat we om hun verdwijning zaten te huilen, weerklonken geweerschoten in de verte » (« Au moment où nous étions en train de pleurer au sujet de leur disparition, des coups de feu retentirent au loin »).
On y trouve notamment la forme verbale « ZATEN » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant de l’infinitif « ZITTEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Signalons que la tournure de phrase « we zitten TE huilen » correspond à « we zijn AAN HET huilen », le verbe de position « ZITTEN » remplaçant, une fois de plus, le verbe « ZIJN ».
On y trouve aussi la forme verbale « weerklonken » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant de l’infinitif « weerklinken », PAS « à particule séparable », construit sur le verbe « KLINKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve notamment la forme verbale « GEzwollen », participe passé provenant de l’infinitif « ZWELLEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce participe passé « GEzwollen » étant utilisé comme adjectif épithète et placé donc devant le nom « UITEINDE », pour s’accorder, devrait prendre la terminaison majoritaire « E » (devant noms masculin ou féminin ou NEUTRE au singulier ainsi que masculin, féminin ou NEUTRE au pluriel) précédé du déterminant DEFINI (par exemple, ici, « HET » pour un NEUTRE singulier).
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De wraak der (van de) Tecontas », le volume N°15 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1957-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 15 WRAAK TECONTAS 09E - Rajouté le 27/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het was duidelijk dat ze in een hinderlaag van de Roodhuiden (waren) gevallen waren » (« Il était évident qu’ils étaient tombés dans une embuscade des Peaux-rouges »).
On y trouve notamment forme verbale « GEvallen », participe passé provenant de l’infinitif « VALLEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La forme verbale « GEvallen fait d’autant plus l’objet d’un REJET à la fin de la phrase, qu’elle se trouve dans une phrase subordonnée.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De wraak der (van de) Tecontas », le volume N°15 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1957-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 15 WRAAK TECONTAS 09D - Rajouté le 27/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hoe groot was onze verbazing en ons verdriet, toen we enkele mijlen verder hun uitgebrande wagen vonden » (« (Comment = comme = combien) notre étonnement et notre chagrin fut grand, quand nous trouvâmes, quelques miles plus loin, leur chariot entièrement brûlé »).
On y trouve notamment la forme verbale « VONDEN » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant de l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve aussi la forme verbale « uitGEbrand », participe passé provenant de l’infinitif « UITbranden », lui-même construit sur l’infinitif « BRANDEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce participe passé « uitGEbrand » étant utilisé comme adjectif épithète et placé donc devant le nom « WAGEN », pour s’accorder, doit prendre la terminaison majoritaire « E » (devant noms masculin ou féminin ou NEUTRE au singulier ainsi que masculin, féminin ou NEUTRE au pluriel) précédé d’un déterminant (ici possessif : « HUN »).
Le verbe « BRANDEN » est donc considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) et ne fait PAS non plus partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « D », on trouvera le « D » majoritaire au prétérit (« brand » + DE = « brandDE) mais pas (une deuxième fois) au participe passé.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De wraak der (van de) Tecontas », le volume N°15 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1957-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 15 WRAAK TECONTAS 09B - Rajouté le 27/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Mijn ouders gingen het konvooi enkele kilometers vooraf » (« Mes parents précédaient le convoi de quelques kilomètres »).
On y trouve notamment la forme verbale « gingen … VOORAF » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant de l’infinitif « VOORAFgaan », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « GAAN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La « particule séparable » « VOORAF » fait, elle, l’objet d’un REJET derrière les compléments (« het konvooi » et « enkele kilometers ») à la fin de la phrase.
On aurait pu avoir une autre formulation : « Mijn ouders gingen enkele kilometers vóór het konvooi », avec des voyelles (« O ») portant exceptionnellement des accents en néerlandais.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De wraak der (van de) Tecontas », le volume N°15 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1957-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 010 STORM OVER DAMME 05A - Rajouté le 26/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Na de doden begraven te hebben, rijden de ruiters weer de duinen in » (« Après avoir enterré les morts, les cavaliers entrent à nouveau dans les dunes »).
On y trouve notamment, dans une phrase « infinitive » subordonnée, la forme verbale « BEGRAVEN », participe passé provenant du même infinitif, lui-même construit sur « GRAVEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». La construction de la phrase peut paraître bizarre aux francophones ; ils pourraient essayer de comprendre le « TE » en formulant littéralement la phrase, comme suit, en mauvais français : « Après les morts enterrés DE avoir ». On trouvera plus souvent en néerlandais l’alternative : « Nadat ze de doden begraven hebben », où le « TE » n’existe plus.
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « BE-», son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
On y trouve aussi, dans la phrase principale, la forme verbale « rijden … IN », provenant de l’infinitif « INrijden» (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur l’infinitif « RIJDEN » (ayant une signification différente).
Quand « INrijden» est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « IN » de son infinitif proprement dit et son REJET, derrière les compléments (« weer » et « de duinen »), à la fin de la phrase. Notez que la particule séparable « IN » provient bien de l’ancienne préposition et que la phrase aurait pu être formulée comme suit : « De ruiters rijden weer IN de duinen » (où le verbe n’est pas à particule séparable).
N’oublions pas que, la phrase (principale) commençant par une phrase subordonnée jouant le rôle de complément (« Na de doden begraven te hebben »), une INVERSION fait en sorte que le sujet « de ruiters » passe derrière le verbe « rijden ».
Rappelons enfin que le verbe rendant la notion de « se déplacer à cheval » est « paardRIJDEN », ce qui peut paraître cocasse quand on sait que « RIJDEN » signifie rouler (avec des roues) …
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 1 dans « Storm over Damme », le volume N°10 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 010 STORM OVER DAMME 02C - Rajouté le 26/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Doch de vermeende vuurbakens zijn slechts brandende pektonnen / pektoortsen door strandschuimers geplaatst » (« Néanmoins les balises supposées ne sont que des torches à poix placées par des naufrageurs »).
On y trouve notamment la forme verbale « geplaatst », participe passé construit sur l’infinitif « PLAATSEN ».
Ce verbe est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « S », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
La forme verbale « geplaatst » est un participe passé utilisé comme adjectif mais s’inscrit dans une phrase subordonnée (relative) à la voix passive, qui aurait été : « De pektonnen / pektoortsen die door strandschuimers werden geplaatst ». Cela justifie le REJET de « geplaatst » derrière le complément « door strandschuimers ». Mais il aurait pu être utilisé comme adjectif épithète : « De geplaatstE pektonnen / pektoortsen ».
La forme verbale « VERMEEND », est un participe passé utilisé comme adjectif épithète et construit sur l’infinitif « VERMENEN, lui-même construit sur l’infinitif « MENEN ».
Ce verbe « MENEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « N », on trouvera le « D » majoritaire.
Rappelons aussi que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux. C’est pourquoi, si l’on a bien « GEmeenD » pour « MENEN », on trouve ici « VERmeenD » pour « VERMENEN »
N’oublions enfin pas non plus que le participe présent en néerlandais se construit en ajoutant simplement un « D » à l’infinitif : « BRANDEN » => « brandenD ». Ici, ce participe présent est utilisé comme adjectif épithète, se place donc devant le nom et, pour s’accorder, prend la terminaison majoritaire « E » => « brandendE pektonnen / pektoortsen ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 2 dans « Storm over Damme », le volume N°10 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 010 STORM OVER DAMME 01D - Rajouté le 26/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het galjoen zwenkt scherp en stevent op de lichten af » (« Le galion vire de façon aiguë et cingle / fonce sur les lumières »).
On y trouve notamment la forme verbale « stevent … AF », provenant de l’infinitif « AFstevenen » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur l’infinitif « STEVENEN » (ayant une signification légèrement différente, la particule « AF » accentuant ici la vitesse du mouvement).
Quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit et son REJET, derrière le complément (« op de lichten »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 1 dans « Storm over Damme », le volume N°10 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 010 STORM OVER DAMME 01C - Rajouté le 26/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik hoop dat wij de vuurbakens van het Zwin zien eer de storm losbreekt ! » (« J’espère que nous verrons les balises du Zwin avant que la tempête se déchaîne ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « LOSbreekt », provenant de l’infinitif « LOSbreken » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « BREKEN » (ayant une signification différente). Quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « LOS » de son infinitif proprement dit. Si cela avait le cas à l’O.T.T., on aurait pu avoir : « De storm breekt sterk LOS », avec REJET de « LOS » à la fin de la phrase.
On y trouve aussi la forme verbale « ZIEN », qui fait l’objet d’un REJET (derrière les compléments « de vuurbakens » et « van het Zwin ») à la fin de la phrase subordonnée introduite par « DAT ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 1 dans « Storm over Damme », le volume N°10 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 02 WINNETOU 30A - Rajouté le 25/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je kunt (kan) hen tegen elkaar uitwisselen » (« Tu peux les échanger l’un contre l’autre »).
On y trouve notamment l’infinitif « UITwisselen », dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « WISSELEN », rejeté à la fin de la phrase. Quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit. Si cela avait le cas à l’O.T.T., on aurait pu avoir : « Hij wisselt hen (de twee gevangenen) tegen elkaar uit », avec REJET de « UIT » à la fin de la phrase.
On y trouve aussi l’auxiliaire de mode « KUNNEN » (capacité), qui exige le REJET de l’infinitif à la fin de la phrase. On a tendance à utiliser « KAN » pour tout le singulier de l’O.T.T.
N’oublions pas que « ELKAAR » est un pronom RECIPROQUE.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite d’un montage par nos soins des pages 30 et 31 dans « Winnetou », le volume N°2 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1963-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 02 WINNETOU 21A - Rajouté le 25/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb gewonnen ! Zullen de Apachen hun woord houden ? » (« J’ai gagné ! Les Apaches vont-ils tenir (tiendront-ils) leur parole ? »).
On y trouve, d’une part, la forme verbale « GEWONNEN », V.T.T. du verbe « WINNEN », faisant partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve, d’autre part, une deuxième phrase qui est au futur simple. Les non-néerlandophones sont souvent déroutés par cet auxiliaire du futur « ZULLEN » qui, seul, n’a pas de signification. Les francophones peuvent retrouver un « terrain connu » s’ils le rendent par « ALLER » comme dans ce qu’ils appellent le « futur proche ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 21 dans « Winnetou », le volume N°2 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1963-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 02 WINNETOU 14A - Rajouté le 25/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Als hij (Winnetou) ineens wegrent, zijn we (nu) verloren » (« S’il part en courant tout d’un coup, nous sommes perdus »).
On y trouve, d’une part, l’infinitif « WEGrennen », dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « RENNEN ». Quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « WEG » de son infinitif proprement dit. Si cela avait le cas à l’O.T.T., on aurait pu avoir : « Hij rent ineens weg », avec REJET de « WEG » à la fin de la phrase.
On y trouve, d’autre part, la forme verbale « VERLOREN », participe passé construit sur le verbe « VERLIEZEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Nous avons rajouté le complément « NU » pour que l’on se rende bien compte que le participe passé fait l’objet d’un REJET à la fin de la phrase.
La phrase (principale) commençant par une phrase subordonnée jouant le rôle de complément (« Als hij ineens wegrent »), une INVERSION fait en sorte que le sujet « WE » passe derrière le verbe « ZIJN ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 14 dans « Winnetou », le volume N°2 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1963-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 02 WINNETOU 03A - Rajouté le 25/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een machtige stier valt hem (Sam) plots aan » (« Un puissant bison mâle (taureau) l’attaque brusquement »).
On y trouve notamment l’infinitif « AANvallen », dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « VALLEN ». Quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit et elle fait l’objet d’un REJET derrière les compléments (« hem » et « plots ») à la fin de la phrase.
Nous avons remplacé, dans la phrase d’origine, le nom propre (le prénom Sam) par le pronom complément (C.O.D.) « HEM ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 3 dans « Winnetou », le volume N°2 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1963-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 15 WRAAK TECONTAS 09C - Rajouté le 24/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Op zekere dag verlieten wij de karavaan om ons bij onze ouders te voegen » (« Un (certain) jour, nous quittâmes (avons quitté) la caravane pour nous joindre à nos parents »).
On y trouve, d’une part, la forme verbale « VERLIETEN », O.V.T. (ou prétérit), construite sur le verbe « VERLATEN », lui-même construit sur le verbe « LATEN », faisant partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Même si nous ne sommes pas ici confrontés à un temps composé en néerlandais (mais on pourrait le rendre en français par un passé composé), rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
On y trouve aussi le verbe « VOEGEN », dans une sorte de phrase subordonnée (introduite par « OM … TE », signifiant « POUR » devant les verbes), la particule « TE » se plaçant toujours juste devant l’infinitif et les compléments (« ons » et « bij onze ouders ») s’intercalant entre le « OM » et le « TE ».
Attention à « ONS » et « ONZE ». Si le deuxième (variable) est construit sur la racine du premier (ici invariable), ils sont de nature différente. Ce « ONS » est un pronom complément. « ONZE » est un déterminant possessif, qui s’accorde comme un adjectif avec la terminaison « E ». On peut ainsi dire, par exemple : « onS huiS » (NEUTRE singulier ») qui, au pluriel, donnera « onZe huiZen ». Rappelons qu’en général un « S » final auquel on rajoute un « E » devient « Z ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De wraak der (van de) Tecontas », le volume N°15 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1957-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 15 WRAAK TECONTAS 09A - Rajouté le 24/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We maakten deel uit van de karavaan » (« Nous faisions partie de la caravane »).
On y trouve notamment la forme verbale « maakten … UIT », provenant de l’infinitif « UITmaken » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « MAKEN ». Quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit.
Ce verbe « MAKEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire) au V.T.T. (« geMAAKt ») et un « E » sera rajouté à l’O.V.T. comme ici. Cela donne à l’O.V.T. : « maak » + « TE » + « -N » (pluriel) => « maakTEn ».
On a affaire ici à une expression : « deel UITmaken van » (« faire partie de »).
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De wraak der (van de) Tecontas », le volume N°15 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1957-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 15 WRAAK TECONTAS 08B - Rajouté le 24/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze ontdekt weldra de wagen, die tussen de bomen (staat) verborgen staat » (« Elle découvre bientôt le chariot, qui se trouve caché entre les arbres »).
On y trouve notamment la forme verbale « verborgen » (participe passé provenant de l’infinitif « VERBERGEN »), qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Elle est utilisée comme adjectif mais cela n’empêche pas le REJET habituel à la fin de la phrase derrière le complément « tussen de bomen », d’autant plus que l’on se trouve dans une proposition subordonnée. La forme verbale « STAAT » remplace « IS » et si l’on avait affaire à une phrase « normale » au passé composé, on pourrait, par exemple, avoir : « De wagen is tussen de bomen verborgen ».
Rappelons aussi que, si « ONTDEKT » est ici à l’O.T.T. (ou indicatif présent), il aurait été écrit de la même façon aux temps comme le V.T.T. En effet, les formes verbales de participes passés comme « ONTDEKT » (provenant de l’infinitif « ONTDEKKEN »), avec le préfixe « ONT- » ne commencent pas par le préfixe habituel « GE - » ; par ailleurs ce verbe est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 8 dans « De wraak der (van de) Tecontas », le volume N°15 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1957-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 04 STALEN ROS 12E - Rajouté le 24/07/2011

Description : Cette double phrase est grammaticalement intéressante : « En wat gaan we nu doen ? (Gaan we) ze naar het kamp meenemen ?» (« Et qu’allons-nous faire maintenant ? (Allons-nous) les prendre avec = les emporter vers le camp ? »).
Dans la deuxième phrase, on ne répète pas le « Gaan we », forme verbale correspondant à un « futur proche », peut-être sous l’influence du français. L’alternative aurait été : « En wat ZULLEN we nu doen ? (ZULLEN we) ze naar het kamp meenemen ?».
N’oublions pas que « ZULLEN », auxiliaire utilisé pour indiquer que l’on se trouve au futur simple, exige le REJET de l’autre verbe, à l’infinitif, derrière le(s) complément(s) (ici « nu » ou « naar het kamp »), à la fin de la phrase.
Cet infinitif « meeNEMEN » (conjugué sur « NEMEN ») est dit « à particule séparable », la particule « MEE » provenant de la préposition « MET »
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 12 dans « Het stalen ros », le volume N°4 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1955-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 010 STORM OVER DAMME 02B - Rajouté le 23/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij (Degene) die het strand bereiken worden door de strandschuimers ongenadig afgemaakt » (« Ceux qui atteignent le rivage sont achevés sans pitié par les naufrageurs »).
On y trouve notamment la forme verbale « AFgemaakt », participe passé construit sur l’infinitif « AFmaken », lui-même construit sur le verbe « MAKEN » (ayant une signification différente).
Ce verbe est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Ce verbe « AFmaken » est aussi dit « à particule séparable » ; quand il est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « afGEmaakt ».
Cette phrase est aussi à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 2 dans « Storm over Damme », le volume N°10 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 010 STORM OVER DAMME 02A - Rajouté le 23/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De bemanning komt grotendeels in het wilde water om » (« L’équipage périt en grande partie dans l’eau sauvage »).
On y trouve le verbe « OMkomen, dit « à particule séparable », construit sur le verbe « KOMEN » (ayant une signification différente), la particule « OM » étant affectée par le phénomène du « REJET », à la fin de la phrase, derrière les compléments (« grotendeels » et « in het wilde water »).
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 2 dans « Storm over Damme », le volume N°10 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 010 STORM OVER DAMME 01B - Rajouté le 23/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We zijn te ver gevaren » (« Nous avons navigué trop loin »).
On y trouve notamment la forme verbale « geVAREN », participe passé provenant de l’infinitif « VAREN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« ici « te ver ») à la fin de la phrase.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 1 dans « Storm over Damme », le volume N°10 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 010 STORM OVER DAMME 01A - Rajouté le 23/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het Zwin, door overstroming ontstaan, vormde een bevaarbare geul en (het Zwin) verbond Brugge rechtstreeks met de zee » (« Le Zwin, né à la suite d’une inondation, formait un chenal navigable et reliait Bruges directement avec la mer »).
On y trouve notamment, dans la deuxième phrase principale, la forme verbale « VERBOND », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « VERBINDEN », lui-même construit sur « BINDEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve aussi, dans un complément (« door overstroming ontstaan ») qui ressemble à une subordonnée (« dat door overstroming is ontstaan »), la forme verbale « ONTSTAAN », participe passé (avec, en quelque sorte, REJET à la fin de la phrase), construit sur l’infinitif « ontSTAAN », lui-même construit sur l’infinitif « STAAN » qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons enfin que si un verbe commence par le préfixe « ONT- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 1 dans « Storm over Damme », le volume N°10 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 01 OLD SHATTERHAND 31A - Rajouté le 22/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De wijde vlakten die zijn leven uitmaken « (« Les larges plaines qui constituent sa vie »).
On y trouve notamment l’infinitif « UITmaken », dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « MAKEN ». Quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit.
Dans la mesure où on a affaire à une phrase subordonnée (relative introduite par « DIE »), il y a REJET de la forme verbale derrière le complément « zijn leven » à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 31 dans « Old Shatterhand », le volume N°1 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 01 OLD SHATTERHAND 29A - Rajouté le 22/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De achtervolgers wagen een sprong over een kloof en halen daardoor hun achterstand in » (« Les poursuivants osent un saut au-dessus d’un ravin et, de ce fait, comblent leur retard »).
On y trouve, dans la deuxième phrase à l’indicatif présent, la forme verbale « halen … IN », construite sur le verbe « INhalen » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « HALEN ». Quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « IN » de son infinitif proprement dit, les compléments (« daardoor » et « hun achterstand ») s’intercalant entre eux, et le REJET de la particule, derrière les compléments donc, à la fin de la phrase.
On y trouve, dans la première phrase, le nom commun « SPRONG », qui fait référence au verbe « SPRINGEN » (faisant l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts »). On fabrique très souvent le nom commun à partir de la première personne du singulier de l’indicatif présent (= radical) du verbe correspondant ; dans ce cas-ci, il dériverait plutôt du prétérit (ou O.V.T.) singulier : « ik SPRONG » (= je sautais ou je sautai »).
Si l’on revient à la deuxième phrase, on y trouve également l’adverbe pronominal « daarDOOR ». Pour bien comprendre son origine, reformulons la phrase : « De achtervolgers halen hun achterstand DOOR een sprong over een kloof in »
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 29 dans « Old Shatterhand », le volume N°1 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 01 OLD SHATTERHAND 24A - Rajouté le 22/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Door het hoge gras sluipen dreigende gestalten het kamp van de Comanchen binnen (« Des silhouettes menaçantes se faufilent à travers l’herbe haute à l’intérieur du (dans le) camp des Comanches »).
On y trouve, dans la première phrase, la forme verbale « sluipen … BINNEN », construite sur l’infinitif « BINNENsluipen » (verbe dit « à particule séparable »), lui-même construit sur l’infinitif « SLUIPEN ». La particule séparable « BINNEN » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« het kamp » et « van de Comanchen »), à la fin de la phrase.
Signalons que dans « bINnen », ex-préposition, il y a « IN » (tout comme d’ailleurs dans son contraire « bUITen », il y a « UIT »).
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Door het hoge gras »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « dreigende gestalten ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « sluipen ») et passant donc derrière lui.
N’oublions pas non plus que le participe présent en néerlandais se construit en ajoutant simplement un « D » à l’infinitif : « DREIGEN » => « dreigenD ». Ici, ce participe présent est utilisé comme adjectif épithète, se place donc devant le nom et, pour s’accorder, prend la terminaison majoritaire « E » => « dreigendE gestalten ».
Dans le complément « Door het hoge gras » commençant la phrase, « HOOG » est utilisé comme adjectif épithète, se place donc devant le nom et, pour s’accorder, prend la terminaison majoritaire « E » (devant noms masculin, féminin et neutre au singulier ainsi que masculin, féminin ou neutre au pluriel) même s’il s’agit d’un « HET woord » (« HET gras »). Attention à la modification orthographique : dans la mesure où on rajoute un « E » derrière une consonne finale unique (ici « G »), cela entraîne la disparition d’une des deux voyelles identiques (ici « O ») devant cette même consonne si l’on a affaire à une double voyelle. « HOOG » + « E » - « O » = « hOgE ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 24 dans « Old Shatterhand », le volume N°1 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 01 OLD SHATTERHAND 19A - Rajouté le 22/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij kreeg de tijd niet te ontkomen en bevindt zich tussen de belegeraars » (« Il ne reçut (= n’eut) pas le temps se s’échapper et se retrouve entre les assiégeants »).
On y trouve, d’une part, dans la première phrase, la forme verbale « KREEG », O.V.T. (ou prétérit) construit sur le verbe « KRIJGEN » et faisant partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve, d’autre part, l’infinitif « ontkomen », qui NE figure PAS dans les verbes dits « à particule séparable », le préfixe « ONT » ne l’étant pas ; s’il est donc lui-même construit sur le verbe « KOMEN » (faisant l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts »), son participe passé sera, par hasard (pas de « GE »), identique à l’infinitif ; on pourrait, par exemple, avoir : « Hij is niet ontkomen ».
Rappelons que, au niveau de la NEGATION située à proximité d’un nom commun, on aurait pu avoir : « Hij kreeg geen tijd (om) te ontkomen. »
On trouve, dans la deuxième phrase, la forme verbale « bevindT (zich) », troisième personne du singulier de l’O.T.T. ou indicatif présent. Elle doit se terminer par « T » même si l’avant-dernière lettre est « D » (la seule véritable exception étant le « IS », dans « hij/zij/het//dit/dat/men/er/daar/hier is »).
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 19 dans « Old Shatterhand », le volume N°1 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 02 GEHEIM RAINY LAKE 20D - Rajouté le 21/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het gevaar niet vermoedend, verlaat de moeder zwaan haar nest vol eieren om voedsel te zoeken » (« Ne soupçonnant pas le danger, la mère cygne quitte son nid plein d’œufs pour chercher de la nourriture »).
Le complément « Het gevaar niet vermoedend », précédant la phrase principale, est une sorte de phrase subordonnée, ce qui explique le rejet de la forme verbale « vermoedend » à la fin de cette phrase.
Rappelons que, en néerlandais, le participe présent est construit en rajoutant simplement un « D » à la fin de l’infinitif : « vermoeden » + « D » => « vermoeden D ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (donc ici « Het gevaar niet vermoedend »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de moeder zwaan ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « verlaat ») et passant donc derrière lui.
Rappelons aussi que, en néerlandais, la logique du déterminant possessif, à la troisième personne du singulier « SON », « SA » ou « SES »), est radicalement différente de celle en français. A « la mère cygne quitte SON nid », correspond « de moeder zwaan verlaat HAAR nest » => « le nid DE ELLE » = « HAAR nest » ; si l’on avait eu « le père cygne quitte SON nid », on aurait eu « de vader zwaan verlaat ZIJN nest » => « le nid DE LUI » = « ZIJN nest ».
On trouve, par ailleurs, le pluriel irrégulier « (de) eiEREN » pour le nom commun « (het) EI ».
On trouve enfin, dans une deuxième sorte de phrase subordonnée introduite par « OM … TE » (signifiant « POUR » devant les verbes), le complément « voedsel » intercalé entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « ZOEKEN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 20 dans « Het geheim van Rainy Lake », le volume N°2 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1954-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 02 GEHEIM RAINY LAKE 20C - Rajouté le 21/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Elke dag keert zij (Bessy) terug om de mooie witte vogel gade te slaan » (« Chaque jour, elle revient pour observer le bel oiseau blanc »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « keert … TERUG » provenant de l’infinitif « TERUGkeren », verbe à « particule séparable ». Quand ce verbe est conjugué, la particule « TERUG » se sépare donc de l’infinitif « KEREN » proprement dit ; la phrase commençant par le complément « Elke dag », une INVERSION fait en sorte que le sujet « zij » passe derrière la forme verbale « keert » et la sépare donc ici de la particule « TERUG ». Cette particule « TERUG » est très fréquente en néerlandais puisqu’elle correspond au préfixe « RE- » (exemple : Revenir), rendant la notion de RETOUR.
On trouve aussi, dans une sorte de phrase subordonnée introduite par « OM … TE » (signifiant « POUR » devant les verbes), le complément « de mooie witte vogel » intercalé entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « SLAAN ».
Il est à noter que « gade … slaan » provient de l’infinitif « gadeSLAAN », verbe à « particule séparable », « gade » réagissant comme les « particules séparables » provenant de prépositions courantes (« IN », « OP », etc).
Signalons enfin que, dans un groupe nominal, si l’on a DEUX adjectifs épithètes (qui, en néerlandais, rappelons-le, se placent toujours DEVANT le nom commun) dont une couleur, on a tendance à placer la couleur en DEUXIEME position : « de mooie WITTE vogel ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 20 dans « Het geheim van Rainy Lake », le volume N°2 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1954-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 02 GEHEIM RAINY LAKE 06C - Rajouté le 21/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Verschillende uren bleef zij (Bessy) tevergeefs wachten » («Plusieurs heures (durant) elle restait à attendre en vain »).
On y trouve notamment la forme verbale « BLEEF » (O.V.T. ou « prétérit »), provenant de l’infinitif « BLIJVEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si nous avions eu cette phrase au pluriel, nous aurions eu la forme verbale « BLEVEN », ressemblant davantage à l’infinitif « BLIJVEN ». N’oublions pas que un « F » derrière lequel on rajoute un « E » (a fortiori la terminaison « EN » du pluriel) devient « V ».
Il est à noter que la phrase, commençant par le complément « Verschillende uren », ce dernier engendre une INVERSION : le sujet « zij » passant derrière le verbe « bleef ». On aurait ainsi pu dire : « Zij bleef verschillende uren tevergeefs wachten » OU « Zij bleef tevergeefs verschillende uren wachten.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « Het geheim van Rainy Lake », le volume N°2 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1954-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 02 GEHEIM RAINY LAKE 06B - Rajouté le 21/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De bever (Chikawa) had haar echter onbewust een dienst bewezen » (« Le castor lui avait vraiment rendu un service inconsciemment »).
On y trouve notamment la forme verbale « had … BEWEZEN » (V.V.T. ou « plus-que-parfait ») provenant de l’infinitif « BEWIJZEN », lui-même construit sur l’infinitif « WIJZEN » (ayant une autre signification), qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons également que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux. « BEWEZEN » est donc bien un participe passé même si sa forme verbale est identique au pluriel de l’O.V.T. (ou « prétérit »). Aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET (derrière les compléments « haar », « echter », « onbewust » et « een dienst») à la fin de la phrase.
Signalons que « BEWIJZEN » signifie d’abord « PROUVER » mais que, associés à certains noms communs pour constituer une « expression », les infinitifs, notamment néerlandais, peuvent changer de signification, comme ici.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « Het geheim van Rainy Lake », le volume N°2 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1954-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 001 GEBROKEN ZWAARD 14A - Rajouté le 20/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Door de hefboom van het mechanisme naar zich toe te halen, gaat het paneel naar boven open » (« En actionnant le levier du mécanisme vers lui, le panneau va vers le haut = se relève »).
On y trouve notamment, dans une sorte de phrase subordonnée, la forme verbale « TOEhalen », construite sur « HALEN » (ayant une signification différente). Le verbe « TOEhalen » est un verbe « à particule séparable », ce qui explique que la « particule séparable » « TOE » est effectivement séparée de lui. Pour comprendre la présence du « TE » devant la partie « HALEN » de « TOEhalen », il faudrait se dire que l’on pourrait rendre le début de la phrase « Door » par « Du fait DE », ce qui donnerait en mauvais français pour « Door de hefboom (…) toe TE halen » : « Du fait DE actionner le levier ». On pourrait se dire que le « TE » néerlandais correspond à une sorte de «DE » français.
On y trouve aussi la forme verbale « OPEN … gaan », construite sur le verbe « GAAN ». Le verbe « OPENgaan » est un verbe « à particule séparable », ce qui explique que la « particule séparable » « OPEN » est effectivement séparée de lui et fait l’objet d’un REJET à la fin de la phrase, derrière les compléments « het paneel » et « naar boven ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Door de hefboom »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « het paneel ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « gaat ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 14 dans « Het gebroken zwaard », le volume N°1 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1959-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 001 GEBROKEN ZWAARD 12A - Rajouté le 20/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Intussen is er een gestalte nader geslopen die aandachtig luistert » (« Pendant ce temps-là, (il y a) une silhouette (qui) s’est faufilée plus près, qui écoute attentivement »).
On y trouve notamment la forme verbale « geslopen », participe passé construit sur le verbe « SLUIPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Intussen »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « een gestalte » ou « ER ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « IS ») et passant donc derrière lui.
Dans cette phrase au passé composé, le participe passé « geslopen » fait l’objet d’un REJET à la fin de la phrase principale, derrière le complément « nader ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 12 dans « Het gebroken zwaard », le volume N°1 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1959-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 001 GEBROKEN ZWAARD 05A - Rajouté le 20/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Stervend (…) riep (hij) uit : eens zal mijn mijn zwaard uit dit moeras oprijzen om mij te wreken » (« Mourant, il s’écria : un jour, mon épée émergera de ce marais pour me venger »).
On y trouve notamment, dans la phrase introduisant la déclaration, la forme verbale « riep … UIT », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « UITroepen », conjugué lui-même sur « ROEPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Ce verbe « UITroepen » est dit « à particule séparable » ce qui explique que la « particule séparable » « UIT » est effectivement séparée de lui quand il est conjugué et elle aurait fait l’objet d’un REJET à la fin de la phrase, derrière le complément, s’il y avait eu un complément ; par exemple : « hij riep luid uit » OU, à l’O.T.T., « hij roept luid uit ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Stervend »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « hij », sous-entendu) inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « riep ») et passant donc derrière lui. Rappelons aussi que, en néerlandais, le participe présent est construit en rajoutant simplement un « D » à la fin de l’infinitif : « sterven » + « D » => « stervenD ».
On trouve, dans la phrase déclarative, l’infinitif du verbe « OPrijzen », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « RIJZEN » (ayant une signification différente), qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve enfin, dans une sorte de phrase subordonnée introduite par « OM … TE » (signifiant « POUR » devant les verbes), le complément « MIJ » intercalé et la particule « TE » placée derrière ce complément et donc toujours juste devant l’infinitif (« WREKEN »).
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « Het gebroken zwaard », le volume N°1 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1959-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 001 GEBROKEN ZWAARD 01A - Rajouté le 20/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij gaat onverschrokken op de boom af » (« Il marche sans (avoir) peur sur l’arbre »).
On y trouve notamment la forme verbale « gaat … AF », provenant de l’infinitif « AFgaan », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « GAAN ». La « particule séparable » « AF » fait l’objet d’un REJET à la fin de la phrase derrière le complément « op de boom ».
On y trouve aussi la forme verbale « onVERschrokken », construite sur le verbe « VERschrikken » (PAS « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « SCHRIKKEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts » (mais est homonyme d’un autre verbe « SCHRIKKEN », qui ne l’est pas). Ce participe passé est, ici, en quelque sorte utilisé comme adjectif : « onVERschrokken »= « NON apeuré »
Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite des pages 1 et 2 dans « Het gebroken zwaard », le volume N°1 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1959-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 01 OLD SHATTERHAND 17A - Rajouté le 19/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De ruiters slepen dekens achter zich aan om hun sporen en die van de gewonde uit te wissen » (« Les cavaliers traînent des couvertures derrière eux pour effacer leurs traces et celles du blessé »).
On y trouve, dans la phrase principale, la forme verbale « slepen … AAN », construite sur le verbe « AANslepen » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « SLEPEN ». Quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, faisant l’objet d’un REJET à la fin de la phrase, les compléments (« dekens » et « achter zich ») s’intercalant entre eux.
On y trouve également, dans une sorte de phrase subordonnée (introduite par « OM … TE », signifiant « POUR » devant les verbes), la particule « TE » intercalée entre l’infinitif proprement dit, « WISSEN », et sa « particule séparable » « UIT » du verbe « UITwissen » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « WISSEN ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « Old Shatterhand », le volume N°1 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 01 OLD SHATTERHAND 15A - Rajouté le 19/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Eenmaal in het struikgewas sluipt hij onhoorbaar terug (« Une fois dans les broussailles, il se faufile à nouveau inaudiblement = sans qu’on l’entende »).
On y trouve, dans la première phrase, la forme verbale « SLUIPT », construite sur le verbe « SLUIPEN », dont il n’existe officiellement pas de variante « à particule séparable ». En néerlandais, on a de plus en plus tendance à faire jouer ce rôle au mot « TERUG », qui rend une notion de RETOUR (« il se faufile dans l’autre sens ») ou de REPETITION de l’action (« il se RE-faufile »).
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Eenmaal in het struikgewas »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « hij ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici l’auxiliaire « sluipt ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « Old Shatterhand », le volume N°1 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 01 OLD SHATTERHAND 12A - Rajouté le 19/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De roodhuid stort als een blok neer » (« Le peau-rouge s’effondre comme un bloc / une masse »).
On y trouve la forme verbale « stort … NEER », construite sur le verbe « NEERstorten » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « STORTEN ». Quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « NEER » (qui fait l’objet d’un REJET à la fin de la phrase) de son infinitif proprement dit, le complément (« als een blok ») s’intercalant entre eux.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 12 dans « Old Shatterhand », le volume N°1 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 01 OLD SHATTERHAND 02A - Rajouté le 19/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maximiliaan van Oostenrijk die zich tot keizer van Mexico liet uitroepen (« Maximilien d’Autriche qui se laissa (= fit) proclamer empereur du Mexique »).
On y trouve, d’une part, la forme verbale « LIET », O.V.T. (ou prétérit) construit sur le verbe « LATEN » et faisant partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve, d’autre part, l’infinitif « UITroepen », dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « ROEPEN ». Quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit.
Dans la mesure où on a affaire à une phrase subordonnée (relative introduite par « DIE »), il y a REJET des formes verbales, derrière les compléments (« tot keizer » et « van Mexico »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 2 dans « Old Shatterhand », le volume N°1 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 16 TEKEN GROTE GEEST 28B - Rajouté le 18/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De Indianen hebben vast een luchtspiegeling voor een teken van de Grote Geest gehouden » (« Les Indiens ont certainement tenu un mirage pour un signe du Grand Esprit »).
On y trouve notamment forme verbale « GEhouden », participe passé provenant de l’infinitif « HOUDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le participe passé « GEhouden » fait, lui, l’objet d’un REJET à la fin de la phrase derrière les 3 (trois) compléments.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « Het teken van de Grote Geest », le volume N°16 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1957-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 16 TEKEN GROTE GEEST 28A - Rajouté le 18/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Tot zijn grote verbazing ziet hij (Andy) de kudde bisons, die kort tevoren op hem aanstormden, in de wolken zweven » (« A son grand étonnement, il voit le troupeau de bisons, qui peu auparavant déferlaient sur lui, planer dans les nuages »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée, la forme verbale « AANstormden », provenant de l’infinitif « AANstormen », dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « STORMEN » (ayant une signification légèrement différente = « se ruer sur »).
La forme verbale « AANstormden » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments « kort tevoren » et « op hem », parce que l’on se trouve dans une phrase subordonnée.
Cette phrase est à l’O.V.T. (ou prétérit) et on aurait pu trouver : « de bisons stormden kort tevoren op hem aan », où la particule séparable « AAN » se serait effectivement séparée.
Ce verbe « STORMEN » n’est PAS affecté par les « temps primitifs » et, considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais), NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « M », on trouvera le « D » majoritaire.
Si ce verbe « à particule séparable » avait été conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela aurait entraîné en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGEstormd ».
Etant donné que la phrase principale commence par un complément « Tot zijn grote verbazing », il y a aussi le phénomène d’INVERSION, passage du sujet « hij » derrière le verbe « ziet ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « Het teken van de Grote Geest », le volume N°16 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1957-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 16 TEKEN GROTE GEEST 20A - Rajouté le 18/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het schouwspel jaagt hun angst aan » (« Le spectacle attise leur angoisse »).
On y trouve la forme verbale « jaagt AAN », provenant de l’infinitif « AANJAGEN », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « JAGEN » (ayant une signification différente = « chasser »).
La « particule séparable » « AAN » fait l’objet d’un REJET à la fin de la phrase derrière le complément « hun angst ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite d’un montage des pages 20 et 21 dans « Het teken van de Grote Geest », le volume N°16 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1957-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 12 ZWIJGENDE GETUIGE 15B - Rajouté le 18/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het gezwollen uiteinde doet de steen springen » (« L’extrémité gonflée fait sauter (éclater) la pierre »).
On y trouve notamment forme verbale « GEzwollen », participe passé provenant de l’infinitif « ZWELLEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce participe passé « GEzwollen » étant utilisé comme adjectif épithète et placé donc devant le nom « UITEINDE », pour s’accorder, devrait prendre la terminaison majoritaire « E » (devant noms masculin ou féminin ou NEUTRE au singulier ainsi que masculin, féminin ou NEUTRE au pluriel) précédé du déterminant DEFINI (par exemple, ici, « HET » pour un NEUTRE singulier).
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 15 dans « De zwijgende getuige », le volume N°12 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1956-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 12 ZWIJGENDE GETUIGE 15A - Rajouté le 18/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De wortels groeien onder de grond om het water op te zuigen » (« Les racines grandissent sous le sol pour absorber l’eau »).
On y trouve une forme verbale de l’infinitif « OPzuigen », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « ZUIGEN » (ayant une signification différente = « sucer »). On la trouve dans une sorte de phrase subordonnée introduite par « OM … TE » (signifiant « POUR » devant les verbes), la particule « TE » s’intercalant entre l’infinitif proprement dit, « ZUIGEN », et sa « particule séparable » « UIT ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 15 dans « De zwijgende getuige », le volume N°12 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1956-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 002 GOUDEN SPOREN 34A - Rajouté le 17/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De reigershoeve heeft het beleg doorstaan » (« La ferme du héron a soutenu le siège »).
On y trouve notamment la forme verbale « DOORSTAAN », participe passé (avec REJET à la fin de la phrase) construit sur l’infinitif « STAAN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Rappelons que le participe passé de ce dernier débute par le préfixe « GE- » (=> « GEstaan »), commun à la majorité d’entre eux. Si aucun « GE » ne s’est intercalé, ici, entre « DOOR » et « STAAN », cela signifie que « DOORSTAAN » n’est PAS un verbe « à particule séparable ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 34 dans « De gouden sporen », le volume N°2 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1960-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 002 GOUDEN SPOREN 32A - Rajouté le 17/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Als ze op de binnenkoer geraken, zijn we verloren ! » (« S’ils atteignent la cour intérieure, nous sommes perdus ! »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « verloren », participe passé provenant de l’infinitif « VERLIEZEN ». Ce verbe fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Rappelons par ailleurs que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (la phrase subordonnée joue ici ce rôle « Als ze op de binnenkoer geraken »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « we ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici l’auxiliaire « zijn » du passé composé) et passant donc derrière lui.

La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 32 dans « De gouden sporen », le volume N°2 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1960-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 002 GOUDEN SPOREN 31B - Rajouté le 17/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Tijdens een korte plechtigheid wordt het ontzielde lichaam bij de gesneuvelden gelegd » (« Pendant une courte cérémonie, le corps sans vie (sans âme) est étendu auprès de ceux qui sont tombés au champ d’honneur »).
On y trouve notamment le REJET à la fin de la phrase de la forme verbale « gelegd », participe passé construit sur l’infinitif « LEGGEN ». Ce verbe « LEGGEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « G », on trouvera, bien sûr, le « D » majoritaire.
Cette phrase est aussi à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Tijdens een korte plechtigheid»), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « het onzielde lichaam ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici l’auxiliaire « wordt ») et passant donc derrière lui.
On y trouve également le participe passé « ontzield », utilisé comme adjectif épithète dans « het ontzielde lichaam ». Ce participe passé est construit sur l’infinitif « ONTZIELEN » signifiant : « abattre, décourager, démoraliser ». Cet infinitif étant considéré comme « régulier » et le radical se terminant par la consonne « L », on trouvera, bien sûr, le « D » majoritaire (voir « LEGGEN », supra). Rappelons par ailleurs que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « ONT- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
On y trouve enfin le participe passé « gesneuveld », utilisé comme nom commun (au PLURIEL => « -EN ») dans « bij de gesneuvelden » et construit sur l’infinitif « SNEUVELEN »
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 31 dans « De gouden sporen », le volume N°2 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1960-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 002 GOUDEN SPOREN 31A - Rajouté le 17/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De mannen vochten als leeuwen » (« Les hommes luttèrent comme DES lions »).
On y trouve notamment la forme verbale « VOCHTEN » (O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « VECHTEN »), qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que, dans un groupe nominal en néerlandais, si le nom commun était précédé d’un déterminant indéfini « EEN » (équivalent de « UN » ou « UNE ») au SINGULIER, il NE sera PAS précédé au PLURIEL d’un déterminant indéfini équivalent du « DES » français. Si l’on avait eu : « De mannen vochten als DE leeuwen », cela aurait signifié : « Les hommes luttèrent comme LES lions »).
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite d’un montage que nous avons réalisé à partir des pages 28 et 31 dans « De gouden sporen », le volume N°2 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1960-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 07 JENNIFER 31C - Rajouté le 16/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze (de wilde stier en zijn aanhangers) worden na een straf weer in de stam opgenomen » (« C’est comme s’il s’est évanoui en fumée »).
On y trouve notamment, le REJET de la forme verbale « OPgenomen » (provenant de l’infinitif « OPnemen ») à la fin de la phrase, derrière les compléments (ce qui est aussi le cas des participes passés aux temps composés). Le verbe « OPnemen », dit « à particule séparable », est construit sur le verbe « NEMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Quand il est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEnomen ».
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 31 dans « Jennifer en Phowi », le volume N°7 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 07 JENNIFER 31B - Rajouté le 16/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zonder verdere woorden sluiten een bruine en een blanke hand zich vast in elkaar » (« Sans plus de mots, une main brune et une (main) blanche se ferment solidement l’une dans l’autre »).
On y trouve une expression « zich VAST in elkaar SLUITEN », réagissant comme un verbe « VASTsluiten » (« à particule séparable ») qui n’existe apparemment pas.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 31 dans « Jennifer en Phowi », le volume N°7 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 07 JENNIFER 31A - Rajouté le 16/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Uren lang wordt op de kinderen kunstmatige ademhaling toegepast » (« De longues heures durant, la respiration artificielle est appliquée sur les enfants »).
On y trouve notamment, le REJET de la forme verbale « TOEgepast » (provenant de l’infinitif « TOEpassen ») à la fin de la phrase, derrière les compléments (ce qui est aussi le cas des participes passés aux temps composés). Le verbe « TOEpassen », dit « à particule séparable », est construit sur le verbe « PASSEN », ayant une signification différente.
Ce verbe « PASSEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « S », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Quand il est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TOE » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « toeGEpast ». Il est à noter que la particule « TOE » provient de la préposition « TOT »
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
Etant donné que la phrase commence par un complément « Uren lang », il y a le phénomène d’INVERSION, passage du sujet « kunstmatige ademhaling » derrière la forme verbale « wordt » (et derrière un deuxième complément : « op de kinderen »).
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 31 dans « Jennifer en Phowi », le volume N°7 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 007 JENNIFER 11A - Rajouté le 16/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het is alsof de bron in één nacht uitgedroogd is » (« C’est comme si la source s’est asséchée en une seule nuit »).
On y trouve la forme verbale « UITgedroogd », construite sur le verbe « UITdrogen » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « DROGEN ».
Ce verbe « DROGEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « G », on trouvera, bien sûr, le « D » majoritaire.
Quand le verbe « DROGEN » est conjugué comme participe passé au passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux. Il y a en outre REJET, aux temps composés, du participe passé « uitGEdroogd » à la fin de la phrase, derrière le complément « in één nacht », s’intercalant donc entre l’auxiliaire « IS » et ce même participe passé « uitGEdroogd ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « Jennifer en Phowi », le volume N°7 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 04 STALEN ROS 13B - Rajouté le 15/07/2011

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Deze takken worden weer bedekt met bizonvellen (bedekt) en dan worden de met vlees gevulde darmen in deze soort kelders opgestapeld » (« Ces branches sont à nouveau couvertes avec des peaux de bison et alors les intestins remplis de viande sont empilés dans ces sortes de caves »).
On y trouve notamment, dans la première phrase, le REJET de la forme verbale « BEDEKT » (participe passé provenant de l’infinitif « BEDEKKEN », PAS affecté par les « temps primitifs ») derrière le complément « weer » mais il aurait pu l’être, à la fin de la phrase, derrière le second complément « met bizonvellen ». Ce verbe « BEDEKKEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Cette phrase est aussi (comme la seconde) à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
On y trouve notamment, dans la deuxième phrase, le REJET de la forme verbale « opGEstapeld » (participe passé provenant de l’infinitif « OPSTAPELEN », lui-même construit sur le verbe « STAPELEN », PAS affecté par les « temps primitifs ») derrière le complément « in deze soort kelders ». Ce verbe est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « L », on trouvera le « D » majoritaire. Ce verbe «OPstapelen » est aussi dit « à particule séparable » ; quand il est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEstapeld ».
On trouve enfin dans cette deuxième phrase l’utilisation comme adjectif épithète (devant le nom commun « DARMEN ») de la forme verbale « GEVULD », provenant de l’infinitif « VULLEN ».
Le participe passé « GEVULD », qui est utilisé comme adjectif épithète, se place donc devant le nom « DARMEN » et, pour s’accorder, prend la terminaison majoritaire « E » (devant noms masculin ou féminin ou NEUTRE au singulier ainsi que masculin, féminin ou NEUTRE au pluriel) précédé du déterminant DEFINI (par exemple, ici, « DE » POUR TOUS LES PLURIELS).
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 13 dans « Het stalen ros », le volume N°4 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1955-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 04 STALEN ROS 12D - Rajouté le 15/07/2011

Description : Cette double phrase est grammaticalement intéressante : « Dit deeg wordt in leren (lederen) zakken gestopt, die men bij de Indianen kocht » (« Cette farine est stockée dans des sacs en cuir, que l’on achetait auprès des Indiens »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, le REJET de la forme verbale « gestopt » (participe passé provenant de l’infinitif « STOPPEN », PAS affecté par les « temps primitifs ») à la fin de la phrase, derrière le complément « in leren zakken ». Ce verbe est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « P », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Cette phrase est aussi à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
On y trouve également, dans la phrase subordonnée la forme verbale « KOCHT » (O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « KOPEN »), qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que l’on peut aussi construire en néerlandais des sortes d’adjectifs épithètes (donc placés devant le nom commun) à partir de noms de MATIERE comme « leer ». En français, on dira « EN cuir » ; le pur hasard en néerlandais fait que l’on ajoute « EN » à la fin du nouveau mot ainsi créé : « leer » + « EN » - 1 « E » (le deuxième de « LEER », en raison de la règle d’orthographe basique) => « LErEN » (ou « lederEN », forme plus ancienne que l’on a ici et encore).
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 12 dans « Het stalen ros », le volume N°4 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1955-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 04 STALEN ROS 12C - Rajouté le 15/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Met een stenen bijl wordt het gerookte vlees vervolgens tot kleinere stukken geslagen » (« Avec une hache en pierre, la viande fumée est ensuite découpée en plus petits morceaux »).
On y trouve notamment le REJET de la forme verbale « geslagen » (provenant de l’infinitif « SLAAN », affecté par les « temps primitifs ») à la fin de la phrase, derrière le complément « tot kleinere stukken ».
Cette phrase est aussi à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
Rappelons que le comparatif de supériorité d’un adjectif se construit en néerlandais en ajoutant la terminaison « -ER » à la fin de l’adjectif (et non en rajoutant le mot « PLUS » devant l’adjectif comme en français) => « klein » + « ER » = « kleinER ». Cet adjectif épithète placé devant le nom commun « stukken » au pluriel s’accordera avec un « E » final supplémentaire : « kleiner » + « E » = « kleinerE ».
On trouve aussi dans cette phrase l’utilisation comme adjectif épithète (devant le nom commun « VLEES ») de la forme verbale « gerookt », provenant de l’infinitif « ROKEN ». Ce verbe est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Rappelons que l’on peut aussi construire en néerlandais des sortes d’adjectifs épithètes (donc placés devant le nom commun) à partir de noms de MATIERE comme « steen ». En français, on dira « EN pierre » ; le pur hasard en néerlandais fait que l’on ajoute « EN » à la fin du nouveau mot ainsi créé : « steen » + « EN » - 1 « E » (le deuxième de « STEE », en raison de la règle d’orthographe basique) => « STEnEN ».
Le participe passé, qui est utilisé comme adjectif épithète, se place donc devant le nom et, pour s’accorder, prend la terminaison majoritaire « E » (devant noms masculin ou féminin ou NEUTRE au singulier ainsi que masculin, féminin ou NEUTRE au pluriel) précédé du déterminant DEFINI (par exemple, ici, « HET » pour un NEUTRE singulier).
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 12 dans « Het stalen ros », le volume N°4 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1955-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 04 STALEN ROS 11B - Rajouté le 15/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Gelukkig komt de jager net op tijd om het woeste dier met een goed gericht schot neer te vellen » (« Heureusement, le chasseur arrive juste à temps pour abattre l’animal furieux d’un tir bien ajusté »).
On y trouve notamment la forme verbale « gericht », provenant de l’infinitif « RICHTEN ». Ce verbe est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « T », on trouvera un deuxième « T » (au lieu du « D » majoritaire) au prétérit (« richtTe »). Ici, on a affaire à un participe passé qui est utilisé comme adjectif épithète, se place donc devant le nom et, pour s’accorder, aurait dû prendre la terminaison majoritaire « E » (devant noms masculin ou féminin au singulier ainsi que masculin, féminin ou NEUTRE au pluriel) mais comme il s’agit d’une exception, un « HET woord » « HET schot ») précédé du déterminant indéfini « EEN », c’est le cas sur 6 (devant NEUTRE singulier donc) qui NE prend PAS cette terminaison.
Il est à noter que « HET schot » dérive de l’infinitif « SCHIETEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts », et donne notamment « SCHOOT » (avec 2 « O ») au singulier du prétérit (ou « SCHOTEN », avec 1 « O », au pluriel du prétérit mais prononcé différemment de « het SCHOT »). Beaucoup de noms communs sont construits sur la première personne du singulier de l’indicatif présent ; « HET schot » serait apparemment construit sur le prétérit …

La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « Het stalen ros », le volume N°4 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1955-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 002 GOUDEN SPOREN 29A - Rajouté le 14/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij (Wulf) wordt door de vallende krijger gegrepen » (« Il est saisi par le guerrier tombant = qui tombe »).
On y trouve notamment la forme verbale « gegrepen », participe passé provenant de l’infinitif « GRIJPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
N’oublions pas que le participe présent en néerlandais se construit en ajoutant simplement un « D » à l’infinitif : « VALLEN » => « vallenD ». Ici, ce participe présent est utilisé comme adjectif épithète, se place donc devant le nom et, pour s’accorder, prend la terminaison majoritaire « E » => « de vallendE krijger ».
Cette phrase est aussi à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « De gouden sporen », le volume N°2 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1960-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 002 GOUDEN SPOREN 26A - Rajouté le 14/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De eerste gelederen worden door de belegerden warm onthaald » (« Les premiers rangs sont reçus chaudement par les assiégés»).
On y trouve notamment la forme verbale « ONThaald », équivalent d’un participe passé provenant de l’infinitif « ONTHALEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Ce verbe est donc considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « L », on trouvera le « D » majoritaire. Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « ONT- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Cette phrase est aussi à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
Nous y trouvons enfin un pluriel irrégulier de nom : « de gelederen » provient du singulier « het gelid ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « De gouden sporen », le volume N°2 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1960-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 002 GOUDEN SPOREN 25B - Rajouté le 14/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Brandende toortsen worden aan de voeten van de wallen geworpen » (« Des flambeaux en feu sont jetés au pied des murs »).
On y trouve notamment la forme verbale « geworpen », participe passé provenant de l’infinitif « WERPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Cette phrase est aussi à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « De gouden sporen », le volume N°2 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1960-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 002 GOUDEN SPOREN 24A - Rajouté le 14/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Gespannen volgen de belegerden elke beweging van de vijand » (« Tendus, les assiégés suivent tout mouvement de l’ennemi »).
On y trouve notamment, comme complément introduisant la phrase principale, la forme verbale « gespannen », participe passé provenant de l’infinitif « SPANNEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (ici « gespannen »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de belegerden ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « volgen ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 24 dans « De gouden sporen », le volume N°2 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1960-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 07 JENNIFER 09A - Rajouté le 13/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Laat af of ik sla je neer » (« Laisse tomber ou je t’assomme »).
On y trouve, dans la première phrase à l’impératif, la forme verbale « laat AF », construite sur le verbe « AFlaten » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « LATEN ». Quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, le complément éventuel s’intercalant entre eux. On aurait, par exemple, pu avoir : « « Laat het geweer af ! »
On y trouve, dans la deuxième phrase à l’indicatif présent, la forme verbale « sla NEER », construite sur le verbe « NEERslaan » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « SLAAN ». Quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « NEER » de son infinitif proprement dit, le complément « JE » s’intercalant entre eux, et le REJET de la particule, derrière le complément, à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « Jennifer en Phowi », le volume N°7 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 07 JENNIFER 08D - Rajouté le 13/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zonder jou zou hij (Peter) reeds vergissingen begaan hebben » (« Sans toi, il aurait déjà commis des erreurs »).
On y trouve, dans une phrase au conditionnel, la forme verbale « BEGAAN », construite sur le verbe « GAAN » (ayant une signification différente), qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». La forme verbale « BEGAAN », équivalent d’un participe passé, fait aussi l’objet d’un REJET (derrière les compléments « reeds vergissingen ») exigé par l’auxiliaire du conditionnel « ZOU » (singulier de « ZOUDEN »). Rappelons également que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (ici « Zonder jou »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « hij = Peter ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici l’auxiliaire « zou ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 8 dans « Jennifer en Phowi », le volume N°7 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 07 JENNIFER 07A - Rajouté le 13/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij wordt plots door verwarde geluiden opgeschrikt » (« Elle est soudain effrayée par des bruits confus »).
On y trouve la forme verbale « OPgeschrikt », construite sur le verbe « OPschrikken » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « SCHRIKKEN ». Quand il est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux. Il y a en outre REJET, aux temps composés, du participe passé « opGEschrikt » à la fin de la phrase, derrière les compléments « plots » et « door verwarde geluiden », s’intercalant donc entre l’auxiliaire « WORDT » et ce même participe passé « opGEschrikt ». Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
On y trouve aussi l’adjectif découlant de la forme verbale « verward » (participe passé provenant de l’infinitif « VERWARREN », signifiant notamment « confondre »). Ce verbe « VERWARREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « R », on trouvera, bien sûr, le « D » majoritaire. Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.

N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (ici « Op een dag »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de vader ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « komt ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « Jennifer en Phowi », le volume N°7 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 07 JENNIFER 5C - Rajouté le 13/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Op een dag komt de vader (Peter) onverwacht terug » (« Un jour, le père revient de façon inattendue = à l’improviste »).
On y trouve la forme verbale « komt TERUG », construite sur le verbe « TERUGkomen » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « KOMEN ». Quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERUG » de son infinitif proprement dit, le complément « onverwacht » s’intercalant entre eux, et le REJET de la particule, derrière le complément, à la fin de la phrase.
On y trouve aussi l’adjectif découlant de la forme verbale « onverwacht » (participe passé provenant de l’infinitif « VERWACHTEN », conjugué lui-même sur « WACHTEN »). Ce verbe « (VER)WACHTEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant déjà par la consonne « T », on trouvera, bien sûr, un « T » (au lieu du « D » majoritaire) mais un seul. Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (ici « Op een dag »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de vader ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « komt ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « Jennifer en Phowi », le volume N°7 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 04 GEHEIM RAINY LAKE 20B - Rajouté le 12/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Maar de zwaan, verwittigd door het gekraak van takjes, keert terug om de indringer te verjagen » (« Mais le cygne, averti par le craquement de petites branches, revient pour chasser l’intrus»).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « keert TERUG » provenant de l’infinitif « TERUGkeren », verbe à « particule séparable » (contrairement à « VERJAGEN »). Quand ce verbe est conjugué, la particule « TERUG » se sépare donc de lui ; cette particule est très fréquente en néerlandais puisqu’elle correspond au préfixe « RE- » (exemple : Revenir), rendant la notion de RETOUR.
La forme verbale « VERWITTIGD » participe passé provient de l’infinitif « VERWITTIGEN », considéré comme « régulier » ; comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « G », on trouvera donc bien le « D » majoritaire. Rappelons par ailleurs que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
On trouve enfin, dans une sorte de phrase subordonnée introduite par « OM … TE » (signifiant « POUR » devant les verbes), le complément « de indringer » intercalé entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « VERJAGEN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 20 dans « Het geheim van Rainy Lake », le volume N°2 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1954-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 04 GEHEIM RAINY LAKE 20A - Rajouté le 12/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hierop wachtte de wezel » (« C’est ceci qu’attendait le furet»).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « wachtTe » - avec 2 (deux) « T » - (O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « WACHTEN »). Ce verbe est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « T », on trouvera un (deuxième) « T » (au lieu du « D » majoritaire).
La phrase commence par un complément, qui est ce l’on appelle un adverbe pronominal ; on aurait pu trouver l’alternative : « Daarop wachtte de wezel ». La préposition « OP » est due au fait qu’existe le « couple contraignant » « wachten OP » (ce qui est assez cocasse si l’on pense à « ik wacht op de bus », qui signifie bien « j’attends le bus » et PAS « j’attends sur le bus » »).
La phrase commençant donc par ce complément, engendre une INVERSION dans la phrase principale : le sujet « de wezel » passant derrière le verbe « wachtte ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 20 dans « Het geheim van Rainy Lake », le volume N°2 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1954-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 04 GEHEIM RAINY LAKE 06A - Rajouté le 12/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Eens hun nest bereikt, doken de beide bevers in het water en verdwenen » (« Leur tanière atteinte, les deux castors plongèrent dans l’eau et disparurent »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, les formes verbales « DOKEN » (O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « DUIKEN ») et « VERDWENEN » (O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « VERDWIJNEN »), qui font partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Il est à noter que la phrase subordonnée, introduite par le complément « Eens hun nest bereikt », engendre une INVERSION dans la phrase principale : le sujet « de beide bevers » passant derrière le verbe « doken ». On aurait aussi pu dire : « (…) doken en verdwenen de beide bevers in het water».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « Het geheim van Rainy Lake », le volume N°2 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1954-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 04 GEHEIM RAINY LAKE 04E - Rajouté le 12/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Op hetzelfde ogenblik dat het bevertje op de afdamming kroop, die zijn rasgenoten gebouwd hadden, wierp zijn moeder zich vóór de otter (Negik) » (« Au moment même où le petit grimpait sur le barrage, que ses congénères avaient construit, sa mère se jeta devant la loutre »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « WIERP » (O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « WERPEN »), qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Il est à noter que la phrase subordonnée, introduite par le complément « Op hetzelfde ogenblik », engendre une INVERSION dans la phrase principale : le sujet « Chikawa » (zijn moeder) passant derrière le verbe « WIERP ». Il est à noter que le mot « ZELFDE » s’accroche derrière le déterminant défini et s’accorde comme un adjectif.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 4 dans « Het geheim van Rainy Lake », le volume N°2 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1954-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 002 GOUDEN SPOREN 25A - Rajouté le 11/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Beschermd door de duisternis trachten de aanvallers de palissade te vernielen » (« Protégés par l’obscurité, les attaquants essaient de détruire la palissade »).
On y trouve notamment, dans le complément qui introduit une sorte de phrase subordonnée, la forme verbale « beschermd » (provenant de l’infinitif « BESCHERMEN »). Ce verbe est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « M », on trouvera le « D » majoritaire. Rappelons par ailleurs que si un verbe commence par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Signalons que le verbe « TRACHTEN » engendre un « TE » quand il précède un infinitif comme, ici, « VERNIELEN ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « De gouden sporen », le volume N°2 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1960-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 002 GOUDEN SPOREN 22A - Rajouté le 11/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij leidt de versterkingswerken, die door de landbouwers koortsachtig worden uitgevoerd » (« Il dirige les travaux de renforcement, qui sont exécutés fiévreusement par les agriculteurs »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée introduite par « DIE », la forme verbale « UITgevoerd » (provenant de l’infinitif « UITvoeren », lui-même conjugué sur « VOEREN », qui a une autre signification). Ce verbe est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire. La forme verbale « uitGEvoerd » est donc à « particule séparable » puisque le « GE » du participe passé (qui fait en outre l’objet d’un REJET) s’intercale entre la particule « UIT » et la forme verbale proprement dite.
Cette phrase est aussi à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
Signalons enfin que la forme verbale provenant de l’infinitif « LEIDEN », dans la phrase principale, doit, à la troisième personne du singulier de l’indicatif présent, se terminer par « T » (la seule véritable exception étant le « IS »), même si elle est précédée d’un « D ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « De gouden sporen », le volume N°2 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1960-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 002 GOUDEN SPOREN 17A - Rajouté le 11/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij leidt de versterkingswerken, die door de landbouwers koortsachtig worden uitgevoerd » (« Il dirige les travaux de renforcement, qui sont exécutés fiévreusement par les agriculteurs »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée introduite par « DIE », la forme verbale « UITgevoerd » (provenant de l’infinitif « UITvoeren », lui-même conjugué sur « VOEREN », qui a une autre signification). Ce verbe est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire. La forme verbale « uitGEvoerd » est donc à « particule séparable » puisque le « GE » du participe passé (qui fait en outre l’objet d’un REJET) s’intercale entre la particule « UIT » et la forme verbale proprement dite.
Cette phrase est aussi à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
Signalons enfin que la forme verbale provenant de l’infinitif « LEIDEN », dans la phrase principale, doit, à la troisième personne du singulier de l’indicatif présent, se terminer par « T » (la seule véritable exception étant le « IS »), même si elle est précédée d’un « D ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 17 dans « De gouden sporen », le volume N°2 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1960-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 002 GOUDEN SPOREN 18A - Rajouté le 11/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Spijtig dat ze vertrokken zijn » (« Dommage qu’ils sont partis»).
On y trouve notamment la forme verbale « vertrokken », provenant de l’infinitif « VERTREKKEN », lui-même conjugué sur « TREKKEN », qui a une autre signification. Ce verbe fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Rappelons par ailleurs que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 18 dans « De gouden sporen », le volume N°2 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1960-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 07 JENNIFER 10C - Rajouté le 10/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik beken dat ik zoveel aanhankelijkheid van zo’n jonge wilde niet had verwacht » (« Je reconnais que je n’avais pas attendu autant d’affection d’un jeune sauvage »).
On y trouve notamment la forme verbale « verwacht » (participe passé provenant de l’infinitif « VERWACHTEN », conjugué lui-même sur « WACHTEN »), qui fait l’objet d’un REJET : 1°) parce qu’il s’agit d’une phrase subordonnée ; 2°) parce qu’il s’agit d’un temps composé (ici un plus-que-parfait). Ce verbe « (VER)WACHTEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant déjà par la consonne « T », on trouvera, bien sûr, un « T » (au lieu du « D » majoritaire) mais un seul (sauf à l’O.V.T. ou prétérit).
Rappelons aussi que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Signalons enfin que « ZO’N » est l’abréviation de « ZO EEN » (dont le pluriel est « ZULK », variable comme un adjectif).
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 10 dans « Jennifer en Phowi », le volume N°7 de la série « KARL MAY».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 07 JENNIFER 8C - Rajouté le 10/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb je verboden met de indianen om te gaan » (« Je t’ai interdit de fréquenter les indiens »).
On y trouve le verbe « OMgaan », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « GAAN » (ayant une signification différente). Le verbe « VERBIEDEN », lorsqu’il est suivi d’un infinitif, exige la particule « TE ». Cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OM » de son infinitif proprement dit avec le « TE » qui s’intercale entre eux.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 8 (mais nous l’avons couplée à une illustration extraite de la page 5) dans « Jennifer en Phowi », le volume N°7 de la série « KARL MAY».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 07 JENNIFER 5B - Rajouté le 10/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Kijk wat wij allemaal meebrachten ! Witte duiven ! Phowi (hij) heeft nooit zo’n mooie vogels gezien ! » (« Regarde tout ce que nous avons apporté avec nous ! Des pigeons blancs ! Phowi (il) n’a jamais vu de si beaux oiseaux ! »).
On y trouve notamment, dans la première phrase du dialogue, la forme verbale « MEEbrachten » (O.V.T . ou prétérit provenant de l’infinitif « meeBRENGEN », conjugué lui-même sur « BRENGEN »), qui fait l’objet d’un REJET (derrière le complément « allemaal ») parce qu’il s’agit d’une phrase subordonnée. Ce verbe « (MEE)BRENGEN » fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ; « MEEbrengen » est dit « à particule séparable », la particule « MEE » provenant de la préposition « MET » (si on avait eu un participe passé, on aurait eu « meeGEbracht »).
On trouve, dans la deuxième phrase du dialogue, la forme verbale « GEZIEN » (participe passé provenant de l’infinitif « ZIEN »), qui fait l’objet d’un REJET (derrière les compléments « nooit zo’n mooie vogels ») parce qu’il s’agit d’un passé composé. Le verbe « ZIEN », comme une centaine de verbes plus utilisés dans la vie de tous les jours, fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Signalons enfin que « ZO’N » est l’abréviation de « ZO EEN » (dont le pluriel est « ZULK », variable comme un adjectif). On aurait donc été en droit d’attendre la phrase alternative avec : « zulke mooie vogels ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « Jennifer en Phowi », le volume N°7 de la série « KARL MAY».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 07 JENNIFER 2C - Rajouté le 10/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Rij dan achteruit om jouw wagen los te krijgen ! » (« Roule alors en arrière pour dégager ton chariot ! = Fais marche arrière … ! »).
On y trouve, dans la phrase principale à l’impératif, le verbe « achteruitRIJDEN », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « RIJDEN ». Il y a REJET de la particule séparable « ACHTERUIT » à la fin de la phrase, derrière le complément « DAN ». Il est à noter que le singulier de l’impératif est construit sur le radical du verbe (première personne du singulier de l’indicatif présent) : « RIJDEN » => « ik rijd » ; mais, comme dans le cas de « HOUDEN », on a tendance à laisser tomber le « D ». On aurait donc pu trouver : « RijD dan achteruit ! » ou même (à la forme polie) « RijdT dan achteruit ! ».
On y trouve aussi le verbe « LOSkrijgen », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « KRIJGEN » (ayant une signification différente), dans une sorte de phrase subordonnée (introduite par « OM … TE », signifiant « POUR » devant les verbes) : la particule « TE » est donc intercalée entre l’infinitif proprement dit, « KRIJGEN », et sa « particule séparable » « LOS ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite des pages 2 et 3 dans « Jennifer en Phowi », le volume N°7 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 04 STALEN ROS 13A - Rajouté le 09/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het vlees, dat in de darmen bewaard wordt, zullen we naar Indiaans gebruik begraven » (« La viande, qui est conservée dans les intestins, nous allons l’enterrer selon la coutume indienne »).
On y trouve notamment la forme verbale « bewaard » (provenant de l’infinitif « BEWAREN »). Ce verbe est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») ; il ne fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « R », on trouvera le « D » majoritaire. Mais rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux. Cette phrase est aussi à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 13 dans « Het stalen ros », le volume N°4 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1955-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 04 STALEN ROS 12B - Rajouté le 09/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Men maakt er deeg van, dat vermengd wordt met bessen en gesmolten bizonvet » (« On en fait de la farine, qui est mélangée avec des baies et de la graisse de bison fondue »).
On y trouve notamment l’utilisation du participe passé « gesmolten » (provenant de l’infinitif « SMELTEN », affecté par les « temps primitifs ») en tant qu’adjectif, ce qui explique qu’il soit placé devant le nom « bizonvet ».
On y trouve également la forme verbale « vermengd » (provenant de l’infinitif « VERMENGEN », lui-même construit sur « MENGEN »). Ce verbe est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») ; il ne fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « G », on trouvera le « D » majoritaire. Il aurait dû (ou pu) faire l’objet d’un REJET (à la fin de la phrase subordonnée) derrière les compléments « met bessen en gesmolten bizonvet » qui, en l’occurrence aurait été : « (het) deeg, dat met bessen en gesmolten bizonvet wordt vermengd ».
Cette phrase subordonnée est aussi à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
Dans la phrase principale (« Men maakt er deeg van »), on trouve un adverbe pronominal personnel : « ER … VAN ». On aurait pu trouver les variantes suivantes : « Men maakt deeg ERvan » ; « Men maakt DAAR deeg van » ; « Men maakt deeg DAARvan » .
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 12 dans « Het stalen ros », le volume N°4 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1955-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 04 STALEN ROS 12A - Rajouté le 09/07/2011

Description : La double phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De bizons worden in vieren gehakt en het vlees (wordt) in lange platte repen gesneden » (« Les bisons sont tailladés en quartiers et la viande coupée en de longues lanières plates »).
On y trouve notamment le REJET (à la fin de la première phrase) de la forme verbale « gehakt » (provenant de l’infinitif « HAKKEN ») derrière le complément « in vieren ». Ce verbe est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire). On y trouve également, dans la deuxième phrase, le REJET de la forme verbale « gesneden » (provenant de l’infinitif « SNIJDEN », affecté par les « temps primitifs ») à la fin de la phrase, derrière le complément « in lange platte repen ».
Ces deux phrases sont aussi à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » (même s’il est sous-entendu dans la deuxième) au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 12 dans « Het stalen ros », le volume N°4 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1955-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 004 STALEN ROS 11A - Rajouté le 09/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Gelukkig komt de jager net op tijd om het woeste dier met een goed gericht schot neer te vellen » (« Heureusement, le chasseur arrive juste à temps pour abattre l’animal furieux d’un tir bien ajusté »).
On y trouve le verbe « NEERVELLEN », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « VELLEN ». On y trouve également, dans une sorte de phrase subordonnée (introduite par « OM … TE », signifiant « POUR » devant les verbes), la particule « TE » intercalée entre l’infinitif proprement dit, « VELLEN », et sa « particule séparable » « NEER ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « Het stalen ros », le volume N°4 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1955-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 004 STALEN ROS 10A - Rajouté le 09/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Enkele dieren slagen erin de omsingeling te doorbreken » (« Quelques animaux réussissent à briser l’encerclement »).
On y trouve l’expression « ERIN SLAGEN » (équivalent de l’expression « LUKKEN IN », qui aurait pu donner la phrase alternative : « Het lukt enkele dieren (in) de omsingeling te doorbreken »). L’expression (équivalent, en mauvais français, à « réussir DE ») engendre un « TE » quand il précède un infinitif comme, ici, « DOORBREKEN » (qui n’est donc PAS un verbe à « particule séparable » puisque le « TE » ne s’intercale PAS entre la particule « DOOR » et l’infinitif « BREKEN » proprement dit).
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 10 dans « Het stalen ros », le volume N°4 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1955-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 002 GOUDEN SPOREN 15A - Rajouté le 08/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik ga die kerels een beetje ophouden » (« Je vais retenir un peu ces gaillards »).
On y trouve le verbe « OPHOUDEN », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « HOUDEN » (ayant une signification différente). La forme verbale « GA » (radical de « GAAN ») joue ici le rôle de l’auxiliaire du futur « ZAL » (singulier de « ZULLEN »), ce qui explique le REJET, exigé par ce dernier, de OPHOUDEN » à la fin de la phrase derrière les compléments. L’utilisation de « GAAN » pour « ZULLEN » est probablement une influence de la langue française sur la langue néerlandaise, « Je vais retenir » (futur proche) étant plus facile que « Je retiendrai » (futur simple).
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « De gouden sporen », le volume N°2 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1960-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 002 GOUDEN SPOREN 13A - Rajouté le 08/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Voorzichtig, hij is gewond » (« (Soyons) prudents, il est blessé»).
On y trouve notamment la forme verbale « gewond » (provenant de l’infinitif « WONDEN »). Ce verbe est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais constitue une exception dans la mesure où son radical (première personne du présent) se terminant déjà par la consonne « D », on ne trouvera pas un deuxième « D » au participe passé.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 13 dans « De gouden sporen », le volume N°2 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1960-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 002 GOUDEN SPOREN 11A - Rajouté le 08/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij wordt onverhoeds overvallen » (« Il est attaqué à l’improviste »).
On y trouve notamment la forme verbale « overvallen » (provenant de l’infinitif « OVERVALLEN », synonyme de « AANVALLEN »). Ce verbe est affecté par les « temps primitifs » puisqu’il est construit sur « VALLEN » mais n’est PAS à « particule séparable » ; il est homonyme d’un autre « OVERVALLEN » (signifiant « tomber, se rabattre ») qui fait un participe passé « overGEvallen » et est donc à « particule séparable » puisque le « GE » s’intercale entre la particule « OVER » et la forme verbale proprement dite. Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « De gouden sporen », le volume N°2 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1960-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 07 JENNIFER 8B - Rajouté le 07/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb je verboden met de indianen om te gaan » (« Je t’ai interdit de fréquenter les indiens »).
On y trouve notamment la forme verbale « verboden » (participe passé provenant de l’infinitif « VERBIEDEN », lui-même conjugué sur « BIEDEN »), qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Elle fait l’objet d’un REJET à la fin de la phrase principale derrière le pronom complément « JE ». Rappelons enfin que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 8 (mais nous l’avons couplée à une illustration extraite de la page 5) dans « Jennifer en Phowi », le volume N°7 de la série « KARL MAY».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 07 JENNIFER 4E - Rajouté le 07/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Er zal hard moeten gewerkt worden / worden gewerkt » (« Il faudra travailler dur = Il devra être travaillé dur »).
On y trouve notamment la forme verbale « gewerkt » (provenant de l’infinitif « WERKEN »). Ce verbe est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire). Cette phrase est aussi à la forme impersonnelle (avec le pronom personnel sujet « ER », comme dans « il y a » en néerlandais), au futur (d’où REJET des formes verbales à la fin de la phrase) et à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 4 dans « Jennifer en Phowi », le volume N°7 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 07 JENNIFER 02B - Rajouté le 07/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik geef het niet op » (« Je n’abandonne pas = Je n’y renonce pas»).
On y trouve le verbe « OPgeven », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « GEVEN » (ayant une signification fort différente). Il y a REJET de la particule séparable « OP » à la fin de la phrase, derrière le complément « HET » et la négation « NIET » (figurant toujours après le verbe en néerlandais). « HET » (remplaçant « DAT ») est, dans ce cas-ci, bien un complément : on pourrait imaginer qu’il est, par exemple, mis pour « HET karretje ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 2 dans « Jennifer en Phowi », le volume N°7 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 07 JENNIFER 2A - Rajouté le 07/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De wielen zitten onder water vast » (« Les roues sont coincées sous l’eau »).
On y trouve le verbe « VASTZITTEN », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « ZITTEN » (ayant une signification différente). Il y a REJET de la particule séparable « VAST » à la fin de la phrase, derrière le complément « onder water ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 2 dans « Jennifer en Phowi », le volume N°7 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 02 GEHEIM RAINY LAKE 04D - Rajouté le 06/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Op hetzelfde ogenblik dat het bevertje op de afdamming kroop, die zijn rasgenoten gebouwd hadden, wierp zijn moeder zich vóór de otter » (« Au moment même où le petit grimpait sur le barrage, que ses congénères avaient construit, sa mère se jeta devant la loutre »).
On y trouve notamment, dans une première phrase subordonnée la forme verbale « KROOP » (O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « KRUIPEN »), qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Il est à noter que « HET ogenblik » (neutre) fait que le pronom relatif introduisant la subordonnée devient « DAT », mot neutre (singulier, se terminant par « T » comme « HET »). Il est à noter que le mot « ZELFDE » s’accroche derrière le déterminant défini et s’accorde comme un adjectif.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 4 dans « Het geheim van Rainy Lake », le volume N°2 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1954-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 02 GEHEIM RAINY LAKE 04C - Rajouté le 06/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het gerucht kwam van het bevermoedertje dat, ongerust, met haar brede staart op het water sloeg » (« Le bruit venait de la (petite) mère (du petit) castor qui, inquiète, frappait avec sa large queue sur l’eau »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée la forme verbale « SLOEG » (O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « SLAAN »), qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts » ; on y trouve également le REJET de la forme verbale « SLOEG » à la fin de la phrase subordonnée, derrière les compléments.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 4 dans « Het geheim van Rainy Lake », le volume N°2 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1954-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 02 GEHEIM RAINY LAKE 04A - Rajouté le 06/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het gerucht kwam van het bevermoedertje dat, ongerust, met haar brede staart op het water sloeg » (« Le bruit venait de la (petite) mère (du petit) castor qui, inquiète, frappait avec sa large queue sur l’eau »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale la forme verbale « KWAM » (O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « KOMEN »), qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Il est à noter que le passage de « DE moeder » (féminin) à « HET moederTJE » - ou de « DE bever » (féminin) à « HET beverTJE » (diminutif neutre) - fait que le pronom relatif introduisant la subordonnée devient « DAT », mot neutre (singulier, se terminant par « T » comme « HET »).
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 4 dans « Het geheim van Rainy Lake », le volume N°2 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1954-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 02 GEHEIM RAINY LAKE 04B - Rajouté le 06/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De bever had namelijk de otter ontdekt, een van haar ergste vijanden, die langs de oever rondzwierf » (« Le castor avait en fait découvert la loutre, un de ses plus dangereux ennemis, qui rôdait le long de la rive »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée la forme verbale « RONDzwierf » (O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « ZWERVEN »), qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Il s’agit, en fait, du verbe « RONDzwerven ») et on y trouve donc également le REJET de la forme verbale « RONDzwierf » à la fin de la phrase, derrière le complément « LANGS DE OEVER », dans la subordonnée.
Rappelons aussi que les formes verbales de participes passés comme « ONTDEKT » (provenant de l’infinitif « ONTDEKKEN »), avec le préfixe « ONT- » ne commencent pas par le préfixe habituel « GE - » ; par ailleurs ce verbe est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 4 dans « Het geheim van Rainy Lake », le volume N°2 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1954-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 002 GOUDEN SPOREN 6D - Rajouté le 05/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wanneer het paard gekwetst blijkt te zijn, nodigen de schildknapen hem uit naar de hoeve te vergezellen » (« Quand le cheval semble blessé, les écuyers l’invitent à les accompagner à la ferme »).
Le verbe « UITNODIGEN » est un verbe dit « à particule séparable » et cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, le complément « HEM » s’intercalant entre eux. Par ailleurs, « UITNODIGEN » introduit ici une sorte de subordonnée et engendre un « TE » pour exprimer (en mauvais français) « inviter … DE » et ce « TE » précède (comme en français) l’infinitif « VERGEZELLEN ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « De gouden sporen », le volume N°2 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1960-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 002 GOUDEN SPOREN 6C - Rajouté le 05/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wanneer het paard gekwetst blijkt te zijn, nodigen de schildknapen hem uit naar de hoeve te vergezellen » (« Quand le cheval semble blessé, les écuyers l’invitent à les accompagner à la ferme »).
Le verbe « BLIJKEN » engendre un « TE » quand il précède un infinitif comme, ici, « ZIJN ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « De gouden sporen », le volume N°2 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1960-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 002 GOUDEN SPOREN 09B - Rajouté le 05/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij lukt er echter niet in de aandacht der (= van de) schildknapen van het meisje af te leiden » (« Il ne réussit pas vraiment à détourner l’attention des écuyers de la fille »).
Le verbe « AFLEIDEN », dit « à particule séparable », est construit sur le verbe « LEIDEN » signifiant : « mener, conduire, diriger ». Par ailleurs, « lukken IN » (équivalant ici à « réussir à ») introduit ici une sorte de subordonnée et engendre un « TE » pour exprimer (en mauvais français) « réussir … DE » et cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De gouden sporen », le volume N°2 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1960-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 002 GOUDEN SPOREN 3A - Rajouté le 05/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De ruiters geven hun paarden de sporen en stormen op elkaar in » (« Les cavaliers éperonnent leurs chevaux et se ruent l’un sur l’autre »).
On y trouve le verbe « INSTORMEN », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « STORMEN » (signifiant = « s’élancer »), la particule « IN » renforçant la force du mouvement et étant affectée par le phénomène du « REJET », à la fin de la phrase, derrière le complément.
Par ailleurs, n’oublions pas que langue néerlandaise rend de deux façons différents le « SE » (de « SE ruer ») : le pronom réfléchi « ELKAAR » est réciproque et invariable tandis que le pronom réfléchi « ZICH » est réfléchi et variable à certaines personnes.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 3 dans « De gouden sporen », le volume N°2 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1960-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 07 JENNIFER 10B - Rajouté le 04/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het is alsof hij in rook opgegaan is » (« C’est comme s’il s’est évanoui en fumée »).
On y trouve notamment, le REJET de la forme verbale « OPgegaan » (provenant de l’infinitif « OPgaan ») à la fin de la phrase, derrière le complément (ce qui est aussi le cas des participes passés aux temps composés). Le verbe « OPGAAN », dit « à particule séparable », est construit sur le verbe « GAAN » signifiant : « aller » (dont le participe passé, irrégulier, est construit sur l’infinitif => « gegaan »).
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 10 dans « Jennifer en Phowi », le volume N°7 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 07 JENNIFER 10A - Rajouté le 04/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij zwierf hier rond om de (Jennifer’s) duiven te beschermen » (« Il rôdait ici pour protéger les pigeons »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale la forme verbale « zwierf » (O.V.T. ou « prétérit » provenant de l’infinitif « ZWERVEN »), qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Il s’agit, en fait, du verbe « RONDzwerven ») et on y trouve donc également le REJET de la particule séparable « ROND » derrière le complément « HIER ». On y trouve enfin une sorte de phrase subordonnée, introduite par « OM … TE » (signifiant « POUR » devant les verbes), où le complément « (…) DUIVEN » s’intercale donc entre le « OM » et le « TE ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 10 dans « Jennifer en Phowi », le volume N°7 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 07 JENNIFER 08A - Rajouté le 04/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij heeft tijd nodig om zich aan te passen » (« Il a besoin de temps pour s’adapter »).
On y trouve le verbe « AANPASSEN », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « PASSEN » (ayant une signification différente = « aller bien / ensemble, essayer »). On y trouve également, dans une sorte de phrase subordonnée (introduite par « OM … TE », signifiant « POUR » devant les verbes), la particule « TE » intercalée entre l’infinitif proprement dit, « PASSEN », et sa « particule séparable » « AAN ». Notez aussi l’expression « NODIG hebben » = « avoir BESOIN » et le pronom personnel réfléchi « ZICH ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 8 dans « Jennifer en Phowi », le volume N°7 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 07 JENNIFER 05A - Rajouté le 04/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De moeder houdt dit voor de vader verborgen » (« La mère tient ceci caché pour le père »).
On y trouve notamment la forme verbale « verborgen » (participe passé provenant de l’infinitif « VERBERGEN »), qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Elle est utilisée comme adjectif mais cela n’empêche pas le REJET habituel à la fin de la phrase derrière le complément « VOOR DE VADER ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « Jennifer en Phowi », le volume N°7 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 002 GOUDEN SPOREN 09A - Rajouté le 03/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij lukt er echter niet in de aandacht der (= van de) schildknapen van het meisje af te leiden » (« Il ne réussit pas vraiment à détourner l’attention des écuyers de la fille »).
On y trouve le verbe « LUKKEN » et plus loin le mot invariable « IN » qui, contrairement à ce que l’on pourrait croire, N’est PAS une « particule séparable ». « IN » joue ici le rôle traditionnel d’une préposition parfois liée à un verbe : « lukken IN » équivaut ici à « réussir à ». Rappelons que l’on aurait pu trouver ici l’emploi du verbe « LUKKEN » avec la phrase alternative : « Het lukt hem echter niet de aandacht van de schildknapen van het meisje af te leiden ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De gouden sporen », le volume N°2 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1960-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 002 GOUDEN SPOREN 06B - Rajouté le 03/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wanneer het paard gekwetst blijkt te zijn, nodigen de schildknapen hem uit naar de hoeve te vergezellen » (« Quand le cheval semble blessé, les écuyers l’invitent à les accompagner à la ferme »).
On y trouve notamment la forme verbale « gekwetst » (provenant de l’infinitif « KWETSEN »). Ce verbe est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « S », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « De gouden sporen », le volume N°2 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1960-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 002 GOUDEN SPOREN 06A - Rajouté le 03/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij tracht reeds de aandacht van Veerle (het meisje) op zich te trekken » (« Il essaie déjà d’attirer l’attention de la fille »).
Le verbe « TRACHTEN » (équivalant à « essayer DE ») introduit ici une sorte de subordonnée et engendre un « TE » qui précède (comme en français) l’infinitif « TREKKEN ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « De gouden sporen », le volume N°2 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1960-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 002 GOUDEN SPOREN 01A - Rajouté le 03/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Geheel onverwacht stormt de rode ridder op hen in » (« De façon tout à fait inattendue, le chevalier rouge se rue sur eux »).
On y trouve le verbe « INSTORMEN », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « STORMEN » (signifiant = « s’élancer »), la particule « IN » renforçant la force du mouvement et étant affectée par le phénomène du « REJET », à la fin de la phrase, derrière les compléments.
Par ailleurs, « ONVERWACHT » est un adjectif contraire (en raison du préfixe « ON ») d’un participe passé d’un infinitif construit sur « VERWACHTEN », lui-même normalement construit sur « WACHTEN » (qui aurait donné « gewacht ») ; dans ce cas-ci, on ne trouve pas le préfixe « GE- », commun à une majorité de participes passés, dans la mesure où « VERWACHTEN » commence par le préfixe « VER- ».
Le sujet « de rode ridder » suit le verbe (au lieu de le précéder en français) parce que la phrase commence par un complément : c’est ce que l’on appelle une « INVERSION ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 1 dans « De gouden sporen », le volume N°2 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1960-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 07 JENNIFER 04D - Rajouté le 02/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Na hard werk worden de eerste palen voor het woonhuis opgericht » (« Après un dur travail, les premiers piliers pour l’habitation sont dressés »).
On y trouve notamment, le REJET de la forme verbale « OPgericht » (provenant de l’infinitif « OPRICHTEN ») à la fin de la phrase, derrière les compléments (ce qui est aussi le cas des participes passés aux temps composés). Le verbe « OPRICHTEN », dit « à particule séparable », est construit sur le verbe « RICHTEN » signifiant : « aligner, diriger ». Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ». Enfin, étant donné qu’elle commence par un complément « Na hard werk », il y a le phénomène d’INVERSION, passage du sujet « de eerste palen » derrière la forme verbale « worden ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 4 dans « Jennifer en Phowi », le volume N°7 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 07 JENNIFER 04C - Rajouté le 02/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zeg die kerels op te hoepelen » (« Dis à ces gars de déguerpir »).
On y trouve le verbe « OPHOEPELEN », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « HOEPELEN » (ayant une signification fort différente = « jouer au cerceau »). Par ailleurs, « ZEGGEN », introduisant souvent une subordonnée avec « DAT », engendre ici un « TE » pour exprimer « DIRE … DE » et cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 4 dans « Jennifer en Phowi », le volume N°7 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 07 JENNIFER 04B - Rajouté le 02/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De indianen groeten de blanken die de prairie tot woonplaats gekozen hebben » (« Les indiens saluent les blancs qui ont choisi la prairie comme lieu d’habitation »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée (introduite par « DIE »), le REJET de la forme verbale « gekozen » (provenant de l’infinitif « KIEZEN ») à la fin de la phrase, derrière les compléments.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 4 dans « Jennifer en Phowi », le volume N°7 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 07 JENNIFER 04A - Rajouté le 02/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Bomen worden gekapt » (« Des arbres sont coupés »).
On y trouve notamment la forme verbale « gekapt » (provenant de l’infinitif « KAPPEN »). Ce verbe est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « P », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire). Cette phrase est aussi à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 4 dans « Jennifer en Phowi », le volume N°7 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1977-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY PIONIERS 11D - Rajouté le 01/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Met spijt stelt hij vast dat het pantser van het diertje geen kwetsbare plekken vertoont » (« Avec regret, il constate que la protection du petit animal ne présente pas d’endroits vulnérables »). On y trouve le verbe « VASTSTELLEN », dit « à particule séparable ». On y trouve également, dans la phrase subordonnée (introduite par « DAT »), le REJET de la forme verbale « vertoont » (provenant de l’infinitif « VERTONEN ») à la fin de la phrase, derrière les compléments.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « De pioniers », le volume N°1 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1952-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY PIONIERS 11C - Rajouté le 01/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij begint voorzichtig rond zijn prooi te draaien » (« Il commence prudemment à tourner autour de sa proie »). On y trouve le verbe « RONDDRAAIEN », dit « à particule séparable ». On y trouve également le verbe « BEGINNEN » qui, lorsqu’il est suivi d’un infinitif, exige la particule « TE ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « De pioniers », le volume N°1 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1952-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY PIONIERS 11B - Rajouté le 01/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Geduldig zet hij zich naast het stekelvarken neer om het gunstige ogenblik af te wachten » (« Il s’installe patiemment près du porc-épic pour attendre le moment favorable »). On y trouve les verbes « NEERZETTEN » et « AFWACHTEN », dits « à particule séparable ». On y trouve également, dans une sorte de phrase subordonnée (introduite par « OM … TE », signifiant « POUR » devant les verbes), la particule « TE » intercalée entre l’infinitif « WACHTEN » et sa « particule séparable » « AF », avec son REJET à la fin de la phrase, derrière le complément, tout comme la « particule séparable » « NEER » dans la phrase principale.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « De pioniers », le volume N°1 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1952-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 001 PIONIERS 11A - Rajouté le 01/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De nieuw aangekomene is een grijze lynx die het verdedigingssysteem van het stekelvarken goed kent » (« Le nouveau-venu est un lynx gris qui connaît bien le système de protection du porc-épic »).
On y trouve notamment, dans la phrase subordonnée (introduite par « DIE »), le REJET de la forme verbale « kent » (provenant de l’infinitif « KENNEN ») à la fin de la phrase, derrière les compléments.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « De pioniers », le volume N°1 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1952-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

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