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Nom : 110 DHAENENS VERLEDEN 10 MILJOEN BELGEN - Rajouté le 06/08/2011

Description : La S.V. belge ARTIS-HISTORIA S.C. a, parmi beaucoup d’autres publications de qualité, édité des « Bibliocassettes ». Celles, intitulées « Un passé pour 10 millions de Belges – Vies quotidiennes / Een verleden voor 10 miljoen Belgen – Dagelijks leven », conçues et dirigées par le Professeur Albert d’HAENENS (Directeur, en 1980, du Centre de Recherches sur la Communication en Histoire de l’UCL) contenaient notamment (à côté d’une fiche recto-verso de texte) une fiche en couleurs. L’illustration N°110, accompagnée d’une légende bilingue, était relative à : « L’administration provinciale / de provinciale administratie ».
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 39 NOODLOTTIGE TOCHT 31A - Rajouté le 05/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij heeft veel geleden » (« Il a beaucoup souffert »).
On y trouve la forme verbale « GELEDEN », participe passé provenant de l’infinitif « LIJDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« VEEL »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 31 dans « De noodlottige tocht », le volume N°39 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 39 NOODLOTTIGE TOCHT 25A - Rajouté le 05/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De nestjes hebben hun opening naar het zuiden om ‘s middags de zonnestralen op te vangen » (« Les petits nids ont leur ouverture vers le sud pour à l’heure du midi capter les rayons de soleil »).
On y trouve notamment le verbe « OPvangen », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « VANGEN » (ayant une signification différente). Cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit. avec le « TE » qui s’intercale entre eux.
On y trouve en effet, dans une sorte de phrase subordonnée introduite par « OM … TE » (signifiant « POUR » devant les verbes), les compléments (« ‘s middags » et « de zonnestralen») intercalés entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « VANGEN ».
Les complément circonstanciel de temps « ‘S middags » est une forme ancienne (mais fort utilisée dans la langue parlée) qui correspond à « IN DE middag » ou « VANmiddag ».
N’oublions pas que si l’on transforme un « DE-woord » (« DE brug ») en diminutif – pour ce faire, on rajoute la terminaison « -JE » –, il devient un « HET-woord » : (DE) brug + « JE » => « HET brugJE ». Ce n’est pas le cas de « NEST », qui est déjà un « HET-woord » : « HET nest ». Rappelons que le pluriel des diminutifs est toujours en « S » puisque leur singulier se termine par « E » : « HET nestJE » => « DE nestjeS ». (Pour complément d’informations, consultez notamment « Le pluriel des noms », II, dans la partie « GRAMMATICA » de ce site.)
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 25 dans « De noodlottige tocht », le volume N°39 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 39 NOODLOTTIGE TOCHT 11A - Rajouté le 05/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij besproeit er zijn vijanden mee » (« Il en asperge ses ennemis = Il asperge ses ennemis avec »).
On y trouve notamment un adverbe pronominal personnel « séparé » (car séparable ) : « ER … MEE ». On aurait pu trouver les variantes suivantes : « Hij besproeit zijn vijanden ERmee », « Hij besproeit zijn vijanden DAARmee » ; « Hij besproeit DAAR zijn vijanden mee».
Si l’on parle d’adverbe pronominal, c’est parce que sa partie « PRO-nom » remplace le nom commun « VOCHT ». On aurait pu avoir la variante : « Hij besproeit zijn vijanden MET het vocht ». Donc « erMEE » remplace bien « MET het vocht ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 11 dans « De noodlottige tocht », le volume N°39 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 39 NOODLOTTIGE TOCHT 09A - Rajouté le 05/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De andere vogel vliegt ermee weg » (« L’autre oiseau s’envole avec »).
On y trouve notamment la forme verbale « vliegt … WEG », provenant de l’infinitif « wegVLIEGEN », verbe dit « à particule séparable », lui-même construit sur « VLIEGEN » (qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts »).
Quand « WEGvliegen » est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « WEG » de son infinitif proprement dit, et le REJET de cette particule, derrière le(s) complément(s) (ici « ERMEE ») à la fin de la phrase.
On y trouve aussi un adverbe pronominal personnel : « ERMEE ». On aurait pu trouver la variante suivante : « De andere vogel vliegt DAARmee weg » puisque « ER » provient de « DAAR ». N’oublions pas que « MEE » vient, lui, de la préposition « MET ». Si l’on parle d’adverbe pronominal, c’est parce que sa partie « PRO-nom » remplace le nom commun « BEEN » (ici « OS »), présent dans les trois premières images. On aurait, sans verbe « à particule séparable », pu avoir la variante : « De andere vogel vliegt MET het been weg ». Donc « erMEE » remplace bien « MET het been ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De noodlottige tocht », le volume N°39 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1964-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : GESCHIEDENIS WERELD SCHOONJANS FUNCKEN 221 - Rajouté le 05/08/2011

Description : Cette invitation à la découverte de l’« Histoire du Monde » (1955-1962) par Jean SCHOONJANS (1897-1976) pour les Editions du Lombard ne correspond peut-être plus aux critères actuels d’approche pédagogique de l’Histoire mais, grâce aux talents d’illustration de Fred et Liliane FUNCKEN, elle reste inoubliable pour ceux qui ont eu la chance de la connaître alors.
La version néerlandophone, « Geschiedenis van de Wereld », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
La planche N°221 est parue dans le N°1 de l’hebdomadaire « KUIFJE » du 7 janvier 1960. Elle concernait les Temps Modernes, s’intitulait « Polen rond 1764 » (« La Pologne vers 1764 ») et se subdivisait en : « Twee klassen » (« Deux classes»), « De magnaten » (« Les magnats »), « De koning » (« Le roi »), « De Grondwet » (« La Constitution »), et « De vrijheid » (« La liberté »).
Jean SCHOONJANS se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer culturellement.
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : 109 VERLEDEN 10 MILJOEN BELGEN - Rajouté le 05/08/2011

Description : La S.V. belge ARTIS-HISTORIA S.C. a, parmi beaucoup d’autres publications de qualité, édité des « Bibliocassettes ». Celles, intitulées « Un passé pour 10 millions de Belges – Vies quotidiennes / Een verleden voor 10 miljoen Belgen – Dagelijks leven », conçues et dirigées par le Professeur Albert d’HAENENS (Directeur, en 1980, du Centre de Recherches sur la Communication en Histoire de l’UCL) contenaient notamment (à côté d’une fiche recto-verso de texte) une fiche en couleurs. L’illustration N°109, accompagnée d’une légende bilingue, était relative à : « L’administration centrale / de centrale administratie ».
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 010 STORM OVER DAMME 34A - Rajouté le 04/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Gentenaren ontsnapten te Damme aan de omsingeling en ontkwamen naar Gent » (« Des Gantois échappèrent à Damme à l’encerclement et s’échappèrent à Gand »).
On y trouve deux verbes qui, en français, ont presque la même signification.
On y trouve notamment la forme verbale « ONTkwamen », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « ONTkomen » (verbe NON séparable, rarement utilisé), lui-même construit sur l’infinitif « KOMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve aussi la forme verbale « ONTsnapt », ici à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant de l’infinitif « ONTsnappen » (verbe NON séparable, plus souvent utilisé), lui-même construit sur l’infinitif « SNAPPEN» (ayant une autre signification). Il aurait été écrit de la même façon aux temps composés comme le V.T.T. En effet, les formes verbales de participes passés comme « ONTsnapt » (provenant de l’infinitif « ONTSNAPPEN »), avec le préfixe « ONT- » (NON séparable) ne commencent pas par le préfixe habituel « GE - » ; par ailleurs ce verbe est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « P », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite d’un montage par nos soins des pages 33 et 34 dans « Storm over Damme », le volume N°10 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 010 STORM OVER DAMME 30A - Rajouté le 04/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « (Op) de volgende dag, wordt (er) op de wallen van Damme vreselijk gestreden » (« Le jour suivant, on lutta formidablement sur les remparts de Damme »).
On y trouve notamment la forme verbale « gestreden », participe passé provenant de l’infinitif « STRIJDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (ici « op de wallen van Damme » et « vreselijk »), à la fin de la phrase.
Si un francophone veut identifier le SUJET de cette phrase, elle est très déroutante pour lui parce que certains de ses points de repère sont en fait sous-entendus.
Il ne doit, tout d’abord, pas tomber dans le piège de « De volgende dag ». Il s’agit bel et bien d’un complément circonstanciel de temps et il aurait dû être introduit par la préposition « OP ». Il ne s’agit donc, en aucun cas, du SUJET.
La phrase commençant par un complément, il doit y avoir INVERSION et le sujet devrait se trouver derrière le verbe « WORDT » mais il n’y est pas. On se trouve dans une tournure comme « IL Y A » (en principe « ER IS » mais, en raison de l’INVERSION, « IS ER »). Le SUJET est donc un « ER » sous-entendu.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 30 dans « Storm over Damme », le volume N°10 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 010 STORM OVER DAMME 28A - Rajouté le 04/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij trekt de uniform van de Fransman over zijn eigene uitrusting aan » (« Il met l’uniforme du Français sur son propre équipement »).
On y trouve notamment la forme verbale « trekt … AAN », construite sur l’infinitif « AANtrekken », lui-même construit sur le verbe « TREKKEN » (ayant une signification différente).
Ce verbe « AANtrekken » est dit « à particule séparable » ; quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule étant affectée par un REJET, derrière les 3 (trois) compléments, à la fin de la phrase.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 28 dans « Storm over Damme », le volume N°10 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 010 STORM OVER DAMME 15A - Rajouté le 04/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik weet dat de Fransen onmeedogend tegen de bevolking van Damme optraden » (« Je sais que les Français se comportèrent impitoyablement à l’égard de la population de Damme »).
On y trouve notamment la forme verbale « OPtraden », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « OPtreden », lui-même construit sur l’infinitif « TREDEN » (ayant une autre signification), qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite d’un montage par nos soins des pages 14 et 15 dans « Storm over Damme », le volume N°10 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : GESCHIEDENIS WERELD SCHOONJANS FUNCKEN 220 - Rajouté le 04/08/2011

Description : Cette invitation à la découverte de l’« Histoire du Monde » (1955-1962) par Jean SCHOONJANS (1897-1976) pour les Editions du Lombard ne correspond peut-être plus aux critères actuels d’approche pédagogique de l’Histoire mais, grâce aux talents d’illustration de Fred et Liliane FUNCKEN, elle reste inoubliable pour ceux qui ont eu la chance de la connaître alors.
La version néerlandophone, « Geschiedenis van de Wereld », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
La planche N°220 est parue dans le N°52 de l’hebdomadaire « KUIFJE » du 31 décembre 1959. Elle concernait les Temps Modernes, s’intitulait « Catharina II » (« Catherine II ») et se subdivisait en : « Een prinsesje in 1763 » (« Une petite princesse en 1763 »), « Ik ben een brave vrouw » (« Je suis une bonne femme »), « Een verlichte geest » (« Un esprit éclairé »), « Geluk voor iedereen » (« Bonheur pour chacun »), et « Groot-Rusland » (« Grande-Russie »).
Jean SCHOONJANS se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer culturellement.
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : 108 DHAENENS VERLEDEN 10 MILJOEN BELGEN - Rajouté le 04/08/2011

Description : La S.V. belge ARTIS-HISTORIA S.C. a, parmi beaucoup d’autres publications de qualité, édité des « Bibliocassettes ». Celles, intitulées « Un passé pour 10 millions de Belges – Vies quotidiennes / Een verleden voor 10 miljoen Belgen – Dagelijks leven », conçues et dirigées par le Professeur Albert d’HAENENS (Directeur, en 1980, du Centre de Recherches sur la Communication en Histoire de l’UCL) contenaient notamment (à côté d’une fiche recto-verso de texte) une fiche en couleurs. L’illustration N°108, accompagnée d’une légende bilingue, était relative à : « Le système électoral / Het kiesstelsel ».
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 05 ZWARTE MUSTANG 13A - Rajouté le 03/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Kijk wat ik bij de bron gevonden heb (gevonden) ! » (« Regarde ce que j’ai trouvé près de la source ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEVONDEN », participe passé provenant de l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Cette forme verbale est construite sur LE PLURIEL de son prétérit. (Pour complément d’informations, consultez notamment notre tableau de synthèse « Temps primitifs » dans la partie « GRAMMATICA » de ce site.)
Ce participe passé « GEVONDEN » fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« bij de bron »), à la fin de la phrase subordonnée.
« WAT » est, dans ce cas-ci, une conjonction de subordination introduisant, comme « DAT », une phrase subordonnée relative. N’oublions pas « DAT » et « WAT » sont apparentés : à une question « WAT kijk je ? », la réponse pourrait être « Ik kijk DAT ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 13 dans « De Zwarte mustang », le volume N°5 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1963-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 05 ZWARTE MUSTANG 10B 31A - Rajouté le 03/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij overleefde zijn val doch hield zich uit angst verborgen » (« Il survécut à sa chute mais se cachait par peur »).
On y trouve notamment la forme verbale « HIELD », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « HOUDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve aussi la forme verbale « OVERleefde », provenant de l’infinitif « OVERleven », lui-même construit sur le verbe « LEVEN ». « OVERleven » n’est PAS à « particule séparable ».
Ce verbe « LEVEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « F », on trouvera, bien sûr, le « D » majoritaire.
N’oublions pas que, par exemple, lors du passage de l’infinitif vers le radical (première personne du singulier de l’indicatif présent), quand on enlève la terminaison « EN » (« LEVEN » - « EN » = « LEV »), le « V » (non suivi de « E ») se transforme en « F ». La présence du deuxième « E » (ik « LEEF ») s’explique par le son « é » que l’on entend quand on écoute l’infinitif et, de ce fait, il se concrétise par « EE » au SINGULIER. (Pour complément d’informations, consultez notamment « Le radical des verbes » dans la partie « GRAMMATICA » de ce site.)
Rappelons encore que bon nombre de noms communs au singulier (leur pluriel étant souvent l’infinitif) sont construits sur ce même radical : « ik VAL » (< « VALLEN ») donne « (DE) VAL » (au pluriel « DE VALLEN »).
On y trouve enfin la forme verbale « verborgen » (participe passé provenant de l’infinitif « VERBERGEN »), qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 10 et 31 dans « De Zwarte mustang », le volume N°5 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1963-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 05 ZWARTE MUSTANG 10A - Rajouté le 03/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De kogel trof hem in de voet » (« La balle le toucha au pied »).
On y trouve notamment la forme verbale « TROF », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « TREFFEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Dans l’image suivante, on trouve aussi la forme verbale « GETROFFEN », participe passé provenant de ce même infinitif « TREFFEN » et construite sur LE PLURIEL de son prétérit. (Pour complément d’informations, consultez notamment notre tableau de synthèse « Temps primitifs » dans la partie « GRAMMATICA » de ce site.)
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 10 dans « De Zwarte mustang », le volume N°5 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1963-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 05 ZWARTE MUSTANG 03A - Rajouté le 03/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een jonge Indiaan (…) greep de arend bij een poot » (« Un jeune Indien saisit l’aigle par une patte »).
On y trouve notamment la forme verbale « GREEP », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « GRIJPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 3 dans « De Zwarte mustang », le volume N°5 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1963-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : GESCHIEDENIS WERELD SCHOONJANS FUNCKEN 219 - Rajouté le 03/08/2011

Description : Cette invitation à la découverte de l’« Histoire du Monde » (1955-1962) par Jean SCHOONJANS (1897-1976) pour les Editions du Lombard ne correspond peut-être plus aux critères actuels d’approche pédagogique de l’Histoire mais, grâce aux talents d’illustration de Fred et Liliane FUNCKEN, elle reste inoubliable pour ceux qui ont eu la chance de la connaître alors.
La version néerlandophone, « Geschiedenis van de Wereld », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
La planche N°219 est parue dans le N°51 de l’hebdomadaire « KUIFJE » du 24 décembre 1959. Elle concernait les Temps Modernes, s’intitulait « Schaakmat in 1763 » (« Echec et mat en 1763 ») et se subdivisait en : « Het familiepakt van de Bourbons in 1761» (« Le pacte de famille des Bourbons en 1761 »), «Frederik II in 1759 te Künersdorf verslagen » (« Frédéric II battu en 1759 à Künersdorf »), « De verdragen van 1763 » (« Les traités de 1763 »), « Corsica in 1768 » (« La Corse en 1768 »), et « Het droevige einde van Lodewijk XV in 1774 » («La triste fin de Louis XV en 1774 »).
Jean SCHOONJANS se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer culturellement.
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : 107 DHAENENS VERLEDEN 10 MILJOEN BELGEN - Rajouté le 03/08/2011

Description : La S.V. belge ARTIS-HISTORIA S.C. a, parmi beaucoup d’autres publications de qualité, édité des « Bibliocassettes ». Celles, intitulées « Un passé pour 10 millions de Belges – Vies quotidiennes / Een verleden voor 10 miljoen Belgen – Dagelijks leven », conçues et dirigées par le Professeur Albert d’HAENENS (Directeur, en 1980, du Centre de Recherches sur la Communication en Histoire de l’UCL) contenaient notamment (à côté d’une fiche recto-verso de texte) une fiche en couleurs. L’illustration N°107, accompagnée d’une légende bilingue, était relative à : « Le pouvoir judiciaire / De rechterlijke macht ».
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 15 WRAAK TECONTAS 31A - Rajouté le 02/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Met de twee bandieten op hun paard vastgebonden, wordt de kleine groep naar het dorp gebracht » (« Avec les deux bandits ligotés sur leur cheval, le petit groupe est apporté vers le village »).
On y trouve notamment la forme verbale « VASTgebonden », participe passé de l’infinitif « VASTBINDEN », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « BINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Le participe passé est ici utilisé comme adjectif mais on aurait pu avoir la phrase : « De twee bandieten die op hun paard zijn (worden) vastgebonden ».
Quand « vastBINDEN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « VAST » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « vastGEbonden ».
On y trouve aussi la forme verbale « geBRACHT », participe passé provenant de l’infinitif « BRENGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Le participe passé « geBRACHT » fait, lui, l’objet d’un REJET (derrière, notamment, le complément « naar het dorp ») à la fin de la phrase.
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 31 dans « De wraak der (van de) Tecontas », le volume N°15 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1957-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 15 WRAAK TECONTAS 14A - Rajouté le 02/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Opgejaagd door de zweepslagen en het geblaf, trekken de paarden uit alle macht » (« Harcelés par les coups de fouet et les aboiements, les chevaux tirent de toutes leurs forces »).
On y trouve la forme verbale « OPgejaagd », participe passé provenant de l’infinitif « OPjagen », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « JAGEN » (ayant une signification différente), qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts » (du moins au prétérit).
Mais ce verbe « JAGEN » est, au participe passé, considéré comme « régulier » et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « G », on trouvera, bien sûr, le « D » majoritaire : « GE » + « JAAG » + « D » => « GEjaagD ».
Quand « « OPjagen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEjaagD ».
Le participe passé est ici utilisé comme adjectif mais on aurait pu avoir la phrase : « De paarden, die door de zweepslagen en het geblaf worden opgejaagd, trekken uit alle macht ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 14 dans « De wraak der (van de) Tecontas », le volume N°15 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1957-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 15 WRAAK TECONTAS 09L - Rajouté le 02/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb besloten niet terug naar de stad te gaan, alvorens hun spoor teruggevonden te hebben » (« J’ai décidé de ne pas retourner (= aller de retour) en ville, avant d’avoir retrouvé leur trace »).
On y trouve notamment la forme verbale « BESLOTEN », participe passé provenant de l’infinitif « BESLUITEN », lui-même conjugué sur le verbe « SLUITEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
On y trouve le verbe « TERUGgaan », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « gaan ». il évolue dans une sorte de phrase subordonnée « infinitive », introduite par « BESLUITEN » (« (…) que je ne retournerais pas »), engendrant une particule « TE » intercalée entre l’infinitif proprement dit, « GAAN », et sa « particule séparable » « TERUG » (rendant la notion de RETOUR).
On y trouve enfin la forme verbale « TERUGgeVONDEN », participe passé provenant de l’infinitif « terugVINDEN », lui-même construit sur « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « terugVINDEN » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « TERUG » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « terugGEvonden ».
La « particule séparable » « TERUG » rend ici plutôt une notion de REPETITION.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De wraak der (van de) Tecontas », le volume N°15 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1957-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 15 WRAAK TECONTAS 09K - Rajouté le 02/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb opgemerkt dat de Indianen vooral trachtten gevangenen te maken, die ze dan meenamen » (« J’ai remarqué que les Indiens essayaient surtout de faire des prisonniers, qu’ils emmenaient (= prenaient avec) alors »).
On y trouve notamment la forme verbale « OPgemerkt » provenant de l’infinitif « OPmerken », lui-même construit sur le verbe « MERKEN ».
Ce verbe « MERKEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Quand il est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEmerkt ».
Le verbe « TRACHTEN » (équivalant à « essayer DE ») introduit ici une sorte de subordonnée et engendre un « TE » qui précède (comme en français) l’infinitif « MAKEN ».
Ce verbe « TRACHTEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « T », on trouvera un deuxième « T » (au lieu du « D » majoritaire) à l’ O.V.T. (ou prétérit) : « tracht » + « TE » => « trachtTE ».
On y trouve encore la forme verbale « MEEnamen », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « MEEnemen », lui-même construit sur le verbe « NEMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Cet infinitif « meeNEMEN » est dit « à particule séparable », la particule « MEE » provenant de la préposition « MET ».
Enfin la forme verbale « GEvangen », participe passé provenant de l’infinitif « VANGEN » (qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ») est utilisé comme NOM COMMUN, donc VARIABLE : « gevangen » + « EN » (terminaison PLURIEL » => « gevangenEN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De wraak der (van de) Tecontas », le volume N°15 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1957-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : GESCHIEDENIS WERELD SCHOONJANS FUNCKEN 218 - Rajouté le 02/08/2011

Description : Cette invitation à la découverte de l’« Histoire du Monde » (1955-1962) par Jean SCHOONJANS (1897-1976) pour les Editions du Lombard ne correspond peut-être plus aux critères actuels d’approche pédagogique de l’Histoire mais, grâce aux talents d’illustration de Fred et Liliane FUNCKEN, elle reste inoubliable pour ceux qui ont eu la chance de la connaître alors.
La version néerlandophone, « Geschiedenis van de Wereld », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
La planche N°218 est parue dans le N°50 de l’hebdomadaire « KUIFJE » du 17 décembre 1959. Elle concernait les Temps Modernes, s’intitulait « De Zevenjarige Oorlog » (« La Guerre de Sept ans ») et se subdivisait en : « Het regiment van Auvergne op 15 oktober 1760 » (« Le régiment d’Auvergne le 15 octobre 1760 »), « Montcalm in Canada in 1758 » (« Montcalm au Canada en 1758 »), « Lally-Tollendal, gouverneur van Indië, in 1766 » ( « Lally-Tollendal, gouverneur des Indes, en 1766 »), « Engeland triomfeerde overal op zee in 1759 » (« L’Angleterre triomphait partout sur mer en 1759 »), et « Alles verloren voor Lodewijk XV en Maria-Therezia ? » («Tout est-il perdu pour Louis XV et Marie-Thérèse ? »).
Jean SCHOONJANS se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer culturellement.
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : 106 DHAENENS VERLEDEN 10 MILJOEN BELGEN - Rajouté le 02/08/2011

Description : La S.V. belge ARTIS-HISTORIA S.C. a, parmi beaucoup d’autres publications de qualité, édité des « Bibliocassettes ». Celles, intitulées « Un passé pour 10 millions de Belges – Vies quotidiennes / Een verleden voor 10 miljoen Belgen – Dagelijks leven », conçues et dirigées par le Professeur Albert d’HAENENS (Directeur, en 1980, du Centre de Recherches sur la Communication en Histoire de l’UCL) contenaient notamment (à côté d’une fiche recto-verso de texte) une fiche en couleurs. L’illustration N°106, accompagnée d’une légende bilingue, était relative à : « Le pouvoir exécutif / De uitvoerende macht ».
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : GESCHIEDENIS WERELD SCHOONJANS FUNCKEN 217 - Rajouté le 02/08/2011

Description : Cette invitation à la découverte de l’« Histoire du Monde » (1955-1962) par Jean SCHOONJANS (1897-1976) pour les Editions du Lombard ne correspond peut-être plus aux critères actuels d’approche pédagogique de l’Histoire mais, grâce aux talents d’illustration de Fred et Liliane FUNCKEN, elle reste inoubliable pour ceux qui ont eu la chance de la connaître alors.
La version néerlandophone, « Geschiedenis van de Wereld », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
La planche N°217 est parue dans le N°49 de l’hebdomadaire « KUIFJE » du 10 décembre 1959. Elle concernait les Temps Modernes, s’intitulait « Versailles tegen White-Hall » («Versailles contre White-Hall ») et se subdivisait en : « De groentjes op 18 juni 1757 te Kollin : Vlamingen in het Oostenrijkse leger tegen de Pruisen » (« Les blancs-becs le 18 juin 1757 à Kollin : des Flamands dans l’armée autrichienne contre les Prussiens »), « Een nieuwe standaard, die Maria- Therezia eigenhandig borduurde : wie er aan raakt, wordt gestoken » (« Un nouvel étendard, que Marie-Thérèse broda de sa propre main : qui s’y frotte, s’y pique »), « Een zware nederlaag van de Engelsen te Klosterseven in Hannover » («Une lourde défaite des Anglais à Klosterseven dans le Hannovre »), « De Engelse admiraal John Byng werd op het dek van zijn schip gefusilleerd » (« L’amiral anglais Klosterseven dans le Hannovre »), « De Engelse admiraal John Byng fusillé sur le pont de son navire ») et « Frederik II wint tegen de Fransen te Rossbach in november 1757 » (« Frédéric II gagne contre les Français à Rossbach en novembre 1757 »).
Jean SCHOONJANS se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer culturellement.
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 010 STORM OVER DAMME 10A - Rajouté le 01/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « U schijnt de gewoonte niet verloren te hebben in onze sloten een bad te nemen » (« Vous semblez n’avoir pas perdu l’habitude de prendre un bain dans nos fossés »).
On y trouve notamment la forme verbale « VERLOREN », participe passé provenant de l’infinitif « VERLIEZEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « de gewoonte »), à la fin de la phrase car on aurait pu trouver : « U schijnt de gewoonte niet te hebben verloren (…) ».
Signalons que le verbe « SCHIJNEN » engendre un « TE » quand il précède un infinitif comme, ici, « HEBBEN ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 10 dans « Storm over Damme », le volume N°10 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 010 STORM OVER DAMME 9B - Rajouté le 01/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze (de Fransen) ondervinden vlug dat hij (de rode ridder) zijn stelling goed (heeft) gekozen heeft » (« Ils se rendent compte rapidement qu’il a bien choisi sa position »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEKOZEN », participe passé provenant de l’infinitif « KIEZEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (ici « zijn stelling» et « goed »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas non plus que, dans une proposition subordonnée (ici, relative, introduite par « DAT »), le verbe (forme verbale complète, donc aussi l’auxiliaire dans un temps composé : ici, « heeft ») est séparé du sujet (« hij »).
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « Storm over Damme », le volume N°10 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 010 STORM OVER DAMME 09A - Rajouté le 01/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wanneer de achtervolgers ter plaatse komen, heeft hij (Johan) de helft van het brugje opgebroken » (« Quand les poursuivants arrivent sur place, il a démonté la moitié du petit pont »).
On y trouve notamment la forme verbale « OPgebroken », participe passé provenant de l’infinitif « OPbreken », lui-même construit sur l’infinitif « BREKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « OPbreken » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEbroken ».
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (ici « de helft » et « van het brugje »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que si l’on transforme un « DE-woord » (« DE brug ») en diminutif – pour ce faire, on rajoute la terminaison « -JE » –, il devient un « HET-woord » : (DE) brug + « JE » => « HET brugJE ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite d’un montage par nos soins des pages 8 et 9 dans « Storm over Damme », le volume N°10 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 010 STORM OVER DAMME 08B - Rajouté le 01/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik daag u uit ons achterna te komen (lopen) » (« Je vous défie (mets au défi) de nous poursuivre »).
On y trouve notamment la forme verbale « daag UIT », construite sur l’infinitif « UITdagen », lui-même construit sur le verbe « DAGEN » (ayant une signification différente).
Ce verbe « UITdagen » est dit « à particule séparable » ; quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit, la particule étant affectée par un REJET, derrière le complément (ici, « U »), à la fin de la phrase.
Tout comme l’expression « défier DE » en français, « UITdagen » en néerlandais engendre l’équivalent, un « TE » quand il précède un infinitif comme, ici, « KOMEN »
« ACHTERNAkomen » est donc un verbe à « particule séparable » puisque le « TE » s’intercale entre la particule « ACHTERNA » et l’infinitif « KOMEN » proprement dit. Il est à noter que ce verbe, officiellement, n’existe pas : on dira plutôt « achternaLOPEN », qui est un verbe à « particule séparable ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 8 dans « Storm over Damme », le volume N°10 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 10 STORM OVER DAMME 08A - Rajouté le 01/08/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze (Rogier van Ghistelles en zijn officieren) zijn zo verrast dat zij hem (de Rode ridder) ongehinderd laten begaan » (« Ils sont tellement surpris qu’ils le laissent agir sans faire obstacle »).
On y trouve notamment, la forme verbale « VERRAST », participe passé provenant de l’infinitif « VERRASSEN », qui NE fait PAS partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce verbe « VERRASSEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « S », on trouvera au participe passé un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
On y trouve aussi, la forme verbale « ONgehinderd », provenant à l’origine de l’infinitif « HINDEREN ».
Ce verbe « HINDEREN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « R », on trouvera au participe passé le « D » majoritaire.
« HINDEREN » signifie notamment « faire obstacle à ». Si on veut rendre la notion CONTRAIRE en néerlandais, on placera le préfixe « ON- » devant le participe passé => « ONgehinderd ». En un mot, on rend ainsi l’équivalent d’une phrase comme : « Zij laten hem begaan ZONDER hem TE HINDEREN », solution qui est par ailleurs plus compliquée.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite d’un montage par nos soins des pages 7 et 8 dans « Storm over Damme », le volume N°10 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : 105 DHAENENS VERLEDEN 10 MILJOEN BELGEN - Rajouté le 01/08/2011

Description : La S.V. belge ARTIS-HISTORIA S.C. a, parmi beaucoup d’autres publications de qualité, édité des « Bibliocassettes ». Celles, intitulées « Un passé pour 10 millions de Belges – Vies quotidiennes / Een verleden voor 10 miljoen Belgen – Dagelijks leven », conçues et dirigées par le Professeur Albert d’HAENENS (Directeur, en 1980, du Centre de Recherches sur la Communication en Histoire de l’UCL) contenaient notamment (à côté d’une fiche recto-verso de texte) une fiche en couleurs. L’illustration N°105, accompagnée d’une légende bilingue, était relative à : « Le pouvoir législatif / De wetgevende macht ».
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 04 PELSJAGERS 21A - Rajouté le 31/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een weinig later vliegt de barricade de lucht in » (« Un peu plus tard, la barricade vole en l’air »).
On y trouve notamment la forme verbale « vliegt … IN », provenant de l’infinitif « INvliegen », lui-même construit sur l’infinitif « VLIEGEN » (qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts »).
Le verbe « INvliegen » est dit « à particule séparable ». Quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « IN » (ancienne préposition), qui fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (ici « de barricade » et « de lucht »), à la fin de la phrase. On aurait pu imaginer la phrase : « Een weinig later vliegt de barricade IN de lucht ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Een weinig later »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de barricade ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « vliegt ») et passant donc derrière lui.
Au lieu de « Een weinig later », on aurait pu trouver (« Even later »).
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 21 dans « De pelsjagers », le volume N°4 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1963-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 04 PELSJAGERS 20A - Rajouté le 31/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een vruchtbare vallei geheel ingesloten door loodrechte rotswanden » (« Une vallée fertile complètement enfermée / enclavée par des parois rocheuses / falaises à pic »).
On y trouve notamment la forme verbale « INgesloten », participe passé provenant de l’infinitif « INsluiten », lui-même construit sur l’infinitif « SLUITEN », affecté par les « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Ce verbe « INsluiten » est aussi dit « à particule séparable » ; quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « IN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « inGEsloten ».
Ce participe passé « INgesloten » est, ici, utilisé comme adjectif « attribut », dans la mesure où on pourrait considérer qu’il aurait pu faire partie d’une phrase subordonnée (relative) à la voie passive : « (Dat is) een vruchtbare vallei, DIE geheel door loodrechte rotswanden WORDT ingesloten ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De pelsjagers », le volume N°4 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1963-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 04 PELSJAGERS 09A - Rajouté le 31/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een vruchtbare vallei geheel ingesloten door loodrechte rotswanden » (« Une vallée fertile complètement enfermée / enclavée par des parois rocheuses / falaises à pic »).
On y trouve notamment la forme verbale « INgesloten », participe passé provenant de l’infinitif « INsluiten », lui-même construit sur l’infinitif « SLUITEN », affecté par les « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Ce verbe « INsluiten » est aussi dit « à particule séparable » ; quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « IN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « inGEsloten ».
Ce participe passé « INgesloten » est, ici, utilisé comme adjectif « attribut », dans la mesure où on pourrait considérer qu’il aurait pu faire partie d’une phrase subordonnée (relative) à la voie passive : « (Dat is) een vruchtbare vallei, DIE geheel door loodrechte rotswanden WORDT ingesloten ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De pelsjagers », le volume N°4 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1963-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 04 PELSJAGERS 07A - Rajouté le 31/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij wordt onverhoeds neergeslagen » (« Il est assommé à l’improviste »).
On y trouve notamment la forme verbale « NEERgeslagen », provenant de l’infinitif « NEERslaan », lui-même construit sur l’infinitif « SLAAN », affecté par les « temps primitifs ». Ce verbe «NEERslaan » est aussi dit « à particule séparable » ; quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « NEER » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « neerGEslagen ».
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
Aux temps composés, « NEERgeslagen », équivalent d’un participe passé, fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « ONVERHOEDS »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que la forme verbale « wordT », troisième personne du singulier de l’O.T.T. ou indicatif présent, doit se terminer par « T » même si l’avant-dernière lettre est « D » (la seule véritable exception étant le « IS », dans « hij/zij/het//dit/dat/men/er/daar/hier is »).
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 7 dans « De pelsjagers », le volume N°4 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1963-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : GESCHIEDENIS WERELD SCHOONJANS FUNCKEN 216 - Rajouté le 31/07/2011

Description : Cette invitation à la découverte de l’« Histoire du Monde » (1955-1962) par Jean SCHOONJANS (1897-1976) pour les Editions du Lombard ne correspond peut-être plus aux critères actuels d’approche pédagogique de l’Histoire mais, grâce aux talents d’illustration de Fred et Liliane FUNCKEN, elle reste inoubliable pour ceux qui ont eu la chance de la connaître alors.
La version néerlandophone, « Geschiedenis van de Wereld », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
La planche N°216 est parue dans le N°48 de l’hebdomadaire « KUIFJE » du 3 décembre 1959. Elle concernait les Temps Modernes, s’intitulait « Het kan verkeren »(zei Bredero : 1585-1618) (« La chance peut tourner ») et se subdivisait en : « Wat niet veranderde » (« Ce qui ne changea(it) pas »), « Frederik II van Pruisen » (« Frédéric II de Prusse »), « De Marquiezin van Pompadour, Madame Quinze » (« La Marquise de Pompadour, Madame Quinze »), « Een ketterij » (« Une hérésie : le Mystère d’iniquité en 1756 ») et « Storm op komst » (« Tempête en vue»).
Jean SCHOONJANS se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer culturellement.
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : 104 DHAENENS VERLEDEN 10 MILJOEN BELGEN - Rajouté le 31/07/2011

Description : La S.V. belge ARTIS-HISTORIA S.C. a, parmi beaucoup d’autres publications de qualité, édité des « Bibliocassettes ». Celles, intitulées « Un passé pour 10 millions de Belges – Vies quotidiennes / Een verleden voor 10 miljoen Belgen – Dagelijks leven », conçues et dirigées par le Professeur Albert d’HAENENS (Directeur, en 1980, du Centre de Recherches sur la Communication en Histoire de l’UCL) contenaient notamment (à côté d’une fiche recto-verso de texte) une fiche en couleurs. L’illustration N°104, accompagnée d’une légende bilingue, était relative à : « Baudouin 1er / Boudewijn I (1930-1993) ».
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 15 WRAAK TECONTAS 09J - Rajouté le 30/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De Roodhuiden slaagden er niet in de cirkel te doorbreken » (« Les Peaux-rouges ne réussissaient pas à briser / percer le cercle »).
On y trouve notamment la forme verbale « slaagDEN » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant de l’infinitif « SLAGEN ». Ce verbe est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « G », on trouvera le « D » majoritaire au participe passé et la terminaison « -DE » au singulier du prétérit.
On y trouve donc l’expression « ERIN SLAGEN » (équivalent de l’expression « LUKKEN IN », qui aurait pu donner la phrase alternative : « Het lukte hen niet de cirkel te doorbreken »). L’expression (équivalent, en mauvais français, à « réussir DE ») engendre un « TE » quand il précède un infinitif comme, ici, « DOORBREKEN » (qui n’est donc PAS un verbe à « particule séparable » puisque le « TE » ne s’intercale PAS entre la particule « DOOR » et l’infinitif « BREKEN » proprement dit).
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De wraak der (van de) Tecontas », le volume N°15 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1957-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 15 WRAAK TECONTAS 09I - Rajouté le 30/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De wagens waren in een cirkel geplaatst en de pioniers verdedigden zich hardnekkig » (« Les chariots étaient placés en un cercle et les pionniers se défendaient avec acharnement »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEplaatst », participe passé (utilisé avec un plus-que-parfait) construit sur l’infinitif « PLAATSEN ».
Ce verbe est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « S », on trouvera au participe passé un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
On y trouve aussi la forme verbale « verdedigDEN zich » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant de l’infinitif « (zich) VERDEDIGEN ». Ce verbe est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « G », on trouvera le « D » majoritaire au participe passé et la terminaison « -DE » au singulier du prétérit.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De wraak der (van de) Tecontas », le volume N°15 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1957-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 15 WRAAK TECONTAS 09H - Rajouté le 30/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « (Geweerschoten weerklonken in de verte) en we wisten dat ook de karavaan nu aangevallen werd » (« … et nous sûmes que la caravane, (elle) aussi, était maintenant attaquée »).
On y trouve notamment la forme verbale « WISTEN », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « WETEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve aussi la forme verbale « AANgevallen », participe passé provenant de l’infinitif « AANvallen », lui-même construit sur l’infinitif « VALLEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Quand « AANvallen » est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « aanGEvallen ».
Il y a REJET de la forme verbale « AANgevallen » à la fin de la phrase, derrière le complément « NU ».
On y trouve encore la forme verbale « WERD », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « WORD », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Cette phrase est à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » (ici « WERD ») au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De wraak der (van de) Tecontas », le volume N°15 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1957-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 15 WRAAK TECONTAS 09F - Rajouté le 30/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze waren gevangen genomen, want we vonden nergens hun lichamen » (« Ils étaient pris (= faits) prisonniers, car nous ne trouvâmes leurs corps nulle part »).
On y trouve notamment la forme verbale « GEnomen », participe passé provenant de l’infinitif « NEMEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve aussi la forme verbale « GEvangen », participe passé provenant de l’infinitif « VANGEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce participe passé « GEvangen » est utilisé comme ADJECTIF ATTRIBUT, toujours INVARIABLE.
On y trouve enfin la forme verbale « VONDEN », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
N’oublions pas qu’il vaut mieux utiliser « WANT » que « OMDAT », parce que ce dernier modifie, en néerlandais, l’ordre des mots dans la phrase subordonnée, engendrant le REJET du verbe à la fin de la phrase. On aurait donc eu : « (…) OMDAT we nergens hun lichamen VONDEN » OU « « (…) OMDAT we hun lichamen nergens VONDEN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De wraak der (van de) Tecontas », le volume N°15 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1957-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : GESCHIEDENIS WERELD SCHOONJANS FUNCKEN 215 - Rajouté le 30/07/2011

Description : Cette invitation à la découverte de l’« Histoire du Monde » (1955-1962) par Jean SCHOONJANS (1897-1976) pour les Editions du Lombard ne correspond peut-être plus aux critères actuels d’approche pédagogique de l’Histoire mais, grâce aux talents d’illustration de Fred et Liliane FUNCKEN, elle reste inoubliable pour ceux qui ont eu la chance de la connaître alors.
La version néerlandophone, « Geschiedenis van de Wereld », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
La planche N°215 est parue dans le N°47 de l’hebdomadaire « KUIFJE » du 26 novembre 1959. Elle concernait les Temps Modernes, s’intitulait « In het land van de Maharadja’s » (« Au pays des Maharadjahs ») et se subdivisait en : « Het rijk van de grootmogol Aureng-Zeb tot 1707 » (« L’Empire du Grand Mogol Aureng-Zeb jusqu’en 1707 »), « Radja’s en Nabab’s » («Radjahs et Nababs »), « Dupleix, gouverneur van Indië » («Dupleix, gouverneur des Indes »), « Lord Robert Clive versloeg de Fransen in 1754 » (« Lord Robert Clive battit les Français en 1754 ») et « La Bourdonnais, een puike zeeman » (« La Bourdonnais, un marin magnifique »).
Jean SCHOONJANS se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer culturellement.
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : 103 DHAENENS VERLEDEN 10 MILJOEN BELGEN - Rajouté le 30/07/2011

Description : La S.V. belge ARTIS-HISTORIA S.C. a, parmi beaucoup d’autres publications de qualité, édité des « Bibliocassettes ». Celles, intitulées « Un passé pour 10 millions de Belges – Vies quotidiennes / Een verleden voor 10 miljoen Belgen – Dagelijks leven », conçues et dirigées par le Professeur Albert d’HAENENS (Directeur, en 1980, du Centre de Recherches sur la Communication en Histoire de l’UCL) contenaient notamment (à côté d’une fiche recto-verso de texte) une fiche en couleurs. L’illustration N°103, accompagnée d’une légende bilingue, était relative à : « Léopold III / Leopold III (1901-1983) ».
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 010 STORM OVER DAMME 06C - Rajouté le 29/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De paardensporen hielden voor uw ellendige hut halt » (« Les traces de chevaux faisaient halte (s’arrêtaient) devant votre misérable cabane »).
On y trouve notamment la forme verbale « HIELDEN », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « HOUDEN » et qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
« Halt houden » est une expression, où le nom commun « halt » se conduit comme une particule séparable mais ce n’est PAS un verbe à particule séparable …
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « Storm over Damme », le volume N°10 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 010 STORM OVER DAMME 06B - Rajouté le 29/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Wij zagen ruiters in de duinen » (« Nous vîmes des cavaliers dans les dunes »).
On y trouve notamment la forme verbale « ZAGEN », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « ZIEN » et qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que, si l’on connaît la forme verbale au SINGULIER de l’O.V.T. (ou prétérit : « ZAG », qui est valable pour les TROIS personnes) d’un verbe irrégulier (= qui l’objet des « temps primitifs), il suffit en général d’ajouter la terminaison correspondant à la plupart des pluriels pour obtenir les TROIS personnes du PLURIEL de ce même verbe à l’O.V.T. (ou prétérit) : « ZAG » + « EN » = « ZAGEN ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est le fruit d’un montage par nos soins d’illustrations extraites des pages 5 et 6 dans « Storm over Damme », le volume N°10 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 010 STORM OVER DAMME 06A - Rajouté le 29/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Enkele ruiters houden voor de hut van de visser halt en stijgen af » (« Quelques cavaliers font halte devant la cabane du pêcheur et descendent (de leurs chevaux) = mettent pied à terre »).
On y trouve notamment la forme verbale « stijgen AF », construite sur le verbe « AFstijgen, dit « à particule séparable », construit lui-même sur l’infinitif « STIJGEN » (ayant une autre signification) ; la particule « AF » est affectée par le phénomène du « REJET », à la fin de la phrase (derrière le complément éventuel, par exemple, « van hun paarden »).
On y trouve aussi « houden … halt », où le nom commun « halt » se conduit comme une particule séparable mais il n’existe PAS de verbe « halt houden » séparable : il s’agit d’une expression …
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « Storm over Damme », le volume N°10 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 010 STORM OVER DAMME 02D - Rajouté le 29/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Met vreselijk gekraak breekt het galjoen op een zandbank door » (« Avec un terrible craquement, le galion se brise sur un banc de sable »).
On y trouve le verbe « DOORbreken, dit « à particule séparable », construit sur le verbe « BREKEN » (ayant une autre signification), la particule « DOOR » étant affectée par le phénomène du « REJET », derrière le complément (« op een zandbank »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Met vreselijk gekraak »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « het galjoen ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « breekt ») et passant donc derrière lui.
Dans le groupe nominal « Met vreselijk gekraak », « vreselijk » utilisé comme adjectif épithète se place donc devant le nom « gekraak » (un « HET-woord » = « HET gekraak ») ; pour s’accorder, il aurait pu prendre la terminaison majoritaire « E » (ce qui est le cas devant les noms au PLURIEL ou au SINGULIER, précédés d’un déterminant défini, même « HET ») mais comme il s’agit d’un « HET-woord » et qu’il n’est précédé d’AUCUN déterminant, c’est une exception ne prenant pas« E ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 2 dans « Storm over Damme », le volume N°10 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : 102 DHAENENS VERLEDEN 10 MILJOEN BELGEN - Rajouté le 29/07/2011

Description : La S.V. belge ARTIS-HISTORIA S.C. a, parmi beaucoup d’autres publications de qualité, édité des « Bibliocassettes ». Celles, intitulées « Un passé pour 10 millions de Belges – Vies quotidiennes / Een verleden voor 10 miljoen Belgen – Dagelijks leven », conçues et dirigées par le Professeur Albert d’HAENENS (Directeur, en 1980, du Centre de Recherches sur la Communication en Histoire de l’UCL) contenaient notamment (à côté d’une fiche recto-verso de texte) une fiche en couleurs. L’illustration N°102, accompagnée d’une légende bilingue, était relative à : « Albert 1er / Albert I (1875-1934) ».
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 03 BERENJAGER 05A - Rajouté le 28/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een enkele beet en ik ben ten dode opgeschreven » (« Une seule morsure et je suis condamné à mort »).
On y trouve notamment la forme verbale « OPgeschreven », participe passé provenant de l’infinitif « OPschrijven », construit sur l’infinitif « SCHRIJVEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le verbe « OPschrijven » est dit « à particule séparable ». Quand il est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « OP » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « opGEschreven ».
Aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « TEN DODE »), à la fin de la phrase.
On trouve, dans le groupe nominal, le nom commun « BEET », qui fait référence au verbe « BIJTEN » (faisant l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts »). On fabrique très souvent le nom commun à partir de la première personne du singulier de l’indicatif présent (= radical) du verbe correspondant ; dans ce cas-ci, il dériverait plutôt du prétérit (ou O.V.T.) singulier : « ik BEET » (= « je mordais OU je mordis »).
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « De berenjager », le volume N°3 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 03 BERENJAGER 27A - Rajouté le 28/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Mogelijk snijdt de lavastroom hun de weg af » (« Possible(ment), la coulée de lave va leur couper le chemin»).
On y trouve notamment la forme verbale « snijdt … AF », provenant de l’infinitif « AFsnijden », construit sur l’infinitif « SNIJDEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Le verbe « AFsnijden » est dit « à particule séparable ». Quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » faisant l’objet d’un REJET, derrière les compléments (ici « HUN » et « DE WEG »), à la fin de la phrase.
On trouve la forme verbale « snijdT », troisième personne du singulier de l’O.T.T. ou indicatif présent. Elle doit se terminer par « T » même si l’avant-dernière lettre est « D » (la seule véritable exception étant le « IS », dans « hij/zij/het//dit/dat/men/er/daar/hier is »).
N’oublions pas non plus que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (ici « MOGELIJK »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de lavastroom ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « snijdt ») et passant donc derrière lui.
Signalons enfin que, en néerlandais, les adjectifs se terminant par « -LIJK » peuvent, dans d’autres contextes, devenir des adverbes invariables. En français l’adjectif « possible » est un cas qui ne donne pas son équivalent adverbial se terminant par « -MENT », mais c’est une exception rare.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est un montage par nos soins extrait des page 22 et 27 dans « De berenjager », le volume N°3 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 03 BERENJAGER 06A - Rajouté le 28/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « In doodangst sloot moeder ons in hut » (« Dans une angoisse mortelle, mère nous enferma dans la cabane »).
On y trouve notamment la forme verbale « SLOOT », O.V.T. (ou prétérit), construit sur l’infinitif « SLUITEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (ici « In doodangst »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « MOEDER ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « sloot ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « De berenjager », le volume N°3 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 03 BERENJAGER 16A - Rajouté le 28/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Inmiddels heeft de beer de bergen verlaten » (« Entretemps l’ours a quitté les montagnes »).
On y trouve notamment la forme verbale « verlaten », participe passé provenant de l’infinitif homonyme « VERLATEN », construit sur l’infinitif « LATEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons également que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
Aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (ici « DE BERGEN »), à la fin de la phrase.
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (ici « Inmiddels »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « DE BEER ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici l’auxiliaire « heeft ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 16 dans « De berenjager », le volume N°3 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1965-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : GESCHIEDENIS WERELD SCHOONJANS FUNCKEN 213 - Rajouté le 28/07/2011

Description : Cette invitation à la découverte de l’« Histoire du Monde » (1955-1962) par Jean SCHOONJANS (1897-1976) pour les Editions du Lombard ne correspond peut-être plus aux critères actuels d’approche pédagogique de l’Histoire mais, grâce aux talents d’illustration de Fred et Liliane FUNCKEN, elle reste inoubliable pour ceux qui ont eu la chance de la connaître alors.
La version néerlandophone, « Geschiedenis van de Wereld », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
La planche N°213 est parue dans le N°45 de l’hebdomadaire « KUIFJE » du 12 novembre 1959. Elle concernait les Temps Modernes, s’intitulait « Ontdekkingsreizen » (« Voyages de découvertes ») et se subdivisait en : « Avonturenboeken van Defoe, Swift of Smollett » (« Livres d’aventures de Defoe, Swift ou Smollett »), « Het einde van de wereld » (« La fin du monde»), « James Cook, Engelse reiziger » (« James Cook, voyageur anglais »), « La Pérouse, Franse reiziger » (« La Pérouse, voyageur français ») et « Australië » (« Australie »).
Jean SCHOONJANS se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer culturellement.
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : 101 DHAENENS VERLEDEN 10 MILJOEN BELGEN - Rajouté le 28/07/2011

Description : La S.V. belge ARTIS-HISTORIA S.C. a, parmi beaucoup d’autres publications de qualité, édité des « Bibliocassettes ». Celles, intitulées « Un passé pour 10 millions de Belges – Vies quotidiennes / Een verleden voor 10 miljoen Belgen – Dagelijks leven », conçues et dirigées par le Professeur Albert d’HAENENS (Directeur, en 1980, du Centre de Recherches sur la Communication en Histoire de l’UCL) contenaient notamment (à côté d’une fiche recto-verso de texte) une fiche en couleurs. L’illustration N°101, accompagnée d’une légende bilingue, était relative à : « Léopold II / Leopold II (1835-1909) ».
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 15 WRAAK TECONTAS 09G - Rajouté le 27/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Op het ogenblik dat we om hun verdwijning zaten te huilen, weerklonken geweerschoten in de verte » (« Au moment où nous étions en train de pleurer au sujet de leur disparition, des coups de feu retentirent au loin »).
On y trouve notamment la forme verbale « ZATEN » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant de l’infinitif « ZITTEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Signalons que la tournure de phrase « we zitten TE huilen » correspond à « we zijn AAN HET huilen », le verbe de position « ZITTEN » remplaçant, une fois de plus, le verbe « ZIJN ».
On y trouve aussi la forme verbale « weerklonken » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant de l’infinitif « weerklinken », PAS « à particule séparable », construit sur le verbe « KLINKEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve notamment la forme verbale « GEzwollen », participe passé provenant de l’infinitif « ZWELLEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce participe passé « GEzwollen » étant utilisé comme adjectif épithète et placé donc devant le nom « UITEINDE », pour s’accorder, devrait prendre la terminaison majoritaire « E » (devant noms masculin ou féminin ou NEUTRE au singulier ainsi que masculin, féminin ou NEUTRE au pluriel) précédé du déterminant DEFINI (par exemple, ici, « HET » pour un NEUTRE singulier).
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De wraak der (van de) Tecontas », le volume N°15 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1957-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 15 WRAAK TECONTAS 09E - Rajouté le 27/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het was duidelijk dat ze in een hinderlaag van de Roodhuiden (waren) gevallen waren » (« Il était évident qu’ils étaient tombés dans une embuscade des Peaux-rouges »).
On y trouve notamment forme verbale « GEvallen », participe passé provenant de l’infinitif « VALLEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La forme verbale « GEvallen fait d’autant plus l’objet d’un REJET à la fin de la phrase, qu’elle se trouve dans une phrase subordonnée.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De wraak der (van de) Tecontas », le volume N°15 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1957-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 15 WRAAK TECONTAS 09D - Rajouté le 27/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hoe groot was onze verbazing en ons verdriet, toen we enkele mijlen verder hun uitgebrande wagen vonden » (« (Comment = comme = combien) notre étonnement et notre chagrin fut grand, quand nous trouvâmes, quelques miles plus loin, leur chariot entièrement brûlé »).
On y trouve notamment la forme verbale « VONDEN » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant de l’infinitif « VINDEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve aussi la forme verbale « uitGEbrand », participe passé provenant de l’infinitif « UITbranden », lui-même construit sur l’infinitif « BRANDEN », qui NE fait PAS l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Ce participe passé « uitGEbrand » étant utilisé comme adjectif épithète et placé donc devant le nom « WAGEN », pour s’accorder, doit prendre la terminaison majoritaire « E » (devant noms masculin ou féminin ou NEUTRE au singulier ainsi que masculin, féminin ou NEUTRE au pluriel) précédé d’un déterminant (ici possessif : « HUN »).
Le verbe « BRANDEN » est donc considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) et ne fait PAS non plus partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet son radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « D », on trouvera le « D » majoritaire au prétérit (« brand » + DE = « brandDE) mais pas (une deuxième fois) au participe passé.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De wraak der (van de) Tecontas », le volume N°15 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1957-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 15 WRAAK TECONTAS 09B - Rajouté le 27/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Mijn ouders gingen het konvooi enkele kilometers vooraf » (« Mes parents précédaient le convoi de quelques kilomètres »).
On y trouve notamment la forme verbale « gingen … VOORAF » à l’O.V.T. (ou prétérit), provenant de l’infinitif « VOORAFgaan », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « GAAN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
La « particule séparable » « VOORAF » fait, elle, l’objet d’un REJET derrière les compléments (« het konvooi » et « enkele kilometers ») à la fin de la phrase.
On aurait pu avoir une autre formulation : « Mijn ouders gingen enkele kilometers vóór het konvooi », avec des voyelles (« O ») portant exceptionnellement des accents en néerlandais.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De wraak der (van de) Tecontas », le volume N°15 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1957-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : GESCHIEDENIS WERELD SCHOONJANS FUNCKEN 212 - Rajouté le 27/07/2011

Description : Cette invitation à la découverte de l’« Histoire du Monde » (1955-1962) par Jean SCHOONJANS (1897-1976) pour les Editions du Lombard ne correspond peut-être plus aux critères actuels d’approche pédagogique de l’Histoire mais, grâce aux talents d’illustration de Fred et Liliane FUNCKEN, elle reste inoubliable pour ceux qui ont eu la chance de la connaître alors.
La version néerlandophone, « Geschiedenis van de Wereld », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
La planche N°212 est parue dans le N°44 de l’hebdomadaire « KUIFJE » du 5 novembre 1959. Elle concernait les Temps Modernes, s’intitulait « De Oostenrijkse successie-oorlog » («La guerre de succession d’Autriche ») et se subdivisait en : « Vier stukken » (« Quatre pièces »), «Tegen-offensief » (« Contre-offensive »), « Aan u de eer / Slag van Fontenoy, 1745 » (« A vous l’honneur / Bataille de Fontenoy, 1745 »), « Balilla, een kleine jongen van Genua » (« Balilla, un petit garçon de Gênes») et « De Vrede van Aken in 1748 » (« La Paix d’Aix-la-Chapelle en 1748 »).
Jean SCHOONJANS se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer culturellement.
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : 100 DHAENENS VERLEDEN 10 MILJOEN BELGEN - Rajouté le 27/07/2011

Description : La S.V. belge ARTIS-HISTORIA S.C. a, parmi beaucoup d’autres publications de qualité, édité des « Bibliocassettes ». Celles, intitulées « Un passé pour 10 millions de Belges – Vies quotidiennes / Een verleden voor 10 miljoen Belgen – Dagelijks leven », conçues et dirigées par le Professeur Albert d’HAENENS (Directeur, en 1980, du Centre de Recherches sur la Communication en Histoire de l’UCL) contenaient notamment (à côté d’une fiche recto-verso de texte) une fiche en couleurs. L’illustration N°100, accompagnée d’une légende bilingue, était relative à : « Léopold 1er / Leopold I (1790-1865) ».
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 010 STORM OVER DAMME 05A - Rajouté le 26/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Na de doden begraven te hebben, rijden de ruiters weer de duinen in » (« Après avoir enterré les morts, les cavaliers entrent à nouveau dans les dunes »).
On y trouve notamment, dans une phrase « infinitive » subordonnée, la forme verbale « BEGRAVEN », participe passé provenant du même infinitif, lui-même construit sur « GRAVEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». La construction de la phrase peut paraître bizarre aux francophones ; ils pourraient essayer de comprendre le « TE » en formulant littéralement la phrase, comme suit, en mauvais français : « Après les morts enterrés DE avoir ». On trouvera plus souvent en néerlandais l’alternative : « Nadat ze de doden begraven hebben », où le « TE » n’existe plus.
Rappelons que si un verbe commence par le préfixe « BE-», son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
On y trouve aussi, dans la phrase principale, la forme verbale « rijden … IN », provenant de l’infinitif « INrijden» (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur l’infinitif « RIJDEN » (ayant une signification différente).
Quand « INrijden» est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « IN » de son infinitif proprement dit et son REJET, derrière les compléments (« weer » et « de duinen »), à la fin de la phrase. Notez que la particule séparable « IN » provient bien de l’ancienne préposition et que la phrase aurait pu être formulée comme suit : « De ruiters rijden weer IN de duinen » (où le verbe n’est pas à particule séparable).
N’oublions pas que, la phrase (principale) commençant par une phrase subordonnée jouant le rôle de complément (« Na de doden begraven te hebben »), une INVERSION fait en sorte que le sujet « de ruiters » passe derrière le verbe « rijden ».
Rappelons enfin que le verbe rendant la notion de « se déplacer à cheval » est « paardRIJDEN », ce qui peut paraître cocasse quand on sait que « RIJDEN » signifie rouler (avec des roues) …
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 1 dans « Storm over Damme », le volume N°10 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 010 STORM OVER DAMME 02C - Rajouté le 26/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Doch de vermeende vuurbakens zijn slechts brandende pektonnen / pektoortsen door strandschuimers geplaatst » (« Néanmoins les balises supposées ne sont que des torches à poix placées par des naufrageurs »).
On y trouve notamment la forme verbale « geplaatst », participe passé construit sur l’infinitif « PLAATSEN ».
Ce verbe est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « S », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
La forme verbale « geplaatst » est un participe passé utilisé comme adjectif mais s’inscrit dans une phrase subordonnée (relative) à la voix passive, qui aurait été : « De pektonnen / pektoortsen die door strandschuimers werden geplaatst ». Cela justifie le REJET de « geplaatst » derrière le complément « door strandschuimers ». Mais il aurait pu être utilisé comme adjectif épithète : « De geplaatstE pektonnen / pektoortsen ».
La forme verbale « VERMEEND », est un participe passé utilisé comme adjectif épithète et construit sur l’infinitif « VERMENEN, lui-même construit sur l’infinitif « MENEN ».
Ce verbe « MENEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) et NE fait PAS partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « N », on trouvera le « D » majoritaire.
Rappelons aussi que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux. C’est pourquoi, si l’on a bien « GEmeenD » pour « MENEN », on trouve ici « VERmeenD » pour « VERMENEN »
N’oublions enfin pas non plus que le participe présent en néerlandais se construit en ajoutant simplement un « D » à l’infinitif : « BRANDEN » => « brandenD ». Ici, ce participe présent est utilisé comme adjectif épithète, se place donc devant le nom et, pour s’accorder, prend la terminaison majoritaire « E » => « brandendE pektonnen / pektoortsen ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 2 dans « Storm over Damme », le volume N°10 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 010 STORM OVER DAMME 01D - Rajouté le 26/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het galjoen zwenkt scherp en stevent op de lichten af » (« Le galion vire de façon aiguë et cingle / fonce sur les lumières »).
On y trouve notamment la forme verbale « stevent … AF », provenant de l’infinitif « AFstevenen » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur l’infinitif « STEVENEN » (ayant une signification légèrement différente, la particule « AF » accentuant ici la vitesse du mouvement).
Quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit et son REJET, derrière le complément (« op de lichten »), à la fin de la phrase.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 1 dans « Storm over Damme », le volume N°10 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 010 STORM OVER DAMME 01C - Rajouté le 26/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik hoop dat wij de vuurbakens van het Zwin zien eer de storm losbreekt ! » (« J’espère que nous verrons les balises du Zwin avant que la tempête se déchaîne ! »).
On y trouve notamment la forme verbale « LOSbreekt », provenant de l’infinitif « LOSbreken » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « BREKEN » (ayant une signification différente). Quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « LOS » de son infinitif proprement dit. Si cela avait le cas à l’O.T.T., on aurait pu avoir : « De storm breekt sterk LOS », avec REJET de « LOS » à la fin de la phrase.
On y trouve aussi la forme verbale « ZIEN », qui fait l’objet d’un REJET (derrière les compléments « de vuurbakens » et « van het Zwin ») à la fin de la phrase subordonnée introduite par « DAT ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 1 dans « Storm over Damme », le volume N°10 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : GESCHIEDENIS WERELD SCHOONJANS FUNCKEN 211 - Rajouté le 26/07/2011

Description : Cette invitation à la découverte de l’« Histoire du Monde » (1955-1962) par Jean SCHOONJANS (1897-1976) pour les Editions du Lombard ne correspond peut-être plus aux critères actuels d’approche pédagogique de l’Histoire mais, grâce aux talents d’illustration de Fred et Liliane FUNCKEN, elle reste inoubliable pour ceux qui ont eu la chance de la connaître alors.
La version néerlandophone, « Geschiedenis van de Wereld », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
La planche N°211 est parue dans le N°43 de l’hebdomadaire « KUIFJE » du 29 octobre 1959. Elle concernait les Temps Modernes, s’intitulait « Schaakmaat in 1740 » (« Echec et mat en 1740 ») et se subdivisait en : « Vals spel » (« Faux jeu = tricher au jeu »), «De zet van de koning van Pruisen » (« La mise / le coup du roi de Prusse »), « De zet van de koning van Frankrijk » (« La mise / le coup du roi de France »), « De zet van de keurvorst van Beieren » (« La mise / le coup du prince-électeur de Bavière ») et « De tegenzet van Maria-Therezia » (« La riposte de Marie-Thérèse »).
Jean SCHOONJANS se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer culturellement.
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : 099 DHAENENS VERLEDEN 10 MILJOEN BELGEN - Rajouté le 26/07/2011

Description : La S.V. belge ARTIS-HISTORIA S.C. a, parmi beaucoup d’autres publications de qualité, édité des « Bibliocassettes ». Celles, intitulées « Un passé pour 10 millions de Belges – Vies quotidiennes / Een verleden voor 10 miljoen Belgen – Dagelijks leven », conçues et dirigées par le Professeur Albert d’HAENENS (Directeur, en 1980, du Centre de Recherches sur la Communication en Histoire de l’UCL) contenaient notamment (à côté d’une fiche recto-verso de texte) une fiche en couleurs. L’illustration N°99, accompagnée d’une légende bilingue, était relative à : « La monarchie constitutionnelle / De constitutionele monarchie ».
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 02 WINNETOU 30A - Rajouté le 25/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Je kunt (kan) hen tegen elkaar uitwisselen » (« Tu peux les échanger l’un contre l’autre »).
On y trouve notamment l’infinitif « UITwisselen », dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « WISSELEN », rejeté à la fin de la phrase. Quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit. Si cela avait le cas à l’O.T.T., on aurait pu avoir : « Hij wisselt hen (de twee gevangenen) tegen elkaar uit », avec REJET de « UIT » à la fin de la phrase.
On y trouve aussi l’auxiliaire de mode « KUNNEN » (capacité), qui exige le REJET de l’infinitif à la fin de la phrase. On a tendance à utiliser « KAN » pour tout le singulier de l’O.T.T.
N’oublions pas que « ELKAAR » est un pronom RECIPROQUE.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite d’un montage par nos soins des pages 30 et 31 dans « Winnetou », le volume N°2 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1963-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 02 WINNETOU 21A - Rajouté le 25/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ik heb gewonnen ! Zullen de Apachen hun woord houden ? » (« J’ai gagné ! Les Apaches vont-ils tenir (tiendront-ils) leur parole ? »).
On y trouve, d’une part, la forme verbale « GEWONNEN », V.T.T. du verbe « WINNEN », faisant partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve, d’autre part, une deuxième phrase qui est au futur simple. Les non-néerlandophones sont souvent déroutés par cet auxiliaire du futur « ZULLEN » qui, seul, n’a pas de signification. Les francophones peuvent retrouver un « terrain connu » s’ils le rendent par « ALLER » comme dans ce qu’ils appellent le « futur proche ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 21 dans « Winnetou », le volume N°2 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1963-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 02 WINNETOU 14A - Rajouté le 25/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Als hij (Winnetou) ineens wegrent, zijn we (nu) verloren » (« S’il part en courant tout d’un coup, nous sommes perdus »).
On y trouve, d’une part, l’infinitif « WEGrennen », dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « RENNEN ». Quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « WEG » de son infinitif proprement dit. Si cela avait le cas à l’O.T.T., on aurait pu avoir : « Hij rent ineens weg », avec REJET de « WEG » à la fin de la phrase.
On y trouve, d’autre part, la forme verbale « VERLOREN », participe passé construit sur le verbe « VERLIEZEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Nous avons rajouté le complément « NU » pour que l’on se rende bien compte que le participe passé fait l’objet d’un REJET à la fin de la phrase.
La phrase (principale) commençant par une phrase subordonnée jouant le rôle de complément (« Als hij ineens wegrent »), une INVERSION fait en sorte que le sujet « WE » passe derrière le verbe « ZIJN ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 14 dans « Winnetou », le volume N°2 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1963-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 02 WINNETOU 03A - Rajouté le 25/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Een machtige stier valt hem (Sam) plots aan » (« Un puissant bison mâle (taureau) l’attaque brusquement »).
On y trouve notamment l’infinitif « AANvallen », dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « VALLEN ». Quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AAN » de son infinitif proprement dit et elle fait l’objet d’un REJET derrière les compléments (« hem » et « plots ») à la fin de la phrase.
Nous avons remplacé, dans la phrase d’origine, le nom propre (le prénom Sam) par le pronom complément (C.O.D.) « HEM ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 3 dans « Winnetou », le volume N°2 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1963-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : GESCHIEDENIS WERELD SCHOONJANS FUNCKEN 210 - Rajouté le 25/07/2011

Description : Cette invitation à la découverte de l’« Histoire du Monde » (1955-1962) par Jean SCHOONJANS (1897-1976) pour les Editions du Lombard ne correspond peut-être plus aux critères actuels d’approche pédagogique de l’Histoire mais, grâce aux talents d’illustration de Fred et Liliane FUNCKEN, elle reste inoubliable pour ceux qui ont eu la chance de la connaître alors.
La version néerlandophone, « Geschiedenis van de Wereld », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
La planche N°210 est parue dans le N°42 de l’hebdomadaire « KUIFJE » du 22 octobre 1959. Elle concernait les Temps Modernes, s’intitulait « God save the King ! » (« Que Dieu préserve le roi ! ») et se subdivisait en : « Het Huis van Hannover tussen 1714 en 1727 » (« La Maison d’Hanovre entre 1714 et 1727 »), « Walpole, eerste minister whig » («Walpole, premier ministre whig »), « God bescherme de Koning !, geschreven ter ere van George II in 1740 » (« Que Dieu préserve le roi !, écrit en l’honneur de George II en 1740»), « Karel-Edward Stuart, verslagen te Culloden in 1746 » (« Charles-Edouard Stuart, battu à Culloden en 1746 ») et « De tory Lord Chatham of William Pitt » (« Le tory Lord Chatham, alias William Pitt »).
Jean SCHOONJANS se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer culturellement.
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : 098 DHAENENS VERLEDEN 10 MILJOEN BELGEN - Rajouté le 25/07/2011

Description : La S.V. belge ARTIS-HISTORIA S.C. a, parmi beaucoup d’autres publications de qualité, édité des « Bibliocassettes ». Celles, intitulées « Un passé pour 10 millions de Belges – Vies quotidiennes / Een verleden voor 10 miljoen Belgen – Dagelijks leven », conçues et dirigées par le Professeur Albert d’HAENENS (Directeur, en 1980, du Centre de Recherches sur la Communication en Histoire de l’UCL) contenaient notamment (à côté d’une fiche recto-verso de texte) une fiche en couleurs. L’illustration N°98, accompagnée d’une légende bilingue, était relative à : « La Constitution belge / De Belgische grondwet ».
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 15 WRAAK TECONTAS 09C - Rajouté le 24/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Op zekere dag verlieten wij de karavaan om ons bij onze ouders te voegen » (« Un (certain) jour, nous quittâmes (avons quitté) la caravane pour nous joindre à nos parents »).
On y trouve, d’une part, la forme verbale « VERLIETEN », O.V.T. (ou prétérit), construite sur le verbe « VERLATEN », lui-même construit sur le verbe « LATEN », faisant partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Même si nous ne sommes pas ici confrontés à un temps composé en néerlandais (mais on pourrait le rendre en français par un passé composé), rappelons que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « VER- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
On y trouve aussi le verbe « VOEGEN », dans une sorte de phrase subordonnée (introduite par « OM … TE », signifiant « POUR » devant les verbes), la particule « TE » se plaçant toujours juste devant l’infinitif et les compléments (« ons » et « bij onze ouders ») s’intercalant entre le « OM » et le « TE ».
Attention à « ONS » et « ONZE ». Si le deuxième (variable) est construit sur la racine du premier (ici invariable), ils sont de nature différente. Ce « ONS » est un pronom complément. « ONZE » est un déterminant possessif, qui s’accorde comme un adjectif avec la terminaison « E ». On peut ainsi dire, par exemple : « onS huiS » (NEUTRE singulier ») qui, au pluriel, donnera « onZe huiZen ». Rappelons qu’en général un « S » final auquel on rajoute un « E » devient « Z ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De wraak der (van de) Tecontas », le volume N°15 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1957-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 15 WRAAK TECONTAS 09A - Rajouté le 24/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We maakten deel uit van de karavaan » (« Nous faisions partie de la caravane »).
On y trouve notamment la forme verbale « maakten … UIT », provenant de l’infinitif « UITmaken » (dit « à particule séparable »), lui-même construit sur le verbe « MAKEN ». Quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit.
Ce verbe « MAKEN » est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire) au V.T.T. (« geMAAKt ») et un « E » sera rajouté à l’O.V.T. comme ici. Cela donne à l’O.V.T. : « maak » + « TE » + « -N » (pluriel) => « maakTEn ».
On a affaire ici à une expression : « deel UITmaken van » (« faire partie de »).
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 9 dans « De wraak der (van de) Tecontas », le volume N°15 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1957-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 15 WRAAK TECONTAS 08B - Rajouté le 24/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Ze ontdekt weldra de wagen, die tussen de bomen (staat) verborgen staat » (« Elle découvre bientôt le chariot, qui se trouve caché entre les arbres »).
On y trouve notamment la forme verbale « verborgen » (participe passé provenant de l’infinitif « VERBERGEN »), qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Elle est utilisée comme adjectif mais cela n’empêche pas le REJET habituel à la fin de la phrase derrière le complément « tussen de bomen », d’autant plus que l’on se trouve dans une proposition subordonnée. La forme verbale « STAAT » remplace « IS » et si l’on avait affaire à une phrase « normale » au passé composé, on pourrait, par exemple, avoir : « De wagen is tussen de bomen verborgen ».
Rappelons aussi que, si « ONTDEKT » est ici à l’O.T.T. (ou indicatif présent), il aurait été écrit de la même façon aux temps comme le V.T.T. En effet, les formes verbales de participes passés comme « ONTDEKT » (provenant de l’infinitif « ONTDEKKEN »), avec le préfixe « ONT- » ne commencent pas par le préfixe habituel « GE - » ; par ailleurs ce verbe est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais, il n’est pas affecté par les « temps primitifs ») mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumé par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 8 dans « De wraak der (van de) Tecontas », le volume N°15 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1957-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : GESCHIEDENIS WERELD SCHOONJANS FUNCKEN 209 - Rajouté le 24/07/2011

Description : Cette invitation à la découverte de l’« Histoire du Monde » (1955-1962) par Jean SCHOONJANS (1897-1976) pour les Editions du Lombard ne correspond peut-être plus aux critères actuels d’approche pédagogique de l’Histoire mais, grâce aux talents d’illustration de Fred et Liliane FUNCKEN, elle reste inoubliable pour ceux qui ont eu la chance de la connaître alors.
La version néerlandophone, « Geschiedenis van de Wereld », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
La planche N°209 est parue dans le N°41 de l’hebdomadaire « KUIFJE » du 15 octobre 1959. Elle concernait les Temps Modernes, s’intitulait « Frederik II van Pruisen vanaf 1740 » («Frédéric II de Prusse à partir de 1740 ») et se subdivisait en : « De opvoeding van de prins » (« L’éducation du prince »), «Een verlichte geest » (« Un esprit éclairé »), «Het kasteel Sans Souci te Potsdam » (« Le château Sans Souci à Potsdam»), « Cynisme » (« Cynisme ») et « In dienst van de Staat » (« Au service de l’Etat »).
Jean SCHOONJANS se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer culturellement.
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : 097 DHAENENS VERLEDEN 10 MILJOEN BELGEN - Rajouté le 24/07/2011

Description : La S.V. belge ARTIS-HISTORIA S.C. a, parmi beaucoup d’autres publications de qualité, édité des « Bibliocassettes ». Celles, intitulées « Un passé pour 10 millions de Belges – Vies quotidiennes / Een verleden voor 10 miljoen Belgen – Dagelijks leven », conçues et dirigées par le Professeur Albert d’HAENENS (Directeur, en 1980, du Centre de Recherches sur la Communication en Histoire de l’UCL) contenaient notamment (à côté d’une fiche recto-verso de texte) une fiche en couleurs. L’illustration N°97, accompagnée d’une légende bilingue, était relative à : « L’Orangisme / Het Orangisme ».
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 04 STALEN ROS 12E - Rajouté le 24/07/2011

Description : Cette double phrase est grammaticalement intéressante : « En wat gaan we nu doen ? (Gaan we) ze naar het kamp meenemen ?» (« Et qu’allons-nous faire maintenant ? (Allons-nous) les prendre avec = les emporter vers le camp ? »).
Dans la deuxième phrase, on ne répète pas le « Gaan we », forme verbale correspondant à un « futur proche », peut-être sous l’influence du français. L’alternative aurait été : « En wat ZULLEN we nu doen ? (ZULLEN we) ze naar het kamp meenemen ?».
N’oublions pas que « ZULLEN », auxiliaire utilisé pour indiquer que l’on se trouve au futur simple, exige le REJET de l’autre verbe, à l’infinitif, derrière le(s) complément(s) (ici « nu » ou « naar het kamp »), à la fin de la phrase.
Cet infinitif « meeNEMEN » (conjugué sur « NEMEN ») est dit « à particule séparable », la particule « MEE » provenant de la préposition « MET »
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 12 dans « Het stalen ros », le volume N°4 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1955-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 010 STORM OVER DAMME 02B - Rajouté le 23/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Zij (Degene) die het strand bereiken worden door de strandschuimers ongenadig afgemaakt » (« Ceux qui atteignent le rivage sont achevés sans pitié par les naufrageurs »).
On y trouve notamment la forme verbale « AFgemaakt », participe passé construit sur l’infinitif « AFmaken », lui-même construit sur le verbe « MAKEN » (ayant une signification différente).
Ce verbe est considéré comme « régulier » (comme la grande majorité des verbes néerlandais) mais fait partie de la minorité « irrégulière » des verbes réguliers, résumée par les consonnes présentes dans « ‘T KOFSCHIP » ; en effet le radical (première personne du présent) se terminant par la consonne « K », on trouvera un « T » (au lieu du « D » majoritaire).
Ce verbe « AFmaken » est aussi dit « à particule séparable » ; quand il est conjugué comme participe passé à l’équivalent du passé composé, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « AF » de son infinitif proprement dit, la particule « GE- » (commune à la majorité des participes passés) s’intercalant entre eux => « afGEmaakt ».
Cette phrase est aussi à la voix passive, d’où l’utilisation de l’auxiliaire « WORDEN » au lieu de l’auxiliaire « ZIJN ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 2 dans « Storm over Damme », le volume N°10 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 010 STORM OVER DAMME 02A - Rajouté le 23/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De bemanning komt grotendeels in het wilde water om » (« L’équipage périt en grande partie dans l’eau sauvage »).
On y trouve le verbe « OMkomen, dit « à particule séparable », construit sur le verbe « KOMEN » (ayant une signification différente), la particule « OM » étant affectée par le phénomène du « REJET », à la fin de la phrase, derrière les compléments (« grotendeels » et « in het wilde water »).
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 2 dans « Storm over Damme », le volume N°10 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 010 STORM OVER DAMME 01B - Rajouté le 23/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « We zijn te ver gevaren » (« Nous avons navigué trop loin »).
On y trouve notamment la forme verbale « geVAREN », participe passé provenant de l’infinitif « VAREN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que, aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET, derrière le complément (« ici « te ver ») à la fin de la phrase.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 1 dans « Storm over Damme », le volume N°10 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL RODE RIDDER 010 STORM OVER DAMME 01A - Rajouté le 23/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het Zwin, door overstroming ontstaan, vormde een bevaarbare geul en (het Zwin) verbond Brugge rechtstreeks met de zee » (« Le Zwin, né à la suite d’une inondation, formait un chenal navigable et reliait Bruges directement avec la mer »).
On y trouve notamment, dans la deuxième phrase principale, la forme verbale « VERBOND », O.V.T. (ou « prétérit ») provenant de l’infinitif « VERBINDEN », lui-même construit sur « BINDEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve aussi, dans un complément (« door overstroming ontstaan ») qui ressemble à une subordonnée (« dat door overstroming is ontstaan »), la forme verbale « ONTSTAAN », participe passé (avec, en quelque sorte, REJET à la fin de la phrase), construit sur l’infinitif « ontSTAAN », lui-même construit sur l’infinitif « STAAN » qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons enfin que si un verbe commence par le préfixe « ONT- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 1 dans « Storm over Damme », le volume N°10 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN, scénariste, et Karel VERSCHUERE, dessinateur, se seraient réjouis s’ils avaient su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : GESCHIEDENIS WERELD SCHOONJANS FUNCKEN 208 - Rajouté le 23/07/2011

Description : Cette invitation à la découverte de l’« Histoire du Monde » (1955-1962) par Jean SCHOONJANS (1897-1976) pour les Editions du Lombard ne correspond peut-être plus aux critères actuels d’approche pédagogique de l’Histoire mais, grâce aux talents d’illustration de Fred et Liliane FUNCKEN, elle reste inoubliable pour ceux qui ont eu la chance de la connaître alors.
La version néerlandophone, « Geschiedenis van de Wereld », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
La planche N°208 est parue dans le N°40 de l’hebdomadaire « KUIFJE » du 15 octobre 1959. Elle concernait les Temps Modernes, s’intitulait « Maria-Theresia van Oostenrijk » («Marie-Thérèse d’Autriche ») et se subdivisait en : « Ik ben slechts een arme koningin » (« Je ne suis qu’une pauvre reine »), « Ik wil me waardig tonen van de liefde die mijn volk mij schenkt » (« Je veux me montrer digne de l’amour que mon peuple me témoigne »), « De Staat » (« L’Etat »), «Gerechtigheid » (« Justice ») et « De keizerin in 1745 » (« L’impératrice en 1745 »).
Jean SCHOONJANS se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer culturellement.
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : 096 DHAENENS VERLEDEN 10 MILJOEN BELGEN - Rajouté le 23/07/2011

Description : La S.V. belge ARTIS-HISTORIA S.C. a, parmi beaucoup d’autres publications de qualité, édité des « Bibliocassettes ». Celles, intitulées « Un passé pour 10 millions de Belges – Vies quotidiennes / Een verleden voor 10 miljoen Belgen – Dagelijks leven », conçues et dirigées par le Professeur Albert d’HAENENS (Directeur, en 1980, du Centre de Recherches sur la Communication en Histoire de l’UCL) contenaient notamment (à côté d’une fiche recto-verso de texte) une fiche en couleurs. L’illustration N°96, accompagnée d’une légende bilingue, était relative à : « Les milieux favorables à la Révolution de 1830 / De revolutie van 1830 in de kringen die haar gunstig gezind waren ».
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 01 OLD SHATTERHAND 31A - Rajouté le 22/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De wijde vlakten die zijn leven uitmaken « (« Les larges plaines qui constituent sa vie »).
On y trouve notamment l’infinitif « UITmaken », dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « MAKEN ». Quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « UIT » de son infinitif proprement dit.
Dans la mesure où on a affaire à une phrase subordonnée (relative introduite par « DIE »), il y a REJET de la forme verbale derrière le complément « zijn leven » à la fin de la phrase.
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 31 dans « Old Shatterhand », le volume N°1 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 01 OLD SHATTERHAND 29A - Rajouté le 22/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De achtervolgers wagen een sprong over een kloof en halen daardoor hun achterstand in » (« Les poursuivants osent un saut au-dessus d’un ravin et, de ce fait, comblent leur retard »).
On y trouve, dans la deuxième phrase à l’indicatif présent, la forme verbale « halen … IN », construite sur le verbe « INhalen » dit « à particule séparable », lui-même construit sur le verbe « HALEN ». Quand il est conjugué, cela entraîne en néerlandais une séparation de la particule « IN » de son infinitif proprement dit, les compléments (« daardoor » et « hun achterstand ») s’intercalant entre eux, et le REJET de la particule, derrière les compléments donc, à la fin de la phrase.
On y trouve, dans la première phrase, le nom commun « SPRONG », qui fait référence au verbe « SPRINGEN » (faisant l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts »). On fabrique très souvent le nom commun à partir de la première personne du singulier de l’indicatif présent (= radical) du verbe correspondant ; dans ce cas-ci, il dériverait plutôt du prétérit (ou O.V.T.) singulier : « ik SPRONG » (= je sautais ou je sautai »).
Si l’on revient à la deuxième phrase, on y trouve également l’adverbe pronominal « daarDOOR ». Pour bien comprendre son origine, reformulons la phrase : « De achtervolgers halen hun achterstand DOOR een sprong over een kloof in »
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 29 dans « Old Shatterhand », le volume N°1 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 01 OLD SHATTERHAND 24A - Rajouté le 22/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Door het hoge gras sluipen dreigende gestalten het kamp van de Comanchen binnen (« Des silhouettes menaçantes se faufilent à travers l’herbe haute à l’intérieur du (dans le) camp des Comanches »).
On y trouve, dans la première phrase, la forme verbale « sluipen … BINNEN », construite sur l’infinitif « BINNENsluipen » (verbe dit « à particule séparable »), lui-même construit sur l’infinitif « SLUIPEN ». La particule séparable « BINNEN » fait l’objet d’un REJET, derrière les compléments (« het kamp » et « van de Comanchen »), à la fin de la phrase.
Signalons que dans « bINnen », ex-préposition, il y a « IN » (tout comme d’ailleurs dans son contraire « bUITen », il y a « UIT »).
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Door het hoge gras »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « dreigende gestalten ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « sluipen ») et passant donc derrière lui.
N’oublions pas non plus que le participe présent en néerlandais se construit en ajoutant simplement un « D » à l’infinitif : « DREIGEN » => « dreigenD ». Ici, ce participe présent est utilisé comme adjectif épithète, se place donc devant le nom et, pour s’accorder, prend la terminaison majoritaire « E » => « dreigendE gestalten ».
Dans le complément « Door het hoge gras » commençant la phrase, « HOOG » est utilisé comme adjectif épithète, se place donc devant le nom et, pour s’accorder, prend la terminaison majoritaire « E » (devant noms masculin, féminin et neutre au singulier ainsi que masculin, féminin ou neutre au pluriel) même s’il s’agit d’un « HET woord » (« HET gras »). Attention à la modification orthographique : dans la mesure où on rajoute un « E » derrière une consonne finale unique (ici « G »), cela entraîne la disparition d’une des deux voyelles identiques (ici « O ») devant cette même consonne si l’on a affaire à une double voyelle. « HOOG » + « E » - « O » = « hOgE ».
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 24 dans « Old Shatterhand », le volume N°1 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN KARL MAY 01 OLD SHATTERHAND 19A - Rajouté le 22/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Hij kreeg de tijd niet te ontkomen en bevindt zich tussen de belegeraars » (« Il ne reçut (= n’eut) pas le temps se s’échapper et se retrouve entre les assiégeants »).
On y trouve, d’une part, dans la première phrase, la forme verbale « KREEG », O.V.T. (ou prétérit) construit sur le verbe « KRIJGEN » et faisant partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve, d’autre part, l’infinitif « ontkomen », qui NE figure PAS dans les verbes dits « à particule séparable », le préfixe « ONT » ne l’étant pas ; s’il est donc lui-même construit sur le verbe « KOMEN » (faisant l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts »), son participe passé sera, par hasard (pas de « GE »), identique à l’infinitif ; on pourrait, par exemple, avoir : « Hij is niet ontkomen ».
Rappelons que, au niveau de la NEGATION située à proximité d’un nom commun, on aurait pu avoir : « Hij kreeg geen tijd (om) te ontkomen. »
On trouve, dans la deuxième phrase, la forme verbale « bevindT (zich) », troisième personne du singulier de l’O.T.T. ou indicatif présent. Elle doit se terminer par « T » même si l’avant-dernière lettre est « D » (la seule véritable exception étant le « IS », dans « hij/zij/het//dit/dat/men/er/daar/hier is »).
La version néerlandophone de « KARL MAY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 19 dans « Old Shatterhand », le volume N°1 de la série « KARL MAY ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1962-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : GESCHIEDENIS WERELD SCHOONJANS FUNCKEN 207 - Rajouté le 22/07/2011

Description : Cette invitation à la découverte de l’« Histoire du Monde » (1955-1962) par Jean SCHOONJANS (1897-1976) pour les Editions du Lombard ne correspond peut-être plus aux critères actuels d’approche pédagogique de l’Histoire mais, grâce aux talents d’illustration de Fred et Liliane FUNCKEN, elle reste inoubliable pour ceux qui ont eu la chance de la connaître alors.
La version néerlandophone, « Geschiedenis van de Wereld », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
La planche N°207 est parue dans le N°39 de l’hebdomadaire « KUIFJE » du 1er octobre 1959. Elle concernait les Temps Modernes, s’intitulait « Verlichte despoten » (« Despotes éclairés ») et se subdivisait en : « Alles voor het volk » (« Tout pour le peuple »), « De uitvindingen » (« Les inventions »), « De aardappels en Parmentier » (« Les pommes de terre et Parmentier»), « Karel III van Spanje » (« Charles III d’Espagne») et « Uitwijzing van de Jezuiten » (« Expulsion des Jésuites »).
Jean SCHOONJANS se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer culturellement.
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : 095 DHAENENS VERLEDEN 10 MILJOEN BELGEN - Rajouté le 22/07/2011

Description : La S.V. belge ARTIS-HISTORIA S.C. a, parmi beaucoup d’autres publications de qualité, édité des « Bibliocassettes ». Celles, intitulées « Un passé pour 10 millions de Belges – Vies quotidiennes / Een verleden voor 10 miljoen Belgen – Dagelijks leven », conçues et dirigées par le Professeur Albert d’HAENENS (Directeur, en 1980, du Centre de Recherches sur la Communication en Histoire de l’UCL) contenaient notamment (à côté d’une fiche recto-verso de texte) une fiche en couleurs. L’illustration N°95, accompagnée d’une légende bilingue, était relative à : « Les journées révolutionnaires de 1830 à Bruxelles / De revolutiedagen van 1830 te Brussel ».
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : 094 DHAENENS VERLEDEN 10 MILJOEN BELGEN - Rajouté le 21/07/2011

Description : La S.V. belge ARTIS-HISTORIA S.C. a, parmi beaucoup d’autres publications de qualité, édité des « Bibliocassettes ». Celles, intitulées « Un passé pour 10 millions de Belges – Vies quotidiennes / Een verleden voor 10 miljoen Belgen – Dagelijks leven », conçues et dirigées par le Professeur Albert d’HAENENS (Directeur, en 1980, du Centre de Recherches sur la Communication en Histoire de l’UCL) contenaient notamment (à côté d’une fiche recto-verso de texte) une fiche en couleurs. L’illustration N°94, accompagnée d’une légende bilingue, était relative à : « L’insertion internationale de la Belgique en 1830 / Erkenning van België op het internationale vlak in 1830 ».
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 02 GEHEIM RAINY LAKE 20D - Rajouté le 21/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Het gevaar niet vermoedend, verlaat de moeder zwaan haar nest vol eieren om voedsel te zoeken » (« Ne soupçonnant pas le danger, la mère cygne quitte son nid plein d’œufs pour chercher de la nourriture »).
Le complément « Het gevaar niet vermoedend », précédant la phrase principale, est une sorte de phrase subordonnée, ce qui explique le rejet de la forme verbale « vermoedend » à la fin de cette phrase.
Rappelons que, en néerlandais, le participe présent est construit en rajoutant simplement un « D » à la fin de l’infinitif : « vermoeden » + « D » => « vermoeden D ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (donc ici « Het gevaar niet vermoedend »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « de moeder zwaan ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « verlaat ») et passant donc derrière lui.
Rappelons aussi que, en néerlandais, la logique du déterminant possessif, à la troisième personne du singulier « SON », « SA » ou « SES »), est radicalement différente de celle en français. A « la mère cygne quitte SON nid », correspond « de moeder zwaan verlaat HAAR nest » => « le nid DE ELLE » = « HAAR nest » ; si l’on avait eu « le père cygne quitte SON nid », on aurait eu « de vader zwaan verlaat ZIJN nest » => « le nid DE LUI » = « ZIJN nest ».
On trouve, par ailleurs, le pluriel irrégulier « (de) eiEREN » pour le nom commun « (het) EI ».
On trouve enfin, dans une deuxième sorte de phrase subordonnée introduite par « OM … TE » (signifiant « POUR » devant les verbes), le complément « voedsel » intercalé entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « ZOEKEN ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 20 dans « Het geheim van Rainy Lake », le volume N°2 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1954-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 02 GEHEIM RAINY LAKE 20C - Rajouté le 21/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Elke dag keert zij (Bessy) terug om de mooie witte vogel gade te slaan » (« Chaque jour, elle revient pour observer le bel oiseau blanc »).
On y trouve notamment, dans la phrase principale, la forme verbale « keert … TERUG » provenant de l’infinitif « TERUGkeren », verbe à « particule séparable ». Quand ce verbe est conjugué, la particule « TERUG » se sépare donc de l’infinitif « KEREN » proprement dit ; la phrase commençant par le complément « Elke dag », une INVERSION fait en sorte que le sujet « zij » passe derrière la forme verbale « keert » et la sépare donc ici de la particule « TERUG ». Cette particule « TERUG » est très fréquente en néerlandais puisqu’elle correspond au préfixe « RE- » (exemple : Revenir), rendant la notion de RETOUR.
On trouve aussi, dans une sorte de phrase subordonnée introduite par « OM … TE » (signifiant « POUR » devant les verbes), le complément « de mooie witte vogel » intercalé entre le « OM » et le « TE », placé juste devant l’infinitif « SLAAN ».
Il est à noter que « gade … slaan » provient de l’infinitif « gadeSLAAN », verbe à « particule séparable », « gade » réagissant comme les « particules séparables » provenant de prépositions courantes (« IN », « OP », etc).
Signalons enfin que, dans un groupe nominal, si l’on a DEUX adjectifs épithètes (qui, en néerlandais, rappelons-le, se placent toujours DEVANT le nom commun) dont une couleur, on a tendance à placer la couleur en DEUXIEME position : « de mooie WITTE vogel ».
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 20 dans « Het geheim van Rainy Lake », le volume N°2 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1954-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 02 GEHEIM RAINY LAKE 06C - Rajouté le 21/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Verschillende uren bleef zij (Bessy) tevergeefs wachten » («Plusieurs heures (durant) elle restait à attendre en vain »).
On y trouve notamment la forme verbale « BLEEF » (O.V.T. ou « prétérit »), provenant de l’infinitif « BLIJVEN », qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons que si nous avions eu cette phrase au pluriel, nous aurions eu la forme verbale « BLEVEN », ressemblant davantage à l’infinitif « BLIJVEN ». N’oublions pas que un « F » derrière lequel on rajoute un « E » (a fortiori la terminaison « EN » du pluriel) devient « V ».
Il est à noter que la phrase, commençant par le complément « Verschillende uren », ce dernier engendre une INVERSION : le sujet « zij » passant derrière le verbe « bleef ». On aurait ainsi pu dire : « Zij bleef verschillende uren tevergeefs wachten » OU « Zij bleef tevergeefs verschillende uren wachten.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « Het geheim van Rainy Lake », le volume N°2 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1954-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : WIREL BESSY 02 GEHEIM RAINY LAKE 06B - Rajouté le 21/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « De bever (Chikawa) had haar echter onbewust een dienst bewezen » (« Le castor lui avait vraiment rendu un service inconsciemment »).
On y trouve notamment la forme verbale « had … BEWEZEN » (V.V.T. ou « plus-que-parfait ») provenant de l’infinitif « BEWIJZEN », lui-même construit sur l’infinitif « WIJZEN » (ayant une autre signification), qui fait partie des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
Rappelons également que si un verbe commence, par exemple, par le préfixe « BE- », son participe passé NE débutera PAS par le préfixe « GE- », commun à la majorité d’entre eux. « BEWEZEN » est donc bien un participe passé même si sa forme verbale est identique au pluriel de l’O.V.T. (ou « prétérit »). Aux temps composés, le participe passé fait l’objet d’un REJET (derrière les compléments « haar », « echter », « onbewust » et « een dienst») à la fin de la phrase.
Signalons que « BEWIJZEN » signifie d’abord « PROUVER » mais que, associés à certains noms communs pour constituer une « expression », les infinitifs, notamment néerlandais, peuvent changer de signification, comme ici.
La version néerlandophone de « BESSY », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 6 dans « Het geheim van Rainy Lake », le volume N°2 de la série « BESSY ».
Willy VANDERSTEEN (ou WIREL, pseudonyme commun avec Karel VERSCHUERE) se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1954-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : GESCHIEDENIS WERELD SCHOONJANS FUNCKEN 206 - Rajouté le 21/07/2011

Description : Cette invitation à la découverte de l’« Histoire du Monde » (1955-1962) par Jean SCHOONJANS (1897-1976) pour les Editions du Lombard ne correspond peut-être plus aux critères actuels d’approche pédagogique de l’Histoire mais, grâce aux talents d’illustration de Fred et Liliane FUNCKEN, elle reste inoubliable pour ceux qui ont eu la chance de la connaître alors.
La version néerlandophone, « Geschiedenis van de Wereld », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
La planche N°206 est parue dans le N°38 de l’hebdomadaire « KUIFJE » du 24 septembre 1959. Elle concernait les Temps Modernes, s’intitulait « De lichten van de eeuw » (« Les lumières du siècle ») et se subdivisait en : « Het salon » (« Le salon de Madame Geoffrin, celui de Madame de Tencin et celui de Mademoiselle de Lespinasse »), « Men praatte » (« On parlait de Montesquieu, de Locke, de Diderot, de d’Alembert »), « Voltaire » (« Voltaire »), « Jean-Jacques Rousseau » (« Jean-Jacques Rousseau ») et « Figaro ? Beaumarchais ? Marivaux ?» (« Figaro ? Beaumarchais ? Marivaux ? »).
Jean SCHOONJANS se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer culturellement.
Si un ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 001 GEBROKEN ZWAARD 14A - Rajouté le 20/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Door de hefboom van het mechanisme naar zich toe te halen, gaat het paneel naar boven open » (« En actionnant le levier du mécanisme vers lui, le panneau va vers le haut = se relève »).
On y trouve notamment, dans une sorte de phrase subordonnée, la forme verbale « TOEhalen », construite sur « HALEN » (ayant une signification différente). Le verbe « TOEhalen » est un verbe « à particule séparable », ce qui explique que la « particule séparable » « TOE » est effectivement séparée de lui. Pour comprendre la présence du « TE » devant la partie « HALEN » de « TOEhalen », il faudrait se dire que l’on pourrait rendre le début de la phrase « Door » par « Du fait DE », ce qui donnerait en mauvais français pour « Door de hefboom (…) toe TE halen » : « Du fait DE actionner le levier ». On pourrait se dire que le « TE » néerlandais correspond à une sorte de «DE » français.
On y trouve aussi la forme verbale « OPEN … gaan », construite sur le verbe « GAAN ». Le verbe « OPENgaan » est un verbe « à particule séparable », ce qui explique que la « particule séparable » « OPEN » est effectivement séparée de lui et fait l’objet d’un REJET à la fin de la phrase, derrière les compléments « het paneel » et « naar boven ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Door de hefboom »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « het paneel ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « gaat ») et passant donc derrière lui.
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 14 dans « Het gebroken zwaard », le volume N°1 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1959-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 001 GEBROKEN ZWAARD 12A - Rajouté le 20/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Intussen is er een gestalte nader geslopen die aandachtig luistert » (« Pendant ce temps-là, (il y a) une silhouette (qui) s’est faufilée plus près, qui écoute attentivement »).
On y trouve notamment la forme verbale « geslopen », participe passé construit sur le verbe « SLUIPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Intussen »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « een gestalte » ou « ER ») inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « IS ») et passant donc derrière lui.
Dans cette phrase au passé composé, le participe passé « geslopen » fait l’objet d’un REJET à la fin de la phrase principale, derrière le complément « nader ».
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 12 dans « Het gebroken zwaard », le volume N°1 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1959-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

Nom : VANDERSTEEN RODE RIDDER 001 GEBROKEN ZWAARD 05A - Rajouté le 20/07/2011

Description : La phrase suivante est grammaticalement intéressante : « Stervend (…) riep (hij) uit : eens zal mijn mijn zwaard uit dit moeras oprijzen om mij te wreken » (« Mourant, il s’écria : un jour, mon épée émergera de ce marais pour me venger »).
On y trouve notamment, dans la phrase introduisant la déclaration, la forme verbale « riep … UIT », O.V.T. (ou prétérit) provenant de l’infinitif « UITroepen », conjugué lui-même sur « ROEPEN », qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ». Ce verbe « UITroepen » est dit « à particule séparable » ce qui explique que la « particule séparable » « UIT » est effectivement séparée de lui quand il est conjugué et elle aurait fait l’objet d’un REJET à la fin de la phrase, derrière le complément, s’il y avait eu un complément ; par exemple : « hij riep luid uit » OU, à l’O.T.T., « hij roept luid uit ».
N’oublions pas que, si une phrase commence en néerlandais par un complément (« Stervend »), on doit procéder à une « INVERSION », le sujet (ici « hij », sous-entendu) inversant sa position (le sujet est en général le mot N°1 de la phrase) avec le verbe (ici « riep ») et passant donc derrière lui. Rappelons aussi que, en néerlandais, le participe présent est construit en rajoutant simplement un « D » à la fin de l’infinitif : « sterven » + « D » => « stervenD ».
On trouve, dans la phrase déclarative, l’infinitif du verbe « OPrijzen », dit « à particule séparable », construit sur le verbe « RIJZEN » (ayant une signification différente), qui fait l’objet des « temps primitifs » des verbes dits « forts ».
On y trouve enfin, dans une sorte de phrase subordonnée introduite par « OM … TE » (signifiant « POUR » devant les verbes), le complément « MIJ » intercalé et la particule « TE » placée derrière ce complément et donc toujours juste devant l’infinitif (« WREKEN »).
La version néerlandophone du « RODE RIDDER », peut avoir une deuxième carrière en tant qu’outil pédagogique : l’apprentissage de la langue néerlandaise sur base notamment des mini-textes accompagnant ces illustrations attrayantes.
L’illustration annexée est extraite de la page 5 dans « Het gebroken zwaard », le volume N°1 de la série « DE RODE RIDDER ».
Willy VANDERSTEEN se serait réjoui s’il avait su que cette initiative permettrait aux élèves « primo-arrivants », à la recherche de racines dans leur pays d’accueil, de s’y intégrer linguistiquement.
(Ces extraits sont reproduits avec l’aimable autorisation de WPG Uitgevers België / Standaard Uitgeverij / Studio VANDERSTEEN. Copyright 1959-2011.)
Si un autre ayant droit s’estimait lésé par notre initiative, il peut nous faire part de ses desiderata en nous adressant un courriel à ideesautresbg@gmail.com , accompagné d’un justificatif. Nous amenderons, dans les plus brefs délais possibles, en tout ou en partie, le corpus concerné.

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